Quand les vies doubles abolissent les frontières
Canada n’est pas le seul roman du double de la rentrée, il s’en faut. Il faut aussi compter avec quelques autres. Siamoises (284 pages, 19 euros, Naïve) est l’un des plus troublants et sans aucun doute le plus accompli du tandem formé par Michel Canesi et Jamil Rahmani. Cette fois, contrairement à leurs précédents romans, ils ne se contentent pas de traiter une bonne histoire : ils s’en donnent les moyens avec une technique irréprochable. Diabolique même eu égard au thème. Une manière bien à eux de refléter l’époque à travers des destins brisés. Essayons d’en dire davantage sans en dire trop. Car un coup de théâtre final (c’est déjà trop de l’annoncer) jette une lumière noire mais éblouissante sur l’ensemble.
Deux sœurs que leur caractère oppose sont soudées autour de l’insupportable disparition de leur père adoré, et contre les harcèlements de leur mère dépressive. Chacune sa voix dans ce roman qui se veut choral par nécessité et non par commodité ou goût du procédé. Arrive le beau-père, attentionné, trop même. Il faut à l’héroïne un voyage au Maroc et un séjour à Alger, pour y préparer les corps d’un industriel français et son fils assassinés, avec la découverte de véritables siamoises pour comprendre que sa tendance schizoïde lui a fait projeter une sœur fictive (tant pis, c’est dit mais comment en parler sans en parler ?). Advient alors le temps du traitement. Mais la soigner, c’est la normaliser en lui ôtant son imaginaire. Anesthésie et thanatopraxie. L’histoire commence dans la nuit et s’achève dans la lumière. Où se situe la frontière entre la raison et la folie ? La camisole chimique est au bout du chemin, et parfois les électrochocs. Même si à la veille de basculer, il y aura toujours une blouse blanche pour se demander si certains dérèglements de l’esprit n’ont pas plutôt partie liée avec l’univers des rêves. Autrement dit : par souci de préservation de l’ordre social, peut-on amputer des êtres de leur imaginaire, de leurs songes et de leurs fantasmes ?
On se prend alors à douter de la norme. Troublé au début de la lecture, le lecteur est dérangé en fin de parcours comme on peut l’être par un récit proprement dérangeant, dans la meilleure acception du terme, la seule qui vaille en littérature : un livre, voire un chapitre, une page, un paragraphe qui vous expliquent ce qui vous arrive mieux que vous ne sauriez le faire. « La frontière aujourd’hui c’est la mer » lit-on quand même les frontières identitaires, auxquelles tant s’accrochent lorsque tout vacille, se brouillent à leur tour. Le membre fantôme au centre d’un autre roman de ces médecins-écrivains a été remplacé cette fois par le gris neuroleptique. Une vraie trouvaille, idéale dans cette forêt de faux-semblants et de vrais indices avant de comprendre que l’une des deux sœurs n’est que le fruit de l’imagination de l’autre. Qui jurerait n’avoir jamais craint de basculer de l’autre côté ? C’est toute la réussite de ce thriller psychologique de nous forcer à affronter la question.
Un autre personnage de double est au centre de L’invention de nos vies (492 pages, 20,50 euros, Grasset) de Karine Tuil, l’un des romans les plus prenants et les mieux ficelés de la rentrée. Mais oui, c’est un art ! Les destins de trois personnages s’y croisent et s’y entremêlent entre Paris, New York et le Pakistan. Une histoire de double usurpation d’identité où l’on voit le (anti)héros Samir Tahar, fils d’immigrés tunisiens, intelligent, séducteur, brillant, devenu un brillant avocat pénaliste grâce à la méritocratie républicaine, se cogne à un plafond de verre. La faute à son prénom. Du moins en est-il persuadé. En le raccourcissant en Sam, il n’éprouve même pas la honte de sacrifier le nom du père par ambition puisqu’il ne s’agit que du prénom.
Engagé au cabinet d’un Maître Lévy qui le prend pour un séfarade, il se dit qu’il n’y aurait pas de mal au fond à le laisser croire. Le culte de la performance compense chez lui la honte des origines. Le voilà lancé sans faire exprès. Un cynique charismatique au sourire de prédateur. Musulman devenu juif sans avoir même à se convertir, il falsifie tout pour parfaire son identité. Il s’invente une autre vie dans le fol et naïf espoir d’échapper au déterminisme. Juste assez pour conquérir sa place. Sauf qu’un tel projet est sans limite. Son ascension commence. Il a mis un doigt dans l’engrenage et s’engouffre non sans volupté dans la machine à réussir. Le voici à New York. Son charme agit sur la fille d’un magnat juif. Il l’épouse et bascule définitivement dans la mystification en empruntant le passé de son plus ancien ami, Samuel, un écrivain laborieux à qui il avait déjà disputé une femme dans leur jeunesse, une Nina à laquelle ils sont restés chacun liés à leur manière. Grisé par ses succès, il ignore les limites et outrepasse les frontières là même où il se croyait illégitime.
Les clichés ne manquent pas mais l’auteur désamorce toute critique en les détournant aussitôt. Elle fait de l’équilibrisme sur un fil tendu entre le mensonge, la tromperie, la trahison. Ce Tahar, dont le sentiment d’insécurité est le carburant, fait fortement penser à Karine Tuil, et au reflet qu’elle a déjà donné de sa propre fragilité dans ses précédents romans. C’est aussi palpitant qu’une bonne série télévisée dont les chapitres seraient autant de saisons. Efficace dans la férocité. Oublions le titre, très tendance. Il aurait fallu interdire « L’invention de… » après L’invention de la solitude de Paul Auster il y a une vingtaine d’années. J’aurais plutôt vu à la place La Consolation. Ceux qui l’ont lu comprendront pourquoi. Ce roman marque probablement l’accomplissement de Karine Tuil. Ce qu’elle a écrit de plus dense, de plus fouillé, de mieux composé. La réflexion sur le déni identitaire est forte, convaincante, nonobstant quelques tics d’écriture, plusieurs mots accolés pour ne pas en choisir un et quelques trucs typographiques énervants qui relèvent de l’affèterie.
Là encore, comme chez Canesi & Rahmani, un festival d’identités insincères, de faux-semblants, d’impostures aux autres et à soi-même, concentrés en un personnage que l’on finit par trouver pathétique, même si on ne sait plus s’il est Samir, Samuel ou Sam. Lui-même le sait-il encore ? Que l’on se rassure, la fin est morale. Il finira par tomber. Tout cela pour dire que nul n’a le pouvoir d’inventer sa vie : il peut juste la rêver avant de passer à côté en la manquant.
(Photos Jean-Pierre Bertin-Maghit)
1 176 Réponses pour Quand les vies doubles abolissent les frontières
On me téléphone pour savoir pourquoi l’Italie n’arrive pas à contrôler ses côtes et donc le flux de réfugiés économiques.
ça s’invente pas..bicoz sé vérato
Usurpation d’identité ? Vieille pratique, vieilles joies, longs voyages, diligences, auberges, trains, …vieux mensonges délicieux !
Vous voulez la vérité ? Un numéro suffit.
Droitière, manuellement seulement
..hurkurk?
Mon fred, toi qui prends les choses par les racines (radical, hein), connais-tu le long visage d’un certain Lipiez?
C’est une sorte de Savonarole de la décroissance.
Note que dans cet univers d’arsouilles, on ne croit pas qu’il en croque, sa bure est probablement sans poches.
Ne regrettes-tu pas comme moi que les caméras ne le cadre jamais en pied?
On ne peut pas voir ses sandales, ce qui est tromper l’électeur.
Dans un RER, on n’y croit pas tellement c’est proche du cliché, j’ai été assis en face d’une tête de bois (durillon de piété sur son front de brute), calotté en petite laine et pieds nus dans les sandales.
Mâ shâ Allah?
Proposition:
La sandale est souvent le signe d’un certain scepticisme sur les pouvoirs de la raison.
Qu’en penses-tu?
« Cheveux bruns, désormais teints pour cacher les cheveux gris »
La sandale est souvent le signe d’un certain scepticisme sur les pouvoirs de la raison.
Qu’en penses-tu?
tu préfères les doc hin mon zouzou
Mon fred, tu t’appelles peut-être Frédégonde?
Dans ce cas, je m’incline sur tes deuxs gros seins, sagement encadrés par des nattes qui témoignent de l’amour du travail.
« La blonde et rêveuse Allemagne », nos pères croyaient ça, le sais-tu?
« Nos zouaves ne feront qu’une bouchée de ces buveurs de bière ».
Hélas, c’est au son du canon qu’ils ont été réveillés, c’est ainsi.
papi zouzou dans l’cou, les socialos sont de dangereux bolchos ça fait peur- mais au moins la verte qui s’accroche à son poste en disant n’importe quoi n’est pas sans rappeler les ambitieux sans-scrupules qui font ton admiration (mamère? ? pff)
Mamère ?
ma mère …..! Un bon à rien.
La sandale est souvent le signe d’un certain scepticisme sur les pouvoirs de la raison.
faudrait qut’u rtournes au vatican..voir toutes les estatues grecqus a relacer sa sandale
Clopine
Mac ou PC?
Un socialo ne fait pas peur : il fait pitié.
Ca va u ?
U; : les deux. Mac dans le bureau de Clopin, because les images. PC dans le mien, because version de word me permettant de foncer à toute berzingue sur mon azerty.
tes deuxs gros seins, sagement encadrés par des nattes qui témoignent de l’amour du travail.
à force d’admirer les médiocres il raffole des clichés le u. ce grand esprit de blog
« La blonde et rêveuse Allemagne », nos pères croyaient ça, le sais-tu?
et ils avaient raison mon zouzou..rome produisait les meilleurs soldats du monde en son temps et ça vaudrait l’coup qutu lises ce que nelson disaient des soldats français..tout change mon zouzou, sauf tes préjugés
Un socialo ne fait pas peur : il fait pitié.
un saint a causé!
Eloge de la connerie dit: 4 octobre 2013 à 13 h 30 min
Ca va u ?
Grâce à toi, Loge
Loge est le dieu du feu, le savais-tu?
Tiens, tu me mets la Götterdämmerung dans le crâne, moi qui suis depuis hier bon chrétien.
Clopine
Mac ou PC?
méfie..il fait sa ptite enquête socio économique façon fig mag..t’as des sandales?
« tout change mon zouzou, sauf tes préjugés »
Est-ce bien civil?
le zouzou il en tient une couche
Mac dans le bureau de Clopin, because les images.
Normal, Clopine, dans ce domaine la supériorité des ordi m-à-cheval est manifeste.
le pc est péché
« le zouzou il en tient une couche »
Certes, mais finie l’humiliation grâce à Pampers.
Mac dans le bureau de Clopin, because les images
..pour le porno c’est un bon écran fait la différence pineclo..le reste c’est dla périphrase trés raisonnabe a la zouzou
Amis du Livre Cher,
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Montaigne dans la chambre, le cheval au bureau, pas l’inverse.
finie l’humiliation grâce à Pampers
« philosophe rescotchant sa pampers ? » ça fait mec qui respecte la raison pis tout
bougue Le vandale vit en Vandalie. Pour les sandales et par respect anatomique il faut fléchir le genou, les grecs l’avaient bien compris qui ne penchaient pas du coté où la gravité nous entraîne, les marbres n’ont rien à voir avec ces sculptures océaniennes de volatiles en picore et qui donnèrent définitivement un sens à l’expression piquer du nez.
« « philosophe rescotchant sa pampers ? » ça fait mec qui respecte la raison pis tout »
Halte au Badiou bashing.
C’est un grand.
Faites quoi ce week-end?
prêts à lutter contre le service le meilleur du monde, prix, délais, sérieux : AMAZON.COM !
hUUurkurkurk..ha ben là..c’est ce que les ricains disaient des s.a. un point pour françois lhistorien là
Merci les mec(ques) de m’avoir fait piler.
Je sors sous la pluie.
un peu comme comme vous, u.?
piler > poiler
(Quelle joue témoigne contre la raison, la glabre ou la poilue?)
Halte au Badiou bashing
dieu le trouve pas des tiens.. t’es pus chrétiens depuis trente seconde
U. est un monde riant à lui tout seul!
penses y ! no pain no gain dit kabloom
Ce fourbe séducteur hamiltonien de Nelson, par bonheur abattu par un tireur d’élite à Trafalgar, buveur agonisant de limonade chaude, bien meilleur marin que Villeneuve, est revenu mort dans un tonneau d’eau de vie !
Qui rétablira la souveraineté des Highlands sur la fourbe Angleterre ? Vive l’Empereur !
Chaloux
Vous savez, les Sénèquiens se réunissent tous les quarante ans tantot pour conclure à l’existence de deux Sénèque, tantot pour s’exclamer « Bon sang, mais c’est bien sur! il n’y en a qu’un ». Alors Sénèque le père…Cela montre surtout l’age de l’édition.
Cela dit, quelqu’un ferait bien de se coller à une nouvelle édition des Tragédies, celle de Léon Hermmann étant calamiteuse.
Rien sur la mort d’ Alkan dans le Larousse d’Augé.
Pour les Libraires d’ancien, n’idéalisez pas trop. Les pièces anciennes et intéressantes ont toujours été peu abordables, et il y a toujours eu des maisons prestigieuses pour proposer des prix bien au delà du raisonnable. On se souvient ici d’un Crès sur Rives proposé autour de 20 euros, retrouvé sur l’autre rive de la Seine à 200 dans une librairie dont je tairai le nom…
Bien à vous.
MCourt
13h50 enfin bouguereau…Un peu de tenue accolée à votre lexique ne nuirait à votre Relooking, nous stationnons sur les Champs, un temple certes mais pas celui du sexe!
Oublié mon pépin.
Clopine, votre fiche est très bonne, on dirait du Brigitte Fontaine, voyez à côté chez Sophie
Dites donc, Zhu, c’est de mon pote Alain LipieTz que vous parlez ? Je ne le vois pas porter spécialement de sandales quand il fait ses courses au Franprix du boulevard Henri IV. Et il a renoncé à des candidatures et des dépuuuutaaaations, ce qui n’est pas rien ! Long visage ? Tu parles, il ressemble à Paul Newman.
Lipietz ?
Electron libre. Inutilement agité.
Brigitte Fontaine oui mais de quelle décennie, cher u.?
u., autrefois respecté, se fait de plus en plus souvent charrier. Sa cote de popularité va bientôt rejoindre celle de Chaloux dans les profondeurs. Mais est-ce si surprenant, après tout ?
court, dit: 4 octobre 2013 à 13 h 54 min
Cela dit, quelqu’un ferait bien de se coller à une nouvelle édition des Tragédies, celle de Léon Hermmann étant calamiteuse.
Si vous acceptez de les lire en traduction, il y a celles de Florence Dupont (Imprimerie Nationale, coll. Le spectateur français), qui me paraissent excellentes. Je suis trop mauvais latiniste pour juger de leur fidélité au texte, mais j’ai vu un Médée de sa version représenté aux Amandiers et ça fonctionnait très bien sur scène.
@M. Court
L’édition dont je parlais (Controverses et Suasoires) est pourtant très récente. 1992 chez Aubier, préface de P. Quignard. Traduction Henri Bornecque revue par son fils.
(Actes-Sud vient d’éditer l’ensemble des pièces de Sénèque dans la traduction de F. Dupont).
Pour le reste, je ne suis pas du tout amateur d’éditions rares. Pas le temps d’aller en bibliothèque et la lecture sur Gallica me fatigue vite (et je ne sais pas si on peut faire passer les textes de Gallica sur tablette, -tablette que je n’utilise pas).
Sur Alkan, j’ai jeté un coup d’oeil sur la Wiki anglophone qui dit qu’il pourrait s’agir non d’une bibliothèque mais d’un porte-parapluie, ce qui évidemment réduit la portée symbolique de cet accident, -encore que. D’après les auteurs la version Talmud viendrait du pianiste Isidore Philipp.
« Je suis trop mauvais latiniste »
ornabout dit: 4 octobre 2013 à 14 h 40 min
« Sa cote de popularité va bientôt rejoindre celle de Chaloux dans les profondeurs ».
Qu’est ce que c’est encore que cette variété de couillon? La même sans doute que celui qui parlait hier de « célébrité ».
A la longue tant de sottise exhibée sans vergogne ça devient tout de même fatigant.
Je ne sais si je dois la prendre comme un hommage, mais l’intervention de 14h 01 n’est pas de moi. Au demeurant, je n’ai pas une ame de crieur de Vente aux Enchères…
Chaloux. La Bornecque père et fils m’est inconnue.Je jetterai un coup d’œil sur la Dupont. Ce que je retiens de Bornecque, c’est sa « Fantaisie de Victor Hugo ». Une thèse bien écrite comme on en voit rarement, maintenant qu’un indigeste charabia semble la règle de toute production universitaire…
Bien à vous.
MC
Ha Bornecque et Caudet ça c’était bien, rangé classé moderne et tout ; mais alors dis-donc, pour les trados gratuites macache ! Tandis que le Gaffiot, alors là mon colon, en s’y prenant bien…
je n’arrive plus à mettre la main sur mon carnet de bal.
en s’y prenant bien…
dans mes jeunes années, je m’y prenais de la façon suivante : mon carnet de bal était tenu bien à jour, de sorte que, lorsque j’étais en composition de version latine, je m’absentais un instant, j’allais dans les toilettes pour hommes, je déposais le texte recopié dans la chasse d’eau, un galant venait le récupérer, filait à la bibliothèque, dénichait la traduction et me la rapportait dans la même chasse d’eau, où je n’avais plus qu’à la lire à mon retour, une petite heure plus tard.
avec vos allusions à sénèque, vous me rappelez les lettres à lucilius, mon dieu, mon dieu, toute une époque.
« Canada n’est pas le seul roman du double de la rentrée, il s’en faut ».
Certes, mais c’est le seul qui soit bel et bon et infiniment supérieur à tout le reste… Cela dit, pour commencer un billet par une telle entame, encore aurait-il fallu le croquer à la RDL, plutôt que de le laisser couvrir par les Jacob, Busnel, Canard enchainé, Libé, Monde ou autres Télérama.
Par ailleurs, le thème du double n’est certainement pas le cœur de cible de Canada ni son enjeu principal, ce qui prouve assez que ce roman n’a pas été lu à sa juste mesure.
C’est qu’apparemment la place était trop prise, et l’unanimisme suspect… donc, plus moyen de s’y distinguer un tant soit peu… Ergo, à la RDL, on préfère se rabattre sur des nullards de deuxième catégorie. Un grand classique.
Putain de cuvette !
T’as pas bientôt fini de râler, Diago ?
@17.02 (3/10) Et voilà que maintenant je découvre qu’il y a plus de contraintes dans la littérature que pour construire un pont…
Oui, et c’est exactement l’impression qui ressort du très beau et complexe roman de Maylis de Kerangal.
Pierrette dit: 4 octobre 2013 à 15 h 49 min
en s’y prenant bien…
un galant venait le récupérer
Et voilà ! C’est comme pour l’histoire de la pomme, à tous les coups c’est le Julot qui se fait poirer, passer à la question, à la grande cale, empaler à quatre chevaux pendant que les taupes se vernissent les ongles…
@16.03, Non.
Visage long versus visage rond comme une citrouille, lequel gagne en esthétique ?
Bizarre, Pierrette, cette histoire de lycée où les toilettes sont les mêmes pour les garçons et les filles. Si Pierrette est HR, Pierrette doit se lire Pierre ?
Ou alors c’est un balcon au sommet du barrage contre le Pacifique… Et alors comme dirait Mac-Mahon, que d’eau, que d’eau…
@ San Giovanni d’Angély. Je voulais vous informer de ceci depuis très longtemps : je ne vous lirai à fond que lorsque vous réussirez à publier, mise bout à bout, la somme des 1257 pages de vos commentaires postés depuis l’aube de la RDL. Mieux encore : si je vous convaincs d’enlever les points suspensifs et les blancs de jointure, je suis prêt à vous faire éditer, car le nombre de pages utiles passera alors à 272, et ce sera tout à fait jouable. Nous découvrirons alors, stupéfaits et ahuris, la parfaite cohérence de votre mentalisation romanesque décalquée sur la respiration journalière de mon blog. Un peu comme la phrase infinie et récursive d’un Thomas Bernhard que vous surpassez depuis longtemps, ce dont plus personne ne peut encore douter ici.
@16.05. Si.
j’ai lu tardivement le billet et j’ai été surpris, moi aussi, par « Canada » … « roman du double ». A cause du séjour de Dell chez Remlinger ? De Dell et sa soeur Berner ? Cela ne tient pas debout.
A « La Grande Librairie », Richard Ford répondant heureusement à côté des questions imbéciles de Busnel…
Ne quittez pas, C.P., Passoul va vous répondre.
Pour saluer Giap dit: 4 octobre 2013 à 16 h 03 min
Putain de cuvette !
Oui enfin le gars Giap il serait tombé sur un compadre comme par exemple le roi Jean qu’il aurait plutôt été bouffé tout cru dans son bol de riz…
Quel Tuil, si j’ose dire!
Bon, je sors.
MC
Je l’eusse bravé, messire Serge, mais il m’eût eu avec ses cyclistes.
Deux remarquables interventions de TKT, coup sur coup, à 16 h 11 et 16 h 14.
Pour les italophones, une présentation sur un blog de « Canada »
http://www.criticaletteraria.org/2013/10/canada-un-capolavoro-firmato-da-richard.html
@16.29 et 16.34. Bien vu, C.P. et le Standard.
Je confesse avoir confondu avec le Richard Powers dont j’ai rendu compte récemment, le dilemme du prisonnier… Il est vrai qu’avec tous ces Richard de la rentrée US, on finit par tout s’mêler.
C.P. dit: 4 octobre 2013 à 16 h 29 min
j’ai été surpris, moi aussi, par « Canada » … « roman du double ».
u. me souffle que c’est une allusion à Canada dry, symbole du faux-semblant, comme disent nos lycéens.
mais il m’eût eu avec ses cyclistes
pour véhiculer les morceaux de la vraie croix, 15 eddy 18 bernard et 22 lance aurait été trop chargés à l’insu de plein gré
Le roi Jean dit: 4 octobre 2013 à 16 h 40 min
avec ses cyclistes.
Oui enfin pour la remonte fallait quand même aller jusqu’à Saint-Etienne…
15h49 pourrait-on confirmer qu’alors ces versions , thèmes? étaient sanitaires ou hygiéniques, salutaires ou salvatrices?
Je possède une paire de chaussures appelées autrefois cyclistes, le fait est qu’en dépit de l’usure et des différents travaux de rénovation qu’elles ont eu à subir, rien de plus souple et confortable n’a été commercialisé depuis, ces salamandres habilleront mes pieds jusqu’à ma mort prochaine, pour le moment et décevant plus que surement la rancune de certains que je préfère ne pas désigner, je vis dans l’ignorance des maladies aussi. Dieu merci.
pour véhiculer les morceaux de la vraie croix
Oui enfin si c’est électrique
ces salamandres habilleront tes pieds jusqu’à ta mort prochaine,
On dirait les paroles d’un bourreau bossu, auquel il manque des dents.
Les vraies croix c’est pas comme les poutres apparentes creusé à l’intérieur ?
« u. me souffle que c’est une allusion à Canada dry »
avec ses couches forcément c’est pas étonnant
Bérénice, vos chaussures sont-elles de la marque Allemande « Salamander » ? Cette fabrique a toute une histoire, plus brune que Boss, mais moins prestigieuse que IG Farben ou Krupp…
Casimodo le bossu de Notre Dame? Comme vous êtes dur avec moi u. je ne mérite pas ce mauvais traitement de texte, c’est méchant, de plus je suis du genre féminin: bérénice hein, et je m’épile régulièrement.
Les vraies croix
il n’y en a qu’une, voyons!
Ne m’en parlez pas ! Il faut se la faire, la Bérénice, mais, sortant de taule…
bérénice
u. ne supporte que les cocottes laquées
Je suis votre croix du Cantal, vous, commentateurs de la rDl.
Récitez moi:
DD qui es aux cieux, écris nous des connentaires, sans toi et ta Vodka de chaque heure, nous tomberions dans le normal.
DD, qui es sur Krypton, dis une prière à DD et une autre au Divin marquis et encore une autre pour la mémoire du Dr. FreuD.
Tous en chœur: « Annette accepte pour épouse, Pierrette ici présente »
jean d’habitude c’est les canards qu’on laque, il n’y connait rien ça se voit tout de suite.
Tite ….. dit: 4 octobre 2013 à 17 h 30 min
sortant de taule…
Vaut mieux en sortir qu’y rentrer…
Lâchez Ford et son faux « all-road » en Acadie. Il n’est pas plus parti à Yellowknife que Blaise Cendrars n’a fui à l’Haÿ-les-roses par le Transfrancilien. L’Auto-immobile Ford ne vous fera pas plus voyager par la pensée que Blaise par l’avancée qu’il faut conduire ses lectures comme un foudroyé. N’y croyez pas. Lisez plutôt Salter et Exley, « Light Years » et « A Fan’s Notes », mettez, si vous y tenez, un cd de Neil Young dans le mange-disque d’une antique Plymouth-corbillard des pompes-funêbres de Toronto et foncez sur la N 10 en direction du Brésil. Arrêtez de lire des auteurs pour vieux barbons universitaires (no names, no offense), laissez vos Tesla électriques au garage, quittez vos femmes, abandonnez vos familles. Lâchez tout et partez sur les routes de la bonne vieille vraie littérature, bon sang, ça fait quatre-vingt-dix ans qu’André Breton se ruine la santé à vous le répéter.
Clopine Trouillefou dit: 4 octobre 2013 à 13 h 18 min
clap ! clap ! kisses !
Je ne sais pas si c’est u. qui s’amuse à troller ainsi Chaloux, mais ça commence à bien faire.
Je vous laisse la parle, Chaloux :
la parOle
TK oui et je n’ose penser aux petites bêtes qui servent à leur fabrication, il nous faudrait renoncer à tous les produits issus du sacrifice des agneaux des chevreaux et pendant ce temps des centaines de pauvres et affamés se noient, nouvelles déprimantes dès les premières heures d’écoute…
Purée, ce coup de menton !
y’a des descriptions physiques auxquelles les frères Bogdanoff n’ont rien à à envier.
lew, on ne peut pas lâcher comme ça : il y faut d’autres « attracteurs étranges ». Au demeurant, Salter et Ford sont copains, vous rappellerait u.
Bérénice, vous pourriez ne porter que des escarpins de soie avec des semelles de liège ? Je vous conseillerais volontiers aussi la peau d’autruche sud-africaine, cette espèce à l’air plus d.bile que celle d’Australie.
Je pensais bien qu’il y avait eu confusion des Richard. Ne pas se tromper, et choisir le bon. C’est facile, le bon n’est pas tatoué.
Cher Thierry, il n’y a pas d’autruches en Australie.
Passoul dit: 4 octobre 2013 à 16 h 23 min
@ San Giovanni d’Angély.
…. et, si …, merci de respecter l’Historique » (yep ! j’y tiens) du nom à rallonge (SGA, glups): dater ses interv°. Anticipated etc … je file, suis à la bourre (et j’ai faim, diantre)(sans ponctuation finale
« quittez vos femmes, abandonnez vos familles »
Jamais, vous entendez ?! Jamais !
(c’est quitter ce que tu as, pour rien)
» pendant ce temps des centaines de pauvres et affamés se noient, nouvelles déprimantes dès les premières heures d’écoute… »
On n’en a rien à foutre des pauvres ! Ils n’ont qu’à apprendre à nager et à diminuer leur prétentions exorbitantes à être aussi malheureux que des Occidentaux endettés…
L’autruche vit dans le sud du Sahara, en Somalie, en Éthiopie, en Afrique de l’est et autour de la Zambie. En 1860, l’autruche a été introduit en Australie. Aujourd’hui, des populations échappées de captivité s’y reproduisent en toute liberté.
Source
http://monde-animal.over-blog.com/article-568055.html
Neil Young, Neil Young… Charbukowski écoutait du classique dans une voiture, pareil, à cylindres… Boh du moment que c’est instrumental…
u., … qui a dû maintenant finir « Light Years ».
Vous me voyez très ennuyée, je n’ai ni femme ni famille.
« En 1860, l’autruche a été introduit en Australie »
Exactement ce que nous disions. L’autruche n’est pas une espèce australienne.
Evidemment, on peut aujourd’hui en trouver n’importe où. Il y a même des élevages en France.
J’ai moi-même, par une nuit sans lune, introduit une autruche en Australie …. et, je l’avoue volontiers, ce fut meilleur moment que la lecture du dernier Darrieusèche.
Elle m’a rappelé ma première épouse, une évangéliste naine, aux comportement amoureux erratiques, qui sentait le bush.
rappel zoologique dit: 4 octobre 2013 à 18 h 07 min
Cher Thierry, il n’y a pas d’autruches en Australie.
Exactement ce que vous disiez ?
(suite et fin)
… sentait le bush père, le fils étant, bourré, absolument adorable olfactivement, au milieu de ses vapeurs de bourbon contrefait.
rappel zoologique dit: 4 octobre 2013 à 18 h 07 min
Cher Thierry, il n’y a pas d’autruches en Australie.
Exactement ce que vous disiez ?
« Sa cote de popularité va bientôt rejoindre celle de Chaloux dans les profondeurs »
mais c’est faut! depuis la chute de l’ancien régime les balaises et les musclés ont été passé par dessus bord les figures de proue sont toutes à bras cassés et casquette de coureur..t’es en pole position cheuloux !
faux..ha c’est vraiment lennemi du vrai
« L’autruche n’est pas une espèce australienne.
Evidemment, on peut aujourd’hui en trouver n’importe où. Il y a même des élevages en France. »
Exact. On en trouve chez nous de splendides. Immangeables…
qui sentait le bush
en pays brayon pas de ça ! on fait le grand maillot complet total..sinon ça fait brouillon sur le mac
Neil Young
y m’énerve..mais y m’énerve!..c’est des gars comme ça qui vont font metalleux a vie
Madame de Kerangal est-elle une Riou de Kerangal? ou plus plaisiblement une Le Gal de Kerangal? dont Arsène de Kerangal, imprimeur de l’évèché de Quimper? Tout cela ne remonte en tous cas pas aux Croisades, au plus au Dix-Huitième siècle…Mais il est certain qu’entre la facheuse Tuil et la gracieuse de Kerangal, on aurait tendance à privilégier la seconde sur la première.pure question d’euphonie.
Hamlet
Dans une lettre à votre serviteur qui doit trainer sur ce blog, vous me proposiez de faire attribuer systématiquement un prix à tous les ouvrages parus dés avant leur parution.
Je crois votre système aussi fondé que perfectible.Je suggère que presque tous les livres parus se voient remettre un PGA, ou Prix du Génie Absent. Seront ainsi tolérés les romans à ficelles, les Cartlanderies bêtement sentimentales, les polars aux odeurs de morue scandinave, l’Histoire vue selon Christian Gallo ou Max Jacq, quand ce n’est pas Jean Teulé. les arrières-petits-fils du roman à thèse façon Paul Bourget y auront leur place, de meme que les plagiaires, qui pourraient bien décrocher le convoité PASG, Prix Absolument Sans Génie.
Pour les autres, les œuvres dites de génie,ceux qui échappent à la loi commune, on pourrait les laisser tranquilles, les rater au besoin, parce qu’une œuvre géniale s’impose toujours plus souvent par ses lecteurs que par ses critiques. J’entends bien que le lecteur peut aussi etre critique, mais pas toujours professionnel. Ni Bloy ni Barbey ne l’étaient, que je sache…Le Magistère du gout honnêtement exercé sait bien qu’il ne peut exister dix nouveaux Balzac par rentrée. La Comédie des prix est réjouissante par ce qu’elle relève plus de la stratégie que de la littérature. Trouver un livre marquant, c’est déjà très bien.
Bien à vous
MCourt
PS
Puisqu’il faut lire Shakespeare en Danois,fil précédent, je suggère de lire Lamartine et on Lac en breton ou en Gallo…
Circoncision – Excision
Match nul : 1-1
trop c’est trop dit: 4 octobre 2013 à 17 h 56 min
« Je ne sais pas si c’est u. qui s’amuse à troller ainsi Chaloux, mais ça commence à bien faire. »
Que voulez-vous…
« Il n’est rien de si sacré dans la nature qui ne trouve un profanateur ».
Sénèque, cité par Montherlant.(Le Treizième César).
Une phrase qui pourrait se trouver chez Proust.
meusieu court, exercer son talent sur le nouveau c’est le faire sur l’infinitésimal a l’échelelle du millénaire..vous aussi êtes un nain sur des épaules et louer une puce plus grosse que les autres sur la calvitie c’est le lot à jamais des vivants
La montée des violences individuelles et sociales se lit à livre ouvert sur Internet.
Il n’est rien de si sacré dans la nature qui ne trouve un profanateur
évidemment..puisque que c’est à ça que la profanation s’applique..c’est con cque tu dis chaloux (cité par sénèque mettons…)
tu restes en pole position cheuloux ! tiens bien ton manche!
court, en généalogiste. dit: 4 octobre 2013 à 18 h 36 min
PASG
Et toujours rien sur la collection Harlequin…
c’est le lot à jamais des vivants
..et c’est là qu’il exerce son honneur dailleurs..louer dostoyevski shakespeare..c’t’un truc de keupu..bref, de raclure !
La montée des violences individuelles
à ne pas confondre avec les individus violoncelles
Encourageons la lecture qui distrait les masses travailleuses qui ont besoin de rêver et faisons ce que voulons
c’est bien plus grave que ça ..cartland devient ta définition par antithèse..bref ton faire valoir et là t’es fait comme un rat dans une nasse meusieu court : condamné a te bouffer les membres..pour ça que d’en avoir une grosse ça compte
qui distrait les masses travailleuses
chsrais curieux d’entende cette grosse feignasse de zouzou la dessus..
Une grosse quoi, Bouguereau ? Allez jusqu’au bout. Terminez. Je n’aime pas ces élisions.
@ D. le con-tradicteur: Vous êtes bien né dans le Cantal, or l’espèce humaine est originaire d’Afrique. Voyez vous, vous avez été en Autriche, en Grèce (le vrai voyage, pas celui fictionné des derniers jours) et moi pour ce qui est des autruches, je suis allé deux fois en Afrique du Sud et trois fois en Australie. Je vous assure que les deux espèces semblent différentes. Quand je parlerais de quelque chose que je ne connais pas ou peu, et que vous connaissez bien, vous me corrigerez. Par exemple, quelques règles de comptabilité de base pour back-office ou, des affaires de saints, voir des références à Sainte Marine ou au populisme en général.
PS: Ducornaud, imaginez il y a même des élevages de chameaux entre Ayers Rock et Alice Springs.
Je ne les aimes d’autant plus pas que ce ne sont pas des élisions, mais des omissions, voire des commissions puique vous les commettez. J’ai bien di commetez, pas connetez, qui a une con-notation tékétienne.
Mon pauvre TKT, l’espèce humaine est originaire d’Antarctique et elle a émigré en Afrique parce qu’elle avait froid. Il y a des cités englouties là-bas à 100 mètres sous la glace mais nos gouvernements nous cachent tout cela parce que ça ne serait pas politiquement correct. Je l’ai déjà dit de nombreuses fois.
Je n’aime pas ces élisions
une étude javanaise secrète montre que la bite diminue avec l’age et que les temps agoniques viennent à un certain moment ou la teub a atteint une certaine taille..je n’en dirais pas plus dédé..entre spécialiss expert on se comprend..on pourrait être invité a tf1 pour un paquet de blé pour des révélations fracassantes
Le Boug, c’est toi qui te trouves, comme d’habitude, et sans le soupçonner, en » pole position » de la lourdeur.
je ne serais pas étonné (mais tu es incapable de le sentir, dans les très étroites limites au sein desquelles tu te crois autorisé à juger de tout) que cette phrase, avec les siècles, ne se soit chargée d’un brin d’ironie.
Tu ne le sens pas, la finesse n’est pas pour toi, chacun le sait ici. Bah…Ça n’étonne plus.
En avoir une grosse est une ambition décorative. Tout le travail dont nous disputons provient de servantes jumelles, largement sous-estimées, toujours en retrait, qu’elles soient actives acharnées ou décharnées.
Pourquoi en avoir ? Ou pas ? Là est la question ! Faut-il en avoir ou pas ! Quel problème…
Il est exact qu’au départ l’espèce humaine est noire, pour qu’on la repère mieux sur la neige. Elle a blanchi au fur et à mesure qu’elle a occupé des terrains plus obscurs. C’est scientifiquement prouvé.
On appelle cela en zoologie le phénomène de con-vergence.
La Note donne envie de lire le roman, je vais donc dans une librairie, dès lundi, lire le livre en diagonal. Encore un livre que je préférerais en e-book, mais bon, il faut faire avec ce retard technique…
« chsrais curieux d’entende cette grosse feignasse de zouzou la dessus.. »
Je rêvais, j’ai sursauté.
Content?
Tu m’empêches de répondre à C.P.
« l’espèce humaine est originaire d’Afrique »
Faux. De ces endroits sans projet, sans génie, situés en dehors de toute civilisation élaborée, ne proviennent que des primates acculturés, bien loin des standards helvètes !
J’ai dit à TKT : « Il faut faire un pas de côté, pour apprécier le monde sans modéliser ! »
Il l’a fait. Il est tombé du fil. Comme une merdre…R.I.P.
Riche D.burné, vous vous trompez, les Humains sont d’anciens habitants de Krypton partis en croisière sur la Terre. Vous devriez le savoir, n’avez vous pas 6 doigts à chaque main et à chaque pied ? Depuis Melun et la résidence Porquerolles, vous dirigez une armée d’espions endormis. Qui se reproduisent en mangeant des tomates farcies, des nouilles Lustrucru cuites une heure et demie sans huile et sans sel, mais travaillées à la Vodka en bidon de carton.
TKT dit: 4 octobre 2013 à 17 h 27 min
Thierry et les chaussures, toute une histoire.
Le mocassin Bata à glands n’est pas facile à porter.
Il faut une certaine abnégation.
Thierry l’a.
bouguereau dit: 4 octobre 2013 à 19 h 02 min
Je n’aime pas ces élisions
« une étude javanaise secrète montre… »
Variation (après les godes-ceintures) de l’obsession du braillard microspade…
Les mocassins bataves de Thierry sont fournis, à sa demande, sans glands.
Sont-ils sans glands ? …que nenni…
André dit: 4 octobre 2013 à 19 h 17 min
Thierry et les chaussures, toute une histoire.
Le mocassin Bata à glands n’est pas facile à porter.
Pourtant, si D. voulait s’y essayer, ça lui irait à ravir. Cheveux mi-longs, raie à gauche, pantalons à carreaux et fausses Ray-Ban de soleil. Il faut soi-même être assez ridicule pour être devenu aussi moqueur.
la finesse n’est pas pour toi, chacun le sait ici
..haa tu le reconnais !..je vais te faire un aveux, j’ai une excuse : je ris de ce qui est risible cheuloux..et pourquoi le rire ne nous précéderait il pas ?
TKT et D. se sont unis sacramentalement dans un mariage Taubira, il y a un mois à la mairie.
Louons leur discrétion, qui épargne cadeaux et félicitations hypocrites…
« Quand je parlerais de quelque chose que je ne connais pas ou peu »
TKT
Un futur, un conditionnel ? Nul ne sait.
Une utopie ?
Certainement
Non, le Boug, tu ne ris pas de ce qui est risible, tu juges de ce qui te dépasse.
Je te donnerai de l’andouille, Père Bouguereau…
court, en généalogiste. dit: 4 octobre 2013 à 18 h 36 min
oui, j’ai lu, recommandé par le mari de la libraire Coup de sang du mexicain Enrique Sernan.
Je n’ai pas ri une seule fois. Sa manière corrosive d’écrire/de décrire m’a assommée.
A la fin, poussive, (la fin, pas moi, quoique)j’ai acheté trois maquereaux au marché, en hommage aux trois voix masculines qui parlent dans le livre, les ai oubliés au four et les ai mangés grillés un peu trop.
Ce qu’il m’en reste ?
Rien.
Mais enfin entre lire cela et ne rien lire, il vaut mieux lire.
Ah oui, ce n’est pas un roman du double, mais du triple. D’ailleurs, il n’y a plus de limitation. Cela se nomme l’ubiquité.
Je veux bien pousserle paradoxe parfois assez loin mais Le post de 18h 48 n’est pas de moi.
Bis repetita..
Rose, c’est du Kerangal que vous me parliez?
Bien à vous.
MC
Friday night, bottom line : Canada, épicétou!
(Fin de semaine, résultat des courses : lire « Canada », c’est ce que je retiens. Pas vu de commentaire favorab de paul edel mais je suppose qu’il veut pas voler au secours de la victoire, ce qui est tout à fait honorab – en bon fumiss’, par mi-métisse, j’essaie laborieusement de parler comme goub! Atchao, portez-vous bien!
>Court
non vous parliez en particulier et je parlais en général.
ne connais ni Kérangal ni Tuil, franchement désolée.
Entre ne pas lire et lire, il me semble important de lire.
Il y a de vieilles lunes j’ai rencontré un écrivain qui a dit « on peut commencer par facile et accroître ensuite la difficulté ». Si on ne commence pas par facile on ne pourra jamais accroître la difficulté.
Donc moi j’ai acheté ce livre ci-dessus (du mexicain Enrique Serna) facile pour passer à + difficile, & courageusement je l’ai lu. En entier. Cela ne m’a pas donné de courage pour lire le + difficile que j’ai acheté le même jour, mais je ne renonce pas.
Sacré autoportrait sans concessions, Clopine, en vrai héroïne d’un sombre roman noir, j’achète !
Mieux que le ressassant Giovanni Sant’Angelo, que Passou veut faire publier comme respiration à son propre blog ! A condition d’enlever les blancs et les points de ponctuation, qui sont justement toute sa respiration à lui ?
« Quand je parlerais de quelque chose que je ne connais pas ou peu »
TKT
–
Moi je trouve ça beau, cette tournure. Dommage que ce ne soit dû qu’au pur hasard.
Salut, Jacques ! Heureux de vous revoir parmi nous. Vous m’avez manqué.
Philippe Régniez aussi me manque. Et je ne dis pas ça pour lui faire plaisir. Il m’est réellement sympathique.
Pas autant que Clopine, bien entendu. C’est ma préférée depuis quelques mois. Un cœur en or.
Celle qui racle le fond en ce moment, c’est Bérénice. Son biorythme émotionnel est au plus bas.
D. n’est pas moqueur, la moquerie sans humour n’est que regard sur soi-même. Fazit, ce n’est pas pour rien que D.excrément signe souvent miroir, mon miroir, que je prends pour une fenêtre sur les autres…
@ « Un futur, un conditionnel ? Nul ne sait. »:
« ais » ne saurait marquer le futur.
Encore un commentaire de merDe
Mocassins bataves, vous voulez dire Hollandais ?
Avec des glands en porcelaine de Delft ?
Où se situe la frontière entre la raison et la folie ? La camisole chimique est au bout du chemin, et parfois les électrochocs.
Allons allons, ne soyons pas si pessimiste.
…
…@,…Passoul à 16 h 23 mn,…
…
…mais,…enfin,…j’ai pas l’ombre d’une ambition,…vous pouvez faire ce qui vous plaît,…
…
…le seul,…problème,…c’est qu’un blog,…c’est presque confidentiel,…sur les propos sur le vif relatif des commentateurs,…en plus des sujets des jours proposés et mêler aux événements-d’actualités-passés,…
…çà va être dur à lire,…et des gens vont se reconnaître sans que j’ai penser à eux,…vous imaginez les quiproquos en exergues qui risques de me tomber sur la tête,…avec le décalage du temps dans l’espace,…
…autant ajouter,…la formule,…tout événements ou histoires ressemblant de près ou de loin à mes propos n’est que pure coïncidence,…sinon,…qu’est ce que je vais attraper comme oscar de la rancoeur,…à assumer,…
…
…Bon,…l’écriture,…c’est aussi un commerce,…rien d’autres les vérités ne sont que spasmodiques,…vous pouvez faire comme il vous plait,…
…
…il y en à un au moins supprimé-censuré au temps du Monde,…c’était une merveille,…avec le chien Attila à sucer par Cunégonde,…pour les ambassades du moyen-orient,…à se tenir sur leurs terres de pureté céleste,…enfin,…avec Kron’Ös,…
…etc,…
…évidement çà ouvre un champs d’images dévergondées,…d’images pieuses,…l’imagination des saintes-utopies en l’air,…à N.Y,…City-land,…etc,…
…
…pour moi, vous avez le feu-vert,…je vous en réserve un exemplaire,…etc,…merci,…
…
Giovanni Sant’Angelo dit: 4 octobre 2013 à 23 h 29 min
les vérités ne sont que spasmodiques,…
C’est indéniable absolument… Et voilà pourquoi en plus pour les voir faut les guetter…
…
…Oui,…il peut enlever les blancs et les point de ponctuations,…
…il fait comme il l’entend pour son commerce,…un point c’est tout,…
…s’il en juge, de son utilité propre à son métier,…c’est normal,…etc,…
…
…mais,…il y en a des vertes et des pas mûres,…de mes écrits, c’est presque à l’emporte-pièces,…des ronds-de-cuirs,…etc,…
…
D je ne racle pas le fond je suis en dessous du fond à ressembler à un bivalve savoureux genre Saint Jacques pas encore cryogénisée, ça vous intéresse? C’est vachement bon, je dis ça parce que comme dans cette chanson d’Antoine cannelle vous devinez que j’ai goûté à ma sœur ma voisine sous-marine, c’est quasi incestueux cet amour des fruits de mer.
Ceci dit des nouvelles de Thomas Enhco qui vous livre sans que vous sachiez bien comment ni quand un visa qui efface la frontière du classique au jazz, un sortilège au piano.
C’était donc ça… cette mémoire récalcitrante. je connaissais des travaux de Jean-Pierre Bertin-Maghit. Son travail puissant sur le noir et blanc, cette lumière obscure. Bien sûr il y a un sacré chemin entre les photographies des Fantômes de la BNF et ce balcon sur la mer. Beau décalage. J’ai vu qu’il y en avait aussi dans « Lutetia » mais je l’ai acheté en Poche, donc pas de photos.
Les doubles… vaste question…
Frontières… Qui se tient de l’autre côté de cette grille en fer forgé. Qui reçoit cette ivresse de vent, d’écume, de crachement des eaux furieuses. Je n’évoque pas celui qui a pris la photo mais celui, invisible, qu’il donne à voir et à imaginer.
J’aime cette photo, la toute petite aussi de cet homme malmené par le vent et la pluie. drôle de temps pour une balade…
De la belle ouvrage.
J’ai vu dans le dossier (en lien) des géométries audacieuses (bâtiments… corps…) et des paysages différents, très accrochés à la terre et des arbres en plénitude. Des images mobiles et d’autres filantes comme pour déborder le visible.
Parfois je préfère les photos que le billet car je sens celui qui écrit comme fatigué, obligé. Alors, j’imagine que si ces photos lui plaisent c’est qu’il aurait bien remplacé ses mots par des photos. (d’autant plus qu’ici il y a beaucoup de mots, des traînes de mots, des mots à ne plus savoir qu’en faire.) Les photos c’est reposant, silencieux, têtu. Genre tête de lard qui ne dira rien. Vous n’avez qu’à regarder ! c’est plein de blancs et de points de suspension..; (sourire !) Elles expriment aussi une respiration. Les chemins du regard ouvrent l’espace.
…
…coquilles saint-Jacques au bain-marie,…
…faut voir les entremets,…pour assumer,…
…
…les poissons, les poulpes, tout ce qui est fruits de mer,…c’est pas mon Dada,…
…je suis plutôt,…lait, fromage, chèvre, pastoral, bucolique, épices…Pan dans des bottes,…
…les goûts et les couleurs,…etc,…
…la peinture à la langue,…c’est du cinéma,…of course,…du gang et servage pré-destiné,…un métier au dessus du lot,…etc,…
…
…la photo,…genre » fauve « ,…Matisse, Braque,…et d’autres,…d’époque,…etc,…
…
Cher u., retour du théâtre (« Vers Wanda », souvenirs de Barbara Loden et Elia Kazan). Aucun problème concernant Alain Lipietz : il s’agit simplement d’un peu d’amitié ; et vous-même ajoutiez de l’affection dans votre hommage au très américain-républicain Tom Clancy.
On ne vous a rien demandé, Giovanni.
Cette loi imbécile sur le livre, ce refus des libraires d’évoluer, de comprendre, de s’adapter aux changements, ces pas en arrière qui renchérissent le prix du livre, cette défense d’arrière-garde par des commerçants en déclin … comment voulez vous ne pas ressentir, en cette contrée assommée par les tranquillisants, l’esprit de mort d’un asile de vieillards ?
Le protégé à zouzou récite sa leçon de 08h03 avec sa hargne de vieil aigri frustré
Giovanni Sant’Angelo & Thomas Bernhard ?
Voix démultipliées, échos de ce que les autres ont dit, arrivant comme une déferlante irrépressible dans un monde d’écriture illogique, en apparence. Architecture complexe ressemblant au hasard comme un palet sur une marelle dont on ne sait où il nous guidera.
Tout ça c’est dans votre tête, Christiane, et sans ayahuasca, ce qui est une performance.
Cela-dit je ne voudrais pas vous être désagréable, je déteste cela.
Il se trouve cependant que je ne suis pas du tout de bonne humeur depuis hier. Impossible de vous dire combien de temps cela durera.
La loi dite « anti-Amazon », qui ne supprime qu’UN des avantages du commerce en ligne, est bonne. A court terme peut-être ? Mais comment ne pas regretter la disparition des libraires et des librairies, y compris de elles qui sont spécialisées (je pense encore à « Village Voice ») ?
« celles… »
Pareil ! Je ne suis pas du tout de bonne humeur depuis hier
Les électrochocs se font aujourd’hui sous anesthésie générale. Avant non. Ils étaient efficaces pour traiter la mélancolie, à ce qu’il semblerait.
Cela me paraît être d’une immense violence de soigner les gens par des électrochocs.
Le commerce en ligne cela enrichit monstrueusement des gens qui rachètent des stocks d’invendus et cela oblige des montagnes de gens à bosser dans des entrepôts. Comment peut-on défendre le commerce en ligne ? Cela me dépasse.
Booking.com fait payer 17 € par réservation aux hôteliers ; La Fourchette.com pareil tous les point com c’est du commerce. Je hais le commerce. Et les autres, de fringues et tout, le mec devient milliardaire en revendant des invendus.
Qu’est ce que c’est que ce fonctionnement de m….?
Comment peut-on regretter cela ?
Si une entreprise vend ses propres produits en ligne je ne suis pas choquée. Une compagnie aérienne, la SNCF. Les intermédiaires de manière générale sont des commerciaux qui s’engraissent à ne rien faire.
Je vais aller voir cette loi dès que j’aurai posté ma lettre urgentissime.
« Je hais le commerce. »
« le mec devient milliardaire en revendant des invendus. »
Et vous la mecquesse, vous nous balancez gratos vos pensées insolvables et insoldables?!
Le commerce des biens à toujours été de paire avec le commerce des idées.
« Je hais le commerce. »
Vous n’ êtes pas vous-même d’ un commerce très agréable sur ce blog…
Rose est en tête des Nuls, section troisième âge, avec une avance considérable grâce à son prodigieux bavassage :
« Je hais le commerce. Comment peut-on défendre le commerce en ligne ? Cela me dépasse. »
Une réflexion de toute beauté qui assure son incontestable suprématie !
C.P. dit: 4 octobre 2013 à 16 h 29 min
A « La Grande Librairie », Richard Ford répondant heureusement à côté des questions imbéciles de Busnel…
Parfaitement d’accord. Mais avez-vous déjà entendu cet « animateur » poser des questions vraiment pertinentes à un auteur ? Le degré zéro de la lecture.
« comment ne pas regretter la disparition des libraires et des librairies, »
ceux qui vivent en rase campagne
les minables qui ne respectent que le fric
ceux pour qui gagner un max de blé , toujours plus, est un gage de « modernité »
Mdr 5 octobre 2013 à 10 h 57 min
personne ne trouvait à redire au niveau lamentable d’un bernard p…
Observatoire de la Nullité
fais gaffe jc tu vas te noyer dans ta bave
Je voudrais bien un commentaire de notre hôte sur la loi anti-amazon.
(pourvu que personne ne se goure et ne ponde une loi anti-amazones. Ce n’est pas que ces dernières soient franchement franchement sympathiques « Elles tuent leurs enfants mâles ou les rendent aveugles ou boiteux, pour ensuite les utiliser comme serviteurs. Quant aux femmes, elles coupent leur sein droit pour faciliter le tir à l’arc. Pour assurer la perpétuation de leur civilisation, elles s’unissent une fois par an avec les hommes des peuplades voisines dont elles choisissent les plus beaux. », m’enfin, entre les tchadorisées et les amazones, à choisir ?)
Bon je redeviens sérieuse. La question que je me pose sur la loi anti-amazon, c’est qu’à l’heure où j’écris, je suis bien persuadée que les géants du web ont déjà pondu une contre-attaque, qui sera peut-être plus meurtrière qu’avant.
>observatoire anti nullité commence par poser tes demandes d’emploi en ligne comme poster une lettre en ligne. Cela c’est un service rendu au populo. Le commerce, non.
>ne pas choisir clopine entre les deux, prendre du champ.
Pardon j’ai oublié les virgules cela change mon propos
>Ne pas choisir, Clopine, entre les deux tchador ou amazone. Prendre du champ.
Amazon cela dit bien ce que cela veut dire : razzia, terres brûlées. Pas un livre j’ai acheté chez Amazon. Chez l’éditeur britannique de livres rares oui. Mais Amazon macache.
Et aussi la Fnac et aussi Conforama.
Dinky dit: 5 octobre 2013 à 10 h 13 min
Oui. Et vous quand vous écrivez, ça vient d’où ? de vos pieds ? de vos cheveux ? ou d’ailleurs que de votre tête ? Vous êtes un peu bizarre. Vous faites des remarques invraisemblables qui ont l’apparence de la logique.
Cela ressemble à certain tableau de Magritte « Ceci n’est pas… ». Étrange glissement du réel familier altéré par le dépaysement d’une pensée.
Impayable, cette Rose !
Elle n’achète rien dans les supermarchés, elle en a horreur. Elle roule à vélo, regarde l’heure Lip. Elle se chauffe au charbon. Qui lui est vendu hors de prix par son cher bougnat, elle fabrique son électricité en pédalant sur un vélo. Pas d’électricité nucléaire ! Elle n’appelle pas échange commercial, son travail de pédagogue payé par l’éducation nationale. Elle a horreur du commerce.
Elle fière d’être en retard, la pauvre !
Le commerce des biens a toujours été de pair avec le commerce des idées.
Retournez au CP. Auxilaire avoir. Cherchez d’urgence des cours du soir. Laissez tomber les coquillages, prenez de slivres, oui-oui, Martine à la plage.
La route d ela soie c en’était pas du commerce : c’étaient des échanges commerciaux : rien à voir avec rendre milliardaire un type qui rachète des stocks d’invendus et les revend à profit alors qu’il les a achetés à perte : ça cv’est d ela putasserie. Personne ne nous oblige à participer. Maintenant, faire la route de la soie c’est d’un autre ordre d’idées, certes.
Un diamant de 70 carats contre douze moutons pelés : non.
De la verroterie contre des biens nobles, ou des terres, non.
Un échange déséquilibré où l’un arnaque l’autre et le réduit à la misère non.
>Je laisse la bave de la crapaude.
Échange commercial un travail de pute oui : je ne fais pas un travail de pute.
Eh bé, grave vous êtes, Amazonophile. Autant qu’un pédophile (échange commercial un pédophile ?).
Or, être à ce point là demeuré, c’est la cata.!
Faites un travail de pute, c’est catastrophique.
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