Ne tirez pas sur l’« editor » !
C’est un rouage essentiel de la rentrée littéraire mais vous ne le verrez pas, vous ne saurez pas son nom et vous ignorerez à quoi il ressemble. Pas un des quelque cinq cents romans français et étrangers mis en circulation actuellement qui ne porte son empreinte invisible. Il est tellement mystérieux que sa fonction ne porte même d’intitulé précis en français. Comment l’appelle-t-on ? On ne l’appelle pas. C’est dire s’il est discret, secret même. En anglais, on dit qu’il l’est l’editor, pour mieux le distinguer du publisher. Le premier travaille sur les textes, le second dirige la boîte. L’un lit, l’autre compte. Celui qui murmure à l’oreille des auteurs et celui qui gueule sur les employés. En français, malheureusement, un mot unique désigne les deux fonctions « éditeur ». Ce qui crée la confusion. On pourrait dire « directeur littéraire » mais cela ne va pas car le plus souvent, ce gradé du haut du haut personnel de l’édition n’intervient guère directement sur le manuscrit. Alors autorisons-nous l’anglicisme à peine abusif, disons editor et basta !
Parfois, on s’étrangle à la lecture de certains romans. On se dit que là, « il » aurait dû intervenir ; on ne comprend pas que plus loin il ait passé cela. Ainsi, ces jours-ci, en lisant le très réussi roman de Karine Tuil L’invention de nos vies, on regrette que son soldat inconnu des Lettres ne lui ait pas conseillé de supprimer cette affèterie devenu tic d’écriture : » ce corps qui désire posséder/jouir/désirer » ou « cet appartement sobre/chic/bourgeois » ou » « ce qui était important pour elle : être connue/ reconnue/aimée/valorisée/vue ». Avec Les renards pâles, on ne comprend pas que, malgré le contexte etc, « il » n’ait pas suggéré à Yannick Haënel de renoncer à écrire : « Lorsque plus personne n’a de papiers, est-il encore possible de repérer les sans-papiers ? » ce qui eut été difficile, il est vrai, car c’est la phrase-clé. Pour le Moment d’un couple de Nelly Alard, que n’a-t-il imposé de supprimer, entre autres, malgré ce qu’il y a avant et après : « To be or not to be. Etre ou ne pas être. Vivre, ou mourir. Sucer ou ne pas sucer ». Et pour L’échange des princesses, si précis et si précieux, que n’a-t-il poussé à l’émonder de ses « cet enfoiré de Villeroy », et autres « vous êtes un as » qui ne fleurent pas vraiment le siècle des Lumières comme le reste. Et pour la Claire-fontaine, que n’a-t-il fait admettre à David Bosc que son beau récit est gâté par d’énigmatiques affèteries telles que « un bonheur silencieux dont on serait la coupe ». Quant à de Denis Tillinac, il aurait pu lui faire faire l’économie de « En moi les portes de l’amour ne s’ouvrent que si je m’agenouille dans une église, ou me fige dans la contemplation d’une œuvre » pour sa Nuit étoilée. Etc, etc
Guère de livres, d’auteurs, de maisons d’édition qui y échappent. Et quand « il » laisse passer, c’est d’autant plus regrettable que cela jette une ombre sur un bon livre. Si Proust avait eu un editor, aurait-il laissé passer les vertèbres sur le front de la tante Léonie, et la Recherche y aurait-elle perdu ? Enfin, quoi ! Un editor, cela sert à ça, justement ! Ce n’est pas de la censure : juste un conseil avisé mais fermement tenu jusqu’à ce que l’auteur soit convaincu. Souvent, cela va plus loin : réorganisation du plan, suppression d’un chapitre, restructuration, souci de cohérence du récit, correction d’une syntaxe fautive, toutes choses qui interviennent en amont du travail du correcteur et de celui du réviseur. C’est dire son rôle est décisif car il apporte le premier vrai regard critique sur le texte.
J’y repensais en recevant l’édition de poche de Ciseaux (210 pages, 7,20 euros, Pocket), troisième roman, astucieux et ravageur, de Stéphane Michaka paru il y a un an chez Fayard. Il y raconte sans voile l’étrange relation nouée pendant des années entre Raymond Carver l’écrivain-culte américain par excellence, et son editor Gordon Lish qui commença par publier ses nouvelles dans Esquire avant d’aller plus loin. L’affaire a éclaté lorsque, des années après la mort de Carver, son editor, qui a tout de l’écrivain frustré celui-là (pas le cas de tous, il s’en faut), a cru bon révéler publiquement l’ampleur de son travail sur les manuscrits de l’icône littéraire Carver. On ne pouvait qu’en déduire qu’il l’avait tellement réécrit, émondé, trituré, peaufiné, lishé pour tout dire, que les nouvelles étaient davantage de sa plume que de celle de son ami. Et qu’au fond, il en était l’auteur. Michaka raconte ce charcutage avec humour et finesse, sans oublier le rôle de la veuve abusive (pléonasme, elles le sont toujours, par principe, surtout du vivant du grand homme). Il ne s’agit pas d’une fiction biographique mais de l’exploration de cette douce folie par laquelle un homme rongé par l’alcool, qui s’enbourbonnise à mort faute d’être reconnu pour ce qu’il est, tente d’échapper à sa condition par l’écriture – avant d’y être ramené par un editor qui a voulu passer du statut de Pygmalion à celui de Méphisto. Le piquant de l’affaire est dans la parution très attendue de Ciseaux aux Etats-Unis chez Random House (Nan A. Talese/ Doubleday). Le texte, excellemment traduit par John Cullen du point de vue de l’auteur, est le même, mais pas la « Note de l’auteur » en liminaire. Disons qu’elle a été légèrement… « édité ». Jugez-en par vous-même :
« Ciseaux est une œuvre de fiction. L’intrigue de ce roman est librement inspirée de la relation entre Raymond Carver et son éditeur Gordon Lish. Les propos des personnages, tous comme les quatre nouvelles insérées dans Ciseaux, sont de mon invention. Pour un aperçu non fictionnel de la vie de Raymond Carver, on se reportera à la bibliographie en fin de volume ».
Et cela devient, à l’insu de l’auteur, une fois passé à la moulinette du principe de précaution :
« Scissors is a work of fiction. Although I have used some publicly known facts from Raymond Carver’s life and from his relationship with his editor, Gordon Lish, the characters in this novel are loosely based, rather than closely modeled, on real-life figures. My character’s words, as well as the four short stories included in Scissors, are all my invention. For nonfictionnal surveys of Raymond Carver’s life and work, which will no doubt continue to inspire readers and writers alike, the reader is directed to the selected bibliography at the end of this volume. »
La blogosphère s’est la première emparée de Scissors et a salué ses qualités. Des sites connus et des blogs parfois confidentiels, animés par des bénévoles, lui ont consacré de longues analyses, parfois même des mini-essais eu égard à ce qui se joue dans le roman. Surtout à une époque où tant le rôle de l’editor que celui du publisher sont contestés sinon récusés par les partisans de l’autoédition (et malgré l’affaire Carver, ne tirez pas sur l’editor !) Un seul grand journal, on ne peut plus professionnel puisque c’est l’organe de la profession, l’a étrillé : Publisher’s weekly. Et pourquoi pas ? Dix lignes assassines, anonymes bien sûr, mais qui lui reprochent d’avoir inséré quatre nouvelles de Carver dans son propre texte, ce qui prouve que le critique n’avait même pas lu la note de l’auteur. Faut-il y voir un signe des temps ? Stéphane Michaka en tire, lui, une leçon :
“Si vous avez la chance de publier un roman aux Etats-Unis, envoyez-le aux amoureux de littérature qui bloguent et twittent depuis leur garage.”
En cette rentrée littéraire, une pensée pour les editors, ces forçats de l’ombre, ces raccommodeurs de manuscrits, ces hommes invisibles ! Tous ne sont pas des Gordon Lish. Encore que, en lisant le savoureux roman de Michaka, et en reprenant le dossier de l’affaire qui avait en son temps suscité une sacrée polémique dans la presse culturelle américaine, on peut légitimement se demander ce qu’il en aurait été du génie de Carver sans Lish. Le roman touche juste quand l’auteur avoue qu’il ne sait pas ce qu’il a voulu dire en utilisant tel mot obscur, mais que l’editor, lui, sait ou prétend savoir. Ou quand l’homme aux ciseaux dégraisse tellement ses textes qu’il fait de « son » écrivain un minimaliste qui s’ignorait.
« J’ai de l’empathie. Mes ciseaux, ce n’est pas pour tailler dans le vif, le rendre méconnaissable. Mais pour que la ressemblance soit totale. Je me regarde dans le miroir et je vois qui ? Lui, ou moi ? »
Sauf que dans cette affaire, à ce niveau d’empathie, cela relève de la psychiatrie.
(« Bunker » photo de Paul Virilio ; « Raymond Carver et sa future veuve Tess Gallagher » photo D.R.)
(et si vous avez deux mots à dire à Stéphane Michaka, il sera l’invité du Thé des écrivains le 17 septembre.)
1 041 Réponses pour Ne tirez pas sur l’« editor » !
u.
Non, ami, non !
c’est bien plus rigolo, la guerre entre les braves …
Université d’été écolo avec Clopine ou alcoolo avec Ozzie?
Ah non, JC, le Vatican c’est plus propre que le CIO.
C’est doré, c’est cossu, c’est encensé, c’est huppé, c’est plein de toiles de Maîtres, c’est pieux comme le bon Dieu, c’est saint et sans gradins et c’est balaise comme Benoît XVI !
Les braves…
« Tous derrière et lui devant »…
Ne commence pas à railler notre zouave suprême, JC.
La paix des braves, comme entre feux Rabin et Arafat !!!
Comme dirait l’autre : » La paix, c’est une trêve entre deux guerres ».
Entre la hache de guerre qu’on fait mine d’enterrer pour mieux l’aiguiser et le pet de paix qu’on jette aux médias pour les embobiner… Moi je préfère roupiller et péter comme un pacha bien empâté !.
Georges De La Tour… Et les flammes surnaturelles des ses bougies, peintes comme des signes lumineux que seuls les mystiques comprennent.
De la flamme à l’âme, des cendres au Phénix, de la mort à l’envol !
A cette lecture, Betty clouée au mur, pour ne pas dire au pilori, ne doit plus se sentir d’aise.
Elle est tellement, comment dire, tellement femme du monde. Voilà qui va apaiser sa jalousie, et faire taire ces petits ricanements absolument charmants qui ne passaient pas le seuil de sa bouche.
J’ai fait quelques corrections. (Je ne peux tout de même pas m’éclipser sur une incorrection…).
Ma femme m’autorise à revenir un instant pour contredire Pierre Assouline. C’est un « au revoir » comme un autre:
Que « le vrai chef d’œuvre consiste à durer », c’est une plaisanterie.
On reconnaît le vrai chef d’œuvre non au fait qu’il dure mais en ce qu’il est capable de mourir et de ressusciter, autant de fois que nécessaire. Voir Shakespeare, Les Tragiques grecs, Bach redécouvert au XIXe siècle par Mendelssohn et quelques autres, Proust dormant pendant presque trois décennies (parfaitement mises à profit par Gide pour le dénigrer copieusement). Pour ne rien dire d’immenses génies comme Georges de la Tour, dont les tableaux encore répertoriés étaient jusque vers 1900 systématiquement attribués à d’autres peintres. C’est dire s’il avait complètement disparu. La Tour était si parfaitement mort que sa singularité qu’on ne confondrait aujourd’hui avec aucune autre, se survivait sous d’autres noms, ce qui est tout de même assez extraordinaire, – tellement extraordinaire qu’on se demande si une part de la théorie des noms de Proust ne viendrait pas un peu de là. Bruegel négligé jusque vers 1920, jusqu’à ce qu’un essai de Dvorak dessille les yeux des spécialistes et lui rende sa place parmi les premiers. Et Saint-Simon, et Casanova, si grands qu’ils n’ont même pris la peine que de leur résurrection. Vivre, mourir et ressusciter, Un Autre en avait depuis longtemps donné l’exemple, dont un écho se trouve chez Goethe, écho qui n’est pas très éloigné d’être une formule alchimique, (Presque tout l’essentiel se trouve chez Goethe) : « Meurs et deviens ».
C’est ce que fait Chaloux à l’instant même.
Le jeune s’arrête avec la venue de la nuit et la montée du Jour du Saigneur, qui est toujours jour de fête.
J’aimerais un peu plus de compassion, voire de tendresse les uns envers les autres; je parle sérieusement.
Seigneur, je vous assure que je ne l’ai pas fait exprès.
Chaloux, j’espère que vous avez prié un peu.
>TKT une île au large du Japon et la Tasmanie.
Et aussi la Tasmanie où l’animal fétiche ressemble à un gros rat.
meurs et deviens ?
C’est nietzschéen, ça.
Ce qui ne tue pas rend plus fort.
Sergio, je n’ai pas vu les restes « archéologiques » de l’Opération Menace.
Virilio:
« More specifically, under the Occupation, we in Nantes were denied access to the coast of the Atlantic Ocean. It was therefore not until after the War was over that I saw the sea for the first time, in the vicinity of St Nazaire »
A Saint-Nazaire, y reste un gros bunker.
http://www.pavillon-arsenal.com/img/conference/202/cp/PAV_202_CP.pdf
C’est très mal parti pour la compassion et encore plus mal pour la tendresse.
@des journées entières dans les arbres
T’es toujours là le primate ?
Ta demi-cervelle de babouin va bien ?
T’as pas mal au cul vu qu’il est toujours gonflé ?
T’as mangé ta ration quotidienne de cacahuètes ?
« L’homme descend du singe et la femme descend du songe ».
L’homme pas le primate !
La compassion, comme la tolérance, y a des maisons pour cela.
Et la tendresse aussi bordel !!!!!
Anatole,
A force de descendre,
pensez à remonter.
« Meurs et deviens »
Pour vous, c’est plutôt Meurs et reviens, Chaloux !
A demain.
ceci réconfortera-t-il Chaloux au point de revenir :
dans un ancien mag litt, je list un article sur Nadeau qui rappelle que « l’édition est une entreprise et un commerce où la qualité ne prévaut pas » et que « des fonds d’éditeurs tombés dans l’oubli éternel ont nourri après coup le catalogue de la major Gallimard »
et le premier exemple est Nathalie Sarraute pêché dans le fonds du libraire Robert Marin
Non, je ne reviendrai pas, Jacques. Je vous assure que Mme Chaloux est extrêmement fâchée. Une promesse est une promesse. Et j’ai un travail monstre. Plus le temps de me disperser. Mais je me suis bien amusé. Tout cela très profitable.
(Un sourcil se fronce, j’y vais, – un traité de paix ne se trahit pas au bout de deux heures!).
des journées entières dans les arbres,
A force de vivre dans les arbres à s’y morfondre,
pensez à vous pendre.
précision: il s’agissait de « portrait d’un inconnu » préfacé par Sartre (mag de janv 2003)
Alors, transmettez mes hommages à madame Chaloux, Chaloux, et bonsoir !
Au fait, Chaloux, dans l’excellent extrait de Passou que j’ai cité plus haut, celui-ci n’adhère que par mimétisme aux manies et idées de ses personnages biographiques, ce n’est pas forcément ce qu’il pense lui. A quoi pense-t-il d’ailleurs ?
Anatole
épargnez-moi vos états d’âme.
je lis le lien de G20Q sur « L’Homme coloniaire et le devenir végétal de la société contemporaine »
Pour tout vous dire Anatole, si vous ne savez pas lire, scientifiquement, ça ressemble à du Bergson, avec un souçon de Teilhard de Chardin.
C’est Tokyo, Jacques.
les J.O à TOkyo
Jacques, il y manque peut-être la façon dont il se reconquiert, ou dont il lui est impossible de se reconquérir. (Et je ne me souviens pas, sauf erreur, que ce soit dans le livre que j’ai lu quelques mois après sa parution, et qui contient d’ailleurs des pages vraiment magnifiques,- l’histoire du Grand Rabbin qui passe devant une synagogue, que Pierre Assouline ne reconnait pas et à qu’il demande s’il est juif, – celles vraiment très fortes sur Job lui-même, qui vont jusqu’à la limite de ce qu’on peut dire,- on entend -il faudrait souligner « entend », parce qu’on l’entend vraiment, c’est un phénomène physique, – vibrer la paroi au-delà de laquelle il n’y a plus que l’indicible, et c’est un son que l’on n’oublie jamais plus, qui vous reste perpétuellement dans l’oreille, et toute la grandeur – ce n’est pas le mot grandeur qu’il faudrait employer mais peu importe- de la théologie. Vous allez voir, c’est vraiment un beau livre).
Jacques, j’aurais dû écrire L’Indicible, parce que je crois bien que c’est de Dieu dont il s’agit.
Il disait quoi Jacques Barozi à propos du Japon ?
« Et c’est aussi un message pour dire au Japon, mollo sur le nucléaire, gérez comme il se doit les centrales que vous avez déjà. »
Et pour les tsunamis et les séismes ? ils vont gérer aussi.
Comme les Suisses, si on a suivi le tweet:
« Eboulements, avalanches, inondations, incendies: la littérature suisse résonne du fracas des déchaînements de la nature. »
A bientôt Anatole.
Encore une bourde, ce n’est pas seulement la grandeur de la théologie qu’on entend là (vieux réflexe ou lapsus catho), c’est celle de la religion juive.
lapsus catho..un truc que ta femme est en train de te faire chaloux ?
..j’espère que tu vas peaufiner ton site cheuloux..quand même..tu mets trop la pression..fais gaffe!
En parlant des Vies de Job (hasard ou pas, j’ai acheté cette semaine d’occasion Le Cri de Job de Pierre Cazier, presses de l’université d’Artois), je m’aperçois qu’il s’opère quand on parle des livres, -et c’est sans doute pourquoi je suis venu ici- une distinction capitale et sans appel. Les livres dont on parle et dont on comprend qu’on ne les relira pas, ceux dont on parle et dont on comprend qu’on les relira. Vies de Job appartient à la seconde catégorie.
Gide disait: « Je n’écris pas pour qu’on me lise, j’écris pour qu’on me relise ».
Quelle pression, Le Boug?
des journées,
« … la littérature suisse résonne du fracas des déchaînements de la nature. »
Pour entrer dans « l’idée », un coup d’œil aux paysage de Calame, puis, éventuellement, un voyage en train de Viège à Zermatt par temps maussade :
Et bien bravo pour Tokyo et tous les Japonais !
> cacahuètes
Ouais mais y’avait des raisins de Corinthe aussi. Ils passent pas à la télépathie les raisins de Corinthe ?
Chaloux dit: 7 septembre 2013 à 19 h 18 min
Je quitte la RDL, cette fois définitivement.
à 23 h 10 min, il est toujours là. Pfff..
[(Mais ce n’est pas la première fois qu’il nous fait le coup des adieux..)]
[[((Il ne décrochera pas..))]]
Il faut vous dire que France Culture en organisant 3 jours au Palais de Tokyo a bien fait les choses pour influencer l’inconscient du jury olympique par l’intermédiaire de celui de tous les sportifs auditeurs de FC qui se sont déplacés pour l’occasion. Pour marquer le succès de l’opération, la messe de demain sur FC sera aussi retransmise en direct du palais de Tokyo dans le cadre des émissions produites sur place. Rendez-vous a l’espace fiction.
bravo pour Tokyo et tous les Japonais !
y a du ueda là-dessous
moi qui suis une vieille parigote, je ne sais pas d’où vient cette nouvelle mode qui consiste à dire palais de tokyo au lieu de musée d’art moderne.
Y’avait aussi le physicien de France Culture (c’est pas moi qui l’ai appelé comme ça le premier) qui faisait un peu de gardiennage.
23h53
Je crois qu’elle vient des panneaux à l’entrée de chacun des musées.
Cette fois, j’arrête. Vous n’entendrez plus parler de moi sur la RdL.
Pourquoi y paraît qu’y faut pas me tirer ?
Oh non ! oh non ! reviens, Luc.
Il faut savoir, Edith, que l’un des canaux multiplex es de la RdL est dédié aux rendez vous et comptés rendus de partouzes, mais vous N’êtes pas dans le secret. il faut savoir aussi qu’une négation dans un message court annule le message précédent. Un modérateur signale ainsi à la communauté que votre message est à ne prendre en compte.
Alors la négation dans mon message a annulé celui de Luc ?
Non, car vous n’avez pas écrit le ‘ne’. Qui êtes vous en fait ?
Je ne sais plus trop. Mais ce n’est pas grave puisque le ‘ne’ annule votre question.
Non, ça ne l’annuleas dans notre conversation mais seulement auprès du canal ‘secret défense’. vous n’êtes pas rompue a l’usage classique de la négation ?
Je suis un spécialiste du multiplex. Une partie de mes longues études a porté là-dessus. Posez-moi des questions.
Il es tard et si, je suis rompue. Bonsoir.
…
…le défit d’avoir des enfants,…c’est pas rien,…
…déjà estimé qu’ils sont bien à vous, ces enfants de putes,…
….et non, pas d’un concurrent qui vous fait cocu,…et vole vos possessions par le biais de son rejeton de connivence avec soit disant » votre femme adorée « ,…
…
…or,…aujourd’hui,…avec, la mentalité à Dallas & C°,…toute riches putains,…quoi de plus normal,…ces escroqueries,…à l’héritage,…le fils-châtelain se retrouve forgerons-métayer au four et au moulin,…et le coucou » trou-badourd « , en châtelain des trous de culs,…
…
…Stop ou encore,…
…
…donc, des enfants de qui, de bon – papa,…et vivre dans quelles scolarités,…dans quels Stalag 13,…d’abrutis-victimes de quels persécuteurs,…quand bien-même se sont les vôtres,…les nôtres,…les leurres,…Ah,…Ah,…
…
…vider mes coffres,…Oui,…en châteaux de Versailles pour ne pas rester en ombrages de Nicolas Fouquet,…
…
…un roi » jaloux » de telles stupidités,…est ce un roi,…des trous-coucous, cousus d’or,…Oui,…bien sur,…
…comme si le monde n’existait pas en mieux avant lui,…encore heureux que c’est dans l’Histoire,…tu parle d’une famille » royale « ,…à deux balles,…
…
…il n’y a plus que çà des prétentieux en veux tu en voilà,…etc,…bon dimanche,…etc,…
…
Bonsoir D etc. Vousmultiplexez quoi a part les identités ?
Ma spécialité est l’étalement de spectre par saut de fréquence. Autant le préciser d’emblée.
J’ai fait une thèse là-dessus en 1988.
Je peux vous dire qu’étaler un spectre pour la première fois procure une joie secrète.
Je t’avais demande de ne pas m’appeler fréquence.
Il faudra que j’essaye à l’occasion, mais généralement ils détalent un pe trop vite.
Quelle différence avec une spectro FFT parce que si vous sautez souvent des fréquences y vous reste pas beaucoup de spectre ?
J’ai travaillé pour le programme SETI, les FFT ça me connait, mon petit bonhomme.
Actuellement je travaille sur les modulations gravitationnelles. Elles ont l’avantage immense de traverser la terre entière sans atténuation aucune. Vous saisissez l’intérêt ?
Nous ne sommes pas humains, mais en plus vous ne nous avez pas encore découverts alors tu me cause pas comme ça , mon petit bonhomme.
Mais ce n’est qu’un avantage secondaire.
Connaissez-vous l’avantage essentiel de cette technique ? J’attends la réponse. Osez.
Ça raccourcit le trajet pour la livraison de votre tisane ?
L’avantage n°1, c’est que les ondes gravitationnelles se propagent à une vitesse bien plus grande que celle de la lumière.
Vous saisissez l’intérêt ?
Vie plus grande mais finie quand même ou infinie d’après vous ?
J’en suis très honoré, mais qu’il sache que je ne lâcherai rien sur la technique employée dans les émetteurs.
Vie > Bien (désolé)
Aors c’est pour ça que ça détectées les raisins de Corinthe ?
Désolé : détecte pas : ce clavier virtuel d’Ad est une vraie calamité.
…
…tout cela,…me rappel un » copain » de travail,…des années » 1980 « ,…
…
…il disait en substance qu’aujourd’hui pour bien dormir,…( à cause de toutes sortes d’ondes ),…il fallait dormir dans » l’intérieur d’un espace « ,…aux formes d’une pyramide,…
…
…vous voyez, la scène,…pour le réveil et petit déjeuner,…les enfants allez réveillez Papa dans sa pyramide,…toquez deux-fois,…plutôt qu’une,…etc,…
…
…je dis pas, pas toutes ces éoliennes sur nos têtes,…en plus des rayonnements pour relais d’ordinateurs,…le progrès,…pour se sédimenter,…rien que çà,…etc,…Ah,…Ah,…etc,…
…
…
Ceux qui ont en mémoire une des dernières scènes du « Short Cuts » d’Altman apprécieront d’autant plus la fin de la nouvelle « Tell The Women We’re Going » de Carver:
« (Bill) never knew what Jerry wanted. But it started and ended with a rock. Jerry used the same rock on both girls, first on the girl called Sharon and then on the one supposed to be Bill’s. »
Relitéralisation de la métaphore ‘to kill birds with one stone’…
To kill TWO birds with one stone…
« To kill TWO birds with one stone… »
Cette langue, barbare, suffisante pour de sauvages commerçants éternellement à la recherche du profit, ne traduit pas aussi bien l’impossibilité que notre expression provençale :
« Tuer un âne à coup de figues molles »
Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt.
Se contenter de la lune, en croyant être sage, c’est être un parfait imbécile ! D’ailleurs, ce doigt, je sais où il va finir …
Plus généralement, on pourrait revoir la pertinence de ce proverbe de doigt et de lune.
Par exemple : le Sage qui montrerait aujourd’hui la Syrie au lieu de mettre le doigt dans le cambouis de l’Emploi … ne serait-il pas un fieffé imbécile ?
Fabuleusement subtil, dommage de ne pas avoir le temps.
Nooon ! C’est… c’est… (Tiens, j’en ai le souffle coupé d’indignation).
Daphnée, veillez à mieux sélectionner vos employés de maison et à ne surtout jamais retenir ces femmes de ménage qui se piquent de lire : voyez le résultat.
En effet ! Cette Rose est d’une bêtise sidérante.
Mériter son titre de prince des cons n’est pas une sinécure : on est challengé de toutes parts.
(Chaloux, en ce qui concerne mon fils, c’est surtout la destination qu’il a choisie qui prend un sens particulier . Bon, si j’en écris qqc , je vous tiendrai au courant .
Ici, il a plus toute la journée d’hier. Dans le petit train, j’ai eu l’impression d’être sur une barque ..)
http://arovingeye.tumblr.com/post/49446723712/summer-1-by-shoji-ueda
D’abord, Gollum a dit qu’il n’a pas vendu le matériel qui sert à vaporiser l’insecticide, mais que si l’autre en a détourné la fonction, il ne le lui en vendra plus ; puis, il a dit qu’il avait la preuve que les deux compétiteurs avaient fait usage d’insecticide ; et, infine, il a dit, sans rire, que le compétiteur moins bien équipé avait fait usage de l’insecticide pour obliger ces Crétins d’Occidentaux à entrer dans le conflit.
Ouos ! que le compétiteur > que SEULEMENT le compétiteur
Perdon, le lien de 7 h 24 min était à mettre en ligne chez Sophie, ce que je vais faire, etc.
Pluie ici aussi, Daaphnée, ce qui était bien nécessaire, et la chatte (qui dort dehors) revenue à l’aube, lourde comme une éponge trempée.
Coup de serviette de son frottadou pour sécher l’aventurière, miaulement de la féline ravie d’être traitée comme elle le mérite ! Improbables dialogues, esclavage de la passion, petites joies …
Lou Ravi va s’adresser aux Français… après ceci…après cela… plus tard… !
« Plus tard », le maître mot de cette mandature.
Et nous voilà passés de la paranoïa du G20 aux Japonais en liesse.
Enfin, JC, il fait ce qu’il peut avec ce qu’il a. D’autre part, puisqu’un tas de fonctionnaires inutiles squattent avec notre argent les couloirs de l’ONU sans jamais obtenir de résultat, il faut bien que quelqu’un garde un œil sur les comportements irresponsables.
D’un autre côté, n’ayant jamais demandé une subvention, ni occupé une planque dans un quelconque “Institut de Recherche”, je ne vois pas très bien pourquoi un gouvernement (quel qu’il soit) devrait s’occuper de créer des emplois, par exemple, car cela n’a rien à voir avec les fonctions régaliennes de l’État… Enfin, bref, les fonctions de l’État ont été tellement dévalorisées par presque un siècle de politiques irresponsables, que désormais presque plus personne ne semble savoir à quoi sert un État, personnel politique compris. Alors, votre bavassage est peut-être libérateur pour vous, mais à la longue il devient ennuyeux.
Vous avez des solutions que vous tenez pour bonne et que personne ne porte ? Jetez-vous en politique, montrez ce dont vous êtes capable.
JC….. dit: 8 septembre 2013 à 7 h 47 min
Magnifique !
« Alors, votre bavassage est peut-être libérateur pour vous, mais à la longue il devient ennuyeux. »
C’est un travers, effectivement, dans lequel nombre d’entre nous s’enlisent…j’en connais d’autres bavasseurs !
Sur le fond : pourquoi voudriez-vous transformer la critique politique en action politique ?! Lorsque vous regardez un film, vous avez, vous, systématiquement envie d’être metteur en scène !!!? Pas moi… A chacun son objectif, son rôle, son engagement : le mien est inexistant !
Bien, bravo, alors faites de la critique. Ou bien… ne me dites pas que vous appelez critique vos crachats matinaux…
Distribuez vos étiquettes comme vous l’entendez, ami Renato, je m’en bats les amygdales externes … Du moment que cela vous met en joie, j’en suis enchanté !!!
Ils sont en général piteux ou furibonds, JC.
Quelles étiquettes ?
Langage de journaliste ?
Gasquet a perdu contre Nadal, par ailleurs il était donné perdant (sauf intervention de la “divine providence”), et voilà qu’ils parlent de « la chute de Gasquet ».
Je me demande ce qu’ils diront le jour de l’Apocalypse…
Heureusement le Parisien : « Nadal sort Gasquet en trois sets »…
U.,
La mienne est ni piteuse, ni furibarde d’être trempée comme une soupe par l’orage. Elle recherche cette rincée. Une chatte spéciale, ma Mimi ! Son grand âge, 15 ans, n’explique rien et je me réjouis de cette absence d’explication. Drôle d’attitude de ma part. Peu scientifique… Pour savoir, je vais demander à Renato, hurk, hurk !
Bloom, merci de la (re?)découverte.
« Faire d’une pierre deux coups »
Raymond Carver’s short stories frequently depict scenes of emotional menace at the heart of domestic and working-class America. Verbal violence and psychological abuse are the most common forms of animosity in Carver Country. There are, however, scattered episodes of physical violence throughout Carver’s stories, and more often than not these involve a woman either as perpetrator, victim, or narrator/witness to the scene. In one of the most blunt depictions of a violent woman, Carver has her perform a ritual act on her husband in which “she cuts out his heart and holds it up to the lustrous sun” (No Heroics, Please 52). In another story, two women are the victims of a random act of male violence: “Jerry used the same rock on both girls” to kill them (What We Talk About 56). In most cases, however, women are depicted within a domestic world where family tensions end in violence, such as when a husband hits his wife when he suspects she has cheated on him: “‘Where were you all night?’ he was screaming, standing over her, legs watery, fist drawn back to hit again. Then she said, ‘I didn’t do anything. Why did you hit me?’” (Will You Please Be Quiet, Please? 232).
http://jsse.revues.org/497
*****
The sleep of this night deepens
because I have walked coatless from the house
carrying the white envelope.
All night it will say one name
in its little tin house by the roadside.
I have raised the metal flag
so its shadow under the roadlamp
leaves an imprint on the rain-heavy bushes.
Now I will walk back
thinking of the few lights still on
in the town a mile away.
In the yellowed light of a kitchen
the millworker has finished his coffee,
his wife has laid out the white slices of bread
on the counter. Now while the bed they have left
is still warm, I will think of you, you
who are so far away
you have caused me to look up at the stars.
Tonight they have not moved
from childhood, those games played after dark.
Again I walk into the wet grass
toward the starry voices. Again, I
am the found one, intimate, returned
by all I touch on the way. »
T. Gallagher
Ne me dites pas que c’est de l’humour JC, cela pourrait me laminer pour la journée…
Faites moi de l’humour, Renato, s’il vous plaît. Que je me rappelle ce que c’est, « faire de l’humour »…
JC….. dit: 8 septembre 2013 à 8 h 41 min
A chacun son objectif, son rôle, son engagement : le mien est inexistant !
Ah bon ! Qui, à chaque heure, chaque jour, consacre son temps à fouiner dans les poubelles de l’actualité pour en extraire et les exhiber ici toutes les perfidies journalistiques uniquement consacrées à jeter le discrédit sur le président, le gouvernement et la gauche ? Il sont là, son rôle, son objectif et son engagement. C’est tellement énorme que c’en est totalement improductif. C’est aussi sinistre que du Dieudonné.
Je ne suis pas à ce point prétentieux, JC.
Je suis en admiration devant les saltimbanques instruits, idéologues rassis, politiciens incompétents et moisis !!! Et j’irai m’engager CONTRE le meilleur d’entre eux ? Que non !…
Je me marre terriblement devant la foule des cocus, c’est tout…
(remettez donc votre pendule à l’heure, cher ami(e) : elle retarde)
ML a changé de crèmerie, désormais il squatte en compagnie de Christiane chez Popol ; quelle bouillie
Et on la remet à l’heure sur la vôtre ?! Enfin ! Vous êtes vraiment amusant, plus que de la politique, vous devriez faire de la télévision.
renato dit: 8 septembre 2013 à 9 h 43 min
« Je ne suis pas à ce point prétentieux, JC. »
Allons, Renato ! Allons … un tout petit effort et vous y parvenez aisément !
(remettez donc votre pendule à l’heure, cher ami(e) : elle retarde)
La vôtre porte la marque de Vichy et s’y est arrêtée.
Vous devriez désormais connaître mes réserves relativement aux efforts…
La marque de Vichy ! Mieux vaut en rire. Comme disait le Maréchal : « Veni, Vidi, Vichy »
« Rester assis trop longtemps et le manque d’exercice auraient un impact sur les symptômes de la dépression »
Pour être heureux, faut-il rester debout ou allongé ?
Suivons l’exemple plein de sagesse d’Oblomov …
« Oblomov est un roman d’Ivan Gontcharov publié en 1859.
Le livre raconte l’histoire d’un propriétaire terrien habitant Saint-Pétersbourg, Ilya Ilitch Oblomov, qui cultive comme son bien le plus précieux un penchant naturel à la paresse. D’une aboulie chronique et d’une indécrottable apathie, ce personnage, hanté par la nostalgie d’une enfance heureuse et insouciante, passe ses jours à s’incruster dans son meuble favori, un divan. Même l’amour d’Olga se révèle en définitive insuffisant pour vaincre sa force d’inertie. Oblomov terminera ses jours dans la voie qu’il a choisie : faire corps avec son bien-aimé divan »
Divin divan !
JC….. dit: 8 septembre 2013 à 10 h 20 min
La marque de Vichy ! Mieux vaut en rire. Comme disait le Maréchal : « Veni, Vidi, Vichy »
C’est ça, le « rire » façon Dieudonné, c’est ce que je disais.
« Fut un temps, on écrivait des livres, aujourd’hui [on écrit] des fragments de livres. Nous avons mangé la miche, il ne reste que les miettes. »
Carlo Dossi, Note Azzurre, 3519.
autrement dit « le rire du cannibal »..c’est plus clair(hurkurk)
Les miettes, c’est plus digeste !
Paresseux estomacs ?
La paresse est un excellent filtre !
Quelle pression, Le Boug?
les effets de sorti en claquant la porte.. ta femme qui vient y préter main forte..l’éxil !
et aprés la résurection..encore un peu tu diras a jean marron a coté de ton tombeau vide « ne me touche pas »
c’est les affaires de l’éditioon italote baroz
un tout petit effort et vous y parvenez aisément !
tu veux qu’il nous craque la rondelle..des eventrations en direct..tu veux qu’il nous fasse du joli..bref t’es un esthète jicé
« les effets de sorti en claquant la porte.. ta femme qui vient y préter main forte..l’éxil !
et aprés la résurection. »
ça c’est Chaloux, pas renato, le boug ?
Italote ?! le néologisme est amusant, mais comment se forme-t-il ?
..c’est pas ça chaloux..faut mettre la barre haut ! des ambitions ! des tentatives ! les baloches sur les barbelés ! passera passera pas !..c’est là que l’homme est beau c’est certain
« mais comment se forme-t-il ? »
En considérant la botte comme une île ?
ça c’est Chaloux
eh oui..t’as vu comment que tu devais t’y prende pour faire ton blog baroz ! évidemment pour la femme t’as un handicap..mais tu peux dire par exemple « je dois quitter mon amoureux me tord les couilles »
Est-ce Malraux qui disait que le cinéma est un divertissement d’ilôtes ?
Moi je ne fuis jamais devant l’obstacle, le boug, je fonce ou je le con-tourne !
avoue que chaloux a su mettre du drame hier..jusque là il est bon..mais gare en octobre, qu’il ne nous décoit pas !
Il est parti pour quel pays le fils de Daaphnée ?
Est-ce Malraux qui disait que le cinéma est un divertissement d’ilôtes ?
..et la tablette pour phil..de sous chien
t’aurais voulu laisser une de tes lettres enflammées dans un de ses bouqins que dafnoz aurait ouvert..
Phil, il aime la souplesse de la rondelle ipodée des jeunes générations !
Une lettre enflammée d’amour, ce serait donc une histoire incestueuse, ce qui expliquerait la consternation de rose ?
..la rondelle ipodée..c’est joli
Remontons la pendule,
c’est vrai que votre pendule est vraiment arrêtée ! Vous avez réussi un tour de force : être PLUS SINISTRE que le plus sinistre d’entre nous ! Compliments …
« ..la rondelle ipodée.. »
ça tourne en boucle comme le Bolero de Ravel…
Toujours aussi curieux qu’une chatte, mon Jacounet !
(Le Boug’, rien ne dit que notre Jacounet saisisse bien ce que vous lui lancez ..)
Par l’odeur de Daaphnée alléché…
La city de Londres, comme Abdel, ou les kangourous australiens ?
Le Boug, je n’ouvrirai certainement pas mon blog avant novembre ou décembre. J’aurai besoin d’avance pour maintenir une certaine qualité (celle dont je suis capable, certes, ni plus ni moins). Mais il ne faut pas confondre ce qui se passe ici et ce que j’ai l’intention de faire. Ici, de la conversation, souvent âpre, tendue et excessive. Là-bas, du travail.
Jacques, j’ai relu hier soir les 80 premières pages des Vies de Job. Vraiment intéressant. Je continue. Mais Pierre Assouline se dissimule autant dans ses livres que dans ses chroniques. Il ne veut pas dire quel lecteur il est. C’est bien son droit. Peut-être un jour…
Et il ne renonce pas !
Dites, Jacques, vous voulez son adresse ou quoi ?
Passou est un chat, il n’aime pas se mouiller, mais attention au coup de patte, il sait être griffu le bougre !
Chaloux dit: 7 septembre 2013 à 19 h 18 min
Je quitte la RDL, cette fois définitivement.
Pourquoi pas Daaphnée, je suppose qu’il doit être joli garçon ?
AMERICA’S CUP
« Team New Zealand a fait carton plein lors de la journée d’ouverture de la finale de l’America’s Cup sur le mythique plan d’eau californien. L’équipage kiwi, mené par le skipper Dean Barker, a signé ses deux premières victoires en s’imposant successivement avec 36 puis 52 secondes d’avance. »
Parfait la Cup va repartir à Auckland ! Dean Barker, un ancien finniste fabuleux -j’ai acheté un de ses bateaux- est un skipper NéoZ absolument remarquable, terriblement pointu. Un type qui vous soude une équipe à bord comme pas deux.
… (ne laissons pas passer pareille occasion de médire)….
C’est pas comme le capitaine du Pédalo et son équipe de bras cassés, aussi nuls que disparates ! Les Kiwis, c’est une machine qui tourne bien !
Chaloux….!
« Ici, de la conversation, souvent âpre, tendue et excessive. Là-bas, du travail. »
Vous allez rester seul, mon ami !
Daaphnée à bord d’un petit train au bord de l’eau, pas de rentrée scolaire pour vous cette année ?
« Vous allez rester seul, mon ami ! »
Puisqu’il te dit qu’il aspire au désert, JC !
(Jacounet, n’insistez pas !)
Et pourtant les chats aiment l’eau.
http://referentiel.nouvelobs.com/wsfile/5841321866587.jpg
Angst :
à JC
Tiens une idée d’épitaphe :
« Il se voulut Jacques Perret, il ne fut que Pierre (ou pierre) ».
aspire, Chaloux, aspire.
Il n’a pas l’air heureux ce chat, des journées…
Vous allez rester seul, mon ami !
..quand il parle d’effort et de travail c’est qu’une charge théorique contre rénato..en fait il suffit de ronfler et de dire que c’est du boulot..rénato il s’éventre et dit qu’un petit vent lui a échappé..tout ça c’est idéologique jicé
je n’ouvrirai certainement pas mon blog avant novembre ou décembre
à la trinité ça frait lapsus catholique cheuloux
Jacounet, alors vous ! Une fois que vous êtes lancé ..
Je rentre à Paris ce soir, beaucoup de kilomètres en peu de temps. Mais j’ai l’habitude … je viens de récupérer mon chat que j’avais laissé en pension plusieurs semaines dans les odeurs de la lavande ..
Bref,
-oui, pas mal du tout ( non, pas le chat) mais le chat également.
Ah, ces jeunes fauves !
« C’est pas comme le capitaine du Pédalo et son équipe de bras cassés, aussi nuls que disparates ! »
JC dixit
Faudrait être « sinistre » pour y voir un « engagement ». Ben voyons…
..en tout cas t’as pas interet a décevoir..on veut du beau boulot de la sueur qui perle dans la croupe fendue..clopine veut des larmes aussi
Renato, détrompez-vous. Les chats aiment l’eau. C’est une question d’épiderme et de protection.
La véto du Nouvel Obs raconte une drôle d’histoire:
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/215820-pourquoi-les-chats-n-aiment-pas-l-eau.html
Par contre, des journées : scène de chasse dans le Pantanal :
Dites, Jacques, vous voulez son adresse ou quoi ?
..donne lui dafnooz
lapsus catholique
Pourvu que le Pape ne s’y mette pas – déjà qu’il semble vouloir se positionner sur l’échiquier – alors que la partie « Syrie » s’annonce très serrée ..!
Renato, c’est premier jour de chasse.
Pour Jacounet : le fis de Daaphnée dans une teuf à Maubeuge.
Y a pas, il tient de son père :
http://static.ladepeche.fr/content/media/image/350/2013/08/13/201308132003-full.jpg
pool!
des journées,
le chat est un animal du désert, il se contente donc du liquide qu’il trouve dans les aliments — les miens (deux) sont nourris de viande crue (poulet) et œufs. Parfois, je leur fais cadeaux d’un pigeon ou d’une caille…
Renato, le fait que domestiquer un tigre, c’est plus compliqué.
Tous les chinois le savent.
la partie « Syrie » s’annonce très serrée ..!
pour jicé serrer les fesses c’est du boulot..
La reine Madonna a pris également position dans l’échiquier syrien, les pauvres !
Angst, comme angoisse, renato ?
J’espère, Renato, que vous leur donnez à boire tout de même !
des journées,
vous me dites par là que c’est la première journée de règlement de compte entre ennemis intimes ?
ça te donne un air crispé de travailleur social..c’est pas bon jicé
Donner à boire ou à lapper, langue de chat !
(Évidemment Daaphnée, mais ils ne boivent pas beaucoup.)
moi j’ai un doberman jicé..je lui donne a pister des femmes nues..ça me coute un bras..mais on aimes les animaux où pas
Les plus beaux champs de lavande que j’ai vus, c’était dans la Drôme, Daaphnée !
Renato, je vous dis que ça se passe au sud de la Loire. Aujourd’hui.
C’est aussi une histoire de respect; mais cela m’emmène trop loin. Il faudrait voir du côté d’Erri de Luca.
Bonne journée.
le fait que domestiquer un tigre, c’est plus compliqué.
Tous les chinois le savent.
Je sens que ça va être l’heure de la nouvelle rubrique « HOROSCOPE »:
Que les natifs du signe du tigre se méfient, ils en prendront pour leur grade.
Ce ne sera pas mieux pour ceux du signe du coq.
Quant aux chats, ils peuvent continuer à ronronner ..
« je lui donne a pister des femmes nues..ça me coute un bras.. »
Il ne te laisse même pas les jambes, ton doberman ?
c’était dans la Drôme
C’était sûrement du lavandin, alors. La vraie lavande ne pousse qu’en altitude.
(Ben non, mon Jacounet, perdu !)
Je suis né sous le signe du cochon, Daaphnée.
..pour économiser baroz quelquefois je le lache sur les chats des voisins..les trop bien nourris qui n’arrivent pas a calter..quelquefois on sonne et je dois leur parler de darwin à ces ploucs de créationiss
Le cochon devra s’occuper des finances, il y a un certains don, mais il aura moins de temps à consacrer à ses plaisirs ..
sous le signe du cochon
c’est comme ca qu’on se rtrouve avec une rondelle ipodée..toi aussi t’es un esthète dédé..
«En l’année 2012 de notre Seigneur Creer Pipi nous proclamons que cette terre appartient à Azathoth.»
USA: LE MYSTÈRE DU MONOLITHE DÉDIÉ AU «DIEU DU CHAOS» RÉSOLU
http://www.slate.fr/life/77440/mystere-monument-dieu-du-chaos
bouguereau dit: 8 septembre 2013 à 11 h 27 min
« tout ça c’est idéologique jicé »
Ah …. c’est pour cela que je n’y entrave que dalle ! Dur ! Dur…
Moi je suis dragon d’eau, Daaphnée, de quoi donc devrais-je m’occuper ?
« Dans un message publié sur Facebook dans la nuit de jeudi à vendredi, Madonna affirme que les Etats-Unis « devraient rester en dehors de la Syrie pour le bien de l’humanité ». »
De dorloter vos amours, Jacounet.
ça me va comme programme, Daaphnée, et vous ?
programme, Daaphnée, et vous ?
Comme toujours, Jacounet, exploser la rondelle à la chinoise, toujours, toujours.
« C’est pas comme le capitaine du Pédalo et son équipe de bras cassés, aussi nuls que disparates »
commentaire d’un coco mélanchonisse c’est certain
Déjà un artefact en ciment n’est pas un monolithe. Puis, 140 kilos ce n’est pas un poids à faire new…
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