Barbara au coeur de sa nuit
Ce n’est même pas un paradoxe, juste un constat personnel : on peut être biographe et n’éprouver aucune curiosité pour la biographie de ceux qu’on aime, qu’ils nous fascinent ou simplement nous intriguent. Mon cas vis vis de bien des créateurs dont je n’ai jamais cherché à connaître la vie ; je me suis contenté de l’œuvre, qui est l’essentiel, probablement influencé par Nabokov pour qui le style d’un écrivain suffit à dessiner les contours de sa biographie. Mais comme les livres m’arrivent sans crier gare, Barbara m’a rattrapé. Parfaitement, la pianiste chantante, la dame en noir, la mélancolie faite femme. Des années que je l’écoute sans rien savoir d’elle, sans même avoir cherché à savoir quoi que ce soit. Sa voix, ses textes, sa présence m’ont suffi et si souvent aidé, soutenu, quand tant d’autres s’en souvent dit au contraire abattus, cafardeux, déprimés, sinon poussés au suicide, façon de parler. Un livre vient de paraître qui leur dit, avec la légèreté qui sied, que son noir est profond mais traversé d’éclairs ; on s’y enfonce, comme dans ce poème de René Char où l’on avance à tâtons dans l’inconnu, mais guidé par des repères éblouissants.
Barbara (148 pages, 8,10 euros, Libretto/Phébus) avait paru une première fois en 2007 avant que l’éditeur ne lui redonne vie ces jours-ci en format de poche. Son simple nom et sa photo en couverture m’ont évidemment attiré ; mais cela ne suffisait pas à me faire franchir le pas de la curiosité ; le nom de l’auteur Marie Chaix a certainement joué car j’avais conservé un bon souvenir de son roman Les Lauriers du lac de Constance (1974) et autres éclats de mémoires tels L’été du sureau (2005). Je me suis donc embarqué dans ce qui s’annonce comme une biographie, malgré la brièveté du volume, sans avoir lus les livres de ceux qui l’avaient précédé sur ce chemin, Jérôme Garcin, Didier Millot., Jacques Tournier, Valérie Lehoux, ni même les propres souvenirs de Barbara, ses « Mémoires interrompus » (1998).
Le point de vue de l’auteur n’est pas tout à fait extérieur, par rapport à son sujet (elle fut son assistante de 1966 à 1970) comme par rapport à son objet (elle était proche de cet univers par sa sœur, la chanteuse Anne Sylvestre). Impossible de le lâcher, ce petit livre, magnifique portrait plein de belles rencontres et de notes de musique. Parfois, on a envie de le fermer, et de le coller à l’oreille avec la certitude d’y percevoir des échos de « Nantes », le son de la pluie sur les pavés, comme on entendrait le ressac à l’écoute d’un coquillage. Il suffit de prêter l’oreille. Car c’est une étrange expérience que la biographie d’une voix. Surtout quand c’est celle d’une femme aussi discrète, mystérieuse, énigmatique, silencieuse que Piaf ne l’était pas.
Au physique, elle s’est elle-même parfaitement décrite : « une tête d’oiseau posée sur une fleur géante noire ». Barbara, on la sent importunée par le passé ; mais plus elle met à distance, plus il lui revient. Comment en serait-il autrement quand ses origines juives, alsacienne d’un côté, russe de l’autre, lui sont renvoyées en pleine figure à 10 ans par le premier statut racial du gouvernement de Vichy ? Elle rêvait d’être pianiste, son appel, sa vocation. Jusqu’à ce qu’à14 ans, une douleur insistante dans la main, un noyau qui grossit dans la paume, une opération réussie mais aux dépens d’un tendon l’obligent à faire une croix sur toute pratique sérieuse de l’instrument. En jouer, le caresser, le tapoter, certainement, mais pas au-delà. Elle s’y résigne et c’est une autre douleur. Heureusement, au Vésinet où la mène la transhumance familiale, elle découvre une plaque sur un mur : celle d’un professeur de chant. La voilà sur la voie. Après, il y a les galères habituelles. Les petites scènes minables en province, d’autres moins à Paris, à l’Ecluse, à la Tête de l’art, avant Bobino, l’Olympia, le Châtelet. Dans ses confidences babillées à Marie Chaix, elle a des traits fulgurants pour décrire ce ressenti. Sur le cabaret par exemple. De quoi réduire à néant l’insupportable romantisme de la bohème :
« Ils ne se rendent pas compte. J’entends tout, le bracelet de la dame, le briquet qui allume la cigarette, je vois la flamme, les verres qui se cognent. Ce n’est pas leur faute, ils sont venus ! Mais moi, morte de peur, tu comprends, je fais un geste un peu large, j’oublie, et toc je décoiffe la femme de la première table ! Et eux, là, ils pourraient me toucher. L’horreur. Si je pense à ça, je ne reviens pas demain. Tu vois, tu chantes : « Il pleut sur Nantes » et tu entends quelqu’un déglutir sa bi ère ! Je t’assure, le cabaret, c’est terrible, terrible. »
Comment aurait-elle tenu tant d’années dans ces lieux si elle n’avait su récréer sa bulle de silence autour de sa voix et des gestes ? Elle a déjà ses manies et son intransigeance : le tabouret de piano réglé à 61 cm et pas un de plus ; l’habitude de jouer les notes graves du piano tournées vers le public ; l’envie irrépressible de chanter dans le noir ; les films regardés à la télévision les nuits d’insomnie ; les bracelets d’argent tintinabulant plein les poignets ; le mot « poète » détesté dès lors qu’on le lui accole alors qu’elle n’est qu’une femme qui chante et respecte trop les vrais poètes pour se croire l’un deux ; les conditions drastiques et infernales imposées à Guy Job et son équipe lorsqu’ils tournèrent la captation de son spectacle ; le Zan comme une drogue ; le nomadisme atavique ; la prodigalité jusqu’à poser un vrai problème avec l’argent et exiger une sorte de tutelle ; la hantise de l’ennui contre lequel elle serait capable de tout…
Son secret ? Elle l’éventera elle-même plus tard dans ses Mémoires, mais posthumes, pour n’avoir pas à en parler, car le mot n’y est pas écrit bien que l’histoire y soit racontée. Aucune de ses chansons n’en parle, même s’il plane sur toutes les paroles, par allusions voilées, déjà dans « Au cœur de la nuit » (ici les paroles de.toutes ses chansons). Un homme ? Certainement mais pas l’un des siens, pas un amant abandonné parce que soudain il n’était plus dans son horizon. Un autre. C’était pendant la guerre à Tarbes où la famille, hors-la-loi, s’était réfugiée.. Elle n’était plus une enfant, à peine une adolescente. Même pas onze ans. Son père, joueur, nomade, vagabond, fugitif, qui souvent partira sans laisser d’adresse, cet homme-là la prend, la salit et humilie son enfance. Inceste : mot tabou. Dans ces moments-là, sa mère lui a manqué ; elle n’en restera pas moins la personne qu’elle a adorée même si elle a eu du mal à l’aimer, une mère qui ne lui manifestait jamais d’amour. Tarbes est la seule ville de France où elle refusa toujours de s’arrêter au cours de ses nombreuses tournées. Un jour de 1959, elle reçoit un appel pour se rendre au chevet de son père, vite ; elle se précipite vers cet homme détesté/adoré, disparu de la circulation sans donner de nouvelles depuis des années, mais elle arrive trop tard pour la réconciliation. Ce qu’elle n’a pu lui dire, elle le chantera puisque bonne qu’à ça et n’aime que ça. Il est vrai qu’après cet aveu, on n’écoute plus la pluie tomber sur Nantes de la même façon car on y entend les accents du pardon-quand-même, et l’on imagine la force qu’il lui a fallu pour composer et chanter en public cette chanson-là qu’un tout petit cercle d’intimes pouvait alors décrypter. « Sûr, il m’a fallu un sacré goût de vivre, une sacrée envie d’être heureuse, une sacrée volonté d’atteindre le plaisir dans les bras d’un homme, pour me sentir un jour purifiée de tout, longtemps après » écrira-t-elle.
Les chansons, ça sert à remuer les choses en nous. Il en est tant, portées par Barbara, Ferrat, Nougaro, Trenet, Brel, Aznavour, Brassens, Piaf, Ferré et d’autres (Cloclo, le film de Siri, est, à cet égard aussi, parfaitement réussi) qui auront façonné notre imaginaire, dessiné les contours d’une identité, qui nous auront fait tel que nous sommes, bien plus profondément que bien des livres, des films ou des pièces. Encore faut-il accepter de faire toute sa place à la sensibilité dans notre part d’ombre. Barbara était adulée par un public qui lui était reconnaissant. Il faut l’imaginer chanter en allemand « Göttingen » à Göttingen, chanson qui fit davantage que bien des discours et des traités pour la réconciliation franco-allemande, vingt ans après la fin de la guerre. Il faut se replacer dans cette soirée, ou quelque part en France, malade, ayant perdu sa voix avant d’entrer en scène mais préférant se damner plutôt que d’annuler, elle apparaît couverte de châles, explique, force pour faire vivre un mince filet de voix, juste de quoi lancer les deux premières paroles et le public de chanter en chœur chacune de ses chansons à sa place: « Dis, quand reviendras-tu? », « La petite cantate« , « Pierre », « Vienne« … Il n’est pas indispensable d’être un poète encarté pour poétiser le monde.
Ma seule frustration ; que l’auteur des Lauriers du lac de Constance, où elle racontait la fuite à la Libération et l’exil allemand de son père Albert Beugras, l’homme du renseignement auprès de Jacques Doriot pendant l’Occupation, n’ait pas confronté son propre passé, elle qui est née en 1942, à celui de Barbara, née Monique Serf, du côté des Batignolles en 1930, et qu’un dialogue ne soit pas né du choc de mémoires et du vécu de la fille du collabo et de la fille du Juif quand l’une et l’autre étaient de part et d’autre de la barrière. Il est vrai que ce serait un autre livre, peut-être. En attendant, Barbara me suffit pour savoir les deux ou trois choses que j’ignorais de Barbara. Ses Mémoires ? Inutile. Son autobiographie, ce sont ses chansons. Pas un mot à rajouter à l’œuvre d’une vie pour connaître sa vie, elle qui n’aura pas vu passer la sienne.
(Photos D.R.)
773 Réponses pour Barbara au coeur de sa nuit
on la sent « importunée » par le passé.
beau billet, émouvant.
effectivement moins on en sait et mieux ça vaut.
Merci Hamlet, corrigé
« L’aigle noir » n’est-il pas l’évocation de « cet inceste » ? Hautement symbolique… Il me semble….
Ha ben oui une photo de Lindau aurait bien complété celle des Hohenzollern…
pas évident de le deviner quand on l’écoute : le « hélas » n’est pas au début mais à la fin de la phrase.
J´ai eu tort, je suis revenue dans cette ville loin perdue ou j´avais passe mon enfance.
J´ai eu tort, j´ai voulu revoir le coteau ou glissaient le soir bleus et gris ombres de silence.
Et je retrouvais comme avant,longtemps aprés, le coteau, l´arbre se dressant, comme au passe.
J´ai marche les tempes brulantes, croyant étouffer sous mes pas.
Les voies du passe qui nous hantent et reviennent sonner le glas.
Et je me suis couchée sous l´arbre et c´étaient les mêmes odeurs.
Et j´ai laisse couler mes pleurs, mes pleurs.
J´ai mis mon dos nu a l´écorce, l´arbre m´a redonne des forces tout comme au temps de mon enfance.
Et longtemps j´ai ferme les yeux, je crois que j´ai prié un peu, je retrouvais mon innocence.
Avant que le soir ne se pose j´ai voulu voir les maisons fleuries sous les roses, j´ai voulu voir
le jardin ou nos cris d´enfants jaillissaient comme source claire.
Jean-Claude, Regine, et puis Jean tout redevenait comme hier, le parfum lourd des sauges rouges, les dahlias fauves dans l´allée, le puits, tout, j´ai tout retrouve, hélas
La guerre nous avait jeté la, d´autres furent moins heureux, je crois, au temps joli de leur enfance.
La guerre nous avait jetés là, nous vivions comme hors la loi et j´aimais cela…
c´est fou, tout, j´ai tout retrouve. Helas.
Il ne faut jamais revenir aux temps caches des souvenirs du temps béni de son enfance.
Car parmi tous les souvenirs ceux de l´enfance sont les pires, ceux de l´enfance nous déchirent.
Oh ma très chérie, oh ma mère, où êtes-vous donc aujourd´hui? Vous dormez au chaud de la terre.
Et moi je suis venue ici pour y retrouver votre rire, vos colères et votre jeunesse.
Et je suis seule avec ma detresse.
Helas
Pourquoi suis-je donc revenue et seule au détour de ces rues?
J´ai froid, j´ai peur, le soir se penche.
Pourquoi suis-je venue ici, ou mon passe me crucifie?
Elle dort a jamais mon enfance.
de rien passou, j’ai l’oeil pour repérer les faute d’orthographe et de grammaire, c’est une sorte de don naturelle.
quand tant d’autres s’en souvent dit au contraire
bien sûr , je ne veux pas multipliér et musiquré les mots d’espit que le retour du verbe être avant dit introduirait. j’ai écouté et fait écouter des heures et des heures Barbara à Tarbes, ne connaissant pas dutout sa biographie, quand des juifs relpiés de Nancy et venus s’installer à Tarbes la dénigraient- et me danigraient- de l’avoir aimée sans mode d’emploi ni recettes sur papier. ,
Passou a l’art de conduire les vieilles gens du blog vers leurs amours passées. Cajolons les sensibilités vieillissantes. Et puis, on peut aimer Barbara, pourquoi pas ? Cependant, en attendant les bios de Rina Ketty, Fréhel, Yvette Guilbert, Renée Lebas, Damia, je vais mettre de côté les 8 euros. Ne pas prendre de décision à la légère.
Il pleut sur Nantes …
‘ Sa voix, ses textes, sa présence m’ont suffi et si souvent aidé, soutenu, quand tant d’autres s’en souvent dit au contraire abattus, cafardeux, déprimés, sinon poussés au suicide, façon de parler. ‘
Syntax error ?
Comment proposer une modification, ou faire quoi que ce soit d’ailleurs, sans être au fait de l’intention sous-jacente ? Comment l’oser au risque de commettre une faute ? Je tente :
‘ s’en sont souvent dits ‘.
Clichés inédits de la grande Dame brune réalisés par Libor Sir en 1967
http://livres.rencontres.bardot.barbara.star.over-blog.com/photo-1787233-Barbara-par-Libor-Sir-1967–Blog-Bagnaud–1_jpg.html
Peut-être que M.Laffeychine qui a pu obtenir ces clichés pourrait mettre un lien permettant de les voir tous.
Autre appel de Sud Ouest :
« On pourrait même prolonger l’histoire en lançant un appel pour retrouver le petit garçon inconnu de la place des Vosges que Barbara a pris dans ses bras, le temps d’une photo. Le temps d’un sourire. »
Enfin, Hamlet, si vous allez chercher du fromage du côté de Saint Marcellin, où Barbara a vécu de 1943 à 1945, vous aurez jusqu’au 25 mai, la chance d’écouter voir.
http://www.youtube.com/watch?v=mqeRRqj7Jy4
et musiquer
de passage à Nantes, j’ai pris un café qui diffusait Barbara en non stop .Pour qui se souvient de l’avoir découverte et aimée pour sa voix du temps où elle passait à l’écluse (pub émission télé) c’était insupportable, et je n’y ‘ai pas tenu .
j’ai aussi tant écouté ses premiers disques en vendant des livres dans une librairie de livres de poches
mais P.Assouline qui aie tant causer fantasme pulsions et syndromes peut se mettre tout seul au roman dont il se dit frustré par des femmes ô les méchantes , les vilaines femmes qui ne bandent pas aux roucoolades – à -la- papa-qui joue au psy, au psy à s’en péter un canal carpien
qui aime tant !
je tiens à préciser que les disques étaient dans la librairie amenés par a jeune femme vendeuse quand j’y achetais des livres élève au lycée en face:jeune femme que je remplaçai quand elle s’offrit une septicémie , à la suite d’un avortement un peu sauvage.
Mr Assouline a aussi l’art de théoriser les frustrations rosebudiens du biographe qui finit par préférer mettre un cd et écouter une chanson.
le Rosebud est par définition ce qui échappe, même au meilleur biographe, parce qu’il faut être au chevet de la personne et tendre l’oreille pour entendre le mot fatidique, et une fois qu’on connait le mot fatidique on ne sait même pas ce qu’il signifie.
le Rosebud est une façon polie de dire comment ceux qui veulent tout connaitre d’une vie finissent immanquablement par l’avoir dans le baba.
Mr Assouline je suis désolé pour vous il est évident que Barbara et Marie et Marie Chaix n’avaient absolument rien à se dire, rien à échanger, à part des balivernes sur ces ennemis familiaux qui viennent de l’intérieur, dans le cas contraire elle n’aurait pas eu besoin d’écrire ses chansons.
Barbara et Marie et Marie Chaix
oupps
http://www.ina.fr/video/I06045097
Elle était belle Barbara…
Un jour, je me suis éloignée d’un ami possible seulement parce qu’il m’a écrit qu’il trouvait Barbara ridicule (paroles, musique, interprétation) et qu’il était « mort de rire » avec sa femme quand il l’entendait chanter…
J’ai ressenti ces paroles comme une agression. Il se reconnaîtra puisqu’il fréquente ce blog… Barbara : on touche pas !
quelle femme qui se respecte accepterait de faire des confidences à un homme qui en est à babylisser son babystyle de « confidences babillées » ?
Bref : elle clopinait…
Boh le mieux pour la réconciliation c’était encore Camillo Felgen…
« J’ai ressenti ces paroles comme une agression. Il se reconnaîtra puisqu’il fréquente ce blog… Barbara : on touche pas ! »
c’est pas moi ! je le jure !
c’est qui christiane ? c’était votre amoureux ?
vous pouvez nous donner un petit indice pour trouver le nom de cet infâme personnage ? juste les premières lettres de son nom.
christiane ne me dites pas que c’est Paul Edel ?
c’est lui ? c’est Paul Edel ?
Paul Edel n’aime pas Barbara !
misère, j’aurais dû m’en douter.
christiane, c’est Monsieur Court ?
Monsieur Court n’aime pas Barbara ? ça me surprend un peu de sa part.
@ Un jour, je me suis éloignée d’un ami possible
il m’en faut encore moins pour m’éloigner, même de parents qui se croient « fins psychologues », ou de « psys », hommes et femmes, et depuis assez longtemps et ce n’est pas que je mette si haut l’amitié.
Si comme Kafka l’a dit le style est une corde à sauter,il n’ a pas dit aux psys en quelle matière elle était faite et quand démarrer le jeu à l’huile et vinaigre .
bonne soirée je ne me ferai pas un autre canal carpien à l’ordinateur!
‘et qu’un dialogue ne soit pas né du choc de mémoires et du vécu de la fille du collabo et de la fille du Juif quand l’une et l’autre étaient de part et d’autre de la barrière. Il est vrai que ce serait un autre livre, peut-être’
… mais d’où vient donc cette obscure obsession passoulinienne (pour des fantasmes de bouquins aux sujets scabreux et rebattus) qui s’insinue dans chacun de ses posts ces derniers temps ? Le voyeurisme suggéré de deux mémoires paternelles croisant celle de Monique et de Marie méritait-il d’être ainsi suggéré ? Je n’en vois vraiment pas l’intérêt tout à fait malsain…
christiane, ce monsieur dont vous parlez ce serait Jacques Barozzi par hasard ? c’est lui ?
christiane c’est qui nom d’une pipe ! renato ? Alba ? JC ?
Diagonal, vous pourriez avoir un peu plus de respect pour Mr Assouline svp ? lire ses articles juste pour trouver le détail qui va vous permettre de l’insulter c’est pas très classieux.
. Il se reconnaîtra puisqu’il fréquente ce blog…
nous voilà beau!on va se triturer les méninges pour deviner…,un ami possible?Qui ici écrirait à christiane?et d’abord comment on fait pour écrire à christiane?on réclame son adresse mail à Passou?Et il la donne!Si c’est comme ça,je vais lui réclamer celui de jacques,je cherche un hébergement sur paris pour la fin de cette semaine,à part jacques,qui vit à paris?euh,daapnée!une fille à couper le souffle,et dédé aussi,je crois,suis pas sûr,enfin n’hésitez pas à m’inviter,vous réclamez mon mail à passou et voilà!je ne suis pas un type pénible,soyez tranquille,et pour vous remercier j’apporterai un saucisson truffé ou une truffe saucissonnée,mais c’est plus cher.
Non, ce n’est pas moi.
« il était « mort de rire » avec sa femme quand il l’entendait chanter… »
vous voulez dire : « quand ils l’entendaient chanter »
ça fait 4 indices : c’est un homme, il est marié (avec une femme ce qui écarte Jacky), sa femme n’aime pas Barbara et il n’est pas sourd.
l’étau se resserre.
Cordier dit bien que la France d’avant guerre était antisémite. Il dit que dans sa famille tout le monde était antisémite. Dans la mienne idem. Mais tout n’est pas si simple puisque ma mère a épousé un juif, ce qui ne l’empêchait pas d’être antisémite.
nous aurions pu trouver l’identité de ce goujat avec le vieux séquenceur que j’ai chez moi (une récup), je l’utilise pour séquencer l’adn des fleurs et des arbres fruitiers mais je peux très bien m’en servir pour retrouver ce type, il me faut juste quelques prélèvements.
le soleil noir tournait autour d’elle
(rayon babil pas certain que beaucoup aient vu et entendu ceux qui avaient préparé le terrain ni comment, désolé pour cette parenthèse mais vu les fréquentations…)
Le voyeurisme suggéré de deux mémoires paternelles
ça c’est du style de journaliste à l’économie de toile !style fumier?
encore moins fascinant que le cul des anes-ses- de la dame clopine courant les filles de de la RdL .
Je viens de comprendre la modération.
A partir de 2 liens, tu patientes.
Hamlet, le 18:01 est pour vous.
ah les souvenirs toulouse 1966 barbara et gotingen
ML, les ennemis qui viennent de l’intérieur sont pires que ceux qui viennent de l’extérieur parce qu’on ne les voit pas venir.
si vous voulez si vous avez des doutes sur votre identité je peux séquencer votre adn.
il faudrait que je vous fasse payer un juste prix qui couvre mes frais en préparation de pcr et gel de polyacrylamide, ça tournerait autour des 50 euros mais comme c’est vous que je peux vous séquencer pour 40 euros.
Non, moi, hamlet, je n’ai aucun problème d’identité. Les gens de ma famille étaient tous de braves gens. Ils étaient antisémites mais ils n’auraient jamais fait de mal à un juif. Ma mère avait beau avoir épousé un juif, elle disait souvent du mal des juifs. Cela ne m’empêchait pas d’adorer ma mère. Mais c’est comme ça la France. Tant qu’on n’a pas compris toute l’ambiguïté de ce pays, on n’a pas compris ce qu’est la France.
« christiane c’est qui nom d’une pipe ! renato ? Alba ? JC ? »
Pourquoi toujours choisir les plus sensibles ?
(vous l’avez compris : Barbara, c’est pour moi un vautour musical….)
Finalement sans oncle Wolf qu’est-ce qu’on s’ennuierait… Un vrai Ruquier ce gars-là !
C’était en passant… mais cela a fait comme une fêlure. Soudain, on est triste… Bon passons à autre chose…
Ses Mémoires ? Inutile.
Vous me permettrez de trouver cela un peu gonflé de la part d’un biographe faisant l’éloge du petit dernier d’un confrère !
simple puisque ma mère a épousé un juif, ce qui ne l’empêchait pas d’être antisémite.
après tout , c’est peut-être vrai que ce soit la raison pour laquelle ils ont pu faire du chemin ensemble .on ne voit l’antisémitisme, et ne le libère ,stricto sensu à la faveur des circonstances de rivalité -mort etc qu’après (les enfants voyons)
mais j’ignorais bien que barbara était juive quand je l’ai aimée, pour ainisi dire dès la première fois que je l’ai entendue à la télévision, au temps que je mangeais encore à la table supposée familiale .
Rien ne me dit que je me comprendrais mieux , ni que je les comprendrais mieux , les autres, si je lisais ce livre .
ce qui est certain c’est que j’étais, lorsque j’ai aimé Barbara, la première personne à avoir le toupet ? d’avoir soudain des goûts personnels « indépendants »de ceux qui gravitaient et rapportaient leurs sorties, leurs rencontres, ceux qui n’étaient même pas des amis et ne prétendaient pas l’être .
JC c’est donc vous ! si c’est vous alors vous êtes pardonné mon fils, je vous absous, allez en paix.
attendez, juste pour votre pénitence, avant de vous coucher vous direz votre prière : « je te rends grâce Seigneur, d’avoir pardonné mes péchés et de m’avoir recueilli… », vous connaissez la chanson….
Alive à 19:10, ç’envoie du lourd, comme on dit en regardant une retransmission d’épreuve de sport extrème.
le lourd de la ligne d’ombre ou de la ligne claire ?
‘toute façon y’en leur faut toujours des mauvaises raisons et si c’est pas les boches et les collabos les sodomite trop sensibles ou alors le cannabis quand t’en as pas pris et que tu peux pas comprendre
« christiane dit: 20 mai 2013 à 19 h 23 min
C’était en passant… »
comment ça en passant ? christiane nous comprenons la douleur, la fêlure mais vous savez bien qu’ici rien ne se fait en passant, quand on commence une confession il faut aller jusqu’au bout !
c’est quoi ce blog b.rdel ! un blog littéraire ou un blog de recettes de cuisine ?
la littérature christiane ! nom d’une pipe la littérature ! pas celle de l’autre imbécile de Régis Debray, pas Rousseaux ou Chateuabriand non la vraie ! celle de Borgès, le tango christiane pas la tisane ! je comprends vous avez trop longtemps fréquenté le blog de Paul Edel, il vous a bassiné avec Flaubert, le romantisme et vous avez fini par oublier ce qu’est la littérature.
christiane il faut vous éloigner des écrivains et des critiques littéraires pour revenir aux sources, revenir vers nous, vers nous les lecteurs ! nous lecteurs devons nous serrer les coudes car personne ne les serrera pour nous, nous seuls savons ce qu’est la littérature, nous seuls connaissons cette fracture temporelle qui vient percer de part en part l’essence de nos existences, il n’y a que les biographes et les romantiques qui pensent que les choses ont un début et une fin mais nous christiane nous sommes des baroques, des adeptes du contrepoint, nous savons bien que les débuts et les fins ce n’est pas vrai, c’est pour ça, vous pouvez avoir confiance christiane….
Non, moi non plus je ne savais pas que Barbara était juive et d’ascendance russe avec un côté germanique aussi mais à la réflexion ça ne m’étonne pas du tout parce que je me suis senti de plain-pied chez moi en écoutant ses chansons qui ont quelque chose de romantique allemand, moi qui suis aussi juif d’ascendance russe et pour qui, par certains côtés, la culture allemande tient une place plus grande que la culture française que j’ai appris finalement à vraiment apprécié que sur le tard alors que la culture allemande m’a tout de suite été très proche dès que j’en ai eu pris connaissance ; le premier poème que j’ai su en allemand, la Lorelei de Heine, c’était en classe de 6ème.
pour frustrer encore plus P.Assouline, j’ai le plaisir de lui dire que j’ai été à la bar mitsvah de guy Job. De ui, je ne me souviens absolument pas , mais de son père que j’ai connu avant, quand j’étais très jeune ou. sa femme s’appelait Ruth( et
j’entendis se moquer de sa pilosité .)
le père, Robert job, est même déjà dans la peau de laRdL.
il avait une soeur, Daniele, je crois que je n’ai pas connue,prof de maths comme son père et dont on me dit que le mariage ,-ou un mariage-fut un échec affreux .. pour les parents !
lorsque le nom de guy Job s’affichait sur l’écran de télévisio si c’était le moment où je passais devant, j’entendais des remarques admiratives qui ne fussent jamais allées à une prestation de Barbara !
alive dit: 20 mai 2013 à 19 h 28 min
j’ignorais bien que barbara était juive
De toutes manières on s’en occupait pas on s’occupait que du casuel. C’est tout récent ce retour aux histoires d’appartenance. On pourrait être roccupé tranquillos, la mentalité collabo est déjà là bien déployée comme l’aigle. Enfin bon ça passera comme le pendule de Foucault…
oupsss Rousseau ou Chateuabrillant
Dans le téléfilm à partir des mémoires de cordier, l’acteur qui incarne de Gaulle s’appelle Patrice Juiff… Juste revanche de l’histoire !
Un tres beau billet, emouvant!
(passou vous n’en voulez pas trop, je m’efforcerai de respecter votre volonté, après tout vous êtes chez vous)
s à la réflexion ça ne m’étonne pas du tout parce que je me suis senti de plain-pied chez moi en écoutant ses chansons
voici le genre de phrase que je ne pourrais jamais écrire et de pensée qui ne pourrait pas m’effleurer à propos de personne .
je ne me sens pas chez moi dans un livre ni dans une chanson.,à peine dans mes souvenirs , autre raison de ne pas les discuter avec d’autres qu’avec moi.
le père de Guy Job était une bonne fourchette je crois .
Et voici un lien comme petit complément sur Göttingen
http://allemagnehorslesmurs.blogs.rfi.fr/article/2012/01/22/22-janvier-journee-franco-allemande-lhistoire-dun-hymne-goettingen
18.18 « Mr Assouline je suis désolé pour vous il est évident que Barbara et Marie et Marie Chaix n’avaient absolument rien à se dire, rien à échanger, à part des balivernes sur ces ennemis familiaux qui viennent de l’intérieur, dans le cas contraire elle n’aurait pas eu besoin d’écrire ses chansons ».
Pas très respectueuse ni classieuse, cette remarque mesquine adressée à Mr (mister ?) Assouline. Difficile de rester cohérent avec soi-même plus de trente secondes, apparemment.
Oui, eh bien je ne savais pas non plus, jusque très tard, en gros l’âge où on lit un blog dit de littérature, que « l’aigle noir », écouté -je ne sais plus à quelle fréquence- était une référence à un vécu douloureux, l’inceste.
Voilà ce que c’est de dormir à la belle étoile, au bord d’un lac. On rêve !
je n’étais pas adulte quand je vis guy Job à sa bar mitsvah ! on m’avait fait revenir de pension parce que j’étais pour le succès de son père indispensable, une des pièces importantes de l’histoire , que j’existais bel et bien en vie .
je crois qu’après en retournant à la pension , j’ai eu envie de me suicider, comme d’habitude .
je crois qu' »on » n’a jamais revu les Job
ce que c’est de dormir à la belle étoile, au bord d’un lac
un beau jour ou était-ce une nuit ?
« vous connaissez la chanson…. »
c’est parce que je connais bien la chanson que je reste sans voix, écoutant les artisans beuglants…
Barbara,…ouf ! Il y a pire, il y a meilleur.
non mi ricordo più
Dicking,
« les sodomites, trop sensible, quand t’en as pas pris, tu peux pas comprendre ! »
Nous sommes d’accord … ceci dit, point n’est besoin de comprendre pour inventer, non ?
Inceste ? ok, c’est du lourd si c’est violent ! faut savoir faire, et EN est défaillant dans ce domaine pédagogique ….
(mais moi qui ai vu de près, très près, le con étroit de ma mère, je peux vous dire que on passe vite à autre chose… ! Et j’en fais pas un plat, ni elle d’ailleurs : on est des enfants des Lumières, des humanistes, quoi ! Y a pas que le cul)
@ hamlet / 19 h 41 min
Oui, vous avez raison, revenons à la littérature, aux biographies. Je lis et je me passionne pour celle de Gustave Flaubert signée par Pierre-Marc de Biasi.
Ainsi dans le chapitre « Crypter le secret » :
« Le texte crypté fabrique son décrypteur comme l’énigme du Sphinx suscite Œdipe.(…) Si j’occulte quelque chose dans un message, c’est pour faire le tri entre mes destinataires, mais avec l’intention de m’adresser à un décrypteur potentiel, c’est-à-dire en réalité en surdéterminant par défaut la relation de communication sans la démentir. (…)
… la littérature vise la transmission; le cryptage est coextensif à des processus d’écriture qui(…) sont motivés par des déterminations complexes, au nombre desquelles le fantasme et l’interdit. »
Bien sûr on est là dans l’œuvre de Flaubert, dans sa correspondance, mais aussi.. en lien avec ce billet magnifique.
J’aimais le cryptage de « L’Aigle noir » et celui de « Nantes ». Beauté de ces deux chansons. Pourquoi dire plus ? La voix, la musique suffisaient à faire ressentir l’ombre sur ces deux chansons.
J’aime la part de cheminement réservée à un lecteur, à un auditeur, le « crépusculaire »…
Pour Flaubert, dans un des plus beaux chapitres du livre « L’invention du flou », je lis ces lignes :
» C’est cette magie de l’incertain, cette dimension probante de la suggestion qu’il s’agit pour Flaubert de fixer avec la plus grande efficacité possible dans une prose qui deviendra capable, à son tour, de provoquer chez le lecteur une sorte de rêverie ou d’illusion visuelle…(…) telle image trouvera sa force dans un certain bougé qui la brouille, une autre dans l’aveuglante précision des contours, une troisième par la coexistence d’un détail net dans un ensemble flou. Bref, la représentation est inséparable chez Flaubert d’un jeu permanent sur la « mise au point ».
allez, Hamlet! regarder sur paris première « le Guepard » de Visconti d’aprés Lampedusa car vous êtes en surchauffe.c’est dans cinq minutes.
« J’attends sans impatience
Dans de beaux draps
De pleurer une dernière fois
Son absence. »
Savoir comment tout cela va finir ….
Paul, on l’a lu, on l’a vu, on l’a relu … so what ?
Ah, oui, c’est interessant:
« Le mot cryptographie est un terme générique désignant l’ensemble des techniques permettant de chiffrer des messages, c’est-à-dire permettant de les rendre inintelligibles sans une action spécifique. Le verbe crypter est parfois utilisé mais on lui préfèrera le verbe chiffrer. »
DECLARATION D’IMPOTS 2012
Vous n’avez pas reçu un document, signé Jérôme Cahuzac, et pour cause.
Les 36,5 millions de pages, soient 182 tonnes de papier tout de même, ont bien été imprimées, mais ne seront pas distribuées
Coût: 850.000 euros… Détruites !
Bonne soirée, les bolos !
Non, moi, hamlet, je n’ai aucun problème d’identité.
Ah ! ah ! ah ! Un type qui nous rebat les oreilles 24 heures sur 24 avec sa demi-judéité, ses aïeux russo-polaks, son goût pour la culture allemande tellement proche de sa sensibilité ô combien raffinée… et qui maintenant se découvre d’étranges affinités électives avec Barbara depuis qu’il sait qu’elle est juive, du genre » au fond de moi je l’ai toujours su « …
elle avait été interviewée par France musique alors qu’elle elle s’était engagée dans les actions contre le sida . Et soudain elle avait dit « mais qu’est-ce qu’ils veulent les gens ? »
je n’ai pas grande curiosité pour les personnes publiques non plus, peut-être parce que j’ai connu autour de moi, quand j’étais jeune, des gens qui me semblaient polarisés par la gloire et les gloires (les épouser, les soigner , ah les soigner !)et cependant , Barbara me touchait personnellement assez pour aller l’entendre , l’applaudir à Bobino. Nul besoin de connaître s vie pour être soulevé d’émotion .On ne me pardonna jamais de comprendre que je pouvais ainsi aimer aussi librement , sans autorisation .
La mauvaise langue dit: 20 mai 2013 à 19 h 41 min
Non, moi non plus je ne savais pas que Barbara était juive et d’ascendance russe …..mais à la réflexion ça ne m’étonne pas du tout.
Mais qu’il est con ce Mimi moisi, mais qu’il est con.
Hors des temps et des modes
Dans l’obscurité
…
Qui puise aujourd’hui
Pour mon compte
Matière à sourire dans l’appel de
Sa présence ?
que je pouvais ainsi aimer aussi librement , sans autorisation
Euh,
Miroir, mon beau miroir,
en théorie (mais bon !) c’est moi.
Vu le sujet, j’admets.
Göttingen
Bien sûr, ce n’est pas la Seine,
Ce n’est pas le bois de Vincennes,
Mais c’est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l’amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.
Ils savent mieux que nous, je pense,
L’histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.
Et que personne ne s’offense,
Mais les contes de notre enfance,
« Il était une fois » commence
A Göttingen.
Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.
Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l’âme grise de Verlaine,
Eux c’est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.
Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.
Et tant pis pour ceux qui s’étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.
O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j’aime,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l’alarme,
S’il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.
Mais c’est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l’alarme,
S’il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.
la question bien plus que l’histoire familiale » de brbara serait pour moi: l’ai-je tant aimée parce qu’elle était une femme ? et une femme tout à fait étrangère à ma sphère « familiale » ?
je n’avais jamais beaucoup marché aux passions brassens de mes mis et leur famille , et j’avais eu une grande dispute à propos de piaf : je n’avais rien contre piaf elle -même dont je connaissais quelques chansons .
Barbara a été la chanteuse française de ma génération lorsqu’elle commence à écouter un peu les chansons .
L’Aigle noir est écrit pour sa soeur, victime du même prédateur.
Longtemps après Nantes.
les am-e-s que j’avais eu-e-s ne m’avaient découvert que des chanteurs hommes : Ferré notamment . et là, par une librairie, un petit boulot épuisant ,me sont arrivées les chansons et la voix de Barbara , et là c’était, cet amour, pour la vie .
mes amis. les rapaces ?
JC votre manière de mettre « la technique » en avant… bon bref, tout le monde vous l’a déjà dit ici…
Il pleut, sur Nantes, sur Paris et sur Brest.
Parfois d’une pluie qui fait des claquettes.
Pour Trenet, c’est une pluie de septembre,
grande dame qui tombe dans sa chambre.
Barbara s’est rappelée ce jour-là.
Petit caillou de mémoire.
Veilleusement.
elle n’écrivait pas pour autant coeur avec un k comme képi kaki
de la flicaille dans des bunkers
et les ouvertures n’y sont pas faites
pour voir le bleu du ciel
va, nie tes petits soldats !
rock around…
Sur un autre blog à un autre temps j’avais raconté brièvement les derniers mots que j’ai entendu de mon grand-père, je n’aime pas en reparler aujourd’hui, j’avais pourtant fait dans la simplicité (il me semble), sans fioritures, sans en rajouter sur ce qui s’était passé. Si cela me fait mal ce soir d’évoquer cela c’est pour avoir vu plus tart le cirque et les simagrées qui ont suivi. Bon. Là je pense que c’est clair.
Et je passerai sous silence d’autres attitudes à vomir…
Barbara :
« L’aigle noir », c’est une chanson que j’ai rêvée : j’ai fait un jour un rêve, bien plus beau que la chanson, où j’ai vu descendre cet aigle, et je l’ai ensuite donnée à une petite fille de quatre ans, Laurence, qui était ma nièce. Après ce rêve, il m’est vraiment arrivé des choses extraordinaires ! »
après c’est un débat de l’ordre psychanalytique, auquel il convient de faire face: courage, fuyons.
bonne nuit, et,
faites de beaux rêves !
20h40
t’inquiète pas le nain va rendre les milliards qu’ils a piqués dans la caisse
Ecoutez les cinq d’émission sur France Inter, Barbara en noir et blanc.
Cinq heures…
christiane dit: 20 mai 2013 à 18 h 25 min
Un jour, je me suis éloignée d’un ami possible
sans doute était-ce une agression mais celui-là avait déjà pris ses distances et n’était pas un « petit joueur phraseur raseur » il vous avait sans doute mieux comprise que vous ne comprendre jamais homme , ni femme auteurs compositeurs ou pas
pire que la mort les prétentieux se croyant habilités à vous donner des leçons de deuil… en vous tuant à petit feu ! (et a priori je ne parle pas de quelqu’un du blog…)
Un homme ? Certainement mais pas l’un des siens’,
par quoi on apprend en passant qu’une femme , une chanteuse ?une dite juive ? ne devrait pas dire, selon P. Assouline « les miens » quand elle évoque ses ascendants , mais qu’elle pourrait le dire quand elle évoque ses amants, maris ?
pour les descendants, collègues de la grande famille du spectacle , on ne sait pas ..tout ce que l’on apprend d’utile , c’est que les femmes sont des babilleuses ou des babillardes
Et les femmes ne seraient pas mélancoliques , même quand elles ont compris le jeu ?
mieux comprise que vous ne comprendre => vous ne pouvez comprendre
à faire une croix :pas trop difficile de comprendre que pour une juive il puisse être difficile d’accepter de faire une croix, comme les illettrés, et déjà parce que fille de juif:le judaïsme est une propriété des hommes qui n’est- ou n’était pas transmissible aux femmes .
Je n’ai jamais beaucoup aimé Barbara.
Pourtant, il parait qu’elle était altruiste.
hamlet dit: 20 mai 2013 à 18 h 18 min
Mr Assouline a aussi l’art de théoriser les frustrations rosebudiens du biographe qui finit par préférer mettre un cd et écouter une chanson.
le Rosebud est par définition ce qui échappe, même au meilleur biographe…’
heu…c’est pourtant pas sorcier de mettre le doigt dans le fond du sujet, non? ok, je sors…ouest mon manteau?
Barbara que j’aime beaucoup (ainsi que Robbe-Grillet d’ailleurs) m’avaient inspire ce p’tit texte de pas grand chose…nul je sais, c’est pas du Valery non plus, mais bon…c’est mon hommage perso a une grande dame et a un grand monsieur (et aussi a une amie qui habitait Nantes a l’epoque)…mon pote Tayeb avait aussi mis une musique samba dessus, que je deteste pas du tout…
L’année dernière a Stalingrad
Souvenez-vous
Souvenez-vous
Etait-ce l’année dernière à Stalingrad
Ou alors celle d’avant à Marienbad
Vous niez tout et insistez
Que tout cela n’a existé
Que dans ma mémoire
Votre parfum hante ces couloirs
Qui donnent
Encore
Sur d’autres couloirs
Où résonne
Votre présence
Parmi tant d’absence
Souvenez-vous
Souvenez-vous
Etait-ce l’année dernière à Stalingrad
Ou alors celle d’avant à Marienbad
L’écho de promesses faites
Par un soir de fête
Etait-ce a Stalingrad
Ou bien alors à Marienbad
Ces serments fébriles
Un soir d’avril
A moins que ce ne fut Septembre
Ou alors Décembre
Souvenez-vous
Souvenez-vous
Etait-ce l’année dernière à Stalingrad
Ou alors celle d’avant à Marienbad
Etes-vous celle que j’ai aimée
Suis-je celui que vous croyiez
Ces lettres perdues
Que vous dites n’avoir jamais reçues
Elles vous parlaient de nous
Vous me traitez de fou
Vous vous trompez
Mais déjà vous vous éloignez
Souvenez-vous
Souvenez-vous
Etait-ce l’année dernière à Stalingrad
Ou alors celle d’avant à Marienbad
© Editions Tata Jacqueline 2008
OK :
« je me suis contenté de l’œuvre, qui est l’essentiel, probablement influencé par Nabokov pour qui le style d’un écrivain suffit à dessiner les contours de sa biographie. »
De même pour un Papillon !.
je vous envoie la note du pressing…non mais!
A + !.
C’est vrai que Marienbad et Stalingrad… Les deux sont pas mal arrangés… Stalingrad déjà on peut faire ça en Mondrian, un peu comme dans Nord… Marienbad lui je lui rajouterais des tennis déserts, mais alors on sait pas où…
Sergio dit: 21 mai 2013 à 0 h 17 min
n’ai jamais mis les pieds ni a Stalingrad ni a Marienbad, mais il y avait un boulevard Stalingrad a Nantes…pas loin de la place des fusilles, si je me souviens bien…bref, la tentation etait trop forte de ne pas les mettre tous ensemble…
Ou alors on met les tennis déserts à Stalingrad, mais là ça fait vaguement publicité…
autant je suis sensible toujours à l’oeuvre, autant tout ce tartinage psychologique à l’adoration et au pardon m’est insupportable ,a fortiori quand il a tant l’air d’une « performance utilitaire »
Marienbad :
http://www.youtube.com/watch?v=zh3qei9dbAc
par quoi ( 0 h 26 min) je ne veux pas dire qu’une personne adulte et ême un enfant ne tiendra pas un discours de pardon et d’adoration d’un parent qui l’a maltraité et sacrifié -surtout une fille!! sacrifice des filles !! – dans des circonstances exceptionnelles (exil et persécution )mais il s’est quand même enseigné que l’inconscient lui ne connaît rien comme le pardon (ce qui pourrait expliquer le fameux symptome d’anniversaire).
je n’ai pas souvenir d’avoir entendu dans ma jeunesse dans des familles qui se disaient juives, à grand renfort de Rachel et de Regina , et qui n’aimaient que les fils, des « phébis » le mot d’inceste , ni par les hommes ni par des femmes qui avaient autant « sacrifié » qu’été sacrifiées jusqu’à la folie , et poliment s’achevaient elles-mêmes .
à 0 h 52 min est aussi un constat personnel , doublé d’enseignements publics entendus
Sergio dit: 21 mai 2013 à 0 h 24 min
Ou alors on met les tennis déserts à Stalingrad, mais là ça fait vaguement publicité…
on est en train de re-ecrire mon texte, la? heu…I don’t think so…you write your own…thanks…tain…
25 rue de la Grange au Loup, le pire c’est que cette rue existe bel et bien à Nantes. Le hasard qui réunit Barbara, son père avec ce qu’on sait et ce nom a quelque chose d’étonnant.
dans les chansons en lien le titre
Amours incestueuses
mauvaise langue , votre remarque est intéressante , mais ce n’et pas ce nom qui a quelque chose de particulièrement étonnant dans la toponymie (voyez un blog spécialisé en toponymie comme vous voyez le topo)
D. dit: 20 mai 2013 à 23 h 40 min
[Avant qu’il n’aille se coucher.]
D. n’a jamais beaucoup aimé Barbara. Elle lui a bien rendu…
mauvaise langue, est-ce le pire ? est-ce un hasard ?
au fond, cela ne m’est pas essentiel pour apprécier l’artiste .
en demandant est-ce un hasard, on pourrait revenir sur la remarque du billet et l’objet de la frustration de l’historien :les deux côtés …..
une psychalyste parle de pardon :
http://www.taalfilosofie.nl/denker/kristeva/werk/4789
http://www.penser-rever.com/arg-avail.php?num=13
La vengeance et le pardon, deux passions modernes
penser/rêver N° 13 – printemps 2008
A -, !.
But for Mme Barbara :
Merci !.
(. _ ).
un dossier
http://www.autofiction-inceste-resilience.org/article-le-pardon-en-cas-d-inceste-par-eva-thomas-44071151.html
Ces notions-là, pour une victime de l’inceste, sont impossibles Mon premier livre, « le Viol du silence », je l’ai pourtant dédié à mon père.
un peu moins de confusion , P.Assouline SVPLe martyre d’Eva Thomas
Le plus difficile, quand on est victime de son père, c’est d’abord de se pardonner à soi-même
Les Britanniques démentent la thèse de l’expulsion massive des Palestiniens .
Des documents officiels britanniques rendus publics récemment, confirment que l’immense majorité des Arabes de la Palestine mandataire n’ont pas été expulsé par les forces armées juives mais ont fui sur recommandation du Comité arabe suprême.
Une révélation embarrassante pour les « nouveaux historiens » israéliens.
Mercredi 15 mai, les Palestiniens de la « Diaspora » et de l’Intérieur ont commémoré la Nakba, la « catastrophe » que représente, pour eux, la création de l’Etat d’Israël en 1948.
« Empruntant » à Israël certains de ses symboles forts, la direction palestinienne a déclenché, ce jour là dans les rues de Ramallah, une sirène du souvenir de 65 secondes, marquant le 65ème anniversaire de cet événement.
Dans les camps de refugiés au Liban en Jordanie et en Syrie, des Palestiniens ont brandi des clés de carton prouvant que malgré le temps qui passe ils n’ont pas renoncé à revenir dans les maisons qu’ils habitaient avant 1948 à Jérusalem, Jaffa, Haïfa, Lod ou Ramleh.
Mais cette année, les Palestiniens qui rêvent de ce droit au retour, ceux qui accusent Israël de tous leurs malheurs, et clament avoir été chassés par Tsahal de leur foyer durant la guerre d’indépendance, ont subi un revers historique qui, a bien failli passer inaperçu.
En effet , des documents datant de la fin du mandat britannique sur la Palestine, et rendus publics récemment ont permis d’apporter un éclairage déterminant sur les conditions dans lesquelles les Arabes d’Eretz Israel ont quitté la Palestine mandataire.
Dans ces documents, de hauts fonctionnaires britanniques venus en Palestine au début de 1948, et qui ne peuvent être taxés d’adhésion au mouvement sioniste, écrivent :
« Les Arabes de Palestine ont essuyé une série de défaites capitales.
Les victoires des Juifs sur le terrain ont considérablement affecté leur morale et celui-ci est à zéro.
Et à la suite de la conduite peureuse de leurs leaders incompétents, ils ont commencé à fuir par milliers les régions mixtes.
Désormais, il est évident que leur seule chance de revenir sur leurs terres et maisons dépendra des armées régulières arabes ».
Ces hauts fonctionnaires britanniques confirmaient donc, dès le début de 1948, que les Arabes de Palestine n’avaient pas été chassés de leurs terres par les forces armées juives mais, qu’en l’absence d’un leadership adéquat, ils avaient abandonnés ces terres dans l’espoir d’y revenir au lendemain d’une grande victoire des armées arabes.
De facto, ces documents britanniques démentent la fameuse théorie des « nouveaux historiens » israéliens selon laquelle les Arabes de Palestine ont été expulsés en 1948 par les forces armées du Ychouv, puis par Tsahal.
Par la même ces documents prouvent la véracité de la thèse officielle israélienne qui stipulait que la grande majorité des Arabes de Palestine avaient fui sur les recommandations du Comité Arabe Suprême qui savait qu’au lendemain de l’indépendance israélienne les armées arabes prendraient d’assaut le jeune état juif , ne lui laissant aucune chance de survie.
Certes, cette page d’histoire n’est ni toute blanche ni toute noire.
Il y a eu des expulsions violentes et même des bavures dramatiques comme le massacre de Dir Yassin (avril 48) qui ont effrayé les Arabes de Palestine.
Mais la réalité historique est que sous l’influence de leaders incompétents, la population arabe a compris qu’elle devait trouver un refuge provisoire dans l’un des pays arabes mitoyen, le temps que les armées arabes « fassent le ménage » et qu’elle puisse se réinstaller ensuite sur les ruines du Ychouv juif.
Ainsi les « Palestiniens » vivant proche de la Galilée ont fui soit vers le Liban, soit vers la Syrie et ceux vivant plus au centre se sont refugiés en Jordanie.
Mais le leadership arabe s’est mépris.
Il a sous estimé le courage et la détermination des forces armées du Ychouv qui , avec un minimum d’armes, ont su résister aux puissantes armées arabes.
De telle sorte que lorsque les millions de Palestiniens qui vivent encore dans des camps précaires dans les pays arabes voisins, commémorent la Nakba, ce n’est pas vers Israël qu’ils doivent diriger leurs griefs mais vers leurs propre leaders, ceux qui en ont fait, il y a 65 ans des refugiés, et ceux qui à l’instar d’Arafat ont tout fait pour qu’ils le restent.
Nissim Liel /Corrsepondant (spécial JFORUM)
Barbara : Le goût de la guimauve …
Le goût de la guimauve.
A tout bien y réfléchir, ce pourrait être un terme convenable.
Oui, il peut, ce terme, définir finalement une femme pas si indépendante que ça.
Une proie.
Vu du ciel, comme l’écrirait C. Angot.
C’est en lisant cela
http://viols-par-inceste.blogspot.fr/2009/08/barbara-il-etait-un-piano-noir.html
que peu à peu, on arrive à saisir le décalage total. Décalage de l’historien-biographe ( homme)
Bref, on a les « frustrations » qu’on peut.
« La vengeance et le pardon, deux passions modernes. »
La vengeance est un acte d’origine émotionnelle pas si moderne que ça ; et n’est même pas exclusivement humaine. En tout cas la nécessité s’est vite faite sentir de lui donner une forme publique et c’est l’origine de la justice afin de jongler des dégâts produits par la justice privée sur la société.
Le pardon est plus récent comme acte semi-institutionnel il nous vient du christianisme.
Je connais les théories plus récentes à propos du pardon et de l’estime de soi, mais je crois que sa valeur thérapeutique se limite à un contexte où celui qui pardonne a été préalablement persuadé de cet effet du pardon.
Après, ce que les revues disent… pfff…
des dégâts produits > LES dégâts produits
« Le pardon est plus récent comme acte semi-institutionnel il nous vient du christianisme »
les non-chrétiens ne connaissent pas le pardon et il faut pardonner les crimes et cochonneries du très saint-siège sinon on va en enfer c’est bien connu
« Barbara : Le goût de la guimauve »
ah ben elle a pas de coui..es éicétout
proverbe bedouin
avant d’aller te venger creuse 2tombes une pour la victime et une pour toi
Pour éclairer les lanternes : des milliers de salauds font souffrir des petites filles et cette histoire là, parce qu’elle touche une chanteuse de cabaret connue devrait nous faire oublier le gnangnan guimauve qui s’en dégage ? Certainement pas.
Passons à autre chose de plus intéressant….
Guimauve ? Bien curieuse association !
Visuelle ? La très célèbre guimauve noire !
Sonore ? Comment qualifier alors… le chanteur Dave ?
Sans intention de hiérarchiser aucunement les styles
entre eux : il est communément admis que tous les goûts…
Ce n’est pas pour autant qu’ils sont interchangeables !
Il est permis de trouver la guimauve écœurante,
elle n’en reste pas moins sucrée, douce et plutôt molle.
Mais quelle importance ?
Confiserinoirement.
Dave ? De la guimauve … inoxydable !
Oh, mais elle s’étire, la guimauve !
Sucrerigoladement.
« les non-chrétiens ne connaissent pas le pardon… »
On reconnaît là le lecteur attentif !
quant à ce qui s’écrit , il est certain que les auteurs ont une certaine conscience du public que le support* qu’ils ont choisi peut toucher .
il y a eu des campagnes contre l’inceste dans le metro parisien et elle ont été commentées publiquement dans des rencontres .
* les revues peuvent être des auxiliaires excellents et pour les lecteur et pour les auteurs : Beaubourg en avait appelé une rencontre « la revue parlée »
« une chanteuse de cabaret connue »
La s….e!
« nous faire oublier le gnangnan guimauve qui s’en dégage »
Pour un fan de la légion, un homme viril, un vrai, qui en a des grosses, pas une de ces femmelettes ridicules, pas une gonzesse qui chantonnent au lieu de s’activer en cuisine, ça manque d’hémoglobine, de cris hurlements sang
09h15
pardon
on peut aussi se tenir à distance de quelqu’un qui vous dit trop de bien des colchiques et des magnolias
Sable à bac,
Je me suis engagé, jeunot, dans la Légion Littéraire. Pas Etrangère ! Pour les mémoires et biographies de « chanteuses », je considère cela sans intérêt, c’est permis, non ? Vous imaginez une bio de Carla Bruni…enrichissante lecture, pour sûr… ?!
(précision : mes amygdales externes, puisque vous les voyez démesurées, n’accusent aucune disproportion notable … rassurez-vous)
Pour le lecteur attentif, encore.
Il est d’ailleurs incroyable que sur un blog de littérature, censé être fréquenté par des lecteurs et des gens cultivés, on puisse encore trouver quelqu’un pour mêler l’apport à la civilisation d’un mouvement culturel et l’utilisation opportuniste de ce même mouvement.
Il est évident que le christianisme et plus généralement les religions monothéistes, ont épuisé leur charge innovatrice, ce ne sont donc que des survivances. Mais on ne peut nier que c’est par le Nouveau Testament que le pardon commence à s’appliquer aux transgressions morales et aux relaxions entre les personnes (Notre Père), ce qui n’est pas le cas dans l’Ancien ou la notion de pardon est de peu d’importance et ne concerne pas les transgressions morales et relaxions entre les personnes, justement, mais les conflits entre le divin et l’humain.
Cela dit, il faudrait commencer par faire des différences entre l’acte de vanité par lequel la mort d’un homme (pour divine qu’elle soit sa nature) sauve les autres, et les inventions morales que l’on doit à l’action de ce même homme…
Quant aux transgressions du personnel de service du Vatican, elles tombent sous les rigueurs de la loi.
Que d’eau, que d’eau… que d’encre, que d’encre. J’aime ses chansons, cet univers poétique, sa voix et sa musique. J’aime cet univers bien particulier qu’elle a créé. Le reste… sa vie privée, ses malheurs, ses bonheurs, ce sont ceux de bien des vies. Elle en a fait de l’or avec ses chansons (d’autres aussi…), d’autres en font des romans, des poèmes, des toiles, de la musique.
Je ne suis pas friande des secrets de ces vies surtout quand il s’agit de chansons. Elles sont cueillies à la radio ou sur un disque, nous habitent, on les fredonne . Souvent des paroles manquent on chante la la la… C’est une présence diffuse. Certaines tournent en boucle dans la tête , on ne sait pas pourquoi. Chacun de nous a ses chansons aimées.
« L’aigle noir » est pour moi un songe, un bel oiseau venu de nulle part. « Nantes » c’était arriver trop tard … Marienbad : la mémoire et le temps et Pierre, et « Une petite cantate », et « La Solitude »… un très beau répertoire poétique. (Bravo à celui ou celle qui a évoqué le cabaret de l’Ecluse). Les textes (de grande qualité) sont intéressants mais les séparer de la musique, de la voix c’est dommage, comme pour Brassens, Piaf, Ferrat, Ferré, Nougaro et son jazz, Trenet, Bashung, Greco, Brel, Higelin, Esposito, C.Sauvage, C.Vaucaire, Les quatre Barbus, Les Frères Jacques, B.Lapointe, Gainsbourg, Montand, F.Lemarque, Mouloudji, G.Béart, J.Douai,Sugar man… et tant d’autres. Et les grandes voix du Jazz (là je passe la parole au specialiste : J.Chesnel). Et les musiques Kosma, Legrand… Et des grandes voix rares Germaine Montero, ou, dans un autre registre Kathleen Ferrier, Jaroussky…
Voilà, en passant…
après tout,pourquoi un blog littéraire ne pourrait-il pas être visité et lu par des idiots savants qui ont choisi de résider quelques années en Tanzanie avec des savants utiles
« l’acte de vanité par lequel la mort d’un homme (pour divine qu’elle soit sa nature) sauve les autres »
acte de vanité ou masochisme? ou supplique silencieuse …
« inventions morales que l’on doit à l’action de ce même homme »
il n’a rien inventé du tout- c’est vraiment puéril de « croire » ou du moins d’affirmer le contraire –
9h55
la cruche botoxée n’a rien à voir avec Barbara ni avec l’art en général- vous ne comprenez rien à la poésie, ce n’est pas une raison pour vous essuyer dessus -lisez le commentaire superbe de Christiane
« Quant aux transgressions du personnel de service du Vatican, elles tombent sous les rigueurs de la loi. »
on s’en aperçoit tous les jours
la personne qui signe Christiane ici et sur blog qu’elle partage avec Paul Edel ne serait-elle pas un pseudo de Christine Boutin ?
Merci Pierre assouline ,ce billet a eu un effet de madeleine pour moi.
La premiere fois que j’ai entendu Barbara, c’etait en 1958 à l’Ecluse.
Elle était inconnue et son numéro passait avant un spectacle de pseudomarionnettes, depouillé et imaginatif ,clou de la soirée ;cela racontait de manière assez subtile et inattendue une histoire d’amour et de trahison jouée par des mains ,mains d’hommes et de femmes ,d’abord habillées de gants ,puis nues ,se rapprochant, se repoussant, se brutalisant, se réconciliant en faisant l’amour .
Elle, elle impressionnait déjà par la singularité de sa voix, qui augurait d’un grand destin, ,mais elle chantait encore des chansons faites pour d’autres ,et son style propre ne s’affirmait pas encore .
Je me souviens de deux de ces chansons de ce soir là, qui ne ressemblent pas au personnage mythique qu’elle est devenue plus tard, mais qui pour moi, peut-être plus que d’autres, s’appellent Barbara, car elles me renvoient à cette soirée et à un moi enfoui dans le temps
C’était « les amis de monsieur » et « la recette de l’amour fou »
La personne qui signe Marie à 10:16 et sur le blog qu’elle partage avec Paul Edel ne serait-elle pas un pseudo de Marie Mère de Dieu ?
Bref… « C’est toi, maman …? »
Jaroussky, mieux vaut ne pas l’entendre sans micro.Ce n’est pas la puissance qui l’étouffe . Et cette voix bourrée d’affeteries jusqu’à la caricature se permet, hors de baroques sans intéret qu’il enregistre au kilomètre, d’annexer de grands mélodistes français du XIXeme siècle qui ne lui demandent rien .
C’est tout simplement insupportable.
MCourt
Merci Abdel pour ton poème…Il appelle la musique qui manque malheureusement.
Christiane, vous avez tord de vous être fâchée pour si peu. On a parfaitement le droit de trouver Barbara un peu surdimensionnée, limite ridicule. J’ai adoré le fameux 33 tours où se trouvaient Nantes (et Pierre je crois). Mais dans l’Aigle Noir elle écrit nettement au-dessus de ses moyens et c’est un peu le problème dans beaucoup de ses chansons.
@Marie Ennebad
Pas un pseudo, mon prénom. Rien à voir avec C.Boutin !
Certes, cette page d’histoire n’est ni toute blanche ni toute noire.
Il y a eu des expulsions violentes et même des bavures dramatiques
« il n’a rien inventé du tout… »
Il y en a mare de perdre son temps en expliquant des concepts. Pour ce qui est du concept d’invention, nous en avons déjà parlé : fouiller, S.V.P. dans les archives de la RdL.
Exactement comme la tolérance est une invention du bouddhisme, le pardon dans la forme que nous connaissons est une invention du christianisme, donc une conséquence de la prédication du Christ. Encore une fois, il s’agissait de lire… tout simplement…
Quant aux motivations de l’homme qui est mort sur la croix, pour ce que l’on sait, il se peut que l’interprétation des Monty Python soit la plus proche du réel. Si on veut cependant porter une critique à l’institution qui a parasité le message, on se réfèrera à l’interprétation de l’institution…
Puis, si le garçon était masochiste c’est encore autre chose, ce qui est certain c’est qu’il était un garçon obéissant et gentil, et qu’il aurait fait n’importe quoi pour faire plaisir à son papa… le quel papa, à le nommer comme existant, était un type sadique, colérique et vindicatif. Et la maman ? elle pleurait ! Il va sans dire qu’une famille comme ça ne peut avoir que du mauvais personnel de service…
lorsque j’ai entendu barbara pour la première fois dans ma jeunesse, je n’aurais jamais dit qu’elle était poète(sse)et n’avais aucune « idée » sur le mot »poétiser » que je ne connaissais pas . Ce n’est que peu après, à Tarbes d’ailleurs que j’ai commencé à me questionner sur ces mots entre les mots , peut-être du fait de professeurs de lettres jeunes agrégé-e-s qui s’y plaignaient de dépérir . l’une d’elles avait suivi là un pharmacien au prénom de Jerry .Elle m’impressionnait un peu, une autre-qui me semblait une brute parfaite ne parlait que de Samivel …et puis j’ai mis des barrières,et compris quelques histoire d’incestes à la tarbaise
Drôle de schllmmm, de schlimili, de schmilblick
que celui-ci, que chaque commentaire ajouté
fait avancer, comme il se doit, et par pure
action-réaction, sans le moindre cap ni règle,
juste à la traîne des jalons publiés par le patron !
Ponctruellement.
Un pharmacien prénommé Jerry
a une forte probabilité
d’être un imposteur.
Harpothicairement.
Un charlatan !
Plantemédicinalement.
Jerry Demevoirsibel,
recherché pour confusion
entre des cèpes savoureux
et des amanites immanentes.
Pharmacopieusement.
Un pharmacien prénommé Jerry
aucun souvenir de lui, et sans doute n’ai jamais connu son prénom. son patronyme était un patronyme du sud ouest . Elle était de Toulouse dont elle était nostalgique.
je souligne le lien « La non-poésie des non-poètes » dans libération pour ceux qui acceptent encore d’être sensibles à des processus évolutifs dans les langues
Mauvaise excuse pour ce Jerry-le-potard
si tel était finalement son patronyme !
Il n’en est pas moins suspectible !
Méfianciablement.
sans doute n’ai-je
l’épouse professeur me parlait surtout de sont tourment d’être mariée .Elle ne raffolait pas de « littérature » et ne lisait guère : elle eut une petite fille à la fin de l’année où nous nous voyons …ce qui renouvela ses angoisse matrimoniales . j’ai oublié le prénom de l’enfant .
ses angoisses
son tourment : ça c’est une évidence .
Marchand de pommades,
enrobeur de granules,
vendeur de suppositoires !
Déremboursement.
Médiator et à travers !
Homéopratiquement.
Le « tourment d’être mariée » ?!
Le divorce elle ne le connaissait pas ?
Ce que j’ai toujours préféré chez Barbara, c’est son sens du swing. Son côté Aretha Franklin. Sa version de « We shall overcome » (avec le Golden Gate Quartet) : inoubliable.
c’est marrant comme certains extrapolent comme s’ils savaient tout de tous , et pour tous.
Mais la hauteur du tabouret de piano ne valait que pour barbara « en temps normal », ce qui évitait de tatonner des heures pour régler le siège chaque fois .
comme si ça ne suffisait pas qu’il y ait ceux qui font des cours sur blog sur la manière, et le moment d’ouvrir la boite à pilule et la porter à l’oreille selon qu’on est un homme ou une femme aux côtés d’un homme ou d’une femme au cabaret ou au cinéma.
10h45
par « invention » vous voulez quand même pas dire que ‘tolérance’ et ‘pardon’ étaient jusqu’alors inconnus?!!
Quant au fils-de, s’il cherchait à capter l’attention sur son masochisme et à culpabiliser , bravo c’est réussi pour une partie de ses adeptes qui peuvent pas s’empêcher d’en faire « profiter » les autres ah ben merci bien
la boîte à pilules
« ce qui est certain c’est qu’il était un garçon obéissant et gentil, et qu’il aurait fait n’importe quoi pour faire plaisir à son papa »
un vrai cas clinique de delirioum, le papa n’existant pas..
@DHH
C’est vrai que même dans l’incertitude des premiers enregistrements on perçoit tout de même l’immense talent. Une chanson de ce temps-là, L’Homme en Habit, en témoigne. Par Barbara, c’est magnifique. Une autre chanteuse disparue récemment l’a enregistré (et même peut-être créé), et c’est beaucoup moins bien, une chanson d’époque sans plus.
« un vrai cas clinique de delirioum, le papa n’existant pas.. »
C’était écrit : « le quel papa, à le nommer comme existant, était un type sadique, colérique et vindicatif. » Et l’incise « à le nommer comme existant » n’est certes pas là avec une fonction simplement décorative…
C’est vrai que certains croient que je manque de sens de l’humour, mais en cette occasion je suis en bonne compagnie…
« Mais la hauteur du tabouret de piano ne valait que pour barbara « en temps normal », ce qui évitait de tatonner des heures pour régler le siège chaque fois . » (rédigé par Alive)
En fait, comme elle jouait le plus souvent debout, un peu comme Ray Charles ,la hauteur du tabouret n’avait pas grande importance. Je la revois en concert, en duo avec Monk ,un soir que tous les deux avaient un peu abusé du Jack Daniel’s, tous les deux jouaient assis. Elle nous sortit ce soir-là un numéro de scat, sur « Round Midnight », à tomber.
» tous les deux jouaient assis » (rédigé par mézigue)
… assis par-terre, est-il besoin de le préciser
Marie Ennebad à 10 h 26 : quoi christiane a un blog ? ou vous voulez dire qu’elle squatte celui de Popaul (comme dit l’autre)
tout ça ne vaut pas cloclo françois
En fait, ce qui m’a toujours fasciné chez Barbara, c’est la sensualité de sa gestuelle en scène. Elle s’enroulait littéralement autour du pied du micro, telle une couleuvre charmée, elle tétait le micro. Je me souviens de ce concert à Bourges où la célèbre robe noire avait volé par-dessus ses épaules; en-dessous, elle était en bikini à fleurs. La transe que c’était dans la salle. Tout ça sur un riff fantastique des souffleurs. Satriani était à la guitare, c’était sur je ne sais plus quel tube d’Elvis.
S dit: 21 mai 2013 à 12 h 32 min
Oui, vous avez raison. Je vais y laisser moins de commentaires.
…
…chacun son job,…chantant,…le mien est aux écritures aux dessins,…
…
…argumenter sur les machines à vapeurs,…etc,…
…
c’est vrai quoi. comme l’écrit passoupline, il y avait bien matière à faire voler l’aigle noir au-dessus de fleuve Combelle. mais bon.
certainement n’ai-je pas suivi depuis assez longtemps ce blog,mais si une phrase du billet m’inciterait à poser une question, c’est la première
« Ce n’est même pas un paradoxe, juste un constat personnel : on peut être biographe et n’éprouver aucune curiosité pour la biographie de ceux qu’on aime, qu’ils nous fascinent ou simplement nous intriguent. »
pour ce « être biographe »
Bien qu ‘ayant eu une grande expérience de cabaret, barbara chanta quand même dans de grandes salles .
être biographe comme une spécialisation de être « intrnquille » ou de homo numericus ?
d’où vient ce désir de s’identifier si étroitement . de quand ?
mais je ne pose pas la question parce que qu’elle serait presque une question pour biographe , du temps qu’on lisait les frustrés !
j’aurais personnellement des réponses sur l’inquiétude que je ressens des spécialistes.
Barbara n’avait jamais été par moi ressentie comme une énigme , pas plus que Mireille Mathieu, pour évoquer un autre visage icone , peut-être pas adulée , mais qui marqua les personnes qui s’intéressaient au côté label ,identifier… vite la ménagère au supermarché la salope qui suit un cours d’une langue orientale rare , et celles qui vont sur la montagne non mais .. qui a fait le pull que vous portez, designé ce noeud , hein, c’est lizzie, non?c’était pour les psy ?
allons sans rancune !
Le point de vue de l’auteur n’est pas tout à fait extérieur,
une femme, un homme peuvent-ils avoir un point de vue extérieur à « qu’est ce qu’un père, une mère, un nom ? »
« Ce n’est même pas un paradoxe, juste un constat personnel : on peut être biographe et n’éprouver aucune curiosité pour la biographie de ceux qu’on aime, qu’ils nous fascinent ou simplement nous intriguent. »
Il y a du vrai. Bon, on ne peut échapper à certains éléments biographiques (le sax en plastique d’Ornette Coleman ou Wittgenstein architecte, par exemple). Mais, tantines à chats bien à part, la biographie n’apporte rien à la perception de l’œuvre. Schoenberg préconisait même de ne pas mettre le nom des auteurs sur les affiches et sur les programmes… et ce serait, selon moi, une expérience riche en enseignements…
« Exactement comme la tolérance est une invention du bouddhisme »
Tolérance n’est pas une notion bouddhiste (compassion ou bienveillance, maitrî, c’est tout autre chose).
C’est une perception d’observateur moderne et occidental.
Qui n’a pas écouté Barbara interprétant « Ma plus belle histoire d’amour c’est vous »,accompagnée par André Rieu et ses violons enchantés, ne sait pas ce que c’est que l’émotion en musique.
et que se passe-t-il su ce blog si l’on n écrit pas « le maître, le prof **** a dit » ?
** mettait sur sa carte de visite « professeur d’élèves » !
mais nul sur ce blog n’est par principe le professeur ni l’élève de quiconque , même si certains porfesseurs ou ex- profs, ou futurs profs recommandent ce blog à leurs élèves pour ;..( c’est tabou!)
« Quant aux motivations de l’homme qui est mort sur la croix… »
C’est pas génial, Passou, une phrase comme celle là ?!
(je déteste ce type, qui était bon en magie pourtant, et qui foire tout à la fin ! Les Romains ont bien fait : un emmerdeur de moins pour eux, localement. Hélas, comme d’autres après lui, le prophète emmerde encore aujourd’hui avec ses idées à la con !)
John Brown dit: 21 mai 2013 à 14 h 08 min
André Rieu est à la Musique, ce que Berlusconi est à Dante Alighieri …
« Tolérance n’est pas une notion bouddhiste… »
L’individu ne peut être forcé. On ne peut pas le contraindre, le soudoyer ou le menacer. On ne peut que lui montrer le chemin et le laisser décider de le suivre ou non. C’est la base de l’esprit de tolérance du bouddhisme. Ou pas ?
JC ne peut que détester Barbara : qu’on se souvienne de l’hymne en faveur de l’élection de Mitterrand, sa chanson parlant du sida… sans parler d’un public d’homos conquis. On lui laisse Sardou, Philippe Clay et… le chansonnier paraguayen du même prénom.
André Rieu est à la Musique, ce que Berlusconi est à Dante Alighieri …
Et JC à GW Bush
une éloquente citation : » une sacrée volonté d’atteindre le plaisir »
une vie comme un combat ,un défi …
d’ailleurs pourquoi réver d’atteindre du plaisir dans les bras de qelqu’un, homme ou femme quand on a du plaisir dans les vagues à nager, dans la solitude si difficile à préserver, quand le moindre couillon de la blogosphère se croit en droit de vous chapitrer sur le blogocorrectness ?
Tolérance n’est pas une notion bouddhiste…
u.
C’est la base de l’esprit de tolérance du bouddhisme. Ou pas ?
renato
C’est parti, le grand couil… qui croit tout savoir va nous faire une démonstration de son ouverture d’esprit.
de quelqu’un
Enfile plutôt ta voisine, en lieu et place de ton treillis, du mou !
J’en ai rien à foutre de Barbara : je préfère Sarah Vaughan, Dee Dee Bridgewater, Eliane Elias et la meilleure de toutes, Chantal Goya.
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