Aragon, les chutes d’une oeuvre
Maintenant que Louis Aragon a été enfin consacré comme un classique moderne sinon un monument national, à l’heure où l’on peut prononcer son nom et citer les titres de ses livres avec admiration sans éprouver l’obligation de les assortir d’une préposition restrictive (malgré… bien que… en dépit de… ) généralement suivie d’une évocation de son rôle au Pcf ou de son silence face au goulag, nombre de lecteurs vont peut-être le découvrir enfin avec un regard neuf. La parution du premier tome de l’impressionnante biographie que lui consacre Pierre Juquin (Aragon, un destin français 1897-1939, 791 pages, 29,90 euros, Editions de La Martinière) les y aidera peut-être ; les « Spécial Aragon » de quelques gazettes aussi, encore que celles-ci nient l’apport des chercheurs, en se passant purement et simplement de les citer ou de leur rendre hommage, mais sans se priver d’utiliser leur travail. Raison de plus pour y aller voir de plus près sur le site de l’Institut des textes et Manuscrits Modernes (Item). L’ « Equipe Aragon » y a été sollicitée par son directeur Luc Vigier (Université de Poitiers) pour se livrer à un inhabituel exercice d’ego-histoire afin de se confier sur ses rapports avec les papiers de l’écrivain, fonds aussi riche, divers et considérable que son œuvre. Autant de voix d’expérience pour faire résonner les avant-textes de l’écrivain.
Nous sommes là dans la fabrique de l’écrivain, l’atelier de l’artiste, sur les pas de ceux qui suivent son tremblé, ses hésitations, ses repentirs à la trace. Ils se livrent avec une sensibilité faite simplicité et de naturel au risque de l’émotion, même si l’on doute que cela désarme jamais les esprits les plus critiques vis à vis des généticiens de la littérature. De quoi s’agit-il si ce n’est d’essayer de comprendre comment s’est élaborée l’organisation interne de l’œuvre, et l’histoire de son architecture ? Aragon écrivait à l’encre bleue et corrigeait au feutre orange ; il pratiquait le copier-coller avec les moyens d’antan (ciseaux et ruban adhésif). Ils le savent mieux que quiconque, ceux qui ont épluché ses tapuscrits annotés, papiers divers, documents, cartes postales, lettres privées et publiques, articles, préfaces, romans prépubliés, réédités, corrigés, annotés, papiers personnels, dossiers de la Sacem, jusqu’aux images découpées pour se représenter les uniformes des soldats et des mousquetaires du roi utilisées pour La Semaine sainte ! Tout ce qu’Aragon a appelé « mon écriture » lorsqu’il a fait don de ses cartons d’archives au CNRS (et encore, tout n’y est pas, le reste se trouvant principalement à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet et à l’université d’Austin, Texas) sans se douter de la charge émotive qu’y trouveraient les chercheurs. Son inventaire tient registre d’une suractivité permanente car écrire était sa méthode de pensée. On conçoit que sa consultation donne le vertige aux chercheurs les plus éprouvés avant de leur offrir la bonheur d’entrer dans l’intimité d’une œuvre.
Nicolas Mouton, qui a pu consulter les « brouillons de la parole » des enregistrements audio-visuels et des entretiens, assure qu’on n’y trouve pas que des secrets de fabrication. Le non-diffusé (conversations précédant l’entretien, propos écartés, réponses bancales, tout ce qui saute au montage) montre un écrivain au travail, mais aussi soucieux de son style à l’oral qu’à l’écrit, également préoccupé de la construction de l’entretien et de son intrigue. En dédicaçant à l’auteur de Parlez-vous franglais ? la transcription de ses Entretiens avec Francis Crémieux, Aragon avait écrit : « A Etiemble, en m’excusant pour le frandio », inventant ainsi un exquis néologisme sur le français tel qu’on le parle à la radio, dont on s’étonne qu’il n’ait pas fait fortune depuis.
Sa graphie, assez ronde jusqu’à paraître scolaire, est un cadeau pour un chercheur, dût-elle parfois se miniaturiser et couvrir toute la page au mépris des marges, d’ordinaire le lieu privilégié du remords. Daniel Bougnoux, qui a beaucoup étudié les manuscrits pour l’édition de la Pléiade, confie avoir été frappé par un phénomène remarquable :
« La fréquence avec laquelle le bas de la page manuscrite coïncide avec un saut de page ou de chapitre dans le texte final. Aragon, autrement dit, semble composer en obéissant au format matériel du papier, ou en anticipant la place que celui-ci lui laisse, pour mettre d’accord la fin de la page avec la fin de l’histoire. Je m’explique mal cette coïncidence, très souvent vérifiable ; elle suggère un curieux tour d’écriture, comme si sa propre imagination se coulait dans la surface matériellement disponible »
Non moins étrange est la volupté que l’auteur éprouvait à se recopier, alors que pour la plupart, la tache est tenue pour assez ingrate. Il allait même jusqu’à reporter les ajouts d’un tapuscrit à l’autre. Daniel Bougnoux (Université Stendhal/Grenoble) se demande s’il faut y voir une marque supplémentaire du bizarre narcissisme d’Aragon écrivant : « Notre homme a besoin d’écrire, il s’écrit (à l’accusatif-datif de la construction de ce verbe), il n’a de vie ou de pensée qu’écrites, dût cette graphomanie dévorer ses nuits » conclut le chercheur. Julie Morrison, quant à elle, se dit frappée, à la relecture des textes originaux de Blanche ou l’oubli ou de La Mise à mort, de ce que la phrase d’incipit ne soit pas la seule à enclencher l’écriture, chaque parcelle du roman en faisant tout autant, poursuivant une relance sans fin. C’est aussi que, comme le remarque Nathalie Piegay-Gros (Université Paris-Diderot), qui s’est particulièrement penchée sur La Semaine sainte, il était de la race des écrivains hantés par la redoutable perspective de finir. Mais selon elle, cette frayeur prenait chez lui un tour encore plus préoccupant car elle se manifestait même à l’échelle du paragraphe :
« Les différents états du texte manifestent une propension évidente à l’ajout, comme s’il fallait contrevenir à l’achèvement d’une séquence narrative. Lorsqu’il publiera le roman dans les Œuvres Romanesques Croisées, Aragon augmentera encore son roman. Relire, pour lui, c’est très rarement couper, supprimer ; c’est le plus souvent reprendre pour ajouter, à la phrase, au paragraphe, au chapitre. »
Impossible de parler d’Aragon sans évoquer son fameux « mentir-vrai » devenu une telle tarte à la crème jusque dans l’universel reportage médiatique que, ainsi que le relève Maryse Vassevière , il n’y est plus envisagé que sur le versant du « mentir ». Or le mentir-vrai des manuscrits, est précisément ce que l’écrivain ne jette pas aux orties, « ce qu’il offre comme un « puzzle détruit » avec un brin de mise en scène qui ne nuit en rien à la clarté des choses mais y introduit seulement une bénéfique dose de relativité ». Au delà de la névrose de l’inachevé, commune à tant d’artistes, l’étude des manuscrits de l’Œuvre Poétique révèle plus encore qu’Aragon avait beaucoup de mal à se dessaisir si facilement de son œuvre : « Recherchant les documents susceptibles de l’éclairer et les publiant dans l’Œuvre Poétique, Aragon se fait à la fois son propre chercheur, éditeur et commentateur. Tout en se remémorant son cheminement, en dressant la généalogie de son œuvre, il dramatise les étapes de son parcours et souligne l’importance des traces » estime Josette Pintueles. Au fond, il est le chercheur de lui-même. Il prépare le terrain à ses successeurs. A eux de déjouer les leurres, pièges, chausse-trapes, erreurs, confessions et aveux d’un homme qui aima écrire plus que tout. Ce qui s’appelle écrire.
(« Aragon fin de partie » photo Kipa; « Aragon en 1925 » photo Man Ray)
534 Réponses pour Aragon, les chutes d’une oeuvre
En fait, les seules fois où je suis allé Place Clichy, c’était pour me rendre chez Castorama.
Oui, c’est chouette la poésie d’Aragon. Mais c’est un peu mièvre aussi…
Baroz, les spécialistes de la question sont très critiques du Qatar, qui joue un double/ triple jeu avec salto arrière assez mortifère. MLP se contente de piquer là où elle pourra faire son immonde tamblouille interne: elle n’a jamais mis les pieds dans un pays du Golfe, elle est nulle en géopo, elle est engluée dans la glaise…
Lisez Pierre Conesa, La fabrique de l’ennemi, poltiquement à l’exact opposé du FN, ou les articles d’Abdelwahab Meddeb dans Leaders, le magazine d’info tunisien en ligne. Difficile de soupçonner l’auteur de Contres Prêches de collusions fafesques.
Si les juxtapositions valent pour les anthologies, au-delà, comme disent les Anglais, you’re jumping to conclusion…
chouette alors, revoilà Clopine !
Ça nous fait un point commun, D., moi aussi je vais au Castorama de temps en temps quan d j’ai besoin de bricoler. Faudrait que j’y aille là justement mais j’ai pas envie.
Ah, mais si Clopine pousse encore la chanson, c’est que tout va bien !
Salut mec, ça va, tu vas bien
On se présente, mais non tu connais déjà
On est là pour te pomper
T’imposer sans répit et sans repos
Pour te sucer ton flouze
Ton oseille
Ton pognon
Ton pèze
Ton fric
Ton blé
Tes économies
Tes sous
Ton salaire
Tes bénefs
Tes bas de laine
Tout ce qui traîne
C’que tu as sué de ton front
On te le sucera jusqu’au fond
On est là partout
Même quand tu joues
Pauvre idiot, on est là partout
Le loto, c’est nous
Le bingo, c’est nous
Le tiercé, le quarté , le quinté
C’est encore nous
Le quinté plus, on te re-suce
Faut qu’tu craches, faut qu’tu payes
Faut qu’tu craches, faut qu’tu payes
Pas possible que t’en réchappes
Nous sommes les frères qui rapent tout
T’a pensé à payer ta
Taxe foncière
Taxe immobilière
Taxe professionnelle
Taxe sur le personnel
Taxe d’apprentissage
Taxe si t’es pas sage
Taxe sur tout ce qui bouge
Sur tes clopes et sur ton rouge
Sur tes cachets d’aspirine
Sur ta vodka, sur ton gin ah ! ah !
Majorations relevées
Vignettes et timbres fiscaux
Cartes grises et assurance auto
PV droit d’immatriculation
Crache, crache
Essence, péage, héritage, partage, ménage, concubinage
On est là à tous les étages
Nous sommes URSSAF, CANCRAS et CARBALAS
Qui que tu sois, quoi que tu fasses
Faut qu’tu craches, faut qu’tu payes
Pas possible que t’en réchappes
Nous sommes les frères qui rapent tout.
Je t’offre un pot !
Et oui un pot
Impôts fiscaux
Impôts locaux
Impôts directs
Et indirects
Impôts fonciers
Impôts rentiers
Impôts sur les grandes fortunes
Impôts même si t’as pas de tunes
Impôts sécheresse
Impôts richesse
Impôts nouveaux
Impôts rétros
Impôts recto
Impôts verso
Impôts sur le revenu
Impôts sur les revenants
Nous sommes URSSAF, CANCRAS et CARBALAS
Qui que tu sois, quoi que tu fasses
Faut qu’tu craches, faut qu’tu payes
Pas possible que t’en réchappes
Nous sommes les frères qui rapent tout.
Penses à nous, penses à nous
Tu sais ce que ça veut dire IFA
Impôts forfaitaire annuel
C’est moi qui l’ai inventé
Cotisation supplémentaire de 0,1%
Contribution sociale de solidarité
Attends, attends, c’est pas fini
Majorations, relevés
Charges sociales et plus value
Cotisation pré-retraite
T’as pensé à payer la
Taxe foncière
Taxe immobilière
Taxe professionnelle
Taxe sur le personnel
On est là pour te pomper
T’imposer sans répit et sans repos
Pour te sucer tout ton flouze
To oseille
Ton pognon
Ton pèze
Ton fric
Ton blé
Tes biftons
Tes ronds
Tes actions
Tes sicav
Ton liquide
Tes pourliches
Ton salaire
Tes bénefs
Tes magots
Tes lingots
Tes napos
Tes bas de laine
Tout ce qui traîne
Ce que t’as sué de ton front
On va t’le sucer jusqu’au fond
Nous sommes URSSAF, CANCRAS et CARBALAS
Qui que tu sois, quoi que tu fasses
Faut qu’tu craches, faut qu’tu payes
Pas possible que t’en réchappes
Nous sommes les frères qui rapent tout.
Salut !TVA bien !
Toi qui croyais gagner dans l’ombre
Tu vas te retrouver avec un prélèvement sans gain
Nous sommes URSSAF, CANCRAS et CARBALAS
Qui que tu sois, quoi que tu fasses
Faut qu’tu craches, faut qu’tu payes
Pas possible que t’en réchappes
Nous sommes les frères qui rapent tout.
Nous comprenons votre douleur
C’est une triste disparition
Mais dans votre malheur
N’oubliez pas de régler vos droits de succession
Au nom du père, du fisc, du cent pour cif.
La prochaine fois, Thierry, je vous ferais visiter le cimetière situé près de la place Clichy : un itinéraire qui ira de Berlioz à Dalida !
il y aurait plusieurs islams ?
Qu’importent les Infidèles. En notre beau pays de France, il n’est de christianisme que celui de l’Eglise apostolique et romaine d’avant Vatican II. Notre bonne paroisse de Saint Nicolas du Chardonnet en est le plus beau fleuron. Ite missa est.
Thierry non plus n’a rien contre le petit peuple, je pense, mais il est comme Daaphnée et moi, il ne mélange pas les slips et les caleçons.
En revanche je me sens très bien au milieu des jeunes bourgeoises sur les larges trottoirs du bon marché ou dans les allées de la Grande Épicerie. Souvent je les conseille, d’ailleurs, parce que quand elles ne savent pas elle arborent un petit air pincé et désespéré qui me fait un peu pitié.
Après, ce serait le chocolat chaud aux Deux magots comme nous faisons quand il fait froid.
Mais ce n’est pas une obligation.
C’est être gourmand, c’est tout.
De la part d’Eluard
Ode à Staline (1950)
Staline dans le coeur des hommes
Sous sa forme mortelle avec des cheveux gris
Brûlant d’un feu sanguin dans la vigne des hommes
Staline récompense les meilleurs des hommes
Et rend à leurs travaux la vertu du plaisir
Car travailler pour vivre est agir sur la vie
Car la vie et les hommes ont élu Staline
Pour figurer sur terre leurs espoirs sans bornes.
Et Staline pour nous est présent pour demain
Et Staline dissipe aujourd’hui le malheur
La confiance est le fruit de son cerveau d’amour
La grappe raisonnable tant elle est parfaite
A la gloire du Guépéou (1931)
Il s’agit de préparer le procès monstre
d’un monde monstrueux
Aiguisez demain sur la pierre
Préparez les conseils d’ouvriers et soldats
Constituez le tribunal révolutionnaire
J’appelle la Terreur du fond de mes poumons
Je chante le Guépéou qui se forme
en France à l’heure qu’il est
Je chante le Guépéou nécessaire de France
Je chante les Guépéous de nulle part et de partout
Je demande un Guépéou pour préparer la fin d’un monde
Demandez un Guépéou pour préparer la fin d’un monde
pour défendre ceux qui sont trahis
pour défendre ceux qui sont toujours trahis
Demandez un Guépéou vous qu’on plie et vous qu’on tue
Demandez un Guépéou
Il vous faut un Guépéou
Vive le Guépéou véritable image de la grandeur matérialiste
Vive le Guépéou contre Dieu Chiappe et la Marseillaise
Vive le Guépéou contre le pape et les poux
Vive le Guépéou contre la résignation des banques
Vive le Guépéou contre les manoeuvres de l’Est
Vive le Guépéou contre la famille
Vive le Guépéou contre les lois scélérates
Vive le Guépéou contre le socialisme des assassins du type
Caballero Boncour Mac Donald Zoergibel
Vive le Guépéou contre tous les ennemis du prolétariat.
Arrêtez tout !
Vous salissez le Monument national. Pierre Juquin ne va pas en vendre un, 791 pages 29,99 euros, et nous courrons le risque insensé qu’il n’écrive pas un tome II …
On ne devrait jamais toucher la main d’un humain sans avoir réfléchi au préalable aux usages qu’il a pu en faire.
Nous avions tous compris, d., que vous n’aimiez pas le mélange des nationalités et des ethnies. Que vous ayez en plus peur des travesties tombe sous le sens.
Bien entendu, quand je parlais de travelos de la place Clichy, c’était en fait une image. Ce qui me dérange, moi, place Clichy, c’est la saleté des rues et le coté « trash » du quartier.
Vous pourriez être tweety, une andouille qui n’a pas encore compris, que le mot racisme désigne le fait de se croire supérieure à une autre race. Constater que des ethnies produisent plus de beauté physique que d’autres, ne tient pas du racisme (connotation toujours négative), mais d’un bon quotient d’intelligence visuelle…
Vous me décevez, Thierry, par votre manque de relativité.
Lorsque vous êtes à Montreuil, demandez-vous si votre peau blanche contribue à l’agrément visuel de vos voisins. C’est une question de courtoisie.
Voyons, Thierry, vous savez bien que tweetie est JC. Ne faites pas semblant de l’ignorer. Pour le reste, je suis entièrement d’accord avec vous, comme (presque) toujours.
Ode à Staline (1950)
A la gloire du Guépéou (1931) (cités par Pouraragon)
Il urge que les thuriféraires inconditionnels d’Aragon (et d’Eluard) relisent « Le Déshonneur des poètes » de Benjamin Péret
Mais je comprends votre confusion, cher Thierry. Il m’arrive de me contredire, je l’avoue.
Daaphnée ne met que des baskets à talons hauts. (rédigé par D)
Des rangers
Ce qui m’étonne le plus, Thierry, c’est que vous ne me reconnaissiez pas quand je signe John Brown.
Aragon est la preuve qu’on peut être un très grand écrivain et écrire de sacrées conneries.
« au moins, Aragon, lui, est mort en disant « je chante pour passer le temps » (rédigé par Clopine Trouillefou)
Qu’est-ce que vous nous chantez là ? Il est mort aphasique. C’est du moins ce que j’ai lu dans la bio de Juquin.
À propos du Mali :Les Juifs du Touats … et … C’était au Mali
Par Bernard CH
Après le massacre de 400 000 juifs par les romains en Cyrénaïque, les rescapés traversent le Sahara et s’installent dans les oasis … leur empire va durer près de 1 300 ans … aujourd’hui on peut retracer leur histoire
Dans le sud Saharien a existé pendant des centaines d’années un Empire juif, l’Empire Juif du Touat, un Empire sans empereur, ni vie civique, un Empire confectionné par plusieurs villes confédérées établies dans les grandes palmeraies.
Ces juifs, en quête de paix et de repos, après les massacres perpétués par les troupes romaines en Cyrénaïque se sont installés dans des Oasis, lieux de rencontre des caravaniers qui traversent le désert du Nord au sud, de l’est à l’Ouest, lieux privilégiés pour les Marchés, lieux où l’on échange, on vend, on achète, des lieux devenus prospères.
Ces hommes construisent des systèmes d’irrigation sophistiqués les Foggaras, ils creusent des puits. Des le second siècle, les juifs introduisent et domestiquent le dromadaire venu d’Orient, c’est une révolution.
L’ancien empire du GHANA, a été fondé par des hommes blancs (Tarikh es Soudane) vers l’an 300. Or, selon M. Delafosse, ces rois blancs auraient été des Juifs chassés par les persécutions romaines de Cyrénaïque, vers 118. et qui auraient transité par l’Empire du Touat.
Ils venaient en effet de l’Empire du Touat situé au sud du Sahara à la lisère du Mali, du Niger et du Sud de l’Algérie.
La Reine des [Touaregs] Tin-Hinan issue de tribus juives du sud marocain était très proche de cet Empire.
Petit à petit ils se sont mélangé aux autochtones, aux esclaves venus du Sud, Ils ont accueilli les voyageurs, les ont abrité, ont aussi accueilli les premiers musulmans au VIIIème siècle, surpris eux aussi de rencontrer dans un milieu si lointain, entre les fleuves Sénégal et Niger le peuple du Livre et la Torah. Deux géographes arabes en témoignent, il s’agit d’El Bakri et d’Al Idrissi.
Mauvaise Langue est la preuve qu’on peut être un très grand commentateur et écrire de sacrées conneries.
« Ce qui m’étonne le plus, Thierry, c’est que vous ne me reconnaissiez pas quand je signe John Brown. » (rédigé par D.)
Thierry n’est pas très physionomiste. Il ne me reconnaît pas non plus quand je signe D.
« Aragon est la preuve qu’on peut être un très grand écrivain et écrire de sacrées conneries. » (rédigé par Mauvaise Langue)
C’est pas possible. Voilà ML qui fait dans la nuance. C’est vrai qu’il pleut à verse.
Je vous appelle à la vigilance, loulou.
L’attitude de Mauvaise Langue est exemplaire par son sens de la fidélité.
Il est le seul touriste à Machu Pichu (où Daaphnée m’avait accompagnée en sandales, mais elles étaient ravissantes) que j’ai entendu discuter avec les Indiens pour leur demander si leurs ancêtres n’écrivaient pas en lettres carrées.
« L’ancien empire du GHANA, a été fondé par des hommes blancs (Tarikh es Soudane) vers l’an 300. Or, selon M. Delafosse, ces rois blancs auraient été des Juifs chassés par les persécutions romaines de Cyrénaïque » (rédigé par Mauvaise Langue)
Si j’en crois M. Delahousse, les Sioux auraient été des Juifs chassés par les persécutions mongoles.
« Petit à petit ils se sont mélangé aux autochtones, aux esclaves venus du Sud, Ils ont accueilli les voyageurs, les ont abrité, ont aussi accueilli les premiers musulmans au VIIIème siècle »
Dès que ML croit discerner la présence de Juifs dans le coinsteau, sa vision de l’Histoire tend vers un irénisme béat. On ne voit pas les choses tout à fait de la même façon du côté de Gaza, mais bon…
Clopine Trouillefou ne trollerait plus?
Un coup de prozac et ça repart, Heurk!
D., d’abord je ne sais pas où se trouve Montreuil. D’autre part, vous ne comprenez pas, ai-je parlé de couleur de peau ?
Confort visuel, je ne vois pas ce que c’est, sauf bien sûr quand je me trouve dans un lieu décoré, meublé etc…
John Brown a de l’humour, vous en avez pratiquement jamais et vous êtes une grenouille de bénitier, ce que bien sûr il n’est pas. D’autre part je reconnais vos commentaires, quand sous un nouveau pseudo, ils restent bêtissimes, bref des connentaires de pré-pubères. Quoique, je connais des enfants qui trouveraient vos idées tout à fait ridicules. Allez en paix à confesse demain matin, il doit bien y avoir à Melun, une paroisse pour les tarés qui ne jurent que par Vichy…
PS: John Brown, mettez en signature un autoportrait, avec vos moustaches frisottées au fer-chaud, il sera facile de vous reconnaitre. Le d. ne porte pas de moustache, mais parait-il des ongles endeuillés. Pas à la japonaise, non en noir…
Et moi qui croyais vous ouvrir un peu l’esprit avec ma tribu perdue au Ghana. Je me rends compte que c’est raté. Je n’ose pas rajouter : Une fois de plus…
( D., ne dites pas tout …. ni que j’habitais Rue du Faubourg-Saint-Honoré quand vous m’invitâtes à goûter vos endives au jambon, certains ne comprendraient pas ..]
Une intervention de Dany le rouge au Parlement européen sur le Mali, avec laquelle je suis entièrement d’accord. Pour une fois, c’est à souligner.
http://www.youtube.com/watch?v=-aXkKpLuyhs
D’ailleurs le boomerang est arrivé en Australie suite au tir mal évalué d’un gars qui s’emmerdait en Cyrénaïque… on jette des choses et on ne sait jamais où elles tombent…
ML, à la recherche d’un âge d’or de l’humanité estampillé youyoup !
Tiens, vous feriez mieux de (re)lire le Télémaque de Fenelon.
Que Thierry me confonde avec cette brute de JC, voilà qui est une mauvaise pour Kron, comme pour moi. Tout à fait, Thierry !
Le 19 janvier 1839, à Aix-en-Provence, Paul Cézanne voyait la lumière…
Mauvaise langue, je me suis rendu hier place Clichy, le temps de me diriger à pied, vers la Librairie Vendredi, rue des Martyrs.
Je n’ai pas vu de travelo, mais une masse de boutiques vendant leurs tenues de travail.
Par contre, Blvd Saint-Germain, j’ai croisé le regard d’une magnifique jeune-femme noire, très chic et, sa pomme d’Adam était proéminente.
Mauvaise langue dit: 19 janvier 2013 à 17 h 01 min
Une intervention de Dany le rouge* au Parlement européen sur le Mali, avec laquelle je suis entièrement d’accord. Pour une fois, c’est à souligner.
Mauvaise Langue,
on me murmure que vous seriez d’accord avec le président Obama sut la question des fusils d’assault, avec le Président Hollande sur l’intervention au Mali, avec le premier ministre Netyanahu sur les colonies de peuplement et avec Hugo Chavez sur son traitement contre le cancer, pouvez vous me le confirmer et m’expliquer pourquoi vous appelez Cohn bendit le rouge?
Depuis ce que vous appelez mon bénitier, je mets en doute votre sincérité, Thierry.
Croisé le regard? Et vos yeux ne se sont arrêtés qu’à une seule proéminence, la pomme d’Adam?
La chasteté n’est pas l’ignorance du désir, mais sa maîtrise.
Quand je regarde une femme, je ne pense jamais à Adam, à mais à la mère, l’épouse, la soeur et la fille.
« au moins, Aragon, lui, est mort en disant « je chante pour passer le temps » (rédigé par Clopine Trouillefou)
Qu’est-ce que vous nous chantez là ? Il est mort aphasique. C’est du moins ce que j’ai lu dans la bio de Juquin.
rédigé par John Brun
cé pô sa fôte, elle fait des efors mais elle compran pas.
mais à la mère, l’épouse, la soeur et la fille.
et à la femme, jamais?
« la mère, l’épouse, la soeur et la fille »
Vous avez un sacré tempérament, d. ! Vous n’auriez pas un petit câlin restant pour la tante …?
pour ne pas envenimer les choses je n’ai pas abordé vos désaccords avec Poutine et Wen Jiabao, mais si vous souhaitez étendre le champ de votre réponse……..
Vous avez un sacré tempérament, d. ! Vous n’auriez pas un petit câlin restant pour la tante …?’
Il ouvre son imperméable devant les petites filles!
@mauvaise langue
et les descedants de ces juifs du touat perpetuent dans leur patronyme TOUATI le souvenir du royaume ancien dont vous parlez.
ils sont nombreux en france,venus appres l’independance de l’algerie à porter ce nom de famille
Je réponds de d. comme de moi-même : s’il ouvre son imper, c’est qu’il répond à une provoc des petites filles ! des vrais plaies ces petites garces …
bonjour clopine,
Si D. ouvrait son imperméable, les petites-filles se mettraient à éclater de rire. On n’a jamais vu un exhibitionniste découvrant un vermisseau au repos. D. est asexué, ce qui n’est pas une maladie et ne dérange personne. Ses problèmes doivent être des problèmes dans son enfance, une psychanalyse freudienne améliorerait peut-être son sort ?
En France les psychanalyses ne sont pas remboursées par la sécu, alors D. va trainer son boulet jusqu’à la fin de sa vie.
D., vous ne croisez jamais le regard de qui que ce soit, vous savez bien que vous regardez le sol et je vous vois mal avec des chaussures en laque noire, en train de vous regarder vous-même dans les yeux.
Vous n’êtes pas chaste, vous êtes impuissant, pas la même chose. Je ne fais que reprendre votre propre information: Vous vous dîtes vierge et immaculé, donc même pas une seule petite masturbation dans toute votre vie ?
Enfin Thierry… nous sommes sur un blog littéraire prestigieux ! N’avez vous pas honte de poser pareille question à notre cher d. que l’on surnommait au collège : « Kalachnikov » ?
D. est prudent. A force de tirer sur l’élastique, farpois il claque.
bonjour rose !
TweetieJCcamarade cassandra est toujours aussi c..
Dans mon enfance, je me souviens d’avoir été assis souvent sur les genoux d’un homme en noir parce que j’y ai plus tard réfléchi, mais il ne s’est rien passé. J’ai fréquemment aussi été pris dans leur bras par des femmes, ce qui est bien normal. Mais on m’a toujours dit que j’essayais de m’enfuir.
Je sais que vous diriez que je ne suis pas très « physical », mais chacun a son caractère.
Ou plutôt chacun doit accepter son destin et lui donner une forme, c’est ça le caractère.
Je n’ai jamais dit que vous n’en aviez pas, Thierry.
Pour le reste, je ne vois pas où vous prenez l’idée que tout homme pour pouvoir dormir devrait se livrer à des attouchements.
C’est vrai que je n’aime pas fixer le regard des autres de manière insistante et indiscrète. C’est une habitude idiote qui a été mise en vogue par des pays protestants comme l’Allemagne ou l’Amérique, comme si ouvrir les yeux et les garder immobiles était une preuve de sincérité.
Pardonnez-moi, je préfère notre subtilité catholique. Mais je sais que vous n’y entendez pas grand chose.
Qui ne pète pas, con sent.
Enfin, roger, détendez vous…. Parlons d’Aragon, voulez-vous ?
Mieux vaut un con senti, qu’un con sciant
Tout le dilemme d’Aragon!
Je ne voudrais pas m’inspirer d’un facheux heureusement disparu depuis peu mais Irène, chère Irène, je dois vous poser deux ou trois questions :
-Avez vous une quelconque réticence à faire du scooter en des lieux enchanteurs ?
-Quelle est votre couleur préférée ?
-Aimez vous Aragon ?
En effet DHH !
@bof,
Je crois que vous êtes trop jeune pour comprendre. Votre question me fait soudain saisir sur le vif que je fais désormais partie des vieux schnocks que les jeunes regardent comme des zombies…
On ne va pas rentrer dans les querelles intestines, mais sachez simplement qu’il n’y a pas en Israël de « colonies de peuplement ». Il y a un processus de paix qui inclut en principe (si les Palestiniens le voulaient…) des échanges de territoires pour permettre à Israël (qui est entouré de démocraties comme chacun sait) d’avoir des frontières SURES, RECONNUES et DÉFENDABLES. Je dis ça mais je ne suis pas du tout convaincu que vous puissiez comprendre de quoi je parle ni que vous ayez vraiment envie de comprendre de quoi il est question.
Thierry, je vous ai déjà demandé de ne pas m’appeler par mon nom ici sur ce blog à cause de mes élèves. Je vous le demande à nouveau !
Je lui ai dit : « Ne le dis pas ! Ne le dis pas ! SURTOUT NE LE DIS PAS ! »
Et bien il l’a dit : « l’Algérie a les réponses qui me paraissent à mes yeux les plus adaptées »
L’air de Tulle …. Bonjour les dégats !
tweetie dit: 19 janvier 2013 à 15 h 15 min
y z’attendent que vous, tweetie pie baby…accordons nos montres et demain a 4h17 exactement, vous donnez le signal et je vous suis, mon adjudant…dans la direction inverse hein…
Mauvaise langue dit: 19 janvier 2013 à 18 h 44 min
pourquoi donc,ML? z’avez peur que vos eleves decouvrent que leur maitre de p’tite histoire-geo est un trouduc de premiere? devriez assumer, mon brave…ou vous la fermer…faut choisir…
Abdel, ne faites jamais confiance aux Français : vous vous souvenez du sort des harkis ?
(pour le grade, vous êtes loin du compte)
@ “Thierry, je vous ai déjà demandé de ne pas m’appeler par mon nom ici sur ce blog à cause de mes élèves. Je vous le demande à nouveau ! » rédigé par mauvaise langue:
Je vais essayer mais, cela va être difficile, « mauvaise langue » est tellement impersonnelle. Pour ce qui est de vos élèves, auriez vous honte de ce que vous écrivez ici ? Abdelkader a raison, il faut assumer dans la vie ou se taire et puis, c’est vous qui dans le temps signiez avec votre vraie identité.
Si vous vouliez rester anonyme, pourquoi avoir signé, dans le passé, avec prénom et patronyme ?
inutile de me répondre, sur ce coup là, aucune raison pourrait être logique. Vous devriez faire comme D., mille pseudos, toujours des adresses bidons et des IP maquillés. Pourtant cet individu a une vie anonyme, sauf pour l’administration de Melun.
Bon, je respecterais votre désir, tout le monde ici vous connait et cerise sur le gâteau, tout le monde sait où vous vivez.
Et puis, Michel, comme vous ne m’avez rien fait, pourquoi devrais-je vous être déplaisant sans raisons aucunes ? Oui au pluriel et dans la négative.
attendez donc, tweetie pie, j’vous ai pas encore insulte…all good things come to those who wait etc…
…
…toute ces cacahouètes de couverture a tirer vers sois,…
…des charognards sur des peuples à têtes explosées,…
…
…en Europe on veux des maisons plus spacieuses,…des banlieue sécurisé avec un esprit village ou tout le monde se connait et se respecte comme dans les années soixante,…
…des salaires,…par lesquels les épouses n’ont pas besoin de faire les traînées dans les entreprises avec les enfants en garderie,…avec des pensions de mérite de misère d’appoint,…
…l’économie sociale,…et les politiques de connivences international de « la pure merde » institutionnalisée,…à tirer la chasse,…
…avec de vraies vacances sécurisées,…
…chacun dans son palais et Dieux l’enculeur pour tous,…verset du code d’hamourabite censurez par le code Da Vinci à poils,…
…etc,…une autre,…
@TKT
je comprends, pour le partager en ce qui me concerne, le sentiment de pudeur de ML qui ne souahaite pas que ce que l’auteur de ce qu’il ecrit sur ce blog,propos le plus souvent sensés et pertinents, soit identifiable par ceux qui le frequentent dans un autre emploi,et que ses posts se retrouvent des lors livrés à leur appréciation .
comprenez le et tirez en avec indulgence les consequences sans chercher à argumenter
C’est la plus grande réunion de crétins à laquelle j’ai jamais assisté. Spectaculaire… Des virtuoses de la connerie.
d., je me permets de vous mettre en garde.
La psychanalyse est hélas le produit d’un monde sécularisé. Mais lors de la mobilisation contre la démesure du mariage sans frontières, je suis obligé de reconnaître que prêtres et psychanalystes se sont retrouvés.
Naturellement, les moyens proposés par ces pseudo-spécialistes sont dérisoires puisqu’il s’agit de l’âme.
Sachons, malgré tout, les écouter.
Romain Raphaël dit: 19 janvier 2013 à 20 h 03 min : « C’est la plus grande réunion de crétins à laquelle j’ai jamais assisté. Spectaculaire… Des virtuoses de la connerie. »
tu as toute ta place, mon minet !
Thierry, Abdel, vous êtes de vrai sal*pes ! Pourriez vous respecter la demande d’anonymat de ML ? Un peu d’intelligence, svp …
Le marxiste en chef chinois tombe pour scandales sexuels …(糖衣炮弹, tángyī pàodàn) !
tweetie pie, on a fait le tapin a Porquerolles ensemble? je te fais remarquer que ton pote le sieur ML utilise son vrai nom quand ca l’arrange et demande l’anonymat quand ca l’arrange aussi…et qu’un prof de l’EN qui emploie des termes racistes sur un blog, il merite ce qui lui tombe sur sa gueule…#etasse…
…des salaires,…par lesquels les épouses n’ont pas besoin de faire les traînées dans les entreprises avec les enfants en garderie,…avec des pensions de mérite de misère d’appoint,
ce point de vue décadent que je lis pour la seconde fois en moins d’une semaine cela commence à bien faire.
Va voir Holly Motors de Leos Carax, film de haut niveau, et tu verras que les femmes ou sont chauffeurs de maître/de limousine ou sont à la Samaritaine et si dans les bouches d’égoût, c’est à leurs corps défendant et illico voilées parce que sexy.
Alors le retour aux années cinquante merci, va te repoiler.
En plus sur le plan du salaire pour faire vivre une famille décemment, évitons le sujet pudiquement.
être macho à ce point-là c’est pas dieu possible : de telles reculades assumées sur ce blog de passou, je n’y crois pas !
La psychanalyse est une douce illusion.
Si j’aime l’ambiance moites chaudes douce et humide de la piscine où je travaille depuis quelques temps, cela n’a rien à voir avec mon enfance. C’est tout simplement que n’importe qui apprécie les ambiances moites chaudes douce et humides.
Je ne comprends pas pourquoi on parle tant d’Aragon. Aragon n’est pas sans intérêt, Aragon mérite qu’on en parle, mais deux fois de suite avec un intervalle si bref, à quoi bon ?
Aragon fait partie de ces hommes dont la capacité physique d’écriture laisse abasourdi. Je ne parle pas seulement de ses oeuvres, mais de ses manuscrits et de sa correspondance.
Pour la plupart d’entre nous, il est tout simplement difficile d’imaginer comment il réglait sa vie quotidienne, occupé qu’il était par mille autres choses, parmi lesquelles les tâches idéologiques et politiques qu’il avait choisi de se donner.
Lorsque j’étais enfant, mon père (qui avait quelque raison de s’intéresser à lui) avait eu l’idée saugrenu de lui consacrer un livre (pourquoi diable?) et s’était ouvert par lettre de ce projet (je dois au moins à ce désir d’avoir tout petit feuilleté l’oeuvre complète, et mon admiration pour ce que j’ai lu n’a pas varié).
Je me rappelle avec étonnement une lettre d’Aragon, écrite sur trois pages d’une écriture régulière, et le regard naïvement joyeux de mon père, sans doute surpris de tant d’attention car si L.A. le situait parfaitement, il n’avait aucune raison de s’adresser à lui sur le ton de la confidence, et de se montrer si bavard.
Ce que je sais de cette lettre (car mon père foutait tout en l’air, même du De Gaulle, ce qui est proprement criminel) ne me vient que de ce souvenir mais il me fait réfléchir.
Comparés à de tels monstres, lorsque nous parlons d’écrire, nous sommes des enfants.
Gide aussi, sans doute, et quelques autres, aujourd’hui encore (mais on ne va nommer personne).
Quand s’arrêtent-ils d’écrire, sur papier, sur écran… sur le visage de leur interlocuteur, innocente page blanche qui assiste sans le savoir à la production de phrases, que le grand homme gardera dans l’oreille pour les mettre le soir même par écrit?
Pourquoi parle-t-on autant des écrits d’Aragon alors que la douceur de son regard était bien au dessus de ceux-ci ?
C’est évidemment pas Ueda qui répondra à ça.
DHH, vous venez un peu tard, puisque j’ai dit à M.A., que je resterai à l’avenir sur mauvaise langue.
D’autre part, je vous dit le mot de Cambronne !
Tenez bon, .D, ça sucre sans discernement, c’est comme le blanc manteau tombé hier sur Paris.
Le blanc manteau, c’est pour me faire comprendre des enfants.
Pensez-vous qu’à l’école républicaine on encourage encore nos petits à ces touchantes métaphores?
Le blanc manteau…
« Dictée: Vos impressions de rentrée… »
Le « tapis » des feuilles d’automne, hein…
Je ne suis pas aussi sentimental que Mauvaise Langue, mais je crains le coup de coude complice, je n’aime pas pleurer.
Au fait Daaphnée, puisque je suis là.
Les endives au jambon: type même de la cuisine simple, qui entre des mains douces et expertes, peut devenir un délice.
Le coup de feu qui les dore, leur donne en même temps une saveur un peu sucrée.
Tweedty: Vous confondez, ce n’était pas kalaschnikov, mais schnock qui cale
Ce n’est pas de la pudeur mais une nécessité technique. Si vous n’êtes pas prof, vous ne pouvez pas comprendre. Je ne parle pas d’Abdel qui ne mérite que l’indifférence.
cuisine-bateau les endives au jambon mais qui nécessite un four. Entre t’as une bagnole et tu veux goûter mes endives au jambon il n’y a qu’un pas. On saura la suite et c’est vraiment passionnant comment du boulot, à genoux sur le manteau jeté par terre, on en arrive aux endives aux jambon.
Par contre, dire qu’on va revenir aux années cinquante et de la main gauche, sans savoir ce que fait la droite citer admirer etc. Simone de Beauvoir y’en a ras le c…
Alors que les hommes peuvent rester à la maison et les femmes aller travailler. Et il est aussi possible que chacun fasse un mi-temps et que pour les gosses cela se passe au mieux ; et je me demande aussi si le mieux n’est pas que les gosses quittent la maison et vivent loin de leurs parents passablement adolescents et pas mal déjantés.
Autre remarque de commentaires qui commencent à me courir sur le haricot : hier je lisais l’histoire du type qui depuis quelques années payait/reversait 20% de son salaire à un chinois qui lui faisait son taf.
D’autres, c’est hyper intéressant, passent au boulot la majeure partie de leur taf à blogguer. D’autres encore (les crétins dont je suis) blogguent sur leur temps de loisir et pas sur leur temps de boulot parce que comme c’est bizarre quand il bossent, ils bossent. Inouï non ?
Alors avant de s’occuper des autres, de leur métier & de leurs choix perso. voir soi-même comment on se comporte et ce n’est pas glorieux.
Les patrons vont être contents avec leur sociétés d’audit comme aux USA qui contrôlent les contacts de leurs employés.
Ceux qui comptent sur un attendrissement ultérieur suite au cimetière (dans Holly Motors de Carax, plein de plans tournées en intérieur cimetière Montparnasse ou Lachaise ?) escomptent mal.
Se dire féministe alors qu’on tient des propos macho cela ne passe pas.
Et dernière remarque : cela fait dix fois que l’on parle d’Aragon et que l’on s’empoigne à son sujet. Moi je ne suis pas gaga. Convaincre ce n’est pas mon truc. Ratisser encore moins.
Aragon ses poèmes sont superbes et sa force d’écriture tellurique et puis c’est marre : ses conneries tout le monde en fait et tout le temps.
Et puis l’histoire des milieux moites et humides ben tant mieux profitez bien. Moi je sors d’un mec, vieux et magnifique qui étouffe sa meuf vieille et magnifique avec un oreiller. Et je n’aimerai pas finir comme ça étouffée par mon mec sous un oreiller… Alors vos pipes godemichets et tout le reste et vos milieux moites et humides vos cuirs et céramiques et vos endives au jambon (mais quelle idée !) continuez à en parler cela donne un salé/sucré à ce blog qui manquait cruellement avant. Je me retrouve au XIX ème à l’époque des feuilletons à attendre la suite. Grand merci quand même de l’animation…et bonne nuit les pigeonneaux.
Être en odeur de sainteté
Jeter l’opprobre
Donner son agrément
Prendre sous son aile protectrice
Exclure du comité directeur
Manipuler sous couvert de littérature and so on.
…
…à,….@,…rose,…
…
…tu sait bien que c’est encore pire,…que le léger glacis que je pose en vernis,…pour révéler et restaurez ce lustre des familles d’antan,…
…
…j’ai aucun mérite à éclaircir ces dégradés de politique sociale,…pourvu que ce ne soit pas çà,…le socialisme abscons des roses,…les mêmes plantés au soleil d’apparat,…en ignorants leurs consoeurs broyées aux parfums des servitudes industriels,…la liberté des cloches d’entretiens du leurre,…
…vous avez de la chance,…j’allais faire autre chose que de vous relire,…mal dormir à trop pitié de voir la misère de l’âme humaine à ce jour,…
…etc,…
…
…de l’amour,…pour espérer en retourner d’autres bonnes du cycle Ying Yiang pour son arbre de vie,…
…de l’amour de parade,…après les fessés pour un rien ou des yeux de grÄce,…
…la réputation des famille en torchon pour » macho’s »,…a vendre,…ou à louer,…au mari abcons social en partage,…de sosie à poils,…de Métropolis,…de politique social,…etc,…de mes deux,…bonne nuit au soleil,…Ah,Ah,…les photos aux rayons X,…du langage à découvert,…
…
précisément, mon grand…vot’indifférence m’indiffère…vous êtes prof, vous avez des élèves (et des parents d’élèves) qui , s’ils savaient l’ampleur de votre connetitude ici, vous mettront dans un pétrin sans nom…je vous l’avez déjà dit maintes fois déjà…alors, vous persistez avec vos conneries ou vous émigrez dans le Néguev? pouvez pas être, en même temps, prof dans la Grande Ecole Républicaine et continuer ici avec vos éructions racistes de faux-juif colon illuminé…vous me saisissez? en fait, je vous crois lâche et veule par nature…et vous confirmez mes premières opinions de vous par vos supplications ici pour qu’on respecte votre anonymat, quand ca vous arrange ou quand vous avez les foies… j’aurais aime être parent d’élève dans votre lycée… z’etes un pov’type…une tète a claquettes, comme on dit chez nous là-bas…
…
…j’arrive à croire que les châteaux et ses domaines,…ce n’est que avec moi vivant,…
…
…pour le reste, étonné que personne n’écrive comme moi,…bizarre cette société » sociale » d’apparats critique à deux balles des crétins à se la bourrer,…l’imagination à bourses vides,…
…le pont-levis et mon tour des » rondes » au clair de lune,…
…etc,…
Aragon…semble composer….elle suggère…comme si sa propre imagination…
—-
Après l’analyse structurale, la narratologie mâtinée de rhétorique, j’en passe et des meilleures, l’étude minutieuse des manuscrits est le dernier cri, le nec plus ultra de la critique littéraire. Elle n’aboutit pourtant qu’à des constatations spéculatives (« semble », « comme si »…) qui, si elles renseignent (un peu) sur la manifestation concrète du processus de création, restent àç la surface du texte et évitent de plonger profondément dans sa chair. Une chose est de constater les ajouts dont Aragon était apparemment coutumier, une autre serait de les analyser en rapport avec le texte « de départ », ce qui permettrait de cerner d’un peu plus près la spécificité du texte pour lequel l’écrivain signe le BAT, et qui est le seul qui vaille pour le lecteur sensuel moyen. Se borner à constater qu’il y a ajout plutôt que retranchement ne place-t-il pas la critique littéraire au niveau de l’histoire quantitative, qui assèche l’océan de l’aventure humaine au lieu d’en recréeer l’infini chatoiement?
L’analyse des manuscrits m’évoque les petits secrets d’alcôve que nous racontent avec le sentiment de leur importance les mauvais biographes: beaucoup de bruit pour rien, mesdames les joyeuses commères de Windsor.
En s’imposant la page physique commme horizon de son écriture, Aragon se fait oulipien avant l’heure. OK, et alors? Une étude des réseaux métaphoriques qui irrigent sa poésie n’en dit-elle pas un peu plus long sur ce qui hantait son imagination créatrice?
Faut certes de tout pour faire un monde, et l’analyse des manuscrits vient se combiner à d’autres, mais pour qui a goûté aux délices de l’analyse bachelardienne de l’imagination poétique et son ancrage dans les quatre éléments, c’est un peu comme passer de la fréquentation des poètes à celle des géomètres (rien contre les géomètres, mais à chacun sa sensiblité).
passer de la fréquentation des géomètres…
Et alors?que deviendraient nos productions sans le transport né en aval de la technique,pas d’échanges,pas de communications sans relevés topographiques indispensables aux tracés des ponts tunnels routes autoroutes voies ferroviaires qui accélèrent la circulation des êtres et des contenus,que deviendrait l’Homme privé de son support technique pour libérer de la chair de son esprit tant de germes pointant vers le jour vibrant de lumière,lumières dans la lumière,du sens dans tous les sens pour l’avènement d’une humanité qui prendrait froid si elle ne trouvait à couvrir du sens de tous ses mots chaque aube qui célèbre la présence à sa propre absence comme on le fait pour un accidenté qui se prive de découvrir le jour nouveau par un petit matin triste et sans couleur.
Il y a des poètes qui croient être « plus » pour la société que les géomètres, que les techniciens, que les ingénieurs …
Grand bien leur fasse, à ces grands enfants ! on arrivera toujours à les caser dans une mission culturelle sans importance, en asie de préférence.
Ce qui compte en effet, pour la culture, c’est le nombre d’hoplites, de légions, de porte-avions en service, de têtes nucléaires, ou de missiles, ou de pétrole, ou de gaz, si vous préferez… le reste est littérature. Activité amusante, en soi.
Aragon, le hochet français, manipulé par l’URSS. Sans importance.
(fou-rire sur plusieurs bancs)
Révérence amicale pour Andrée Putman, appelée au paradis pour la rénovation intérieure des salles d’accueil.
Parce que les intérieurs ressemblent aux extérieurs de nos Cités,hérissés de panneaux indicateurs,tournez à droite,prenez à gauche,centre gauche,centre droit,périph externe ,continuez sans droit,continuez,aire publicitaire à lacets et volutes,just for fun pour au bout trouver en projection au choix :funny games ,Blanche-neige et les sept nains,Cosmopolis, Eurydice…
Echange survol d’un ex-département contre cirage de bottes politico-militaires.
Bon, géomètre dérange. Soit. J’aime, j’adore, je respecte, je voue un culte perpétuel aux géomètres, aux ingénieurs, aux techniciens, informaticiens, sans lesquels, avec les ouvriers et employés, notre monde ne serait pas ce qu’il est. Vivent aussi les docteurs, chirurgiens,infirmières, aides soignantes, laborantins, profs, conduteurs de train, entrepreneurs sociaux, saletimbanques, penseurs et créateurs de tous ordres, etc. etc….)
Lire donc: « C’est un peu comme passer de la fréquentation des poètes à celle des entrepreneurs de pompes funèbres »
Le villain petit faf est pas peu satisfait de ses gloussements…C’est qu’il est passablement charognard dans l’âme, le MEC (Médiocre En Chef)! Pensez-vous, jamais vous ne le verrez prendre l’initative dans l’échange, le Décharné du Bulbe. La pro-action, y connait pas. Le fonds de commerce de sa Paresseuse Vacuité? La Réaction à tous crins, ni plus, ni moins.
S’il savait, le falot cynique qui dispose mais n’impose…
Allez, les marins désespérés d’Izzo nous appellent au large.
saletimbanques
Saltimbanques…(allo Zigmund?)
Bloom
jctweetycamaradecassandrevaleria n’est qu’un per vers
bravo, rose… à donf avec vous, comme dab’
Nerveuse ?
Yes, alex, itou tous les pseudos avec un nom arabe ou Von Machin.
Pour le fun, d’un blog sur l’Empire du Milieu, à propos de la chute d’un cadre du parti dans le stupre et la fornication à l’heure des tensions sino-japonaises:
« La Chine se tend à la vue des Nippons ».
test
Qu’est-ce qu’ils sont bien les morts ! tranquilles, peinards, nonchalants. Ils ont fait leur devoir : pour Aragon : écrire.
Qu’est-ce qu’ils sont bien les lecteurs ! Absorbés dans le silence du livre.
Une neige de mots les réunit.
Pour le reste… Les paroles sont en feu, vibrantes. Se perdent, grésillent, se rencontrent. Se recouvrent mutuellement flocon sur flocon. Se poursuivent, se transpercent, s’incorporent, s’étouffent, tournent sur elles-mêmes et tombent en cascades friables avant de se déliter. Toutes ont des ailes et le vent les emporte. Aragon… Ah, il l’a bu en profondeur cette vie d’encre, de soleil et d’ombre et ses poèmes, encor et la voix de Ferrat et ses romans et ses amours. Son chant d’ombre, profond. Et la neige la neige la neige plonge ce matin dans un secret intact. Éblouissement. Noir de l’encre en robe de soie. Ermitage… Flottaison. Écrire… Peindre… Lire… l’un dans l’autre. Comme.
putain ça merde encore..vu que le keupu pourrit par la tête
Je Crois Que Mettre Des Majuscules Partout Donne Du Poids Aux Esprits Supérieurement Légers …! Faf ! Faf! Faf ? Plouc ! Plouc ! Plouc !
(merci à la modération de ne pas attenter à cette réponse, souverainement adaptée au propos du Maître Minuscule Des Ténèbres.)
salut
en naissant en 1922 « J’ai donc décidé de remonter dans le temps, de naître en 1922 »,Bayard se fait naitre 46 ans avant 1968
Comme il est rapporté dasn le lien d’Aragon- il ne s’agit pas du format de la page- « je ne calcule pas »: c’est le dispositif
Quand, admirative, je lis la prose remarquable de Christiane, je pense à ce salopiot de méditerranéen qui a eu le culot de l’inviter à une balade dans la pinède … l’Aragon du scooter, ce type !
Vétéran ,il est suggéré que l’esprit d’entreprise littéraire d’Aragon avait trouvé à inconsciemment s’adapter à la fin du format A4 comme d’autre s’adapte à l’A9 ou l’A75 ,surement s’agit-il d’une façon de se détaxer de la contrainte matérielle sans s’en rendre compte un peu comme les animaux s’adaptent à l’environnement accueillant et variable tant par les teintes que par les conditions minéralogiques,climatiques,hygrométriques jusqu’à disparition,vous avez remarqué que les dinosaures ne peuplent plus que le territoires des tout petits ?
« les dinosaures ne peuplent plus que le territoires des tout petits ? »
Allons ! Allons ! ce serait limiter par trop leur territoire. J’en rencontre des tas de bien vivants, bien gros, bien gras, bien passifs, machonnant de la bonne herbe, dans les cercles de pouvoir nationaux et internationaux …
Rose: Vous êtes enseignante, d’argot ?
protoe tc
did yoy read what Roth answered
» 4 I think the book worked, enabled me to write about the most powerful decade of my life, the 60s, and the domestic turbulence of the 60s, and I think I got a lot of that into the book. »
Roth also revealed how, when he realised that his 1969 novel Portnoy’s Complaint was set to become a hit, he took his parents out to lunch to warn them about its explicit content. « I told them that it was not against the law to hang up on a journalist, » he said. His parents, however, were not convinced, with his mother deciding, as they returned home, that Roth had « delusions of grandeur ». « ‘He was never that type of boy. He’s going to have his heart broken because this is not going to happen.' »
Tweetie ,vous faudrait-il songer à une cure de sevrage ou l’usage de la métaphore et des itinéraires bis vous éloigne-t-il si loin des réalités contemporaines?Nous connaissons votre opinion ,n’allez pas l’étaler à toutes les perches que vous croyez discerner dans cette poésie du quotidien.
Proto,
pensez aux malheureux qui ne connaissent pas cette opinion réactionnaire et vivent dans leur béate ignorance huamniste ? Pensez à eux ! Fiat lux ! Merci.
je lis la prose remarquable de Christiane
rédigé par Tweetie
« Ils ont fait leur devoir : pour Aragon : écrire. »: Usage de la ponctuation à revoir.
Vétéro etc faut-il comprendre que la grandeur d’un homme soit cristallisée dans toute son ambition transformée désir et assouvissement ?
Quand il sort de l’arc réflexe ,bien évidemment.
pour mettre d’accord la fin de la page avec la fin de l’histoire. Je m’explique mal cette coïncidence, très souvent vérifiable ; elle suggère un curieux tour d’écriture, comme si sa propre imagination se coulait dans la surface matériellement disponible »
-Maîtresse, je peux plus écrire?!
-Tourne la page, Louis!
Napoléon approved of this poem and caused it to be inscribed on the wall of the big barn,at the opposite end from the seven commandandments.Its was surmonted by the portrait of Napoléon,in profile,executed by Squealers in white paint.
Meanwhile,through the agency of Whymper,Napoléon was engaged in complicated negociations with Frederick and Pikington.The pile of timber was still unsold.
Les chutes d’une oeuvre ou les oeuvres d’une chute ?
L’ombre est inséparable de la lumière et le génie de la saloperie humaine.
Poète, vos papiers !
Pour l’identité, non pas pour juger : le lecteur n’est pas un flic, juste quelqu’un cherchant à comprendre ainsi comment les hommes vivent, parmi ceux qui croyaient au ciel et ceux qui n’y croyaient pas.
cette réponse, souverainement adaptée
—
Bien dit, Otto Satisfaction.
« Dévôt dans l’âme, il a la mine qui convient à son état: petit homme sombre, voûté, chafouin. Derrière son front bas et plissé se lit l’inquisiteur (…)il ignore le doute, il est le serviteur ponctuel du Roi, de sa religion, de ses ordonnances. Son besoin est de condamner (…). »
Life is beautiful.
Thierry, vous avez raison quand vous dites que je n’ai aucun humour. C’est pourquoi je suis très peiné par le ton que vous employez envers moi. J’ai parfois l’impression que vous ne m’aimez pas, cela me navre et me plonge dans la perplexité car la plupart des gens m’aiment beaucoup.
La création, quelle douceur quand la douleur cesse !
Thierry, vous devriez prendre exemple sur votre ami (ou amoureux, je ne sais pas) Jacques Barozzi, dont les commentaires ont une toute autre tenue que les vôtres.
On doit à Andrée Putmann d’avoir eu un fils drogué qui fut le grand découvreur du peintre Bram Van Velde, et son protecteur. Grand peintre et grand ami de Beckett.
Et n’allez pas croire que je sois, moi aussi, amoureux de vous, Thierry. Ce serait une fatale erreur de votre part. Je ne suis pas de bois mais Notre Seigneur passe avant tout pour moi.
Faisant un tour sur le blog de John Brown – il est mon maître à penser, comme Bloom est mon pitre préféré – j’approuve totalement son analyse géopolitique.
Il faut défendre Bachar el Assad contre ces méchants islamistes terroristes !!!
Comme nous aurions du défendre Khadaffi, Ben Ali et Moubarak au lieu de rêvasser à une impossible démocratie.
Ces fautes graves sont à imputer directement aux dirigeants occidentaux. Ce nain de Sarko, lui aussi, fut un sacré couill*n guerrier. Quand à la gravure de mode à la chemise propre posant dans les ruines …!
Malheureusement, Sarko a donné suite à encore plus stupide que lui ! Le génie électoral français à l’oeuvre !
« Je ne suis pas de bois mais Notre Seigneur passe avant tout pour moi. »
Pour les commandes de god ceinture s’adresser directement au révérend père Bouguereau.
un fils drogué qui fut le grand découvreur du peintre Bram Van Velde
Beckett a écrit sur les frères van Velde dès 1945 (avec cette formule mémorable : « On ne fait que commencer à déconner sur les frères Van Velde. J’ouvre la série. C’est un honneur. »).
On voit mal comment Andrée Putmann aurait pu avoir un fils capable de « découvrir » Bram van Velde.
d’où vient la photo d ‘ »Aragon fin de partie »
je ne lis pas tous les articles mais je regarde les photos toujours choisies avec discernement , cet Aragon là je ne l’aurais pas reconnu sans la légende
D.
A la différence de ceux fournis par Boug, mes gode-ceintures sont tous bénis par B.XVI et autres dirigeants religieux monothéistes reconnus… !
Plus chers, certes ! mais le sacré n’a pas de prix.
C’est parce que vous ne savez pas tout et que vous croyez tout savoir. C’est aussi bête que ça.
@tweetie
Vous êtes dans la droite ligne de la politique papale qui soutient Bachar, ancien des jeunesses hitlérienne ! JB de même ! Est-ce vraiment pour nous étonner ?
ML,
la construction de votre phrase laisse croire que Bachar, né en 65… Vous parliez de B.XVI, bien entendu ?
Le père, Hafez, était vraiment aimé en Syrie ! Question de vie ou de mort…
…
…Hermes en bandoulière,…encore en peignoir,…toquez, entrez,…le service de la jument déjà près a chevaucher,…
…tient lis sur le livre le lys de mon joie s’en dénier,…les trois coups,…au théâtre ce soir,…
…Alors les enfants,…c’est pas l’heure,…on répète le troisième acte,…mais ne vous forcer pas,…
…le choix du rôle pour un travail sur mesures à la carte,…
…etc,…et Hops un coup en l’air,…les chutes d’une oeuvre,…pour la lèche,…habillé,…au clavier, pointé, tiré,…au fesse en l’air du beau milieu des habites verts,…à toasts & C°,…
…etc,…une autre,…
Le père, Hafez, était vraiment détesté en Syrie ! Mais j’ai le droit d’écrire le contraire. Sur mon scooter, personne ne peut me contredire.
Oui, aimé en Syrie par les gens comme vous !
À la fin des années 1950, Andrée Aynard épouse le collectionneur, éditeur et critique d’art Jacques Putman avec qui elle fréquente des artistes dont Pierre Alechinsky, Bram Van Velde, Alberto Giacometti ou encore Niki de Saint Phalle. De leur union naissent deux enfants : Cyrille et Olivia. »
Wikiki
c’est le père, Jacques Putman et non son fils qui connaît, Bram Van Velde.
L’a mal lu son wikikirikiki, ML.
La belle négresse à DSK, objet de ses désirs les plus musicaux, lui a soutiré 1M de dollars net. Pas corne, la guèpe ! Tout est bien qui finit bien.
Question : Où se situe une sexualité masculine honorable ? Réponse : quelque part entre D. et DSK !
Je ne vois pas l’intérêt de parler du parcours personnel et intime de Cyrille Putnam. Mort drogué, et alors ? Par contre il fonda une galerie contemporaine, qui tourne toujours et qui représenter, entre autres, l’artiste Suisse, Ugo Rondinone (qui vit à NY) et fait partie des artistes les plus représentés de l’art contemporain conceptuel.
qui représente
ML,
Il FALLAIT aimer Hafez, à Damas : question de vie ou de mort !
Touiti ? Toupiti…
« Je ne vois pas l’intérêt de parler du parcours personnel et intime de Cyrille Putnam. Mort drogué, et alors ? »
A genoux, les manants qui ne respectent rien !
Toupiti, je connais un type qui en vend un d’occase : il ne peut plus s’en servir sans petites roues sur les côtés…
Tweetie, vous êtes tout simplement une fasciste, c’est clair.
Vous devriez vous inspirer de ces vers d’Aragon, tirés des « Chambres » :
Je n’ai rien appris tout ce que j’ai vu je l’ai vu
En vain Je l’ai bu comme un vin
Trop vieux sans goût ni chaleur un vin vide
un verre
Renversé dans la vie un vinaigre
Eventé de tout sauf de l’amertume
(Aragon, Les Chambres, 1969)
Mauvaise Langue, quelque soit le passé de Benedikt 16 encore adolescent, comme Günter Grass, ce n’était pas un choix libre, de rentrer dans les HJ ou d’être enrôlé dans les SS.
Franchement, c’est le parcours après 1944-45 qui compte, même pour les Allemands plus âgés.
D’autre part, il ne faudrait quand même pas oublier Vichy.
L’art conceptuel contermporain, de toute façon c’est de la merde.
…
…y a qu’un artiste,…c’est moi,…
…
…les autres des sous fifres à chercher midi à quatorze heure à nous leurrer au beurre d’en-choix à trois sous,…avec T.V.A.,…
…faite vos toiles vous-même,…avec de l’adhésif double face collez y vos Dollars et autres €ros du Marquis de Sade,…
…etc,…
Non, mais c’est un choix libre de la politique du Pape de soutenir un dictateur. S’il a été enrolé de force dans les jeunesses hitlériennes, il s’est enrolé librement dans le soutien du boucher de Damas.
Mauvaise Langue redevient ce qu’il fut aux plus beaux jours d’Arrêteztout!
Dédé lui oppose un argument imparable et ML répond : Dédé est infantile.
TKT lui rappelle qui était Cyrille Putman et ML répond : l’art conceptuel c’est de la merde (sans rapport avec la question)
« Tweetie, vous êtes tout simplement une fasciste, c’est clair. »
Que feras-tu de moi, ô mon seigneur et maître ? La bouffonne d’un Roi ? …
Mauvaise Langue, n’exagéreriez-vous pas un toupiti peu le soutien de B XIV à Bachar ?
Boucher est un métier honorable, à Damas ou ailleurs.
Seul, l’égorgement hallal me répugne : en avez vous vu la réalitée filmée ?
Il y a, me semble-t-il, d’autres méthodes pour défendre les chrétiens du Proche-Orient que de défendre les dictateurs comme le boucher de Dams, Bachar El Assad. Par exemple soutenir la politique israélienne contre le vendalisme des Palestiniens qui attaquent régulièrement le tombeau de Rachel à la Kalachnikov et à la barre de mine et que les autorités israéliennes sont constamment obligées de reconstruire, dénoncer publiquement les assassinat des Chréiens dans la bande de Gaza, etc. Mais le Benoît, il s’en garde bien ! Pas si benoît que ça !
Tweetie, je ne discute plus avec vous. Vous êtes totalement répugnante.
Wikipiti : « Le pharaon Toupiti fut le modèle de Ramses II, premier menteur médiatique, jusqu’à Nasser et Moubarak.
Aujourd’hui, le pharaon Morsi reprend les idées généreusement solaires du religieux Pharaon bien aimé, Toupiti ! »
« Tweetie, je ne discute plus avec vous. Vous êtes totalement répugnante. »
Faux ! je ressemble à Golda Meir, jeune, avec une pointe de Benazir Butho étudiante.
@ †wee†y: Que vient faire la notion d’honorabilité avec la sexualité ? Masculine ou féminine, peu importe.
D. est un refoulé pervers, l’ancien patron du FMI, est toujours prêt-à-l’emploi.
Le premier est professionnellement un échec récurent, et le deuxième aurait pu faire un Président de premier choix.
Quant à l’histoire du Sofitel de NY, personne ne saura jamais la vérité.
Oui, je ferai de toi la bouffonne d’un Roi.
Quand dans l’île vrombit ta rose pétrolette
Et que, cheveux au vent, tu crois faire la loi,
Seul le Roi des cons peut se fendre la binette.
Toupiti, vous confondez Louis XIV et Benedikt XIV… j’y vois malice ?!
« Quand s’est-il levé ce jour pourquoi s’est-il
Levé je vois
la pièce énorme et vide où tout
Est dispersé de toi déchiré de toi dévasté Je me suis
Assis comme une ruine au bout du monde
À laquelle jamais ne sera répondu
Sur les marches de l’échelle accroupi sur les marches de moi-même
Ne plus voir la soupente et le lit éventré les draps
Pendants
Mais comment s’est-il levé par où levé ce jour
Brumeux et gris désert muet ce jour aveugle et vide
Comment s’est-il levé de moi sur moi ce jour sans jour immense et blanc
Ce jour sans un mot que le bruit dérisoire à la porte où quelqu’un dépose
Une bouteilled e lait j’ouvre moi j’arrache cette porte
J’arrache cette porte à ses gonds
Il n’y a déjà plus personne Des pas dans l’escalier Plus personne
Qu’une bouteille de lait
Ce jour que je t’avais perdue
Tout un jour devant moi sa porte où nul ne lit le destin
Tout un jour de mille et mille détails oubliés inoubliablement
Tout un jour qui commence à sa blessure et j’ignorerai toujours
Si j’eux froid si j’eux faim si j’eux peine si j’
Ah bouger pourquoi bouger changer de place aller descendre au fond du trou qu’est-ce que j’ai
Besoin de remuer de regarder la bouteille et le désordre
Tout un jour et comment le ciel a-t-il osé changer
(Aragon, Les Chambres, 1969)
confondez Louis XIV et Benedikt XIV… j’y vois malice ?!
Non, simple dyslexie.
Seigneur, ta vie passe !
Souris ! car tu la perds
Dans un fumeux dédale,
Serais tu pervers ?
Pour l’abattage, comme toujours, La Clarté Contrariée voit juste.
On supposera qu’il préfère l’abattage cacher, plus civilisé(L’abattage rituel (shehita)…consiste entre autres à trancher la veine jugulaire, l’artère carotide, l’œsophage et la trachée d’un seul geste continu au moyen d’un couteau effilé ne présentant aucune encoche. La défaillance d’un seul de ces critères rend la viande impropre. Wiki)
Il adore aussi les usines à mort subite où on estourbit l’animal à coup de décharge électrique, et les batteries où les poules se chient dessus et les unes sur les autres, comme aux abords de son bled à fafs grassouilllets.
@ Mauvaise langue dit:20 janvier 2013 à 12 h 24
« L’art conceptuel contemporain, de toute façon c’est de la merde. »:
Votre avis sur la question restera ce qu’il est et rejoint les propos de MàC, Bouguereau, D., Philippe Régniez etc…
Vous n’aimez pas ce qui est votre contemporain, je dois dire que vos propos sur d’autres questions, sont tout aussi poussiéreux.
Quant au mot merde, c’est tellement facile de trouver merdique ce que l’on ne comprend pas et que l’on ne veut pas comprendre.
Ce qui m’amuse c’est que Marie-Louise, ne vous a pas ouvert les écoutilles.
Vous êtes un homme violent et parfaitement inconséquent.
Les gens qui aiment l’art contemporain ne sont pas des missionnaires, alors votre opinion que voulez vous, c’est comme de pisser dans l’océan quand on nage, cela passe inaperçu aux intéressés.
Au moins D. a l’excuse d’être bêtissime, un « all-rounder » de la connerie.
Non, vous vous trompez totalement sur mon compte, Thierry. J’aime ce qui est contemporain, par nature. Mais j’ai aussi mes détestations. M’en refusez-vous le droit ? Je déteste l’art conceptuel contemporain. C’est à mes yeux un art de snob et un art du fric. Rien de plus. Le temps fera son œuvre et Dieu reconnaîtra les siens…
(A sobering perspective:
Pourquoi diable cette soudaine timidité américaine à soutenir l’initiative française au Mali?
Well, French pain might be US gain…
Might be.
ttp://www.strategic-culture.org/news/2013/01/20/france-downfall-mali-chance-us-increase-african-sphere-influence.html
Michel, je ne veux pas vous convaincre, je n’ai rien à vous vendre. Quand même, sur Paris, vous trouverez des galeries qui n’ont rien de snob ou qui sont loin des grandes collections des deux mécènes principaux. En principe les snobs friqués, achètent les pièces quand elles sont chères.
Ils ne prennent pas de risques économiques, un peu comme ceux qui achetaient les Impressionnistes, quand ils étaient reconnus et encensés.
Le patron de LMVH a commencé sa collection il y a une trentaine d’années, et un homme comme Claude Beri, le cinéaste, n’agissait pas par snobisme, puisqu’il y une vingtaine d’années, les peintres par lui collectionnés, devaient être inconnus des snobs, toujours (en France) en retard de plusieurs métros.
Je ne pourrais pas vous faire changer d’avis et peu importe.
M’en refusez-vous le droit ? Je déteste l’art conceptuel contemporain.
Ce n’est pourtant pas un billet sur Yasmina Reza
John Brown. Vous avez le droit de détester le Aragon de Maurice Thorez.. le directeur des lettres francaises (quoique quel journal superbe..)mais d’ »Aurélien »,ou de » la semaine e sainte, » ne dites pas ce que vous dites .vous êtes alors un simple lecteur aveugle.
Vous ne voyez que le comité central du parti derrière chaque ligne d’Aragon
Pathétique.
relisez « les beaux quartiers »,relisez le poète étincelant du « fou d’elsa » , relisez « la lumière de Stendhal », ou « la leçon de Ribérac » et surtout surtout » la diane française »..).
Vous êtes véhément dans l’insulte, vous aimez une espèce de vulgarité de vocabulaire « décomplexé » si auto satisfaite …de pus c’est inutile de reprocher aux auteurs d’être narcissiques car écrire c’est parler tout seul à l’infini devant la feuille blanche.. c’est narcissique../ dans la méthode et dans le travail quotidien..sa nature profonde la narcissisme terreau de la littérature.. la grande comme la petite…. c’est a&associé à tout écrivain ..,c’est sa densité, mais
mais son horizon est de parler aux autres
et vous n’êtes qu’un aboyeur.. imbibé du vinaigre de l’amertume.. je vous trouve une qualité : la passion, mais tournée vers l’insulte et l‘étroitesse…. étrange ce qui est un peu court..
Reparlons d’Aragon celui qui souffre de la défaite de Juin 4O sur le moment même..traqué par les nazis..pendant 4 ans.. caché au centre de la France..autre chose sur le plan moral que d’être une marguerite’ duras qui distribue le papier au nom de l’occupant..si on parle du comportement politique..
J’aime beaucoup ces vers
« O mois des floraisons mois des métamorphoses
Mai qui fut sans nuages et juin poignardé
Je n’oublierai jamais les lilas ni les roses
Ni ceux que le printemps dans ses plis a gardés »
Méditez cette grandeur poétique, ce sentiment vrai, cette musique..
Enfin, relisez « la diane française » et vous verrez l’idiotie de votre position qui n’est qu’amertume. Vous ne voyez qu’un chantre de Maurice Thorez
je vous plains, vous ne lisez pas, vous avez le cri de la pure haine c’est un aveuglement
et pas une lucidité. Relisez aussi des vers moins connus comme la « complainte de Richard II »
enfin un homme- que voulez vous que je vous dise ?- un lecteur qui ne sait pas apprécier « Aurélien » , « les beaux quartiers » ou « les cloches de Bâle » ou » la diane française » ?? MALHEUREUX !!Vous pensez comme un commissaire politique. Qui ne sait pas voir la filiation entre charles d’Orléans, Péguy, chrétien de Troyes.. et Aragon, il raté une marche et plus qu’une marche que dis je vous ratez des pans entiers de la grande littérature. Ce sont d’immenses escaliers de beauté e d’intelligence littéraire que vous ratez.
Là, Paul … je vous sens con ! Dommage.
(il est vrai que nul n’est à l’abri et que, par nature vous faites passer la littérature avant les actes immondes de l’homme : pourquoi pas ? question d’éthique.)
Paul Edel la faculté des intellectuels français à glorifier les défenseurs de régimes ayant fait des millions de morts me fait doucement rigoler. Alors, pourquoi condamner les camps de concentration puisque Céline qui à la différence de vous était un génie (donc un esprit supérieur à même de juger), estimait qu’ils ne fonctionnaient pas assez vite. Et le goulag…. alors que Aragon allait passer ses vacances dans des datchas, entouré de jeunes garçons.
je vous laisse avec Elias Canetti « Ce devrait être un signe de décence pour un homme que d’être honteux d’avoir vécu au XXème siècle »
Snob ou pas, je n’aime pas l’art conceptuel contemporain. J’ai quand même le droit, non ? sans passer pour autant pour un attardé mental qui détesterait à priori l’art contemporain. Ou bien, Thierry, êtes-vous intolérant jusqu’à ce point ? Remarquez, ça ne m’étonnerais pas de votre part…
Le blog est farci de tous les curés défroqués, tous les bien pensants qui soutiennent Assad et vous donnent des leçons sur Aragon. C’est pitoyable ! Tous les minus habens de la terre se ruent sur leurs proies faute d’avoir quelque chose à dire et à défendre. C’est la France d’aujourd’hui.
et avec George Orwell pour qui vos brillants cerveaux doivent « faire partie d’une intelligentsia pour écrire des choses pareilles, nul homme ordinaire ne saurait être aussi stupide »
vous êtes ici le porte parole de l’extrême droite fascisante israelienne alors un peu de modestie alba
Il est pourtant clair que l’extrême droite fascisante israelienne est humaniste laxiste, quand on la compare aux terrorites islamiques déments qui font chillier le monde partout sur la planète … et toc !
C’est vous qui faites partie des fascistes, plutôt ! Les gros fascistes antisémites, oui.
L’équation Céline, Aragon et Sartre résume à elle seule une grande partie de la littérature française du XXe siécle. Celle que l’on dira « engagée ». Engagée sous la bannière Gallimard. Normal que Passou nous propose régulièrement des billets sur eux, enfin les deux premiers surtout, oubliant le dernier, tout aussi capital, fructueux et contesté. Pourquoi donc ?
Aragon travaillait pour d’autres, sachant ce qu’il faisait, Céline travaillait pour lui-même
cette phrase dit énormément sur l’essentialisation de la droite et de la gauche en france, car à la vérité tu sais aussi bien que moi philippe qu’on touche autant la fibre française..parlons d’elle..la fibre collaborationniste française en disqualifiant céline, que la fibre « irreponsab internationaliss prococo » française en déculottant aragon..dans le propos critique le procédé est exactement le même, cependant par quelqu’alchimie l’un est un « individu » l’autre un élément d’une « masse »..selon l’idée que l’on se fait de la nation..elles sont toutes les deux antisémite, l’une seulement plus facilement que l’autre..ceci pour peaufiner le look de ceux qui veulent se distinguer comme dab en conchiant d’un pas de coté..le bovary c’est moi apocryphe de flaubert débouche au xxéme sur nos deux arsouilles qui déni plutot beaucoup..
ce qui est subsumé au 21eme par un : allez vous faire enculer, tous
Michel, c’est votre droit le plus strict, de ne pas aimer l’art conceptuel actuel. Je suis assez tolérant, vraisemblablement plus que vous sur pas mal de sujets*. La vérité, et je pense que Renato pense d’une manière similaire, ceux qui n’aiment pas le contemporain, n’ont qu’à nous parler des anciens qu’ils aiment, de Lascaux à Duchamp. J’aime l’art de toutes les époques, sauf quand même « les pompiers » du 19ème.
* Se disputer avec vous est improductif, vous êtes connu pour votre mépris et votre psychorigidité. Le problème est que vous vous tenez pour un génie et vous le mêlez à un caractère cholérique, qui ce dernier tient souvent du folklorique.
Tout ceci dit, Michel, vous restez avec l’ancien MàC, parmi ceux qui ont quelque chose à dire d’intéressant.
Pour ce qui est d’Abelkader, tout propos pour le descendre en vrille, tient d’une xénophobie dépassée qui pue les années 50-60. Il faut laisser cela au catholiques-messe-en-latin qui rêvent d’une France peuplée de français de souche. Parlent-ils alors des Franciliens ? La France que nous connaissons n’existait pas avant Louis XIV ou Napoléon III.
Vadiou, que devient le sujet de la Note, dans tous les commentaires ?
Vous dérapez toujours vers le même sujet, les mêmes convictions politiques, tout en restant parisien.
comme Claude Beri, le cinéaste, n’agissait pas par snobisme, puisqu’il y une vingtaine d’années, les peintres par lui collectionnés, devaient être inconnus des snobs,tkt.
D’abord, mais c’est un détail, Claude Berri, ce serait mieux.
Dans un entretien à Galerie Magazine dont je n’ai pas la référence mais le souvenir exact, Berri était longuement interrogé sur la passion de l’art et disait qu’il a commencé comme beaucoup de gens fortunés par de l’art de la fin du XIXè puis en était venu à Dubuffet qu’il ne trouva pas assez moderne(sic!)l’art conceptuel pour se retourner ensuite vers la photographie, en créant au passage son espace Galerie.
Tout cela en financier investisseur et producteur de cinéma avisé.
Collectionneur passionné sans doute mais pas désintéressé.
Une partie importante de l’art conceptuel, sa queue de comète finissante en fait, n’est qu’une habile tautologie artistique de marketing international correspondant à notre commerce mondialisé.
Madame Putman fut aussi une géniale opératrice de marketing d’ailleurs, surtout avec l’exploitation lithographique des œuvres de Bram Van Velde.
Il faut lire, bien évidemment:
« L’exploitation des œuvres lithographiques »
cholérique : qualifie une colère rageuse que le patient éprouve après avoir attrapé le choléra.
Mot conceptuel : L’AR(GEN)T
Madame Putman:Mais qui peut raconter une rencontre de travail évec elle et comme elle reconnaissait assez bien ce qui lui plaisait au point de chercher à s’en emparer, oule faire copier et à le griffer à Son nom ,au moins à NewYork ?
à propos de goût , je viens de lire
« . You might get your patient to “agree” to any number of contingencies, but there is no bargaining with his unconscious. »
signé Richard A. Friedman
do’nt bargain with love
La vérité, et je pense que Renato pense d’une manière similaire, ceux qui n’aiment pas le contemporain, n’ont qu’à nous parler des anciens qu’ils aiment, de Lascaux à Duchamp
allons..la vérité, rien que ça vontraube, et pis lascaux est plus proche de nous que duchamp..à proprement parler de « découverte »maitre mot..si si, vérifie..c’est marrant dailleurs ce chronologisme dans l’art « contemporain », crois tu qu’on finira par touver un nom qui le disqualifiera dans son action préemptrice permanente du présentétisme vontraube ?..vdqs?
alors là Paul Edel à 13:55, mille bravos, on ne saurait mieux dire, mieux écrire, vous damez le pion à tous ces aigris ultra-droitiers, et se faire insulter par tweetie, quel honneur
et se faire insulter par tweetie, quel honneur
..tweetie ? combien de divisions ?
eh toi boudegras, va te faire enculer toi-même
L’ennui dans l’art contemporain c’est qu’après il l’est plus, contemporain, l’art…
@ Armechaud: Je ne connais le travail de collectionneur de Claude Berri, qu’au travers de sa collection vue rue de Verneuil, dans les années fin 80, début 90. Puis par ses mémoires et le livre de Nathalie Rheims après le décès du cinéaste. Livre que je recommande car il est plein d’amour et d’humanité.
Je connais aussi des anecdotes sur le collectionneur, puis galériste Claude Berri, par un homme important de l’art conceptuel, en Suisse. Ce grand pape de l’art conceptuel, m’avait reçu pendant quelques heures pour me présenter sa collection, personnelle et monochrome d’un des géants du concept art.
Je n’insulte pas, j’expose mon point de vue, qui se base sur trois principes : 1 mon islamophobie légitime ; 2 mon anti-droits-de-l’hommisme ; 3 ma conviction que Hollande est le plus criminel de l’Histoire.
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