Le voyage de Simon Liberati au bout de l’horreur
Le massacre de Sharon Tate, la femme de Roman Polanski, et de ses amis, dans sa villa de Los Angeles le 8 août 1969. L’affaire a fait les choux gras de la presse pendant des semaines. C’est la matière de California girls (342 pages, 20 euros, Stock) de Simon Liberati. L’auteur de Eva, qui nous avait soufflé l’an dernier, revient avec cette histoire atroce.
Il la raconte par le menu, de la préparation du crime à la veille du procès en se focalisant sur les trente-six heures qui ont entouré le passage à l’acte. Ses sources : le dossier de presse et le dossier judiciaire. Il les emmêle et les noue avec doigté. L’enquête personnelle n’est pas le problème de ce genre de projet. Ce qui compte, outre l’imprégnation (les lieux, leur atmosphère, le ressenti de l’époque, sa couleur et ses odeurs) c’est le parti pris romanesque, le point de vue. Liberati y est et nous avec. Tant et si bien qu’on a l’impression de lire un roman traduit de l’américain. Mais du meilleur dans la veine des gonzo reportages de Hunter S. Thomson. La prouesse est de conserver un style classique de grande tenue tout en se mettant dans la peau de l’assassin Charles Manson, gourou mystique d’1,54 mètres qui évite d’assister aux meurtres qu’il organise tant il perd le contact avec le réel, y envoie ses femmes massacrer à sa place, manipulant sa secte de minables hallucinés de la communauté de Spahn Ranch, une vraie bande de cons bourrés de bière et de drogues diverses et avariées (Orange Sunshine pour ne citer que les moins nocives des acides).
A l’issue de leur voyage au bout de cette nuit de volupté dans la torture, le calvaire, l’agonie et la lente mise à mort (« Le bal des vampires » titra Paris-Match dans un accès d’érudition cinéphilique), ils ont même réussi à trouver un appui complaisant chez des ténors de la contre-culture qui ont mis là à côté de la plaque (Jerry Rubin) ou d’intellectuels qui ont refusé de les condamner. Peut-être parce que cela marquait la fin de l’utopie libertaire des années 60. C’était un temps où le gouvernement américain s’inquiétait des rapprochements entre les mouvements hippie et yippie, les Blacks Panthers et les partisans de l’insoumission à la guerre du Vietnam.
La musique est omniprésente tout au long de cette exploration du Mal. D’abord celle que cette écriture dégage, puis celle du récit, enfin celle des dialogues entre les protagonistes. Et puis il y a l’autre musique, la bande originale, puissamment identifiée aux années 1965-1969. Elle la fait résonner dès le titre du roman California Girls, titre d’un morceau des Beach Boys. Le reste de la playlist est constitué du California Dreamin’ des Mamma’s & The Papas, The Stooges, MC5 et de l’album blanc conçu par les Beatles lors de leur séjour dans l’ashram du Maharishi Mahesh Yogi. Il est vrai que, dans son cerveau malade, Charles Manson a entendu un appel au meurtre en écoutant en boucle Honey Pie et surtout Helter Skelter au grand étonnement de John Lennon (« mais c’était juste du bruit… » commentera-t-il plus tard, ce qui n’était pas très amène pour Paul McCartney qui l’avait composée) ; c’est encore pire avec Piggies, composée dans ce même album par George Harrison qui s’y moquait des membres de l’establishment qualifiés de « cochons » quitte à caricaturer la bourgeoisie non sans lourdeur, morceau que la Famille Manson entonnait en chœur dans la voiture en repartant de leur boucherie : elle leur avait « inspiré » d’écrire Pig (« flic ») à l’entrée de la maison et sur les murs en lettres de sang « pour que les flics pensent que c’est les négros qui ont fait le coup » ; et de l’aveu de Manson à son procès, il s’était contenté de prendre au pied de la lettre, de manière certes un peu appuyée, l’une des paroles de la chanson :
« What they need’s a damn good whacking/ Ce dont ils ont besoin, c’est une bonne fessée.
Liberati écrit superbement. Il marie subtilement une langue très maitrisée avec l’idiolecte de cette bande de freaks. Ca sonne terriblement juste. Pas un mot de trop, pas d’abus, pas d’exagérations comme c’est le cas ailleurs lorsqu’un auteur prétend écrire comme les autres parlent. Il est à son meilleur lorsqu’il évoque le pouvoir de fascination de Charles Manson, expert en manipulation :
« Charlie se tourna vers elle comme s’il avait lu ses pensées. Il savait mettre une telle intensité dans un seul regard qu’il la fît aussitôt douter. Au procès, tous les jurés avoueraient aux journalistes avoir baissé les yeux devant Charles Manson. Il pouvait rester une demi-heure à fixer quelqu’un sans ciller. C’est à cela que lui servait toute la violence subie, l’absence de tendresse, les nuits de peur passées en milieu carcéral depuis l’âge de treize ans : à récupérer la dette dont toutes les femmes et tous les hommes sans exception lui étaient redevables. »
Le malaise à la sortie de la lecture n’en est que plus grand. Je ne saurais dire si l’auteur a été complaisant mais il ne fait guère de doute que la précise et minutieuse description de l’horreur l’excite, qu’il y prend goût -allez voir sur le web les images du massacre si le (haut le) coeur vous en dit. Il y en a des dizaines et des dizaines de pages. On veut croire qu’elles sont indispensables à son exploration du Mal. Que rien n’est gratuit dans sa désarticulation de la sauvagerie et sa mise à nu de ses personnages dont il fait des animaux mythologiques. Pas un détail macabre ne manque au meurtre de ces cinq personnes à coups de couteau. Tout sur l’art et la manière d’éviscérer une femme enceinte de huit mois. Il y en aura certainement pour trouver cela gore. A ceci près que son empathie ne provoque pas la nôtre ; elle est telle qu’il se met dans la peau de chacun ; mais lorsqu’il souffre à la place de Sharon Tate, c’est aussi obscène que BHL racontant en détail à la place de Daniel Pearl sa souffrance dans son cachot quand les talibans l’égorgent.
Glauque tout ça, quand même, sordide et souvent insoutenable. L’une des lectures les plus dérangeantes de la rentrée littéraire (qui commence aujourd’hui) est celle qui fait de nous des voyeurs à l’insu de leur plein gré. Mais quel livre !
(« Chez les Polanski après le passage de la Famille » ; « Charles Mason à l’époque, et plus bas, il y a trois ans en prison où il purge une peine de réclusion à perpétuité » ; « Sharon Tate et Wojciech Frykowski, ami du couple, peu avant le massacre », photos D.R.)
1 039 Réponses pour Le voyage de Simon Liberati au bout de l’horreur
J’ajouterai LDVB que votre sécheresse suscite toutes vos admirations et sur l’envers vos détestations, que votre malheureux ratage vous mène à bien des destructions pour vous venger de ce destin malheureux, en raison de cela vous aimez abîmer tout ce qui est beau, tout ce qui est pur, vous rayez, vous biffez, vous griffez, vous détruisez. Très tôt il m’a été donnée d’entendre que ce n’est pas parce que l’on souffre qu’il faut faire souffrir les autres tant il est vrai que malheureux, la tendance nous entraînerait facilement à se laisser centrifuger par son propre malheur nous rendant inapte à distribuer de la bonté ou même de la neutralité qui pourrait dans certain ces passer pour de la bienveillance. N’allez pas en conclure que le dispensateur de cette pensée était un fervent catholique ou une grenouille de bénitier, c’était un noceur, musicien en herbe, amateur de femmes et d’alcool, un peu clochard céleste de qui longtemps après avoir été son amie et des années après qu’il fut parti pour un autre pays suivant son professeur, fuyant le froid et la grisaille de notre région je reçus des nouvelles pour en avoir demandées. Je n’escompte aucune modification à votre polymorphie de cette confidence qui a dépassé de longue date la prescription.
A vos liens you tube je préfère ceux de D qui nous livre les deschiens entre autres ou ceux de Pablo et Chaloux mélomanes assurés, peu-être rose christiane et les autres y trouveront leur compte, je ne les ouvre pas, toujours pas au risque de décevoir votre autoritarisme mégalomaniaque et votre ego en expansion.
La chatbot de kurzweill, vieille radasse haineuse peut s’attacher à mes basques, i’ve given my best regards to Simon Libérati, à qui je conseille le Voyage in situ.
Histoire qu’il dorme bien, même et surtout sans freudisme, comme disait M. Chagall.
Ciao, j’ai a trail to prepare.
En assistante de Liberati je vous aurais bien vu, à fouiller dans tout ce malheur y auriez-vous trouvé un calmant, un expédient, un ersatz du plaisir que vous éprouvez à la manipulation de données et au saccage de plate-bandes mais rien ne vaut un bon vrai crime aussi faut-il en déduire que vous ne seriez pas tout à fait prête pour le crime de sang. Dieu merci!
Quelle manque de classe dans l’invective, quelle manque d’élégance dans l’insulte, je me demande à quoi peuvent bien vous servir toutes ces lectures choisies si vous n’êtes pas même capable de convertir votre rage en une prose acceptable. A moins qu’il y ait dégâts un peu comme pour les eaux et que vous ne puissiez plus rien contenir laissant votre boue envahir les lignes, quel dommage sans intérêt!
votre bilinguisme ne change rien à l’affaire, il vous faudra travailler la correction, rester digne devant l’adversité, c’est important surtout quand on porte des vêtements de marc.
et des bagages en os de caïman, des pochettes serties de diamants , des montres en or, des collier de perles sauvages, est-ce que c’est du Brel? moi je t’offrirai des perles de pluie, ne me quitte pas, sniff, ne me quitte pas, sniff sniff…
colliers, pardonnez moi pour les fautes d’orthographe que je n’ai pas pris soin de signaler ou de corriger.
P’tre bien que S. Liberati serait, lui , intéressé par une consultation psycho-sexuelle hardcore dans le cabinet de l’épave éthylique de la rdl, qui signe benêtrice. Il n’aurait pad pas à faire un grand voyage.
LDVB je m’attendais à ce que souhaitiez obtenir le dernier mot , soit je bois beaucoup mais uniquement de l’eau, vous ne savez vraiment plus quoi inventer, j’avais noté votre tendance à la mythomanie mais sur un blog littéraire cela pourrait passer pour une tentative d’écriture, un effort de fiction. C’est le sujet de billet suivant, l’exo-fiction qui puise dans la biographie vérifiée d’artistes et de littérateurs pour en faire oeuvre romanesque, vous ne voudriez tout de même pas que je vous laisse, en panne d’arguments, réinventer une vie qui est exempte d’addictions ou serait-ce que vous me percevez comme une artiste à laquelle il serait utile d’ajouter quelques traits – drogue alcool sexe – pour la rendre plus rock and roll , décadente, de ce côté je n’ai pas grand chose à vendre peut-être devriez-vous vous attarder devant votre psyché pour commencer d’écrire une autobiographie dont on attendrait qu’elle soit riche en péripéties et substances licites ou non. Vous frappez à la mauvaise porte, désolée de ne pas pouvoir satisfaire votre enquête et votre esprit prompt au commérage quand ce n’est pas diffamation. Je crois que côté vie riche en inattendus et insoupçonnable la vôtre devrait suffire à alimenter l’appétit de quelques romanciers. Liberati après s’être intéressé à la prostitution adolescente s’intéresse aux stars mais enfin toujours sur le versant des mœurs, voyez avec lui si votre candidature pourrait être l’objet d’un projet littéraire, qui sait la chance vous sourira peut-être enfin .
Relire les commentaires du billet « Eva », sur la rdl, donné en lien.
Plus édifiant que le harcèlement de la chatbot éthylique qui signe benêtrice.
la vie dans les bois dit: 24 août 2016 à 13 h 51 min
merci pour ce lien là auquel j’ai pris goût ; en panne de ma carte de l’ouest américain ; suis navrée ; pourtant il me semble bien reconnaitre la grande arche en Utah (cf ci-dessous) et la route peut-être du coté de Moab avant de descendre vers, tout d’abord Monument valley avant d’atteindre bien plus au sud le grand canyon du Colorado.
http://www.roadtrippin.fr/utah/arches/album/arches-06107.jpg
un de mes films culte en remerciement, lvdlv :
https://www.youtube.com/watch?v=66CP-pq7Cx0
de Ridley Scott 1991
mettre le son à fond la caisse
le lieu du tournage est plus plus au nord que le grand, très grand, grand canyon, mais dans le même
c’est aussi ma réponse, cet extrait, à Erikson, sur la féminité : encore faudrait-il ne pas la maltraiter, Erikson.
Si vous avez lu jusqu’au bout, Gary dit je crois au couple. Il dit aussi « même si moi j’ai raté ça, je crois au couple ». Attitude éminemment intelligente. Homme rare, mon Gary.
Précisément, il écrit
Je ne connais pas d’autres valeurs personnelles, en tant que philosophie d’existence, que le couple.
Vous avez bâclé votre réponse à moi adressée, je m’en balance.
L’attitude dont on est responsable, c’est la sienne, ce n’est pas celle du voisin.
avec la vraie fin ci dessous
https://www.youtube.com/watch?v=tnKnTqu3v2c
une station service plus loin, l’homme qui a couru derrière la voiture embarque, à côté de suzan sarandon, héhé sgnarf sgnarf, pas folle la guêpe…
et dernier com. de ma part pour ce soir, ici, non les gens qui vont au musée ce n’est pas pour étaler leur culture sur des blogs. Ils y vont pour le même motif que ceux qui écrivent : parce que cela leur permet de vivre.
J’espère que vous avez pris du citrate de bétaïne et du bicarbonate de soude … (mais quel cinéma !).
Plus édifiant que le harcèlement de la chatbot éthylique qui signe benêtrice. 17h43
Anthologie des apparitions avec Eva on pourra voir qu’il
qu’il tourne autour d’un sale épicentre.
Je ne bois pas chère « vit dans les doigts ». Une nouvelle projection may be, les pervers narcissiques ont cette sale manie aussi.
Entre la chabot éthylique au stade anal et en chaleur
et la mère tape-dur qui perd la carte, tu parles de followers.
Atroce.
Vais réécouter les Beach Boys.
Entre la chabot éthylique au stade anal et en chaleur
et la mère tape-dur qui perd la carte, tu parles de followers.
Décidément « la vie entre les lèvres » pour une variante » d’entre les murs » vous attribuez à Pierre ce qui appartient à Paul mais n’étant pas femme à laisser dire ou faire n’importe quoi je vous laisserai volontiers retenir le temps entre vos lignes vous qui visiblement n’objectivez pas son passage pour tout un chacun, pourtant tant de phallus ont orné notre séjour qu’il est assez comique de vous voir mettre un frein à son avenue et règne, vous pourriez en devenir païenne pour concevoir en une prière qu’il vous délivre du mal; hélas non comme en concluait Lacan dont je mettais le lien d’une amusante démonstration, chez vous il semblerait que le rapport sexuel n’existe pas , oral anal phallique, l’étroit stade fut gommé pour accorder toute sa largesse à votre esprit qui ne s’entend qu’avec les grands et les puissants pourvu qu’ils ne figurent qu’en encre et pas en foutre.
Pour sourire encore d’un bel esprit dédié à la logique et pour mémoire qui vient à vous manquer entre deux hymens, Célimène:
https://gloplog.wordpress.com/2011/02/01/pourquoi-il-ny-a-pas-de-rapport-sexuel/
et pour l’éthymologie, une jolie citation:
Ne branlez pas sept ou huit petits paysans dans un verre pour boire le foutre avec du sucre. Cela vous donnerait mauvaise réputation dans le pays. — (Pierre Louÿs, Manuel de civilité pour les petites filles à l’usage des maisons d’éducation, 1926.)
5h05 en attente d’une levée de la modération. Rien que du culte et culturel.
test matinal
bizarre, ça veut pas passer. Je clique et je suis renvoyé directement en haut de la page.
(Pierre Louÿs, Manuel de civilité pour les petites filles à l’usage des maisons d’éducation, 1926.) (Bérénice)
Bravo ! cet opuscule génial figure en bonne place dans l’enfer de ma bibliothèque, édité chez Martineau Jérôme en 69 … belles illustrations détournées de leur sens premier.
« Ne dites pas ‘il bande comme un âne’, dites ‘c’est un jeune homme accompli’… »
« Ne dites pas ‘j’ai envie de baiser’, dites ‘je suis un peu nerveuse’… »
Pommier,
Ne désespère pas ! Je tiens à ta disposition le booklet « Les Blogs Littéraires pour les Nuls ».
Je l’ai lu. Seconde main. Je n’ai rien compris. Il est propre. Couverture à peine tâchée au Saint-Emilion chinois. J’imite la signature d’Alan Turing à merveille … Que sont 100 euros aujourd’hui ?
On me discrimine, je vais porter plainte auprès de la HALDE, écrire une tribune dans Le Monde, ça ne se passera pas comme ça.
Qui lit ce qu’est devenu Le Monde ?
laviedanslam.erde , faut arrêter de traiter de vieille radasse en chaleur etc une pauvre femme qui a l’âge de votre grand-mère et essaie d’y voir clair . Attribiuons ces insultes vilgaires machistes à votre insolente jeunesse si créative
JC….. dit: 25 août 2016 à 13 h 06 min
« Qui lit ce qu’est devenu Le Monde ? »
Les gros titres parfois des articles entre autres canards- on peut pas tout lire mais on surffffe
9 h 32 min
quel exemple pour la jeunesse
Les insultes « vieille radasse » et autre horreurs proférées parlvdm rappellent les propos de cette chère daaphnée en pleine crise de manque et jalousie , et sénilité précoce (et alcolo ?)
Cher commentateur,
les anciens abonnés de longue date, souvent pour des raisons professionnelles, au Monde vous diront quelle merbe la Joconde Mondiale est devenue : une peau de chagrin couverte de hiéroglyphes écrits au calame trempé dans l’urine gauchisante…
perliolio dit: 25 août 2016 à 13 h 10 min
« laviedanslam.erde , faut arrêter de traiter de vieille radasse en chaleur »
Combien de fois, visitant des maisons de retraite huppées dans le cadre de nos activités, n’avons nous pas risqué le pire devant des hordes de grand-mères prêtes à tout pour une dernière saillie ?….
C’est vraiment de la m… ce blog. J’ai tourné mon com dans tous les sens, fait la chasse aux mots suspects et aux idées déviantes, rien à faire.
Et bien sûr, là, ça passe !
Edmond, change de fruitier : essaie DANTES ?…
25 août 2016 à 13 h 27 min
même le figa ro vous paraît ‘gauchiste’ alors
à 13 h 53 min
c’est qui qui s’en occupe? un robot?
En réponse -tardive- @25 août 2016 à 13 h 10 min,
parmi la quinzaine de commentateurs de ce blog, ‘perliolio’ se distingue assez peu du reste de la meute, qui erre dans quelque cercle infernal.
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rarement une rentrée littéraire, n’aura suscité aussi peu d’intérêt.
mais à l’Ouest il semble quand même qu’il y ait du nouveau, autre que « violence », « atrocités », qui plaisent tant à saint germain des prés et affidés couillus, comme dit Phil.
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