Ne tirez pas sur l’« editor » !
C’est un rouage essentiel de la rentrée littéraire mais vous ne le verrez pas, vous ne saurez pas son nom et vous ignorerez à quoi il ressemble. Pas un des quelque cinq cents romans français et étrangers mis en circulation actuellement qui ne porte son empreinte invisible. Il est tellement mystérieux que sa fonction ne porte même d’intitulé précis en français. Comment l’appelle-t-on ? On ne l’appelle pas. C’est dire s’il est discret, secret même. En anglais, on dit qu’il l’est l’editor, pour mieux le distinguer du publisher. Le premier travaille sur les textes, le second dirige la boîte. L’un lit, l’autre compte. Celui qui murmure à l’oreille des auteurs et celui qui gueule sur les employés. En français, malheureusement, un mot unique désigne les deux fonctions « éditeur ». Ce qui crée la confusion. On pourrait dire « directeur littéraire » mais cela ne va pas car le plus souvent, ce gradé du haut du haut personnel de l’édition n’intervient guère directement sur le manuscrit. Alors autorisons-nous l’anglicisme à peine abusif, disons editor et basta !
Parfois, on s’étrangle à la lecture de certains romans. On se dit que là, « il » aurait dû intervenir ; on ne comprend pas que plus loin il ait passé cela. Ainsi, ces jours-ci, en lisant le très réussi roman de Karine Tuil L’invention de nos vies, on regrette que son soldat inconnu des Lettres ne lui ait pas conseillé de supprimer cette affèterie devenu tic d’écriture : » ce corps qui désire posséder/jouir/désirer » ou « cet appartement sobre/chic/bourgeois » ou » « ce qui était important pour elle : être connue/ reconnue/aimée/valorisée/vue ». Avec Les renards pâles, on ne comprend pas que, malgré le contexte etc, « il » n’ait pas suggéré à Yannick Haënel de renoncer à écrire : « Lorsque plus personne n’a de papiers, est-il encore possible de repérer les sans-papiers ? » ce qui eut été difficile, il est vrai, car c’est la phrase-clé. Pour le Moment d’un couple de Nelly Alard, que n’a-t-il imposé de supprimer, entre autres, malgré ce qu’il y a avant et après : « To be or not to be. Etre ou ne pas être. Vivre, ou mourir. Sucer ou ne pas sucer ». Et pour L’échange des princesses, si précis et si précieux, que n’a-t-il poussé à l’émonder de ses « cet enfoiré de Villeroy », et autres « vous êtes un as » qui ne fleurent pas vraiment le siècle des Lumières comme le reste. Et pour la Claire-fontaine, que n’a-t-il fait admettre à David Bosc que son beau récit est gâté par d’énigmatiques affèteries telles que « un bonheur silencieux dont on serait la coupe ». Quant à de Denis Tillinac, il aurait pu lui faire faire l’économie de « En moi les portes de l’amour ne s’ouvrent que si je m’agenouille dans une église, ou me fige dans la contemplation d’une œuvre » pour sa Nuit étoilée. Etc, etc
Guère de livres, d’auteurs, de maisons d’édition qui y échappent. Et quand « il » laisse passer, c’est d’autant plus regrettable que cela jette une ombre sur un bon livre. Si Proust avait eu un editor, aurait-il laissé passer les vertèbres sur le front de la tante Léonie, et la Recherche y aurait-elle perdu ? Enfin, quoi ! Un editor, cela sert à ça, justement ! Ce n’est pas de la censure : juste un conseil avisé mais fermement tenu jusqu’à ce que l’auteur soit convaincu. Souvent, cela va plus loin : réorganisation du plan, suppression d’un chapitre, restructuration, souci de cohérence du récit, correction d’une syntaxe fautive, toutes choses qui interviennent en amont du travail du correcteur et de celui du réviseur. C’est dire son rôle est décisif car il apporte le premier vrai regard critique sur le texte.
J’y repensais en recevant l’édition de poche de Ciseaux (210 pages, 7,20 euros, Pocket), troisième roman, astucieux et ravageur, de Stéphane Michaka paru il y a un an chez Fayard. Il y raconte sans voile l’étrange relation nouée pendant des années entre Raymond Carver l’écrivain-culte américain par excellence, et son editor Gordon Lish qui commença par publier ses nouvelles dans Esquire avant d’aller plus loin. L’affaire a éclaté lorsque, des années après la mort de Carver, son editor, qui a tout de l’écrivain frustré celui-là (pas le cas de tous, il s’en faut), a cru bon révéler publiquement l’ampleur de son travail sur les manuscrits de l’icône littéraire Carver. On ne pouvait qu’en déduire qu’il l’avait tellement réécrit, émondé, trituré, peaufiné, lishé pour tout dire, que les nouvelles étaient davantage de sa plume que de celle de son ami. Et qu’au fond, il en était l’auteur. Michaka raconte ce charcutage avec humour et finesse, sans oublier le rôle de la veuve abusive (pléonasme, elles le sont toujours, par principe, surtout du vivant du grand homme). Il ne s’agit pas d’une fiction biographique mais de l’exploration de cette douce folie par laquelle un homme rongé par l’alcool, qui s’enbourbonnise à mort faute d’être reconnu pour ce qu’il est, tente d’échapper à sa condition par l’écriture – avant d’y être ramené par un editor qui a voulu passer du statut de Pygmalion à celui de Méphisto. Le piquant de l’affaire est dans la parution très attendue de Ciseaux aux Etats-Unis chez Random House (Nan A. Talese/ Doubleday). Le texte, excellemment traduit par John Cullen du point de vue de l’auteur, est le même, mais pas la « Note de l’auteur » en liminaire. Disons qu’elle a été légèrement… « édité ». Jugez-en par vous-même :
« Ciseaux est une œuvre de fiction. L’intrigue de ce roman est librement inspirée de la relation entre Raymond Carver et son éditeur Gordon Lish. Les propos des personnages, tous comme les quatre nouvelles insérées dans Ciseaux, sont de mon invention. Pour un aperçu non fictionnel de la vie de Raymond Carver, on se reportera à la bibliographie en fin de volume ».
Et cela devient, à l’insu de l’auteur, une fois passé à la moulinette du principe de précaution :
« Scissors is a work of fiction. Although I have used some publicly known facts from Raymond Carver’s life and from his relationship with his editor, Gordon Lish, the characters in this novel are loosely based, rather than closely modeled, on real-life figures. My character’s words, as well as the four short stories included in Scissors, are all my invention. For nonfictionnal surveys of Raymond Carver’s life and work, which will no doubt continue to inspire readers and writers alike, the reader is directed to the selected bibliography at the end of this volume. »
La blogosphère s’est la première emparée de Scissors et a salué ses qualités. Des sites connus et des blogs parfois confidentiels, animés par des bénévoles, lui ont consacré de longues analyses, parfois même des mini-essais eu égard à ce qui se joue dans le roman. Surtout à une époque où tant le rôle de l’editor que celui du publisher sont contestés sinon récusés par les partisans de l’autoédition (et malgré l’affaire Carver, ne tirez pas sur l’editor !) Un seul grand journal, on ne peut plus professionnel puisque c’est l’organe de la profession, l’a étrillé : Publisher’s weekly. Et pourquoi pas ? Dix lignes assassines, anonymes bien sûr, mais qui lui reprochent d’avoir inséré quatre nouvelles de Carver dans son propre texte, ce qui prouve que le critique n’avait même pas lu la note de l’auteur. Faut-il y voir un signe des temps ? Stéphane Michaka en tire, lui, une leçon :
“Si vous avez la chance de publier un roman aux Etats-Unis, envoyez-le aux amoureux de littérature qui bloguent et twittent depuis leur garage.”
En cette rentrée littéraire, une pensée pour les editors, ces forçats de l’ombre, ces raccommodeurs de manuscrits, ces hommes invisibles ! Tous ne sont pas des Gordon Lish. Encore que, en lisant le savoureux roman de Michaka, et en reprenant le dossier de l’affaire qui avait en son temps suscité une sacrée polémique dans la presse culturelle américaine, on peut légitimement se demander ce qu’il en aurait été du génie de Carver sans Lish. Le roman touche juste quand l’auteur avoue qu’il ne sait pas ce qu’il a voulu dire en utilisant tel mot obscur, mais que l’editor, lui, sait ou prétend savoir. Ou quand l’homme aux ciseaux dégraisse tellement ses textes qu’il fait de « son » écrivain un minimaliste qui s’ignorait.
« J’ai de l’empathie. Mes ciseaux, ce n’est pas pour tailler dans le vif, le rendre méconnaissable. Mais pour que la ressemblance soit totale. Je me regarde dans le miroir et je vois qui ? Lui, ou moi ? »
Sauf que dans cette affaire, à ce niveau d’empathie, cela relève de la psychiatrie.
(« Bunker » photo de Paul Virilio ; « Raymond Carver et sa future veuve Tess Gallagher » photo D.R.)
(et si vous avez deux mots à dire à Stéphane Michaka, il sera l’invité du Thé des écrivains le 17 septembre.)
1 041 Réponses pour Ne tirez pas sur l’« editor » !
« Les grandes agglomérations sont pour moi les meilleurs déserts, Chaloux, se retrouver seul face à soi, ce serait l’enfer ! »
Saul Steinberg disait aimer NY pour la même raison.
Jacques, le désert (désert au sens XVIIe) ne se traverse pas seul. Il suffit d’en entreprendre l’exploration avec la bonne personne. Mais c’est vraiment extraordinaire. Tout ce qu’on croyait être soi, dont on s’encombre, tout le bagage inutile qu’on porte sans s’en apercevoir alors qu’il suffirait d’ouvrir les mains pour en être débarrassé, disparaît. La route redevient inconnue, pleine de présages, de hasards, on se sent tout à coup de retour sur la terre.
Ben quand tu as quarante quarante cinq ans tu meurs t’as tout tes potes. Rien à voir avec le nec plus ultra.
Quand t’en as quatre-vingt dix presque tous tes potes y sont allés avant toi, réchauffer le terrain.
Quand t’en as presque cent, t’as tout le quartier qui vient parce que t’étais un homme estimé.
Quand t’as vingt ou presque t’as toutes tes écoles de la maternelle au lycée.
C’est un argument ça ?
Et puis elles étaient sans doute aimées ces deux nanas par le milieu du show-biz. Adorables.
Ou mal aimées et elles en sont mortes. Alors par solidarité les gens les accompagnent. Un peu tard pour ce faire mais quand même, jamais trop tard.
Une lentille du Puy.
Celle-là est amusante
une potée c’est une mine de contentement qui doit l’accompagner cheuloux..sinon c’est elle qui te quitte
>JacquesB. renato vous propose N.Y. Y’a Pékin aussi. Vous aviez songé à Gênes aussi, il y a de cela quelques années.
>renato bonjour ça va ?
je trouve que c’est encore trop peu !
si qu’on te rattache au neuf trois..tout de suite tu vivrais plus intensément hin baroz..
ni une andouillette de Troie.
Les grandes agglomérations sont pour moi les meilleurs déserts, Chaloux, se retrouver seul face à soi, ce serait l’enfer !
je suis pas sûr de comprende..t’es ambigue baroz, tu définis le contraire, par le contraire du contraire et il est pas pareil
Bonjour rose,
et vous ça va ?
si qu’on te rattache au neuf trois..tout de suite tu vivrais plus intensément
à condition d’éviter Pantin et ses profs de géo à cheval..
Jacques Barozzi dit: 7 septembre 2013 à 13 h 55 min
« chaloux veut partir..alors qu’on ne quitte plus rien »
C’est comme vouloir arrêter le temps, seule la mort…
(faut-il dire hélas ou heureusement ?)
Jacques B. ça va ?
Hélas.
Hélas.
Hélas.
Mais heureusement pour nos enfants, car ils pourront prendre les rênes.
Plus tard l’on part, plus on leur laisse un mur de protection entre la camarde et eux.
Il leur restera du temps encore avant de laisser les rênes à leurs propres enfants.
à condition d’éviter Pantin et ses profs de géo à cheval..
on les voit de loin, pas la peine de leur mettre une étoile jaune
« Mondain » n’est pas nécessairement péjoratif, rose. Mais quelle distribution que ces deux enterrements !
>renato ça va j’ai pas compris pourquoi vous parlez de la mort avec Jacques B.
Brrr gla gla.
Ouaip ça va pas mal. J’ai ma coupe de star Mia Farrow, vingt ans de moins, ça durera ce que ça durera ; peut-être une semaine avec un peu de chance. Après je retrouverai mon demi-siècle et plus encore.
Rose a rappliqué : fuyons !
>Jacques B. les images ou vous y étiez ?
Je crois que réellement il y a une solidarité dans le monde des artistes, pas seulement au jeune âge.
Chaloux dit: 7 septembre 2013 à 14 h 38 min Faites suer avec votre désert.
Le col de Tizi n’Tichka avec un sac à dos, faut l’passer.
Pas juste fantasmer sur le désert du XVII ème arrondissement.
ça va : c’est pas la peine. ET votre antienne est vieille comme l’an quarante.
Je vais faire une courte sieste, partir de moi-même.
Je vous laisse l’entièreté du terrain.
Bises mes potes.
Il faut mourir, hélas, rose, mais vivre éternellement c’est peut-être encore plus effrayant, non ?
Simone de Beauvoir en avait fait le sujet d’un (mauvais) roman : Tous les hommes sont mortels…
oui cauchemardesque…
Non, je n’y étais pas, rose, je déteste les cérémonies, surtour celle concernant ma propre famille : je n’ai assisté ni aux mariages de mon frère et de ma soeur (qui ont divorcé depuis) ni aux obséques de mon père et de ma mère…
… qui n’en ont pas ressuscité, hélas !
>Jacques B.
votre père vous aviez dix ans, à l’époque on n’imposait pas aux enfants cela.
Mais les obsèques c’est une manière d’entamer le deuil.
Intéressant ce qui se dit autour de 13 heures ce jour. Ou le rôle des enfants sur l’évolution des parents.
Je crois que réellement il y a une solidarité dans le monde des artistes,
ça c’est une plaisanterie typically erdélienne
mais il y a la même chose dans l’autre sens ; comme des lignes de front face à la mort : la naissance d’un tout-petit nous rapproche inéluctablement de la mort. Chaque génération marquant une ligne ; je n’ai plus la ligne de front de mes grands-parents. En guise de protection.
Ce fil devient froid (anglicisme).
J’ai été choqué par le manque de nuance d’un observateur anglo-saxon sur la Capitale européenne de la Culture.
Il serait quand même temps de déconstruire les préjugés.
« I told a French friend of mine that we were planning to visit Marseille and she didn’t understand why. “There is nothing to see,” she said. “You can climb the steps to the church, and the view is very nice, très joli. But besides this, there is no reason to go.”
Multicultural integration has failed in Marseille, as it has elsewhere in Europe, and the city is now dealing with the harsh economic and social realities of a large, unassimilated immigrant population that suffers from staggeringly high unemployment rates — reported to be as high as 40 percent in some arrondissements among second-generation Maghrebi youth.
Crime rates have risen along with unemployment, and since the beginning of last year Marseille has been in the throes of an intense crime wave. In December, five different people, including a police officer, were gunned down in separate incidents, all of them with AK-47s. Marseille is a city with less than a million people.
News reports say the violence is partly due to escalating turf wars between drug gangs, which are so well organized they are thought to be the real reason there was no rioting in Marseille in 2005, when the banileues of Paris were burning. The quiet had nothing to do with cultural harmony or tolerance; drug dealers didn’t want anything to disrupt business so they kept the ghettos and housing projects quiet.
As it is, Marseille is a model for urban failure and social disintegration. Its crime and unemployment are the consequences of official neglect and a failed immigration policy — the same policy that has ringed France’s other cities with segregated, seething banlieues. »
Passivité des autorités?
Je suis allé voir Télérama pour me réconforter.
il suffit d’être présent à l’enterrement d’une artiste et de voir tous les artistes, nombreux, dans la salle de la cérémonie. Maintenant c’est un exemple ponctuel c’est vrai.
« entamer le deuil », c’est reconnaitre le triomphe de la mort et moi, la mort, je l’emmerde, rose !
Cet été, on avait pourtant tout prévu.
« A l’heure du bilan, l’association Lesbian & Gay Parade (LGP), organisatrice de la manifestation, reconnaît avoir pêché par ambition. D’une durée de onze jours et forte de plusieurs dizaines d’événements répartis sur trois sites, l’Europride marseillaise a vu grand, bien trop grand. A la Friche de la Belle de Mai, l’Europride Park, regroupant une cinquantaine d’associations et d’exposants, avait des allures de village fantôme. Sur les plages du Prado, un lieu festif avait été aménagé à la manière d’un mini-Ibiza. Il était tout aussi désertique. Le Dock des Suds, enfin, censé accueillir chaque soir des concerts et des nuits électro, a surtout vibré au rythme des annulations, les premières soirées n’ayant pas eu le succès escompté.
Des échecs lourds de conséquences, entraînant dès les premiers jours un mauvais buzz autour de la manifestation, ce qui a découragé de nombreux visiteurs. Faute de clients, le Salon du mariage gay, organisé à l’Europride Park, a fait flop. »
Je ne comprends pas.
Paris plage est un succès, pourquoi pas Ibiza sur Canebière?
ok.
Je me posais justement la question.
J’ai la réponse.
saluto.
j’ai écrit mes mémoires
ça fait 30 pages
j’ai appelé ça « con à lier »
je ne cherche pas d’éditeur
à mon avis, seul le titre est bon à garder
D’accord Jacques Barozzi : magnifique déclaration à laquelle j’adhère !
Comme hier soir dans Tokyo sonate : l’épouse qui dit à son mari, froidement : j’emmerde ton autorité. Grand moment du film, avant la larme du père, finale, tardive, mais salvatrice.
Quand le fils s’éloigne c’est qu’il sauve sa peau.
De l’air.
Faut dire… Y risque rien les cuirassés sont pas très nombreux dans l’Adrar des Iforas…
Tokyo Sonata de Kurosawa.
La culture heureusement est là.
« Cet été, la cité phocéenne offrait un drôle de spectacle. Entre poches de misères et artères nauséabondes du centre-ville, les touristes cherchaient le chemin du nouveau Vieux-Port, des nouveaux hôtels, et des nouveaux musées, nés dans la dynamique de l’année capitale. Marseille a profité du label européen pour se lancer dans un ambitieux lifting. En quatre ans, 660 millions d’euros (dont 40 % financé par la municipalité) ont été investis pour renouveler l’offre culturelle. Ce qui s’est traduit par une frénésie d’inaugurations. »
Le Grand Atelier n’a attiré « que » 240 000 personnes. « Ce qui est en soi un bon chiffre, mais très loin de notre utopie de départ », commente Jean-François Chougnet, directeur de MP2013. S’il reste encore un bon mois pour corriger le tir (elle se poursuit jusqu’au 13 octobre), l’exposition, d’un budget de 8 millions d’euros, accusera 3 millions d’euros de pertes. MP2013 l’a d’ores et déjà acté. C’est la seule ombre au tableau. Elle est de taille.
Une myriade d’expositions, spectacles et festivals se sont déployés durant les mois de juin et juillet à travers la cité phocéenne, mais aussi dans tout le territoire, d’Arles à Aubagne, et d’Aix à Martigues. « Nous n’avons pas eu de ‘‘ratage absolu’’, on remarque, toujours, une réelle une attente du public, note Jean-François Chougnet. Je suis parfois surpris de voir une telle abondance, sur certains événements. Par exemple, remplir l’Opéra de Marseille un 13 août, même pour Barenboim, je n’en reviens toujours pas ! »
Alors on se dit que ça aurait pu marcher. Que Marseille aurait pu profiter de cette année culturelle pour faire oublier ses vieux démons, redorer son blason. C’est malheureusement raté. »
C’est extraordinaire.
Redorer son blason…
Ses vieux démons…
Oublions tout ça, allons envahir Damas!
« Paris plage est un succès, pourquoi pas Ibiza sur Canebière ? »
Parce que la première manifestation est gratuite, la seconde est une affaire commerciale autant que communautaire, c’est bien fait !
>Jacques B.
Daaphnée n’a pas d’enfant : elle est childfree.
Juste pour info.
Mais on peut adopter, faire faire, se faire faire ; voler ceux de son mec. Qui ne le veulent pas & s’éloignent.
« Je crois que réellement il y a une solidarité dans le monde des artistes,
ça c’est une plaisanterie typically erdélienne »
On demanda à Barnett Newman pourquoi il peignait, il répondit : « Pour avoir quelque chose à regarder ».
« Je crois que réellement il y a une solidarité entre les femmes »,
ça, ce serait une plaisanterie typically erdélienne ?
Christian Boltansli a assassiné les suisses hier soir : je n’en revenais pas de autant d ehargne ni du pourquoi. Beaux, paysans et pauvres, vivent riches meurent jeunes.
Je ne vais pas développer mais le regard porté par lui sur les suisses m’a saisie de stupéfaction. Les suisses peuple de peu d’importance, qui n’a rien, hormis ses banques, qui n’apportent rien, ni à eux-mêmes, ni au monde.
France culture. 23 h.
Cinquantenaire.
Aux susdits enterrements, renato, ce serait plutôt pour être regardés ?
Boltanski.
>Jacques B.
avec votre ami qui vous a invité à une découverte privée, sur pièces, vous jugerez de vous-même.
rose, pour ta sieste (délicieuse petite mort d’où l’on revient plus fort), c’est foutu !
Mais on peut être primipare à 48 ans. A 68 ton fils émigre en Tasmanie.
Et toi sur ton blog tu gémis « ‘mais pourquoi mon fils a émigré en Tasmanie ? ».
Boltanski a des œuvres partout sur une île au large du Japon, en Tasmanie. Ce qui pourrait expliquer.
Rose à 15h25
Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve ce message à la fois déplacé.
Et partant, absolument pas surprenant.
« Les suisses peuple de peu d’importance, qui n’a rien, hormis ses banques, qui n’apportent rien, ni à eux-mêmes, ni au monde. »
Zurich est un foyer culturel bouillonnant, demandez à Barozzi.
>Je suis décalée Jacques (oui petite mort délici-euse !). Rien n’est foutu jusqu’au jour J.
Pas plus déplacé que les messages de saloperie sur Clopine et moi il y a quelques jours. A un moment donné si tu ne prends les mêmes armes. Donc elles y sont : Daaphnée n’a pas d’enfants.
Mais avant – avant l’étalage de ses gode-michets et de ses spécialités en pipes en tous genres avec plugs et attirail domestique – je l’ai connue c’est vrai avec un cœur de mère : elle a choisi d’être pute. Cela la regarde ; chacun est libre en tout et pour tout de ses propres choix.
J’ai le souvenir d’avoir été en compagnie de Christian Boltanski, sa femme Arlette Messager et Anne et Patrick Poirier, alors au tout début de leur notoriété, sillonner de nuit le bois de Boulogne et voir les travestis à l’oeuvre…
C’est incroyablement indécent de faire lire la bibliothèque de son fils par une femme qui n’est pas sa mère.
Et la pudeur de ce jeune homme ?
ANNETTE Messager, Baroz
u. c’est une lecture moyenne typiquement anglo-saxonne (américaine ?). Tous leurs lieux communs y figurent. Bêtise absolue de « l’amie » avec laquelle je ne ferais pas cinq minutes de promenade. Je me souviens de bourgs perdus où il n’y avait strictement rien à voir mais que je compte tout de même comme essentiels : je les ai respirés.
sillonner de nuit le bois de Boulogne et voir les travestis à l’oeuvre…
Vous avez des soirées passionnantes, Jacques.
Comme dirait Passou, merci Harrypoteur.
>Jacques B. l’entendre parler hier soir, Boltanski, était surprenant : il ne crée plus d’œuvres petites, il veut que l’on soit dedans, envahi, il dit être dans la démesure de ce qu’il construit (comme Anish Kapoor). Il parle des émotions de manière importante. Comme l’architecte japonais Kengo Kuma du conservatoire Darius Milhaud, à Aix en Provence.
Il est très impressionné par ce joueur, qui ne perd jamais et avec qui il a mené un pari fou- à vrai dire.
C’est Boltanski qui voulait voir ce spectacle, c’était à la grande époque des brésiliennes, Elie, moi j’étais déjà l’historien officieux des bois, parcs, jardins et cimetières…
>Jacqies B.
mais quant à ses mots contre les suisses ; de manière froide et déterminée ! Je n’ai pas compris ce qui l’amenait, publiquement à tenir un tel discours haineux.
Je n’ai pas répondu l’ineffable l’autre jour. On n’en finirait pas. Mais enfin il faut bien le faire. Une phrase dite par un poète, dans le contexte de son oeuvre, peut bien être remarquable, – et devenir idiote répétée par un perroquet.
Rose, avant que de ne plus vous lire, voilà ce à quoi je pensais, dans le silence qui m’entoure:
En fait de désert, on est certain de ne pas y croiser de monstre. C’est une certitude. Testée pour vous.
Mais ailleurs, comme à travers les monstruosités crues de Rose qui s’affichent à l’écran, c’est pas vérifié !
Plus revu Boltanski depuis, mais j’ai suivi son parcours, notamment à travers ses expo à Baubourg…
Beaubourg, oui, Harrypoteur !
C’est comme cela que les gens dégagent avec une rapidité réjouissante des lieux hors du commun. Avant hier soir, les gens qui avaient fait 800 km spécialement pour une avant-première étaient d’une autre étoffe, c’est vrai.
Intra-muros.
Pas enterré à Garches les Gonzesses dans une cuisine ripolinée en orange vif, avec des chaises design.
Bleues.
Et des poufs jaunes citron partout.
Pouf. Pouf.
>Jacques B. comme ils sont réconciliés les deux, je me carapate : à plus.
rose dit: 7 septembre 2013 à 15 h 25 min
>Jacques B.
Daaphnée n’a pas d’enfant : elle est childfree.
avoir les enfants de ses ami-e-s était la réponse qu’avait donnée Genet quand la question lui fut posée .
après tout , Daniel Mendelsohn satisfait son désir de paternité pas seulement en écrivant et en enseignant mais auprès de l’enfant d’une amie , (si je ne me trompe)
Interviewé par Laure Adler on ne peut dire que des conneries, rose !
comme je ne vous lisais déjà pas depuis longtemps des journées dans les backrooms, nous sommes enfin à égalité.
Un vrai crétin ce chaloux.
Je n’ai pas envie de vous donner ici des explications, mais réfléchissez un instant à la question des contraintes. Vous savez qu’est ce une contrainte, n’est-ce pas ?
Bonne journée.-
>Là c’était des kilomètres Jacques : j’ai pensé à nos écrivains que nous lisons, quand nous voyons leur tronche, gueule cassée, ou bien que nous les écoutons.
Là, Boltanski cela m’a fait le même effet : vous avez tout compris : le désastre !
rose dit: 7 septembre 2013 à 15 h 38 min
pipes en tous genres
Chacom, ou Butz-Choquin ? Y a une nuance bon Dieu !
Quel âne, ce Barozzi, de relancer la ros(s)e quand elle annonçait qu’elle se barrait !
Vous éviteriez de parler de Genet si vous aviez su ce qu’il a vécu en taule.
Saint Genet comédien et martyr.
C’est du rififi pour vous remercier de la bouffe et des soins domestiques.
Vous n’êtes rien d’autre qu’une poule au milieu d’autres poules.
Toutes les simagrées autour de la famille recomposée, c’est du pipeau.
Prenez un peu le gentil Poupou pour la relation avec sa belle-fille. Et faites-en vos choux gras. Cela changera du magret ( et du morceau de boeuf dur, l’onglet, avec une vieille échalote dans la sauce).
Par pitié, n’y croyez pas au baratin écrit sur » c’est mes enfants parce que je les nourris ». Le contraire est vrai. Depuis Folcoche et d’autres pères et mères indignes. Mais pas dans ce sens là.
On choisit où on vit, on meurt où on doit mourir.
Ceux qui vous disent le contraire tentent de vous embrouiller.
Et quand je pensais à vous – avant- c’est que je vous vouais, moralement quelques estime.
Hélas, je ne sais qui fait déchoir l’autre : est-ce vous, est-ce lui ?
Le résultat n’est pas folichon.
quelque estime.
Le pluriel serait présomptueux.
Quel fieffé crétin ce renato.
On arrête là mais il fallait que je réponde. Au moins sur ce point. Pour le reste nous avons autre chose à faire.
Ainsi je me posais l’autre question et voilà la réponse.
Rancunier et mauvais perdant.
G20Q et G tout compris,
réponse de vincent mit l’âne dans un pré et 120 dans l’autre :
Peut-être saurez-vous me dire quelle est cette idéologie politique totalitaire qui faisait de femmes qui ne pouvait pas avoir d’enfant, pour une raison X ou Y, des » putes » ou autre de cet accabit ?
Sur le plan psy quelque chose, on peut aussi débattre des dégâts que cela cause à la personne qui en souffre.
Momone de Beauvoir, elle avait réglé son problème: elle n’aimait pas les enfants.
Ils sont quand même incroyables ces parvenus de la culture qui emmerdent le peuple parce qu’ils ont finalement lu un livre !
ça sent le réglement de comptes ici bas !
(Je crois que j’ai compris ce que tu ne voulais pas me dire à propos de quelqu’un et de quelqu’une, rose …)
des journées entières dans les arbres dit: 7 septembre 2013 à 16 h 04 min
demandez à votre editor ses conseils !
Un abruti total, ce renato.
Toto, c’est quoi un « parvenu de la culture »?
La connerie à ce point-là, c’est un don des dieux.
Quant à être « un parvenu » tu n’y es pas du tout. Je te répondrais bien qu’on lisait chez moi quand chez toi on marchait encore à quatre pattes pour bien des siècles encore, mais comme je ne suis pas bien certain que ce soit tellement décisif, je laisse tomber.
Que c’est une mortadelle pourrie ce Chaloux
rose dit: 7 septembre 2013 à 15 h 40 min
C’est incroyablement indécent de faire lire la bibliothèque de son fils par une femme qui n’est pas sa mère.
Autrement dit, la SEULE femme qui ait l, e droit de « lire la bibliothèque de son fils ».
G20Q et G tout compris,
ne cherchez plus.
La réponse exacte à la question combien y-a-t-il d’ânes ? est : 121.
Laissez tomber, il vaut mieux.
Et voilà, tu le traites de parvenu et il sort ses quartiers de noblesse.
Autrement dit, la SEULE femme qui ait le droit de « lire la bibliothèque de son fils », c’est SA môman… épicétou !
Mieux vaut des quartiers de noblesse qu’une ascendance de pizzaiolo.
Je me suis arrêtée à « je bande mou »
et au post de 21h11 où on apprend que Daaphnée lit la bibliothèque de son beau-fils. Mais en vertu de quoi vous vous arrogez le droit le droit de lire la bibliothèque de ce môme ?
Vous êtes d’une indécence qui me dégoûte.
Que perdre à vous perdre ?
Non mais viens un peu répéter ça derrière l’église à Colmar, espèce d’escalope !
Certes, Toto, je crois que ça vaut mieux pour l’un et l’autre de laisser tomber.
Dans le pire des cas nous sommes aussi cons l’un que l’autre, mais inconciliables.
Ben non.
Pas sa mère.
C’est la fille qui vivra avec lui.
Epicétout.
Vous êtes d’un niveau de connerie qui me stupéfie autant que Boltanski interviewé par Laure Adler.
Le faire c’est normal, la curiosité c’est normal aussi mais dire à l’autre « non » c’est la moindre des choses pour respecter ce gosse.
C’est pire que la misère sexuelle, c’est la misère tout court.
« Eh, oh, la rose ! Tu vas foutre la paix à ma Daaphnée, oui ! Tu veux que je me fâche ? » (écrit sous la dictée du patron)
Toto toi-même ! Est-ce que je t’appelle Loulou ?
Rose, c’est l’heure de vos petits bonbons…(tiens! comme dirait Daaphnée)…roses, justement.
ça va JC ?
Le vicomte de Chaloux a lu 4 livres, 1 par quartier de noblesse, soit :
1 Guy Des Cars
1 Delly
1 Barbara Cartland
1 Gonzague Saint-Bris
ça va ! Et toi ?
Moi , ça va …
ma mère..tout ca cest la faute a baroz qui pouvais pas fermé sa geueule épicétou..dsk vdqs..
En déménageant aussi j’ai lu des carnets de ma belle-mère qui ne me regardaient pas. Mon mec m’a dit je t’interdis de les lire ou je veux pas que tu les lises et bien je ne les ai pas lus plus loin que ce que j’avais déjà lu.
C’est à toi de lire ces bouquins si tu veux comprendre quelque chose à ce môme que tu ne connais pas.
Le mieux c’est de ne rien lire. D’attendre. De lui parler. Plus tard. Quand il sera prêt.
Vous devriez aller prendre des cours tous les deux.
Moi, j’ai présenté des excuses IRL pour le connasse de l’autre jour. D’où l’intérêt de s’engueuler ici.
Je peux me moquer, de la viande des grisons, des fromages je peux bouter, jouter etc. mais tenir de tels propos dévastateurs systématiques comme cela : j’en suis -le met ne me vient pas. C’est la misère.
Le champion du poncif ! il aurait pu dire, que sais-je, ‘glacier ambulant’, non, il a dit pizzaiolo, comme n’importe quel ‘ballast’ de bistrot.
..sinon pour faire passé la gousse daille tas le vinaigre de framboise tiède mais faut un entonoir passque ca retréci ltroudbal..
le mot ne me vient pas.
Chaloux je vous ai lu aussi.
Bon : pas d’autre solution que de vous laisser en tête à tête, prêt à commettre d’autres erreurs grossières.
« parvenu de la culture »
…fallait la sortir, celle là… Elle est sublime !…
Ici, plus personne ne mange de pizza depuis longtemps. Et en plus, vous êtes ringards.
En fait LML a raison : l’association daaphnée et ses avatars mielleux et la partie « je bande mou » vous êtes une catastrophe ambulante. Tout est bon pour vous -comme dans le cochon.
Dans son entretien avec Bernard Pivot, Michel Tournier dit presque mot pour mot « Delly, ce n’est pas si mal ». Les Delly (le frère et la sœur) sont un sujet de roman à eux tout seuls, ils vivaient enfermés dans leur appartement de Versailles dont ils ne sortaient jamais.
Guy des Cars, jamais lu, mais je l’ai vu dans mon enfance, éducation parfaite, grande impression.
Les deux autres, connais pas sauf que j’aimerais bien être propriétaire du Clos Lucé.
comme n’importe quel ‘ballast’ de bistrot
pizzayolo cest plu tarte..tu dvrait relire vonclausevitch renato pour améioré ta tactic..
Oui, Rose, c’est une idée de me laisser à mes erreurs grossières,- je vous laisse au vôtres.
rose dit: 7 septembre 2013 à 16 h 19 min
… au post de 21h11 où on apprend que Daaphnée lit la bibliothèque de son beau-fils.
Nooon ! C’est… c’est… (Tiens, j’en ai le souffle coupé d’indignation).
Daphnée, veillez à mieux sélectionner vos employés de maison et à ne surtout jamais retenir ces femmes de ménage qui se piquent de lire : voyez le résultat.
Qu’apprends-je ? De renato ou de Chaloux, le plus con serait Chaloux ?
Oui enfin, ce n’est certainement pas une donnée absolue. Il y a bien des gens dont il nous semble préférable qu’ils nous prennent pour des cons. Que ferait-on de leur estime?
La pizza c’est très bon ; je me demande si François premier et Nabulione au pont du Garigliano s’en faisaient livrer au milieu de leurs cartes…
Je me souviens avoir eu à traduire des passages du « Londres » de PM. Plutôt gratifiant. J’étais jeunot et connaissais mal le personnage. Depuis, la découverte de certains faits et gestes de l’homme pressé et surtout des saloperies proférées à l’égard des miens, m’ont inspiré un dégoût irrémissible pour l’homme et l’oeuvre que Je laisse aux nostalgiques et aux phantasmeurs d’une valeur intrinsèque du style. La vie est courte et il est a tant à lire.
Sur Londres, romans mis à part, les indépassables me semblent être Le Juif errant est arrivé, d’Albert Londres (comme de juste), The Great Metropolis, qui date de l’expo universelle de 1851 (en ai oublié l’auteur), et la biographie citadine de Peter Ackroyd, qui est à celle de Boris Johnson ce qu’Hampstead Heath est à Clapham Common.
C’est vrai, pizzaïolo c’est trop joyeux.
Renato est un peu morne, ce n’est pas lui.
Je cherche…je trouve !
Loufiat !
« Bouffer une pizza familiale sur le pont du Garigliano, par grand vent, c’est l’assurance de la prendre en pleine gueule »
Napoleone / Mes Pizzas 1860
Entre lire Paul Morand et admirer Bloom le débinant, il n’y a pas à hésiter…
JC….. dit: 7 septembre 2013 à 16 h 51 min
« Bouffer une pizza familiale sur le pont du Garigliano, par grand vent, c’est l’assurance de la prendre en pleine gueule »
Napoleone / Mes Pizzas 1860
Oui mais c’était Bayard, au pont du Garigliano ; et lui était fer-vêtu…
Leo Bloom Pold dit: 7 septembre 2013 à 16 h 47 min
« La vie est courte et il est a tant à lire. »
Prenez un abonnement à un quotidien français. A force de Guardian vous camarguez dans la syntaxe.
Pi: Excellent « Dublin » de Pierre Joannon. A lire en stéréo avec l’étonnant « Come Here to Me! » oeuvre d’un brillant trio de jeunes historiens: Donal Fallon, Ciarán Murray et Sam McGrath.
« Loufiat ! »
Si le client est un cul mal lavé de votre espèce, il y a de quoi être un peu morne…
Il est tant de connards…
Dur ! Dur de bosser pour tant de connards quand on est un aristocrate délocalisé de la culture !…
…on se fait une raison : l’électeur, au jugement sûr, à la culture de parvenu, a toujours raison en médiocratie…
rose dit: 7 septembre 2013 à 15 h 33 min
« Boltanski a des œuvres partout sur une île au large du Japon, en Tasmanie. Ce qui pourrait expliquer. »:
Vous avez une notion du large assez étonnant, la Tasmanie se trouve au sud de l’Australie.
« Depuis, la découverte de certains faits et gestes de l’homme pressé et surtout des saloperies proférées à l’égard des miens, m’ont inspiré un dégoût irrémissible pour l’homme et l’oeuvre »
Voilà, Bloom, c’est une raison nécessaire et à vous suffisante.
D’autres ont lu Morand comme un excellent cavalier, et une bête féroce.
Vous faites trois erreurs JC, mais chez vous c’est habituel, je ne suis pas « un aristocrate délocalisé de la culture », et pour trois raisons simples que je vous laisse le soin de deviner.
Leo Bloom Pold dit: 7 septembre 2013 à 17 h 08 min
Il est tant de connards…
You mean « canards » : Le Monde, Libération, Le Figaro, la Provence, etc.
Leo Bloom Pold dit: 7 septembre 2013 à 16 h 47 min
Barrès est un rude cas.
Dans le « 1900 » de Paul Morand:
« »Personne ne nie qu’il y ait une question juive » écrit Barrès dans ses cahiers, en l’année 1900. Il ajoute des conditions générales: »La race sémitique se reconnaît presque uniquement à des caractères négatifs, elle n’a ni mythologie, ni épopée, ni science, ni fiction, ni philosophie, ni arts plastiques ». Il se demande s’il faut détruire les juifs. En tout cas, conclut-il, leur formation spéciale nous invite à les mettre en observation » »
1900, Paul Morand, « Oeuvres », 1981, Flammarion, p. 334.
Texte abject qui sent la pourriture à plein nez, et illustre aussi d’une atroce manière l’immense inculture de Barrès (suffit de feuilleter Les Maîtres pour s’en apercevoir et de lire Mes Années chez Barrès des frères Tharaud: Barrès n’était pas grand lecteur, il feuilletait et posait, et il n’a jamais dépassé les lectures de ses années de lycée), car ce qu’il affirme à propos de la culture juive est évidemment absurde et faux. C’est même tout le contraire.
Sans rien dire de la décision de Morand de remettre en circulation de tels propos en 1930.
C’est vrai que c’est vraiment gerbant. Je comprends ce que vous voulez dire.
« elle n’a ni mythologie, ni épopée, ni science, ni fiction, ni philosophie, ni arts plastiques »
On dirait le discours de Dakar.
renato dit: 7 septembre 2013 à 17 h 07 min
« un cul mal lavé de votre espèce »
Le vrai registre de Toto.
Chassez le naturel, il revient en rampant.
Je ne vais quand même pas écrire derrière mal lavé comme à l’époque de Jules Renard !
Cela dit comment vous définir autrement ?
Un loufiat, on vous dit…
Toto, est-ce qu’il serait pas un peu l’heure d »aller dresser les tables au rez-de-chaussée?
Tu te rappelles de ce que t’as dit la patronne? Si tu continues à être, elle reprend la chambrette qu’elle te prête !
Eh, oui ! comment le définir autrement ?
A être EN RETARD, Toto, à être EN RETARD.
renato dit: 7 septembre 2013 à 17 h 29 min
« Je ne vais quand même pas écrire »
C’est pas les mots, Toto, c’est le registre. Mais c’est certain, c’est une distinction que tu peux pas comprendre.Tu le prouves chaque jour.
Que te répondre, si ce n’est que toi tu pourris par la tête.
On te sent d’ici.
renato dit: 7 septembre 2013 à 17 h 19 min
Vous faites trois erreurs JC,
Et vous une seule, Renato ! De taille… le message concerne ce fat de Bloommie !!!
des journées entières dans les arbres dit:
On dirait le discours de Dakar.
Ha mais là les blockhaus par exemple ils ont tenu…
Vu votre niveau pourquoi faire de manières ?
Remarque, Toto, que toi aussi, ça devient de plus en plus difficile de « te définir autrement ».
Un loufiat rampant qui pourrit par la tête…
Mal lavé, mal lavé, « grand fécal » ça au moins c’était causé…
Ah ! ces trois points ! ça sent le pq recyclé.
C’est vrai Sergio, mais il aurait compris ?
La fameux niveau de Toto, qui répète comme le fat qu’il est, à longueur d’années, trois phrases qu’il est incapable de comprendre et que sa naïveté, son ignorance et sa crasse bêtise vident de tout contenu et rendent ridicules.
Le super niveau de Toto… Qui pourrait l’envier?
» … le message concerne ce fat de Bloommie !!! »
Au temps pour moi.
C’est vrai renato…c’est l’heure que la communauté objective…au cul mal lavé… se torche…
Retire tes lunettes.
renato dit: 7 septembre 2013 à 17 h 47 min
« Au temps pour moi. »
Autant, suspends ton vol !
il nous semble préférable qu’ils nous prennent pour des cons. Que ferait-on de leur estime?
me suis fait taper sur les doigts pour avoir écrit ici un truc semblable
dans la vie on peut aussi apprendre un peu trop tard que la réalité n’est pas vraiment conforme aux apparences.. on peut toujours googler..
bouguereau dit: 7 septembre 2013 à 14 h 08 min
cqui me plait baroz, c’est qu’ici je régresse
Moi aussi !
renato dit: 7 septembre 2013 à 17 h 45 min
il aurait compris ?
Ben oui on a eu un billet ; d’ailleurs Passou devrait nous faire des interros tous les lundis, et une compo à la fin du trimestre…
« … interros tous les lundis, et une compo à la fin du trimestre… »
Ah ! mais là ça devient un travail !
12 . « Pour Virilio, l’apparition du cyberespace marque le primat du temps sur l’étendue », Marc Augé, « Le nouvel espace-temps de l’anthropologie », in J. Hainard et R. Kaehr, Dire les autres Réflexions et pratiques ethnologiques, éd. Payot, 1997, p. 10.
ce n’est qu »ue footnote d’un entretien qui traverse les thèmes de nombreux billets
http://revel.unice.fr/alliage/index.html?id=3390
renato dit: 7 septembre 2013 à 17 h 45 min
C’est vrai Sergio, mais il aurait compris ?
Il serait très très très fort… Comprendre un truc écrit… par un mec qui comprend jamais rien…Quel exploit…
» Paul Virilio décrit ainsi cette évolution et l’importance de la techno-science comme relais idéologique :
« Le premier conflit mondial marque la fin des relations privilégiées entre les vieilles religions et les jeunes États militaro-industriels. Ces États, fondés comme en Union soviétique sur la violence ouverte, ont besoin pour être acceptés du plus grand nombre […] de créer une unanimité nouvelle, d’où l’urgente nécessité d’imposer aux masses des cultes de remplacement. Le matérialisme mystique et scientiste du XIXe siècle, en parvenant au pouvoir, se transforme en une réalisation des miracles de la science par la technique, le pseudo-avènement de la Raison dans l’Histoire devient paradoxalement celui d’un fatras cultuel, un syncrétisme technophile. »3
http://revel.unice.fr/alliage/?id=3559
@ Garçon! de quoi écrire/Communauté objective/Colis que renato prend en pleine tronche
Nous savons que vous êtes Chaloux. Variez votre style.
Essuie-toi le nez, mon Rena-Toto, t’es plein de m…
Comment?… Par en dessous?… C’en est aussi?…
Mais alors?… T’es en m…? Tout entier?…
Etant donné ton niveau, pourquoi faire plus de manières?
Puisque tu m’en donnes la permission…Tu seras traité ainsi chaque jour.
@ J’ai vingt culs plus un tout compris : n’avez-vous donc aucune pudeur ?
@ Secrétariat de renato : ta mère en bermuda sur une motoneige !
Faite seulement, vous aussi vous avez droit à l’expression…
@Secrétariat de renato
la tienne en chaussettes dans un lavomatic !
renato dit: 7 septembre 2013 à 18 h 05 min
« Ah ! mais là ça devient un travail ! »
Crainte manifeste qu’on lui sucre son minimum vieillesse.
Oups ! @Secrétariat de Chaloux, ld 18 h 27
A secrétariat du secrétariat de renato dit: 7 septembre
Ta mère toute nue sur le parking du supermarché.
Lo Pic dit: 7 septembre 2013 à 10 h 43 min
Précision : je n’ai rien à voir avec les gens que vous citez. Observez le ! Je ne suis qu’un lecteur lambda de la RDL, qui en a marre mais marre des commentaires sans aucun rapport avec l’article. Ni d’ailleurs avec l’intelligence et la courtoisie des échanges lisibles.
A secrétariat du secrétariat de Chaloux dit: 7 septembre
Ta sœur en petite culotte chez le dentiste !
Achtung !
Comprendre un truc écrit… par un mec qui comprend jamais rien…Quel exploit…
Dans un autre genre, trop faire exprès de jouer au nul ne risque pas de passer pour un exploit mais bien plus de se voir très très mal reçu, juste pour enfoncer les portes ouvertes, hein..
Mékilékon ! dit: 7 septembre 2013 à 18 h 31 min
un lecteur lambda ? vous êtes trop modeste, Chaloux.
Secrétariat du secrétariat de renato dit: 7 septembre 2013 à 18 h 33 min
Raté, j’ai pas de soeur.
Ton petit frère en bermuda dans le magasin de sucettes!
tnassihcélfér xuolahC.
Ah non, tous les pseudos que vous voulez mais celui de Mékilékon (qui doit l’être vraiment) ce type qui joue au connard menteur, qui n’arrête pas de m’insulter et joue les vierges effarouchées. J’endosse pas.
ce type qui joue au connard menteur, qui n’arrête pas de m’insulter et joue les vierges effarouchées.
renato ?
miroir, mon beau miroir dit: 7 septembre 2013 à 18 h 39 min
tnasuma’s drannoc
? « drannoc » iouqruoP ?
Moi j’aimais bien « glacier-ambulant », avec renato en sosie de Darry Cowl, c’est plus folklo-rigolo !
Sinon, je suis comme sergio, j’aime bien de tant à autre une bonne pizza !
Concave, je grossis.
« Dans le « 1900″ de Paul Morand » … Texte abject qui sent la pourriture à plein nez »
sapré Morand ! ce passage c’est justement mon préféré ! hurk hurk hurk !
ça flingue autant que chez Popol
miroir, mon beau miroir dit: 7 septembre 2013 à 18 h 42 min
« marre mais marre », m’étonnerait que ce soit ce pauvre Toto.
Tendance hystérique et porcellette:
l’ignardissime prof de collège qui se referait une virginité ?
Harrypoteur dit: 7 septembre 2013 à 18 h 49 min
ça flingue
Faut ce qu’il faut. Sinon on s’emmerderait.
Trève de plaisanterie !
En rentrant de ma promenade, j’ai croisé une grande métisse tapageuse, qui doit faire le tapin, derrière chez moi, du côté du cimetière. Elle était guillerette, toute moulée de cuir, une perruque de cheveux lisses blond-roux. Son portable dans une main et une canette de bière dans l’autre. Elle parlait à voix haute et j’ai pu voir qu’au fond de sa bouche brille le plomb de ses dents manquantes. A part ça, elle en jette. Elle a une beauté murissante du genre en danger ! Une trentaine, peut-être moins. Ce pourrait même être un travello ? L’autre jour, je l’avais vue pour la première fois, en partant en début d’après-midi me balader comme à mon habitude. Le soir, en rentrant, comme aujourd’hui, elle gisait en ronflant, étendue de tous son long sur le trottoir, l’entrecuisse trempé de toute la bière rendue…
Une femme voilée est arrivée vers nous. Elle a jeté un regard sombre sur la créature à terre puis a passé rapidement son chemin. Le contraste de ces deux femmes, l’une voilée, l’autre avachie, fut particulièrement saississant !
à suivre…
Le contraste de ces deux femmes, l’une voilée, l’autre avachie, fut particulièrement saississant !
..et toi t’étais bien raccord
c’est pas quantique baroz..t’es l’observateur qui a empéché des trucs..ou qui en a provoqué façon gonzo
..enfant d’putain..ça s’encule comme dans une bédé de..merde j’ai oublié son nom..un gars des 70’s là..
ça flingue autant que chez Popol
moi jvois toujours en rose..c’est mon coté positif
Comme je me baladais du côté des nouveaux quartiers de Seine-Rive-gauche, je suis entré chez Gibert-Joseph. J’y ai trouvé un exemplaire d’occasion de Vies de Job en folio (5 euros). Je ne pouvais laisser passer l’occasion, justement, comme aurait dit Daaphnée ! Du coup je me suis royalement offert en prime La Vérité sur Marie, en poche-minuit, de Jean-Philippe Toussaint (7 euros). Je deviens aussi radin que renato, mais moi pour de bonnes raisons, je suis pauvre !
Le Toussaint, avec sa Marie, une bite molle dans la main, c’est plutôt plaisant et bien écrit, on dirait du polar sans le crime.
à suivre, un extrait du Assouline…
Je quitte la RDL, cette fois définitivement. Renato m’a fait prendre conscience que vous êtes presque tous (à l’exception de quelques uns qui se reconnaîtront), à son image, d’infâmes aptères.
De plus ma femme vient de me dire : « Si tu postes encore une fois, je demande le divorce ».
J’ai dû négocier sec pour ce message d’adieu.
Comme vous le comprendrez, c’est un cas de force majeure, car « à mon âge et avec la gueule que j’ai », comme disait Marguerite Moreno, on sait ce qu’on perd mais on ne sait pas ce qu’on trouve. De plus, je n’ai aucune envie d’être obligé de vendre mes propriétés foncières, heureusement assez nombreuses, uniquement pour le plaisir de perdre mon temps à discuter avec des punaises de lit, des cloportes, des sangsues, des morbachs, des ténias plathelminthes (le ténia est un ver de cette catégorie), des torcheculs qui n’ont même pas la courtoisie de retirer leurs lunettes avant l’opération, et encore moins avec un « photographe » de merde, qui ne pense qu’avec son insondable vanité, se prend pour Dieu le Père, et en la personne de qui votre petit monde trouve son parfait résumé.
Voila, je vous dis adieu, bon vent, et souhaite tout le bonheur possible même à la dernière des créatures de ce blog qui se reconnaîtra.
Je ne reste pas avec vous. Je ne crois pas aux forces de l’esprit. Du moins pas à celles du vôtre.
Hop! je sors, en refermant le couvercle de la bassine où fermente votre puant ragoût.
Chaloux a vécu.Il ne s’en portera que mieux.
Autoportrait du biographe au travail
« …ces trente dernières années, j’ai porté une écharpe hiver comme été quand j’étais Marcel Dassault, j’ai hérité de la fibre ferroviaire de Jean Jardin, j’ai porté un noeud papillon avec Gaston Gallimard comme si je devais me rendre tous les soirs au théâtre (voir sa maitresse)*, j’ai adoré Juan Gris et méprisé Gauguin à force d’être Kahnweiller, je me suis vissé une pipe dans les dents à la Simenon, j’ai été femme jusqu’à (au bout des seins)* regarder la société à travers les yeux de la baronne Betty, j’espère porter le fer dans la plaie et ne connaitre d’autre ligne que celle des chemins de fer d’Albert Londres chaque fois que j’écris un article – autant dire tous les jours -, je me suis persuadé avec Paul Durant-Ruel que le vrai chef-d’oeuvre consiste à durer. J’ai été pris par le pur démon de la ligne claire à force de suivre Hergé, je me suis cru le dernier des Camondo dans l’intime conviction que ma lignée s’éteindrait tragiquement, je vois encore le monde en géomètre par fidélité à Cartier-Bresson…
Je sais déjà que je vais régulièrement me surprendre à me demander ce qu’aurait fait Job en telle circonstance. »
(« Vie de Jobs », prologue)
*Note du commentateur.
Je ne suis pas radin, Jacques : je prête attention à mes sous.
Autant dans le texte de Chaloux, qui précède celui d’Assouline, que dans le sien, on sent, comment dire, le style particulier propre aux pages des commentaires erdéliens : un certain panache ironique, nique !
Espérons qu’Istanbul soit choisie pour les jeux olympiques, ce soir. Misons pour la modernité et la jeunesse turque cosmopolite et ouverte au monde des grandes villes ! Faisons reculer le voile des hommes et des femmes !
Pour Tokio et Madrid, c’est mois grave, ils ont la démocratie.
Et c’est aussi un message pour dire au Japon, mollo sur le nucléaire, gérez comme il se doit les centrales que vous avez déjà. Et à l’Espagne et au reste de l’Europe : Cessez de pleurnicher sur votre sort et retournez-vous un peu les manches : au boulot !
j’ai un tome 2 (200 pages), ça s’appelle « une auréole de cendres »…c’est bien trouvé, non ?
c’est libre de droits, bien entendu
Chaloux, vous devriez revenir, vous êtes con, mais vous êtes lisible.
Reviens Chaloux ! Reviens ! Par pitié…
Salut les vieux,
Ce soir je suis sobre. Rien bu. Même pas une goutte. Je suis aussi sobre qu’un mollah de Qom, c’est dire… Donc, je vais peut-être poster un commentaire propre, ni ordurier ni insane, clean, quoi… Je ne vais même pas chambrer Renato !
Alors, je… heu… enfin… Meeeeeerrrde, Renato, t’es un salaud, un saligaud… j’aurais ta peau Renatooooooo !!!!!
Pour les JO, c’est simple à obtenir.
Il suffit de beaucoup d’argent pour corrompre les bedonnants sapés du CIO, ceux qui ne sont pas rentrés dans l’histoire mais qui préfèrent rentrer dans les banques pour déposer le pognon.
L’idéal olympique ? Mon cul !…. Le CIO, c’est le Vatican en pire.
Reviens JC, reviens, please.
Depuis ton suicide raté -un peu à l’image de ta vie tout aussi ratée d’ailleurs- tu nous manques, JC, terriblement.
Dis-moi, JC, tu te sens comment maintenant ? Comme un revenant, un spectre ou un poltergeist ? Hououououou…
Je suis là, Anatotole, je suis là ! N’aie pas peur….
Je propose une paix des braves entre Chaloux, JC et renato.
Comme médiateur, on peut envoyer Pablo, qui s’est révélé fort raisonnable, après m’avoir infligé un caillassage (pourquoi diable, Pablo?).
Ozzie?
Possible aussi, mais accompagné de Barbara.
Et ta zigounette à ressort, Totole, tu en es content ? Tu sais que j’ai le modèle au dessus … si nécessaire.
Je te recommande « Roman avec cocaïne », d’Aguéev ! Prodigieux ! inouï…
Tu t’en fous ? Oublie … Cool !
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