« Boussole » : attention, grand livre !
Ca va, du calme, ce n’est pas écrit : chef d’œuvre ! Ces choses-là, on n’en voit passer qu’un par génération, et encore ; il lui faut résister à l’épreuve du temps pour que l’on puisse décréter rétroactivement que cela en était un. Alors qu’un grand livre saute aux yeux, prend à la gorge et parfois aux tripes, s’impose, domine et fane ce qui se pousse du col à côté. Surtout quand après l’avoir refermé, vous allumez machinalement la télévision du samedi soir et vous tombez sur Michel Houellebecq qui, pendant une heure de temps, masque d’Artaud mais sans son génie habité, un Artaud pour Auchan, aligne des bof, des beuh, des ah bon et même, lorsque l’inspiration lui revient, des jchaispastrop, tout cela pour nous apprendre qu’il n’aime pas que Le Monde publie des extraits de ses courriels ni qu’on passe sa photo dans les journaux sans lui demander son avis. Dans ces moments-là, on a juste envie de reprendre le livre qu’on vient de terminer et d’en recommencer la lecture, juste pour oublier le triste sire censé incarner la littérature française dans le monde.
Le roman s’intitule Boussole (400 pages, 21,80 euros, Actes Sud), c’est le sixième que signe Mathias Enard, jeune auteur (1972) révélé par Zone, long roman d’une seule phrase qui valait mieux que la prouesse virtuose que l’exercice représentait, confirmé par l’épatant Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants. Mais s’il avait pu décevoir les attentes avec Rue des voleurs, cette fois, la réussite est pleine, éclatante, impressionnante. Ca se passe en une nuit d’insomnie dans l’appartement viennois du musicologue Franz Ritter, un fondu d’Orient, qui ne compose pas de musique ni n’en joue vraiment, mais qui écoute et écrit sur ce qu’il vient d’écouter entre deux pipes d’opium. A défaut de dormir, il se laisse envahir ses rêves éveillés, et la reconstruction de ses souvenirs. Comme il a l’âme naturellement portée à la mélancolie comme sentiment du temps, mais une mélancolie féconde et allègre, pas une mélancolie dépressive et suicidaire, il se raconte les histoires de sa vie, revisite ses lieux, refait son chemin de Damas, Istanbul, Alep, Palmyre, Téhéran (l’auteur a longtemps séjourné en Irak, en Syrie et en Iran dont il a étudié les langues).
Ce n’est pas un soliloque dans la mesure où il s’adresse en permanence à l’absente, son élue, sa lointaine, son échappée belle, son insaisissable, à qui la mystique associée aux voyages permet de dominer ses excès de bile noire, une certaine Sarah, spécialiste, elle, de la mystérieuse attraction que le grand Est a exercé sur nombre d’écrivains, de peintres, de savants, de professeurs, d’aventuriers, de voyageurs. Mais, qu’il s’agisse de l’Orient comme de l’Occident, les deux pôles entre lesquels tout oscille, les villes sont souvent les personnages principaux. Car elle sont de chair et de sang, au Levant comme en Europe, manière pour l’auteur de rappeler en permanence ce que chacun doit à l’autre et de rêver d’un orientalisme idéal qui serait « un monde entre les mondes ». Ce qui confère à son roman une indéniable dimension politique (lire à ce sujet l’entretien de Mathias Enard avec Georgia Makhlouf dans l’Orient littéraire)
Foisonnant ? C’est peu dire. Jusqu’à l’étourdissement, non par asphyxie mais par ivresse. L’auteur le sait qui désamorce la critique à venir en laissant Sarah reprocher au narrateur : « Franz, tu me soûles. C’est incroyable. Tu parles sans interruption depuis deux kilomètres. Mon Dieu ce que tu peux être bavard ! » Le cas d’Enard avec ce millefeuille de savoirs, de connaissances, de détails, d’intuitions, de rappels, de découvertes, parfois on ne sait plus où on en est au juste mais qui s’en plaindrait lorsqu’il s’agit de raconter des histoires. Erudit ? Référencé ? Touffu ? Documenté ? Pour le moins. Et pourtant, malgré ma méfiance pour les romans cultivés, j’ai été happé dès les premières pages par Boussole. Peut-être parce que je partage avec Enard quelques dilections : les Kindertotenlieder de Mahler (mais lui, Kathleen Ferrier, moi Janet Baker), Danube de Claudio Magris, les fascinants souvenirs de Muhammad Asad né Léopold Weiss, sans oublier le Voyage d’hiver de Schubert dont les vers du poème de Wilhelm Müller illumine toute l’histoire dès l’épigraphe, ni les Mille et une nuits, le premier livre de la bibliothèque de jeunesse de ce Français issu de la France atlantique, le livre qui le poussera plus tard vers l’étude des arts de l’islam
L’orientalisme étant au cœur de ce roman-fleuve, à travers le personnage du narrateur, déjà, mais aussi celui de l’archéologue fou, Bilger qui aurait horreur qu’on l’associe à l’orientalisme et s’évertue à rassurer les autorités syriennes sur ce qui le différencie de la longue tradition des archéologues-espions dont l’Europe avait le secret, on ne fait pas l’économie d’une controverse toujours recommencée sur L’Orient créé par l’Occident (1978) d’Edward Saïd. Mais sur ce sujet, comme sur tous les autres agités dans cette fresque lyrique et précise à la fois, et Dieu sait qu’il y en a de toutes sortes car l’auteur a la digression et la parenthèse facile (un « Tiens, à propos de musique militaire… » lui suffit pour s’embarquer ailleurs, et nous avec) ce n’est jamais pesant, presque toujours passionnant car, comme dans l’ensemble de ce roman qui malmène les codes habituels de la narration tant il est emporté par sa passion, c’est porté par un élan, une énergie, une soif de connaître et de faire connaître étourdissants. La Sorbonne n’est jamais loin, Franz et Sarah la connaissent bien, mais elle est tenue à distance. Du gai savoir mais pas de cuistrerie ni d’étalage.
Et puis il y a la musique. Elle est partout puisque « la vie est une symphonie de Mahler, elle ne revient jamais en arrière, ne retombe jamais sur ses pieds ». Boussole est le roman qui a certainement la meilleure bande originale de la rentrée. De Liszt aux grandes chanteuses arabes, on a même droit, lorsque le narrateur se retrouve ivre mort dans la nuit stambouliote, à une interprétation inédite à tue-tête de la Marche de Radezski, nourrie secrètement par sa haine pour la valse viennoise (ah, le concert du premier de l’an…)
Après avoir vécu près de dix ans au Moyen-Orient, Mathias Enard s’est installé à Barcelone sans pour autant renoncer à son tropisme puisqu’il y a enseigné l’arabe et ouvert un restaurant libanais à l’enseigne de « Caracalla ». Sa boussole est une copie de celle de Beethoven offerte par la Sarah de son coeur. Beau cadran, belle rose des vents, beau couvercle. Sa particularité : elle a perdu le Nord, ce qui est fâcheux pour un tel instrument. Toujours à l’Est, direction dans laquelle sont orientées les églises européennes, ce qui est original pour un propriétaire qui semble, au terme de cette nuit d’insomnie, assez à l’Ouest. On aura compris que la boussole du titre, incorporée à son tapis volant, est aussi désorientée que le sont le narrateur et son amie de cœur. Ils ont perdu l’Orient. D’où cette déclaration d’amour à ce qui n’est plus.
(« Des migrants africains à Djibouti cherchent une connexion pour tenter de capter un signal un signal moins coûteux de Somalie » photo John Stanmeyer, World Press Photo en 2014 ; « Ctesiphon, près de Bagdad, 1950 » photo Henri Cartier-Bresson)
727 Réponses pour « Boussole » : attention, grand livre !
En plus, c’est bien dans l’air du temps…
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…il y a, tout de même, un sens aigu, dans l’angle de la vie,!…
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…pour résumé, ma perpétuelle quête, dans l’imagerie publicitaire exposée,…
…et, avec les images de dévotions pour les publicités des églises, baptêmes, fêtes,…
…toute cette administration, pour nous sermonner d’impôts de grâces,!…ensuite ces curiosités de couples divers enlacés nus,!…
…l’école des premiers pas en deux mouvements,!…
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…enfin, le plus important, » penser » la photographie, sa technique avec ses infinités de couleurs,!…penser le document, la scène,…par l’image à projeter sous les yeux de l’éternité,!…
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…toujours est’il que le parcourt,…est » un « ,!…choisis dans la continuité,!…la photographie depuis les origines,…les chercheurs successifs, à travailler sur cet » art « , technique,!…
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…mais, aujourd’hui, comment, refaire pour chacun des autres,…mon parcourt,…à transmettre,!…cette science augu, des sensibilités à l’oeuvre,…déjà à l’argentique, mais aussi, créatrice appliquée pour en appliquée les reliefs,!…les gravures,!…les charmes,!…
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…une étendue d’applications dans la vie courante, la photographie au cerf-volant,!…
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…une véritable bibliothèque d’astuces,!…
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…le sens aigu de la recherche,!…
…toute la technique de la photographie, une véritable et vraie Bible du raisonnement en lumières, et ses développements en chambre noire en tous sens,!…à laver et à fixé…( William Henry Fox Talbot ),!…
…pour en arriver à la couleur par les frères Lumières,!…çà ne s’invente pas,…
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…et, comment, la photographie avant le numérique, n’est pas,…un art enseigné de première,…avant les religions, d’ou qu’elles viennent politisés,…aux panier du banquier ou autres parasites à l’endroit,…
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…la photographie, depuis les origines, une grande technique à enseigné, comme une autre religion des hommes face à l’éternité,… …parmi les autres techniques,…du plus, aux facilités des productions manufacturières en distributions,!…etc,!….
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Widergänger dit: 31 août 2015 à 23 h 00 min
Amélie Nothomb (elle le raconte dans trois de ses bouquins, paraît-il) passait son temps à changer les dates des calendriers quand elle était au Japon, dans son travail dans une entreprise.
Oui, cela ça me dit réellement quelque chose, et je crois qu’il y en avait tout de même un bon paragraphe ; la poubelle peut-être aussi, j’ai dû penser « corbeille à papiers », ce qui édulcore pas mal.
Bon je rentre à la base…
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…enfin,…mettre mon texte sur la technique photographique,…en modérations,!…
…qui est ,!…au guidon,…la bonne,…du bon repos,!…etc,!…
…faut pas pousser,!…etc,!…le compas à l’excentrique,!…à main lever,!…à la flamme du Q…à la romaine,!…à optimaliser,!…c’est tout le miniaturiste à ses heures à leurres,!…
…jamais sans châteaux aux sens milliardaire de toujours,!…etc,!…compter les atomes des mouches,!…Ah,!Ah,!…etc,…
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Ce que dit Perec par exemple sur la lecture dans Penser/Classer me paraît typique d’une façon de penser autistique parce qu’elle souligne la difficulté du processus de lecture comme les autistes par exemple en mathématiques ont du mal à expliciter la démarche pour trouver un résultat qu’ils trouvent mais sans savoir dire comment. Là, dans cet extrait, Perec se concentre précisément sur tout ce qui, dans le processus de lecture, touche le corps, le regard, etc. qui permettent « l’acte » de la lecture :
« Lire est un acte. Je voudrais parler de cet acte, et de cet acte seulement, (…) quelque chose en somme, comme une économie de la lecture sous ses aspects ergologiques (physiologie, travail musculaire) et socio-écologiques (son environnement spatio-temporel) (…). Ce qu’il s’agit d’envisager ce n’est pas le message saisi, mais la SAISIE DU MESSAGE, à son niveau élémentaire, ce qsui se passe quand on lit : les yeux qui se posent sur les lignes, et leur parcours, et tout ce qui accompagne ce parcours : la lecture ramène à ce qu’elle est d’abord : une précise activité du corps, la mise en jeu de certains muscles, diverses organisations posturales (…). » (P/C, p. 110-111)
La complexité de lire correctement ce genre de texte, c’est qu’il a l’apparence d’un texte très abstrait, très théorique sur la lecture alors qu’il repose essentiellement en réalité sur une vaste problématique, à la fois conscient et inconscient, du rapport au monde dans cet acte qu’est la lecture, de l’accès possible ou pas au monde par l’acte de lire.
On voit, à mon sens, à quel point, ici, il explore toute la problématique autistique qui n’est qu’une conséquence du trauma lié à la Shoah. Il en est de même dans le rapport aux objets dans Les Choses. On voit alors le décalage énorme entre ses efforts d’écrivain, la construction à l’aveuglette d’une authentique poétique révolutionnaire et créatrice et ce que le commun des lecteurs de l’époque (à mille lieux évidemment des problèmes d’autisme) peut en percevoir et en comprendre. D’où ces tragiques malentendus de lecture comme ce que Nourissier était capable d’écrire comme ânerie critique au sujet des Choses lors de sa sortie, en disant (reproduisant précisément ainsi le trauma de l’exclusion des Juifs de l’identité française) que ce roman n’appartenait pas à la littérature française. C’est affreux quand on y pense !
Et puis il faut voir comme ces textes de Perec sont savamment et très méticuleusement construits, utilisant à l’occasion tous les ressorts de la rhétoriques qu’il avait appris en suivant les cours de R. Barthes à son séminaires de l’EHESS sur les objets qui donneront Les Mythologies. Ici, par exemple il utilise le chiasme (n’est pas le message saisi, mais la saisie du message). On trouve la même rhétorique dans les films de Godard, qui, à mon avis, relève aussi de la problématique autistique. Je trouve qu’il y a de grandes ressemblances entre les bouquins de Perec et un film de Godard comme Deux ou trois choses que je sais d’elle qui pose toute la problématique explorée par Perec dans Espèces d’espace, publié d’ailleurs dans la collection dirigée par Paul Virillo sur l’urbanisme et l’architecture, qui sont exactement les problèmes aussi que posent Godard dans ce film sur les banlieues en construction à l’époque. Il est intéressant d’ailleurs à ce sujet de constater que Perec n’aimait pas les films de Godard. Il s’en sentait sans doute trop proche.
La figure rhétorique du chiasme ressortit, à mon humble avis, du problème du Moi-peau, que Didier Anzieu a découvert. Un chiasme, c’est comme un gant qu’on retourne. C’est lié à la problématique du corps : intérieur/extérieur du corps. Alors avec la rhétorique, on peut jouer à retourner la peau de son propre corps/ de son corps propre. Ç rassure, ça fait tomber l’angoisse. À mon avis, c’est aussi ce que fait Paul Celan en tripatouillant la langue allemande avec des jeux d’allitération et d’assonance où il retourne les lettres dans des jeux chiasmiques (ex : er/re, usw.)
…
…la première des médailles à épingler sur le vif, donc,!…des candidat(e)s en casting,!…
…
…suivant, sans épingle à cheveux,!…of course,!…etc,…
C’est un grand avantage d’être un simple, un innocent, un sportif, un amoureux, un bon homme, instruit, curieux, actif, mais pas trop … Un lève tôt !
Cela permet de « dire » sans – les universitaires me font rigoler avec leur « argumenter » – avoir à démontrer l’indémontrable fatras des point de vue.
Car le monde des littéraires, des artistes, des politiques, est illogique et se trompe à vouloir « argumenter ». En mathématiques, on démontre, en physique on expérimente, dans la vie, on choisit et on se trompe. Aucune honte à avoir.
Tout ça pour dire :
Un, la photo d’illustration est tout, sauf belle. Une horrible m.erde propre. Sans odeur. Sans aucune signification. Aucun sens. Un attrape cou.illon Télérama : suivez mon regard… NULLE.
Deux, instinctivement, un pauvre type comme Mathias Enard, par l’imbécillité de ses idées, la confusion de ses gouts, l’indigence de ses réponses à l’interview donné en lien va rejoindre les pitres littéraires de notre temps : Musso, Lévy, Angot, Liberati, Reinhard… Bienvenue au CLUB. Bref, le monde des auteurs nuls que DOIT fréquenter notre cher Passou pour son job…
Comme je le plains !
Dans les grands pins maritimes de notre jardinet se sont tues les dernières cigales .
Enfin !
On va pouvoir, sur la terrasse, réentendre des concertos pour violon et orchestre, sans chœur de cigales en rut venant faire chillier le mélomane …
Les fourmis continuent à s’agiter en tous sens, préparant l’hiver.
(ne pas chercher de métaphore, merci)
Nager longuement dans les flots de notre mer enfiévrée à 25°, splendeur peuplée de rares méduses, est aussi inquiétant que de prendre un train de banlieue en Seine Saint-Denis ou un Thalys.
La France a peur …
De toute notre âme, rendons hommage à ce gouvernement socialiste dont les vertus sont si remarquablement incarnées par les ministres de la diversité visible, noire ou bronzée, fiertés de nos enfumeurs politiques.
Pour Najat Belkacem, admiration des missionnaires intraitables de son Ministère, petits soldats à ses ordres persuadés qu’ils incarnent le camp du bien contre l’égoïsme de classe et refusent de voir leur folie criminelle.
Toutes nos félicitations aux crétins niveleurs !
Elle réussira, là où d’autres ont échoué. Va pour l’égalité ! Supprimons l’enseignement des disciplines exigeantes, langues anciennes, latin, grec, etc, qui crée de l’inégalité entre les bons et les mauvais, qui enseigne l’effort, l’exigence, la noble vertu du penser.
Nous arriverons à l’égalité totale, nom de dieu !
Par le bas.
Quittons nous sur une source de joie, pure et sans mélange : nommer une musulmane marocaine comme responsable de la laïcité dans l’Education Nationale, c’est BIEN !
Ceux qui, fascistes, racistes, islamophobes, tenants d’une extrême droite infecte, proclament que cela revient à engager un éléphant comme magasinier dans un magasin de porcelaine, sont d’ignobles salauds !!!
Le départ des touristes rend le pq encore plus affligeant
JC elle est trop bien pour toi ! faut te faire une raison au lieu de chercher à l’avilir, grandis un peu
Il est exact que pour une raclure comme JC, gnome porquerollais sans passé, sans avenir, sans espoir, sans religion, haute-contre du chant humaniste, emballer une musulmane marocaine aussi belle que nulle, c’est le top à scooter. Christiane va envier cette rivale potentielle !…
la vie dans les bois dit: 31 août 2015 à 23 h 05 min
« ses vidéos elles font 2 millions de vues. »
« la vie est une symphonie de Mahler, elle ne revient jamais en arrière, ne retombe jamais sur ses pieds »
La bêtise est dans le monde et elle fait son travail merveilleusement bien.
Il faut lire avec la plus extrême attention « Soumision », le magnifique roman de Michel Houellebecq. Il démontre, de la façon la plus convaincante, à quel point l’Islam, religion de paix, de douceur, de justice et de tolérance, dès lors qu’elle est pleinement dominante, répond aux besoins fondamentaux, métaphysiques, moraux, sociétaux, économiques, de la France (et de l’Europe). La fécondité des familles musulmanes, jointe à l’afflux irrépressible de migrants, pour la plupart musulmans, feront sauter les ultimes dérisoires résistances d’un judéo-christianisme en pleine déconfiture et d’une idéologie démocratico-droits de l’homo-laïco-républicaine qui n’est qu’une bouffonnerie incessamment contredite par la réalité des faits. Allah Akbar ! Convertissez-vous, mes amis, et fissa. Quant à moi, j’ai plus d’une longueur d’avance sur vous, ayant prononcé ma profession de foi depuis près d’un lustre. Encore une fois, lisez « Soumission » : tout l’argumentaire en faveur d’une France islamique s’y trouve. Qu’il est loin le temps où Houellebecq déclarait l’islam la religion la plus conne de toutes. C’est plutôt le contraire aujourd’hui. Vive le grand Houellebecq, prophète des temps nouveaux !
…
…la programmation des mouvements sur l’échiquier de la journée,…
…à nos intervenants,…comme à des jouets mécaniques,…remonter dès le matin, les slogans du jour,…
…
…en attendant, les bombardements sur les forces des rebelles islamistes – incultes, de se faire enterrer, vivant sous leurs poussières d’or de soumis lèche-culs,…
…à la solde des abrutis, de l’eldorado aux Euros,!…en diversions,…
…par ici, les migrants du » bordel » diplomatique, des forces à l’€ , sous le joug à l’U.S.A.,…des plans pour » gangstérisme mondialisé « ,…
…t’à les bombes, à revendre » gratis « , avec le Dachs nouveau en Bonux,!…
…vous pouvez rire, du monde diplomatique, de la merde soumise,…l’hérésie de nos élites,!…Ah,!Ah,!…
…sans morts à crédit,…elle est bonne aux vierges mécaniques en changer les filtres à canons,!…
…la reine of gladiator, pousser charrette,!…etc,!…
…colis de merdes,!…les histoires cochonnes en économies politiques,!…pour nos lobbyings,!…du net au beurre,…
…tourner la manivelle,…de l’or en barres,!…etc,…facial,!…
…suivants,…castings,!…aux leurres à se mettre,…sur papiers glacés,!…Ah,!Ah,!…
…
Résumons….., JC….. = pire qu’Alain Soral et Valeurs dites actuelles : de la propagande facho
Cette photo d’H-C. Bresson éveille l’histoire d’une ancienne ville parthe, Ctésiphon, située sur la rive gauche du Tigre, à 30 km au sud-est de la ville actuelle de Bagdad. Les archéologues éprouvèrent de grandes difficultés à la retrouver dans l’ensemble des tells qui se dressaient dans la région. Sachant aussi que le Tigre avait varié au cours du temps, il reste encore quelques doutes sur sa localisation exacte. La ville s’étendait sur 30 km2. Son seul vestige resté visible est la grande arche Taq-e-Kisra et l’aile sud de la façade . Cette voûte en briques de 30 mètres de haut (iwan), est le vestige du palais du roi perse Shahpur 1er (224-241), ou, selon d’autres historiens de celui de Khosrau Ier (531-578). Construit avec du simple mortier de gypse et des briques cuites carrées, ce gigantesque iwan semble défier les lois de la physique, il donne une impression de force et d’extrême fragilité. En 1909, lors d’inondations, la partie Nord s’est écroulée, il ne reste que l’aile sud de la façade. Au cours des siècles, lors de guerres d’invasion nombreuses en ce lieu, un incendie détruisit les immenses bibliothèques parthes en araméen, contenant tout le savoir de l’empire sassanide.
Pourquoi Pierre Assouline l’a-t-il choisie pour accompagner la présentation de ce roman de M. Enard ? La réponse est certainement dans la lecture de Boussole… mais l’entretien mis en ligne en donne déjà une idée…
8 h 23 : JC écrit « Christiane va envier cette rivale potentielle »… que pense-t-elle donc de son ami JC ?
Clopine, je viens de terminer la lecture de « En finir avec Eddy Bellegueule », qu’à la suite de Passou, vous aviez été la seule à défendre ici !
A juste titre, selon moi, car c’est assurément un livre marquant de l’année littéraire qui s’achève. Qui, à défaut de prix, a été largement plébiscité d’ailleurs par les lecteurs : impossible d’y mettre la main dessus en bibliothèque, j’ai dû attendre de pouvoir l’acheter en poche…
Oui, un livre où la forme répond au fond, ainsi que vous l’aviez longuement écrit ici même, sous les lazzi de M. Court, qui ne l’avait probablement pas lu ?
Diable, Christiane, soirée diapos de vos voyages clio allincluded sur l’euphrate ?
L’Orient est toujours de mode. Après un peu d’humanitaire, Enard s’installe à Barfelona et ouvre son bar à tapas. Comme Littell, moins le jacuzzi.
Les temps des Bouvier-Vernet sans le sou au départ comme à l’arrivée est loin. Question d’usage du monde diront certains.
@Phil dit: 1 septembre 2015 à 9 h 57 min
Phil,
vous avez la langue prompte à manier l’ironie, ici et ailleurs.
Pensez ce que vous voulez de ma recherche. Cette magnifique photo d’HCB le méritait bien.
De plus, je garde un bon souvenir de Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants de M. Enard et malgré le persiflage facile, lisible dans beaucoup de commentaires,ici, je reste très intéressée par ce roman (non lu encore mais il n’y a pas d’urgence).
Donc oui, je ne connaissais rien de ce site, de cette ville. J’ai cherché sur internet, tu ce qui aurait fait polémique et qui n’est étayé par aucune parole d’historien et retenu deux indications : un palais qui contenait une fabuleuse bibliothèque maintenant DISPARUE et des ruines dont cette voûte impressionnante que le temps finira par anéantir si ce n’est des actes volontaires…
Bien d’accrd avec vous, Christiane. La photographie de Cartier-Bresson est réussie et emmène les esprits complices jusqu’aux ruines des thermes de Caracalla.
Loin de la volonté déclamatoire de la précédente.
Cartier-Bresson est de la même époque que Bouvier.
Attila dit: 1 septembre 2015 à 9 h 54 min
La concierge qui à la lecture ne sait pas reconnaître un éléphant d’une souris veut croire que son avis intéresse.
Que nenni.
Et puis autant l’avouer mieux vaut un M. Court que mille Clopine.
1000 Clopine !!!!
C’est où l’orient ?
Urgence.
Oui, Attila, la volonté de Louis d’accompagner chaque souvenir d’une explication sociologique fonctionne dans « En finir avec Eddy Bellegueule » – et le voisin-ami-copropriétaire de Beaubec, éducateur spécialisé de son état, s’en est emparé pour animer des réunions (il travaille pour les enfants fracassés placés en famille d’accueil, alors, les familles Bellegueule, il connaît quelque peu…)
Rien que cela devrait donner un peu de respect, ici, pour ce livre remarquable – mais non. Les beaux esprits du lieu se sont soudés en bloc pour vitupérer contre le « jeune homosexuel provocateur imbécile » qui ose briser les tabous…
Bon, après, Edouard Louis a, c’est vrai, déconné grave quand il a tenté d’empêcher une vieille barbe réactionnaire d’animer un congrès. On ne combat pas une opinion en tentant de couper une langue.
Mais le courage et l’acuité intellectuelle dont « en finir avec Eddy Bellegueule » témoigne sont remarquables, ça c’est vrai.
@coup de froid dit: 1 septembre 2015 à 9 h 27 min
Pour vous répondre une question : avez-vous un ami ? Savez-vous ce qu’est un AMI ?
JC n’est pas mon « ami »,( bien qu’ayant employé ce terme avec humour, ailleurs). Il me faudrait du réel, du temps, de l’écoute, des longues conversations pour entrer au seuil d’une amitié avec JC, loin de tout ce cirque et cela n’a pas eu lieu.
Ses post sont souvent provocants, racistes, idiots répondant à d’autres posts provocants, racistes, idiots. Sergio, qui semble bien le connaître pense que c’est un gars « bien », qui s’amuse ici à déverser l’innommable comme des galopins jettent des boules puantes dans des lieux de passage. Un illusionniste qui tirerait une ribambelle de caricatures de son chapeau. Un pantin aux allures d’extra-terrestre. Un aphasique que la bêtise humaine a rendu incapable d’être sérieux et vrai. La lyre lui fait problème…
Batailles donc, dignes d’une toile de J. Bosch (comme le panneau de droite du « Jardin des délices »).
Je viens ici pour écrire quelques mots en lien avec un billet de P.Assouline. La saison veut que les derniers soient voués à la rentrée littéraire. Celui-ci évoque le travail de M. Enard. Lu deux livres de lui. Ai retenu le premier (ici cité). J’ai du respect pour cette écriture, pour le travail intense qu’elle représente. Par ailleurs l’Orient, bien que mis à feu et à sang ces dernières années est le berceau de belles civilisations.
Un de mes livres de chevet est Esquisses de mythologie de G. Dumézil (Quarto Gallimard) Les mondes culturels se sont rencontrés, entremêlés à travers leurs mythes et par le brassage des peuples. C’est un grand souffle d’air pur (oui, on peut respirer dans les livres…) et l’écriture paisible des mémoires de ses carnets de fouilles que nous offre ce grand historien (un demi-siècle de recherches) est un régal. C’est un conteur aussi. (comme M.Enard).
Un beau voyage à parcourir à saute-livre puisqu’il y a cent esquisses réparties sur quatre volumes.
Délicieux droit de grappiller, donc ! (comme ici)
@Phil dit: 1 septembre 2015 à 10 h 24 min
MERCI
« Vraie rentrée » (scolaire), aujourd’hui.
Not’bon Maître à nous, ici, dans le poste.
Il dit la spécificité française de la rentrée,
littéraire celle-là, et revient, au passage,
et au prétexte (?) d’inventorier les émissions
encore consacrées aux livres, nous vendre
le bon vieux temps d' »Apostrophes ».
La rentrée donc, occasion de caser de l' »Asperger »
(syndrome) à toutes les sauces ?
En laissant de côté le cercle géopolitique très avancé
qui professe des solutions aussi radicales que géniales
à longueurs obsessionnelles de commentarium,
ce dernier recueille quelques reliefs
d’un romantisme en mal de survie
dans un monde où ses ruines
(ne) s’écroulent (pas toujours naturellement).
Deboussolidement.
10 h 45 min
« cela n’a pas eu lieu. »
il vous a proposé sa bécane rose plus d’une fois, en vain
« Ses post sont souvent provocants, racistes, idiots répondant à d’autres posts provocants, racistes, idiots. »
c’est un c.nnard qui n’a rien de mieux à fo utre , les autres tentent d’arrêter ses flots d’immondices, qu’il trouve si drôles, et finissent par l’ignorer
Quelles que soient mes convictions personnelles et l’enthousiasme que j’ai manifesté dans un post « en attente de modération » (je me demande bien pourquoi), j’insiste sur le fait que le roman de Michel Houellebecq, « Soumission », contient tous les articles d’un argumentaire cohérent et séduisant en faveur d’une islamisation de la France par des voies, autant que possible, pacifiques. La question que je me pose est celle de savoir quelle est la position personnelle de Houellebecq dans cette histoire car, de fait, je n’ai pas trouvé trace d’une argumentation opposée à celle défendue dans le roman, notamment par l’universitaire Robert Rediger (métamorphose narquoise de Robert Redeker dont les position islamophobes sont connues), initiateur et mentor du narrateur dans son chemin vers la conversion.
« contre le « jeune homosexuel provocateur imbécile » qui ose briser les tabous… »
Clo-Clo
est-il possible de lire une phrase aussi débile ailleurs que sous le clavier de la Brayonne ?
J’en doute.
Remarquez que ça marche aussi avec Onfray en remplaçant homosexuel par philosophe.
thomas dit: 1 septembre 2015 à 11 h 02 min
les autres tentent d’arrêter ses flots d’immondices, qu’il trouve si drôles, et finissent par l’ignorer
Manifestement quelques soient vos multiples pseudos :
Vous n’arrivez pas à l’arrêter
Vous n’arrivez pas à l’gnorer.
Zoon: « La question que je me pose est celle de savoir quelle est la position personnelle de Houellebecq dans cette histoire »
Mon cher Zoon, une remarque aussi stupide m’étonne de la part de quelqu’un dont la culture égale celles de WG, de Court, de Hamlet ou de Bloom…
Si la position personnelle de Houellebecq se manifestait dans son roman , ce ne serait plus de la littérature mais un ouvrage de propagande sans intérêt.
@thomas dit: 1 septembre 2015 à 11 h 02 min
Si un être avait quatre-vingt-dix-neuf côtés mauvais, il faudrait le regarder par le centième qui est bon…
« barbe réactionnaire d’animer un congrès. »
Parlez-vous de Marcel Gauchet, Clopine?
D’éviter les clichés c’est de toute évidence trop vous demander.
La philosophie c’ est tout le contraire de ce laisser-aller de la pensée qui se traduit par un vocabulaire imprécis, inadéquat.
à Attila 9 h 54 « les lazzi de MCourt » : bien vu, si le livre avait été écrit par EDOUARD de BELLEGUEULE, cela aurait été différent
Non Clopine, Marcel Gauchet n’est pas une « une vieille barbe réactionnaire ». C’est un intellectuel de première grandeur respecté à droite comme à gauche…
Votre protégé n’a fait que révéler sa profonde médiocrité.
Madame de Valognes dit: 1 septembre 2015 à 11 h 27 min
Rappel :
Changement d’identité dit: 30 août 2015 à 21 h 07 min
Cécile Baie dit: 30 août 2015 à 20 h 04 min
Tiens, Mme de Valognes est passée à la trappe.
Trop gourde ?
Cécile n’a pas l’air mieux
Retour de Mme de Valognes (prénom Cécile ?)
Une gourde reste une gourde.
Si la position personnelle de Houellebecq se manifestait dans son roman , ce ne serait plus de la littérature mais un ouvrage de propagande sans intérêt.
Bien entendu, et j’ai moi-même insisté sur le fait que le roman n’est aucunement un roman à thèse, encore moins une oeuvre de propagande. Si je me pose la question de savoir quelle est la position de Houellebecq à l’égard d’une éventuelle islamisation de la France, c’est qu’effectivement il se garde bien de la faire apparaître dans son livre (je suppose qu’ayant longuement réfléchi à la question, comme le montre son livre, il en a une). A ma connaissance, Houellebecq, bien que peu avare, ces temps-ci, d’interventions dans les médias, ne s’est pas expliqué sur ce point, et n’a d’ailleurs même pas été incité par les journalistes à le faire.
Si je me pose la question de savoir quelle est la position de Houellebecq à l’égard d’une éventuelle islamisation de la France, c’est qu’effectivement il se garde bien de la faire apparaître dans son livre (je suppose qu’ayant longuement réfléchi à la question, comme le montre son livre, il en a une).
Ecrivant ces lignes, j’avais complètement oublié l’excellent billet d’Assouline intitulé « Houellebecq subversif et irresponsable comme jamais « . Il y aurait beaucoup à dire sur cette vertu cardinale de l’écrivain de fiction qu’est, à mes yeux, l’irresponsabilité.
Je ne pense pas que Houellebecq ait sur l’islamisation de la France une position personnelle, ni claire. Il s’en fiche complètement. Le thème de l’islamisation n’est en vérité qu’un prétexte pour tirer sur nos élites qu’il montre prêt à « collaborer ». C’est d’ailleurs un vieux thème français…
Il n’a pas tort. Mais cela fait-il pour autant de la bonne littérature ? On peut en douter. Meilleure est la littérature sur les « collabos » d’hier (Patrick Modiano). Mais il est clair, à mon avis, que les élites françaises sont prêtes aujourd’hui comme hier à trahir la France et le peuple.
Enfin, « Soumission » sonne comme « collaboration », et le narrateur semble trouver bien des avantages à un accès au pouvoir vous permettant d’avoir, chez soi, deux femmes, une pour la cuisine et une pour le lit…
Néanmoins, l’auteur, après avoir dit que l’Islam est la religion… et avoir perdu son ami Bernard Maris tandis que lui-même était en pleine opération de promotion de son livre, se déplace désormais accompagné de gardes du corps : prions pour eux !
11 : 35, changement d’identité : Court reste Court
bien à vous
CF
Dans le commentarium,
les contribuables (= contributeurs aimables)
se réduisent à ce qu’ils écrivent.
Une fois ceci admis, de même
qu’il n’y a, ici, guère d’obligation
de coller au(x) thème(s) abordés
dans le billet de l’hôte,
le dépôt d’un texte
a lieu sans filet,
plus près du « speech »
au « Speakers’ Corner »
que de la conversation
de salon ou de la « party »
à son club.
Quelle que soit l’époque,
à quoi vivre expose-t-il le plus,
rixe de caniveau ou tournoi de chevalerie ?
Compalendeuillement.
Quel pourra bien être le nouveau sujet du prochain roman de Michel Houellebecq ?
Un roman sur l’émigration sauvage, dite clandestine : réfugiés politiques ou immigrés économiques ?
Oui, ça se pourrait bien, en effet, Attila/Attali prophète… C’est d’ailleurs un beau sujet de roman. Moi-même j’aimerais bien en écrire un sur les juifs polonais comme mon grand-père venus se refaire une santé à Paris.
Les problèmes actuelles de l’émigration sont sans communes mesures avec l’émigration du passé. Il s’agit aujourd’hui des carences de la construction européenne et des rapports nord/sud. Vaste sujet qu’il faut savoir « romantiser », comme dirait le Roman de la Rose…
Le consumérisme matériel et sexuel, thème de ses précédents romans, semblaient partagés par le narrateur ET l’auteur, non ?
Pas sûr qu’il y ait dichotomie entre le narrateur et l’auteur de « Soumission » ?
@On trouve la même rhétorique dans les films de Godard, qui, à mon avis, relève aussi de la problématique autistique. Je trouve qu’il y a de grandes ressemblances entre les bouquins de Perec et un film de Godard comme Deux ou trois choses que je sais d’elle qui pose toute la problématique explorée par Perec dans Espèces d’espace (jactance).
Nothomb, Perec, Enard, Barthes, Godard, Ansperger, Onfray…, tout cela reste un peu « problématique » et confusionnel en ce début de rentrée scolaire. Je plains les autistes de 5e qui ne connaitront pas l’analogie de la « problématique » des effrois du corps lisant en matière de penser-classer. Mais l’essentiel est que le corps enseignant toujours d’attaque, comprenne à leur place le vécu de la « problématique » des petits autistes.
Il me paraît impossible de dire que les réfugiés syriens ne seraient pas des réfugiés politiques. Ils le sont effectivement et la Convention de Genève doit être respectée. La France répugne à mettre en place de véritables camps de réfugiés. La France a peur d’apparaître aux yeux des Français et du monde comme un pays du Tiers-monde si elle le fait. La France/l’Europe préfère laisser crever ces malheureux dans des camions ou le long des routes ou des voix de chemin de fer. On est en train de perdre notre âme.
Le narrateur de Houellebecq c’est une sorte de Tintin reporter, mais un Tintin sexué, contrairement à celui d’Hergé : tout pour plaire ou déplaire à Passou ?
« Les problèmes actuelles de l’émigration sont sans communes mesures avec l’émigration du passé. »
Jolie phrase pour un jour de rentrée.
(11 h 53).
Est-ce à dire que les « élites »
aimant écarter leurs orteils
en éventail dans des palaces
ultraméditeranéens, voire
leurs palais ou ceux
qui leur sont prêtés,
seraient des viviers
de traîtres ramollis
en puissance ?
Aupoteautalement.
Enfin, « Soumission » sonne comme « collaboration », et le narrateur semble trouver bien des avantages à un accès au pouvoir vous permettant d’avoir, chez soi, deux femmes, une pour la cuisine et une pour le lit… (Attila)
Je ne vois pas le rapport avec la collaboration à laquelle Attila pense manifestement, puisque l’islam, depuis longtemps présent en France, est la religion d’un grand nombre de nos compatriotes. Il s’agit plutôt d’une extension du domaine de la conversion à l’ensemble de la population française, extension qui n’a rien de terrifiant, sauf pour les allergiques à l’islam. Par contre, Attila met le doigt sur un point qui me paraît essentiel, et que le livre suggère fortement : le rôle des élites (ou supposées telles). Universitaire de qualité reconnue, le narrateur fait partie des élites, et, dans le roman, les Saoudiens savent ce qu’ils font en s’assurant la bonne volonté des élites intellectuelles de ce pays à coups de pétrodollars. C’est par la soumission venue d’en haut que se fera la France islamisée : après tout, le christianisme n’aurait peut-être pas triomphé sans la conversion de Constantin. Il importe donc que les élites impulsent le mouvement, et elles le feront sans difficulté si elles y trouvent leur compte (dans le cas du narrateur un salaire triplé, deux ou trois jeunes épouses etc.). Selon Robert Rediger, l’initiateur du narrateur (il me fait penser à un Vautrin policé) , la soumission à l’islam est la plus naturelle des solutions, tout simplement parce que la soumission est la recette de base de toute organisation sociale. En dépit de notre bravache devise républicaine, « Liberté, égalité, fraternité », regardez donc comment fonctionne notre société, dans tous les domaines. Sans la soumission, toute société se bloque, toute société va à sa perte. C’est la grande force de l’islam de l’avoir reconnu, en particulier en associant étroitement le politique et le religieux. Le fameux « Rendez à César… » du Christ est peut-être la plus grande erreur du christianisme.
Dans la série des livres que l’on ne lira jamais : la biographie autorisée de Michel Houellebecq par Passou !
A force de rabachages qui ont éliminé tous les autres sujets, la litanie des Français collaborateurs inonde les gondoles littéraires. Depuis dix ans le phénomène gonfle comme une baudruche, nos amis étrangers, souvent anglo-saxons, s’y mettant volontiers (Martin Amis).
Aucune fatalité, Catulle-Mendès, sorte de bhl de son époque resté coincé dans la comédie française, sitôt mort fut oublié, lui et son oeuvre.
C’est pas tant les orteils, le problème, que le désir de garder le pouvoir coûte que coûte. Et les privilèges qui vont avec s’entend.
Par « collabos », il ne faut pas seulement entendre ceux d’après 40, mais aussi ceux d’avant. Et l’armée qui a laissé entrer celle d’Hitler en France sans rien faire ou si peu. À part de Gaulle avec ses chars…?
Phil, vous oubliez que ce qui fait la différence entre Catulle-Mendès et Bhl, c’est que Bhl a de belles chemises blanches et une belle poitrine velue.
« en train de perdre notre âme. » WGG
propos subjectif et irrationnel.
Par l’armée française de 40, j’entends bien entendu les cadres, pas les pauvres diables comme mon oncle qui se sont fait choper à Dunkerque pour passer cinq ans dans une ferme en Tchékoslovaquie.
la différence entre Catulle-Mendès et Bhl,WGG
Plutôt Catulle-Mendès et Ph. Sollers.
« Il s’agit plutôt d’une extension du domaine de la conversion à l’ensemble de la population française, extension qui n’a rien de terrifiant, sauf pour les allergiques à l’islam. »
zoon, manifestement déjà fortement soumis ou candidat à la soumission-collaboration ?
Une infime minorité, Zon Zon ! 5 millions sur 60 ! Et en plus, la pratique religieuse est très variable. Beaucoup de dits « musulmans » ne pratiquent pas du tout. Donc, ce que vous dites ne repose sur rien.
L’islamisation de la France n’est qu’une joyeuse plaisanterie.
Quant au prochain « roman » de Christine Angot, de quoi, de qui parlera t-il ?
Ses amants, son père incestueux, sa mère retrouvée, autant de thèmes épuisés ?
Reste sa fille, Leonor !
Je constate que 9 mois après sa sortie, ‘Soumission’ continue à faire parler de lui tous les jours. Je pense qu’il y a là comme un symptôme intéressant à analyser, car à ma connaissance, aucun bouquin n’a jusqu’à présent aspergé sur la RDL une aussi longue logorrhée. La baudruche n’a pas vocation à se dégonfler ni MH à se voir si rapidement rangé au magasin des accessoires oubliés, n’en déplaise… En effet, qu’on le veuille ou non, MH est, sinon le, du moins l’un des plus grand écrivain français d’aujourd’hui. Et ce n’est pas la médiocre rentrée littéraire du moment qui va le contredire.
Zoon dit: 1 septembre 2015 à 12 h 13 min
extension qui n’a rien de terrifiant, sauf pour les allergiques à l’islam.
Euh, allergique à la religion c’est compris dedans ou il faut faire une demande spéciale de « non-extension » ?
Si ! Littell en 2006/2007.
Tout ça, ce ne sont que vos pauvres préjugés, mon pauvre Zon Zon ! MH est un écrivain à succès, très moyen. Beaucoup de bruit pour rien. En plus il a gagné deux flics. Bien fait pour lui…
Pour le prochain roman de Modiano, la question ne se pose pas…
Moi, je vois bien Angot parler de sa récente liaison avec Attila. Ça va donner…
Qui sait, Attila ? Modiano nobélisé nous réserve sans doute quelques surprises.
Bon, je dois vous quitter. Je vais faire connaissance avec Asperger… Trois heures par semaine d’Asperger, j’espère que je vais survivre…
La collaboration (ses hommes, son époque, etc..) est aujourd’hui le thème de recherche en histoire universitaire le plus fréquemment choisi par les têtes blondes de France.
Voilà une belle baudruche qui ne laissera que du vent dans les archives quand elle éclatera.
Motus, WGG, Christine et moi n’hésiterons pas à faire un procès à quiconque en parlerait !
Tout dépend de la façon dont en parlent les historien, Phil. Il y a à cet égard une guerrilla d’historien. Lire Lacroix-Ruiz…! Elle, elle en parle bien. Ce n’est pas forcément le cas des autres… si vous voyez ce que je veux dire…
Je sens qu’Attila va nous sortir un goût d’Angot…
En revanche, pour l’émigration clandestine, Le Clezio serait bien placé ?
Un « Lampedusa et autres contes » !
Que les jurés se soumettent ou pas, avec, entre autres, la une du Monde, de Libé et de Télérama, Christine Angot a pratiquement tiré à elle l’intégralité de la couverture du Goncourt.
Les tirages n’étant pas extensifs.
Raison pour laquelle j’anticipe d’ores et déjà sur la rentrée… 2016.
Ou extensibles !
Raison pour laquelle Passou tente de faire diversion à coup de Boussole ?
« Attila dit: 1 septembre 2015 à 12 h 30 min
Quant au prochain « roman » de Christine Angot, de quoi, de qui parlera t-il ?
Ses amants, son père incestueux, sa mère retrouvée, autant de thèmes épuisés ?
Reste sa fille, Leonor ! »
si elle ne s’est pas flinguée d’ici là.
Barozzi, les couvertures de septembre n’anticipent pas nécessairement le Goncourt…D’autre part « Boussole » s’inscrirait bien dans une démarche politique de remise en valeur d’un Orient de bisounours qui détournerait utilement l’attention des horreurs de l’Orient réel et de sa principale religion…
Tout est politique Baroze…
« Selon Robert Rediger, l’initiateur du narrateur (il me fait penser à un Vautrin policé) , la soumission à l’islam est la plus naturelle des solutions »
sûr que vous ne confondez pas avec Enard ?
Est-ce que toutes les boussoles
pointent vers le même pôle ?
En tout cas, tous les navigateurs
ne suivent pas le même cap
et c’est ainsi que des abordages,
accidentels ou pas, se produisent.
Gouvernaillement.
obs, n’avez-vous pas le sentiment que pour cette rentrée les jeux sont faits, la messe est dite, la fête est finie ?
« nous sortir un goût d’Angot… »
Un ragoût d’Angot rat, plutôt.
Toujours à l’Est, direction dans laquelle sont orientées les églises européennes, ce qui est original pour un propriétaire qui semble, au terme de cette nuit d’insomnie, assez à l’Ouest.
—
Un type à l’Ouest qui connait l’Est, perd le Nord et vit au Sud appartient à la grande famille des cosmopolites sans racines qui tient le monde sur ses épaules.
« obs dit: 1 septembre 2015 à 13 h 52 min
D’autre part « Boussole » s’inscrirait bien dans une démarche politique de remise en valeur d’un Orient de bisounours qui détournerait utilement l’attention des horreurs de l’Orient réel et de sa principale religion… »
surtout une façon pour le Goncourt d’effacer le « plantage Houellebecq » : Enard est plus « prévisible », avec lui il n’y aura jamais de mauvaise surprise.
Un Atlas couplé à une Cariatide, ça donne quoi, Bloom ?
Avec Angot et Houellebecq, cette année, les crédits d’achats de livres des ménages sont pratiquement épuisés : certes, politique, mais surtout économique, obs !
Quant aux à-valoirs des auteurs, hors les têtes de gondoles, ils sont tous en diminution sensible…
Un Atlas couplé à une Cariatide, ça donne quoi, Bloom ?
—
Un gigantesque pied de nez à Daech, Baroz, ainsi qu’aux néo-nazes de chez nous.
« Quant aux à-valoirs des auteurs, hors les têtes de gondoles, ils sont tous en diminution sensible… »
Les vôtres aussi Jacques? Quelle injustice!
Quant à savoir si les jeux sont faits pour la rentrée, j’y connais rien en vérité…
Essaie encore dit: 1 septembre 2015 à 11 h 15 min
Au cas où vous ne l’auriez pas encore remarqué je répondais à Christiane
christiane dit: 1 septembre 2015 à 11 h 20 min
@thomas dit: 1 septembre 2015 à 11 h 02 min
Si un être avait quatre-vingt-dix-neuf côtés mauvais, il faudrait le regarder par le centième qui est bon…
itler aussi était un être humain hélas
« réfugiés politiques ou immigrés économiques ? »
là on est en train d’assister à un exode, à des exodes plutôt
@thomas dit: 1 septembre 2015 à 15 h 11 min
Et pas que lui, hélas. Des grands prédateurs portent en eux l’énigme du mal absolu devant lequel aucun pardon, aucun oubli ne sont possibles.
Mais là, nous parlions du trublion, ne mélangeons pas tout.
zoon, manifestement déjà fortement soumis ou candidat à la soumission-collaboration ? (Attila)
J’ai senti le vent tourner au moment des attentats de janvier. N’ayant dès lors envie de jouer ni au Charlie ni au charlot, j’ai prononcé la formule rituelle d’allégeance à l’islam dès le 12 janvier; Enfin, c’est le bruit que je fais courir. Je me laisse même pousser la barbe. Deux précautions valent mieux qu’une. Houellebecq soit qui mal y pense.
JB « après tout, le christianisme n’aurait peut-être pas triomphé sans la conversion de Constantin. »
Conversion pour des raisons politiques
« la soumission à l’islam est la plus naturelle des solutions, tout simplement parce que la soumission est la recette de base de toute organisation sociale. »
Vous déraillez
la grande famille des cosmopolites sans racines
du wifi..un compte facebook..une cup de starbuk a la pogne..what else kabloom
Faut ce qu’i faut
WG
« passer cinq ans dans une ferme en Tchékoslovaquie. »
Des fois, dans ce genre de situation, ça se passait bien avec la fermière
Widergänger dit: 1 septembre 2015 à 12 h 37 min
« Moi, je vois bien Angot parler de sa récente liaison avec Attila. Ça va donner… »
Ah ouais , trop sympa !
epigenetique dit: 1 septembre 2015 à 13 h 51 min
» sa mère retrouvée, autant de thèmes épuisés ?
Reste sa fille, Leonor ! »
si elle ne s’est pas flinguée d’ici là. »
C’est vrai qu’elle est solide
(et ses parents, se sont pas flingués ?)?)
Conversion pour des raisons politiques
y ce srait bien fait juif..mais pouvait pas..et voilà pourquoi ta fille est muette et que saint paul mangeait du cochon
Attila dit: 1 septembre 2015 à 14 h 33 min
Avec Angot et Houellebecq, cette année, les crédits d’achats de livres des ménages sont pratiquement épuisés
Ah, parce que les « ménages » achètent Angot et Houellebecq ?
Pauvre baroz, à cette époque ils ont déjà du mal à acheter les fournitures scolaires de leurs enfants, alors Angot !!!
Ceux qui lisent Angot
bouguereau dit: 1 septembre 2015 à 15 h 32
ce quya de bien dans tout ça c’est que tout s’explique
la soumission est la recette de base de toute organisation sociale
..avec le secret espoir de régner un temps sur les siens comme dans les ghettos..trés vieille recette romaines
ce quya de bien dans tout ça c’est que tout s’explique
..tu raisonnes comme le dernier homme..y’a dla route pour tes momes..si t’en as et si t’en as cure
Suite.
, enfin qui achètent le livre (légère différence) ne peuvent se contenter de lire aussi Houellebecq, sinon ils se remettent immédiatement et définitivement à Placide et Muzo.
..trés vieille recette romaines
pilate a été une figure de saint trés populaire dans les églises primitives
y’a dla route pour tes momes..si t’en as et si t’en as cure
façon de parler.. »famille je te hais » qu’il disait l’agité..premier lieu de la soumission pour le petit d’homme?
Enfin, c’est le bruit que je fais courir. Je me laisse même pousser la barbe. Deux précautions valent mieux qu’une
la vraie soumission ne se singe pas facilement jean marron..on ne te demandera pas seulement de dénoncer beaucoup de tes voisins..là il sagit de sauver ton âme, faire croire qu’on en a une c’est pas qu’un ptit boulot à la dracul
Soumillioration ça irait pas ? C’est pas bien facile… En attendant on peut réhabiliter le chef de bloc… Faire le ménage au Lutetia recreuser les caves… Rebaptiser la rue Lauriston… Faut pas croire que c’est une sinécure, qui nous attend ! Les fils de fer de la ligne de démarcation où qu’on les a mis ?
Des fois, dans ce genre de situation, ça se passait bien avec la fermière
..et dracul srait un homme libe..ça a du mal se passer
sergio sache que trop de liberté fait honte aux autres..faut montrer quelques attaches, au moins à samsung 5 pouces comme phil..faut attende minimum jusqu’a octobe pour la phablette octocore sinon dans le metro on te met en pièce
la Norvège n’a pas perdu la boussole : au lieu de construire des prisons ils renvoient leurs immigrés en Hollande :
http://www.liberation.fr/monde/2015/08/31/la-norvege-exporte-ses-prisonniers-aux-pays-bas_1372860
»famille je te hais » qu’il disait l’agité
marrant qu’jai tellement politisé..c’est l’pédo naturliche hé..cqui a de bien c’est que tout s’esplique comme dit tonton..et il a raison..putain l’heure!..à bientôt
à toute à l’heure, bougreau. Sartre écrivait moins bien que Gide, qui ne voulait pas du mariage pour tous. Enfin, y’a plus urgent que les barbus du marais, les frontières craquent. Même Gide n’aurait imaginé que les bédouins débarquassent rue Vaneau.
fanfan la tulipe dit: 1 septembre 2015 à 16 h 12 min
la Norvège n’a pas perdu la boussole
Ha ben la voià l’idée… On les laisse passer jusqu’au pôle nord ! Havec des panneaux… On en récupère de Narvik ! Avec un peu de pot y en a qui essaieront encore de s’embarquer on les retrouvera dans le Maëlstrom…
« et dracul srait un homme libe. »
il aurait peut-être même pas fait prof de littérature si ça se trouve
bouguereau dit: 1 septembre 2015 à 16 h 09 min
faut montrer quelques attaches
Boh faut pas trop d’illusions y a déjà l’oxygène qui reste ici au lieu d’aller dans l’Espace si on veut y aller aussi ça sait pas quoi faire pour entraver l’initiative individuelle zet collective…
Et alors si on y va, dans l’Espace, les mecs des soucoupes i vont nous prendre pour des migrants on aura l’air fin… I croiront rien à nos esseplications ! Comme un agent, quoi…
.là il sagit de sauver ton âme, faire croire qu’on en a une (Bouguereau)
Faire croire que j’en ai une, c’est vraiment l’enfance de l’art. Je n’ai pas médité le « Dom Juan » de Molière (acte V) pour rien.
« …bédoins débarquassent rue Vaneau »
Barcasse: grosse barque , mauvais bateau.
Phil est fichtrement subtil…et ça rame! euh… ça rime.
l’est bien fatigué le bouguereau à nous resservir ses vieilles formules éculées, rapiécées, ravaudées, écrites il y a bien longtemps et qu’il ressort de son catalogue de la redoute d’avant-guerre, du temps où il avait encore toute sa têêêêête, pasque maintenant c’est tristounet et bien rance
A propos d’ Eric Chevillard, sur son blog, qui s’en prend à Patrick Besson comment ne pas penser à ce que notre cher Honoré de Balzac écrivait dans «Les illusions perdues » :
« Il goûta pendant cette matinée l’un des plaisirs secrets les plus vifs des journalistes, celui d’aiguiser l’épigramme, d’en polir la lame froide qui trouve sa gaine dans le cœur de la victime, et de sculpter le manche pour les lecteurs. Le public admire le travail spirituel de cette poignée, il n’y entend pas malice, il ignore que l’acier du bon mot altéré de vengeance barbote dans un amour-propre fouillé savamment, blessé de mille coups.»
Notre chère Christiane, partie depuis longtemps, sur les chemins de Compostelle de la Vaste Culture, me fait toujours penser à quelqu’un qui porte une brassée de cierges sous le bras pour les mettre, dans les chapelles, sous ses saints préférés, ces temps ci elle lit les missels Deleuze et Blanchot. Ses post ressemblent à des agenouillements de religieuse.
Fortunata dit: 1 septembre 2015 à 17 h 39 min
A propos d’ Eric Chevillard
Mais non, aucun propos à propos d’Eric Chevillard.
Laissons-le dormir en paix et qu’il continue à regarder Ruquier pour donner son avis à Clopine.
17h39 17h49
Pourquoi changez-vous de pseudo ?
« Ses post ressemblent à des agenouillements de religieuse. »( 17h49)
Daafnaze toujours aussi charmante
l’univers des fans dit: 1 septembre 2015 à 17 h 58 min
Tiens un disciple de Barozzi, il voit des ombres partout.
De Vincent Noce, Journal des arts, 3 Juillet qu’on a connu plus inspiré, à propos de Jean Zay:
« Le portefeuille de l’Education, que lui confie Jaurès en 1936 »
Saint Jacques de Compostelle ça dépend y a aussi les supporters de La Corogne à côté ! Pour les agenouillements faut pas se tromper de vestiaire…
Mais après y a plus rien, hein ! Si les migrants y vont ça fera comme sur la photo…
++ j’ai moi-même insisté sur le fait que le roman n’est aucunement un roman à thèse ++
Risible ! Vous devez être le seul au monde à n’avoir pas vu que Soumission était un roman à thèse à prendre avec le plus grand sérieux. Les touches d’humour ne sont là que comme des leurres destinés à rassurer les critiques du Masque et la Plume qui chient dans leur froc à la perspective d’une France islamiste.
Quant aux positions de Houellebecq, elles sont archiconnues ! MH est un réactionnaire, ses admirations littéraires (Baudelaire, Lovecraft…) et ses accointances (Finkielkraut, Dantec, Muray, le Ring, etc.) ne laissent aucun doute sur ce qu’il pense. Son personnage de Droopy apathique et je-m’en-foutiste est un masque pour berner les sots et les chiens de garde du politiquement correct.
Houellebecq est anti-moderne, anti-libéral, anti-européen et anti-musulman ! et ce depuis le début.
Il faut vous rendre à l’évidence, vous aimez un écrivain d’extrême-droite assez habile pour dissimuler ses opinions les plus sulfureuses. La dérision et le second degré sont une lâcheté quand le péril guette.
Et ne croyez pas vous en tirer à si bon compte, ça va chauffer pour votre cul de petit Blanc à vous aussi.
David Vincent dit: 1 septembre 2015 à 18 h 38 min
qui chient dans leur froc à la perspective d’une France islamiste.
Effectivement, on va se faire chier ! On a réchappé de la Catho mais ceux-là ils sont aussi pires…
Mais bouguereau, évidemment que Jeambrun dénoncera ses voisins! « Untel a bouffé un sandwich au jambon planqué dans sa cuisine en plein ramadan »… »Unetelle a été vu avec un homme qui n’est ni son mari, ni son frère, ni son père »… »Untel fricote avec un sodomite notoire »…ça va y aller les lapidations et les décapitations!…Y va se régaler le Jeanbrun! Y va monter rapidement dans la hiérarchie de l’EIF (F comme France) et se taper les mécréantes et les impies à la chaîne…
Ah, lorsque David Vincent se laisse envahir, les vieux démons reparaissent
D’ou il s’ensuit qu’en négatif à ce qui est annoncé, si la vérité Vincentesque se trouve dans l’opposition aux thèses formulées,, il faudrai etre philomoderne, philo arabe, philodictatorial,et préférer l’Europe à la Patrie.
D’ou il appert aussi que Baudelaire, Lovecraft, Philipe Murray, Finkielkraut et Dantec, étant fréquentés par Houellbecq, sont proprement infréquentables.
Ce David Vincent là ne fuit plus, il se prosterne devant ses Envahisseurs. Il prépare meme les listes de livres à bruler…
MC
les livres à brûler… on commencera par les vieilleries de MCourt, puis ceux JC et enfin de Christiane, ‘tain, ça fait de la flambée pour l’hiver
une brassée de cierges sous le bras pour les mettre
..ça tourne un peu autour du pot cette affaire
Quand je vois un catho, j’ai envie de brûler la Bible pour éviter une autre intoxication.
Quand je vois un juif, j’ai envie de lui couper les tresses, et l’accès à la Torah.
Quand je vois un encoranisé à mort, j’aie envie d’acheter un divan et de le filer à Jambrun …
Vons nous les briser longtemps ces débiles ?
Mais le gus qui habite au fond d’une impasse il pourra dénoncer aucun voisin pas le moindre !
Et quand je vois un intolérant doublé d’un insulteur comme à 19h 17, je me demande pourquoi il se permet de prôner la tolérance.
Il faut vous rendre à l’évidence, vous aimez un écrivain d’extrême-droite assez habile pour dissimuler ses opinions les plus sulfureuses
molo..c’est vrai qu’il fait dans le bonneteau..mais le compte..le vrai celui du plaisir n’y est pas..je crois qu’en vérité jean marron simulent..sfaire enlécu ça lui plait pas tant que ça..mais voilà il veut faire moderne..et puis sfaire mettre par houelbeck on nsent presque rien..
David Vincent dit: 1 septembre 2015 à 18 h 38 min
« Houellebecq est anti-moderne, anti-libéral, anti-européen et anti-musulman ! et ce depuis le début.
Il faut vous rendre à l’évidence, vous aimez un écrivain d’extrême-droite assez habile pour dissimuler ses opinions les plus sulfureuses. La dérision et le second degré sont une lâcheté quand le péril guette.
Et ne croyez pas vous en tirer à si bon compte, ça va chauffer pour votre cul de petit Blanc à vous aussi. »
quand on sait qu’on a osé lui donner le Goncourt.
en donner un à Enard ne suffira à réparer cette sordide erreur, il faut lui en donner 2 d’1 coup !
Court dit: 1 septembre 2015 à 19 h 04 min
il se prosterne devant ses Envahisseurs
En plus c’est des gars qui se lavent une fois toutes les Saint-Glinglin… Est-ce que l’Hitlam est soluble dans le Jacob Delafon ? Même pas…
qui habite au fond d’une impasse il pourra dénoncer aucun voisin pas le moindre !
il a l’wifi et un 5pouce 1/2 et un octocore..la kommandantour fait dmi tour fastoche
allons sergio..de la tenue..ça fait pas si longtemps que la france se lave
L’invasion de migrants pourrait provoquer une guerre civile en Europe à brève échéance : d’un côté des factions gauchisantes et pseudo-humanisantes trouvant très bien que la Nation, constituée par les dizaine de générations précédentes qui ont versé leur sang pour elle, soit foulée au pied et réduite à rien; de l’autre ceux qui mettraient leur honneur à la sauver. Espérons qu’on en arrivera pas là mais d’un autre côté je ne vois pas bien comment on en arriverait pas là tel que ça continue.
« Résumons à 19 h 17 » ne nous dit pas quel sort il réserve aux Shivaïtes & aux Vishnouïtes, aux Bouddhistes du Grand et du Petit Véhicule, aux Jains et aux Parsis, aux Shintoïstes et aux Rastafariens, aux adeptes du Candomblé et du Vaudou, aux Baha’i, aux Druzes et aux Ahmadis, pour ne citer qu’eux. Ils pèsent pour une bonne partie de l’humanité – les négliger n’est pas très sérieux.
bouguereau dit: 1 septembre 2015 à 19 h 28 min
ça fait pas si longtemps que la france se lave
Faut dire… En Auvergne on n’a pas encore commencé !
quand on sait qu’on a osé lui donner le Goncourt.
hof..sa tête mérite bien..c’est un peu l’doriangré des lettes françaises..chez nous on préfère le coté obscur avachi..et j’vais vous dire..a choisir c’est plus inventif que vador avec son cax de goldorak biblique..c’est un mec a superpouvoirs houelbec..on sait pas bien lesquels..tout ça pasqu’il il a pas l’air bon au métrage d’andouillette on est dans l’blouze
aux adeptes du Candomblé et du Vaudou
la il flippe..et c’est normal..il te file un ulcère fastoche..tu connais l’histoire de niels bohr et du fer à cheval kabloom « on a pas besoin d’y croire pour que ça marche »
Wellbeck, c’est du Vaudou, le Boug, plus fort que Russell Banks dans Continents à la dérive. Bave aux lèvre, yeux révulsés, corps convulsé…Shiva avec ses bandes horizontales, Vishnou avec ses verticales & Kali la langue tirée avec sa ceinture de têtes coupées peuvent aller se rhabiller en honneur régional.
Saperlipopette et pipe en bois,
manquerait plus que cette satanée boussole,
notoirement présente il y a un bail chez ces foutus Chinois,
en ait été rapportée et monstrée à l’Occident
par ces maudits pirates mauresques !
Microcosmarrement.
« Et ne croyez pas vous en tirer à si bon compte, ça va chauffer pour votre cul de petit Blanc à vous aussi. »
Tu ne crôa pas si bien dire.
« Je ne m’attendais pas à prendre une fessée en lisant les mémoires d’un gamin »
http://letourdunombril.com/2015/07/13/larabe-du-futur-tomes-12-riad-sattouf/
« Résumons à 19 h 17″ ne nous dit pas quel sort il réserve aux Shivaïtes & aux Vishnouïtes, aux Bouddhistes du Grand et du Petit Véhicule, aux Jains et aux Parsis, aux Shintoïstes et aux Rastafariens, aux adeptes du Candomblé et du Vaudou, aux Baha’i, aux Druzes et aux Ahmadis, pour ne citer qu’eux. Ils pèsent pour une bonne partie de l’humanité – les négliger n’est pas très sérieux. » (Bloom)
J’en ai pas encore vu un, de ces débiles qui croient à n’importe quoi au IIIème millénaire ! Mais dans le cas où, je te mets ça derrière des machines à coudre ou au four suivant le degré coopératif, et je garde les plus jolies en dessert !…
extrait article de presse; il est question de langage. Bon pour qui « la Sorbonne n’est jamais loin ».
« «Migrants» n’est-il pas trop neutre face au drame vécu? «Réfugiés» peut-il être admis hors de sa définition en droit international?
Les termes, évidemment, reflètent le regard porté sur une réalité. Et les photographies, que disent-elles? Racontent-elles la même chose que celles qui montraient les boat people il y a quarante ans ou les Cubains dans les années 1990? »
La photo 1 a quand même un côté :
« quand la Lune brille,
ils matent leur broutille,
les pauvres billes ! »
Superfouciellement.
Ça n’aurait pas pu bien se passer avec la fermière, vu que mon cher oncle était homosexuel. Que D.ieu ait son âme…! Mais c’était un homme intelligent qui avait fait l’école d’horticulture. Il connaissait les noms de toutes les fleurs par cœur avec le nom latin. Il était fleuriste rue de Seine devant La Palette. Une petite boutique juste devant ou presque. Quand j’étais môme, j’allais l’aider pour me gagner quelques sous. Déjà… Quand j’étais môme, en vacances, à Contres, en Sologne, je dormais dans le même lit que lui. Si je dis ça à Baroz, il va en faire une jaunisse…
Ceux que la photo fait » rêver » ont certainement kiffé le film « Timbuktu »; un peu le même téléphone brandi. Mais non.
Actuellement, venat du Moyen Orient, « le plus grand exode humain » depuis la seconde guerre mondiale.
Cela vous cause ?
autre que la légende « migrants africains » pas passés par la même case enfer ?
venant.
Il faut parfois bien s’arrimer
pour ne pas lâcher le fil
de ce nom de bon dieu
de commentarium !
Népothétiquement.
quand la vie dans les bois essaie de « parler jeune », c’est aussi ridicule que Mitterrand s’essayant au verlan ; ici c’est un blog de vieux, on parle le vieux.
Le commentarium va prendre un tour de compteur après le témoignage du tonton fleuriste à Widergänger dans son lit pliant.
Un minimum pour décompresser en période de tragédies.
Antonio Corrado, célibataire ou marié, en matière de statistiques socio-économiques, vous et moi égalons à deux ménages…
Vieux n’est qu’un état transitoire
commode pour passer de plus très jeune
à bien trop vieux avant de passer tout court.
Ceci posé, il ne sera probablement pas
tenu rigueur à qui voudra raccourcir
sa vie et ainsi éviter d’infliger
sa propre vieillesse à autrui
quand le moment sera venu.
Pèsiblement.
A propos de Michel Houellebecq signalons cette information de la RD l’Art -merci M. Scemama-
« Une expo de et par M. Houllebecq aura lieu l’été prochain au Palais de Tokyo. Intitulée « Rester vivant », elle sera comme un livre ouvert. »
Conclusion alternative à 20 h 46 :
Gégérontôoutardivement.
En plus, Phil, mon cher oncle fleuriste s’appelait Bouquet… je rigole pas !
Mais Polé, que vous arrive-t-il ?
Notez bien, cette expo de l’artiste se tiendra du 23 juin au 12 septembre 2016.
Autre 20 h 46 :
Il prend le risque
qu’elle soit posthume,
son expo et que son titre
ne manque pas d’ironie.
Quissévraiment.
« mon cher oncle fleuriste s’appelait Bouquet… je rigole pas ! »
sans rire le journaleux envoyé en Alaska, pour suivre la fonte des glaces, aux côté de Mr President Obama, s’appelait Carbone.
20 h 46 très partagé.
Droit au remord revendiqué.
Roulibrement.
Ça démarre fort, Widergänger. Bouquet vaut encore mieux que Bousquet..Vous n’échapperez pas aux dimensions du plumard. Le temps que baroz finisse ses nouilles chinoises
Polé, « rester vivant » de M.H. est un poème…
Attila dit: 1 septembre 2015 à 20 h 41 min
Mais baroz pour lire Angot ou Houellebecq rien ne presse donc :
règle n°1 attendre la parution en poche, tout bénef, gain financier, gain de place (donc à terme gain de bibliothèque puis de loyer) et au lieu de deux bouquins vous pouvez vous en payez quatre ou cinq si besoin urgent.
Règle N°2 après une année relire les critiques et les commentaires des critiques et humer l’air du temps,
en année normale vous pouvez estimer que sur quatre ou cinq un seul tient la route (et encore).
Résultat des courses pour un Angot et un Houellebecq (ou Liberati) à 44€ annuel vous en achetez un à 8€ sur cinq ans.
Economie : 212 €.
Soit un restau chez Guy Savoy ou le Proust d’André Sauret (ou Baudelaire, Prévert, Vian,..) ou le pass des musées de la Ville de Paris ou même pourquoi pas négocier une fractale de Sergio.
Que du plaisir.
Alors, surtout :
PAS DE PRECIPITATION
Antonio, je les lis sur place dans la boutique.
Bénéfice sur 5 ans : 212 + 8 = 220 €
Le petit véhicule est pratique mais manque de confort.
D.,
Ok financièrement c’est intéressant mais sur un plan purement littéraire vous risquez de vous être fait chiller (rendons à TKT…) grave pendant un paquet d’heures, et DEBOUT.
Pour 8€ !!!!
ici c’est un blog de vieux, on parle le vieux
le temps passé par les jeunes à en parler les fait vieillir aussi
gérard dit: 1 septembre 2015 à 20 h 37 min
Mitterrand s’essayant au verlan ;
C’est vrai vaut mieux qu’il reste au zazou…
(« c’est à s’tap » etc.)
Antonio Corrado dit: 1 septembre 2015 à 21 h 23 min
négocier une fractale
Faut être pis qu’un trader, vu que ça se multiplie comme des petits pains ! C’est pire que le tonneau d’Eléonore, les cheveux des danaïdes et même l’Immatriculée Conception…
Puisqu’il est tard et que c’est la rentrée littéraire, je m’immisce un instant, telle une bulle de savon prête à s’évaporer, pour signer mon acte sans fioritures
Non mais on peut prendre une canne-siège ! Plus une à cognac comme Toulouse-Lautrec…
Evidemment c’est des coups à se faire empaqueter par la securidad*…
* C’est pratique, l’étranger, y a jamais d’accent… C’est pas comme Clemenceau !
Sergio dit: 1 septembre 2015 à 23 h 08 min
une canne-siège ! Plus une à cognac
Mon rêve, un bâton de ski au marc de Savoie.
Idéal pour les slaloms.
Antonio Corrado dit: 1 septembre 2015 à 23 h 40 min
Mon rêve, un bâton de ski au marc de Savoie.
Ils sont déjà tordus pour se faufiler ! A la fin on sait plus exactement… On croit qu’on est immobile que c’est le slalom qui est bourré qui titube !
Je peux vous confier une petite anecdote : les premiers six mois de 2015, tout mes voisins n’ont pas arrêté de pleurer sur la situation de la France, le chômage, la crise, qu’il n’arriveraient plus à payer leurs charges courantes, etc..
Arrivé en juillet : pffuiiitt, plus personne, tout le monde en vacances, et tenez-vous bien, pas pour un mois, mais pour deux mois pour 9/10ème d’entre eux. Renseignements pris, un tel avait des RTT en veux-tu en vois-là, l’autre revenait de congé maternité mais avait quand même accumulé des congés, Pierre se faisait sont deuxième mois en arrête-maladie, Paul avait fini à la mi-juin et reprenait au 15 septembre tout en étant payé, devinez sa profession; Jacques, médecin, décrétait une fermeture du cabinet pour deux mois pendant que ma sœur, kinésithérapeute, partait avec lui aux Seychelles.
Quant à bibi, c’est à dire moi-même, comme un con, bibi il avait péniblement négocié ses 3 semaines, et de retour au boulot il recevait tous les jours leurs cartes postales.
La réalité de la France, la voilà.
Alors comment voulez-vous que ça tienne encore longtemps comme ça ? Vous croyez que c’est avec ces gens-là, qui ont toujours les mains dans les poches mais une très grande gueule qu’on va rembourser la déflation chinoise et tout ce qui s’en suivra ?
…
…moi, je ne suis pas, plus avancé avec tout çà,!…ni châteaux, ni milliardaires,…
…je me remet en grève,…
…
…penser sans moi,!…délions – nous de nos serments,…quelles républiques, pour nos Charlemagne,…les trains-trains quotidiens se glander à rien foutre d’autorité rentable,…
…
…à nos abbaye à Cointraux, pour nos légionnaires volants, à moitié vides,!…
…refaire le plein démocratique aux fûts et en bières,…
…Alors, la cinquième colonne,!…pas assez de têtes brûlées,!…of course,…
…sauvez la France et l’€uro,!…suivez l’exemple à Jeanne d’Arc,!…
…faite vous mettre en croix, pour vous donnez en partage, comme du lard fumé,…
…à servir après huit mois,…
…à nos pauvres d’esprits, le saint lard fumé de première, avec le Beaujolais,…nouveau est arrivé,…
…
…avec tout ces tripots en cours,…à l’auberge des pirates,!…et des singes aux bourses,!…des peuples à anéantir,!…
…
…le vol noir des corbeaux sur la plaine,…
…etc,…
…pas, mieux,…etc,!…du jus de pomme,!…à édulcoré,!…of course…
…
59 minutes d’analyse de l’oeuvre de Wellbeck, dont une bonne partie furieusement pertinente, à mettre au crédit d’Eric Fassin et Tewfik Hakem. Du solide, autre chose que les poncifs enthousiastes ou les lieux-communs de la haine ordinaire. Bonne nouvelle: on continue à penser en l’hexagone.
Les mauvaises nouvelles d’abord :
-soixante Roms barrent une autoroute en France pour de futiles raisons durant une journée, et il ne se passe rien… Laisser-faire socialiste !
-une centaine de migrants, des envahisseurs illégalement entrés en Europe, bloquent les liaisons ferroviaires avec l’Angleterre et il ne se passe rien … Laisser-faire socialiste !
Ce sont des éléments de guerre civile !
Quand donnera t on à la troupe l’ordre d’y mettre fin par la force des armes ? Où on va là ? Où on va …
Les bonnes nouvelles, maintenant :
-le peuple français frémit de rage contenue… ça bouge.
-les femmes sont toujours aussi belles, surtout quasi nues.
-les librairies se vident…
-le dojo d’aïkido rouvre aujourd’hui à 18h30 ! ça va shooter sur le tatami …
Tragique nouvelle en provenance du village provençal de Jambrun !
Madame Jambrun, la merveilleuse Josette son épouse au corps sublime, à l’esprit pétillant, est contrainte par son despote d’époux de marcher à trois pas derrière lui revêtue d’une burqa noire du plus haut sinistre !
Un groupe de réflexion facho-islamophobe campagnard et féministe a décidé hier de libérer Josette de ses chaines mentales et vestimentaires, et de raser la barbe hirsute de son geôlier conjugal propalestinien.
Le Livre des Egarés…
Vive la liberté !
PS : Enard, dans tout ça ? A côté de la plaque…
GRAND CONCOURS DU JOUR
Question 1 – Reconnaissez vous cette chansonnette d’époque ?
Question 2 – A quels évènements actuels s’applique t elle ?
Question subsidiaire : la rentrée scolaire comprenant des « cours de Morale républicaine » vous parait elle une couillonnade socialiste de plus ?
CHANSON DE GUERRE
Allons enfants de la Patrie
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie
L’étendard sanglant est levé
Entendez-vous dans nos campagnes
Mugir ces féroces soldats?
Ils viennent jusque dans vos bras.
Égorger vos fils, vos compagnes!
Aux armes citoyens
Formez vos bataillons
Marchons, marchons
Qu’un sang impur
Abreuve nos sillons
Quoi ces cohortes étrangères!
Feraient la loi dans nos foyers!
Quoi! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fils guerriers!
Grand Dieu! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient
De vils despotes deviendraient
Les maîtres des destinées.
Tremblez, tyrans et vous perfides
L’opprobre de tous les partis
Tremblez! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix!
Tout est soldat pour vous combattre
S’ils tombent, nos jeunes héros
La France en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre.
Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n’y seront plus
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre!
Amour sacré de la Patrie
Conduis, soutiens nos bras vengeurs
Liberté, Liberté chérie
Combats avec tes défenseurs!
Sous nos drapeaux, que la victoire
Accoure à tes mâles accents
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire!
Terminons sur une note gaie.
Sur les conseil avisés de Scemama de la République artistique, nous avons pu admirer le magnifique travail de Mona Hatoum, Stream, 2013, « Cheveux sur papier toilette », 10 x 20 cm © Courtesy of the artist.
Ma sœur, enthousiaste autodidacte, envisage d’exposer son Tampon 2015, « Poils pubiens sur Tampax usagé », 3 x 6 cm © Courtesy of the artist.
L’art contemporain est l’affaire de tous…
Ce sont des éléments de guerre civile !
_
De guerre nucléaire, oui. On va pas se laisser marcher sur les tongs, tongzhi!
JC….. dit: 2 septembre 2015 à 6 h 38 min
« Les mauvaises nouvelles »
JC de plus en plus onc toujours là
Résumons….. dit: 1 septembre 2015 à 20 h 06 min « J’en ai pas encore vu un, »
Forcément à pq …
D. dit: 2 septembre 2015 à 0 h 01 min
« La réalité de la France, la voilà »
Rien que des fainéants
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