de Pierre Assouline

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La République des livres
Barbara au coeur de sa nuit

Barbara au coeur de sa nuit

Ce n’est même pas un paradoxe, juste un constat personnel : on peut être biographe et n’éprouver aucune curiosité pour la biographie de ceux qu’on aime, qu’ils nous fascinent ou simplement nous intriguent. Mon cas vis vis de bien des créateurs dont je n’ai jamais cherché à connaître la vie ; je me suis contenté de l’œuvre, qui est l’essentiel, probablement influencé par Nabokov pour qui le style d’un écrivain suffit à dessiner les contours de sa biographie. Mais comme les livres m’arrivent sans crier gare, Barbara m’a rattrapé. Parfaitement, la pianiste chantante, la dame en noir, la mélancolie faite femme. Des années que je l’écoute sans rien savoir d’elle, sans même avoir cherché à savoir quoi que ce soit. Sa voix, ses textes, sa présence m’ont suffi et si souvent aidé, soutenu, quand tant d’autres s’en souvent dit au contraire abattus, cafardeux, déprimés, sinon poussés au suicide, façon de parler. Un livre vient de paraître qui leur dit, avec la légèreté qui sied, que son noir est profond mais traversé d’éclairs ; on s’y enfonce, comme dans ce poème de René Char où l’on avance à tâtons dans l’inconnu, mais guidé par des repères éblouissants.

Barbara (148 pages, 8,10 euros, Libretto/Phébus) avait paru une première fois en 2007 avant que l’éditeur ne lui redonne vie ces jours-ci en format de poche. Son simple nom et sa photo en couverture m’ont évidemment attiré ; mais cela ne suffisait pas à me faire franchir le pas de la curiosité ; le nom de l’auteur Marie Chaix a certainement joué car j’avais conservé un bon souvenir de son roman Les Lauriers du lac de Constance (1974) et autres éclats de mémoires tels L’été du sureau (2005). Je me suis donc embarqué dans ce qui s’annonce comme une biographie, malgré la brièveté du volume, sans avoir lus les livres de ceux qui l’avaient précédé sur ce chemin, Jérôme Garcin, Didier Millot., Jacques Tournier, Valérie Lehoux, ni même les propres souvenirs de Barbara, ses « Mémoires interrompus » (1998).

Le point de vue de l’auteur n’est pas tout à fait extérieur, par rapport à son sujet (elle fut son assistante de 1966 à 1970) comme par rapport à son objet (elle était proche de cet univers par sa sœur, la chanteuse Anne Sylvestre). Impossible de le lâcher, ce petit livre, magnifique portrait plein de belles rencontres et de notes de musique. Parfois, on a envie de le fermer, et de le coller à l’oreille avec la certitude d’y percevoir des échos de « Nantes », le son de la pluie sur les pavés, comme on entendrait le ressac à l’écoute d’un coquillage.  Il suffit de prêter l’oreille. Car c’est une étrange expérience que la biographie d’une voix. Surtout quand c’est celle d’une femme aussi discrète, mystérieuse, énigmatique, silencieuse que Piaf ne l’était pas.

Au physique, elle s’est elle-même parfaitement décrite : « une tête d’oiseau posée sur une fleur géante noire ». Barbara, on la sent importunée par le passé ; mais plus elle met à distance, plus il lui revient. Comment en serait-il autrement quand ses origines juives, alsacienne d’un côté, russe de l’autre, lui sont renvoyées en pleine figure à 10 ans par le premier statut racial du gouvernement de Vichy ? Elle rêvait d’être pianiste, son appel, sa vocation. Jusqu’à ce qu’à14 ans, une douleur insistante dans la main, un noyau qui grossit dans la paume, une opération réussie mais aux dépens d’un tendon l’obligent à faire une croix sur toute pratique sérieuse de l’instrument. En jouer, le caresser, le tapoter, certainement, mais pas au-delà. Elle s’y résigne et c’est une autre douleur. Heureusement, au Vésinet où la mène la transhumance familiale, elle découvre une plaque sur un mur : celle d’un professeur de chant. La voilà sur la voie. Après, il y a les galères habituelles. Les petites scènes minables en province, d’autres moins à Paris, à l’Ecluse, à la Tête de l’art, avant Bobino, l’Olympia, le Châtelet. Dans ses confidences babillées à Marie Chaix, elle a des traits fulgurants pour décrire ce ressenti. Sur le cabaret par exemple. De quoi réduire à néant l’insupportable romantisme de la bohème :

« Ils ne se rendent pas compte. J’entends tout, le bracelet de la dame, le briquet qui allume la cigarette, je vois la flamme, les verres qui se cognent. Ce n’est pas leur faute, ils sont venus ! Mais moi, morte de peur, tu comprends, je fais un geste un peu large, j’oublie, et toc je décoiffe la femme de la première table ! Et eux, là, ils pourraient me toucher. L’horreur. Si je pense à ça, je ne reviens pas demain. Tu vois, tu chantes : « Il pleut sur Nantes » et tu entends quelqu’un déglutir sa bi ère ! Je t’assure, le cabaret, c’est terrible, terrible. »

Comment aurait-elle tenu tant d’années dans ces lieux si elle n’avait su récréer sa bulle de silence autour de sa voix et des gestes ? Elle a déjà ses manies et son intransigeance : le tabouret de piano réglé à 61 cm et pas un de plus ; l’habitude de jouer les notes graves du piano tournées vers le public ;  l’envie irrépressible de chanter dans le noir ;  les films regardés à la télévision les nuits d’insomnie ; les bracelets d’argent tintinabulant plein les poignets ; le mot « poète » détesté dès lors qu’on le lui accole alors qu’elle n’est qu’une femme qui chante et respecte trop les vrais poètes pour se croire l’un deux ; les conditions drastiques et infernales imposées à Guy Job et son équipe lorsqu’ils tournèrent la captation de son spectacle ; le Zan comme une drogue ; le nomadisme atavique ; la prodigalité jusqu’à poser un vrai problème avec l’argent et exiger une sorte de tutelle ; la hantise de l’ennui contre lequel elle serait capable de tout…

Son secret ? Elle l’éventera elle-même plus tard dans ses Mémoires, mais posthumes, pour n’avoir pas à en parler, car le mot n’y est pas écrit bien que l’histoire y soit racontée. Aucune de ses chansons n’en parle, même s’il plane sur toutes les paroles, par allusions voilées, déjà dans « Au cœur de la nuit » (ici les paroles de.toutes ses chansons). Un homme ? Certainement mais pas l’un des siens, pas un amant abandonné parce que soudain il n’était plus dans son horizon.  Un autre. C’était pendant la guerre à Tarbes où la famille, hors-la-loi, s’était réfugiée.. Elle n’était plus une enfant, à peine une adolescente. Même pas onze ans. Son père, joueur, nomade, vagabond, fugitif, qui souvent partira sans laisser d’adresse, cet homme-là la prend, la salit et humilie son enfance. Inceste : mot tabou.  Dans ces moments-là, sa mère lui a manqué ; elle n’en restera pas moins la personne qu’elle a adorée même si elle a eu du mal à l’aimer, une mère qui ne lui manifestait jamais d’amour. Tarbes est la seule ville de France où elle refusa toujours de s’arrêter au cours de ses nombreuses tournées. Un jour de 1959, elle reçoit un appel pour se rendre au chevet de son père, vite ; elle se précipite vers cet homme détesté/adoré, disparu de la circulation sans donner de nouvelles depuis des années, mais elle arrive trop tard pour la réconciliation. Ce qu’elle n’a pu lui dire, elle le chantera puisque bonne qu’à ça et n’aime que ça. Il est vrai qu’après cet aveu, on n’écoute plus la pluie tomber sur Nantes de la même façon car on y entend les accents du pardon-quand-même, et l’on imagine la force qu’il lui a fallu pour composer et chanter en public cette chanson-là qu’un tout petit cercle d’intimes pouvait alors décrypter. « Sûr, il m’a fallu un sacré goût de vivre, une sacrée envie d’être heureuse, une sacrée volonté d’atteindre le plaisir dans les bras d’un homme, pour me sentir un jour purifiée de tout, longtemps après » écrira-t-elle.

Les chansons, ça sert à remuer les choses en nous. Il en est tant, portées par Barbara, Ferrat, Nougaro, Trenet, Brel, Aznavour, Brassens, Piaf, Ferré et d’autres (Cloclo, le film de Siri, est, à cet égard aussi, parfaitement réussi) qui auront façonné notre imaginaire, dessiné les contours d’une identité, qui nous auront fait tel que nous sommes, bien plus profondément que bien des livres, des films ou des pièces. Encore faut-il accepter de faire toute sa place à la sensibilité dans notre part d’ombre. Barbara était adulée par un public qui lui était reconnaissant. Il faut l’imaginer chanter en allemand « Göttingen » à Göttingen, chanson qui fit davantage que bien des discours et des traités pour la réconciliation franco-allemande, vingt ans après la fin de la guerre. Il faut se replacer dans cette soirée, ou quelque part en France, malade, ayant perdu sa voix avant d’entrer en scène mais préférant se damner plutôt que d’annuler, elle apparaît couverte de châles, explique, force pour faire vivre un mince filet de voix, juste de quoi lancer les deux premières paroles et le public de chanter en chœur chacune de ses chansons à sa place:  « Dis, quand reviendras-tu? », « La petite cantate« , « Pierre », « Vienne« … Il n’est pas indispensable d’être un poète encarté pour poétiser le monde.

Ma seule frustration ; que l’auteur des Lauriers du lac de Constance, où elle racontait la fuite à la Libération et l’exil allemand de son père Albert Beugras, l’homme du renseignement auprès de Jacques Doriot pendant l’Occupation, n’ait pas confronté son propre passé, elle qui est née en 1942, à celui de Barbara, née Monique Serf, du côté des Batignolles en 1930, et qu’un dialogue ne soit pas né du choc de mémoires et du vécu de la fille du collabo et de la fille du Juif quand l’une et l’autre étaient de part et d’autre de la barrière. Il est vrai que ce serait un autre livre, peut-être. En attendant, Barbara me suffit pour savoir les deux ou trois choses que j’ignorais de Barbara. Ses Mémoires ? Inutile. Son autobiographie, ce sont ses chansons. Pas un mot à rajouter à l’œuvre d’une vie pour connaître sa vie, elle qui n’aura pas vu passer la sienne.

(Photos D.R.)

 

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commentaires

773 Réponses pour Barbara au coeur de sa nuit

JC ... dit: à

Bloom dit: 22 mai 2013 à 4 h 42 min :
« Vénèr, le facho décati s’explose la tronche au kilomètre zéro Lequel accueille 2 millions de fois plus de touristes du monde entier que de locaux. Statistiques que semble méconnaitre la blondasse fille du borgne.
L’exhibitionnisme suicidaire des vieux pervers serait-il le dernier chic parisien.
Une crapule en moins, une petite fête en plus. »

No comment !
(laissons l’urine suinter par gravité de cette merde bloomienne, bouse ignoble posée sur un homme qui le valait cent fois, ce qui n’est pas bien difficile !)

alive dit: à

ne pas connaître grand chose de la biographie de Barbara ne me fait pas honte .Elle n’est certainement pas responsable de ce que pour certains ,aimer l’entendre chanter et ne pas les aimer, eux, elles,c’ est pire(?) que du délire c’est de la perversité ,(sic : qu’on soit un homme ou une femme )je ne me referais pas !
Sans nul doute y a -t-il des discours, des enseignement qui m’intéressent , mais cette émotion qu’elle atteignit en moi à un âge où j’avais besoin d’entendre autre chose que  » de la culture » , c’est elle qui en fut la source.Et c’est cela que les gens trop intelligents-psycho dans les « savoirs » ne pardonnent pas . qu’il y ait un ordre dont ils voudraient la gestion(!) exclusive à leur profit, comme ils ont appris,- appris à vous appeler par votre prénom et vous parler, vous parler famille et familles .
et puisque ma joie ne vous reviendra pas ; je n’attends plus d’après nous ni d’après toi

alive dit: à

des enseignements
O.Sacks est certainement l’un des psys dont je dirais que je l’admire .

sérieusement dit: à

Bloom 4h42

le perturbateur fêlé perturbé de pq, maître dans l’art de la drôlerie, est en deuil d’un de ses grands maîtres du réel.Espérons qu’il réussira à remonter la pente pour de nouveau déraper et nous infliger son fin humour légendaire qui nous manque cruellement et dont il a le secret

alive dit: à

retrouver quelqu’un , c’est le rencontrer et parler avec cette personne . Personnellement , je ne demande pas à personne « des noms » pour « enquêter sur une info »

JC ... dit: à

alive,
Je partage votre opinion (une fois n’est pas coutume) sur Oliver Sacks : la lecture de son livre « L’homme qui prenait sa femme pour un chapeau » m’avait rendu admiratif pour ses travaux à Columbia ! Grand thérapeute, sachant faire passer ses vues aux non-spécialistes.
(…je lui confierai bien la rude tâche d’en soigner quelques uns ici, particulièrement frappadingues, mais le travail serait peut être trop ingrat pour ce vieux monsieur …)

renato dit: à

C’est vrai que les comparaisons obscènes sont à la mode, celle-ci cependant révèle l’état la décadence de notre société car rapprocher Dominique Venner de Mishima c’est ne pas avoir lu Mishima, ou l’avoir mal lu, ce qui, pour un éditeur, c’est la décadence.

martin dit: à

Enchancer les fafs ( leur discrétion et bon goût légendaires) fait partie de la médiocratie complexée si chère aux pervers

JC ... dit: à

J’ai lu Mishima, je n’ai rien lu de Venner et je me fous du rapprochement de peopolisation entre eux. Ce qu’il écrit, Venner, pour expliquer son geste ne me parait pas idiot : loi Taubira, immigration de remplacement, islamisation de la société… Les problèmes qu’il soulève sont intéressants !

martin dit: à

le fhaine de pq fait son numéro de pervers victimisé

alive dit: à

par exemple, on retrouve le nom de Freddy Spira , et de Tarbes ,dans un contexte de Travail sur les questions de santé qui tiennent à coeur à certains commentzteurs
« Pour revenir aux personnes âgées, j’ai travaillé avec Freddy Spira, professeur de santé publique, sur les vagues de chaleur à Paris et à New York. Nous avons mis en place un score
de vulnérabilité à partir d’un certain nombre d’indicateurs :http://www.orsnpdc.org/debat/31-01-08.pdf
assez de cinéma de petit inquisiteur qui cherche à se faire voir !

alive dit: à

tous les livres d’O.Sacks sont des mines de réflexions qui ouvrent l’esprit sans traiter le gens de crétins

JC ... dit: à

Martin,
Lis O. Sacks ! Tu y trouveras peut-être quelques pistes !
(tu n’en as pas marre d’être pris pour ce que tu es, un marginal obtu ?…)

alive dit: à

sans traiter les gens de crétins et d’ignares : il reconnaît lui-même ne pas tout savoir et avoir discuté de ses souvenirs avec son frère (dans oncle T)

Polémikoeur. dit: à

Une parmi tant d’autres ici :
« J’ai lu Mishima, je n’ai rien lu de Venner (…/…). Ce qu’il écrit, Venner, pour expliquer son geste ne me parait pas idiot… »
Cohérangement.

un peu de soleil dans ce printemps pourri dit: à

J’en connais un qui doit verser des larmes dans son civet, au paragouaï, sur la mort de son Vener râble.

JC ... dit: à

Polémikeur, ne faites pas l’idiot, vous risquez d’être crû…

1/Je n’ai rien lu de ses ouvrages d’essayiste/historien.
2/J’ai lu ce qu’il a écrit pour expliquer les raisons de son suicide !

C’est plus clair ?
Compris ?
ça va ?
Oujerecommencement.

alive dit: à

autant le reconnaître, j’en ai absolument marre des commentateurs de ce blog dont il semble que la plus grande préoccupation est d’empêcher les autres de « savoir », comprendre » et même de le leur interdire par exemple en les égarant avec des supposés liens .
donc Barbara a vécu au temps où l’on disait aux femmes qu’elles se cherchaient …..
ça ne prend plus très bien ,cette rhétorique , maintenant que les hommes se trouvent si bien, si bien,
donc je vais essayer de me retrouver ,plus loin, ailleurs , au moins là où vous n’arriverez pas à arriver ,

Polémikoeur. dit: à

Des coquilles, des fautes de frappe,
toute la galerie des blessures à l’écrit,
à un écrit classique avec ses contraintes
d’un ordre très conventionnel mais porteur
d’une précision qu’aucun génie des lettres
se piquant d’exploser le cadre n’atteint
de quelque manière « originale » qui soit ;
et les négligences de forme ne sont rien
devant les raisonnements boiteux aux syntaxes
foireuses !
Exemplaierement.

de nota dit: à

Ou l’on apprend qu’en 1881,à Marseille, des
italiens sifflèrent la « Marseillaise »et de ce qu’il advint.

Le « modèle français » d’immigration : une intervention de Gérard Noiriel à l’Assemblée Nationale

Gérard Noiriel.

(Assemblée nationale, 25 mars 2011)

« Vous m’avez demandé de participer à cette audition consacrée à la question de l’immigration en me posant deux grandes questions : Comment s’est construit le clivage entre nationaux et étrangers en France ? Comment s’articule la construction du « modèle républicain d’intégration » et l’émergence de l’Etat Nation ?

Pour tenter d’y répondre, je dois commencer par préciser que le clivage entre nationaux et étrangers s’enracine dans un clivage plus fondamental et plus général, fondé sur l’opposition entre « eux » et « nous », clivage que l’on rencontre dans toutes les sociétés et à toutes les époques de l’histoire. Ce qui a changé au cours du temps, ce sont les formes prises par ce clivage et aussi le fait qu’à partir du XVIIIe siècle, il ait été dénoncé au nom de la raison et de l’universalité de la condition humaine.

Les grandes lignes du « modèle républicain », si tant est que cette expression ait un sens, ont été fixées dès le début de la Révolution française, comme une mise en œuvre contradictoire de la philosophie des Lumières. Cette contradiction apparait clairement dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Dans la logique républicaine en effet, la citoyenneté se définit comme participation à la vie de l’Etat national. Par conséquent, l’étranger ne peut pas avoir les mêmes droits politiques que le citoyen, ce qui contredit l’article 1er de la Déclaration stipulant que « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ». C’est cette contradiction fondatrice qui explique qu’aujourd’hui encore des discours les plus opposés sur l’immigration puissent se réclamer des « valeurs républicaines », les uns privilégiant la sécurité des citoyens et les autres l’universalité des droits de l’homme.

Une autre caractéristique du « modèle républicain » français tient au fait que la Révolution de 1789 a supprimé les « corps intermédiaires ». Un lien direct a ainsi été établi entre l’Etat national et les citoyens. C’est l’une des raisons qui expliquent l’importance accordée à la question de la nationalité (qui désigne en droit l’appartenance à l’Etat). Le langage courant fournit de bonnes illustrations de la puissance qu’exerce la norme nationale. Par exemple, en français, le mot « étranger » sert à la fois à désigner l’inconnu au sens du non-familier (étrange) et le non-national, alors que dans beaucoup d’autres langues il existe des termes différents pour distinguer ces notions. De même, si les politiques ou les journalistes parle fréquemment de « l’intégration sans préciser quel est le groupe social de référence, c’est parce qu’il va de soi pour tout le monde qu’il s’agit de la nation.

Le deuxième moment décisif dans la construction du « modèle républicain » s’est produit un siècle après la Révolution française. L’avènement de la IIIe République enclenche un processus démocratique qui apparaît lui aussi très contradictoire. D’un côté, le régime républicain favorise un puissant mouvement d’intégration des classes populaires au sein de l’Etat-nation. Mais d’un autre côté, il institutionnalise de nouvelles formes d’exclusion, liées à l’immigration et à la colonisation.

Les historiens ont beaucoup étudié le rôle joué par l’école, par les commémorations, par la littérature, dans le développement du sentiment d’appartenance à la nation française. Mais ils ont trop souvent oublié le fait qu’une identité se définit toujours par opposition à d’autres identités. Le « nous » français s’est fixé à la fin du XIXe siècle par la construction d’images négatives de l’étranger, autour de deux grands repoussoirs : l’ennemi qu’il faut combattre (à l’époque il s’agit surtout des Allemands) et le primitif qu’il faut civiliser (les indigènes de l’empire colonial)

Dès les années 1880, il devient évident que l’industrie français ne pourra pas se développer sans un recours massif aux travailleurs étrangers. Et pourtant, c’est à ce moment-là que naît le discours politico-journalistique présentant l’immigration comme un « problème ». Ce qui est fascinant pour l’historien qui travaille sur cette question, c’est de constater que les grandes lignes de la rhétorique qui a été inventée il y a 130 ans sont toujours en vigueur aujourd’hui, bien que les prédictions apocalyptiques qui ont accompagné les discours sur l’immigration-problème n’aient jamais été confirmées par les faits.

Le mot « immigration », qui était pratiquement inconnu avant la IIIe République, s’impose brutalement dans le vocabulaire français à la suite d’un événement qui constitue à mes yeux le moment fondateur de toute l’histoire de l’immigration. Il s’agit de la première « chasse à l’immigré » qui a lieu à Marseille en juin 1881. Pendant près d’une semaine, les travailleurs italiens de la ville sont pourchassés parce que quelques uns d’entre eux ont sifflé la Marseillaise, lors du défilé des troupes qui ont imposé le protectorat français sur la Tunisie au détriment de l’Italie. (La Marseillaise était devenue l’hymne national l’année précédente, en 1880).

L’analyse des commentaires publiés par les journalistes, les hommes politiques ou les intellectuels qui se sont emparés de cet événement permet de mettre en évidence une autre caractéristique du « modèle républicain ». Il s’agit de l’ethnocentrisme des élites, ethnocentrisme qui les incite à interpréter en termes étroitement politiques des gestes symboliques qui s’expliquent en réalité par des raisons sociales. Pour des immigrants surexploités, stigmatisés, et qui sont par ailleurs exclus de l’espace public, siffler le drapeau c’est une façon de protester contre la surexploitation et stigmatisation dont ils sont victimes.

Mais le regard ethnocentrique de l’élite républicaine interprète ce type de geste comme une menace pour la nation. C’est à la suite de cette rixe de 1881 entre ouvriers français et italiens (rixe qui fera trois morts) que naît le discours sur l’immigration-problème. Les deux grands types d’arguments qui émergent à ce moment-là structurent aujourd’hui encore les polémiques publiques sur ce thème.

En premier lieu, c’est la question du contrôle des flux migratoires qui est posée. La rixe de 1881 est vue comme une réaction de défense de la part des ouvriers français menacés par l’invasion des immigrants. On découvre alors que ces derniers ne sont enregistrés nulle part, qu’il n’existe pas de statistique fiable, etc. Le remède qui s’impose rapidement, c’est l’identification des étrangers. Le décret de 1888, confirmé par la loi de 1893, marque le point de départ de la politique des « papiers d’identité ». La loi républicaine crée ainsi une ligne de démarcation entre immigrants légaux et illégaux, ceux qu’on appellera ensuite les « clandestins » ou les « sans papiers ».

En second lieu, le fait que des Italiens aient sifflé l’hymne et le drapeau français, est vu comme la preuve qu’ils ne sont pas assimilés, comme un manque de loyauté à l’égard de la nation française et donc comme une menace puisqu’en 1882, l’Italie est devenue l’alliée de l’Allemagne. On ne parle pas alors de « communautarisme » mais de « nation dans la nation ». Ce « défaut » d’assimilation est attribué au libéralisme du Code civil, lequel permettait aux enfants d’étrangers de décliner la qualité de Français à leur majorité, ce que l’immense majorité d’entre eux faisait pour échapper au service militaire. La grande loi de 1889 sur la nationalité française impose alors la règle du double jus soli. Les enfants d’étrangers nés en France de parents eux-mêmes nés en France sont désormais Français de naissance.

Les républicains qui ont concocté cette loi pensent avoir trouvé le remède au « problème » de l’assimilation des étrangers. En réalité, ils ont fabriqué une machine infernale au piège de laquelle ils seront bientôt pris. En effet, c’est en s’appuyant sur un fait divers, donc sur un événement exceptionnel, que les républicains ont bâti leur raisonnement sur le déficit d’assimilation des Italiens, en généralisant des comportements qui ne concernaient qu’un tout petit nombre d’individus pour dénoncer toute une communauté. Mais toute politique fondée sur l’exploitation des faits divers peut être contestée au nom d’autres faits divers. Les conservateurs catholiques que les républicains avaient écartés du pouvoir en 1870 vont rapidement reprendre à leur compte la rhétorique républicaine, en s’appuyant sur des faits divers impliquant des naturalisés et des Français de confession juive, de façon à « démontrer » que la politique d’assimilation explicitement visée par la loi de 1889 sur la nationalité française a échoué. Une nouvelle bataille s’engage alors sur la définition du national et de l’étranger. Pour les conservateurs, ce n’est pas le droit qui fait le Français, mais l’origine. C’est ainsi que le racisme fait irruption dans l’espace public sous sa forme première qu’est l’antisémitisme.

Le champ politique français achève de se structurer pendant l’Affaire Dreyfus. La gauche prend en charge la défense des droits de l’homme et la question sociale, alors que la droite privilégie la sécurité des citoyens et la question nationale. Tout au long du XXe siècle, dans chaque période de crise, la question de l’immigration sera remise au centre de l’actualité sous l’impulsion de l’extrême droite. Les années 1930 montrent clairement que la stratégie des partis de gouvernement ayant cherché à capter les voix de l’extrême droite en reprenant ses thématiques sous une forme euphémisée, aboutit à une fuite en avant mettant en péril les institutions démocratiques. Un large accord existe aujourd’hui chez les historiens pour affirmer qu’à partir de 1938 les dérives de la IIIe République ont préparé l’avènement du régime de Vichy et de sa « révolution nationale ».

Les générations qui ont vécu les atrocités du nazisme, les horreurs de la Première et de la Seconde Guerre mondiale ont compris que la manipulation des identités, l’exaltation du nous national, la stigmatisation des étrangers étaient un danger mortel pour la démocratie. C’est pourquoi dans les années d’après-guerre, une sorte de « cordon sanitaire » a été construit par les démocrates pour isoler l’extrême droite et le maintenir à l’état groupusculaire. Mais ce barrage s’est rompu au début des années 1980. La résurgence des discours négatifs sur l’immigration a permis d’alimenter une nouvelle forme de nationalisme, ciblé sur l’immigration post-coloniale, reprenant les vieilles thématiques identitaires mais en évitant de s’attaquer frontalement aux fondements du régime démocratique. C’est sans doute ce qui explique que ce nouveau nationalisme ait aujourd’hui tendance à se banaliser. Une autre raison de cette banalisation, tient au fait que pour échapper à la législation antiraciste, ces discours se sont aujourd’hui fortement euphémisés. L’étranger n’est plus insulté avec la violence verbale qui caractérisait les années 1930. Les représentations négatives sont le plus souvent véhiculées par des formules qui ne nomment plus directement un groupe, mais à l’aide des mots en « isme » (islamisme, communautarisme) que les médias ont fixés dans le cerveau des citoyens en mobilisant les images choc de l’information-spectacle.

Etant donné les progrès de la recherche historique sur l’immigration depuis 20 ans, il n’est plus possible aujourd’hui d’ignorer que la France a été l’un des tout premiers pays d’immigration au monde au cours du XXe siècle. Mais la nouvelle rhétorique xénophobe a intégré nos recherches en déplaçant le curseur pour opposer les « bons » immigrants d’autrefois et les « mauvais » d’aujourd’hui.

Le caractère répétitif, voir compulsif, des discours présentant l’immigration comme un problème – alors qu’elle a joué un rôle fondamental dans le développement économique, social et culturel de la France – s’explique par le pouvoir mobilisateur que possède la rhétorique nationaliste. Si personne ne peut définir rigoureusement ce qu’est l’identité nationale, nous pouvons en revanche expliquer comment fonctionne le processus d’identification nationale. Le sentiment d’appartenance à une nation fonctionne comme une identité latente (au même titre que les autres sentiments d’appartenance qui nous animent en fonction des groupes sociaux auxquels nous sommes affiliés). Identité latente qui doit être réactivée par des discours publics pour devenir effective. Les nombreuses guerres auxquelles ont pris part les Français depuis 1870 ont longtemps alimenté les réflexes xénophobes. Mais ceux-ci s’expliquent aussi par des raisons économiques. C’est toujours pendant les périodes de crise que l’intolérance à l’égard de l’étranger se développe. Le discours public (qu’il soit politique ou journalistique) valorise constamment le « nous » français, confortant ainsi les citoyens dans l’idée qu’ils sont supérieurs aux étrangers. D’où le violent sentiment d’injustice qu’ils ressentent quand un étranger (ou supposé tel) exerce un emploi alors qu’ils sont au chômage, d’où le sentiment d’abandon qui les saisit quand les circonstances les obligent à accepter le travail que-les-Français-ne-veulent-pas-faire ou à habiter dans des « quartiers d’immigrés », etc.

C’est sur ce terrain que prospèrent les discours xénophobes et racistes. Ils exploitent le sentiment d’injustice de ces citoyens en brodant sur le thème : « les étrangers font la loi chez nous ». Cette rhétorique de « l’inégalité retournée », comme disait Marc Bloch, est politiquement efficace car elle inverse les relations réelles de domination (statistiquement, faut-il le rappeler, les étrangers occupent toujours en effet des positions inférieures aux nationaux)

On ne peut pas lutter contre un sentiment d’injustice uniquement par des arguments rationnels. C’est pourquoi je pense que tous ceux que la montée de la xénophobie inquiète devraient réfléchir aux nouvelles formes d’interventions publiques qu’il faudrait mettre en œuvre pour combattre ce fléau de façon plus efficace.

renato dit: à

« donc je vais essayer de me retrouver ,plus loin, ailleurs , au moins là où vous n’arriverez pas à arriver , »

C’est bien ça, n’oubliez pas de fermer la porte…

JC ... dit: à

Pour donner l’exemple
il faut en être digne …
Polémiculcul !
Rigolamentablement

un peu de soleil dans ce printemps pourri dit: à

1/Je n’ai rien lu de ses ouvrages d’essayiste/historien.
JC
corriger : histo-rien, soit « tissu » de conneries.

Polémikoeur. dit: à

Plus de pornographie cérébrale
dans les commentaires bâclés
que dans leur vocabulaire « osé »
de catalogue « pour adultes seulement ».
Moins d’humour, moins de recul sur soi
dans les giclées de « pensées » envoyées
d’un tremblement sur la touche « entrée »
que dans le sommaire du Journal Officiel.
Faire l’idiot est naturel quand on l’est.
Il faut l’être pour rester fasciné
par le spectacle permanent d’ici-bas.
Bonffouinement.

effet miroir dit: à

alive dit: 22 mai 2013 à 8 h 01 min
… j’en ai absolument marre des commentateurs de ce blog…

Trop drôle !

Bloom dit: à

Les chansons, ça sert à remuer les choses en nous.
__

Et cela fait bien longtemps qu’on est en mal de chansons à partager, de refrains à chantonner dans les divers moments de la vie, sous la pluie et le soleil.
La chanson sert aussi et surtout à produire du lien social, de façon légère et plaisante.
Mais nous traversons une période de grande misère de l’inspiration.

Bloom dit: à

(laissons l’urine suinter par gravité de cette merde bloomienne, bouse ignoble posée sur un homme qui le valait cent fois, ce qui n’est pas bien difficile !)

Y fait son Venner, le retraité inculte?

A Notre Dame, avec un canon scié, la verrue varoise!

Ze fun!

alive dit: à

tiens la chanson de Léo Ferré « et je prenais les étrangères pour les fleurs de la passion »
quelle était la nationalité de barbara à sa naissance ?
elle a toujours été une chanteuse française pour moi , mais je l’ai aimé à sa voix aussitôt, alors que j’aimais déjà des chanteuses étrangères….
autre chose la manière dont on se vit soi-même et se voit soi-même: je me souviens d’une femme psychanalyste et peintre était couleur café , et qui disait qu’elle se voyait blanche .mais c’est ressassé ça aussi !

alive dit: à

une femme qui était couleur café

alive dit: à

je l’ai aimée : pardon, mille et une fois pardon, chers conseillers !

Polémikoeur. dit: à

« Pour donner l’exemple
il faut en être digne … »
Fichtrement restrictif, non ?
Peut-être que pour en profiter,
il faut un peu d’humilité.
Sans prétention, croyez-le ou non.
Déjailleureusement.

alive dit: à

quand ême, n’avons-nous pas aimé Gansbourg?il a été idolatré, je crois !

alive dit: à

misère de l’inspiration?
contre coup de l’idolatrie aussi et une culture psy très diffusée dans l’ensemble de la population à travers l’école aussi

Bloom dit: à

Sa voix, ses textes, sa présence m’ont suffi et si souvent aidé, soutenu, quand tant d’autres s’en souvent dit au contraire abattus
—-
Passou,
ne manque-t-il pas un « sont »?
« quand d’autres s’en SONT souvent dit… »

alive dit: à

effet miroir dit
mourez de rire , on mettra des fleurs sur votre tombe !

alive dit: à

Bloom dit: 22 mai 2013 à 8 h 46 min
je ne suis pas Dalila mais ça a déjà été remarqué plusieurs fois !

touït dit: à

« Sa voix, ses textes, sa présence m’ont suffi et si souvent aidé, soutenu, quand tant d’autres s’en [SONT] souvent dit au contraire abattus »

De Venner à propos de Frigide Barjot (avant de passer à l’acte).

alive dit: à

la première photo aux mains offrantes et planantes est belle : c’est bien Barbara

JC ... dit: à

Bloom dit: 22 mai 2013 à 8 h 28 min
« Mais nous traversons une période de grande misère de l’inspiration. »

Bloom dit: 22 mai 2013 à 8 h 30 min
« A Notre Dame, avec un canon scié, la verrue varoise! »

C’est exact … Tu en donnes, car tu en es, le parfait exemple, petit os de seiche culturel papoteur !

alive dit: à

la différence entre les photos : la première présente une femme soulevant SON public , la dernière, expressive la surprend presque dans un moment intime : avec la musique ? on ne sait pas !

errata dit: à

alive dit: 22 mai 2013 à 8 h 58 min
la différence entre les photos : la première présente une femme soulevant SON public…

Et dans la seconde, un clope.

alive dit: à

la première la présente comme une femme heureuse de son public qui va chanter , chante , et c’est ça et que ça passe! c’es là qu’elle réussi le pari de sa vie

quel talent ! dit: à

Salive, ça vous dirait de tenir une rubrique dans Photo Magazine ?

JC ... dit: à

De nota,
Ce brave garçon de Noiriel qui tente la comparaison entre l’immigration réussie de nos frères chrétiens d’Italie, délicieuse peuplade soeur, et l’irruption fourbe des sarrazins islamiques, ennemis de toujours de la chrétienté ! … Il exagère, le Noiriel !
(remarquez, moi aussi …)

alive dit: à

la seconde, on sent surtout une femme qui a du métier, même avec les photographes qui font leur boulot, eux aussi d’ailleurs …

alive dit: à

quel talent !
vous ne l’aimez pas cette photo?ça ne vous rappelle rien ? trop jeune peut-être ? vous rêviez d’en parler , ? cous connaissez un photographe spécialisé ?allez crachez ! c’est pas tout de faire l’imbécile de service !

mauvais réveil dit: à

« à Tarbes. je cris qu’à la fin des années 60 , il n’y avait pas une librairie où l’on pouvait fureter ! »
Mais on y trouvent des casernes!

Damned,HR is still alive!

mauvais réveil dit: à

trouve!…damned!

alive dit: à

d’ailleurs voyez-vous j’ai écrit vite les mains mais le regard de Barbara sur cette photo est saisissant !

alive dit: à

mauvais réveil dit:
exact pour les casernes !

quel rêve! dit: à

Mais on y trouvent des casernes!

Un célèbre haricot, aussi…

alive dit: à

l’école des officiers était à Libourne .

quel talent ! dit: à

alive dit: 22 mai 2013 à 9 h 16 min
d’ailleurs voyez-vous j’ai écrit vite les mains mais le regard de Barbara sur cette photo est saisissant !
En général, salive, ce sont les mains les plus saisissantes.

quel rêve! dit: à

Et une rue piétonne interminable, à Tarbes!

alive dit: à

et tout l’humour potache tarbais tournait autour de lannemezan , l’hopital psychiatrique et la pompe Adour

du rêve à la réalité dit: à

Le haricot dit Tarbais est employé comme ingrédient principal avec la viande dans l’élaboration du cassoulet. Il évite les flatulences!

alive dit: à

la réalité, c’est le fameux jardin et ses fleurs !

Bloom dit: à

Venner, du catho intégriste au catho désintégré.

du rêve à la réalité dit: à

l’hopital psychiatrique et la pompe Adour

Voua avez pratiqué les deux, général Alive?

du rêve à la réalité dit: à

L’ H.P. de jour à Tarbes, se trouve au bout de la rue piétonne, près du marché, Alive!
On y pratiquait des travaux manuels divers..Tout comme à l’ H.P. Pau, une ville dans la ville, qui est plus difficile d’accès depuis l’abordage sabre au clair…

JC ... dit: à

Cher Bloom,
une nouvelle qui va vous plaire : Blondie, qui sait reconnaitre les talents, m’a contacté pour entrer au gouvernement en 2017.

Vous en êtes où, côté plan de carrière ? Une reconversion garde-champêtre agrégé à Porquerolles, ça vous dirait ? Le poste est vacant … et pour les Anglais de passage, ce serait un must, non ?

alive dit: à

je n’ai pas le moindre souvenir d’avoir entendu parler de quelqu’un hospitalisé , et pour la pompe Adour, jamais vu !
le jardin, si je cois que j’ai accepté d’y aller à cause de Paulhan et qui a écrit récemme dur un billet être resté gratte papier -c’est presque ça à Tarbes ?
c’est une ville qui doit impressionner les écrivains et donc P.Assouline nous la ressort avec une prédilection gourmande

alive dit: à

voilà, vous le vouliez , je vous l’envoie
« « Ces deux coups de chance m’ont mis le pied à l’étrier dans la presse de l’après-guerre. Sans cela, j’aurais fini employé à la mairie de Tarbes ».

renato dit: à

La pitoyable sortie de scène de Dominique Venner n’est que la démonstration de la faiblesse idéologique de tous les extrémistes.

En outre, les plus conscients savent qu’il n’y a plus de place pour eux dans la société ; et dans ce cas, encore heureux qu’il n’a pas ‘souhaité sortir en ‘emmenant’ avec soi des gens étrangers à ses délires.

souvenir de Tarbes dit: à

H R = haricot radoteur!

alive dit: à

billet écrit récemment sur la RdL Grenier

JC ... dit: à

« La pitoyable sortie de scène de Dominique Venner n’est que la démonstration de la faiblesse idéologique de tous les extrémistes. En outre, les plus conscients savent qu’il n’y a plus de place pour eux dans la société »

Euh… renato !… tu veux généraliser le suicide des extrémistes ? Les mettre dans des camps ? Leur supprimer les allocs ? Les envoyer en Australie, en Nouvelle Calédonie, au Sahel, à perpète, quoi !

Il ne va plus rester personne dans le pays si on ne donne pas de place aux extrémistes !!! Quelques humanistes bayroutiens du Centre, peut-être, des handicapés de la gauche molle, NKM, éventuellement… ?!

alive dit: à

voici la date du billet
LE 5 AVRIL 2013
récent quand même !

Le dernier acte dit: à

La prise en otage symbolique de la basilique Notre Dame de Paris pour accomplir un suicide sociétal est une façon d’imposer de manière totalitaire, pour ne pas dire plus, son destin individuel et son idéologie particulière à tous les croyants et catholiques.
C’est phagocyter pour soi un lieu universel de la croyance.
S’il s’agit d’un suicide à « la romaine »,pré chrétien, comme il s’ écrit, alors il s’agit d’un contre sens flagrant d’impliquer non sans perversité un lieu de culte religieux.
( Il était historien et savait de toute évidence lé différence entre les dieux romains et le Dieu chrétien.)
La sortie de scène n’est pas la Sainte Scène…

renato dit: à

Vous devriez apprendre à lire JC, c’est urgent : le fait que dans la société il n’y ait plus de place pour les extrémistes ne signifie pas que l’on doit, comme eux ils ont fait par le passé, ouvrir des champs de concentration. Il n’est pas non plus question de les exiler ou de les ostraciser. C’est à eux de comprendre que l’extrémisme n’est pas le bon chemin…

Cela dit, vous aimez jouer le provocateur, mais vous en avez pas les moyens — contentez vous de lancer quelque boutade au bistrot, entre deux boissons anisées…

novlangue dit: à

Bloom ne connaît évidemment rien de la vie et de la pensée de Dominique Venner et le traite avec une ignominie et une bassesse bien à lui. A-t-il seulement entendu parler de la remarquable « Nouvelle Revue d’Histoire que DV dirigeait?

DV ne pouvait être catho intégriste puisqu’il n’était pas catholique (laquelle religion interdit absolument le suicide et a fortiori dans le chœur d’une cathédrale!).

Comment peut-on être aussi bêtement méchant que Bloom?

renato dit: à

Un suicide à « la romaine » ?! vraiment incultes ces pauvres gens, d’un côté ils causent sans aucun pudeur de Mishima, de l’autre d’un fait culturel qui n’a aucune espèce de relation avec la vie de ce Monsieur.

novlangue dit: à

J’ai oublié Renato, qui vient de rappeler sa petitesse hargneuse.

JC ... dit: à

I/ »C’est à eux de comprendre que l’extrémisme n’est pas le bon chemin… »
Quel est le bon chemin, renato ?

2/ »Cela dit, vous aimez jouer le provocateur, mais vous en avez pas les moyens — contentez vous de lancer quelque boutade au bistrot, entre deux boissons anisées… »
Si ceux qui n’ont pas les moyens devaient se taire, nous perdrions l’enchantement qualifié de vos rodomontades quotidiennes, mon cher renato…

Le dernier acte dit: à

Ce suicide « à l’Église », c’est instrumentaliser le catholicisme à des fins politiques partisanes et extrémistes, la foi au service du politique. En cela il ne se différencie aucunement de ceux qu’il dénonçait avec véhémence.

renato dit: à

Le lieu qu’il a choisi pour se donner la mort preuve, si cela était nécessaire, l’état de confusion qui informait son idéologie.

jicé dit: à

les honnêtes gens de pq tremblent ils n’en peuvent p’us de l’islamisation et de la cégétisation galopantes de leur belle île – le martyre de cette grande figure de la chrétienté qui s’est fait exploser son simili cerveau s’est offert en sacrifice à notre seigneur au sein même de sa sainte demeure centrale de la patrie- les meileurs des chrétiens l’auront compris eux et prient

renato dit: à

La grandeur d’esprit du petit novlangue est le moment plus touchant de la matinée.

Le dernier acte dit: à

rénato, la dame pipi du blog qui joue le matamore!
Il était un grand lecteur d’Epictète, cet historien, renseignez-vous.
Ce n’ est pas en sous estimant l’adversaire, en ne le comprenant pas bien ou faussement qu’on le combat efficacement, rénato et Bloom…

JC ... dit: à

le dernier acte,
votre pire méchanceté… écrire « rénato »… Oh, que c’est vilain …!

dolorum sacrificius dit: à

il n’en pouvait plus de voir le bon temps de sa jeunesse lui échapper-le brave saint homme regrettait la suite de l’époque lointaine des enfumades, celle moins lointaine de la gégène et des crevettes argentines – la crevaison du tortionnaire argentin que ses pairs ont gentiment aidé dans sa noble tache de sauveur de l’occident chrétien et blanc) l’a achevé

analyse dit: à

« le moment plus touchant de la matinée. »

« n’est pas le bon chemin… » rénato

Touche-toi le front rénato, c’est là qu’est le génie!

Et indique-nous le droit chemin pour y parvenir!

JC ... dit: à

« Le lieu qu’il a choisi pour se donner la mort preuve, si cela était nécessaire, l’état de confusion qui informait son idéologie. »

Il a le jugement sûr, rénatoto !

renato dit: à

JC, vous avez peut-être raison, cependant vous comprendrez que votre opinion ne vaut pas assez pour que l’on y réfléchisse.

Cela dit, et en toute sincérité, lisez Lorenzo Valla si vous voulez apprendre comment on fait dans la provoc… enfin, si vous arrivez à le comprendre.

Et bonne journée en maternelle…

dolorum sacrificius dit: à

sous estimant l’adversaire

au contraire jc c’est vous qui sous estimez ce brillant cerveau en rabaissant l’immense pensée (fantastique leg ) dont IL était coutumier au niveau d’une dame d’aisance

JC ... dit: à

Tudieu, mais nous l’avons trouvé le Roi des Khons : c’est le donneur de leçon (cédille, pas accent aigu) qui n’a jamais compris de ce qu’il a appris…

JC ... dit: à

Dolorum,
je ne suis qu’un con modeste, un ravi, heureux de batifoler parmi ses pairs les connards, et ses maîtres impuissants et séniles, les connauds…
(je me demande si j’en fais pas trop, parfois… mais au moins le message passe…)

action dit: à

un grand lecteur d’Epictète

c’est bien la preuve, s’il en fallait, de l’innocence de ce sauveur des temps modernes!
(un parent ou un proche parent à jc en plus de grand lecteur d’E et de son choix politique!!)

renato dit: à

« Ce n’ est pas en sous estimant l’adversaire » ?!

Je ne le sous estime pas, c’est lui qui s’est sous estimé… d’ailleurs le passage aux insultes puérils révèle les limites de vos arguments…

renato dit: à

Et incidemment, je trouve qu’ils sont admirables ces provocateurs fascisants qui prêchent et insultent sous pseudo, cela montre avec quel courage ils portent leurs opinions… pauvres gens !

analyse dit: à

Il était avant tout maurassien, ce monsieur, et pour le paganisme pan européen, contre le nationalisme traditionnel…
Et rénato avec son complexe de l’italien qui ne veut surtout pas être chrétien romain, quelle rigolade!

don camillo dit: à

« Et rénato avec son complexe de l’italien qui ne veut surtout pas être chrétien romain, quelle rigolade! »
Mais il a un grand copain évêque, il assure ses arrières!

JC ... dit: à

« Et incidemment, je trouve qu’ils sont admirables ces provocateurs fascisants »

Enfin un mot gentil… !
Merci, Dom rénatoto.

renato dit: à

« … l’italien qui ne veut surtout pas être chrétien romain… »

Vous faites erreur ou vous avez la mémoire courte. J’ai plusieurs fois cité ici B. Croce : « pourquoi nous ne pouvons ne pas nous dire chrétiens », mais là nous sommes dans une pensée trop complexe pour vous, je suppose…

don camillo dit: à

rénato c’est notre Peppone à la RDL!

martin dit: à

« était avant tout maurassien, ce monsieur, et pour le paganisme pan européen, contre le nationalisme traditionnel »

mon dieu mon dieu quel cerveau alors uhuu

martin dit: à

renato svp ne pas prendre la mise en boite du pathétique jc avec des propos fascisants

JC ... dit: à

Il fait un temps merveilleux : ciel bleu, ensoleillé, mer belle, légère brise de Sud. Un temps à quitter son écran et naviguer au delà de la noirceur. Ciao, Barbara !

renato dit: à

« … c’est notre Peppone… »

Faut trouver mieux car je ne suis pas communiste… un petit effort d’imagination, enfin !

Le dernier acte dit: à

Martin, vous portez bien votre nom, comme l’âne.

Qu’il soit compliqué, ce monsieur, il ne serait pas le seul, on vous l’accorde.
Mais par votre expression « quel cerveau »,laisseriez-vous entendre qu’il existât des  » génétiquement mal pensant »?
A fasciste, fasciste et demi et c’est cela qu’il faut dénoncer!
Et que je dénonce!

césar dit: à

« l’italien qui ne veut surtout pas être chrétien romain »

tous les les Italiens ne sont pas des c.. .s de grenouilles de bénitier

Phil dit: à

Montherlant a pris un cahet gazifiant avant son acte. D’autre part c’est en draguouillant les skaters sur les grands boulevards qu’il a pris une canne de billard sur la tête.
Il est donc bien loin du buste à César, mais pas plus près de l’approbation du mariage gay. hurkhurkhurk

martin dit: à

laisseriez-vous entendre qu’il existât des » génétiquement mal pensant »?

les ânes sont très intelligents…
réponse à votre queston: non c’était une image – puisqu’il faut tout vous expliquer : je me foutais de pq et ses ascendants fafs

martin dit: à

et pas ascendants dans cette phrase je voulais dire ascendants idéologiques

Observatoire des Anes .... dit: à

Martin ? reposez vous un peu : on vous sent las

rené dit: à

11h14
tiens jc n’est pas encore parti se foutre à l’eau de désespoir après la double nécro de ces jours derniers il va encore falloir le supporter

rené dit: à

ce type exhibitionniste s’est flingué parce qu’il était malade- il aura achevé sa pub nauséabonde en utilisant comme prétexte les « étrangers-du-sud jusqu’à la fin

conseiller dit: à

« ciel bleu, ensoleillé, mer belle, légère brise de Sud. Un temps à quitter son écran »

dégage et si possible abstiens-toi de polluer l’environnement

alive dit: à

ce qui est quand même « énorme » ce n’est pas le suicide commis mais où , à son âge,il l’a commis , ce qui est indissociable . une tentative de signifiance au niveau du centre du monde .
ce n’est pas en disant qu’il était « un malade » qu’on prend la mesure de la violence des dynamiques qui l’ont porté à ce geste stupéfiant

Télécran dit: à

novlangue dit: 22 mai 2013 à 10 h 04 min
DV ne pouvait être catho intégriste puisqu’il n’était pas catholique (laquelle religion interdit absolument le suicide et a fortiori dans le chœur d’une cathédrale!).

Comment peut-on être aussi bêtement méchant que Bloom?

Bloom a eu raison de ne pas rater l’occasion de faire un bon mot. L’islam aussi interdit le suicide, on sait très bien le fossé entre les préceptes et la réalité. Ce n ‘est pas un argument.
La bassesse infinie de celui qui signe JC novlangue etc est sans fond. Aucune leçon à donner.

bouguereau dit: à

Il est donc bien loin du buste à César, mais pas plus près de l’approbation du mariage gay

césar césar..ce qu’on lui reprochait a césar c’était de faire le passif..c’était ça la honte romaine..forcément l’un des deux, au moins

bouguereau dit: à

Un temps à quitter son écran et naviguer au delà de la noirceur. Ciao, Barbara !

jicé a mis son truc en plume de zoizo de zanimo..explosante fixe

OneNote dit: à

Personne n’est capable de dire quels effets bienfaisants le mot race pourrait avoir. (JB)

Peut-être ce mot correspond-il à une vérité scientifique, indépendamment de toute connotation péjorative et idéologique ? Cela ne vous a jamais effleuré l’esprit ? Pensez-vous que c’est à la loi de trancher une question de cette taille ? La cause est entendue, comme vous dites : bien sûr que non.

Quant à savoir si tel mot doit être évalué selon son caractère bienfaisant ou non sur la population, c’est effrayant, on nage en plein cauchemar orwellien là…

bouguereau dit: à

Il était historien et savait de toute évidence lé différence entre les dieux romains et le Dieu chrétien

direc héritier ma poule..la franche rare pays qui partage avec le japon que le suicide est une « démonstration »..ben mon colon

bouguereau dit: à

Peut-être ce mot correspond-il à une vérité scientifique

..chez les anglosaxons pas du tout raciss (les moins du monde si si) hé ben le mot est toutafé licite

Phil dit: à

faut voir, bougreau. Mishima était pas tout clair. Yourcenar s’est fortement penchée sur son cas. une qui voulait pas de drapeau rainbow à ses volets.

bouguereau dit: à

une tentative de signifiance au niveau du centre du monde

seulement si que ça avait été devant la gare de perpignan

bouguereau dit: à

Mishima était pas tout clair

ha c’est certain..soit c’était le ché au dessus de ton lit soit c’était mishima en tortue ninja..rarement yourcenar phil..t’es un cas

clément dit: à

« ce n’est pas en disant qu’il était « un malade » qu’on prend la mesure de la violence des dynamiques qui l’ont porté à ce geste stupéfiant »

il a été écrit qu’il était malade (pas « un » malade) ) il était atteint d’une maladie incurable: ça se rajoute au reste que vous appelez « dynamiques » (terme propret pour immondices )

bouguereau dit: à

mishima il en pincait pour saint sébastien..martyr c’est une invention des temps romains, tardive..mais les romains ont tellement changé..de salopiot a hyperfrigidebarjovictorien..et paf les catho arrivent sur ces entrefaits..1 siècle avant il aurait adopté le mariage gay c’est certain

clément dit: à

« mishima il en pincait pour saint sébastien »

son admirateur de pq va pas s’en remettre

Phil dit: à

bougreau, c’est le progress. actuellement la boussole indique: back au quatrième siècle. même Spielberg a pas idée, tout canné qu’il est.

bouguereau dit: à

tout canné qu’il est

ça cause que brit il parait..et bientôt une lois va passer pour obliger lassouline a écrire en anglais..kabloom sera fait aux pattes

OneNote dit: à

Un beau jour, les anti-spécistes, qui réfutent toute différence, la moindre hiérarchie entre les hommes et les animaux, réclameront la disparition du mot espèce, et tout le monde trouvera ça très bien… Ridicule !

des journées entières dans les arbres dit: à

« Barbara me suffit pour savoir les deux ou trois choses que j’ignorais de Barbara »

ça c’est Godardien en diable, où je ne m’y connais pas en « dérobade ».

Maintenant que l’on sait tout tout tout sur, et que par ailleurs Cannes pourrait devenir un festival de la littérature, un p’tit billet sur Di Caprio ?

La mauvaise langue dit: à

Le suicide de D. Venner et les commentaires qu’il suscite montre à quel point cette France est moisie.

Je conseillerais bien à certains d’ici de se suicider mais…

Bonne après-midi, mes petits chéris ! Bon suicide !

classification dit: à

« anti-spécistes, qui réfutent toute différence, la moindre hiérarchie entre les hommes et les animaux »

faut s’y faire, pr et jc sont des êtres humains comme adolf leur père spirituel

La mauvaise langue dit: à

Autre preuve de la France moisie, le rapport sur l’EN :

« Entre 2000 et 2009, la part des élèves les plus faibles s’est accrue de 26% en lecture et de 37% en mathématiques. Et pendant que les résultats de la France se dégradaient, pointent les magistrats, le budget de l’éducation nationale a augmenté chaque année. L’effort financier consenti par notre pays se situe à un niveau comparable, voire supérieur à celui des pays qui assurent mieux la réussite de leurs élèves, conclut en substance le rapport. »

Bloom dit: à

« Göttingen » à Göttingen, chanson qui fit davantage que bien des discours et des traités pour la réconciliation franco-allemande,


Qu’il me soit permis de penser que ce commentaire, inspiré par une haute conception du rôle de l’art populaire, est un p’tit peu hâtif, Passou.
Sur le plan symbolique, peut-être, mais dans la réalité des faits, qui peut nier que les jumelages entre les communes, les voyages scolaires et linguistiques dans les deux sens et l’extraordinaire travail de l’OFAJ, Office Franco Allemand pour la Jeunesse, ont davantage fait pour le rapprochement entre nos deux pays que la belle chanson de la grande Barbara?
Comme les projets du Fonds franco-allemand en pays tiers, qui depuis 10 ans sont organisés partout dans le monde et donne lieu à de très belles coopérations, bien loin des petits cancans persifleurs parisiens. Je quitte à l’instant ma collgue du Goethe et peut vous dire que les 13 jeunes stylistes que nous avons réunis pour l’atelier de création de mode que nous avons organisé rivalisent d’inspiration et de talent. Et le tout diffusé sur une chaîne bien connue bientôt.

Observatoire de l'Instruction Publique Européenne... dit: à

Migaud est un social-traître ! Dissoudre les syndicats d’enseignants ? virer les moules mortes ? remettre en classe les bureaucrasseux du ministère , ne pas recruter 60.000 pédagogues de plus ? Au secours ! A l’assassin !

Téléramage Bloom/Berger dit: à

« Je quitte à l’instant ma collègue du Goethe et peut vous dire que les 13 jeunes stylistes que nous avons réunis pour l’atelier de création de mode que nous avons organisé rivalisent d’inspiration et de talent. Et le tout diffusé sur une chaîne bien connue bientôt. »

TF1 ?

Bloom a son Berger... dit: à

« Je quitte à l’instant ma collgue du Goethe »

Votre callgoethe, vouliez-vous dire?

Le bâton de Berger de Bloom..... dit: à

Une callgoethe hallal, j’espère !

bérénice dit: à

ML le rapport précise-t-il les lieux d’attribution et répartition des budgets?

bérénice dit: à

callgoethe= call girl ayant tout lu de Goethe? ou comment joindre l’utile l’agréable et l’obsession

Bloom dit: à

ma collègue du Goethe et peux..etc.

Bloom dit: à

TF1 ?

Presque aussi proche qu’Airang.

bouguereau dit: à

les voyages scolaires et linguistiques dans les deux sens et l’extraordinaire travail de l’OFAJ, Office Franco Allemand pour la Jeunesse

c’est certain kabloom..les kils de saucisses ..les allemandes qui appelaient « mein pitite fureur » les playboy du patelin aprés une seule bouteille de rosé..j’étais trop petit et jaloux..quand j’ai grandi c’était pas mal mais la fièvre etait retombée

bouguereau dit: à

conclut en substance le rapport

tfrais mieux deutsentir un peu concerné dracul..au lieux de couiner dans l’auge

Blague à part dit: à

« callgoethe= call girl ayant tout lu de Goethe? »

Il y a aussi un peu du string…rappelons-nous les confidences de Bloom et son attente de gâteries ( Pendant les heures de service?)

en direct de porquerolles dit: à

13 h 33 min
le gnome de pq ne s’est pas pendu hélas

Bloom dit: à

Ah, le Boug, les demi-litres de Pils en bouteille de verre, les ‘Bist du eifersüschtig? » chuchotés dans les oreilles de la jolie Birgit ou de la divne Petra, les « Warum lachst du so dum? », de la prof d’allemand, qui nous avait offert le bonheur et faisait semblant de s’en offusquer. Le bonheur, mon ami…Décliné sur un mode ‘culturellement acceptable’ avec mes alter ego du Goethe I. depuis 2003, année du premier fonds franco-allemand et de ce diable de danseur qu’est Storm Robitzsky.
Une grande félicité de bosser ensemble.

en direct de porquerolles dit: à

lebrêle de pq est payé pour faire agitateur de blog au service de marinette la grosse bertha , et il se croit spirituel et drôle

John Brown dit: à

« Le suicide de D. Venner et les commentaires qu’il suscite montre à quel point cette France est moisie. » (rédigé par LML)

Peut-être qu’un éloge funèbre de ce fondateur de « Jeune nation » par LML nous permettrait de savoir à quoi nous en tenir. Il est vrai que les propos tenus sur ce blog par notre néo-fesciste de service ont déjà bien éclairé notre lanterne.

Phil dit: à

Göttingen était plus séduisante à l’époque du mur. Excursions pour le frisson au pied du rideau de fer. « je vous écris ce soir de Vienne ».

Phil dit: à

néo facsiste, ou fessiste, cherchez pas trop, john brown. L’incendie du reichstag n’a pas empêché le mariage gay malgré l’inverti qui l’a déclenché. l’histoire, c’est comme l’électronique, faut pas ouvrir le capot.

John Brown dit: à

« notre néo-fesciste de service » (rédigé par mézigue)

Effectivement ! Je ne l’avais pas vue, celle-là. Il y a des fautes de frappe qu’on s’en voudrait de corriger.

John Brown dit: à

« Je conseillerais bien à certains d’ici de se suicider mais… » (rédigé par LML)

Mais si tous ceux auxquels il pense se suicident, qui va-t-il pouvoir injurier ?

Sigismond dit: à

on ne connait toujours pas le nom de l’ignoble individu qui a tant chagriné notre Christiane à propos de Barbarella

JC .... dit: à

John Brown,
Ton « néo-fessiste » te trahit : il te faut toujours de la nouvelle croupe, hein ? Tu ne penses qu’à ça !
A ton âge … Imprudent roméo festif !

christiane dit: à

@ Sigismond – 22 mai 2013 à 15 h 17
Ce n’est pas un « ignoble individu », loin s’en faut. Un être différent, seulement. Un qui donne à prendre du recul. Car notre monde, nos goûts, nos affections sont comme un bagage que l’on trimballe partout de peur de se perdre, de se dissoudre. Une sorte de vide à combler fait de bric et de broc, de belles choses et de banalités. Et puis il y a le poids de la transmission. Tel chanteur(se), tel peintre, telle musique ouvrent à une présence, un souvenir. Ainsi, adolescente, j’ai eu une amie qui adorait Offenbach et qui chantait à tue-tête les chants de « La Belle Hélène ». Je n’ai jamais pu écouter cette opérette sans nostalgie. Un ami, autre, plus tard, m’a fait découvrir les chansons de Barbara. Les deux coïncident si exactement que je l’écoute toujours en sa présence alors qu’il n’est plus là. C’est ainsi. Donc, quand cet homme (bien) passionné de musique, m’a daubée avec Barbara cela a été comme s’il avait piétiné ce souvenir.
A vrai dire, j’ai toujours du plaisir à entendre certaines de ses chansons qui passent à la radio, (pas les dernières) mais quand j’écoute le silence c’est vers le baroque que je me tourne. Rien de grave dans tout cela, seulement la vie qui passe… Des amis s’en vont, d’autres viennent. Nos goûts changent ou s’estompent. On s’habitue à la perte, à ce que le bagage en question devienne tout petit, parfois un seul objet, une seule chanson, un paysage. Et c’est bien, ainsi.

Pour « alive », une impression de canular. Il ou elle en fait trop pour que ce soit crédible. C’est comme des tests pour voir jusqu’où le non-sens peut tenir.

OneNote dit: à

Ce suicide est à rapprocher des immolations des moines tibétains. La dimension politique et religieuse – même s’il est athée, il se reconnaît dans le christianisme – est là, qu’on le veuille ou non, et symboliquement le suicide, a fortiori dans un lieu sacré, est aussi grave et choquant pour un chrétien que l’immolation pour un bouddhiste.

Si cet homme avait été un véritable extrémiste, il aurait fait un carton avec sa pétoire dans une manif pro-mariage gay. Il ne l’a pas fait. Ce n’était donc ni un Breivik ni un terroriste islamique. Il faut interpréter son suicide comme un acte de résistance, comme l’acte d’un homme qui a pensé sa mort et voulu lui donner un sens.

Éveline dit: à

Depuis quand la racaille donne un sens à la mort?

OneNote dit: à

Racaille, c’est le mot qu’emploie le régime Chinois pour désigner le dalai-lama et les moines qui s’immolent, conasse.

JC ... dit: à

Cette notion « d’extrémiste » est ridicule.

Toute personne qui défend ses idées est extrémiste puisqu’elle s’y soumet, y compris la couille molle qui se contente de « collaborer avec l’ennemi » pour son confort ou son élection. Hollande, qui s’allie à Méchancon, est un extrémiste du mensonge…

Je ne vois aucune différence entre l’extrême-gauche anticapitaliste du postier et la négresse* guyanaise modérée, copine du fonctionnaire Domota, bafouant les lois éternelles* de la famille ! De même aucune différence entre l’extrême droite d’un Peltier et la grande sèche NKM, qui pousse l’extrémisme jusqu’à s’abstenir de lutter contre mariage et adoption, par les invertis au coeur malade*.

* pardonnez-moi, ça m’a échappé … je maitrise mal le français.

Sergio dit: à

Finalement on sort jamais de la madeleine et de Sainte-Beuve…

JC ... dit: à

Eveline, tu galèjes, mon petit chou …

en direct de porquerolles dit: à

16h09
le fasciste s’énerve

16h13

alive dit: à

remarque pour les personnes qui prétendent orienter, corriger,informer en exigeant des « infos » :
j’avais signalé des familles juives venues Tarbes après passage par Nancy dont celle du médecin chercheur Freddy Spira
en produisant un lien confirmant que ce nom était bien réel .
j’ajoute que l’ami du père de Freddy Spira s’appelait Hermann .M prénom qu’il transforma en Germain, .La femme de Hermann M s’appelait Lina et était amie de la mère de Freddy Spira , et comme elle , très malade C’est elle qui avit l’humour de prononcé Tarbes comme le yddish « Tsores » – Soucis, misères
Le père de Freddy Spira taquinait continuellement son copain Hermann qu’il ne parlait pas bien français, lequel copain ne le supportait pas , et s’en prenait, avec violence à son propre fils, qui donc avait été recueilli avec sa mère Lina. M, et sa soeur , par des soeurs(religieuses) , de ne pas le défendre.
Il serait tout à fait mensonger que je dise avoir connu Monsieur Freddy Spira lui-même ,ni même sa famille mais on me fit beaucoup endurer des histoires de ces amis d’avant la guerre et on ne m’a appris que « par hasard » que la mère de Freddy Spira s’était immolée par le feu dans leur jardin,dans la région parisienne , où j’ai accompagné une fois . J’ai su son prénom , certainement,parce que Lina .M l’évoquait assez souvent , en pensant son propre état en miroir de celui de son « amie », si tant est qu’on puisse dire que les femmes étaient amies . les vieux couples se voyaient régulièrement.
j’ignore quel bien cela peut faire à Mauvaise langue de suggérer le suicide à quiconque : mais je persiste à dire qu’il s’agit de dynamiques avec des effets de « l’inconscient » sans trop finasser sur la terminologie et les guerres entre les écoles , dont on sait que la question des suicides n’est pas une « petite chose ».
je n’ai pas qualité pour développer cette question , mais il n’apparait pas dans les commentaires que quiconque soit assez « honnête »dans ses relations au groupe de ce blog pour le faire, et pas plus mauvaise Langue qu’un-e- autre .
C’est en ce sens que les commentaires présentent comme un reflet d’un groupe humain commun : son impudeur de chambrée de bidasses , comme a écrit quelqu’un, bidasses plus encore que de saouleries d »un service de soignants est pour moi insoutenable , et surtout indésirée .
bonnes méditations

Blague à part dit: à

JC et l’amalgame totalitaire, là t’en fais trop!

en direct de porquerolles dit: à

16h13
le gnome de pq se trouve intelligent et amusant

JC ... dit: à

Blague à part,
Si vous préférez continuer à parler du héron noir et de son chant pénible de goualanteuse de variétés, je me tire une boule de pétanque dans la tête avec une raquette de tennis. pour le lieu de ce forfait, j’hésite entre le Mont Saint-Michel, l’ecole Polytechnique ou la Mousquet de Paris !

edouard dit: à

Éveline dit: 22 mai 2013 à 16 h 05 min
« Depuis quand la racaille donne un sens à la mort? »

c’est que cette racaille ex oas comme ses semblables les racailles nostalgiques de l’oas qui ne sont pas allés se défouler chez franco ou videla ou stroessner crèvent de pas avoir repris du service -depuis 62, vous imaginez leur frustration!!

16h09 la mauviette sadique gronde et insulte! on croirait entendre la teigne planquée au paraguay

JC ... dit: à

Henri Dutilleux est mort ! Va savoir si Passou va écraser une larme avec nous ou parler d’autre chose de plus grave …

alive dit: à

à Mauvaise Langue , et à son propos, je tiens à dire que cela ne me choque pas qu’il dise qu’il apprécie ses élèves at qu’auprès d’eux ils trouvent les contributeurs bouchés – on dit à l’émeri, e crois me souvenir-
c’est banal certes , mais ce n’est peut-être pas faux : tous les psys étaient d’accord pour dire que ls parnets étaient des idiots, même ceux qui étaient eux-mêmes parents !
la question c’est qu’il n’est pas certain que la pédagogie qui réussit avec des jeunes ne réussira pas forcément avec des adultes , au temps d’internet de surcroit ! et il semble que Mauvaise langue n’apprécie pas assez les difficultés de « transposition », des codes de jeux .ceci puisque P.Assouline désirerait voir davantage des femmes régler leurs histoires de familles et d’identification et de construction de soi.
souvenir d’une femme travaillant dans l’administration d’un hopital et qui me raconta que son mari gardait sa mère à lui attachée dans une cabane dans le jardin- ce que je n’aurais jamais imaginé , alors que je connaissais au même moment une femme professeur de piano, et de sémantique de musique à la fac, qui gardait sa mère enfermée au fond de l’appartement , et avait un petit fils autiste, le mari de la professeur, surdoué parait-il , étant parti – refenons à la première femme évoquée, et qu’il l’attachait à la maison, elle aussi souvent, .leur premier fils était autiste ,en institution , et elle avait une liaison avec un médecin de son hopital , liaison dont elle était aussi déçue .
voilà des histoires de parents et de professeurs médecins mélomanes qui peuvent nous tomber dessus sans crier gare .

JC ... dit: à

Alive, je vous avoue que si j’avais un parent comme Bloom… je l’attacherai dans la cabane, au fond du jardin. Il y a des cas de force majeure, n’est il pas vrai ?!

JC ... dit: à

Alive, on vous a déjà attaché(e)… ?

La mauvaise langue dit: à

Les fessistes comme JB, de toute façon, ils auraont beau se suicider, ils renaîtront toujours. C’est immortels les fessistes.

bouguereau dit: à

Depuis quand la racaille donne un sens à la mort?

une sainte cul nu n’en donne pas davantage..quant au bonze 1note y’a une nuance, l’age..c’est deleuze qui parlant du suicide à la fin de la vie hausse les épaules et dit que c’est un genre de convenance..et trouver que sauter avec un sac en plastique sur la tête par la fenêtre plutot que de se tirer une balle au pistolet a « un coup » (sic) devant notre dame est moins élégant..c’est faire de l’élégance une charte graphique pour analplug

Phil dit: à

depuis la jelinek, les mélomaniaques sont des pervers.

bouguereau dit: à

Ah, le Boug, les demi-litres de Pils en bouteille de verre

une galoche a la bière c’est meilleur qu’un coq au vin

alive dit: à

comment on peut

Sergio dit: à

Bon déjà pour le fascisme faut un faisceau donc c’est du côté de la Louve, chez les Tudesques finalement on peut pas savoir si c’est pareil ou non… « L’idiot de Berlin », qu’il appelait oncle Wolf, le Benito…

Bloom dit: à

OneNote est le petit imprimeur d’Ascunsion.
Ils se lâche et se donne pour ce qu’il est: une brute épaisse.
Rien de pire que les culs bénis faussement propres sur eux.

bouguereau dit: à

« L’idiot de Berlin », qu’il appelait oncle Wolf, le Benito…

vontraube dirait « qu’en plus » il n’en avait qu’une

Bloom dit: à

un homme qui a pensé sa mort et voulu lui donner un sens.

On ne saurait que trop recommander à Rènié, à git-ssé, et à quelques autres de faire preuve de la même profondeur de pensée. Il est effectivement plus que temps que ces raclures parasites donnent un sens à leur vie, de préférence le sens Venner, sens unique, au fond de la cathédrale, devant l’autel de passe de vie à trépas, Exeunt in excelsis deo. Gloria!

clément dit: à

« Ils se lâche et se donne pour ce qu’il est: une brute épaisse. »

la brute épaisse sadique se lâche partiellement : n’a pas encore lancé d’appels aumeurtre contrairement à d’autre fois

bouguereau dit: à

j’hésite entre le Mont Saint-Michel, l’ecole Polytechnique ou la Mousquet de Paris !

quand j’étoie mome, y’avait un vieux chirurgien a la retraite qui vivait dans une maison de maitre avec personnels pis tout, il s’est suicidé en se fichant un scalpel dans le coeur avec champ opératoire et anesthésie local..le journal local avait titré « coquetterie de chirurgien »

Sergio dit: à

bouguereau dit: 22 mai 2013 à 18 h 12 min
« coquetterie de chirurgien »

C’est un avantage en nature, qu’ils diraient les autres rats immondes sans nom…

bouguereau dit: à

de préférence le sens Venner, sens unique, au fond de la cathédrale, devant l’autel de passe de vie à trépas

allons kabloom..tu vas pas faire ton néron comme dracul avec tes invites au suicide..en ces temps là ni cachton..ni pétard..fallait se finir à la chandelle

Bloom dit: à

allait se finir à la chandelle
— l
le feu sacré…
alors ce bouquin le Boug, tu peux pas ne pas le publier, c’est une voix, un style inimitable, une signature, une griffe de griffon…une potion roborative dont on besoin les lèèttreu françoises, crénom…

alive dit: à

@bloom
Gloria! pourquoi appelez-vous une dame lacanienne
bien connue sur ce blog ? croyez-vous qu’elle va avoir une hallucination auditive et se sacrifier pour nous ?
à moins que ce soit une autre gloria ?

Bloom dit: à

on-t (honteux)

Ruine de l'âme ? dit: à

C’est assez édifiant (et consternant) de voir un vrai fascite, un pur, se construire sous nos yeux jour après jour.
L’évolution des textes (!) du voileux varois nous plonge au coeur d’une prise de conscience, par lui-même, de sa nature profonde.
Il y a trois quatre ans jamais il n’aurait osé même les penser.
Anticommuniste primaire, néocon, ok, il assumait mais facho viscéral il n’aurait pas cru.
Maintenant il sait.
La vieillesse s’annonce très pénible pour lui.

Bloom dit: à

alive alive ho ho,
Gloria, c’est du vive Aldi, ma dépanneuse discount favoRITE.

Philippe Régniez dit: à

Contrairement aux nombreux anonymes, je signe toujours mes contributions de mon nom. Pierre Assouline qui a accès aux adresses des contributeurs pourra confirmer la chose.

Philippe Régniez dit: à

Par ailleurs, il n’y a aucun intérêt à se mêler aux échanges qui sont publiés en ce moment même sur la République des Livres.

Porcrologie dit: à

« Il y a trois quatre ans jamais il n’aurait osé même les penser »
Il n’osait pas le dire, le pot de colle, c’était pas bon pour sa drague à deux balles. Maintenant qu’il est grillé et sans espoir le no life se lâche

je dirais même plus dit: à

Ruine de l’âme 18 h 27 min

après le règne de cinq ans de truanderie et médiocratie décomplexées précédées par de décennies d’escroquerie les fafs se sentent ragaillardis..

césur dit: à

« je signe toujours mes contributions de mon nom »

ben voyons

La mauvaise langue dit: à

Ben, moi, mes petits chéris, je suis en train de lire la biographie de Maxime Ducamp. Il a beaucoup écrit, le Maxime: 5 volumes de voyages, de la poésie, des romans, nouvelles et contes (8 volumes), histoire contemporaine (6 volumes), histoire littéraire (3 volumes), études d’économie sociale (5 volumes), dont un ouvrage épatant et unique en son genre en 6 volumes : Paris, ses organes, ses fonctions et sa vie, Hachette, 1869-75 ; des critiques d’art (5 volumes). Dommage que son œuvre soit si peu rééditée.

kicking dit: à

certaines théories sur le pas de côté peuvent parfois vraiment très très mal passer, passou, si d’aventure vous croisez un marionnetiste de blog très connu filez lui donc un coup d’épaule pour l’envoyer dans les orties !

(cela n’étant bien entendu que pur délire)

En directo de Asuncion dit: à

Hemos visto el tio Regniez vestido de duelo.

I have a dream dit: à

19h03
il pourrait enterrer videla chez lui, aucun cimetierre n’en veut en argentine
ah si tous les fafs du monde pouvaient se flinguer…

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