Remâcher le passé
On pourra encore déplorer la misère de l’édition de livres d’histoire en regard de son âge d’or, et depuis plusieurs années, on ne s’en prive pas. Mais curieusement, on n’a guère prêté attention au fait que, par un étrange phénomène de vases communicants, ce qui disparaissait d’un côté réapparaissait de l’autre : l’Histoire était simplement passée en partie de son champ naturel au champ d’à côté, celui de la fiction.
Il ne s’agit pas des romans historiques, genre de longue date installé dans un domaine aux frontières bien balisées tant par ses auteurs que par ses lecteurs. C’est du roman littéraire qu’il s’agit, celui qui concourt pour les grands prix d’automne et passionne les critiques toute l’année. Nous connaissons même l’éminent juré d’un grand prix qui peste rituellement chaque année contre cette tendance. Or rarement comme en cette rentrée ces écrivains auront nourri leur inspiration dans le déjà su, déjà vu, déjà lu et déjà connu du passé. Une véritable inflation.
Tant et si bien que la critique Marianne Grosjean, en en dressant l’inventaire pour une pleine page de la Tribune de Genève, a intitulé son article « Les auteurs de la rentrée littéraire 2017 remâchent le passé » (que ce verbe est cruel…) avant de leur donner le coup de grâce dans le sous-titre en leur reprochant de « snober le monde actuel ou imaginaire » (que ce verbe est féroce…). Elle a été jusqu’à compter les romans concernés éditeur par éditeur : Grasset remporte la palme puisque la quasi totalité de sa production littéraire (11 romans) est tournée vers le passé, suivis par Stock (ratio de 7 sur 9), et le Seuil (ratio de 5 sur 6). N’en jetez plus !
N’empêche que sur le fond, elle n’a pas tort. Les thèmes dominants ne surprendront pas : les deux guerres mondiales (Niels d’Alexis Ragougneau, La disparition de Joseph Mengele d’Olivier Guez…), l’après-guerre (La gloire des maudits de Nicolas d’Estienne d’Orves) les Trente glorieuses, la guerre d’Algérie (L’Art de perdre d’Alice Zeniter, Un loup pour l’homme de Brigitte Giraud…), Mai 68 (Le déjeuner des barricades de Pauline Dreyfus…), la libération des mœurs, l’émancipation des femmes, la louange des grands hommes (Légende d’un dormeur éveillé de Gaëlle Nohant), des grands destins (Bakhita de Véronique Olmi) et des grands artistes (Je me promets d’éclatantes revanches de Valentine Goby, Un certain M. Piekielny de François-Henri Désérable) se taillent la part du lion, pour ne rien dire des fresques les plus ambitieuses qui embrassent tout le siècle.
Inutile de se le cacher : il y a une paresse de l’imaginaire, un manque d’audace, un défaut de confiance dans sa subjectivité, une absence de risque, un déficit d’assurance, à ne pas se colleter à son époque et à refuser de se projeter dans l’avenir proche. Il est tellement plus pratique de s’en remettre à des personnages déjà construits et célèbres, plutôt que les créer de toutes pièces, et à des événements avérés et connus plutôt que les inventer. Sauf à se donner pour ambition de les dépasser. A mettre la barre si haut que l’Hisoire en est larguée. Encore faut-il considérer personnages et événements comme un moyen et non comme une fin. Les tenir quasiment pour des prétextes et leur donner une épaisseur et une vérité auxquelles l’historien prisonnier de ses sources et archives n’a pas le droit d’accéder.
On en revient à la formule d’Alexandre Dumas : il est permis de violer l’Histoire à condition de lui faire de beaux enfants. Le problème, c’est qu’en s’emparant de ses faits et gestes, nombre de romanciers ne décollent guère du réel, ne transcendent pas cette matière toute prête et si prometteuse, et souvent peinent à en faire de la littérature. Ce qui résiste à être forgé par l’enclume de l’historien se fond plus naturellement dans le creuset du romancier. Sauf que ça ne marche pas toujours. Alors ces écrivains se retrouvent au point de départ sur la même ligne que tant d’historiens, indifférents à l’écriture ou impuissants à l’honorer, et qui réussissent parfois l’exploit de rendre le vice aussi ennuyeux que la vertu.
(« Les Roches noires », Trouville, photo Passou)
1 010 Réponses pour Remâcher le passé
Dernieres nouvelles ? il faut voir :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/08/lewis-baltz-dana-point-nr-2.html
« qui réussissent parfois l’exploit de rendre le vice aussi ennuyeux que la vertu. » (Passou)
Réagissons, mes frères et mes sœurs : écrivons la folie douce et novatrice… !
La vertu a tant d’adorateurs impuissants, tous ensemble redonnons au vice sa principale vertu : combattre les vertus de grande tristesse que ces cafards passéistes nous imposent à courtes enjambées !
la photo est elle bien de trouville?ou c’est une « légende »
Un contre-exemple en bandeau de haut de page: Marie-Hélène Lafon dont je viens de commencer « Nos vies », roman bien actuel. Gordana, son héroïne, rejoint la caisse de son Franprix tous les matins, bien ancrée dans la réalité des jours.
Mais Buchet-Chastel n’est pas dans les statistiques.
DFW :
https://www.brainpickings.org/2012/09/12/this-is-water-david-foster-wallace/
Marie-Hélène Lafon, effectivement, excellent!
« celui qui concourt pour les grands prix d’automne »
Un seul verbe, que l’on peut inventer ici, Passou, permettrait d’abréger la phase : « celui qui goncourt » !
8 h 27 : charcuterie constituée par un boyau de porc farci d’intestins et de chair du même animal : JC
« Nous connaissons même l’éminent juré d’un grand prix qui peste rituellement chaque année contre cette tendance. »
Le nom, Passou !
« ces écrivains se retrouvent au point de départ sur la même ligne que tant d’historiens, indifférents à l’écriture ou impuissants à l’honorer »
Qui c’est le plus cruel et féroce, Passou ?
Goncourir : écrire un roman en fonction d’un grand prix littéraire d’automne.
Certes passou, mais le reproche dont vous accablez cette rentrée vous pourriez vous l’adresser à vous même non pour vos divers ouvrages ? c’est très sain d’en avoir marre de ses vieilles productions, vous allez peut être nous pondre un oeuf sans fipronil … pour l’an prochain !
pour ma part j’ai relu avec jubilation emmenez – moi au bout du monde de blaise cendrars, totalement politiquement incorrect et j’ai ri comme rarement …
je ne sais combien d’associations de respect du droit de l’homme de la femme des vieux des drogués du troisième age et des handicapés des noirs des juifs des militaires et des malfrats de tout genre il se serait mis à dos, mais il avait l’avantage de s’en foutre éperdument ce qui est appréciable pour un écrivain.
J’en prend de la graine.
Sinon mon chien stupide de John Fante c’est pas mal.
HCB :
Remâcher le passé ou repasser le mâché ?
Tiens ! une prix Nobel qui n’est point moralement viable !
DERNIERES NOUVELLES
N’étant en rien d’accord, ou presque, avec François Cheng sur le principe ternaire corps-âme-esprit qu’il développe dans sa Troisième Lettre, je renonce malgré ce désaccord à vendre « De l’âme », au Bon Coin comme j’en avais l’intention !
Sa foi en un homme animé, sa recherche, son savoir s’expriment avec bonheur et talent. Je continue. Le bonhomme vaut le détour …
9 h 20 : hihihihihi, faux-cul
« remacher le passé »
ya qu’à le zapper
« une paresse de l’imaginaire, un manque d’audace, »
ah ces féniants, ce petit-microsome d’illetrés
illetTrés
Remâché ou pas ?
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/09/joseph-cornell.html
Rarement les écrivains font preuve de précision.
Synonymes de goncourir : renauder, féminer, médiciser…
Paraphrasant : remâchez, remâchez, quelque chose restera.
Ce qui résiste à être forgé par l’enclume de l’historien se fond plus naturellement dans le creuset du romancier
c’est beau comme dlhantique..’3 orfèvres a la saintéloi..’ qui dirait polo qui se souvient de l’odyssée
il est permis de violer l’Histoire à condition de lui faire de beaux enfants
ça henchante chantal..comment qu’elle dit déjà..ha houi ‘elle en prend dla graine’..ça la change de ses hippis humanisss himpuissants de meeeeerde
10 h 06 : réveil de la taupe
qui réussissent parfois l’exploit de rendre le vice aussi ennuyeux que la vertu
quand c’est qu’y viennent les vrai barbares qu’ont pas pris d’douche depuis 3 mois qu’elle dit chantal..
(« Les Roches noires », Trouville, photo Passou)
granito bicolore au mur..carreau ‘porphyre’ au sol..radiateur phonte..n&b..mais sans phame nue ça fait tchip dirait rénateau
en fait cet été je m’ennuyais à pondre un personnage bien coiffé et stylé et j’ai changé pour un repoussant, j’ai très mal dormi, mon imagination m’en a fait pondre un imbuvable qui avait la plupart de mes propres défauts augmentés finalement on a fumé le calumet de la paix et il sortira en octobre sur le net et en papier…casser les pieds à quelques rares lecteurs.
« Ludwig ou l’anti-hypster ».
Pardon j’ai mal lu l’article, en fait c’est une dame suisse qui critique la rentrée, mais passou semble d’accord … j
« mais sans phame nue ça fait tchip dirait rénateau »
Heureusement, tu ne sais pas à quoi tu échappes, le boug ! La muse des Roches Noires, la voici !
http://theatre.valetdecoeur.free.fr/duras/duras.jpg
ha d’accord Jazzi c’est pour initiés ces illustrations, comment voulez – vous qu’une francophone comprenne que c’est Duras …
Elle regardait la mer, Chantal, en attendant l’homme atlantique !
http://ep00.epimg.net/diario/imagenes/2010/07/10/babelia/1278720753_740215_0000000000_noticia_normal.jpg
Le camarade Lacenaire a une conscience de domestique, lui qui a passé toute une vie d’handicapé du bulbe à nettoyer les chiottes de ses supérieurs en tout.
Son analyse la moins polluante ?
Dire sur l’Agora infiniment précieuse du délicat Passou des grossièretés qui lui vont comme un gant :
« Le caca de Bouguereau, comme celui de JC, sent pas bon ! »
Ne jamais contrarier un imbécile comme Lacenaire de rien ! Il le prendra toujours mal.
Vu comme cela en effet que ce soit le roman idéal ou l’homme autant s’asseoir sur un tabouret car longue est l’attente 😉 … la photo noir & blanc souligne bien l’ancrage derrière sa fenêtre en fer forgé … rien ne change ambiance soupe et radiateur …
en même temps plus on l’attend plus on l’idéalise … le réveil est parfois brutal …
« Ludwig ou l’anti-hypster ». (chantal)
Est ce le titre définitif ?…..
Je dis ça, Chantal, parce que votre titre… ça fait réclame de produit médical, genre laxatif pour sportives en manque !
oui JC, je ne peux plus changer, mon réda’c chef m’a fait comprendre qu’il avait d’autres chats à fouetter, j’hésitais sur certains accords orthographiques, faut dire qu’il cumule les casquettes il faut tout numéroter envoyer aux bons formats quand on est encore dans son texte c’est parfois à côté. … et que c’est les prix nobels qui l’intéressent et ses interviews radio, je crois qu’il n’aime pas mais parfois c’est simplement perdu dans ses mails, moi aussi je fais çà donc … , j’avais tellement mal ma tête après 15 jours à binauter que j’ai envoyé mon texte à 3 h du mat, et évidemment j’ai regretté car ce n’étais pas parfait. Pas de pitié, sniff. J’ai essayé de proposer un fichier dans google doc modifiable mais il n’aime pas il lui faut du pdf définitif.
Le nombre de femmes qui cherchaient l’homme idéal et qui sont passées à côté de moi sans me voir ! Pourquoi ! Pourquoi, dieux du ciel !…
La NASA parle de vitesse inadéquate.
11 h 24 :pasque trop laid, verbeux et nul
Remâcher le passé ? un goût dégradé est encore gouteux.
Ressasser le passé ? là, on est mal…. très mal !
Lucienne ! te revoilà ! quel bonheur de te retrouver…
Je t’ai abandonnée, Lulu chérie, non pas à cause de ta laideur, somme toute commune, mais je croyais que tu étais enceinte de mes œuvres ! J’avais peur d’un gosse avec la gueule d’Eric Ciotti …
Retrouvons nous derrière l’Eglise, adorable Lulu, puisque la mosquée a été rasée sur ordre du Préfet !…
Au contraire je trouve que le titre est très bon, ce que je regrette c’est de ne pas avoir eu plus de temps pour l’écrire car j’étais hs après.
« quand c’est qu’y viennent les vrai barbares qu’ont pas pris d’douche depuis 3 mois »
D’après la contre-enquête algérienne de ce mécréant de Kamel Daoud, ils se lavent les couilles, cinq fois par jour, le boug !
« Nous sommes vendredi. C’est la journée la plus proche de la mort dans mon calendrier. Les gens se travestissent, cèdent au ridicule de l’accoutrement, déambulent dans les rues encore en pyjama ou presque alors qu’il est midi, traînent en pantoufles comme s’ils étaient dispensés, ce jour-là, des exigences de la civilité. La foi, chez nous, flatte d’intimes paresses, autorise un spectaculaire laisser-aller chaque vendredi, comme si les hommes allaient vers Dieu tout chiffonnés, tout négligés. As-tu constaté comme les gens s’habillent de plus en plus mal ? Sans soins, sans élégance, sans souci de l’harmonie des couleurs et des nuances. Rien. Ces vieux qui, comme moi, affectionnaient le turban rouge, le gilet, le nœud papillon ou les belles chaussures brillantes se font de plus en plus rares. Ils semblent disparaître avec les jardins publics. C’est l’heure de la prière que je déteste le plus – et ce depuis l’enfance, mais d’avantage encore depuis quelques années. La voix de l’imam qui vocifère à travers le haut-parleur, le tapis de prière roulé sous l’aisselle, les minarets tonitruants, la mosquée à l’architecture criarde et cette hâte hypocrite des fidèles vers l’eau et la mauvaise foi, les ablutions et la récitation. Le vendredi, tu retrouveras ce spectacle partout, mon ami, toi qui vient de Paris. C’est presque toujours la même scène depuis des années. Le réveil des voisins, le pas traînant et le geste lent, réveil depuis longtemps précédé par celui de leur marmaille grouillant comme des vers sur mon corps, la voiture neuve qu’on lave et relave, le soleil à la course inutile pendant ce jour d’éternité et cette sensation presque physique de l’oisiveté de tout un cosmos devenu des couilles à laver et des versets à réciter. J’ai parfois l’impression que lorsqu’ils ne peuvent pas aller au maquis, ces gens n’ont pas où aller sur leur propre terre. Le vendredi ? Ce n’est pas un jour où Dieu s’est reposé, c’est un jour où il a décidé de fuir et de ne plus jamais revenir. Je le sais à ce son creux qui persiste après la prière des hommes, à leurs visages collés contre la vitre de la supplication. Et à leur teint de gens qui répondent à la peur de l’absurde par le zèle. Quant à moi, je n’aime pas ce qui s’élève vers le ciel, mais seulement ce qui partage la gravité. J’ose te le dire, j’ai en horreur les religions. Toutes ! Car elles faussent le poids du monde. »
JiBé…
Erreur d’organe ! Plutôt que de se laver les amygdales externes cinq fois par an, ils feraient mieux, les Infidèles, de se laver le cerveau à la voltairienne lessive…
Chantal, je ne lirai pas ton livre à cause du titre. Change…. et vite !
« Sa foi en un homme animé, sa recherche, son savoir s’expriment avec bonheur et talent. »
D’accord avec JC. Le livre de François Cheng mérite le détour, bien que je ne parvienne pas à me convaincre de l’existence de cette trinité corps, esprit, âme…Il nous donne envie d’y croire et, après tout, la croyance peut être aussi féconde que la réalité quand elle va dans le sens d’une spiritualité tolérante (à opposer of course à la foi des fanatiques/dogmatiques).
« Meursault, contre-enquête » de Kamel Daoud (publié par notre actuelle ministre de la culture en 2014). Voilà un roman qui ne se contente pas de remâcher le passé, et affronte courageusement le présent et l’avenir. Son auteur a raté de peu le Goncourt, mais il a reçu un autre prix !
« Le 3 décembre 2014, dans l’émission de Laurent Ruquier On n’est pas couché sur France 2, Kamel Daoud déclare à propos de son rapport à l’islam :
« Je persiste à le croire : si on ne tranche pas dans le monde dit arabe la question de Dieu, on ne va pas réhabiliter l’homme, on ne va pas avancer, a-t-il dit. La question religieuse devient vitale dans le monde arabe. Il faut qu’on la tranche, il faut qu’on la réfléchisse pour pouvoir avancer. »
Quelques jours plus tard, cela lui vaut d’être frappé d’une fatwa par Abdelfattah Hamadache Zeraoui, un imam salafiste, qui a appelé le 16 décembre sur Facebook à son exécution écrivant que « si la charia islamique était appliquée en Algérie, la sanction serait la mort pour apostasie et hérésie. » Il précise :
« Il a mis le Coran en doute ainsi que l’islam sacré ; il a blessé les musulmans dans leur dignité et a fait des louanges à l’Occident et aux sionistes. Il s’est attaqué à la langue arabe […]. Nous appelons le régime algérien à le condamner à mort publiquement, à cause de sa guerre contre Dieu, son Prophète, son livre, les musulmans et leurs pays » (wikipedia)
D’accord aussi avec Lavande sur Marie Hélène Lafon. Elle est l’exemple type de la vraie romancière, à lire sans modération.
Deux accords de suite, ça m’inquiète. Il faut dire que WG et Pablito ne sont plus là.
« Meursault, c.ontre-enquête » de Kamel Daoud (publié par notre actuelle ministre de la culture en 2014). Voilà un roman qui ne se satisfait pas de remâcher le passé, et affronte courageusement le présent et l’avenir. Son auteur a raté de peu le Goncourt, mais il a reçu un autre prix !
« Le 3 décembre 2014, dans l’émission de Laurent Ruquier On n’est pas couché sur France 2, Kamel Daoud déclare à propos de son rapport à l’islam :
« Je persiste à le croire : si on ne tranche pas dans le monde dit arabe la question de Dieu, on ne va pas réhabiliter l’homme, on ne va pas avancer, a-t-il dit. La question religieuse devient vitale dans le monde arabe. Il faut qu’on la tranche, il faut qu’on la réfléchisse pour pouvoir avancer. »
Quelques jours plus tard, cela lui vaut d’être frappé d’une fatwa par Abdelfattah Hamadache Zeraoui, un imam salafiste, qui a appelé le 16 décembre à son exécution écrivant que « si la charia islamique était appliquée en Algérie, la sanction serait la mort pour apostasie et hérésie.»
@Lavande dit: 13 septembre 2017 à 8 h 36 min
JJJ l’a évoqué sous le billet précédent, écrivant à quel point ce roman l’enchantait.
@JC….. dit: 13 septembre 2017 à 9 h 20 min
Tu as raison, JC. Il est tellement discret. Son écriture effleure à peine la page mais il en reste une mémoire longtemps après que le livre soit refermé. Elle est tellement apaisante et d’une beauté toujours nouvelle.
Dans le bandeau publicitaire on trouve également le deuxième roman de Kamel Daoud…
http://www.actes-sud.fr/catalogue/litterature/zabor
Et cette fois, il n’est pas dans la liste des Goncourt !
j ai rencontré des gens trèstrès mal habillés et athées jusqu’à la pointe de leur cravate tâchee.horrible.
Remâcher un passé problématique qui ne passe pas ? Un rapport au temps… pathogène… L’imaginaire en dormance…
« On raconte que nous répétons ainsi des expériences plus anciennes qui, quoiqu’elles nous soient, pour ainsi dire, complètement échappées des mains, nous passionnent comme un très vieux goût aigre, délicieux et sans nom — et dans lesquelles nous nous fourrons — telle une mouche à ver dans un dépôt d’ordures, ou tel le papillon d’Irénée Bergé dans la bouche de mademoiselle Aubier »
Le salon de Wurtemberg – (Gallimard) – 1986 – Pascal Quignard
Quel esprit, Popaul ! Tu l’as lu au moins, « Meursault, contre enquête », de Kamel Daoud ?
« Il faut dire que WG et Pablito ne sont plus là. »
Il faut croire, closer, que Pablo75 et Chaloux n’existaient qu’en fonction de WGG ? Vivement le retour de ce dernier !
Marie Hélène Lafon avec ses plis âcres et son col en tergal c’est la remâcheuse en chef au rayon chèvre bio ( c’est complètement mainstream ) je ja lisait il y a plus de 10 ans, non moi je rêve d’aller voir le tartuffe de molière interprété par FAU.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=16&v=7jzDJ2Y6FII
« Marie Hélène Lafon avec ses plis âcres et son col en tergal c’est la remâcheuse en chef au rayon chèvre bio »
Chantal
Vous ne l’avez sans doute pas lue depuis dix ans, ce qui peut constituer une excuse à ce commentaire indigent.
ultra moderne solitude à la campagne puis à la ville vraiment çà pèche l’originalité … je n’ai pas envie non c’est du roman lugubre. (sous le vocable de sensible et proche des gens qu’est – ce qu’on nous ferait pas acheter … misère totale.
hors de ma vue.
« Vivement le retour de ce dernier ! »
T’es maso Annibal!
L’absence du trio infernal est très reposante.
Je suis tombé sur la critique du dernier Eric Reinhardt par Beigbeder dans le Fig Mag d’il y a deux semaines (1-2 septembre)…
Un régal de méchanceté doucereuse…
J’ai l’impression que le dernier opus d’ER est au moins aussi mauvais que le précédent, sauf qu’en plus il nous prend en otage en faisant appel à notre compassion. Comment dire du mal d’une histoire aussi émouvante?
S+55
– Très heureux du rappel de Ch., et des sympathiques réactions de P. Edel, Lavande et Closer. On se sent moins seul avec Marie-Hélène, et Passoul va devoir composer avec l’enthousiasme d’un bon nb d’internautes, sans quoi ça va chauffer
– Très surpis de l’évolution des commentaires de JC sur l’âme de Cheng. Cela m’intrigue, vu que j’avais décidé passé mon chemin. Avant d’aller y voir (peut-être), j’attendrai quand même la parution ou la représentation de « Ludwig ou l’anti-hipster » avec Fau dans le rôle principal
– Pas le moins surpris des surinterpréations habituelles de Jazzman à propos du lavage des cou.illes 5 fois par jour chez les musl.ims partiquants. Le mécréant de la rdl prend les suggestions de Daoud au pied de la b., si l’on ose dire.
– Admiratif devant la compositon photographique du jour : on se croirait chez une p… de la côte normande, ou mieux encore au bar tabac de PQ.
– Pas du tout admiratif du billet, Macron a un peu raison, d’aucuns se foulent pas, quand il s’agit d’opiner sur l’opinion d’une consoeur suisse, très bosseuse en revanche.
Bon allez les filles et les garçons, BJ on vous aime toussent. Il pluviote, faut garder le bal moral. Qu’est-ce qu’on mange ce soir en pensant à S. ?
à Popaul 12 h 25 : j’ai connu aussi de gens bien habillés et religieux jusqu’au bout de leurs rabats, horrible
Je déteste Marie-Hélène Lafon, je trouve ça un peu cucul la praline ; tiens, qu’en pense notre Christiane ?
Salut les assouliniens : alors, une brève visite non pour « remâcher le passé » (j’en ai fait table rase) mais pour prévenir que vous pourrez entendre ma voix sur France Inter demain à 12 h 30 (Philippe Bertrand « carnets de campagne »). Enfin, « ma voix »… Disons celle de la présidente de Beaubec Productions, une association toute tournée vers la passion de l’image, la conviction écologique et la vie en Bray.
Et un gentil coucou à ceux qui furent toujours courtois,(et à l’aimable hôte !) par ici… Quant aux autres, que le diable les patafiole, tiens donc !
@ 13.18, du roman lugubre.
chantal Hordemavu, vous avez raison de fermer les yeux devant ce petit roman lumineux, risquerait de vous déciller, et surtout de vous éblouir. L’est vraiment pas fait pour celzéceux qui le méritent point.
(NB/ Entendons-nous bien : je pratique également à votre égard un éloge de la cécité volontaire).
@13.34, remarque idem… Toujours les mêmes poncifs à propos de M-HL…
Mais pourquoi en plus solliciter l’opinion de Ch. ? Elle ne l’a pas encore lu, pas plus que vous d’ailleurs, ou votre clopine chantal. Au moins, Ch. a-t-elle toujours la décence de ne pas en rajouter quand elle n’a pas de biscuits. Et quand elle n’aime pas quelque chose, au moins d’apporter des arguments, plutôt que d’étaler des préjugés porcins, ce qui est toujours à la portée de la 1ère jobarde venue.
lacenaire les monsignore de Rome qui filent au Vatican avec leurs chaussettes fil d Écosse rouge ou violet et chaussures par bottiers de Londres font ma joie.
JJJ je n’aime pas cette façon de s’adresser au lecteur pour communier dans ses médiocrités c’est très prétentieux comme titre « nos vies » d’aillieurs son écriture manuscrite est boursoufflé j’ai un dédicace chez moi énorme. Je n’ai pas envie de passer des heures à la caisse d’un franprix fûsse ciselé tricoté par madame lafon, je choisi encore mes loisirs … je passe.
j’ai repéré quelque chose mais je le garde pour moi c’est chez anne carrière.
Faisant partie des honorab' »patafioles » de la rdl, je prends bien volontiers acte d’aller me boucher les oreillons face à l’arrogante qui revient ici nous faire sa marie-hélène pour se faire mousser les rémiges, selon un procédé rhétorique increvable et toujours aussi drolatique de naïveté dans le genre « épicière » du marché des légumes :
JE… patati patata, enfin pas MOI, la trouillefoux, mais une AUTRE, qui est quand même moi Cloclope, mais là, EST-Ce (es ?) QUALITES…, et filopatati et patafile.
J’ose te le dire, j’ai en horreur les religions. Toutes !
tout pareil que lemmy de motorhead polo..mais lui au moins il adorait se saper alleusse nickel korrect en uberchtourmf ss..et tu sais cqui disait aux journaleux qui le cherchait..’c’est pas dma faut si c’est les nazi qui font les meilleurs trucs’
je n’aime pas cette façon de s’adresser au lecteur pour communier dans ses médiocrités
25 cm mini 3j
13.57 rien compris à votre prétendue mise au point. Il faudrait vous relire un minimum avant de poster votre furiosité.
Qu’a-t-on par ailleurs à f… de ce que vous avez repéré chez l’éditrice AC ?…
Viendrez en parler quand vous l’aurez achevé ce bouquin, s’il vous a plu et donné envie de le faire partager. C pas + difficile que ça, voyons donc !
fallait être à nancy au livre sur la place la semaine passée au lieu de glander en attendant mes commentaires pas le temps.
à Paul Edel 13 heures 56 : je préfère les bonnes sœurs en porte-jarretelles de Clovis Trouille
Oui, c’est vrai… « il y a une paresse de l’imaginaire, un manque d’audace, un défaut de confiance dans sa subjectivité, une absence de risque, un déficit d’assurance, à ne pas se colleter à son époque et à refuser de se projeter dans l’avenir proche »
D’accord avec Pierre A.
Pour me coltiner (presque) toutes les sorties littéraires de l’année que j’estime « comestibles » dans le but d’en primer un auteur, et ce depuis plus d’une dizaine d’années, j’en suis au même constat.
Le sulfureux H. lui, ne refusait pas de se projeter dans l’avenir avec audace, mais voyez comme il déchaine les foules !!!
L’article de cette dame suisse avait fait mouche chez moi, aussi… et surtout l’analyse des « experts de l’époque » ! No future, en gros ! Alors, quid ?
On en a quand même trouvé un, de ceux qui ont l’amour de la belle langue avec le talent d’un Jaume Cabré (dans Confiteor)… et une douce attention au monde d’aujourd’hui (un peu plus que S. Tesson, mais avec autant de nostalgie). L’imaginaire en plus…
http://vendangeslitteraires.overblog.com/2017/04/ecrire-pour-reparer-les-morts.html
Restons vigilants… gardez l’oeil ouvert et tapez juste, bientôt !
Moi aussi je suis enthousiaste de Marie Helene Lafon ,de sa capacité dans un style économe a faire passer tant de choses sur les êtres ,leur sensibilité, leur manière de se situer affectivement par rapport au monde d’où ils viennent et au monde où ils vivent .
Je n’ai pas encore lu son livre de cette année mais Pays et Joseph m’ont laissé un souvenir fort
Je suis reconnaissanteà MHL de ce qu’elle m’ a offert avec la lecture de Pays ,où j’ai découvert quelqu’un qui savait dire ce que j’avais éprouvé autrefois quand comme elle, bonne élève venue d’ailleurs je me suis retrouvée non pas parisienne, mais paumée à Paris .
Jetée dans un monde non pas hostile mais étranger, qui ne me parlait pas, où je n’avais ni famille ni amis ni repères .et où peut-être, comme elle, j’aurais aimé rencontrer à la bibliothèque de la Sorbonne un appariteur venu de mon bled avec qui j’aurais pu parler de « la –bas » quand il m’apportait mes livres
Avec Joseph, toujours avec la même économie de moyens et avec l’apparente platitude d’un recit uniformement chronologique, elle dresse par petite touches , un portrait biographique tout en nuances d’un laissé pour compte des trente glorieuses ,
Je trouve qu’il y a dans son écriture non seulement pour les sujets mais pour le style quelque chose de Pierre Michon
« Il y eut ainsi parmi nous un grand lecteur qui, comme le héros de ce « Passant incertain », aimait chiner dans les vieilles bibliothèques et les librairies d’occasion à la recherche d’anciens ouvrages où sommeillait peut-être une perle méconnue. C’est ainsi qu’il fit revivre un Pierre Benoît ou un René Benjamin, sur lesquels il aimait discourir, pour le meilleur ou pour le pire, mais toujours avec le sourire, sans jamais se prendre au sérieux. »
Belle évocation d’Henri, Chantal bis. Je me souviens de ma surprise quand j’appris qu’il était un familier des Journaux de Renaud Camus ! C’était un lecteur éclectique et joyeux…
Marie-Hélène Lafon c’est du journalisme bien écrit un peu pleurnichard et tire-larmes
Henri, oui : joyeux parce qu’éclectique… avec de l’humour on peut tout recevoir !
A la bonne vôtre, J. Et merci de votre attention et de vos bons souvenirs !
@14.48, « Pour me coltiner (presque) toutes les sorties littéraires de l’année que j’estime « comestibles » dans le but d’en primer un auteur, et ce depuis plus d’une dizaine d’années, j’en suis au même constat ».
A votre place, y a longtemps que j’aurais changé de job. Persister à ce point dans l’être a quelque chose de malsain qui vous aigrit, il urge changer de crèmerie pour un job moins déprimant, aider les miséreux du tiers monde par exemple en leur portant à boire ! Comment voulez vous rester fraiche et ouverte de l’ouverture, telle la chienne stupide de la fente ?
Si vous êtes cet(te)Chantal Levêque des vendanges de l’amour, grand bien vous fasse ! Si vous êtes l’auteur(e) de @ 14.16, eh bé, allez vous faire glander à Nancy, ou soyez plus claire, nom de dieu, car vous avez des insinuations obscures analogues à celles de la la fold.ingue des faubourgs giboyeux de strasbourg pâmée devant les chapeaux de paille noire de la belge. On va finir par s’imaginer des choses.
Le « théorème de Ronald Coase » peut être expliqué aux internautes de la rdl à la recherche d’idées novatrices pour leurs futurs romans, de la façon suivante.
« L’objectif de Coase n’est pas de proposer une solution universelle aux externalités car toutes, que ce soit l’intervention publique ou le marché, ont des coûts. La solution la plus adaptée (la moins coûteuse relativement aux bénéfices) dépend donc des circonstances particulières de chaque situation et c’est pourquoi l’argumentation de Coase repose sur des exemples. Un des ceux qu’il tire de la jurisprudence anglaise est l’arrêt Sturges v. Bridgman de 1879. Un médecin avait récemment installé son cabinet médical au fond de sa propriété, mitoyen à l’atelier d’un confiseur. Parce que le bruit des machines rendait l’auscultation difficile, le médecin présenta le cas devant la justice et obtint gain de cause : le droit d’être protégé des nuisances lui fut reconnu. Coase souligne qu’il serait possible de modifier la répartition des droits qui résulte de cette décision de justice au moyen d’une négociation entre les parties. Supposons que le déménagement de l’un ou de l’autre soit la seule solution possible et que le coût du déménagement du confiseur (100 $) soit inférieur à celui du médecin (200 $). Le confiseur est prêt à payer jusqu’à 100 $ au médecin pour que celui-ci déménage, mais le médecin demande au moins 200 $ pour le faire : dans ce cas, il n’y a pas d’échange possible et le droit reste entre les mains du médecin. Coase examine ensuite la situation inverse, dans laquelle le droit de nuire aurait été attribué au confiseur. Il insiste en effet sur la nature réciproque du dommage : le médecin est tout aussi responsable de la nuisance que le confiseur puisque s’il n’exerçait pas à cet endroit, il n’y aurait pas de nuisance. Coase imagine alors le même type de négociation : le confiseur pourrait accepter de déménager à condition que le médecin lui donne une somme supérieure à 100, ce que ce dernier accepte puisqu’il est prêt à payer jusqu’à 200. Dans ce cas, le confiseur vend au médecin le droit qui lui avait été attribué, pour un montant compris entre 100 et 200 $ et les deux gagnent à l’échange – qui est donc dit mutuellement avantageux. Dans les deux cas examinés, le confiseur déménage ; le même résultat est donc atteint, quelle que soit l’attribution initiale du droit, et il est collectivement efficace (c’est la moins coûteuse des deux options). L’argument de Coase repose sur une hypothèse implicite selon laquelle, en l’absence de coûts de transaction, tous les échanges mutuellement avantageux ont lieu ».
(Ce extrait de texte a été mis en ligne à la libre consultation des internautes de la toile mondiale, hier, par Elodie Bertrand). Bonne méditation.
« Le passé ne meurt jamais. Ce n’est même pas le passé ».
(William Faulkner)
Clopine, quoique tu fasses, co.nne tu es, co.nne tu resteras !
Ceci dit en toute amitié compassionnelle, ton Beaubec écologiste pour tarés, tu peux te le carrer dans l’anneau de Saturne.
Bien à toi et amitiés à l’âne !
Voilà le défaut de ce blog : on ne sait pas à qui on parle ! On s’en prend plein la figure par des gens qui se méfient de tout.
Je n’ai pas pour habitude de me cacher sous des oripeaux falsificateurs, histoire de planter quelques couteaux là où ça fait mal (ou pas d’ailleurs !). Sans parler de l’usage d’une vulgarité dont je préfère m’abstraire.
A la bonne vôtre, à vous aussi… je vous laisse à vos recherches d’inspiration pour la blogosphère (même si… des histoires de conflit de voisinage, on est toujours dans la même veine !)
Lacenaire, c’est le même monde qui se retrouve dans des villas du Monte Sacro.
@16h
Illisible. Trop long….Un théorème c’est autre chose.
Jacques Chesnel dit: 13 septembre 2017 à 16 h 12 min
POUR REBONDIR !
« On ne peut pas vivre sans le passé parce que tôt ou tard, le passé incrimine le présent. Le passé, ce qu’il nous enseigne, c’est de modifier, de corriger la trajectoire maintenant, dans le présent. Oui, il incrimine le présent pour que nous le changions parce que pour lui, c’est trop tard. » L.M.
Pour ricocher : ce que vous venez d’écrire, chantal, c’est déjà le passé, comme ce post là quand vous l’aurez lu
D’accord avec Paul Edel :
– le « Vatican est une boite gay, courant historique pédophile, ouverte 24h sur 24.
– la bourgade mecquoise est un havre de paix, d’amour et de tolérance, valable pour un sexe sur deux.
– Jérusalem est un isoloir pour Elus sans contrôle de légalité
Eh bien, JJJ et JC, les femmes, vous les aimez comment ? Crues, cuites, à point, saignantes !
Vous oubliez qu’il en reste la trace, le souvenir, J. Ch.
D’abord un bonjour à Clopine. Heureuse de lire un post d’elle bien que Jazzi nous donne de temps à autre des nouvelles.
Ensuite, pour en revenir à Marie-Hélène Lafon. Je ne peux parler de son dernier roman que je n’ai pas encore lu mais de Joseph, oui.
Elle était venue présenter son roman dans une petite librairie, rue Lamarck. Dans ce petit espace quelques chaises et elle. Un visage difficile à oublier, des yeux aux aguets. Une pile de ses livres devant elle.
Des extraits du roman lus par les deux libraires, par elle aussi. Nous commencions à nous faire une idée du roman et la langue de l’écrivain. Joseph, le taiseux, ouvrier agricole qui se loue dans le Cantal. La soixantaine. Un roman qui part d’une maison, d’une terre, d’un corps, des objets, des bêtes. Un monde âpre. Un roman comme un fil de souvenirs déroulé pêle-mêle à un rythme régulier comme les journées de Joseph dans un flot en continu.
Je pensais aux Vies minuscules de Pierre Michon, à la Félicité de Flaubert.
Lisant le roman, plus tard, ces impressions se sont confirmées.
Dans le jeu des questions-réponses qui a suivi, je l’ai trouvée trop… enseignante… pointant un doigt impérieux sur celui ou celle qui posait une question. On voyait qu’elle avait l’habitude de saisir des questions au vol, d’y répondre avec l’assurance de l’agrégée de lettres qu’elle est. Ravie. Elle disait : « J’émonde, j’élague, je taille dans la matière.(…) J’écris comme une tape, je creuse, je creuse… ». Très exigeante. Une écriture d’artisan. Mais ce moment m’a gênée car elle se faisait critique littéraire de son livre. J’aime que ce soit deux personnes différentes : critique face à un écrivain.
A lire, JJJ, elle a donc changé de terre et de personnages. Paris. Une caissière de supermarché. Des gens dans la rue, dans le métro. C’est intéressant ce risque. Je lirai ce livre aimé par six d’entre vous, des exigeants.
Chantal m’étonne. Mais un compte pour un. On peut ne pas aimé certains auteurs comme JJJ, hier…
En ce qui me concerne, ce sont les femmes qui m’aiment ! Moi, je les respecte …
Il n’y a que le passé: le présent fuit seconde après seconde, et sauf pour la mort et les taxes, l’avenir est imprévisible…
Ce sont des femmes qui aiment la charcuterie, JC, après elles se tirent fissa devant l’odieux charcutier spécialiste de l’andouille
Le passé ? De la merde à oublier, vite !
Le présent ? Des semeurs déraisonnables !
L’avenir ? Des récoltes improbables, quelques fleurs….
Il faut être fait de mauvais saucisson comme toi, camarade Lacenaire, pour ne pas savoir que l’andouille plait aux femmes, au delà du concept….
« Moi, je les respecte … »
Debouts, assises, couchées, JC ?
…
…@, JAZZI,…11 h 37 min,…
…
…il y a, quelque chose, de faux,…dans les délires de Kamel Daoud,…
…
…d’abord, çà façon, de dénigrer, ses contemporains,…façons faciles,!…
…j’écris, pour les occidentaux,!…donc, je collabore, avec le capitalisme des pseudo – intellos, à l’européenne,…
…
…l’Algérie, c’est pas l’Inde,…tout aussi, indépendants, l’une ey l’autre,…pourquoi faire,!…
…sortir en pyjama, avec ses pantoufles,!…
…
…il ressent, le ridicule, qu’apporte les religions, danq la vie civil,et ses loisirs pour vivre pleinement, sa liberté d’être, dans la cosmologie,…
…
…mais, la façon, avec lequel il s’exprime, …frôle, un concours de circonstances, à la Salman Ruchdie,…pour en être devenir, réfugier – du libre écrire, sans trouver, ou apporter, de solutions, que ce que tout le monde, peut écrire, de n’importe quoi,!…
…sans constructions sociales inventes, pour relever, les mœurs actifs, des comportements, tout en n’oubliant pas, le soleil de plomb, qui y persiste, en ces régions du globe,…
…
…mais, non,…laissez tes gens tranquilles, avec le temps, ils deviendront , mieux que nous, sous la pluie,…pourquoi pas,…
…
…marre de tout,!…inventez, des maisons de repos,!…mieux que chez-nous,!…les bananes,!…thé, café, biscuits, crèmes, ananas,!…avec des grandes surfaces à côté,…à nos dromes – madères,!…
…
…souvenir, d’un film, avec Pierre Richard et l’autre zouave italien-français,…Aldo Maccione,…quelle panoplie de films,!…
…etc,!…
16.30 Croyez tout de même pas que je vais m’acquoquiner avec cette salope de JC qui passe son temps à respecter les femmes ! Vous me prenez pour qui, oh là ?
Et puis, est-ce un questionnaire IFOP-Guêpier où il faudrait cocher l’un des 4 fantasmes inducteurs de ce journal ?
Si c’est le cas, petit rappel de méthode : au moins, toujours prévoyez deux cases « NSP » (ne sait pas) et « RR » (refus de répondre)…, d’autant plus icite pour celzéceux incertain-es de la nature de leur sexe, de leur genre et de leur automobile. Minimum syndical professionnel exigé. See infra.
Tout est destiné à passer, BdB, mais il y a ceux qui aiment se retourner et ceux qui préfèrent regarder devant eux. J’appartiens à la seconde catégorie…
JJJ, tu trembles comme un lapin saisi par un migrant affamé….. Sacré Gigi !
Vous semblez croire, Jazzi de 16:30 que les femmes sont de la viande ? Je laisse cela a un autre d’ici
« S+55 »
Combien la rançon, pour récupérer le corps, vivant ou mort de Sergio, JJJ ?
il y a ceux qui aiment se retourner et ceux qui préfèrent regarder devant eux
avec dracul t’éteins haussi la lumière..et hon peut comprende
bordo y veut fourguer sa rillette vegan au soja
En l’espèce, je suis plutôt végétarien, Jacques CH. Je pointais seulement la grossièreté de JC et JJJ à l’égard de Clopine et de Chantal Bis…
« t’éteins haussi la lumière »
Je ne tire jamais les rideaux ni ne ferme les volets de ma chambre, le boug. Je ferme et ouvre les yeux sous la lumière du soleil, de la lune ou des étoiles…
il y a une paresse de l’imaginaire, un manque d’audace, un défaut de confiance dans sa subjectivité, une absence de risque, un déficit d’assurance,
—
Pas seulement chez les auteurs, en général, chez les politiques, les industriels, etc.
En 2 décennies, le numérique aura beaucoup émoussé les aspérités humaines, la société s’est standardisée, le monde aussi (on trouve de la confiture Bonne Maman à Khan Market à Delhi, alors que ies produits locaux sont excellents…).
Anywhere out of this world?
(Comparés au sort des Rohyngas, nos petits malheurs de nantis restent dérisoires, cela dit)
Les Rohyngas ont ce qu’ils méritent…. la réaction indienne est magnifique de sobriété.
(on trouve de la confiture Bonne Maman à Khan Market à Delhi, alors que ies produits locaux sont excellents…)
t’es hun peu trop au courant dirait heiseunbergue
que l’amitié ne te rende pas aveugle, mon pauvre !
dailleurs baroz elle elle a jamais été « morte »..comme quoi ton soleil c’est l’tien et y brille pas pour toulmonde
la réaction indienne est magnifique de sobriété
cette façon de dire est hindigne du club..tu vas te faire virer
à JC : Clopine une c.onne ? elle produit des films et cause dans le poste pendant que tu tripatouille ton andouille, alos le c;on c’est plutôt toi… uhuhuh
@16.52n Les « délires de Kamel Daoud » ??? (après le gentiment dit « mécréant », par Jazzman). Vous m’étonnez beaucoup, GS’A ! Vous vous imaginez sans doute que KD aurait surtout cherché à se faire mousser en Occident comme un ‘martyre’ des islamofascistes, à l’exemple d’un S. Rushdie avec ses ayatolesques versets sataniques ?… Mais enfin, respectez les temporalités, les cultures et les contextes, au moins, et ne comparez pas ce qui n’a pas de raison !… En 20 ans, KD a signé plus de 3000 chroniques dans les journaux algériens tolérés d’abord, puis dans le monde entier quand la célèbrité est venue avec son roman Meursault. Le 100e de ses chroniques publiées en France atteste de son attention constante à son pays natal et à sa capacité, chaque jour, à appuyer les moindres séquences de l’actualité et de la non actualité où son pays lui faisait mal, là où il se faisait mal de le voir aller dans le mur où il s’enfonce depuis la prétendue « indépendance » de 62.
Je n’ai jamais aussi intimement bien compris ce que pouvait ressentir un journaliste et intellectuel talentueux de 40 ans qui pense chaque jour à sa génération ancienne, à la sienne et au devenir de la suivante. Bien plus profondément même que les réflexions d’un Bourdieu dans les années 60 ou de celles de sn fidèle et regretté Abdelmalek Sayad, inscrit dans le même sillon épistémologique (qui avait pourtant su faire entendre sa différence d’exilé post colonisé).
Ne chargez pas KD, Giovanni !… C’est tout à fait injuste, je ne comprends pas de quoi vous vous vengez présentement, peut-être du propre exil de vos parents, une épreuve qui ne vous a pas été épargnée, quand il urgeait de peindre sans espoir de vivre de votre peinture… Essayez plutôt de vous imprégner de ses chroniques avant de le juger sur quelques images de télévision, ce qui n’est vraiment pas votre manière habiutelle, je suis vraiment très étonné. Vous pouvez penser que ses deux romans sont de la daube, mais les chroniques de KD resteront à jamais incontournables pour nous expliquer la substance des espoirs et des déceptions intimes d’une génération mortifiée par la tournure des « printemps arabes » des années 10 (hélas inconnus de l’Algérie mortifère de Bouteflika), à la lumière des décennies qui les auront suivies.
Je suis d’accord avec Chantal, pour son avis sur le col de mme Lafon. Et puis des romans de profs qui tirent tout vers le bas, ça va bien.
..tarzoune c’est docgynéco
« cette façon de dire est hindigne du club..tu vas te faire virer » (Bougboug)
Tu te souviens de ce que disait le meilleur des Marx, Groucho :
« J’aurais honte de faire partie d’un club qui accepte des membres de mon espèce ! »
Après vérification, par respect pour ce géant de la pensée :
« Jamais je ne voudrais faire partie d’un club qui accepterait de m’avoir pour membre. »
j’éteins la lumière haussi
Paul Jorion
Le dernier qui s’en va éteint la lumière
http://www.fayard.fr/le-dernier-qui-sen-va-eteint-la-lumiere-9782213699035
Kamel Daoud, comme j’ai compris a la même idee que le poète Adonis, sur la necessite de combattre l’islamisme, et de ne rien ceder à l’Islam politique. Tout en reconnaissant les difficultes enormes a réformer cette religion meme si beaucoup d’intellectuels et de jeunes y sont favorables.
Mais K. Daoud voit cette réforme nécessaire sous le seul aspect du statut des femmes, c’est un peu macho.
« J’ose te le dire, j’ai en horreur les religions. Toutes ! Car elles faussent le poids du monde. »
C’est peut-être cette dernière phrase de Kamel Daoud qui a gêné GSA, JJJ ?
Serait-il catho ?
on trouve de la confiture Bonne Maman à Khan Market à Delhi
–
On ne vous cachera pas qu’on s’en tape royalement, Bloom.
jorion n’a fait que lire les journaux suisse des années 2000 qui havaient fort bien hanalysé l’endettement sur 2 générations pour payer son chalet..depuis tout les 6 mois il fait son dracul.. »tout ça finira mal » comme disent les anglais au club
Lacenaire !
Lorsqu’on n’est plus capable de distinguer* une c.onne d’une princesse de l’esprit, il vaut mieux rester célibataire voire grabataire ….
* à cet égard, dédaigner l’Ouzo est une affaire de survie pour celui qui cherche âme soeur…
Serait-il catho ?
..hau hazard? en fil d’écosse ? il aime haussi l’andouille?..t’as pas honte véniçien dmes deux
L’ouzo, c’est spécial au goût mais ça saoule drôlement bien. J’aime bien.
Pas si simple que ça LVDLB. Kamel Daoud écrit cela quelques années après que l’Algérie a subit une crise sans précédent : journalistes, écrivains, chanteurs… saignés comme des moutons de l’Aïd par les islamistes locaux. Il a aussi divorcé de sa femme quand elle a commencé à porter le voile. Contrairement à Camus, il vient d’une famille aisée, père militaire…
17.04 Pour l’instant, ni la police judiciaire ni les médecins oncologues consultés ne veulent se prononcer ou communiquer là-dessus. D’aucuns prétendent ne pas comprendre de qui on leur parle. Je respecte cette tactique, de toute façon, leur silence nous donne encore de l’espoir.
17.08 Ah bon ? Moi grossier avec Clopine T. ? Mais j’ai TOUJOURS réagi de la même façon à ses stratégies de valorisation bécassines sur le blog rdl). Mon éventuel irrespect est strictement proportionné au sien.
Moi grossier avec Chantal Bis ? Eh bien relisez ses qualificatifs, jazzman !… Et vous trouverez normal que quand on attaque gratuitement vos amies écrivaines, (-seraient-elles toujours dotées d’une disgracieuse hexis corporelle d’institutrice provinciale non finie-), avec des mots d’infini mépris, il faut s’attendre à ce qu’elles soient défendues avec un même degré de venin dans la riposte… (Je reconnais que sur ce coup-là, Chantal Bis a peut-être raison de se plaindre des insinuations d’usurpation de pseudo des dafnaée ou autres martine chantal débois.
17.14 Enfin Bloume est arrivé sur les malheurs des Rohyngas vus par les internautes de la rdl tous en alerte à ce sujet… Nous attendions ses éclairages diplomatiques, peu désireux d’en rester aux news charriées par les chaîens officielles et les réseaux sociaux frelatés sévissant du côté du st barth post cycloné en ce moment. DOnc, que nous dit la diplomatie française vécue de l’intérieur sur place, au juste ?
« t’as pas honte »
J’essais de trouver une explication à cette réaction sans précédent de GSA, le boug ! Aurait-il lu le livre dont il était question ?
Ne regardez pas Daoud comme on regarde Snow white, un héros/héroïne, mais plutôt comme un nain courageux … Simplet ? Prof ? Grincheux ?
Kamel Daoud ne représente RIEN, hormis son courage, insensé. Rien…. hélas !
On va être bien féroce. Mme Lafon voudrait être la Zola du franprix.
« J’ose te le dire, j’ai en horreur les religions. Toutes ! Car elles faussent le poids du monde. »
c’est malheureuzment que l’espression dune haine de soi..faire la part du feu aux autres..sur que ça fausse
Nous allons nous quitter, car le soleil se couche … Répétons :
« Les Rohyngas ont ce qu’ils méritent…. la réaction indienne est magnifique de sobriété. »
JJJ, Clopine c’était pour JC. Non, Chantal et Chantal Bis ne sont pas la même personne. Tu t’emballes trop vite…
c’est qui gsa bordel..on est pas dans la washington post baroz
Bas rosis,rien n’est simple. K.Daoud a été aussi chez les « frères musulmans ». Il en est sorti.
« ni la police judiciaire ni les médecins oncologues consultés ne veulent se prononcer ou communiquer là-dessus. »
A ce point là, JJJ ! Tu connais l’identité de Sergio ?
Traiter Clopine c.onne, il n’y a que le roi des c.ons JC pour le reconnaître
Comment se pousser du col marie-héléne ou claudine, quand on n’a soi-même aucun talent ?…
et « puis des romans de profs qui tirent tout vers le bas »…,
valent beaucoup mieux que ceux des profs ratés qui coient tout tirer vers le haut, en éructant leur bile tous les jours pour se venger de leur propre traumatisme inaugural.
G(iovanni) S(ant’) A(ngelo), le boug, t’es lourd !
Evidemment, Lacenaire, nos livres du Royaume des Cons sont à jour : elle paie sa cotisation chez nous….
Chaque année !
« K.Daoud a été aussi chez les « frères musulmans »
Oui, il sait donc de quoi il parle, LVDLB…
tu peux seulement te faire du mal ducon, je survole, je survole. Next.
Très bonne analyse de DHH sur Marie-Hélène Lafon.
A lire les commentaires qui lui sont hostiles, on se demande si leurs auteurs ont lu autre chose que des interviews ou des citations tronquées.
Je reconnais qu’elle n’est pas très bonne à l’oral et révèle un côté prof qui n’existe absolument pas dans ses livres. Christiane has a point there…
Ne la regardez pas à La Grande Librairie mais lisez la.
Exactement K. Daoud sait mieux de quoi il cause que les akademiciens de Paris, mais c’est pas une raison pour faire du sexisme…
@ Mme Lafon voudrait être la Zola du franprix.
On rigole de la saillie, et puis on sort se mettre au frais, car ça commence vraiment à puer des chaussettes… Après avoir dit cela :
1 Mme Lafon ne veut rien.
2 Mme Lafon n’a évoqué qu’en quelques lignes le supermarché du franprix, comme annie ernaux évoquait le monoprix de st quentin en yvelines où elle fait d’ailleurs toujours ses courses, car c’est un très bon sujet de littérature, la vie des supermarchés…, (mais ce n’est dans ce roman qu’un détail très minoritaire qu’on aurait tort de monter en épingle à nourrice… et voilà comment les rumeurs finaudes se propagent chez les spécialistes habituelles des fake news)…
3 Madame Lafon n’a jamais pensé que le prix Goncourt pouvait prétendre récompenser une Zolate, vu sa composition.
4 Madame Lafon à trop de pudeur pour s’abaisser à répondre à de telles bassesses. Déjà qu’elle ignore totalement l’existence de ce blog lui-même, bien trop éloigné des problématiques du Cantal, comme on dirait icite. Comment le pourrait-elle ?
Bloom, tu passes sans transition des confitures Bonne Maman au massacre des Rohyngas, sacré pas de deux ! Tu peux nous en dire plus ? Ici, la polémique se réduit à trois prix Nobel de la Paix pour contre une…
18.01 // mais je me fais du bien au contraire, voyons au contraire ton survol en rase-motte d’un air fort contrarié pour ne pas dire très constipé, martine duconne.
Va, je ne te hais point…, ta journée de coaching a été si difficile ? T’inquiète, bientôt la quille dans les îles…
18.01 // mais je me fais du bien au contraire, voyons au contraire ton survol en rase-motte d’un air fort contrarié pour ne pas dire très constipé, martine duc.on.ne.
Va, je ne te hais point…, ta journée de coaching a été si difficile ? T’inquiète, bientôt la quille dans les îles…
G(iovanni) S(ant’) A(ngelo), le boug, t’es lourd !
gsa..pour faire magnifique sobriété..c’est hindigne..c’est toi le poids du monde baroz
« mais c’est pas une raison pour faire du sexisme… »
De quel sexisme s’agit-il, LVDLB ? Il parle du rapport malade des arabes, en général, au corps de la femme et de la tendance à le voiler, dès l’enfance. Un peu comme Tartuffe : « cacher ce sein que je ne saurais voir ! »
Plus loin, dans l’extrait de « Meursault, contre enquête » que j’ai cité, il écrit :
« Regarde un peu le groupe qui passe là-bas, et la gamine avec son voile sur la tête alors qu’elle ne sait même pas encore ce qu’est un corps, ce qu’est le désir. Que veux-tu faire avec des gens pareils ? Hein ? »
je survole, je survole. Next.
sapré dsapré tarzoune..
Kamel D. a l’air de drôlement bien savoir ce qui se passe dans la tête d’une petite fille voilée.ça laisse perplexe,il en sait ds choses.même la façon de se promener en pyjama.Il est bleu clair à sainte -anne.
17.47 et bien… le courage, ça représente QUELQUE CHOSE plutôt que RIEN.
Quand pourrez-vous le comprendre, JC ? vous le prétendu couil.lu de ces dames qui en êtes à ce point dépourvu (de cou.illes courageuses, veux-je dire).
y’a pas que le fil d’écosse et la camisole et les mauvais pinards dans la vie polo..faut positiver comme tarzoune
@closer
De MHL vous dites « Je reconnais qu’elle n’est pas très bonne à l’oral et révèle un côté prof qui n’existe absolument pas dans ses livres »
Vous et Christiane parlez de ce coté prof comme d’une insuffisance ;peut-etre cette posture se traduit elle par une certaine raideur à l’oral ;mais prof ,elle met justement ses qualités et ses exigences de prof dans son écriture et c’est ce qui en fait la force :écriture seche marquée par la rigueur la simplicité, le souci du mot juste,le refus de l’effet ,
D’ailleurs contrairement à ce que dit Christiane elle n’est pas agregée de lettres mais de grammaire(dixit WIKI),ce qui suppose une attention d’une nature pointilliste aux textes .
Vous et Christiane parlez de ce coté prof comme d’une insuffisance
drh elle voit midi a sa lourde..et c’est pas rien
« En Francia se habla de la novela nacional, o el relato nacional. »
Cette première phrase d’un article de El Pais sonne étrangement faux. Les expressions « roman national » ou « récit national » seraient-elles intraduisibles?
Qu’en dit Bloom pour l’anglais?
En tout cas DHH, ses livres ne contiennent absolument rien de didactique, de démonstratif, de donneur de leçon, de prêchi-prêcha, bref de tout ce qui m’empêcherait de les aimer.
Vous êtes mieux placée que moi pour apprécier ce que sa formation de grammairienne peut apporter à son art.
Qu’en dit Bloom pour l’anglais?
« la grandeur »..cloclo..la grandeur..c’est l’intro pour la risée..bon c’est quand même moins con qu’une pétasse en short et serre tête en zinc..et polo t’interdit d’havoir une idée de cqu’elle a dans lcitron..c’est prudent
Il n’y a pas que l’Islam qui demande à être réformé, enfin réformé je dis ca pour être sympa et tolérant. Ce qui me rassure c’est qu’il va subir le même sort que le catholicisme en France, à force de rétrograder il va disparaît des retros…
Qu’en dit Bloom pour l’anglais?
« la grandeur »..cloclo..la grandeur..c’est l’intro pour la risée..bon c’est quand même moins bête qu’une pétaçe en short et serre tête en zinc..et polo t’interdit d’havoir une idée de cqu’elle a dans lcitron..c’est prudent
nico et sa bê êm..vroumvroum
2eme bonne nouvelle les agnostiques n’existeront plus, en tout cas plus rattachés à un monothéisme débilitant. Non mais franchement qui peut croire que si un dieu existe il a envoyé des débiles sur terre pour raconter n’importe quoi au premier crédule venu ? J’rigole!
Je suis un ancien alphiste, qu’on me respecte un peu c’est peu demandé.
Janssen J-J dit: 13 septembre 2017 à 18 h 24 min
Pauvre Gigi : un œil sur la ligne jaune de la bienséance, un autre sur la cuvette WC pour le trop plein de frustration … Tu ne comprends rien à rien, ma pauvre bête, car tu es dans ton monde étroit comme le ver dans le camembert trop fait qui lui apparaît comme le cosmos !
Ah ! ces littéraires …
Vivant en somptueux château, mais avec une seule fenêtre à la mécanique rouillée… que dis je : un vasistas…
Pauvre JJJ !
Daoud ne représente absolument rien ! son courage est celui du désespéré, un opposant bien pratique à l’islamisme triomphant. Vas tu le comprendre, co..nnard… ?
Paul, si tu n’aime pas le « Meursault, contre enquête », de Kamel Daoud, pourquoi ne pas le dire franchement ?
Je reviens de Tunisie, pays que j’aime ainsi que les Tunisiens, et je suis assez perplexe sur la situation actuelle. Je suis actuellement plongé dans la littérature méditerranéenne, des deux côtés de la Méditerranée. Dernièrement, j’ai lu « La trilogie du Caire » de l’égyptien Naguib Mahfouz. L’histoire romancée d’une famille, celle de l’auteur, où les femmes ne sont même pas autorisées à sortir dans la rue. J’ai enchainé avec l’algérien Kamel Daoud. Là, j’ai commencé la lecture du roman de l’écrivain Orhan Pamuk, « Neige ». L’histoire d’un intellectuel quarantenaire, d’une bonne famille d’Istanbul, qui rentre de douze ans d’exil à Francfort pour enterrer sa mère. Il ne reconnait plus la ville de son enfance et accepte de partir en reportage à Kars, ville frontalière avec la Russie, pour un grand quotidien d’Istanbul. Officiellement pour couvrir les élections municipales, mais surtout pour enquêter sur une épidémie de suicide de jeunes femmes voilées. Passionnant et effrayant. Pendant ce temps, nous, à Paris on en est à disserter sur le roman sans fiction…
Avec tout ce qui s’est écrit a hue et à dia sous ce fil sur Marie Helene Lafon , le billet de Passou quand il va nous parler de son roman arrivera comme le verdict du juge de paix départageant les plaideurs
Jazzi, je n’ai pas lu le roman de Kamel Daoud,je te le dis franchement,pas une priorité.. je suis dans les oeuvres completes de Boulgakov et je m’y sens bien; plaisir de retraité…depuis des mois…
simplement, dans le texte donné sur la RDL Kamel D. remarque que ses compatriotes qui vont prier sont pas habillés errible.. ça m’a fait marrer ;je pense que Kamel , sa famille,ses proches, ils ont un beau projet; leur projet c’est peut-être de tenir une chaine de pressings.ou d’ouvrir un pressing près d’une mosquée.. comme les catholiques aiment avoir une pâtisserie pas loin de leur église..tu vois, je n’attaque personne, je m’interroge,je me questionne.aboie pas.
Tous ceux qui ont lu Marie Hélène Lafon en ont dit le plus grand bien ici, DHH. Je ne l’ai encore jamais lue. Et Chantal lui fait un procès de sale gueule, facile, certes, mais qui m’a bien amusé : c’est vrai qu’elle a une tête de vendeuse de fromage de chèvre bio ! Passou n’aura pas grand chose à départager et elle semble bien partie pour le Goncourt. Sur les femmes voilées ou sur l’algérien Kamel Daoud, vous n’avez rien à dire ?
…
…@,…Janssens J-J,…à 17 h 23 min,…
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…si , vous le dites,!…confortez – le, dans votre cœur,…
…moi, je préfère m’en garder,!…et m’en passer,!…de ses priorités et turpitudes littéraires nationalistes,!…
…
…je retourne à mes jeux, Just for gamers,!… etc,…
Je n’aboie jamais mais je peux mordre, Paul !
bien sûr qu’elle n’a pas tort, même que ça fait 10 ans que je le dis…
sauf que quand c’est moi qui le dis personne ne me croit…
par contre la petite dame le déplore, mais elle ne sait pas la raison du pourquoi du comment de ce ressassement du passé au détriment du présent.
alors que moi je le sais, même que ça fait 10 ans que je la donne la raison du pourquoi du comment.
si elle veut savoir le pourquoi du comment la petite dame elle n’a qu’à m’écrire et je lui dirai, je ferai cet effort si ça ne me gonfle pas trop, et comme ça elle finira sa journée plus intelligente qu’elle ne l’avait commencée.
en fait la raison tient en 2 points essentiels.
une première responsabilité vient des éditeurs qui n’ont pas trop intérêt à ce qu’on parle trop du présent, sinon on finirait par risquer de parler d’eux et ça il préfèrent l’éviter, du coup il préfèrent éditer tout ce qui parlent d’avant.
l’autre raison vient de l’origine sociologique des écrivains, ils ont un peu honte d’être tous des bourges privilégiés, du coup s’ils parlent trop du temps présent ça risquerait trop de les concerner, du coup ils préfèrent éloigner les regards du présent, comme ça ils sont plus tranquilles.
sans faire de conspirationnisme, le monde de l’édition reste étroitement lié au monde politique qui depuis les années 80 utilise la culture comme moyen de noyer de poisson.
du coup tout le monde a tout intérêt à ce que les écrivains ne parlent pas trop du temps présent.
du coup ils nous bourrent tous le mou avec l’histoire.
DHH dit: 13 septembre 2017 à 18 h 28 min
Nous nous sommes mal comprises, DHH. Ce côté prof qui m’a gênée n’a rien à voir avec son écriture que j’apprécie mais avec la façon dont elle a pris l’échange en mains. Les libraires ne pouvaient plus être des passeuses. Elle posait les questions, y répondait comme un meneur de jeu expert. Trop de virtuosité, à mon goût pour un auteur. Par ailleurs ses réponses, ses analyses étaient impeccables : un vrai cours de littérature. C’est le mélange des genres qui m’a embarrassée, pas le livre que j’ai beaucoup aimé. Quant à son physique, mes remarques étaient loin d’être moqueuses. J’évoque quelqu’un aux aguets, prête à saisir toute vibration du petit groupe présent dans la librairie. Souvent les auteurs sont plus à l’aise dans l’écriture que dans les entretiens. Elle, on aurait dit qu’elle interviewait… Marie-Hélène Lafon…
l’Histoire et débiter la liste de toutes les misères et tous les malheurs du passé, c’est aussi un moyen de dire aux gens : de quoi vous vous plaignez ? regardez vos aïeuls combien ils ont souffert, vous à côté c’est le club med !
sûr que même les chômeurs longue durée ont la vie belle à côté des types qui ont fait Verdun.
et hop ! voilà comment tout le monde se fait enfumer par des historiens complices des pouvoirs en place qui cherchent à éviter que les gens prennent conscience des réalités de leur sort.
mais ça même la p’tite dame déploreuse elle l’a pas compris !
l’autre raison vient bien sûr des écrivains, en tout cas de tous ces bourges qui n’ont pas connu de grands malheurs personnels et qui du coup vont chercher dans le passé les malheurs de leurs aïeuls pour les déculpabiliser d’avoir la vie belle et de n’avoir rien à en dire.
sûr qu’on trouvera toujours dans l’Histoire de quoi émouvoir le lecteur, c’est limite trop fastoche, pour laver leur honte et leur culpabilité d’appartenir à une bourgeoisie honteuse et coupable de pas souffrir.
les types qui débitent toutes ces misères de l’Histoire on a envie de leur dire : n’ayez pas honte de vos origines bourgeoises ! ayez au moins le courage de les assumer.
en tout cas il faudra bien qu’un jour quelqu’un, écrivain, ou journaliste, ait le courage de le leur dire entre quatre yeux !
mais la p’tite suissesse qui déplore ça m’étonnerait que ça lui soit arriver jusqu’au cerveau, alors elle peut toujlurs déplorer, d’autant que le suisse adore déplorer, alors qu’elle dé »plore cette gourdasse !
Et ce soir, qu’est-ce que tu manges, hamlet ?
Je te conseillerais des petits fromages de chèvre bio, toastés, avec une salade de mâche ?
« Inutile de se le cacher : il y a une paresse de l’imaginaire »
effectivement, c’est inutile de se le cacher.
sauf que personne ne se le cache vu que tout le monde le dit et le redit depuis 20 ans mais qu’il n’y a pas pire sourds que celui qui ne veut pas entendre.
soyez rassurés de l’imaginaire et de l’audace on en trouve encore aujourd’hui, plus dans les livres qui sont devenus le pré carré d’une bourgeoisie rabougrie, mais dans les éries TV.
pourquoi ? parce que les scénaristes de séries ne se sont pas encore faits bouffer par l’esprit bourgeois (pas les scénaristes bourgeois mais les autres).
les scénaristes eux ils n’ont pas peur d’aller au charbon pour pondre des séries qui parlent aux gens de leur monde, et ça tout en passant par l’imaginaire et la fiction.
la littérature est morte ! vive les séries télé !
Je n’ai pas été très fine pour parler de MH L cependant je l’ai rencontrée à une réunion du Pen Club International il y a plus de 10 ans, j’ai acheté son livre à l’époque un peu contrainte et forcée ( Sur la Photo ) pour renflouer les caisses de cette organisation qui défend les auteurs mis en danger de mort pour leurs opinions politiques et disons qu’en relisant j’ai trouvé çà maigre, peu généreux comme littérature et que j’ai le droit de dire que je n’aime pas. C’est le genre de dame hautaine que j’esquive le plus dans le monde des happy few cultureux. Depuis longtemps je me demandais qui était Chantal Bis, donc merci je ne fait que signer aussi de mon prénom et je n’ai pas de pseudo sournoi, ni ne parle au nom des autres en déformant leurs propos.
Sur ce bonne nuit, et je comprend la lassitude de certains critiques qui doivent lire et rendre copie honnête d’une tonne de livres à chaque rentrée car jurés et obligés.
Muchos gracias & besos.
ce soir je bouffe des petits suisses à la crème !
@ le verdict du juge de paix départageant les plaideurs
Bien vu, DHH ! car pour une fois, il pourra justifier d’une opinion objective et masquer son papier en conséquences : il se sera rangé à la majorité de ses internautes et aura voté en conséquence avec la majorité d’entre eux (pro ou anti). Nous n’aurons plus à nous creuser pour décoder ni les opinions ni le vote de taulier préféré. La RDL aura enfin détrôné son blogueur, victime de son succès (brèfle, une vieille affaire recyclée de la Leçon du l’Ugène Ionesquo, si j’me souviens bien :-))
@19.49, Très bonne mise au point chantal, j’ai eu peur que vous ne fussiez l’une des 2 autres abjectes créatures… MHL n’est pas une « dame hautaine ». Comment ne voyez-vous pas qu’elle s’est carapaçonnée de la honte d’exister comme petite provinciale illégitime dans le monde de la bourgeoisie littéraire urbaine cultivée, au point d’en être restée paralysée à vie dans son corps, en dépit du succès inespéré advenu de la grande capitale ?. Mais enfin, ça crève les yeux ! Et si elle exaspère la petite bourgeoisie au fort capital culturel et au faible capital économico politique que la plupart d’entre nous représentent icite (pardon pour ce réductionnisme holistique), c’est qu’elle cherche à démontrer la singularité de son excellence littéraire auprès d’un monde qui ne la lui accordera jamais et la renverra toujours à sa condition de paysanne… donc, elle s’y prend obstinément mal et en subira toujours les séquelles, quoi qu’elle fasse et puisse dire ou écrire. Rien de bien nouveau sous le soleil de la reproduction des mécanismes habituels de la domination intra muros.
(next, à dégager voie 12) …
Un article du Monde sur les rohingas…La cause est entendue. Ce sont des bengalis musulmans introduits par les anglais pour travailler dans une province birmane qu’ils ont peu à peu colonisée, comme toujours par la démographie. Ils furent des auxiliaires des anglais et se voyant devenir majoritaires, ont revendiqué, y compris par la force, la création d’une province islamique dans ce qui était auparavant une province bouddhiste.
S’ils laissent faire, les bouddhistes sont condamnés à être expulsés de leur propre pays, comme les serbes (dans leur grande majorité) ont été expulsés du Kosovo par d’autres musulmans…
Toujours la même histoire.
@JJJ
vous parlez comme le Bourdieu de la Distinction
ce n’est pas de ma part un reproche Ce Bourdieu là je le trouve tres pertinent et je suis sensible au côté decapant de sa pensée
je suis moins convaincue par ses points de vue sur la Reproduction ou la noblesse d’Etat
…
…Oui,!…hamlet,…il prend son pied à deux mains, et, nous en passe une bonne couche,!…
…on, n’en demandait pas autant,!…etc,!…
…
On a déjà vu cette photo.
Dans la liste de Marianne Grosjean, je n’ai pris qu’un seul livre.
mme Lafon, qui roule en BMW ( Bourdieu Marx Weber) jusqu’au Franprix de la rue du Rendez-vous, depuis son bled, répond complètement à cette désolation :
« Bref, de quoi oublier totalement les enjeux de notre époque et de celle dans laquelle nous pourrions vivre. »
@ 18.43 Reviens donc nous voir quand tu te seras un brin cultivé, au lieu de raconter tes calembredaines cosmologiques habituelles
http://www.revue-interrogations.org/Ginzburg-Carlo-Le-fromage-et-les
Que c’est vieillot tout ça, mme Lafon vous a épargné prisunic.
Dans l’excellentissime roman de Giuseppe Pontiggia, Le Joueur invisible, un universitaire, mis en cause dans un court article anonyme paru dans une revue savante, mène l’enquête pour identifier l’ennemi.
Aux deux tiers du livre (ch. XV), il consulte un ami, auteur 30 ans auparavant d’un roman plus que prometteur mais totalement bloqué depuis, incapable d’en écrire un autre (ne pas s’énerver, Hamlet, il ne s’agit PAS du Jep Gambardella de La grande Bellezza).
L’ami est devenu lecteur pour une maison d’édition (ce qui nous vaut des pages très amusantes qui, au-delà de la satire, proposent en creux une réflexion sur l’écriture), et si le professeur s’adresse à lui, c’est parce qu’il compte sur ses capacités de lecteur, la puissance et la finesse de ses analyses ; avec son expérience des manuscrits, son ami devrait réussir à se faire immédiatement une idée sur l’auteur de l’article …
Après lecture, relecture et pause concentrée :
« En premier lieu, c’est quelqu’un qui pose des questions et ensuite y répond (/se répond à lui-même). Donc, c’est un enseignant. »
Autre indice venant confirmer cette intuition, la manière dont l’auteur de l’article découpe sa démonstration par étapes qui suggèrent le geste d’accompagnement : « Jusque-là, rien à redire »
La suite n’a rien à voir avec les échanges en cours, mais le roman (traduit et publié chez M. Nadeau) mérite le détour.
P.S. M-H Lafon ne rapporte pas du fromage de chèvre, mais du Saint-Nectaire.
Pas sur du tout que le Daoud, tout Goncourisé qu’il fut, fasse le poids face au Sansal sorti presque la meme année, qui ne se laisse pas facilement oublier…Qui se souvient d’Hedi Kaddour???
petit rappel pour Petit Rappel :
« Le prix Goncourt 2014 a été attribué ce mercredi 5 novembre à Lydie Salvayre pour son roman «Pas pleurer» (Seuil). La romancière obtient le prix au 5e tour de scrutin avec six voix, contre quatre à Kamel Daoud, auteur de «Meursault, contre-enquête» (Actes Sud). Le jury a déjoué tous les pronostics, puisqu’on prévoyait un combat final entre Daoud et David Foenkinos, auteur de « Charlotte » (Gallimard). »
@Qui se souvient d’Hedi Kaddour???
Moi.
Ce qui n’enlève rien à son courage de chroniqueur. Mais il ne suffit pas d’etre le bon arabe de service, comme naguère le carbonisé Tahar Ben Jelloun!
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