de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Les murs parlent, prêtez l’oreille

Les murs parlent, prêtez l’oreille

Décidément, le génie des lieux me poursuit. A croire que c’est la saison des maisons, non pas hantées mais habitées dans l’acception spirituelle du terme, et que certains écrivains n’ont pas leur pareil pour faire parler les murs. Après la Villa Taylor de Marrakech et la Villa Kérylos de Beaulieu-sur-mer, voici La Maison andalouse (Al-Bayt-al-andalusi, traduit de l’arabe (Algérie) par Marcel Bois en collaboration avec l’auteur, 450 pages, 23,80 euros, Sindbad/Actes sud). Moins connue, elle n’en est pas moins attachante.

C’est une bâtisse d’Alger menacée par des promoteurs immobiliers qui veulent ériger une tour en lieu et place. Le dernier descendant de son inventeur se bat pour la maintenir envie. Peu importe qu’elle soit réelle ou imaginaire puisqu’elle permet avant tout à l’auteur Waciny Laredj (né à Tlemcen en 1954) de raconter des histoires à travers l’Histoire jusqu’à en devenir, elle-même, le personnage principal de cet écheveau de récits, d’aventures qui s’étalent sur cinq siècles, où des trafiquants de drogue du crû succèdent à des corsaires turcs et à l’administration coloniale française. Cette maison, ruine romaine et demeure andalouse, est riche et pleine de celles et ceux qui y ont vécu et qui ne sont plus là, Soltana Palacios la marrane, première dame de cette demeure, Lalla Nafissa, Ziryab… Elle a été le séjour de l’Empereur et le cabaret Beau Rivage.

On s’en doute, la casa est une métaphore de l’Algérie et, avance l’éditeur, probablement du monde arabe non sans préciser qu’il est ravagé par « le despotisme politique, le capitalisme sauvage et le fanatisme religieux ». Ca y est bien, mais affleurant ça et là, sans esprit de démonstration. N’allez pas croire qu’il s’agit d’un roman à thèse, d’un prétexte à idéologiser, du masque d’une dénonciation en règle. Il s’agit bien et avant tout d’une entreprise littéraire, où l’écriture prime de bout en bout, jusqu’à donner à certaines évocations des accents poétiques de toute beauté.

L’une des narratrices de cette épopée polyphonique nous entraine dans son enquête en bibliothèque et dans les archives, puis sur les lieux même, sans jamais se prendre pour une historienne. Juste pour raconter la maison avec ses histoires. Dans un récit très architecturé, Galileo, alias Sid Ahmed ben Khalil, dont on dit qu’il avait rencontré l’homme roux, Cervantès, est le personnage qui s’impose parmi une noria d’ancêtres surgis du cimetière marin de Miramar. Federico de Lucia, architecte espagnol d’origine morisque, arguant qu’il s’agissait de la maison de ses ancêtres, proposa de restaurer la maison à partir de ses anciens plans ; l’ambassade d’Espagne proposa le projet à sa tutelle madrilène qui l’accepta et diligenta une commission ; en vain, l’Algérie ne voulant pas donner l’impression que l’Espagne lui faisait l’aumône.

On y lit le « Coran mauresque » écrit en aljamiado, langue romane parlée autrefois par les musulmans d’Al-Andalus mais rédigée en alphabet arabe. On n’y perçoit pas d’attachement à la langue espagnole fut-elle métissée, ni à l’Espagne, jadis conquise, envahie, occupée, vécue, même si on ne sent guère de nostalgie chez les descendants de moriscos, musulmans andalous convertis au catholicisme au moment de la Reconquista par les rois catholiques aux alentours de 1500 et expulsés un siècle plus tarden dehors de l’évocation des califats de Cordoue ou Grenade et des beautés de l’Alhambra; mais il demeure chez certains en Algérie et au Maroc comme une tendresse pour l’Andalousie, la conscience d’un héritage culturel transmis essentiellement par une oralité vivante et fertile, surtout en Oranie, et plus encore du côté de Ghazaouet, anciennement Nemours, la ville la plus rapprochée d’Alméria. On sent dans les pages les plus vibrantes que l’enfance de l’auteur, descendant d’El Rojo, a baigné dans une langue arabe truffée de canasta, camisa, escuela, genté, al bogado…..

Rares sont les romans qui font entendre une musique qui s’accorde aussi pleinement à la musique jouée dans ses pages, la bande originale du livre que l’auteur réussit à faire passer dénuée de tout exotisme, pleine des échos des chanteuses Eliane Sarfati alias Line Monty, Fettoum de Blida, Soltana Daoud alias Reinette l’oranaise, Cheikha Zahia…

On n’accorde généralement guère d’importance aux lieux de l’écriture tels qu’ils sont révélés à la toute fin d’un livre. En quoi on a tort car ils sont plus éloquents que bien des quatrième de couverture. Celle-ci indique : Paris, Alger, Madrid, Alcala de Henares, et tout est dit.

(« Patio Gaditano » illustration de Juan Manuel Álvarez Cebrián)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

1111

commentaires

1 111 Réponses pour Les murs parlent, prêtez l’oreille

bouguereau dit: à

Très bonne conférence de Pierre-Yves Rougeyron « La France vassale »

jlai ascouté dédé..le diagnostic sur honfray est justusse..le reste c’est toujours pareil..un peu suisse..havec le lebel rouillé dans le placard a balaie..mais plaisant..plaisant..la france conçentante et vaçal..honnête charge

JAZZI dit: à

600, c’est un bon chiffre, D. ?

bouguereau dit: à

tu trainais où ma salope !

halors comme ça c’est rimbo qui fsait l’homme..

JAZZI dit: à

De la France vassale à la France collaborationniste, il n’y a qu’un pas, mon salop !

bouguereau dit: à

c’est marrant pasque je crois que c’est exactement ce que disait jean claude juncker y’a 6 mois..disant que la france était aux abonnés absents..pir y peut pas dmander un emploi fictif..il l’a déjà

JAZZI dit: à

Pas toujours si l’on en croit Arthur, le boug. Tiens, un autre extrait de mon feuilleton, « Les amants terribles !

« …Mathilde ignore encore que la relation tapageuse entre son mari et son « indélicat ami » est désormais légendaire dans le Paris bohème de l’époque, ainsi qu’en témoigne le Journal des Goncourt : « Aujourd’hui, Rollinat parlait de Rimbaud, l’amant de Verlaine, ce glorieux de l’abomination, de la dégoûtation, qui arrivait au café et, se couchant la tête sur le marbre d’une table, criait tout haut : « Je suis tué, je suis mort. X*** m’a enculé toute la nuit… je ne puis plus retenir ma matière fécale. » Précisant encore : « Daudet remémore le cynisme de la parole de Rimbaud, jetée tout haut en plein café et disant de Verlaine : « Qu’il se satisfasse sur moi, très bien ! Mais ne veut-il pas que j’exerce sur lui ? Non, non, il est vraiment trop sale et a la peau trop dégoûtante ! »

JAZZI dit: à

Mais qui est donc, monsieur X*** ?

bérénice dit: à

un ancien des Mines?

bérénice dit: à

Jazzi, je soumettais cette réponse en raison des banderoles de protestation de la société minière chargée d’explorer en Bretagne , notre président après son accord lorsqu’il était à Bercy ( voir aussi son accord pour exploitation des sables dans cette même région) a toutefois reçu une délégation chargée de représenter l’opposition des paysans du coin. Après sa campagne en faveur d’une écologie efficiente, on pourra sans doute escompter sur l’annulation de l’exploitation par cette société australienne qui de plus a recruté à la tête du projet un ingénieur qui jadis fit des siennes à tel point que pus rien ne pousse sur le périmètre exploré, celui-ci se défend en invoquant des méthodes plus abouties scientifiquement. La mémoire des cétacés.

bérénice dit: à

LA FRANCE N’EST PAS UN PAYS MINABLE, intitulé de la protestation , qu’elle le prouve par le respect de ses engagements nous procurerait une plus grande confiance en ce jeune élu assez prompt à faciliter le business un peu à la légère.

bérénice dit: à

Chaloux des mots pour vous qui ne sont pas bleus: sorti du registre de Frédéric Dard; ordure, raclure, enflure, je me suis épuisée des nuits entières à tenter de vous définir: sale type, malade mental, pauvre con.et vos astuces et déviances toujours en cours n’y pourront rien changer, plutôt en finir que de devoir supporter votre pourriture pour n’évoquer que la vôtre, les autres ne valant guère mieux que vous, qui se ressemble s’assemble, et bien dans ces conditions finissez avec toute cette population qui répond et satisfait à vos attentes, votre déliquescence putride, votre dépravation, votre malhonnête intellectuelle fondamentale qui a consisté à ruiner une simple famille y instillant tortures psychologiques, sadisme, vol et escroquerie, indifférence cruauté égoisme avidité au gains proxénétisme virtuel à fin d’enrichissement personnel confronté au vide juridique . Bref, taré comme vos amis qui persévèrent dans des histoires de mœurs peu enviables en raison du résultat obtenu si ce n’est une fois de plus s’afficher avec la bénediction d’autorités dans une compromission au dessus des lois en vigueur dans cet état dans une fange qui souille ou corrompt des esprits en formation et vulnérables et à ce jour irrécupérables. de grands artistes décadents qui n’hésiteront pas à nous donner des leçons sur la marche du monde. Inscription au panthéon des âmes mortes.

JAZZI dit: à

bérénice, de quelle famille et de quelle bande de malfrats s’agit-il ? Des noms !

bérénice dit: à

En un mot , chaloux, en l’abence de dommage et interet sur lesquels j’avoue ne pas trop compter, allez vous faire empaffer chez les grecs puisque vous aimez entre autres orientations sexuelles, une pitié que votre « affection » pour les nubiles, pré-nubiles . Désolée de ne pouvoir épargner votre descendance de ma piètre opinion de vous , l’amour et l’admiration vouées au père de toutes façons ne saurait souffrir de l’expérience d’une fille de rien , son opinion et son vécu ne comptent pour rien juste à entériner une nullité logiquement déduite du rejet et de la répudiation.

bérénice dit: à

Jazzi que du beau monde, complice et influent avec ça, de quoi dissimuler derrière les paravents toutes les bassesses du monde duquel ils sont natifs. Privilèges de classe. Hypocrisie , injustice permanente.

titus dit: à

Qu’est-ce qui arrive à Bérénice? Je ne comprends rien à cette rage, notamment contre Chaloux, dont je en vois aucun message qui puisse expliquer une telle explosion…Bérénice, toujours si polie, si maîtrisée.

Qu’on nous explique!

En plus, elle ne dort pas à en juger par les horaires de ses messages la nuit dernière…

bérénice dit: à

Mais mon intention ne va pas jusqu’à le discréditer à vos yeux qui d’ailleurs semble intégré dans cette société protégée. Je vous laisse à votre amitié qui s’alimente de références livresques partagées et témoignent du bon goût . Certains n’en demandent pas plus pour accorder leur crédit.

JAZZI dit: à

« que du beau monde »

Vous avez oublié les guillemets, bérénice. Qui dénonce, avoue…

bérénice dit: à

Jazzi, j’ai subi assez de déconvenues, de déceptions , de désespoir, d’attaques et d’intrigues malsaines, de soupçons pour justifier ne pas avoir besoin de devoir supporter et croire à la prétendue égalité en exercice dans ce pays. Condamner un jeune homme qui joue sa dernière carte pour tenter de s’en sortir a servi à couvrir quelques personnalités exposées et en danger étant donné mes origines, ma réputation et du statut qui en a découlé. Il fallait ne faire courir aucun risque à tous ces gens et ils s’en sont pris à ce que j’ai de plus cher avec l’aide et les conseils de quelques autres impliqués, notables et sommités , dans de sordides affaires. On ne sacrifie jamais que des innocents qu’on utilise comme couverture ou fusibles et les poubelles sont bien gardées. Je n’encaisse pas plus de les liaisons qui perdurent sur une période avoisinant une dizaine d’années. Il fallait bien trouver un naïf sans expérience de cette société qui se laisse empéguer et y laisse pour finir le seul projet qui l’aurait fait grandir , mûrir et progresser . mais les rivières sous terraines ne livrent que peu de clés, au tout début, il fut qualifier de raté puis quand je sus à quel drame était raccordé celui qui le jugea ainsi je me suis dit qu’il devait pouvoir être établi un rapport de cause à effet, pour une créature malchanceuse il fallait bien par jalousie qu’un qui ne serait pas défendable par son milieu paie pour ce que la nature a refusé à ce pauvre être mal fini, alors un échec pour un autre à qui il restait tout de même une chance d’évoluer. Résultat de la haine, de l’envie, de la jalousie maladive issue d’un traumatisme et d’une inénarrable volonté de nuire quand cela ne relèverait pas d’un mécanisme inconscient ; j’ajoute qu’avant cet échouage furent approchées, détournées et touchées de ses amies histoire de polluer les sources qu’il aimait. Vous n’avez pas idée de la pourriture de ces gens et du peu de sagesse et respect que pourtant leur culture devrait avoir réussi à leur procurer. Des gens qui se sentent tous les droits et ne respectent rien ni personne qui ne pourrait revendiquer la même appartenance à ce qu’ils estiment.

bérénice dit: à

Sarko, Hollande, qui d’autre? Et merci pour le shoot.

bérénice dit: à

Et merci aussi pour le viol.

bérénice dit: à

bref,merci pour tout et que l’hypocrisie perdure mais ne me demandez plus de croire, blabla de part et d’autre, nombreux sont ceux qui se paient de mots. ah les belles lettres! Que de fumiers parmi ces amateurs éclairés.

bérénice dit: à

merci pour sa condition d’esclave exploité comme des milliers d’autres. Votez!

rose dit: à

empéguer c’est marseillais.
Y a aussi escagassé.
Ce matin ai acheté une caisse d’ail escagassé. 10kg.

rose dit: à

Alors, ce n’est pad l’affaire Gregory, bérénice. Mais cela y ressemble. Un sacrifié par la jalousie et la mauvaiseté des autres.

bérénice dit: à

oui aussi pour dissimuler et ne pas courir le risque de voir répandues les errances et licences de notre élite.

bérénice dit: à

Un tas de pourris ayant pignon sur rue.

JAZZI dit: à

10kg d’ail, rose ! C’est pour lutter contre les vampires ?

bérénice dit: à

Qui se tapent des cocottes et vous traient plus bas que terre, c’est remarquablement noble. Au compte tour je ne connais pas leur kilométrage qui bien évidemment restera secret , tant pis si elles puent du cul pourvu qu’elles présentent bien et soient polyglottes.

bérénice dit: à

esprit aussi élargi par le sacre de la culture que par la qualité des mensurations des membres en visite.

Sergio dit: à

C’est pas plutôt l’eau bénite ? Hon met ça dans un pulvérisateur à main et hop ! Naturellement faut y aller à la manoeuvre sinon i s’enfuient pas…

Chaloux dit: à

Je ne sais pas si je suis « en vacances » mais la pauvre Bérénice a pété un plomb. Arrêtez-vous là, Béré, vous êtes ridicule, et rappelez-vous le mot de Stendhal, « ne jamais montrer soi inférieur ». Revenez quand vous irez mieux.

rose dit: à

Eh bien bérénice vous êtes remontée à bloc ! Chez niud, on les appelle les filles de Toulon.

Jazzi
Non. À partager. Et puis la recette japonaise de l’ail noir pour les fins gourmets.

rose dit: à

Bérénice
Merci pour la superbefontaine de la plume fée Marie Médicis.Le canal devant et les sculptures de la fontaine. Ai découvert avec plaisir l’histoire de Polyphème.

rose dit: à

Chez nous

la vie dans les bois dit: à

Un verre à la main, pour saluer la jeunesse parisienne qui a envahi les quais de Seine, illuminant cette nuit d’été.

bérénice dit: à

Je ne sais pas si je suis « en vacances » mais la pauvre Bérénice a pété un plomb. Arrêtez-vous là, Béré, vous êtes ridicule, et rappelez-vous le mot de Stendhal, « ne jamais montrer soi inférieur ». Revenez quand vous irez mieux.

je vous emmerde, rappelez vous l’épisode rémois où vous m’avez encouragé à la faillite, vous promettuez un mariage, puis l’épisode banlieue et enfin l’épisode Béziers avec toute cette souffrance que vous avez ignoré jusqu’à la dépression, vous n’êtes qu’un sale pourri. Je préférerais mourir qu’avoir affaire à un individu de votre espèce, sale race, sale bourgeois égoïste, je n’aime pas votre musique, Souvenez vous aussi de l’expertise et de cette sale conne de juge et de toute cette souffrance, m’auriez-vous tendu la main en guise de réconfort? Je ne me montre pas inférieure je témoigne de votre ignominie et de elle des autres, ces autres dont vous cultivez l’amitié avec qui vous baisez.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…des commentaires de modérations ‘ soft ‘,!…

…juste comme soufflé dans des serpentins,!…

…d’autres dirait, comme çà,!…

…s’allaité, à sa cornemuse du pouvoir en place,!…comme des légions soumis à Crassus et à légions en Stalag 13,!…

…toujours,!…montrer les victimes des oppresseurs sur leurs pots de chambre économiques,!…
…Ah,!Ah,!…Bop,!Bip,!…envoyez,!…

bérénice dit: à

. Revenez quand vous irez mieux.

je crains que ce ne soit envisageable, regardez vous, inventoriez ce passif ente nous, rien que cela découragerait n’importe qui de sensible , de plus ce lien qui nous aliène ne pourra être rompu qu’à la mort de l’un d’entre nous deux, vous aimez votre vie, moi beaucoup moins avec vous en voyeur indifférent à ma souffrance. Rien ne vous oblige à m’aimer mais sachez que plus rien chez vous ne m’inspire de sentiments de ce genre, à mes yeux vous êtes un psychopathes et un pervers qui satisfait sa tendance au sadisme muni de son laboratoire portable. de plus vous êtes un voleur et un escroc, rien qui puisse me séduire, je vous laisse à vos vielles amitiés .

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…( entre deux…com…),…il était une fois…une femme,…( ivoires et jeux d’échecs,…)…
…belles miniatures,!…jeux interdit par l’église,!…pour ses trônes,!…
…etc,!…
…rapports des forces mathématiques à dé-jouer,!…
…à l’esprit d’être au-dessus des passions et des église,!…dis donc,!…
…Go,!…La Fontaine,!…

rose dit: à

« Vingt-sept sièges sont dévolus aux représentants ultramarins »

Ce doit être un néologisme pour signifier Outremer, les ultramarins.

Bon dimanche à tous

renato dit: à

Il y en a que, en déficit de vie, lorsque la nécessité de cultiver leurs haines se fait cruellement présente, ils jètent un coup d’œil à l’espace mentale qu’ils dédient à leurs lectures — choix-et-non-choix — et ils y trouvent quelques occasions pour se détester par mauvais moments interposés ; puis, ils mettent en ligne les frustrations générées par ces très accessibles objets de désir en attribuant les fautes aux auteurs des occasions ! — je pourrais pondre une centaine de mots, peut-être plus, à propos des gratifications offertes par cette pratique mais pas envie. Enfants, il auraient dû prêter une attention soutenue à Le Petit Poucet, ils auraient appris comment évaluer une construction mentale plus ou moins élaborée avant de lui trouver, ou pas, une place dans leur environnement et dans leur imaginaire — bénéfice secondaire : adultes, ils nous auraient épargné l’expression de leurs idées fixes et surtout de leur rancune.

Delaporte dit: à

En ce dimanche, notre écrivain raté se révèle un fameux goujat :

« Pourquoi cette très vieille femme me sourit-elle ainsi ? Une folle sans doute, me dis-je. Puis elle me parle et tout s’éclaire. Nous avons été en classe ensemble. »

Groucho M..... dit: à

Les mûrs parlent, tendez l’oseille, VEAUTEZ !!!

Delaporte dit: à

Ce deuxième tour des législatives paraît avoir si peu d’enjeux pour voter, le résultat étant malheureusement à peu près partout acquis d’avance. Va-t-on participer à cette curée macroniste, ou rester chez soi pour vaguement protester ? Mon choix est fait.

Groucho M..... dit: à

On doit pouvoir taper sur une femme comme sur un homme : elle est là, la Parité, NKM !

renato dit: à

Un coup de kärcher ?

bérénice dit: à

Delaporte, j’y lis une auto-dérision, impossible de se voir tel que l’on est sauf si l’autre nous tend un miroir . L’enfer ?

bérénice dit: à

Ou le que tàl ? de Goya .

Delaporte dit: à

« Delaporte, j’y lis une auto-dérision »

Moi, j’y lis surtout la vanité bouffonne et aveugle de Chevillard, et son mépris pour l’humanité. Il veut faire de l’humour, mais cela ne fonctionne pas comme il le voudrait, et se retourne contre lui. Il se révèle un être extrêmement mal poli, qu’on ne voudrait pas rencontrer. Un pitoyable écrivain, un être humain lamentable.

Delaporte dit: à

Comparez avec Prévert, par exemple, dans un morceau que je résume. Il voit une femme qui lui paraît charmante, elle lui plaît et au même instant il se rend compte que c’est sa propre femme et il est heureux. C’est plus délicat que Chevillard, vous ne trouvez pas ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…quand on est stupide, d’un côté comme de l’autre;…déjà,…entre , soumis religieux, !…entre catholiques et protestants,!…

…des peuples colonisés par la religion,…pour s’affronter,!…
…à des niveaux extrêmes, pour ne plus savoir se retrouver ensemble,!…

…l’humanisme des passions perdus,!…
…qu’elles manipulations pour usufruitier les contrées et pays,!…en frais de protections, en faits,…décimé son peuple en misères,…son profit ‘ médiatique’ à l’école des Berluscon’s & C° Trusts,!…
…comme des cow-boys à créer des indiens, ou autres abrutis-soumis, en somme,!…

…et de petits à grands,…en être victimes, pour l’émulation à ses directions et divergences,!…

…prendre un partis, uniquement, que pour se soulager,…sur un autre partis,…
…trouver des rixes, pour se rendre  » oppressant « ,!…des malades à enfermer, dans des paradis cloisonnés,!…

…écrire,…comme des soumis à leurs maîtres pour des miettes pour chiens,!…au bénéfices du doute,!…

…une autre, se prendre pour un modérateur,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,Bip,!…pour un steak,!…ou une pizza,!…etc,!…
…c’est que çà en fait des Richelieu,!…à son, roi,…par exemple,!…etc,!…
…aux lèches-culs Go,!…

bérénice dit: à

un merci au pucelage symphonique, un merci aussi à la juge aussi laide et incompétente que conne de Pontoise,un merci à l’expert véreux, un merci aux menteurs de tous bords, un merci à cet eunuque pour avoir tenté d’écrabouiller des testicules dont il manque , un merci pour ces deux faux zéros, un merci pour ce pauvres graveur de talent mais arabe et congédié, merci pour toutes les corruptions du monde, merci pour les couvertures qui exonèrent les coupables quand elles condamnent les innocents gênants, merci pour tous ces abus de pouvoir, merci pour les fausses vérités et le trafic de stup, je me répands en merci avec un spécial thank pour Chaloux , son immense sollicitude, son goût pour le recyclage de l’inutilisable, merci à toutes ces manigances, ces influences mensongères, merci à tous ces ministres aussi probes que leur chef. Vive la République, Vive la France.

Groucho M..... dit: à

Prévert ? Un faux-cul de grande envergure, l’hypocrite époux…

Delaporte dit: à

D’ailleurs, si ça se trouve, Chevillard a piqué l’idée à Prévert, ou à un autre. Car en plus d’être un écrivain raté, Chevillard est logiquement un plagiaire, étant en permanence en manque d’inspiration, surtout depuis que ses filles ont grandi et qu’il ne peut plus recopier leurs bons mots d’enfants (il a exploité l’ingénuité de ses filles jusqu’à la corde, sans vergogne).

Delaporte dit: à

Ses filles pourront lui faire un procès plus tard, comme Eva Ionesco pour sa mère. Chevillard, on devrait le mettre en prison.

bérénice dit: à

9h14 modéré.

Delaporte vous lisez de travers chargé de votre mépris ou a priori négatif, ce qui fut produit n’a plus à l’être, en matière littéraire est-ce que tout n’a pas déjà été dit, à quoi les écrivains pour le fond inventent des formes nouvelles, restons en aux tragédies grecques qui contiennent le tout , il y aurait de quoi y passer quelques années, les grandes lignes de ce qui meut l’humanité y figure . La langue elle aussi connaît des évolutions, pourquoi avoir abandonné l’usage des alexandrins, si doux à l’oreille, serait-ce criminel, preuve de goujaterie ou d’absence de talent?

Groucho M..... dit: à

Delaporte du Pénitentier a raison : « Fermez les écoles, ouvrez de nouvelles prisons ! »

bérénice dit: à

figurent, excusez les nombreuses autres fautes d’orthographe qu’elles concernent les accords ou la concordance des temps.

bérénice dit: à

encouragée, promettiez, ignorée, psychopathe.

tristan dit: à

« j’y lis une auto-dérision, impossible de se voir tel que l’on est sauf si l’autre nous tend un miroir . » nous dit aujourd’hui Bérénice, moins cul-pincé qu’hier, alors qu’elle se contemplait elle-même à 19 h 11 min dans le mensonge d’un miroir embellissant.

titus dit: à

Comment Bérénice a-t-elle pu reconnaître ici un homme avec lequel elle aurait eu de relations très proches et très suivies? Ou est-ce du délire pur et simple?

Ça rappelle Clopine et son obsession de je ne sais plus quel « troll »…

Groucho M..... dit: à

Nous autres, hommes en ruth, devons affirmer que toute femme est désirable …. car la perpétuation de l’espèce en dépend !

bérénice dit: à

titus, je n’ai pas écrit cela, c’est du délire si vous voulez, aucune volonté ou énergie à me battre contre des moulins à vent.

bérénice dit: à

» nous dit aujourd’hui Bérénice, moins cul-pincé qu’hier, alors qu’elle se contemplait elle-même à 19 h 11 min dans le mensonge d’un miroir embellissant.

vous ai-je manqué de respect, énoncer quelques vérités appartiendrait-il à l’ordre de l’incivilité, m’en suis-je pris à vos biens, vous ai-je qualifié de noms d’oiseaux et autres gracieusetés? Cul pincé? mais mesurez donc votre intérieur et on en reparle après, pas l’impression de l’être au sens figuré plus que cela, ceci étant je n’offrirais pas mes orifices au premier venu. J’ajoute que je ne suis pas du genre à me passer quoi que ce soit et s’il m’est arrivée d’insulter, en tous les cas ce ne fût pas ici le lieu.

bérénice dit: à

J’ajoute, Tristan (e?) que je ne suis pas très familière du mensonge, une fois à l’âge de 7 ans et j’ai culpabilisé jusqu’à très tard, peut-être deux autres fois, une fois au travail et je le regrette ( bonjour à Max si de son Afrique il nous lit) et l’autre ou les autres puisqu’il faut bien se trouver des occasions de mentir je ne saurai les dire n’en gardant pas mémoire, un alzheimer vraisemblablement.

bérénice dit: à

Ceci étant, je crois qu’à se sur-estimer ou se sous-estimer, on rate sûrement l’objectivité mais il est certain qu’à marcher sur les plates-bandes des voisins en prenant un air supérieur rapporte plus que ne rien s’accorder en terme de qualités qui sortiraient du commun des moyens mortels.

Phil dit: à

Les villas judéo-maghrébines n’intéressent plus le bon peuple du prestigieux blog à passou. Bhl et consorts peuvent conseiller le beau président Macron en sous-main, pas une âme de Lawrence d’Arabie à l’horizon bréhaigne du numérique ne viendra arrêter la corruption de la pensée olihood des mogouls en faillite. Même le bon Sanhédrin Finkielkraut à dû reporter son débat Hervé Lebras – Renaud Camus pour ne pas influencer le vote des cervelets à l’identité perdue dans les limbes digitalisées.

Nicolas dit: à

Bonjour Bérénice,
Vous envoyez bien bouler, je vous tire mon chapeau! Je ne connais pas vos histoires personnelles avec Chaloux mais c’est vrai que sur ce blog il est parfaitement puant. Ce n’est pourtant pas ce que j’avais vu de lui au début, il m’a même mis sur la voix de la compréhension de Hugo, un geste sympathique m’étais je dis. Faudra qu’il pense à nous remontrer son petit cœur me dis je à présent. Quand au pseudo helfetisse pré ado niais vous devriez vous ravir d’attirer la vermine, c’est que vous dérangez, ca s’écrase d’un coup de tatane.
Bon dimanche à vous

Nicolas dit: à

Phil, vous savez vous c’est quoi ce truc « les lieux d’écritures » dont parle Passou ?

Nicolas dit: à

Phil, vous pourriez me renseigner sur ces « lieux d’écritures »?

Laura Delair dit: à

Mesdames, ne craignez point le « ruth » de JC, c’est juste une minuscule « abaga » inoffensif

bob dit: à

Groucho M….. dit: 18 juin 2017 à 8 h 30 min
Il s’en passe des trucs – il l’aurait pas frappée mais lui aurait balancé le s tracts à la tronche, de toute façon c’est pas sympa, déjà qu’elle est au bout du rouleau, désespérée de pas voir ses ‘efforts’ récompensés par un job de la part de jupiter

bérénice dit: à

Nicolas, c’est comme vous le dites une affaire personnelle cependant c’est un peu pour moi comme si je devais accorder crédit et amitié à quelqu’un qui témoignerait d’une belle intelligence en s’accordant selon son bon vouloir des dérogations et qui après dénoncerait les imperfections du système, cela dit c’est sûrement quelqu’un de fréquentable, pas de bol avec lui car cette aberration, cette mutation qui fait que nous pouvons communiquer à distance sans l’intermédiaire d’outils type informatique ou téléphonique couplée à une fonction que nous n’utilisons plus, sensations corporelles extraordinaires produites par la pensée n’a pas servi à grand chose de bien me concernant, j’aurai du entendre et intégrer cette règle qu’il fixa dès le départ et cette fois de visu mais je n’ai pas réussi: je ne vous connais pas, je ne peux rien pour vous et si de son côté ce fut une affaire rentable à bien des égards, je ne sais trop si j’ai pu me transformer en aphrodisiaque présentant l’ avantage d’aucune toxicité , là nous en serions aux effets secondaires: rancœur, rancune, désamour, dégoût, révolte jusqu’à la haine en passant par le mépris,; mépris que d’ailleurs j’ai éprouvé assez tôt pour tout dire malgré l’immense fossé qui nous séparait rempli de ses qualités que je dirai supérieures posées à côté de mon ordinaire qui n’a jamais rien eu d’extraordinaire. Rende-vous compte, je serai incapable de jouer au clair de la lune à la flûte alors pour ce qui est de pouvoir occuper la place et l’affection qu’il ressent pour certaines femmes qui sont des virtuoses ou des artistes de talent, et jolies ce qui ne gâche rien- j’ai vite compris que je pouvais remballer les gaules. Mais ce n’était pas une raison pour qu’il abuse de ce lien et s’en amuse sadiquement, il y avait de l’autre côté de cette frontière invisible une jeune femme et un petit enfant .

bérénice dit: à

bob, j’ai entendu sur france culture que l’homme avait aussi agressé un des collaborateurs de NKM présent sur la place et qui lui a tenté sans succès de le rattraper, l’agresseur s’est engouffré dans la première bouche de métro, il aurait bousculé NKM, je pense cependant comme vous- qu’elle pouvait être fatiguée, épuisée et affaiblie par la chaleur .

bob dit: à

« Les morisques et l’effort de construction d’Alger aux XVIIe et XVIIIe siècles »
(…) On ne voit presque dans la ville que les Maures, qui ont été chassés d’Espagne » : c’est avec ces mots que Laugier de Tassy avait décrit Alger au début du XVIIIe siècle…
https://cdlm.revues.org/4932

Groucho M..... dit: à

Nous autres, politiques, comiques de profession n’avons aucune honte à mentir : c’est notre métier !

Grégory Petit dit: à

La place Maubert. C’est là que ma mère allait faire son marché le dimanche lorsque j’étais enfant et que nous habitions quai ***. L’un de mes plus grands plaisirs étaient de l’accompagner et d’emprunter avec elle la rue de Bièvre, du temps que Mitterrand y habitait et que des policiers la gardaient d’une extrémité à l’autre, ce qui ne manquait pas de m’impressionner. Cette rue et ce quartier revêtaient un caractère magique pour moi, ils résumaient à eux seuls (et résument toujours) l’idée que je me faisais (et continue de me faire) de Paris. Aujourd’hui, Mitterrand est mort (c’est une bonne chose), les policiers ont disparu (c’est beaucoup plus triste), et la rue de Bièvre, lorsqu’il m’arrive d’y passer par nostalgie, pue la pisse d’homme et de chien. Moi pour qui la banlieue commençait passé l’île Saint-Louis, je n’habite plus Paris et je ne le regrette pas quand je vois les résultats électoraux. Salut fraternel au Parisien – le dernier digne de ce nom – qui a giflé NKM. Face à un bobo, on ne discute pas, on pulvérise, on ventile, à la Raoul.

Sergio dit: à

Phil dit: 18 juin 2017 à 11 h 11 min
Les villas judéo-maghrébines n’intéressent plus le bon peuple

Si si ; c’est tout un monde, on aimerait bien y être ou du moins haller voir si on y est.

Et halor l’illustration elle rupine, si c’est de la 3D chapeau comme dirait le gus dans l’Etranger…

Sinon nousses à Nancy on a la villa Majorelle mais les services pléthorique de la ville s’y est infesté dedans faut un bon pour visiter !

Sergio dit: à

Groucho M….. dit: 18 juin 2017 à 10 h 34 min
toute femme est désirable

Mais les Narabs ils le disent : la nuit, une vieille c’est comme une jeune…

Pour certains trucs sérieux faut les hécouter ! C’est le retour sur investissement de la colonisation…

Sergio dit: à

Groucho M….. dit: 18 juin 2017 à 9 h 24 min
ouvrez de nouvelles prisons !

Ben non faut les fermer sinon les taulards vont se barrer ; quoiqu’il y en a bien qui sont bien foutus de faire comme Averell, de creuser quand même !

D. dit: à

J’adresse un message de sympathie à mes amis portugais qui vivent depuis hier une tragédie sans précédent.
Je leur redis combien je les admire et les estime, peuple noble, digne et courageux, gens pleins de charme et toujours accueillants.

JAZZI dit: à

LUIS DE CAMOES

Ô Lusitania !

Ô vous, hommes vaillants des plages lusitaines
Qui, partis d’Occident, avez par vos exploits,
Soumis bien au-delà des côtes africaines
Des mers qu’on sillonnait pour la première fois ;
Ô vous, que méprisant les vents et les tempêtes
A travers les danger, les combats de géants,
Parvîntes à poser, pour prix de vos conquêtes,
D’un Empire nouveau les premiers fondements (…)

Mon poème et mes vers rappelleront encore
Tous ceux qui s’illustrant en des climats nouveaux
Poussèrent leurs succès jusques où nait l’Aurore,
Et firent tant de fois triompher vos drapeaux.
Un Pacheco vaillant, des Almeidas sans crainte,
(Sur leur destin, le Tage a versé bien des pleurs)
Le terrible Alburquerque*, et Castro**, à la foi sainte
Et d’autre que la mort épargne en ses rigueurs.

Tandis que je chante, et qu’à vous je m’arrête
(A vous chanter, grand Roi, je n’ose m’enhardir,)
Régissez vos états, et qu’un long règne apprête
Des sujets inouïs pour des chants à venir.
Qu’on commence à revoir vos armes reparaître
Sur les terres d’Afrique et les mers d’Orient,
Que les Païens en vous reconnaissent leur Maître
Et que tout l’Univers vous contemple en tremblant. (…)

Les Portugais voguaient sur la mouvante plaine,
Fendant de l’Océan les turbulentes eaux ;
Les vents ne respiraient que d’une douce haleine,
De leur souffle gonflant les voiles des vaisseaux.
Il naissait à leur suite une écume d’albâtre,
Et leur proue imprimait un sillage orgueilleux
Sur les flots que Protée et son troupeau folâtre,
Avaient seuls jusqu’ici soulevés dans leurs jeux. (…)

Entouré de la pompe et des splendeurs divines,
Le Dieu qui fait vibrer les foudres de Vulcain,
Sur un trône brillant d’étoiles cristallines,
Les accueille d’un geste auguste et souverain ;
Sa face respirait une majesté fière
Qui d’un mortel eût fait un Dieu du Firmament,
Sa couronne et son sceptre étaient d’une matière
Surpassant mille fois l’éclat du diamant.

Sur des sièges plus bas, d’une noble ordonnance,
Et de perles et d’or richement incrustés,
Les dieux se sont assis, et de la préséance
Observèrent même entr’eux les arrêts respectés.
A la place d’honneur est l’âge vénérable,
Alors, et d’une voix sonore et redoutable,
Jupiter dit ces mots au conseil glorieux :

« Immortels habitants du lumineux Empire,
« Du Firmament serein, du Pôle de splendeur,
« Vous vous rappelez tous sans l’entendre redire,
« Que des forts Lusitains la brillante valeur
« A de hauts faits sans nombre illustré leur histoire,
« Et que ce peuple aura par la Loi des Destins
« Un grandiose avenir effaçant la mémoire
« Des Assyriens, des Grecs, des Persans et Romains.
(« Les Lusiades », traduit du portugais par Hyacinthe Garin, éditions Gallimard, 2015)

Widergänger dit: à

Et en regard de l’épopée lusitanienne, tu places le récit d’Antonio Lobo Antunes : Le cul de Judas (Os Cus de Judas), et tu auras la totalité de la grandeur tragique du Portugal.

tristan dit: à

« Quand au pseudo helfetisse pré ado » dixit Nicolas le 18 juin 2017 à 11 h 13 min.

Mon cher Nicolas, je ne suis plus pré-ado depuis quelques bonnes années mais mon Q.I. élevé –qui n’a plus évolué depuis mes quinze ans– est chez moi un indice de médiocrité supérieure qui me ravit.
J’ai toujours pensé qu’appartenir à une génération, bien plus plus qu’une fatalité ou une nécessité, est une décision qu’adoptent volontiers les esprits grégaires pour se rassurer.

JAZZI dit: à

ANTONIO LOBO ANTUNES

Mythologie au crochet

Pourtant, à l’époque dont je vous parle, j’avais des cheveux, bien que ratiboisés selon le règlement, courts ou cachés dans la soucoupe du béret militaire, et je descendais de Luanda à Nova Lisboa, en direction de la guerre, au milieu d’incroyables horizons sans limites. Comprenez-moi : je suis l’homme d’un pays étroit et vieux, d’une ville noyée dans les maisons qui se multiplient et se reflètent mutuellement dans leurs façades d’ « azulejos » et dans l’ovale des bassins, et l’illusion d’espace que je connais ici, à Lisbonne, parce que le ciel est fait de pigeons tout proches, se réduit à une maigre portion de fleuve, serrée entre les tranchants des angles des maisons et traversée obliquement, dans un transport héroïque, par le bras de bronze d’un navigateur. Je suis né, j’ai grandi dans un univers étriqué de crochet, crochet de ma grand-tante et crochet du gothique manuélin ; dès l’enfance on a fait de ma tête un filigrane, on m’a habitué à la petitesse du bibelot, on m’a interdit le chant IX des « Lusiades »* et on m’a depuis toujours appris à dire adieu avec mon mouchoir, au lieu de partir. On m’a policé l’esprit, bref, on a réduit ma géographie à des problèmes de fuseaux horaires, à des calculs d’employé de bureau dont la caravelle destinée à aborder les Indes s’est métamorphosée en une table de formica avec, dessus, une éponge pour mouiller les timbres et la langue. Vous est-il déjà arrivé de rêver, les coudes sur une de ces horribles tables, et de terminer la journée dans un troisième étage du Campo de Ourique ou de la Povoa de Santo Adrião à écouter pousser votre propre barbe pendant les longues soirées vides. Avez-vous déjà souffert la mort quotidienne de vous réveiller tous les jours auprès de quelqu’un que vous détestez tièdement ? Aller tous les deux en voiture au travail, les yeux cernés de sommeil, lourds de déception et de fatigue anticipées, sans mots, ni sentiments, ni vie ? Alors imaginez que, brusquement, sans avertir, tout ce monde en diminutif, tout ce réseau de tristes habitudes, toute cette mélancolie réduite à des presse-papiers dans lesquels une neige monotone se renverse, tout s’évapore, les racines qui vous accrochent à des résignations de coussin brodé, disparaissent, les liens qui vous attachent à des gens qui vous ennuient se brisent, et vous vous réveillez dans une camionnette pas très confortable, c’est sûr, et pleine de bidasses, c’est vrai, mais qui circulent dans un paysage inimaginable où tout flotte, les couleurs, les arbres, les contours gigantesques des choses, le ciel qui ouvre et ferme sur de grands escaliers de nuages dans lesquels le regard trébuche et tombe sur le dos comme un grand oiseau extasié.
Néanmoins, de temps en temps, le Portugal réapparait au bord de la route, sous la forme de petites bourgades, dans lesquelles de rares blancs, devenus translucides de paludisme, essayaient désespérément de recréer des banlieues de Lisbonne perdues, collant des hirondelles de faïence entre les fenêtres ou suspendant des lanternes de fer forgé sous les auvents des portes : qui sème des églises pendant des siècles finit, inévitablement, par placer des vases avec des fleurs en plastique sur les frigos, de la même façon que Tolstoï, moribond, répétait, sur le drap, de ses doigts aveugles l’acte d’écrire, à cette différence près que nos phrases se résument à des bienvenues sur des « azulejos » et à un mot d’accueil décoloré sur le paillasson de l’entrée. Jusqu’à ce qu’à la fin du jour, une de ces fins de jour sans crépuscule, la nuit succédant abruptement au jour, nous arrivions à Nova Lisboa, ville ferroviaire sur le plateau dont je garde un souvenir confus de cafés provinciaux et de vitrines poussiéreuses et du restaurant où nous avons dîné, le fusil entre les genoux, observés par des métis aux lunettes noires, immobiles devant des bières immémoriales et dont les traits fixes possédaient la consistance opaque des cicatrices : pendant tout le steak je me suis senti comme à la préface d’un massacre de Saint Valentin, prêt à des fusillades de Loi de la Prohibition, et je portais ma fourchette à la bouche dans un ennui mou d’Al Capone, composant dans les miroirs des sourires d’une manifeste cruauté ; encore aujourd’hui, savez-vous, je sors du cinéma en allumant ma cigarette à la façon d’Humphrey Bogart jusqu’au moment où la vision de ma propre image dans une vitre m’enlève mes illusions : au lieu de marcher vers les bras de Lauren Bacall, je me dirige, en fait vers mon quartier de la Picheleira**, et l’illusion s’écroule dans le fracas lancinant des mythes défaits.
(« Le cul de Judas », traduit du portugais par Pierre Léglise-Costa, éditions Métailié, 1983)

closer dit: à

Onde acharei lugar tão apartado
E tão isento em tudo da ventura,
Que, não digo eu de humana criatura,
Mas nem de feras seja frequentado?

Algum bosque medonho e carregado,
Ou selva solitária, triste e escura,
Sem fonte clara ou plácida verdura,
Enfim, lugar conforme a meu cuidado?

Porque ali, nas entranhas dos penedos,
Em vida morto, sepultado em vida,
Me queixe copiosa e livremente;

Que, pois a minha pena é sem medida,
Ali triste serei em dias ledos
E dias tristes me farão contente.

Luís de Camões

bouguereau dit: à

au lieu de marcher vers les bras de Lauren Bacall, je me dirige, en fait vers mon quartier de la Picheleira

le vélo électrique à dracul c’est comme une harley..y doit hencore faire le bruit dses babines..serdgio y met bien du thé dans sa boite a gant

bouguereau dit: à

« Quand au pseudo helfetisse pré ado »

un vrai hélphétiss il aurait marqué ‘canto’

closer dit: à

Où trouverais-je un lieu assez distant,
De la Fortune à ce point oublié,
Qu’il ne soit fréquenté par aucun homme,
Ni même hanté par des bêtes sauvages?

Un bois qui soit ténébreux, effrayant,
Une forêt déserte, triste et sombre,
Sans source claire ni prairie tranquille,
Un lieu, enfin, conforme à mon tourment?

Là, je pourrai, cerné par les rochers,
Mort bien qu’en vie, et enterré vivant,
Me lamenter à loisir, librement;

Et parce que ma peine est sans mesure,
Là, triste je serai les jours de liesse
Et satisfait par les jours de tristesse.

Luis de Camões

Sonnets Editions Chandeigne

bouguereau dit: à

Ben non faut les fermer sinon les taulards vont se barrer

si qu’y avait du vrai wisky il srait resté cuver

bouguereau dit: à

Et satisfait par les jours de tristesse

camouince sans wisky il entre..ça fait snob

bouguereau dit: à

C’est là que ma mère allait faire son marché le dimanche lorsque j’étais enfant

le dimanche matin havec ma putain sur les bords de la vilèteu

JAZZI dit: à

Lettre de bérénice à Chaloux :

« Je vous ai destiné ma vie aussitôt que je vous ai vu ; et je sens quelque plaisir en vous la sacrifiant. J’envoie mille fois le jour mes soupirs vers vous, ils vous cherchent en tous lieux, et ils ne me rapportent pour toute récompense de tant d’inquiétude, qu’un avertissement trop sincère, que me donne ma mauvaise fortune, qui a la cruauté de ne souffrir pas que je me flatte, et qui me dit à tous moments : Cesse, cesse, Bérénice infortunée, de te consumer vainement, et de chercher un Amant que tu ne verras jamais ; et qui a passé les Mers pour te fuir, qui est en France au milieu des plaisirs, qui ne pense pas un seul moment à tes douleurs, et qui te dispense de tous ces transports, desquels il ne te sied aucun gré ? Mais non, je ne puis me résoudre à juger si injurieusement de vous, et je suis trop intéressée à vous justifier : Je ne veux point m’imaginer que vous m’avez oubliée. Ne suis pas assez malheureuse sans me tourmenter par de faux soupçons ? Et pourquoi ferais-je des efforts pour ne plus me souvenir de tous les soins que vous avez pris de me témoigner de l’amour ? J’ai été si charmée de tous ces soins, que je serais bien ingrate, si je ne vous aimais avec les mêmes emportements, que ma Passion me donnait, quand je jouissais des témoignages de la vôtre. Comment se peut-il faire que les souvenirs des moments si agréables, soient devenus si cruels ? et faut-il que contre leur nature, ils ne servent qu’à tyranniser mon cœur ? Hélas ! votre dernière lettre le réduisit en un étrange état : il eut des mouvements si sensibles qu’il fit, ce semble, des efforts pour se séparer de moi, et pour vous aller trouver : Je fus si accablée de toutes ces émotions violentes, que je demeurai plus de trois heures abandonnée de tous mes sens : je me défendis de revenir à une vie que je dois perdre pour vous, je revis enfin, malgré moi, la lumière, je me flattais de sentir que je mourais d’amour ; et d’ailleurs j’étais bien aise de n’être plus exposée à voir mon cœur déchiré par la douleur de votre absence. Après ces accidents, j’ai eu beaucoup de différentes indispositions : mais, puis-je jamais être sans maux, tant que je ne vous verrai pas ? Je les supporte cependant sans murmurer, puisqu’ils viennent de vous. Quoi ? est-ce là la récompense, que vous me donnez, pour vous avoir si tendrement aimé ? Mais il n’importe, je suis résolue à vous adorer toute ma vie, et à ne voir jamais personne ; et je vous assure que vous ferez bien aussi de n’aimer personne. pourriez-vous être content d’une Passion moins ardente que la mienne ? Vous trouverez, peut-être, plus de beauté (vous m’avez pourtant dit autrefois, que j’étais assez belle) mais vous ne trouverez jamais tant d’amour, et tout le reste n’est rien. »
(« Lettres de la religieuse portugaise », Mercure de France, 1951)

pas de but dans la vie, dit: à

Eu sou a que no mundo anda perdida,
Eu sou a que na vida não tem norte,
Sou a irmã do Sonho, e desta sorte
Sou a crucificada… a dolorida…

Sombra de névoa tênue e esvaecida,
E que o destino amargo, triste e forte,
Impele brutalmente para a morte!
Alma de luto sempre incompreendida!…

Sou aquela que passa e ninguém vê…
Sou a que chamam triste sem o ser…
Sou a que chora sem saber por quê…

Sou talvez a visão que Alguém sonhou,
Alguém que veio ao mundo pra me ver,
E que nunca na vida me encontrou!

Florbela Espanca (1894-1930)

Je suis celle qui avance perdue dans le monde,
Celle qui n’

Sergio dit: à

bouguereau dit: 18 juin 2017 à 18 h 09 min
du thé

Ha mais oui au quate fruits rouges et tout ! A force on devient un vrai savant… Mais attation que le transport comme Norbert Dantressangle, pas question de goûter !

Phil dit: à

dédé va sûrement dîner à la morue ce soir.

Widergänger dit: à

Ah oui, c’est vrai, mon grand Jazzi, j’oubliais ! Ton Goût du Portugal vient de paraître. Je vais me le procurer.

bouguereau dit: à

dédé haussi il est hissu d’un peuple fier qu’a beaucoup souffert

JAZZI dit: à

WGG, j’ai aussi proposé un « Goût de la France » à mon éditrice. Depuis, silence radio…

Widergänger dit: à

Pauvre bérénice, tomber amoureux d’un si parfait crétin, c’est vraiment pas de chance…!

Widergänger dit: à

Oui, Jazzi, un Goût de la France, ça fait tout de suite « extrême droite »… Comme quoi on vit bien une époque pourrie !

pas de but dans la vie, dit: à

Eu sou a que no mundo anda perdida,
Eu sou a que na vida não tem norte,
Sou a irmã do Sonho, e desta sorte
Sou a crucificada… a dolorida…

Sombra de névoa tênue e esvaecida,
E que o destino amargo, triste e forte,
Impele brutalmente para a morte!
Alma de luto sempre incompreendida!…

Sou aquela que passa e ninguém vê…
Sou a que chamam triste sem o ser…
Sou a que chora sem saber por quê…

Sou talvez a visão que Alguém sonhou,
Alguém que veio ao mundo pra me ver,
E que nunca na vida me encontrou!

Florbela Espanca (1894-1930)

Je suis celle qui avance perdue dans le monde,
Celle qui n’a pas de but dans la vie,
Je suis la soeur du rêve…
Crucifiée, destinée au chagrin…
Ombre brumeuse, ténue, fugitive,
Poussée sans pitié vers la mort
Par une force amère et funeste!
Ame souffrante, jamais comprise…
Je suis celle qui passe et que personne ne voit…
celle qu’on dit triste et qui ne l’est pas…
celle qui pleure mais ne sait pourquoi…
Je suis peut-être la vision rêvée par quelqu’un
Quelqu’un venu au monde pour me voir
et ne jamais me rencontrer!

traduction Closer

Cette plainte de Florbela est une assez belle image du Portugal, petite nation oubliée et aujourd’hui souffrante.

closer dit: à

Eu sou a que no mundo anda perdida,
Eu sou a que na vida não tem norte,
Sou a irmã do Sonho, e desta sorte
Sou a crucificada… a dolorida…

Sombra de névoa tênue e esvaecida,
E que o destino amargo, triste e forte,
Impele brutalmente para a morte!
Alma de luto sempre incompreendida!…

Sou aquela que passa e ninguém vê…
Sou a que chamam triste sem o ser…
Sou a que chora sem saber por quê…

Sou talvez a visão que Alguém sonhou,
Alguém que veio ao mundo pra me ver,
E que nunca na vida me encontrou!

Florbela Espanca (1894-1930)

Je suis celle qui avance perdue dans le monde,
Celle qui n’a pas de but dans la vie,
Je suis la soeur du rêve…
Crucifiée, destinée au chagrin…
Ombre brumeuse, ténue, fugitive,
Poussée sans pitié vers la mort
Par une force amère et funeste!
Ame souffrante, jamais comprise…
Je suis celle qui passe et que personne ne voit…
celle qu’on dit triste et qui ne l’est pas…
celle qui pleure mais ne sait pourquoi…
Je suis peut-être la vision rêvée par quelqu’un
Quelqu’un venu au monde pour me voir
et ne jamais me rencontrer!

traduction Closer

Cette plainte de Florbela est une assez belle image du Portugal, petite nation oubliée et aujourd’hui souffrante.

bouguereau dit: à

au quate fruits rouges et tout !

un piègeaphille qui fait cracboumhu

bouguereau dit: à

petite nation oubliée

c’est plein dfranseuziche..trop même..y mangent tout les nata

JAZZI dit: à

« tomber amoureux d’un si parfait crétin »

On a l’amant qu’on mérite, WGG !

bouguereau dit: à

celle qui pleure mais ne sait pourquoi…

pour qu’on la console cte question..toutes les mêmes

Widergänger dit: à

Un extrait de la belle anthologie de poésie lyrique française de poètes des XIIè et XIIIè siècles, éditée par Jean Dufournet chez Poésie/Gallimard.

De Guiot de Provins (1ère strophe) :

Molt avrai lonc tans demoré
Fors de ma douce contree
Et maint grant enui enduré
En cette maleüree.
Por ceu, n’ai je pas oblïé
Lo douz mal que si m’agree,
Don ja ne quier avoir santé
Tant ai la dolor amer.
__________

J’aurai longtemps demeuré
Loin de ma douce patrie
Et maint tourment enduré
En une terre maudite,
Sans pour autant oublier
Qui me plaît si fort
Que je ne cherche pas la santé,
Tant ma douleur m’est chère.
________________

C’est un poème qui ferait partie de l’enfer aujourd’hui. Ce n’est pas la terre, c’est l’époque qui est aujourd’hui maudite…

JAZZI dit: à

Chaque été, il y a de terribles incendies au Portugal, mais ce dernier est particulièrement meurtrier !

JAZZI dit: à

Pourtant, WGG, Isabelle Aubret ou Jean Ferrat, chantant la France, ils étaient pas d’extrême droite !

Widergänger dit: à

O Mundo não se fez para pensarmos nele
O meu olhar é nítido como um girassol.
Tenho o costume de andar pelas estradas
Olhando para a direita e para a esquerda,
E de, vez em quando olhando para trás…
E o que vejo a cada momento
É aquilo que nunca antes eu tinha visto,
E eu sei dar por isso muito bem…

Sei ter o pasmo essencial
Que tem uma criança se, ao nascer,
Reparasse que nascera deveras…
Sinto-me nascido a cada momento
Para a eterna novidade do Mundo…

Creio no mundo como num malmequer,
Porque o vejo. Mas não penso nele
Porque pensar é não compreender …

O Mundo não se fez para pensarmos nele
(Pensar é estar doente dos olhos)
Mas para olharmos para ele e estarmos de acordo…

Eu não tenho filosofia: tenho sentidos…
Se falo na Natureza não é porque saiba o que ela é,
Mas porque a amo, e amo-a por isso,
Porque quem ama nunca sabe o que ama
Nem sabe por que ama, nem o que é amar …
Amar é a eterna inocência,
E a única inocência não pensar…

Alberto Caeiro, in « O Guardador de Rebanhos – Poema II »

____________
Pour ma part, je penserais le contraire de Pessoa :

O Mundo se fez para pensarmos nele

Le Monde a été fait pour devenir une pensée poétique.

Widergänger dit: à

Non, plutôt d’extrême gauche…!

Ce qui montre d’autant mieux combien notre époque à perdu le Nord !

Widergänger dit: à

Là où je m’y retrouve, c’est quand il dit :

Porque quem ama nunca sabe o que ama
Nem sabe por que ama, nem o que é amar …
Amar é a eterna inocência,
E a única inocência não pensar…

Widergänger dit: à

Il aurait pu aussi bien écrire :

Creio no mundo como num bemmequer

Nicolas dit: à

Tristounet t’as surtout l’air d’un petit prétentieux vexé. Alors comme ça tu crois des trucs, c’est bien c’est un bon début. Et t’as des preuves de ce que tu avances ?

Widergänger dit: à

Et la seule chose que l’homme ne sache pas faire justement, c’est de ne pas penser.

Sans cesse son cerveau est au contraire embarrassé d’un flux de pensées dont il ne sait que faire. Alors autant essayer de l’orienter vers des pensées poétiques. Le grand Vide n’est réservé qu’aux plus grands sages.

bérénice dit: à

Jazzi, oui c’est dramatique, outre les victimes il s’ajoute à ces fronts gigantesques qui ont sévi en Chine, en Californie, aux Canaries, en Espagne , en Grèce, détruisant vies et habitations en plus de millions d’hectares de forêts, la faute à pas de réchauffement climatique, pas de période de sécheresse inédite. Un lien, 2016 septembre pour ce même pays touché aujourd’hui:

https://www.franceinter.fr/monde/les-incendies-fleau-de-l-annee-au-portugal

Phil dit: à

Le mercure de France, dear Baroz, c’est Macron.. qui veut en redonner le goût.

Phil dit: à

pas tout mélanger, aux canaries, c’est un Allemand qui a provoqué l’incendie en brûlant son papier chiotte. l’hygiénisme germanique, ça rigole pas.

bérénice dit: à

« Je vous ai destiné ma vie aussitôt que je vous ai vu

bof, cela commence mal, il m’a déplu dès le premier jour, Duc des Lombards, et la suite n’a rien arrangé après il est vrai quelque acharnement à découvrir qui il était, physiquement à part quelques fois où il me parut séduisant je ne fus pas conquise, sa voix charme par son étonnante douceur qui contraste avec son attitude, son refus de tous dialogues qu’elles qu’aient pu devenir mes circonstances . Je ne lui ai jamais plu e il a toujours tout mis en oeuvre pour me déplaire tout en m’invitant quand ses concerts avaient lieu dans des environs à ma portée. Souvent accompagné hors set par une fille ou sa compagne parfois.

bérénice dit: à

Phil, si vous inventoriez les sinistres, il y en a beaucoup qui sont d’origine criminelle ce qui n’exclut pas les dégâts.

JAZZI dit: à

Plus de trois siècles après leur première publication, « Les lettres de la religieuse portugaise », qui parurent anonymement à Paris en 1669, conserve toujours une part de mystère. Longtemps attribuées à une religieuse franciscaine du couvent de Beja du nom de Mariana Alcoforado (1640-1723), dont l’existence est attestée, elles auraient été adressées au marquis de Chamilly, venu prêter main forte aux Portugais dans leur lutte pour l’indépendance face à l’Espagne, de 1663 à 1668. Depuis le siècle dernier, la plupart des spécialistes les considèrent plutôt comme une œuvre de fiction due à Gabriel de Guilleragues, le traducteur et introducteur en France des dites lettres. D’autres néanmoins, tel Philippe Sollers, spécialiste incontesté des choses de la passion amoureuse, croient toujours, dur comme fer, à leur authenticité, au prétexte que : « aucun homme (et certainement pas le pâle Guilleragues) n’aurait pu aller aussi loin dans la description de la folie amoureuse féminine». Ce dont on est sûr, en tous cas, c’est que ces lettres, elles, existent bel et bien et que leur renom perdure au-delà des frontières et des siècles.

bérénice dit: à

Enfin , Jazzi, si l’on se base sur l’effet kiss cool, il y a de fortes chances compte tenu de l’intensité des sensations produites de part et d’autre que mieux vaut que nous n’ayons jamais consommé, nous aurions surement explosé ou pris feu, morts d’un arrêt cardiaque, à nos âges 58/60 mieux vaudrait ne pas tenter le diable . Après tout cela, cet historique de presque 25ans il y a tout de même matière à se sentir humiliée par ce rejet, aucun, aucune même expert(e) du kamasutra et danse du ventre n’offrirait une telle qualité de plaisir, mais il aime les corps parfaits, les sourires émail diamant, les intelligences supérieures, les nympho, les professionnelles du sexe, un tas de choses que je suis dans l’incapacité de fournir. Et maintenant les très jeunes filles ou jeunes femmes, voyez, aucune perspective de retrouvailles alors même que nous ne nous soyons jamais rencontrés. De toutes manières qu’aurions nous à nous dire en dépassant la vitesse du son ou celle de la lumière? Ridicule, tout ceci est ridicule.

JAZZI dit: à

FERNANDO PESSOA

1888-1935

Si, après ma mort, vous voulez écrire ma biographie,
Rien de plus simple.
Elle n’a que deux dates – celle de ma venue au monde et
celle de ma mort.
Entre une chose et l’autre tous les jours sont à moi.

Je suis facile à définir.
J’ai vu comme un damné.
J’ai aimé les choses sans la moindre sentimentalité.
Je n’ai jamais eu de désir que je ne puisse réaliser, parce
que je n’ai jamais perdu la vue.
Même entendre n’a jamais été pour moi qu’un accompa-
gnement de voir.
J’ai compris que les choses sont réelles et toutes différentes
les unes des autres ;
J’ai compris ça avec les yeux, jamais avec la pensée.
Comprendre ça avec la pensée serait les trouver toutes
semblables.

Un jour le sommeil m’a pris comme n’importe quel enfant.
J’ai fermé les yeux et je me suis endormi.
À part ça, j’ai été l’unique poète de la Nature.

(Alberto Caeiro, « Poèmes non assemblés »,
in Œuvres poétiques, bibliothèque de la pléiade,
traduction de Maria Antónia Câmara, Michel Chandeigne et Patrick Quillier,
Christian Bourgois Éditeur, 1989,)

bérénice dit: à

nous ne nous sommes, sorryi.

Widergänger dit: à

Oui, je suis assez de l’avis de Sollers. Jamais un homme ne serait capable d’écrire de telles choses, c’est évident. Un homme ne pense pas du tout de cette manière. Il suffit de lire ce qu’on peut considérer comme l’équivalent masculin de ce genre de lettres, Le Journal du premier amour, de Leopardi. La différence de traitement des choses de l’amour est significative de la différence des sexes.

Widergänger dit: à

Ça ne m’étonne guère venant de ce pauvre crétin ! Faut venir sur un blog pour trouver pareil spécimen humain à vous dégoûter à tout jamais du genre humain.

JAZZI dit: à

Donc Chaloux est musicien, bérénice, qu’il soit porté sur les jeunettes, quoi de plus banal !

closer dit: à

Sois sérieux Annibal! la ruée sur l’immobilier portugais n’a rien à voir avec un intérêt véritable et désintéressé pour l’histoire et la culture de ce pays.

bérénice dit: à

il faut écouter le disque qui ressort de son séjour à la Villa Médicis, d’autres antérieurs également, les seuls que j’aime. Après j’avoue que malgré les critiques qui louent sa virtuosité ( voir jazz mag), pour ma part je n’entends rien.

bérénice dit: à

La dernière fois que je me suis déplacée pour un de ses concerts, Sète, il me faisait déjà penser à mon père et comme ce dernier avait un caractère des plus impraticables je n’ai pas même tenté de l’approcher, j’ai acheté le CD que peut-être j’ai du écouter une fois ou deux et qui ne m’a pas non plus débouché les oreilles.

bérénice dit: à

Jazzi, j’ai lu cet hiver entre deux épisodes marmotte le livre de l’intranquillité, quelle merveille qu’il me faudra néanmoins relire , je ne sais si d’autres écrits de cet auteur atteignent ce sommet, et vous, que recommanderiez vous après ?

bérénice dit: à

mais mon Q.I. élevé –

a partir de 120 on peut faire médecine, 125?

D. dit: à

Le taureau Collate à fait dégager la « torera » de l’arène.

Bravo Gilbert !

D. dit: à

Collard

Delaporte dit: à

« tel Philippe Sollers, spécialiste incontesté des choses de la passion amoureuse »

Erreur, Jacuzzi. Sollers est très contesté en tant que spécialiste de l’amour. Il ne sait tout simplement pas ce que c’est. Il déteste tout romantisme. C’est un affreux misogyne, par système, par tempérament brutal et par manque de sensibilité et d’intelligence. Rien d’une référence en la matière, croyez-moi.

Chaloux dit: à

Picola le cancrelat et Blabla le cloporte portant la traîne d’une vieille folle que je ne connais point. Quel assemblage… N’avez donc rien de mieux à faire de vos pitoyables dimanches?

Soignez-vous bien!

Delaporte dit: à

Sollers a dit du bien de la Religieuse portugaise parce que ce penseur raté aime s’attaquer aux classiques et les piller, les recopier. Mais au fond de lui-même, c’est un livre qu’il abhorre. Il ne faut pas le suivre sur ce qu’il dit, sur un sujet qu’il ne connaît pas, encore une fois.

bérénice dit: à

Soignez-vous bien!

tiens c’est assz marrant , je venais justement de penser que vous préfériez payer les services de prostituées de luxe et courrues plutôt que vous offrir le bénéfice d’une psychanalyse, il est vrai que tant qu’à être détraqué et obsédé déviant mieux valait que vous éprouviez le plaisir de votre argent autrement plus jouissif qu’une santé mentale surtout quand de plus on ne court aucun risque à être repéré , ces dames ont ou ont eu leurs entrées et ne peuvent en aucun cas être inquiétés pour des pratiques passibles de justice.

Chaloux dit: à

Gloire à François Ruffin élu député de la Somme.

bérénice dit: à

Vous devriez , Chaloux, faire une demande de légion d’honneur, elle vous irait bien, courage, valeureux chevalier des arts et des lettres, honnêteté, intégrité, génie, vous cochez toutes les cases du questionnaire même si à l’usage même lointain il s’avère qu’il doit tout de même vous en manquer une ou deux à moins qu’elles soient de trop et perturbent votre fonctionnement erratique .

JAZZI dit: à

Pessoa de Lisboa

Rarement une ville aura fait corps avec un poète comme Lisbonne avec Pessoa. Pessoa de Lisboa, que l’on peut traduire en français, tout en respectant la rime, par Personne de Lisbonne, est désormais omniprésent aux quatre coins de la ville. Sans même en avoir entendu parler auparavant et encore moins l’avoir lu, le « touriste » d’aujourd’hui, pressenti avant terme par ce poète visionnaire, ne peut pas le rater ! Sa statue en bronze le représente assis devant le café A Brasileira, divers portraits de lui sont reproduits sur les azulejos de la station Alto dos Moinhos du métro de Lisbonne, son image est reproduite à l’infini sur les moindres objets des boutiques de souvenirs ou les T-shirts et sa dépouille, enfin, a été transférée en 1985 au monastère des Hiéronymites, le Panthéon portugais, rejoignant celles de Vasco de Gama et de Camoens ! Inimaginable destin que celui de ce modeste employé de commerce, introverti et rêveur, saturé de cigarettes et d’alcool, mort à quarante-sept ans. Ayant peu publié de son vivant, signant ses œuvres de noms d’emprunt attribués à des personnages de style et de caractères différents, les célèbres hétéronymes inventés par lui, Pessoa laissa une malle remplie de manuscrits, source inépuisable de publications posthumes. Dans « Les trois derniers jours de Fernando Pessoa. Un délire », l’écrivain Antonio Tabucchi met en scène les dernières rencontres entre le poète et ses principaux personnages : autant d’ultimes adieux terrestre et de rendez-vous pour l’éternité ! A l’issue de ce subtil récit, il dresse un court portrait de Pessoa, sans oublier les diverses facettes de sa personnalité éclatée et, finalement, réunifiée. Nous permettant ainsi de répondre, partiellement, à la question : « Mais qui était donc Fernando Pessoa ? »

« Fernando Pessoa

Fernando António Nogueira Pessoa est né le 13 juin 1888 à Lisbonne. Il était le fils de Magdalena Pinheiro Nogueira et de Joachim de Seabra Pessoa, critique musical dans un journal de la ville. Son père, malade de tuberculose, mourut quand Fernando Pessoa avait cinq ans. Sa grand-mère paternelle, Dionisia, était atteinte d’une grave forme de folie et mourut dans un asile d’aliénés. En 1895, il alla vivre en Afrique du Sud, à Durban, parce que sa mère s’était remariée avec le consul du Portugal en Afrique du Sud. Il fit toute sa scolarité en anglais. Il revint au Portugal pour s’inscrire à l’université, mais ne poursuivit pas ses études. Il a toujours vécu à Lisbonne. Le 8 mars 1914 apparut son premier hétéronyme, Alberto Caero, auquel succédèrent Ricardo Reis et Alvaro de Campos. Les hétéronymes étaient d’ « autres que lui », des voix qui parlaient en lui et qui eurent une vie autonome et une biographie. Il inventa toutes les avant-gardes portugaises. Il vécut toujours dans de modestes pensions ou dans des chambres en location. Il connut un seul amour dans sa vie, Ophélia Queiroz, employée comme dactylo dans la maison d’import-export dans laquelle il travaillait. Ce fut un amour intense et court. Il ne publia au cours de sa vie que dans des revues. Le seul volume publié avant sa mort est une plaquette intitulée Message, une histoire ésotérique du Portugal. Il mourut le 30 novembre 1935 à l’hôpital Saint-Louis-des-Français à Lisbonne, à la suite d’une crise hépatique, probablement causée par l’abus d’alcool. »

bérénice dit: à

je ne suis pas allée déposer mon enveloppe vide.

JAZZI dit: à

 » et vous, que recommanderiez vous après ? »

« Bureau de tabac », bérénice.

Chaloux dit: à

Bérénice, dès ce soir, il faut reprendre votre traitement.

bérénice dit: à

oui Jazzi, cocaïne, héroïne, drogues de synthèse,alcool , subutex – je trouverais bien un moyen d’en finir avant l’insuffisance respiratoire ou le cancer, ne vous inquiétez pas.

Delaporte dit: à

Pessoa est un poète pour happy few, et je crois que lui-même n’aurait pas aimé la vogue actuelle attachée à son nom. Des hordes de touristes s’en réclament, et cela fait mal. De voir aussi un gros nul comme Wgg ne pas tarir d’éloges sur lui est une épreuve, un malheur pour les vrais amateurs qui restent discrets sur leur passion.

bérénice dit: à

j’y pense, Chaloux, je ne perds pas tout à fait les pédales ou la mémoire, suis insomniaque sans être maniaque, cela vous défrise?

Delaporte dit: à

Symptôme de cette vogue Pessoa : le Livre de l’intranquillité va être retraduit en français. Parution en septembre.

Chaloux dit: à

 » De voir aussi un gros nul comme Wgg  »

Hurkhurkhurk!

bérénice dit: à

Hurkhurkhurk!

vous ne changez pas, admirable cette constance dans la grimace silencieuse, je vous donne néanmoins raison de ne vouloir qu’entretenir une coterie s’harmonisant de et à votre niveau supérieur, elles sont aussi connes que vous.

bérénice dit: à

Hurkhurkhurk!

vous ne changez pas, admirable cette constance dans la grimace silencieuse, je vous donne néanmoins raison de ne vouloir qu’entretenir une coterie s’harmonisant de et à votre niveau supérieur, elles sont aussi nocces que vous.

Nicolas dit: à

Y’a pas comme une drôle d’odeur ?

Chaloux dit: à

c’est le suint de Picola, ça pue.

Delaporte dit: à

Les vainqueurs sont les abstentionnistes :

« Avec une abstention proche de 58%, ce scrutin est celui de toutes les élections législatives depuis 1958 qui a attiré le moins de Français aux urnes. »

Nicolas dit: à

C’est un peu triste que tu viennes ici pour te rouler dans la boue mon Chaloux.

la vie dans les bois dit: à

A propos de Pessoa et des identités multiples, il faut souhaiter à ses éventuels successeurs, écrivains dans le genre, dans le genre « j’écris sous pseudo », de ne pas tomber sur un lecteur/trice, un peu intrigué/e devant monsieur « Personne » ( attention, les guillemets indiquent que c’est un piège).
C’est ce magnifique- le mot est assez faible- démasquage, qu’il m’a été donné de faire, pas plus tard lors d’un récent voyage parisien.

_________________

Assaut d’appels ce soir.

Appel du Prime Philippe à l’humilité des REM élus à l’A.N., devant les résultats des élections législatives.

C’est un peu vicieux cette humilité, « cartésienne », avec moins d’un quart de votants pour les REM.

« Elle consiste principalement en ce qu’on se sent faible et peu résolu, et comme si on n’avait pas l’usage entier de son libre arbitre. On ne se peut empêcher de faire des choses dont on sait qu’on se repentira par après. Puis aussi en ce qu’on croit ne pouvoir subsister par soi-même, ni se passer de plusieurs choses dont l’acquisition dépend d’autrui ; ainsi elle est directement opposée à la générosité, etc. »

L’un des ministres du président macaron, remet en cause le processus d’élaboration des lois de la Constitution de 1958. C’est trop long, dit-il.
Un bon collabo des diktats, en somme.

Mais il y aura de la résistance, seule bonne nouvelle.

Chaloux dit: à

Tu as raison, tu n’es qu’un petit merdeux, Picola. Je me demande ce que je fous là.

Bonnes vacances,

bérénice dit: à

rentréE, sorry.

la vie dans les bois dit: à

« Passque là dedans, pirsonne est un salaud » – Quadruppani traducteur de Camilleri, et la déconstruction de l’idéologie du « bon français »

https://languesdefeu.hypotheses.org/539

C’est tout le talent de Quadruppani de se mettre au service des subtilités de langage de ce monument italien contemporain, qu’est A. Camilleri.

Nicolas dit: à

Vogue, va, vole mon petit Chaloux. Adieu

Sergio dit: à

bérénice dit: 18 juin 2017 à 20 h 08 min
a partir de 120 on peut faire médecine, 125?

De quarante à soixante ; après, c’est beaucoup trop. Et puis savoir reconnaître le deux et le cinq pour les vingt-cinq euros…

la vie dans les bois dit: à

sergio, au pire, essayez l’homéopathie, c’est pas cher, ça doit être bon pour votre mal du toubib.

Widergänger dit: à

Delaporte frère jumeau de Chaloux… Les deux plus crétins de ce blog ! Qui se ressemble s’assemble.

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 18 juin 2017 à 22 h 32 min
l’homéopathie

Parfaitement d’accord, le jour où je trouve un système sérieux même le vaudou qui marche un peu mieux que ces porcs, j’hésite pas quitte à vider la caisse !

Widergänger dit: à

Najat Belcassetout est enfin hors jeu !

la vie dans les bois dit: à

sergio, les psys qui vont soigner votre débilité, vont certainement prendre plus cher :« similia similibus curantur »,
votre ordonnance: valériane+ hellebore, mix non dilué ch. Si ça va pas mieux, faites le 112.

la vie dans les bois dit: à

@Najat Belcassetout est enfin hors jeu !

on voit qu’il y a, bien gras, qui lisent « jalousement ». Comme d’autres aiment  » farouchement »

Son adversaire, à l’encienne ministre de l’E.N., est un pro des jeux vidéo, je vous l’ai signalé. Pauvre crétin.

la vie dans les bois dit: à

« l’encienne » n’est pas une faute. C’est un néologisme qui m’appartient.

Widergänger dit: à

Et Fillon dans tout ça… ?

la vie dans les bois dit: à

@Et Fillon dans tout ça… ?

Un cap’

Delaporte dit: à

« Delaporte frère jumeau de Chaloux… »

Mauvaise pioche, Wgg : si vous saviez analyser un peu ce qui s’écrit, vous auriez constaté que je suis très différent de Chaloux. Mais avec vous, Wgg, l' »approximation » règne partout, et pas seulement dans les citations. Avec vos ambitions à la pédanterie, si j’étais vous, je garderais un silence majestueux… pour être sûr de ne pas me tromper. Car le crétin, c’est surtout vous, en fait.

Delaporte dit: à

Je rappelle la phrase époustouflante de Wgg il n’y a pas deux jours :

« Faire des approximation de citation est la preuve au contraire manifeste que non seulement on a lu l’ouvrage en question mais qu’on l’a profondément médité. »

Qui est le crétin, ici ???

Widergänger dit: à

Dela porte des chiottes comme disait JC, qui n’en ratait pas une…!

Widergänger dit: à

Le PS anéanti ! Ils ont voulu jouer avec le feu, et…

Delaporte dit: à

Widergänger dit: 18 juin 2017 à 23 h 10 min
Wgg ne sait plus quoi répondre, sinon en citant un autre internaute. La débâcle, à force d' »approximations »…

Widergänger dit: à

Le seul qui avait prévu que le nouveau président qui sortirait serait un inconnu, c’est…J. Attali ! Une fois de plus.

Delaporte dit: à

« Le seul qui avait prévu que le nouveau président qui sortirait serait un inconnu, c’est…J. Attali ! »

Attali, la Mme Irma de la politique-spectacle !

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 18 juin 2017 à 23 h 21 min
Le seul qui avait prévu que le nouveau président

Bien sûr, grosse motte de gras jaune, il était en train de le fabriquer.

Chaloux dit: à

Demandons plutôt à ce mythomane où en sont ses trois volumes.

« Widergänger dit: 12 avril 2014 à 11 h 55 min
J’ai largement avancé, mon bon Baroz ! Il y a trois tomes maintenant (Vie sans éclat, éclat de vie ; Ce qui nous traverse ; Le sceau de Salomon). J’écris aussi Trente-trois sonnets funèbres ; seuls trois ont été écrits pour le moment ; Je poursuis le recueil de poèmes consacrés à Marusa (Gratitude du chagrin) ; je traduis Peter Härtling, son receuil de deux nouvelles paru en 2013 (Tage mit Echo/ Echo des jours ; la première est une fable sur la fin d’un monde avec l’idée de consacrer des lectures publiques aux derniers romans écrits par des auteurs connus (Fontane, Faulkner, Johnson, Döblin, Joseph Roth, Flaubert, Max Frisch, Paul Kornfeld) et la seconde se passe à la fin du 18ème siècle ; c’est une fable sur l’Europe à travers l’histoire de Carl Fohr, dont on peut voir les dessins et des toiles à Heidelberg ; j’ai quasiment fini de traduire la première nouvelle et bien entamé la seconde). Après, si j’arrive à placer Härtling chez un éditeur, je vais traduire la nouvelle de Volker Weidermann sur Joseph Roth et St. Zweig ; et ensuite le dernier tome du Journal de Max Frisch écrit à Berlin, qui vient juste de paraître en Allemagne (un article intéressant de Volker Weidermann à son sujet dans la FAZ). Après, je vais écrire un roman qui va s’intituler En chemin et qui va se passer du moins au début à Cordou dans la grande mosquée. Voilà. »

Et oui… voilà.

Chaloux dit: à

 » J’écris aussi Trente-trois sonnets funèbres ; seuls trois ont été écrits pour le moment  »

Il suffisait peut-être de changer le titre : Trois sonnets funèbres.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…envie de rien dire,!…
…pourtant, aux  » ?!, jeux « ,…des sept familles et ou autres matières en logiques-animées,!…
…s’assumer dans les contraintes,!…
…et aux métiers des spécificités différenciées de tout acabits à nos émulations des productions,
…déjà, à l’infirmerie,!…il nous faut des substrats d’ouate, de gaze, de l’eau, des pansements, une certaine expérience, du doigté,la délicatesse de votre savoir-faire, optimisé,!…
…en quelque sorte vous vous prenez en charge, du mieux que vous pouvez,tout seul,!…et c’est pas la première fois,!…

…et, faire la politique, au moins s’engager, a respecter les visions promises, pour respecter et développer ses promesses d’éligibilité,!…

…autrement dit,…les ordures c’est pas nous,!…et, les soins, donner les  » yeux fermés aux disciples avisés,!…
…des détails qui montrent, les insuffisances dans la pratique des soins, par le personnel soignant, of course, le profit du temps et l’économie des matières, …presque du sabotage de soins,!..si, si,!!!

…le mot resquiller ses soins, garde sa valeur portée,!…infinitésimal,!…
…ainsi, nous avons des gouvernements qui nous resquilles les soins politiques des confiances obtenues,!…

…mais, c’est coutant,!…
…pour qu’elles qualités de soins avez-vous optez,…donnez votre accord,!…
…dites, vous faite médecin,!…ou pâtisserie d’emplâtres,!…

…une bonne chose à s’habituer,…une vidéo de vos soins avec détails,!…assurer, la confiance des gens compétents,!…

…copie/coller? sa maison en construction, en vidéo,!…les structures, les maçonneries, le béton-armé,!…la finition,!..
…et j’en passe,!…
…tout, les travaux, pour une autre sécurité du propriétaire,!…
…ou bâtir pour des abrutis,pour faire maison close, aux Alpes,!…
…vacances de neiges,!…à se fendre d’émotions,!…j’en passe,!…Bip,Bip,!…
…les dossiers, plus pointus à l’extrême,!…resquillez le risque du bénéfice du doute, de profiter du malade, pour son profit à long terme,!…

…Oui,!…refaire l’opération, les yeux fermés, c’est pour un concours entre collèges,!…en prime un voyage sur Mars, après l’an 3.000,…
…le rapport de ne pas être respecter sous le bistouris ou les gouvernants,!…c’est tout,!…
…et votre appendice,!…se faire du fric, sur les cadavres,!…à imaginer, des livres,!… etc,…

Delaporte dit: à

Chaloux dit: 18 juin 2017 à 23 h 37 min
Très bel exemple du surmenage intellectuel complètement vide de Wgg. En lisant ces lignes, pas besoin d’être psychiatre pour préconiser une longue cure de repos, très longue…

tristan dit: à

« Attali, la Mme Irma de la politique-spectacle ! »

Attali spécialiste des rêves prémonitoires. C’est qu’ils sont connus les songes d’Attali !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la sévérité pointue, pour soi-même, à nos performances,!…

…et vous avez choisi, les beaux-arts,!…
…vous avez du beau-jeux,!…

…se faire, uns grosse tête,avec des riens,!…agglutiner en abstention,!…
…Ah,!Ah,!…
…pourquoi pas le vote électronique, un Casino d’élection,!…tourner manège,!…
…Tutti Quanti,!…une bière,!…
…c’est profond au ralenti, sans sucre la bière,!…etc,!…

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*