de Pierre Assouline

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La République des livres
Recyclés, Cassin, Zola, Gramsci !

Recyclés, Cassin, Zola, Gramsci !

Il n’y pas que dans le tri des déchets : dans le commerce des idées aussi la récupération est d’actualité. L’air du temps n’a jamais paru aussi favorable à l’opportunisme de ce type d’opération en trois temps : détournement, recyclage, instrumentalisation. Plusieurs hautes figures intellectuelles en ont fait les frais ces derniers temps.

René Cassin (1887-1976) tout d’abord. Juriste et diplomate, c’est en tant que co-auteur de la Déclaration universelle des droits de l’homme en 1948 qu’il fut vingt ans plus tard doublement couronné du prix Nobel de la paix et du prix des droits de l’homme des Nations unies. Une conscience que cet homme unanimement respecté dont la dépouille repose au Panthéon. Or il vient d’être enrôlé à son corps défendant par les nationalistes tant basques que catalans. Chez les premiers, on a ainsi pu entendre lors d’une réunion sur le campus universitaire de Vitoria d’anciens responsables terroristes de l’ETA se référer à René Cassin. Par quelle acrobatie ? En lui attribuant entre guillemets la dénonciation des «prétentions des États existants à vouloir trancher par le biais de leur constitution les problèmes reliés à l’autodétermination d’un peuple que les hasards de l’histoire ont placé sous leur domination » alors qu’il s’agit là… du commentaire du préambule de la Déclaration par un autre juriste.

Une manipulation que l’on retrouve sous la plume d’autres partisans du nationalisme basque. Qu’importe puisque cela leur permet de mêler dans l’inconscient collectif son nom prestigieux, les droits de l’homme et leur cause. A ceux qui objectèrent que les conceptions de la démocratie de René Cassin étaient aux antipodes des leurs, ils rappelèrent qu’il avait été aussi le responsable du service juridique de la France libre, un activiste et un militant dans sa défense des droits de l’homme et, argument imparable, qu’il était natif de Bayonne dont chacun sait qu’elle se trouve au pays basque ! Et tant pis si au passage ils piétinaient le double engagement juif et républicain qui domina son existence…

Autre exemple : Emile Zola. J’accuse, le plus célèbre éditorial de l’histoire de la presse française, est devenu un mantra chez les indépendantistes catalans. Au plus fort des récentes manifestations, ils ont usé en toutes circonstances d’un #JoAcuso pour dénoncer la répression de l’Etat espagnol contre leur mouvement et les condamnations judiciaires de leur partisans. Et ils l’ont explicité en dressant des parallèles avec l’injustice dont le capitaine Dreyfus fut la victime. Ce que n’a pas manqué de faire l’avocat Paul Bekaert, défenseur du président catalan destitué Carles Puigdemont : dans son cabinet trônait en bonne place un exemplaire du J’accuse de Zola au cas où l’analogie aurait miraculeusement échappé aux journalistes venus l’interviewer. Est-il besoin de rappeler que les deux causes n’ont rien à voir ?

Enfin, Antonio Gramsci (1891-1937). Jamais ce philosophe, et écrivain italien n’a été aussi tendance. Ce qui ne va pas de soi en regard non de sa stature intellectuelle mais de la nature de son engagement : membre fondateur du parti communiste italien, ce théoricien marxiste a souvent été réduit à une formule («  Pessimisme de l’intelligence, optimisme de la volonté ») et à sa définition de la crise :

«  Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Mais c’est surtout ce qu’il dit du « combat culturel» dans ses fameux Cahiers de prison qui a été récupéré. A l’extrême-droite depuis longtemps par Alain de Benoist qui en appelait à un « gramscisme de droite » au risque de l’oxymore, et à droite à la veille de la présidentielle de 2007 par Nicolas Sarkozy :

« Au fond, j’ai fait mienne l’analyse de Gramsci : le pouvoir se gagne par les idées. C’est la première fois qu’un homme de droite assume cette bataille-là ».

Depuis le philosophe est régulièrement cité, et donc instrumentalisé et dénaturé, par tous les courants politiques d’un extrême à l’autre pour son concept d’« hégémonie culturelle »On le trouve derrière le populisme de la gauche radicale en Espagne aussi bien que dans la récente campagne électorale au sein des Démocrates de Pete Buttigieg aux Etats-Unis (mais lui au moins a une excuse : son père Joseph Buttigieg est le traducteur en anglais des Cahiers de prison et il fut le président de l’International Gramsci Society…) ou en France du côté de Marion Maréchal. Tous convaincus que la conquête du pouvoir passe par la capacité d’attraction et de séduction des idées sur l’opinion publique via les intellectuels. Mais qui n’est pas « gramsciste » aujourd’hui ? Ainsi annexe-t-on des penseurs qui n’en peuvent mais. Leurs fantômes en rient encore. D’un rire jaune ?

(Photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 675 Réponses pour Recyclés, Cassin, Zola, Gramsci !

Chaloux dit: à

De même qu’il est hors de question que je vive avec un vegan. Ces gens me font mourir de tristesse.

Rose, installez vous dans un abattoir, vous verrez si vous y mourez de gaîté.
La vérité c’est que moins on mange de viande moins on en a envie.

hamlet dit: à

« Marie Darrieussecq, née à Bayonne en 1969, est basque. Elle est écrivaine. Elle est donc – comme un escargot est un escargot(1) – une écrivaine basque. »

ouai il aurait peut-être mieux valu pour tout le monde qu’elle soit un escargot.

hamlet dit: à

« Une flèche tremble dans son sein nu, ce sein qui épouvante l’Angleterre. »

même que de ce traumatisme originel sont nés, qui l’eût cru, les Monty Python, et aussi les Sex Pistols.

hamlet dit: à

« ce sein qui épouvante l’Angleterre. »

tu m’étonnes qu’après ça Churchill ne puisse pas blaire de Gaulle.

Jazzi dit: à

Avec Jeanne d’Arc, guère d’historiens peuvent servir de caution historique, pas même Michelet. Mes commentaires permettent de délimiter les faits avérés de la légende. Ceci dit, la collection Le goût de… n’est pas à la base une collection d’ouvrages historiques mais anthologiques.
Dans le roman de Delteil, la chronologie de la bataille est respectée.
Pour moi ce qui prime avant tout c’est la qualité littéraire… et toutes les bonnes références sont données au lecteur désireux d’approfondir le sujet.

hamlet dit: à

« ce sein qui épouvante l’Angleterre. »

p’tain je sais pas qui a écrit ça mais les mecs à l’époque ils y allaient pas avec le dos de la cuillère.

cuillère masculin ou féminin ?

féminin dit la première vieille dame anglaise avec son accent d’anglais encore sous le choc de l’épouvante de ce sein, parce que mon ami dit toujours ‘je me suis lavé la keu hière »

masculin répond une autre vieille dame car mon copain dit toujours « je me lavè le ku hière »

toujours pluriel dit une troisème car moi mon cpoain dit toujours « je me lavè les kouï hière »
tu parles d’une épouvaaaaante

Chaloux dit: à

Qui se sent morveux qu’il se mouche…

hamlet dit: à

Jazzi : « la chronologie de la bataille est respectée. »

et le coup du sein qui épouvante l’Angleterre ça respecte quoi ?

ses fantasmes ?

Jazzi dit: à

Sinon, je crois que Isabelle G. sait parfaitement à quoi s’en tenir avec moi, C.haloux. Il semblerait même qu’elle en redemande !

Jazzi dit: à

Les historiens et romanciers sont toujours un peu lyriques avec Jeanne la Pucelle, hamlet. Ceci dit, elle fut bien blessée par une flèche juste au-dessus de son armure…

DHH, dit: à

Sur l’antisémitisme de Loti voila ce que lui inspire la vue des juifs qui prient au mur occidental
on remarquera la qualité littéraire de la description dans ce texte si scandaleusement porteur des pires clichés antisemites

« C’est vendredi soir, le moment traditionnel où, chaque semaine, les juifs vont pleurer, en un lieu spécial concédé par les Turcs, sur les ruines de ce temple de Salomon, qui « ne sera jamais rebâti ». Et nous voulons passer, avant la nuit, par cette place des Lamentations. Après les terrains vides, nous atteignons maintenant d’étroites ruelles, jonchées d’immondices, et enfin une sorte d’enclos, rempli du remuement d’une foule étrange qui gémit à voix basse et cadencée…..Et des hommes en longues robes de velours, agités d’une sorte de dandinement général, comme les ours des cages, nous apparaissent là vus de dos, faisant face à ce débris gigantesque, heurtant du font ces pierres et murmurant une sorte de mélopée tremblotante. L’un d’eux, qui doit être quelque chantre ou rabbin, semble mener confusément ce chœur lamentable. Mais on le suit peu ; chacun, tenant en main sa bible hébraïque exhale à sa guise ses propres plaintes.
Les robes sont magnifiques : des velours noirs, des velours bleus, des velours violets ou cramoisis, doublés de pelleteries précieuses. Les calottes sont toutes en velours noir, – bordées de fourrures à longs poils qui mettent dans l’ombre les nez en lame de couteau et les mauvais regards. Les visages, qui se détournent à demi pour nous examiner, sont presque tous d’une laideur spéciale, d’une laideur à donner le frisson : si minces, si effilés, si chafouins, avec de si petits yeux sournois et larmoyants, sous des retombées de paupières mortes… Des teints blancs et roses de cire malsaine, et, sur toutes les oreilles, des tire-bouchons de cheveux [2], qui pendent comme les « anglaises » de 1830, complétant d’inquiétantes ressemblances de vieilles dames barbues
Il y a des vieillards surtout, des vieillards à l’expression basse, rusée, ignoble. Mais il y a aussi quelques tout jeunes, quelques tout petits Juifs, frais comme des bonbons de sucre peint, qui portent déjà deux papillotes comme les grands, et qui se dandinent et pleurent de même, une bible à la main. […]
En pénétrant dans ce cœur de la juiverie, mon impression est surtout de saisissement, de malaise et presque d’effroi. Nulle part je n’avais vu pareille exagération du type de nos vieux marchands d’habits, de guenilles et de peaux de lapin ; nulle part, des nez si pointus, si longs et si pâles. C’est chaque fois une petite commotion de surprise et de dégoût, quand un de ces vieux dos, voûtés sous le velours et la fourrure, se retourne à demi, et qu’une nouvelle paire d’yeux me regarde furtivement de côté, entre des papillotes pendantes et par-dessous des verres de lunettes. Vraiment, cela laisse un indélébile stigmate, d’avoir crucifié Jésus ; peut-être faut-il venir ici pour s’en convaincre, mais c’est indiscutable, il y a un signe particulier inscrit sur ces fronts, il y a un sceau d’opprobre dont toute cette race est marquée.
[…]
Et il y en a deux ou trois, de ces vieux, qui versent de vraies larmes, qui ont posé leur Bible dans les trous des pierres, pour avoir les mains libres et les agiter au-dessus de leur tête en geste de malédiction. […]
En soi, cela est unique, touchant et sublime : après tant de malheurs inouïs, après tant de siècles d’exil et de dispersion, l’attachement inébranlable de ce peuple à une patrie perdue ! Pour un peu, on pleurerait avec eux, – si ce n’était des Juifs, et si on ne se sentait le cœur étrangement glacé par toutes leurs abjectes figures. […] Ils passent, tête baissée sur leur bible ouverte, et tout en faisant mine de lire leurs jérémiades, nous jettent, de côté et en dessous, un coup d’œil comme une piqûre d’aiguille ; – puis vont grossir l’amas des vieux dos de velours qui se pressent le long de ces ruines du Temple : avec ce bourdonnement, dans le crépuscule, on dirait un essaim de ces mauvaises mouches, qui parfois s’assemblent, collées à la base des murailles. […]
Quand nous nous en allons, remontant vers la ville haute par d’affreuses petites ruelles déjà obscures, nous en croisons encore, des robes de velours et des longs nez, qui se dépêchent de descendre, rasent les murs pour aller pleurer en bas. Un peu en retard, ceux-là, car la nuit tombe ; – mais, vous savez les affaires !… .
En sortant de ce repaire de la juiverie, où l’on éprouvait malgré soi je ne sais quelles préoccupations puériles de vols, de mauvais œil et de maléfices, c’est un soulagement de revoir, au lieu des têtes basses, les belles attitudes arabes, au lieu des robes étriquées, les amples draperies nobles.

Pablo75 dit: à

1/2

Ta réponse est nulle, Rodríguez, c’est même une non-réponse. Et elle est pleine de mensonges:

1.- « Pedro Chacón Delgado (cité par Pablo 75 comme référence « scientifique » de ses dires) »

Mensonge: la seule chose que j’ai écrit sur lui est: « Pedro José Chacón Delgado [historien]. »

2.- « C’est tout simplement faux, y compris pour les curés que je ne porte pourtant pas dans mon cœur. Ce sont les mêmes inepties que l’on dit des Corses. »

Une immense majorité des basques votent pour des partis nationalistes. Et tous les partis nationalistes basques ont été complices des terroristes. Combien de basques votant pour des partis nationalistes aujourd’hui protestent devant les fréquents hommages « populaires » aux terroristes sortis de prison? Par exemple contre les hommages à Josu Zabarte, dit « el carnicero de Mondragón », auteur de 17 assassinats et sorti en 2014 après 30 ans de prison? Réponse: aucun.

Quant aux curés basques: « Un centenar de curas «abertzales» arremete contra el obispo Munilla. Le acusan de llevar a Guipúzcoa sacerdotes y religiosas «de fuera», de utilizar el castellano, de predicar a favor de la pacificación y de considerar la dióceses como «su feudo». »

abc.es/espana/20140729/abci-curas-nacionalistas-obispo-201407291954.html

Cela en 2014. Je te laisse imaginer 20-30 ans avant. Cela me rappelle une tante basque à 100 %, de Bilbao, que j’avais (marié à un frère de ma mère): elle était très catho, très de droite, très bourgeoise, mais dans les années 80 elle ne critiquait jamais les terroristes d’ETA. Si on discutait du problème du terrorisme, elle disait toujours : « hay que comprender a esos chicos » (il faut les comprendre, les garçons).

3.- « Votre référence à la mafia, s’applique, pourquoi pas (ce n’est pas mon point de vue, mais acceptons-le), aux nationalistes basques, mais dans ce cas elle s’applique à beaucoup d’autres gouvernements démocratiques. »

Donc, je déduis que pour toi des gouvernements démocratiques sont plus une mafia que les nationalistes basques, complices pendant plus de 40 ans avec l’ETA.

On commence à voir d’où tu sors et quelle est ton idéologie.

4.- « Miguel de Unamuno a été « araniste » dans sa jeunesse et je ne crois pas qu’il riait beaucoup. Baroja s’en fichait de Sabino Arana. »

Unamuno a été tellement « aranista » qu’il a qualifié le nationalisme basque de « chifladura de exaltados echados a perder por indigestiones de mala historia. »

Et Baroja a écrit: « El carlismo se cura leyendo y el nacionalismo, viajando. »

Et les deux se sont moqués publiquement plusieurs fois de l’élément essentiel, après la Race, du nationalisme basque selon S.Arana: la langue basque.

« Unamuno observa que el vascuence nos viene estrecho a los vascongados para expresar nuestros pensamientos, y dice: “ Como su material y tipos no se prestan a ensanche, rompámosle”. Y después añade: “Enterrémosle santamente con dignos funerales, embalsamado en ciencia; leguemos a los estudios tan interesante reliquia”. Para un castellano, lo dicho por Unamuno es una revelación, para un éuzkaro es una blasfemia, para un vascongado inteligente es un verdad que está harto de saberla. El vascuence no ha sido ni es una lengua literaria o filosófica, no “nos viene ya estrecho”, ha venido estrecho a todos los vascongados que han tratado de expresar su pensamiento en él. Si algunos han querido demostrar que el vascuence es una lengua que puede trasformarse en un idioma literario y científico, ha sido un corto número de chiflados. »
(Pio Baroja. Artículo “El vascuence” publicado el 31 de Agosto de 1901).

« El vascuence, hay que decirlo, como unidad no existe, es un conglomerado de dialectos en que no se entienden a las veces los unos con los otros. Mis cuatro abuelos eran, como mis padres, vascos; dos de ellos no podían entenderse entre sí en vascuence, porque eran de distintas regiones: uno de Vizcaya y el otro de Guipúzcoa. ¿Y en qué viene a parar el vascuence? En una cosa naturalmente, tocada por completo de castellano […] Y ¿qué ha ocurrido? Ha ocurrido que por querer hacer una Lengua artificial, como la que ahora están queriendo fabricar los irlandeses; por querer hacer una Lengua artificial, se ha hecho una especie de «volapuk» perfectamente
incomprensible. Porque el vascuence no tiene palabras genéricas, ni abstractas, y todos los nombres espirituales son de origen latino, ya
que los latinos fueron los que nos civiizaron y los que nos cristianaron también. »
(Unamuno. Discurso en el Congreso sobre las lenguas hispánicas y a propósito de la oficialidad del castellano, pronunciado el 18 de
septiembre de 1931).

Chaloux dit: à

Jazzi, je n’ai pas les dons de maître-chanteur de la vieille peintresse d’école, ni n’en ai le goût. Brisons là sur le sujet.

Pablo75 dit: à

2/2

5.- « Dire que le PNV a cherché une alliance avec Hitler est tout simplement faux. Qu’il y ait eu des membres du PNV qui l’ait proposé/cherché c’est une autre chose. »

Tu nous prends pour des cons, je vois… C’est toujours la même excuse, partout. Tu n’as pas une meilleure?

Je te signale que des articles sur le nationalisme basque et le nazisme, il y en a des tonnes. Et même des documentaires. Cherche sur Youtube et tu verras.

Pour te rafraichir la mémoire, un petit article du basque Jon Juaristi, très bien informé sur les polémiques entourant le nationalisme basque (il a appartenu un moment, étant très jeune, à ETA) et l’un des intellectuels espagnols actuels les plus lucides:

« Esvásticas y nacionalismo vasco. »

elimparcial.es/noticia/36030/opinion/Esvasticas-y-nacionalismo-vasco.html

Et un autre article d’Antonio Elorza, un autre essayiste et historien important d’origine basque:

« el núcleo de la ideología nacionalista, tal y como la define el fundador, Sabino Arana, sea por su racismo agresivo y por su xenofobia antiespañola, perfectamente asimilable al ideario nacionalsocialista. Es más, no se trata de un invento que surge del vacío, sino de la culminación de una trayectoria secular, en que la defensa de los fueros y el mito de la independencia originaria tenían por base la lógica de exclusión del otro contenida en la limpieza de sangre asumida tanto por el Señorío de Vizcaya como por la Provincia de Guipúzcoa desde el año 1500 aproximadamente; de ello se derivaba la auto-consideración como ‘pueblo escogido’, cuyos habitantes gozaban de la ‘nobleza universal’. Y todo colectivo excelso por su sangre requiere un oponente envilecido, las ‘gentes de mala raza’, judíos, moros y herejes en el Antiguo Régimen, inmigrantes españoles en el periodo de industrialización. También coincidieron nacionalsocialismo y sabinianismo en la necesidad de cubrir la ausencia de antecedentes estatales -el Imperio lo impidió en el caso alemán- con el recurso a un pasado legendario que refrendara la conciencia de superioridad. Y finalmente en la circunstancia actual, la combinación de dos niveles de terrorismo con el claro propósito de intimidar y/o eliminar políticamente a la ciudadanía vasca no abertzale, nos sitúa en plena pesadilla nazi. La homología es, pues, pertinente. »

elpais.com/diario/2001/03/16/espana/984697208_850215.html

6.- « Dire que l’Angleterre et les États-Unis étaient des pays ennemis de Franco est une idiotie de plus. »

La contre-vérité est tellement grosse qu’elle ne mérite pas de commentaire. Franco était donc un allié de Churchill et des Américains pendant la deuxième guerre mondiale. Et les Américains n’ont pas voulu renverser Franco en 1945 (avant de se raviser par peur du communisme). Encore une preuve de ton ignorance crasse de l’Histore et de ta nullité intellectuelle. Que tu dises que j’écris des âneries me rassure.

7.- Étrangement tu ne nous dis rien (silence éloquent) de l’essentiel dans cette affaire: est-ce normal que des nationalistes basques, disciples de l’antisémite, raciste, suprémaciste et antidémocratique Sabino Arana, utilisent la figure d’un juif qui était et pensait tout le contraire que lui pour essayer de se refaire une image, en faisant oublier leur passé plus que trouble? Tu serais par hasard d’accord avec eux sur le fait que leur manipulation est nécessaire et bénéfique pour leur intérêts?

Jazzi dit: à

Paradoxalement, votre extrait de Pierre Loti, DHH, relativise ceux des pamphlets de Céline.

rose dit: à

Les conseuls de Chaloux : installez-vous dans un abattoir, rose.

1/ il veut ma mort.
2/ depuis 19 mois je vis dans un abattoir.
3/pour mon moral, Chaloux, c’est pas le top.

Vu une petite fourmi rousse, minuscule, trainer sur son dos une énorme coquille de graine de tournesol. Encourageant. Mais qu’est ce qu’elle va en faire ?

rose dit: à

conseils

hamlet dit: à

Jazzi, ce qui est puant c’est le changement de perspective et de registre, quand, après avoir la liste de toutes les atrocités on bascule au :

« J’ai vu ces images terribles dans tous les journaux, les magazines. Pour la première fois, le pays où j’avais passé la partie la plus mémorable de mon enfance était montré au reste du monde, mais c’était parce qu’il mourait. Mon père a vu aussi ces images, comment a-t-il pu accepter ? A soixante-douze ans, on ne peut que regarder et se taire. Sans doute verser des larmes. »

faut-il y voir une résurgence proustienne ?

qu’il vienne placer dans ce tableau sa personne et celle de son père ?

qu’est-ce qu’ils en ont à taper de lui les africains ?

ça me rappelle cette lettre envoyée par un journaliste sud américain (ou mexicain ?) après son nobel où le type lui demandait de les oublier !

nourrir ses romans de la misère du monde pour à la fin ramener ce monde à soi, c’est un procédé répugnant. Proust fait ça aussi tout au long de la Recherche.

et là ça rappelle ce que disait Gombrowicz de le Clezio, ce besoin de contrition, de toujours s’apitoyer sur son sort.

le problème n’est pas que le Clezio est sans doute l’écrivain français le plus égoïste et égocentré de ces 40 dernières années, le problème est qu’il se sert de toutes lies misères du monde pour nourrir son besoin de contrition personnel, et qu’après ça il aura entrainé derrière lui toute une ribambelle d’écrivains défenseurs de la veuve et l’orphelin juste pour démontrer à leurs lecteurs qu’ils étaient des gens biens comme il faut sous tous rapports !

j’ai pas raison greubou ?

renato dit: à

Germano Celant est renté dans le chaos originel.

Jazzi dit: à

« Aujourd’hui 29 avril, anniversaire de la libération d’Orléans par Jeanne d’Arc. »

Je ne faisais que rectifier ton erreur, C.haloux.
C’est comme si tu faisais remonter la libération de la France à l’appel du 18 juin 1940…

hamlet dit: à

une littératures d’humanistes d’opérette à la con qui clament sous tous les tons leur saint amour du prochain !

fallait-il y voir un retour du sentiment chrétien sous sa forme la plus maléfique, c’est à dire celle soutenue par les lois marketing de l’àoffre et la demande éditoriale ?

les journaux comme les éditeurs ont fait leur beurre sur ces écrivains qui se sont nourris des mlaheurs du monde !

de tous ces idiots utiles le Clezio est le pire !

Jazzi heureusement nous en sommes sortis, n’est-ce pas ?

Chaloux dit: à

Je n’ai fait aucune erreur, Jazzi: il y a un commencement -29 avril- et une fin -8 mai- à la libération d’Orléans. Quant au commencement de ton intelligence, il est trop près de sa fin, je te l’ai souvent dit.

Marie Sasseur dit: à

Il y a un négationnisme en cours qui est insupportable. Entre une qui se délecte à donner un extenso des textes antisémites et l’autre qui nie le génocide, on peine à comprendre comment ils en sont arrivés là où ils sont…
La politique anti-juive pratiquée dans la pays Basque , dont une importante communauté a Bayonne ne l’a pas été par les basques, mais par l’État francais.

Jazzi dit: à

« heureusement nous en sommes sortis, n’est-ce pas ? »

J’espère bien que non, je n’aime rien tant que lorsque les écrivains parlent du plus intime d’eux, sans fards et sans masques ! « L’Africain » de Le Clezio est l’un de ses livres-là…

Petit Rappel dit: à

DDB ou Bouquins, Chaloux?
Je ne connais pas le DDB.
Bouquins a publié dans ces années-là un dictionnaire Jeanne d’Arc de très bonne tenue.
Bien à vous;
MC

Chaloux dit: à

C’est comme si tu faisais remonter la libération de la France à l’appel du 18 juin 1940…

C’est vrai qu’entre le 29 avril et 8 mai 1429, il y a… quatre ans, mais alors très très compressés…
N’arrive-t-il pas un moment où comparaison devient déraison?…

Hurkhurkhurk!

Jazzi dit: à

Mon intelligence ne peut pas être près de la fin, C.haloux, puisqu’elle n’a jamais commencée.
Quant au reste, ceux qui savent lire jugeront…

Chaloux dit: à

@M. Court.

Les deux sont dans ma bibliothèque, mon capitaine.

(Avez-vous vu ma question à propos de « Constance Colombe »?).

Chaloux dit: à

… Oui, ceux qui savent lire jugeront que la libération de Paris commence quand ses libérateurs y entrent, Jazzi.

Jazzi dit: à

Quand de Gaulle débarque à Londres en juin 40, rien n’est joué. Idem pour Jeanne lorsqu’elle entre dans Orléans le 29 avril. Peut importe le temps compressé ou pas. Ma comparaison est d’autant plus pertinente que le 8 mai célèbre désormais conjointement une double libération de la France…

bouguereau dit: à

Les deux sont dans ma bibliothèque, mon capitaine

mais havec pleyel tu étais déja de corvée de patates mon larbin

Clopinec dit: à

L’ignoble extrait de Loti mis en ligne par DHH m’amène à penser qu’il y a ceux qui, inconsciemment, utilisent un vocabulaire qui véhicule les préjugés de leur temps, et ceux qui le font sciemment, en s’affranchissant de toute conscience humaine. Bref : Loti ? Passe-moi le sac à vomi.

bouguereau dit: à

une double libération de la France…

..bafouée et humiliée qu’elle dirait bonne clopine

rose dit: à

hamlet dit: à
« « ce sein qui épouvante l’Angleterre. »

p’tain je sais pas qui a écrit ça mais les mecs à l’époque ils y allaient pas avec le dos de la cuillère.

cuillère masculin ou féminin ?

féminin dit la première vieille dame anglaise avec son accent d’anglais encore sous le choc de l’épouvante de ce sein, parce que mon ami dit toujours ‘je me suis lavé la keu hière »

masculin répond une autre vieille dame car mon copain dit toujours « je me lavè le ku hière »

toujours pluriel dit une troisème car moi mon cpoain dit toujours « je me lavè les kouï hière »
tu parles d’une épouvaaaaante »

Faudrait donc rire ?

Phil dit: à

ne pas se méprendre, deashash. Loti, plus porté sur la fesse arabe que juive, fait du Genet, antisémitisme en cache-sexe.

bouguereau dit: à

Entre une qui se délecte à donner un extenso des textes antisémites

..mais y’a qu’ça qu’est bon tèrezoune

Jazzi dit: à

« ..bafouée et humiliée qu’elle dirait bonne clopine »

Pour l’instant elle a la tête dans le sac à vomi, le boug !

bouguereau dit: à

« « ce sein qui épouvante l’Angleterre. »

sapré baroz..je cite pas souvent..j’en ai pas le gout
Pour la Mouquette, la suprême expression du dédain consiste à montrer son derrière; pendant la marche des grévistes au travers des fosses, elle le présente, énorme et nu, aux bourgeois de Montsou et quand l’émeute gronde autour du Voreux, quand les soldats chargent leurs fusils, elle leur crache d’abord tous ses gros mots, puis, n’ayant plus que cette nouvelle offense à bombarder au nez de la troupe, elle lui montre son cul

Jazzi dit: à

« Faudrait donc rire ? »

Rien ne nous oblige, rose !

Clopine dit: à

Puisque je ne suis pas dans ses petits papiers, au fait :

Jacques Drillon, qui nous décrit, mi-scandalisé mi-émoustillé, deux très jeunes Lolitas friquées dans un endroit de luxe…

Mais c’est donc qu’il y était lui-même, au fait, dans ce luxe ! Qu’ils étaient là pour lui, d’abord, avant tout, cette élégance, ce sommelier et ces larbins … Et que le seul intérêt de son anecdote est qu’il ait dû partager cet habitus avec les deux gamines…

Il faut donc apercevoir, si l’on veut compléter exactement la scène décrite, bien à sa place dans la haute bourgeoisie huppée, le cul confortablement disposé dans un fauteuil haut-de-gamme, la figure de l’homme de lettres parisien d’un certain âge, avec la conscience de sa supériorité intellectuelle et sociale inscrite dans les replis d’une gueule à la Devos, tout aussi caricatural, bienséant et à l’aise que les deux poupées l’étaient. Dans sa niche, quoi.

Marie Sasseur dit: à

Au collège Loti était lu pour son Pêcheur d’Islande.
J’ai cru comprendre que maintenant c’était plus le cas ?
Je viens de voir sur wiki, qu’il avait écrit un roman de série B sur le pays Basque.

rose dit: à

Autre escale face au Bosphore.
«  »Pierre Loti Tepesi Turistik Tesisleri olarak hizmetlerimize ara veriyoruz. Tüm Dünyayı tehdit eden Koronavirüs salgını nedeniyle sizlerin sağlığı için kapalıyız. Tehdit ortadan kalkana ve sizler için güvenli bir ortam oluşturana kadar sizlerden ayrı kalacağız. Çünkü sağlığınız bizim için önemli. Ayrı kaldığımız süre boyunca lütfen evlerinizde kalın. Saygılarımızla. »

rose dit: à

Pour un café turc.
J’ai vu plus petite fourmi que la minuscule. Doit être sortie de l’oeuf. Hier au soir.

Petite, petite.
Zouk doit être une sauvage.

Jazzi dit: à

Tu confonds avec Catherine Ségurane, la Jeanne d’Arc niçoise, le boug. Tandis que les Maures escaladaient les remparts du château, elle les repoussa à coup de battoir de lavandière (son métier) puis finit par leur montrer son cul. Ce qui les épouvanta définitivement !

Chaloux dit: à

Jazzi, ta comparaison est pertinente pour toi. On ne compare pas un espace historique complètement inextricable de quatre années avec un autre de huit jours. Jamais, quand je suis arrivé ici,-2008-, aucun intervenant n’aurait risqué une comparaison aussi grotesque. Ce qui me fait peur avec le temps comme il va, ce sont les pertes à la fois de repères intellectuels et de simple bon sens que suppose l’idée qu’une telle comparaison puisse germer dans un esprit, même très moyen, et lui paraître non seulement défendable, mais simplement exprimable. Il y a là une décrépitude de la faculté de penser qui me semble très préoccupante.

Accessoirement, si Jeanne a pu entrer dans Orléans tout à fait tranquillement le 29 avril, c’est certainement que la défense de la ville commençait à se porter moins bien… Simple bon sens.

bouguereau dit: à

Jacques Drillon, qui nous décrit, mi-scandalisé mi-émoustillé, deux très jeunes Lolitas friquées dans un endroit de luxe…

situation aussi bidonné que la tienne dans le sac a vomi pour mieux montrer ton cul bonne clopine..l’himagination des hommes n’est souvent qu’une machination pendable

bouguereau dit: à

bientôt mon larbin va te dire qu’il y était..comme a pleyel

bouguereau dit: à

Ce qui les épouvanta définitivement !

a te lire on dirait qu’ils étaient tous tarlouze baroz..il y a beaucoup d’illustration au moyen age de femme qui montre leur cul au diable pour le décourager..c’était havant le devindel malificoroum qu’il dirait dirfilou

bouguereau dit: à

ça fait un peu vieux tatouage crado rozy..

Chaloux dit: à

Clopine, lisez Cadence de Jacques Drillon, que j’avais sans doute mal lu -et seulement en partie- l’an dernier mais que je vais relire par honnêteté intellectuelle. Je viens de le récupérer dans ma bibliothèque et le (re)lirai avec les autres achetés tout récemment, Le livre des regrets, Liszt, Schubert etc.. Dans mon souvenir, Drillon ne sort pas du tout du milieu que vous supposez. C’est plutôt un pur produit de cette méritocratie française qui a très bien fonctionné dans les années soixante et soixante-dix avant de s’éteindre peu à peu à partir du règne de Mitterrand, de détestable mémoire. Il me corrigera si je me trompe.
Votre obstination à raconter n’importe quoi sans vous renseigner … Je ne continue pas, vous m’avez compris.
Quant au reste, il y a des gens fréquentables et des crapules dans tous les milieux.

Jazzi dit: à

« a te lire on dirait qu’ils étaient tous tarlouze »

Non, le boug, juste un peu musulman. Ils en restèrent un moment stupéfaits, ce qui au coeur de la bataille leur fut fatal !

bouguereau dit: à

mon larbin dans ses oeuvres de lèche burne sans oublier de montrer nonobstant des rictus..au cas ou on srait certain qu’il y prendrait plaisir..un pitre

Chaloux dit: à

Boutmou, le petit soralien, à partir d’une certaine heure, il faut lui flanquer une pastille de wc-net dans le gosier et le forcer à la sucer. Il est vrai qu’il y a rarement besoin de le forcer …

Hurkhurkhurk!

renato dit: à

« de femme qui montre leur cul au diable pour le décourager »

Caterina Sforza, mère de Jean des Bandes Noires, dame guerrière, assiégée dans sa forteresse Forlì par Cesare Borgia qui avait pris en otage ses enfants et menaçait de les tuer, monta sur les remparts, souleva sa jupe et cria : « J’ai de quoi en faire des autres ».

bouguereau dit: à

Ils en restèrent un moment stupéfaits, ce qui au coeur de la bataille leur fut fatal !

ha on affine dans l’effet chok et ave..

Clopine dit: à

bah, Chaloux, s’il n’en sort pas, cela ne signifie pas qu’il n’y est pas entré, si vous voyez ce que je veux dire. De toute façon, les jugements que je peux proférer désormais sur Jacques Drillon proviennent tous des aphorismes qu’il nous livre, sans savoir, ou en sachant, à quel point il en dit long. Surtout sur ces rapports à la féminité, en général, et aux féministes, en particulier. Sa non-aventure avec les deux nymphettes porte en creux toute la mélancolie de l’homme vieillissant face à des « proies » qui lui sont désormais interdites, et je le maintiens : il fallait qu’il y soit, dans le palace à fric, pour ainsi noter la scène… Mais Drillon n’est pas le genre à se poser des questions : il est plutôt enclin à apporter des réponses aussi définitives que ridicules.

bouguereau dit: à

« Faudrait donc rire ? »

Rien ne nous oblige, rose !

Jazzi dit: à

M. Court, ne le dites pas à C.haloux, mais le dictionnaire Jeanne d’Arc de Bouquins, plus récent, est autrement plus satisfaisant que celui publié par DDB !

bouguereau dit: à

sors ta tête du sac a vomi bonne clopine..

renato dit: à

Sur ce coup Clopine me rappelle un d’ici qui s’est donné la peine d’aller voir combien je paie mon Martini à Venise : très-très petit.

Chaloux dit: à

A propos de J. Drillon, je me suis d’abord formalisé sur quelques expressions d’un naïf orgueil qui finalement ne mange pas de pain. D’abord très sceptique en ce qui concerne, par exemple, la traduction des Confessions par Frédéric Boyer, j’ai volontiers reconnu mon erreur après l’avoir lue (et d’autres ouvrages ensuite). Euh, oui, je reconnais mes erreurs…

bouguereau dit: à

mon larbin fourni même le tube de vazeline baroz

Jazzi dit: à

Pas besoin de se déplacer pour connaître les tarifs du Harri’s bar, renato !

Phil dit: à

un drone à Venise sur le martini à renato
james bond enfoncé

bouguereau dit: à

heureusement que t’étais là baroz..rénateau sait calculer ses coups comme drillon..mais il fait plus envie sur ce coup là..

Jazzi dit: à

« Euh, oui, je reconnais mes erreurs… »

La libération d’Orléans le 29 avril 1429 !

renato dit: à

« Pas besoin de se déplacer » : évidemment, Jacques, il a tapé une séquence de consonnes et de voyelles dans son moteur de recherche.

renato dit: à

C’est par ailleurs en tapant des séquences de consonnes et de voyelles dans son moteur de recherche qu’il compose les post qu’il met en ligne ici.

D. dit: à

« C’est mieux pour votre santé. Un régime végétarien équilibré est l’un des régimes les plus sains que l’on puisse adopter. »

—> pourquoi ? Moi j’ai expliqué pourquoi non.
J’attends des explications, pablo.

Et je maintiens que la consommation de légumes crus et cuits, de graines végétales oléagineuses associés aux protéines animales est indispensable à rester en bonne santé, PCK ceux-ci sont sources de fibres, vitamines, antioxydants bénéfiques et protecteurs de l’oxydation cellulaire et permettent une meilleure assimilation des protéines animales (tout aussi indispensables) lorsqu’ils en sont associés.
C’est le régime des moines de Shaolin maîtres de wu-shu et ce n’est évidemment pas un hasard.

D. dit: à

leur sont

Phil dit: à

passez au martini, dédé.

bouguereau dit: à

dont feed pedro..raclure de dédé

Chaloux dit: à

Chacun de ces deux dictionnaires a ses qualités. Celui de DDB (horreur! Malheur! est d’obédience catholique)… J’aurais pu tout aussi bien tirer l’autre de son rayonnage:

« Quelques jours plus tard, Jeanne d’Arc entre dans la ville (29 avril) bientôt suivie d’une armée de secours. En quelques jours, les forces anglaises sont contraintes d’abandonner le siège (8 mai).

Jeanne d’Arc histoire et dictionnaire, Robert Laffont, 2012, p. 892.

Le 29 avril marque donc bien le commencement de la libération d’Orléans…

1) Pour Jazzi, l’année 2012 est plus récente que sa consœur 2017.

2) – Le dictionnaire Laffont : 700 pages.
– Le dictionnaire DDB : 2000.

Il y a donc toutes les raisons pour que le premier soit plus complet que le second…

Mon pauvre Jazzi à cervelle de moineau, de quoi parles-tu?

Janssen J-J dit: à

@ b, si vous vous intéressez toujours à la dépendance des Etats aux marchés internationaux de capitaux hautement concentrés, je lis ce point de vue novateur de Roos, un politiste de l’économie financière, ici (qui reste dans le sujet traité par le préent billet de la RDL) :
https://laviedesidees.fr/Le-defaut-peut-il-etre-une-qualite.html
Etes-vous du genre à croire que l’actuelle pandémie du covid19 pourrait mettre un terme à cette apparence de solution à court terme (qui ne pourra jamais être concertée à l’échelon mondial)… celle d’une stratégie de rupture ou de retrait simultané chez chaque État (souverain ?) à l’égard de sa propre dette ?
Je pense qu’à moins que ne survienne un nouveau conflit mondial réel (froid ou chaud) entre les deux nouvelles superpuissances, on n’y parviendra pas, malgré la catastrophe écologique affectant uniment toutes les économies mondiales…
Je reste pour ma part en vigilance pessimiste active sur ces enjeux, autant qu’il m’est possible, et de m’en excuse par avance auprès de CELZECEUX non intéressés par des PROBLEMATIQUES aussi vulgaires. Qu’ils.elles fassent en SORTE de ne pas avoir lu ce message ou d’ETRE EN CAPACITE d’oublier les questions qui les fâchent. Et vous non plus, b. ne vous sentez surtout pas obligée.
Bàv,

bouguereau dit: à

2) – Le dictionnaire Laffont : 700 pages.
– Le dictionnaire DDB : 2000.

Il y a donc toutes les raisons pour que le premier soit plus complet que le second…

Mon pauvre Jazzi à cervelle de moineau, de quoi parles-tu?

meussieu courte henfoncé dans la critique scientific..

D. dit: à

Dans 100 gr de lentilles il y a 23-24 g de protéines.

–> exact, en poids sec de lentilles. Tu les manges sèches, pablo ? Ces protéines ne contiennent pas tous les acides aminés nécessaires au corps humain par ailleurs.
Enfin, les protéines des lentilles, même parfaitement préparées, ne sont pas aussi bien assimilables que les protéines animales qui le sont elles à 100 %
On en assimile 2/3 tout au plus.
Donc un rapide calcul te montrera que tu dois manger 2 kg de lentilles cuites pour avoir l’équivalent d’un œuf en protéines. Formidable.
sans parler du prix parce que 2kg de lentilles cuites de qualité convenable et donc pas forcément bio reste toujours bien plus couteux qu’un gros œuf de poules bio (0, 35 €).

D. dit: à

et après ça y’en a qui vont me dire de fermer ma gueule.

bouguereau dit: à

ferme ta gueule mon larbin..heu..less is more
huuuuuuurkurkurkurkurk!

D. dit: à

Une personne qui affirme péremptoirement que le cigare n’est pas dangereux pour la santé n’a aucun conseil de santé/nutrition à me donner, renato.
Bien respectueusement

bouguereau dit: à

on te clonera dédé..ta cervelle sra pleugué su des machines a café hitalienne tip top..en inosque ta santé

Chaloux dit: à

Clopine : « les jugements que je peux proférer désormais sur Jacques Drillon proviennent tous des aphorismes qu’il nous livre ».

Plutôt de la lecture que vous en faites. Dans votre trou, je ne sais pas, mais à Paris, luxe ou pas, on croise journellement des essaims de petites merdeuses attifées telles que J.D. les décrit. Pourquoi ne pas les évoquer, au nom de quelle censure? A ce compte, nous n’aurions pas Les précieuses ridicules et cela personnellement me priverait.
Vous êtes en colère parce que J.D. vous a traitée d’imbécile (dans quel contexte?).
Quant au luxe, il est parfois bien agréable, à condition de ne pas s’en abrutir.

(Votre analyse sur « les proies » est tout bonnement ridicule et insultante. Tous les hommes ne font pas des femmes des « proies » (et d’ailleurs le contraire n’existe-t-il pas aussi?). Vous n’êtes jamais à la hauteur d’aucune situation. J’en reviendrais à regretter que vous ayez fait ma vaisselle).

bouguereau dit: à

Je reste pour ma part en vigilance pessimiste

surtout tu restes en planque jj..mais vas y molo sur la bière et les doneuts..

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, ne vous laissez pas intimider ou emm.erder par les covid 57 ou 75 du blog ces petits calibres… sur la connaissance de Jeanne. Leur bibliothèques sont bien plus maigres que la vôtre…
C’est pas qu’ils en sauront toujours plus que vous, non, c’est que l’jalouseront toujours votre respectable entreprise, que voulez-vous, c’est ainsi que naissent et meurent les ratés ratons et laveurs, etc. Faut voir comment ils t’enseignent « l’histoire de France » en français aux pauvre gosses des collèges de banlieue… Peinent vraiment à se hisser aux chaussettes de leur Bégaudeau…

Chaloux dit: à

Pour Boutmou, si le WC-net ne suffit pas, attendre un quart d’heure et y adjoindre une plaquette Vapona.

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

Quant au luxe, il est parfois bien agréable, à condition de ne pas s’en abrutir

toi tu serres les fesses sur ton string et tu restes en sousmarin sur drillon mon larbin..

https://www.youtube.com/watch?v=JW1u6mYqddU

Chaloux dit: à

Gigi le neauneau, euh… le nœud-nœud à chapelle, et ses insultes charentaises, toutes molles et tellement vieilles qu’elles ont un trou pour passer l’orteil…

Hurkhurkhurk…

bouguereau dit: à

ta gueule dédé

William Legrand dit: à

« ya pas que le tri des déchets »… mais si, ici, faut trier vite fait Justin Crétin et boutmou, les vieux pépères complètemnt gâteux et polluants qu’elle dirait bonne copine christiane

Phil dit: à

celle-ci, dear baroz: « mon fils, tu es Jeanne d’Arc », la mère de Brasillach. ça passe dans « le goût » ou ça vous grille ?

Chaloux dit: à

Boutmou, le merlan-ablette soralien de 1M52, tout maigrichon, tout pâlichon quoique légèrement rosi au Pernod, adore les athlètes… Comme dirait Feydeau, redonnons-lui une pastile.

et alii dit: à

les jugements que je peux proférer
ce « proférer » est un peu grandiose pour ce blog ;vous ne pouvez pas vous contenter de les porter, vos jugements?SONT-ILS SI DELPHIQUES ET VOUS SI PYTHONISSE?

raymond dit: à

Oui Jacques Drillon est un écrivain, un inventeur, un promoteur de la langue ironique et féroce souvent. Je l’attends chaque vendredi comme le gourmet un délicieux repas, il me console de la rudesse invraisemblable du réel, ou de ce qui en tient lieu. Les lolitas m’apparaissent dans ce cadre comme une fiction; il passe devant les vitres du restaurant et aperçoit ces jeunes filles, comme Proust les jeunes filles de Balbec. Il brode. C’est tout.

Janssen J-J dit: à

@ tu restes en planque jj.

Mais pas du tout, je m’expose au contraire aux première loges de l’actualité, mais pas forcément icite. Ici, c’est mon havre oû je viens de temps à autre le recharger les accus. D’ailleurs, vous avez souvent dû me voir commenter sur différentes chaînes de télévision en prime time ou lire mes lives et articles scientifiques. Si par hasard, ce n’était pas le cas, allez faire un tour sur ma page web et ma notice wiki, ça vous fera gagner pas mal de temps et de l’argent (cf. portail : Littérature régionaliste+Charente). l’ALMS pourra vous aider, le cas échéant. L’est très forte… au tracking Stop Covid’ avec un petit remontant au martinet on the rock’ing chair
Bien à vous,
J J-J

Chaloux dit: à

« SONT-ILS SI DELPHIQUES ET VOUS SI PYTHONISSE ? »

EXCELLENT.

Hurkhurkhurk!

Un point pour Clopine. J’ai vu que la méchante peintresse d’école, après une hypocrite accolade à Clopine quand elle avait besoin d’alliés contre moi, recommence à lui siffler autour, comme la vieille vipère édentée qu’elle n’a jamais cessé d’être. Un petit pô ça va, mais trop ce n’est pas yoli-yoli, comme disait la gouvernante de ma grand-mère.

(Et re) Hurkhurkhurk!

(Qui contrôle les finances de Renato? C’est trop drôle…).

Janssen J-J dit: à

un trou pour passer l’orteil…

Très tendance en ce moment, les charentaises à clous… Vous allez en avoir besoin, à défaut de masques anti covid’ en ville confinée. On les fabrique à pas trop cher icite, et tout le monde n’en aura pas… Passez moi commande, je peux vous faire un bon prix avec un bon trou pour la respiration…

bouguereau dit: à

allez faire un tour sur ma page web

fais péter ta grosse chaine jj..pour voir si t’en as une plus grosse que fog

Chaloux dit: à

Raymond, affaire de profession, il m’est souvent arrivé -moins maintenant- d’être invité dans des restaurants où je n’aurais jamais mis le pied de moi-même. Payer une tranche de foie de veau (dont je ne mange pas) au prix de l’or ne me viendrait pas à l’esprit. Mais on s’y fait, comme au reste.

bouguereau dit: à

une tranche de foie de veau (dont je ne mange pas)

ça srait canibal mon larbin

hamlet dit: à

renato dit: Sur ce coup Clopine me rappelle un d’ici qui s’est donné la peine d’aller voir combien je paie mon Martini à Venise : très-très petit.
 »

encore un de ces imbéciles qui travaillent pour le magazine « que choisir ? » ou « 50 millions de consommateurs » ?

William Legrand dit: à

le dernier « commentaire » du boutmou est éloquent, il est à court (comme dit MC) d’arguments, ce trépané des burettes, plus rien dans le calbut qui lui sert de cerveau, quelle dégringolade, quel néant, je vais aussi avoir droit à un ta gueule raclure de Ouillam (ses doigts ne trouvent plus la touche W) paumé dans les grandes largeurs incommensurables hein l’avachi par tout comme Justin… à la prochaine, ratatiné boutmou…

Pablo75 dit: à

@ D.

« Dans 100 gr de lentilles il y a 23-24 g de protéines. »
–> exact, en poids sec de lentilles. Tu les manges sèches, pablo ?
D. dit:

Je ne comprends pas: les lentilles perdent leurs protéines dans l’eau? Si je mets 100 gr de lentilles sèches à cuire et je les mange une fois cuites, je n’ai pas mangé 23-24 gr de protéines?

(Entre parenthèses, si on veut des protéines végétales complètes on peut manger ensemble des lentilles et du riz complet).

« Donc un rapide calcul te montrera que tu dois manger 2 kg de lentilles cuites pour avoir l’équivalent d’un œuf en protéines. »

Mais tu perds la tête? Un oeuf contient 6’5 gr de protéines. Pour faire 2 kg de lentilles cuites, étant donné qu’il faut 3 fois leur poids en eau pour les cuire, il faut 667 gr de lentilles sèches, ce qui fait 156 gr de protéines.

Donc un rapide calcul te montrera que tu dois manger 24 oeufs pour avoir l’équivalent de 2 kg de lentilles cuites.

Chaloux dit: à

Si vraiment les deux premiers traitements n’ont pas d’effet, il faut passer au Baygon. Pauvre boutmolle…

Chaloux dit: à

Il faut demander à Boutmolle son avis, c’est un spécialiste. Il en a plein, lui, des lentilles, quand l’infirmière oublie de passer…

(On sortira pour l’occasion son dictionnaire d’argot d’Auguste Lebreton…).

Hurkhurkhurk!

hamlet dit: à

je viens de découvrir qui est Jacques Drillon !

en fait il faut rechercher sur la page de passou et on tombe sur son site… !

je viens de lire ce qu’il écrit, je vois pas pourquoi vous critiquez, c’est très bien, comparé à Chevillard…

en fait ce sont des aphorismes du genre :

« Les travaux d’État (routes, gares…), toujours plus longs et plus chers que les autres. »

comme aphorisme je trouve que c’est profond, et juste, mais plus profond que juste, et en même temps plus juste que profond :

« Les travaux d’État (routes, gares…), toujours plus longs et plus chers que les autres. »

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

Tu as des vinyles ou des cds, toi?

(Tu vas longtemps encore écrire « Chalou.x » alors que cela fait des jours qu’on peut écrire « Chaloux »?)

hamlet dit: à

j’aime bien celui-là aussi :

« Ceux qui ne marchent dans Paris que les jours de grève des transports. »

c’est laconique, mais ça en dit long, même très long, sans doute trop pour vos petits esprits étriqués !

Janssen J-J dit: à

(@ je sais plus qui, mais) Pas d’accord du tout avec l’influence de la clézio sur une génération d’écrivains fadasses qui n’auraient plus rien à dire… Je ne vois personne s’être mis en son sillon solitaire. La vue selon laquelle la misère humaine aurait pu servir à cet écrivain majeur de filon littéraire corrélé à une culpabilité familiale intérieure n’est sans doute pas fausse. Mais elle reste impuissante à expliquer en quoi l’apparente pauvreté de son style extrêmement travaillé en fait son génie, sa singularité, sa musicalité. Etc.

Cessez de nous les briser avec vos « distanciations sociales », par ailleurs, je sais plus qui. « Distance physique », oui, ça nous cause pragmatiquement dans les supermarchés de MH, mais pas l’autre concept qui relève uniquement de la sociologie savante. Elle n’a pas à être accaparée par la pseudo technocratie qui sévit en erdélie sous des masques variés mais bien réels.

hamlet dit: à

celui-là aussi j’aime bien :

« Personne ne sait si la banque du sperme autorise les découverts. »

comme disait Jean Yanne : « je trouve que c’est très bien d’être payé pour donner son sperme… la charité ça va un temps ! »

Chaloux dit: à

alors que cela fait des jours qu’on peut écrire « Chaloux ».

Avec des creux quand même…

hamlet dit: à

j’aime beaucoup cet aphorisme aussi :

« Personne ne sait si la Méduse du Caravage est un homme ou une femme. »

là encore c’est hyper profond comme réflexion.

hamlet dit: à

celle-là je la trouve très drôle :

« Plus d’un million de morts, lors de la bataille de la Somme (juillet 1916). L’Offensive Broussilov (juin 1916) : presque le double. Mais c’était rien que des Russes. »

j’en meurs de rire devant mon écran.

pourquoi personne ne m’a dit avant que ce type existait !

bouguereau dit: à

Donc un rapide calcul te montrera que tu dois manger 24 oeufs pour avoir l’équivalent de 2 kg de lentilles cuites

pédro c’est le plus fort..avec tes colliers d’nouilles t’es viré dédé

hamlet dit: à

après il y a d’autres aphorismes, mais ils sont de « dernière minute », du genre :

« Qui se souvient de la grippe de Hong Kong (1969-1970) ? 31 226 morts en deux mois en France. Surmortalité de 40000. Un million de morts dans le monde. Tout juste quelques articulets dans la presse de l’époque. »

heureusement qu’il y avait une dernière minute.

bouguereau dit: à

Avec des creux quand même…

et surtout des bosses..sapré dsapré larbin

hamlet dit: à

« Personne ne sait
Si la banque du sperme autorise les découverts. »

j’aime beaucoup ce genre d’humour.

hamlet dit: à

« Plus d’un million de morts, lors de la bataille de la Somme (juillet 1916). L’Offensive Broussilov (juin 1916) : presque le double. Mais c’était rien que des Russes. »

cet humour aussi j’aime bien.

il est bien plus drôle que vous !

hamlet dit: à

ça me fait penser à l’humour de Patrice Charoulet.

que j’aime bien aussi.

hamlet dit: à

« Personne ne sait
Si la banque du sperme autorise les découverts. »

alors que cet humour me fait plus penser à celui de greubou.

DHH, dit: à

@jazzi @clopine
Autres extraits de ma petite anthologie de ces monstruosités livrées par des personnages à l’honorabilité incontestée
Voltaire:
« Les ouvriers et les marchands qu’on voit en Pologne sont des Ecossais, des Français, surtout des Juifs. Ils y ont près de trois cents synagogues, et, à force de multiplier, ils en seront chassés comme ils l’ont été d’Espagne. Ils achètent à vil prix les blés, les bestiaux, les denrées du pays, les trafiquent à Dantzig et en Allemagne, et vendent chèrement aux nobles de quoi satisfaire l’espèce de luxe qu’ils connaissent et qu’ils aiment. »
(Voltaire dans « Histoire de Charles XII Roi de Suède », livre II, 1727).

« C’est à regret que je parle des Juifs: cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre».(dictionnaire philosophique)

de Victor Hugo

Dans les Châtiments ,lorsqu’il cherche à vilipender l’entourage affairiste de « Napoleon le petit » ,il écrit
« Boursier qui tonds le peuple, usurier qui le triches
Gais soupeurs de Chevet, ventrus coquins et riches
Amis de Fould le juif et de Maupas le grec…….

Et encore
« O Ducos le Gascon, o Rouher l’auvergnat
Et vous ,juifs ,Fould Shylock, Sibour Iscariote

Ou, pour montrer le degré de dépravation du regime
« les juifs triomphent, groupe avare et sans foi …

ou bien il lance à Napoleon III cette invite méprisante , où cet anticlérical exprime ses deux détestations :
« Viens, toi qu’aiment les juifs et que l’Eglise éclaire
Espoir des fils d’Ignace et des fils d’Abraham

Doit –on pour autant s’en prendre à l’immense Hugo, cet humaniste, ce républicain forcené et intraitable sur les valeurs de la république ?

de Gaulle
Sur les juifs de pologne apres la guerre de 1914
•Et au milieu de tout cela d’innombrables juifs, détestés à mort de toutes les classes de la société, tous enrichis par la guerre dont ils ont profité sur le dos des Russes, des Boches et des Polonais, et assez disposés à une révolution sociale où ils recueilleraient beaucoup d’argent en échange de quelques mauvais coups. (Lettre à sa mère du 23 Mai 1919)

Et j’ai aussi du Zola et du Giraudoux.
Tout cela écrit en toute quiétude et innocence avant que « Hitler déshonore l’antisémitisme »

hamlet dit: à

conclusion : contrairement à vous tous Mr Drillon est lui un vrai homme d’esprit bande de dégénérés !

Pablo75 dit: à

Un court (29 min) et intéressant documentaire sur la conception du métier de chef d’orchestre de Jean-Claude Casadesus et sur sa façon si enthousiaste (avec une débauche d’énergie étonnante, alors qu’il a 72 ans) de répéter 2 oeuvres avec 2 orchestres différents.

« Au milieu de l’orchestre »

https://www.youtube.com/watch?v=nSrzkHxC2X0

(Pétomanes divers s’abstenir: la vue de cadres d’entreprise en stage bidon peut nuire à leur santé).

hamlet dit: à

DHH : je sais pas si vous savez, mais si vous devez virer tous les antisémites de votre bibliothèque il risque ne de plus vous rester beaucoup de livres.

Marie Sasseur dit: à

Évidemment y’a eu hitler, sinon, la collec de deachach vaudrait rien.

Chaloux dit: à

Emmanuel Todd à lire entièrement :

« Le gouvernement de la France se promène hors la loi, régnant par la police et il s’approche du coup d’État. »
Le problème n’est pas le masochisme des jeunes, mais le sadisme de ceux qui gouvernent et je suis convaincu que la taxation des carburants et plus encore l’abolition du système des retraites n’est pas du tout un acte de rationalité administrative, mais un acte sadique perpétré contre la population française.

https://lvsl.fr/emmanuel-todd-macron-nest-plus-republicain/?fbclid=IwAR3y3XpPKVRaVJ8_235UzDBdzpDkxDknVkW0LJBAzbBo3kcYJHGekHfSuKc

Je suis extrêmement heureux de n’avoir jamais cru à Macron. De ne pas m’être trouvé dans une situation larbinatoire m’obligeant pour ou contre mon gré à lui apporter mon approbation, même du bout des lèvres.

Et je dis que les intellectuels en le soutenant, aussi modestement que ce soit et jusqu’au plus insignifiant d’entre eux, ont commis un acte grave, tant ce qui arrive depuis plus de deux ans était prévisible, qu’ils se sont discrédités devant l’Histoire, et devront définitivement disparaître de la scène publique en même temps que lui.

(Le type qui ne sait pas lire une phrase simple et n’en retient rien en conseiller scientifique. Ceci explique cela…).

Marie Sasseur dit: à

c’est très douteux les références de deachach, c’est hitler qui permet de décider qui est antisemite sabs préciser qu’il a AUSSI décidé de qui était Juif.
Comme quoi, je persiste, inutile de maquiller un antisémitisme de salon, sous de fausses excuses!

Pablo75 dit: à

je viens de découvrir qui est Jacques Drillon !
hamlet dit: à

Méfie-toi, Pétomane, il pourrait lui aussi découvrir que tu es Maurice Desborels…

Chaloux dit: à

Pablo75 dit: à
Méfie-toi

Excellent…

hamlet dit: à

DHH : pour vous le dire à J. Drillon : si vous virez tous les auteurs antisémites de votre bibliothèque il ne vous restera que les auteurs juifs, et encore…

hamlet dit: à

Pedro : le jour où vous et Chaloux me sortirez des pensées profondes du genre « Personne ne sait Si la banque du sperme autorise les découverts. »

là on n’en reparlera !

Marie Sasseur dit: à

Et encore, en cherchant bien, deachach va même trouver des antisémites juifs.

hamlet dit: à

Pedro & Chaloux : vous saviez même pas que « Les travaux d’État (routes, gares…), toujours plus longs et plus chers que les autres. »

alors pouet pouet cacahouète ! avant de vous moquer des autres passez la serpillère devant votre porte !

Chaloux dit: à

J’ai lu il y a des années (malheureusement oublié la référence) une étude littéraire visant à conclure que les écrivains israélites n’usaient pas moins des lieux communs sur l’apparence, les mœurs la laideur etc. de leurs semblables en confession que leurs confrères goys. Les réalités d’avant 1939 (et même d’avant 1965) sont plus compliquées qu’on ne croit.

hamlet dit: à

« des antisémites juifs. » les voix de la haine de soi sont impénétrables…

Marie Sasseur dit: à

Drillon peut aussi rajouter les hôpitaux, mais il n’osera pas.

Pablo75 dit: à

Emmanuel Todd à lire entièrement :
Chaloux dit: à

« Le gouvernement de la France se promène hors la loi, régnant par la police et il s’approche du coup d’État. »

Tu sais qu’en Espagne la Droite dit la même chose de Sánchez et son gouvernement?

« Le problème n’est pas le masochisme des jeunes, mais le sadisme de ceux qui gouvernent… »

J’ai lu dans le blog d’un écrivain espagnol très à gauche (J.L.García Martín) le même mot de « sadisme » à propos de Sánchez.

Quand on lit tous les jours la presse de deux pays sur les mêmes événements, on finit par relativiser…

Tu crois à « l’abolition du système des retraites », toi?

bouguereau dit: à

Autres extraits de ma petite anthologie de ces monstruosités livrées par des personnages à l’honorabilité incontestée

j’ai bien compris la mise au propre de la necessité des équivalent des lentilles et de cédés de pédro et keupu drh..mais par quoi ces extraits et cette anthologie est elle motivée hic et nunc drh?

hamlet dit: à

apprenez à lire !

Les travaux d’État (routes, gares…)

vous n’avez pas vu les « … » ?

ces « … » c’est ça qui fait la force de cet aphorismes parce qu’on peut justement y mettre « tous les travaux d’état ».

c’est ce qu’on appelle un aphorisme « open » !

après c’est selon chacun si vous voulez ajouter les hôpitaux ajoutez-les !

si d’autres veulent ajouter les écoles ils peuvent les rajouter.

c’est la force de l’aphorisme « open » sur l’aphorisme « close ».

désolé de le dire mais ceux de Nietzsche ils sont « close », du coup à côté de ceux de Drillon ils valent tripette !

bouguereau dit: à

De ne pas m’être trouvé dans une situation larbinatoire m’obligeant pour ou contre mon gré à

..n’en dis pas plus mon larbin! pense aux enfants qui te lisent peut être

rose dit: à

bouguereau dit: à
Il brode. C’est tout

« pass the courvoisier raymond..mais t’avouras que l’afrenchézado dpédro il a une trop grosse chaine quand même »
https://pbs.twimg.com/media/Dm-xjeSXcAAoEEn?format=jpg&name=small

Sa femme qui ne lui fait que des tortillas aux pommes de terre avec du riz complet. Même que parfois elle rajoute des lentilles.

hamlet dit: à

Pablo : « Quand on lit tous les jours la presse de deux pays sur les mêmes événements, on finit par relativiser… »

ça par exemple c’est un bel aphorisme « open ».

excellent Pedro !

hamlet dit: à

« Quand on lit tous les jours la presse de deux pays sur les mêmes événements, on finit par relativiser… »

Pablo faites gaffe, cette remarque est tellement profonde que Drillon il va vous la piquer.

Jazzi dit: à

« Quand on lit tous les jours la presse de deux pays sur les mêmes événements, on finit par relativiser… »

Oui, mais ça marche aussi quand on lit quotidiennement, comme je le fis un temps : Le Figaro, La Croix, Le Monde, Libé et l’Humanité…

bouguereau dit: à

une étude littéraire visant à conclure que les écrivains israélites n’usaient pas moins des lieux communs sur l’apparence, les mœurs la laideur etc. de leurs semblables en confession que leurs confrères goys

tu veux dire que si on ajoute forcément ses lieux communs sur lapparence et les moeurs et la laideur etc..de l’autre en confession..ce que forcément..haussi..ils battraient a plate couture les?
c’est bien joué mon larbin mais drh ne met que des calibres dans sa liste

Marie Sasseur dit: à

#c’est ça qui fait la force de cet aphorismes parce qu’on peut justement y mettre « tous les travaux d’état ».

Oui et alors ? Il manque l’adjectif « grands » dans sa phrase à deux balles. Car sur le fond et mathématiquement la proposition est : vraie.
Encore une fois, si c’est aux autres de compléter ses intentions bonnes ou mauvaises, mais ici, je crois surtout : mauvaises, a partir de phrases dont le sens n’est pas déterminé, c’est un jeu littéraire archi nul. Et dans cette nullité, il excelle.

hamlet dit: à

moi je sais que Chevillard il a piqué un tas de trucs que j’ai dit sur ce blog pour les recopier sur son blog.

mais j’ai jamais porté plainte.

bouguereau dit: à

Oui, mais ça marche aussi quand on lit quotidiennement, comme je le fis un temps

certes baroz..mais un gauliss de droite..toudmême..hon a ses limites

renato dit: à

D.,

quand vous arriverez à faire, comme moi, un 4478 mt — Matterhorn — ou un 4634 — Rose — à l’âge de 71 ans, vous pourrez déblatérer vos opinions relative aux cigares. Par ailleurs, perentoirement c’est beaucoup dire, car chacun parle de son experience : il s’agit d’une viellie convention préposée à un bon équilibre de la vie associée.

Cela dit, je ne suis vegan ni végétarien, c’est de ma compagne que je parlais, en soulignant qu’elle se porte merveilleusement bien et, envers et contre l’opinion de rose que les vegans font mourir de tristesse, elle n’est pas triste du tout.

Incidemment, je reste de l’opinion qu’un comportement agrée par le pontife devait être accepté sans peine par ses brebis — même les plus réactionnaires !

Pablo75 dit: à

Et toi, Pétomane, tu n’écris pas d’aphorismes? Ici tu nous avais copié quelques douzaines d’hilarants… (les fameuses Perles du Pétomane).

Des milliers de posts que tu as fait ici depuis des années avec tous tes pseudos, tu pourrais sortir un livre de Perles très drôle, que tu pourrais publier chez ton éditeur Finlandais.

Jazzi dit: à

« Personne ne sait Si la banque du sperme autorise les découverts. »

Elle est trop belle pour être de toi, hamlet !

hamlet dit: à

pourquoi il manquerait « grand » ?

c’est quoi cette histoire ? tous les « grands » travaux d’état ?

les petits travaux pour vous on s’en tape ?

c’est ça la différence entre les grands esprits et les autres : si Drillon n’a pas mis « grands » c’est justement parce qu’il n’a pas un esprit mesquin !

vous prenez Drillon pour Philippe Muray peut-être ?

j’ai pas raison Pedro ?

bouguereau dit: à

Encore une fois, si c’est aux autres de compléter ses intentions bonnes ou mauvaises, mais ici, je crois surtout : mauvaises, a partir de phrases dont le sens n’est pas déterminé, c’est un jeu littéraire archi nul. Et dans cette nullité, il excelle

dans le biz..c’est toujours la concurence qui a l’oeil le plus juste térezoune..

Marie Sasseur dit: à

L’amphibologie (substantif féminin), du grec amphibolia (action de « lancer de tous côtés »), est, en logique, une construction grammaticale qui permet à une phrase d’avoir deux sens différents (indécidabilité) et qui peut conduire à un raisonnement fallacieux.

L’amphibologie est également une figure de style qui consiste en une ambiguïté grammaticale qui peut donner lieu à diverses interprétations d’une même phrase.

Wiki

Petit Rappel dit: à

chaloux, je prends note de l’existence du dico DDB.
Oui, j’ai bien vu votre question, mais je n’ai pas la réponse.
Vous savez, sur Jeanne, tant qu’on ne réédite pas le monument Quicherat…Le Journal du Siège se trouve lui assez facilement
Bien à vous.
MC

hamlet dit: à

Jazzi dit:
« Personne ne sait Si la banque du sperme autorise les découverts. »
Elle est trop belle pour être de toi, hamlet !
 »

Jazzi essaie de suivre stp, tu sais quoi prend un crayon et un papier :

c’est un aphorisme trouver sur le site de Jacques Drillon !

si c’était de moi je me serais jamais permis d’en faire l’éloge, tu sais bien que je suis un type plutôt réservé et modeste/

sérieux là tu me fais de la peine.

Jazzi dit: à

Ce qui distinguait un gaulliste de droite d’un gaulliste de gauche, le boug, c’était que l’un des deux était un pédé affirmé…

Pablo75 dit: à

Pablo : « Quand on lit tous les jours la presse de deux pays sur les mêmes événements, on finit par relativiser… »
ça par exemple c’est un bel aphorisme « open ».
hamlet dit:

Tu es nul, Pétomane. Tu ne distingues pas entre la description d’un fait et un aphorisme.

Tu devrais vraiment arrêter avec la littérature. Tu n’es vraiment pas doué pour cela, il est temps que tu le comprennes. Tu devrais essayer autres chose, je ne sais pas, la dentelle du Puy, par exemple…

bouguereau dit: à

Incidemment, je reste de l’opinion qu’un comportement agrée par le pontife devait être accepté sans peine par ses brebis — même les plus réactionnaires !

pépèpe fais pas ton drillon rénato..une opinion s’applique simplement a la nature d’une décision..le circonlocutoire à gramchi

hamlet dit: à

« L’amphibologie est également une figure de style qui consiste en une ambiguïté grammaticale qui peut donner lieu à diverses interprétations d’une même phrase. »

non non, wiki il faut laisser ça à Pablo, ils y racontent n’importe quoi.

une ambiguïté grammaticale qui peut donner lieu à diverses interprétations d’une même phrase, on appelle ça une entourloupe, ou un enfumage.

amphibies c’est pour les trucs qui peuvent aller sous l’eau.

j’ai fait 20 ans de plongée avec les marins pompiers de Marseille je sais de quoi je parle !

bouguereau dit: à

Ce qui distinguait un gaulliste de droite d’un gaulliste de gauche, le boug, c’était que l’un des deux était un pédé affirmé…

les honteux c’est meilleur baroz?..dis moi c’est pas motivé par le billet ni par rien mais tant pire ! j’assume!..accouche

William Legrand dit: à

le boutmou esquive, pas de réponse… à terre le trépané des burettes, plouououououff
c’est son larbin qui a pris le relais et la tangente hihihihi

hamlet dit: à

« Pablo75 dit: Tu devrais vraiment arrêter avec la littérature. »

wow, alors ça c’est le plus beau compliment qu’on m’a fait sur ce blog, j’en ai les larmes aux yeux.

sérieux Pablo ? avous avez vraiment cru que j’ai déjà ouvert un livre ?

avec tout le temps que je passe ici à critiquer les livres et les auteurs vous pensez que j’arrive encore à trouver du temps pour lire ?

bouguereau dit: à

L’amphibologie

pas mal térezoune..c’est une piste..mais je crois que ton premier diagnostique était le meilleur..il y a en effet dans la chose vue laconique un effet d’estériorité empathique pour le lecteur..il faut être un enfant ou avoir beaucoup de talent pour ne pas le gacher..c’est tentant
ce ne sont pas du tout des aphorismes

Pablo75 dit: à

« Quand on lit tous les jours la presse de deux pays sur les mêmes événements, on finit par relativiser… »
Oui, mais ça marche aussi quand on lit quotidiennement, comme je le fis un temps : Le Figaro, La Croix, Le Monde, Libé et l’Humanité…
Jazzi dit:

Imagine si tu lis ça en France plus son équivalent en Espagne.

D’ailleurs, je collectionne les faits racontés de façon totalement contradictoire entre un journal français et un espagnol ou entre deux espagnols ou deux français. Même quand il s’agit de chiffres on peut les donner de façon à qu’ils disent le contraire.

Le plus drôle c’est de lire une nouvelle sur un fait français dans la presse espagnole et vice-versa. Surtout si on connaît très bien le thème. C’est là qu’on se dit que les gens qui lisent la presse en croyant à ce qu’ils lisent ils en avalent des tonnes de conneries…

bouguereau dit: à

j’ai fait 20 ans de plongée

..dans ta fosse a merde? mais ça dure encore keupu

Jazzi dit: à

« Tu as des vinyles ou des cds, toi ? »

Non. Et je n’écoute jamais la radio, Pablo75.
Je me suis volontairement fermé à la musique, je ne sais pas vraiment pourquoi ? Mais ça a certainement un rapport avec la surdité de mes parents…

Pablo75 dit: à

sérieux Pablo ? avous avez vraiment cru que j’ai déjà ouvert un livre ?
hamlet dit:

Tu as ouvert au moins les deux romans et jes deux opuscules de Maurice Desborels, non?

(Par contre, lui, vu son style, il n’a pas dû en lire beaucoup).

hamlet dit: à

« C’est là qu’on se dit que les gens qui lisent la presse en croyant à ce qu’ils lisent ils en avalent des tonnes de conneries… »

question pensée profonde vous tenez la forme : faisez gaffe celle-là aussi vous pouvez vous la faire piquer par Drillon.

Jazzi dit: à

« les honteux c’est meilleur baroz? »

Pas pour moi, le boug !
C’est mieux quand les deux partenaires sont décoincés…

Pablo75 dit: à

Je me suis volontairement fermé à la musique, je ne sais pas vraiment pourquoi ? Mais ça a certainement un rapport avec la surdité de mes parents…
Jazzi dit:

Je ne crois pas. Je crois que c’est parce que tu es plutôt un visuel, comme le montre ta passion pour le cinéma, et aussi le fait que tu as écrit des livres « visuels », des guides. Il y a beaucoup d’écrivains complétement fermés à la musique: Freud, Rilke, Borges, Nabokov, Sartre, Unamuno…

hamlet dit: à

1/ bouguereau dit: ..dans ta fosse a merde? mais ça dure encore keupu

2/ Pablo75 dit: Par contre, lui, vu son style, il n’a pas dû en lire beaucoup.

mais pourquoi autant de cruautés ? même Games of Thrones à côté de vous c’est Disneyland.

non vraiment, la méchanceté portée à un tel niveau ?

vous voulez quoi à me balancer toutes choses horribles dans la tronche ?

que je fasse une dépression nerveuse ?

que je me suicide ?

et les autres quoi ? ils restent là ? les bars ballants, sans réagir ?

pendant que deux tortionnaires s’acharnent contre ma pauvre personne !

et aucun n’osera s’interposer pour prendre ma défense, pendant qu’ils envoient leurs chiens se jeter sur moi et manger la chair de mon corps ils regardent, ils admirent le spectacle…

bande de lâches que vous êtes !

Chaloux dit: à

Pablo, je sais que tu n’apprécies pas Todd, tu l’as déjà dit, et c’est ton droit. Pour te répondre, oui, j’y crois, comme je crois à la menace de disparition d’un grand nombre d’avocats sous le coup de cette réforme, alors que leur système des retraite est parfaitement viable. Et à terme à la mise au minimum vieillesse d’une grande partie de la population. A un appauvrissement volontaire du pays, ainsi qu’à une forme de coup d’état permanent.
Et oui, je crois que les intellectuels ou assimilés ont une grande responsabilité et qu’ils devront payer leurs fautes, tout comme les politiques et les chefs d’entreprises véreux qui ont mis le pays dans ce merdier.
Pendant cinquante ans, j’ai été un adversaire acharné de Robespierre, mais je comprends depuis le milieu du quinquennat de Hollande et celui de Macron qu’une petite Terreur, veuve comprise, est parfois indispensable.

Je retrouve ceci dans un carnet de 2006, qui résume parfaitement ma pensée.

« Une petite émeute de temps en temps est aussi salutaire et utile au monde politique que les orages au monde physique. L’esprit de résistance au gouvernement est si précieux en certaines occasions que je voudrais toujours le voir en éveil. Quelle importance ont quelques vies perdues au cours d’un siècle ou deux ? L’arbre de la liberté doit de temps à autre être arrosé avec le sang des patriotes et des tyrans. C’est son engrais naturel. ». Thomas Jefferson.

Les « patriotes » ont donné leurs yeux et leurs mains. C’est maintenant, ou ce sera bientôt, le tour du tyran et de ses complices.

hamlet dit: à

« L’arbre de la liberté doit de temps à autre être arrosé avec le sang des patriotes »

merci Chaloux pour cette réponse réconfortante, ça c’est bien vrai…

comme ces deux tyrans qui, tels des vampires, se nourrissent de mon sang…

ma foi, la comptabilité du monde s’est toujours écrite avec le sang des plus faibles.

Chaloux dit: à

« Pendant cinquante ans ».

Non, 30.

bouguereau dit: à

houblie le minimum mon larbin..si tu te vois vieille tricoteuse peinard en string avec son pti pliant..en cuisine..en cuisine mon larbin..avec des creux et des bosses

renato dit: à

« bande de lâches que vous êtes ! »

Chacun conduit ses combats hamlet.

bouguereau dit: à

ma foi, la comptabilité du monde s’est toujours écrite avec le sang des plus faibles

..qui est ce qui va aller te chercher dans ta fosse a merde raclure de keupu

bouguereau dit: à

Chacun conduit ses combats hamlet

fais mine rénateau..un bon joueur reste modeste

Chaloux dit: à

D’ailleurs, j’espère que Pierre Assouline lui-même, si libre, si réactif aux réalités politiques, se fendra un jour d’un article expliquant que oui, les intellectuels, trop légers ou entravés par les chaînes qui les larbinifient à leurs maîtres, sont voués à payer tôt ou tard ce répugnant engagement de leur tête.

bouguereau dit: à

je parlais d’ici bien hentendu..hailleurs on est tous des lions cruel sanguinaire et sans pitché etc.

Jazzi dit: à

« ça passe dans « le goût » ou ça vous grille ? »

Je suis grillé depuis longtemps, Phil !

bouguereau dit: à

mon courageux dlarbin..lui c’est tout du contraire..la milice..la police..les plotons

christiane dit: à

J-J.J,
votre question me fait traverser le temps. Le 11 mars… La Grande Librairie… J-M. Le Clézio… Ce livre dont il parlait Chanson bretonne suivi de L’enfant et la guerre – Deux contes Gallimard.
J’ai reçu ce livre peu de temps après cette émission.
Je ne me suis pas méfiée de l’enchantement qui me saisissait dans les premières pages car la Bretagne est aussi pour moi un pays maternel, parce que ce pays bigouden, nous l’avons sillonné et aimé avec elle.
Donc, au début, j’étais bien, plutôt dans ma mémoire éveillée par les mots de Le Clézio : un bruit de chaîne… le bac tirait sur sa chaîne et dérivait dans l’estuaire, des maisons modestes où l’on achetait un poisson, du lait, du pain, des légumes, les galettes et le bilig,(meilleures que le pain blanc un peu rassis), le lait qu’on faisait bouillir, et surtout la pompe à bras, sur la place, une pompe qui n’avait pas de couleur parce qu’elle servait.
Là, je me suis séparée du livre car Le Clézio portait le grand broc en métal si lourd, longtemps. Ma sœur et moi, avions juste à remonter la rue jusqu’à la maison de la grand-mère.
Il évoque aussi longuement la langue, le breton, celle « pour être dehors, crier, jurer, s’injurier ». Des jeux de jeunes prédateurs. Ça, je n’ai pas connu, y venant beaucoup plus tard que lui et restant dans le clan des filles.
Il évoque longtemps l’odeur de l’eau, mêlée de pourri, de mazout et sa couleur « sombre à la marée haute, presque jaune quand le reflux faisait apparaître les bancs de sable ». Les bruits de l’eau.
Toutes ces notations me font traverser le temps.
C’est un livre étrange. Bien qu’écrit à la première personne, ce n’est pas un livre de souvenirs, une autobiographie. Seulement, « tout ce qu’on a cru disparu revient ».
C’est un livre de femmes (mère et grand-mère). L’enfant Le Clézio ne connaît pas son père. On n’en parle pas. Il écrit : « Peut-on regretter l’absence de quelqu’un qu’on ne connaît pas ? L’absence de mon père […] comme si j’étais né orphelin ou enfant trouvé » Il est séparé, en Afrique. Sept années de guerre avant la longue traversée qui réunira la famille. Les femmes se débrouillent, surtout quand l’occupation arrive. Je n’ai pas connu ce temps-là, nous y allions que pour les vacances d’été et beaucoup plus tard.
C’est très intéressant la façon dont il interroge alors le passé à hauteur d’enfant, d’abord en Bretagne, puis à Nice où ils se réfugient, chassés par les Allemands.
Alors, passées ces premières pages où je l’ai suivi dans ses jeux de garçon : la pêche, les baignades, « l’eau froide qui fait crier », le sable dans les cheveux. Les chemins creux, les talus, « les vélos lourds loués chaque été chez le garagiste », j’ai appris la guerre à hauteur d’enfant.
Franchir la ligne de démarcation ne leur a pas suffi pour semer la guerre.
Le confinement à Nice, au sixième étage d’un immeuble, sans pouvoir regarder par la fenêtre, sans sortir. Une « peur sans visage et sans nom » La bombe canadienne qui explose dans le jardin de l’immeuble. L’onde qui fait bouger le sol. Le cri animal qui le traverse.
La faim, les restrictions…
Il dit : « la guerre c’est gris ». Il a trois ans… Ils ont besoin de farine, vont glaner la nuit les épis de sorgho dans les champs.

Puis l’été 43. la lumière…

Il dit avoir été « témoin malgré lui, inconscient ».

Libération, un oncle lui offre une glace…

Le livre devient amer : « Toutes ces années perdues, enfermées, isolées, comment les retrouver ? »
Il dit : « D’avoir eu faim, d’avoir ressenti la peur et le vide durant les premières années de ma vie ne m’a pas endurci. Mais cela m’a rendu violent. Sans doute est-ce le sort de tous les enfants nés au milieu d’une guerre. »
Puis, et c’est presque la fin du livre : « Au bout de cette enfance, il y a l’Afrique. Il le fallait, c’était nécessaire. Mon père attendait la venue de sa femme et de ses enfants, depuis sept ans. »

Oui, J-J.J. j’ai aimé passionnément ce livre.

bouguereau dit: à

Je suis grillé depuis longtemps, Phil !

..putain ça mégote pas au baqueroume

Chaloux dit: à

… Et même Dickens. Est-ce que le vieux bonhomme qui dirige la troupe d’enfants voleurs dans Oliver Twist n’est pas juif?

Jazzi dit: à

« vous voulez quoi à me balancer toutes choses horribles dans la tronche ? »

Que tu jouisses, hamlet !

Janssen J-J dit: à

@ aucun n’osera s’interposer pour prendre ma défense,

Je ne dis rien mais vous savez que je suis toujours avec vous, hamlette. Par contre, il faudrait être plus synapse avec moi et boug, car pafoite, bonjour les salopries kons’ prend chacun, et on sait même pas pourquoi.
5è et 75, savez bien que personne les aime, sauf ALMS qui les a fabriqués à son image. A l’air fine, la marie shelley !
Il y a longtemps que j’ai voulu vous signaler le billet de Jacques Drillon, depuis 50 semaines, mais vous n’écoutez ni ne lisez rien… sauf vos découvertes. Et vous sautez comme le cabri qui découvre le monde des platitudes naufragées de cet homme. Mais vous avez le droit de vous emballer comme tout néophyte. Après faut pas venir se plaindre

NB/ le harcèlement dont fait l’objet DHH sur ses lectures (y compris parfois chez etalii) me débecte profondément. Hamlet, j’aimerais que vous preniez sa défense avec moi. Merci.

hamlet dit: à

« Jazzi dit: Que tu jouisses, hamlet ! »

celle-là je l’attendais j’en étais sûr.

combien de fois tu les as relus Jazzi, ces passages de la Recherche ?

c’est limite caricatural : tu ne serais qu’une caricature de toi-même ?

vous me faites trop flipper.

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