Christine Angot, de père inconnu, de mère mieux connue
Pas facile de séparer les livres du bruit qu’ils font. Et avec ceux de Christine Angot plus encore qu’avec les autres. Ils nous parviennent toujours précédés d’une rumeur ou d’une légende, le plus souvent associées au scandale et au souffre qu’interviews, déclarations et procès suffisent à documenter. Etrangement, cette fois, Un amour impossible (218 pages, Flammarion) paraît précédé d’une toute autre doxa : c’est le livre de la réconciliation, celui d’une femme enfin apaisée qui a réussi à dominer ses démons etc Pourquoi pas ? A ceci près que, comme les rumeurs des années précédentes, cela fausse la lecture et empêche d’apprécier un roman dans sa nudité, débarrassé de sa couverture, dans toutes les acceptions du terme.
Il y a quelque chose du feuilleton dans cette œuvre-là. Depuis une vingtaine d’années, Christine Angot nous donne de ses nouvelles puisqu’elle est sa matière romanesque – et qu’on cesse de nous bassiner avec les « dispositifs » inversés, la vraie fausse autofiction et le je-hais-un-autre. Ceux qui la suivent, et même les autres, buzz oblige, savent donc que son père incestueux lui a infligé des sévices que la morale réprouve, qu’elle a fait du scooter la nuit dans Paris avec Doc Gynéco alors son amant, qu’elle a baisé dans un avion avec un banquier, qu’elle a perdu un procès intenté par l’ex de celui qui était alors son actuel etc
On retrouve son écriture blanche, le goût du risque, l’attirance pour les périls, les blessures à vif et cette faculté de dire les choses, donc de les écrire, dans l’absence de sur-moi qui faisait la signature de Marguerite Duras. Et l’acte originel et fondateur : l’inceste. Encore ? Evidemment. Toujours la même histoire. On en serait dévasté à moins. Une vie ne suffirait pas à s’en débarrasser, fût-ce une vie d’écrivain. Tout ce qu’elle écrit tourne autour de cet astre noir d’une manière ou d’une autre, que ce soit secret ou mis à nu. La différence, c’est que cette fois, la violence n’est ni exposée, ni contenue mais maîtrisée. N’en faire qu’une méditation sur l’amour maternel le réduirait. Un amour impossible contient deux histoires d’amour croisées, puis superposées : l’une qui demeure impossible avec un père pervers, l’autre enfin possible avec une mère retrouvée.
Il ne s’agit pas d’un réquisitoire, ni dans la lettre ni dans l’esprit. Au contraire : la force du roman tient dans sa capacité à montrer que derrière l’inexcusable, l’abject, le condamnable, il y a encore de la vie. Des sentiments, des affects, des émotions. A commencer par ceux enfin imaginables entre son père et sa mère, Pierre et Rachel, du moins dans les premiers temps de leur rencontre. Il s’appelait Angot, elle s’appelait Schwartz, c’était à Chateauroux dans les années cinquante et Dalida chantait « Notre histoire, c’est l’histoire d’un amourrrrr. ». Après l’amour, il lui lisait du Nietzsche. Toute à sa reconstruction, elle raconte les élans, les obstacles, l’égoïsme de l’un, la naïveté de l’autre.
Le père, quelqu’un de cultivé et d’intelligent, est dès le départ un homme de passage, qui a du mal à reconnaître cette enfant d’une femme, employée de la Sécurité sociale enfermée dans son humilité de classe, qu’il n’a d’ailleurs pas reconnu comme la sienne. Ce sera donc pendant des années un père absent, lointain, inconnu. Tout l’amour sera pour sa mère et certaines pages du roman donnent les larmes aux yeux tant les choses y sont dites avec une sincère simplicité que les écrivains ne s’autorisent plus – même si on se doute qu’il y en aura pour crier à l’esbroufe. Une adolescence entre femmes. Pas toujours facile. Quelques mots suffisent pour dire le désarroi de l’enfant qui finit « souvent accroupie sur le trottoir » quand la mère est encore en retard pour aller la chercher à l’école.
« On est une famille de deux personnes, mais on est une famille. Qu’est-ce qu’on est alors si on n’est pas une famille ?
– On est une mère et sa fille, voilà, c’est tout. Deux personnes dans une maison c’est pas une famille. Je suis désolée »
Il a fallu le retour du père pour que l’horreur advienne et qu’elle se double d’une autre, tout aussi terrible, qui la fera s’éloigner de cette mère aimée et aimante : celle-ci n’a rien vu car elle n’a rien voulu voir, s’enfermant dans un silence complice. L’’oncle l’avait pourtant prévenue et exigé que sa fille ne voie plus son père le week-end à Paris : « Il la sodomise depuis des années ». Le père s’était convaincu de ce que sa supériorité sociale lui permettait de s’affranchir de l’interdit fondamental. L’enquête de Christine Angot sur ce couple à qui elle doit la vie « ici et maintenant » aboutit à une terrible mise à nu des rapports de force qui unissent/éloignent parents et enfant. Pas seulement des rapports de force sentimentaux, familiaux et conjugaux mais sociaux. Sa manière d’atteindre l’universel en partant de son infini particulier, et des reproches longtemps adressés à cette mère. Coupable d’avoir sacrifié sa fille à la nostalgie de son amour pour cet homme. Coupable de ne s’être jamais remise en question. Une mère qui lit désormais les livres et les articles de sa fille, les lui critique et regrette parfois, au moment où sa fille lui pardonne.
Chacune a fait du chemin pour parvenir à ce point d’intersection. Il a fallu que la mère comprenne qu’elle était rejetée non pour ce qu’elle était humainement mais pour ce qu’elle représentait socialement. Angot cherche le vrai qui crée l’émotion et l’a trouvé sans agressivité, sans revendication, sans violence. Acuité des détails, vérité des choses vues. Les voix sont très justes, à tous les âges. Pas de hiatus. Une vraie vibration continue de bout en bout. Du lourd mais avec grâce. Avec légèreté quand point l’ironie. Un amour impossible est le fruit de ces retrouvailles. Beauté de la rédemption qui réussit la prouesse de faire oublier la rage qui l’habitait, et l’exaspération qu’elle provoquait parfois. Sa rage mise à nu, calmement.
(Illustration Elena Odriozola, photo Sipa)
769 Réponses pour Christine Angot, de père inconnu, de mère mieux connue
Bloom, voyez-vous, le problème n’est pas que toute cette histoire soit navrante, que ce « phénomène » Angot, que cette sottise collective, soit en soi pitoyable, non le problème est ailleurs, mais où ?
mystère.
peut-être le rôle que s’est attribué la critique littéraire au cours de ces dernières années, la mission de détourner le lecteur des textes « faciles » pour l’emmener sur les les rives dangereuses des textes « difficiles », des textes exigeants, demandant un plus gros effort de la part du lecteur que lire Gavalda, Levy, Foenkinos ou Musso.
Il a fallu, pour y parvenir, tracer une frontière en la facilité et l’exigence, et c’est là où ils se sont vautrés, en traçant cette frontière, sans doute n’avaient-ils pas de bonnes cartes ign à leur disposition.
mais le problème est qu’une fois que cette frontière avait été tracée, ils ne pouvaient plus revenir en arrière.
la plus grosse tarte à la crème a été l’histoire de la « mise en danger » de l’auteur : écrire c’est « se mettre en danger » – écrire est une « prise de risque », et Angot, à chaque fois qu’elle écrit : elle se met en danger et elle prend un risque, comme les américains qui ont sauté sur le terroriste dans le Thalys.
cette demande du lecteur d’avoir affaire à des écrivains qui prennent un risque était liée à la haute opinion qu’a le lecteur de lui-même, seuls des écrivains prenant un gros risque sont à sa hauteur, comme des acrobates, dans un cirque, ou des funambules, mais aujourd’hui plus personne ne va au cirque, du coup la prise de risque et la mise en danger se sont déplacées du funambule à l’écrivain, beaucoup, dont je suis, regrette cette vieille époque on l’on allait au cirque en famille, je sais pas vous Bloom mais moi j’aime tellement le cirque, avec ses acrobates et funambules que jamais un écrivain ne pourra le remplacer, même s’il prend des risques énormes, après on me dit « oui mais t’es rabat joie, Angot c’est une voix », oui, d’accord mais les acrobates qui se jetaient dans le vide sans filet étaient pus beaux à voir, j’ai peut-être gardé une âme d’enfant, même Tom Cruise dans le dernier MI quand il est accroché à l’avion dans les airs comme un acrobate, Angot saurait-elle s’accrocher à un avion en vol Bloom ? résultat quand j’entends parler de prise de risque d’un écrivain je me dis c’est quoi ce cirque et je retourne au cinéma voir Tom Cruise, le dernier des grands acrobates…
Bon c’est un peu azebine de continuer à se demander qui était collabo sous oncle Wolf ; d’ailleurs c’est pas dur, en gros c’est tout le monde. Non, les listes qu’il faudrait déjà dresser, c’est ceux qui vont l’être, collabo, mais avec les croissants gammés : là ça sera du live, du vrai ! I se préparent dans l’ombre, c’est couru, à fayoter un max… Et puis c’est pas parce que ça a foiré du côté de l’invasion soviétique qu’il faut désespérer ! Baisser les bras si je puis dire…
« rachel poule », avant que les jeunes américains se jettent sur le tireur du train, un Français avait déjà tenté de lui barrer le chemin. Vous trouverez bien la correspondance avec la production littéraire.
le Thalys Bloom ! voilà où se situe la différence, entre ces lecteurs d’Angot qui sont restés assis peureusement sur leur siège, parce que pour eux la seule prise de risque estimable est celle que peut prendre un écrivain, et ces trois troufions américains qui eux vont voir Tom Cruise au cinéma et savent ce que c’est que prendre un risque, résultat des courses, si dans ce wagon il n’y avait eu que des lecteurs d’Angot à cette heure ils seraient tous morts !
et voilà où nous mène la beauté de la prise des écrivains qui se mettent en danger en traversant Paris en Vespa.
de grâce, je vous le demande à genoux : faites une pétition et exigez d’Attila qu’il change de pseudo !!!
parce que là la situation devient grotesque.
Les continentaux collabos du Croissant Gammé on les connaît déjà : ils se font tailler la barbe chez Carita Muslimova, en lisant le Coran pour les Nuls …
Phil dit: 25 août 2015 à 16 h 02 min
je sais Phil, c’est pas de bol, ces américains qui comme en 45 passent encore pour des héros.
c’est comme ça, c’est pas très grave vous pouvez vous remettre la lecture de Morand, c’est une telle prise de risque de continuer de nos jours de lire des écrivains de droite, soyez tranquille je ne vais pas cafter.
Nous, ici, nous défendrons nos gobies, nos rougets, nos rascasses, nos girelles, jusqu’à la Bouillabaisse Finale !
se préparent dans l’ombre, c’est couru, à fayoter un max…
avec saucisse de toulouse et lard fumé..tu veux rien que plomber les copins chien d’infidèle
Nous ici, nous lançons un plat nouveau : le couscous au porc. Sans semoule. La semoule, ça fait grossir le cochon …
Pas du tout. Dans ce roman, Marc vit à Reims. Il voyageait en Ford Taunus. Et à part son goût pour l’astrologie, et aussi pour la fête et les amis, eh bien… Ohff, une rencontre inévitable…
écrire c’est « se mettre en danger »
t’aimes te faire fumer par tous les trous et tu le fras savoir 50 ans aprés ta mort..allah n’aime pas les laches !
Que ceux qui n’ont jamais entendu parler à la télé ce crétin de Le Foll l’écoutent enfin !
Après tout, on lit bien de l’Angot… Le Foll, y cause comme un Lucchini de banlieue, sans talent, sans esprit, juste les tics.
La Piste aux Etoiles Naines…
L’enfer continental, vu de Porquerolles….. dit: 25 août 2015 à 16 h 05 min
le Coran pour les Nuls …
Si c’est aussi passionnant que Windows pour les nuls…
bouguereau dit: 25 août 2015 à 16 h 14 min
avec saucisse de toulouse et lard fumé..
Castelnaudary ? I zont mis une autoroute au milieu ! Là fallait le faire, quand même…
Madame Angot ne s’est pas remise des ailes du désir.
..ganz c’est le mec 70’s excessivement déprimé qui a su jouer wolfy au bout du rouleau..un genre d’adolf postmodern qui peut encore étonner au lit même un dracul..faut savoir lire mon pti chéri
pas de lard fumé dans le castelnaudary !.. chien d’infidèle !
un genre d’adolf postmodern qui peut encore étonner au lit
c’est fini, bougreau.
Schroeder (sans chancelier) en a fait une fiotte qui chigne dans le giron de son petit-fils, compositeur de musique décérébrée à Ibiza.
Le Coran pour les Nuls est sorti aux Editions Les Mecs après le succès prodigieux de la Bible pour les Cons aux Editions des Septantes, et la Torah pour les Glands aux Editions du Sémite Enjoué, ouvrages divins qui ont donné une droiture morale, une intégrité fraternelle, une spiritualité inquisitoriale, à des générations de croyants au sourire niais…
Ne pas confondre avec l’ouvrage d’art, bien nécessaire, Windows pour les Brutes Nakundoigt
L’acteur Anglade est un Pantalon.
http://www.lepoint.fr/societe/jean-hugues-anglade-l-indecence-25-08-2015-1959035_23.php
Sergio dit: 25 août 2015 à 16 h 26 min
Castelnaudary ? I zont mis une autoroute au milieu !
Castel c’est quand même mieux que Carca, où pratiquement tous les restos ne proposent que du cassoulet en conserve à peine reprocessed par le patron.
C’est pas très halal de tromper comme ça le client.
Nous ici, on se dit que Anglade, c’est une espèce d’Angot ferroviaire !
Eh oui, Ueda lit Le Point.
A quand Valeurs Actuelles ?
Merci Rachel poule, ça nous évitera de perdre du temps à lire le roman tout entier…
Dis-moi qui tu lis dit: 25 août 2015 à 16 h 57 min
Eh oui, Ueda lit Le Point.
A quand Valeurs Actuelles ?
Dis moi de quand date cette hémiplégie française fondée sur la haine, et je te répondrai qu’elle est un héritage de notre Révolution française.
Nous ici, on achète le Point -le magazine de la gauche honteuse- pour les domestiques. Entre notables, on lit Valeurs Actuelles.
Parfois, un ivrogne de chez nous achète Le Monde. On se le passe pour rigoler.
Libération ? c’est excellent pour emballer la poiscaille qui pue…
Touite
Le prix Truman Capote « couronne un chinois ».
Luh Bry Fyé
Chaloux dit: 25 août 2015 à 14 h 59 min
Allez vous faire foutre, Assouline.
________
Ça a pas l’air de s’arranger pour ce pauvre Chaloux… de plus en plus chelou… Quelles vacances y se passe quand même… d’un énervé tout le temps le pov’.
Alors voilà un gus qui prétend lire et qui dit que j’ai dit que la mère de Marcel était morte à Balbec…
Ben, tu sais pas livre, c’est tout, mon pauv’e Chaloux. C’est pas un scoop…
Ueda dit: 25 août 2015 à 17 h 02 min
Dis moi de quand date cette hémiplégie française fondée sur la haine,
Typiquement le ton de l’article relayé.
La haine se véhicule donc bien.
Vingt contre un que c’est Angot qu’a le Goncourt. Sauf troublion de dernière minute.
J’suis d’ac avec At.
L’enfer continental, vu de Porquerolles….. dit: 25 août 2015 à 17 h 03 min
Pas de vantardises JC, vous n’ouvrez que Minute.
« Parfois, un ivrogne de chez nous achète Le Monde. On se le passe pour rigoler. »
Jacques Barozzi, qui est à la morale ce que Duflot est à l’écologie, nous fait remarquer qu’on pourrait croire à la lecture que les notables porquerollais se passent un ivrogne pour rigoler.
Que Dionysos lui pardonne ! Il n’en est rien …
On se passe cette m.rde quotidienne. La ruine du Monde de Beuve-Mery qui fut un journal de référence, devenu sous la férule molle d’un nul enrichi aux amphétamines, un journal de rigolade pour gens aisés.
Un Charlie-Homo, quoi…
Impossible de trouver un brin d’humanité dans l’islam, par Salem Ben Ammar :
http://www.dreuz.info/2015/08/24/impossible-de-trouver-un-brin-dhumanite-dans-lislam/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
Minute !
Le temps de ce torchon est passé, dépassé…
Déjà je n’aime pas qu’on appelle sans arrêt les gens uniquement par leur nom comme si ceux-ci étaient des élèves. Est ce si difficile que ça d’écrire « Christine Angot » ?
Ensuite, oui je suis d’accord, elle aura le Goncourt, et ce sera plus que mérité. Ses livres sont passionnants, intelligents, il n’y a que le style qui puisse être (un soupçon) amélioré.
Je pense que l’on a pas fini d’entendre parler de Christine Angot et de Michel Houellebecq qui sont incontestablement les étoiles majeures de ce commencement de siecle, en terme de littérature.
D. dit: 25 août 2015 à 17 h 23 min
Je pense que l’on a pas fini d’entendre parler de Christine Angot et de Michel Houellebecq qui sont incontestablement les étoiles majeures de ce commencement de siecle, en terme de littérature.
________
Il eût été préférable d’écrire :
Je pense (…) qui sont les étoiles montantes en ce début de siècle au firmament de la littérature.
C’est plus mieux.
Il ne faut pas exciter le Porquerollais en vain, D., surtout le Porquerollais qui s »adapte.
Si l’Angot obtient le Goncourt, ça va chauffer chez Drouant, les tartes à la crème vont voler bas, espérant l’atteindre …
Widergänger: le 24 août 2015 à 22h 26min:
« Ce sont bien les allemands qui ont inventé » la solution finale », et dans un long paragraphe (lisez-le, un bijou) notre Maître à tous énonce sans hésiter les conséquences sur une langue qui sont, et persistiraient à l’être, terribles. Avis aux lecteurs de Hölderlin, Brecht, Schelling, Marx, Nietzsche, Schelling, Hegel, Wittgenstein, Cassirer, Grass, Heidegger, Freud, Brentano, Luther, Schiller, etc; aux mélomanes adeptes de Beethoven, Mahler, Bruckner, Wagner, Brahms, Schoenberg, Berg, Schubert, Richard Strauss, Schumann, Anton Webern, etc ; aux cinéphiles de Murnau, Lang, Piscator, Leni Riefenstahl, Max Reinhardt; aux Otto Dix et George Grosz exhibés comme temoins de Weimar – sans parler de Beckenbauer et de l’anonyme inventeur du bandoneón. Allemands, on vous en prie, réveillez vous, regardez en face ce que vous avez fait, où vous soyez, ce qui vous attend. Lisez Widergänger. Vous avez peut-être un avis sur la langue de Vichy et sur la devise qui flambloie, indiscutable – Liberté, Egalité, Fraternité – de l’autre coté du Rhin. Allez, faites un petit effort, et il se pourrait bien que vous arriverez à parler français.
Widergänger: le 24 août 2015 à 22h 26min:
« Ce sont bien les allemands qui ont inventé » la solution finale »,
L’idée de la solution finale était dans l’air au moins depuis Masada. Les nazis ont cru pouvoir la finaliser entre 40 et 44. Je viens de lire dans les gazettes que la population juive mondiale a dépassé son niveau de 1939. La solution finale est probablement le plus lamentable fiasco de l’histoire universelle.
is-moi qui tu lis dit: 25 août 2015 à 16 h 57 min
Eh oui, Ueda lit Le Point.
A quand Valeurs Actuelles ?
il dévore le figaro c’est un adepte
geo dit: 25 août 2015 à 10 h 03 min
« « Dans l’Etat islamique, les gays sont traqués et tués tout le temps »,
C’est là que pq veut aller
Depuis toujours, c’est un constat, les peuples jaloux détestent les Juifs. Trop de réussite. Trop d’intelligence. Trop de sureté de soi. Dominateurs.
On a besoin de bouc émissaire.
Les Juifs, c’est pratique : presque tout le monde les hait… Les Allemands ont fait de leur mieux -ils ont le sens pratique, ils sont bien organisés- sans parvenir à éradiquer nos amis juifs !
Par bonheur, les mouches changent d’ânes en ce moment béni des dieux…Fraternité oblige !
10h11
L’Inquisition, ses bûchers , la pureté de sang , pendant des siècles entre autres prouesses
« Je doute toutefois que son traducteur connaisse suffisamment de français pour avoir traduit l’orignal. Il a dû traduire de l’anglais, »
Et pourquoi pas ? certains sont installés en France y son nés depuis pas mal de temps, au moins vingt à trente ans semble-t-il
« Jusqu’à ce qu’un jeune DJ teuton débarque dans la maison voisine… »
Il se passe de ces trucs
« Guetta, je ne dis pas, car c’est un petit malin. »
C’est qui Guetta
« un héritage de notre Révolution française. »
C’est vrai qu’avant tout allait bien et il aurait suffit d’un petit effort de chacun pour que tout aille encore mieux mais non! ç’eût été trop beau ! alors qu’on y était presque
Je sais ce que j’écris, Michel. Chacun de mes commentaires est toujours mûrement réfléchi, en supposant bien les implications qui en découleront. Si je parle d’étoiles majeures, c’est qu’il s’agit d’étoiles majeures, un point c’est tout. C’est vous qui introduisez cette notion de montée, et c’est sous votre entière responsabilité. Ne venez pas pleurnicher quand ça se mettra à descendre.
La presse, la presse… Ca change jamais ! On n’a pas relancé Signal, des fois ? Avec des photos quand ils font le parcours du combattant en turban…
» Ecrire un poème après Auschwitz est barbare « .
Cette mémorable sottise a pour auteur Theodor W. Adorno
Zon Zon est un génie.
Les extraits mis en ligne par Rach’ El Poul sont très beaux, merci.
On se souviendra que Passou a déjà chroniqué la prose de dame Angot et c’est assez cocasse et de lire le billet de Passou et de lire les commentaires de mes camarades… quant au dispositif qui se met en place pour que Angot décroche une timbale à la grande foire des prix littéraires, on s’en tartine la biscotte!
Phil dit: 25 août 2015 à 16 h 02 min
« avant que les jeunes américains se jettent sur le tireur du train, un Français avait déjà tenté de lui barrer le chemin. »
Il y avait un Français et un Brit aussi
Puisqu’on est invités à cause de cul, le cul et la transcendance.
Nos amis belges sont à l’avant-garde.
J’ai fait un rêve.
L’adorable Najat au sommet de l’Etat et, à la base, des prosélytes d’une secte fanatique, unis dans un but commun: la police du sexe.
– Il n’est pas touchant, le pépé belge?
Je suis aussi con sur mon île que sur le continent, ya rien à faire pour un pervers pépère
de nota dit: 25 août 2015 à 18 h 32 min
on s’en tartine la biscotte!
On n’y arrive jamais ça se casse tout le temps… C’est comme les cocottes en papier, tiens, elles se plient toujours à l’envers ! Elles tombent du côté du beurre, quoi… C’est la solidarité dans l’échec !
Minute !
Le temps de ce torchon est passé, dépassé…
vulnérante omnesse
ct’un ringard de barbu qu’on est fatigué dvoir a la télé belge gottferdom..y sfait payer..y marche pus qu’en france comme aurait dit coluche..tu comprends zouz?..chconnais quelquun qui te frait le loubavitzlcheu avec ses femmes à pas cher..la vidéo suivante sur la première pipe est trés bien..
reprends toi, t’es en voie de draculisation
si Christine Angot est dangereuse(gallimard selon wiki) c’est dans la course au goncourt
P.Assouline ne m’était pas apparu précédemment un fan de C.Angot
la virgule après vette enfant d’une femme, ne s’impose pas et fait très étrange -c’est un enfant d’une femme, pas d’un homme-
quant au prénom de Rachel, c’est un prénom que les juifs affectionnent;Rachel est la stérile des deux soeurs et elle n’a des enfantss que sur le tard
Je n’ai rien retenu du marché des amants, si ce n’est une scène amoureuse, visuelle.
Non Angot n’à rien à voir avec Gala. Elle vise la pornographie pour se libérer des chaînes scellées par son père.
Son entrée dans l’amour s’est faite par le sexe et de manière sordide : c’est bien plus tard qu’elle dira l’ampleur de sa perdition et l’inanité mais qui sait ? de la tentative d’échapper.
Comme si on échappait.
Comme si le cirque était joyeux.
Alors qu’il n’y à rien de plus triste que le cirque avec sa piste ronde et son Auguste triste.
Faut-il avoir gardé de l’enfance des rêves inaboutis pour ne pas savoir que le monde du cirque est un monde dur et cruel dès que la mise en scène est terminée, les spots éteints et les paillettes enlevées.
Et que l’enchantement créé n’est que poudre aux yeux.
Des cirques tournent encore et les parents y emmènent leurs enfants. Les lions -il eût mieux valu pour ceci B 2000- ont été remplacés par les lamas. Pas contents. Et les funambules ont des filets de protection, grand soulagement pour eux. Et pour nous spectateurs qui savons qu’ils ne risquent rien.
Vous êtes deux innocents aux mains pleines. Je peux vous donner des cours pour vous apprendre à vous défendre.
Si ce billet pouvait vous ouvrir l’entendement.
Ce serait oeuvre utile.
Puisse les dieux m’entendre. Vous méritez doux paradis à aimer le cirque ainsi.
« – Oh qu’est ce qu’elle est bonne, Pierre, cette viande !
Il en a coupé un morceau et l’a mis dans sa bouche.
– Humm.
Il a fermé les yeux pour mieux l’apprécier.
– Elle est bonne hein Pierre !?
– Humm !… Ah oui. C’est rare une bonne pièce de viande. Humm !… Comme celle-ci. Bien tendre. Humm !…
– Une bonne entrecôte c’est délicieux. Elle est très bonne la viande Pierre. Tu nous as amenés dans un excellent endroit. C’est un peu abondant, mais vraiment très bon.
– Ce qui me manque en Alsace, moi, ce sont les fruits de la mer. Je ne mange jamais d’huîtres à Strasbourg, tu sais ! »
Extrait de
« Brulante Attirance »? collection Harlequin
« Plus belle la vie »? épisode 2596.
« Un amour impossible »? C. Angot.
si ce billet pouvait :oui;merci pour lui
de nota dit: 25 août 2015 à 18 h 32 min
ça va là, le chiffre des ventes en librairie augmente à ce point que vous vous fendiez du goûter ?
Vous avez fini par mettre le logo » j’aime », comme le libraire du coin ? A votre comment corpus défendant. Vous n’êtes pas non plus exempt de cet effet: je retourne ma veste, toujours au bon moment.
C’est une belle chanson.
Je ne sais pas si vous avez remarqué, comme moi, que ce billet ne contient aucun lien relatif au « feuilleton ». Et cela ne concerne pas -que- vos camarades de blog.
Quant à la grosse du kommintern qui déboule avec son kamasutra pour les nuls, mon dieu, quelle horreur.
Lvdlb,
j’entrave que pouic à votre commentaire!
de nota, c’est rien. Un moment d’humeur.
Vous disiez ?
La soirée au restaurant ?
Et what else ?
Je vais vous raconter mon père abattu : il me dit, scandalisé
Mais tu te rends compte, ce n’est pas possible : une famille entière assise sur l’escalier qui ne peut pas rentrer chez elle pck c’est sabbat et qu’ils ne peuvent pas mon piler l’électricité.
J’adore cela de mon père ; il ne lit pas, à acheté un bouquin pour comprendre ses voisins pck’il ne les comprend pas. Ne l’a jamais reçu je ne sais pas encore pourquoi.
Un jour ses voisins juifs ont laissé leurs clés sur la porte. Mon père a récupéré le trousseau leur a rendu le soir. Un autre jour antérieur, mon père a laissé son trousseau dans la serrure, à claqué la porte et n’a plus pu rentrer chez lui.
Le.voisin juif à franchi pat ma terrasse deux balcons au péril de sa.vie est entré chez mes parents et à ouvert la porte avec la clé qui était à l’intérieur.
Ils sont copains. Et distraits. Et.ne se comprennent pas.
Les juifs, je vais te le dire pck tu commences à me bassiner, on ne les aime pas, de manière. générale, pour plusieurs raisons : ils sont chants, pas partageurs pour un sou ( plus n’en parlons pas)et se prennent pour le centre du monde (phagocytent les meilleurs postes de pouvoir etc.). S’ils étaient un peu plus discrets, se la jouaient moins solo et partageaient autrement que leur truc obligatoire pour bien se faire.voir par Yahve, alors les.juofs seraient mieux intégrés.
Voilà, je te l’ai dit. Retiens le. Si tu passes le bac, t’as tes chances. Tu peux être original et sortir des sentiers battus. Tu peux tomber sur un prof, si t’as du cul qui te mettra 19/20.
Chaque fois que je tape cul, mon correcteur écrit culte. Il est kitsch.
Peut être que tu seras moins obsessionnel si t’auras le bac.
>de Nora
C simplement qu’elle est horrible lvdlb et vous passez vot’temps à répéter en boucle ou bien moi aussi ou bien c pas vrai.
A un moment donné, pour espérer changer, ce type de com haineux faut l’éradiquer et s’intéresser à ce que l’autre dit de vous.
Alors que je fais des efforts constants pour éviter tout com désagréable à son égard, par respect pour vous. Et sans jamais obtenir quelconque réciprocité. Ou distance à tout le mis.
Pour une fois qu’elle ne balbutie pas de vagues borborygmes inaudibles et incompréhensibles.
Après une journée de travail, nulle envie de subir ce type d’agression insane.
Distance à tout le moins.
Vous parlez tout le temps d’antisémitisme même lorsque ce n’est pas dans le tempo.
Nous les chrétiens, acceptons les critiques, et ployant sous le faix de notre croix, poursuivons vaillamment notre chemin.
Vous les juifs acceptez la modestie et d’être un parmi les autres, pas autre parmi les uns.
Bises à toi, affectueuses.
Pour elle un seau de purin. Qu’elle se calme.
Je ne sais combien de femmes ont lu ce livre de C. Angot et ont laissé un commentaire sur ce fil.
Toujours est-il que je n’en lis, pour l’instant: aucune.
C’est pénible.
Je viens de relire un épisode du « feuilleton », « Christine sur la rdl », d’il y a 7 ans presque jour pour jour. Je l’avoue, c’est très drôle.
Il aimait faire le marché, la cuisine aussi. Les cèpes.(à 15 heures ce jour.)
Les cèpes sont en abondance de par chez nous en Quercy-Périgord.
Partis entre amis pour marcher avec la menace de mauvais temps nous allâmes cueillir des cèpes. Dix kilos en trois quart d’ heure!
Nettoyés, légèrement cuits à la poêle, mis en barquettes métalliques et hop au congélateur.
Et ce soir, ma voisine m’ en a offert trois de ces bolets brunâtres de toute bonne fermeté et hop en omelette.
Un délice avec un médoc, Château Patache d’ Aux 2009.
Et Alba et chaloux qui ratiocinent…
« Vous les juifs acceptez la modestie et d’être un parmi les autres, pas autre parmi les uns. »
Il y a antisémitisme et puis antisémitisme, et puis il y a Rose. Soeur marie de manosque.
Énorme, glauque, sale, et toujours sous speed.
Notules 3 et addendum
1/ illustration parfaite de ce que je dis avec quelque gentillesse & sans acrimonie aucune : la voisine est chrétienne. Elle a trouvé sept cèpes, en offre quatre & en garde trois pour elle. Et ce n’est pas carême.
L’autre famille, ils étaient quinze -freres soeurs cousins père mère fils et filles, en a trouvé quinze kilos et a thésaurisé (les cèpes faut les faire sécher au soleil et surtout pas congeler).
2/ l’exemple d’Ibiza comme territoire intime violé m’a semblé drôlement judicieux.
Les indigènes en Terre de feu aussi. Slocum semait des clous de tapissier sur le pont de son bateau pour les éloigner. Plus sa carabine à portée de mains. Leur principale demande : de la nourriture.
J’ai passé Samoa et les Marquises et l’Australie aussi. (Joshua c’est tellement plus beau sur le plan sonore que Slocum !!!)
3/ Je sais plus
addendum non plus
En tout cas, il a plu et la lune est montante.
Salut à tous.
Retiens bien cela :
« Les juifs, je vais te le dire pck tu commences à me bassiner, on ne les aime pas, de manière. générale, pour plusieurs raisons : ils sont chants, pas partageurs pour un sou ( plus n’en parlons pas)et se prennent pour le centre du monde (phagocytent les meilleurs postes de pouvoir etc.). S’ils étaient un peu plus discrets, se la jouaient moins solo et partageaient autrement que leur truc obligatoire pour bien se faire.voir par Yahve, alors les.juofs seraient mieux intégrés. »
Il y a quelque chose qui ressort de l’irresponsabilité parentale de ne pas réagir, là encore, devant les dérives d’enseignants.
Elle a de la chance cette personne, certainement malade, qui signe Rose. Et que tous les « camarades » de blog des ivres connaissent.
Chance que
1/ que je ne connaisse pas son identité, prof à Manosque
2/ que mes obligations familiales ne me l’imposent plus.
Dès demain, elle serait: Privée de rentée.
Et pas que privée de rentrée.
Mais ils sont pas gros dans le Komintern ils ont rien à becqueter ! C’est un régime… ben pour le régime, justement…
Merci de la correction, Sergio, j’ai toujours du mal avec la collectivisation. Komintern.
Cela dit, que pensez-vous des messages de la tenancière du blog des libres, auquel nombre d’entre vous a collaboré ?
C’est trop compliqué ma question.
Vous voyez, le virtuel a vite ses limites.
Vous avez-là atteint votre interdit fondamental, isn’t it ?
Elle a trouvé sept cèpes, en offre quatre & en garde trois pour elle.
Elle en a trouvé 40 kilos de cèpes ma sympathique voisine et m’ en offrira d’ autres demain. C’est promis.( Je ne lui ai rien demandé, c’est spontané de sa part.)
Elle ne fréquente pas les blogs littéraires, c’ est une simple.
Plutôt les endroits à cèpes et là, elle est imbattable et ne vous dira jamais l’ endroit, foi de cueilleuse!
la vie dans les bois dit: 25 août 2015 à 22 h 22 min
Cela dit, que pensez-vous des messages de la tenancière du blog des libres, auquel nombre d’entre vous a collaboré ?
Ha c’est vrai j’ai été poiré la main dans le sac… C’était pédagogique il y avait des énigmes ! Mais Rose avait pas les éléphants j’avais moins peur… Non seulement c’est balèze mais c’est très caractériel ! Expressément… Le croco lui au moins c’est l’abrutos complet aucun danger…
« c’ est une simple »
j’aime beaucoup. C’est magique.
http://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/jardin-medieval.php
Sergio, ohff, la lâcheté, vous savez, sur internet, c’est du langage.
la vie dans les bois dit: 25 août 2015 à 22 h 46 min
c’est du langage.
Ah pour les Juifs encore eux ? Boh le seul truc que j’ai appris d’intéressant c’était il y a deux mois, ici même au demeurant, à savoir qu’ils ne sont que seize millions : alors je sais pas s’ils ont de l’esprit comme seize, à l’instar de nos aimables bicorneux, mais assurément ils font du potin comme seize milliards ! Pour le reste, comme on dit, ça suit son cours…
Manque mon compte en attente de modération.
Ai donné le nonos à lvdlb et elle le ronge.
Pendant ce temps je lis. Satisfaite.
N’aime pas les poufiasses non plus. Limitées, elles le restent.
Addendum : autre obsession suivant celle.celle . des juifs, l’esclavage ; d’où l’addendum : lorsqu’on peut ne pas être esclave, pourquoi donc l’être ?
Je pense que c parce.que.tu y trouves ton comte.
Lvdb est sans doute moralement irréprochable, mais elle est ch..nte. Rose est limite, parfois carrément dingue, mais elle est délicieuse…C’est comme ça.
La vie est trop injuste.
Sergio, las, ne comptez pas sur moi pour rebondir sur votre message aussi dégueulasse que ceux de rose. Mais vous avez été à bonne école.
Peur….
Ah, c’est donc la raison pour laquelle farfouiller : avoir moins peur ? Mais à la longue est ce que cela marche farfouiller.dans les.les affaires des autres pour trouver tout ce qu’ils ont d’affreux pour être tout pareil qu’eux.
Nous tous tout pareils que toi ? Alors à plusieurs on a moins peur ? Comme les indigènes dans les pirogues, certains rament d’autres sont couchés au fond, puis les relaient.
Je n’aime pas lesnpoufiasses pck je n’ai.rien à leur dire. Et puis, leur culte du corps m’emmerde. Ce sont de pauvres filles. Et de la.jeunesse aussi.
Il ne veut pas passer le.cap.de
Je ne comprends pas pourquoi ce livre de C. Angot met les libres dans un tel état de rage non calmée.
Pourquoi cette prof, haineuse et antisémite pense pouvoir donner des os à ronger
Pourquoi un X pense devoir se coucher
Pourquoi Dupond pense devoir y aller de son soutien à la mère maquerelle,
pourquoi, pourquoi,pourquoi.
la vie dans les bois dit: 25 août 2015 à 23 h 13 min
à bonne école.
Oh ben nous on s’en occupait jamais de ces affaires-là ; surtout pas entre nous : dans un sens ou dans un autre, c’étaient des trucs de parents. Antisémitisme il aurait fallu un dictionnaire ! J’avais deux Tchèques, un Lithuanien, deux trois Juifs, des retours de colonies blancs ou noirs, les Arabes ou les Italiens on s’en rendait même pas compte, alors finalement, la seule couleur qui comptait, c’était celle de la mobylette !
Bon je rentre à la base, parce que demain, il va faire nuit… Euh non, finalement… Eh ben c’est pas demain !
Il faut enregistrer les messages de cette professeur de l’EN et de ses « élèves » en cours intensif sur internet. Et puis c’est tout :
« Les juifs, je vais te le dire pck tu commences à me bassiner, on ne les aime pas, de manière. générale, pour plusieurs raisons : ils sont chants, pas partageurs pour un sou ( plus n’en parlons pas)et se prennent pour le centre du monde (phagocytent les meilleurs postes de pouvoir etc.). S’ils étaient un peu plus discrets, se la jouaient moins solo et partageaient autrement que leur truc obligatoire pour bien se faire.voir par Yahve, alors les.juofs seraient mieux intégrés. »
« Ah pour les Juifs encore eux ? Boh le seul truc que j’ai appris d’intéressant c’était il y a deux mois, ici même au demeurant, à savoir qu’ils ne sont que seize millions : alors je sais pas s’ils ont de l’esprit comme seize, à l’instar de nos aimables bicorneux, mais assurément ils font du potin comme seize milliards ! Pour le reste, comme on dit, ça suit son cours… »
« Vous parlez tout le temps d’antisémitisme même lorsque ce n’est pas dans le tempo.
Nous les chrétiens, acceptons les critiques, et ployant sous le faix de notre croix, poursuivons vaillamment notre chemin. »
« Vous les juifs acceptez la modestie et d’être un parmi les autres, pas autre parmi les uns. »
Comme dit Christine à sa maman, Rachel, en substance: c’est le programme.
…
…concevoir,!…le mieux mon Art,!…
…
…j’ai trouvé, enfin,… la » bonne » technique pour peindre » plus « , de tableaux,…travaillez comme un général, avec ses mains comme » corps d’armées « ,…
…
…c’est facile, Non,!…trouver ses astuces à ses objectifs de rentabilité,!…
…
…si, c’est possible,!…bien sur,…pour baisser mes prix de productions,…
…
…ce qui compte le plus, se réserver dans un cadre de production sécurisant,…
…
…attention aux pots de colle, qui veulent vivre sur votre dos,!…à contrôler votre existence,…pour la leur,!…sans partages,…
…
…la croissance, la leur,…par la votre,…
…
…avec les techniques, choisir ses variations, et les conformer à vos objectifs,…of course,!…
…
…The Beatles – Op-La-Di, Op-La-Da ( HQ ) YouTube
…puisque ma ligne, est en apesanteur,…75 kg,…stable,…etc,…
…réellement, une autre vie, à vivre,…
…Op-La-Di,!…etc,…
…
…en passant en revue ses oeuvres,…se choisir les techniques privées,…les mieux appropriées pour mes objectifs d’espaces et de suggestions en partages,!…
…
…ainsi, font sur le pont d’Avignon,!…
…
La solution finale est probablement le plus lamentable fiasco de l’histoire universelle.
—
Tu vois Moïshe, le monsieur te tend des bonbons, mais faut pas les manger. Ils sont empoisonnés. Un jour son masque tombera et il te dira que le fiasco était un détail, que ce que l’antisémitisme n’a pas réussi à faire, l’antisionisme va y arriver…
Tu as raison, c’est grossier, Moïshele, mais faut faire gaffe, ils sont assez nombreux ces gens-là: on les appelle les rouge-brun. C’est pour ça qu’on reste vigilant, mayn Liebele, demain comme aujourd’hui comme hier.
La solution finale est probablement le plus lamentable fiasco de l’histoire universelle. (Bloom)
La dispersion des Juifs à travers le monde conférait nécessairement au projet nazi de solution finale un caractère utopique. Les erreurs stratégiques de Hitler, en raccourcissant la guerre, le rendirent encore moins réalisable. Cependant,techniquement parlant, le projet de regrouper les Juifs en des lieux de concentration propices à leur élimination de masse était judicieux, en augmentant l’efficacité du processus. Aujourd’hui, paradoxalement, et compte tenu de l’existence d’armes de destruction massive d’ailleurs rendue possible par les travaux de Juifs(Einstein, Oppenheimer etc.), le projet sioniste, en encourageant le regroupement des Juifs sur le territoire de l’actuel Etat d’Israël, favorise une réalisation du rêve de solution finale : il suffirait en effet, le moment venu, d’une bombe thermonucléaire judicieusement placée. On peut craindre, de surcroît, l’apparition d’organisations non-gouvernementales (ONG), capables d’armer un sous-marin nucléaire, sur le modèle du fameux Nautilus du capitaine Nemo. Si j’étais Juif, je serais résolument antisioniste; question de survie.
Jimi Hendrix à l’Atlanta Pop Fest le 3 juillet 1970…
« Si j’étais Juif, je serais résolument antisioniste; question de survie. » (Zoom)
…et si t’étais intelligent ? tu changerais probablement d’approche, non ?….
… c’est vrai qu’être intelligent et pro-palestinien ….uhuhu !…..
La solution finale est probablement le plus lamentable fiasco de l’histoire universelle. (Bloom)
—
Imposture: je citais un certain Zoon (vérification instantanée sur le fil):
Zoon dit: 25 août 2015 à 17 h 50 min
Widergänger: le 24 août 2015 à 22h 26min:
« Ce sont bien les allemands qui ont inventé » la solution finale »,
L’idée de la solution finale était dans l’air au moins depuis Masada. Les nazis ont cru pouvoir la finaliser entre 40 et 44. Je viens de lire dans les gazettes que la population juive mondiale a dépassé son niveau de 1939. La solution finale est probablement le plus lamentable fiasco de l’histoire universelle.
—
Vos raisonnements tordus donnent raison à la mise en garde adressée au petit Moïshe.
« Zoon dit: 26 août 2015 à 8 h 02 min
. Si j’étais Juif, je serais résolument antisioniste; question de survie. »
quand on vous lit c’est pas trop l’impression que ça donne.
chacune de vos phrases justifie à elle-seule l’existence d’Israël et du sionisme.
c’est des gens comme vous qui ont fait naitre le sionisme.
le sionisme c’est vous !
Imposture: je citais un certain Zoon (Bloom)
En n’indiquant pas que vous citez ni qui vous citez, vous signifiez ipso facto que vous reprenez à votre compte le propos cité. Je me félicite que vous soyez d’accord avec mes raisonnements, qui ne sont pas aussi tordus que vous le prétendez.
Quelqu’un a-t-il des nouvelles du plouc de la République du Jazz ?
à écouter ce matin : Angot sur France Culture aux matins.
encore un très grand moment d’intelligence…
du genre : « On est une mère et sa fille, voilà, c’est tout. Deux personnes dans une maison c’est pas une famille. Je suis désolée »
et d’autres phrases du même tonneau…
aucun autre écrivain cité dans l’émission « la littérature ce n’est ue moi ! »,
en dehors évidemment de Duras : la reine des gourdes, celle qui aura rendu possible une littérature de gourdes, le grand concours « à celle qui sera la plus gourde ».
comment la littérature a-t-elle pu devenir aussi bête ?
sans doute le but, au départ, était-il de donner au lecteur l’illusion d’être intelligent…
le sionisme c’est vous ! (Voilà ce qui arrive…)
A moi tout seul ? Quelle écrasante responsabilité !
‘(…)Pour pouvoir entrer à l’université ou dans les ordres religieux, il faut une attestation délivrée à la suite d’enquêtes généalogiques fouillées remontant au plus haut dans le lignage, validant ou non un soupçon d’infection – alors que les lois nazies de Nuremberg se limitaient à la quatrième génération’
L’expulsion des juifs d’Espagne au nom de la pureté du sang
http://www.lemonde.fr/ete-2007/article/2007/08/02/l-expulsion-des-juifs-d-espagne-au-nom-de-la-purete-du-sang_941313_781732.html#bSsQDIBojqLxVCm9.99
Lire dans « Télérama » (n° 3423) le remarquable entretien avec Christine Angot. Où l’on y apprend ce que c’est que le travail d’écriture chez un écrivain aussi exigeant qu’elle. C’est de cette exigence qu’elle tire des livres qui font d’elle un des meilleurs écrivains de sa génération.
duras: celle qui a conçu avant LACAN ET SANS LUI ce qu’il enseignait sur le désir et la famille qui ne sont pas cool ; ça suffit ces dénigrements systématiques des auteurs (et surtout des femmes écrivains?)
Ces mots qu’on nous met sous les yeux
« Le petit ami de la jeune fille retrouvée égorgée mardi dans un parc de Perpignan a été placé en garde à vue »
«Dans la mesure où c’est le petit ami on peut présumer que ce n’est pas crapuleux.
Un petit ami…
Un p’tit égorgement?
Des « mamans » vont-elles réagir?
Zoon dit: 26 août 2015 à 9 h 43 min
Lire dans « Télérama » (n° 3423)
C’est une lecture exigeante.
archangel dit: 26 août 2015 à 9 h 44 min
duras: celle qui a conçu avant LACAN ET SANS LUI ce qu’il enseignait sur le désir et la famille qui ne sont pas cool ; ça suffit ces dénigrements systématiques des auteurs (et surtout des femmes écrivains?)
Ces dénigreurs, il faut les envoyer à Archangelsk.
il est vrai que depuis, les femmes ont découvert le double inceste
l’inceste est l’acte fonda
rachel poule, tout ira mieux chez Franceculture à partir de septembre. Après le départ du frérot à ppda, une matinale consacrée à Morand est envisageable. A moins que M. Erner soit un fan de Mme Angot, ce qui peut arriver à celles et ceux qui ont un parcours hésitant.
pas de social sans inceste
« Zoon dit: 26 août 2015 à 9 h 28 min
le sionisme c’est vous ! (Voilà ce qui arrive…)
A moi tout seul ? Quelle écrasante responsabilité ! »
je ne sais pas si elle est écrasante mais vous en êtes responsable, vous et tous ceux de votre espèce.
relisez-vous !
Phil, n’empêche, vous voyez, nous aurions jamais eu droit à ce cirque s’il y avait encore dans ce pays une véritable littérature de droite.
imaginez deux secondes la réaction des hussards devant ces écrivains comme Angot et les autres, imaginez leur réaction, ils auraient descendu en flèche toute cette niaiserie, cette façon ridicule de parler pour ne jamais rien dire, d’accumuler ces mots creux et sans intérêt.
mais le journaliste qui interviewait Angot ce matin est un bon petit gars, un bon petit bobo plein de compassion, il écoutait cette accumulation de mots inutiles dans le plus grand respect.
l’équation est là : 100% critique des gauche + 100% écrivains de gauche + 100% de lecteurs de gauche = Christine Angot.
parce que la gauche c’est ça aujourd’hui, une accumulation de mots inutiles et sans intérêt, une gauche qui s’écoute parler, une gauche qui s’enorgueillit d’être à l’écoute de toutes ces paroles inutiles, une gauche inutile.
parce que Phil la littérature c’est avant tout de la politique : Christine Angot est le plus beau symbole du socialisme français d’aujourd’hui : un truc devenu inutile et sans intérêt, des discours qui veulent en mettre plein la figure sur la forme mais dont le fond est vide, creux, désespérément creux, et vide, le niveau zéro de la pensée, le niveau zéro de l’intelligence, alors oui : l’année dernière le Goncourt était pour Salvayre, qu’on le donne cette année à Angot, pour que la gauche puisse enfin célébrer ce record de vacuité.
c’est triste mais c’est comme ça mon pauvre Phil.
vous et tous ceux de votre espèce. (Voilà ce qui arrive…etc)
L’espèce humaine…
l’équation est là : 100% critique des gauche + 100% écrivains de gauche + 100% de lecteurs de gauche = Christine Angot. (Rachel Poule)
Je ne savais pas que Pierre Assouline était un critique 100% de gauche, mais, vu le caractère élogieux de son billet, ce doit être le cas. Le discernement littéraire de Rachel Poule, en revanche, me paraît à peu près égal à 0%.
rachel poule, à qui le dites vous. je ne sais pas s’il faut moins regretter l’absence des hussards que ceux dont ils se réclamaient.
Il me semble que « le journaliste bobo, bon petit gars plein de compassion » qui interrogeait Mme Angot, a des affinités gay.
Pour faire bonne mesure, sachez que le prochain james bond devrait l’être également. exit la james bond girl. ça va décoiffer dans les chaumières qui résistent à l’ipodage.
rachel poule dit: 26 août 2015 à 10 h 37 min
l’équation est là : 100% critique des gauche + 100% écrivains de gauche + 100% de lecteurs de gauche = Christine Angot
Ma p’tite poulette d’amour ne fatigue pas trop ton neurone à résoudre des équations trop compliquées pour lui.
Reste à ton niveau : 100% de droite = 100% de droite, ça nous amuse et tu peux lire Michel Droit dans le texte.
Quant à Angot laissons-la à ses parents et oublions la.
Pierre Assouline ?
bon alors disons 99,99%
pourquoi vous parlez de Pierre Assouline ?
le problème n’est pas Pierre Assouline le problème c’est toute cette niaiserie abyssale de gauche.
et d’autres phrases du même tonneau…
aucun autre écrivain cité dans l’émission « la littérature ce n’est ue moi ! »,
en dehors évidemment de Duras : la reine des gourdes, celle qui aura rendu possible une littérature de gourdes, le grand concours « à celle qui sera la plus gourde ».
comment la littérature a-t-elle pu devenir aussi bête ?
sans doute le but, au départ, était-il de donner au lecteur l’illusion d’être intelligent…
Ne disposant pas des indices à vous identifier soit en tant que lectrice intelligente soit écrivaine au dessus de ce lot, le tonneau vous donne l’occasion de vous illustrer en se transformant en point de départ à une discussion, une réflexion sur ce qui manque à ces femmes pour être exemptées d’une critique fournie, acerbe et négative. Que de temps perdu à enfoncer des épingles dans des poupées Vaudou quant à la gauche il semblerait qu’en dépit des meilleures intentions, les moyens d’action fassent défaut et qu’elle soit contrainte de mener une politique qui ne lui ressemble pas. Vous disposez tout de même du droit et de la liberté du choix quand bien même certaines productions littéraires présentent l’embarras du doute: produit ou création.
…
…s’inventer des défauts,…avoir un coeur de générosités,!….il faut assumer,…pour les sans dents,!…Ah,!Ah,!…
…
…faire des clivages d’esprits, classer, répertorier,!…Oui, on se prends aux jeux,!…
…nigauds à thésauriser par la psychologie, le droit, les abus de confiances avec des complices porte-paroles,!…qui dit mieux,…
…ce qui fait des fortes têtes,!…
…des plans, en chantiers, attendre les bons prétextes adéquats ( s’il ne faut pas les produire en son sein ), pour exécuter la finalité en corporations des profits,…
…trop de coeur de raison, c’est tuant,…
…autant ne rien suggérer,!…
…aimons-nous à la Jean Yanne,!…les Grosses têtes-le Coran,……
…qui que quoi ou est ce,…ou suis je,…à l’envers de l’inverse est né,…
…
…curriculum vitae – des parfums aux bois,!…etc,…tout se transforme, question de temps,…vu le décalage horaire, du sablier à Oméga,!…etc,…
…des couches Pampers, pour rire,…encore,!…Go,!…
…
« Zoon dit: 26 août 2015 à 10 h 40 min
vous et tous ceux de votre espèce. (Voilà ce qui arrive…etc)
L’espèce humaine… »
whaouh, l’espèce humaine ? l’humanité ? l’humanisme ?
votre bel humanisme ?
hé ben dis-donc… si c’est pas beau tout ça ?
relisez-vous donc avant de sortir des imbécillités !
parce que Phil la littérature c’est avant tout de la politique
Oh tout est politique, vous ne lisez pas le creux de cette affirmation.
…des couches Pampers, pour rire,…encore,!…Go,!…
…
Ah! vous aussi avez lu l’expérience sur cobayes! Attendons Brahms en cascade sur couches culottes pour booster le PIB.
En n’indiquant pas que vous citez ni qui vous citez, vous signifiez ipso facto que vous reprenez à votre compte le propos cité. Je me félicite que vous soyez d’accord avec mes raisonnements, qui ne sont pas aussi tordus que vous le prétendez.
—-
Ipso facto…Vade retro, oui.
Je suis en complet, total & absolu désaccord avec vous. C’est pour moi un honneur & une grande joie d’être dans le camp opposé du vôtre.
Ça me rappelle le délirant Didi, fils de Monsieur Wang dans le Lotus Bleu:
« Lao-Tzeu l’a dit:’il faut trouver la voie’.(…)
Moi, je l’ai trouvée. Il faut donc que vous la trouviez aussi (…) Et ensuite, vous connaîtrez la vérité (…) Mais tout d’abord, je dois vous couper la tête (…) Voyons, n’ayez pas peur. Cette lame est très bien aiguisée (…) Cela ne durera qu’un instant. Vous verrez (…)Voyons, il s’agit simplement de vous couper la tête. »
Vade retro, multi-pseudo!
…
…je ne suis donc, pas seul,!…y en a qui me lise,!…incroyable,…
…j’ai du pisser contre le vent,…pour des retomber en l’air,!…qui rapportent aux champs des soumis,!…etc,…Go,!…
…
Tout devient ridicule, un peu plus un peu moins, inextricable écheveau duquel rien de bon ne pourra plus sortir. Exemple simpliste, France pays de la déclaration universelle des droits de l’Homme qui surnage partiellement grâce à son expertise dans la fabrication et la vente d’armes.
Hola ! Hola ! vous exagérez, L, la France ne vend que des armes DEFENSIVES …. uhuhu !
En outre, les armes ne sont qu’outils… parfois bien utiles contre les Gammés !
Zoon dit: 26 août 2015 à 8 h 02 min
Va donc faire un tour à Odessa, eh, pov’ trouduc, pour voir si Hitler n’a pas réussi son coup.
Miracle! une critique de droite dans un hebdo de gauche( Jacques Drillon pour le nouvel obs):
ela ressemble à une suite de télégrammes. Amour des parents de la narratrice. Grande flambée joyeuse. Mais père et mère ne sont pas ensemble. Vie commune impossible. Naissance de Christine. Père quasi absent (mais incestueux, forcément incestueux). Diverses villes françaises. Mère et fille toutes seules. Grand amour entre elles, désamour, renaissance de l’amour.
Cette fois, c’est de l’autobiographie, même si elle est en partie fantasmée, puisqu’elle remonte en deçà de la naissance de l’auteur. Mais cette fois, malgré la puissance incontestable des dernières pages, qui éclairent violemment tout ce qui précède, le projet littéraire ne tient pas. L’arte est trop povera.
Ces dialogues, à la platitude monumentale, ce père «érudit» et «cultivé» dont les lettres sont affligeantes de banalité, ces souvenirs d’enfance sans charme, sans intérêt, tout cela est rapidement indigent. Les revendiquer ne sauve rien. La syntaxe se veut disloquée, la ponctuation foutraque, mais ce ne sont que des poses, des affiquets.
Dire « ce qui est », passe ; le dire comme on cause à son voisin dans le bus, passe encore; mais refuser tout ce qui pourrait saillir, intelligence, originalité, pensée, sentiments, finesse, ce qu’on voudra, ne saurait produire hélas que de la médiocrité.
Jacques Drillon
Un amour impossible, par Christine Angot,
Flammarion, 218 p., 18 euros.
Nous ici, sommes très tristes de voir arriver sur le continent européen des « réfugiés » dont la culture vous surprendra, amis boboïdes !
Sachez que nous, gens instruits mais restés simples, nous avons pris pour défendre nos valeurs porquerollaises des mesures vitales : tout migrant arrivant de Port Cros ou de Bagaud sera abattu sur le champ et rejeté à la mer pour servir de nourriture à la poiscaille avide de chair fraiche.
Ne nous opposez pas l’innocence des femmes et des enfants décimés, tous coupables ! Hommes, femmes, enfants !
Par nature …
Affiquet:Petit objet d’ajustement.
« Mme de Montauban était une bossue, pleine de blanc, de rouge et de filets bleus, de parures et d’affiquets », [Saint-Simon)
Ce n’est que le jugement d’un joyeux Drillon…
Widergänger dit: 26 août 2015 à 12 h 37 min
Ce n’est que
Ok, mais c’est aussi.
Pas forcément, mon petit chéri. Les joyeux drilles comme le Drillon, on en trouve à la pelle. Drillon, y’s trompe comme tous les petits pète-sec du Nouvel Obs.
Drillon voit juste : elle aura le Goncourt c’est NECESSAIRE.
Qu’elle ait le Goncourt ou pas, la pauvre petite chose angotique, on s’en bat les amygdales externes …l’une après l’autre.
Nous lisons ce que nous voulons ! Et les harlequinades goncourables nous laissent froids comme un congre élyséen …
Widergänger dit: 26 août 2015 à 12 h 46 min
Pas forcément, mon petit chéri.
Mais si forcément mon petit Mimi adoré, c’est une critique qui ne te plait pas mais qui est écrite par quelqu’un plutôt apte à donner son avis sur la forme (pour le fond je te laisse à tes angoisses personnelles)
Qu’elle vienne de l’Obs n’est qu’anecdotique.
c’est un livre, forme et fond, très représentatif de ce que les gens ont été instruits à consommer
Certes, Daech a tort de décapiter les homosexuels… braves gens égarés, sexuellement.
Il n’en reste pas moins vrai que la sodomie est un acte salissant, surtout en plein désert.
C’est pas qu’elle m’plaît pas, mon pov’ chéri. J’ai pas d’actions chez Angot, des fois. Non, c’est simplement qu’y va pas chercher très loin dans la finesse, tu vois, le joyeux Drillon. Y’s limite à une lecture superficielle, celle du commun des mortels, la tienne, quoi… Trop fastoche pour un critique.
« …instruits à consommer… » mon povr’ ami ! Non mais des fois, tu penses ? Tu penses à c’que t’écris ?
« l’année dernière le Goncourt était pour Salvayre, qu’on le donne cette année à Angot, pour que la gauche puisse enfin célébrer ce record de vacuité. »
Pauvres Allemands qu’on traite de nazis dès qu’ils n’applaudissent pas à tout rompre à la nouvelle Völkerwanderung!
La panique émotionnelle au présent a anéanti la froide intelligence quant aux conséquences.
Question à l’Australien Peter Berger: L’accueil de réfugiés sauve des vies. Des milliers de boat people se noient en essayant d’atteindre l’Europe ou l’Australie. Votre patrie, l’Australie, mène une politique stricte de no-entry. Tous, sans exception, sont renvoyés.
Singer: Ce n’est pas toute la vérité. L’Australie ne laisse entrer personne qui atteint ses plages de façon illégale. Cependant, proportionnellement au nombre d’habitants, elle accueille un contingent important de réfugiés par voie légale. Peut-être qu’elle pourrait en héberger plus.
Cependant, la question éthique qui se pose, et les Européens aussi doivent se la poser, est la suivante : faut-il donner le droit de résidence à celui qui traverse la mer et qui réussit à atteindre la côte plutôt qu’à celui qui attend dans un camp en Jordanie ou au Liban ? Je trouve plus justifié de les renvoyer et d’aller plutôt chercher des réfugiés dans les camps en respectant des critères objectifs et réfléchis.
La lecture des commentaires (la plupart) c’est un voyage entre le 80 Rue des Suisses, 92000 Nanterre et le 238 rue de Vaugirard, 75015 Paris. 10 bornes à vol d’oiseau. Avec arrêt au Bois de Boulogne pour reprendre sa respiration.
Toujours plus décomplexé, le commentarium,
tendant vers un résultat très angotesque.
Excritoirement.
mais oui, cher wgg à ses petits chéris, instruits par les philosophes, les psys, les journalistes itou , à consommer le charme discret des familles à deux ou trois et plus
« Y’s limite à une lecture superficielle, celle du commun des mortels, la tienne, quoi… Trop fastoche pour un critique. »
WGG
Zoon dit: 26 août 2015 à 8 h 02 min
Va donc faire un tour à Odessa, eh, pov’ trouduc, pour voir si Hitler n’a pas réussi son coup.
Mais je n’ai jamais dit ça ! Du diable, d’ailleurs, si je sais ce qui a bien pu se passer à Odessa. Ah, si, ça me revient : le cuirassé Potemkine. Mais quel rapport avec Hitler ? En tout cas, on me fait dire là ce que je n’ai jamais dit ; d’autant que ce n’est pas mon habitude de tutoyer les gens en les traitant de « pov’trouduc ».
angot a trouvé le vrai, sans et sans et sans : ceci peut-il arriver aux commentaires de la RDl
« Trop fastoche pour un critique. »
Mimi
Ah je sais mon petit Mimi adoré rien ne vaut une longue analyse linguistique réservée à quelques élus (dont toi ?) mais il faut bien nous éduquer nous pauvres lecteurs et se mettre à notre portée pour que nous puissions comprendre.
Drillon doit bien pouvoir le faire, mais sauras-tu vraiment en tirer profit ?
URGENT
Le Monde, journal de référence, voire de prestige par le passé, se pose toujours les bonnes questions :
« Les photos du terroriste présumé du Thalys menotté peuvent-elles être diffusées ? »
Retenez ces noms, ce sont de braves journalistes, bien sous tous rapports, des gloires de l’Etat de Droit…. : Alexandre Pouchard et Madjid Zerrouky !
« Le principal suspect de l’attaque à bord du Thalys reliant Amsterdam à Paris le 21 août y est présenté vêtu d’une tenue d’hôpital bleue, pieds nus, les yeux bandés et menotté. Ses mains ont toutefois été floutées par la chaîne de télévision. »
Traiter un « présumé suspect » de la sorte, c’est kalachnikovien !!! QUELLE HORREUR ! QUEL SCANDALE …. !
deux adolescentes soit mais le père n’était pas encore un peu ado?
Widergänger dit: 26 août 2015 à 13 h 32 min
» Non, c’est simplement qu’y va pas chercher très loin dans la finesse, tu vois, le joyeux Drillon. Y’s limite à une lecture superficielle, celle du commun des mortels… »
Pour rappel :
Jacques Drillon (journaliste et écrivain) : études supérieures de lettres et de cinéma / docteur ès lettres (linguistique) »La loi formelle et son influence sur la création artistique et littéraire » (mention très honorable et félicitations du jury) / enseigne la linguistique à l’université de Cergy-Pontoise, la stylistique à l’université de Paris VIII + conférences à l’École polytechnique.
radioscopie dit: 26 août 2015 à 14 h 48 min
Mon pauvre enfant,
quel manque de discernement.
Comment peut-on aussi bêtement se priver des plaisirs de la vie ?
[Doublon d’une annonce que je viens de déposer sur le blog de Paul Edel]
CECI N’EST PAS UNE PLAISANTERIE
J’y ai mis du tps, mais j’ai enfin compris que je n’avais pas ma place ds le club ou la tribu.
C’est pourquoi je me permets (paradoxalement) de m’incruster une dernière fois pour faire cette annonce : puisque je renonce, je souhaiterais que mes livres profitent à d’autres qui en sont plus dignes.
Pas de belles éditions, pour l’essentiel des livres de poche tt ce qu’il y a de plus courant. Tt juste qq livres d’art, mais là aussi du tt venant (catalogues d’expos, etc.)
Pas mal d’ouvrages de base de critique & de théorie littéraire, un peu d’esthétique, un peu d’histoire. De la littérature aussi, des classiques & des contemporains.
Pas mal de philo, mais rien de très pointu (un petit peu plus sur la philosophie anglaise du 18ème, même ch. pour la litt. & les ouvrages critiques, c’est le domaine le plus fourni, mais en v.o. généralement).
Bcp de romans (plutôt contemporains) en italien.
Je suppose que les ouvrages d’étude biblique & de théologie ne trouveront pas preneurs ici, mais je les mentionne au cas où.
Je DONNE.
Deux (gros) inconvénients à mentionner cependant :
— la plupart des livres sont soulignés, annotés, ont des pages cornées (l’extérieur est présentable & plutôt en bon état.
— il faudrait que les personnes intéressées (si vs avez des étudiants désargentés ds votre famille ?) acceptent de se déplacer (banlieue parisienne, facilement accessible).
Je ne tiens pas, pour des raisons évidentes, à publier ici mon adresse mail, mais si d’éventuels lecteurs sont intéressés qu’ils se manifestent & ns tenterons de trouver une solution.
Etrange annonce Miette, étrange annonce ! Vous quittez les humains ? Quand ? Pourquoi ? Parlez-nous …
Miette quitte le navire du capitaine Popaul où, comme quelques autres, elle considère ne pas faire partie du petit clan; elle a bien raison… lire la réponse remplie d’acrimonie du maître de cérémonie est assez édifiant, un modèle du genre
Popaul cite Pinard… manifestement, il préfère la grappa bien frappée
La réponse est déjà zappée.
Il me fait de la peine Popaul, il ressemble à une crevette qui se rêvait homard. Il se présente comme un type « ouvert » …. et, merveille des merveilles, il censure à toutes berzingues !
Bref, il a sa morale étroite, comme ceux à qui il reproche de suivre la leur.
Pitoyable….
Rien de nouveau sous le soleil, WGG, ce que dit d’Angot Drillon, c’est exactement ce que l’on disait il y a un demi siècle des mémoires de la jeune fille rangée, Simone de Beauvoir, dite alors la Grande Sartreuse…
A la différence près que chez Angot il y a un travail sur le style, alors que pour Beauvoir le style était le dernier de ses soucis…
Mais c’est Beauvoir aussi qui la première avait fait le pari du « tout dire » dans le roman contemporain…
Radioscopie est un benêt et un conformiste. Deux tares sans remèdes.
Pas d’analyse linguistique, tartignole, mais analyse stylistique. Ah, y zont beau avoir leur bac, y confondent tout, ces braves gens. La linguistique est une science de la langue, la stylistique est une science du langage d’un auteur. Eh ben oui, mon pov’ petit chéri, ça change tout, c’est pas du tout la même chose, tu comprends ?
12 h 27 min « refuser tout ce qui pourrait saillir, intelligence, originalité, pensée, sentiments, finesse, ce qu’on voudra, ne saurait produire hélas que de la médiocrité. »
Ben ouais ça manque de saillies de panache, pas très poétique ni marrant tout ça quoi ça fait même pas rêver ! elle l’a fait exprès ou quoi ?
Elle ne peut pas faire autrement…. viscéral. Viscéral.
Allez en paix ma fille
Christine est « sauvée ». Elle s’est débrouillée…
On ne sait que lire, « Bénissez moi mon père » ou « Merci Docteur » ?
Comment dire les mots pour le pire, quand enfin vient l’apaisement ? Simplement…
Mais toujours le simple ment.
Il y manque le sublime forcément, l’aveu ultime.
Ce sera pour le prochain « coup », peut-être ?
Résiliente, on le savait. Toute cette rage évidente !
Apaisée, on la croyait. Toutes ces pages ardentes !
Réconciliée avec Maman, pas avec sa classe, Zup alors!
Se croyait-elle guérie ?
Qu’une femme pas couchée vienne sur le plateau et Christine s’emporte en pleurant.
Elle s’expliquera… mal. « Je refuse d’être une victime » dira-elle en substance, et quand la logique du discours l’amènerait à formuler une vérité, elle abrège : « On se débrouille ! »
Un peu court Madame !
On voit tout à coup sa colère devant la judiciarisation de la vie quotidienne revendiquée par une femme, de plus !
« Pas des flics, des Psys » et nous seront sauvés, car enfin « Une souffrance n’est jamais strictement personnelle »
Et là la lumière se fait, n’est-ce pas ?
Non Christine, un plateau de télé n’est pas un endroit où l’on peut parler, mais le croyais-tu vraiment ?
Si j’osais un conseil ce serait de quitter cette émission car tu as tout à y perdre, si ce n’est déjà fait.
J’imagine que quelques considérations financières et juridiques t’en empêchent, aussi il te reste à faire comme Laurent Baffie sur le plateau du Grand Journal.
Amène ta trousse et ton stylo et écrit !
Même si les maîtres parlent et qu’on ne t’entend plus
C’est là que tu es utile à vivre et à rêver
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