Toute la fiction étrangère n’est pas traduite de l’anglais !
Parfois, c’est à se demander si la fiction de langue anglaise n’est pas la seule à être traduite dans ce pays. On sait bien que ce n’est pas le cas, qu’il en vient de partout et que la France détient même une manière de record dans ce domaine. N’empêche qu’à lire les critiques, à écouter les émissions et à prêter l’oreille à la rumeur, on a l’étrange impression que nous n’en avons que pour les écrivains américains, ou à la rigueur britanniques. Il y a pourtant de si belles pépites alentour… Deux pour aujourd’hui, venues de nos voisins.
On comprend que La main de Joseph Castorp (O Teu Rosto Sera O Ultimo, traduit du portugais par Elisabeth Monteiro Rodrigues, 226 pages, 19 euros, Viviane Hamy) ait été couronné là-bas du prestigieux Prix Leya distinguant le meilleur premier roman lusophone. Il a toutes les qualités de fraîcheur et d’invention des œuvres neuves que nul n’attend – et pour cause. C’est un livre qui revient de loin. Si Joâo Ricardo Pedro (Lisbonne, 1973), un ingénieur en télécommunications, n’avait pas été licencié et précipité dans le chômage, de son propre aveu, il ne se serait pas lancé dans une telle aventure, et ne nous y aurait pas entraînés. Le contexte historique rappellera quelques souvenirs, pas si lointains au fond, à ceux qui vécurent ou observèrent les derniers temps du régime dictatorial de Salazar et la révolution dite des Oeillets au printemps 1974. Tout commence avec la disparition d’un homme. Le village le recherche et finit par le retrouver dans un champ, mort, assassiné d’un coup de fusil. Le mystère de sa fin s’ajoute à celui de son existence. Nul ne savait d’où il venait au juste, pas même ses quelques amis, non plus que le plus proche, un médecin. On remonte le fil sur trois générations, à travers les secrets de famille, les non-dits, les silences, les fantômes, et les mémoires dont l’empreinte est si puissante qu’elles réussissent à façonner durablement les esprits les mieux armés. Que reçoit-on et que transmet-on ? Cette double interrogation travaille tout le récit. Des silhouettes familières et des figures légendaires resurgissent dans le décor, celles de Carvalho en Otelo, de Spinola-le-monocle, d’Eusébio-les-buts, de Nicolau à vélo, tandis que la guerre coloniale en Angola n’est jamais loin en toile de fond. On boit des godets de vinho verde et des petits coups de jeropiga, on savoure des pastel de nata.
Au fur et à mesure de la recherche de cet homme, puis sur cet homme, on avance dans un territoire de doutes, planté d’incertitudes et cerné d’hypothèses. C’est captivant, non parce que l’auteur aurait déjà du métier, mais parce qu’il a pris du plaisir à raconter. Il ne suffit pas de maîtriser la technique des ressorts, encore faut-il savoir en faire un art, ce à quoi excelle Joâo Ricardo Pedro (gonflé, tout de même, d’user du nom de Castorp, en titre en plus, nonobstant le Hans Castorp de La Montagne magique). Sous une forme le plus souvent évocatoire mais jamais piégée par sa virtuosité, parfaitement rythmée dans le souci d’une phrase économe de ses effets, l’auteur nous entraîne dans des dédales hantés par le pouvoir de la musique et de la peinture sur les êtres. Il y met suffisamment d’humour et une pointe d’ironie pour garder ses distances avec les situations et les personnages, des gens que les souffrances éprouvées n’empêchent pas de s’aimer, pas même le docteur Mendes ni son petit-fils Duarte, un pianiste surdoué et séduisant. Toutes les histoires et tous les destins colligés sont si habilement mis en place qu’ils s’irriguent mutuellement sans que les canaux soient apparents. Tout cela parce qu’un jour, Celestino n’est pas rentré déjeuner… Un vers du grand Camoes suffirait peut-être éclairer sa part d’ombre, laquelle ne relève ni de l’intranquillité ni de la saudade, une fois n’est pas coutume :
« Daqui dou o viver jà por vivido ». Autrement dit : « D’ici je tiens la vie pour déjà vécue ».
L’autre révélation étrangère de la rentrée, qui a la particularité de n’avoir pas été écrit en anglais, s’intitule Confiteor (Confiteor, traduit du catalan par Edmond Raillard, 780 pages., 26 euros, Actes Sud). Adrià Ardèvol y Bosch, un vieil homme guetté par Alzheimer, prend la plume pour écrire à la femme qu’il n’a jamais cessé d’aimer. Les souvenirs affluent : la figure de son père, étrange antiquaire barcelonais, qui voulait faire de lui un polyglotte ; celle de sa mère, qui le rêvait en grand violoniste. Les deux l’écrasaient également et conjointement par l’ambition qu’ils nourrissaient chacun pour lui. Son instrument, dont la fonction dans le roman n’est pas sans rappeler celle du piano dans La main de Joseph Castorp, joue un rôle essentiel, d’autant qu’il passe de mains en mains d’une époque l’autre. Sauf que l’auteur, Jaume Cabré, obsédé de musique, ne prend pas prétexte de son histoire pour raconter trois générations d’une famille mais.. cinq siècles de convulsions historiques en Europe, excusez du peu. A commencer par l’Espagne : né en 1947, il a vécu la guerre civile en fixant et creusant le regard de ses parents. De quoi mettre à l’épreuve la question qui le hante : l’art est-il utile, voire indispensable, à qui veut comprendre la présence du Mal ?
C’est foisonnant, épuisant, on s’y perd parfois un peu, l’auteur passant du « il » au « je » dans la même phrase sans précaution, mais on finit toujours par s’y retrouver car le romancier revient nous chercher ; comme si, conscient d’en avoir trop fait, il faisait amende honorable. Trois mots parfois suffisent. Confiteor Deo omnipotenti… La conscience de la faute et le sentiment de culpabilité qu’elle entraîne, courent entre les lignes de ces centaines de pages. C’est que le narrateur est convaincu d’être responsable d’une mort violente. Et de bien d’autres choses. C’est l’état permanent d’un coupable tous azimuts et tous terrains. Cabré, lui, doit son livre à une seule phrase de Vladimir Jankélévitch qui l’éclaire de part en part, qu’ il a dû trouver dans son petit texte Pardonner ? –le point d’interrogation étant superflu quand on se souvient que, sous la plume du philosophe, il s’agissait des camps de la mort :
«Père, ne leur pardonne pas, car ils savent ce qu’ils font”
(« La Barcelone de Gaudi » ; « Les azulejos de l’ambassade de France à Lisbonne » photos Passou)
445 Réponses pour Toute la fiction étrangère n’est pas traduite de l’anglais !
Archaïque !
Tu peux développer toto, je sens que nous allons bien rire.
JC fait gaffe, en face de renato tu fais communisse.
« Appelle-le ministre de l’industrie et n’en parlons plus. »
Je ne suis pas le concepteur de l’expression « Ministre du redressement productif » : elle est là et je l’emploie… personne ne vous empêche de l’appeler à votre goût…
coloca a plataforma da lançamento conforme indicado e depois monta o lança-pizzas fazendo pressao para baixo de modo a quase tocar a plateforma.Coloca nele uma pizza e roda a alavanca em sendido contrario. Que tiro espectacular!
berenice a du mal à monter ses meubles ikea
Le rouge au front…,
mais JC est un communisse qui veut s’ignorer, un peu comme ces homos qui vivent dans l’illusion de ‘guérir’ en priant…
12h48
Bravo renato, belle intervention.
Et donc…….
renato dit: 1 novembre 2013 à 12 h 55 min
Le rouge au front…,
mais JC est un communisse qui veut s’ignorer, un peu comme ces homos qui vivent dans l’illusion de ‘guérir’ en priant…
On comprend mieux ce qu’analogie veut dire!
« comme ces homos qui vivent dans l’illusion de ‘guérir’ en priant… »
renato
Bravo pour ce guérir renato, même JC n’aurait pas osé.
On peut faire plus nul que Montebourg mais cela doit être difficile ! Quel gouvernement de brêles !
Il faut vraiment que le Nul de Tulle soit frappé pour s’encombrer d’un type dont l’envergure n’est qu’une nuisance exercée par un Moniteur de Ski sans emploi qui a fait un peu de Droit …
PS : est ce qu’une brave dame de la RdL pourrait se dévouer pour « décongestionner » Renato ? Il me semble que nous y gagnerions tous !
Bérénice,
Que se passe t il …? je ne vous comprends plus.
plombier je tente d’illustrer brillament le thème et le débat et pour cela je suis munie d’un mode d’emploi tortue ninja, y’a qu’à lire tout est inter près table les oracles dispersent la fumée de Delphes la grande cité des imprécateurs à 0% de la tete à toto
Il est évident que le type du post de 13 h 16 min est plutôt long à la détente, ou alors il manque d’information. Par ailleurs, je n’ai pas écrit guérir mais ‘guérir’, bon… c’est vrai que nous sommes sur terre, entre humains…
Limitez-vous à trouver de quoi vous décongestionner vous-même, Monsieur, vous en avez grand besoin.
renato, les « guillemets » ne changent en rien la signification de la phrase.
Votre vieux fond de chaisière remonte toujours à la surface.
JEU DU JOUR
Trouver de quel conseiller du pépé, Président Perdu, il s’agit. cette phrase a été adressée aux hommes, des spécialistes aguerris, chargés de sa protection physique…
« On ne vous a pas dit qu’il faut m’acheter un pain au chocolat le matin ? » rétorque le conseiller.
Post Scriptum : Pour vous aider, son prénom est Faouzi
& 13 h 35 min
Mon « vieux fond » de rien cher Monsieur, je fais référence à des méthodes de soins pour les homosexuels en usage dans certaines sectes. Il faudrait prendre quelques informations avant de causer comme un sac vide.
Dieu sait que j’ai tenté l’impossible, et volontiers, tant je vous aime et vous estime Renato caro ! Mais… aucune candidate RdL ne s’est manifestée pour soulager votre peine.
Il va vous falloir aller aux putes !
Je laisse ça aux inhibé dans votre genre, Monsieur.
Allons y ensemble, mon ami Renato ! Cela nous fera des souvenirs pour nos vieux jours…
(je suis sûr que Chaloux sera des nôtres : c’est une bête !)
Vous admettrez, Monsieur, que l’on choisi ses fréquentations et ses activités, n’est-ce pas ?
renato représente la cible idéale pour le service commercial de « Valeurs Actuelles », une idéologie reaganienne, un conformisme de bedeau et un hum
Pschhhiiittt c’est parti tout seul.
Un peu comme renato rêvant de Madame Claude.
R.I.P.
De Villiers est mort ! SAS, 120 millions d’exemplaires tout de même, l’a tué …
(le lecteur est un être mystérieux….)
« Un humour d’huitre. »
N’importe quoi, pauvre garçon, c’est plutôt vous la cible de toutes les bêtises qui passent, mais il vous sera difficile de l’admettre et lorsque cela arrivera, parce que cela arrivera, vous vous jetterez avec enthousiasme dans le marinisme.
renato dit: 1 novembre 2013 à 13 h 59 min
vous vous jetterez avec enthousiasme dans le marinisme.
Ah ! le coup du miroir ! pauvre garçon sans arguments ni moyens
renato dit: 1 novembre 2013 à 14 h 13 min
pauvre garçon sans arguments ni moyens
Bon, c’est l’heure des poux. A+
j’attends avec curiosité la déclaration officielle d’aurelie Fillipetti sur la mort de gerard de villiers… un auteur qui a bcp vendu…perso, je prefére sandrine Fillipetti, sa soeur,auteur d’une bio de stendhal , d’une petite bio de hugo sympa,,et d’un « gout du théatre » au mercure de france..
@le bedeau artistique dit: 1 novembre 2013 à 13 h 58 min
« Un humour d’huitre. »
Je trouve cette réflexion concernant l’humour de Renato, scandaleusement réductrice, et à la limite…infâmante !
Une première bonne décision de Nullissime 1er: provoquer la suspension des matches de foot pendant un week-end entier.
Puisse-t-il aller plus loin dans cette voie!
service des renseignements de la rue de valois dit: 1 novembre 2013 à 14 h 43 min
»perso, je prefére »
Merci pour cette information. Pourriez-vous en profiter pour nous indiquer l’heure qu’il est ?
Bien dit !
Que l’argent gagné par ces têtes creuses à la sueur de leur entre-jambes soit réparti entre les agrégés et les docteurs de l’université !
A bas le football !
Main ! Hors jeu !
Le manifeste des 343 crétins
Publié le 01-11-2013 à 11h11 – Mis à jour à 11h51
Par Laurent Joffrin
Directeur du Nouvel Observateur
« Euh… Après lecture de la prose à Lolo, une certitude s’impose : le manifeste d’un crétin ! »
Georges-Edouard Schlomo Malek von JC….. dit:
A bas le football !
Pourquoi on les mettrait pas dans des camps ? Mais bien ficelés, hein, sinon ils pourraient s’envoler comme le baron de Muenchhausen…
Demain : jour des morts.
Main ! Hors jeu !
ha c’est bien un jeu bête..que finki pour aimer ça
Si on les enferme dans des camps, ils vont, au lieu de discuter du Sein und Zeit, jouer au ballon, les malheureux : y sont bons qu’à ça… ! Cellules individuelles et promenade séparés, c’est un minimum.
Demain : jour des morts
..sont jamais hors jeux eux
la déclaration officielle d’aurelie Fillipetti sur la mort de gerard de villiers…
bon au rayon officiel, il y a déjà ça:
L’auteur est décédé «des suites d’une longue maladie», ainsi que l’a annoncé son avocat, Me Eric Morain.
«Il avait souhaité que son décès soit annoncé comme cela», a-t-il expliqué
ça ressemble à du bois mort..
Demain : jour des morts.
samedi soir sur la terre comme au ciel
Georges-Edouard Schlomo Malek von JC….. dit: 1 novembre 2013 à 16 h 52 min
Cellules individuelles et promenade séparés
Mais ils l’ont déjà ! Leur entraîneur les « met au vert », ça s’appelle. Ils peuvent parler qu’au ballon. Sinon ils y vont. Par exemple dans des hôtels extraordinaires comme le Prince of Wales à Calcutta ou le Grand Hôtel à Balbec. Mais pas question de rien sinon manger comme des outres et étudier le plan du terrain comme dans les concours hippiques.
Le seul ennui finalement c’est qu’un ballon est beaucoup plus leste qu’un oxer double…
…
…quelle journée,…l’amour à la noix, la mort au beurre pour en faire tout un plat,…
…qu’est ce qu’on boit,…
…
…Casino’s à l’union Pétain du monopole de gay’s de Vichy à Spa,…
…la gueule de bois pour vider ses bourses, en attendant ses cendres, en écouter des copeaux par les planchers de bois,…
…se la farcir, une langue de bois,…
…
…l’amour des songes,…offrir son lys des marais mouvants aux trompes d’éléphants,…
…toujours à l’esprit de chasse,…en rester coït,…du déluge,…etc,…
…
C’est captivant, non parce que l’auteur aurait déjà du métier, mais parce qu’il a pris du plaisir à raconter
Ce qui est probablement l’essentiel. « Avoir du métier », s’agissant de littérature, quelle horreur. Cela dit, chaque fois que je lui raconte mon enfance malheureuse — et Dieu sait si j’y prends du plaisir — ma Josette s’endort. Elle est pourtant bon public.
Tu admettras bouguereau qu’un Ministre du redressement productif n’a aucun sens (Renato)
Comment ça, aucun sens ? Pas plus tard que tout à l’heure sous la couette, Josette m’a dit : « Tu es mon Ministre du redressement productif rien qu’à moi « .
j’espère que t’as ta casquette de garde frontière nordcoréen..essaie jean marron..tu te souviens des « ondes de formes » des dédé des années 70..et ben moi j’y crois dur comme fer
Johnnie,
n’oublions jamais le sublime conseil conjugal donné par le meilleur des Marx : Groucho.
« Faire l’amour à sa femme, c’est comme tirer un canard endormi.»
@D je suis désolée pour ces mots malheureux, vous êtes toujours si drôle et bien que ce ne soit l’endroit je peux vous avouer que vos mots manquent au jour à la nuit que je déchirerais volontiers
Le Monde : il est curieux de vouloir interférer sur la création émergente quand on sait que la plupart des bons créateurs sont nés hors de tout circuit subventionné.
Effectivement nous ne sachons pas le le créateur, en son temps, ait été subventionné.
JC vous la chloroformez avant de l’entreprendre?
que le < le le
c’est tout de suite mieux!
Mais ne l’auriez vous pas prémédité?
Si ce n’est que t’as pas besoin d’être une pute pour avoir un imaginaire débridée.
Si ce n’est que tu peux aimer baiser sans revendiquer être une pute parce que tu aimes le cul.
C’est extrêmement ancien (1979) tout ça comme points de vue et images du monde. Plus besoin non plus de se la jouer Catherine Millet ou Catherine Breillat.
Être pute si tu le choisis cela peut se concevoir ; si t’es sous la férule d’un mac. c’est inconcevable ; après l’imaginaire n’est pas lié à ton statut sinon ce serait la cata. ; on serait inféodé à un imaginaire réduit à baiser le samedi soir -boogie-boogie passque le lendemain tu vas pas au turbin.
Faudrait cesser le terme « pute ». Et ne pas tarifer les prestations.
Faudrait cesser le terme « pute ». Et ne pas tarifer les prestations.
Les bras m’en tombent!
Le proxénétisme et le racolage sont interdits, pas la prostitution. Berci de votre attention.
A quoi s’accroche votre méditation du soir? Je n’ai pas le courage de remonter pour chercher de qui la réponse ou à quoi. Je vois une différence entre pornographie et érotisme en faisant de l’érotisme quelque chose de privée qui ne regarde que deux êtres en harmonie alors que la pornographie serait destinée au regard d’un public, après nous n’en sommes pas à émettre des jugements de valeur sur un cetain déterminisme qui envoie les femmes ou les hommes en enfer quand ce n’est pas du luxe, souvenir d’un film où il s’agissait de ça et finalement l’homme amoureux s’écarte de la femme qu’il aime et qui se prostitue parce qu’il questionne une des ses collègues prostituées également qui soumet l’idée que les filles le font parce qu’elles aiment. L’actrice d’ailleurs est morte prématurément, raison officielle pneumonie, la trentaine.
« Tu es mon Ministre du redressement productif rien qu’à moi «
ministre, fichtre, ça sonne tout de suite mieux qu’entraineuse..
@oui oui pourquoi cette réponse? Pensez-vous que ce qui excite les hommes résident justement dans l’identification de leur partenaire en tant que femme vénale jouant de cette identité avec ce qu’elle implique clairement volontairement dans le but de séduire et d’en tirer profit, l’argent lié au plaisir et c’est double plaisir pour la femme qui se vend et une façon supplémentaire de soumettre l’homme en se soumettant à ce commerce.
…
…après la crise,…reste à attendre la prochaine spéculation du siècle,…
…
…emporté comme un homme amoureux qui veut ignorer les imperfections de la femme qu’il aime dans son imaginaire par la passion qui l’aveugle il reste éblouis des dangers dissimulés,…
…
…il oublie les trois << I << majuscules,…
…l'Imprévisible, l'Inconnu, l'Impondérable qui le guettent,…
…
…mais, les caisses de la banque d'Angleterre étaient plus percées que les tonneaux des Danaïdes,…
…pendant les dernières années de la Prosperity,…la frénésie de tout les capitaux disponibles drainé vers Wall Street,…
…& après le " Krach " il ne restait plus d'argent disponibles,…( et l'or pour une bouchée de pain,( la clique du " krach de l'or " vendredi 23 septembre 1869, le bankstérisme ),…à l'eau de Vichy,…
…
…" si la Bourse m'était contée ",…par André Kostolany,…édit.René Julliard 1960,…extraits fragmentés,…
…
…c'est plus " mieux " que Dallas à J.R.,…
…des séries , pour en être scotcher l'imaginaire des entourloupettes de charmes,…
…etc,…envoyez,…
« Connaissez-vous « Le Dressage de la rebelle » de Shakespeare ? c’est désormais l’ex »Mégère apprivoisée » in the Pléiade. »
Parfois, la traduction est un crime !
bérénice dit: 1 novembre 2013 à 20 h 38 min
A quoi s’accroche votre méditation du soir?
A » mono-couille, maigre pitance, Speedy Gonzales de la décharge bazooka. » Sylvia Bourdon.
L’apprivoisement de la virago: prochaine étape.
l’Imprévisible, l’Inconnu, l’Impondérable qui le guettent
de prévisibles connus lourds au regard insistant seraient donc vraiment moindre mal ?..
« Berci de votre attention ».
Bercy meaucoup, Boscomici.
(A la vôtre)
Dans une scène ordinaire de fellation par exemple, la femme est soumise alors que mener au plaisir son partenaire sexuel est une façon de le servir de l’asservir de le dominer, la position géographique s’inverse tout en offrant au regard du mâle dominant l’image de la stabilité immuable des rôles homme femme dominant dominée
« A quoi s’accroche votre méditation du soir? »
— « Littérature et prostitution »?
Halte à la facilité et la démagogie.
Je m’abstiens.
N’est-ce pas u. que dans cette disposition particulière la femme prend le pouvoir?
j’attends la cautionnement de ma théorie fumante… Ne vous pressez surtout pas ni par galanterie
Vous pouvez tout aussi bien donner un point de vue d’homme puisque vous apparaissez sous des pseudo masculin. Qu’en pensez-vous?
à part Rose qui insiste pour que soit oublié son vrai genre over-masculin
dans cette disposition particulière la femme prend le pouvoir?
Vous confondez être à ma manœuvre et le capitaine qui dirige le gouvernail…
que vient faire philippe dans cette histoire ?
eternally yours: the saints
http://www.youtube.com/watch?v=NNbWNDCLw-k
Parfois, la traduction est un crime !
faut y ajouter une erreur judiciaire pour la mise en abyme
21h51 oui mais sans manœuvre à quoi vous sert-il d’être au gouvernail?
Ne pas confondre Le Dressage de la rebelle avec le brossage de la ridelle!
22 h 09 min
d’ avoir l’ illusion de dominer, pardine!
Le Dressage de la rebelle
Par Ici L’Assortie ça aurait pu faire pire..
l’illusion ne mène pas forcément à la victoire si c’est ce que vous recherchez
…
…la musique pour un très grand piano à queue,…
…c’est pas de la littérature d’experts du Trésor,…
…la déflation de détails,… 179.397 hommes mariés durent quitter leur maîtresse qui leur coûtait désormais trop cher, pour retourner auprès de leurs épouses légitimes,…
…
…On commençait à douter de la solidité de la concentration à grande échelle, qui imbriquait les trusts ( holding-konzern )les holdings les uns dans les autres. On fondait des sociétés en série. Les << sociétés mères << pondaient des << sociétés filles << qui rachetaient les actions des premières. On ne savait plus qui était la fille et qui était la mère…
…le krach de la Bourse de Berlin le vendredi 13 mai 1927,…
…
…Il est évident que les cours ne sont jamais à leurs valeur réelle. Ils sont toujours plus hauts ou plus bas. S'il était possible de fixer la valeur exacte d'une société industrielle, il n'y aurait plus de Bourse du tout.Il y aurait un prix fixe pour les actions, le même tout les jours et pour tout le monde.
…
…la fiction étrangère n'est pas traduite de l'anglais,…mais déjà avec un pied hors de la soupe,…question de traduire d'autres chemins de charmes de lys,…en lys,…etc,…un territoire,…etc,…envoyez,…
…
considérant la matière utilisée pour faire des podiums de nos jours.. .. ..
Le podiums est fabriqué en fibre optique, un prototype attend le rachat du brevet.
…
…@,…kicking,…à 21 h 28 mn,…
…
…de prévisibles connus lourds au regard lnsistant,…seraint donc,…etc,…
…
…vous vous faîtes une pathologie de soumis aux herbes-fines,…du fromage de Bourse-seine,…à en écumée,…des brebis à pâtre,…
…etc,…
alors on aurait du passer directement des lampes aux transistors à lumière
la soumission se démontre par l’impossibilité d’évoluer
planifier le bruit, la montagne faisant écho, l’inclinaison de la falaise et les webcams filmant les l’air ondulé est-ce vraiment grisant ou y a-t-il plus qu’une nuance ?
c trop technique, l’inadaptabilité est naturelle et s’installe progressivement après 50 ans excepté pour ceux qui ont du hasard et de la providence reçu un potentiel hors norme, on peut aussi se démettre en cas d’impossible évolution.
kicking si je vous demande d’être plus explicite est-ce que ce serait comme si je demandais de dévoiler un secret d’initiés?
…
…collections de matières premières pour évoluer en flèche comme un gratte-ciel,…
…
…des cubes aux carrés de fromage » évolués « ,…pour un sandwich au jambon, avec une soupe bien chaude aux cubes Magic,…etc,…
…
Giovani vous avez le titre?
ses initiés sont d’un rasoir, un égoisme assumé serait plus, comment dire, euh moins, enfin vous voyez ce que je veux dire sans doute..
40 licks ou un machin du genre… tant qu’y a des tunes dans le bastringue… on produit
…
…bérénice,…vous voulez dire le titre des livres,…mais lesquels ils vous faut,…
…
…de ma collection de livres scientifiques aussi en architecture ou les modèles » maquettes aux allumettes, avec WW à l’échelle réduit, et donc en proportions,…
…un titre de quel ouvrage ou expériences ?,…etc,…
…
@giovani j’imagine vos expériences nombreuses le titre d’un film avec un joli travelling sur la façade d’un gratte ciel la caméra entre dans un bureau d’affaire
La scène est banale d’ailleurs j’en suis encore à me demander pourquoi on en fait tant d’histoires
on banalise tant de choses
je bananise sans doute
http://www.youtube.com/watch?v=6gjYlf2GZiU
les ramone’s quel affreux nom! vous n’auriez pas quelque groupe plus sensuellement doux?
Etienne Daho avec Charlotte pour if
Oops.. splits don’t do justice
…
…vous voulez me forcer à rire,…avec un titre de film,…
…bon,…écrire avec une imagination réaliste autant que fertile,…Oui,…
…
…déjà, dans l’imaginaire d’autres procédés électroniques,…d’autres processeurs,…d’autres fonctions,…à la Moreno,…et tout cela, pour participer aux trusts évolués des pouvoirs,…
…
…l’argent et bénéfices quels horreurs dans la dignité humaine,…même stable,…taré et non évoluée,…
…j’écris par » la part des anges » avec la perte en écritures,…pour m’avoir en bon cru,…sans titre,…j’ai bien compris,…etc,…
…
je garde votre verbe on ne sait jamais il pourra peut-être me servir un soir, bananisez-vous ou laissez-vous infuser?
rien ne presse pour les interprétations
Si vous étiez un vin je sifflerai la bouteille me souffle-t-on encore faudrait-il que parmi la profusion des choix je trouve le bon marchand avec un conseiller et des amis avec qui le goûter un met qui l’accompagnerait ou alors un jour pluvieux l’été un août à Paris
greetings
banana quel est votre fantasme? un truc du genre?
bérénice dit: 1 novembre 2013 à 23 h 54 min
les ramone’s quel affreux nom! vous n’auriez pas quelque groupe plus sensuellement doux?
–
il parait que Daaphnée aime.
un tube de ventoline sans ordonnance au printemps ; une forme d’accomplissement
…
…bérénice,…je vais être franc,…
…
…l’amour vache c’est difficile d’être différent d’un cru ordinaire,…
…sans châteaux et domaines, comme sur une page de papier et photo,…
…
…des conditions sans espoirs,…autant me prendre au berceau,…la bague au doigt,…en faux-con,…etc,…
…
En témoignage de ma ferme volonté de contribuer à l’élévation du niveau des commentaires du Passoublog, je ne dirai rien aujourd’hui. Juré !
Le passoutouite sur l’ex »Mégère apprivoisée »a heurté Jacques,il ne sera peut-être pas le seul et pourtant,dans l’édition des oeuvres de Shakespeare dans la traduction de Pierre Messien,on peut lire ceci:
« le titre.
Il y a d’abord,en français tout au moins,un problème de titre.Nous connaissons l’oeuvre sous le nom de mégère apprivoisée,ou,si l’on veut,domptée.Le mot « mégère »est contestable,comme le soulignait déjà M.Castelain.En 1934:
La traduction vraie serait le dressage de la chipie.En effet,ni par son âge,ni par sa conduite,Kate ne mérite l’appellation de « mégère ».Elle est autoritaire,orgueilleuse,grondeuse,coléreuse,querelleuse,grinchue,grognon,revêche,acariâtre,tout ce qu’on voudra;elle a le verbe haut,le propos vif,la langue prompte et la main leste;c’est une pimbêche,une pie-griêche,une peste,une chipie;mais elle n’est pas assez vieille,ni tout de même assez méchante,pour qu’on lui décerne le nom de Furie. »
Le problème reste que Shakespeare a choisi “shrew” — The Taming of the Shrew — qui vaut “mégère” ou “furie”…
D’après le Robert & Collins shrew = mégère
et d’après le Harraps: femme crainte, mégère, chipie
(to tame: apprivoiser,
et aussi : dompter (un lion))
ach ! les mégères, il y en a quelques-unes qui gratouillent ici même, non ?
zu témine of zeu chrou: comment mater bonvbonne
Chipie ? acariâtre, donc ? Une vieille acariâtre ? Une petite fille capricieuse ?
Si cela peut intéresser, trad. it. “La bisbetica domata”.
Bisbètico-a qui vaut extravagant, lunatique, bizarre, grincheux (caractère b. : un homme b., une femme b.). Ne vaut pas seulement pour les personnes : maladie b., avec des hauts et des bas, à évolution inexplicable ; mot b., difficile à prononcer.
Et je n’en dirai pas davantage.
Ouf!
D il est un peu tard malheureusement pour ce genre de déclaration, il aurait fallu qu’avant vous y pensiez c’est un peu comme pour la concordance des temps dans cette fichue réponse qui ne changera pas la trajectoire des astres je ne sais pas trop si c’est exact qu’importe n’est-ce pas, l’important c’est de pouvoir vous lire
Tiens, Courrier International sur le Kurdistan.
Ou la vengeance des sexes.
Le tu m’opprimes versus je t’opprime, c’est peut-être une conception inédite de l’égalité homme-femme !
« Les femmes attaquent leur époux après avoir été elles-mêmes maltraitées
Le sociologue Land Saleh ajoute qu’étant donné que les hommes ont l’avantage de la force physique, la plupart des assassinats d’hommes par les femmes sont commis par empoisonnement. A cela s’ajoutent les violences par humiliation, la privation d’affection, l’infidélité et les atteintes à la réputation du mari. Land Saleh fait remarquer que les deux tiers des femmes ayant assassiné leur mari avaient été battues par celui-ci. Cette proportion atteint même les trois quarts si l’on prend en compte la totalité des cas de maltraitance. Toutefois, les femmes ont moins de mal que les hommes à dire qu’elles sont victimes de violences, les hommes craignant d’être accusés de faiblesse et d’être couverts de honte.
Pour expliquer la violence à l’encontre des hommes, Land Saleh parle de l’indépendance économique accrue des femmes, ce qui les pousse à contester la suprématie des hommes. »
@giovani je bois rarement, mon seuil d’acceptabilité me coûterait trop cher il y a tant de manières à s’abîmer, la vie suffit
La Suède jusqu’à présent me semble-t-il offrait à constater un curieux paradoxe alors que rien ne semble manquer ni de la liberté ni du confort ne de l’accès égalitaire à ; les hommes y sont plus fréquemment battus.
Est-ce qu’il existe une littérature contemporaine traduite du breton ? j’en doute. Les Bretons, les ouvrages de l’esprit, c’est pas tellement leur tasse de thé. Leur truc, ce serait plutôt le poulet invendable,le cochon frelaté et leurs pâles imitations du cidre normand. Il est vrai qu’ils seraient bien capables de nous en faire tout un roman.
Toujours la manie française de changer les titres. Pourquoi « Confiteor », avec sa connotation religieuse, alors que le roman de Cabré s’intitule en catalan « Jo confesso »? Pourquoi les éditeurs espagnols (« Yo confieso ») et italiens (« Io confesso ») respectent le titre original et pas les français? « J’avoue » ça ne fait pas assez « intéllo » pour les lecteurs gaulois?
» The Shrew » ne veut pas dire « la rebelle ». Un faux-sens déjà dans le titre, ça part bien. C’est un Breton qui a traduit, ou quoi ? C’est Shakespeare pour les pays émergents ?
« Toujours la manie française de changer les titres. Pourquoi « Confiteor », avec sa connotation religieuse, alors que le roman de Cabré s’intitule en catalan « Jo confesso » ? »
La confession aussi a toujours une connotation religieuse, Pablito, et s’agissant de langues latines, la traduction de « je confesse » en latin c’est « confiteor », avec l’avantage de faire disparaitre ce (moi) « je » puéril…
Pablo y’a trop d’affaires en France les français en ont plus qu’assez des toutes ces tracasseries à 1 franc 6 sous alors c’est confiteor qui pour les moins cultivés dont je suis évoque les météores ou la déconfiture ou loin d tout ceci nous invite à rêver « or » restant en suspens dans l’air automnal avec sa belle lumière ambrée
en latin c’est « confiteor », avec l’avantage de faire disparaitre ce (moi) « je » puéril…( Jacques Barozzi)
Il en reste comme un fantôme, à mon avis. Sur une pierre tombale conservée au musée de Lectoure, on lit l’épitaphe suivante : « Fui. Non sum. Et non curo ». La traduction courante serait : ‘J’ai été. je ne suis plus. Et je ne m’en soucie pas ». Ce qui est effectivement lourdingue. Il serait plus juste de traduire : « Fus. Ne suis pas. N’en ai cure. » Mais l’ego est quand même un peu là, même très décomposé. Personnellement, s’agissant de ma propre épitaphe, je m’en tiendrais volontiers au « non curo », mais je préférerai un sobre « Y a pas de souci », qui dit l’essentiel en évacuant l’ego.
Jacques,
le Confiteor est un moment spécifique de la liturgie de la messe où l’on reconnaît avoir péché (sans ‘catalogue’). Tandis que la confession est un acte de pénitence consistant à reconnaître ses péchés (avec ‘catalogue’), ce qui n’a rien à voir avec la confession (aveu) d’un délit faite à la police. Mais il se peut que le traducteur ait été un chouia nonchalant.
Je me souviens de la belle et explosive Liz Taylor, splendide et véritable jeune mégère apprivoisée par le fougueux Richard Burton !
La rebelle domptée ça fait dressage de puces savantes !
En espagnol on trouve 3 titres pour traduire « The Taming of the shrew »: La fierecilla domada (La petite fauve dressée), La doma de la bravía (Le dressage de la sauvage) et La doma de la furia (Le dressage de la furie).
John dés le matin votre disparition s’annonce diététique, à l’épure quoiqu’il en soit votre rouleau va devoir comme le mien continuer un temps indéterminé à dévoiler ses enseignements; je ne doute pas que le votre sera plus chargé et moins ennuyeux à parcourir que le mien. Le passé nous lègue-t-il en partie l’avenir… n’y lire aucun reproche nous sommes responsables nous plaidons coupables nous assumerons les conséquences de notre légèreté de notre inconsistance des choix et de la destinée
nous sommes responsables nous plaidons coupables nous assumerons les conséquences de notre légèreté de notre inconsistance des choix et de la destinée (Bérénice)
Nous ne plaiderons rien du tout et n’assumerons rien du tout. La sérénité d’un Adolf Hitler et des grands massacreurs de l’histoire dans leur tombe me fait rêver. C’est que j’ai noyé naguère deux chatons nouveaux-nés dans un lavabo et ne m’en suis pas remis. Mais la mort me délivrera de ce lancinant remords. Tiens, ça rime
De ce lancinant remords
Me délivrera la mort
Ouah ! c’est chouatte !
@ Santiaguito Barozzi
« La confession aussi a toujours une connotation religieuse ». Même arrachée sous la torture de la police d’une dictature? De toute façon on s’en fout des raisons des éditeurs. Quand un écrivain choisit un titre, on le respecte. Point.
La rebelle domptée, c’est surement bateau mais tout de suite s’impose l’image d’une cage aux fauves avec une femme plantureuse couverte d’une peau léopard furieuse toutes griffes dehors et dents aussi un peu comme cette navigatrice dans la pub Perrier, l’homme claque du fouet pour en obtenir ce que bon lui semble.
John c’est que la mort abolit le sujet par définition ne pas y voir de sérénité.
« Pablo y’a trop d’affaires en France les français en ont plus qu’assez des toutes ces tracasseries à 1 franc 6 sous alors c’est confiteor qui pour les moins cultivés dont je suis évoque les météores ou la déconfiture ou loin d tout ceci nous invite à rêver « or » restant en suspens dans l’air automnal avec sa belle lumière ambrée ».
Bérénice, comme Mallarmé selon Jules Renard, « intraduisible, même en français ».
aujourd’hui, jour des morts : Popol va bien nous sortir un des ses chouchous du placard à balais
aujourd’hui, jour des morts : Popol va bien nous sortir un des ses chouchous du placard à balais
C’est chez lui qu’il faut le dire!
« Même arrachée sous la torture de la police d’une dictature ? »
Ne pas confondre confession et aveux, Pablito, même si les deux termes se confondaient sous l’inquisition !
Oui, Bérénice, Confiteor c’est la rencontre transcendantale d’un pot de confiture et d’un matador-toréador, tandis que « con » et « fesse » ça sonne trivialement…
y paraît que cricri y est au piquet au fond du couloir.
Pas besoin d’aller chercher très loin le pourquoi de la nouvelle traduction de The taming of the shrew! Il s’agit de transformer un titre misogyne en un titre féministe…
Sous le contrôle de notre agrégé d’anglais préféré, il me semble pourtant que tame et shrew était parfaitement bien traduit auparavant et que la mégère apprivoisée « sonnait » bien son époque élisabéthaine. Shrew en particulier a une connotation négative de femme acariâtre qui n’est absolument pas rendue par « rebelle », terme élogieux dans l’idéologie dominante d’aujourd’hui.
Si cela emmerde le traducteur de travailler sur un auteur des 16ième/17ième siècle qui n’a pas eu la chance de lire les féministes du 20ième siècle, qu’il change de métier!
C’est comme « Guerre et Paix » transformé en « La guerre et la paix » !
La donzellle, mégère ou rebelle, est telle domptée, apprivoisée ou séduite ?
That’s the question ?
Jacques,
là où un Français dit « J’avoue avoir été embarrassé par la situation », un Italien dira « Confesso che la situazione mi ha imbarazzato », et cela n’a rien de religieux, jans compter que l’on s’est épargné l’usage de la première personne du singulier… Enfin, il faut voir l’environnement…
Auquel cas, pour rester dans le goût du jour, on devrait retraduire la pièce de Shakespeare par « Le macho triomphant ?
@ Santiaguito Barozzi
« Ne pas confondre confession et aveux » Quel enculeur de mouches en plein vol !!
Pas besoin d’aller chercher très loin le pourquoi de la nouvelle traduction de The taming of the shrew! Il s’agit de transformer un titre misogyne en un titre féministe…
Juste Auguste. Cette « innovation » pue l’idéologiquement correct à cent mètres. Et puis ça fait faux sens, merde. C’est un faux-sens tout ce qu’il y a de caractérisé. Si cet angliciste n’est pas foutu de traduire l’anglais correctement, qu’il traduise du breton.
Les enculeurs-traducteurs de mouches en plein vol doivent être légion, Pablito, le film L’Aveu, de Costa-Gavras, adapté du livre du même nom d’Artur London, n’aurait pas pu être titré La confession, non ?
Pas besoin d’aller chercher très loin le pourquoi de la nouvelle traduction de The taming of the shrew! Il s’agit de transformer un titre misogyne en un titre féministe…
» La mégère apprivoisée » : il faut vraiment être tordu comme ce traducteur de la Pléiade pour y voir un titre misogyne. Il y a des mégères comme il y a des butors et des beaufs.
A ce rythme là, JB, les traducteurs criminels ne vont pas tarder à remplecer le mot « matrone » par « jeune fille » !
renato, dans le langage parlé, utilisé ici, j’avoue ou je confesse employer indifféremment les deux expressions, notamment pour donner un caractère intimiste à la phrase qui suivra.
Mais s’agissant du livre et de l’écrit, je pèserais mes mots avec plus de précision…
Santiaguito, Pablo de Paris, est-ce le diminutif de Jacques ?
Qu’est-ce que le langage parlé ici vient faire maintenant, Jacques ? Je parle des différences d’environnement : fr — it. Or, en it. le mot ‘avouer’ se traduit ‘confessare’, ‘ammettere’, ‘riconoscere’, en aucun locuteur italien n’est si stupide pour faire appel au latin ‘advocare’ pour n’arriver qu’à un synonyme de ‘confesser’… bon, c’est vrai que nous nous contentons de compter sur dix doit plutôt que sur vingt, et que l’on survit même sans la double négation…
Pour certains traducteurs de la Pléiade, toutes les matrones y sont belles toutes les mégères y sont gentilles.
John,
étant une femme mariée, la matrone n’était pas nécessairement vieille et moche… Tandis que même une jeune fille envieuse et jalouse pouvait se faire traiter de Mégère (préposée à l’envie et à la jalousie) — Vincenzo Monti, dans son Prométhée, imagine les Érinyes « horriblement joyeuses »…
Sachez, Sirrah, que tant qu’ils ne touchent pas au titre anglais de ma pièce, je n’ai que cure à foutre des élucubrations des ré-écriveurs françois; nous réglerons la question des violences faites aux mouches dans l’au-delà, en présence de Lady Macbeth, Cleopatra et Katherine.
Votre obligé
-Will Shakspear
William-Adolphe Bouguereau, « Oreste poursuivi par les Furies » :
http://informa.comune.bologna.it/iperbole/media/8/679pxwilliamadolphe_bouguereau_18251905__the_remorse_of_orestes_1862.jpg
renato, je suis de plus en plus impressionné tant pas l’immensité que par l’étendue voire la diversité de votre culture. Je me demande même comment au fond cela peut-il être tout simplement possible.
12:13 , chez Popol, Anastasie monte la garde !
Tout, sauf Anne, D., c’est plus qu’une mégère ou une matrone, c’est une véritable virago. Mais question efficacité, zéro. Sa grande réalisation à Paris : « le bureau des temps ». Une officine voisine de la mienne, du temps où je travaillais pour la ville, particulièrement budgétivore, peuplée d’une arméee de jeunes marquis (chargés de mission des deux sexes) rose-vert-rouge, mieux payés que moi, après 20 ans d’ancienneté, mais toujours pas encarté. Et cette officine, chargée de repenser le temps des Parisiens ou de s’y adapter a accouché finalement à l’ouverture plus tardive une fois la semaine dans quelques bibliothèques de la ville et à celle d’une crêche plus tardive ou matinale !
Un jour, je suis allé lui déposer un pli, les épreuves du dépliant, auquel je n’ai toujours rien compris, que nous devions publier à 500 000 exemplaires pour faire savoir aux Parisiens ce qu’était le bureau des temps. Sous son nom j’avais inscrit, selon l’usage d’alors, Premier Adjoint. Sa directrice de cabinet, une probable furie, m’a arraché l’enveloppe des mains et a corrigé ma faute de lèse féminisme !
« Je parle des différences d’environnement »renato
Sont-ce des cochoncetés?
« Le bureau des temps »!!! A crever de rire…Il faut vraiment être socialiste parisien pour inventer une ânerie pareille et y coller une nuée de copains et de copines surpayés à rien foutre…
Cela me rappelle le ministère du temps libre. C’est une fixation chez ces gens-là, s’occuper de notre temps.
Merci Baroz pour cette information éclairante.
…
…@,…bérénice,…à…10 h 42 mn,…
…
…je bois rarement,…et moi donc,…
…s’il faut en croire les écritures,…prendre les vessies pour des lumières,…
…autant attendre que nos glands se » confiteor « ,…Ah,…et çà aussi,!…
…ébahissons nous!, par des esclandres imaginés express,…pour stupéfier l’auditoire,…etc,…
…
…D,…organisé des » orgies « , çà vous calmera,…et votre bourse s’en trouvera plus légère,…
…pour respirez l’air pure,…les solutions extrêmes aux saintes-nitouches, un camp de naturisme au père La Chaise,…
…vos invitations feront fureur,…Paris tenu,…Nathalie, Anne, Claude et tout le reste , invitez Dieu avec des cornes du diable,…pour la transparence oligarchique,…etc,…envoyez le » boson « ,…etc,…
…
« Le bureau des temps »
Le Musée du Temps à Besançon est sans doute plus utile :
Giovani 15h24 je suis désolée.
…
…un jour, j’ai fait un test très simple, un mélange d’actions de coeur pour le futur, et autres grades symboliques inter-actifs,…et, donc,…
…
…le Dieu des chrétiens ne voit rien, ne sait rien, et ne fait rien,…dans la réalité de ce monde, il est égal à l’hérésie parfaite,…des connivences du pouvoir,…etc,…
…
…en deux mots,…allez voir ailleurs s’il y est,…envoyez,…etc,…
…
« Le bureau des temps »
et combien de fonctionnaires au bureau des « bad tempered » ?
…
…bérénice,…je ne vois pas en quoi vous devez être » désolé « ,…continuons nos palabres en interludes,…je dois sortir m’aéré, merci!,…
…etc,…
ou bad tempered est-ce un truc utile en cas de gros temps ?
Si cet angliciste n’est pas foutu de traduire l’anglais correctement, qu’il traduise du breton
excellent ! excellent..c’est pas d’l’anglais c’est du shakespeare du rénato et du kabloom..les bretons passe aprés jean marron..
c’est plus qu’une mégère ou une matrone, c’est une véritable virago
..on dit salope ou pute..le reste des circonlocutions..rideau..c’est unrat quechpréfère
ferme ta grande gueule baveuse de racleur bouguereau ducon à cheval
Pour certains traducteurs de la Pléiade, toutes les matrones y sont belles toutes les mégères y sont gentilles.
il est sans doute parfois difficile d’admettre que quand on est scrogneugneu on reste scrogneugneu jusque dans l’insistance à démontrer son blocage scrogneugneu, rayon méchanceté aussi.. .. ..
bouguereau dit: 2 novembre 2013 à 16 h 05 min
..on dit salope ou pute..
Oui enfin c’est encore là que les canons sont les plus sévères…
« Encouragé par la timidité et la pleutrerie du gouvernement qui leur cède tout, le patronat et les cléricaux des départements bretons vont faire manifester les nigauds pour défendre leur droit de transporter à bas coût des cochons d’un bout à l’autre de l’Europe dans des conditions honteuses », écrit Jean-Luc Mélenchon dans un communiqué.
« A Quimper manifestent ceux qui veulent que continue la souillure de notre belle Bretagne par les nitrates de l’agriculture productiviste. A Quimper manifestent ceux qui veulent les salaires de misère pour les agriculteurs et le règne de la grande distribution. A Quimper les esclaves manifesteront pour les droits de leurs maîtres », juge le député européen.
« Les salariés des départements bretons ne doivent pas se tromper de colère ! Ils ne doivent pas aller baiser la main qui les frappe. Ils doivent manifester à Carhaix avec leurs syndicats de salariés et leur classe, leur camp, leur famille. S’ils aiment les symboles historiques, les Bretons qui réfléchissent préfèreront se souvenir de leurs ancêtres qui déclenchèrent la grande révolution de 1789 contre les privilèges des riches et créèrent le club des jacobins plutôt que de marcher derrière les saigneurs de leur époque! », conclut-il.
Il s’agit de Mélenchon, vous l’aurez compris.
« mieux payés que moi, après 20 ans d’ancienneté »
baroz
JC vous dirait que l’ancienneté on s’en bat les deux, et pour une fois JC aurait raison.
Vous avez pensé à la compétence jacquot ?
Euh… La Bretagne était certes jacobine, mais que un peu seulement…
cqu’il dit c’est qu’la vérité toute nue..preuve que mélanchon c’est le huitième saint breton comme les aztèques attendait le retour de quetzacoalt
..t’en as pas keupu..raclure
Oui enfin c’est encore là que les canons sont les plus sévères…
et dont l’obus met l’plus d’temps à sortir du fut..
C’est quand même incroyable qu’il faille aller jusques au fin fond de l’Europe au Portugal après y a plus rien c’est que de l’eau pour trouver des gusses qui portent monocle…
Ca présente bien, Drouant… Une baie vitrée gigantesque ! En cas de bagarre c’est sûr on fait mieux que Günter Grass…
Excellente déclaration de Mélenchon, citée par Spartacus. On ajoutera que les manifestants de Quimper sont les héritiers spirituels (si on peut dire) de ceux qui, trop nombreux en Bretagne, hélas, collaborèrent avec l’occupant nazi. Amis CRS, faites votre devoir !
Une vraie givrée birantesque! Le diable oui, vous épie!
bougue faudrait remettre votre calendrier à jour et sortir de votre abris , la guerre est économique où c’est qu’on lit pas les journaux
La Bretagne ça a l’air bien pour manifester, mais enfin, pour autant que l’on puisse en juger, il y pleut, et savamment…
John justement ils sont dans une démarche psychanalytique, ils veulent tuer le père. Cela dit je ne sais d’où vous sortez vos insinuations et si vous aviez les moyens de citer l’archive
bérénice dit: 2 novembre 2013 à 18 h 25 min
la guerre est économique
Oui enfin faut faire gaffe y a certains mecs quand même qui entendent pas ça du même oeil…
18h14
Bon johnny, plie tes gaules de grand couillon, va boire ton cinq ou sixième ricard et arrête de saloper la moquette.
Comme représentant Paca, t’es vraiment l’étalon.
Grande gueule mais idées courtes.
Tiens, je préfère JC, t’es trop c..
18h32 tout au contraire je trouve que John a les idées longues trop d’ailleurs mais des mains lui manquent pour les tenir jusqu’au bout c’est pourquoi il visite les lieux pour bien les ranger en bon obsessionnel ensuite il fait le compte pour s’assurer que tout y est.
La distinction opérée par Mélenchon entre les manifestants de Carhaix et ceux de Quimper est pertinente à plus d’un titre, notamment au plan ethnique. A Carhaix se sont regroupées des personnes issues du Nord-Bretagne. Cette partie de la Bretagne a toujours eu quelques longueurs d’avance, au plan du développement psychique, des réalisations culturelles et de la conscience politique, sur le Sud-Bretagne, région attardée, pour ne pas dire arriérée, peuplée de ploucs bornés, traditionnellement adonnés à une soumission obtuse à leurs curés et à leurs seigneurs, qui les ont toujours manipulés cyniquement. Voici quelques décennies, traversant, mes parents et moi, les campagnes de la région de Quimper, nous voyions déboucher des chemins creux, avec la sidération qu’on imagine, des sortes de gnomes goîtreux, véritables reliques du paléolithique inférieur. Avec celle des mémères enturbannées du pardon de Sainte-Anne d’Auray, cette image incarne pour moi le niveau de développement humain de ces trous du cul du monde dont on se demande à quoi ils peuvent bien servir, sinon à élever en batterie des poulets aux hormones et des cochons bas de gamme.
Articulations
Et go to go and go
Et garce!
Sarcospèle sur Saricot,
Bourbourane à talico,
Ou te bourdourra le bodogo,
Bodogi.
Croupe, croupe à la Chinon.
Et bourrecul à la misère.
Michaux
John Peel archives
Interlude
Comme vous y allez! En m’y promenant récemment je voyais tout le contraire et pensai qu’après avoir été disposé comme premiers rangs promus à l’abattoir dans différentes guerres, les bretons avaient pris leur revanche, cette région est attrayante et tout y semble droit de l’habitat aux habitants. Ils rencontrent comme les autres les mêmes problèmes de fermeture d’usine et je crois obtiennent les meilleurs résultats en matière de réussite au bac. Cette histoire d’écotaxe si elle était passée aurait alourdie les charges des exploitants(terre et mer) qui ne roulent pas sur l’or.
Comme vous y allez! En m’y promenant récemment je voyais tout le contraire (Bérénice)
Si vous le dites. il est vrai que je ne suis pas retourné dans cette région depuis quelques années. Les fest-noz et les binious, c’est comme tout, on s’en lasse.
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