de Pierre Assouline

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Chronique troublante d’une évaporation

Chronique troublante d’une évaporation

Ce qu’il y a de bien avec la rentrée littéraire, ou plutôt d’original car nul ne jurerait que c’est un bien, contrairement aux rentrées scolaire, professionnelle et parlementaire, c’est qu’elle vient vous chercher jusque dans vos vacances pour vous attraper par le cou et vous obliger à sortir même si vous n’êtes pas encore rentré. Tous ceux qui ont passé une partie de leur été à lire sur épreuves, terme qui s’avère hélas le plus souvent parfaitement adapté à la situation, qu’ils soient critiques, journalistes, jurés, libraires ou bibliothécaires, se parlent, s’écrivent, se lisent. Il y a du buzz, de la rumeur, du bruit de fond, du bouche-à-oreille. Parfois très tôt émerge le roman qui vitrifiera la rentrée aux dépens de tous les autres (Les Bienveillantes, Les Particules élémentaires etc) ; parfois, non. Rien à l’horizon. Le calme plat et c’est tant mieux. Chacun a ses chances, tout peut arriver à commencer par l’imprévu magnifique, l’inattendu espéré. Il y en a forcément puisque la plupart des auteurs de premier roman sont des inconnus.

A l’heure où nous mettons sous presse, pas de grands livres en perspective, mais des bons livres, certainement. Au hasard, parmi quelques uns isolés de la pile, Summer (320 pages, JC Lattès), cinquième roman de Monica Sabolo. Une femme disparaît. Air connu grâce au cinéma. Sauf que là il s’agit d’une jeune fille et que son frère Benjamin Wassner, 15 ans à l’époque, vingt-cinq de plus lorsqu’il se souvient, est le narrateur. La remémoration des secrets d’enfance d’un garçon qui se croit jugé comme idiot par son entourage, une extrême attention portée au gestes et aux détails du quotidien soudain rehaussés par l’intensité du drame, le doute et l’angoisse de ne pas savoir, l’absence au monde de celui dont l’esprit est hanté par la disparue, le ressouvenir envahissant de celle qui n’est ni morte ni vivante, Summer, 19 ans.

Rien ne torture des parents ou des proches comme de ne pas savoir. Il mène son enquête sur les siens et ce retour l’édifie d’étape en étape, de désillusion en désillusion tant les apparences sont insincères. Il ne s’épargne pas, se culpabilise de n’avoir pas réagi lorsque sa sœur passait pour une « Miss Suicide », se croit né trop tard, se persuade que les choses étaient différentes avant qu’il ne soit là, lui, le dyslexique, mal aimé quand sa sœur était adorée de tous, lui qui passait son temps en classe à décomposer une gomme en milliers de miettes, dont nul ne soupçonnait la vraie nature, sa fascination pour le mal et la douleur, son goût de la dissimulation. Et si ?… Peut-être après tout que, comme dit l’inspecteur :

 « Quoi qu’il en soit, les gens ne disparaissent pas comme ça. Il y a toujours une explication. Et elle est souvent extrêmement simple. A portée de mains ».IMG_5551

Cette chronique d’une dilution par un homme qu’elle a brisé a beau se dérouler sur les rives du lac Léman, lac très présent dès l’incipit où il se trouve mêlé au rêve, dans une maison agréable avec des personnages bien blonds, bien typés du milieu de la bonne bourgeoisie genevoise, elle n’en est pas moins angoissante en raison de ce cliché apaisant et du contraste qu’il offre avec le drame. Lorsqu’il survient, les façades se lézardent, d’autres visages apparaissent derrière les masques tranquilles de tous les jours, les faux-semblants se redessinent et une fois de plus se vérifie le jugement de Proust dans l’une de ses lettres :

« Nous vivons auprès de gens que nous croyons connaître. Il nous manque l’événement qui nous les fera apparaître autres que nous les savons »

Ici l’évènement, « l’incident déclencheur » recherché par le thérapeute qui soigne le narrateur, c’est bien entendu cette disparition, fugue, fuite, enlèvement, noyade, décomposition, métamorphose qui sait, on n’en sait rien, du moins pendant un certain temps, une jeune fille ne disparaît pas parce que sa mère l’avait giflée le jour de ses premières règles même si c’est paraît-il une tradition, et il faut espérer que nos chers critiques vous en diront le moins possible afin de ne pas gâter la lecture. Dans la maison, tout se lézarde et s’écroule des relations que l’on croyait bâties sur le solide traditionnel des familles aimantes. Un détail suffit dans la quête des traces de la disparue pourtant pour menacer le bel édifice et stimuler le grand déballage de vérités enfouies et de mensonges honteux. Ne reste plus qu’à chercher, chercher encore :

« Peut-être est-ce la seule chose à faire quand on n’a plus ni souvenirs, ni émotions : retrouver des vestiges, creuser avec ses doigts dans la terre, reconstituer des squelettes, épousseter les fossiles, mais même là, il est probable qu’on ne parvienne jamais à saisir la vie qui les animait, pas même à l’effleurer ».

Assez simenonien dans sa facture, son économie d’effets, sa sensibilité et surtout l’extrême empathie qu’il dégage pour le personnage principal, non la disparue mais le narrateur, Summer tire sa force d’une écriture au cordeau dénuée de trucs mélodramatiques, de sa pudeur dans le déploiement des sentiments et de la maitrise de l’intrigue de bout en bout. On en ressort avec un trouble durable, l’esprit entre deux eaux. Prenant et poignant comme une série anglaise en deux saisons et seize épisodes, sauf que c’est moins long et plus onirique car la dimension policière de cette recherche est restreinte. Le plus réussi dans le roman de Monica Sabolo, quelqu’un qui manifestement ne déteste pas les secrets de famille, c’est ce que ce genre de drame révèle et cristallise des êtres qu’il concerne, les fils qu’on tire, la nuit surtout, lorsqu’on retrouve ses fantômes en rêve.

Nul doute que ce roman, qui m’a fait penser à Harry, un ami qui vous veut du bien, le film de Dominik Moll, par son ambiance, son atmosphère, et par le malaise qu’il distille par petites touches, sera porté à l’écran et qu’il sera abondamment traduit.

( photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 090 Réponses pour Chronique troublante d’une évaporation

D. dit: à

Beaucoup de gens et d’animaux sont abductés par des extraterrestres. Ce sont des faits indéniables.

JC..... dit: à

La vie de Passou est un enfer confortable….

Janssen J-J dit: à

Rentrée sans surprise, Passoul fait son devoir de vacances de la miaoute. Allez savoir pourquoi choisir Monica Sabolo (Lattès) plutôt que Gwendoline Fouchtra (POL), cela reste un mystère. Attendons une peu une dizaine de recensions à venir avant d’aller au marché, la panier de la ménagère contient encore quelques fruits et légumes à consommer.
BJ à toussent et à Passou : félicitions pour sa conscience professionnelle !

Widergänger dit: à

D. dit: 19 août 2017 à 10 h 24 min
Oui, et alors ?

D. dit: à

Ben…quand quelqu’un n’est pas retrouvé, la solution est là, eh, ba.ane.

Widergänger dit: à

Phrase profonde de Proust, qui ne croit pas aux essences des êtres, mais aux êtres comme situation. C’est une façon de concevoir l’être humain tout à fait neuve et qui s’accorde bien aux découvertes de son temps : Freud, Einstein, Wittgenstein. Nous ne sommes que dans l’interréaction avec l’autre.

Widergänger dit: à

Ce n’est qu’une possibilité parli des milliers d’autres, eh, banane !

Widergänger dit: à

Oui, rude besogne que celle de Chapoutot, mais heureusement qu’il y a des gens comme lui pour nous faire pénétrer les arcanes du nazisme comme il le fait. Brasser toute cette merde intellectuelle chariée par le nazisme, on comprend que ça épuise et d’abord nerveusement. Mais il a su le faire comme personne. Que grâce lui en soit rendue !

Widergänger dit: à

Il est clair aussi que le thème de la disparition en lui-même est symptomatique de notre siècle avec le paradigme de la Shoah, dont La Disparition, de G. Perec n’est qu’un exemple parmi tant d’autres histoires du même genre au cinéma (film de Ozon) ou ici en littérature.

Le thème ne fait pas l’œuvre. C’est l’enjeu. Est-il tenu ? Faut lire pour le savoir.

Widergänger dit: à

Et quand on lit Chapoutot, on a d’autant plus de mal à comprendre comment Heidegger a pu être séduit par tout ce fatras invraisemblable d’inepties.

On n’arrive vraiment à comprendre comment sa métaphysique qui met en œuvre une histoire de l’être ait pu voir dans l’avènement du nazisme une épokè historiale dans l’histoire de l’être.

Quand Lacan dit que la métaphysique vient boucher le trou de la politique, il voit juste. Et c’était un trou profond en 1933, à la mesure de sa grandiose métaphysique de l’être comme oubli de l’être.

keupu dit: à

complètement largué le Jean-Luc Assek… uhuhuhuh

Delaporte dit: à

Le roman de Dominique Schneidre évoque un cinéaste, Zulawski, et la Pologne, ce pays que les nazis ont voulu radier de la carte. Beau sujet en effet, qui donne envie de lire ce livre.

Paul Edel dit: à

Toute rentrée littéraire est vertigineuse,^pir les libraires,les critiques, les lecteurs, avec les 3OO romans francais qui vous tombent dessus en jeux d’épreuve.
oui, « épreuve » davantage que « jeux » ..ajoutez à ça les rumeurs provoquées artificiellement par les «  »grands » éditeurs ,les dix grands noms d’auteurs déjà connus et tous « goncourables »(ça dispense de lire les autres..)les enfumages des attachées de presse,les téléphonages du réseau du Milieu qui veut donner le ton et la tendance… les journaux qui autoproclament leaders d’opinion, quel foutoir!allez y retrouver le roman d’un inconnu..pas facile la tâche de Passou..

Phil dit: à

sapré passou, régularité d’un coucou suisse qui permet aux littéraires en tongs de déblatérer sur son prestigieux blog. hommage au gros Widergänger qui tient le crachoir en homme orchestre, à coups de smarties ?
also, a lady vanishes and réapparaît au milieu des nazis hélvètes ? la routine, quoi. en attendant aucune greluche pour nous offrir le de lady Sissi en vacances au Léman qui va vanishes, prélude à l’engloutissement de son empire, because les compteurs sont toujours bien bloqués en 40.

Janssen J-J dit: à

Je suis un littéraire en tong, voui, et je déblatère. J’aime beaucoup cette image de Phil en moi en ce moment, elle est particulièrement appropriée en ce moment, avant la marche gourmande de ce sois dans le marais. Sérénité de l’être qui ne pense pas, mais peut déblatérer sans entraves.
« Ils n’ont pas le sens de ce qu’est leur vie, c’est une innocence que je leur envie »
(c dans une chanson de JF tirée de LA).

Widergänger dit: à

Mais non, c’est une erreur ! Je ne suis pas gros du tout. L’arrêt de la cigarette a simplement relâché les muscles mais depuis les exercices de remusculation ont redonné à mon corps d’athlète son allure merveilleuse.

Widergänger dit: à

Un roman passible de passer à l’écran est à mes yeux tout sauf de la littérature. Imagine-t-on un seul instant un roman de Claude Simon passer à l’écran comme ça ? C’est absolument infaisable. Tout ce qui est faisable n’est pas par définition de la littérature. C’est rien.

Janssen J-J dit: à

Le jeune Johann Chapoutot dans l’itw signalée dans les touites, a l’honnêteté d’expliquer que ce qu’il cherche avant tout dans sa passion pour l’histoire, c’est de comprendre le bien fondé de sa décision personnelle d’être devenu historien et par conséquent de rendre cohérent son désir de changer d’objet aujourd’hui, après avoir beaucoup trempé dans la période nazie et sans doute renouvelé l’histoire des mentalités allemandes imprégnées.
L’historien britannique sir Ian Kershaw, plus âgé, et auteur de la plus monumentale biographie consacrée à Hitler et à des travaux renouvelés sur nazisme, n’a jamais expliqué sa focalisation exclusive de la sorte et n’aurait jamais pu faire autre chose que de labourer cet immense chantier. Il a néanmoins su dépeindre la géopolitique européenne globale allant conduire à la catastrophe (2016) puis à la « fin du grand Reich » (2014). Il a rendu un hommage appuyé à son collègue Eric Hobsbawm dont il reconnaît la dette en le définissant comme « un historien de renommée mondiale et intellectuel de gauche qui, ayant assisté à l’agonie de la république de Weimar fonda son engagement à vie en faveur du communisme et de l’Union soviétique ». Si Kershaw montre comment des demi-pointures intellectuelles occidentales furent toujours dans le déni à propos de l’URSS (et notamment les impardonnables époux Sidney et Beatrice Webb en 1935), il avoue en creux un respect total à l’égard d’Hobsbawm : « Pour quelqu’un comme moi, il n’y avait vraiment qu’un seul choix (…) Que restait-il en dehors des communistes, surtout pour un garçon qui arrivait en Allemagne déjà effectivement attiré par la gauche ? » (cité in l’Europe en enfer, p. 504).
Pour autant, il y a toujours un peu de déception à l’égard des plus grands historiens qui, amenés à se poser des questions dans leur analyse d’une configuration historique précise (Elias) apportent en général des réponses d’une affligeante banalité, sans pour autant avoir jamais l’allure du : « il aurait fallu que »… Voici par ex. sur la « débâcle de Munich » si en 38 une grande alliance avec l’URSS aurait pu éviter la guerre… Kershaw explique : « La perspective d’une « grande alliance » eût effectivement été la meilleure solution pour dissuader Hitler » (p. 380), et « aurait pu encourager l’opposition niassante en Allemagne » (p. 381)… Et un peu plus loin : « Quant à savoir si cela aurait évité une guerre générale à plus longue échéance, c’est impossible à dire. Le plus probable est que la guerre serait devenue inévitable à un moment ou à un autre. Mais c’eût été un conflit différent, dans des circonstances différentes. En fait, après Munich, la route de la guerre fut courte » (p. 381).
Et nous voilà bien avancés… or, c’est lui qui a posé la question ! Les bras vous en tombent un peu au sujet de cette croyance propagée par les meilleurs historiens d’après laquelle l’Histoire indéfiniment retravaillée aux meilleures sources pourrait mieux nous éclairer le présent. On reste un brin sceptique car, EN MEME TEMPS, c’est un problème de foi pour CELZECEUX. Les épreuves contre factuelles n’ont jamais vraiment réussi à changer le cours fataliste des tendances lourdes de la réalité. On bavarde pour dévier la sottise de quelques uns (des peanuts comme gwg par ex.), mais peut-on vraiment empêcher un trump ou un macron d’accomplir leurs bévues historiques les plus évidentes ?

JC..... dit: à

JJJ, rêvant assis dans le métro au milieu des souillards et souillons qui le souillent, et se parlant à lui-même :
« Etant meilleur homme que Dolfie P’tit Mustach, aurais-je pu empêcher WWII ….. ? »

Bando-craquant !

JC..... dit: à

Il est impossible de vivre heureux sans compromis ni compromissions. Surtout, si on est écrivain à la recherche d’une reconnaissance forcément imméritée ….

Widergänger dit: à

Qu’est-ce qui serait une reconnaissance méritée, JC ? Je serais curieux de l’apprendre de ta bouche.

JC..... dit: à

Un reconnaissance imméritée, c’est la consécration buzzistique d’une crapule, branlouillante du calame, par des crapules littéraires encore plus gâtées-pourries.

Une reconnaissance méritée, c’est celle des lecteurs silencieux, en nombre, au fil du temps qui passe

Widergänger dit: à

Gigi a l’art de se poser de faux problèmes.

Est-ce que l’histoire permet d’éclairer le présent ? Elle éclaire ce qui est éclairable. Mais ça fait combien de pour cent ? Très peu. Le présent par définition c’est l’impondérable.

Personne n’avait prévu Mai 68.

Personne n’avait prévu la guerre de 14-18.

Mais il est clair qu’un regard éclairé pouvait prévoir en 1918 la prochaine guerre. Mais combien était capable d’un tel regard ? Un sur un million, et encore !

Dans Le Siècle, Badiou parle très bien du désir de paix au sortir de la Grande Guerre, et il dit très justement qu’il y a deux options pour créer la paix :
1°) Le pacifisme, dont Giono a payé le prix;
2°) l’option nazie : installer la paix définitive par la guerre totale qui créera enfin les conditions de la paix. C’est dans cette perspective que peut se « comprendre » la « Solution finale de la question juive » par les nazis.

Il est clair, dans ces conditions, que Munich ou pas Munich, ce n’était pas pertinent comme critère pour les nazis. La guerre totale aurait tôt ou tard éclatée pour régler la question de la paix dans le monde.

Widergänger dit: à

Une reconnaissance méritée, c’est celle des lecteurs silencieux, en nombre, au fil du temps qui passe
________
C’est se payer de mot, là, JC ! Si c’est silencieux, où est la reconnaissance ? Le mot même de reconnaissance implique l’espace public.

Donc, ta reconnaissance n’en est pas une.

Widergänger dit: à

En plus, je ne vois pas en quoi l’espace public rendrait illégitime quelque reconnaissance que ce soit. C’est complètement irrationnel comme conception de la légitimité.

closer dit: à

« Que restait-il en dehors des communistes, surtout pour un garçon qui arrivait en Allemagne déjà effectivement attiré par la gauche ? »

Il restait les démocraties libérales, pauvre crétin!

closer dit: à

« Une reconnaissance méritée, c’est celle des lecteurs silencieux, en nombre, au fil du temps qui passe »

Un grand nombre de lecteurs, silencieux ou pas, au fil du temps, ça finit forcément par se savoir et par constituer une reconnaissance, WG.

Réfléchis deux secondes!

Janssen J-J dit: à

@Il est clair, dans ces conditions, que Munich ou pas Munich, ce n’était pas pertinent comme critère pour les nazis. La guerre totale aurait tôt ou tard éclatée pour régler la question de la paix dans le monde.

Avec Badiou, gwg se pose les vraies questions, il n’y avait que 2 possibilités pour finir par avoir la paix : le pacifisme total ou la Shoah ! Munich n’était pas un pb pour les nazbrocks, à ce moment là gwg était à leur place… Donc, « on » a choisi la shoah, donc tout va bien, car après on a eu la paix, et on a eu badiou-gwg ! alors que si on avait choisi la paix comme giono, et ben pas sûr qu’on aye pas eu la guerre quand même !
Ca c’est de la dialectique bien daubée à la sauce martine heidegerre ! (un dégât collatéral de la guerre sans doute qui fait encore sentir ses effets en 2017).

bob dit: à

D. dit: 19 août 2017 à 11 h 17 min
jicé peut pas être partout pour empêcher le Mal et sauver l’humanité

Widergänger dit: à

Mais essaie un peu de faire marcher ta tête, mon pauvre Gigi, t’es pénible !

DHH dit: à

Dans l’ouvrage que Joachim Fest consacre à la résistance allemande au nazisme il met en évidence la réalité de velléités de renversement du régime en place déjà présentes à la fin des années 30 dans les cercles aristocratiques de l’armée, et qui ,chez ces officiers , de projets abandonnés en tentatives avortées, aboutiront au complot de Stauffenberg , arrivé trop tard, même s’il avait réussi, pour être autre chose qu’un baroud d’honneur.
Et Joachim Fest montre que pour ces officiers qui ont commencé très tôt à se détacher d’un régime dans lequel ils ne reconnaissaient plus leurs valeurs, Munich a été une déception ;ils espéraient l’échec de cette conférence qui eût conduit à une guerre immédiate ,nécessairement perdue par l’Allemagne, insuffisamment préparée à cette date ,d’autant qu’elle n’avait pas encore alors le bouclier du pacte avec Staline .
La défaite aurait entraîné à temps la chute du régime nazi suite à l’inéluctable victoire des démocraties alliées

Delaporte dit: à

Dernier rebondissement important pour l’affaire Polanski, qui se révèle, à ce point de la procédure, extrêmement passionnante, et pleine d’enseignements. Les propos du juge américain me paraissent parfaitement logiques, et j’aurais tenu les mêmes si j’étais à sa place. C’est rassurant de voir une justice qui fait vraiment son boulot, et ne se laisse pas influencer par l’iniquité ambiante. Voici ce qu’en dit le Parisien :

Un juge de Los Angeles a refusé de clore les poursuites pour agression sexuelle sur mineure contre le réalisateur Roman Polanski. Dans la décision publiée vendredi, le juge Scott Gordon écrit que «l’accusé dans cette affaire est un fugitif qui refuse d’exécuter les ordres des tribunaux.» Selon lui, même si la clôture du dossier bénéficierait à la victime, Samantha Geimer, «la société a intérêt à ce qu’une justice équitable soit rendue, ce qui ne peut être satisfait que par la continuation des poursuites.» (Le Parisien)

Delaporte dit: à

Le juge américain a pointé du doigt le vrai problème de cette affaire, qui est cette cavale polanskienne qui nargue la Justice depuis 40 ans. Evidemment que ça ne peut plus durer :

« l’accusé dans cette affaire est un fugitif qui refuse d’exécuter les ordres des tribunaux »

Delaporte dit: à

Par ces propres termes, cités par le Parisien, nous comprenons pourquoi l’affaire Polanski ne peut pas être prescrite. La justice court encore, et Polanski plus vite qu’elle… pour le moment !

Delaporte dit: à

L’étau se resserre sur le réalisateur. En France, il est comme dans une prison dorée. Il ne peut plus voyager dans le monde. C’est tout juste s’il peut résider en Suisse. Les portes du pénitencier sont quasi refermées sur lui, il ne manque pas grand chose.

Delaporte dit: à

Le Point nous indique que le juge pointe également du doigt l’insolence proprement phénoménale de Polanski, qui a choisi une défense agressive et belliqueuse peu propre au compromis, comme si le but était de se moquer de la justice à plein tube :

Dans sa décision, le juge Gordon relève aussi que Roman Polanski, « à travers ses avocats, continue ses attaques contre chaque magistrat chargé du dossier (…). Une telle conduite ne constitue pas une base de clôture des poursuites », conclut-il. (Le Point)

bérénice dit: à

15h tu parles d’un rebondissement. C’était totalement imprévisible et par là même absolument satisfaisant.

bérénice dit: à

La chasse aux sorcières est ouverte, au bal des vampires sommes invités. Sortez vos gousses d’ail.

bérénice dit: à

il ne manque pas grand chose.

80 et quelques balais, l’on pourra bientôt le saluer pour l’éternité, soyez patient Delaporte, vous lui survivrez.

bérénice dit: à

« série »,

rose dit: à

il a fallu deux guerres et les.gagner pour souligner l’ampleur de leur horreur et du massacre afférent de la shoah.
il eût fallu des hommes de.bonne volonté pour éviter ce drame.
Non pas des hommes animé par la volonté de nuire, de tuer en zigzagant pour augmenter le nombre de morts visant sans distinction hommes femmes et enfants qui prennent descongés bien mérités.
je pense aux victimes qu’elles soient passées de l’autre côté ou revenues au présent. Leur vie a irrémédiablement changé.

Ne pas surtout rendre mineurs des faits majeurs.
Se mobiliser.
S’ indigner.
Ne jamais accepter l’ inacceptable.
Lutter pour notre démocratie si chèrement gagnée.
Lutter contre l’ oubli. Refuser la répétition.

salut à tous, camarades de blog.

JC..... dit: à

@rose
Aucune raison d’être optimiste sur cette guerre en cours qui ne dit pas son nom.

Ne pas oublier que, avec ou sans-dents, l’homme moderne se révèle généralement être un humaniste sans-couilles !

Par là même, le complice des terroristes…

Delaporte dit: à

« soyez patient Delaporte, vous lui survivrez. »

Sachez-le, bérénice, les vieux bandits comme Polanski vivent longtemps.

Delaporte dit: à

« 15h tu parles d’un rebondissement. »

Au contraire, la déclaration du juge américain Scott Gordon est très importante. Elle montre que la justice américaine reste ferme devant son « fugitif », et qu’elle espère que ce n’est pas lui qui, dans son arrogance infernale, aura le dernier mot.

JC..... dit: à

Votre obsession de justice, mon cher Delaporte, m’amuse !

Ainsi, vous n’avez aucun viol, aucun acte de pédophilie, aucune sodomie facile, à vous reprocher ? Rien qui sorte du carcan de la morale. Toujours ! Par tous les temps !

Ainsi, vous n’avez jamais peloté une grand mère consentante ? Des jumelles inséparables ? Besogné dans un train de nuit désert, une bonne-sœur bien foutue ?

Triste vie d’une noble âme, hélas… !

Delaporte dit: à

« Triste vie d’une noble âme, hélas… ! »

Je ne suis pas un voyou, c’est tout.

Phil dit: à

Dhh, Stauffenberg n’a jamais renoncé au territoire de la grande Allemagne, dont la Pologne, entre autres, faisait partie. Hitler lui apparaissait ainsi qu’aux hobereaux de son groupe bien trop vulgaire pour accomplir le dessein. Toutes ces élucubrations uchroniques remplissent les caisses d’olihoud et le bon public se cotise en popcorn pour applaudir Schindler ou Ganz qui éructe dans un bunker en carton.

et alii dit: à

Les Disparus de Daniel Adam Mendelsohn

D. dit: à

30 français blessés à Barcelone il y a 2 jours.
Je leur souhaute bon rétablissement mais je ne peux que m’étonner de la présence de 30 français sur cette avenue Ramblas de si peu d’intérêt alors que la France regorge de coins magnifiques et charmants.

et alii dit: à

j’ai connu l’expérience de l’énigme de la disparition d’une femme: deux fois ;la première, elle était une fillette, la filleule orpheline, qui connaissait des secrets de « la famille » et notamment ceux me concernant pour la trahison desquels elle fut une première fois éloignée enfermée; je ne compris rien ce n’est que beaucoup plus tard que je compris ;mais toujours pas la deuxième fois quand elle réapparut , libre , et dut redisparaitre mais je crois qu’elle négocia sa disparition;es autre membrres de la famille qui avaient de buts de secret, on ne pouvait les faire vraiment disparaitre, c’est donc moi qu’on éloigna et fit disparaitre, c’est peu après que je compris ; et j’ai cherché à connaitre les bputs d secret:c’est très puissant les secrets ,pas étonnant que les psys y aient trouvé une nouvelle énergie ; on devtrait dire fort comme le secret;
un nom de psy en passant qui s’est intéressé aux secrets de famille :tisseron même tintin repose sur des secrets de famille

JC..... dit: à

« Je ne suis pas un voyou, c’est tout. » (Delaporte, fermé de l’intérieur)

Moi non plus, cher ami … on est deux !

et alii dit: à

des bouts de secret

JC..... dit: à

Dites moi, et alii, vous avez des problèmes d’élocution ?

bérénice dit: à

Passou, il y a du grain dans votre bleu et peut-être y-avait-il du brouillard, méfiez vous des mauvais passants . Quelles sont les circonstances de votre image?

bérénice dit: à

Et Alii a des problèmes d’élucubrations, un peu plus on se retrouvait avec Attali que je n’ai pas lu mais de qui il s’approche par l’intensité t la diversité de ses communiqués.

bérénice dit: à

D, je m’étonne que vous ne citiez pas les 2 morts et 8 blessés finlandais.

Delaporte dit: à

La lamentable déclaration de l’avocat du cinéaste :

« Ce tribunal continue à étudier une affaire vieille de 40 ans avec un accusé de (84 ans) qui a déjà servi plus de trois fois en détention la peine que lui avait promise cette cour », a réagit vendredi l’avocat de Polanski, Harland Braun.

Il oublie de dire, léger petit détail, que pour le crime de viol sur mineure la peine est la détention à perpétuité.

et alii dit: à

a réagi sans t réagi de réagir
merci de surveiller vos interventions

rose dit: à

JC

moi non plus, pas optimiste.
guerre larvée.

rose dit: à

les gens éloignés, ce peut être pour plusieurs raisons : une captation indue d’héritage. Qui, bizarrement, la génération suivante, revient au fils – dont le père avait été spolié.
La non acceptation, le rejet du secret qui a été dévoilé ; alors que tout le monde consent silencieusement.
Souvent, il faut attendre que les parents soient très âgés pour qu’ils commencent à dire.
Parfois, le verrou est sacrément cadenassé;

Ai reçu une carte postale : Avance.
N’aie pas encore tout lu (y’a tout un texte).
Ne fais que ça.
Heureux ceux qui sont dans l’art et/ou dans la musique.

JC..... dit: à

Delaporte,
si on ne peux plus violer les mineures faisant preuve de trop d’indécision en situation critique …. !

Où on va là ? Où on va !!!

et alii dit: à

vus etes gentille rose de vouloir éclairer les lanternes alors pour recharger vos batteries, n’oubliez pas Anne Ancelin Schützenberger
bonne soirée

bérénice dit: à

Il oublie de dire, léger petit détail, que pour le crime de viol sur mineure la peine est la détention à perpétuité.

Delaporte, on connait votre position. Allez-vous continuer à nous servir vos arguments sur cette affaire , dans quel but ? Au nom de la Loi je vous arrête? La France n’a pas l’intention de l’extrader .

Delaporte dit: à

« Delaporte, on connait votre position. Allez-vous continuer à nous servir vos arguments sur cette affaire , dans quel but ? »

Je n’ai aucun but, sinon exposer ce que m’inspire cette affaire que je juge importante, sinon intéressante. C’est mon droit. Je suis pour la liberté d’expression, moi.

bérénice dit: à

soit mais vous ressemblez à ces bandes passantes aéroportées qui nous avertissent des festivités, offres commerciales, rendez-vous à ne pas manquer quand on on est sur la plage et qu’on lève le nez de son bouquin, là on peut lire clairement: Condamnez Roman Polanski à la peine la plus lourde, qu’il crève en prison.

Delaporte dit: à

D’ailleurs, si vous regardez, toute la presse du monde entier parle de cette affaire Polanski, et pas seulement Gala. Ce qui arrive à ce grand cinéaste est particulièrement intéressant, en ce que son affaire pose un problème moral assez considérable. Il est intéressant également de voir comment une justice, en l’occurrence la justice américaine, y répond. Il ne faut pas faire l’autruche ! Le citoyen a le droit de donner son avis sur l’affaire Polanski, qui n’est pas terminée, loin de là, je le rappelle.

bérénice dit: à

importance toute relative, vous ne militez plus en faveur de la formation de milices citoyennes chargées de nous débarrasser de ces gens louches ?

Delaporte dit: à

« importance toute relative, vous ne militez plus en faveur de la formation de milices citoyennes chargées de nous débarrasser de ces gens louches ? »

J’ai l’impression que vous délirez légèrement. Je m’inquiète pour vous. Reposez-vous !

bérénice dit: à

oui vrai qu’avec ces morts malheureuses il est bon de rappeler que ce cinéaste est lourdement impliqué dans une affaire de mœurs qui a comme un bon whisky 40 ans d’âge, c’est pas du frelaté.

Phil dit: à

Il manque tout de même le film de la partouze de Polanski dans la maison de Nicholson pour apprécier la situation et les responsabilités exactes. Le cinéphile averti dira qu’il est bien possible que la scène de copulation diabolique dans Rosmary’s baby s’en inspirât.

bérénice dit: à

Delaporte à vrai dire j’hésite à vous identifier, auteur de scriptilia, john brown ,jean et dans ce cas je ne délire pas; vous vous étiez exprimé alarmé par la montée de la violence il y a un certain temps à ce propos ou D qui parfois est partisan de posture extrême pour répondre à l’extrémisme.

Delaporte dit: à

« il est bon de rappeler que ce cinéaste est lourdement impliqué dans une affaire de mœurs qui a comme un bon whisky 40 ans d’âge »

Vous parlez effectivement comme ceux qui défendent Polanski, et font du même coup l’apologie de la pédophilie, comme Catherine Deneuve. Terrible responsabilité !

bérénice dit: à

La gamine avait treize ans pas quatorze, il a donné en dommages et interet la somme de 500 000 euros à cette femme qui actuellement est mariée, mère de trois enfants et souhaiterait, bien que son souhait ne soit juridiquement pas recevable, ne plus entendre parler de ce volet de son histoire personnelle. La mère de l’enfant a tenté le diable à l’époque, quelle idée de déposer une enfant dans un milieu qu’elle aurait pu deviner quelque peu incertain pour le baby sitting.

bérénice dit: à

je vous l’ai déja dit, aucune apologie, je réitère ma position: n’est-il pas possible de lui accorder un pardon et de clore ce dossier, il y a tout de même la marque d’un certain acharnement, pourquoi maintenant? C’est une histoire de personne, en l’occurrence un procureur intégriste qui vraisemblablement ne passerait sur aucun des errements des citoyens américains s’il les savait.

la vie dans les bois dit: à

Right Phil, mais avec l’âge Polanski se retrouve avec ses démons. Que son épouse actuelle ait pu incarner la neuvième porte ne sera pas sa rédemption.

bérénice dit: à

je crois que ses démons ne l’ont jamais quitté, il est du genre hanté, torturé, pas en paix, non?

Delaporte dit: à

« avec l’âge Polanski se retrouve avec ses démons »

C’est ce qui est intéressant dans son cas, de voir comment il est rattrapé par ses obsessions de cinéaste et ses pulsions d’homme. Cette affaire qui revient le harcelé est caractéristique, symptomatique, révélateur de ce qu’il fut et qu’il a mis dans ses films. L’artiste étrange rejoint alors l’homme, en une étrange affaire dont il est passionnant d’étudier les méandres. Il ne fera plus jamais d’aussi beaux films que dans sa jeunesse, mais la fin de son parcours biographique réserve des surprises non négligeables, qu’il serait stupide de vouloir minimiser.

Delaporte dit: à

La manière dont Polanski présentait la relation amoureuse dans ses films (en bref, un désastre) augurait au fond de ce que serait l’amour dans sa vie. On peut dire qu’il aura été jusqu’au bout de lui-même, dans une sincérité authentique… hélas !

Phil dit: à

Du beau cinéma, lavie..la Dakota house où fut tourné Rosemary’s baby était habitée par Madonna comme me l’indiquait le chauffeur de taxi à qui je parlais de Polanski qu’il ne connaissait pas. Aujourd’hui, referais bien un tour en taxi pour mesurer la notoriété de nos stars à nouillorque.

D. dit: à

New-York n’a que très peu d’intérêt, Phil.
Je m’étonne que vous ne vous en soyez pas encore aperçu. Les rues sont extraordinairement bruyantes, très mal fréquentées pour la plupart, peu hygiéniques et polluées. La vie y est terriblement chère et la culture new-yorkaise est un mythe largement dépassé de nos jours.
Jamais je n’y mettrai les pieds en ce qui me concerne, je ne suis pas fou.

D. dit: à

Même si Bérénice me le demandait dans un coup de folie, je lui dirait niet.

D. dit: à

Polanski est un type doué mais cinématographiquement ce n’est pas non plus un caïd comparé à Kubrick que je considère comme un géant.

D. dit: à

D qui parfois est partisan de posture extrême

Allons, Bérénice, vous ai-je une seule fois proposé quelque chose de ce genre. Répondez honnêtement.

D. dit: à

Sur un fil comme Tess, on s’emmerde un peu, reconnaissez.

Phil dit: à

Pas retourné à nouillorque depuis l’écroulement des tours, Dédé, sur lesquelles on pouvait d’ailleurs grimper comme le grand singe Kong.

D. dit: à

Vous avez eu entièrement raison.

la vie dans les bois dit: à

Phil, perso, je ne suis pas allée voir la maison sur la colline de Jack Nicholson, Mulholland drive, LA.

Delaporte dit: à

Polanski est évidemment lui aussi un « géant » du cinéma, sauf sans doute pour ses plus récentes productions. « Le Pianiste » me semble un film raté, dans lequel ne surnage plus que la névrose du cinéaste. Par contre, « Tess » était un chef-d’oeuvre, à mon avis. Il a fait ce film tout de suite après sa fuite des USA. Et dedans, il y avait une scène fameuse de… viol. Eh oui !

l'ombelle des talus dit: à

A quel age votre première relation sexuelle (consentie …) ? Moi, 14 ans.

Phil dit: à

Présente-t-elle un intérêt architectural, comme la dakota house, La vie ? Simple villa de millionnaires liftés probablement.
Nicholson est un grand acteur malgré son penchant pour les grimaces. Ce petit débat apéritif m’interroge sur la date de tournage de Chinatown, avant ou après l’affaire qui titille Delaporte…

la vie dans les bois dit: à

Phil à 18h56 erreur de date; la maison de Nicholson a servi de « décor » pour LE film de Polanski, en 1977… bien après le film  » rosemary’s baby ».

Phil dit: à

Alors effectivement, l’un inspire l’autre sans espoir d’économie de pellicules si les scènes ont dû être « rejouées » par manque d’experiences.
Fritz Lang aussi fut accusé d’un crime, mais il sut mieux dominer la suspicion, basée sur des faits datant de la republique de Weimar, les juges morts ou dénazifiés.

l'ombelle des talus dit: à

Un seul procès-verbal d’audition de la victime ? Puisqu’on semble vouloir ériger ici un tribunal, les PV d’audition de Polanski sont-ils accessibles ? Peut-on prendre connaissance des dépositions de tous les protagonistes dans cette affaire ? (Quand on se sera lassé du prédateur Polanski, on pourra s’intéresser à Polanski la victime et refaire le procès Manson – même du les jugements rendus dans cette affaire sont juridiquement définitifs)

l'ombelle des talus dit: à

même du > même si

bérénice dit: à

J’ai beaucoup aimé ses derniers, ghost writter, la Vénus, Carnage, des autres vus il y a très longtemps le bal des vampires, lune de fiel, la neuvième porte, Tess( plus récemment ), Pirates, Frantic, China Town je ne me souviens que d’avoir aimé aussi. Je ne sais plus si j’ai vu le Locataire.

bérénice dit: à

D qui parfois est partisan de posture extrême

quand il est question d’immigration et bien qu’elle représente un véritable problème on ne peut pas dire que vous soyez cool.

Petit Rappel dit: à

Tess d’Uberville est un roman de Thomas Hardy avant d’etre empesé par Polanski,me semble-t-il.

bérénice dit: à

un bémol pour lune de fiel et la neuvième porte.

Delaporte dit: à

« avant d’etre empesé par Polanski »

Pas du tout, c’était très réussi. Il ne faut pas préjuger sans avoir vu avec goût…

bérénice dit: à

Petit rappel, quelles sont pour vous les adaptations de romans réussies au cinéma sans revenir à R Polanski?

l'ombelle des talus dit: à

La princesse et le croque-note de Georges Brassens

« Jadis, au lieu du jardin que voici,
C’était la zone et tout ce qui s’ensuit,
Des masures des taudis insolites,
Des ruines pas romaines pour un sou.
Quant à la faune habitant la dessous
C’était la fine fleur c’était l’élite.

La fine fleur, l’élite du pavé.
Des besogneux des gueux des réprouvés,
Des mendiants rivalisant de tares,
Des chevaux de retour des propres à rien,
Ainsi qu’un croque-note, un musicien,
Une épave accrochée à sa guitare.

Adoptée par ce beau monde attendri,
Une petite fée avait fleuri
Au milieu de toute cette bassesse.
Comme on l’avait trouvée près du ruisseau,
Abandonnée en un somptueux berceau,
A tout hasard on l’appelait « princesse ».

Or, un soir, Dieu du ciel, protégez nous!
La voila qui monte sur les genoux
Du croque-note et doucement soupire,
En rougissant quand même un petit peu
« C’est toi que j’aime et si tu veux tu peux
M’embrasser sur la bouche et même pire »

« Tout beau, princesse arrête un peu ton tir,
J’ai pas tellement l’étoffe du satyre,
Tu a treize ans, j’en ai trente qui sonnent,
Grosse différence et je ne suis pas chaud
Pour tâter d’la paille humide du cachot
Mais croque-not’, j’dirais rien à personne »

N’insiste pas fit-il d’un ton railleur,
D’abord tu n’es pas mon genre et d’ailleurs
Mon cœur est déjà pris par une grande »
Alors princesse est partie en courant,
Alors princesse est partie en pleurant,
Chagrine qu’on ait boudé son offrande.

Y a pas eu détournement de mineure,
Le croque-note au matin, de bonne heure,
A l’anglaise a filé dans la charrette
Des chiffonniers en grattant sa guitare.
Passant par là quelques vingt ans plus tard,
Il a le sentiment qu’il le regrette. »

la vie dans les bois dit: à

Court,le titre du livre de T. Hardy est » Tess of the D’Urbervilles » en VO; bloom s’était déjà fait ramassé sur le sujet.

la vie dans les bois dit: à

Oui, Tess est un beau film. C’est probablement celui de Polanski, que je retiendrais.

D. dit: à

Non, on ne peut pas dire que Polanski soit un géant du cinéma, ni Spielberg que je place d’ailleurs bien en dessous de Polanski et surtout de Kubrick. Ce sont des gens qui se sont acquis une certaine notoriété. Point.
Kubrick est en revanche absolument unique et génial. C’est ainsi, je ne comprends pas que vous puissiez vouloir en discuter tellement c’est évident.

D. dit: à

Je n’ai jamais vu Tess mais je sais que c’est un film ô combien long et ennuyeux que je ne recommande à personne.

Phil dit: à

A ne pas confondre avec « Kes », sans doute le meilleur film de Loach, affreux accents ouvriers anglais, sans parler des subtitles indispensables.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@, la vie sur les bois à 19 h 58 min,…

…, la, je suis de votre côté,…c’est pas du hasard, provoqué,!…il y a, préméditation des faits,…puisqu’il décide, de prendre des vêtements,la chemise, le pantalon,…pour monter sur la colline, prendre des photos,…
…et se stimuler, ensemble, en dévoilant, les provocants seins par mutuelles consentements à exhibitions,…

…il y a, intentionnellement de la provocation préméditer,!…il fait, un peu, chaud-lapin,…

…en, plus , pour un cinéaste,…tambours battants,…

…il devaient quand même, avoir des informateurs, pour justement, concrétiser sa balade sur la colline,…et se farcir, une victime, dans l’âge à se masturber,…

…c’est une forme, de coup fourré, de première, de l’art du viol,…

…çà doit être intéressant, de lire,…les détails d’auditions de ces faits-là,…
…du cinéma, plein la tête,…
…je ne connait pas la suite,!…

…Non,…mes modèles à moi,….et toutes nues, en studio,ne me faisaient, ni chaud, ni froid,!…
…c’était pour se prémunir, de fantasmes, et d’ailleurs, j’avais fait, une diapositive, d’un modèle, à genoux devant sont lit, en prière,…
…tout çà, en réponse, à des sollicitations de journaux de la ville,…annonces, pour photographes, etc,!…téléphone,…sans plus,…
…merci,!…L.V.B….je parle du début des années 80′,…puis , j’ai été dégouter,…
…toute cette science, pour rien,…etc,…
…envoyez of course,!…

l'ombelle des talus dit: à

l’ombelle des talus dit: 19 août 2017 à 19 h 55 min
A quel age votre première relation sexuelle (consentie …) ? Moi, 14 ans.

Le cas échéant, chacun est libre de ne pas répondre …

Passou dit: à

Bérénice, Un petit lac du Valais, l’hiver, à la tombée de la nuit, retravaillé avec Photoshop

Widergänger dit: à

Tess est un film tout à fait splendide ! Et qui plus est très fidèle au roman.

Votre niveau général ne s’améliore pas, mes pauvres chéris !

Et on dirait que le voyou Delaporte s’en lèche les babines… Quel bouffon celui-là ! Malhonnête, minable, incompétent, et il harcèle les vieux monsieur géniaux. Une vraie petite ordure de la gestapo ! Mon Dieu, envoyez Delaporte en enfer comme il le mérite !

Phil dit: à

L’ombelle du talus, vous êtes bien engageante pour un sondage galup..
étiez-vous nubile, dear ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la photo du modèle nus agenouillée, m’a été volé, avant 1985,…?,…etc,…

Widergänger dit: à

Les trois films que je préfère de Polanski sont : Tess, Le Locataire et Le Pianiste. Trois grands films qui marqueront à jamais l’histoire du cinéma.

Widergänger dit: à

Oui, c’est une très belle photo, Passou ! Vraiment très poétique. Elle est très réussie, bravo !

bérénice dit: à

Le cas échéant, chacun est libre de ne pas répondre

mais madame puisque je vous dis que j’l’ai jamais fait. ( La vie est un long fleuve tranquille)

bérénice dit: à

quelqu’un, un homme a confessé qu’il avait vécu ses premiers émois avec une demoiselle mineure qu elle même avait déjà vécu son expérience à 14 ans, c’est courant de part et d’autre de l’équateur.

bérénice dit: à

, retravaillé avec Photoshop

Hérétique!

l'ombelle des talus dit: à

Phil dit: 19 août 2017 à 21 h 32 min
L’ombelle du talus, vous êtes bien engageante pour un sondage galup..
étiez-vous nubile, dear ?

En 1954, oui et pas tout à fait débridée, sweet Phil
https://www.youtube.com/watch?v=KgZLzY6hGuk

Widergänger dit: à

Kubrick est un très grand réalisateur aussi sans conteste. J’ai suivi quasiment tous ses films passionnément. Spielberg aussi.

Mais à mes yeux le cinéma n’égalera jamais la littérature romanesque, qui va bien plus au fond des choses que le cinéma qui reste un art malgré ses génies incontestables, superficiel.

Le cinéma s’inspire de la littérature, l’inverse n’est pas vrai. Même si la littérature peut inventer des procédés qui tendent à créer des effets de simultanéité propres à l’image. Claude Simon par exemple en est quasiment obsédé, et les « effets image » dans ses romans sont très puissants, souvent d’ailleurs liés, comme on s’y attend évidemment, à sa mère, à l’évocation de la Mère : le texte alors se fige, comme médusé. Par exemple l’incipit de la Route des Flandres, avec le procédé qui consiste à intercaler une description à l’intérieur d’un dialogue concernant l’arrivée d’une lettre de la mère.

C’est très intéressant comme procédé; ça produit un effet de figement de l’action, quasiment une hallucination. La Route des Flandres commence ainsi par un effet d’hallucination pour parler de la guerre. C’est très fort ! Très puissant.

Le chaos de la guerre est ensuite rendu par des phrases à la syntaxe flottante, qui utilise la dualité du statut grammatical des participes présents, qui peut être un adjectif ou un verbe de manière indéterminée, ce qui entraîne des conséquences quant à l’indétermination syntaxique de la phrase. J’avais étudié de tels procédés chez André du Bouchet qui crée ainsi une « marqueterie mal jointe » dans ses poèmes. Ça crée un effet de chaos, de tremblement du réel, d’indétermination du statut du texte lui-même dont on ne peut dire qu’il s’agit de narration ou de description. L’effet là aussi est très puissant ; c’est puissamment orchestré de main de maître par Claude Simon, grand artiste, grand écrivain.

Widergänger dit: à

Autrefois on mariait les rois et les reines à 12 ans, et personne n’y trouvait rien à dire. Tout est relatif.

Pat V dit: à

L’ expression  » vraiment poétique  » s’ agissant d’ une photographie est triviale faussement précieuse et débile,( je reprends en partie vos mots ) wgg !

Widergänger dit: à

Mais je réitère. Et ça n’a rien de débile, bien au contraire.

Widergänger dit: à

Il est d’autres prières à genoux bien plus excitantes…! Et on les imagine sans trop de difficulté avec Catherine…

Pat V dit: à

Alors expliquez-nous le « poétique  » en photographie, il nous en faut pour toute la soirée!

Widergänger dit: à

Dans la photo de Passou, c’est très semblable à un effet en peinture qu’on appelle « sfumato ». Il y a aussi chez Virginia Woolf des effets littéraires de sfumato. C’est même sa plus grande gloire d’être une experte en effet de sfumato, et sa grande invention littéraire. On sait que Passou a une vénération pour Virginia, à juste titre.

bérénice dit: à

21h55 c’était de l’ordre de la promesse, actuellement ces pratiques existent encore mais pas pour les rois et reines, grand public dans des pays lointains et ces mariages sont je crois malheureusement consommés . Le rapt des jeunes vierges soit pour quelques tyrans en exercice soit pour le commerce des maisons closes fait des ravages.

Phil dit: à

Merci L’ombelle du talus, vais me repasser Diabolo menthe » en le sirotant

bérénice dit: à

Le grain bien que moins fin que sur ces photos anciennes peut faire penser aux autochromes qui eux-même pour les pigments et la lumière sont nombreux à nous parler peinture.

Phil dit: à

Dear Widergänger a consommé du spumante

Delaporte dit: à

« Et on dirait que le voyou Delaporte s’en lèche les babines… »

Si j’étais vous, Wgg, je ne la ramènerais pas trop. Vous avez été humilié avec cette histoire d’éthique, et maintenant vous revenez pour faire l’éloge de la pédophilie. Libre à vous, dans votre crasse morale et intellectuelle qui nous dégoûte !

hamlet dit: à

« Nous vivons auprès de gens que nous croyons connaître. Il nous manque l’événement qui nous les fera apparaître autres que nous les savons »

alors ça c’est un scoop !

comment a-t-elle fait pour découvrir un truc pareil ?

WGG tu savais toi qu’il a des évènements qui nous apparaitre les gens différemment alors que nous pensions bien connaitre ?

passou, je crois que vous avez fait de rentrer de vacances sinon vous l’auriez loupé ce scoop.

Widergänger dit: à

Je les préfère en effet aux vins tranquilles, Phil. Mais chacun à sa manière de buller…

Widergänger dit: à

Nullment humilié. Je vous ai foutu au contraire une sacrée raclée, à toi, le crétin des îles et à l’autre tartignole espagnols…! Deux bouffons !

Widergänger dit: à

Et je répète que Delaporte est un voyou de la gestapo !

Delaporte dit: à

Wgg, vous avez été humilié à plate couture, et ce n’est pas la première fois. Vous avez une capacité de l’oublier surprenante, mais cela est dû sans doute à votre manque d’esprit immense. Pauvre hère…

hamlet dit: à

« Quoi qu’il en soit, les gens ne disparaissent pas comme ça. Il y a toujours une explication. Et elle est souvent extrêmement simple. A portée de mains ».

si c’est une question qu’elle se pose il faut lui répondre qu’en fait ça dépend, des fois la raison est simple et parfois elle est pas simple.

en fait ça peut dépendre d’un tas de trucs divers et variés.

par exemple dans la dernière saison d’esprits criminels il y a un épisode où les profileurs se retrouvent dans cette situation. ça se passe dans un ville du sud des EU, à Charlottesville et il y a un type qui disparait, en fait il disparait pas seul il disparait avec son cheval, en fait c’est pas vraiment un type mais sa statue, et du coup les profileurs du fbi se demandent qui a pu faire ce coup, et justement y’en a un qui dit que la raison est simple et un autre que la raison est compliqué, du coup comme c’est profileurs ils arrivent à trouver le reposnable.

passou, vous savez s’ils ont des profileurs en Suisse ?

Pat V dit: à

Qu’ est-ce que le sfumato en peinture?

Le sfumato est une des techniques picturales qui produit, par des glacis d’une texture lisse et transparente, un effet vaporeux qui donne au sujet des contours imprécis.

Or la photographie de Passou est nette, précise dans son ciel réaliste, sa qualité vient d’ un tout autre effet…

hamlet dit: à

sérieux vous êtes pas sympa : passou est rentré de vacances pour pondre ce truc sur la rentrée littéraire et vous, vous discutez de n’importe quoi !

vous pourriez avoir un minimum d’attention ? sinon la prochaine fois passou il restera dans son riad à Marrakech express ! et vous l’aurez dans le baba !

Widergänger dit: à

Mon esprit est en effet tout à fait considérable. J’ai même parfois du mal à tenir ma tête droite sur mes épaules tellement mon intelligence pèse.

Widergänger dit: à

On vous laisse expertiser l’expertise, alors Pat V, puisque c’est votre petit péché mignon ce soir…!

Vous savez, moi, avec les cons, je peux être aussi très cool…!

hamlet dit: à

« Nous vivons auprès de gens que nous croyons connaître. Il nous manque l’événement qui nous les fera apparaître autres que nous les savons »

je suis sûr que vous le saviez même pas ! bande de nazes que vous êtes !

heureusement qu’il y a des écrivains suisses pour vous faire découvrir des vérités aussi cruciales !

passou, vous savez s’il y aura aussi des écrivains belges dans la nouvelle rentrée ?

Delaporte dit: à

« J’ai même parfois du mal à tenir ma tête droite sur mes épaules tellement mon intelligence pèse. »

Wgg a un gros cul à la place de la tête, le pauvre. Mais vous savez, c’est une infirmité très grande – qui explique beaucoup de choses…

hamlet dit: à

« Paul Edel dit: 19 août 2017 à 11 h 17 min

oui, « épreuve » davantage que « jeux » ..ajoutez à ça les rumeurs provoquées artificiellement par les « »grands » éditeurs ,les dix grands noms d’auteurs déjà connus et tous « goncourables »(ça dispense de lire les autres..)les enfumages des attachées de presse,les téléphonages du réseau du Milieu qui veut donner le ton et la tendance… les journaux qui autoproclament leaders d’opinion, quel foutoir… »

vous n’avez pas honte de cracher dans la soupe !
pour vous aucun écrivains actuels n’a donc de valeur à vos yeux en dehors bien sûr de Proust, de Stendhal et de Paul Simon (sans Garfunkel bien sûr) !

mon Dieu quelle misère….

Delaporte dit: à

La leçon n’aura pas suffi, je parie qu’il va bientôt recommencer à délirer sur Wiggenstein et le Tractatus, comme si de rien n’était, comme si tout le monde n’avait pas remarqué que c’est un sujet sur lequel il était particulièrement incompétent. Quel pauvre type !

bérénice dit: à

Or la photographie de Passou est nette

Ah ? bien alors mes lunettes sont trop propres pour la voir bien nette comme vous.

Pat V dit: à

Vous vous êtes arrêté à un regard superficiel, l’ effet moutonnant des nuages dans le ciel, non ce qui donne le plus bel effet à cette photographie, c’ est ce drapeau rouge sur la gauche qui fait basculer notre regard presque hors du cadre de la photographie. La beauté de ce cliché ( que l’ on sait d’ ailleurs travaillé artificiellement par son auteur )c’est l’ équilibre serein qui provient de ce déséquilibre entre le très réaliste drapeau et le vaporeux des nuages.
Remarquez encore sur la droite ce renforcement d’ une instabilité renforcée par un mat de drapeau(?) que notre photographe a laissé dans sa composition photographique. N’ importe qui d’ autre l’ aurait enlevé au cadrage. Hors il est là, ce mât sans oriflamme et il contribue visuellement à l’ équilibre tout en pointillé de la photo.
Le ciel ne tient, ne bouge que par l’ ondulation appuyée ( la couleur rouge et la croix, un signe fort )de drapeau.
Belle et efficace image de passou!

bérénice dit: à

Il nous manque l’événement qui nous les fera apparaître autres que nous les savons »

Hamlet, je la trouve généreuse, un événement c’est bien trop, souvent, il suffit d’un rien pour que le doute s’insinue. Et d’ailleurs ce doute ne concerne pas que les autres, nous aussi, c’est d’ailleurs ces fausses notes si nous nous les entendons commettre qui nous mettent en garde sur notre faillibilité.

bérénice dit: à

Pat v nous parlons de la photo du haut.

Pat V dit: à

non à ce qui donne..

instabilité ponctuée…

Or il est là…( il est sémantiquement « hors », ma langue à fourché!)

du drapeau…

Widergänger dit: à

On ne parle pas de la même photo. Moi, je vous parle de la première celle avec le banc.

bérénice dit: à

Après si vous insistez nous pouvons aussi nous accrocher au mât et au drapeau suisse qui a l’heur de vous plaire.

Pat V dit: à

Alors, s’ il s’ agit de la photo du haut, c’ est pire. Pas de sfumato mais un grain subtil qui rappelle celui de la morsure de l’ acide sur une plaque de cuivre posée par l’ artiste graveur.

bérénice dit: à

4 drapeaux, 1 oriflamme pour changer se battent pour la photo suisse, une fois.

Widergänger dit: à

La gestapo confond la tête et le cul, m’étonne pas de Delaporte des chiottes ! Et il va bientôt le lécher mon admirable cul, dont les femmes raffolent…Il va être à la noce, le voyou de la gestapo ! Un bon petit lèche-cul…

bérénice dit: à

22h42 que diriez vous de l’autochrome ? Comme élément de comparaison, une des première technique photo qui réussit à faire des prodiges en couleur et qui rappelle le pointillisme .

Widergänger dit: à

Oh, vous m’en direz tant, ma chère…! Pas de sfumato pour la dame…

Ah les cons du ministère !

bérénice dit: à

L’autochrome est un procédé de restitution photographique des couleurs breveté le 17 décembre 1903 par les frères Auguste et Louis Lumière. C’est la première technique industrielle de photographie couleurs, elle produit des images positives sur plaques de verre. Elle fut utilisée entre 1907 et 1932 environ.

Widergänger dit: à

bérénice, vous allez encore facher la dame. On vous dit que c’est pas de l’autochrome… Nan mais alors !

Les photos des frères Lumière en couleur, oui, c’est tout à fait ça, bérénice. Bien vu !

D. dit: à

Je connais bien Deneuve, Bérénice.
Je faisais mes courses avec elle au Marché Saint-Germain dans les années 90. Je l’ai conseillée sur les variétés de tomates. Elle semblait très intéressée.

Widergänger dit: à

sfumato = flou.

C’est l’équivalence enregistrée par ma considérable intelligence.

Effet de flou.

Widergänger dit: à

sfumare, fan cull, stomper ! sfumare !

Pat V dit: à

Non, la photo n’ est pas floue, elle est « folle « , elle a un grain parfaitement remarquable et remarqué.
(*_*)

Widergänger dit: à

Les photos couleurs des Frères Lumière sont absolument splendides, c’est vrai. Mais ils sont arrivés trop tôt dans un monde de brutes…

Widergänger dit: à

Oui, et y a pas que la photo qui est folle, à mon avis…!!

bérénice dit: à

on vous a repérée depuis un moment, vous pouvez reprendre votre navigation sous pavillon maltais, on dira rien.

Widergänger dit: à

Comme quoi on fait d’excellentes photos avec de bonnes patates !

D. dit: à

Je trouve que depuis que Clopine a quitté les lieux, les échanges sont ici beaucoup plus objectifs et intéressants. L’atmosphère du lieu a gagné en limpidité et en simplicité même si on ne se fait pas de cadeau. C’est un ressenti.
J’ai souffert du départ de plusieurs mais l’absence de Clopine fur une sorte de bénédiction, qui j’espère va durer.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tout le monde, ne demande que çà,!…un renouveau industriel à l’autochrome,..

…moi, j’ai pas les moyens financiers,…même si tout le monde, connait, la technique de fabrication,…

…mais, dans l’art de la photo, il faut avoir de la chance,…

…par un subconscient inconnu,…m’improviser à aborder, ene jeune fe,,e a son étalage de démonstration, et lui promettre de revenir, pour prendre des photos de son portrait,…
…promesses tenus,…je prend des photos, superbes du seul visage,…

…une vérité de feux intérieurs du visage, incroyables d’intensité,…
…çà laisse rêveurs, de ne pas plus,en demander plus,…et de laisser choisir aux filles, qui elles préfèrent, sans si opposer,…pour rien au monde,…

…une forme de respect total, des natures humaines,!…

…d’autres parts, il arrive, d’être bloqués, dans des situations impossibles à décrire, qui ne peuvent être divulguer,…que par des connivences, trop bien orchestrées,…
…pour provoquée un hameçonnage en règle,…laisser courir, of course,…

Paul Edel dit: à

Hamlet, quelle misère! de ne mêle pas savoir lire! et de dégformer, truquer, tronquer misérablement mes déclarations pu,r leur faire dire le contraire..vous etes dans le brouillard de l’amertume.ca vous amuse de passer vos journées à déformer ce que j’écris? votre fonds vide,votre hargne,votre mépris vos sophismes, quel bazar perfide.vous avez vraiment du temps à perdre.

D. dit: à

C’est la fête à hamlet.

Pablo75 dit: à

Aujourd’hui, aux Puces, il y avait un type qui vendait des livres en parfait état à 1 € pièce, sans doute la bibliothèque d’un type très cultivé et très de droite. Il y avait plein de livres de Morand, Junger, Cioran, Chardonne, Brasillach, Bardèche (son Balzac, que j’ai dû laisser à cause de son poids), René Girard, Graq, Dutourd, Mauriac (dont j’ai pris les presque 900 pages de son Bloc-notes), mais aussi plein de livres d’art (à 1 euro !!), de musique et même d’esthétique. Étant allé à pied et l’endroit étant loin du métro et des bus je n’ai pu prendre que 16, entre lesquels, et c’est pour cela que je le raconte, 3 dont je voudrais l’avis de « l’expert » Pat V, spécialiste de l’art pompier actuel, c’est-à-dire l’art abstrait et ses dérivés.

– « L’imposture de l’art contemporain. Une utopie financière » de Aude de Kerros.
– « Où est passé l’art? » de Christian Delacampagne.
– « Balthus à contre-courant. Entretiens avec Constanzo Costantini. »

Vous connaissez?

Pablo75 dit: à

« 30 français blessés à Barcelone il y a 2 jours. Je leur souhaute bon rétablissement mais je ne peux que m’étonner de la présence de 30 français sur cette avenue Ramblas de si peu d’intérêt… »

(D.)

Et las tapas?

JC..... dit: à

La réaction des proches des victimes de terroristes est tout à fait symptomatique de la faiblesse morale de nos occidentaux pétris d’amour.

Bonnes âmes qui pleurent devant des monceaux … de fleurs coupées, elles aussi, là où le sang versé devrait appeler le sang. Froid.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Pablo 75, à 0 h 15 min,…

…aux puces, des livres de droite à 1 €,…

…c’est bien, çà,!…se planifier, à des idées très courtes d’angles droits,…90 °, 180 °, 270 °, 360 °,…

…des intellos saucisses hameçonnés, qui revendent, aux occasions, les seules politiques disponibles,…à nos économistes compétents,!…
…des gouvernants des  » puces « ,…
…Ah,!…Ah,!…Ah,!…etc,!…

…Roger Pierre et Jean Marc Thibault,…( suite,…)

…sans rancunes,!…

Widergänger dit: à

Mais n’est-ce pas déjà le cas, JC ? Ou bien nierais-tu qu’il y ait des bombardements sur l’Etat islamique ? Ou alors qu’est-ce que tu veux dire ? C’est loin d’être clair compte tenu que les puissances occidentales mènent effectivement une guerre contre les islamistes. Explique-toi.

Widergänger dit: à

hamlet c’est effectivement la grande misère comme un certain nombre d’autres, qui n’ont de cesse d’agresser les autres, menant un éternel procès en légitimité à dire ce qu’il disent. Ce sont d’éternels procureurs du vide de leur narcissisme qui a pris pour certains des dimensions folles comme ici hamlet, chaloux, Pablo75.

On ne les voit JAMAIS produire de la pensée positive. Ils sont dans la négativité pure, le blasphème, la charria, l’exclusion, l’inquisition. Ce sont des esprits profondéments religieux et intolérants, qui ne connaissent pas la diplomatie de l’argumentation, faute de savoir penser d’ailleurs, ce qui fait qu’ils en demeurent éternellement dans la violence verbale, qui appelle forcément la violence verbale chez qui ils s’en prennent. Ce sont essentiellement des pervers à la pensée vide, confirmant la théorie de Hannah Arendt sur la banalité du Mal.

Widergänger dit: à

Je mets à part Delaporte des chiottes qui relève, lui, de la voyoucratie de la gestapo.

Delaporte dit: à

Vous, Wgg, vous relevez d’une maladie mentale reconnue, qui s’appelle Gilles de la Tourette. Cela consiste à proférer des paroles ineptes et excrémentielles. C’est votre signature. Pas très classieux…

Widergänger dit: à

À lire Badiou, parlant de Lacan, on se rend compte à quel point les spéculations de la haute pensée abstraite sert à penser tout ce qui nous arrive de plus banal et de plus concret. Je n’ai jamais lu des cours aussi clairs sur Lacan, même s’il faut s’accrocher en lisant Badiou. Mais ses cours sont extrêmement éclairants sur Lacan, qui est vraiment un très grand penseur de la modernité.

Lacan, c’est au fond le grand saint de la modernité. C’est véritablement un saint homme. Mais pour le comprendre, il faut s’accrocher et traverser les hauts sommets de l’abstraction pure sous la conduite du guide de haute montagne qu’est Badiou. Badiou est vraiment un très grand pédagogue. Vraiment un type admirable comme penseur et comme pédagogue. Et c’est un guide extraordinaire aussi pour penser l’aujourd’hui, et l’aujourd’hui le plus concret, le plus politique, l’aujourd’hui macronien. Lui, Attali et quelques autres, ce sont vraiment des gens très précieux pour comprendre ce qui nous arrive. Heureusement qu’ils existent. Bénis soient-ils !

Widergänger dit: à

Pas du tout ! Je suis tout à fait sain d’esprit et de corps ! Attesté même par l’Éducation nationale, institution légale de la République.

Delaporte dit: à

Deux précisions sur la maladie de Gilles de La Tourette, qui se rapportent spécifiquement au tableau clinique de cette crasse de Wgg :

1- Des cas d’autisme associé au syndrome de Gilles de La Tourette ont été signalés.

2- Des tics verbaux (insultes, etc.) sont présents dans l’évolution de moins de 20 % des cas et peuvent parfois être associés à des comportements « choquants »

Delaporte dit: à

La maladie de Wgg n’ayant pas été prise assez tôt, celui-ci continuant de nuire, la guérison ne pourra jamais être complète, à moins d’en faire un légume. Aimez-vous les gros légumes ? C’est le destin de Wgg !

Delaporte dit: à

Normalement, l’EN devrait le mettre en congés, afin qu’il puisse suivre son traitement radical – à base de gros légume !

Delaporte dit: à

Une bonne petite camisole de force toute jolie pour Wgg ! Avant de devenir légume !

Widergänger dit: à

Delaporte est un voyou non spéculatif.

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