
Trois femmes qui courent dans la nuit
Avec La nuit au cœur (283 pages, 21 euros, Gallimard), Nathacha Appanah (1973, Mahébourg, Maurice) interroge trois vrais destins de femmes qui ne se connaissaient pas mais sont souterrainement liées par la violence criminelle que leurs maris ou compagnons exercèrent sur elles. Trois femmes qui courent dans la nuit. Elles ne sont pas prises dans la frénésie d’une fuite en avant : elles s’enfuient de chez elles. Seule l’une des trois, la narratrice qui n’est autre que l’auteure, en a réchappé. Elle avait dix-neuf ans, il en avait trente ans de plus ; lorsqu’ils se sont rencontrés, elle venait de publier son premier livre, il était marié, poète et journaliste connu à Maurice…. Les deux autres y ont laissé leur vie, l’une renversée puis écrasée par la voiture de son mari, l’autre exécutée puis brûlée vive. Elle porte témoignage pour les trois par les moyens de la littérature et les siens sont puissants. Elle qui se dit hantée par les livres depuis sa jeunesse a réussi à en faire une protection contre un excès de documentation. Jamais elle ne se laisse déborder ou envahir par les résultats de ses propres enquêtes. Elle n’a rien d’une journaliste malgré sa curiosité lorsqu’elle se rend sur le terrain de l’affaire Chahinez Daoud à Mérignac où cette mère de trois enfants a été donc brûlée vive en 2021 par son mari qui venait de lui tirer dessus : il lui reprochait, violemment et régulièrement, d’adopter un mode de vie trop occidental.
« J’ai souvent imaginé ce travail comme une spirale. Au centre de cette spirale, il y a Emma et Chahinez et un bout de moi-même »
L’auteure commence par faire les présentations non de trois monstres mais de trois hommes ordinaires qui trimbalent comme tout un chacun leur paquet de névroses. Un ouvrier, un employé, un poète auxquels son texte, implacable mise à nu de leurs « saletés », se refuse à donner la parole car elle les veut « bouches fermées ». Elle a choisi de désigner ces trois hommes, trois maris jaloux, violents, manipulateurs, exclusivement par leurs initiales (HC, RD, MB ) ce qui peut paraitre paradoxal alors que leurs procès ont publiquement établi leurs identités. Voici ce qu’elle m’a répondu lorsque je lui ai posé la question :
« Je tenais aux initiales, je ne voulais pas les identifier dans ce livre par le nom choisi par leur mère, leur père, je souhaitais qu’ils prennent cette place là – deux lettres de l’alphabet seulement – dans cet espace littéraire »
On prend ses mots comme des coups et pourtant, on se donne le temps de lire ces pages en espérant que ça dure malgré cette atmosphère de menaces, insultes, humiliations, pressions, contrôles et harcèlements permanente ; car, ô paradoxe, elle en fait une lecture fluide mais guidée par une détermination et une fermeté qui ne tremblent pas. Pour autant elle semble s’interdire de juger en position de surplomb. Cela tient à ce qu’elle conserve un ton apaisant pour dénoncer la violence sauf exceptions dans la dernière partie. Le plus terrible dans ces trois histoires, ce sont les silences lorsqu’il n’y a plus de mots et que domine le mutisme de la douleur, si fort qu’il exclue l’écriture même. Pas les non-dits ou les tabous mais les silences dans les pauses qui font entendre du plus lointain des accents tragiques, les respirations qui font résonner les échos d’une musique si ancienne qu’elles font oublier le cadre très contemporain de ces récits. Toutes choses qui s’inscrivent entre les détails, les petits riens, les à peu près de ces vies minuscules transfigurés par l’acuité d’une écrivaine parvenue à son accomplissement après avoir publié une quinzaine de livres souvent laurés. Celui-ci ne pouvait s’imposer avant à son auteure, question de kairos : le roi vient quand il veut- et plus encore lorsqu’une partie de ce qu’il y à jeter sur le papier est totalement autobiographique et traumatique. Quelle force pour arriver à reconnaitre avoir « consenti » pendant six longues années à être asservie et invisibilisée, être partie puis revenue, puis être partie encore et revenue plusieurs fois avant de trouver le courage de s’enfuir pour de bon. De cette époque-là, elle ne possède aucune photo.
« C’est l’angle mort de ma vie »
Cela dit, aussi, entre les lignes que nul et nulle ne sont à l’abri. Il en faut peu pour cela dérape ou pas, un étranglement qui ne va pas tout à fait au bout de sa pression. A supposer qu’il y a en tout humain, homme ou femme, une part de perversité qui n’attend que son heure pour s’exprimer, dès lors que l’on ne tient pas la société pour l’unique responsable. C’est peu dire que ce livre (qui ne se présente pas comme un roman, ni sur sa couverture ni dans sa conception mais les frontières de genre ont sauté depuis un certain temps déjà) trouble, dérange, déstabilise, la vocation même de la littérature à son meilleur, et pousse à se poser des questions qu’on préfère éviter. Si son accueil public et critique devait se révéler au plus haut en cette rentrée, il faut espérer que les lecteurs ne passeront pas à côté au motif qu’un livre consacré à trois femmes écrit par une femme ne peut concerner que des lectrices. Ce qui serait très regrettable car ils y apprendraient beaucoup de choses : des vérités qui ne sont pas dans les médias. Ne pas l’oublier : c’est bien de trois hommes qu’il s’agit aussi à travers ces trois destins de femmes.
Une question court tout au long du livre : est-ce cela l’amour, une histoire de violences et de mort ? C’est aussi cela quand la domination de l’un sur l’autre se manifeste par un phénomène d’emprise qui atteint un très haut degré de toxicité. Alors se révèle le vrai projet qui habite l’un : la destruction lente, méthodique, asphyxiante de l’autre. On a longtemps appelé cela des faits divers en un temps où les crimes passionnels et leurs échappatoires avaient bon dos et nourrissaient la chronique judiciaire. Puis des faits de société selon leur nature particulière. Enfin des féminicides. C’est si difficile que cela de les désigner aussi comme des crimes et leurs auteurs comme des criminels ? Non des meurtriers mais bien des assassins car la préméditation est bien établie.
Nathacha Appanah n’est certes pas la première à dénoncer l’emprise, il s’en faut, mais dans cette rentrée où le thème revient en force, elle est des rares qui creuse en profondeur dans la paranoïa ordinaire et la pulsion de mort sans rien sacrifier de sa sensibilité, afin qu’il y ait littérature à chaque page, dissipant ainsi enquête et témoignage dans un grand tout. Elle réussit à rendre ces trois hommes, communs jusque dans leur ignominie, « à la merci de cette histoire ». Pour y parvenir, il ne faut pas seulement avoir vécu cet asservissement : il faut vraiment n’avoir d’autre horizon que la littérature et c’est peut-être la seule emprise dont on lui souhaite de ne jamais se libérer. A ceux qui en doutaient encore Nathacha Appanah apporte une confirmation qui a l’éclat d’un diamant noir.
(Photo D.R.)
550 Réponses pour Trois femmes qui courent dans la nuit
Comment un couple marié peut-il atteindre le bonheur conjugal ?
En ne se posant jamais cette question.
En tout cas, sûrement pas en baisant avec ses collègues de bureau, attitude imbécile au possible.
@JC….. dit: 24 août 2025 à 9h22
FRAGMENT 15/70
Je cite de mémoire, sans reprendre mon opus à la couverture abricot : « Le monde est un enfant qui joue » ; quel numéro ? (les fragments font système, aussi n’en citer qu’un, même assorti d’un commentaire de Conche, ne fait pas sens ni n’incite à la découverte)
Renato,
Je suis d’accord avec vous, mais quoi que soient les addictions, je trouve qu’elles ont grand lien avec le goût de pouvoir.
quelles que soient
L’addiction au Livre a certainement un lien avec le goût du pouvoir … ça semble marcher chez les simplets
Notamment chez les simplets tourmentés ; n’est-ce pas keupu ?
Elle partage (ailleurs) de l’addiction aux chips (catastrophique).
Et ici de son dernier roman. Interview passionnante.
https://youtu.be/FlIo6j02vNs?feature=shared
Malgré tout, calme-toi, c’est un must.
Pourtant, elle est terriblement émouvante lorsque, à fleur de peau, elle se laisse submerger par sa propre émotion.
Papa, maman, le mari, et tout le tintouin.
Et que l’on se venge des sévices subis.
La bourgeoisie française, y compris la haute, est à l’agonie.
La faiblesse d’esprit ce ses élites, l’incapacité à construire différemment , l’entraine dans une chute sans fîn et en fait la proie d’un système prédateur mondialisé qui la détrousse habilement sans le moindre scrupule.
L’ordre mondial existe bel et bien et Macron en est le jouet pitoyable, de la même façon que la bourgeoisie qui a consenti par deux fois à l’intrôniser en est désormais le jouet.
Seule un leader charismatique identitaire peut sortir la France de ce ravin. Quelqu’un de la trempe de Jeanne d’arc, de Napoléon ou de De Gaulle.
Pour prolonger la pause estivale
https://www.youtube.com/watch?v=-fUjHGN9biM&pp=0gcJCRsBo7VqN5tD
La Suisse doit être la première cible de la France, alliée à l’Italie puis à l’ Alllemagne. Nous devons nous emparer d’une partie des richeses que la Suisse protège, parce que celles-ci nous ont été volées par l’engence mondialiste. Nous devrons aussi faire la guerre contre les ennemis de l’intérieur. Nous devons envoyer nos enfants combattre pour ces causes plutôt que de combattre contre les russes.
Voici un belliciste de bas étage, sans profondeur et sans attributs. Déjà ceux qui se sont lancés, avec des moyens adéquats, dans ces tristes aventures ne vantent pas de grandes qualités, mais celui qui délire ici en est complètement dépourvu.
PROJET DYNAMIQUE
« Bloquons tout ! »… Pourquoi donc ? C’est déjà le cas et depuis longtemps !
“Né dans l’anonymat d’une chaîne Telegram en mai, l’appel à bloquer la France le 10 septembre s’est diffusé massivement en ligne après l’annonce du plan d’austérité de François Bayrou. Porté par une nébuleuse de groupes aux revendications multiples, le mouvement « Bloquons tout » fédère désormais une mosaïque d’acteurs allant de l’extrême droite à l’ultragauche, sans structure ni leadership identifié.(…)”
Intéressant.
Je viens d’entendre la publicité d’un constructeur automobile français pour ses véhicules électriques d’occasion. Il s’occupe donc de les revendre.
Une fois encore, Marc Court raconte n’importe quoi en prétendant le contraire.
Après l’Ambassadrice d’Italie, c’est l’Ambassadeur des USA qui est convoqué par le Quai d’Orsay.
Le Quai adore convoquer les ambassadeurs, ça l’occupe…
Un certain nombre de pays européens, les USA, la Russie, vont s’employer à pourrir la fin du quaquannat de Macron: ça va être du sport.
Je me demande si je ne vais pas te convoquer à Chaville, Closer.
Il faut que la France, l’Italie et l’Allemagne retirent à l’Otan la possibilité d’utiliser les grandes bases type Aviano, Ramstein etc..
De façon à ce que l’Otan une quelconque alliance de fortune pro-helvète be puisse pas y débarquer des troupes et engins destinés à protéger la Suisse.
la mère d’Amélie Nothomb… Merci pour cette itw, qui nous change l’humeur du billet,
Puck, je crains pour ton âme.
« la mère d’Amélie Nothomb… »
Amusant.
Sur la mère belge, passablement folle selon Amélie, Chantal pourrait nous en dire plus ?
Amélie Nothomb !!!
Il suffit de la voir avec son chapeau de sorcière dégénérée et l’entendre débiter d’ineptes platitudes pour ne plus jamais vouloir la lire.
Charles Baudelaire a tout dit sur les belges.
Pauvre Amélie…
Dommage que ça soit Beigbeder qui mène l’interview. Ses questions ne sont pas vraiment pertinentes, à mes yeux. Disons que j’en aurais posé d’autres… Mais Amélie, au nom sentant bon l’assurance maladie, sauve l’exercice… (mais j’avoue, je n’ai pas écouté jusqu’au bout, j’avais entrepris de nettoyer mon frigo,bref). Amélie est sympathique à plus d’un titre. Elle vieillit bien. Et au moins, elle échappe, grâce à son talent, à la cloche de verre qui emprisonne la parole féminine (je veux dire qu’on ne demande aux femmes que de parler de leur rapport aux hommes, voir au cinéma le test de Bechdel).
Moi aussi j’aime bien Amélie…Bien que j’ai trouvé « La métaphysique des tubes » un peu tirée par les cheveux. Mais trois ou quatre autres livres d’elle m’ont bien plu.
Elle n’a pas l’air d’être la tasse de thé de Passou.
Quelque chose de monstrueux, d’apocalyptique même, se prépare au Proche-Orient.
Tout le monde en a marre de ces islamo-terroristes du Hamas, du Hizbollah et des mollahs du régime iranien, tout le monde veut en finir une fois pour toutes avec ces rats puants qui sont les seuls et uniques responsables de tous les malheurs de cette région.
États-Unis, Israël, Égypte, Jordanie, Arabie Séoudite…etc, sont d’accord pour éliminer ces misérables barbares qui empêchent les peuples de vivre en paix.
La fin des parasites est proche et la paix, seule la paix, règnera après.
C’est un problème de positionnement politique, entre Amélie et notre hôte, à mon sens. Voire littéraire… Mais pas de classe sociale. Y’a sans doute aussi qu’Amélie n’est pas juive (Yourcenar non plus, d’ailleurs, arrêtez-moi si je me trompe), et qu’ils sont donc tous les deux enfermés dans des identités. Mais aimables tous les deux. Bon, je les aime bien. L’un parce qu’il supporte ma présence sur son blog, aussi incongrue qu’une chatte sur un toit brûlant (oh, pas de digressions sexuelles svp merci), l’autre parce qu’elle abat un boulot artisanal digne d’éloges.
Mais Virginie Despentes, Jeangenette, bien moins sympathique qu’Amélie, secoue plus le cocotier. A mon sens, hein, à mon sens.
Quand je serai au pouvoir je ferai embastiller renato.
Un mot qui courait autrefois sur Attali:i
ll travaille surtout la nuit , parce que ce sont les heures où l’électricité consommée par sa photocopieuse est moins chère
Lucie voyage, elle aussi, en fragments, elle aussi :
https://www.lemonde.fr/sciences/article/2025/08/25/l-australopitheque-lucy-est-exposee-en-europe-pour-la-premiere-fois_6634865_1650684.html
Mieux vaut lire ce blog de manière décontractée.
Oui, je l’avoue, je pandicule en lisant ce blog!
Jazzi doit pandiculer en bermuda!
Tu pandicules, tu pandicules…
Il y a des gens qui naissent courts et trappus. Ils ont des difficultés à trouver des pantalons qui n’entravent pas leurs mouvements. Généralement ils sont simples et ont besoin de faire marcher leurs muscles pour être bien.
Ces gens tiennent absolument à copuler avec des gens qui leur ressemblent rn tous points. La progéniture qui en résulte est carrément difforme et aucun pantalon du commerce n’existe pour vêtir ces poteaux massifs et ces arrières-trains bovins (de concours).
Il n’y a plus que le déménagement de pianos à queue qui puisse professionnellement convenir à cette seconde génération.
« Partout, et en toute chose, éclate
à Paris l’inégalité des conditions, dans ce pays
ivre d’égalité. Cette immuable force de choses se
trahit jusque dans les effets de la Mort. Dans les
familles riches, un parent, un ami, les gens
d’affaires, évitent ces affreux détails à ceux qui
pleurent ; mais en ceci, comme dans la répartition
des impôts, le peuple, les prolétaires sans aide,
souffrent tout le poids de la douleur. »
De qui est-ce?
Mais de Balzac voyons! Auprès de Balzac, les critiques marxistes de la société bourgeoise et de la toute puissance de l’argent peuvent aller se rhabiller…
Extrait du Cousin Pons, après la mort de celui-ci. Un des livres les plus noirs, les plus pessimistes, les plus oppressants de Balzac. Les derniers chapitres du roman quand Pons tombe malade et agonise sont haletants. On ne parle pas assez du côté « thriller » de certains de ses romans…
« Y’a sans doute aussi qu’Amélie n’est pas juive »
Christine Angot l’est, et n’est pas plus chroniquée ici par Passou.
C’est quoi encore ce procès d’intention qui voudrait que Passou ne s’intéresse qu’aux auteurs juifs ?
« Y’a sans doute aussi qu’Amélie n’est pas juive » et autres bêtises… ras les pâquerettes ! il y a de qua pandiculer.
Cette réflexion est en effet très bizarre…
Sur Angot, je ne suis pas sûr du tout que Passou n’en parle pas JB, mais il ne parle jamais de Yasmina Reza, l’un des meilleurs écrivains vivants et juive.
Angot est bien dans le créneau de Passou, inceste, haine familiale, victimisation, il adore tout ça.
Reza pas du tout, elle même osé écrire sur Sarkozy sans le démolir systématiquement!
Renato est un pandiculeur-né.
Renato est un pandiculeur-né.D.
Et s’il pandicule cul-nu ça pendicule!
Heureusement que Passou ne parle pas de Yasmina Reza, imaginez les conneries qu’on lirait dans les commentaires à propos de Dans la luge d’Arthur Schopenhauer, par exemple.
Qu’il soit donc entendu que je dise n’importe quoi puisque Chaloux le décide.. Remarquez, on sait ce que valent ses décisions!
Je suis d’accord !
C’est d’un pénible de définir les gens ainsi comme si on dressait une liste !
Paul Klee (1879–1940)
Poison
1932
Aquarelle et crayon sur papier sur carton. Zentrum Paul Klee, Berne
L’art de Klee, avec celui de nombreux autres artistes modernes, a été étiqueté « dégénéré » par le régime nazi en Allemagne.
« Poison » faisait partie des 17 peintures de Klee exposées dans l’infâme exposition nazie « Degenerate Art » de 1937 à Munich, qui visait à ridiculiser l’art moderne et les artistes
La première apparition de R. Reagan au cinéma — Love is on the Air — a coïncidé avec la première exposition d’art dégénéré.
Et Nathacha Appanah ?!
Personne ne parle de Nathacha Appanah !
Pourtant le billet de Passou est consacré à Nathacha Appanah !
Vous n’aimez pas Nathacha Appanah ?!
C’est pas vot’ genre de nana Nathacha Appanah ?!
Elle pue des pieds Nathacha Appanah ?!
C’est quoi ce racisme anti-Nathacha Appanah ?!
Vous savez ce qu’elle vous dit Nathacha Appanah ?
Elle vous dit Nananananana, en vous tirant la langue, Nathacha Appanah.
Voilà !
les critiques de la société bourgeoise et de la toute puissance de l’argent peuvent aller se rhabiller, sauf que Balzac n’entendait pas vraiment remettre les Ponts d’aplomb sur leur tablier.
Et Nathacha Appanah ?!
Mais maurice R, vous n’avez pas écouté tout ce toin toin sur la France Inter ce matin?
Tout ce tsoin tsoin victimaire orchestré en live avec l’auteure?
Tintouin, plus sûrement.
Tsoin tsoin n’était pas mal…Je le regrette un peu …
Le 20 août 2025, à 8 h 27, heure du forum, Chaloux avait déjà établi les limites du sujet. Il est évident que nous préférons parler de tout autre chose et lire des classiques.
Woody Allen a touché le fond.
Ah bon ? Les russes n’ont pas le droit d’organiser des festivals culturels ?
La culture doit être retirée aux russes ? Méthode digne des fascistes.
Les Russes ne sont pas en cause, crétin !
Et ici, le seul fasciste belliciste, c’est vous.
Oui, lamentable, renato !
« L’Ukraine a fustigé la participation de Woody Allen à un festival de cinéma de Moscou, estimant qu’elle constitue une « insulte » aux victimes de la guerre. Le cinéaste de 89 ans, persona non grata à Hollywood depuis des accusations d’agression sexuelle, a pris la parole par visioconférence et affirmé qu’il serait prêt à tourner en Russie. »
https://www.parismatch.com/actu/international/lukraine-denonce-la-participation-de-woody-allen-a-un-festival-de-cinema-en-russie-256063
Renato,
Tu n’as pas honte d’être aussi virulemment et fanatiquement russophobe?
Sous prétexte que Poutine ne trouve pas grâce à tes yeux, tu nous fait chaque jour des crises d’hystérie anti-russe absolument grotesques.
Un peu de retenue et de réflexion de ta part et plus de pondération dans tes jugements seraient les bienvenues.
Et vive LA CULTURE RUSSE !
Le plus ignoble chez Marc Court, c’est son incapacité chronique à reconnaître ses erreurs, il est vrai nombreuses et couvrant la totalité des domaines qu’il se croit autoriser à parcourir.
J’écris « ignoble » parce que cette incapacité par, si j’ose dire, son intolérable obstination, finit par s’apparenter à une volonté délibérée de tromper, devenue un automatisme, assez proche d’une forme d’aliénation mentale..
Que peut valoir le résultat de recherches d’un quidam si absolument vaniteux qu’il en devient incapable de reconnaitre la plus infime de ses erreurs?
C’est ce je compte demander aux organismes qui l’emploient.
Maurice revient…, J’ai écrit plus haut à l’intention de D. : « Les Russes ne sont pas en cause, crétin ! » Cela étant donné, êtes-vous vraiment stupide ou faites-vous semblant ?
Il fait semblant.
Demain c’est mardi, jour du merlan aux endives.
Miam !
Et si ça m’chante d’être stupide pour rigoler un peu…
J’en ai le droit non ?!
Ce Renato, quel rabat-joie !
Moi j’ai déjà mangé du merlan aux endives allongé sur une plage de sable blanc aux Maldives près d’une nana au teint blond, nue et lascive !
« Sable mouvant,
aimable souvent ».
Robert Desnos
de quoi débander, comme chez Kerouac, Jack…
la sortie est au bout du tunnel, SV et alii.
@ Stavroula – Vanité de Duluoz, une éducation aventureuse 1935-1946. Adieu, —
J’ai l’impression que ce MC est un robot véreux, un automate vicieux.
Un golem fait de boue et de vanité.
Régis Jauffret aussi Maman.
C’est une épidémie.
Source : YouTube
https://search.app/gRMWK
Passionnant article de Joseph Fontavreux sur le livre de Percival Everett « James ». Avec toute une réflexion sur le débat autour de la question du traitement des propos racistes, sexistes dans les oeuvres passées (par exemple, le titre de Christie « les dix petits nègres »), l une analyse du travail et des procédés d’Everett dans la « lignée » de ceux de Kamel Daoud dans son « Meursault, contre-enquête », une évocation de Mark Twain (« James » est écrit d’après l’univers de Tom Sawyer et Huckleberry Finn, et d’ailleurs j’ai du coup l’intention de relire ces classiques avant de passer à Everett), une intervention de Laure Murat, un débat critique. Tout cela est vraiment passionnant… Et sera totalement ignoré de nombre des commentateurs de la RDL : pensez, l’article est publié chez Mediapart !!!
Vers la fin de mars, il se remit aux mathématiques, mais les autres matières l’ennuyaient de plus en plus. Il s’était découvert un don intuitif pour résoudre les équations riemanniennes, et stupéfiait le Pr Upham par sa compréhension des problèmes de la quatrième dimension et d’autres qui laissaient sans voix tout le reste de la classe. Un après-midi, il y eut une discussion sur l’existence possible de courbures insolites de l’espace, et de points théoriques d’approche ou même de contact entre notre partie du cosmos et diverses autres régions aussi éloignées que les étoiles les plus lointaines ou les abîmes transgalactiques eux mêmes – ou même aussi fabuleusement distantes que les unités cosmiques expérimentalement concevables au-delà du continuum espace-temps einsteinien. Gilman traita ce thème avec une aisance qui remplit d’admiration toute l’assistance, même si certaines de ses hypothèses proposées à titre d’exemple ne firent qu’encourager les perpétuels bavardages sur la bizarrerie de sa nervosité et de sa solitude. Ce qui fit hocher la tête aux étudiants fut le ton sérieux de sa théorie selon laquelle un homme – doué de connaissances mathématiques dépassant de l’avis général toutes les probabilités d’acquisition humaine –pourrait passer volontairement de la terre à tout autre corps céleste situé à l’un d’une infinité de points précis du modèle cosmique. Un tel passage, dit-il, ne demanderait que deux étapes ;d’abord la sortie de la sphère à trois dimensions que nous connaissons, et ensuite le retour à la sphère à trois dimensions en un autre point, peut-être à une distance infinie. Que cela pût être réalisé sans perdre la vie était concevable dans beaucoup de cas. Tout être de n’importe quelle région de l’espace à trois dimensions pouvait probablement survivre dans la quatrième dimension ; et sa survie lors de la seconde étape dépendrait de la région étrangère de l’espace à trois dimensions qu’il choisirait pour sa rentrée. Les habitants de certaines planètes pouvaient vivre sur certaines autres – même si celles-ci appartenaient à des galaxies différentes, ou à des phases dimensionnellement similaires d’autres continuums espace-temps – bien que naturellement il doive exister des quantités considérables de corps ou de zones d’espace inhabitables les uns pour les autres, même s’ils sont mathématiquement juxtaposés. Il était possible aussi que les habitants d’un monde de dimensions données puissent survivre à l’entrée dans beaucoup de mondes inconnus et incompréhensibles à dimensions supplémentaires ou indéfiniment multipliées – qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur du continuum espace-temps donné –et que la réciproque soit également vraie. C’était là un sujet de conjectures, bien qu’on puisse être à peu près certain que le type de mutation impliqué par le passage d’un système dimensionnel donné au système suivant plus élevé n’entraînerait pas la destruction de l’intégrité biologique telle que nous l’entendons. Gilman ne trouva pas d’arguments très clairs pour étayer cette dernière hypothèse, mais son imprécision sur ce point fut largement compensée par sa clarté sur d’autres sujets complexes. Le Pr Upham goûta particulièrement sa démonstration de la parenté des mathématiques supérieures avec certains moments du savoir magique transmis à travers les âges depuis une indicible antiquité – humaine ou préhumaine – où la connaissance du cosmos et de ses lois était plus vaste que la nôtre.
@de quoi débander, comme chez Kerouac, Jack…
« En réduisant de 30 minutes l’accès aux réseaux par jour, on diminue l’anxiété et le risque de dépression chez les jeunes »
https://x.com/publicsenat/status/1914915307702944010
Bonne journée les jeunes
Tous ces Papa, Maman, la bonne et moi, c’est une démission intolérable des écrivains, une désertion de la littérature française. Cette littérature contemporaine française était déjà d’une extrême médiocrité, elle touche désormais le fond. Comme en politique, il faut maintenant renouveler les cadres.
Dans son ignorance crasse, la pauvre Cloportine ne sait pas que les (vrais) chercheurs ont depuis longtemps labouré les champs quelle découvre enfin, bien avant les woke et avec infiniment plus de sérieux. Misère intellectuelle un jour, misère intellectuelle toujours. Comme si Médiapart découvrait autre chose que la lune.
ATTENTION, DANGER !
Le plus souvent, la Littérature, une distraction dangereuse -n’en doutez pas- fait grimper le pratiquant imprudent au 12ème étage de la cave réservée aux intellectuels narcissiques, pourris d’orgueil.
Sans plus…
qu’elle
Le plus ignoble chez Chaloux c’est son ressassement permanent de vieilles accusations. En voilà un qui aurait fait ce qu’on a àppele Des affaires sur ces propres haines entre 1940 et 1944! En plus, vieil enfant gâté dénué de tout humour. Il suffit de voir l’importance donnée à la case insultes dans les réactions du bonhomme. Et ça veut voir la recherche de son pays rayonner! Il faudrait peut être alors cesser, pour cela, d’insulter les chercheurs…lesquels ont. Autre chose à faire que de se soucier de ce Mr Chaloux , qui hélas leur rappelle sans cesse sa misérable existence….
Illustration…
6h 27? La pendule bloguesque a des ratés quant aux heures d’expédition…
« Les gens de Mediapart sont vraiment à la pointe.
— De l’arrière-garde ? »
Cela dit, Bonne journée du chien.
Le vieux crétin Trissotin Court n’a pas encore remarqué que ce qu’il appelle « la pendule » retarde depuis des années.
Et on lui demande de faire des recherches…
Hurkhurkhurk!
Je soutiens la procédure de destitution que lancera LFI le 23 septembre et regrette qu’aucun autre parti de centre et de droite n’ait eu cette initiative avant.
Si j’ai bien compris, il n’est plus possible d’envisager et de parler de la possibilité d’un Etat Palestinien sans se faire traiter d’antisémite ?
Comment en est-on arrivé là ?
Et sous le triumvirat du nouvel ordre mondial Trump-Poutine-Nétanyahou, il ne nous est plus donné qu’à assister, impuissants, au génocide des Palestiniens.
Que pouvons nous faire ?
Je mêle de ce qui ne me regarde pas: MC, ce site n’est absolument pas approprié pour faire (re)connaître ses travaux. Pour cela, il y a les pairs dans les revues avec rapporteurs. Cette insistance dans ce petit cercle, fait de non spécialistes–pour le moins–est suspecte et puérile.
Je vais manger mon merlan et je reviens.
Les endives c’est bien mais le concombre c’est mieux, D.
8 Bienfaits Santé Surprenants du Concombre !
1. 90 % d’eau
Ultra-hydratant, idéal en été ou après un effort.
2. Protège reins et vessie
Son effet drainant aide à éliminer les toxines et limite les calculs.
3. Action anticancer
Contient des antioxydants et cucurbitacines étudiés pour leurs effets protecteurs.
4. Apaise l’estomac
Soulage la muqueuse digestive et favorise la cicatrisation des ulcères.
5. Régule la tension
Riche en potassium et magnésium, soutient le cœur et l’équilibre électrolytique.
6. Réhydratation
Complète l’apport en eau et maintient peau et organes en forme.
7. Soulage les maux de tête
Hydratant et anti-inflammatoire, utile contre les céphalées liées à la déshydratation.
8. Beauté de la peau
Hydrate, tonifie et réduit les poches grâce à sa teneur en silice.
Chez les légumes, c’est le fameux et célèbre Concombre Masqué qui rend justice en défendant la veuve Tomate et l’orphelin Patate.
Les endives, elles, c’est juste des pleurnicheuses idiotes et inutiles.
Mangez des concombres et vous aurez une vie héroïque.
Et si vous lisiez La Fontaine ?
Commencez pas ses meilleures fables .
J’ai mis un astérisque aux fables que je préfère entre toutes.
Livre 1
Fable 5 : Le Loup et le Chien* F 7 : La besace F10 : Le Loup et l’Agneau* F 15 : La Mort et le
Malheureux F16 : La Mort et le Bûcheron F18 : Le Renard et la Cigogne F 22 : Le Chêne et le Roseau.
Livre 2
Fable 1 : Contre ceux qui ont le goût difficile F 2 Conseil tenu par les rats* F5 : La chauve-souris et les deux belettes F 9 : Le Lion et le Moucheron F18 : La chatte métamorphosée en femme.
Livre 3
Fable 1: Le meunier, son fils et l’âne F3 : Le loup devenu berger F4 : Les grenouilles qui demandent un roi* F15 : Le chat et un vieux rat.
Livre 4
Fable 1 : Le jardinier et son seigneur F21 : L’oeil du maître F22 : L’alouette et ses petits avec le maître d’un champ.
Livre 5 :
Fable 2 : Le pot de terre et le pot de fer F 3 : Le petit poisson et le pêcheur F5 : Le renard ayant la queue coupée F8 : Le Cheval et le Loup F9 : Le laboureur et ses enfants F20 : L’ours et les deux compagnons.
Livre 6
Fable 5 : Le cochet, le chat et le souriceau F10 : Le Lièvre et la Tortue F21 : La jeune veuve*
Livre 7
Fable 1 : Les animaux malades de la peste* F2 : Le mal marié* F3 : Le rat qui s’est retiré du monde
F 4 Le héron, la fille F7 : La cour du lion F9 : Le coche et la mouche F10 : La laitière et le pot au lait* F11 : Le Curé et le Mort* F13 : Les deux coqs F16 : Le chat, la belette et le petit lapin.
Livre 8
F1 : La Mort et le Mourant F2 : Le Savetier et le Financier F6 : Les femmes et le secret F9 : Le Rat et l’Huître F10 L’ours et l’amateur de jardins F11 : Les deux amis* F14 : Les obsèques de la lionne*
F15 : Le Rat et l’Eléphant F26 : Démocrite et les Abdéritains
Livre 9
Fable 2 : Les deux pigeons* F4 : Le gland et la citrouille* F 5 : L’écolier, le pédant et le maître d’un jardin F14 : Le Chat et le Renard
Livre 10
Fable 21 : La tortue et les deux canards*
Livre 11
Fable 4 : Le songe d’un habitant du Mogol F7 : Le paysan du Danube F8 : Le Vieillard et les trois jeunes hommes*
Livre 12
Fable 4 : Les deux chèvres F 5 : Le vieux chat et la jeune souris
Et si vous n’avez que dix minutes pour lire, lisez Le Loup et l’Agneau, Les deux amis, Les deux pigeons, La jeune veuve, la tortue et les deux canards, Le vieillard et les trois jeunes hommes.
Quand vous aurez fini, relisez-les. Vous pouvez même les apprendre par cœur.
Mais… qui insiste , Vedo? Et qui distribue ici des certificats de bonne conduite et de suspicion? Posez-vous un peu la question. Et oui, cette après-midi je travaille sur un autre sujet qui n’a rien à voir avec le cas susnommé. Heureusement!
Hé hé, croyez Jazzi ; le concombre, c’est mieux ! 🥒
« Chaque tableau apporte avec lui un carré de silence et une raison à notre ramage intérieur de s’interrompre » Paul Claudel, Journal
Ce pauvre Court ne dit que des sottises. Est-ce ma faute?
Littérature hystérique : Troisième séance : Danielle
Après l’apocalypse selon saint François Bayrou, se réfugier dans « chanson tendre » de Carco et le poème qu’Aragon à consacré au poète des Apaches
Pour ressusciter Molière, faut jouer Lazare… (bon d’accord, je sors.)
@Je mêle de ce qui ne me regarde pas: MC, ce site n’est absolument pas approprié pour faire (re)connaître ses travaux. Pour cela, il y a les pairs dans les revues avec rapporteurs. Cette insistance dans ce petit cercle, fait de non spécialistes–pour le moins–est suspecte et puérile.
Un peu de tolérance avec Mr. Short, je vous prie ; même le service public lui tend la main en cette rentrée et lui donne l’occasion de démêler ses quêtes (recherches) in vivo :
📢 A la rentrée, la Matinale de France Culture lance « Les Chantiers de la Recherche », un nouveau rendez-vous pour vous faire découvrir les coulisses de la recherche !
Tous les matins, de 6h45 à 6h50 Guillaume Erner tend le micro à une chercheuse ou un chercheur pour qu’il ou elle vienne présenter ses travaux lors d’une interview de 5 minutes. Quatre questions guideront la conversation : que cherchez-vous ? Quelle méthodologie avez-vous suivie ? Quelle surprise a surgi en cours de route ? Et, bien sûr, quels résultats en tirez-vous ? »
Dans le cadre de ce nouveau module, France Culture invite les chercheurs à prendre l’antenne ! Quelle que soit votre discipline (sciences dites « exactes », sciences humaines et sociales, sciences économiques et politiques…), vous avez soutenu votre thèse il y a peu ou vous êtes l’auteur d’une publication récente et vous souhaitez vulgariser vos travaux auprès des auditeurs de la Matinale ?
📩 Envoyez-nous un mail à l’adresse suivante : juliette.devaux@radiofrance.com !
Ben, en ce moment, c’est grève sur France Culture, on se demande bien pourquoi ? Wouarf.
Je peux vulgariser mes travaux endiviens ?
c’est la tragédie grecque qu’on va ressusciter…
Crise politique à Vanity Fair.
Monsieur Charoulet, le mieux est de lire les Fables, de la première à la dernière, dans l’édition de La Pléiade illustrée par Granville.
Un régal pour l’esprit et pour les yeux.
Chaloux, vous êtes plutôt concombre ou endive ?
J’espère que vous participez au festival de cerfs volants à Dieppe du 13 au 21 septembre!
Un cerf volant en forme de dictionnaire?
Et le petit Florian ? Pourquoi ne pas lire ses savoureuses fables ?
Pourquoi on le snobe ou, pire, on l’oublie ?
« Le Grillon », quelle jolie fable qui se termine par : » Pour vivre heureux, vivons caché », en guise de morale.
N’est-ce pas joli et plein de bon sens, une sagesse pareille.
“ Le patriarche de Jérusalem, le cardinal Pizzaballa, et le patriarche grec orthodoxe, Théophile III, annoncent qu’ils ne quitteront pas Gaza. Prêtres et religieuses resteront aux côtés des Palestiniens. «
Oui renato. Ils vont jusqu’au bout par amour, comme Jésus et par Jésus, que vous êtes incapable de reconnaître comme le Fils de Dieu.
Du livre de l’Apocalypse selon Saint Jean – Chapitre 7
« 1Après cela, j’ai vu quatre anges debout aux quatre coins de la terre, maîtrisant les quatre vents de la terre, pour empêcher le vent de souffler sur la terre, sur la mer et sur tous les arbres.
2Puis j’ai vu un autre ange qui montait du côté où le soleil se lève, avec le sceau qui imprime la marque du Dieu vivant ; d’une voix forte, il cria aux quatre anges qui avaient reçu le pouvoir de faire du mal à la terre et à la mer :
3« Ne faites pas de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, avant que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. »
4Et j’entendis le nombre de ceux qui étaient marqués du sceau : ils étaient cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des fils d’Israël.
5De la tribu de Juda, douze mille marqués du sceau ; de la tribu de Roubène, douze mille ; de la tribu de Gad, douze mille ;
6de la tribu d’Aser, douze mille ; de la tribu de Nephtali, douze mille ; de la tribu de Manassé, douze mille ;
7de la tribu de Siméon, douze mille ; de la tribu de Lévi, douze mille ; de la tribu d’Issakar, douze mille ;
8de la tribu de Zabulon, douze mille ; de la tribu de Joseph, douze mille ; de la tribu de Benjamin, douze mille marqués du sceau.
9Après cela, j’ai vu : et voici une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues. Ils se tenaient debout devant le Trône et devant l’Agneau, vêtus de robes blanches, avec des palmes à la main.
10Et ils s’écriaient d’une voix forte : « Le salut appartient à notre Dieu qui siège sur le Trône et à l’Agneau ! »
11Tous les anges se tenaient debout autour du Trône, autour des Anciens et des quatre Vivants ; se jetant devant le Trône, face contre terre, ils se prosternèrent devant Dieu.
12Et ils disaient : « Amen ! Louange, gloire, sagesse et action de grâce, honneur, puissance et force à notre Dieu, pour les siècles des siècles ! Amen ! »
13L’un des Anciens prit alors la parole et me dit : « Ces gens vêtus de robes blanches, qui sont-ils, et d’où viennent-ils ? »
14Je lui répondis : « Mon seigneur, toi, tu le sais. » Il me dit : « Ceux-là viennent de la grande épreuve ; ils ont lavé leurs robes, ils les ont blanchies par le sang de l’Agneau.
15C’est pourquoi ils sont devant le trône de Dieu, et le servent, jour et nuit, dans son sanctuaire. Celui qui siège sur le Trône établira sa demeure chez eux.
16Ils n’auront plus faim, ils n’auront plus soif, ni le soleil ni la chaleur ne les accablera,
17puisque l’Agneau qui se tient au milieu du Trône sera leur pasteur pour les conduire aux sources des eaux de la vie. Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux. »
Je suspecte, D., que puisque vous en parlez trop, vous ne soyez pas capable de reconnaître.
Le Patriarche et le Cardinal à Gaza !!
Deux grands inquisiteurs de pacotille qui soutiennent les terroristes du Hamas par haine d’Israël.
Le temps pour se rendre en vaisseau sur une certaine planète située près d’Arcturus est de 236 jours, tenant compte des effets relativistes, en accélérant à 20 g jusqu’à 290000 km/secondes, tenant compte aussi de la décélération. Sur Terre, il se sera écoulé 37 ans. Donc environ 75 ans observés depuis la Terre pour un séjour de 6 mois à Arcturus et moins de 2 ans pour l’équipage. Soit 3 générations.
Heureusement, il existe un autre moyen pour se rendre là-bas et tout de suite.
On pourrait y téléporter quelqu’un là-bas ?
Nota : Il voulait effectuer un stage de survie au milieu des bisons, un homme armé d’un tournevis découvert dans un parc animalier.
En France, nous avons un homme qui n’a nul besoin de se déconstruire en ne faisant pas pas le barbecue « NON, je ne ferai pas le barbecue, je me déconstruis », gueule -t’il, et il va faire tout seul son stage de survie avec un tournevis : Bison futé, a commenté le Vicomte.
À côté de chez moi, je lui signale, à ce type en recherche, Bravo !, qu’il y a une voisine chez qui il peut faire un stage de survie. Je lui dis courage, mon brave. À mon avis, elle vaut un troupeau de bisons.
renato dit: 26 août 2025 à 20h12
“ Le patriarche de Jérusalem, le cardinal Pizzaballa, et le patriarche grec orthodoxe, Théophile III, annoncent qu’ils ne quitteront pas Gaza. Prêtres et religieuses resteront aux côtés des Palestiniens. «
Mon cœur léger, ce matin !
D. Merci à vous ! 🙏
J’ai transmis à mes amis italiens :
« Puisque vous êtes dans les îles grecques, en naviguant vers Istanbul, à Patmos, dans le dodécanèse, a été écrit le livre de l’Apocalypse par Saint Jean, ceci qui suit pour vous ! »
Du livre de l’Apocalypse selon Saint Jean – Chapitre 7
« 1 Après cela, j’ai vu quatre anges debout aux quatre coins de la terre, maîtrisant les quatre vents de la terre, pour empêcher le vent de souffler sur la terre, sur la mer et sur tous les arbres.
2Puis j’ai vu un autre ange qui montait du côté où le soleil se lève, avec le sceau qui imprime la marque du Dieu vivant ; d’une voix forte, il cria aux quatre anges qui avaient reçu le pouvoir de faire du mal à la terre et à la mer :
3 « Ne faites pas de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, avant que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. »
4 Et j’entendis le nombre de ceux qui étaient marqués du sceau : ils étaient cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des fils d’Israël.
5De la tribu de Juda, douze mille marqués du sceau ; de la tribu de Roubène, douze mille ; de la tribu de Gad, douze mille ;
6 de la tribu d’Aser, douze mille ; de la tribu de Nephtali, douze mille ; de la tribu de Manassé, douze mille ;
7 de la tribu de Siméon, douze mille ; de la tribu de Lévi, douze mille ; de la tribu d’Issakar, douze mille ;
8de la tribu de Zabulon, douze mille ; de la tribu de Joseph, douze mille ; de la tribu de Benjamin, douze mille marqués du sceau.
9 Après cela, j’ai vu : et voici une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues. Ils se tenaient debout devant le Trône et devant l’Agneau, vêtus de robes blanches, avec des palmes à la main.
10 Et ils s’écriaient d’une voix forte : « Le salut appartient à notre Dieu qui siège sur le Trône et à l’Agneau ! »
11 Tous les anges se tenaient debout autour du Trône, autour des Anciens et des quatre Vivants ; se jetant devant le Trône, face contre terre, ils se prosternèrent devant Dieu.
12Et ils disaient : « Amen ! Louange, gloire, sagesse et action de grâce, honneur, puissance et force à notre Dieu, pour les siècles des siècles ! Amen ! »
13 L’un des Anciens prit alors la parole et me dit : « Ces gens vêtus de robes blanches, qui sont-ils, et d’où viennent-ils ? »
14 Je lui répondis : « Mon seigneur, toi, tu le sais. » Il me dit : « Ceux-là viennent de la grande épreuve ; ils ont lavé leurs robes, ils les ont blanchies par le sang de l’Agneau.
15C’est pourquoi ils sont devant le trône de Dieu, et le servent, jour et nuit, dans son sanctuaire. Celui qui siège sur le Trône établira sa demeure chez eux.
16Ils n’auront plus faim, ils n’auront plus soif, ni le soleil ni la chaleur ne les accablera,
17 puisque l’Agneau qui se tient au milieu du Trône sera leur pasteur pour les conduire aux sources des eaux de la vie. Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux. »
Moi, je vais faire mon stage de survie dans mon jardin.
J’ai une vigne, et des chats, qui ne sont pas les miens.
Un pommier, un poirier, un prunier.
Et un mini tournevis électrique, que l’on branche dur l’électricité.
J’ai des légumes farcis, dont l’aubergine est de mon jardin aussi, des tomates cerises, dont des petites poires jaunes, un rosier Pierre de Ronsard.
Etc.
Quand il sortira hagard et exténué de son stage de survie chez ma voisine hautement frappadingue, jlui dirai, ici, c’est l’eden, sans maj., à l’est.
Le bol, c »est que c’est la voisine qui aura fait tout le taf de déconstruction, ce sera du tabula rasa.
Elle, Alzheimer ne la guette pas au virage ; nota bene : la rage -collée au cœur et au corps- est un moyen d’éloigner cette maladie tragique.
Bons croissants, et bon pain au chocolat trempés dans le café noir…
Nous, on ne parle pas de Nathachah Apphanah, parce que le tragique, ce n’est pas notre tasse de thé : ce sera chocolat chaud, comme les deux derniers matins.
Moi je suis branchée amour et handicap.
https://www.franceinfo.fr/culture/coups-de-coeur-culture/avec-des-enfants-uniques-gabrielle-de-tournemire-signe-a-27-ans-un-premier-roman-subtil-et-touchant-sur-un-amour-qui-derange_7396735.html
M’insurge contre rentrer chez soi, ivre, tout le monde souffre. Et contre Hector qui appelle Luz Mouche, comme ces gens l’autre jour dans ce film.
Mais, je soutiens particulièrement Hector dans trouver l’amour, c’est autrement plus important que trouver un travail.
Surtout un travail à la con au monde.fr.
Où tu es, tout à la fois, esclave, éboueur du Tibre et de l’Arno, et mal payé.
Enfin, Mademoiselle de Tournemire, reprendre le boulot, cela peut signifier quitter la dive bouteille. Et, la famille, dans l’écriture, ce n’est pas forcément la référence.
Com en attente de modération.
Ça doit être le petit poulet.
Ou pour ne pas s’étrangler avec son café.
En attendant, Lesley Blanch, à un mois près, aurait pu mourir à 103 ans.
Voilà, célavi.
ORIENTATION PROFESSIONNELLE
– Dis Papa, qu’est ce que je pourrais faire comme métier quand je serai grand ?
– Psychanalyste, fils ! … Au pire, psychiatre !
– Pourquoi Papa ?
– Mais fils, le marché se développe à une telle vitesse !
– Ah bon ?
– Sûr, mon gtand ! La demande est immense pour les temps à venir !!! Crois moi.
Endives. Braisées.
7 avril 1892, Pierre Loti entre à l’Académie Français.
Discours peu conventionnel au cours duquel il vilipende Émile Zola (et les écrivains réalistes), candidat malheureux qui était présent. Loti ne le savait pas.
N’empêche.
Savoir, 2025 moins 1892, cent trente trois ans après, que Zola ne fut pas académicien et Loti oui, cela relativise bien des choses !
Zola refusé 25 fois.
Mais ses cendres transférées au Panthéon ! ❤️❤️❤️
Écrivains réalistes et naturalistes.
Le soir, lorsqu’il apprit que Zola était présent lors de la cérémonie d’intronisation, Loti exprima ses regrets.
Nota : cela ne sert à rien.
Les dégâts sont faits.
Tout ce que j’espère, 133 ans après, c’est que, Émile Zola, du haut de son génie littéraire, a relativement bien vécu l’épisode.
Com en russe en attente de modération.
Je parle russe
Davaï ça veut dire « on y va » ou bien « en avant ».
L’autre jour, à la plage, j’ai su qu’ils étaient russes.
Zola a répondu.
Quelle grandeur d’âme.
Si je peux ( càd me bouge le cul) je vous mets la réponse avant ce soir, page 197.
Là, j’avance.
Nota : être juif, ces temps, c’est hyper difficile
Mais être suisse et juif, c’est de l’ordre du cumul des fonctions.
Un peu comme être noir, hyper grand, musulman (?) et s’appeler Aaron.
Voilà, parfois, la vie est plus difficile pour certains que pour d’autres.
Hier soir, suis émue, alors que je finissais de nager avec mes canards, grand lac, 22 canards, une femme entourée d’un grand nombre d’hommes, m’a interpellée dans l’eau, du bord : c’est à vous ces affaires sous une pierre sur la plage ? »
J’ai répondu « oui. Je nage avec les canards. C’est ma robe, mes sandales, les clés de la voiture ».
Elle s’est inquiétée pour moi.
Je suis aimée. Définitivement.
Elle a été rassurée +++.
Je m’arrête à peu de pages du chapitre 14.
C’est bien beau la bagatelle, mais moi, j’ai du boulot.
Bonne journée, surtout a Soleil Vert.
Mais qu’est ce que vous avez trouvé comme hébergement de cocagne pour vos quatre cents bouquins qui ont évité le trottoir ? Plutôt les femmes, hein, que les bouquins !
« Nous, on ne parle pas de Nathachah Apphanah, parce que le tragique, ce n’est pas notre tasse de thé »
« Mais on ne peut pas demander grand-chose à un lecteur exigent, car on a affaire à un public stimulé seulement par des appels sentimentaux monotones : les parents méchants, les mécanismes immuables de l’oppression, de la vexation, etc. — des histoires bonnes pour les tabloïds et les sociologues — et on ne parle de rien d’autre, car le lecteur lambda d’aujourd’hui ne veut que rire et pleurer et tomber sous le charme de l’émotion ; et croire que ce rire et ces pleurs, ce tomber sous le charme de l’émotion qu’il apprécie tant, sont des manifestations de la pensée : quand l’histoire dort, les écornifleurs dansent. »
https://memoriavelata.blogspot.com/2024/10/la-conversazione-letteraria.html?q=genitori
Madame de Tournemire a ses pauvres, Rose…y compris ses lecteurs…
Pour le reste, 5h 54, c’est un peu l’ornière du Goncourt.il n’apporte pas quelque chose de nouveau pour le roman mais pour le réalisme. En quelque sorte Zola ( ou Goncourt!) plus d’un siècle après. D’où des œuvres aux profils sui as ires en période de mortes-eaux…
Colette
« Lorsque Jean Cocteau vint me rendre visite à Saint-Tropez, l’été 1936, l’auto qui l’apportait s’arrêta devant ma porte sur la petite route, et le poète qui signe ses œuvres d’un prénom et d’une étoile prit terre par un de ces bonds dont il a le secret.
Il était vêtu de peu, mince comme sont, seuls, ceux qui traversent les miroirs, le cou serré d’un garrot de soie pourpre. Sur la tête, il portait un chapeau touareg largement épanoui dont il avait transpercé la paille de cent touffes de plumes de poule noire.
Ainsi il allait par les campagnes provençales, qui d’ailleurs en voient bien d’autres. Mais, d’un coup d’œil, ma jardinière le reconnut – aussi bien chacun sait que la poule noire est maléfique – et elle sauta en l’air en criant « Lucifer ! ».
La preuve qu’elle ne se trompait pas, c’est qu’un moment plus tard elle le contemplait attendrie et séduite, le proclamait « janntil », lui offrait un verre d’eau glacée, une fleur et se voulait mettre sur le champ à pétrir de petits gâteaux qui se mangent sortant du feu, eux aussi, tout brûlants. »
(« La jumelle noire », 1937)
Je ne sais plus quel écrivain ou critique littéraire qui traita, un jour, Jean Cocteau de « balai à crottes ».
Drieu la Rochelle peut-être ?
Passou vous ecrivez:
Quelle force pour arriver à reconnaitre avoir « consenti » pendant six longues années à être asservie et invisibilisée, être partie puis revenue, puis être partie encore et revenue plusieurs fois avant de trouver le courage de s’enfuir pour de bon. »
Les feminicides sont d’actualité, on peut même dire d’actualité permanente , 103 en France depuis le début de l’année, merci Google.
Pourtant le cas personnel de N. A n’est pas vraiment a mettre dans cette sociologie, son exercice littéraire est plutôt a considérer comme une prophylaxie dans ce cas.
En revanche pour le sujet de l’expérience et l’expérience du sujet son cas est plutôt a comparer a celui de ce streamer qui vient de succomber au terme de jours et nuits de sevices apres avoir volontairenent renoncé a sa dignité pour en tirer profit; c’est bien là deux » consentements » comparables.
Je n’ai pas 15 euros a perdre, et encore moins de temps, pour vérifier les affirmations et hypotheses de N. A. Maintenant que HC is dead tout comme Emma et Chahinez, c’est sa parole de » survivante » d’un crime inexistant.
Si N A est journaliste, je plains les vrais, les pros.
» Une professeure met en avant sa « liberté pédagogique » alors qu’il s’avère qu’elle a utilisé en guise de matériel pédagogique un contenu ideologisé et partisan qui s’apparente à de la propagande politique et qui cible explicitement une personnalité politique.
Bien entendu ses collègues la soutiennent et comme passées les bornes, il n’y a plus de limite, ils expliquent que la professeure est dans une situation similaire à celle de Samuel Paty.
Ce discours est insupportable et insoutenable. Si Samuel Paty a été tué c’est parce qu’il existe un mouvement structuré, violent, organisé et dont les adeptes sont en train de devenir majoritaires dans la communauté arabo-musulmane en France : les islamistes.
Ces gens refusent l’égalité entre les hommes, les libertés publiques et justifient les crimes contre l’humanité (7 octobre), les crimes de masse (attentats) et les meurtres rituels au couteau notamment. Cette idéologie a tué plus de 250 personnes sur notre sol et continue ses appels au meurtre et à la haine. Elle a fait de notre pays un espace où l’antisémitisme se développe. C’est le fascisme islamiste qui tue. Cette professeure qui crache sur Retailleau en fonction de ses propres opinions ne risque absolument rien. Cette outrance dans la victimisation est ridicule et mal venue.
Mais surtout que défendent ces enseignants avec leur « liberté pédagogique »? Le droit de transmettre leurs obsessions et opinions? Au nom de quoi doit-on accepter que nos enfants subissent les pressions idéologiques de leurs enseignants. Au nom de quoi utiliser la propagande sur des enfants est une liberté?
Cette professeure mérite d’être virée. Non parce qu’elle a fait une erreur. Mais parce qu’elle est incapable de la regarder en face, de s’excuser et de comprendre sa faute. Mais ce que cela dit de ses collègues n’est pas mieux. Face à un tel effondrement intellectuel, on comprend mieux pourquoi notre école est si malade: les enseignants n’y sont pas pour rien. »
Je vais me faire du concombre à la crème ce soir.
Tu as des poules noires sataniques, D. ?
@D., toi l’Auvergnat, ça fait peur !
« En Auvergne, à qui veut avoir une audience avec le Diable il suffit de se rendre à un carrefour non pourvu d’un calvaire, pour ensuite prononcer la formule incantatoire à trois reprises et d’une voix distincte : « Poule noire !… poule noire !… poule noire !… »
Le Diable apparaît aussitôt, et le conciliabule a lieu. Dès que le paysan désire terminer l’entretien et replonger le Tentateur dans les ténèbres, il dessine sur sa poitrine un grand signe de croix. Mais il faut qu’auparavant il se soit armé d’un chapelet, sans lequel ses signes seraient vains, et le Vilain triomphant l’emporterait malgré lui en enfer. »
https://www.france-pittoresque.com/spip.php?article7575
Ça ressemble aux anciens guides de chez Tchou. La France Mystérieuse, etc, qui connurent un grand succès en leur temps, au croisement de « Planète « et des « Conteurs »…
honneur de blog dit: 27 août 2025 à 12h14
jamais, ici, un pseudonyme n’a été si bien porté.
Monsieur, votre message doit être envoyé à la Ministre en charge de l’éducation, et il devrait être lu sur les réseaux sociaux.
Votre texte dit tout; il n’y a rien à ajouter ni à retrancher. Ce qui s’appelle parler clair, bravo
(mais je dois ajouter que je ne connais pas l’origine de votre colère, pas de source adéquoite )
adéquate, CB !
Honneur de blog.
Votre pamphlet est entre guillemets.
Quelles sont vos sources ?
@ 10.15 et 12.14
Pour aller un peu plus loin :
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2025/08/26/entre-autofiction-et-genealogie/
Bon courage !
« Pour aller un peu plus loin »
En fait on ne va pas très loin, JJJ.
Une critique sans vraies critiques…
https://www.lelezarddeparis.fr/les-immortelles-meurent-aussi
Monsieur, votre message doit être envoyé à la Ministre en charge de l’éducation, et il devrait être lu sur les réseaux sociaux. Claudio Bahia dit: 27 août 2025 à 13h28.
J’ai trouvé ce texte sur les réseaux sociaux, ce pourquoi je l’ai mis entre guillemets.
Très bonne soirée à vous.
Je réponds à Claudio Bahia dit: 27 août 2025 à 13h28.
@ Madame rose,
Comme ancienne employée de l’ éducation nationale, vous êtes incapable de distinguer ce qui relève d’un texte -réponse indigné de ce que l’on détermine habituellement par un pamphlet.
« Face à un tel effondrement intellectuel, on comprend mieux pourquoi notre école est si malade: les enseignants n’y sont pas pour rien. »
Sur les réseaux sociaux, c’est vague.
Qui en est l’auteur/trice ?
Votre texte est un pamphlet.
Mais si vous préférez, ou bien parce que votre vocabulaire est limité, on peut l’appeler une diatribe virulente.
Sur ce, sans auteur, je n’y répondrai, bien entendu, pas.
La calomnie a pour caractéristique de s’étouffer elle-même. La cabale etc.
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