
Trois livres pleins d’autres livres
Tout écrivain ayant été ou étant resté un grand lecteur, rien de plus naturel que de retrouver dans les siens le reflet tangible, l’écho assourdi, l’ombre atténuée des livres des autres. Cela n’en fait pas des textes cultivés et l’on chercherait en vain la moindre cuistrerie dans la volonté de l’auteur. Juste un hommage subliminal. Un récit et deux romans qui viennent de paraitre l’illustrent avec éclat.
On s’y attend sous la plume d’un écrivain comme Jean-Paul Kauffmann mais pas nécessairement dans un livre qui s’annonce au départ comme une enquête sur l’accident de la route qui précipita dans la mort dix-huit footballeurs membres de l’équipe du bourg de Corps-Nuds (Ille-et-Vilaine) retour d’un match le 2 janvier 1949. L’auteur avait grandi dans ce coin-là. C’est peu dire que la tragédie demeurait inscrite à jamais dans l’esprit de tous ses habitants. Cela a déclenché L’Accident (327 pages, 22 euros, Équateurs), méditation sur l’étrange travail de reconstruction et de distorsion qu’opère le temps sur la mémoire, ses déformations lorsqu’elle provoque les maladies du souvenir. Il est vrai que dans le même temps où cette histoire revenait le hanter une autre tragédie a resurgi dans l’inconscient de Jean-Paul Kauffmann, plus intime, plus personnelle bien qu’elle ait pris une dimension nationale : ce qu’il appelle « mon accident libanais », à savoir son enlèvement le 22 mai 1985 à Beyrouth par des terroristes chiites du Hezbollah suivi de sa captivité de sous-sol en geôles trois années durant. Il y revient par éclats du monde d’avant tout au long de ce beau texte, s’attachant à creuser ce qui demeure à jamais en nous de notre part d’enfance, en l’espèce celle qui eut pour cadre la France rurale et catholique des années 50.
Il doit à l’accident libanais de s’être penché sur l’accident de Corps-Nuds, à moins que ce ne soit l’inverse, peu importe au fond car son retour sur soi s’articule autour de ce va-et-vient. Un chapitre, on croit accompagner l’enfant de chœur tout de blanc vêtu d’Un enterrement à Ornans, le fameux tableau de Courbet exposé en majesté au musée d’Orsay, observant l’assistance des fidèles qui ne se croyaient pas observés, car au fond, c’est lui cet adolescent, Jean-Paul Kauffmann. On sort de la toile et on est avec les paroissiens sortant de la messe pour se diriger vers la boulangerie-pâtisserie Kauffmann afin d’y acquérir la spécialité de la femme du boulanger : le Salambô, pâte à chou remplie d’une onctueuse crème pâtissière parfumée au Grand Marnier, le sommet glacé au caramel, le tout formant un compromis historique, on peut le dire, entre croustillant et moelleux.
De se plonger intérieurement dans son enfance radieuse, de tenter de retrouver son odeur perdue lorsqu’il survivait enchainé à un radiateur dans une cave, de se remémorer inlassablement chaque touche de L’été de Nicolas Poussin qui l’avait enchanté dans ses jeunes années, l’a sauvé de l’ennui qui corrode les esprits les mieux armés, de la folie qui lui fait cortège lorsqu’il s’installe durablement. Le bonheur dans les nuits de Beyrouth en solitaire, ce fut de retrouver le fournil du père et l’église du village. La vérité du pain, une question de parfum autant qu’une affaire d’ingrédients. Son récit est sa manière de payer sa dette à son enfance heureuse et aimante, exercice dénué de nostalgie (il l’exècre) et de mélancolie (il s’en tient à distance). Ses souvenirs d’en France sont gouvernés par la joie malgré les années de pensionnat pleines d’un monde d’abbés, un souvenir de malheur, car L’Accident se veut un livre de réconciliation et de gratitude.
Pas un cauchemar durant ses trois années en résidence très surveillée à Beyrouth. Ni haine, ni vengeance, il ne fera pas ce cadeau aux terroristes. Les cauchemars l’ont rattrapé peu après son retour en France. On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a lorsque l’on se résout à cohabiter avec son passé.
« Je reste indéfectiblement fidèle à l’homme souffrant que je fus pendant trois années. Impossible d’oublier le séquestré du Hezbollah, cet être pitoyable appelant à l’aide sur ces cassettes, exposé de manière obscène, humilié à jamais. Je dois lui rester loyal, ne pas repousser ce qui m’est arrivé. Cet individu qui en a bavé n’est pas mon double. C’est moi. Nous avons ensemble une histoire très forte. Face à l’adversité, l’être misérable a fait ce qu’il a pu. Même chancelant, il ne m’a pas trahi. Cet alter ego qui s’est montré faible et tenace m’appartient pour toujours. »
Vitré est le berceau de la famille Kauffmann, des paysans et des curés bretons de lointaine origine alsacienne (d’où le nom qui, dans son cas, n’est pas juif contrairement à ce qui fut cent fois écrit du temps de sa séquestration). Mais le plus vibrant des hommages qui jalonnent ce livre va à un cousin prêtre du nom de Georges Rousseau, accompagnateur à éclipses à qui il doit d’avoir fait des études et dont il cherche à élucider l’existence évaporée. Son enfance lui a fait aimer son destin et dépasser tout ressentiment. Enfin, tout, faudrait voir, quand il parle du Hezbollah. Ce qui ne leur pardonne pas, au-delà de la torture physique et psychologique, c’est de l’avoir humilié, d’avoir été réifié par eux, exposé, instrumentalisé, exhibé « de manière obscène pendant trois années ». Une telle attitude définit mieux que tout la pudeur, la retenue, la discrétion, l’inadhérence au monde de cet homme qui passe parfois pour assez raide dans la dignité, voire « curé rigide », réputation qu’il ne dément pas tout à fait et dont il use pour se protéger du monde quitte à paraitre glacial, à l’opposé de son livre si chaleureux et fraternel. Il dit ses vérités, conscient que sa philosophie de la vie peut faire penser à du développement personnel- et alors ? A 80 ans, lorsqu’on a une œuvre de la plus belle encre derrière soi, on peut tout se permettre sans le moindre souci de la réception.
Dès son enfance dans son village natal de Saint-Pierre-la Cour (Mayenne), puis dans son adolescence à Corps-Nuds (Ille-et-Vilaine) et plus encore lorsqu’il fut pensionnaire à Notre-Dame d’Orveau du côté de Segré-en-Anjou Bleu (Maine-et-Loire), il a développé un goût forcené de la lecture jusqu’à avouer un rapport « névrotique » aux livres. Peur d’en manquer, nécessité impérieuse de se sécuriser à leur contact. Ce maraudeur de bibliothèques sait comme nul autre évoquer le son, la qualité de silence qui leur est propre.
Dans L’Accident, ils sont partout, explicites ou implicites, reflétant une curiosité tous azimuts. Au Liban, au plus profond de sa nuit, là où le contraire de la joie n’est pas la tristesse mais la peur, il se récitait de mémoire les analyses fulgurantes de Jankélévitch et le Colonel Chabert, se souvenait des meilleures pages du Bonheur des rebelles de Jean Sulivan et ne regrettait pas d’avoir rejeté Le Petit prince dès son plus jeune âge, ruminait peut-être déjà la biographie qu’il consacrera à Raymond Guérin dans le fol espoir de le remettre au goût du jour à rebours d’un air du temps au sein duquel même « l’espace littéraire » a changé. Mais la lecture directe, et non plus sa réminiscence, lui a permis de tenir bon, de résister, lorsque ses géôliers lui ont fait passer quelques livres qu’il lira et relira sans fin : une Bible, La Guerre et la paix, Le Sursis de Sartre… De s’y engloutir et de se laisser submerger par leurs pages l’a sauvé.
La présence de ces livres auxquels on doit le salut sinon la vie est plus subliminale dans Histoire de la femme sauvage (305 pages, 21,50 euros, JC Lattès), le nouveau roman d’Isabelle Desesquelles ; elle est moins directe car, en dehors des phrases placées en épigraphes, elle obéit moins à la citation ; elle n’en irrigue pas moins le texte de bout en bout qui doit son titre non à un livre mais à un tableau de Renoir Paysage algérien, ravin de la femme sauvage. Le jour où l’écrivaine ou son personnage le découvrit sur les cimaises du musée d’Orsay, elle voulut y pénétrer. Comme un geste sans retour accompli dans un état limite. Il est vrai que Laure, qui porte cette histoire, a été marquée à vie à l’âge de huit ans par le suicide de sa mère bipolaire. Comment se construire sur le souvenir d’une telle absence et du vide qu’elle a laissé ? Soudain, on se prend à revenir à la couverture du livre et à entendre résonner le nom de l’auteure comme « des séquelles ».
On la suit dans ses allers retours entre la France des années 2000 et l’Algérie des années 50. Sa quête d’identité fondée sur le secret des origines et le tabou familial autour d’un mot, la pousse à se demander si les pieds-noirs dont elle est issue n’étaient pas en fait des kabyles. Et dans ce cas, qu’est-ce qui a bien pu se passer pour les pousser à partir ? On voit ce déployer toute une réflexion sur l’exil à travers ce récit tendu, manière sensible et profonde d’articuler l’universel sur le particulier. Revient alors en mémoire ce qu’en disait le poète portugais Miguel Torga : « L’universel, c’est le local moins les murs ». On y est et on avance en terre inconnue, celle d’une intime omerta réduite au cercle bien fermé des siens, gouvernée par des réparties définitives qui en augmentent l’énigme : « Après ce qui s’est passé ». Ou encore : « Ce que tu cherches n’existe plus ». Ou même, dans la famille maternelle de Laure qui tient le mot « Algérie » comme un mot interdit car ce passé, c’est ce dont on ne parle pas : « Ce pays n’est plus le nôtre, c’est fini ».
Lancée dans sa quête des origines, la romancière se fait fresquiste pour restituer les paysages de Haute-Kabylie fait de plantes de montagne, d’oliviers et de sable rouge. Puis, parvenue au cœur du secret, elle retrouve un ton de conteuse pour dire le paradoxe par lequel on se souvient de ce que l’on ne sait pas, de ce que l’on n’a pas connu. Sa mémoire est du même argile que cette région. On a beau se découvrir issue de M’tourni, autant celui qui tourné le dos que celui qui a retourné sa veste, un converti, un apostat, un qui mérite la mort, on en est réduit à se demander toute une vie durant à quel âge on sait quoi faire de ce qui nous pèse. La réponse importe moins que la question. Histoire de la femme sauvage la pose puissamment. Nul doute qu’elle s’appuie sur des livres qui ont irrigué l’inconscient de l’auteure car on en perçoit des signes ça et là.
Pour l’universel dès l’épigraphe en tête du livre, l’une des plus célèbres citations du Guépard de Lampedusa, celle qui fait allusion à ces chacals et ces hyènes appelés à succéder aux guépards et aux lions, tous se considérant comme le sel de la terre. Mais aussi l’Aragon du Mentir-vrai ou Clarice Lispector. Le particulier est plus parlant ; s’y côtoient Assia Djebar, Taos Amrouche, Jean Amrouche, Jean Pélégri et même Henri Lhote, le préhistorien spécialiste de l’art pariétal du tassili n’Ajjer. Cela dit, les Pléiades dont il est question ne sont pas des livres mais un amas ouvert d’étoiles brumeuses. Un texte en émerge qui scintille dans leur entre-deux, rédigé tout le temps dès son plus jeune âge par Made dans ce qu’elle appelle « mon cahierlivre » en un seul mot. Inutile de le solliciter pour comprendre qu’on le tient entre les mains. « Un livre ne vous abandonne pas » surtout l’on y trouve des réponses aux questions que l’on n’a pas le droit de poser.
Ce ne sont pas seulement des livres mais une œuvre qui parcourt entre les lignes Les braises de Patagonie (250 pages, 20,90 euros, Le Cherche-Midi) le nouveau roman de Delphine Grouès, ou plutôt la suite de son épopée, sur les destins croisés de deux personnages. Valentina héritière du clan Silva au centre de Cordillera, à croire que l’auteure n’arrivait pas à s’en séparer. Âgée de 40 ans en 1950, envoyée en mission par la Société d’exploitation de la Terre de Feu, propriétaire en Patagonie de millions d’hectares et de centaines d’estancias, celle qui fut l’ne des premières femmes médecins du Chili, se retrouve transbahutée d’une exploitation l’autre pour soigner les travailleurs. Une transfuge à tous égards, issue d’une famille d’arrieros (« muletiers ») de la région centrale du Maule, petite-fille d’une indienne mapuche. Luis, un havrais de 24 ans en 1998, découvre que son père était un « détenu-disparu » de la dictature de Pinochet. Il part au Chili à la recherche de son identité nimbée du secret du silence de sa mère. Deux quêtes initiatiques dans un paysage époustouflant sous cette plume-là ; il leur ravit la vedette, comme s’il était le personnage principal.
Delphine Grouès a une connaissance charnelle, sensuelle, minérale de la Patagonie de la région des lacs au cap Horn. Elle ne l’a pas seulement foulée à de nombreuses reprises, elle l’a chevauchée inlassablement. Cette intimité irradie cette histoire sur laquelle s’étend en permanence l’ombre portée des peuples premiers ou dits plus joliment encore « peuples racines » de cette région, décimés au début de l’autre siècle par des pionniers qui en ont saccagé la nature immémoriale. La romancière ne manque pas de moyens (et ceux du conte familial ne lui font jamais défaut) pour dire comment des personnages blessés par la vie se relèvent grâce à la résilience, mais aussi par la solidarité. Mais ses écrivains de chevet ne sont pas en reste, Pablo Neruda et Francisco Coloane que l’on n’est pas surpris de retrouver là et avant tout, en majesté de bout en bout, Lucila de María del Perpetuo Socorro Godoy Alcayaga dite Gabriela Mistral (1889-1957), première poétesse à avoir obtenu le prix Nobel de littérature en 1945.
Cette femme, dont l’œuvre (traduite en français par Roger Caillois et Mathilde Pomès dès 1946) est aussi admirable que sa biographie est fascinante, eut une vie marquée très tôt par l’abandon et la misère ; institutrice autodidacte d’une bourgade perdue, elle avait appris à dompter sa douleur avant d’inventer son nom de plume en organisant « la rencontre » en une manière d’hommage subliminal de Gabriele d’Annunzio et de Frédéric Mistral. Il y a de pires manières d’exprimer une reconnaissance éternelle à ceux qui vous ont faits. On imagine que l’évocation des paysages andins, des hautes montagnes et des fleuves interminables qui traversent son œuvre, ont dû infuser sous la plume de Delphine Grouès, chilénisée comme peu d’écrivains français. Elle ne pouvait décemment échapper à l’emprise de Gabriela Mistral dont le rayonnement fut et demeure considérable, tant poétique que plus largement spirituel, dans toute l’Amérique de langue espagnole. Dans Pequeño mapa audible de Chile, écrit dans les années trente, elle appelait de ses vœux une carte des résonances qui rendrait un pays audible. De la Patagonie, elle écrivait :
« On entend, quand on entend quelque chose, une marque sauvage qui se faufile entre les canaux et se débat dans le grand détroit. A l’intérieur des terres, à peine peuplées, il y a des silences d’herbes immenses, d’herbes épaisses et endormies, qui ressemblent à la stupeur des icebergs dans la dernière mer ».
Loués soient ces livres qui ouvrent sur tant d’autres livres. Ils sont source de (re)découvertes sans fin. Chacun abrite une bibliothèque invisible. Personnelle, elle ne demande qu’à être partagée.
(« L’été ou Ruth et Booz » , huile sur toile de Nicolas Poussin, 1660-1664, Musée du Louvre ; « Mons-Ferratus » et « Kabylie » photographies de Karim Kal exposées jusqu’au 13 avril à la Fondation Henri Cartier-Bresson ; « Paysage algérien : le ravin de la femme sauvage » huile sur toile d’Auguste Renoir, 1881, musée d’Orsay )
1 922 Réponses pour Trois livres pleins d’autres livres
Le Système ne se laissera pas démanteler par un fou:
« USA-Des sénateurs cherchent à limiter les prérogatives de Trump en matière de droits de douane. »
Quand PPPPP (Puck la Pute Payée Par Poutine) ne peut pas contredire les FAITS, il essaie de décrédibiliser ceux qui les racontent ou l’endroit où ils sont racontés, ignorant que les FAITS sont très, très, très têtus.
C’est la vieille « Méthode KGB » des tous les employés de Radio Kremlim depuis plus d’un siècle, dont PPPPP est le préposé ici. Comme il est complétement crétin, ils l’ont mis sur un blog littéraire perdu d’avance pour la cause poutiniste.
« Enorme vague de protestation depuis ce matin sur les Iles Heard and McDonald. »
Nous assistons en ce moment à un événement historique. Probablement le plus important depuis la chute du mur de Berlin.
La mondialisation est morte aujourd’hui. Les groupes occultes qui l’organisaient, pour le malheur des peuples, viennent de subir un coup énorme et presque certainement fatal. Ce qui veut dire aussi que la sécurité de Donald Trump est plus que jamais menacée. Le risque que Donald Trump meurent dans un attentat est extrêmement élevé. Je pense qu’il est prudent pour lui d’arrêter tout déplacement programmé.
Cet homme est incontestablement un héros.
Marie sasseur simple question êtes vous l’hôte de ce blog ou comme moi même si je n’ai pas votre’ancienneté une simple commentatrice et non un fake comme vous le supposez ceci au bout de 48 heures de presence ici!!.les querelles de « bonne femme »ne m’intéressent en aucune façon et donc ignorez moi merci.
Julien Baete
·
Nuit d’endive 1 – 2024 – 20,9 x 28,7 cm
Et ce n’est nullement une plaisanterie ni un fake comme on dit sur le net!
D, allez donc voir son compte facebook. Il existe une trentaines de « nuits d’endive ».
J’avoue avoir mangé des endives cuite à la poêle ce midi et cela m’arrive souvent d’en manger mais je ne l’avais pas encore dit.
Bonsoir.
Julien Baete
Nuit d’endive 19 – 2024 – 21,1 x 29 cm
Ça fait très nuit d’endive nuit d’amour, vous ne trouvez pas?
Rhahoui.
pedro !!!!!!!!!! je ne vois pas trop de faits à l’horizon mais juste un dsicours unique et uniforme qui nous est asséné.
un fait c’est en principe un truc qui doit être débattu, sinon c’est pas un fait, même que c’est Popper qui le dit et Popper c’était la moitié d’un imbécile.
sauf que pour un type comme toi qui croit que Jaroussky a une belle voix simplement parce que tout le monde le répète et que tu ne veux pas prendre le risque de passer pour un idiot en disant le contraire tu dois avoir une vision assez particulière que ce qu’on appelle un fait.
en fait t’es juste un type hyper lourdingue du coup tu te confonds à donf dans le paysage actuel.
pedro tu vois je vais te dire un truc, en fait c’est comme pour Jaroussky : quand tout le monde répète exactement le même discours c’est que forcément il y a une couille dans le potage.
Je ne sais pas si le goût du pain existe, dans la collection bien connue, en tout cas il y a matière à en faire une anthologie. Car les pétrisseurs sont nombreux.
JP Kauffmann privilègie l’approche de G. Bachelard, choix fort discutable -tant il s’est fourvoyé dans un verre d’eau- mais bien accordé avec une sorte de mystique et d’alchimie, comme déjà évoqué, et avant tout poétique.
« Il faut voir l’être intérieur attaquant la concupiscence.
Quel boulanger plongea jamais d’aussi énormes mains dans son pétrin ? Quel boulanger vit-on pareillement accablé pat
la montagne mouvante, montante, croulante, de la pâte ?
Une pâte qui cherche le plafond et le crèvera. »
(Henri MICHAUX, Plume, p. 131.)
renelle, définitivement fake.
Au suivant.
La réaction outrancière du Maurice Revient (et des affidé) me parait très révélatrice du mauvais contrôle de ses nerfs. Un point sensible l’assaille, à la différence de notre ami rBl, beaucoup plus mesuré sur la question de la futrue coexistence des deux « Etats », terroristes et criminels, chacun à sa manière.
Hélas, n’étant pas juif (de naissance, mais seulement philosémite de conscience-), je sais n’avoir pas de voix au chapitre, sauf à m’identifier comme un honteux « anti ces mythes ». Mais à quoi bonj ? Nous en sommes encore là ce soir, il y a donc encore pas mal de boulot, gil, voyez, hein ?
—-
Sinon, aij trouvé le classement de la Télérama d’autant plus intéressant que j’ai lu et passionnément aimé 20 des bouquins de leur sélection sur les 25, à commencer par les Détectives Sauvages et 2666. Sur les 5 non lus, un seul figure dans ma pile qui attend depuis trop longtemps que j’en finisse avec ma maison et la préparation du jardin….
Je n’ai pas été convaincu par l’un des romans d’Herta Müller, pas celui qu’on nous indique, mais pas envie… Peut-être Paul Edel saura-t-il me faire changer d’avis.
Quant aux extravagances de Donald Trump, je n’y attacherai aucune importance démesurée, car il naufragera bien plus vite que je n’aurais eu le temps de lui balancer une bouée de secours.
Bàv, – Quelle journée !
(On a vu, dans le Vercors, sauter à l’élastique… – suite).
La suite , elle est pour Raphaël
Afrique
Europe
Amériques
France
Moyen-Orient
Asie-Pacifique
Retour à l’accueil / Moyen-Orient
Guerre à Gaza: «C’est trop pour moi», des réservistes israéliens refusent de se battre
Israël, qui a dit vouloir s’emparer de « larges zones » dans la bande de Gaza, vient d’étendre ses opérations militaires dans l’enclave palestinienne, s’engageant de fait dans une guerre dont personne ne voit la fin. Mais l’armée israélienne, qui repose en grande partie sur les réservistes, est-elle capable d’assurer une telle mission ? Selon le journal Haaretz, certaines unités de l’armée comptent aujourd’hui jusqu’à 50% d’effectifs en moins. Les soldats refusent de se présenter au service. Certains invoquent des questions d’ordre moral, d’autres se disent « épuisés ».
Rfi
@tu en vois beaucoup de voitures américaines toi dans la rue ?
Une petite nostalgie pour la jeep, passée sous pavillon européen je crois, avec une prédilection pour le modèle unique ancien, « mort aux cons »
16.50 / il montre que le protectionnisme favorise les élites vivant dans les grandes villes alors que le protectionnisme favorise le peuple vivant à la périphérie (sic)
—
Bref, le protectionnisme favorise tout le monde. C’est bizarre que seul, Donald y ait pensé… Il est vrai qu’il est le seul à avoir bien lu l’ouvrage de Piketty. C’est un très grand lecteur doublé d’un navigateur à vue, hors pair !
Dormez bien…
ah oui je dois absolument noter ceci avant d’y aller. La nuit dernière j’ai rêvé simultanément d’un secrétariat d’état à la belle étoile et d’un chef e guerre en Moselle qui s’appelait Vaucouleurs.
Je n’ai pas réussi à comprendre la nature de cette association d’idées, alors que j’y arrive en général assez facilement, rompu depuis des plombes à la technique d’autoanalyse immédiate.
Il semblerait que Vaucouleurs soit une charmante petite commune française où je n’ai hélas jamais mis les pieds…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vaucouleurs_(Meuse)
(ah mais j’y suis… gratter, il faut, un lien possible entre Mireille Mathieu, Jeanne d’Arc et Marien Le Pen… une piste en lit).
Une blague des années 80 :
C’est un âne français qui rencontre un âne américain, il lui demande :
– C’est quoi ton nom ?
– Bob Dylan.
Une autre blague :
– Qu’est-ce qu’un taureau avec un string ?
– Une vache folle !
Une autre :
– Quel est l’animal le plus heureux ?
– Le hibou, car sa femme est très chouette !
(assendum pour la route) TOUT SE RACOMMODE… j’y suis… pour le secrétariat d’état à la belle étoile… Hier soir, aij vu passé un film avec Fabrice Lucchini, incarnant un maire de Lyon tourmenté par son inutilité politique. Un film plutôt intéressant que j’eus le tort de sous-estimer. J’ai sans doute pensé que Madame LP devrait s’en inspirer plutôt que de continuer à confisquer la démocratie et de flouer le peuple français en piquant allègrement depuis des plombes dans les caisses de l’argent que nous déployons à bon droit pour l’édification d’une UE moins dépendante des USA et mieux armée.
Enfin, j’imagine les connexions qui ont dû s’opérer subconsciemment durant le moment alchimique du sommeil paradoxal. Bàv,
– Qu’est-ce qu’un steak qui n’en est pas un ?
– Un pastèque !
Quelle est la différence entre Janssen JJ et la Gigi ?
– Le premier, c’est un vieux qui s’use.
– La seconde, c’est une vieille qui suce.
– Qu’est-ce qu’un rat avec une queue coupée ?
– Un raccourci !
– Comment on appelle une prostituée qui ne fait pas de fellation ?
– On l’appelle pas.
– Comment appelle-t-on la monnaie de la mer ?
– Un sou marin.
– C’est quoi un yaourt dans la forêt ?
– Un yaourt nature.
– Comment on appelle deux citrons qui courent très vite ?
– Deux citrons pressés.
Réveil
Vivaldi : Concerto en ré majeur RV 212, Alana Youssefian & Voices of Music, avec cadence.
Je me souviens : 4 avril 1968 : l’assassinat de Martin Luther King
Rencontré hier soir Adèle Yon, née en 1994, qui a écrit son premier romain Mon vrai nom est Élisabeth.
Ai pris bcp de notes, Pui ai cessé.
Son récit est glaçant.
Nous, les femmes, on vient de cette histoire là. Et Camille Claudel n’est qu’un exemple parmi des milliers.
Vous met un interview récent, et je garde mes notes pour moi.
https://youtu.be/pcXWFbwBO6I?feature=shared
roman, Puis, mets,
L’arrière grand-mère* de Adèle Yon est décédée quatre ans avant sa naissance.
Cette jeune femme brillante soigne sa famille sur plusieurs générations.
* Après la lobotomie, elle est restée enfermée dix sept ans dans un asile psychiatrique.
Harcèlement moral et surveillances, elle est mise au banc.
Non.
Mise au ban.
Depuis quelques temps, notre ami Sylvain Tesson a escaladé 106 aiguilles grâce au confort que lui a procuré son « premier de cordée » ayant pris tous les risques… Il aime être « seul » au monde avec les bigorneaux, mais également se faire photographier tels le stylite moyen. En somme, il y a toujours quelqu’un qui veille et son smartphone ne le quitte jamais, au sommet des collines. J’ai appris à désaimer Sylvain Tesson par désamour, j’avais pensé au départ que son empreinte carbone au monde était moindre que celle de Donald Trump. Mais non, cet homme parle bien. Il écrit bien. Il en fait rêver beaucoup. Dans les salons de la radio, il « vend » ses livres, en feignant de mépriser le confort des gentils journalistes confinés dans leur petit bureau. Cet homme est l’un de nos derniers grands aventuriers modernes, immobile comme un roc, comme un pic, que dis-je, comme une péninsule.
Bon vent des globules à tous.tes… Et refermons le Ban sur Becq, dans ce monde de Brutes.
Je me souviens que le 4 avril 1955, naquit mon amie Sophie P., mon aînée de 11 jours. Nous ignorions à cette époque qui était Martin Luther King. Et nous nous sommes fâchés en 2011 après avoir effectué de très nombreuses escapades à la Pentecôte, en Bourgogne, durant 17 ans d’affilée. Je ne l’ai plus jamais revue depuis 14 ans. J’ignore dans quel état se trouve aujourd’hui Fontaine-lès-Dijon et si elle me lit encore.
Sache que je t’ai toujours gardé mon estime dans un petit coin de mon cœur, Sophie. Et je t’embrasse ce matin pour célébrer ton 70 e printemps. Nous avons encore tant de belles choses à vivre que ‘dieu’ fait, comme tu me le disais toujours.
Ils ont oublié de mettre le « Jerusalem » d’Alan Moore en deuxième position après « 2666 » de Bolagno (sic). C’est dommage, mais en vérité, cela n’a aucune importance. « C’est mon choix »… au temps pour moi, Ch.——–
Au fait, DHH : « J’ai deux choix » ou « vous avez deux choix »… Est-ce une formule correcte ?… Je tique toujours un peu en l’entendant… On m’avait frappé à l’école car j’avais osé avoir « deux alternatives » plutôt que d’évoquer « la 2e branche d’une alternative ». Je repense souvent à ce traumatisme scolaire. Si « choix » est synonyme « d’alternative », ne vaudrait-il pas mieux conseiller à Léa Salamé de dire « j’ai… ou vous avez… deux options possibles » ?
Cela m’irrite les dents tous les matins, c’est un vrai souci charoulesque. Je souhaitais juste en alerter l’herdélie avant d’aller me jucher sur le petit cairn du jardin pour y voir plus clair et de plus loin. Bàv,
@Mais non, cet homme parle bien. Il écrit bien. Il en fait rêver beaucoup.
C’est tellement rare…aujourd’hui.
Oui il a quelques fois des réflexions a l’emporte-piece,plaquées sur une géographie des temps immemoriaux, mais nous passons, les stacks demeurent. Il faut le remercier de nous le rappeler.
Je m’aperçois que je n’ai pas remercié Phi et MC pour leurs conseils de lecture concernant Georges Forestier.
Si biographie de Molière pour Phil.
Son édition de Brosse, et sa monographie sur « Le Théâtre dans le théâtre », pour MC.
* je n’ai pas remercié Phil et MC
C’est moi, Sophie Patreau, ton amie.
Retroubons-nous vite.
Et puis , cette aventure est à vivre au théâtre aussi , pour les voyageurs immobiles
https://www.theatre-antoine.com/sylvain-tesson-les-piliers-de-la-mer
* Sa biographie de Molière pour Phil.
Par contre je préférerais que tu m’embrasses pas.
On avait failli oublier de noter que le 15 avril, on avait un truc urgent à faire.
Je peux te montrer mes nichoirs et ce sera tout.
Dans un roman russe, Emmanuel Carrère dit de lui « je suis gonflé » ou bien ses copains disent de lui.
Après avoir laissé son mail personnel suite à la grande aventure érotique du train Paris /Poitiers.
In fine, il ne supporte pas celle qui pointe au boulot et qui pose ses dates pour ses vacances.
Ce sont des grands bourgeois, Tesson et lui-même, qui ont une liberté de mouvement incroyable*,
Ce sont des nantis, dont la caractéristique principale est leur moi, moi je.
*avec l’argent qui va avec.
Ai eu un moment de tendresse pour E.C dans un roman russe.
Vite balayé.
Toi, toi tu.
C’est un âne français qui rencontre un âne américain, il lui demande :
– C’est quoi ton nom ?
– Bob Dylan.
–
Excellent !
Je la connaissais déjà en fait. Il en existe une version italo-colmartoise censurée d’ailleurs.
je voulais dire à tousn ici que c’est grace à ROSE- et en écoutant un itw de Delphine H
https://www.youtube.com/watch?v=S7P2_mFa8iY
que j’ai compris pourquoi je ne désirais plus poster sur la RDL à cause de « paradoxes » et de « contradictions » pour moi insoutenables (que je ne crois pas nécessaire de m’imposer de subir) et la remercie, (vous aussi bien sur)
a propos de « proces » en BELGIQUE;
https://www.youtube.com/watch?v=4P0pT9uBg-o
54 % des adultes américains ne savent pas lire au-delà d’un niveau de 6e année, 21 % ont des difficultés avec la lecture de base… les 25 % d’Américains restants sont retenus en otage par des masses d’idiots qui errent sans but dans la vie en disant tout ce qui leur passe par la tête — ce qui, à ce stade, vaut également pour les souverainistes européens —.
Whirlpool annonce le licenciement de 651 travailleurs américains dans l’Iowa, invoquant les conditions économiques sous Trump.
Le ministre norvégien des Affaires étrangères a déclaré que les tarifs douaniers américains pourraient enfreindre l’article 2 de l’OTAN qui stipule que les alliés de l’OTAN doivent éviter les conflits économiques.
Cela la bien à part les vomissements de la flatulence de Chaville.
Si et alien est obligé de justifier du fait qu’iel n’a aucune emprise sur ce blog, ses intervenants, ma foi, bon débarras ?
Je connais le mari de Mme Horvilleur et beaucoup moins l’épouse de S Freiss, excellent acteur, Madame donc je n’ai vue qu’une fois à la télé, chez Augustin, et plutôt vindicative et peu sympathique, face à Dominique Eddé, beaucoup plus humaine et dans l’empathie.
@ »Bref, le protectionnisme favorise tout le monde. C’est bizarre que seul, Donald y ait pensé… Il est vrai qu’il est le seul à avoir bien lu l’ouvrage de Piketty. C’est un très grand lecteur doublé d’un navigateur à vue, hors pair ! »
3j il me semble que toute votre vous avez été un petit fonctionnaire servile du coup il doit y avoir chez vous un seuil critique assez bas, d’ailleurs on le voit quand vous parlez de bouquins ici : vous êtes la personne qui en parle de façon la plus insipide.
sans vous parler des théories économiques de Ricadrdo ou des la révolution mise en place par Nixon en 1971 je vais essayer de vous dire un truc assez simple à comprendre.
si vous prenez les grosses sociétés américaines comme Apple ou Microsoft ou Amazon ces sociétés se sont arrangées pour ne pas payer d’impôts aux US.
par quel miracle c’est-il possible ? en utilisant les combines comptables qui permettent de ne pas payer d’impôts.
exemple au hasard : vous allez payer en France un Iphone 1000 euros. cet iphone Apple a une filiale en Irlande qui achète à la maison mère 100 euros pour te revendre 1000 et elle va payer ses impôts en Irlande qui sont de 4%.
ce système représente la plus grosse escroquerie de notre époque ! sauf que c’est autorisé par les lois qui régissent le commerce international.
en plus d’être une escroquerie ce système alimente le plus gros système de corruption dont profitent ces grosses sociétés et leurs actionnaires.
ces gens représentent une élite corrompue et en plus des espèces de parasites qui ne profitent à personne sauf à eux mêmes.
ce système est fait pour favoriser le bien personnel au détriment du bien commun !
en plus ces élites du fait de leur pouvori grandissant représentent une menace pour les pouvoirs politiques.
on l’a vu aux US où les dirigeants de ces grosses boites finançaient les démocrates qui en retour assuraient leur protection : c’est le premier truc que Trump a fait explosé : cet accord entre élites et démocrates basé sur je te protège et te permet de rester un égoïste qui s’en tape du bien commun.
en France cette menace est représentée par la main mise de cette oligarchie sur les médias qui va leur permettre de conditionner les cerveaux de débiles comme toi.
en fait ce que Trump est en train de faire c’est faire exploser ce système !
pourquoi ? parce que ce système profite à une élite qui représente 1% de la population, mais pas au peuple américain !
ces gens qui ne savent pas lire comme dit renato subissent cette corruption comptable qui les appauvrit et les poussent à vivre dans la rue, plus la drogue la violence etc…
cette petite élite de parasites corrompus a complètement pourri la société américaine et aussi sans doute la nôtre ! sauf que pour la France le système est encore bien verrouillé et le lavage de cerveau fonctionne à fond la caisse ! mais plus aux US…
3j dis moi s’il y a truc qu’avec ton esprit de petit fonctionnaire servile t’a pas trop bien compris et je le redirai autrement.
@SASSEUR
JE suis bien contente pour vousqui aurez en moins et en plus;et pensez, vous allez faire l’unanimité;quelle inspiration que je ne dévoilerai pas;
préârez bien vos cloches,clarines et sonnailles comme toutes les vaches, la tradition que diable pour paques
Quand et alien pas parvenir à ses fins, lui cracher pas bien loin, qu’il nettoie son écran.
en fait ce que je lis sur Trump ressemble à ce que je lisais sur le conflit en Ukraine : vous ne faites que répéter ce que les médias vous disent, à aucun moment vous essayez de faire marcher votre cerveau, vous êtes complètement asservis au discours uniforme des journalistes qui répètent tous la même chose et vous, vous répétez à votre tour ce qu’eux ils répètent.
c’est le système décrit par Orwell et j’avoue que je ne pensais pas voir ça un jour de mon vivant.
renato sait lire, Puck.
Je n’oublie pas que ce vicieux et alien qualifie tout ceux s’il ne peut corrompre avec ses posts intentionnés, d’ » ingerable ». Un vieux toxique, qui arrive au bout de ses prétentions sur un reseau social, encore une fois: bon débarras.
sur le conflit en Ukraine il vient d’être présenté une enquête à l’ONU qui démontre que ce qu’on appelait le « massacre » de Butcha c’était en vérité tout du flan.
exactement le même coup qui avait été monté pour le Kosovo qui avait permis à l’otan de séparer le Kosovo de la Serbie et d’amener le président serbe devant la cpi où comme par hasard on l’avait retrouvé mort dans sa cellule, comme Epstein : c’est fou ce que ce système peut faire mourir comme gens dans leurs cellules, faut dire que la mort ça reste le meilleur moyen d’empêcher les gens de parler.
@ »renato sait lire, Puck. »
je sais, c’est même de là qu’il se donne le droit de mépriser ceux qui ne savent pas lire.
comme quoi savoir lire c’est pas trop le truc qui rend intelligent.
Je connais le mari de Mme Horvilleur et beaucoup moins l’épouse de S Freiss, excellent acteur, Madame donc je n’ai vue qu’une fois à la télé, chez Augustin, et plutôt vindicative et peu sympathique, face à Dominique Eddé, beaucoup plus humaine et dans l’empathie.
Ils ne sont pas mariés, elles n’ont pas le meme style, l’age egalement pourrait expliquer la différence de tons entre ces deux femmes . Difficile débat autour d’une question on peut plus épineuse. En tout cas et en aparté, s’il nous fallait vous entendre comme souvent vous vous offrez à notre lecture, quel tonalité prendrait votre discours?
sur le plan politique Trump est en train de démonter un truc assez marrant : dans le conflit qui oppose le système élitiste au système populiste hé ben il peut arriver que le système démocratique ne favorise pas les élites.
ça peut paraitre évident vu que la démocratie est par essence un système populiste puisque c’est l’expression du peuple et non pas des élites.
sauf que les élites se sont arrangées à tirer profit de la démocratie en passant par une propagande visant à diaboliser ceux qui représentent un danger pour eux.
c’est par exemple la raison pour laquelle en France l’oligarchie s’est emparée des médias sinon on ne comprend pas pourquoi un type qui vend du champagne et des parfums aurait intérêt à posséder des journaux.
8.12 meuh non, l’important à noter, c’est le 17 avril. Votre hôte en aura 72, l’âge où il faut s’arrêter de bloquer (sic). Bises à Sylvain.
j’ai même écouté un truc assez hallucinant de la part de Tondelier la cheffe du parti écologiste : en parlant de l’autre foldingue de magistrate (grande fan d’Eva Joly) qui a voulu se payer la tête de MLP Tondelier a dit que rôle de la justice et des magistrats était de faire barrage à MLP.
la femme elle a juste oublié qu’elle était dans une démocratie et que dans une démocratie ceux qui font barrage à un parti politique c’est pas les magistrats mais les électeurs.
sérieux c’est flippant de voir que des responsables de partis politiques en France partent complet en vrille.
Le démagogue est le pire ennemi de la démocratie ; dans cet ordre d’idées, quelques considérations intéressantes
« (…) Ceux, qui, de bonne foi, doutent du danger qui menace la démocratie, devraient lire The Rise and Fall of the Third Reich, de William L. Shirer (Le Troisième Reich. Des origines à la chute, traduit en français chez Stock en 1962). L’auteur était correspondant à Berlin pour le Chicago Tribune sous le Troisième Reich. À chaque page, on trouve des ressemblances troublantes. L’anormalité qui devient normale ; ce qui paraissait impossible devient possible ; la haine des élites ; la contestation des institutions ; la stratégie du bouc émissaire ; l’exploitation politique du ressentiment ; le culte de la personnalité ; le mensonge utilisé sans vergogne. Rien, ou presque, ne manque !
Le démagogue ignore les faits, conteste la raison, ment et en est fier. C’est avec cette méthode que Boris Johnson, comme à Trump, a accédé au pouvoir. « Ils nient avoir dit ce qu’ils ont dit et balaient sans aucun scrupule les preuves de leurs affabulations. Ils se sortent des questions difficiles en répondant sur un sujet qui n’a rien à voir. Ils s’accordent le crédit de ce qu’ils n’ont pas fait et blâment les autres pour leurs erreurs. Se retrouver au cœur de scandales ne les gêne pas le moins du monde, ils s’en glorifient. Comme Trump, Boris Johnson n’a pas vraiment d’idéologie. Il fait rire et obtient, ainsi, le soutien de son auditoire. »
Pourquoi ?
Depuis une trentaine d’années, les populations, dans les États démocratiques, ont perdu leur boussole, leurs repères, leur identité. Cet état de fait est propice au développement de la démagogie, « le pire ennemi de la démocratie ». La force de la parole, le langage, exprime ce désarroi avec des mots forts, qui reviennent en boucle, comme chaos, radicalité, rupture, transition, tyrannie, autoritarisme, usage légitime de la violence, dans le discours des opposants au régime en place.
La mondialisation, le néolibéralisme, la délocalisation des entreprises vers l’Asie, les migrations de populations, ont bouleversé l’équilibre des démocraties occidentales qui résistent parce qu’elles ne sont pas prêtes à devenir multiculturelles. Les revendications des minorités accentuent encore l’intolérance qui s’exprime sous la forme de racisme, xénophobie, misogynie, homophobie, etc. Un ras-le-bol d’une grande partie de la population, une colère s’installe qui apparaît clairement dans les sondages d’opinion. Le « vivre ensemble », qui suppose le partage de valeurs communes, devient dès lors, beaucoup plus difficile. Pour toutes ces raisons, l’extrême droite, conservatrice, réactionnaire, en France, représenterait aujourd’hui plus du tiers du corps électoral.
La démagogie est aussi vieille que la démocratie. Dans la Grèce antique, chère à Jacqueline de Romilly, le mot n’était pas péjoratif. Il désignait souvent l’orateur éloquent, celui qui était capable de conduire le peuple. Périclès était considéré comme un démagogue. Aristote, dans sa Politique, faisait la distinction avec le démocrate. C’était alors une question de nuance. L’ambition, le sectarisme, le fanatisme, le souci de l’intérêt général, les départageaient, mais l’efficacité, la rapidité, des mesures préconisées par le démagogue, avaient du succès.
La démagogie fait partie intégrante de la démocratie. Elle a évolué avec elle. Les réseaux sociaux, la télévision, ne sont plus l’agora ! Promettre tout et n’importe quoi, est admis, toléré, fait même sourire. En abuser est dangereux. Promettre est normal, séduire, faire rêver, aussi. Le peuple, dans sa variété, plus ou moins éduqué, en général, n’est pas dupe. Il sait reconnaître ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. Dans une certaine mesure, la démagogie est admise, puisqu’elle fait partie de la démocratie.
Passé les limites admises, la démagogie devient une véritable pathologie qu’il faut traiter comme telle. Dès lors qu’il y a manipulation de l’opinion par un narcissique, comme Trump, qui ne songe qu’à lui, à son intérêt, le peuple devrait se méfier. Ce n’est pas aussi simple, car le démagogue affirme qu’il est la voix du peuple, qu’il s’exprime à la place du peuple. De quel peuple, il y en a plusieurs ? Démagogue n’est pas perçu comme une insulte par une grande partie de la population qui n’est pas toujours en mesure d’évaluer la nuance, le réalisme d’une promesse, les arrière-pensées, parce qu’elle ne perçoit que son intérêt immédiat.
La démagogie menace-t-elle la démocratie, A-t-elle de l’avenir ? Face à une population éduquée, éclairée, non, je ne le pense pas. À la condition que l’école, dont c’est le rôle, accomplisse bien sa mission. Ce n’est pas toujours le cas.
Hannah Arendt a très bien montré que « les systèmes politiques totalitaires ne sont possibles qu’à partir du moment où l’individu isolé ne trouve plus de signification à son existence dans le monde : c’est de ce sentiment de déréliction que surgit la réalité de cette masse informe manipulable à merci. La propagande comme phénomène d’endoctrinement, de jeu sur les pulsions collectives, peut ainsi faire son œuvre. La démagogie de masse nous fait passer du risible au tragique. »(…)
Michel Desmoulin
JJJ a 72 ans, aucune dent, sans raison et l’esprit déjà dans le néant !
sur le conflit en Ukraine il vient d’être présenté une enquête à l’ONU qui démontre que ce qu’on appelait le « massacre » de Butcha c’était en vérité tout du flan.
puck dit: 4 avril 2025 à 11h31
Information totalement bidon de Radio Kremlin relayée par PPPPP (Puck la Pute Payée Par Poutine), dont on peut facilement constater que le cerveau est de plus en plus transformé en marmelade kagebiste.
Bientôt notre Pute Payée Par Poutine pour qui 100 et 1000 est le même chiffre, va nous raconter que Poutine est favori pour le Prix Nobel de la Paix et Trump pour celui d’Économie et que personne dans le monde les mérite plus qu’eux.
(C’est fascinant d’assister à la décomposition en direct d’un cerveau de fasciste).
et encore un pour charoulet (définitions éclaircies)
https://www.youtube.com/watch?v=pVYxbLZ-U-k
L’extrait du texte cité date de janvier 2022
http://desmoulin.net/de-la-democratie-et-de-la-demagogie/
L’histoire enseigne-t-elle quelque chose ?
Rand Paul à propos des tarifs douaniers de Trump : « Lorsque McKinley a imposé des tarifs douaniers en 1890, ils ont perdu 50 % de leurs sièges… Lorsque Smoot-Hawley a imposé des tarifs douaniers au début des années 1930, nous avons perdu la Chambre et le Sénat pendant 60 ans. Ils ne sont donc pas seulement mauvais sur le plan économique, ils le sont également sur le plan politique. »
@ »Ils ne sont donc pas seulement mauvais sur le plan économique, ils le sont également sur le plan politique. »
ça veut dire que les opposants à Trump doivent s’en réjouir.
puisqu’aux US l’élection présidentielle est tous les 4 ans : si Trump se plante alors il sera puni et les républicains se feront virés et les démocrates reviendront au pouvoir.
même moins : dans 2 ans les élections de mi mandat si Trump s’est planté les démocrates vont récupérer le Sénat et le Congrès.
ce qui répond aussi à la question de la démagogie : une élection tous les 4 ans cela ne donne guère d’avenir aux démagogues qui se plantent.
c’est la différence avec les nazis : une fois que leurs SS ont flingués les démocrates et qu’ils sont arrivés au pouvoir fini les élections.
en résumé : ces manières de faire peur aux gens dans un système électorale qui revient tous les 4 ans ou les 5 ans pour la France ça ne tient pas une seconde.
c’est la limite de toujours ramener la comparaison avec le nazisme.
par contre dans la mesure où les élites s’emparent de tous les moyens d’information on peut imaginer que leur système démagogique fondé sur la peur va entrer dans l’esprit des gens.
dans la mesure où l’on supprime tout discours alternatif à ce discours propagé par les élites dans ce cas on peut craindre le retour à un système totalitaire.
c’est exactement la situation actuelle : l’afp pond une info et tous les médias fond un copié collé.
Oh, génie, suspend ton vol!
Ce soir je me fais une morue aux endives. Et vous, Chaloux ? Je sais que vous vous êtes éloigné de la viande et surtout du boudin.
Bérénice, vous citez mal, on ne comprends rien à rien si on n’est pas vigilant. Alors merde, quoi. Bordel. Faites des efforts.
« l AFP pond une info, et tous les médias enfont leur copié-collé ».
Conception grégaire et stupide du journalisme, mais qu’y faire?
Dans quelques jours des milliers de produits que les Américains achètent souvent et dont n’existe pas d’équivalent produit aux USA, vont coûter 10, 20 ou 50 % plus chers. On se demande comment Trump va éviter une explosion de l’inflation et, derrière, une récession carabinée. Il doit croire que, comme le Christ, il est capable lui aussi de faire des miracles.
Or, l’ami Donald a été élu, bien avant que pour des raisons politiques ou idéologiques, pour des raisons économiques, pour que l’inflation baisse et le pouvoir d’achat augmente. Et pas dans 5 ans, mais maintenant, tout de suite.
Et pendant ce temps-là Wall Street continue de chuter et les fonds de pensions américains à perdre des milliards de dollars chaque jour. Et pour couronner le tout, le chômage monte depuis que Trump a été élu.
Question: combien de temps va durer la politique économique actuelle de Trump alors que les marchés financiers sont contre elle et commencent à subir les conséquences de ses idées folles?
Il est vrai que, pendant ce temps là, on peut ne pas parler de Laura Loomer, qu’ on aurait du mal à faire passer pour une authentique Femme d’Etat. Au plus une groupie Donaldienne…
Les tarifs douaniers de Trump effacent 2 500 milliards de dollars de la Bourse américaine
Les indices S&P 500 et Nasdaq affichent leur plus forte baisse depuis 2020 et retrouvent leurs niveaux d’avant la victoire électorale de Donald Trump. Les « 7 magnifiques » perdent près de 1 000 milliards de capitalisation.
Et les capitaux européens fuient en masse les États-Unis, devant l’incertitude totale sur l’avenir économique et financier du pays…
« Conception grégaire et stupide du journalisme, mais qu’y faire? »
J’ai publié naguère un message sur ce blog à propos d’une dépêche de l’AFP que deux journaux reprenaient quasiment mot à mot.
(J’ai mis ci-dessus un mot pour vos bons conseils. J’avais oublié de vous remercier – Ainsi que Phil.)
Pékin va imposer des droits de douane de 34% sur tous les produits américains, les Bourses mondiales chutent
Pékin a par ailleurs annoncé un renforcement des contrôles sur les exportations de terres rares vers les États-Unis, à compter du 4 avril, tandis que les douanes chinoises suspendaient avec effet immédiat l’importation de certains produits agricoles depuis les Etats-Unis.
Les producteurs agricoles américains qui ont voté pour Trump vont être contents…
Le Dow Jones est à l’instant à 40546.
Il a passé une bonne partie de 2024 très en dessous, du temps de Biden.
Il était par exemple à 38000 le 15/04.
A 38632 le 03/06 et à peu près à ce niveau pendant près de 10 jours.
Alors hein…
Récession mes couilles, oui.
Droits de douane de Trump : les manchots, nouvelles mascottes de la guerre commerciale
Le premier américain a annoncé le 2 avril de nouveaux droits de douane pour le «monde entier». Certains concernent des territoires inhabités ou bien peuplés majoritairement de manchots.
«Les pingouins nous dépouillent depuis des années», a ironisé sur X Anthony Scaramucci, le très bref directeur de la communication à la Maison-Blanche pendant le premier mandat Trump.
Le Dow Jones est à l’instant à 40546.
D. dit: 4 avril 2025 à 14h33
Wall Street chute encore à l’ouverture, craint une escalade commerciale
4 avril 2025
La Bourse de New York a de nouveau ouvert en nette baisse vendredi, inquiète des répresailles rapides et fermes de la Chine face à la salve de nouveaux droits de douane imposée par Donald Trump mercredi.
Dans les premiers échanges, le Dow Jones reculait de 2,34%, l’indice Nasdaq perdait 3,14% et l’indice élargi S&P chutait de 3,39%.
Petit rappel : l’impératif catégorique du troll, c’est 10% de faits et 90% de bullshit ; la plupart des médias ne font hélas plus grand chose d’autre et ne se préoccupent trop souvent que de faire du buzz. Dernier exemple en date, les détournement massifs, systémiques et récurrents de fonds publics (de notre argent, quoi) par les RNeux transformés, sans aucune argumentation sérieuse et avec toute la panoplie langagière des démagogues, en défiance vis à vis de l’autorité judicaire ; au prétexte qu’elle s’opposerait aux prétendues aspirations d’un soi disant peuple (tout ce qui n’est pas RNeux ou aux LFistes ne saurait représenter le « peuple »), alors qu’elle est un des garants des droits fondamentaux des citoyens, autrement dit du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple – la démocratie repose avant tout sur la séparation des pouvoir
Incidemment, la versatilité des bourses n’est qu’un indicateur ponctuel et, en l’état, il ne signifie pas qrand chose au plan politique
Une valorisation en chute de plus de 300 milliards de dollars à la fermeture de la Bourse, jeudi. Pour Apple, le « jour de la libération » restera marqué comme un jour funeste de son histoire sur le Nasdaq. La firme de Cupertino est l’une des plus exposées dans la nouvelle guerre commerciale déclarée par Donald Trump. La hausse des tarifs douaniers de 34 % sur les produits importés de Chine, et de 46 % pour le Vietnam, annoncée ce mercredi, percute directement le modèle du géant californien, qui assemble le gros sa production en Asie.
Pablo doit boursicoter pour être si inquiet. C’est évident.
« Conception grégaire et stupide du journalisme, mais qu’y faire? »
faut pas être aussi pessimiste, aux US ce système a été rompu par l’émergence de médias alternatifs qui échappaient à ce discours unique du « copié collé », j’imagine que pour la France ce sera pareil.
La versatilité des bourses n’est qu’un indicateur ponctuel et, en l’état, il ne signifie pas qrand chose au plan politique
Jean Langoncet dit: 4 avril 2025 à 14h47
Dis cela aux américains dont les retraites dépendent de la bourse.
Si Wall Street continue de chuter pendant des semaines, il est évident que Trump abandonnera ses plans douaniers.
Et si à cela s’ajoute la forte et inévitable montée de l’inflation qui va arriver suite à la montée de dizaines de milliers de prix (dans l’alimentation, le textile, les appareils électroniques et domestiques, les voitures, etc, etc), la situation de Trump et son équipe de pieds nickelés sera intenable.
Trump a été élu uniquement pour améliorer la situation économique maintenant (c’est pour cela que les Américains lui pardonnent ses délires et ses clowneries). Et tout ce qu’il fait la dégrade… (voir l’exemple de Tesla, dont l’un des propriétaires disait l’autre jour que Musk avait en quelques jours « grillé »la marque).
Astrologiquement, on voit que le NWO se prend une volée de chevrotines.
La veille, un vent de panique avait soufflé sur Wall Street, où les ménages américains placent massivement leur épargne. Des milliards de dollars d’actions sont partis en fumée…
Beaucoup des ces ménages ont voté Trump avec l’espoir que la bourse monte fortement.
Trump c’est Néron incendiant Rome et jouant de la harpe…
@ »Pour Apple, le « jour de la libération » restera marqué comme un jour funeste de son histoire sur le Nasdaq. »
c’est sûr et c’est loin d’être terminé : tous ces milliards que ces sociétés n’ont pas payé en impôts aux US Trump va leur faire payer autrement.
pour le peuple américain qui galère c’est un petit moment de justice assez jouissif.
en fait tous les dirigeants de ces boites devraient tous être en prison.
Faites tout simplement comme moi : achetez peu, seulement de la bouffe et du vin français. C’est tout. Et ma réserve de vêtements, je sais qu’elle tiendra encore 40 ans. Même mes slips je les fais durer 15 ans.
pedro je te rappelle que le Figaro appartient à de nos oligarques.
rassure toi : le peuple américain qui a voté pour Trump ne se porte pas moins bien qu’avant, au contraire, d’après ce que j’entends il se porte très bien.
cela dit c’est très gentil de ta part de te soucier pour eux.
La Création pourra remercier Donald Trump de s’être VRAIMENT occupé d’elle. Moins de production, c’est moins de ressources extraites, moins de pollution produite, moins de catastrophes accidentellement, moins de déchets. Et moins de guerres au final, en conséquence.
Donald Trump méritera le Nobel de la Paix, de l’Economie et de l’Ecologie.
@ »Pour Apple, le « jour de la libération » restera marqué comme un jour funeste de son histoire sur le Nasdaq. »
pour le peuple américain qui galère c’est un petit moment de justice assez jouissif.
puck dit: 4 avril 2025 à 15h09
Sauf qu’une grande partie du peuple américain a des actions d’Apple ou d’autres grandes entreprises américaines qui chutent en bourse. Et que leurs retraites dépendent d’elles…
Quand on considère que c’est la même chose devoir 100 milliards d’euros ou devoir 1000, il vaut mieux la fermer sur des thèmes économiques.
je te rappelle que le Figaro appartient à de nos oligarques.
puck dit: 4 avril 2025 à 15h12
Et LES FAITS aussi?
@ »La Création pourra remercier Donald Trump de s’être VRAIMENT occupé d’elle »
notre Créateur aussi D.
Donald Trump c’est un peu une version moderne de Robin des Bois et je suis sûr que notre Créateur aime bien Robin des bois, en tout cas il doit l’aimer plus qu’un marchand d’armes comme Dassault.
« je te rappelle que le Figaro appartient à de nos oligarques.
puck dit: 4 avril 2025 à 15h12
Et LES FAITS aussi? »
bien sûr ! évidemment que les faits aussi, tels qu’ils sont présentés, ils appartiennent aussi à ces oligarques qui les publient.
à moins de prendre Mr Dassault pour un imbécile.
pedro il faut comprendre une chose assez simple : quand un oligarque se paye un média qui n’a rien à voir avec ses activités c’est forcément dans le but que cet achat serve aussi ses intérêts.
sinon pour un type qui fabrique des avions de chasse irait-il se payer un journal comme le Figaro ?
c’est marrant j’ai l’impression de te dire des trucs simples que même un gamin de 6 ans serait capable de comprendre.
franchement je ne sais pas comment on a réussi à rendre aussi bêtes les gens.
je dis pas pour toi pedro parce que tu l’étais déjà au départ, je veux dire t’as pas besoin de lire le Figaro pour devenir idiot.
FL, ne me remerciez pas trop avant d’avoir pris connaissance du Brosse, ou de l’Oropaste et Tonaxare, du très évitable Abbé Boyer. Pour le Theatre dans kle Theatre, j’ai le souvenir d’un travail personnel, sinon transcendant.
« je te rappelle que le Figaro appartient à de nos oligarques.
puck dit: 4 avril 2025 à 15h12
Et LES FAITS aussi? »
bien sûr ! évidemment que les faits aussi, tels qu’ils sont présentés, ils appartiennent aussi à ces oligarques qui les publient. à moins de prendre Mr Dassault pour un imbécile.
puck dit: 4 avril 2025 à 15h27
Donc, le FAIT que les bourses chutent à cause de la guerre commerciale déclenchée par Trump, a été inventé par Dassault… C’est ça?
pedro dans le rapport entre les faits et le réel on a plusieurs situations possibles :
– soit ces faits sont multiples et présentés de façon contradictoire.
– soit ces faits disent le contraire du réel auquel cas c’est de la désinformation
– soit ces fait occultent une partie du réel pour ne présenter que celle qui l’arrange.
en résumé le fait de dire « des faits » ne dit absolument rien.
en fait ce qu’il manque aux gens c’est une approche plus rationnelle et plus scientifique.
si tu fabriques une voiture avec la moitié des faits qui concernent sa construction c’est sûr que tu vas te manger un poteau électrique au premier carrefour.
Dire que les FAITS racontés par un journal qui appartient à un riche sont faux équivaut à dire que si on se déplace dans un taxi qui appartient à un riche notre déplacement est faux.
C’est nouveau, ça vient de sortir…
pedro je vais te donner un exemple historique récent : quand en 1971 Nixon décide la non convertibilité du dollar en or les Bourses mondiales se sont toutes effondrées.
du coup déjà faut attendre un peu.
t’as lu le livre de Trump ?
Trump c’est comme Vance si on a pas lu son livre on comprend rien à sa façon d’agir.
dans son bouquin il dit qu’il faut toujours mettre la barre au plus haut au départ pour ensuite pouvoir l’ajuster par la suite.
c’est exactement ce qu’il fait.
tu vois ça sert de venir sur un blog littéraire.
« Dire que les FAITS racontés par un journal qui appartient à un riche sont faux »
non je n’ai jamais dit qu’il était faux : si la bourse chute on ne peut pas dire qu’elle monte.
j’ai dit que les faits peuvent être partiels afin de pouvoir présenter la réalité sous un certain angle qui sert les intérêts du propriétaire de ce journal.
tu sais le nombre d’américains qui n’en ont rien à crier de voir les actions Apple s’effondrer ?
considérer les actionnaires d’Apple comme la totalité de la population planétaire c’est une façon assez bizarre de présenter les faits.
sérieux pedro ne t’affole pas : les actionnaires d’Apple on n’en a rien à cirer !
même si l’action d’Apple tombe à zéro dollar et que ces actionnaires sont tous ruinés et qu’ils aillent vivre dans la rue au minimum ça leur fera les pieds.
lis autre chose que le Figaro tu vas te niquer la santé et le peu d’années qu’il te reste à vivre pour rien du tout.
« en résumé le fait de dire « des faits » ne dit absolument rien. »
puck dit: 4 avril 2025 à 15h40
Du pur poutinisme et du pur trumpisme.
C’est vrai qu’on sait depuis longtemps que les Faits, la Vérité n’existent pas pour les fascistes.
Sauf que les Faits, comme a dit Lénine, sont têtus et que la Vérité s’impose toujours.
pedro tu sais quoi ? tu arrives encore à me surprendre parce que tu te montres toujours plus bête que ce que je pensais.
c’est comme une série sur Netflix : on sait pas jusqu’où ça ira…
du coup rien que pour ça je t’adore.
t’as trouvé pourquoi Horowitz n’a jamais enregistré le clavier bien tempéré ?
pedro si tu veux je peux t’expliquer pourquoi Horowitz n’a jamais enregistré le clavier bien mal tempéré.
un indice : le point de départ c’est Platon.
Quand on dit que 100 mds de dette ou 1000 mds, c’est la même chose, on la ferme.
Au lieu de délirer ici en exhibant la dégradation irréversible de ton cerveau, va lire le livre de Elisabeth Sieca-Kozlowski « POUTINE DANS LE TEXTE » (CNRS Éditions, 2024 – 375 pages, 25 €), dont le sous-titre est « Textes choisis de Vladimir Poutine, de dignitaires et d’intellectuels russes. 2001-2023″, et l’épigraphe : » Les frontières de la Russie ne se terminent nulle part » (Vladimir Poutine le 24 novembre 2016).
Droits de douane: le président de la Fed pointe le risque de déconvenue pour l’économie américaine
Le président de la banque centrale américaine (Fed) a déclaré vendredi que les droits de douane mis en place par Donald Trump risquaient de se traduire par moins de croissance, plus d’inflation et plus de chômage aux Etats-Unis.
« Il devient clair que les taxes sur les produits importés seront significativement plus étendues qu’anticipé », a affirmé Jerome Powell dans un discours à prononcé à Arlington (Virginie), à deux pas de la capitale américaine.
Les « conséquences économiques » vont « probablement l’être aussi » (plus étendues qu’anticipé), a-t-il ajouté, évoquant les risques d’une « plus forte inflation et d’une croissance ralentie ».
Il s’agit de la première prise de parole publique du président de la banque centrale depuis que les annonces de mercredi de Donald Trump sur les droits de douane se sont transformées en déflagration pour l’économie mondiale.
Quelques minutes avant son intervention, depuis sa plateforme Truth Social, le président Donald Trump a pressé Jerome Powell de baisser les taux d’intérêt, estimant qu’il y avait déjà eu des progrès significatifs sur l’inflation depuis son retour au pouvoir en janvier.
« Il est trop tôt pour dire quelle est la politique monétaire appropriée », a estimé de son côté le patron de la Fed, une façon de dire qu’il n’entendait pas faire bouger les taux dans ce contexte.
« Les droits de douane relevés vont faire leur chemin dans notre économie et probablement augmenter l’inflation dans les trimestres qui viennent », a aussi déclaré Jerome Powell.
Wall Street: la chute s’amplifie après le discours du président de la Fed
La chute de la Bourse de New York s’est un peu amplifiée en cours de journée vendredi après les propos du président de la Fed sur les droits de douane risquant de se traduire par moins de croissance, plus d’inflation et plus de chômage aux Etats-Unis.
Vers 15H25 GMT, le Dow Jones perdait 3,39%, l’indice Nasdaq lâchait 3,81% et l’indice élargi S&P 500 cédait 3,90%. Dans la foulée des propos du président de la banque centrale américaine (Fed) Jerome Powell, S&P 500 et Nasdaq sont passés tout deux sous la barre des 4%.
12.04 – non c’est Passoul qui aura 72, moij seulemnt 70. Comme Clopine Trouillefou et Sophie…
9.09 – non, ce n’est pas Sophie Patreau, et je ne l’embrasserais pas, rassurez-vous, D, vous l’avez sans doute confondue avec Sophie Démarrait.
@ L’avant-gout du néant est anéfé très désirable, très tendance et un brin vintage, me disait la Sagesse, du temps où nous n’avions pas rompu. Qui diable y résisterait lors qu’on ne craint nullement la mort ?
Bàv
Et pendant ce temps en Palestine, à Gaza, en Cisjordanie occupée et à Jérusalem est, c’est un remake de « la valise ou le cercueil », sans valise pour les survivants et sans cercueil pour les morts – la fuite en avant criminelle des sionistes religieux et des suprémacistes qui n’avaient pas besoin de Trump pour commettre leurs forfaits mais y trouvent un encouragement et un prétexte derrière lequel ils tentent de dissimuler leurs crimes
Idem pour Vlad l’Empaleur en Ukraine, encore que par comparaison il apparaît comme un homme des Lumières
@en défiance vis à vis de l’autorité judicaire ; au prétexte qu’elle s’opposerait aux prétendues aspirations d’un soi disant peuple (tout ce qui n’est pas RNeux ou aux LFistes ne saurait représenter le « peuple »), alors qu’elle est un des garants des droits fondamentaux des citoyens, autrement dit du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple – la démocratie repose avant tout sur la séparation des pouvoir
A cet égard, les pouvoirs que semble conférer la constitution à Trump paraissent ahurissant ; les EU étant une grande démocratie, je crois qu’ils surmonteront les frasques de cet énergumène (identifié comme tel depuis longtemps) sans trop tarder
ahurissants
Malgré le tableau brossé par renato ; les gens cultivés et instruits ne se confondent pas nécessairement avec les gens éduqués, et vice-versa
https://youtu.be/VQva5wKSfzM?si=A0GsPMBWRrcs4IG-
Pablo le crevard qui achète ses bouquins d’occase dans les marchés aux puces pour des nèfles, s’improvise analyste financier sur la Rdl en commentant les milliards et les milliards et les milliards de la Bourse de Wall Street !!!!!!!!!!!!
Il me fait penser à ce clodo sale et pouilleux qui s’arrête devant les vitrines d’un concessionnaire de voitures de luxe en disant : « Cette Ferrari est très belle mais je lui préfère une Lomborghini » !!!
…Lamborghini…
Il s’ensuit que Barnard n’est nullement possible Henriette Chafoinx, comme je l’avais cru au départ. Ma soeur marie, peut-on être ? Beauf, on s’en branle. L’essentiel est l’espoir d’une meilleure santé pour etalii, et son retour, même si elle est toujours un brin agaçante avec ses « pb de judaïté » non réglés par sa psychothérapie existentielle. Elle devrait en changer, peut-être obtiendrait-elle la guérison commune, car nous avons appris tant de belles choses s/ Jacques Derrida, Pierre Legendre ses enfants et es amies. Merci de nous revenir icite, Léon Taxifolia, même si on a les mêmes à la maison…. Sait-on jamais ce qu’on perd ? D’aucun.es ont besoin de vous, genre puck, JC et P74. Amor, salud y pesetas ! Tchin…. Bàv,
@ JL, s’il vous plait, essayez de nous insuffler un brin de poésie… Je suis sûr que vous avez enourri aujourd’hui un brin d’espoir à l’égard du peuple israélo/palestinien, en voyant un vol d’hirondelles… que l’printemps est arrivé…
A la prochaine brocante mon village, je vais vendre un vieux disque de Genesis… Je peux vous l’offrir gratos, si vous voulez, pour nous remonter le moral collectif. MDMD. Bàv,
« Même mes slips je les fais durer 15 ans. »
Face à la versatilités des bourses, c’est fendard! 🙂
Bon il faudrait passer à autre chose, non?
Lilas en pleine fleur
Genesis ? Même avec P. Gabriel, vous risquez de vous faire tirer les oreilles, cher ange
@« Même mes slips je les fais durer 15 ans. »
Face à la versatilités des bourses, c’est fendard! 🙂
Bon il faudrait passer à autre chose, non?
Pourquoi aux Dictators ?
‘Hippies are squares with long hair
And they don’t wear no underwear’
Pourquoi pas
et pour les identitaires vieillissants
Quand j’étais môme, j’apprenais par coeur tous les mots bizarres que je trouvais dans les dicos. J’étais tellement fort, question vocabulaire, que tout le monde m’appelait Robert Larousse !
Rions un peu
« Pascal Praud et vous – Louis Sarkozy : «Mon père m’a appris le caractère essentiel de la lecture» »
Je viens de trouver un vieil exemplaire du petit Littré.
ce n’est qu’une infotmation qui n’est peut etre pas utile aux théoricien-nes de la guerre, ni aux pseudos guides en conversations sn pornographie, mais l »actualité ne l’a pas rejetée:
Suite au démantèlement de l’USAID, le nettoyage de l’agent orange au Vietnam est interrompu
Les ouvriers en plein travail de réhabilitation d’un site d’après-guerre ont été renvoyés chez eux pendant des semaines. Aujourd’hui, ils se démènent pour éviter la catastrophe. »
https://undark.org/2025/03/18/vietnam-trump-agent-orange-cleanup/
@Je viens de trouver un vieil exemplaire du petit Littré.
Assorti de quelques tirages immaculés de L’Homme nouveau ?
Bien Hoa suite:
« Interrompre un tel projet en plein milieu des travaux est un crime environnemental », a déclaré Jan Haemers, PDG d’une autre organisation ayant déjà travaillé au Vietnam pour nettoyer le sol contaminé par l’agent orange. « S’arrêter en plein milieu est pire que de ne jamais commencer. »
Deux versions de la célèbre passacaille pour violon seul dédiée à l’Ange Gardien qui conclue les « Sonates du Rosaire » de Biber:
Biber – Passacaglia g-moll – Reinhard Goebel
https://www.youtube.com/watch?v=V2h8yhU1_Ls
https://images.app.goo.gl/62mVx
Pour vous JJJ
Biber – Passacaglia g-moll – Fabio Biondi
https://www.youtube.com/watch?v=LqaPVhFS6Y0
Bien, salut salut à et alii et autre « grande intellectuelle [rose à propos d’icelle] » qui occupent ce cul de basse fosse, sans droit ni titre mais avec une détermination un tantinet hargneuse sous les cafouillages …
Pas vu encore sauf une page. Mais le format est extraordinaire. Petit épais long noir, pas regardé l’année. Je le ferai demain.
Et dessus, y a marqué Le petit Littré.
@« Pascal Praud et vous – Louis Sarkozy : «Mon père m’a appris le caractère essentiel de la lecture» »
Bien, il y a :
– le rappel des faits ( ce peut être long )
– l’exposé des motifs ( c’est très précis et nécessite une attention soutenue)
– le dispositif (aïe …)
Oups … entre le rappel des faits et l’exposé des motifs, il y a les prétentions des parties (sinon les débats ne seraient pas contradictoires)
qui parlait de Dominique Eddé ? Elle avait écrit un superbe bouquin sur le clan syrien des alaouites au pouvoir vers 2012, Kamal Jann. Et elle essaie toujours de comprendre, maintenant, elle aussi, blessée dans sa chair…
https://www.mediapart.fr/journal/culture-et-idees/201224/l-echappee-dominique-edde-la-joie-de-comprendre-est-plus-puissante-que-celle-d-avoir-raison
Il n’y a plus d’hirondelles à Kaboul, Ch… je suis sûr pourtant qu’un jour elles reviendront. Gardons toujours un brin d’espoir. Bàv,
Rêvons donc un brin de paix qu’il dirait Bibi la fripouille
Souvenir intense de ce roman déchirant de Yasmina Khadra. Merci, JJJ, pour votre courage en ces temps où le ciel est bas…
Kaboul, c’est très moche comme endroit. Quand on est nécessaire là-bas, il faut bien faire avec mais sinon autant oublier tout de suite. C’est du niveau Karachi mais en pire. Tout simplement.
né là-bas. Pas nécessaire.
Tu dors, Puck ?
@JL, s’il vous plait, essayez de nous insuffler un brin de poésie
Voilà, ça vous fait 10.000€
Wall Street dégringole de près de 6% à la clôture
La Bourse de New York a chuté vendredi de près de 6%, pour la deuxième séance consécutive, les investisseurs laissant éclater leurs craintes quant à l’état de l’économie américaine en raison de la vaste offensive commerciale lancée par le président américain Donald Trump.
Le Dow Jones a perdu 5,50%, l’indice Nasdaq a fondu de 5,82% et l’indice élargi S&P 500 a lâché 5,97%, sa pire séance en Bourse depuis la crise du Covid-19 en 2020.
*
La Chine annonce des restrictions sur les terres rares, en guise de représailles
Dans le cadre de sa réponse globale aux tarifs douaniers du président américain Donald Trump, Pékin a annoncé vendredi des restrictions à l’exportation des terres rares, rapporte Reuters. Sept catégories de terres rares moyennes et lourdes, dont le samarium, le gadolinium, le terbium, le dysprosium, le lutétium, le scandium et des produits liés à l’yttrium, seront inscrites sur une liste de contrôle des exportations à partir du 4 avril, selon un communiqué du ministère du Commerce.
La Chine produit environ 90 % des terres rares mondiales, un groupe de 17 éléments utilisés dans les secteurs de la défense, des véhicules électriques, de l’énergie et de l’électronique. Les États-Unis ne possèdent qu’une seule mine de terres rares, et la majeure partie de leur approvisionnement provient de Chine. Lockheed Martin, Tesla et Apple figurent parmi les entreprises américaines qui utilisent des terres rares chinoises dans leurs chaînes d’approvisionnement.
*
La Californie demande à être exemptée des ripostes douanières contre les Etats-Unis
La Californie, cinquième économie mondiale, va chercher des accords avec le reste du monde pour être exemptée des ripostes douanières à venir contre les Etats-Unis, a annoncé vendredi son gouverneur Gavin Newsom. «Les droits de douane de Donald Trump ne représentent pas tous les Américains», a assuré le démocrate dans des vidéos publiées sur les réseaux sociaux. «La Californie n’est pas Washington D.C.», a-t-il insisté dans un communiqué, en présentant son Etat comme un partenaire «stable et fiable pour les générations à venir».
Son administration est chargée «de rechercher de nouvelles relations commerciales stratégiques», selon le communiqué. Dans ce cadre, le gouverneur demande «à ses partenaires commerciaux de longue date d’exempter les produits fabriqués en Californie de toute mesure de rétorsion.» Newsom, auquel la presse américaine prête régulièrement des ambitions présidentielles, n’a pas précisé comment de nouveaux accords pourraient contourner la politique protectionniste lancée par Donald Trump.
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Le pétrole dévisse avec l’escalade commerciale entre Washington et Pékin
Les cours du pétrole s’enfonçaient encore davantage vendredi, plongeant au plus bas depuis 2021 après les annonces de rétorsion de Pékin à la guerre commerciale lancée par les États-Unis.
Vers 18H00 à Paris, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en juin, chutait de 6,91% à 65,29 dollars, après s’être brièvement affiché à 64,03 au plus bas depuis avril 2021. Le baril de West Texas Intermediate, référence américaine, pour livraison en mai, s’enfonçait de 7,80% à 61,73 dollars.
*
Combien de temps va tenir Trump sans faire marche arrière?
Saul Bellow. Formidable émission sur Les nuits de France Culture ay l’instant. J’ai lutté contre le sommeil pour ne pas en rater une miette.
Vous allez aimé Paul Edel. C’est vous qui un jour, nous l’avez fait connaître. Et là, il parle longuement de l’Amérique, de sa vie, de ses personnages et même de l’actualité en Israël.
Jesperey que le lien fonctionne !
PS , c’est bien votre exploration de Bergmann et vos photos sont splendides.
3 avril 2025
Le Conseil de sécurité s’est réuni pour examiner la question palestinienne dans le contexte de la dangereuse escalade à Gaza depuis la rupture du cessez-le-feu et les attaques ayant visé le personnel humanitaire. Nombre d’orateurs, dont le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, exigé une enquête indépendante, rapide et impartiale pour déterminer les responsabilités. Lire
Le chef des droits de l’homme de l’ONU a jugé élevée la probabilité que des crimes d’atrocité soient actuellement commis à Gaza où 1200 Palestiniens ont trouvé la mort en l’espace d’un mois. Lire
2 avril 2025
Le Secrétaire général de l’ONU est alarmé par le bilan humain depuis la reprise des hostilités à Gaza. Lire
1er avril 2025
Plusieurs hauts responsables de l’ONU et de la communauté humanitaire ont condamné les meurtres par Israël de secouristes à Gaza. Lire
31 mars 2025
Le chef des affaires humanitaires de l’ONU a réclamé des réponses et que justice soit rendue après les attaques de l’armée israélienne contre un convoi médical qui ont entraîné la mort de 15 membres du personnel médical et de travailleurs humanitaires dans le sud de Gaza. Lire
28 mars 2025
Les frappes israéliennes meurtrières sur des zones densément peuplées à Gaza s’apparentent à des crimes d’atrocité, ont estimé des agences de l’ONU, soulignant que la situation actuelle dans l’enclave est pire qu’avant l’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Lire
24 mars 2025
Le Secrétaire général de l’ONU « a pris la décision difficile de réduire la présence de l’Organisation à Gaza, alors même que les besoins humanitaires augmentent et que notre inquiétude quant à la protection des civils s’intensifie », a déclaré son porte-parole, soulignant que « L’ONU ne quitte pas Gaza. L’Organisation reste déterminée à continuer de fournir l’aide dont les civils dépendent pour leur survie et leur protection ». Lire
21 mars 2025
Lors d’une réunion du Conseil de sécurité sur la situation au Moyen-Orient, l’Envoyée de l’ONU au Moyen-Orient a dénoncé l’escalade des violences et violations du droit international dans les territoires palestiniens occupés, au cours des trois derniers mois. Lire
20 mars 2025
A la demande des États-Unis, de la France et du Royaume-Uni, le Conseil de sécurité s’est réuni pour examiner la situation humanitaire à Gaza, sous l’angle des otages encore détenus. Il a entendu le témoignage d’un survivant israélien qui a passé 491 jours en captivité aux mains du Hamas. Lire | Voir aussi
Cinq membres du personnel de l’agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) ont été tués ces derniers jours dans l’enclave palestinienne. Lire
19 mars 2025
Un membre du personnel de l’ONU a été tué et cinq autres blessés lors de frappes contre des bâtiments du Bureau des Nations Unies pour les services d’appui aux projets (UNOPS) à Gaza. Lire
Le Secrétaire général a condamné les frappes ayant causé la mort d’un membre du personnel de l’UNOPS et a demandé une enquête approfondie. Lire
18 mars 2025
Le Conseil de sécurité s’est réuni pour discuter du blocus imposé par Israël à l’aide humanitaire destinée à Gaza, alors que les frappes israéliennes ont repris, faisant des centaines de morts parmi les civils. De nombreux orateurs ont demandé un renouvellement du cessez-le-feu et une reprise de l’aide Lire | Voir aussi
Le Secrétaire général s’est dit choqué par les frappes aériennes israéliennes à Gaza au cours desquelles un nombre important de civils ont été tués. Il a lancé un appel pressant pour que le cessez-le-feu soit respecté, que l’aide humanitaire soit rétablie sans entrave et que les otages restants soient libérés sans condition. Lire
16 mars 2025
Privés d’aide humanitaire et de protection depuis deux semaines, les enfants palestiniens sont confrontés à des conditions de vie extrêmement préoccupantes, a mis en garde l’UNICEF. Lire
14 mars 2025
Les attaques systématiques d’Israël contre la santé sexuelle et reproductive à Gaza sont des actes génocidaires, a dénoncé une Commission d’enquête mandatée par le Conseil des droits de l’homme. Lire
4 mars 2025
Lors d’un sommet des dirigeants arabes réunis au Caire pour définir un projet d’avenir commun à Gaza, le Secrétaire général a réaffirmé que Gaza doit rester partie intégrante d’un Etat palestinien indépendant, démocratique et souverain, sans réduction de son territoire ni transfert forcé de sa population. Lire
3 mars 2025
L’ONU est alarmée par la décision d’Israël de suspendre l’aide humanitaire à Gaza. Lire …
pour Renato
ayant rêvé de l’instruction du proces de l’ Education Nationale (EN; rose était un prof de travaux preatiques d’éducation sexuelle à la bergman )je constate que je ne sais pas l’interpréter:est-ce grave?
pratiques
EVOLUTION sous PERFUSION
On retrouve, désormais, en RdL toutes les qualités des réseaux sociaux tellement passionnants !
Euh, non….Rien
En effet ! On attend des sources d’information fiables … même romancées
Et bien voilà, j’ai changé de statut. De couturière aux petits points, me voilà passée à « rose était un prof de travaux pratiques d’éducation sexuelle à la bergman ».
Ce rêve dont je viens de me réveiller, j’étais avec un homme qui avait sa petite voiture sombre, avec pas mal de bagages dedans. Il montait dedans mais pas de clés. Je m’assis au volant et les clés étaient sur la voiture. Je démarrait la voiture et nous partions, c’est moi qui conduisais. Ce doit être parce que, avant hier, j’ai vivement pensé je t’emmène avec moi à Villa Clara en Argentine.
Je leur trie tous mes Joseph Kessel en double. On leur apporte. Dans la gare désaffectée qui leur sert de bibliothèque dans Entre rios. À pieds, en bus, à cheval.
Là, on est partis en bagnole, il perd pas mal la boule, mais je gère pour deux. J’ai compris le pitch. Il faut recharger ses batteries, régulièrement.
Adèle Yon cuisine. C’est un plus.
Je démarrais.
Une jolie influenceuse que j’aime bien.
Je suis en clock. Je crains plus rien.
Je suis en cloque, je crains dégun, bichette.
Ai du mal avec le concept influenceur, c’est un métier.
Quatre heures et 29 minutes de speech sans regarder ses notes.
Ah Fidel.
Groenland, faites de même.
Contre l’impérialisme américain !
Hier, ai rencontré deux femmes gentilles, plus une africaine qui m’a laissé sa place dans le bus.
Et qq.migrants, beaux, heureux, souriants, capables d’adaptation. En pleine force de l’âge.
Paul Edel, votre billet sur Bergman est splendide.
Merci Rose
Contrairement à beaucoup de gens qui la dénigrent, je trouve le témoignage d’Anouk Grinberg précieux, juste et nécessaire.
Je dois dire que le cinéma de Bertrand Blier m’a toujours rendu perplexe. Je trouve que dans le genre, s’il y a un genre, Joël Séria est dix-mille fois meilleur.
at sex o’clock ,souvenez vous qu’il, faut se méfuer des petits QIQI
la vie sexuelle complexe des oiseaux
Republier
Même parmi les couples d’oiseaux migrateurs les plus durables, l’exclusivité sexuelle fait rarement partie de leur relation.
https://undark.org/2025/04/04/wilo-mating-monogamy-birds/?utm_source=Undark%3A+News+%26+Updates&utm_campaign=11c91acf2e-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_5cee408d66-185e4e09de-176036297
méfier
Ce matin sur France Culture, dans Répliques, du remarquable Alain Finkielkraut : Cioran.
Comme à l’accoutumée, j’ai été dérangé par tout ce que j’ai entendu sur son œuvre et à son sujet. Mais ce que j’ignorais, c’était, du moins dans sa jeunesse, sa sympathie pour Hitler.
. Dans cet épisode, l’auteur Nathan H. Lents, professeur de biologie au John Jay College, partage une anecdote qui n’a pas été reprise dans son récent ouvrage « L’évolution sexuelle : comment 500 millions d’années de sexe, de genre et d’accouplement façonnent les relations modernes » (Mariner Books).
Et pour le nazisme.
Les Valseuses est un chef-d’oeuvre, avec des acteurs remarquable. Mais ce film est dérangeant dans l’absolu et très dérangeant pour ceux qui ne parviennent pas à prendre du recul et à apprécier la forme de dérision qui s’en dégage. Peut-on permettre à un enfant de 12 ans de regarder avec des adultes un tel film ?
Puck, tu es réveillé ?
à propos des parasites! ( car je me souviens qu’ « il » enseigna « nous sommes tous des parasites! »,donc you, too)
plein,(titre) c’est à pârtir de combien?
Nathan H. Lents est professeur de biologie au John Jay College de la City University of New York. Son laboratoire de recherche étudie l’évolution du génome humain et la génétique médico-légale. Il est également l’auteur de « Not So Different: Finding Human Nature in Animals » et de « Human Errors: A Panorama of Glitches, from Pointless Bones to Broken Genes ».
D,
Et pourquoi diable voudrais-tu qu’un enfant de 12 ans aille voir Les Valseuses avec des adultes ?!?!
Espèce de pervers, tu n’as pas honte de balancer des énormités pareilles.
Cioran, Ionesco et Eliade, les trois « Roumains de Paris » furent tous les trois des sympathisants nazis.
Un jour, on a demandé, aux Cahiers du Cinéma, à François Truffaut de définir le cinéma.
Voici sa réponse :
« Le cinéma est un art qui consiste à faire faire aux jolies actrices de jolies choses ».
Il s’appelle Petit Littré (sans Le)
14 Nov 1959.
Reliure un peu abîmée.
Intérieur impec. Pas d’images.
Y a tout dedans.
Ai aussi un dictionnaire des synonymes.
@ »Puck, tu es réveillé ? »
non en général je me lève vers 7H du matin et je commence à me réveiller vers 10h du soir juste avant d’aller me coucher.
et toi ?
Il a dit « de jolies choses ». Les truffaldiens apprécieront. Mais bon, on se comprend…
C’est bien connu, les réalisateurs, les metteurs en scène et autres cinéastes sont tous des voyeurs, des pervers, des obsédés sexuels… Des tordus, quoi…
Et cette Anouk Grinberg, elle ne savait pas, elle, que le métier d’actrice est le vingtième ou trentième plus vieux métier du monde après tant d’autres, hein ?!
20.51 ça nous fait le fromage un brin dispendieux, quand même, JL… Connaissez-vous cet autre fromage de vache, découvert ce matin au marché pour 12 euros… S’emm… pas, entre nous !… Mais au moinss, il ne vient pas de chez bibi la fripatouille.
https://www.lafermeauvergnate.fr/fr/fromage-auvergne/165-gaperon-ficelle-du-toine.html
Bàv,
j’ai été lire le billet de Albert Bensoussan
et bje me demande si charoulet a fait un dico des patisseries des écrivains; nos palais s’en régaleraient autant que nos rêves des sculptures, toiles, bibliothèques et jardins des villes de musée ;on pourrait commencer par le PARIS BREST DE TANGUY VIEL
Petit intermède culturel du week-end *
Nicole Esterolle sur son compte fb :
L’ART CONTEMPORAIN ET LE « GÉNIE D’ÉTAT » SOUS TOUS SES ASPECTS :
1- Le génie d’État selon Catherine Millet
2 – « Et la lumière fut » avec Jack Lang,
3 – Du déconstructivisme d’État
4 – Du crétino-intellectualisme d’État
5 – De la consanguinité dégénérative d’État
6 – Du décolonialisme repentiste d’État
7 – De l’ idiotisme -utile d’État
8 – Du wokisme d’Etat
9 – L’art d’État, dernier refuge du déni de réalité.
1- Le génie d’État selon Catherine Millet
« Ce qui caractérise notre époque, c’est la réconciliation de l’État et du génie. » . Cette hallucinante déclaration a été faite au début des années 80, par Madame Millet, fondatrice et directrice depuis 60 ans du magazine Art Press, sorte de Pravda au service du totalitarisme de l’idéologie artistique étatique.Madame Millet est la figure de proue de l’art institutionnel… dit « contemporain » à la suite d’un hold – up sémantique des plus éhontés.La notoriété de Madame Millet est due à l’ample médiatisation de ses exploits sexuels, considérés par elle comme des performances artistiques d’avant-garde, libératrices, déconstructrices de l’ordre bourgeois et éminemment progressistes. Sa popularité est due également à la publication de son bestseller mondial intitulé « La vie sexuelle de Catherine M. », vendu à 900 mille exemplaires en Corée du Sud (Aucun vendu au Nord) Catherine Millet et Léa Salamé,( photo) , deux égéries du gaucho-progressisme culturel hégémonique discutent de ce best seller …La première sévit depuis 50 ans dans les réseaux institutionnels de l’art contemporain et la seconde, plus récemment, dans le service de l’audio-viuel public. ( Notons que le compagnon de la seconde porte des espoirs européens du socialisme français tendance soft , mélanchono- incompatible.)Voici un extrait de l’échange, qu’elles ont eu, le 30 06 2021, sur les ondes de France-Inter, radio du gaucho- déconstructivisme politiquement correct d’État. Léa y interroge Catherine sur « la puissance de sa liberté »… Léa : vous écrivez : « je suis la meilleure suceuse, la plus performante. Je baise comme je respire »… Ça veut dire quoi ? Catherine : Pour ce livre, j’ai recueilli des témoignages et des compliments, ce qui m’autorisait à écrire ces phrases. Léa : ça existe d’être « un bon coup » ? Catherine : oui, je crois, il y a des gens plus doués que d’autres pour le plaisir sexuel… Un grand moment d’art contemporain, et d’exacerbation de la transgression déconstructiviste et casseuse de codes , dont vous pourrez lire l’intégralité sur ce lien : https://www.radiofrance.fr/…/catherine-millet-ma-seule…
2 – « Et la lumière fut » avec Jack Lang,
Outre Madame Millet, nous avons Monsieur Lang comme figure de proue de la grosses galère de la culture officielle hexagonale. C’est lui qui avait en effet déclaré en 1980 : « Le 10 mai, les Français ont franchi la frontière qui sépare la nuit de la lumière. » .C’est donc cette éblouissant lumière venue d’en haut à gauche, qui a extrait la culture Française de son obscurantisme millénaire, et qui l’éclaire aujourd’hui depuis bientôt un demi siècle. C’est cette céleste incandescence que l’excellent sociologue Jean-Pierre Le Goff a si bien décrite, analysée et nommée « Gauchisme culturel » C’est donc Monsieur Lang, ce flamboyant communicant, d’autant plus flamboyant qu’il n’a rien d’essentiel ou d’indispensable existentiellement à communiquer à quiconque . (« Paillettes et plume dans le cul » , a dit en effet de lui l’humoriste Laurent Gerra) , qui a mis en place au début des années 80 (avec son ami Claude Mollard et la bénédiction de François Mitterrand), outre les colonnes de Buren, le redoutable maillage territorial institutionnel des FRAC, CNAP, MAC, etc, pour le contrôle et d’endoctrinement de la création française et de son public , sous prétexte de l’aider, et comme outil de communication gouvernementale en interne et à l’international En réalité, cet interventionnisme ravageur, de type tchétchéno-soviétique, a détruit l’éco-systême de l’art tel qu’il existait il a encore cinquante ans . Il a exclu, disqualifié, ringardisé, paupérisé 90% de la création vivante actuelle, jugée sans aucune vertu communicationnelle par les experts du Ministère, sans aucune aptitude à s’inscrire dans une mondialisation heureuse.
3 – Du déconstructivisme d’État
La « déconstruction » est une idée saugrenue du philosophe Jacques Derrida. Elle signifie la démolition des modèles bourgeois, le cassage des codes tant éthiques qu’esthétiques , la dérision, la subversion systématique des lois y compris juridiques , le foutage de gueule, l’exploration des limites et des interstices, le questionnement compulsif sur tout et n’importe quoi, (J’ai établi une liste officielle des 35 objets de questionnement autorisés pour l’art contemporain, que je peux envoyer par mail à qui me le demande), qui sont devenus les principaux ingrédients pour un art bien pensé, progressiste en diable, politiquement correct, efficace médiatiquement et qui pourra dès lors être plus avantageux pour l’image de l’action ministérielle, plus facilement contemporainisable, financiarisable, discourable, enseignable, bureaucratisable, subventionnable, conceptualisable et adaptable aux critères d’une internationalisation joyeusement débridée… Et , par ailleurs, plus achetable par les collections publiques (Les FRACS sont bourrés à 90% d’objets déconstruits de type conceptuao-bidulaire, parfaitement inregardables, dangereusement contondants et insortables de leurs caisses en sapin capitonné par grosses chaleurs.)
4 – Du crétino-intellectualisme d’Etat
Les agents fonctionnarisés de l’art contemporain d’État, aiment l’art quand il n’y en a pas dedans, car ça leur facilite la tâche. La conceptualisation et l’intellectualisation effrénée dont l’art est l’objet est bien sûr une façon, de le vider de toute cette substance poétique, que ces agents son incapables de sentir ni comprendre. Un fonctionnaire de l’art découvrant un Paul Klee, un Brauner, un Poliakoff, un Pat Andrea ou un Tapiès, c’est comme une poule découvrant un couteau.Ils préfèrent donc un art sans art, un art du bout de bois posé par terre, un art de la vacuité, de la torsion du sens, un art de la botte en caoutchouc géante, un art du gigantisme de la forme pour une l’insignifiance du fond . « C’est quand j’ai compris que l’art contemporain n’était pas de l’art que je suis devenu artiste contemporain » avait déclaré Bertrand Lavier, un des top ten de l’art français, dont le nounours en peluche « à l’air vicieux » (trouvé dans une poubelle) trône, comme une nouvelle Joconde, au centre de la Collection Pinault à la Bourse du Commerce à Paris. Un art de l’absurde et de l’atrocité visuelle , à la manière des redoutables subversifs du mouvement historique « Supports-surfaces », qui peignaient au revers de la toile ou sur son châssis. Un art de la vacuité absolue avec les œuvres de Tino Seghal , qui n’existent que par leur absence totale de trace (sauf la facture salée payée par le Centre Pompidou pour acquérir cette absence)Et c’est ainsi que l’inepte à remplacé le sens commun renvoyé à l’extrême-drouate, que la laideur est devenu signe de distinction, que le crétinerie s’est sur-mentalisée et que l’incompétence et l’ insensibilité à l’art sont devenues premiers critères de qualification pour les agents patentés de ce système ubuesque , que sont les professeurs en Ecole des Beaux-Arts, conseillers divers, curators, chargés de mission, inspecteurs, etc.C’est ainsi que la critique d’art a été décervelée, aplatie et anesthésiée, pour fournir un discours de plus en plus volumineux , délirant, grotesque, abscons et incompréhensible par ses auteurs -mêmes. (j’ai constitué un florilège de textes parfaitement imbitables , intitulé « Ben Voyons Ginette », que je peux aussi envoyer par mail à qui me le demande)
5 – De la consanguinité dégénérative d’État
Cela fait donc cinq décennies que le service public de l’art ( et de l’audio-visuel) développe son pouvoir, son corporatisme, son entre-soi par toutes sortes de stratégies de renforcement de ses réseaux de solidarité clanique. Un milieu qui interdit l’entrée à toute personne abordant l’art par sa face sensible et poétique, et qui pourrait ainsi apporter un peu d’oxygène régénérateur et un peu de raison d’être à l’appareil.Dans ce milieu de plus en plus sectaire, la pensée s’auto- reproduit de manière incestueuse, comme sortant d’une fermentation en milieu anaérobie fermé sur lui-même. L’art passe alors à « l’état gazeux », comme le dit le philosophe Yves Michaud. Les vapeurs pathogènes s’exhalant de ce bouillon de culture sont extrêmement ravageuses pour la santé psycho-mentale des employés. Les burn-out et dépressions nerveuses sont de plus en plus fréquentes. Au « Magasin », haut – lieu d’art contemporain à Grenoble, notamment, on a pu assister aux démissions successives de trois directrices.teurs pour graves délabrements psychiatriques.Ce processus dégénératif , hors –sol et hors de tout public, puisque ce dernier est quasi disparu, ne peut évidemment se poursuivre qu’à la faveur de généreuses perfusions à l’argent public.
5 – Du pédo-pornographisme esthétique d’Etat
C’est encore Monsieur Lang qui déclarait en 1991 au magasine Gay Pied : « La sexualité puérile est un continent interdit…Aux découvreurs du 21 ème siècle d’en aborder les rivages ». À partir de cette déclaration fondatrice, on a donc pu assister quantité de manifestations des plus croquignolettes dans ce registre de la « sexualité puérile ». Souvenons-nous de cette expo « Présumés innocents », au CAPC de Bordeaux en 2000 , où ‘on pouvait voir une vidéo de Elke Krystufek dans laquelle, l’artiste autrichienne filmée par sa mère se masturbait avec un concombre avant de se coudre le sexe. Une petite association locale pour la protection de l’enfance porta alors plainte pour « diffusion d’images à caractère pédopornographique ». Cette plainte avait déclenché la réaction immédiate de l’ensemble des professionnels de l’art contemporain français,. Tous se sont mis à hurler, en un même chœur de vierges outragées, à pleines pages du Monde, de Libération et des Indékrotuptibles, à la censure, à l’apostasie, à l’acharnement judiciaire, au complot anti-art contemporain mondial, au retour de la bête immonde et à l’arrivée imminente des hordes catho-fachos et nazies…Souvenons-nous aussi de l’exquis Claude Lévèque, ex-star de l’art postural contemporain hexagonal, quand il écumait les lieux d’art accompagné de son jeune filleul du moment.
6 – Du décolonialisme repentiste d’État
Kader Attia est le plasticien majeur , parmi une bonne dizaine d’autres indigéno-décolonialistes, représentant cet art d’Etat chargé d’un lourd message de repentance envers les pays colonisée par la France et envers tous les opprimés à travers le monde. Attia se dit « réparateur des blessures pour une réinvention du monde et nous propose notamment des gros tas de prothèses jambières, des sculptures en bois de « gueules cassées », des plaies suturées, des barricades fichées de gros pavés, etc. Toutes ses œuvres puissamment métaphoriques abondent dans nos FRAC et nos musées…Mais le plus cruellement cocasse aujourd’hui, est qu’Attia, ce pur produit de l’État repentant, accuse celui-ci de l’avoir instrumentalisé. : « En célébrant nos travaux, en les subventionnant, en nous donnant pour mission cette « inclusion de celles et ceux qui nous ressemblent, le pouvoir, parce qu’il permet la violence et les meurtres par des fonctionnaires dépositaires de son autorité, nous transforme en marionnettes inconséquentes et idiot·e·s inutiles » , a-t-il écrit récemment…Hou le vilain ingrat !
7 – De l’ idiotisme -utile d’État
On n’en finirait pas de citer tous les cas de figure où le gauchisme culturel se fait le crétin utile du grand capital. La collusion entre domaine public et intérêts privés étant, de fait, consubstantielle à cet art d’État Une collusion –synergie où l’on voit tel ex-ministre de la culture devenir directeur de la Fondation Pinault, telle ex-directrice de prestigieux musée d’avant-garde devenir directrice de la Fondation Cartier ou Pernod-Ricart, etc…Une synergie où l’on voit surtout l’appareil institutionnel fabriquer les produits financiers, qui pourront alimenter les ardeurs artistico- spéculatives des grands capitaines d’industrie mondiaux.
8 – Du wokisme d’État
Le conceptualo-posturo-duchampo-buréno- bidularisme qui inspirait la pensée artistique d’Etat, commençait à s’essouffler. On commençait à se lasser des mêmes pesant messages politico-duchampo-déconstructifs Le wokisme LGBTQ +, arrive opportunément pour donner une nouvelle impulsion idéologique à l’art institutionnel, pour apporter à celui-ci un supplément d’âme , une fraicheur et de nouveaux éléments de langage.De nouveaux artistes à fort message éco-responsable, décarbonné, mobilité douce et toilettes sèches, anti-esclavagiste , indigéniste ou trans-genre apparaissent donc sur le marche national et mondial de la spéculation intello-financière . Ainsi, ce nouveau lauréat du Prix Marcel Duchamp 2024 , Tarik Kiswanson pour lequel :« Les notions de déracinement, de régénération et de renouvellement sont au cœur de son art »Notons que ce nouveau wokisme post-languien répudie encore fermement le localisme -circuit-court , jugé trop réac, bouseux et anti-contemporain , et surtout anti-mondialiste.
9 – L’art d’État, dernier refuge du déni de réalité.
À la faveur de la « droitisation générale » du peuple français, on commence à déplorer de plus en plus de transgressions à la loi du silence bien-pensant (qui n’en pense pas moins), à l’omerta du politiquement correct, au déni de réalité propre au progressisme qui se respecte…Sauf dans le domaine de l’art officiel qui a pu, avec l’apport du wokisme, renforcer un rejet du réel d’importance existentielle pour lui.Souhaitons que Madame Dati, la nouvelle Ministre de la culture, qui aura peut-être l’occasion de lire ce texte récapitulatif, puisse impulser les réformes structurelles permettant que l’intervention étatique dans le champ de la création soit moins désastreuse pour les artistes de ce pays , que celle qui existe depuis 50 ans.
Nicole Esterolle. Critique d’art.
@ truffaldiens, foucaldiens, giralduciens…, ça nous fait genre lucien. Le bolos chicos, quoi.
La libanaise Dominique Eddé a dit aux très estimables Finkielkraut et Horviller) qu’hélas, la Shoah n’était pas, genre « l’horizon indépassable de notre culture » (moyen-orientale), quatre vingts ans plus tard. J’invite chaque erdélien.ne à essayer de l’écouter de bout en bout sur le lien supra, plutôt que de commencer à nous (lui) faire de méchants procès. Merci pour elle, surtout.
Cer enfin, oui ou non, en ces moments désespérants, assistons-nous à une « entreprise génocidaire » envers les Palestiniens de Gaza et d’ailleurs, (anti terroristes du Hamas et désireux de vivre en paix, pour la plupart d’entre eux ?)… Je pose juste la question, et si je la formule maladroitement de la sorte, sachant les susceptibilités exacerbées, c’est parce que cette terminologie est précisément employée par l’ONU, comme le signale JL, et apèrs l’avoir entendue formulée de la sorte chez Edwy Plenel, mais PAS chez Dominique Eddé. Alors, qu’on ne vienne pas me chercher querelle en ce dimanche matin ! Merci.
Bàv,
Intéressante cette Nicole Esterolle.
Il semble que son nom soit un pseudonyme. Qui se cache ?
Ah Truffaud, qui qualifiait publiquement son actrice Bernadette Lafond de « bandante »?
Que ne lui ferait-on un procès aujourd’hui!
Il semble que son nom soit un pseudonyme. Qui se cache ?
Tout le monde la connait sous son vrai nom… 🙂
@ MSL 9.29 – Cette Nicole Esterolle, qui s’écoute moraliser avec la loi, ferait mieux de changer de métier, comme marine lepène. Il y a un moment où ce genre de posture dénonciatrice intermédiale vous rend mal à l’aise quand on sait à quel point cette personne en est à l’évidence empoissée. Anéfé, pourquoi signer « critique d’art » ? A-t-elle commencé avant d’objurguer par un point un zéro, du genre : « moi, qui suis ceci ou cela, je vais vous dire ce que je pense de la critique d’art contemporaine sur le « génie d’Etat ». Et non, comme par hasard.
(((C’est quoi ce support, un « compte fb » ?)))… Bàv.
9.52 – Truffaud et Lafond avaient des T. plutôt que des D. au cul, même en chaleur, ce qui reste humain, après tout, dans tous les milieux. Bàv BLBGo.
Elle est la créatrice d’une des plus importantes revue d’art contemporain en France.
Le JJ-J éructe en méconnaissance de cause de son point de confort idéologique de pensée…
@ etalii : J-D-E Esquirol fut un très grand psychiatre français, vous le savez, j’espère. Merci de ne pas répondre. Bàv,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-%C3%89tienne_Esquirol
10.01 Et oui, JJJ ne peut pas tout savoir de l’Art, vu qu’il ne fait pas partie des initiés… Quel éructation peut-on lui reprocher…
Son « point de confort idéologique de pensée » ??? Le même charabia que celui de Mme Esterolle, sans doute, tel le diable, probablement.
@ »L’ART CONTEMPORAIN ET LE « GÉNIE D’ÉTAT » SOUS TOUS SES ASPECTS »
lorsqu’on observe, au cours de ces dernières décennies, la prise de contrôle des systèmes d’information par les oligarques français représentant la caste des élites mondialistes tels qu’on les retrouve à Davos et à Bruxelles, on se rend compte qu’un de leurs objectifs consistait à s’en prendre à l’esprit critique des citoyens des différentes démocraties européennes. Nous pouvons même parler d’un mouvement de déconstruction de cet esprit d’analyse critique permettant au citoyen de participer de la manière la plus éclairée au bon fonctionnement de la démocratie.
Bien sûr je ne reviendrai pas sur le fameux mythe de la Caverne, encore qu’on peut peut comparer ce mouvement visant à saboter l’esprit critique du citoyen comme une démarche à le faire aller dans la caverne.
La première étape de ce retour du citoyen vers la Caverne a consisté a éliminé du paysage d’information la figure de l’intellectuel dont le travail consistait à faire sortir le citoyen de la Caverne et à le remplacer la celles du journalise et de l’expert dont le travail consiste aujourd’hui à faire revenir le citoyen dans la Caverne.
Pour former le journaliste dans son nouveau métier consistant à faire revenir le citoyen dans la Caverne on peut noter le rôle essentiel joué en Europe par les fondations de George Soros dans la formation de ces sus dits et « so called » journalistes, quand aux experts il suffit d’aller les chercher dans les milieux proches des élites mondialistes.
Il est difficile d’imaginer comment une petite quantité de personne ont réussi à dominer les peuples,aussi faut-il porter le plus grand respect et la plus grande admiration aux systèmes mis en place pour y parvenir.
Je renverrai à la lecture de 3 discours qui, bien que prenant des voies différentes, permettent de comprendre l’évolution de nos sociétés occidentales durant ces dernières décennies.
le premier s’intitule « Règles pour le parc humain » prononcé par Peter Sloterdijk en 1999. L’auteur y décrit le processus qui mène vers une société « post littéraire » ainsi que les mécanisme de dressage de l’homme par lui-même.
le second discours est celui donné par Soljenitsyne en 1978 à l’université de Havard où il décrit le système libéral tel que prôné par les élites mondialistes comme portant en lui-même les germes de sa propres destruction notamment en prônant un hyper individualisme régit par une domination des règles immanences au détriment des valeurs de transcendance (cf évolutino art moderne).
le troisième discours est celui de JD Vance prononcé à Munich en 2025 qui est une synthèse actualisée des idées que l’ont trouve dans « Règles pour un parc humain » et aussi le discours de Soljenitsyne
Rezvani explique pourquoi il a cessé de peindre. Lumineux.
JJJ, je comprends votre question. Le terme génocide ne me paraît pas convenir à ce que je ressens. Je vois dans ces reportages une colère irrépressible, une rage motivée par la conduite obscène du Hamas, par l’exaspération des otages retenus, par le fait que cette armée sous les ordres d’un fou de guerre, suit. Le peuple c’est autre chose. J’ai écouté avec attention Saul Bellow, (lien posey cette nuit). Il évoque plus que tout sa judéité, les juifs après la Shoah, les juifs de Chicago. Lui qui est au croisement de familles de différentes souches, il est entre colère et rejet du Mal. Il reconnaît que ses personnages vacillent entre le bien et le mal, avec pour certains une folie sexuelle. Il cherche à comprendre ce qui a conduit ce peuple sur cette minuscule terre perdue au milieu d’États Arabes qui le déteste et veut l’éliminer.
Il faut remonter toute une histoire de ceux qui toujours ont été chassesy, tuesy. Le génocide c’est eux qui l’ont vécu. Cette guerre est moche oui. Les habitants de Gaza sont coincés sur un petit bout de terre. Israël qui les bombarde, les Etats arabes autour qui n’en veulent pas, la mer en face. Même position pour Israël entourée d’ennemis et laer en face. C’est terrible et les chances de paix durable sont quasi nulles.
Puis on regarde la carte du monde. Des guerres meurtrierew dans de. Ombreux pays. Des despotes qui veulent prendre encore et encore des terres que l’on croyait protegeesy par des traités de respect des frontières. Et pour motif : le pouvoir et les richesses.
Je comprends votre accablement…
Désolée, JJJ, pour ces Y soupoudrés par le smartphone. Mon clavier est minuscule, je dois taper at côté…. Et les yeux sont moins fiables. Soyez indulgent. Mon ordi bat de l’aile. Heureuse d’avoir ce smartphone…
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