Quand les vies doubles abolissent les frontières
Canada n’est pas le seul roman du double de la rentrée, il s’en faut. Il faut aussi compter avec quelques autres. Siamoises (284 pages, 19 euros, Naïve) est l’un des plus troublants et sans aucun doute le plus accompli du tandem formé par Michel Canesi et Jamil Rahmani. Cette fois, contrairement à leurs précédents romans, ils ne se contentent pas de traiter une bonne histoire : ils s’en donnent les moyens avec une technique irréprochable. Diabolique même eu égard au thème. Une manière bien à eux de refléter l’époque à travers des destins brisés. Essayons d’en dire davantage sans en dire trop. Car un coup de théâtre final (c’est déjà trop de l’annoncer) jette une lumière noire mais éblouissante sur l’ensemble.
Deux sœurs que leur caractère oppose sont soudées autour de l’insupportable disparition de leur père adoré, et contre les harcèlements de leur mère dépressive. Chacune sa voix dans ce roman qui se veut choral par nécessité et non par commodité ou goût du procédé. Arrive le beau-père, attentionné, trop même. Il faut à l’héroïne un voyage au Maroc et un séjour à Alger, pour y préparer les corps d’un industriel français et son fils assassinés, avec la découverte de véritables siamoises pour comprendre que sa tendance schizoïde lui a fait projeter une sœur fictive (tant pis, c’est dit mais comment en parler sans en parler ?). Advient alors le temps du traitement. Mais la soigner, c’est la normaliser en lui ôtant son imaginaire. Anesthésie et thanatopraxie. L’histoire commence dans la nuit et s’achève dans la lumière. Où se situe la frontière entre la raison et la folie ? La camisole chimique est au bout du chemin, et parfois les électrochocs. Même si à la veille de basculer, il y aura toujours une blouse blanche pour se demander si certains dérèglements de l’esprit n’ont pas plutôt partie liée avec l’univers des rêves. Autrement dit : par souci de préservation de l’ordre social, peut-on amputer des êtres de leur imaginaire, de leurs songes et de leurs fantasmes ?
On se prend alors à douter de la norme. Troublé au début de la lecture, le lecteur est dérangé en fin de parcours comme on peut l’être par un récit proprement dérangeant, dans la meilleure acception du terme, la seule qui vaille en littérature : un livre, voire un chapitre, une page, un paragraphe qui vous expliquent ce qui vous arrive mieux que vous ne sauriez le faire. « La frontière aujourd’hui c’est la mer » lit-on quand même les frontières identitaires, auxquelles tant s’accrochent lorsque tout vacille, se brouillent à leur tour. Le membre fantôme au centre d’un autre roman de ces médecins-écrivains a été remplacé cette fois par le gris neuroleptique. Une vraie trouvaille, idéale dans cette forêt de faux-semblants et de vrais indices avant de comprendre que l’une des deux sœurs n’est que le fruit de l’imagination de l’autre. Qui jurerait n’avoir jamais craint de basculer de l’autre côté ? C’est toute la réussite de ce thriller psychologique de nous forcer à affronter la question.
Un autre personnage de double est au centre de L’invention de nos vies (492 pages, 20,50 euros, Grasset) de Karine Tuil, l’un des romans les plus prenants et les mieux ficelés de la rentrée. Mais oui, c’est un art ! Les destins de trois personnages s’y croisent et s’y entremêlent entre Paris, New York et le Pakistan. Une histoire de double usurpation d’identité où l’on voit le (anti)héros Samir Tahar, fils d’immigrés tunisiens, intelligent, séducteur, brillant, devenu un brillant avocat pénaliste grâce à la méritocratie républicaine, se cogne à un plafond de verre. La faute à son prénom. Du moins en est-il persuadé. En le raccourcissant en Sam, il n’éprouve même pas la honte de sacrifier le nom du père par ambition puisqu’il ne s’agit que du prénom.
Engagé au cabinet d’un Maître Lévy qui le prend pour un séfarade, il se dit qu’il n’y aurait pas de mal au fond à le laisser croire. Le culte de la performance compense chez lui la honte des origines. Le voilà lancé sans faire exprès. Un cynique charismatique au sourire de prédateur. Musulman devenu juif sans avoir même à se convertir, il falsifie tout pour parfaire son identité. Il s’invente une autre vie dans le fol et naïf espoir d’échapper au déterminisme. Juste assez pour conquérir sa place. Sauf qu’un tel projet est sans limite. Son ascension commence. Il a mis un doigt dans l’engrenage et s’engouffre non sans volupté dans la machine à réussir. Le voici à New York. Son charme agit sur la fille d’un magnat juif. Il l’épouse et bascule définitivement dans la mystification en empruntant le passé de son plus ancien ami, Samuel, un écrivain laborieux à qui il avait déjà disputé une femme dans leur jeunesse, une Nina à laquelle ils sont restés chacun liés à leur manière. Grisé par ses succès, il ignore les limites et outrepasse les frontières là même où il se croyait illégitime.
Les clichés ne manquent pas mais l’auteur désamorce toute critique en les détournant aussitôt. Elle fait de l’équilibrisme sur un fil tendu entre le mensonge, la tromperie, la trahison. Ce Tahar, dont le sentiment d’insécurité est le carburant, fait fortement penser à Karine Tuil, et au reflet qu’elle a déjà donné de sa propre fragilité dans ses précédents romans. C’est aussi palpitant qu’une bonne série télévisée dont les chapitres seraient autant de saisons. Efficace dans la férocité. Oublions le titre, très tendance. Il aurait fallu interdire « L’invention de… » après L’invention de la solitude de Paul Auster il y a une vingtaine d’années. J’aurais plutôt vu à la place La Consolation. Ceux qui l’ont lu comprendront pourquoi. Ce roman marque probablement l’accomplissement de Karine Tuil. Ce qu’elle a écrit de plus dense, de plus fouillé, de mieux composé. La réflexion sur le déni identitaire est forte, convaincante, nonobstant quelques tics d’écriture, plusieurs mots accolés pour ne pas en choisir un et quelques trucs typographiques énervants qui relèvent de l’affèterie.
Là encore, comme chez Canesi & Rahmani, un festival d’identités insincères, de faux-semblants, d’impostures aux autres et à soi-même, concentrés en un personnage que l’on finit par trouver pathétique, même si on ne sait plus s’il est Samir, Samuel ou Sam. Lui-même le sait-il encore ? Que l’on se rassure, la fin est morale. Il finira par tomber. Tout cela pour dire que nul n’a le pouvoir d’inventer sa vie : il peut juste la rêver avant de passer à côté en la manquant.
(Photos Jean-Pierre Bertin-Maghit)
1 176 Réponses pour Quand les vies doubles abolissent les frontières
Question de montage, Sergio. Depuis – et même avant .. mais bon – depuis les surréalistes, on sait bien qu’avec la réalité la plus prosaïque, des choses du quotidien .. il est possible de produire des oeuvres très étonnantes …. qu’importe le discours éventuel dans lequel cela prend corps.
Enfin, certains font des choses très étonnantes. Pas tout le monde.
TKT dit: 5 octobre 2013 à 16 h 43 min
Toujours disponible chez Amazon, notre best-seller
« TKT ou comment creuser toujours plus profond »
« D., que feriez vous sans wikipédia et les commentaires qui font que vous alliez y chercher des contradictions. »
TKT 16h19
« D., votre manie de tout contredire vous rend encore plus con que nature:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Étienne_de_Vignolles »
TKT 16h43
Cher TKT, « haine » n’a jamais été synonyme de « colère ».
Par ailleurs, tout le monde, enfin tous ceux qui sont allés à l’école primaire, connaît La Hire.
Je trouve que TKT et Daaphnée feraient un beau couple : même rigueur dans l’analyse, même culture, même classe sociale, même subtilité dans l’humour.
Une affaire à suivre.
Perso, la colère je l’écrirais « ire », grand classique des mots croisés. Et La Hire, effectivement ça a goût de madeleine : l’école primaire, Jeanne d’Arc, les vignettes que l’on collait dans nos cahiers d’histoire…
Je crois que TKT confond ire et hire. Comme de prendre la hure pour du museau. Mais ce n’est certes pas bien grave, et ne mérite pas ce concert de sifflets qui est bien une déplaisante musique. Je préfère encore Scarlatti, qu’une Daaphnée qualifiera de « musiquette », très certainement…
… Et ça vaut mieux que d’attraper le Scarlatti.
Bon, d’accord, je sors.
Ma pauvre Clopine, n’allez pas chercher Scarlatti comme vous êtes allée chercher Leiris !
TKT, c’est bien de parler de Vendredi. C’était ma librairie de lycéen, il y a presque trente ans. Je me souviens y avoir acheté La Presqu’île, des Kawabata, les cahiers du Sud consacrés à Caillois, et plein d’autres choses.
Quant à La Hire, il est surtout demeuré fameux pour sa prière à Dieu.
« Dieu, je te prie que fasses aujourd’huy pour La Hire autant que tu vouldrois que La Hire fist pour toy, s’il estoit Dieu et que tu fusses La Hire «
i sol mi fa cantar, dafné mi fa cagar.
Et « ire », bien sur vient du latin: Dies Irae…
es éditions du bichon dit: 5 octobre 2013 à 16 h 51 min
comment creuser toujours plus profond
Faudrait agréger ça à la dernière réplique du film qu’on sait, avec le pistolet chargé… Quand même, dans ces temps-là, quand ils causaient, on comprenait…
Les éditions du bichon dit: 5 octobre 2013 à 16 h 51 min
Encore une nullité qui croit qu’elle a les moyens intellectuels de faire de l’esprit. Et ben non…
Clo-Clo et Thierry sont rabibochés.
Union de la campagne et de la ville.
De la croquante et du petit-bourgeois.
Des sabots et des Bata à glands.
Pas belle la vie.
Chaloux dit: 5 octobre 2013 à 17 h 35 min
Soutien de burnes.
en fait le problème c’est bien les tablettes, toujours un modèle compatible ou non avec le vendeur de formats numériques.
je n’ai pas payé pour ce stage, c’est la sacd qui le propose, il faut être corrects , mais je crois que chez nous qui n’avons pas le prix fixe le conférencier était embarrassé, comme pour la numérisation demandée par le fond des archives épiscopales .. maintenant ils ont un appareil qui fonctionne plus vite qu’une trieuse et scannent tout, le prob c’est qui diffuse. Les droits de propriété intellectuelle sont souvent enfreints. Par ex une bibliothèque de prêt peut tout à fait scanner son fond et virer les bouquins qui lui demandent de l’espace de stockage. La politique d’achat est aussi révisée, si on cherche un livre, on le signale à un autre endroit, il faut réserver. Il y a des entrepôts bourrés d’exemplaires voués à n’être plus jamais lus.
Il ne faut pas être ingrats non plus, mon stage à la mousson ne m’a coûté que 130 euros, tarif social, possibilité de payer en plusieurs fois. On était logés et nourris, stages et spectacles intra-muros une semaine, certes logées entre filles en chambrées de 4 dans un pensionnat en réfection mais bon c’est chouette de pouvoir faire çà !
Il y avait toutes les nationalités, des enseignants, des chercheurs, des étudiantes, tous âges et origines, on a même eu droit à la visite impromptue des étudiants science-po nancy, très coincés et un peu bourges mais çà nous a bien fait rire à la soirée dansante lampions à la buvette avec dydim danan et bertholet ( déguisé en drag queen) bref on a discuté avec des auteurs moldaves, des intervenants du royal court et j’ai même du rassurer la jeune stagiaire de france culture complètement effarée la lecture très ambiguë de la pièce : le principe d’Archimède du barcelonais Josep Maria Miro.
Et des impromptus de rémi de vos, voilà tant de monde je n’étais plus habituée, mais çà m’a donné du punch.
Oh, TKT a bien des défauts, notamment celui de défendre les valeurs de son milieu d’origine, d’aimer le luxe et l’étalement du luxe, de montrer une propension au bavardage et une façon finalement assez enfantine d’enfoncer certains clous. M’enfin, son « arrogance » ne l’empêche pas d’avoir de la curiosité pour autrui, son élitisme n’est pas méprisant, un prolétaire n’est pas pour lui un objet de sarcasmes stupides, même s’il a peur des couteaux tenus entre les dents, et il n’est pas condescendant. Ce qui le démarque, (et suffit à ce que je le considère, car je suis bonne fille), de qui-vous-savez. Et puis il est sincère, et arrive à émouvoir quand il parle de son enfance, assez solitaire au final. Il n’invente pas des enfants imaginaires et des amours idéales.
Je ne sais pas vous, mais pour moi la D me fait penser à cette chanson de Graeme Allwright « tu joues, joues joues… ». Voyons, pourrai-je la retrouver ?
Kangourou dit: 5 octobre 2013 à 17 h 44 min
Chaloux dit: 5 octobre 2013 à 17 h 35 min
Soutien de burnes.
Il continue… Toujours aussi minable…
…Mais il fit ce qu’il pue…Comme dirait Feydeau.
Au fait, avec « Lèche », qu’est ce que ça a donné. Vous avez pu (encore !) vous entendre?
Pas d’accord Clopine! Daaphnée n’a jamais été meilleure que lorsqu’elle a parlé de la chieuse des Andes sans se préoccuper des préjugés des bien-pensants.
Pour le reste, il y du vrai dans ce que vous dites. Mais, étant un homme, je l’aime bien quand même car je sais qu’elle nous aime.
et v’là les deux fouteurs de merde, Daph et Chaloux.
Bon, alors la chanson, la voici :
http://youtu.be/ErTHB7jzu9I
(et c’est curieux comme Graeme Allwiright ressemble au Docteur House là-dessus).
je m’en vais copier coller les paroles, tiens.
Il n’invente pas des enfants imaginaires et des amours idéales.
Votre gosse n’est pas idéal et vos amours non plus?
Mais c’est qu’elle ne se préoccupait pas d’aller contre des préjugés bien-pensants, Gogol. Elle ne se serait pas exprimé ainsi, voyons. Elle aurait dit « je vais peut-être faire du politiquement incorrect, mais… ». Or, elle a tout simplement étalé son mépris, son incompréhension et ses préjugés à elle. Et sa monumentale incapacité à la bienveillance, pour qui ne la flatte pas.
@Clopine.
Et puis Clopine, défendez-vous (vous le faites très bien), mais franchement en appeler à Montaigneàcheval… inutile de ranimer la mémoire de ce foireux qui appelait sa meute à la rescousse dès qu’il se sentait en danger. Un petit Staline de de plus.
Moi aussi je suis allé voir les production Beaubec. Je trouve vos films intéressants, et j’aimerais bien voir en entier celui qui concerne la bergère. Au moins, même si on n’est pas toujours d’accord avec vous, vous faites plein de choses. Je trouve ça tout à fait estimable. Vous êtes vivante.
Voilà les paroles :
Tu joues, joues, joues nuit et jour, jour et nuit
Comme sur une scène tu joues, joues ta vie
Tu joues avec les autres comme des figurants flatteurs
Qui sont tout juste bons pour vous mettre en valeur.
Et si de temps en temps tu veux calmer tes envies
Tu dis : « C’est moi qui mène, c’est moi qui choisis »
Et quand ils ont rempli leur besogne animale
Tu les jettes avec dégoût comme on jetterait son journal.
Quand ils deviennent gênants, quand ils deviennent trop fous
Comme la Reine dans Alice, tu cries : « Tranchez le cou ! »
Mais le grand amour, il faut l’avoir connu
Tu en as trouvé un, mais impossible bien entendu.
Tu l’entretiens à coups d’soupirs, à coups de pleurs
Mais comme tu aimes le drame, tu trouves ton compte dans le malheur
Ça te donne du mystère pour tous ceux qui t’entourent
Et tu peux dire tout haut que tu connais le grand amour.
J’crois qu’je peux prédire même n’étant pas prophète
Qu’un jour ou l’autre, ça va te tomber sur la tête
Le réveil sera pénible, ma chatte, ma jolie
Ce jour-là quand le charme sera parti.
Mais, en attendant, continue c’n’est pas encore trop tard
Tu est belle tu plais toujours même s’il te faut un peu de fard
Vas-y joue, joue, joue, fais pleurer, fais souffrir
Y en aura toujours, pour applaudir
(mais c’est encore trop bien pour elle, et puis ça ne rend pas compte de la manière de se poser systématiquement en rivale, dès qu’une autre fille s’avance, avec comme une urgence à vouloir rabaisser l’autre…)
ça m’énerve, cette histoire de bus andin, parce que tout le monde en parle depuis un bail et j’ai raté l’épisode…
« Elle aurait dit “je vais peut-être faire du politiquement incorrect, mais…” ».
Cela aurait été un politiquement incorrect plutôt hypocrite, ne trouvez-vous pas ?
Bouh bouh bouh qu’elle est malheureuse la clopine!
Et qu’est-ce qu’elle s’emmerde tout’seule sur son blogounet!
Bouh bouh bouh bouh!
ouin ouin ouin!
crin crin!
Passants, plaignez c’t’pôv’fille que y’a pas un rat kiki n’en veut.
En fait, elle me fait penser au personnage joué par Marthe Keller, dans le film « le derrière » !
J’ai souvenance d’une histoire de grimpette en bus de montagne (normal), d’un chauffeur entreprenant et bon à prendre, d’une culbute mémorable et d’une redescente à califourchon sur le cheval de Montaigne, style moitié des quatre frères Aymon Q.
Bref… un truc moite, moite !
Peut-être que cloclo boit. en plus.
L’histoire du bus andin, Chris, elle se mérite! Tu ne crois pas qu’on va te la raconter comme ça!
Peut-être un businessman teneur de fiches comme TKT pourrait-il l’exhumer et la monnayer?
Observateur des bus, tu confonds avec le CAMIONNEUR ARGENTIN de je ne sais plus qui (Capucine,, Bérénice?) Torride en effet, mais ça n’a rien à voir.
Ces jeunes qui croient savoir…
Chaloux dit: 5 octobre 2013 à 18 h 01 min
Tu viens de marquer des points Chaloux, on te savait con mais pas à ce niveau.
quand la brayonne braille,
je baille, je baille
et quand la brayonne baille
je bande plus
je bande plus
chantal vous avez donc un fils à l’étuve et vos étés sont chronophages excusez je résume car je trouve confus votre exposé, que doit on en retenir qui tiendrait dans un kit de survie employé dans une expédition sur la Cordillère des Andes par exemple?
@ M. Court
Vous qui savez tant de choses, ne me répondez pas que vous ne savez pas!
Je suis à la recherche d’un livre que j’ai vu chez une amie de ma famille, aujourd’hui disparue (qui d’ailleurs m’avait légué sa bibliothèque, leg que j’ai dû refuser faute de place, ce que je regrette maintenant).
Ce livre a été écrit vers 1980 par une femme qui était soit la nièce de la première épouse d’Alfred Cortot, soit la jeune sœur de la seconde, ou sa cousine, un membre proche de la famille en tout cas. La couverture était caramel et la dame, née vers 1900, assez smart, genre XVIe ou Senlis ou Nice années 70, portait de grosses lunettes de soleil (il me semble) sur la photo de la quatrième de couverture.
Impossible de me souvenir ni de son nom (est-ce que c’était une Fanny?) ni le titre de ce livre très confidentiel que je n’ai retrouvé dans aucune biblio (et je n’arrive pas à remettre la main sur mon exemplaire du Cortot de Gavoty où sans doute il n’est pas mentionné).
(A propos de Gavoty, sa définition de Gide:
« Jouait tellement mal du piano qu’il a fini par l’enseigner ». Anicroches)
Merci d’avance….
Ah ! l’histoire du bus andin !
Moi, je garde plutôt le souvenir d’un tel fort en gueule, capable tout au plus de tenir une plume, qui en menaçait un autre, non moins fort en gueule (idem pour la plume). Il était question d’un rendez-vous en Haute-Savoie afin de résoudre un contentieux stupide à coups de batte de basebal.
Clopine c’est comme TKT, capable de faire deux trois commentaires lisibles qui laissent les trolls indifférents, mais incapable de supporter ce manque et ne pouvant s’empêcher de repartir en guerre.
Impression de ne pas exister sans doute.
en effet c’est un peu confus, c’est que j’ai tant carburé ( pour bouffer je gère des chantiers de rénovation) plus rien à voir avec l’écriture que çà n’est pas un métier qui rentre dans les cases administratives mais j’ai quand même édité des trucs cette année. Voilà, c’est prévu pour l’an prochain, un feuilleton interactif mais je dois apprendre les ficelles au fur et a mesure.
désolé pour la présentation un peu moche, mazette il y a de plus en plus de rubriques sur le vaisseau d’assouline , je viens de lire le suzanne cohen sur le rôle inversé 🙂
Sergio dit: 5 octobre 2013 à 16 h 05 min
Sergio, c’est pas faux.
En Alabama, y’a des fusées au milieu des champs de coton…
Pour lire « Canada », il me semble qu’un critique y tient une place importante dans le mode narratif:
http://agora.qc.ca/dossiers/John_Ruskin
On dit que Clopine va partir en pélerinage, pour remercier le seigneur de lui avoir fait rencontrer Sainte-Daaphnée.
On dit que ce jour-là, Sainte-Daaphnée apparut et éclaira d’une blanche lumière la vie de clopine.
On dit que depuis, la torche à pédales entre les dents,
à genoux dans la ploutre et les genoux complétement niqués,
clopine cherche,
renifle,
flaire,
qu’ elle guette l’ombre de la Sainte dans la longue nuit internale.
On dit que parfois, quand la nuit tourne noir d’encre, ses voisins entendent son brâme déchirant, célèbre dans toute la brayonnie OUUUUUUUUUUUUHHHHHHOUIIIIIIIIIIIIIIIINNN
OUUUUUUUUUUUUHHHHHHOUIIIIIIIIIIIIIIIINNN
OUUUUUUUUUUUUHHHHHHOUIIIIIIIIIIIIIIIINNN
Prout.
…
…cette histoire de vente en ligne pas chère,…
…
…c’est quoi,…acheté des livres pour les brûlées,…Non,…
…pour les revendre,…ensuite,…et faire monter les prix alors,…bon,…et alors,…
…quoi d’autres,…une diversion pour quoi faire,…
…
…moi, j’achète ce qui me plait d’ancien et de nouveau,…
…le dernier nouveau,… » Outils statistiques pour le management,…une approche par étapes,…édition Pearson France,…2013,…
…les autres nouveaux çà ne regarde que moi,…là,…
…et, mes nouveaux très anciens, çà ne regarde que moi,…aussi,…
…
…j’aime lire ce qui est simple, et pluridimensionnel dans les applications,…
…
…la caricature est aussi une grande science pour moi,…
…comme les convictions politiques enracinées dans l’esprit des profiteurs et prédateurs – comédiens pour nous forgé de la pensée » unique » à deux balles,…près du cochon-net du profit-facile,…
…
…je n’ai , aujourd’hui,…plus rien à acheter,…enfin rarement,…j’ai quatre chambres de livres sans parlé d’autres-choses,…
…chacun,…fait du » au niveau de sa tête « ,…ou est le problème,…
…la disparition de vrais livres cachés dans les bibliothèques – privées,…
…les Familles n’ont qu’a bien se tenir,…et se garder de revendre pour des bouchées de pains des livres – précieux,…
…
…maintenant des gardes-fous de la vente en ligne,…qui peux causer la paupérisation des générations successives,…Oui,…pourquoi pas,…etc,…au suivant,…
…je ne suis pas administrateur social,…et Pan dans mes bottes,…etc,…
…
renato 18h41
Toto se met au niveau de Chaloux.
Fort en gueule mais incapable d’arriver à la cheville de MàC.
Les petits trouducs se croient aptes à rugir le danger passé.
Leurs gémissements les rendent encore plus ridicules.
Sergio,
J’ai vu » Le Majordome », hier. C’était les mêmes champs de coton. Les mêmes…
C’était donc MàC.
Je ne me mets au niveau de personne, j’observe qu’un qui pense résoudre un contentieux stupide à coups de batte de baseball ne peut être que stupide ou inculte ou les deux. À coups de batte de baseball… non, mais…
« Les petits trouducs se croient aptes à rugir le danger passé. »
Vraiment de quoi rire… « le danger passé »…mais quelle est la buse qui nous pond ça?..
Ahahah…
des journées entières dans les arbres dit: 5 octobre 2013 à 19 h 55 min
C’était les mêmes champs de coton. Les mêmes…
Bon. Il faut commencer à réviser « Dixie » ; c’est quand même en étranger, quoi…
heu, y’a beaucoup d’alcoolisés sur ce blog ?
Justement Sergio
Dixiland, c’était pas vraiment en Alabama. C’est ce que je me suis dit.
renato dit: 5 octobre 2013 à 18 h 41 min
« basebal »:
jeu solitaire pratiqué par Toto dans sa soupente pendant les longues soirées d’hiver.
Vous êtes vraiment de plus en plus cons ! (Tiens, je trouve pas d’aute mot…).
Bonne foirée,
heu, y’a beaucoup d’alcoolisés sur ce blog ?
Si on ne compte pas ceux qui rampent sous la table, non.
Bon, j’ai oublié un « l », et alors ?
Et toit tu joue à quoi, à touche-pipi ?
renato dit: 5 octobre 2013 à 18 h 41 min
Et moi je me souviens d’un noeud-noeud qui s’est fait virer par Paul Edel…
On a tous de réjouissants souvenirs.
Tout le monde s’amuse…
Y’a que Cricri qui reste pendue au col à rouler de Popol.
Chantal, au moins un aperçu du sujet du livre? Cortot? La musique et les salons de cette période?
Des recherches peuvent etre menées à partir du travail généalogique de mon compatriote Alain Le Garric. Voir Généanet, essai de généalogie d’Alfred Cortot.
Peut etre la référence de ce livre fantome ressortira-t-elle dans le travail de Myriam Chimenes sur la musique des années sombres.
A cette époque, après 1980, ont été publiés beaucoup de textes dont une biographie de Germaine Lubin, et une ou deux études sur les Salons Musicaux.
Je vais voir, mais en l’ignorance du contenu, je ne garantis rien.
PS
Il a bien existé une nièce de Cortot professeur à l’Ecole Normale de Musique, mais son nom n’apparait pas…
Bien à vous
Pour ceux qui auraient oublié « le bus andin »
« JC, alors je vous livre un souvenir qui n’a qu’une valeur anecdotique …. mais qui est, néanmoins et malheureusement, un élément d’explication:
Trajet en bus, petite route en altitude des Andes, de ces bus et trajets où le chauffeur se signe avant de lancer la machine pétaradante sur les seuls deux rails creusés dans la route par les véhicules précédents …. pourvu qu’il n’y ait rien à croiser … on ne s’arrêtera pas non plus …. subitement une odeur infecte envahie l’autobus ….. ce sont les femmes indiennes, pressées de faire leurs besoins, qui, dans l’allée centrale .. se soulagent en urinant et déféquant, debout, jambes écartées et toutes à leur aise …
Bon! ………. Heureusement, le paysage était grandiose à admirer …
Rédigé par : aa | le 15 juillet 2008 à 12:55 | | Alerter | »
« Virer » ce n’est pas le bon mot, mais si vous en aimez le son, je ne serai pas celui qui voudra vous en priver.
Franchement, mieux vaut les gratte-ciel aseptisés de Dubai comme avec TKT que le terrible bus andin qui fait peur mon Dieu mais pourtant comme c’est curieux personne n’en est jamais mort et je suis pourtant le dix-millionième touriste à le prendre ô quel grand aventurier suis-je.
mieux vaud. Pardon.
Un seul être vous manque dit: 5 octobre 2013 à 18 h 46 min
Clopine c’est comme TKT, capable de faire deux trois commentaires lisibles qui laissent les trolls indifférents,
Non, ça ne me laisse pas si indifférent que ça, n’exagérons rien.
Les femmes indiennes dans les Andes par contre c’est rare. Autant que les andines en Inde.
je ne prends bien que mes plaisanteries
Jules Renard (mort à 46 ans :
« on a beau f
« on a beau faire jusqu’à un certain âge -et je ne sais pas lequel-on n’éprouve aucun plaisir à causer avec une femme qui ne pourrait pas être ue maîtresse » Jules Renard de l’Académie Goncourt
mort à 46 ans
@M. Court
La question, M. Court, c’était moi.
Souvenirs d’une dame de la famille -par alliance, il me semble-, parus je ne sais où (le livre ressemblait aux couvertures de cet éditeur assassiné, Gérard… ). La dame avait connu Cortot intimement et en parlait. Mais surement de toute sa vie aussi. Paru entre 1979 et 1981.
Quelle bêtise de refuser les legs !!!
la mer en grande artiste tue pour tuer , et rejette aux rochers ses débris, avec dédain.
Jule-aec un S- Renard
rappel Umberto saba n’a de cesse de préciser qu’il alla ches un psychanlyste à 46 ans et considérait qu’il lui devait d’avoir survécu, et que Freud était un génie .
je dois à Saba d’imaginer distinguer entre ent « littéraire »
chez
distinguer entre littéraire et poétique
Ce texte de Daaphnée était bien troussé, et elle n’a sans doute rien inventé, pourquoi ce faux-procès, alors que l’on pourrait lui reprocher bien d’autres choses ?
A bas la pensée inique !
Qui jurerait n’avoir jamais craint de basculer de l’autre côté ?
est-ce un aveu ?
Décidément, le samedi semble fait pour s’envoyer des pains.
È sabato…
È sabato, è sabato.
Le nove e mezzo di sera, niente di anormale
ceniamo agli stessi posti eppure c’è qualcosa
si sente, prova a guardarla, c’è un’aria strana
non facciamo l’amore da una settimana.
È sabato, è sabato.
Domani niente lavoro, forse andiamo al mare…
Je me demande si le charme et l’ironie de Giorgio Gaber sont perceptibles aujourd’hui.
Qui jurerait n’avoir jamais craint de basculer de l’autre côté ?
beaucoup de gens , je suppose , et même certains psys parmi ceux là , peu encin à reconnaître qu’ils ont une responsabilité dans le fait que des gens de leur entourage « dépriment » ou « disjonctent »
J’ai vu le texte diabolique et suis tombé en arrière.
C’était ça, l’objet du crime!
Bon, je suis encore un petit nouveau, on dirait…
(Tenez bon, Daaphnée!)
Jacques a aussi noté le caractère démesuré de cette histoire.
E passato…
Buona sera
Ah, souvenirs, souvenirs!
Le blog était nimbé d’un brouillard surnaturel, Màc avançait la machette à la ceinture, suivi de près par ML qui portait les jumelles; quand soudain, de la plus haute branche d’un arbre, une liane est venue leur fouetter le visage.
C’était – … – en tenue d’Eve. Oui .
Et alors ?
Alors, Tarzan surgit d’un fourré ….
Une ou deux vieilles guenons en perdirent leur dentier.
S’appelle-t-il renato ?
u. dit: 5 octobre 2013 à 21 h 47 min
Décidément, le samedi semble fait pour s’envoyer des pains.
–
C’est exact. Le samedi est le jour de Saturne, et également celui de Satan. Le métal associé est le plomb, qui est le plus vil.
On considère que le samedi cesse non pas à minuit mais à l’aube du dimanche. Le dimanche est donc un jour nettement plus court que les autres, puisqu’il cesse à la tombée de la nuit. Par contre il est très dense.
Chaque fois que cette histoire de bus andin a refait surface, je me suis demandé comment auraient réagi les trolls s’il leur arrivait d’être de ce même événement dans le Métro parisien — sans même un beau paysage pour les distraire.
A noter que les sorcières vont au Sabbat le samedi, à noter aussi qu’il ne faut rien entreprendre le samedi. Les enfants conçus la nuit du vendredi au samedi sont généralement de futur suppôts du Prince des démons, sans qu’ils s’en rendent trop compte d’ailleurs. Ces enfants sont ceux qui résistent le plus au prêtre lors du baptême, c’est toujours curieux à observer.
peu enclins
Ah ! u., si passa la sera bevendo barbera…
Jacques, je suis comme vous, je trouve que le récit de Daaphnée n’a rien d’incroyable. Il fallait être un fat comme Montaigne, lui aussi prof de collège (quelle engeance!), pour déclarer que c’était impossible, et n’être jamais sorti de sa banlieue. Il fallait bien que ledit, autre petit Père Ubu de ces lieux, assure son hégémonie par tous moyens. Il ne pensait à rien d’autre. Et c’est vrai que c’est bien troussé tout comme le 21 h 54 min- qui fait penser à Bardot entrant en dansant à moitié nue.
La passion aveugle u.
Jamais nous n’oublierons les corps dévorés par l’ogresse.
Les mânes de jibé en frémissent encore.
d’être TEMOINS de ce même événement… pardon…
« comment auraient réagi les trolls »
renato
Mais quels trolls renato ?
Tu vagissais encore dans ton atelier, loin de ce monde.
Tu y connais quoi du bus ?
« Et c’est vrai que c’est bien troussé tout comme le 21 h 54 min »
Chaloux
Ne rêvez pas Chaloux, aucune chance.
Votre science de la Lèche ne pourra rien pour vous, même pour aa vous êtes trop con.
« Il fallait être un fat comme Montaigne, lui aussi prof de collège (quelle engeance!)…………………jamais sorti de sa banlieue »
Chaloux
On te croyait burne Chaloux mais c’était trop d’honneurs tu n’es que larve et comme dirait TKT sûrement vierge de partout.
Heureusement unique représentant d’un monde sans vie.
@ 22 h 09 min,
pour incroyable que cela puisse vous paraître, je fréquente les lieux depuis six ou sept années (déjà !), et puisque, l’artériosclérose aidant, cette histoire refait régulièrement surface…
double peut-être mais la symétrie de l’ornement de la balustrade de la première photo n’est pas tot
totale
La peste soit dans vos deux maisons !
renato dit: 5 octobre 2013 à 22 h 27 min
Ne te vantes pas renato, tout le monde (enfin plusieurs) t’a vu arriver tremblant et inquiet.
Bien après.
-Qu’estce qu’il fait donc, Jules ?
-IL travaille
-Oui, il travaille.A quoi , donc?
Je vous l’ai dit: à son livre
-Faut donc si longtemps que ça pour copier un livre?
-il ne le copie pas : il l’invente.
-Il l’invente! alors c’est donc pas vrai, ce qu’on met dans les livres?
Jules Renanrd
C’est simple à vérifier, TKT a bien une fiche.
Vous pouvez chercher Thierry ?
e lire pour le croire dit: 5 octobre 2013 à 22 h 25 min
Si Chaloux te répondait, je crois bien qu’il te répondrait qu’il t’emmerde joyeusement.
« … n’est pas totale »
Cela n’a pas d’importance. Il est plus gênant qu’elle ne soit pas tout à fait droite et qu’il y ait un cheveu de distorsion en barillet.
Inutile de demander un contrôle, 22 h 40 min, mes premiers posts sont de 2008.
Le lire pour le croire dit: 5 octobre 2013 à 22 h 25 min
Quelqu’un a dû faire tourner un table.
Mânes du conseil de classe des 4e B, année 1981-1982.
Le collège est une institution qui rend cinglé.
Pour cette raison que je n’y suis resté que quatre ans….
Remets-toi, vieille baderne.
Et vous auriez raison, Chaloux.
Au gros sur son grabat dit: 5 octobre 2013 à 22 h 42 min
Mais non tu n’es pas gros Chaloux, légèrement obèse c’est tout.
132 Kg à 47 ans par les temps qui courent c’est peu.
Sûr que pour madame c’est beaucoup, mais que faire ?
U., de certaines qui tartinent les murs de ce blog, on ne ferait pas même un très mauvais roman …
sur la carte des maladies chroniques de l’obs, que j’ai survolée plus que lue, rein sur la dépression et les folies ! bizarre : seraient elles concentrées maintenant dans la république des livres ?
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 22 h 50 min
Et vous auriez raison, Chaloux.
Pour le voyage ou pour le reste? Ne me troublez pas, Daaphnée, quelqu’une est assise près de moi qui lit…un ouvrage de théologie…
Les insultes volent bas. Comme ces gens doivent être seuls… Seul et prof de collège… Mais n’est-ce pas un pléonasme?
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 22 h 50 min
Et vous auriez raison, Chaloux.
Auriez ?
Un doute subsiste-t-il dans l’esprit de la teigne ?
Même un esprit malade peut avoir quelques lueurs d’intelligence.
Vous, terne sans espoir, vous n’avez toujours pas appris à lire.
A votre âge, même avancé, il est encore temps d’y renoncer définitivement !
Mais si .
Daaphnée, je crois que le cafard chevelu et surgonflé de la rue Ramey hante Céans.
Pour un voyage et pour ce « répondrait qu’il t’emmerde joyeusement. », Chaloux .
Quant aux emportements, tant qu’on y perçoit, malgré tout, plus de joie à vivre que d’aigreur vissée à l’estomac..
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 23 h 03 min
La teigne se la joue petit bras.
L’âge commence à faire son effet.
Les changements de pseudo, Chaloux, en dehors des plaisanteries dont on s’amuse, ne m’ont jamais paru bon signe, pour l’état mental de ceux qui s’y abîment ..
Chaloux dit: 5 octobre 2013 à 23 h 07 min
Daaphnée, je crois que le cafard chevelu et surgonflé de la rue Ramey hante Céans.
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 23 h 03 min
Vous, terne sans espoir, vous n’avez toujours pas appris à lire.
Comme elle le connait bien.
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 23 h 18 min
Les changements de pseudo…….ne m’ont jamais paru bon signe, pour l’état mental de ceux qui s’y abîment
Remarquez, Chaloux, il faut bien reconnaître que certains sont d’une constance dans le jet de fientes aigrelettes, qui laisse pantois .
Nés dedans, probablement.
Daaphnée, l’aigreur me fait fuir, le vieillissement m’intéresse, ma curiosité et mon intérêt pour les choses sont intactes, et j’attends le piano que je viens de m’offrir avec l’impatience d’un petit enfant. Je ne me sens pas guetté…
Vous allez vous régaler, Chaloux . J’en attends tout autant d’une (plus) petite chose qui devrait arriver aussi ..
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 23 h 23 min
D’autant que le niveau qui n’est déjà pas fameux en temps normal baisse avec cet usage.
Imaginez la tronche du pauvre type qui nous poursuit ce soir. Et sa vie…On peut s’interroger en effet sur la nature du liquide amniotique dans lequel il a baigné…
Le problème de cette grosse bête, c’est l’encombrement. On patauge dans les piles de bouquins pour le laisser passer et lui faire de la place. Les plantureuses bibliothèques ont des phases abominables….Il faut aussi lui fabriquer des patins … lui acheter une grosse couverture pour le protéger du chat qui ne manquera pas d’y élire domicile, renouveler le stock de partitions inconnues, mettre au frais une bonne bouteille de Champagne pour fêter son arrivée etc… Harassant mais amusant.
Beau duo.
Shirley et Dino, tout dans la coiffure rien dessous.
.. mmm … c’est peut-être bien l’une de nos bécassines. Mais bon, no life is no life et on aurait beau donner dans l’élévation d’une métaphysique shakespearienne …
Aut
Autant en emporte la nuit ..
Bonne soirée
Lettre à Daaphnée de Ludwig von Chaloux.
Les élèves des conservatoires vont enfin pouvoir rigoler.
Bonne nuit à vous.
On dit « les élève DU conservatoire » parce qu’on fait LE conservatoire. Cette buse devrait s’aller faire dégrossir ..
On en a fini avec elle avant même d’avoir commencé! Quel ennui.
J’écoute Mozart .. oui, bonne nuit ..
Vous savez, Daaphnée, Mozart il ne faut pas en abuser. Il s’agit tout de même, ne l’oublions pas, d’un petit surdoué qui a trop souvent privilégié la mathématique par rapport à l’émotion. A cinq ans il analysait froidement ce qu’il entendait au lieu de s’en émouvoir suffisamment, et ce comportement l’a suivi toute sa vie. En plus de ça, il était prétentieux et se croyait drôle. La ressemblance avec JC et Chaloux est flagrante par certains aspects mais évidemment pas sur la totalité, Mozart ayant été un génie.
A cinq ans il analysait froidement ce qu’il entendait au lieu de s’en émouvoir suffisamment
Dédé y était.
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 23 h 53 min
On dit « les élève DU conservatoire » parce qu’on fait LE conservatoire. Cette buse devrait s’aller faire dégrossir
Mais qu’elle est stupide.
Ayant fait celui de sa rue pendant six mois, elle a toujours cru qu’il n’en existait qu’un.
Pas comme les élèves qui eux sont uniques se souvient-elle :
« les élève DU conservatoire »,
Moi, Ma rue et mon ocarina,
tout Daaphnée.
Mozart ayant été un génie
Dédé se prend pour un génie.
« LE » pour le plus prestigieux, hé patate!
Dédé y était.
–
Je suis effectivement capable de voir dans le passé comme dans le futur. Je possède des pouvoirs que vous n’avez pas et je n’en use qu’à bon escient par déontologie et morale élémentaire.
…
…une des limites de penser à prendre les gens pour des » cons « , dans les altermoiements profonds d’auto-satisfactions en partage de la pensée » unique « ,…
…c’est s’arrêter dans l’émotion et la mystification une fois » l’argent récolter » par le spectacle donné aux badauds,…
…comme un spectacle-politique du voleur-voler,…ou en laisser une mode,…par ex; les cheveux-longs, la mini-jupe,…et en sortir de la raison comportementale et du rand social,…
…la pensée » unique « ,…faire des cons malgré-eux,…les poches-vides et laissées ridicules sur les trottoirs encore chauds des rires et amuses-gueules,…
…pure invention le charme,…de la l’€urope – moisie,…animée de comédiens et télé-rituelle de sports et cinéma’s,…
…une technologie au service du lucre d’abrutis lettrés de concerts,…etc,…
…une autre,…c’est déjà limite,…etc,…
…
…Dinky,…on vous à rien demandé Giovanni,…y a 24 heures,…
…de quoi je me mêle intéllo’s à la gomme,!…réponse,!…
…etc,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…etc,…
…
C’est bien de finir les sinistres journées de la RDL par des choses vraiment drôles.
Ludwig von Chaloux va se coucher en riant…et vous salue bien bas…
LE conservatoire, c’est celui de Paris.
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 23 h 18 min
Les changements de pseudo, Chaloux, en dehors des plaisanteries dont on s’amuse, ne m’ont jamais paru bon signe, pour l’état mental de ceux qui s’y abîment ..
–
On ne vous a rien demandé, Jean.
…
…merci,…D,…de nous faire perdre notre temps,…
…à propos vous êtes payer combien,…par les intelligences extra-terrestres,…Oui,…
…Raspoutine,…ne vous est pas monté à la tête,…
…Oui ,…c’est Dur,…tous ces rôles à l’emporte-pièce,…et Paris en bouteille,…enfin,…juste une maquette de n’importe-quoi,…pourvu que çà sonne monnay-monnay badaud’s trébuchants,…de concert-politic-shoow-Ah,…etc,…
…et M,…il prend son pied,…dans l’étrier,…etc,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…etc,…
…comme je vous comprend,…s’en en perdre ma raison,…etc,…bonne nuit,…
…
Le passage du samedi au dimanche correspond à la résurrection. Le métal du Dimanche est évidemment l’or. La phase ultime transmutatoire doit s’opérer dans la nuit du samedi au dimanche.
J’en dis beaucoup trop et je n’irai pas plus loin car je risque ma vie en révélant certaines choses que vous étiez sensés trouver tout seuls.
Ce que vous n’êtes pas près de maîtriser, c’est la synchronisation temporelle de votre Grand Œuvre. Autrement dit avoir l’Argent un lundi, le fer un mardi, le mercure un mercredi, l’étain un jeudi, le cuivre un vendredi.
Chanloux-Chatal
Si c’est sur Cortot, possible que Myriam Chimenes le cite dans son étude sur Cortot durant la guerre , paru dans un collectif aux éditions Complexe.La Musique sous Vichy, je crois. Je l’ai mais pas ici…
Autrement, il y a toujours la ressource sur Cortot de Gavoty.
C’est vrai, quelle betise de refuser les legs!Mais la place est limitée…
Bien à vous.
MC
Albert Samu dit: 5 octobre 2013 à 22 h 33 min
La peste soit dans vos deux maisons !
Hihihi…
« La paix soit dans vos deux maisons. »
Voyons le monde comme Amos Oz.
Chacun de vous est très important et pourtant vous n’avez pas idée à quel point votre savoir est ridiculement faible -ou plus exactement à côté. A côté de choses aussi gigantesques qu’étonnantes. Et moi je suis dedans tout naturellement parce que cela m’a été donné.
Je pense que je vais quitter cet espace de commentaires pour un très long temps parce que j’y sens ce soir des ondes profondément hostiles. Ce sera mes derniers mots.
Si cette agression se passe dans la nuit de samedi à dimanche, ce n’est d’ailleurs pas un hasard, c’est l’œuvre du démon qui se déchaine.
En ce moment-même à travers le monde, des millions de jeunes se trémoussent dans des boites de nuit sur des rythmes sataniques, consommant alcool et drogue, et souvent dans le seul but de satisfaire un instinct sexuel.
Vous me direz sans doute qu’un tel comportement est d’inspiration divine ? J’en ai assez dit, j’ai dit que c’était mon dernier mot et ça le sera.
…
…le » génie » de Mozart,…
…
…d’après une rumeur,…il semble qu’il a été victime d’ingurgité justement du » mercure « ,…par ses parents,…pour atteindre le » génie « ,…pour nous,…et les souffrances pour lui,…
…souvenirs d’une émission » télé « ,…
…maintenant, discerner le vrai du faux,…de par, le commercial » Shoow-Ah,…Ah – GoGo,…sonnantes et trébuchantes,…Allez-savoir,…
…un monde de victimes et de persécuteurs pour de l’argent,…bêtement,…un plus de pouvoir d’achat,…sans plus,…etc,…
…
…
…qu’est ce qu’on ferait pas pour vous avoir toujours auprès de nous,…mon cher,…D,….
…nous en somme comme vous des saltimbanques de l’esprit,…dans l’existence,…et , puis après,…etc,…
…
Bonjour !
Bon dimanche….!
@ Daniel Dourakine alias D.burné dit: 6 octobre 2013 à 1 h 03 « En ce moment-même à travers le monde, des millions de jeunes se trémoussent dans des boites de nuit sur des rythmes sataniques, consommant alcool et drogue, et souvent dans le seul but de satisfaire un instinct sexuel. »:
Vous oubliez, les décalages horaires et quant à l’instinct sexuel, si le votre était assumé, vous ne seriez pas ce que vous êtes, un pauvre pervers narcissique complexé par manque de dégagement de vos fluides dont vos burnes pourraient être la source. Rien de pire que la sexualité refoulé et une enfance abusée qui en est la cause.
Passou,
Revenant d’un voyage en pays lointain, je vous livre une réflexion particulièrement idiote d’un de vos plus fidèles admirateurs, votre serviteur.
Nous faisons fausse route avec notre vision étroite de l’amour et de l’Europe chrétienne. Les bienfaits de la polygamie sont immenses ! il nous faut y passer ! Foin des troubadours à l’amour singulier…. Adaptons-nous à un monde nouveau, faisons un pas en avant…
Je suis conquis par ce que j’ai vu : des jeunes filles bachées non-scolarisées, qui feront des épouses spécialisées -couscous/fellation, choucroute/sodomie, daube/enconnage, dispute littéraire/ frigidité- toutes contribuant au bonheur d’hommes épanouis, pouvant se consacrer à la politique au sens de Platon. En plus viril. Explosif, pour tout dire.
Que penseriez-vous de mettre ici les choses en marche vers le progrès, en rebaptisant la RdL : REPUBLIQUE ISLAMIQUE DES LIVRES ?
Bien à vous !
Bonjour JC! Te voilà de retour?
Choucroute au mouton, bien sûr…
Sergio,
A propos de Dixie, j’ai lu et gardé cela, de la ligne Mason et Dixon:
http://media.us.macmillan.com/readersguides/9780312423209RG.pdf
Que diriez vous de choucroute de la mer sans langouste, homard ou crevette ?
JC est de retour, bof, il était présent.
Voyage lointain ? D. a passé une partie de la nuit sur Krypton et compte aller découvrir Neuilly-sur-Seine et Le Vésinet.
Je n’aime pas ces petites banlieues bourgeoises, ni le 16ème qui globalement est froid, triste, et sans Histoire.
Mon arrondissement préféré est le 7ème, parce qu’on y trouve le plus grand nombre de couvents, de ministère, d’hôtels littéraires et de places de stationnement pour ma Giuletta 1750 TBI que beaucoup de jeunes petites fonctionnaires regardent avec un intérêt non dissimulé.
Par ailleurs je n’ai rien à voir avec ce Dourakine sorti tout droit de chez Sophie, femme qui par ailleurs souffrit de son mari volage, peu de gens le savent.
D’ailleurs si vous voyez une Giuletta bleu metallisé 1750 TBI dans le 7ème, sachez qu’il y a 98 % de chances que je sois à deux pas. Si jamais vous aviez envie de me saluer.
Je ne sais pas pourquoi le correcteur d’orthographe souligne Giuletta et me propose « Gaulette » à la place. Ça devient pénible au bout d’un moment.
« Gaulette »
ce n’était pas le surnom du Général dans les chambrées…?
« Je suis conquis par ce que j’ai vu : des jeunes filles bachées non-scolarisées, qui feront des épouses spécialisées -couscous/fellation, choucroute/sodomie, daube/enconnage, dispute littéraire/ frigidité- toutes contribuant au bonheur d’hommes épanouis, pouvant se consacrer à la politique au sens de Platon. »
Ça fait rêver.
Le problème d’une société polygamique, c’est les jeunes non-mariés.
La bonne solution est naturellement la guerre de prédication, qui permet non seulement de canaliser ces énergies mais d’accumuler des biens (richesses et femmes).
L’embêtant, c’est que ça suppose la persistance d’un environnement de mécréance, alors que le but suprême est l’émirat universel.
Quand la mécréance disparaît, retourne-t-on les forces contre soi?
Est-ce l’auto-dévorement qui commence?
Je crois à votre modèle, JC, si l’on recherche une croissance seulement cyclique.
J’aurais plus de problème avec le développement durable.
— Je note que plus d’une femme liront votre dernière option, dispute littéraire/ frigidité, avec une certaine suspicion.
Je note aussi que France Culture vient parfois au secours des malheureux délaissés.
La philosophie/ branlette, vous connaissez?
« Père, vous qui jouissez des plaisirs de ce monde, comment pouvez-vous m’envoyer si jeune au combat?
– Tu baiseras là-haut. »
« La philosophie/ branlette, vous connaissez ? »
J’ai toujours privilégié l’exercice physique naturel …
« J’aurais plus de problème avec le développement durable. »
Voilà une bien belle façon de nommer le priapisme…
(Passou, je suis désolé de vous dire que si vous souhaitez redonner du lustre à votre blog prestigieux, il va falloir virer certain(e)s suivant la Méthode VopoPaul -résultats garantis)
TKT dit: 6 octobre 2013 à 8 h 24 min
Chaloux le soir, TKT le matin.
Les créneaux horaires sont répartis.
Les burnes sont satisfaites.
Daaphnée est heureuse.
>Revenant d’un voyage en pays lointain
Sainte Anne ?
u.
Les jeunes non-mariés, particulièrement les mâles, s’arrangent entre eux et/ou sont envoyés se couvrir de gloire dans les terres lointaines… Pour les filles, les solutions ne manquent pas.
C.P, dans l’introduction qu’il donne au livre de Slater, « Light Years », Ford en fait des tonnes sur l’écriture poétique du romancier — il lui accorde le label « Randal Jarrel » en appuyant son tampon très fort sur le cachet de cire garant que « l’art décrivant le tragique le plus épouvantable de la vie ne doit pas perdre de vue qu’il lui faut aussi donner du plaisir au lecteur. » Il cite ensuite des exemples, magnifiques, comme : « the huge open-mouth wind », « that sofa in the snow », et remarque dans la foulée que le plaisir que donnent ces mots, ces phrases, ces rythmes (c’est toujours lui qui parle) appartiennent exclusivement au domaine de la littérature. Là, comment ne pas être d’accord ? Même si c’est un peu prendre la partie pour le tout en ce qui concerne James Slater, ces romans articulent peut-être d’autres enjeux que les poèmes de Robert Frost, ceux des gars de la Beat, etc., un style d’écriture qu’on pourrait tracer jusqu’à le faire remonter loin, l’apercevoir remuer intact en suspension dans la poussière de la piste de Lewis and Clark, peut-être… J’ai du plaisir à lire Salter, j’aime simplement (un peu) lire Ford. Un homme comme Tom Wolfe me semble s’engager et se livrer beaucoup plus dans la question de montrer ce dont est capable le pouvoir de création littéraire (il sait contourner les chemins de l’esbroufe buissonnière lorsqu’il donne toute liberté à la forge de la composition de ses dialogues, une science plus qu’un art chez lui.) Mais tout cela n’a pas d’importance, ce n’est que ce que je ressens après tout (ici la fameuse « Loi de C.P » s’applique à plein, votre « ce n’est pas grave », dont nous sommes plusieurs à nous régaler sur le blog lorsqu’on la voit surgir, sauve la mise de pas mal de monde.) Tard dans la nuit de vendredi je regardais un épisode de la série « True Blood », dans une scène on pouvait voir Sookie (l’héroïne) allongée nue sur un sofa avec son amant dehors, dans un jardin, sous la neige (en plein été.) Hmm, attention Richard Ford le domaine sériel semble devoir talonner votre cher domaine littéraire. Les frontières seraient-elles poreuses ? On ne respecte plus rien…
Daaphnée, le record du trollisme en dessous de la ceinture, vulgaire et scatologique, vous appartient sans conteste. Pour l’invective gratuite, vous avez été rejointe par Chaloux et TKT.
Vous êtes la copine d’u., grand bien lui fasse. Nous, les autres, tout ce qu’on vous demande, c’est de cesser de pourrir ce blog. Les trolls, il en faut, c’est bien, mais uniquement s’ils sont un peu drôles. Avec vous, Chaloux et TKT, on touche le fond. C’est très pénible.
Je n’y reviendrai pas, parce que j’en ai marre de ces échanges parasitaires, mais il fallait le dire.
Quand la mécréance disparaît, retourne-t-on les forces contre soi?
Est-ce l’auto-dévorement qui commence?
le mieux c’est aprés yavé concerver la reconnaissance de la descendance par la filiation..faire de tous les autres peuples des réserves à putes et esclaves..pas d’éxogamie..si on commence petit, le temps de tout consommer à la morlock ça peut durer la nuits des temps
« son amant dehors, dans un jardin, sous la neige (en plein été.) »
Je ne vois pas ce que ça a d’étrange.
il n’y a plus de pays lointain, de nos jours.
Je n’y reviendrai pas, parce que j’en ai marre de ces échanges parasitaires, mais il fallait le dire.
le troll qui ne sait pas écrire.
D.bile JC alias AM-PM Hurkhurkhurk c’est aujourd’hui, dimanche. Vous devriez être à la messe. Vous avez oublié, votre dictionnaire Français-Latin ?
arnold dit: 6 octobre 2013 à 11 h 34 min
Le pôle de psychiatrie générale sud du centre hospitalier Henri Guérin de Pierrefeu-du-Var est à la fois près et loin.
de quoi passoul va-t-il bien causer dans son prochain billet ? Ca urge… celui-là commence à être assez usagé, et on frôle 998 étrons sur le paquet des 1000 attendus…
Annette, soyez moins généreuse, concentrez vous sur le salut de votre âme.
Daaphnée dit: 5 octobre 2013 à 23 h 23 min
il faut bien reconnaître que certains sont d’une constance dans le jet de fientes aigrelettes, qui laisse pantois .
Nés dedans, probablement.
on frôle 998 étrons
dont 500 par toi raclure de keupu
J’eusse tant aimé être keupu ! Las, je ne suis que son vernis.
Jc -qui revient de loin- sort de la lecture d’ Hexagone, le nouvel opus de Lorànt Deutsch (éd. Michel Lafon). P 224 : « Coran dans une main, cimeterre dans l’autre, ils ont envahi Narbonne et sa région, massacrant les défenseurs de la ville, envoyant femmes et enfants en esclavage, offrant terres et habitations à des milliers de familles musulmanes venues d’Afrique du Nord ».
ma mère..j’ai raclé bouguereau autan que je pouvait..il m’en as pas rester grand’chose..jvais essayé le lavment a l’huile chaude..
« ici la fameuse « Loi de C.P » s’applique à plein, votre « ce n’est pas grave », dont nous sommes plusieurs à nous régaler sur le blog lorsqu’on la voit surgir, sauve la mise de pas mal de monde. »
Surtout quand on l’écrit avec un sourire, alec.
(Mais vous le savez déjà)
–Ce n’est qu’un signe d’amitié, cher CP!
» « Coran dans une main, cimeterre dans l’autre, ils ont envahi Narbonne »
Ce cliché ne tient pas debout.
Il est irrespectueux de tenir le Coran de la main gauche.
Annette dit: 6 octobre 2013 à 11 h 42 min
Salut Thierry,
bien rentré ?
Le bichon a fait ses petits besoins, parfait.
Au tour du maître.
Il est irrespectueux de tenir le Coran de la main gauche.
Sauf pour les manchots, ça va de soi.
bouguereau dit: 6 octobre 2013 à 11 h 55 min
on frôle 998 étrons
dont 500 par toi raclure de keupu
T’as tout faux le boug’.
Du baroz ?
Il n’empêche que cela peut être ambigü, U. ..
On y verrait une certaine pusillanimité, que je n’en serais pas étonnée ..
Daaphnée dit: 6 octobre 2013 à 12 h 15 min
Elle trolle, elle trolle, mais
pour draguer u. elle se dévoile.
Rappelez-nous ce qu’est la définition d’un troll, mon petit. Exprimez-vous, on saura rectifier la syntaxe .. mais si, mais si .
[[[((((la syntaxe .. pfff ..))))]]]
faut dire ça à chaloux .. mais si, mais si .
« Rappelez-nous ce qu’est la définition d’un troll »
dafnoz
J’ai trouvé ça :
« Peu amicale et même dangereuse pour les humains, le troll féminin reste lié aux forces étrangères à toute civilisation »
Portrait craché.
Ah, c’est donc vous, le troll le plus demeuré de la blogosphère! C’est bien ce que je me suis dit hier …
8h57 Rien qu’à vous lire JC ça fait mal, vous devriez vêtir votre racisme d’une étoffe plus fine quoique je ne vois pas non plus d’un bon œil le carnaval rétrograde et islamique qui se répand comme une inondation. Quant aux disputes littéraires, je doute fort qu’elles concernent beaucoup de couples surement trop occupés à des trafics divers pour avoir pu songer à étudier et pour aller dans le sens de votre marche qui ne manque ni d’air(0 pneumothorax) ni de piquant.
Danse dit: 6 octobre 2013 à 12 h 18 min
Elle trolle, elle trolle, mais
pour draguer u. elle se dévoile.
J’aime tellement ta double vie, Danse, que je souhaite que tu n’abolisses pas tes frontières.
(Et toc.
Dans le sujet).
Daaphnée dit: 6 octobre 2013 à 12 h 41 min
Ah, c’est donc vous, le troll le plus demeuré de la blogosphère
Même Chaloux n’oserait pas une telle platitude.
« vous devriez vêtir votre racisme d’une étoffe plus fine »
JC n’est pas ici raciste, berenice.
Il abhorre l’Islam, il en a bien le droit.
Comme celui d’abominer l’hitléro-trotskysme.
« mais pour draguer u. elle se dévoile. »
Cette phrase me fait rêver.
A la lumière des lois républicaines contre le voile, je serais donc un personnage public.
Faux mais flatteur.
Flatteur mais embêtant.
Adieu l’intimité.
xavier-lew, merci ! u. avait donné le lien touchant une rencontre Salter et Ford (Jim et Dick), et je viens de terminer, grâce à lui, « Light Years », n’ayant lu auparavant que « The Hunters », je l’avais dit.
J’aime plus que vous Richard Ford, cela ne fait rien. Vous avez parfaitement raison pour le « sériel », mais on peut y retrouver un motif obsédant : j’en tiens toujours pour la présence insistante chez lui, appliqués aux vies humaines, des « attracteurs étranges » que rappelait bouguereau. La troisième partie de « Canada » est assez explicite là-dessus, et au fond cela s’applique aussi aux romans dont le personnage principal est Frank Bascombe.
C’est pourquoi également « le double » appliqué à « Canada » ne signifie pas grand’chose, et la question à LGL de Busnel sur le Destin… rien du tout.
Bonne journée !
Oui bon, U., il y a plusieurs méthodes .. c’est vrai .
Mais pour ce qui nous occupe, elle risque de prendre cela pour un compliment !
OU d’exposer sous peu, dans une tension surhumaine du bulbe .
Je dirais de chaloux qu’il aime l’air pur des cimes mais que contraint par des besoins élémentaires(nutrition, élimination,sexualité) il redescend parfois pour les satisfaire.
Merci M. Court. J’arrive dans les zones qui doivent contenir le Cortot de Gavoty. Je pense qui si l’auteur est mentionné je reconnaîtrai son nom.
C’est incroyable ce qui peut se trouver dans une bibliothèque: des tas de livres dont j’avais oublié qu’ils y étaient….
Je retourne au calvaire…
Bon dimanche à tous.
12h47 mais vit-il chaque heure de sa vie en se souvenant de ses principes et lignes directrices? C’est difficile et je crois plus on vit intensément plus le réflexe doit être sur, dans la foulée la vitesse la surabondance des opportunités ne renonce-t-on pas plus facilement à soi, à ce qu’on croit défendre, que celui ou celle qui n’a pas d’autres choix qu’entre rien et personne?
« Je dirais de chaloux qu’il aime l’air pur des cimes mais que contraint par des besoins »
Hélas, seuls les grands nietzschéens comme Dédé peuvent rester sur les dîmes, bérénice.
Bérénice dit: 6 octobre 2013 à 12 h 53 min
Très bien vu.
Bon.
C’est l’heure mais je ne dirai plus « Bon app’ ! ».
Les applications de l’Apple Store ont subverti mon Français populaire.
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