Cent ans de métamorphoses
Il n’avait pas tort, Italo Calvino. A force de mettre “kafkaïen” à toutes sauces, de galvauder l’adjectif outrageusement à le synonymisant avec « illogique » ou « absurde » jusqu’à le vider de son sens, ou du moins à le pervertir ce qui est une face de la rançon du succès (“surréaliste” a subi le même sort funeste), on en oublierait ce qu’il y a de véritablement kafkaïen dans l’œuvre de Kafka. Le centième anniversaire de la publication de La Métamorphose (Die Verwandlung) par Kurt Wolff à Leipzig, nouvelle dans laquelle Vladimir Nabokov voyait la quintessence de toute son œuvre, est l’occasion d’y revenir.
Un matin, Gregor Samsa, un jeune commis voyageur, se réveille mais a du mal à sortir de son lit pour se rendre à son travail. Et pour cause : couché sur le dos, il s’est transformé pendant la nuit en un monstrueux insecte. Sa famille est horrifiée à sa vue. Bientôt, la honte sociale la submerge, notamment vis à vis de leurs sous-locataires. Sa mère ne parvient pas à surmonter le dégoût que sa vue lui inspire, sa sœur est pleine de compassion, son père le prend en haine et tente de l’écraser. Blessé, désespéré de ne pouvoir en sortir, finalement lâché et rejeté par tous les siens, Gregor ne se nourrit plus, finit par se dessécher et par mourir. Soulagée, la famille peut reprendre une vie normale, sa sœur s’épanouir enfin et trouver un mari.
Rarement une allégorie aura donné lieu à tant d’interprétations. On dira que c’est sa fonction, surtout si elle accède avec un tel génie à l’universel. On n’imagine pas qu’elle soit jamais considérée comme datée. Tout le monde s’y est mis et pas seulement chez les kafkologues patentés : écrivains, critiques, universitaires, dramaturges (inévitablement , air du temps oblige, l’insecte s’est mué en robot), psychanalystes, musiciens, compositeurs (un opéra), cinéastes, sociologues, peintres, sans oublier les lecteurs. Robert T. Kelly, un écrivain britannique manifestement obsédé par la nouvelle de Kafka, a même imaginé de lui rendre hommage en cent réflexions pour ses cent ans dans un méli-mélo kafkaesque, comme on en dit en anglais.
Le premier tour de force de Kafka, et son sens du comique n’y est pas étranger, aura été de faire accepter par ses lecteurs l’idée qu’un homme puisse se transformer en insecte, phénomène surnaturel s’il en est que l’on est sensé, tout comme la famille Samsa, considérer comme naturel. On dira que c’est la moindre des choses puisqu’il ne s’agit pas d’une métaphore filée mais bien d’une allégorie comme procédé d’invention, s’étendant non sur un passage ou un paragraphe mais sur toute la nouvelle, que l’on peut à raison qualifier de fantastique, comme c’est souvent le cas, sans vouloir trop l’enfermer dans une catégorie littéraire.
« Cette grave blessure, dont Gregor souffrit plus d’un mois – personne n’osant enlever la pomme, elle resta comme un visible souvenir, fichée dans sa chair – parut rappeler, même à son père, qu’en dépit de la forme affligeante et répugnante qu’il avait à présent, Gregor était un membre de la famille, qu’on n’avait pas le droit de le traiter en ennemi et qu’au contraire le devoir familial imposait qu’à son égard on ravalât toute aversion et l’on s’armât de patience, rien que de patience… »
Kafkaïenne, la Métamorphose ? Elle en est même l’archétype. Mais de toutes les interprétations, l’une des plus fécondes, qui pousse à la lecture du texte en parallèle avec celle de la Lettre au père, consiste à y voir surtout la métamorphose de la famille face au monstre, l’exclu, le mis à l’écart, l’intrus qui n’est plus des nôtres, le condamné à la solitude parmi les siens. Nabokov, qui a privilégié cette interprétation tout en méprisant ce que les psy ont prétendu en faire, voit en les Samsa de médiocres et vulgaires bourgeois flaubertiens embarrassés par le génie de leur fils. Le vrai parasite, ce n’est pas l’insecte, c’est eux.
Des métamorphoses, la nouvelle en a subi au gré de ses traducteurs. Il y a d’abord eu celle d’Alexandre Vialatte, avec les libertés et les outrages que l’on sait, mais qui n’enlèvent rien à son mérite : avoir été non seulement le premier à se colleter à la traduction de cette œuvre exceptionnelle dans notre langue, mais l’avoir révélée et imposée au comité de lecture de Gallimard en un temps où le nom de l’auteur était inconnu des Français. Claude David et Marthe Robert reprirent cette traduction princeps pour la rendre plus conforme, disons, lors de la réédition nécessaire de l’œuvre dans la Pléiade. Bernard Lortholary a quant à lui assuré celle de GF/Flammarion (ici le texte complet en libre accès).
A noter, dès la première page, la distinction fondamentale chez les uns et les autres pour traduire Ungeziefer, entre « vermine », « insecte », « punaise », « cafard » et « cancrelat ». On pourra toujours essayer de le représenter, ce qu’il est vraiment est irréductible à toute autre forme d’art que la littérature. Les plus consternantes couvertures d’éditions de La Métamorphose sont encore celles qui reproduisent un cafard en gros plan ! Pour la femme de ménage, il n’était que « la chose d’à côté », et pour les Samsa, qui ne pouvaient même plus prononcer son nom d’humain, leurs fils n’était plus que « ça ».
(« Max Brod et Franz Kafka à la piscine » photo Sagi Bornstein ; « Les parents de Kafka » photos D.R.)
430 Réponses pour Cent ans de métamorphoses
L’adjectif kafkaïen, ce n’est pas tant par rapport à la Métamorphose mais plutôt au Procès, non ? Un univers plus chaotique que fantastique…
Chouette c’est les vacances,
v’là les marronniers qui fleurissent.
Comment ML va-t-il nous traduire « Ungeziefer » ?
La voilà la vraie question.
Attila, Le Proçès, le Château, La Métamorphose ….
il existe pourtant UNE couverture représentant l’insecte de la Métamorphose qui vaut le coup, Pierre Assouline, parce qu’elle souligne , sous la métaphore du cafard, le travail littéraire de Franz K.
Et qu’elle a comme une élégance typographique qui fait cependant frissonner…
(vous étonnerai-je si cette édition est associée à David Cronenberg, qui s’y connaît en élégance, en littérature, en peurs obscures, et en insectes ?)
Allez, hop, pour vous :
Entre les parents horrifiés par la conversion de leur fils en vermine, et ce malheureux qui s’étonne d’être mal-aimé, je suis du côté des parents : écrasons la vermine dérangeante, même proche, et reprenons une vie normale anormale …
(Attila, puisque vous traînez par ici, message perso : viendrez-vous ?)
(pardon à tous pour cet emprunt d’un lieu collectif. Je vous le rends de suite.)
Attila, Le Proçès, le Château, La Métamorphose ….
Pado, Marronnier dites-vous ? Mais alors comment faites-vous pour célébrer chaque années le centenaire de la Métamorphose…
A la fille qui a failli, Là, je reconnais, c’est très réussi. Merci !
Précision à mon post de ce matin : pour ceux que ça intéresserait, le livre que traîne avec lui Johnny dans « détective » de Godard est « Lord Jim » de Conrad. J’ai trouvé le renseignement, non sur un site français, mais anglais…
Attila dit: 31 juillet 2015 à 15 h 06 min
L’adjectif kafkaïen, ce n’est pas tant par rapport à la Métamorphose mais plutôt au Procès, non ? Un univers plus chaotique que fantastique…
Yes absolument farpaitement ; en gros ça tourne autour des entrelacs administratifs.
En revanche pour « surréaliste » là c’est vraiment galvaudé à l’encan, alors que cette école de peinture propose sur chaque toile une tension, dirai-je un peu verbeusement, bien précise.
Attila dit: 31 juillet 2015 à 15 h 06 min
L’adjectif kafkaïen, ce n’est pas tant par rapport à la Métamorphose mais plutôt au Procès, non ? Un univers plus chaotique que fantastique…
Yes absolument farpaitement ; en gros ça tourne autour des entrelacs a_d_m_i_n_i_s_t_r_a_t_i_f_s.
En revanche pour « surréaliste » là c’est vraiment galvaudé à l’encan, alors que cette école de peinture propose sur chaque toile une tension, dirai-je un peu verbeusement, bien précise.
Mais non, Sergio. Consultez n’importe quel dictionnaire des synonymes et vous verrez que dans son acception large et commune, « kafkaïen » s’emploie en toutes circonstances pour absurde, illogique etc
Ah, David Cronenberg, ses jumeaux, sa mouche malade,ses scénarios iinterminables, sa petite boutique des horreurs …On vous le laisse o Fille qui a failli!
Allez savoir pourquoi ce genre de pseudo me fait toujours penser à Barbey visant Hugo: « C’était le temps ou l’on nous disait de ramasser les femmes qui tombaient comme des pots de fleurs… »
Bien à vous.
MC
Plus sérieusement , cette Histoire de robot, Pierre Assouline, c’est un peu l’effet Boomerang. Le voisin Karel Capek a forgé le mot en 1924, et Kafka aurait pu l’entendre avant sa mort.
Bien à vous.
MCourt
de mémoire, mais je me trompe sûrement, La Métamorphose est le seul texte de Kafka publié de son vivant. Musil l’a lu et a paraît-il adressé ses compliments à l’auteur.
Sinon, ce qui est kafkaïen (ou kafkéen, disait-on encore dans les années 50), c’est d’écrire Le Procès avec un ç. La cédille donne au mot une étrangeté paralysante. Et ce qui est surréaliste, alors, dans ce cas, c’est la faute de frappe.
La chenille processionnaire du pin, extrêmement urticante, arrive à Paris (Lemonde.fr)
ce qui est certain, côté « traduction » c’est que Kafaka ne voyait pas favorablement une illustration de l »insecte »notamment et qu’il l’a écrit à son éditeur, la famille du livre qui n’en a pas été si impressionné de l’opinion de Kafka.
La famille Samsa rhaaaa
(Je sors)
La fille, suis en attente d’informations familiales, vous réponds ce soir…
AUJOURD’hui,c’est en veux-tu en voilà ces adjectifs construits sur des noms d’ personnes qui n’ont pa toujours marqué leur champs et leur temps comms Kafka celui des « lettres »et du judaÏsme;cela est insupportable, surtout qu’il y a un aspect économique de la « phrase ».
A Court, R.U.R. !
Non,non, Passou, kafkaïen c’est labirynthique, avant tout…
» C’était un homme grand, maigre, frêle, qui promenait son long corps comme s’il l’avait reçu en présent. Il avait l’impression qu’il ne se développerait jamais, et que jamais il ne connaîtrait le poids, la stabilité, l’horreur de ce que les autres nomment, avec une joie incompréhensible, la « maturité ». Il avoua un jour à Max Brod : » Jamais je ne saurai ce qu’est l’âge d’homme : d’enfant je deviendrai sans transition vieillard à cheveux blancs. » Pietro Citati, Kafka, folio n° 2303.
Labyrinthique, pardon !
L’hypothèse de Paul Edel , sur son site, est intéressante : la honte de la famille serait que le fils ne soit pas parti dans les tranchées en 1914 ?
Passou dit: 31 juillet 2015 à 15 h 49 min
absurde, illogique etc
Bon les Wiki en plus il faut que ce soye oppressant :
kafkaïen \kaf.ka.jɛ̃\
Oppressant, absurde et cauchemardesque.
très bien, il n’y a aucun accord sur ce qui s’entend par kafkaÏen, c’est la force de l’oeuvre de Kafka contre celle de la langue critique usuelle ; espérons que personne ne cherchera à imposer cet adjectif et son « sens » sur ce fil et laissera à P.Assouline la misère de la complexité contre la simplicité apparente de la métamorphose.
Oui, cauchemardesque, et se réveiller cafard est en effet un vrai cauchemard !
Baisse un peu Labat jour !
Alors là c’est le record ! On est paumé dans le kafkaïsme ; où qu’i fait nuit… Faut suivre un fil de Woolmark sinon le Minotaure va nous проглотить…
Oui enfin déjà se réveiller c’est pas marrant…
C’est insensé !
Censiblement.
À TWIT’ VITESSE
Les « Trümmerfrauen »
Trommelfeuer !
Que veut dire kafkaien ? Ben …. ce qu’on veut. Comme zombreck, quoi !.
Y a un type qui a créé le mot kafkaien, dans le sens où il l’entendait, lui. Depuis tout le monde l’emploie avec, pour chacun, un sens différent !
Comme pour les autres mots, quoi !…
« d’enfant je deviendrai sans transition vieillard à cheveux blancs. »
c’est déjà mieux que vieillard sans cheveux
« Y a un type qui a créé le mot kafkaien, »
dieu a créé toutes choses
Cent ans, alors qu’une nuit suffit ?!
Chronométiculeusement.
Pour moi kafkaïen c’est inextricable. Comme le noeud gorgien.
Mais celui-ci peut se trancher -d’un coup d’épée de préférence, alors que.fe.qui est kafkaïen ne se résoudra pas comme son nom l’indique. Pas d’issue. D’où le choix qu’il fit de mettre fin à ses jours en entraînant sa maîtresse pour qu’elle. Pourquoi en fait ?
Ben voilà on fait un billet sur Kafka tout le monde parle de Kafka… Ah il s’en passe !
extrait du Procès (1962) – The trial- Anthony Perkins, Orson Welles https://www.youtube.com/watch?v=rubVMcHlykg
Rose dit: 31 juillet 2015 à 17 h 46 min
Pour moi kafkaïen c’est inextricable. Comme le noeud gorgien.
Ben oui j’ai essayé d’essepliquer, mais le Wiki il nage entre deux eaux… Ah on n’est pas aidé !
La Métamorphose, ou la Modification ? Y a une nuance bon Dieu !
Attila dit: 31 juillet 2015 à 17 h 03 min
Il n’a pas été mobilisé
« En France,La métamorphose fut publié en 1928 et voilà Kafka déclaré surréaliste avant l’heure et un maître de l’humour noir, selon Breton; en 1933, Groethuysen écrit une préface pour le Procès, sans rien dire de la vie de l’auteur, ni de ses relations avec les écrivains allemands contemporains, après guerre, Kafka est avant tout un philosophe, Sartre faisant de Kafka- avec Kierkegaard, Hegel et Heidegger- un des maîtres de la pensée existentialiste, idée si bien ancrée que lorsque Marthe Robert évoqua auprès de Merleau- Ponty combien Kafka aimait Flaubert, il refusa de la croire, ainsi on admettait le rapprochement avec Hegel et Heidegger comme allant de soi, bien que rien dans les textes ne lui fournit un élément de justification; mais que Kafka lui-même se fût considéré comme le fils et le disciple de Flaubert; qu’il eût porté sur lui pendant des années son exemplaire de l’Education sentimentale, de cela on ne voulait pas entendre parler, bien plus, étant donné le peu d’estime dont jouissait Flaubert dans les milieux existentialistes en général, la pure image de Kafka en paraissait presque souillée.
L’apparition du « nouveau roman » vint infléchir la perception de Kafka, mais la « nouvelle critique » s’empara de lui pour le faire entrer dans une sphère désincarnée, où la littérature n’avait plus à dire qu’elle-même et ses propres incapacités, dans les années 60, Kafka est élevé dans la sphère idéale du livre mallarméen, qui est toujours à écrire…Pour Michel Foucault, Kafka est le précurseur de ce qu’il appelle la « vraie » littérature et qui est « silencieuse, précautionneuse déposition du mot sur la blancheur d’un papier, où il ne peut avoir ni sonorité ni interlocuteur, où il n’a rien d’autre à dire que soi, rien d’autre à faire que scintiller dans l’éclat de son être »
Il faudrait encore évoquer le Kafka de Deleuze et Guattari, du moins le Kafka dénonciateur de l’aliénation capitaliste…
Je ne sais pas si les traductions de Vialatte sont aussi médiocres que d’aucuns l’affirment, cependant pour avoir lu ce que Vialatte a pu écrire sur Kafka, on peut au moins lui rendre grâce pour ne pas « l’avoir dépouillé de tout ce qui comptait pour lui: son art, avec tout ce qu’il exprime d’humour, d’ironie et d’intelligence profonde de la vie »
Petit résumé d’un texte de Marthe Robert – Franz Kafka en France- paru dans « Le siècle de Kafka » Editions du Centre Georges Pompidou
SEUL COMME FRANZKafka ;
mais l’espérance ce n’est pas pour nous
D’un mot, kafkaïen ou pas,
sens premier, puis dérivé,
jusqu’au contresens bêta,
sont étapes de la destinée.
Ainsecticalement.
Conseil de santé :
pour les intoxiqués :
demander du dékafkéiné !
Pragmatiquement.
En passant par 17 h 46,
Franz ne semble pas
s’être proprement
suicidé.
Tout a été dit à 18 h 24.
Après, il n’y a plus qu’à aller se rhabiller.
Si daniel-un peu de respect-cqfd pouvait la boucler cinq minutes, le blog serait plus léger.
daniel dit: 31 juillet 2015 à 18 h 07 min
Il n’a pas été mobilisé
Comme a dit oncle Wolf en apprenant la mobilisation (de quatorze) :
– Mais… Contre qui ?
Véridique, semble-t-il.
Kafka (Franz) (Prague, 1883 – Kierling, près de Vienne, 1924), écrivain tchèque de langue allemande. Après des études de droit, il occupe, à partir de 1908, d’importantes fonctions dans deux compagnies d’assurances, qu’il devra quitter en 1917, atteint de tuberculose ( elle l’emportera plus tard). Admirateur de Kleist et de Flaubert, il publie, dès 1908, de court fragments (Description d’un combat). En 1910, il commence la rédaction d’un Journal qui semble lier l’existence à un désastre absolu. La Métamorphose 1916) et la Colonie pénitentiaire (1919), ses deux plus importantes nouvelles, reflètent les fantasmes et les angoisses du monde moderne. Le sommet de son oeuvre est atteint avec deux romans inachevés : le Procès et le Château, où se lisent allégoriquement et oniriquement les thèmes de la culpabilité, de l’errance, de la quête de l’impossibilité d’être pour l’homme et pour la littérature; ils ne furent publiés qu’après sa mort, en 1925 et 1926, par son ami Max Brod, qui fit paraître, en 1927, un troisième roman antérieur aux deux autres et inachevé, Amérique.
Comme disait François Mauriac au sujet de certains auteurs : talentueux mais peu habitable.
On lit une fois et on sort vite fait!
Ciel, Kafka on the board !
Au préalable, il manque peut-être un peu de dates ce billet.
En 1912, F. Kafka a 29 ans, il a travaillé successivement pour deux compagnies d’assurances, fort depuis 6 ans d’un doctorat en droit. ( études Prague et Munich)
Et, le 14 août (*), par une lettre » Cher Monsieur Rowhohlt ! », Franz est un épistolier, il envoie ses manuscrits de » Contemplation », « Le Verdict » et » La Métamorphose » aux éditions Rowohlt.
La même année il commence le roman le Disparu ( Amérique).
Auparavant, ce voyageur a fait un tour in Paris avec les frères Brod, puis c’est Zürich, Lugano, Milan, de nouveau Paris. Puis de nouveau, en Suisse, seul.
Il faut que je lise l’entièreté du journal, années 1911 et en partie 1912, pour me faire une idée de « ça » qu’est dit sur la métamorphose de F.K métamorphosé, en 2015.
(*)en contradiction avec les indications wiki
que dis-je! momifié, !
Il faut reconnaître que la vie dans les bois, le vit dans les doigts, ça rend sourd… pas muet !
Il faut reconnaitre, très clairement que là, je ne parlerai qu’en présence ce ceux qui ont lu le journal de Kafka. Brief an den Vater, édition bilingue, serait un plus.
Et j’ai tout mon temps pour y revenir. J’ai posé les deux livres sur la table, là, à proximité. Pour le cas où.
Mais guère plus d’une semaine, car après je pars en vacances, et je n’aurai plus de réseau.
la vie dans les bois dit: 31 juillet 2015 à 20 h 31 min
Mais guère plus d’une semaine, car après je pars en vacances, et je n’aurai plus de réseau.
Hélas, qui dira la cruauté de l’absence éternelle de ces réseaux cérébraux?
(C’est pratiquement Pascal revu par Desnos)
Le bois dans le vit, camarade JC, quel rêve absurde et presque qu’universel.
Sa version chinoise (Le Tapis de prière en chair) est quand même sa version la plus accomplie…
Et on rit!
uhuh, quand tu auras cuvé, prends soin de ta prof de pâte à modeler. Et quand je dis cela, je n’ai rien dit.
Quant au playmobil- en attendant un lecteur de Kafka, dans le texte, et non par lacaniens interposés- il faudrait qu’il raconte à ses potes, non la recherche de son temps perdu, mais comment il tira profit des sites de rencontre, sur internet. Et rencontra bobonne.
non par lacaniens interposés- Et rencontra bobonne.
Là, c’est du HR revividus.
Après réflexion, -elle est réfléchie- je tiens Marthe Robert, pour une lacanienne pur jus, mais c’est tout à fait personnel, comme appréciation. En fait il faut zapper les introductions, et puis cela ne joue pas dans sa traduction du journal de F.K.
la vie dans les bois dit: 31 juillet 2015 à 21 h 16 min
Après réflexion, -elle est réfléchie- je tiens Marthe Robert, pour une lacanienne pur jus, mais c’est tout à fait personnel
Ce blog est formidable.
On vient en baillant jeter un oeil avant de pioncer, et une fois sur deux on est récompensé par une perle!
C’est une horreur de métamorphose, non ?
Marthe Robert se « lâche » sur le langage conceptuel, dans son introduction au journal de F.K.
Ce n’est pas une perle, c’est juste en trop.
« Paris, jeudi 15 octobre 1981.
Je ne sais lequel d’entre nous avait parlé de Lacan( mort récemment) et Marthe Robert avait dit:
Il suffisait d’avoir connu Artaud pour voir la manière de paraître sinon même d’être de Lacan. Ce n’est pas assez dire qu’il s’inspirait de lui. Il l’imitait dans son verbe et ses manières, comme , du reste, il s’était imbibé de tous ceux qu’il avait approché, Bataille, les surréalistes, Breton. En cela, il ne m’en a jamais imposé. Son attitude envers Artaud, je ne la lui ai jamais pardonnée. C’était son ami. Il était chef de clinique à Sainte-Anne quand Artaud y est arrivé, et il a eu peur. Il n’a pas supporté ses rapports, il est vrai, toujours difficile entre le malade mental et son psychiatre. Agressé, comme il est naturel en ses circonstances, ces situations là, il ne l’a pas assumé, il s’en ai débarrassé en l’envoyant dans ce mouroir qu’était alors Ville Evrard…je sais ce dont je parle, je l’ai connu peu après, alors qu’Artaud n’y était plus, avec Michel (Michel de M’Uzan, psychanalyste, membre de la SPP, époux de Marthe Robert). Un endroit abominable, l’enfer. Ou Lacan, en toute connaissance de cause, a envoyé Artaud, son ami. Cela, je ne lui ai jamais pardonné. »
Extrait de « Le temps immobile », Claude Mauriac
D’abord, pourquoi en cafard, et pas en langouste, par exemple ? Là ce serait vraiment atroce… Ou alors en croco, tiens ! Déjà que c’est des trucs qu’ont rien dans la calebombe…
quels succès ces inédits …
http://3.bp.blogspot.com/-SDXw3CFdBfI/Ut_DPWfkeoI/AAAAAAAAAqM/7Bb34tPNY5k/s1600/17.jpg
…
…et le sens du pivotement en famille,!…en société,!…
…
…et son rôle de fils en exemple à demeurer à son quotidien,…en état d’insecte moral réservé,!…
…puisque pas, a s’outrepasser,…à prodigues,!…
…devient la charge institutionnel à tolérance zéro,…
…une sorte d’insecte à » Témoins de Jéhowah « , créer par l’état pour s’enquérir de la famille,!…
…le fils moral, à trop de zèles subventionnés,!…Ah,!Ah,!…sans rôles du capital,!…
…etc,!…envoyez,!…
Oui, Pierre Assouline, »je dirais meme plus RUR! »
Bien à vous.
MC
Cher hôte,
En deux mots pourriez-vous nous dire quels principaux reproches a-t-on fait à Vialatte de sa traduction ?
Merci.
Sergio dit: 31 juillet 2015 à 22 h 54 min
« D’abord, pourquoi en cafard, et pas en langouste, par exemple ? Là ce serait vraiment atroce… »
En langouste ?
Mais la langouste, c’est appétissant !
Kafka n’allait pas tomber dans le piège de la famille devenant cannibale et bouffant le fils prodigieux …
la vie dans les bois dit: 31 juillet 2015 à 21 h 16 min
« je tiens Marthe Robert, pour une lacanienne pur jus »
On peut être critique sans être insultant, le beat dans les boites. Traiter une femme de lacanienne ? non mais …!
Cent ans de métamorphoses…. et pas une ride chez la vermine !
Kafkaien, …Hollande traitant le contrat MISTRAL avec les Russes !
Kafcayenne, …Taubira annulant le permis de conduire pour soulager les juges !
Puisqu’on est dans le cloporte, la vermine, l’insecte inhumain …
Quelle joie de voir crever en ce moment des centaines de cigales, ventre à l’air ! Enfin muettes, les chanteuses de pinède adeptes du vivre-ensemble en faignasses insouciantes !
Et d’admirer le va et vient incessant et laborieux de nos capitalistes fourmis, courageuses, actives, robotisées par la nature insensible ! Quel bel exemple pour notre ambitieuse jeunesse …
Athènes au four et Shanghai au moulin, quel monde fantastique vous faites, cloportes ….
Sergio, à 22h54, oui,t pourquoi pas une puce, « ça » serait drôle.
« A Paris, en 1910, une puce malencontreusement grossie mille fois et dotée d’une voix particulière est recueillie par une chanteuse de cabaret. Déguisé de patte en cap, l’insecte se livre alors avec sa protectrice à de formidables numéros musicaux, tandis que le préfet de police le recherche activement. »
Read more at http://www.lexpress.fr/culture/cinema/un-monstre-a-paris_1039216.html#U3H4eTiAQM0HMFbY.99
D’ailleurs, pour l’écriture de la Métamorphose, la critique pâtit grandement de sortir le tableau historique du cadre expressionniste. Pour en rester à Papa, et Maman, avec un contre-sens énorme à propos des rapports de Franz à sa famille.
Comment Vialatte reçu Kafka, « porté par un ogre ».
http://www.ina.fr/video/I05126695
Les inepties égrenées par la Vie dans les bois, JC, et autre Ueda, Hamlet, Rose et autres, sont un florilège de ce que la sottise humaine peu produire de pus grassement accablant.
ce que la sottise humaine peu produire de pus grassement accablant
Il est des fautes de frappe qu’on s’en voudrait de corriger.
8h10, peu importe. L’artiste de cabaret s’appelait Mella Mars.
Il pleut : bonheur absolu.
Samedi. Et demain dimanche sûrement.
Vacances.
Oranger et citronnier heureux : oh les beaux jours !
(Cecil B 2000 et Taubira dans un tunnel non aménagé, où va-t-elle ?)
Il pleut.
Métamorphose : Rhinocéros de Ionesco.
Ah… Et puis, mois d’août de surcroît.
Il y a de bon que le monde tourne envers et contre tout…
»das gewöhnliche Zeug«,
Telle fut l’expression, à destination des commensaux, de l’un de ses oncles, après s’être saisi d’un brouillon que Kafka griffonnait, dans le secret espoir, -mais il en était sûr,- que l’un s’en emparerait.
in Journal de Kafka, du 19 janvier 1911, scène de goûter du dimanche après-midi, Franz qui joue , en famille, la scène » puisque j’ai l’air complètement à bout ».
Pardon, pas eu le temps de vérifier hier, date de parution du billet sur Kafka, c’était l’anniversaire de la mort de Saint Ex. abattu en 1944 aux abords de Marseille.
C’est le seul point sur lequel j’achoppe dans cette.biographie romancée des grands acteurs de l’aéropostale des frères Poivre d’Arvor.
Page 33 ils sous entendent que St Ex se suicide. Or, l’allemand qui a descendu son Lightning l’a dit avant de mourir : » c’est moi qui ait abattu St Ex.
Comme j’en suis à la page 188 et le livre en a 239 je e tenais pas à vous induire en erreur. Je vous le dirais s’ils se rétractent à la fin du livre ou pas. Si pas, c’est grave.
Laissez-moi recommencer, je vous en prie, faites donc.
Didon, je pense que le panneau » Kafka i n t e r d i t » devrait être signalé plus évidemment sur la rdl. Comme « ça », tout de suite, il apparait que peu vont franchir le passage clouté.
Et de vous souhaiter bon samedi, bon dimanche, et si tout va bien, bonne éternité.
ce billet commence par une date ; ce qur répond odradek aux grouillots de service
La vie des trolls dit: 31 juillet 2015 à 19 h 02 min
c’est vrai ça
Ueda dit: 31 juillet 2015 à 20 h 52 min
« Hélas, qui dira la cruauté de l’absence éternelle de ces réseaux cérébraux? »
Pauvre ueda! il sait de quoi il parle, bien sûr et comme toujours
JC 4pas une ride chez la vermine !
Kafkaien, …Hollande traitant le contrat MISTRAL avec les Russes !
Kafcayenne, …Taubira annulant le permis de conduire pour soulager les juges ! 4
Quel cerveau ce JC !
Stephen Hawking et Elon Musk réclament l’interdiction des « robots tueurs »
fantastique n’est pas mal, mais a besoin d’un complément
Javel dit: 1 août 2015 à 8 h 10 min
JALOUX… !
Merci de Nota pour l’info de 21h42 du 31 juillet.
J’ignorais tout de cette triste aventure. Mais maintenant que je le sais, je vais être encore beaucoup détestable et intransigeant avec ce monde de résidus de malheur de putains de « spys.de.merde » comme le nom précédent entre guillemets l’indique.
ionesco : l’humour des familles et des procès
d’autant que ce procès nenuit pas apparemment à la notoriété des protagonistes et donc à leur oeuvre. mais, mais,
ionesco ce sont des affaires pour psychanalystes , maintenant que les temps a passé on peut gloser sur ce qui en reste d’autre su le procès et les histoires de famille et de leur sexualité pas virtuelle .
que le temps a passé même si ce n’est pas cent ans on peut les faire aussi(sans coquille )
Pourquoi en vouloir aux psychanalystes ?
Ils font ce qu’ils peuvent pour soulager les patients, les fadas, les débiles et, se les coltinant, gagner un peu de sous !
En plus, comme ils sont souvent borderline, les psys … on peut les plaindre, à coup sûr !
pour la métamorphose, il ne faut pas abuser sur la nullité du lecteur qui connaît bien les fables , au moins celles de la fontaine, et les contes pour enfants : sur le puéril de la famille, ce n’est pas négligeable par un auteur digne de ce nom
il y a des artistes qui vont ches des psys …quand les psys ne les relancent pas d’eux-mêmes?
labat dit: 1 août 2015 à 11 h 12 min
« il y a des artistes qui vont ches des psys »
C’est bien normal !
Être artiste dans ce monde libéral, capitaliste, populiste, aculturé, mercantile, idéologiquement à droite, mondialisé, c’est un suicide économique !
… ça les rend fadas, les artistes ….. uhuhu !
Kafkaïen :… Eric Reinhardt n’a pas décidé de cesser d’écrire des niaiseries pour, enfin, travailler honnêtement !
J’aime beaucoup le pluriel du titre donné au billet.
Au-delà de Kafka et de ce livre (et des billets précédents sur cet écrivain et sur l’homme qu’il était), ce mot au pluriel m’évoque les métamorphoses de ce blog depuis 2004 (?) et celles des intervenants.
J’ai aimé lire, ce matin, qu’il avait plu chez Rose. Un peu d’eau abaisse la température souvent élevée de l’espace commentaires.
Un peu d’eau doit également réjouir les habitants du sud de la France.
Des correspondances de Kafka, celle que je préfère ce sont les lettres échangées avec Milena.
Un billet de P. Sollers sur Kafka à contre-courant m’a beaucoup et agréablement surprise. Je vais tenter de le retrouver.
Voilà. Étonnant…
http://www.philippesollers.net/kafka.html
Je peux vous garantir que la mer ce matin, sans soleil, sans vent, était de plomb et qu’affichant 17°, nager était titaniquesque !
Milena Jesenská annonce la mort de Franz Kafka, le 7 juin 1924 :
« Avant-hier est mort au sanatorium de Kierling près de Klosterneuburg, à côté de Vienne, le Dr. Franz Kafka, un écrivain allemand qui vivait à Prague. Peu de gens le connaissait ici, car il allait seul son chemin, plein de vérité, effrayé par le monde ; depuis bien des années, il souffrait d’une maladie des poumons, et s’il la soignait, il la nourrissait aussi consciemment et l’entretenait dans sa pensée.
Lorsque l’âme et le cœur ne peuvent plus supporter leur fardeau, le poumon prend sur lui la moitié de la charge, ainsi la charge est au moins également répartie, a-t-il écrit une fois dans une lettre, et sa maladie était de cette espèce. Elle lui conférait une fragilité presque incroyable et un raffinement intellectuel sans compromis presque terrifiant ; mais lui, en tant qu’homme, avait déposé toute son angoisse intellectuelle sur les épaules de sa maladie. Il était timide, inquiet, doux et bon, mais les livres qu’il a écrits sont cruels et douloureux. Il voyait le monde plein de démons invisibles qui déchirent et anéantissent l’homme sans défense. Il était trop lucide, trop sage pour pouvoir vivre, trop faible pour combattre, faible comme le sont des êtres beaux et nobles , qui sont incapables d’engager le combat avec la peur qu’ils ont de l’incompréhension, de l’absence de bonté, du mensonge intellectuel, parce qu’ils savent d’avance que ce combat est vain et que l’ennemi vaincu couvre encore de honte son vainqueur. Il connaissait les hommes, comme seul peut les connaître quelqu’un de grande sensibilité nerveuse, quelqu’un qui est solitaire et qui reconnait autrui à un simple éclair dans son regard. Il connaissait le monde d’une manière insolite et profonde, lui-même étant un monde insolite et profond. Il a écrit les livres les plus importants de toute la jeune littérature allemande ; toutes les luttes de la génération d’aujourd’hui dans le monde entier y sont incluses, encore que sans esprit de doctrine. Ils sont vrais, nus et douloureux, si bien que, même lorsqu’ils s’expriment de manière symbolique, ils sont presque naturalistes. Ils sont pleins de l’ironie sèche et de la vision sensible d’un homme qui voyait le monde si clairement qu’il ne pouvait pas le supporter et qu’il lui fallait mourir, s’il ne voulait pas faire de concessions comme les autres et chercher recours dans les diverses erreurs de la raison et de l’inconscient, même les plus nobles. Franz Kafka a écrit Le Soulier, le premier chapitre d’un merveilleux roman encore inédit, Le Verdict, conflit de deux générations, La Métamorphose, le livre le plus fort de la littérature allemande moderne, La Colonie Pénitentiaire et les esquisses Regard et Médecin de Campagne. Le dernier roman, Devant la Loi, attend depuis des années en manuscrit. C’est un de ces livres qui, quand on les a lus jusqu’au bout, laissent l’impression d’un monde si parfaitement compris qu’il rend inutile le moindre commentaire. Tous ses livres décrivent l’horreur de l’incompréhension, de la faute innocente parmi les hommes. C’était un artiste et un homme d’une conscience si sensible qu’il entendait encore là où les sourds se croyaient faussement en sûreté. »
« Lettres à Milena » (F. Kafka) – Gallimard – Traduction Vialatte
« Il connaissait les hommes, comme seul peut les connaître quelqu’un de grande sensibilité nerveuse, quelqu’un qui est solitaire et qui reconnait autrui à un simple éclair dans son regard. » (Christiane/citation)
Quelqu’un « d’une grande sensibilité nerveuse » croit connaître les hommes, mais en réalité il les imagine, les déforme, à son aune.
Plus on est solitaire, moins on connaît les hommes, réellement. On leur échappe, on le regrette, alors on invente…
>christiane
Nous attendions le déluge à tout le moins l’orage : il pleuvuit quatre gouttes. Je te de ne pas céder au désespoir du désert puis ensuite du niveau qui monte.
Le jardin, je crois, souffre plus que moi.
Grand merci pour votre longue citation de Milan.
>Renato bonjour. Vous nous avez beaucoup manqué. Croix de bois,
@ JC
« Même pour la duchesse de Guermantes, comme pour certaines pages de Bergotte, son charme ne m’était visible qu’à distance et s’évanouissait quand j’étais près d’elle, car il résidait dans ma mémoire et dans mon imagination. »
Proust – Le temps retrouve
Kafkaïen : ….certaines îles indépendantes de la Caraïbe vont loin, elles peuvent vous nommer ambassadeur.
Cela peut coûter un peu cher, de 100 000 à 500 000 dollars. Mais cela en vaut la peine, ce sésame vous exonère fiscalement, et vous offre l’immunité, malgré un casier judiciaire chargé.
N’oubliez pas, malfrats littéraires ! Nous pouvons vous nommer ambassadeur de Porquerolles auprès du FMI, de UN, de la Red Cross, de la SPA, du Saint-Siège ….!
d’un monde si parfaitement compris qu’il rend inutile le moindre commentaire.
Vous confirmez mes soupçons concernant ce farceur de Marcelito Proutprout, Christiane !
On appelle ça, en Provence, un blagueur … un fada, un pauvre bougre, inventif route départementale.
Plus à l’aise dans une partie de pétanque que dans la connaissance des autres.
Javel dit: 1 août 2015 à 8 h 10 min
ce que la sottise humaine peu produire de pus grassement accablant.
Pus… gras…
Quelle horreur.
Puisque tu supputes qu’on suppure, Javel, amènes ton eau!
JC
une mer à 17° c’est froid
jc vous fatiguez pas à bavasser- on sait d’avance que vous prendrez toujours le contre-pied de quoi que ce soit-les masos exceptés, on ne vous lit plus que par indavertance
Et pourtant, JC, il en faut de la distance, de la mémoire et de l’imagination pour approcher votre vérité…
christiane dit: 1 août 2015 à 12 h 52 min
« Et pourtant, JC, il en faut de la distance, de la mémoire et de l’imagination pour approcher votre vérité… »
A 92 ans, 13 mois et 32 jours, je n’en manque pas …
Une mer à 17° : espérance de survie d’environ 2 heures et demie, pour un individu normal votant socialiste…
La correspondance entre Franz Kafka et Milena Pollak, dans cette édition Gallimard, de 1988, n’est pas complètement une traduction de A. Vialatte.
Les lettres, y compris celles de Milena qui s’adresse à » cher monsieur de docteur », sont une traduction de C. David.
Cela est bien expliqué dans ‘ note sur cette édition’, avec des signes typo qui permettent de restituer ce qui revient à qui.
D’autant que cette affaire résulte d’un jugement au tribunal de paris de 1974.
Et de comprendre pourquoi une nouvelle édition de la version originale de 1952 a été possible en 1983, avec réintégration de ce qui avait été délibérément écarté, pouvant heurter des susceptibilités.
C’est l’édition originale de 1983 qui a servi pour cette édition française chez Gallimard.
Peut-être rappeler que Milena Jesenskà a rencontré F. Kafka en 1919.
Cela a son importance, car l’épuisement était déjà inscrit de longue date.
Doc’, non, ce qui est puéril c’est de penser que la métamorphose est un remake moderne d’une fable de La Fontaine.
Ce serait oublier le « gagne-pain » de F.K, et le monde industriel nouveau auquel il a pris part.
lire: « des lettres » et non « les ».
Cette correspondance, « lettres à Milena » a été traduite par Vialatte et pour quelques unes par C. David.
13h09
Merci
et plus récent :
http://www.liberation.fr/livres/2015/02/11/kafka-milena-et-le-bureau-aux-yeux-innocents_1200388
@JC
« Sur cette côte, à une heure aussi matinale, je n’avais besoin de personne. La présence des mouettes me dérangeait : je les fis fuir à coups de pierres. Et leurs cris d’une stridence surnaturelle, je compris que c’était justement cela qu’il me fallait, que le sinistre seul pouvait m’apaiser, et que c’est pour le rencontrer que je m’étais levé avant le jour. »
Cioran – De l’inconvénient d’être né -Gallimard
PS : malgré ce que dit D. , je ne suis pas une mouette !
« parce qu’ils savent d’avance que ce combat est vain et que l’ennemi vaincu couvre encore de honte son vainqueur. »
Etrange phrase, si l’on songe aux Juifs et aux Nazis ?
Pas le temps de lire M et F.K par M. Lindon, c’est un choix. Déjà donné sur le sujet, il n’y a pas si longtemps.
Mais, oui, Milena, le feu vivant, et puis après il faudrait revoir toutes ces fiançailles de F.K., cet éternel « insatisfait », rompues, comment, par qui, etc.
Et pour « le bureau », tiens voilà un mot de Kafka, il faut aussi voir que sa localisation. Elle varie, au gré de ses déplacements.
Ce qui transparait, ajouté à une constitution fragile, c’est une forme de résistance à la vitesse. Je ne sais pas, c’est une idée.
étranger jusqu’à l’absurde, mais c’est justement cela qui exige des égards».
Je m’en doutais…
Cependant, cela devient une certitude : Franz Kafka était un demi-foldingue, un taré, un malheureux … et c’est exact, qu’il est plus présentable de lui donner du « génie »… le troupeau exulte, alors.
Toute vérité n’est pas bonne à dire, car dire cela remet le génie en place : il quitte la cuisine et passe aux chiottes. Changement d’orifice ingrat.
Enfin, pour ceux qui ne connaissent pas Kafka, et qui souhaitent ne pas en rester là, son journal parait incontournable.
Je pose ici une reconnaissance de dettes, pour « un petit lecteur ».
« Une mer à 17° : espérance de survie d’environ 2 heures et demie, »
combien de minutes sans nager pour un pervers qui se prend pour un mec original et au-dessus du lot
La Lettre au père: un joyau!
Je tente de ne pas céder etc.
Lettres de Milena et pas de Milan.
Comment mais comment débranche-t-on ce correcteur automatique ?
Je vais faire une tourte au madère : jambon/champignons de Paris
Bisous affectueux, bon premier août à tout un chacun. Chacune étant comprise dans chacun. Par lui, ce serait trop espérer.
Contrairement à ce qu’on ourrait croire ce n’est pas une lettre au Père Noël ni à dieu le père (« Très cher père … tu me fais peur depuis toujours et je crains le pire lorsque tu es là… »
(…)J’ai trop été écrasé du simple fait de ton existence,
Toi l’homme si grand en tout point… Je me trouvais lamentable par rapport à toi,
Et vis-à-vis du monde entier aussi. Et ce qui n’arrangeait rien,
J’étais fier de la puissance de mon père, de sa supériorité en toute chose…. »
http://art-psy.com/PDF/Kafka.pdf
Les germanistes pourraient peut-être donner le bon lien ?
D’accord avec vous : lettre au père un joyau. Mais nous avons eu tourné la page et fini de ratiociner depuis quarante ans , au bas mot, sur ce sujet. Papa/Maman sont derrière nous. Même si papa a été pris il y a deux jours dans les bras d’un grand gaillard de sénégalais qui lui a dit « si tu veux, frère, je t’emmène au Sénégal. »
Frère c’est moi qui rajoute. Pour le fun.
Le fun pck rien de drôle.
plouf dit: 1 août 2015 à 14 h 15 min
Dans une eau froide, bouger a minima, disons très légèrement : la déperdition d’énergie est bien plus violente que dans l’air. Maintenir corps replié sur lui-même en position fœtale.
Pour entretenir la volonté de vivre, maudire :
-le skipper
-l’architecte naval
-le constructeur
-le voilier
-l’accastilleur
-l’équipier qui vous a poussé, amant de votre maitresse
-Dieu, YHWH, Allah
-tout bouc émissaire qui vous vient à l’esprit
-se souvenir de l’analyse de Fritz Zorn dans Mars…
Cette lettre, Hermann Kafka ne l’a jamais reçue.
Rarement une allégorie aura donné lieu à tant d’interprétations.
Est-ce seulement une allégorie ? La liste de ses significations, en tout cas, est indéfinie. On peut se contenter d’y lire un conte fantastique, ou même le récit,quelque peu arrangé, d’un rêve. Il est dommage que cette nouvelle célébrissime en ait éclipsé d’autres, comme celle qui reste ma favorite : « Joséphine la cantatrice ou le peuple des souris », et qui est pour moi l’allégorie de la condition de l’écrivain ou de l’artiste.
Heureux ceux qui comme rose possèdent un jardin ! Moi qui n’en ai jamais eu, je me rabats sur les jardins publics. Que ceux qui en ont un ici, lèvent la main !
de retour de la plage ; il sont vraiment repoussants Uedada et Benitotofacho sur la photo, pouah !
je lis dans un petit folio, ( 2 euros ! pour cette version en français de la lettre au père) pour des membres éminents de l’akadémie, sur-représentés ici, dans cette machine à décerveler,-et à destination de leurs élèves- « ça »:
« ce milieu professionnel qu’il choisit uniquement pour le temps libre qu’il peut ainsi consacrer à l’écriture, jouera un rôle capital dans la vision du monde social que son oeuvre reflète avec la plus extrême précision: des systèmes bureaucratiques où l’organisation complexe tourne à vide, et où la rationalité conduit à l’absurde »
Comment peux t on vivre dans un immeuble ? Même avec le loyer bâillonné à la Sainte Cécile Duflot !…
Un jardin, un grand jardin, un espace où il y a des plantes, des arbustes, des arbres, de la terre, des trucs à arroser, à aider, à enterrer, à déterrer, des amandes, des roses, des palmiers, des pins, de la vigne sauvage, des bougainvilliers …de tout qui plaise aux enfants et aux petits pets domestiques !
Je sais que ce n’est pas possible pour tout le monde, mais cela m’est égal puisque je suis égoïste ! Eh ! Oh ! je ne suis pas responsable de la diversité/inégalité voulue par Dieu, YHWH, Allah et autres politiciens ….
« des systèmes bureaucratiques où l’organisation complexe tourne à vide, et où la rationalité conduit à l’absurde »
En un mot : kafkaïen !
dans le bouquin « cent ans de solitude », de Garcia marquès, les protagonistes sont condamnés à rester dans leur enclos endogame.
Je vous y laisse.
dernière correction: lire Garcia Marquez
Max Brod, il a une croix gammée peinte sur le buste ?
des photos de la famille kafka sauf les filles, mais brod comme le non kafka le plus proche de kafka
Récréation : Profitez!
https://www.youtube.com/watch?t=24&v=JozAmXo2bDE
14 h 59 min
(petits) patelins isolés les uns des autres
Photo 2
Pas si grand que ça, le monstre. Le paternel le porte à la boutonnière.
on oublie parfois combien Kafka a ét intéressé à son corps, se mettant poitrine nue devant sa fenêtre ouverte,; l’alimentation aussi. peut-être pas le mieux pour sa santé. sur la photo, il a visiblement plaisir à être v^tu léger, léger. son sourire est un peu niais sur la photo archiconnue .
un homme charmant le paternel
à 15 h 28 min, voui, voui, même que c’étaient tous des gauchiss avec des queues en forme de tire-bouchon.
_____________________________
F.K., son drame, c’est « ça »:
Hans Baldung Grien, « Les trois âges de la vie », v. 1510 (Vienne, Kunsthistorisches Museum); A. F. Hurez, « Degrés des âges », Cambrai, 1817-1832 (Paris, musée des arts et traditions populaires).
http://culturevisuelle.org/icones/207
, ce qu’il est vraiment est irréductible à toute autre forme d’art que la littérature.
vraiment : alors ceci vaut peut-être pour tout le monde , ce que nous sommes vraiment nous aussi.
c’est relâche un peu aussi dans l’attention. Vous corrigerez.
le père de Kafka avait une idée de ce que doit être un homme, un bon fils juif de surcroit , et la littérature n’était pas dans son imaginaire.pour la construction de soi de l’homme juif.
Il y a toujours l’araignée de l’Etoile mystérieuse, mais l’araignée c’est pris… Par Eléonora Galigaï, voyez-vous cela…
Qui a lu la récente traduction de l’allemand de R. Kahn « Franz Kafka A Milena » (éd : Nous) évoquée dans l’article de Libération signé M. Lindondes 149 lettresde Kafka. Vaut-elle vraiment mieux, comme il le suggère que les deux précédentes de Vialatte et David ?
Doc’, à 15h56, c’est tellement grotesque, ce que vous affirmez, qu’il est vain de rappeler que F.K. avait une autre filiation, différente, et que tout opposait à la personnalité forte et entière, du père.
C’est dommage que mon premier dessin mis en lien ait été avalé directement par la machine, ce matin. Une belle définition de la construction de soi, par F.K. himself.
Peut-être qu’il passe, ce lien, par la rue meurt d’art :
http://www.ruemeurtdart.com/
A EN JUGER PAR LE SUCC7S DANS LES HOPITAUX DES
médecines orientales (le ventre deuxième cerveau) nous n’aurions pas découvert toutes les vérités(!!!) de notre corps et les recherches continuent ferme. il y a toujours plus de questions posées par le corps , en même temps que le corps devient l’énigme , il a un nouveau statut dans les techniques comme la sexualité virtuelle : paradoxal?
une psychanalyste avait écrit que le corps était le premier persécuteur
tout le monde s’y est mis
P.Assouline sait allonger les sauces et les listes; sans trop de soucis du distinguo
Le premier persécuteur c’est maman et papa. Puis, après,l’Etat par l’école et par Bercy, puis le travail qui n’est pas la santé. Enfin, par bonheur, c’est la mort qui délivre !
Y a d’la joie ….. dit: 1 août 2015 à 17 h 08 min
c’est la mort qui délivre !
Fatal error ! On n’a jamais vu la mort délivrer de Bercy… Suffit de voir Jacques de Molay…
GOODY EST MORT LA R2PUBLIQUE DES LIVRES DOIT BIEN UN SALUT à L’AUTEUR DE LA RAISON GRAPHIQUE
T’as raison, Sergio, on a retiré les brigands de grand chemin de nos autoroutes, et on les a parqués à Bercy …
Et de là, ils nous poursuivent jusqu’à la troisième génération !
QU’ILS BRÛLENT EN ENFER CES MAUDITS CLOPORTES KAFKAIENS !
Y a d’la joie ….. dit: 1 août 2015 à 17 h 24 min
on a retiré les brigands de grand chemin de nos autoroutes
Il en reste ! En général ils sont habillés en bleu… Et pas en bleu Klein !
Bonne fête les Alphonse dont Boudard et Aĺlais.
Et bonne fête nationale aux membres de la confédération helvétique.
la guerre contre l’abus de kafkaien devrait être généralisée contre cette tendance ; aveec une réserve pour odradekien
« on a retiré les brigands de grand chemin de nos autoroutes, et on les a parqués à Bercy … »
pas tous
Il y a une Colonie pénitentiaire en bande dessinée qui est pas mal ; mais de qui ? Trait assez violent, au pique-feu, assez caricatural…
empapahouter n ‘est pas un verbe kafkaïen mais JC pourrait
le faire sien-par derrière .
18 h 00 min allez vous chercher un pseudo chez
les Grecs
ca recommence , j’en ai plus que marre ave vos psychanalyses de trottoir à ratatouille,vous êtes ignoble .
de toute façon les robots tueurs sont là
Jean Mermoz répond à un journaliste qui lui demande un témoignage personnel sur son aventure de pilote :
Ce serait me faire une réclame imméritée vis-à-vis de tous mes camarades qui font chaque jour ce que je fais personnellement et je ne m’en reconnais pas le droit. De plus, notre rôle à nous, pilotes de ligne, est d’être et de rester obscurs. Nous accomplissons simplement un métier, parfois un peu plus dur que les autres, mais qui n’en est pas moins un métier. Nous ne battons pas de record, nous ne sommes pas les héros des raids de grande envergure, chaque jour, nous acheminons le courrier vers un point donne à des heures données. Les difficultés que nous rencontrons parfois, nul ne les connaît, ne chèche à les connaître du moment que le courrier arrive à destination. Chacun accomplit sa tâche avec toute la collection science professionnelle dont il est capable. C’est à dire, cher monsieur, que je e suis qu’un des nombreux pilotes que la compagnie Latécoère emploie dans le sens propre du mot, pour transformer le courrier de France…à sa destination. Oubliez-moi personnellement sur votre article pour ne songer qu’à la communauté.
un point donné
ne cherche
conscience profesionnelle
Cancrelat on a l’impression que ça se répand de partout comme une sauce qui tomberait de sa casserole…
rose dit: 1 août 2015 à 19 h 17 min
chèche
C’est à cause de Port-Etienne (Nouadhibou) ? C’est là qu’il y a eu les problèmes les plus terribles, spécialement en période de rezzou ; les ancêtres du Polisario !
Dans je ne sais plus lequel des siens (Terre des hommes ?), Saint-Ex décrit le bus de la compagnie, peut-être même une simple camionnette, emmenant pilotes et mécanos à Blagnac sur les coups des cinq heures du matin, parce que après… il y avait de l’heure de vol à faire ! C’était bien à peu près de la même eau…
c’est vrai qu’on a freudien et lacanien , chez les cririques,, universitaiteres er autres odradekistes
transformer le courrier de France ! quelle métamorphose !
Vous êtes coincé dans un bouchon sur l’autoroute, labat ?
15h48 A ce propos, me vient le souvenir d’une très jolie femme qui comme pour se venger du temps qu’affichait son visage à l’expression aussi mélancolique qu’indifférent aux moqueries silencieuses qui ne manquaient pas d’occuper les regards qui d’en bas se tournaient vers ce corps magnifiquement nu exposé au balcon d’un h^^otel et suscitait au moins une question: son attitude s’apparentait-elle à quelque trouble de la personnalité ou à du désespoir?
en même temps que le corps devient l’énigme , il a un nouveau statut dans les techniques comme la sexualité virtuelle : paradoxal?
La puissance du fantasme? Il est vrai qu’autrefois nous ne disposions comme palliatif à la frustration ou à l’abstinence forcée que les pages glacées ou non des revues hypocritement dédiées à célébrer la plastic féminine, de nos jours s’il fallait extraire les apports siliconés des modèles généreusement offerts en ligne, on ne sait si l’embrasement mènerait les amateurs de ces réseaux à la satisfaction d’une pulsion qui quoique légitime n’en demeure pas moins coupable, il y aurait tant et tant à tirer de la chair vivante et circulante. Digression nous éloignant d’autant plus de Kafka que son œuvre chaste et pure nous rapproche de notre humble et dramatique condition.
l’avant portnoy mais déjà, encore, toujours le complexe d’odradek
ecrit en 1735? une odyssée de la transmigration des âmes , MONTESQUIEU, le plus grand fripon de toutes les indes, qui se réincarne en sauterelle, en chien en éléphant , en homme et même en dieu.
Je tiens à la disposition de tous, des informations sur Daurat, Mermoz, Saint-Ex et l’Aéropostale…
Infos de première main : celles d’une proche.
Un écrivain a répondu: »l’homme n’est jamais aussi grand que uand il fabrique des choses absurdes. »
Dans le dernier « Télérama », très bel article sur la grande Billie Holliday, avec une discographie succincte mais alléchante.
GOODY EST MORT (Labat)
Qui c’est ? ça me fait penser que mon train de pneus Goodyear est mort aussi
Je tiens à la disposition de tous, des informations sur Daurat, Mermoz, Saint-Ex et l’Aéropostale… (JC)
Qui ces vieilleries peuvent-elles bien intéresser ? Pourquoi pas des infos sur le tri postal ? Ce serait plus actuel.
Je tiens à la disposition de tous, des informations sur Daurat, Mermoz, Saint-Ex et l’Aéropostale…
Infos de première main : celles d’une proche. (JC)
Vu les dates de décès des trois zigotos, la proche doit être largement centenaire. J’ai la mémoire qui flanche…
21h11 procédons par élimination pour une quintessence intelligemment utile et soucieuse du devenir des découvertes.
C’est certainement un grand souci pour pères de famille cet odradek.
Et débarrassé d’un diag psy non sollicité et/ou de considérations médicales relatives à sa potentielle apparition en même temps que la découverte d’un état tuberculeux,
il reste une « absurdité » de tradition hassidique ?
une adaptation absurde d’un conte de Bohème ?
cet odradek. (La vie dans les bois)
Qui c’est ? un romancier porno ? un pseudo de Despentes ?
très bonne question , je reposte un truc de l’automne dernier:
un odradek ?
tiens petit jeu de trad’ pour kafkaïens. Et pères de famille.
Alexandre Vialatte : « Certes, il ne fait de mal à personne ; mais je souffre presque à l’idée qu’il me survivra. »
Bernard Lortholary : « Il ne fait de mal à personne, apparemment ; mais l’idée qu’en plus il doive encore me survivre m’est presque douloureuse. »
Laurent Margantin : « Il est vrai qu’il ne fait visiblement de mal à personne, mais la pensée qu’il pourrait en plus me survivre m’est presque douloureuse. »
une « absurdité » de tradition hassidique ? (La vie dans les bois)
Absurdité, c’est vite dit. J’ai vu « Butch Hassidique and the kid », c’était pas du tout absurde, c’état même vachement bien.
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