Un éclat de prose poétique pour la fiancée de l’Emir
L’expression “prose poétique” est devenue une telle tarte à la crème que, s’agissant des productions contemporaines, ce qu’on n’ose appeler les nouveautés, elle recouvre tout et n’importe quoi. Sans en appeler à Xavier Forneret ou Maurice de Guérin, ni au Baudelaire du Spleen de Paris, ni à même à la cinquième promenade rousseauiste du rêveur solitaire au bord du lac, elle est devenue si pratique pour anoblir l’ordinaire qu’on en viendrait à se demander si elle ne va pas bientôt être consacrée par quelque instance (para)universitaire au titre de genre littéraire à part entière. Nul n’est à l’abri. En attendant ce jour de gloire, on se délectera du dernier livre de Vénus Khoury-Ghata La Fiancée était à dos d’âne (160 pages, 16,50 euros, Mercure de France)
C’est l’histoire d’une fiancée juive, Yudah, fille du rabbin Haïm, vendue par son père à l’Emir Abdelkader ; car dans certaine tradition, en guise de dot, c’est l’époux qui paie le père de la mariée. Chacun y trouve son compte : l’Emir qui cherche une quatrième épouse, le rabbin qui entend faire bénéficier ainsi de la plus sûre des protections sa petite communauté régulièrement persécutée et massacrée à Mascara. Sortie de son village du désert à dos d’âne pour le rejoindre, la jeune vierge croit qu’elle va épouser l’homme le plus important du pays ; mais c’est un proscrit condamné au nomadisme politique qu’elle découvre. Façon de parler : elle n’a pas même l’occasion de lui parler. Le rêve d’un grand destin s’effondre. Car ce remarquable guerrier à la tête de la résistance contre le corps expéditionnaire français qui entend coloniser l’Algérie, n’est autre que le mythique Abd el-Kader ben Muhieddine (Mascara 1808- Damas 1883) .
Quinze ans qu’il lutte contre colonialisme français. Jusqu’à la reddition et l’exil. Les Français, qui le tiennent pour un homme d’honneur par sa manière de concevoir la bataille, l’estiment et le respectent. Les Européens l’appellent même « l’ami des Français », et les Français, le général Bugeaud comme le duc d’Aumale, « notre meilleur ennemi ». Il est assigné à résidence au château de Pau, tandis que ses milliers de partisans sont envoyés à Sainte-Margerite, l’une des îles de Lérins, qui sent la mort. La promise suit le pérégrin, ne parvient toujours pas à le voir, mais elle est emportée par sa smala, véritable capitale mobile faite de tentes, de guerriers et de familles ; elle va de lieu en lieu, ballotée par des évènements qui la dépassent tant leur portée lui échappe. Yudah se retrouve métamorphosée en Judith par le soin des carmélites d’un monastère qui la recueillent. Mais si les musulmans la rejetaient, les religieuses la soupçonnent des pires turpitudes. Il n’y a guère qu’une troupe de comédiens itinérants pour la prendre pour ce qu’elle est, et l’accepter comme telle, à condition toutefois de métamorphoser la Judith en Esther, pour les besoins de leur pièce, leur manière à eux de l’enRaciner.
Tant pis pour ceux qui s’offusqueront de ce que la narratrice décrètent tous les Arabes bisexuels de tous temps (« C’est toléré par leur religion. Tout trou est bon à pénétrer, même celui d’une chèvre en l’absence d’une femme ») ou qu’ailleurs Dieu apparaisse en « gros propriétaire céleste ». Rien de choquant car rien de gratuit, rien de tapageur, rien de racoleur sous cette plume qui nous dédommage de la vulgarité ambiante. Le voyage nous mène jusqu’au château d’Amboise, loin du passage des caravaniers, chasseurs de gazelles et creuseurs de mines de sel. Là où Abd-el-Kader, le guerrier devenu écrivain, poète, soufi, philosophe (ses Ecrits spirituels ont été traduits par Michel Chodkiewicz, Seuil, 1989), rumine son humiliation. Il réfléchit, il écrit et cette ultime étape transfigure le guerrier en saint tant religieux, laïque que politique (bien plus tard, le FLN en fera le père de l’Etat algérien moderne). Mais on ne vous dira pas comment Yudah, elle, finira par mourir sur les barricades de 1848 lors du soulèvement contre la monarchie, tandis qu’à l’issue de quatre années de captivité, l’Emir est royalement traité par Napoléon III qui le reçoit en grandes pompes…
Il s’agit bien d’un roman mais animé de part en part d’un souffle, d’une sensibilité, d’une écriture, d’un rythme, d’une couleur, d’un son authentiquement poétiques ; on y retrouve même des inflexions récemment observées dans ses traductions de l’arabe de poètes tels qu’Adonis. C’est peu dire qu’elle sait les mots justes pour dire la musique du khamsin qui déplace les dunes, le silence du désert, l’esprit des Qurayzas qui voient plus loin que leur vie, les superstitions et rituels locaux. D’origine libanaise, l’auteur mêle naturellement le roman au conte, à la fable et au légendaire. Exempt de ce côté documentaire qui alourdit toute histoire qui doit à l’Histoire, sans rapport aucun avec le genre bien éprouvé du roman historique, son récit est ailé au point d’effleurer ce nirvana auquel rêve tout romancier quelle que soit la matière de son récit : l’inaccessible légèreté. C’est d’autant plus remarquable que son histoire est si riche en rebondissements et en ouvertures qu’il y avait là de quoi nourrir un épais roman ; mais c’est justement la poétesse en elle qui l’a poussée à l’épure, au dépouillement de la langue.
(« Etude pour la noce juive au Maroc » aquarelle d’Eugène Delacroix, Collection particulière -à noter que dans son Delacroix. Un voyage initiatique (Non Lieu, 2006), Maurice Arama précise : « Le peintre avait associé des études faites au Maroc et à Oran à une petite moisson algéroise pour exécuter la toile du Louvre » ; « Abd-el-Kader » photo Carjat.)
468 Réponses pour Un éclat de prose poétique pour la fiancée de l’Emir
Boh les îles de Lérins, ma foi…
Toi pas toucher au fils de mon Émir !
Abdel-Krim, né en 1882, a eu une épouse morte en 1848 ?
Bizarre, bizarre dit: 9 juin 2013 à 17 h 37 min
Abdel-Krim, né en 1882, a eu une épouse morte en 1848 ?
Le pire, c’est que les deux sont vrais : le coup d’Amboise et de Napoléon III, cela me rappelle terriblement quelque chose, je revois encore mon professeur d’histoire, un homme de bien ; flemme de chercher…
« C’est l’histoire d’une fiancée juive, Yudah, fille du rabbin Haïm, vendue par son père à l’Emir Abdelkader ; car dans certaine tradition, en guise de dot, c’est l’époux qui paie le père de la mariée. Chacun y trouve son compte »
Et Assouline aussi, avec un nouveau sujet en or ! Le nombre de commentaires va exploser ! C’est ce qui s’appelle fidéliser son coeur de lectorat.
(« C’est toléré par leur religion. Tout trou est bon à pénétrer, même celui d’une chèvre en l’absence d’une femme »
C’est ce qu’Assouline appelle échapper à la vulgarité ambiante.
Rien compris à cette superposition des deux histoires (19ème/ 20ème siècle).
C’est ce qui est souhaité par Shéhérazade Khoury-Ghata?
Quelque chose s’est passé cette après midi, et plus d’un personnage (Leiris) a disparu!
C’est ce qu’Assouline appelle échapper à la vulgarité ambiante.J.B.
C’est l’hôpital qui se fout de la charité!
( Tu devrais être content Braune,cette phrase, c’est du « toi » tout scratché!)
Cette belle fille de la tribu des Qurayzas est partie d’Algérie. Il se peut qu’elle ait fait un détour par le Maroc.
J’aime beaucoup ce détour intemporel. Et ça c’est très amusant.
Il y a confusion entre Abdel Kader et Abdel Krim, lequel était marocain et s’est opposé à la France et à l’Espagne pendant la guerre du Rif. C’est pourtant facile de les distinguer: le premier était franc-maçon, contrairement au second…
Mille excuses pour ce double pataquès : d’une part le billet du jour, avec titre et photos, s’est superposé avec un autre article, plus ancien, en réserve, sur Abd-el-Krim le marocain ; d’autre part, le serveur a planté de 18h à 20h, probablement effrayé par ce micmac. J’ai séparé les belligérants et tout est rentré dans l’ordre. Cela dit, Olivier,on ne peut pas dire qu’Abdel Kader se distingue par sa qualité de franc-maçon : initié à la loge cairote « Les pyramides » en 1864, il a quitté le GOF l’année suivante…
« Exempt de ce côté documentaire qui alourdit toute histoire qui doit à l’Histoire, sans rapport aucun avec le genre bien éprouvé du roman historique, son récit est ailé au point d’effleurer ce nirvana auquel rêve tout romancier quelle que soit la matière de son récit : l’inaccessible légèreté. »
N’empêche, le court extrait de ce roman disponible sur la toile, on trouve même la constitution de la dot,-très poétique, John Brown, faut pas croire-, pousse la curiosité.
http://www.cairn.info/revue-archives-juives-2005-2-page-7.htm
Ce roman plaira peut-être à ceux/celles qui ont aimé Angélique.
le malentendu etant dissipé et judith yuda ayant eté rendue à son epoux veritable ,le premier et glorieux combattant de l’independance algerienne, l’illustration du billet par ce croquis marocain colle moins bien avec l’episode raconté
La Méditerranée,
un problème de propreté ??? ?? ?.
A DHH 23.04, Pas vraiment, c’est bien pour cela que j’ai rajouté une précision dans la légende de l’aquarelle… Sans compter que les différences n’étaient pas si considérables de part et d’autre de la frontière
…
…la morale de cette histoire,…
…
…si tout le monde reste cher soi,…
…le bon Dieu y pourrait se l’écraser avec le diable,…etc,…à la ferme du bonheur avec les derrick’s de pétrole à Dallas,…etc,…
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…Alger la N.Y.,…du désert,…
…j’ai une carte postale d’Alger des années 1920 environ,…un peu la côte d’azur,…magnifiques résidences estivales,…etc,…
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…çà devrait être un paradis d’oasis,…un club Med,…toute l’année,…enfin,…va comprendre l’histoire,…etc,…
…
…
…n’oublions pas,…qu’avant les arabes,…
…la partie du nord-Afrique,…était occupée par les hordes Vandales,…la suite,…des Wisigoth implantées en Espagne,…etc,…
…
Lu de Vénus K-G, par hasard il y a quelques années, son « Les Fiancés du Cap-Ténès, chez Lattès ». Aucun souvenir sinon un vague ennui… Par contre, la « Lettre aux français » d’Abd El-Kader me fit forte impression, elle ! Pour l’instant, « Une femme aimée » de ce cher Andreï Makine excite ma curiosité sur Catherine II de Russie, la grande allemande.
Mourad Du Bellay dit: 10 juin 2013 à 6 h 20 min
On peut trouver sur la toile une lettre- un extraits de l’une des- de l’Emir à Louis-Philippe.
En 1839, leurs relations étaient les suivantes :
« (…)Oui Sultan de France, tes agents exclusivement militaires, ne veulent que combats et conquêtes ; ce système n’est pas le tien, j’en suis sûr. Tu n’es point venu sur la terre d’Afrique pour en exterminer les habitants, ni pour les chasser de leur patrie. Tu as voulu leur apporter les bienfaits de la civilisation. Tu n’es point venu asservir des esclaves, mais bien les faire jouir de cette liberté, qui est l’apanage de ta nation, de cette liberté dont tu as doté tant de peuples et qui est une des bases des plus solides de ton gouvernement.
Eh bien ! la conduite de tes généraux est tellement contraire à ces sentiments (qui sont les tiens, j’aime à le penser), que les Arabes sont persuadés que la France a l’intention de les asservir et de les chasser de leur pays. Aussi, vois-je grandir chez eux et contre vous, une haine qui sera plus forte que ma volonté et mettra un obstacle insurmontable à l’éxécution de nos projets mutuels de civilisation.
Je te prie, au nom de Dieu qui nous a tous créés, cherche à mieux connaître ce jeune musulman que l’Etre suprême a placé malgré lui à la tête d’Arabes simples et ignorants et qu’on te dépeint comme un ennemi fanatique et ambitieux. Fais-lui savoir quelles sont tes intentions, que surtout tes propres paroles arrivent à lui et sa conduite te prouvera qu’il était mal apprécié.
Que Dieu continue à t’accorder les lumières nécessaires pour gouverner sagement tes peuples. »
Cette lettre est écrite en langue française par Léon ROCHES – devenu musulman – arabisé pour le bien de l’histoire et qui a pris le nom de : El-hadj Omar – sous la dictée de l’émir Abdelkader dans son camp de Bou-Khorchefa le 15 avril 1839.
La poésie de V. Khoury-Ghata est très sentimentale; ce n’est peut-être pas le mot qui convient, mais c’est la réception que j’en ai.
Ce qui est disponible sur la toile de son roman « la fiancée était à dos d’âne » me fait penser à ce poème de K. Gibran. Je ne sais si la traduction est de V. Khoury-Ghata.
« Ces humains qui viennent de l’éternité et y retournent avant d’avoir goûté la vraie vie ne peuvent pas comprendre la souffrance de la femme lorsqu’elle est partagée entre un homme qu’elle aime de par la volonté céleste et un homme auquel elle est liée par la loi terrestre. Cette tragédie est écrite avec le sang et les larmes de la femme, si l’homme la lit, il en rit parce qu’il ne la comprend pas et, quand bien même il la comprend, il devient grossier et brutal envers la femme qu’il accable de sa colère et lui profère malédiction et des injures. »
« C’est une pénible histoire que celle de ces nuits noires où la femme lie son corps à la couche d’un homme qu’elle ne connaissait pas avant qu’il ne soit son mari, avant qu’elle ne sache ce que veut dire le mariage, et qui sent son âme s’envoler vers un autre qu’elle aime avec tout ce que l’âme contient d’amour et tout ce que l’amour recelé de pureté et de beauté… » Khalil Gibran
La lecture de « Lettre aux français » est indispensable, on en retire un immense profit et un regard sur l’Emir, tout à fait neuf.
Pour ce que j’ai lu de Vénus K-G, je partage le point de vue de Mourad DB. Je reste dehors : trop cucul la praline à mon goût !
« cul cul la praline », c’est un peu ça.
Mais fallait y aller voir; quand même, un prix Goncourt de la poèsie.
« quand même, un prix Goncourt de la poèsie. »
Étonnante la » carrière » poétique de Vénus!
D’abord Miss Beauté, puis son écriture chapeautée de quatre importants prix de poésie, l’ officialité littéraire dans toute sa gloire.
Les jurés n’ont jamais été insensibles…!
( Même Michel Deguy a publié certains de ses textes dans sa très intellectuelle revue Po&sie!)
Les monts à succès de Vénus ne furent jamais un Golgotha…
Ma foi ! Pourquoi les jurés ne seraient pas eux aussi soumis au rut essentiel, primaires chiens kabyles, amateurs de viande poétique bien roulée, lubriques juges du bon goût versifiant … ?
Pierre Assouline, le Bug continue. Il m’a fallu déployer des ruses de sioux pour arriver au billet du jour.
« Parvenue vierge » au mariage..(si,si elle nous le précise comme fait important dans l’entretien radiophonique sur son site),
un éclat de prose brilla à son alliance avec la poésie?
J’ai mis du temps a retrouver le site ici. Apparemment, c’est un probleme de service d’adresses (DNS), or —et j’ai tardé à m’en rendre compte— les adresses IP semblent conservées en cache. Donc tant que l’on fait ‘recharger la page’ on tombe sur l’adresse précédente encore fautive. Ça a marché chez moi en vidant le cache et refaisant une recherche avec Google sur le nom de la RdL pour cliquer le bon lien.
Sur l’Emir Abd el Kader : http://www.univ-paris13.fr/benjaminstora/articlesrecents/251-lemir-abd-el-kader-guerrier-lucide-savant-melancolique.
@ Squid ordine
Merci pour ce diagnostic et ce traitement qui intéresseront tous ceux qui ont déjà retrouvé le chemin de la RdL.
Tout fonctionne au poil. C’est bien la peine pour tomber sur ces histoires tribales. Parlez-nous de l’empire romain et des raisons de sa décadence.
« Tout fonctionne au poil. »
Et épilé de près…
Vous n’aimez pas la prose poétique liftée et ipodée, Phil ?
Les romains d’avant la décadence étaient tous glabres.
« n’oublions pas,…qu’avant les arabes,…
…la partie du nord-Afrique,…était occupée par les hordes Vandales »
les ¨héniciens et surtout les Romains y avaient précédé les Vandales – ces derniers étaient peu nombreux, et ont fondé le royaume de Carthage- puis les Byzantins ont débarqué… et ainsi de suite
10 h 07 min
Les romains d’avant la décadence étaient tous glabres.
je sais ^pas j’i été pas
Phil, quand la vertu se disperse, qu’on hésite à massacrer les Barbares, que l’esclavage (bien pratique) devient mal vu, qu’on ne colonise plus, alors l’expansion de l’empire se fige et les peuples les plus rudes, sous l’influence des penseurs, se posent des questions.
Et quand on se pose des questions, on devient humaniste : c’est le début de la fin…!
Portrait typique du Romain, nicoconsultant
http://blog.apahau.org/wp-content/uploads/2012/02/Jules-César-Arles.jpg
Voua avez entendu jacques, ce matin, le staff France Inter,aux frais du contribuable, était à Istamboul pour être au cœur de la révolte.
Radio courage nationale socialiste…
Je n’écoute jamais la radio, danaïdes…, et pas de télé dans la journée !
pauvre toutou jc trop comique toujours à la recherche sniff sniff à longueur de journée de justifications pour ses élans facistes ! il va finir par en crever d’épuisement
Et l’entretien agressif de carpette Clark ( sur l’antenne radio du pouvoir en place) envers le récent candidat d’Écologie les verts à la mairie de Paris.
Jacques Barozzi, le très parisien, qu’ en pensez-vous?
« Parlez-nous de l’empire romain et des raisons de sa décadence. »
Romain a perdu de son empire sur lui-même, la raison de sa décadence est là : il est con depuis tout petit et nourrit sans fin ses obsessions …
romain, couché, en italiques!
Voilà que maintenant il faut ruser pour arriver au billet du jours…
Le bug (pas le boug) persiste.
le pq, triste et décrépit, est en train de s’étouffer gavé de ses déjections, une son poing américain tournoie dans le vide
@passou
vous avez raison ;il y avait un peu de mauvaise foi dans mon post qui opposait comme deux mondes differents le monde marocain et le monde algerien de l’epoque de la conquête.
Effectivement au temps d’Abdelkader le monde marocain de la » noce juive à Tanger » relève du même univers culturel que le monde algérien de « femmes d’Alger » .
Dans les deux cas ces tableaux de Delacroix concernent la société juive d’alors ;les maisons juives étaient en effet les seules dans lesquelles un étranger pouvait pénétrer et rencontrer des femmes ,ce qui était exclu en milieu arabe ,ou les femmes ne paraissent pas aux yeux des mâles étrangers.
C’est donc à partir de l’observation des familles juives qui l’ont accueilli au cours de son voyage que Delacroix a pu croquer puis peindre la vie domestique indigène dans l’Algerie ou le Maroc de son temps.
C’est notamment à son interprète juif Abraham Benchimol , qui l’a chaperonné, qu’il doit d’avoir pu assister à cette noce à Tanger dont il a tiré l’aquarelle qui chapeaute le billet et dix ans plus tard son célébrissime tableau .
Cet Abraham Benchimol et sa famille sont très présents dans le journal de Delacroix qui y parle notamment de l’avancement du portrait qu’il a en cours de sa fille Preciada ,cette même Preciada qu’il a choisi de faire figurer parmi les participants de la noce dans son grand tableau .
Jean Daniel dans ses mémoires raconte une visite chez les descendants de l’interprète, au cours de laquelle on lui a montré des dessins de Delacroix que le maître aurait laissés à la famille à l’issue de son séjour ;Jean Daniel émet des doutes sur leur authenticité ,mais on peut aussi considérer, eu égard à l’importance qu’a eue pour Delacroix cette rencontre avec son interprète , que leur attribution au peintre n’est pas invraisemblable
Sur ces sujets enturbannés, tout a été fort bien dit dans « Les désenchantées » de Loti.
Et comme l’auteur aurait voté pour le mariage pour tous, sa prose devrait être recommandée partout aujourd’hui, y compris dans les petites classes. Barrès aura plus de mal à se faire rééditer.
Que les adversaires du Porquerollais se rassurent, se réjouissent, se détendent : il est mort ! Définitivement mort et enterré.
Pauvrement, je continue la lutte, après la tragédie qui vient de frapper les siens. Son épouse, polytechnicienne solide tient le coup et gère ce malheur, entourée de ses fils.
Pour la petite histoire, sachez qu’il avait été enlevé par un groupe extrémiste de jeunes étudiantes scandinaves : les « Louves Lubriques Antifascistes de Bergen » qui l’ont lutiné jusqu’à la mort … Il a lutté courageusement, récitant des passages entiers de poèmes de Vénus Khoury-Gatha, Sapho, L’Arétin, Paul Claudel, Yourcenar, Houellebecq, pendant que ces furies jouissaient de son vigoureux malheur…
R.I.P. camarade JC !
Et sur la bisexualité des chèvres, il en disait quoi Loti, Phil ?
une enfilade de lieux communs, baroz..
Continuons la lutte, camarades…! …. dit: 10 juin 2013 à 11 h 10 min
Pour nous tu resteras toujours JC, JC, comme H.R. reste H.R.
Quant aux Louves Lubriques ne les fantasmes pas trop, avec leurs carrures de deuxième ligne je me demande si tu n’as pas encore fauté du côté du Charles de Gaulle.
Tout trou est bon à pénétrer, même celui d’une chèvre en l’absence d’une femme
ben mon colon..
animé de part en part d’un souffle, d’une sensibilité, d’une écriture, d’un rythme, d’une couleur, d’un son authentiquement poétiques
..honni soit !
le boniment..la chèvre..les chromos de delacroix..et jcvd dans le role d’abdelkader ?
haa loti..ça m’étonne pas qu’il te plaise phil..t’as vu sa maison?
comme celle de Lyautey, bougreau..en plus sexy, of course.
Lyautey, encore fort apprécié de nos amis du Maghreb (ceux qui savent).
J’ai rien compris à ce mélange Abd-el-Kader / Abd-el-Krim. C’est de la critique expérimentale ou quoi ? Je sais bien qu’à mon âge j’ai souvent un train de retard. Est-ce le cas ? Si ce l’est, qu’on me le dise car j’angoisse.
Ça a marché chez moi en vidant le cache et refaisant une recherche avec Google sur le nom de la RdL pour cliquer le bon lien. (rédigé par Quid Ordine)
C’est quoi, vider un cache ?
» le serveur a planté de 18h à 20h, probablement effrayé par ce micmac. »
A 12h30 ce jour, il continue de planter ferme.Si je clique la référence RdL de Google, je vois s’afficher un site inconnu de moi, dénommé « mediatemple ». Après diverses manigances sur ce site, je vois s’afficher un avis de Google me parlant d’un certificat non reconnu et me prévenant que j’ai peut-être affaire à un pirate masqué. Je vois bien en effet Assouline en clone de Johnny Depp. Si Quid Ordine peut nous expliquer comment on vide le cache, ce serait utile et sympa.
…
…@ romain,…10 h 39,…chronologie Oui,…
…
…nord-Afrique,…les hordes au rouleau compresseur,…à la dent longue,…
…
…crétois, égyptiens, grec,au début en 2.000 ans av.J.C,…au temps de Troie et Cnossos,…
…phéniciens ensuite pour former Carthage,…et le commerce en Méditerranée,…
…enfin, les romains ( république )avec leurs victoire sur Hannibal,…
…chute du régime impériale des romains des castes sophiste de Constantin au Christ,…
…et auto-division de l’empire,…
…et ensuite, les hordes barbares vandales,…par l’Espagne ( Ibérique ),…détroit de Gibraltar,…
…légère reconquête par les byzantins encore sous le joug de l’église et suite ( orthodoxe ),…
…enfin,…l’Egypte aux hordes mongoles et arabes unis,…
…et le nord-Afrique aux arabes,…sur les vandales,…
…un peu la mixture,…des arabes-aryens de pure souche,…il manque Astérix et Obélix,…Vercingétorix,…et Clitorix de la Licornix,…
…le compte est bon,…
…malheur aux vaincus sous les charmes des vices et l’oisiveté des comptes Offshore,…
…et recyclage des économie parallèles de connivences d’état à dégrossir les peuples,…
…
…etc,…Ali-Baba de Saintes à poils de chameaux des rédemptions à deux balles,…immigrées,…etc,…
…
…et maintenant,…faite la civilisation,…etc,…Ah,…Ah,…
…
Jean marron, si vous avez Mozilla comme navigateur videz tout l’historique (sûrement idem avec exploreur)
videz l’historique..et quoi encore… après, comment s’étonner du mariagepourtous
le cache, john braoune, c’est le mouchard qui garde en mémoire vos visites de sites fessboucs pendant que vous croyez effacez l’historique. pour vous faire voter le mariagepourtous à l’insu de votre plein gré. fortiche la siaïllet.
> comment on vide le cache
En effet, dans Chrome aussi on peut passer par : Historique / Afficher tout l’historique / Effacer les données de navigation
et cocher « vider le cache ». On peut cocher les 4 premières options, attention aux suivantes si on veut garder les identifiants / passwords etc.
> C’est quoi, vider le cache ?
Ce sont les mots inscrits à côté du bouton que j’ai coché quand ça a marché.
John Brown, vous vouliez le contenu – non de ce qui a disparu de l’écran, hier soir,et ceux/celles qui ont vu, verront! un conseil, affutez vos armes, l’adversaire ittéraire, monument parisien connu à Paris seulement, et je n’en dirai pas plus, peut être redoutable- donc le contenu de la dot:
un peigne de corne,et deux ou trois autres bricoles.
Venus Beauté à 9h01, je comprends mieux.
Mais je vais quand même noter ce livre » la fiancée à dos d’âne » sur la liste de ceux à offrir.
Je pense à une personne ou deux qui raffolent de tout se qui s’apparente à « l’inaccessible légèreté », comme N. Rheims par exemple.
J’y pense aussi, dans votre Salon, ce serait bien de promouvoir le Rimmel d’Eugène, passque dans le Kôhl, y’a plein d’plomb.
C’est quoi, vider un cache ?
dis donc jean marron quand on est maître des gogs comme toi y faut un minimum de connoissance techeniques..que sinon c’est vite la crue dans ton chalet..der schoene blauen donau
videz l’historique
Mais non Phil votre grand âge n’était pas visé et comme TKT s’enorgueillit de poster sur la rdl depuis au minimum quinze ans (sans compter les années Singapour) vous ne riqquez rien.
il fallait lire: le Khôl, ou Kohol.
A bas Barrabas, revive J-C!
faut vider l’historique, bouffer les cookies, écraser les proxies. arriver à poil au custom control pour le coup de rayon dans les burnes. pas oublier de mettre des photos de sa grand-mère sur fessbouc.
le bandeau publicitaire: »Flaubert tel que vous ne l’avez jamais lu est un pur mensonge ».lisez plutot flaubert, sa correspondance et ses textes de jeunesse (ou de vieillesse) c’est autre chose que ce flaubert winckiké bien peigné et arasé!
Enthousiasmé par le bel hommage de Nathalie Rheims, « BH Lévy le Magnifique »
Bernard l’Africain aurait su trouver les mots justes avec le grand émir.
> C’est quoi, vider un cache ?
Un cache est une zone de mémoire tampon de taille limitée permettant d’accéder rapidement à une partie (image) des données (idéal). Il peut en exister de plusieurs niveaux dans une architecture autoréférentielle duale de la fonctionnalité recursive.
Le problème de la conservation de la cohérence des caches avec les données source est majeur et a suscité une littérature dense.
Vider le cache est un moyen efficace et brutal d’en forcer la mise-à-jour pour en rétablir la cohérence avec les données.
Un finaliste déciderait sans doute que le problème d’adresse ayant révélé, sinon un bug du moins une unexpected feature dans plusieurs navigateurs, il s’agissait là de sa finalité sinon de son projet.
Paul Edel, tout à fait de votre avis. Le discours flaubertien, correspondance, oeuvres de jeunesse etc. est tellement fort, il est tellement plus puissant que la civilisation sur laquelle il a poussé, qu’il interdit littéralement toute tentative biographique. Lotman s’est magnifiquement planté avant Winock. Mais il y a tout de même quelques livres à lire, En Haine du Roman de Marthe Robert, par exemple.
« Le discours flaubertien, correspondance, oeuvres de jeunesse etc. est tellement fort, il est tellement plus puissant que la civilisation sur laquelle il a poussé, qu’il interdit littéralement toute tentative biographique. (rédigé par Chaloux)
L’étude semi-biographique de Pierre-Marc de Biasi (« Gustave Flaubert, une manière spéciale de vivre ») me paraît, dans le genre, une tentative d’une qualité plus qu’honorable, en dépit de quelques hypothèses un peu hasardeuses.
Biasi a fait bien mieux, notamment dans le recueil Flaubert à l’Oeuvre.
Toujours aux prises avec le site « mediatemple » qui continue de s’afficher obstinément au lieu de la RdL, j’ai tapé sur Google « Assouline plan cul » . Eh bien ça marche ! J’ai pu constater illico l’étonnante fréquence des mots « plan » et « cul » dans les billets d’Assouline, et ce double sésame m’a permis d’accéder au site sans difficulté. Qu’on se le dise !
Quand Flaubert à l’Oeuvre est paru j’espérais le grand Flaubert Génétique que les vrais lecteurs de Flaubert ( et les lecteurs de Biasi) attendent. Attendons encore…
En vidant l’historique de mon ordinateur ça a marché.
l’aigreur edelienne est symptomatique du personnage… Flaubert, Stendhal, Balzac : c’est lui et personne d’autre… ah mais !
Sur Google Chrome, cliquer sur « Outils », puis sur « effacer les données de navigation », puis cocher « effacer les données de navigation » et « vider le cache », puis cliquer. Adieu Mediatemple.
« l’aigreur edelienne est symptomatique du personnage… » (rédigé par sigismond)
Popaul est aigre parce qu’il est vieux dans sa tête. Sans compter les signes d’alzimémère comme l’ortograf en déroute, la prédilection pour les peintres pompiers etc.
Sigismond l’insulteur, c’est juste que Paul Edel sait lire et pas toi… Une toute petite différence (de ton point de vue).
il est tellement plus puissant que la civilisation sur laquelle il a poussé
la volvo avait pas été inventé encore..mais quand même
« vider le cache »
moi je fais comme sergio « format c: » et finito les conneries
Lyautey
baroz dit qu’à la prochaine on sra sauvé par un maréchal en chef homo qui saluera la main aux couilles..vive la france
« il est tellement plus puissant que la civilisation sur laquelle il a poussé »
C’est vrai qu’une petite connerie à la place du pousse-café c’est revigorante… puis, il y a le plaisir donné par cette certitude que l’on est sur terre, entre humains…
« Tout trou est bon à pénétrer, même celui d’une chèvre en l’absence d’une femme » sera son cri de guerre..les ennemis sentiront pus leur guibole
« on épouse, polytechnicienne solide tient le coup et gère ce malheur, entourée de ses fils. »
à jc de pq l’idiot varois: d’abord c’était pour avoir des papiers (la gonzesesse a manipulé le premier crétin venu); ensuite c’est pas des fils mais des filles et elles sont pas de toi
Toto, c’est une des grandes problématiques de Flaubert. Sais-tu qu’il y a autre chose que Toto? Avant Toto, autour de Toto. Après Toto.
Non, Toto, évidemment tu ne sais pas. Toi, c’est « pousse-café »… Pousse pas trop quand même.
» Sigismond l’insulteur, c’est juste que Paul Edel sait lire et pas toi… » (rédigé par Chaloux)
S’il savait écrire, en plus, ce serait parfait.
« Tout trou est bon à pénétrer, même celui d’une chèvre en l’absence d’une femme »
Eh mais, c’est que, quelquefois, la faim, l’occasion, l’herbe tendre, et, je pense, quelque diable aussi me poussant, je ne dis pas que…
Le chatloulou est retombé en maternelle… il me semblait bien qu’un gars qui se cache derrière le tablier de sa maman ne pouvait avoir qu’une culture de surface…
Je ne réponds plus. Toto va encore s’imaginer qu’il a de l’esprit. Pour le reste, je t’ai déjà répondu il y a des années. Pauvre con.
C’est bien loulou, reste caché derrière le tablier de ta maman, que c’est tout ce que tu peux faire.
La bio de Winock sur Flaubert, c’est du trois kilos au bas mot. Moitié de celle de Gide par Lestringan. Chez Taillandier, à chaque siècle le poids divisé en deux. Cela dit, le dos reste intact à la lecture, qualité appréciable pour les lecteurs criseux sur la qualité papier qui tend à se torchonner sec de nos jours.
Renato, tu n’es qu’un pauvre petit refoulé, agressif, prétentieux et jaloux, la violence de tes commentaires à l’égard de Paul Edel le prouve. Donc, raconte tout ce que tu veux, tes minuscules commentaires ne concernent, n’offensent et ne définissent que toi. A la loupe.
Chaloux, tu ne pèse pas plus que tes opinions, c’est-à-dire rien. Pour ce qui est de ma relation de blog avec Popol, ne t’en mêle pas, tu n’as pas assez de cartes entre tes mains pour comprendre ce dont on cause…
Chaloux dit: 10 juin 2013 à 14 h 13 min
Quand Flaubert à l’Oeuvre est paru j’espérais le grand Flaubert Génétique que les vrais lecteurs de Flaubert ( et les lecteurs de Biasi) attendent. Attendons encore
Marrant le Chachal, con mais marrant.
Ok, un parfait vad’lagueule, vaniteux au-delà du possible mais marrant dans sa mégalo.
Toto, j’ai suffisamment de cartes en main pour comprendre que Paul Edel a parfaitement détecté quel genre de personnage tu es, et j’en ai également, – quoique tu en penses, Ô immense renato auprès de qui chacun devrait se sentir minuscule, suffisamment pour l’avoir compris aussi.
Quant au connard qui répète toujours la même chose, son immense ignorance lui cache que Biasi est un grand généticien qui a beaucoup travaillé sur Flaubert et révélé par ses travaux un Flaubert inconnu. Ce que signifie ma note, imbécile heureux, c’est que je pensais que le livre en question serait la somme de ces travaux.
Ave ,république des vieillards prostatiques.
Tout ce que révèle ton discours, Toto, c’est que tu es un facho. L’immense renato et ses sous-hommes tout autour. On doit bien se marrer à Colmar. Je me suis laissé dire qu’on t’avait surnommé « le Duce ».
Ah ! loulou ! tu ne vis que dans l’illusion…
renato dit: 10 juin 2013 à 16 h 37 min
Ah ! loulou ! tu ne vis que dans l’illusion…
Chaloux dit: 10 juin 2013 à 16 h 36 min
À mon âge les illusions ce ne sont qu’un vague souvenir.
Pour ce qui est du miroir tu devrais en faire un meilleur usage, le matin…
renato, la seule vraie question qui se pose à votre sujet (sujet médiocre, carrière médiocre, retraite médiocre, culture médiocre), c’est votre folie des grandeurs.
On se demande comment on peut à la fois devenir aussi inoxydablement orgueilleux, prétentieux et plastronneur. Vous devriez écrire vos mémoires.
« … folie des grandeurs… » ?!
C’est assez amusant, seulement écrire ses mémoires c’et un travail, et lavorare stanca.
renato dit: 10 juin 2013 à 16 h 45 min
Pour ce qui est du miroir tu devrais en faire un meilleur usage, le matin…
Ce b’est pas le tout de jouer les maîtres-chanteurs…Il faut chanter…
Popol et Chatloulou = deux Quislapète épicétou
renato dit: 10 juin 2013 à 16 h 51 min
… et lavorare stanca.
Faute de frappe : il voulait dire :
« Bavorare stanca ».
Chacun aura corrigé de lui-même.
@ Pour vider dit:10 juin 2013 à 13 h 17: “videz l’historique
Mais non Phil votre grand âge n’était pas visé et comme TKT s’enorgueillit de poster sur la rdl depuis au minimum quinze ans (sans compter les années Singapour) vous ne riqquez rien. »:
Je poste depuis 2005, nous sommes en 2013, donc 8 ans, pas 15 et puis, la RdL débuta je crois en 2004. Aucun orgueil à poster là, ou n’importe qui peut le faire, même des trolls. Quant à Singapore, ce fut une jolie période de ma vie, cela m’a permit aussi de visiter différents pays, de passer des week-ends là où les Européens ne vont qu’en vacances dans des endroits qu’ils croient exotiques: Malaisie, Java et Bali.
Le grand âge est relatif et individuel, certains sont gâteux à 50-60 ans, débiles toute une vie ou, frais comme le Prince Philippe, 91 ans aujourd’hui. Phil ne donne pas l’impression d’avoir atteint un grand âge, quant à HR, vraisemblablement plus de 80 ans, mais adroit avec ses doigts sur un clavier d’ordinateur. Langue Moisie n’est pas vieux, mais pense comme un homme des années 30. Vous remplacez les mots arabe et musulman, par israélite et hop, on se croirait dans le salon de la princesse Elsa Cantacuzène épouse de Hugo Bruckmann. Langue Moisie est un vrai raciste, comme dans le film Match-Point, par hasard il a fini par pencher du coté des Juifs, il aurait fait dans les années 30-45 un excellent homme d’extrême-droite. La cochonaille essayant de cacher le quart pastrami*…
Renato a à peu près mon âge, j’imagine que son charme était le même dans les années 70, s’il a ma résilience, question santé, il doit être moins vieux à 66 ans, qu’un D. à 51 ans…
*Saucisson sans viande de porc inventé par les Juifs de Brooklynn.
Votre pseudo ne disant rien sur vos autres pseudos, sauf que vous devez avoir peur de vieillir et que dans votre famille, les hommes sont déjà des vieillards passé 45 ans. Il me semble vous avoir déjà lu.
…Sigismond dans le rôle du pet.
Quelle déception pour qui ne regarde que les images et qui s’attendait à un grand cours sur l’orientalisme, un concours de sabre et de narguilé, les milles et une nuits moins mille seraient aussi acceptées mais non que du toto du con au mètre de l’insulte courante, vous vous surpassez!
à Dramatis personae : et tu l’as pris en plein dans l’nez
Sigismond, misérable chose… Figurant…(si on peut dire).
à Chatloulou : le connard te rend son salut !
Excuse-moi, lumbago, je ne peux pas me baisser.
tu pues toujours la haine, JC
Pour ce qui est des Arabes, ils firent partie des premiers chrétiens, bien avant que Mahomet se mette à son compte. Quant à déclarer que tous les Arabes musulmans sont bisexuels. La narratrice semble avoir eu de mauvaises aventures.
Eh mais, c’est que, quelquefois, la faim, l’occasion, l’herbe tendre, et, je pense, quelque diable aussi me poussant, je ne dis pas que…
et pourquoi pas des ondes de l’espace comme dédé tant que tu y es jean marron..à sang frais que tu le ferais
bérénice dit: 10 juin 2013 à 17 h 16 min
Mais Bérénice vous devez comprendre que tous ici nous sommes dans l’attente du premier commentaire d’Abdel suivi de la réplique immédiate et au combien virulente de LML.
A partir de là tout se décantera, la tension (palpable) retombera et Chaloux oubliera Flaubert.
La narratrice semble avoir eu de mauvaises aventures
ou pas.. qu’on te prèfère une chèvre par commodité..toi aussi tu en deviendrais aigri vontraube
en tout cas elle, elle a qu’avait prendre un beau chameau, allah s’en fout..enfin je veux dire qu’il est au balcon de toute façon
Puisqu’on te dit que JC est mort ! …. Tu vois des nains partout, Blanche-Neige ?!
si baroz était là il dirait que les représentations zoophiles avec des hommes sont beaucoup plus rare dans l’art oxidental..c’est tabou même
Sigismond dit: 10 juin 2013 à 17 h 24 min
tu pues toujours la haine, JC
Et toi tu fis ce que tu pues !
@ Bouguereau, je faisais référence à la bisexualité, pas aux chèvres. Cela me rappelle un film à sketch de Billy Wilder. Mon père, qui fut dans les tirailleurs marocains (magnifique uniforme pour draguer Au Bœuf sur le Toit) racontait, avoir vu un camarade indigène (du Maroc donc) honorer une brebis. Ce devait être plutôt par raison économique, mauvaise solde…
« comme le duc d’Aumale »
la position du tireur couché, aurait dit Manchette.
la tension (palpable) retombera
..tu veux rien que décevoir ta soeur
Bof Bouguereau, ce qui serait vexant c’est que l’on me préfère vos ustensiles en plastique…
Construisons la hutte, camarades…! …. dit
Puisqu’on te dit que JC est mort !
Chaloux a repris l’affaire.
Ne plaisantez-pas avec ça, TKT. Depuis le temps que Bouguereau se le fourre et se le refourre dans le troufignard, il a fallu le lui changer. Tout est en plastic maintenant, le pal et l’empalé.
Ah qu’il est doux l’oeil énamouré de la brebis voyant s’avancer son fier berger (sans limitation des zones géographiques)
honorer une brebis. Ce devait être plutôt par raison économique, mauvaise solde…
..c’est la promiscuité avec les animaux qui cherche son larron et sa larronne vontraube..c’est statistique
l’oeil de vache est une référence depuis le fard des égyptiennes..et a raison dailleurs..nous bêtement on parle d’oeil bovin.on y connait rien
« dans l’attente du premier commentaire d’Abdel suivi de la réplique immédiate et au combien virulente de LML. »
il faut bien dépasser les 800 commentaires
Pour les mouches il y a exception, je supposes…
ce qui serait vexant c’est que l’on me préfère vos ustensiles en plastique…
qu’on te préfère un braque allemand passe..sacré vontraube
8 ans ! Comme le temps passe.
Dire que nous vous avons connu jeune Thierry.
renato dit: 10 juin 2013 à 17 h 53 min
Pour les mouches il y a exception, je supposes…
Le meilleur de Toto, le plus authentique, le plus nature, quand il devient suppositoire.
… Suppositoire avec une mouche. C’est la mouche qui fait tout…
KunstStoff.
Kunststoff
Kunst Stoff
Kunsthof, vous voulez dire cour artistique ?
Je reviens de Stockholm, cela ferait Konsthov ?
Il y a 8 ans vous aviez comme moi, 8 ans de moins, mais question bêtise crasse, vous serez toujours en avance.
Toujours touchants les gamins de la maternelle…
il faut bien dépasser les 800 commentaires
Surtout qu’avec cette histoire de bug la tâche s’annonce rude.
Mimi semble bloqué dans l’ascenseur de l’historique et dégourdi comme il est si les 5èmeA6B2 ne lui viennent pas en aide nous ne le verrons pas avant la prochaine grève du RER.
ce qui est émouvant dans les commentaires sur ce blog : tout l’amour qui s’en dégage (à peine 10%), continuez mes frères
Bouguereau, vous allez finir comme Catherine II, accident de sling…
« référence à la bisexualité…un film à sketch de Billy Wilder »
Dans le « Morocco de Sternberg en 1930, Lady Marlene roule un patin (osé, pour l’époque) à la petite marchande d’éclats de (p)roses sous le regard intéressé de Coop’, qui songe dur comme fer à une extension du domaine de sa butte.
je comprends mieux pourquoi Monsieur Edel trépigne quand il ouvre ce blog avec ce fameux bandeau bandant
Il y a 8 ans vous aviez comme moi, 8 ans de moins,
P’tin Thierry ça c’est pensé
Et pendant que les injures volent bas, sans même le renfort de LML, le père Assouline là haut, trône dans son empyrée, sorte de principal de collège blasé d’un quartier sensible du 93.
Renato, je veux bien croire que Chaloux « ait une culture de surface », qu’il soit un petit joueur, peu importe. il y a quand même un point sur lequel il serait difficile de lui donner tort : cette immense intelligence dont vous êtes infatué, vous nous en donnerez la preuve quand?
« dans son empyrée »
Gloire à toi, John Brown, pour respecter ainsi le genre grammatical (masc., en l’espèce), et donc de prendre l’empyrée pour un homme.
renato, c’est un petit barbouilleur de province qui se prend pour Raphael.
Est-ce que quelqu’un a cru autre chose?
« … cette immense intelligence dont vous êtes infatué, vous nous en donnerez la preuve quand? »
Ça c’est une idée que vous vous êtes faite, je vous assure que je ne suis pas intelligent du tout… je suis même assez simple d’esprit…
« Empyrée. n.m. »
renato dit: 10 juin 2013 à 18 h 15 mi
» je vous assure que je ne suis pas intelligent du tout… je suis même assez simple d’esprit… »
Traduisons:
« Je suis con comme un sac ».
On progresse, on s’approche de la réalité.
C’est beau un Chaloux en plein trollisme de bac à sable.
Un ‘barbouilleur’ c’est un gars qui peint, donc vous faites erreur…
Ne croyez-pas ça, renato, je suis tout cela d’assez loin. Vous êtes pour moi un grand homme qui n’a pas eu la chance qu’il méritait. Et certainement un génie de l’allocation et tout genre, ce qui a dû vous ménager de bien grandes joies.
« Mimi semble bloqué dans l’ascenseur de l’historique »
dans l’ascenseur de l’Histoire…
La passion du pauvre Chaloux pour le rôle du troll est connue — d’un côté on compatit, de l’autre on supporte patiemment les importunes.
Génie de l’allocation et Marville de MJC…Tout à fait ça, à mon avis.
@ Monsieur Cinéma dit:10 juin 2013 à 18 h 05: Vous ne savez donc pas, à quel point le Berlin des années de la République de Weimar, était libéré de la morale petite-bourgeoise ? Vous signez monsieur cinéma et vous n’avez même pas comme référence le film « Cabaret » (qui est un regard sur Berlin avant 1933) et les films allemands de l’époque, vraisemblablement plus d’avant garde que Paris. Vous savez en 2013, la France est encore le pays le plus conservateur d’Europe, la guerre contre le mariage pour tous en est la bonne preuve.
Vos pseudos sont toujours d’une recherche et invention exemplaires, bref, je ne sais pas qui vous êtes, mais vous sentez la naphtaline moisie.
PS: Vous vouliez dire Lily Marlen ? » Lady » Marlen, c’est qui, une sœur Mitford ?
« Génie de l’allocation et Marville de MJC »
C’est quoi ça ? et en quelle langue ?
Pas la même que ça:
« je supposes… »
C’est une évidence.
Toujours plus incompréhensible ce garçon…
Comprenne pas qui pourra pas…
Sur environ 170 commentaires, seuls les 45 premiers concernent plus ou moins le sujet du billet, qui semble à peu près complètement oublié depuis le déjeuner. Même avec un si attractif prénom, Madame Khoury-Ghata n’est pas gâtée. Allons un effort tout de même, négligents RdLiens, si ce n’est pas le roman de l’année, c’est au moins le roman de l’été ! Au fait, comment s’appelait-elle déjà, la dame qui, au mois de juin de l’année dernière, tenait le rôle qu’a repris cette année notre Vénus ? Mais si, mais si, j’ai son nom sur le bout de la langue (comme dit Michael Douglas).
On me dit : « Génie de l’allocation et Marville de MJC ». Je suis en droit de ne pas comprendre. Donc : quelle allocation ? pourquoi Marville ? c’est quoi MJC ?
renato dit: 10 juin 2013 à 18 h 57 min
On me dit : « Génie de l’allocation et Marville de MJC ». Je suis en droit de ne pas comprendre.
dans ton cas, ce serait plutôt une perpétuelle contrainte.
PS: Vous vouliez dire Lily Marlen ? » Lady » Marlen, c’est qui, une sœur Mitford ?
TKT
Mais quelle burne ce vontraube.
Le monsieur de 18h05 ayant écrit « lady Marlene » tout le monde comprend sauf l’helvète qui passe encore une fois pour un con.
Je reviens de faire un tour sur le blog de Raphaël Sorin. On y prévient l’éventuel contributeur que les posts hors-sujet seront écartés. Le résultat : désert quasi total. Chacun sa politique.
Socrate dit
Joue avec ton sable, Chaloux, et laisse ce vieux monsieur tranquille..
19h02
Et voilà que Chaloux se prend pour Socrate.
Pauvre homme.
« Le résultat : désert quasi total. »
Absence de commentaire ne signifie pas absence de visites. Il faut voir ses statistiques.
@ Il nous manquait dit Dbile 10 juin 2013 à 19 h 03: J’avais compris Ducornaud, mais je n’ai jamais entendu Marlen Dietrich appelée Lady Marlen. Pourquoi appeler Lady une baronne allemande ? Son père était officier et était titré.
Le monsieur de 18:05 n’est pas un monsieur et encore moins un Monsieur. Cela doit être le fruit des amours entre D. et JC
Chaloux, LML, bouguereau : tous dans le même sac avec un coup de pied au cul
Toto se prend pour Toto, et danse, danse, danse…
L’est bien brave…
Barbarin dit: 10 juin 2013 à 19 h 18 min
Chaloux, LML, bouguereau : tous dans le même sac avec un coup de pied au cul
Tout est dans le titre.
renato, LML, Sigismond, : tous dans le même sac avec un coup de pied au cul.
Comme ça c’est mieux.
…Et Barbarin…
Rouvrons le sac !
« mais je n’ai jamais entendu Marlen Dietrich appelée Lady Marlen »
TKT
Tu t’enfonces mon Thierry, tu t’enfonces.
Marlène il faut écrire Marlène (ou Marlene si tu veux comme dab nous prouver ta grande culture anglo-saxonne)
Mais quelle burne.
Il nous manquait (encore que) dit: 10 juin 2013 à 19 h 29 min
« Mais quelle burne. »
Vipère sans queue à l’approche.
Et pendant ce temps LM se fait violer par des chèvres en chaleur.
La biquette, ça vaut plus rien.
Ah oui vontraube j’oubliais, la chanson, c’est Lili Marleen et non Lily Marlen.
Comme quoi mieux vaut parfois se taire.
Mais quelle burne.
« il dirait que les représentations zoophiles avec des hommes sont beaucoup plus rare dans l’art occidental..c’est tabou même »
Faux : il suffit de voir la production cinématographique en ces temps luxurieux, où l’on saute de belles viandes non-diplômées, magnifiquement préparées par des vétérinaires compétents !
Bis repetita dit: 10 juin 2013 à 19 h 34 min
Bonsoir Chaloux.
JJ’ai toujours un souvenir ému des Todd’s et des Lauboutin de TKT dit: 10 juin 2013 à 19 h 36 min
Mais quelle burne.
Syndrome de la Tourette.
Alors on trolle ! dit: 10 juin 2013 à 19 h 38 min
…à gigot.
c’est curieux chez les choristes ce besoin de faire des notes
C’est curieux chez les curistes ce besoin de faire des crottes.
Renato c’est la madeleine pourrie de Chaloux, il lui rappelle le Courbet, l’une de ses belles bévues.
Archives du blog n’a pas pu se faire sa chèvre.
Archives du blog dit: 10 juin 2013 à 19 h 53 min
Renato c’est une madeleine pourrie,
C’est renato Comerci?
Se faire une chèvre n’est pas si facile qu’on le croit.
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