Remâcher le passé
On pourra encore déplorer la misère de l’édition de livres d’histoire en regard de son âge d’or, et depuis plusieurs années, on ne s’en prive pas. Mais curieusement, on n’a guère prêté attention au fait que, par un étrange phénomène de vases communicants, ce qui disparaissait d’un côté réapparaissait de l’autre : l’Histoire était simplement passée en partie de son champ naturel au champ d’à côté, celui de la fiction.
Il ne s’agit pas des romans historiques, genre de longue date installé dans un domaine aux frontières bien balisées tant par ses auteurs que par ses lecteurs. C’est du roman littéraire qu’il s’agit, celui qui concourt pour les grands prix d’automne et passionne les critiques toute l’année. Nous connaissons même l’éminent juré d’un grand prix qui peste rituellement chaque année contre cette tendance. Or rarement comme en cette rentrée ces écrivains auront nourri leur inspiration dans le déjà su, déjà vu, déjà lu et déjà connu du passé. Une véritable inflation.
Tant et si bien que la critique Marianne Grosjean, en en dressant l’inventaire pour une pleine page de la Tribune de Genève, a intitulé son article « Les auteurs de la rentrée littéraire 2017 remâchent le passé » (que ce verbe est cruel…) avant de leur donner le coup de grâce dans le sous-titre en leur reprochant de « snober le monde actuel ou imaginaire » (que ce verbe est féroce…). Elle a été jusqu’à compter les romans concernés éditeur par éditeur : Grasset remporte la palme puisque la quasi totalité de sa production littéraire (11 romans) est tournée vers le passé, suivis par Stock (ratio de 7 sur 9), et le Seuil (ratio de 5 sur 6). N’en jetez plus !
N’empêche que sur le fond, elle n’a pas tort. Les thèmes dominants ne surprendront pas : les deux guerres mondiales (Niels d’Alexis Ragougneau, La disparition de Joseph Mengele d’Olivier Guez…), l’après-guerre (La gloire des maudits de Nicolas d’Estienne d’Orves) les Trente glorieuses, la guerre d’Algérie (L’Art de perdre d’Alice Zeniter, Un loup pour l’homme de Brigitte Giraud…), Mai 68 (Le déjeuner des barricades de Pauline Dreyfus…), la libération des mœurs, l’émancipation des femmes, la louange des grands hommes (Légende d’un dormeur éveillé de Gaëlle Nohant), des grands destins (Bakhita de Véronique Olmi) et des grands artistes (Je me promets d’éclatantes revanches de Valentine Goby, Un certain M. Piekielny de François-Henri Désérable) se taillent la part du lion, pour ne rien dire des fresques les plus ambitieuses qui embrassent tout le siècle.
Inutile de se le cacher : il y a une paresse de l’imaginaire, un manque d’audace, un défaut de confiance dans sa subjectivité, une absence de risque, un déficit d’assurance, à ne pas se colleter à son époque et à refuser de se projeter dans l’avenir proche. Il est tellement plus pratique de s’en remettre à des personnages déjà construits et célèbres, plutôt que les créer de toutes pièces, et à des événements avérés et connus plutôt que les inventer. Sauf à se donner pour ambition de les dépasser. A mettre la barre si haut que l’Hisoire en est larguée. Encore faut-il considérer personnages et événements comme un moyen et non comme une fin. Les tenir quasiment pour des prétextes et leur donner une épaisseur et une vérité auxquelles l’historien prisonnier de ses sources et archives n’a pas le droit d’accéder.
On en revient à la formule d’Alexandre Dumas : il est permis de violer l’Histoire à condition de lui faire de beaux enfants. Le problème, c’est qu’en s’emparant de ses faits et gestes, nombre de romanciers ne décollent guère du réel, ne transcendent pas cette matière toute prête et si prometteuse, et souvent peinent à en faire de la littérature. Ce qui résiste à être forgé par l’enclume de l’historien se fond plus naturellement dans le creuset du romancier. Sauf que ça ne marche pas toujours. Alors ces écrivains se retrouvent au point de départ sur la même ligne que tant d’historiens, indifférents à l’écriture ou impuissants à l’honorer, et qui réussissent parfois l’exploit de rendre le vice aussi ennuyeux que la vertu.
(« Les Roches noires », Trouville, photo Passou)
1 010 Réponses pour Remâcher le passé
…
…si, c’est juste, pour interpréter, les actualités, du jour, à vos sauces,!…autant, la fermé,!…s’en alambic,!…
…
…de quoi, attraper, la nausée – mâchée,!…
…
…faire, son Goncourt, sans s’y livrer,…
…etc,!…
Suite du 0h55
Bon, ce que je découvre maintenant, je le tais. aux lecteurs de tenter l’aventure. Et elle vaut le coup même si elle désarçonne certaine… oui, ce n’est pas ça un roman (selon les critères habituels), alors qu’est-ce que c’est ? C’est vous, JJJ qui m’avez mis la puce à l’oreille !
Vous avez écrit dans un de vos commentaires à M-H.Lafon : Merci de nous parler de nos vies. Je mets à part votre prière de ne pas lui en vouloir de ses prestations à l’oral (émissions) car elle serait en manque de reconnaissance de l’élite germanopratine. Ça, je ne le crois pas du tout. Cette femme donne une impression de force, de maîtrise extrême dans ces émissions et entretiens. Elle est double et aime professer, analyser, décrypter ses romans.)
Je préfère l’autre, l’inconnue, l’écrivaine comme vous dîtes – mais je n’aime pas ce féminin).
Et j’aime votre remarque. Je relie les deux.
Ses livres baignent dans un imaginaire débridé où se tirent à file-la-laine des généalogies plus emmêlées les unes que les autres – y compris celle de la narratrice, fille de boutiquiers – ce qui n’a rien à voir avec la vie de M-H.L. Mais de ce flots d’imaginations c’est notre réel – elle écrit sur le motif- qu’on prend en pleine face par les mille et un détails qui lui servent de briques et de ciment. Elle n’en finit pas d’observer les gens, de noter leurs gestes, leur démarche, leurs habits et habitudes. Elle croise cela sur plusieurs générations, leur invente des mémoires plausibles où les évènements de notre actualité s’installent comme des lapins et des colombes dans le chapeau ou les manches du prestidigitateur. et ça marche. Les lecteurs sont bernés ! Les « vies imaginaires de M.Schwob ou celles « minuscules » de P.Michon. Elle croque avec une plume alerte ces destins imaginaires d’être un peu paumés dans une solitude couverte de glu. Oui, lvdb et je ne sais plus qui ont raison : l’ambiance est un peu vieillotte et lasserait peut-être des jeunes lecteurs (de moins de cinquante an… peut-être…
Mais quel art de la suggestion ! Des récits-fiction ? Est-ce que ça existe ? du vrai dans du faux. Elle attaque le réel par l’oblique, celle des mots laboureurs et remonte le sillon jusqu’au temps des grands-mères et même avant, devenant historienne d’une anti-Histoire mise à nu, côté gens. Concis, âpres comme le blond de la chevelure-botte de paille de la caissière. Cet orgueil de vouloir atteindre la perfection de l’écriture… Elle en est sortie de sa terre natale, de la ferme familiale, des deuils, des rancunes, du sentiment d’échec, du patois de l’enfance, des lacunes familiales. Elle s’est mise au monde ailleurs, dans une géographie de hasard, par les villes traversées, le métier de prof et surtout, à trente-quatre ans, par l’écriture, sa terre d’équivalence. La langue littéraire. Et là elle ne fait pas pitié, elle est royale, magistrale. Et toute l’humanité du monde s’y donne rendez-vous. Et c’est bien beau. Et c’est elle, en abyme… toujours la même, un monolithe.
Sœur Christiane
Un monolithe, chez moi, c’est réglé comme du papier à musique. Lorsque j’aperçois un monolithe, ce qui m’arrive asse souvent dans ce monde normé, j’ai l’ardent désir de pisser dessus…
Mon voisin, psychanalyste quasi normal, m’a dit : « C’est bien naturel, ça soulage. Ne bouge pas, je vais te chercher ce qu’il te faut… ». Il est revenu avec le dernier Eric Reinhardt.
Quel soulagement …!
Pour oublier l’hiver parisien, un jardin en sursis à visiter, LVDLB
https://www.youtube.com/watch?v=uxUTDTtJHYY
A propos de nos vies, Christiane, Sergio, que je ne connaissais essentiellement qu’à travers ce blog, contrairement à toi, je crois, était-ce un personnage réel ou virtuel ?
Bonjour à toussent, et à SG en particulier.
1 – D’abord, -charité bien ordonnée- des nouvelles de ma frêle mentule : prfaitement exact, elle s’est mise à refonctionner hier soir après 14 ans d’hibernation. Merci pour elle, frère Mentulo ! Il était temps qu’elle se déverrouille d’elle-même à la faveur de… Merci JC, j’espère que de votre côté, vos pratiques sodomit.iques incestueuses habituelles furent des plus satisfaisantes, cette nuit encore.
2 – Ch. – Comme vous savez bien nous parler de l’intérieur des romans ! Vous offrez le regard magnifique d’une lectrice empathique, au meilleur sens de cet adjectif qualificatif : avec vous, les romans de nos vies, on les explore et on les revisite au moins trois fois. Merci.
3 – Cher m. Passou, vous m’apprenez ce jour l’existence d’un grand roman américain qui s’était confondu à son auteur. En effet, il m’était jusqu’à présent resté totalement inconnu. Par conséquent, ce 15 septembre qui pouvait mal s’augurer pour la rdl (les annonces nécrologiques sont toujours bien tristes), sera joyeux, l’occasion je l’espère, d’une fabuleuse découverte. Je vais aller voir ce que donne cet « homme gingembre » de JP Donleavy
http://www.gallimard.fr/Catalogue
/GALLIMARD/Folio/Folio/L-Homme-de-gingembre
@ GS’A, Pour ma part, je n’oublie jamais rien de vos écrits cabriolants et pittoresques sur ce blog. Ne croyez pas que d’aucuns ne fassent rien de vos innombrables traces spumescentes. Elles constituent un matériau d’illustration incomparable, et pour ma part, de la substance pour mon futur essai sur les goûts (et les dégoûts) des imaginaires propres à la blogosphère littéraire (à paraître aux éd. virtuelles Damazone Lassouline).
@ Delaporte, Votre histoire de revenu universel me travaille depuis des mois. Ce matin, il y avait sur les onndes, un jeune allemand de 29 ans qui y revenait dans le cadre de la promotion de ses utopies créatrices, un essayistes d’une imaginiation apparemment fertile (J’ai oublié son nom, paraît qu’il ferait un carton à st germain des prés). J’aimerais simplement suggérer que ce n’est pas avec des Hamon, englués dans notre système insitutionnel mortifère, qu’on verra cette affaire se réaliser un jour. Il faut d’abord « déconstruire Hamon » en posant sans cesse les fondations préalables mondiales de ce qui rendrait possible le passage de l’utopie à la réalité. Et d’abord sur le plan théorico-pratique. Pourriez-vous vous y coltiner pour nous ? Merci.
Faire les délices de Freud/Lacan :
» Elle attaque le réel par l’oblique, celle des mots laboureurs et remonte le sillon » C.15 septembre 2017 à 10 h 04 min
La raie qu’ on pense de la lit tes ratures!
(*-*)
Avant de partir au boulot… pour dame Christiane : concernant CM, vos certitudes vous trompent une fois de plus, ce n’est pas ce que vous croyez, ce sont les initiales de mon patronyme : Claude M… fin du quiproquo
La meilleure façon de cacher son identité ? Changer de sexe !
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19572063&cfilm=246155.html
qu’attendez-vous, Jazzi ?
Assez de Pas V dans la marre, ça suffit les conneries!
JAZZI dit: 15 septembre 2017 à 10 h 34 min
« Sergio, était-ce un personnage réel ou virtuel ? »
Il me semble… un être réel à plusieurs pseudo, donc un personnage virtuel qui avait pris consistance d’un être réel et qui nous manque beaucoup mais qui continue d’écrire ici et ailleurs sous d’autres pseudos.
Lacenaire dit: 15 septembre 2017 à 10 h 43 min
Vous êtes trop compliquez. Allez, zou !
compliqué
Merci, Christiane, c’est bien ce que je pensais : il a été enterré par d’autres lui-mêmes… Bérénice aussi a disparue des écrans. En revanche, pour WGG, bien réel celui-là, son silence, c’est plus inquiétant !
On en arrive à cette constatation, ancienne, par le roman, et renouvelée, par le virtuel – une forme de remâche du passée -, à savoir que la disparition d’un personnage imaginaire est presque aussi attristante que celle d’une personne réelle !
remâchage
Toi, moi, Paul Edel et quelques rares autres, serions-nous les derniers représentants d’un monde anachronique ? Résistons !
JAZZI dit: 15 septembre 2017 à 11 h 17 min
Oui, même inquiétude que toi pour W.
Pour ton amie, Cl./Marie, tu as été extra. Un ami comme toi, c’est rare. Elle doit être heureuse de la reconnaissance que ces quelques minutes sur les ondes d’une radio prestigieuse ont provoqué. Malgré les grandes réticences (motivées) que j’avais à son égard et que j’ai toujours, la retrouver après son hiver difficile (ce que tu nous en a dit) est un soulagement.
@ Ch. et alter…, au risque d’être trop compliqué…
Vous lisant attentivement, je me pose toujours la question de savoir jusqu’où votre extrême capacité d’empathie à l’égard de MH Lafon par ex. dont vous venez de donner une nouvelle preuve pourrait s’exercer à ce point à propos d’un romancier écrivain car la frontière ne me parait pas toujours très claire avec des projections inconscientes de ce qui constituerait votre empathie en tant que femme). Il me semble en effet toujours détecter dans votre empathie un biais de genre qu’il faudrait prendre comme objet d’étude à bras le corps.
Admettons la proposition, pour avancer un peu à ce sujet, de ces 3 postulats apparemment « machistes » en guise de propositions liminaires : 1 – Les femmes, de manière générale, percevraient plutôt les ruptures des rapports humains comme des agressions et donc plutôt comme des dysfonctionnements ; 2 – Plus souvent que les hommes, elles placeraient les relations humaines au centre de la résolution des conflits et des dilemmes moraux 3 – Elles valoriseraient davantage les outils de l’empathie, de la compassion et de la sollicitude au détriment des principes de justice plus abstraits caractérisant plutôt l’éthique masculine.
Si ces quelques postulats de la sociologie morale généraliste paraîtront douteux à la rdl (dès lors qu’ils sont proférés par un homme sondant l’empathie d’une femme à l’égard d’une romancière), ils ne sont alignés que pour mieux nous demander s’ils sont susceptibles ou non d’être transposés dans le domaine de l’investigation littéraire. Autrement dit (brèfle), la lecture compréhensive et empathique d’un roman resterait-elle in fine toujours fatalement genrée ? Si tel n’est pas le cas, notre défi est de démontrer et de prouver qu’elle pourrait transcender le genre du lecteur et de sa cible. Je souhaite bon courage à toussent.
http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio/L-Homme-de-gingembre
@christiane
Comme vous savez bien parler des livres que vous aimez ! vous devriez avoir votre RDL à vous où nous irions chercher vos conseils de lecture comme nous en trouvons sur les billets de Passou
Dans ce que vous écrivez sur Marie Helene Lafon sur la manière dont elle fabrique des vies de gens inconnus à partir d’impressions qu’elle met en cohérence ,il se trouve que je le fais aussi .
Chaque matin de la terrasse du bistrot ou j’ai mes habitudes je vois aux mêmes heures les mêmes gens descendre de l’autobus ou prendre un café au comptoir et de petites touches en petites touches, avec aussi des clichés et des scenarios qui sont dans ma tête, je les construis dans l’espace et dans le temps, je leur invente une vie , j’imagine des relations entre eux qui se creent où se distendent , parce qu’ils se mettent à arriver ensemble ou parce qu’ils n’arrivent plus ensemble .
Mais hélas là s’arrête la ressemblance avec la démarche de Marie Helene Lafon ,car moi je ne serais pas capable d’ en faire un roman de recreer par l’ecriture l’epaisseur de ces vies ,je n’ai pas ce don .Car le talent d’ecriture on peut certes le cultiver par le travail, mais je pense qu il ne s’acquiert pas ;C’est une chance qu’une bonne fée peut accorder à la naissance à ses elus et dont les autres sont et seront inexorablement dépourvus ;
Parmi les gens qui postent ici ,l’une,la seule peut-etre , de ces chanceuses c’est Clopine
@ La raie qu’ on pense de la lit tes ratures!
(la récompense de la littérature, autrement dit ???).
Y’a encore des amatrices d’effets’y’au d’poële ? Pat Mouille ne semble avoir guère évolué sur son temps… Tiens, au fait, qu’est-ce qu’il devient le François George ?
(fiche wiki) En 1979, il se fait remarquer en publiant chez Hachette un ouvrage polémique, intitulé L’Effet ‘yau de poêle de Lacan et des lacaniens’, dans lequel il entend démonter, non sans un humour caustique, la rhétorique de Jacques Lacan, la théorie et le discours lacaniens, qui à l’époque jouissent d’une aura débordant largement la psychanalyse. Selon lui, cette fétichisation du discours et du signifiant ne repose que sur des jeux de mots et n’est que poudre aux yeux, révélant en fait « un discours du maître » et une « thérapeutique du pitre ». Le livre de François Georges apparaît en fait comme une description humoristique d’un séminaire lacanien typique des années 1970, l’auteur s’étant d’abord introduit dans un cercle qui se livrait à l’exégèse des écrits de Lacan. Son témoignage présente ce cercle comme une véritable secte au langage ésotérique, les « disciples » participant à une sorte de « rituel de parade » autour de la parole du Maître ; pris dans cette communication basée sur des mots-clés, des mots de passe et des signes de reconnaissance, qui fait que l’obscurité est prise pour de l’épaisseur, François George commente : « sans me comprendre moi-même, je parlais lacanien ». Annie Le Brun salue cet ouvrage et ce qu’elle considère comme une magistrale démystification de « la saga lacanienne », « une des plus prestigieuses réussites françaises dans la course à la crétinisation internationale. »
Parmi les gens qui postent ici ,l’une,la seule peut-etre , de ces chanceuses c’est Clopine
–
La seule peut-être ? Certainement pas.
Clopine est douée, elle a une patte plaisante, c’est un fait. Mais lisez JC…il écrit remarquablement bien. Personne n’y fait attention à cause du fond qui dérange. S’il fallait hiérarchiser les qualités d’écriture, je placerais JC devant. Je suis sincère. Ueda était lui aussi très bon, sinon il y a Chaloux qui écrit très très bien.
Oui, mais le plus doué, le plus romancier, c’est toi, D. ! Tous les autres sont leur principal personnage. Toi, tu les inventes, leur donne vie et les tue à point…
Avec 35 ans de lectures de manuscrits et de romans publiés, le point 3 de JJJ parait assez proche de la réalité expérimentale quand il écrit : – « Elles valoriseraient davantage les outils de l’empathie, de la compassion et de la sollicitude au détriment des principes de justice plus abstraits caractérisant plutôt l’éthique masculine…en revanche, il m’est apparu que les hommes acceptaient pus facilement un refus de manuscrit que les femmes.j’en au connu dont la vie, après plusieurs refus, basculaient vraiment dans la dépression..
Tu délires Jazzi. Je puis t’assurer qu’il n’en rien.
est
Je doute que Simone de Beauvoir, Marguerite Duras ou, plus près de nous, Christine Angot témoignent de beaucoup d’empathie, Paul ? Cette dernière, ne brille pas spécialement par son empathie, en procureuse des lettres, chez Ruquier…
Ne sois pas modeste, D. !
Ce qui est aussi surprenant et réjouissant, quand les femmes se confient au papier , c’est qu’elles inventent facilement leur écriture, elles ont une « originalité « naturelle.. Une incroyable réserve cérébrale pour parler au plus prés de leurs corps, de leurs sentiments, de la sismographie de leurs émotions, de leur roman familial. de Duras à Ernaux.. De Darrieusecq à Angot ou Nina Bouraoui ….c’est assez marqué.. elles quittent facilement les habitudes d’écritures du passé.. Vite ! hors des sentiers.. et une immense capacité pour suivre leurs mouvements de conscience et leurs pulsions.. Virginia Woolf en est l’exemple parfait. Presque chimiquement pur. Un écrivain masculin est davantage dans les filiations. Enfin, me semble-t-il..
Slancha/Slainte and fair play to you, J.P.!
Jazzi, tu confonds écriture,bataille avec les mots sur le papier et bla bla tele et clowneries pour se faire remarquer…. enfin! regarde Duras, l’empathie pour sa mère, ses amants, son petit frere..son passé indochinois…poiur annemarie stretter,son double..le vice consul et tout ça..
« Une incroyable réserve cérébrale pour parler au plus prés de leurs corps »
Allégées qu’elles sont par l’absence de couilles, peut-être ?
« Duras, l’empathie pour sa mère, ses amants, son petit frere..son passé indochinois…poiur annemarie stretter,son double..le vice consul et tout ça.. »
Des miroirs pour mieux réfléchir l’image de « La Duras », Paul !
Marguerite Yourcenar est-elle réductible à son genre (sexe) ?
Sur la liste des romans de la rentrée, en couverture du Magazine littéraire, 14 hommes pour deux femmes ! Combien de dépressions ?
@D 12 h 03
je ne suis pas du tout d’accord avec vous.
les commentateurs que vous citez écrivent bien en ce sens que leur prose est élégante ,précise et claire et leurs propos et argumentations intelligemment structurés et bien tournés .
Mais le don d’écrire c’est autre chose ,c’est la capacité de créer avec des mots un monde dans lequel le lecteur se trouve plongé, de décrire des sentiments qu’il a l’impression de partager .C’est ce que possèdent à un haut degré Duras Virginia Woolf Aragon ou Simenon
peut-être ceux que vous citez ont-ils ce don ;mais il ne se manifeste pas dans ceux de leurs écrits auxquels ils nous donnent accès sur la RDL…..
tandis que Clopine…. voyez ses nouvelles
Un loyer parisien défiant toute concurrence !
http://www.leparisien.fr/paris-75/a-paris-albert-dupontel-deloge-d-un-hotel-particulier-loue-a-un-prix-derisoire-14-09-2017-7261104.php
« les commentateurs que vous citez écrivent bien en ce sens que leur prose est élégante »
Dans le fond ou dans la forme, pour JC, DHH ?
» ces quelques minutes sur les ondes d’une radio prestigieuse » ( Christiane qui met sa toge.)
Mais c’ est d’ un ampoulé!
Tout le monde y passe à cette émission radio-bobo!
Mais qui a mis un Pas V dans la mare?
« Delaporte, Votre histoire de revenu universel me travaille depuis des mois. »
Il y avait hier dans Le Figaro la chronique de Luc ferry sur le revenu universel et la fin du travail. Mais il dévie le débat vers une sombre discussion sur l’intelligence artificielle. La fin du travail est une question qui demande beaucoup plus de rigueur que ne peut en mettre ce pauvre Ferry. Ceci pour dire que néanmoins le sujet turlupine certains, et même au Figaro… qui jouent à de faire peur, alors que, je le redis pour résumer, l’abolition légale du travail sera une étape essentielle et décisive vers la libération de l’humanité. Un programme pour mille ans !
Quand à l’IA, elle irait bien dans ce sens de la libération de l’humanité… sauf qu’elle menace aussi l’humanité. L’homme sera-t-il assez sage pour la modérer, et ne l’utiliser qu’à bon escient ? C’est là un véritable défi pour l’avenir, et pas gagné d’avance, quand on connaît l’imprudence humaine en matière de science et de progrès.
La sonde Cassini, c’est fini.
La solution à ces questions réside dans la décroissance. L’homme en est encore à apprivoiser cette idée. C’est une idée grandiose, une clef pour notre avenir, si nous voulons un avenir. Nous sommes déjà à la croisée des chemins…
Vous avez raison DHH, les mondes que Clopine crée dans ses nouvelles. Vous faites bien de mettre l’accent dessus.
Clopine est une conteuse née. C’est pour cela qu’elle n’est pas assez prise au sérieux.
Vous feriez mieux de dormir la nuit, Delaporte.
« Cette dernière [Angot], ne brille pas spécialement par son empathie, en procureuse des lettres, chez Ruquier… »
Jacuzzi, pour le peu que j’ai regardé, j’ai trouvé qu’Angot apportait du positif à cette désastreuse et immonde émission de TV. Elle est sérieuse, posée, très calme, et elle dit des choses mesurées et justes. A elle toute seule, elle va faire de ONPC un rendez-vous nécessaire…
Blabla et cloneries pour se faire remarquer, vous pensiez précisément à Jazzi sans trop oser le dire, Paul Edel, c’est ça?
Ce n’est pas très gentil pour lui; permettez-moi d’être attristé par vos propos.
« Vous feriez mieux de dormir la nuit, Delaporte. »
Je dors quand j’ai sommeil.
@Delaporte
La solution à ces questions réside dans la décroissance. L’homme en est encore à apprivoiser cette idée. C’est une idée grandiose, une clef pour notre avenir
Ce n’est pas une idée d’avenir mais du passé.
Vous êtes sans doute trop jeune pour avoir vécu l’époque où l’objectif de la croissance Zéro était à la mode , portée notamment par celui qui était Président de la commission européenne Sicco Mansholt
Cette idée etait un des themes fondateurs du bouillonnement bobo annonciateur de 68
Votre histoire de revenu universel me travaille depuis des mois
avec dlalourde c’est pas légal..les mots hont une vie prope
« Cette idée etait un des themes fondateurs du bouillonnement bobo annonciateur de 68 »
Dans l’ébullition de mai 68, il y eut des choses vraiment intéressantes et prophétiques. On serait, je crois, bien inspiré d’y revenir, et de regarder davantage par exemple tout l’héritage des situationnistes, qui ont apporté à la réflexion générale des idées pour l’avenir. Ces idées restent en suspens, car elles n’ont jamais été appliquées, et en ce sens elles restent d’une modernité intrinsèque.
c’est pas pareil drh..faut y rgarder dplus prés..mais c’est trop dboulot pour dlalourde..un ote le fra a sa place et lui dira légalment qu’il aura ldroit de sla fermer
D’ailleurs, je sais bien qu’à une époque on parlait de « croissance zéro ». Moi, je dis qu’il faut aller plus loin, et je rejoins ceux qui prônent carrément la « décroissance ».
‘ne travaillez jamais’ situ était un désengagement dlalourde..houblie pas qu’ils étaient coco..
croissance – croissance zéro – décroissance : tel est l’avenir de l’humanité si elle veut survivre !
Elles valoriseraient davantage les outils de l’empathie, de la compassion et de la sollicitude au détriment des principes de justice plus abstraits caractérisant plutôt l’éthique masculine…
rooh..même pas honte
Ceci pour dire que néanmoins le sujet turlupine certains, et même au Figaro…
surtout..c’est le gage hultime de la pérénité des profits..ha ce sujet je trouve le propos du film ‘downsizing’ particulièrement bien vu..trés belle idée
Sergio n’a jamais utilisé d’autres pseudos, et il n’écrit plus sur la rdl depuis fin juillet 2017. Les gars des soucoupes protestent contre les allégations de cricri.
bas rosis à 10h23, pas dans mon programme du weekend, j’ai d’autres idées, lors des journées européennes du patrimoine, c’est aussi l’occasion de nourrir son imaginaire…
Paul Edel voit double, c’est le problème de ceux qui lisent Duras par obligation.
Delaporte je vous ai déjà posé la question mais elle est restée sans réponse de votre part. Un certain nombre de métiers ne peuvent pas être faits par des robots et sont fondamentaux. Aide-soignant par exemple. Pensez-vous que quelqu’un sera motivé pour faire un métier difficile alors qu’il gagnerait la même chose sans rien faire et en vivant du revenu universel ?
« Pensez-vous que quelqu’un sera motivé pour faire un métier difficile alors qu’il gagnerait la même chose sans rien faire et en vivant du revenu universel ? »
Je pense qu’aujourd’hui les gens qui sont salariés ne sont pas assez rémunérés. Ceux qui sont au Smic et font des tâches ingrates sont littéralement exploités. Il y a tout un état d’esprit à revoir, une révolution dans les esprits à faire. D’autre part, on sait pertinemment que le travail est une denrée qui se raréfie. Il faut tenir compte de cette extinction lente, de cette disparition programmée. Le revenu universel avec l’abolition légale du travail restent dans la logique de notre avenir à tous, c’est certain.
@JAZZI du 12 h 52 min
Prenons exemple sur Duras, Jazzi.. son écriture, traditionnelle dans « barrage contre le pacifique » avec le temps, s’est dépouillée, épurée, devenue « blanche » avec des indications neutres, des dialogues si mats , avec une vibration ,des silences, est reconnaissable à 10 km à la ronde.. d’ailleurs on s’en moque ou la pastiche..admirable… Ça culmine dans « le ravissement de Lol V stein. Dans tous ses livres elle parle du désir féminin. Ses héroïnes, Vera Baxter Lol V. stein, Tatiana Karl, Anne marie Stretter, Anne Desbaredes sont toujours le point focal.tiut le récit tourne autour. Spéculaire. Une attente démesurée. ,un Amour dont on ne guérit pas..sa prose, ses thématiques partent d’ un point incandescent ,avec des réactions au pourtour sur tout le reste, décor, personnages. une phalène zig zague autour d’un point lumineux.. Elle est allée tres loin la Margot dans sa construction, dans sa prose, dans son agencement du monde ..comme souvent les femmes qui écrivent. Je pense à Nina Bouraoui. Carson Mac Cullers..
Simone de Beauvoir, c’est tout autre chose :c’est une mémorialiste de son émancipation intellectuelle…. pas du tout une femme de fiction. Elle n’invente rien.
comme chez beaucoup de femmes l’ écriture se manifeste clairement : c’est une écriture spéculaire. Un centre des émotions, un corps, notamment, une sensibilité- sensualité, qui appelle toutes les convergences, ce qui n’empêche pas, au contraire, de mettre en scène la comédie sociale vue avec lucidité,(souvent cruauté) c’est-à-dire, sclérosée et faussée..( ce que ressent toute femme Bovary..)ça se découvre si bien dans Virginia Woolf…) avec aussi des empathies amoureuses (notamment pour un « petit frère » un amant chez Duras ) ; écrire chez elle n’est pas absolument « détruire » ( sauf sur le plan social et politique l’Indochine coloniale ou la bourgeoisie en 68 avec « détruire dit-elle..)) mais dans son écriture elle ouvre une voie, une attente bordée de silence. .elle réfracte, éprouve, traduit en échos et leit -motiv musicalement dans son écriture , un amour impossible, lancinant, une attente sans fin, mais avec des personnages vrais autour . Comprends Jazzi qu’elle invente sa Forme. .il y a une danse, un tanto durassien dans sa construction de chaque livre…et puis Relis « les petits chevaux de Tarquinia » cette histoire de vacances sur une plage italienne met en scène le romancier et ami Elio Vittorini et sa femme, c’est d’une exactitude psychologique parfaite…. Le rôle de l’attente et de l’ennui ..Dans tous ses livres, quelqu’un tente de rejoindre quelqu’un d’autre, mais dans une promesse de béatitude ou extase infinie qui s’épuise c’est ..presque mystique.. Relis Jacques, relis. ne reste à la surface des choses..mon petit jazzi chéri comme dirait WGG
Moi, Delaporte, et sans vouloir vous donner de leçons, si je dormais quand j’ai sommeil, je ne meriterais pas mon gros salaire (j’ai la chance de me situer dans la tranche des 2 pour cent de travailleurs français gagnant plus de 8500 euros par mois)
Et je ne vous donnerai pas un centime sur celui-ci, que ce soit bien clair et net.
Y’a que Sergio qui a essayé de prendre le vélo d’Anne Marie Stretter à côté du tennis désert. À mon avis c’était pour le réparer…
@ 13.49 Delaporte, vous ne faites qu’asséner votre acte de foi sur la décroissance et l’établissement d’un revenu universel. Je sympathise, mais c’est un peu Court, et lassant à la longue, comme dirait marc (de radio courtoisie ?). Vous ne développez jamais l’argument, en dehors de scander ! « Ha-mon, président ! Ha-mon président !…. » Pour en finir avec la misère et la pauvreté, je pense d’abord qu’il faudrait que l’humanité se débarrasse des religions, et ce sera long, car son envoûtement concerne 7 milliards de prisonniers opiacés pour 500 millions d’athées sur notre petite planète (donc 1 type sur 14 sur qui on pourrait compter). Par suite, cette humanité s’éduquerait à suivre des expériences simultanées de totale ouverture des frontières, de totale réduction des temps de travail et des inégalités, de totale taxation des flux financiers, et de totale allocation d’un revenu universel (la question transitionnelle restant celle de savoir s’il faut d’abord commencer par ça pour obtenir le reste… et pour le moment, je pense que non). Mais surtout, j’aimerais bien savoir en quoi votre croyance inébranlable aux messages du Christ et à Dieu son père, serait bien compatible avec ce besoin idéaliste laïc de disposer aujourd’hui de quelques joyeux prophètes anti-déclinistes, capables de valoriser toutes les expériences innovantes de décroissance heureuse. Tel ce Rutger Bregman dont j’ai retrouvé le nom, -c’est un hollandais volant-, qui ont l’air d’avoir d’avoir des idées généreuses et surtout beaucoup moins lugubres que vous. Que pensez-vous de son essai (Utopies réalistes, Seuil) et des autres de la même farine ?
@ 14.07, DHH, je crois me souvenir que les messages alarmistes du Club de Rome faisant « halte à la croissance » apparurent plus tardivement à la crise de 68… Un rapport retentissant en ce sens fut pondu en 1970 et traduit en français en 1972… Je n’ai jamais vraiment perçu le lien « SIcco M. » avec « les idées de mai 68 »… Je me souviens surtout des messages d’auto-limitation face à la natalité mondiale dont la progression galopante paraissait effrayante à l’époque et… de l’élégance d’un René Dumont (apparu dans la foulée) qui, -à l’instar de cette sage génération d’avant-garde et déjà tourmentée car trop consciente de ses responsabilités ‘écologiques’-, s’interdisait à l’époque d’engendrer ou de fabriquer plus d’un enfant par famille.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Halte_%C3%A0_la_croissance_%3F
Ce qu’il faudrait bien comprendre c’est que si la croissance 0 n’est pas mise en place (et elle ne le sera évidemment pas), des conflits et des catastrophes la mettront en place.
Magnifique déclaration à Jazzman, Paul Edel. Vous démentez admirablement ce que je cherchais à vérifier. Un buveur de Duras et Woolf peut-il entrer aussi empathiquement dans leurs oeuvres de fiction amoureuse que ne le ferait Christiane pour l’oeuvre encore à venir de Marie-Hélène Lafon ? Et bien vous m’avez convaincu de cette possibilité. Personnellement, je ressens physiquement ce que vous mettez en mots au sujet de Duras, (et infinimement mieux que ne le fit Laure Adler restée en surface, ou une josyane savigneau à l’égard de Yourcenar… de simples fantasmes lesbiens, quant à elles deux). Mais voilà, je n’aurais jamais su objectiver à ce point les raisons pour lesquelles cette romancière m’a toujours à ce point troublé. Et vous, vous y réussissez, quel travail et quelle chance !
au détour de tes méandres longs et vaseux tu ne fais apparaite qu’une galrie de clichés polo..et chemin faisant tu t’en viens où veux tu en vnir :..si si que tu lis mieux..et que les tesque te cause a toi perso ..comme si dans lfond t’en doutais amérment polo et qutu voulais t’en faire fesser ici comme dracul..
..polo a trouvé son 3j comme dracul son baroz..lamentab
Sergio voulait aussi venir en aide à la mendiante de Calcutta, mais voilà, elle avait sa propre distortion de l’espace temps.
si je dormais quand j’ai sommeil, je ne meriterais pas mon gros salaire
dlalourde c’est ton idiot hutile..
du temps pour relire, c’est un luxe qu’il faut savoir économiser, pauledel. jazzi-baroz a le goût de l’action (cinéma). La prose vulgaire de « Barrage sur la pacifique » peut facilement noyer l’enthousiasme pour la Duras, comme le soi-disant meilleur livre de Beauvoir sur la mort de sa mère apparaître bien faiblard.
votre nuancier de la critique est plus plaisant à méditer que les auteurs dont il parle, comme ces films gratifiés de bonnes critiques qui suffisent à leur souvenir.
Deux bonnes nouvelles, ce soir !
– Patrick Henry, 64 ans, condamné à perpète pour enlèvement et assassinat d’un gosse, va sortir de prison demain samedi après 40 ans de taule.
– Philippe Bertrand, 7 ans, le gosse défunté par le précédent, restera enterré et ne sortira pas embêter ses parent chagrinés, lui.
Bienvenue parmi nous, Patrick, et bonne réinsertion !
@12.14 « en revanche, il m’est apparu que les hommes acceptaient plus facilement un refus de manuscrit que les femmes. J’en ai connu dont la vie, après plusieurs refus, basculaient vraiment dans la dépression ».
Remarque vécue fort intéressante ! Permettez-moi de l’interroger à nouveau. Voulez-vous dire qu’icelles supporteraient beaucoup moins facilement que leurs collègues masculins d’avoir été éconduites après une ou + proposition de leurs manuscrits ? Si oui, avec laquelle de ces deux hypothèses seriez-vous le plus en accord ? (Et en cas de désaccord avec les duex, quelle serait votre 3e ?) :
-> une plus grande fragilité psychologique liée à leur « nature », face à ce choc traumatique induisant aussitôt une perte de son estime de soi, à proportion des efforts d’écriture consentis estimés infiniment supérieurs à la moyenne de ceux des hommes mis dans une situation identique ?
-> une plus grande frustration idéologique liée à leur constat d’impuissance à pouvoir changer les mécanismes de la domination masculine au principe du monopole de l’économie des éditeurs (et ne nous obligeons pas à aller fourrager du côté des prétendus contre-exemples, Jacob, Nyssen ou d’Ormesson, qui ne feraient que confirmer ce constat, quand on regarde attentivement leur pedigree) ?
…
…lançons, nous,!…NOUS avons tous, participer, à faire, ce monde,…d’exploitants,!…et d’exploités,…
…
…voulez-vous, garder, les mêmes privilèges ou déshonneurs, à vivre ensemble, aux crochets, les uns aux autres, pour chacun,!…
…
…c’est à vous de voir, les rectifications minimum, à t apporter,!…
…
…déjà, la vie s’étudient, pour reprendre du métier, et savoir faire,…
…que reste t’il, de l’innocence a vivre, pour une famille,…
…
…en plus, que faire des trop, riches, de longue dates, suborneurs,des abrutis, en misérables,!…
…quels piloris de justice, avec le droit,à se simultanéité, à s’exploiter, les revenus, par des fonctions,trop, bien payez, que d’autres, considérer,comme difficiles et tarés,…
…Ah,!Ah,!…c’est à vous de voir, hors les châteaux des ancêtres, & monuments et sites,…détourner, par nos Tartufes politiques, avec en primes, la culture de l’obsolètisme programmé, des fonctions, par la nouvelle technologie et le net,!…
…
…vivre, dans la nullité de la sobriété,…
…j’en connais, ils vivent, avec le » chiffre « , en têtes,!…et aucunes dépenses, juste, pour faire, diversions du matin, au soir,…
…la Blédina, pour avec, l »émigration, en êtres toujours de trop, ensemble,!…
…tourner, manèges, des cons, des propriétaires, à se valoriser, par des immeubles, comme ressources, économiques, a se prévaloir,!…à se fourguer, en » actionnaires « , libres,…
…ou en, quelle moi,…la ba,que des cons et ses misères,…en haute-justice,…la casserole, aux dames,…Ah,!Ah,!Ah,!…
…
…le revenu universel, établi,!…
…que, déjà, devenue une misérabiliste, pour revenir, aux exploitants de l’homme, par l’homme, comme des chiens du profit, à ne vivre, à s’élaborer, en connivences,et camoristes politiques,!…
…etc,!…
…à nos connétables d’échiquiers,!…
…suivant,!…
l’probloc et cqui fait grave au finiche c’est qu’y sagit dlécriture phéminine phil..que taurais voulu faire mal au cul que tu t’y srais pas pris autrement qu’elle aurait dit bonne clopine..
Phil a pas dû kiffer le vice-consul. Faut dire que Duras lui a sacrément arrangé le portrait…
vivre, dans la nullité de la sobriété
voilà..ça sonne hautrement que la magnifique de jicé..comme quoi hon fait tous des erreurs..faut rester modeste
il m’est apparu que les hommes acceptaient plus facilement un refus de manuscrit que les femmes
et les pédés actifs?..j’ose pas dmander
…
…une analyse, descriptive comme roman social, de nos jours,!…
…du travail, si, les moyens, nous portent, à la bien faire,!…presque, avec plaisirs, encore, faut t’il, se garder, d’être cocu, sous d’autres vertus, et domaines,!…
…
…à s’accorder, avec ses seuls A.D.N.,…
…tout est l’homme,…etc,!…
…
16.17 ..polo a trouvé son 3j comme dracul son baroz..lamentab
Mais c réjouissant et innovant, bien au contraire ! Il s’en passe toujours des nouveautés sur la rdl ! Suffit de changer de partenaire de temps à autre, et ça provoque parfois de nouvelles étincelles insoupçonnées.
Et toi, t’as pas encore trouvé chaussure à ton cul pour te botter le châs, bourgmestre ?… Je compatis ! c pourtant pas faute d’avoir essayé de comprendre ce que tu voulais bien nous suggérer en dehors d’un éloge systématique et lassant des enkulages aloolisés ou amphétaminés, lesquels ont épuisé tous leurs mystères. Cet été, j’ai relu et découvert des vieux W S Burroughs, et parfois je pensais à toi : tu devrais t’y replonger pour te ressourcer. Par exemp’, « les garçons sauvages, le livre des morts », ça ça t’en boucherait le coin, si t’as rien pigé au Festin nu. Je dis ça en passant, car de nature naturellement généreuse, j’ai toujours eu le souci du « care » pour nos intellectuels en détresse dépravée, des vernon subutex en puissance, sans savoir comment VG les a dépeints malgré eux.
… et le vice-consul, il s’y connaissait dans l’art de passer des journées entières dans les arbres.
Non pas du tout. Ce pseudo me plaisait bien, mais pas à « Passou ».
Et puis aussi, je n’ai pas pensé qu’il pouvait y avoir légalement un pb de droit..
Tres variablement respecté du reste sur la rdl, la legalité du pseudonymat, dans l’usurpation qui en est faite ou par la mutiplicite de pseudos utilisés, avec intention de nuire.
oui, moi aussi je le préférais au next. Trop long ? trop sacrilège, ou quoi pour passoul ?
Bouguereau, t’as pas compris que dans les chasses solitaires d’un lecteur de manuscrits sur 30 ans il en ressort des petites expériences, oui, indviduelles et oui, subjectives..Je ne parle pas au nom des autres.. et c’est mon constat oui. En lisant à longueur de journée ,crayon en main, les manuscrits hommes et femmes , quelque chose apparait dans bcp de manuscrits de femmes: des chemins buissonniers, des écritures neuves, ,une écriture de l’intime novatrice, des proses moins attendues, surgissent.. et quelque chose de moins confiné que chez les hommes. Oui, c’est différent. et dans notre après- guerre, vrai grand printemps du roman français féminin : de Nathalie Sarraute à Marie Redonnet, de Christiane Rochefort à Nina Bouraoui. Ou Monique Wittig. de Simonne Jacquemard à Marie Ndiaye, de Annie Ernaux à Leslie Kaplan, de Maylis de Kerangal à la grande Hélène Lenoir,oui ça bouge sans cesse et mêle aussi chaotique que soit l’œuvre de Daarrieussecq, elle aussi fait bouger les lignes du roman français..c’est assez miraculeux dans les renouvellements….etc etc… depuis les années 60. T’as le droit de feuler comme un tigre,contre Polo, de dire que je suis grotesque, pourquoi pas? ça ne me choque pas, mais quand même t’es toujours sur le banc de touche , et tu dis quoi sur ce terrain là ?sans aucun argument, c’est un peu facile.
ducon, je trouve que ce pseudo te va à mémérveille. C’est très court et ça résume trop bien.
« Delaporte, vous ne faites qu’asséner votre acte de foi sur la décroissance et l’établissement d’un revenu universel. »
Certes, mais si vous voulez plus de détails vous pouvez vous référez à des tas de livres, tant le sujet a déjà fait florès en librairie. A commencer par l’encyclique papal « Laudato si' », un remarquable document sur la situation en général.
la vieille taupe remis à sa place par Popaul, super !
Mon fantasme au sujet de la désintégration du jour de la sonde Cassini dans les parages de Saturne ou de sa lune Titan. Une autre intelligence de l’espace-temps, en détectant quelques uns de ses morceaux enfouis, aura-t-elle la faculté de comprendre par déduction qu’elle provenait d’une planète voisine à son système, de la petite bleue. Qu’elle avait été lancée par des petites intelligences assez bêtes pour n’avoir pas trouvé d’autres moyens que d’exploiter cette sonde étonnante, jusqu’à la faire crever, tandis qu’elle aurait pu rester immortelle, si son principe vital n’avait pas été établi sur sa capacité d’épuisement d’une énergie endogène finie.
Et ce sont les mêmes esprits « limités » qui essaient de faire croire à leurs contemporains en la nécessité d’enfouir des déchets nucléaires dans la roche réputée inamovible de la Finlande, rien que pour cent mille ans… Bande de nazbrocks de petits Terriens, se lamentait cette intelligence compassionnelle !… Ils avaient bien quelques idées audacieus et d’immenses atouts, mais restèrent incapables de se comprendre entre eux pour résoudre leurs petits problèmes de dieux belliqueux qui leur permirent de s’anéantir…
Il faut dire que je ne parvines toujours pas à me faire à l’idée que ducon soit un compliment. En revanche, martine ducon.ne (sans point dans le pseudo, la modération veut pas), le compliment ne ferait aucun doute. Essayez-le et adoptez-le, cela plaira beaucoup trop mieux à pépère passou.
Je ne savais pas que Paul Edel avait fait à ce point avancer la littérature dite féminine, parce qu’écrite par des individus de sexe féminin. Un petit pas pour l’homme et un bon de géant pour la théorie du genre, que les obscurantistes n’ont pas à envier aux parisiens germano-pratin. C’est tout bon pour la ministre féministe qui a écrit un livre, « maman travaille », faut que Paul Edel lui soumette son étude, en ce moment elle met toutes les femmes enceintes, elle fait un élevage de mamans travaillent.
je dis polo que cette fois je n’ai pas grand chose a redire a ton dernier propos..bonnes prémices..indices convaincants..que je m’étonne que tu aies cru bon de commencer par un diagnotic si attendu..était il bien necessaire ? pire..n’est t’il pas simplement nuisible à ton ‘sujet’
elle fait un élevage de mamans travaillent
elle fait pas dans la litterature comme toi tarzoune
tu dis quoi sur ce terrain là ?sans aucun argument, c’est un peu facile
regarde finky polo..ça devrait t’éclairer au moins d’une chose..hon a telment sentencieusement gaffé sur ce terrain..hon c’est males et femelles..vas pas croire que je flagorne
en dehors d’un éloge systématique et lassant des enkulages aloolisés ou amphétaminés, lesquels ont épuisé tous leurs mystères
povre de toi..cassini haussi
tu connais la réplique :next.
Je comprends pourquoi M. Grosjean estime dans son article que les écrivains de la rentrée en France ne font pas face dans l’ensemble au XXI ème siècle. Quand on lit Paul Edel on comprend que le vivre ensemble avec les femmes, c’est pas gagné pour l’intelligence.
Bon, je m’ennuie ici.
Bon weekend !
des chemins buissonniers, des écritures neuves, ,une écriture de l’intime novatrice, des proses moins attendues, surgissent.. et quelque chose de moins confiné que chez les hommes
le confiné c’était le précédent..grossièrement malique on ne peut qu’en être daccord d’un point de vu génératif mais était il si typé dans son genre ? et si consciemmment et le novateur c’est le suivant..plus féminin et peut être plus militant etc..
bref tout ça parle de notre présent et de notre futur proche polo c’est certain..mais..faut faire trés gaffe de lacher la proie pour l’ombre
sans aucun argument, c’est un peu facile
voilà..j’ai essayé de t’rende justice polo
la vieille taupe de bougross’emmêle grave les pinceaux
Ca a l’air bien la retraite.
Bon je vais à L’Huma, rdv à Villejuif, et couvrez vous bien
https://www.dropbox.com/s/zu8loq9vt710lim/Fichier%2015-09-2017%2018%2017%2008.jpeg?dl=0
Monstre marin ? L’ouragan Harvey a fait s’échouer une étrange créature au Texas
@DHH dit: 15 septembre 2017 à 11 h 49 min
Je vous imagine bien ainsi.
Pour la nidation, loin de la forêt amazonienne d’internet… J’aime les migrations et me poser sur quelques blogs amis, furtivement et repartir.
Beaucoup apprécié votre distinction de ces deux formes d’écriture à 13h34
et la suite de commentaires de P.Edel sur l’écriture féminine.
Bonne soirée
et merci à JJJ, c’est lui qui a commencé à parler de ce roman.
« Moi, Delaporte, et sans vouloir vous donner de leçons, si je dormais quand j’ai sommeil, je ne meriterais pas mon gros salaire »
C’est vraiment dommage, D, de ne pouvoir dormir tant qu’on veut. C’est pire que de l’esclavage. Je ne savais pas que vous étiez aliéné à ce point. Je le regrette beaucoup. Vous ne pouvez même pas dormir tranquille sur votre tas d’or – dont soit dit en passant je ne veux aucune relique.
« et les pédés actifs?..j’ose pas dmander »
Avec philosophie le boug !
Et sur la Duras cinéaste, Paul, tu en dis quoi ?
jazzi j’ en parle depuis des années sur mon blog.demande à Christiane elle connaît très bien Duras et fait de la formation continue plus sérieusement que moi.ce soir c est ouzo avec amis grecs excuse moi.
@ « le confiné c’était le précédent..grossièrement malique on ne peut qu’en être daccord d’un point de vu génératif mais était il si typé dans son genre ? et si consciemmment et le novateur c’est le suivant..plus féminin et peut être plus militant etc.. bref tout ça parle de notre présent et de notre futur proche polo c’est certain..mais..faut faire trés gaffe de lacher la proie pour l’ombre »
5 lignes de mise au point ! bravo bouguereau. Quel exploit, polo a réussi à te faire sortir de l’enfer de ta jungle à tarzoune…
Bien sûr, faut faire des efforts pour te décrypter, hein… la fin je comprends que tu dis à ton ‘polo’ de PAS lâcher la proie pour l’ombre, autrement dit, qu’il y aurait encore plus d’écriVAINS pédés à venir et à décrypter que d’aller perdre son temps avec des écrVAINES gouines qui valeraient pas le coup. Du moinss, c’est ce que je comprends de ta prose…
Faut voir si j’ai jusss, ou si y’aurait pas d’autres interprétations possid’ aussi lamentab’, à la ducon-n.e for instance…
Je voulais dire, par rapport à l’empathie, Paul. Duras fait du Duras et c’est pour cela qu’on l’adore ou la déteste. Moi, j’achète. Beauvoir et Angot, itou.
A propos d’Ouzo, j’ai voulu relire « Zorba le Grec » de Kazantzaki. Plus un seul exemplaire du livre dans les bibliothèques de la ville de Paris, seulement le film !
18.02 j’la connais bien ; ava rappliquer fissa, la martine duconn.e, comme dirait GSA : …
…de quoi, attraper, la nausée – mâchée,!…
… (bip-bip, zou, ouste, CB démagéntisée, … etc., next)
« …de quoi, attraper, la nausée – mâchée,!…
… (bip-bip, zou, ouste, CB démagéntisée, … etc., next) »
Manquent les fautes d’orthographes en usage, JJJ, pour que la copie soit conforme !
Un air pour inviter Paddington au fox trot
https://www.youtube.com/watch?v=Y0nDhQEIdSQ
Les analyses chimiques et épigraphiques suggèrent que
l’«Évangile de la femme de Jésus» pourrait être authentique.
que Jésus n’était pas de Nazareth mais de Jérusalem, que Joseph était Architecte et non charpentier (erreur de traduction de l’araméen au grec), que Jésus était de sang royal, voilà pourquoi Herode souhaitait l’écarter pour ne pas dire le supprimer.
Merci HR
Et pour Edel, une compile d’empathiques flappers
https://www.youtube.com/watch?v=3svvCj4yhYc
William Faulkner and Zelda Fitzgerald. the so called Lost Generation
https://www.youtube.com/watch?v=YtX4kGrtiR8
Louise Brooks revisitée ; eh oui, réussir « parfois l’exploit de rendre le vice aussi ennuyeux que la vertu. »
https://www.youtube.com/watch?v=K0Furc-LygU
…et all,…à 18 h 29 min,…L’ouragan Harvey,
…
…le grand poisson, échouer, au Texas, on dirait un genre de » coelacanthe géant » , un fossile, vivant,!…
…etc,!…
Pauledel est passé de la grappa à l’ouzo, il va y avoir des conséquences.
C’est quand même curieux cette absence de Sergio et de Polémikoeur. Ils devaient du pognon à passou ?
Il vaut mieux bien regarder la surface et « voir dedans » que descendre vers le fond en apnée et perdre l’essentiel.
« Pauledel est passé de la grappa à l’ouzo »
Il nous fait l’Odyssée à l’envers !
Ad Reinhardt :
Marilyn :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/04/marilyn-reading-daily.html
une figure de papier mâché ,pas remaché
Si le vice est aussi ennuyeux que la vertu, que reste t-il ?
L’ennui !
https://www.youtube.com/watch?v=Gf3EuKKRdY0
ah mais vous allez nous mett’ le bourdon dès le matin, pas cool Jazzman !… heureusement qu’il y a la fête de l’Huma tantôt, où on va enfin refonder le parti communiste.
La Fête de l’Humanité, c’est la fête des c.ons et des c.onnes communistes, non ?
J’ai bon ?….
Il reste le non-agir …. Pas l’ennui.
Une resucée gouvernementale de Stéphane Bern, chargé de mission (!) par Bébé Macron, nous paraît être un excellente nouvelle drolatique !
Comment disait l’autre coco ?
« Les copains et les coquins »…
« le non-agir », c’est la mort, renato !
En attendant le réveil de la taupe, l’andouille est sortie de la charcuterie… il faut un temps splendide au Pays de Galles où je réside maintenant
Mais non, JJJ, car le mal de vivre de Barbara se termine par la joie de vivre retrouvée !
« Au fond du désespoir, j’ai retrouvée la joie,
Qui aide dans le noir à retrouver la voie… »
erreur, le poème de référence, titré « La Joie » commence ainsi :
Au fond de désespoir
J’ai découvert la joie
Qui aide dans le noir
A retrouver la voie…
et ça donne quoi Barbara jouée par jeanne balibar au juste, est-elle crédib ?
c vrai chez les cocos, y a qu’des gros cons. Vive Iggy Pop l’iguane à l’Huma ce soir, sûr qu’on verra pas l’JC. Par contre, peut-être sergio et polémikoeur !
Pour le savoir, JJJ, rends-toi directement à la case RDC !
la moule de blog jijij’enseigne se donne vraiment bcp de mal,après le désastre « diagonal »,il s’essaye au bad boy d’opérette en volant tout mais tout à bougereau,quel pauvre petit morceau de caoutchouc brûlé ce type
Ne ris pas, JC, notre couple impérial a trouvé son Prosper Mérimée !
« Profitant des Journées du patrimoine, Emmanuel Macron a décidé de confier une mission à l’animateur de France 2, Stéphane Bern. Celle-ci portera en particulier sur le petit patrimoine en péril. Sa mission : identifier les monuments à rénover en priorité et chercher des moyens de financement. »
les nouvelles générations sont parfaites mais il nous manque un Blondin ou un Marcel Ayme
La lune est futée. Elle éclaire la nuit.
Le soleil est nul. Il éclaire le jour.
Les étoiles sont là juste pour amuser la galerie nocturne, pour égayer la vaste galaxie et pour nous aider à dormir et rêver nos origines.
un Blondin ou un Marcel Ayme
une marcèle aimette..elle existe mais faudrait lui donner l’envie d’écrire polo
Les étoiles sont là juste pour amuser la galerie nocturne
c’est chouette internette ozy
https://www.youtube.com/watch?time_continue=362&v=AHrCI9eSJGQ
Le « non-agir », sagesse orientale. Immobilité, paresse, fainéantise, trois valeurs ancestrales. Aujourd’hui, cela représente la résistance à l’injustice, à l’exploitation de l’homme par l’homme et aux abus de l’Etat. Le non-agir, c’est la liberté recouvrée, dans un monde absurde qui a instauré le mouvement en fausse idole des prétendus gagnants. Car les premiers seront les derniers…
Malgré les aléas, le vaillant petit soldat Hamon y croit. Il porte à bout de bras son projet de gauche, et, pour le faire avancer, participera à la Fête de l’Humanité :
Surtout, Benoît Hamon penserait déjà à demain. Ou après (après) demain. « Nous considérons aussi qu’il y a une gauche à reconstruire, qui ne peut pas se retrouver derrière la France insoumise ou le Parti socialiste. Il y a eu une révolution à droite avec l’élection de Macron et une autre à la gauche de la gauche avec la France insoumise. La même chose est possible au sein de la gauche progressiste. » (L’Express)
En trois semaines, le sud du Bangladesh, frontalier de la Birmanie, s’est transformé en un des plus grands camps de réfugiés du monde à mesure que les réfugiés rohingya fuient la Birmanie, entraînant une dégradation de la situation humanitaire. Et l’aide peine à se structurer.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2017/09/16/plus-de-400-000-refugies-rohingya-le-bangladesh-demuni-tire-la-sonnette-d-alarme-a-l-onu.
Certains Rohingyas ont aussi franchi la frontière avec l’Inde, côté Mizoram et se retrouvent à Delhi. Il y en a quelques centaines sous l’autopont près d’ici…La grande ville les absorbera, comme elle a absorbé les Afghans, nombreux dans les quartiers sud.
Le bord de la route sous 35° en pleine pollution automobile, qu’importe: tout vaut mieux que de finir en sushi sous la machette d’un séide enturbanné du Vénérable Wirathu, ou brulé vif par les sicaires des bonzes qui manient l’essence et le briquet comme avant et après l’encens et les allumettes.
Demain, j’irai prendre quelques photos, pour la mémoire, contre l’oubli.
Bloom, ton lien ne s’ouvre pas. Mais j’ai reçu celui-ci dans ma boîte mail. Que faut-il en penser ?
https://www.infochretienne.com/retour-arakan-comprendre-lente-exclusion-rohingyas/
Mémé Birgit Strogneugneux est folle de jalousie : Bébé McRon est tombé amoureux fou de Steffi la Bernique !
ON DEMANDE UN PSYCHIATRE A L’ELYSEE !
Bloom,
Quel bonheur ! C’est un rêve birman qui se réalise :
éliminer les crapules Roro Rhingas, qui ne rêvent que de Califat… Laisse* les Birmans s’occuper de leur vie, ok ? Ne t’en mêle pas ….
*et remet ta morale dans ton béret basque !
« Surtout, Benoît Hamon penserait déjà à demain. » (Delaporte, fermé de l’intérieur, pour toujours…)
C’est ce qui le distingue de nous autres qui n’avons pas voté pour ce Benoit le Funeste : nous, on y pense pas ! On vit au présent …
On est pas con.
https://youtu.be/VtRtNVgk-Fs?list=PLK3Ch4XLXSkpV9X-HAMgR2rxhCn6Qv_2n
J’adore ce Canadien, trombone big band composer, trop tôt retiré à notre affection jazzistique, …. hélas oublié par les non-mélomanes !
Puisque vous aimez Mel Tormé et Rob Mc Connell ….
Bonne synthèse, Baroz, qui rappelle utilement que la Birmanie faisait partie de l’Empire des Indes, du British Raj, et que ces populations furent « trans/im/plantées » par le colonisateur.
Lire The Shooting Of An Elephant, de George Orwell, court récit en forme d’apologue (il fut officier de la police impériale britannique en Birmanie).
http://www.online-literature.com/orwell/887/
Les textes d’Orwell, flic, sont excellents à lire. Au delà de son époque….
TOUT Orwell est à lire avec profit, y compris des romans « mineurs » comme A Clergyman’s Daughter & Keep the Aspidistra Flying. The Road to Wigan Pier est indémodable et 1984 bien plus pertinent en 2017 qu’en ’48 ou ’84.
Y compris un truc, intitulé « Dans la dèche à Londres » ou un titre dans ce goût ! Remarquable…
Quittons nous, joyeux, libres, et amusés par cet article de la Voix des Glands : Le Monde
« En près de deux semaines, près de 400 000 Rohingyas ont fui la Birmanie pour trouver refuge au Bangladesh, échappant ainsi aux violences commises par l’armée birmane. Or, si les médias français s’en font plus largement l’écho aujourd’hui, ce drame n’est pas nouveau. De longue date, cette minorité musulmane est victime de ségrégations dans un pays très majoritairement bouddhiste. Il est, en revanche, un milieu dans lequel on s’en émeut depuis plusieurs années : le rap. De nombreux artistes ont, en effet, déjà fait allusion aux Rohingya dans leurs textes ou leurs interventions publiques. »
LE RAP !!!…. plus bas que le rap, tu meurs !
Merci, Bloom. Dans cet article, Aung San Suu Kyi est moins diabolisée que dans la presse occidentale en général !
Paul Edel dit: 15 septembre 2017 à 17 h 17 min
oui, en fait je crois que c’est parce que vous lisez un crayon à la main.
Musil disait un truc au sujet de ceux qui lisent un crayon à la main du genre qu’ils ne sont pas libres, en tout cas un cas qui avait rapport à la liberté.
dans tous les cas l’article de Monsieur Assouline parle d’imaginaire, d’audace, de faire confiance à sa subjectivité etc…
quand on lit la plupart de celles dont vous parlez on n’a envie que d’une chose : relire Stevenson ou reprendre ses bouquins de la collection « rouge et or »
Stevenson, ou Melville, ou Conrad… juste pour respirer un peu, prendre le large, les grands espaces, vivre avec les indiens, attaquer un château fort, respirer et rêver, retrouver une partie de son enfance, parce les romans c’est ça aussi : l’enfance ! l’innocence, la spontanéité, la fraicheur.
la plupart de ces femmes que vous citez non seulement elles sentent la mort et la pharmacie, elles sentent l’hôpital, elles vous étouffent, ceux sont des empêcheuses de rêver, quand vous les lisez elles sont aussi casse burnes que votre tendre épouse quand elles vous répètent cent fois de ranger vos pantoufles alors que vous êtes en train de regarder le dernier épisode de stars war à la télé !
posez votre crayon et réfléchissez deux secondes quand vous lisez avant de sortir des niaiseries pareilles !!!
« Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées samedi à Paris pour réclamer la fin des violences de l’armée birmane à l’encontre des musulmans Rohingyas et l’intervention de la communauté internationale pour protéger cette minorité. »
ON NE RIT PAS !
Stevenson Melville, Conrad… juste pour respirer un peu, prendre le large, les grands espaces, vivre avec les indiens, attaquer un château fort, respirer et rêver, retrouver une partie de son enfance, parce les romans c’est ça aussi : l’enfance ! l’innocence, la spontanéité, la fraicheur.
la plupart de ces femmes que vous citez non seulement elles sentent la mort et la pharmacie, elles sentent l’hôpital, elles vous étouffent, ceux sont des empêcheuses de rêver, quand vous les lisez elles sont aussi casse burnes que votre tendre épouse quand elle vous répète cent fois de ranger vos pantoufles alors que vous êtes en train de vous taper le dernier épisode de stars war à la télé !
posez votre crayon et réfléchissez deux secondes quand vous lisez avant de sortir des niaiseries pareilles !!!
Dans cet article, Aung San Suu Kyi est moins diabolisée que dans la presse occidentale en général !
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C’est une création (créature) de l’occident qui en a fait un symbole de vertu et de beauté au sein d’un monde d’hommes dépravés et laids. Glamourisée par le cinéma, elle a acqui une stature de mythe; C’est oublier la realpolitik et l’humain trop humain instinct de survie.
Même topo avec le Dalai Lama, que j’ai rencontré il y a quelques années et à qui son entourage politique dicte sa conduite…
L’occident est en perpétuel recherche d’un Jésus… »Malheureux le pays qui a besoin de héros », disait le Galilée de Brecht.
acquiS
Ann Radcliffe est pour vous, hamlet. « L’Italien » est un fabuleux roman d’aventure avec châteaux, cachots, galopades, etc.
Femme puissante. Roman haletant.
Bloomie,
Occupez vous de la culture occidentale en Asie, faites votre boulot….
Ne faites pas de la politique birmane !
Vous nous faites rire, mes potes du coin et moi-même… Joyeux noël !.
Quelle que soit l’idée qu’on essaie de se faire de la chef d’Etat birmane, prix Nobel de la Paix et icône glamour, il reste que nous assistons par médias interposés à un génocide : celui des Rohingyas de Birmanie, qui sont allègrement massacrés et doivent s’enfuir, sans que les autorités du pays ne lèvent le petit doigt. Le XXIe siècle sera le siècle des migrants, comme l’a très bien vu le pape.
Le XXIe siècle sera le siècle des migrants, comme l’a très bien vu le pape.
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Comme s’il était le seul. Les géographes et experts en démographie sont les premiers à avoir prévu l’afflux de réfugiés climatiques & les migrations sont un phénomène ininterrompu depuis que l’humanité existe, pour toutes les raisons imaginables (Angles, Saxons, Jutes et autres Frisons ne sont pas sortis du sol fertile de la verte Angleterre).Il enfonce des portes ouvertes, le père Francis.
le seul des pheuquingue rligion du live kabloom..
« Il enfonce des portes ouvertes, le père Francis. »
En tout cas, son discours du mois d’août dernier sur les migrants a eu un grand retentissement. Un retentissement prophétique.
Et qu’est-ce qu’il dit le père François sur le massacre des Chrétiens d’Orient, Delaporte (devant laquelle il convient de balayer) ?
@ bouchot fabien,
Il n’y a jamais eu de naufrage « diagonal », quelques années de mise à distance seulement avec la rdl. A ma connaissance, Jean-Jacques Janssen n’enseigne plus. Il « échange » sur le même blog de la rdl plus librement que naguère avec les un-es et les autres, en suivant son inspiration. Il a certes toujours eu un peu de mal avec martine duconn.e, l’ex naufragée de l’Aérobort de Baris aux 1000 pseudos, Fabien, mais à part de ça, tout va bien pour lui, merci. Aujourd’hui, par exemple, après s’être plongé dans quelque passage célèbre de Thucydide, il ne comprend pas trop pourquoila découverte de Nina Bouraoui ou d’Hélène Lenoir sous les auspices d’un Paul Edel très inspiré lui interdirait de garder son crayon en main pour aller se ressourcer chez Conrad, Melville ou Stevenson, et discuter de Burroughs avec le dénommé bouguereau. On a vraiment ici affaire à de drôles d’étriqués de la lecture sinon de détraqués de la blogosphère qui ne comprennent rien avec la nécessité de remâcher le passé avec délectation. Faisons donc avec.
BS à toussent, à Fabien et à La Vie des Plages.
Bon, il y a ceux qui ont accès au bouton rouge et les autres – passons (pas bien de taper sur les morts -De Gaulle, Malraux, des visionnaires à n’en plus pouvoir ; mais qu’ont-ils tous à s’en revendiquer ?)
https://www.youtube.com/watch?v=We3bK6tVWac
Et qu’est-ce qu’il dit le père François sur le massacre des Chrétiens d’Orient, Delaporte (devant laquelle il convient de balayer) ?
de derrière c’est à la balayette..il dit toutpareil que pidouze baroz..t’es bête
On se demande si Hamlet n’a pas de graves soucis conjugaux, avec en plus tous ses enfants à élever et à torcher tous les jours. Mais est-ce la faute à Paul Edel, Nietsche, Passouline ou Stéphane Bern s’il s’est mis dans une situation littéraire pareille ?
Bloom, est-ce que Donleavy le gallois était à vos yeux un auteur recommandable ? D’aucuns l’ont comparé à James Joyce l’irlandais, mais j’ai comme qui dirait un doute.
« On se demande si Hamlet n’a pas de graves soucis conjugaux, avec en plus tous ses enfants à élever et à torcher tous les jours. »
Il en enterre pas mal aussi et certains il les a abandonnés à l’assistance publique, comme Rousseau (Jean-Jacques) !
Mais qui est Syd Barrett ?
https://www.youtube.com/watch?v=6Qa-sC0phG8
« Et qu’est-ce qu’il dit le père François sur le massacre des Chrétiens d’Orient, Delaporte (devant laquelle il convient de balayer) ? »
Pour ce qui est de balayer devant ma porte, mon cher Jacuzzi, je m’en charge assez bien. Pour les chrétiens d’Orient, je vous rappelle que le pape ne dispose que du pouvoir de la parole, et d’aucune « division », comme disait l’autre. Un combat perdu d’avance ? Peut-être, bien qu’il ne faille jamais désespérer… Mais vous, Jacuzzi, que faites-vous pour les chrétiens d’Orient ?
Je leur offre toute ma compassion, Delaporte. Le pape dispose du pouvoir de la parole, je ne l’entends pas beaucoup plus que les médias sur ce sujet-là…
@ce sujet là
Je ne fais pas de politique mais n’est-ce pas là un sujet obsessionnel chez les militants d’extrême droite (scusi, les qualifier d’extrême c’est déjà les flatter)? À l’instar de la famille et du travail ?
hamlet à 17 h 41 et 43
Donc une envie d’enfance, de spontanéité, d’invention romanesque iodée. Oui, parfois, certains jours, hardi mousquetaire.
DHH, exprime quelques heures avant vous sa préférence pour la fiction (romans et nouvelles) sur d’autres formes d’écritures. Elle aussi aime noter avec un crayon des lectures ou le portrait imaginaire des gens qui passent.
Parfois, J’aime les écritures tristes, angoissées, mélancoliques… La saudade… et d’autres fois, je n’ai plus envie de fictions, mais plus du tout. J’aime alors m’enfoncer dans des essais bien sérieux, bien documentés, intuitifs. Presque du Simenon…
J’aime aussi aborder aux rivages complexes de la poésie contemporaine, celle qui a pris ses distances avec la forme désuète des poésies d’antan ou des études historiques ou de bons gros livres de philosophie qui vous font le monde noir comme un roman de Kafka.
Et le théâtre… lire du théâtre et ces petites annotations concernant les comédiens, le décor, les silences… Et les livres de cuisine où l’on salive rien qu’à imaginer les saveurs à venir.
Et la Presse… Les journalistes qui couvrent l’actualité ou… l’inactualité.
Et les hebdo que l’on feuillette dans une salle d’attente…
Et les petites annonces, les horoscopes, les nécrologies, les faits-divers où les romanciers jouent à la pêche au lancer.
Le roman, celui auquel vous aspirez, ou un de ceux aimés de P.E, mais tant d’autres écritures à savourer du bout des yeux, du bout des doigts (braille), ou encloses dans une enveloppe et destinée à vous seul(e)…
Ce monde est plein de mots qui voltigent et se posent, et s’envolent, et s’oublient ou se gravent sur une écorce… et même se croisent dans des grilles !
Bloom, bien sûr, évidemment que je n’ai pas dit « toutes » les écrivaines.
le problème n’est pas que ce ne soit pas la totalité ou non, le problème est que vous savez comment ça marche ces choses là, le monde littéraire est un tout petit monde, un petit entre soi avec défense de petit pré carré et tutti quanti.
et là dessus vous mettez ces bataillons de critiques qui lisent avec un crayon à la main et hop ! vous avez le tableau du décor de ce qu’on appelle, avec plus ou moins d’à propos j’en conviens, et vous le savez bien, car ce n’est pas à vous que je vais l’apprendre, donc ce qu’on appelle, avec plus ou moins de réssite, car l’expression n’est pas des plus élégantes, ni des plus perspicaces, ce qu’on appelle donc le paysage culturel !
sauf que ce culturel n’a aucun autre paysage que son appellation débile, ou laors alors il faudrait ajouter entre les mots « monotone » : le paysage monotone culturel,
vousx me suivez Bloom ?
« Janssen J-J dit: 16 septembre 2017 à 19 h 25 min
On se demande si Hamlet n’a pas de graves soucis conjugaux, avec en plus tous ses enfants à élever et à torcher tous les jours. »
mais bon brave ami bien sûr que j’en ai de graves soucis conjugaux, des soucis familiaux, des soucis de santé, des soucis de budget, des soucis de tout ce que vous voudrez
parce que vous n’avez aucun soucis ?
et c’est pour ça que comme Paul Edel vous aimez lire des livres où on vous parle des soucis de toute la planète ?
comme vous n’avez pas de soucis vous profitez des soucis des autres, des soucis de toutes ces gonzesses de mes deux qui nous gonflent à longueur de journée à nous raconter leurs soucis de toutes sortes.
mais moi non, désolé, des soucis j’en ai déjà assez, du coup quand j’ouvre un bouquin c’est plutôt pour les oublier que pour me remettre le tronche dedands si vous voyez ce que je veux dire.
mais le problème voyez-vous mon cher ami, le problème c’est la question de la légitimité.
posez le question à Angot et les autres, demandez-leur : d’où vient votre légitimé à écrire ?
elles vous répondrons qu’elle provient de leurs soucis, et plus les soucis sont gravissimes et plus la légitimité augmente.
pourquoi ? simplement parce que les gens ne vont plus à l’église !
avant il y avait la religion pour expurger nos fautes et nos soucis, maintenant plus, du coup la légitimité devient proportionnelle au sérieux catastrophique.
et c’est bien pour cette raison de légitimité d’écrivaine que se sont mis sur la tronche Laurens et Darrieusseqc au sujet de l’enfant mort : c’était mon enfant (faut comprendre c’était ma légitimité) – non répnd l’autre je suis autant légitime que toi à parler des malheurs du monde mais que ce ne sont pas les miens vu que moi je me porte comme un charme il faut bien que j’aille piqué les soucis des autres pour retrouver de la ligitimité !
et voilà le décor ! et l’autre qui vient se la péter en racontant qu’il lit ces livres avec un crayon à la main !
c’est pas à la main qu’il faut le prendre le crayon, c’est dans le fion !
mais ma chère christiane moi aussi j’aime la mélancolie, mais frnachement où voyez-vous de la mélancolie là où il ne faut voir que de la bassesse du marketinge éditorial et du commerce de bas étage.
affaire d’échelle ; une moyenne de 800 posts ici, de 400 sur la RDC en vitesse de croisière (whouah!!), c’est une performance immense (vous en êtes, ne boudez pas votre plaisir). Alors que 450 millions de vues sur youtube (selon la police), c’est peanuts par comparaison avec la tv française qui compte beaucoup plus d’influence que de téléspectateurs
https://www.youtube.com/watch?v=OMOGaugKpzs
ces hoistoires ça ressemble à ces metteurs en scène à l’opéra ou au théâtre qui n’ont rien à dire et qui remplissent leur vacuité par des choses faites pour choquer, vous aller écouter Electre et en plien milieu on vous passer une femme à poil qu’on se demande ce qu’elle fait là, vous allez voir Mcbeth et on vous tartine le décor d’écrans qui progètent des images de guerre et d’enfants qui meurent de faim, et les critiques s’extasient : ah quelle audace !
de l’audace ? comment font-ils pour y voir de l’audace, ils regardent avec un crayon dans les yeux pour voir de l’audace ?
non, il faut redevenir sérieux.
à la télé on y passe des émissions débiles avec patrick sebastien : l’équivalent littéraire c’est toutes ces femmes, les deux fonctionnent parfaitement pour leur public respectif, mais si on prend un peu de hauteur on se rend compte que c’est kifkif.
d’ailleurs on n’est pas couché avec de tels zèbres et écrivaines à l’antenne
https://www.youtube.com/watch?v=MbXWrmQW-OE
écrivaines à l’antennes > écrivaines à antennes
https://www.youtube.com/watch?v=G0fcqfgJJeE
seul un Thomas Bernhard aurait pu nous sauver de tous ces critiques qui lisent un crayon à la main.
au secours ! reviens mon toto ils nous ont pété les plombs !
« Le pape dispose du pouvoir de la parole, je ne l’entends pas beaucoup plus que les médias sur ce sujet-là… »
Le pape a parlé à diverses reprises des chrétiens d’Orient. Allez voir, Jacuzzi, sur le site de Sa Sainteté. De même, des quêtes ont été faites le dimanche. Tout le panel en possession des catholiques a été mis en oeuvre en faveur des chrétiens d’Orient. Mais évidemment, que faire de plus ?
bonsoir à tous,
je ne connais pas ce mot spéculaire et ne sais à ce qu’il réfère même si paul l’explique un peu.
apprécie bcp ce qu’il écrit sur Duras.
tente de préciser : il y a, c vrai, ce point focal de l’amour impossible.
mais il y a aussi, et c’est sans doute là que réside l’étrangeté, une puissance de cet amour pck quoique le sachant impossible, il y a l’élan vers lui.
c’est aussi ce qu’elle a vécu avec yann andrea steiner.
c’est le moment où la littérature et la vie sont intimement mêlées et où la frontière s’abolit pck la littérature est la vie et la vie est la littérature.
je crois que là réside la puissance des femmes.
Angot nous l’a prouvé. L’entremêlement est indissociable ; il y a cette unité.
À Tarfaya, et aussi à Essaouira, des enfants feront un baptême de l’air.
J’espère y participer.
Non, ce n’est pas distribuer qq miettes d’un gâteau au beurre dévoré, c’est dire aux enfants vous pouvez voler et les livres sont une nourriture.
Quamd je serai à Cap Juby, je vous le dirai.
je vous embrasse, fraternellement, surtout olivier.
Non le mot employé n’a rien de roboratif.
Lorsque je le lis, un coup de poignard m’atteint. Double : pour la personne qui l’emploie et pour celle qui le reçoit.
ce que je veux dire, si je puis préciser ma pensée, c’est que l’impossibilité de l’amour n’est pas liée à une désespérance et que le flux de la vie l’emporte sur l’arrêt de la mort.
Il me semble bien que c’est la spécificité du féminin, cette manière d’avancer quelles que soient les tornades, en pensant que l’issue sera heureuse. C’est cette force là.
salut à tous, à bientôt
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…bon,!…je réfléchis de trop,!…aujourd’hui,…mais, si,!…
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…je me suis, mis, en tête,que tour, est limpide,…que je ne doit me soucier de rien,!…
…c’est vrai,en tenant comptes,…de faire, la part des choses,!…de rassembler, les organisations, à leurs » blogs « , et autres amalgames à leurs duretés, d’endoctrinements, pour des causes, qui, en fin de comptes enchevêtres,!…au fond, comme des rouages, d’un mécanisme social, rien à se leurrer, tout tourne rond, mais, si,!…
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…même, les vacheries, que l’on détectes, à la ronde, après, si longtemps,!…et , même, les » affaires » de cœurs,!…et d’argent,!…que dis je,!…de prestiges, aussi, sinon, rien,!…mais, si,!…
…d’ascension social,!…etc,!…
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…relativiser, à des schémas,qui s’entremêlent, tout nos soucis entre classes et de nos inventions accordées,!…
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…nous vivons, dans le meilleurs des mondes,!…et a cela près, à ajouter, que l’on peut, mieux faire,…tout est questions d’usures, entre les engrenages,…et à éviter l’obsolétisme programmé de notre société mondiale, un oubli rentable,!…
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…quelques incohérences, déjà, l’absence d’un nivellement de tout les salaires, on y verrai, plus clair, sans certains, sans propriétés,!…
…surtout, si les dromes, gèrent les territoires,!…voir venir,les casse-pipes,!…
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…des idées, de romans, de films, d’architectures, de médecines, tout est lier,…
…rien, à se remâcher le passé,!…
…l’avenir, le futur, tout est devant, à stabiliser, et forger, son destin,…etc,!…
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