de Pierre Assouline

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La République des livres
Claude Lévi-Strauss révélé dans une « biographie japonaise »

Claude Lévi-Strauss révélé dans une « biographie japonaise »

Il y a un petit quart de siècle, le magazine Lire commanda un sondage d’opinion réduit à une seule question : quel est pour vous le plus grand intellectuel français vivant ? Un nom se détacha largement en tête qui n’était pas celui d’un bateleur d’estrades médiatiques mais du moins connu, du moins public, du moins spectaculaire et du plus discret de nos penseurs, un humaniste au savoir intimidant, mais qui suscitait tant la déférence que l’admiration : Claude Lévi-Strauss. Si un semblable sondage était commandé en 2015, on imagine les réponses : quelques essayistes « vus à la télé » s’y disputeraient la première place.

De ses premières enquêtes au Brésil, dans les années 1930, au Musée du quai Branly, dont il est la figure tutélaire, l’auteur de Tristes Tropiques, a marqué d’une empreinte profonde l’histoire intellectuelle du XXe siècle. Peu de savants se sont aventurés aussi loin que lui dans l’exploration des mécanismes cachés de la culture. C’est tout le mérite de la biographie que lui consacre Emmanuelle Loyer sous le titre Lévi-Strauss (877 pages, 32 euros, Flammarion) de le montrer, de l’analyser et parfois de le révéler sous toutes ses facettes.

Son oeuvre est l’un des grands monuments de la pensée du XXe siècle, et la durée de sa vie (il est mort centenaire en 2009) lui a permis d’en modifier les hypothèses et les formulations après la fin proclamée du structuralisme. Aujourd’hui encore, elle est une des plus discutées en anthropologie sociale, la discipline qu’il a refondée en France au lendemain de la seconde guerre mondiale. Par des voies diverses et convergentes, il s’est efforcé de comprendre la grande machine symbolique qui rassemble tous les plans de la vie humaine, de la famille aux croyances religieuses, des œuvres d’art aux manières de table. Il déchiffra le solfège de l’esprit, ou réussit à s’en approcher, et de fort près, à force de rigueur et d’invention conceptuelle.

Après une jeunesse un peu dilettante tant sa curiosité le poussait dans toutes les directions à commencer par la philosophie, le freudisme et le socialisme militant, il part enseigner à l’université de Sao Paulo… :

« …une ville absolument fantastique. Une sorte d’Espagne ou de Portugal du XVIIème ou XVIIIème siècle qui cohabitait avec un Chicago des années 1890, une ville qui poussait dans tous les sens et où on ne savait plus très bien si c’était un grand spectacle urbain ou un phénomène naturel »CLS1

Le jeune ethnologue commença ses enquêtes, sur le «terrain», dans le Brésil central, notamment chez les Bororos (« un morceau de roi  pour l’ethnologue en ce sens qu’ils ont une organisation sociale très compliquée qui se trouve entièrement inscrite dans le plan du village » ) et les Caduvéos (« des Indiens étaient ivres morts la moitié du temps mais qui conservaient un art d’un raffinement et d’une subtilité extraordinaires ») plus tard, chez les Nambikwaras (« société tellement appauvrie au point de de la culture matérielle et de l’organisation sociale réduite à si peu de choses qu’on y trouve l’essence même de la vie sociale réduite à sa plus simple expression . Ces personnages emplumés, ce sont en quelque sorte les dieux redescendus sur terre»). Il en rapporta une ample moisson de mythes, qui occuperont une place éminente dans ses Mythologiques, mais aussi une belle collection d’objets qu’il déposa au Musée de l’homme.

Ethnologue de raccroc, ou improvisé si l’on préfère, il était pris dans l’étau d’injonctions contradictoires : la perspective d’une carrière de professeur de philosophie et une profonde dilection qui le poussait vers le spectacle du monde éprouvé par les moyens les plus simples : le voyage, le camping, la marche à pied, la randonnée, la géologie sauvage. Pacifiste à la veille de la guerre, vite revenu de ses illusions et ramené aux réalités par le statut des Juifs de Vichy, il choisit l’exil d’autant qu’on lui propose un poste d’enseignant à New York.

En 1941, à bord du bateau qui le mène aux Etats-Unis, il commence un long dialogue avec André Breton sur l’art qui, malgré quelques malentendus, continuera jusqu’à la mort de l’écrivain. Le surréalisme passionnait l’ethnologue depuis sa jeunesse étudiante. La période américaine est richement exposée, Emmanuelle Loyer étant venue à Lévi-Strauss il y a dix ans après avoir consacré une recherche importante aux intellectuels et artistes français exilés pendant la guerre (Paris à New York, Grasset, 2005).

Dans les années 50, les cours de Lévi-Strauss au Musée de l’Homme étaient d’une grande fraîcheur : ils ouvraient des perspectives totalement nouvelles, dont les étudiants ne soupçonnaient même pas l’existence. Il leur fit découvrir qu’il y avait d’autres mondes et que ceux-ci n’agissaient pas comme nous. Mais derrière cette révélation entraînant une rupture radicale avec leur propre réalité, il les invitait à mettre en évidence des appareils cognitifs communs. Ainsi, ses auditeurs comme ses lecteurs prenaient-ils à la fois conscience de la différence et de l’universalité. C’est son grand legs, un héritage qui n’a pas de prix même s’il n’était précédé d’aucun testament : nous sommes tous très différents, mais nous pouvons nous comprendre car nos structures mentales fonctionnent de la même manière.

cls2Sa biographe Emmanuelle Loyer, qui s’appuie sur un intime et ancien commerce avec l’œuvre, et la fréquentation de ses archives personnelles, parvient à restituer jusqu’à sa voix. Tant la sonorité de l’écrivain, (car l’auteur de Tristes tropiques, livre si peu scientifique écrit « dans l’exaspération et dans l’horreur » et qui montre ce qu’il y a devant et ce qu’il y a derrière l’appareil photo, peut être tenu avant tout comme un écrivain) que sa propre voix. L’anthropologue Françoise Héritier, qui fut l’une de ses élèves, dit avoir été frappée par sa voix, laquelle le contenait tout entier. Une voix grave, légèrement tremblée, relativement neutre, presque silencieuse, et qui supportait peu les éclats, les écarts à la norme. C’était un homme d’écriture, un homme de parole publique aussi, mais pas vraiment un intellectuel en privé, très sensible à l’esthétique pour avoir été nourri au lait de la peinture des ateliers, ceux de son père et de son oncle, tous deux peintres. Il n’appréciait guère les conversations savantes en tête à tête. Ce qu’il aimait, c’était les séminaires où il demandait aux intervenants d’expliquer publiquement leurs travaux. C’est là que se manifestait sa grandeur de pédagogue : c’était un formidable maître du jeu, qui savait faire surgir et accoucher des questions que l’étudiant, le doctorat, le chercheur ne parvenaient pas à formuler seuls.

Sur le fond, c’était un esprit subtil, très logique, dont les cours étaient bâtis sur un continuum de pensée où il n’y avait jamais de trous. Il retombait toujours sur ses pieds. Un passeur exceptionnel animé du désir de mettre à nu les ossatures. Et contrairement à une idée reçue, Emmanuelle Loyer y insiste à raison, il s’intéressait moins aux invariants des sociétés qu’il étudiait qu’à leurs différences. L’homme privé derrière le savant partout célébré était un homme d’amitié, de confiance, qui a toujours protégé celles et ceux qui ont travaillé avec lui. Mais il n’a jamais accepté la moindre familiarité. Lévi-Strauss avait ceci de stimulant pour la pensée qu’il engageait ses lecteurs et ses auditeurs à faire un pas de côté en toutes choses, et à adopter le regard éloigné en toutes circonstances. Même dans sa carrière d’enseignant, il est parvenu au fond à n’appartenir jamais à l’Université mais uniquement aux «  grands établissements » (EHESS/laboratoire d’anthropologie sociale/ CNRS, Collège de France), où il n’y pas un programme :

« Au contraire la règle, il n’y en a qu’une mais elle est impérieuse, c’est que chaque année vous devez faire quelque chose de nouveau. C’était pour moi le moyen de concilier l’enseignement et le côté instable de ma nature : chaque année il fallait changer ».cls3

La passion de la musique est probablement l’une des clés les plus significatives pour qui veut déchiffrer Claude Lévi-Strauss. La musique, il a baigné dedans depuis toujours, tout comme la peinture. Son arrière-grand-père maternel, chef d’orchestre des bals de la cour, de Louis-Philippe d’abord, de Napoléon III ensuite, collabora avec Offenbach pour les quadrilles de la Vie parisienne et celui d’Orphée aux enfers. Lévi-Strauss fut élevé dans le culte wagnérien jusqu’à sa découverte de Stravinski à 14 ans. Puis il y eut Debussy et Ravel. Le Concerto en sol majeur demeurera sa madeleine. Rares sont ses livres qui ne doivent rien à la musique. Tristes Tropiques, « défoulement scripturaire » selon la biographe, imaginé au départ comme un roman, a été conçu comme un opéra. Le final des Mythologiques propose une analyse du Boléro qui tend à démontrer un parallélisme de construction entre la mythologie et les compositions musicales. Il est persuadé que la forme même de la construction mythique est reprise en compte par la musique.

La rencontre avec Roman Jakobson lui a révélé ce qu’était la linguistique structurale, une discipline qui, seule parmi les sciences humaines, était parvenue à un degré de rigueur comparable à celui des sciences plus avancées. Il a été frappé par fécondité et l’efficacité de modèles explicatifs qui consistent à voir dans l’ensemble, dans le tout, un principe d’explication qu’aucune des parties de ce tout ne parviendrait à fournir par elle-même. La leçon que l’ethnologue tire de son métier, il l’avait lui-même exposée avec cette manière si particulière de s’exprimer, dans une construction parfaite, une sorte de dentelle qui se défait dès lors qu’on en retire un mot ou un point, l’oral étant à l’unisson de l’écrit.

Lévi-Strauss engageait les hommes à vivre et à se conduire non comme c’est le cas depuis l’Ancien testament et la Renaissance, à savoir comme les seigneurs et les maîtres de la création, mais « comme une partie de cette création que nous devons respecter puisque ce que nous détruisons ne sera jamais remplacé » et que nous devons le transmettre tel que nous l’avons reçu à nos descendants.  Pour autant, s’il avait assisté au déclinisme qui gagne tant d’esprits aujourd’hui en France, rien ne dit qu’il se serait joint au chœur. Son regard décalé lui autorisait une remarquable et précieuse puissance de recul :

 « Je ne pense pas qu’il faille dater de 68 ou d’une autre année la décadence de l’enseignement secondaire. Je l’ai moi-même vécue comme élève et ensuite comme professeur. Quand je lis des textes du XIXème siècle, je suis absolument stupéfait de voir quel degré de maturité en classe de première ou en classe de philosophie avaient atteint des hommes comme Proust, comme Jaurès, comme Bergson, comme Durkheim, tous à peu près contemporains. Ils étaient beaucoup plus mûrs, beaucoup plus adultes dans leurs dernières années de lycée que moi-même et mes camarades à la même période. Si je les compare aux meilleurs de ces classes, ils étaient très au-dessus. J’ai l’impression que nous avons affaire à un processus, mais qui s’est étendu à travers les siècles, d’infantilisation progressive de la jeunesse.  Nous devenons adultes de plus en plus tard. »

CLAUDE-LEVI-STRAUSS-1963-1-HM0044Le grand coupable à ses yeux, c’est la philosophie humaniste sur laquelle nous nous sommes presque entièrement exclusivement fondés. Car elle divise l’humanité entre le monde des hommes, seigneurs et maîtres de la création, et l’autre monde où elle rejette les espèces animales et végétales :

 « Il n’y a qu’un moyen d’échapper à ce cercle infernal, de se prémunir contre ces dangers, c’est de considérer que  l’homme est d’abord un être vivant et souffrant avant d’être un être pensant ».  

Pessimiste, Claude Lévi-Strauss ? On l’a beaucoup dit. Il s’en défendait, mollement, en avançant que c’était là le seul moyen de parvenir à un optimisme raisonnable et… à un humanisme enfin tolérant. Disons qu’il s’inquiétait pour notre avenir et que son intranquillité fut si perspicace qu’elle demeure des plus fécondes. Son quichottisme revendiqué, c’était le désir obsédant de « retrouver le passé derrière le présent ». Après les livres de Denis Bertholet, Didier Eribon, Vincent Dehaene, et les témoignages de Françoise Héritier et de Catherine Clément, c’est l’une des nombreuses vertus de la biographie d’Emmanuelle Loyer de nous faire pénétrer dans la complexité de cette pensée sans jamais la simplifier ; sans trop insister sur la théorie et le commentaire de l’œuvre, tant d’autres s’en étant déjà chargés à travers le monde, elle propose en sus de l’exploration parfois inédite de l’individu (son arrière-monde, ses influences, son influence) une étude de sa discipline. Tout cela dans une biographie qu’elle dit avoir conçue selon un mode japonais en référence à la philosophie centripète du sujet que Lévi-Strauss avait voulu déceler au Japon :

« Tout se passe comme si le Japonais construisait son moi en partant du dehors. Le « moi » japonais apparaît ainsi non comme une donnée primitive, mais comme un résultat vers lequel on tend sans certitude l’atteindre. »

(Photos Anita Albus, D.R. et Henri Cartier-Bresson, 1963)

Cette entrée a été publiée dans sciences humaines.

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commentaires

1 030 Réponses pour Claude Lévi-Strauss révélé dans une « biographie japonaise »

bérénice dit: à

la vie dans les bois dit: 20 octobre 2015 à 20 h 11 min
Trop tard, c’est fini, cette exposition parisienne.

Sinon voir ou revoir La femme tatouée . un film de Yoichi Takabayashi avec Masayo Utsunomiya et Yuhsuke Takita. (Japon …

puck dit: à

l’intérêt de la culture n’est que d’essayer de combler l’écart entre l’état juvénile et l’état adulte.

état juvénile = a
état adulte = b
pour passer de « a » à « b », l’homme a pondu quoi ? la culture : les religions, les philosophies, les coutumes, les institutions… tout cet accoutrement dont l’homme imagine qu’ils sint l’habit qui, quand il revêtira, lui donnera l’aspect d’un adulte, mature et lucide.

mais tout le monde sait que c’est du flan, ce n’est parce qu’on habille un éléphant comme une ballerine qu’il va nous danser la mort du cygne !

c’est totalement ridicule.
cet accoutrement, cet air sérieux que prennent les gens pour parler de choses qu’ils estiment sérieuse, comme la vie des indiens d’Amazonie, c’est totalement ridicule.

non seulement ça ne sert à rien mais en plus c’est tout à fait ridicule.

le ton docte et sérieux que prennent les professeurs, tous ces doctes savants, pourquoi ‘en rient-ils pas ? pourquoi ne pas avouer que ce sont là rien de plus que des jeux d’enfants ?

pourquoi ?

Phil dit: à

François-Ferdinand avait un tatouage sur l’épaule. Lévi-Strauss, dont les aïeux sont extirpés des empires nord-danubiens, aurait donné une brillante analyse de cet habitus d’indigénat adopté par le Habsbourg morganatique et déclencheur de la grande guerre.

la vie dans les bois dit: à

Phil, vos suppositions oiseuses sont hors de propos; heureusement que vous ne me l’avez pas tatoué, en pensée, sur l’épaule !

En revanche, je vous engage à lire ce message, très intéressant- pour les parisiens de l’akadémie !- sur les tatouages, passé par pertes et profits, dès lors qu’il réapparaitra. Si jamais.

puck dit: à

le problème que pendant que Descartes écrivait son Discours sur la méthode, Cervantès écrivait Quichotte.

et qui écrirait un Quichotte aujourd’hui pendant que nos philosophes nous bourrent le mou avec leurs savants discours ?

personne : pendant que les philosophes nous bourrent le mou avec leurs doctes discours, les écrivains nous le bourrent avec leurs doctes livres.
la boucle est bouclée.

la vie dans les bois dit: à

Je crois me souvenir que ce tatouage sur l’épaule, était une rose. N’est-ce pas, Phil ?

de nota dit: à

Maurice Desborels n’est pas mort et c’est un sacré coquin! comme tous les enfants…

Phil dit: à

Je ne sais pas, viedanslesbois. Jamais eu l’honneur de me pencher sur l’épaule du souverain.

la vie dans les bois dit: à

Phil, je vous cause dans le post, de tatouage d’une rose sur l’épaule d’une femme.

Phil dit: à

Sorrry viedesbois. Suis trompé de tatoué. D’ailleurs dans nos sociétés du nord, les non-tatoués sont devenus la minorité. Est-ce toujours un signe de supériorité ? Avant de casser sa pipe, Raspail devrait écrire un livre sur cette histoire.

la vie dans les bois dit: à

Never mind, Phil. De mon côté ai fait erreur de flétrissure.

Attila dit: à

Oui, arriver à la gare, à Venise, c’est bien, D., mais débarquer en avion, puis prendre le bateau privé qui vous conduira à toute allure au palace donnant sur le grand canal où vous attend votre suite, c’est pas mal non plus…
Tendre ensuite votre passeport français au concierge et voir le regard déférent de celui-ci, après lecture de votre nom, dont l’ancien palais homonyme se trouve juste à l’angle voisin, c’est amusant aussi…

Phil dit: à

Bravo Baroz. Et tombez pas de la gondole quand vous croiserez Tadzio !

Sergio dit: à

Phil dit: 20 octobre 2015 à 20 h 46 min
déclencheur de la grande guerre.

C’est vrai, ça, il aurait pu rouler en zig-zag rien ne serait arrivé… Passeque l’attentat, il était à peu près aussi bien monté que celui du petit Clamart !

Pétons toujours plus haut dit: à

Attila dit: 20 octobre 2015 à 21 h 54 min

Oui baroz est une concierge,
mais une concierge qui se rêve princesse.

jem dit: à

Dans « La Mort à Venise », le personnage d’Aschenbach arrive à Venise par le bateau. Thomas Mann évalue longuement les mérites de cette arrivée.

Ueda dit: à

Sergio dit: 20 octobre 2015 à 22 h 36 min
C’est vrai, ça, il aurait pu rouler en zigzag

Barozzi révélé dans une estampe japonaise!

Ueda dit: à

(Jacques, je trouve votre minute de snobisme irrésistible.
À votre place, j’en ferais autant.

J’essaierais de broder autour, de faire durer l’histoire le plus longtemps possible, avec la complicité active d’un Chedli en chèche.
« Monsieur est mon esclave ».
– Mais certainement, principe, La prego »)

tonton dit: à

« Barozzi révélé dans une estampe japonaise! »

A propos, si vous ne savez pas quoi faire ce we foncez au Grand Palais, les estampes ne sont pas érotiques mais valent le voyage.

la tata de tonton dit: à

Mais qu’il est c..

Petit Palais

Lazarillo dit: à

Alba, vous auriez pu n’être qu’un crétin érudit, un crétin savant, mais en déversant un tombereau d’ordures su MàC et sur son ex-épouse que vous avez qualifiée de nazie parce qu’Allemande vous êtes un salaud.

Angela M. dit: à

Kelle pandit Korse, cé Lazarillo ! Doutes les Zallemandes né sont bas Nazies, ach ! ach ! Ponnes organisations zeulement. Deutsche qualität ! Komme shoah, organization inimidable, blus forte que Koulag ! !

Observatoire des Crétins dit: à

Rappelons l’essentiel.

Qu’un crétin soit érudit ou savant ne diminue en rien la qualité de crétin, spécificité tout de même la plus importante.

Les cas, innombrables, d’érudits crétins ou de savants crétins ne nous intéressent pas, faute de temps.

en passant..... dit: à

quel dommage de sucrer les commentaires de Madame Verniglia qui apporte sa fraîcheur et son bon sens sur ce blog, quel dommage

likotura dit: à

quand un gamin de six ans crée un réacteur nucléaire dans son garage, les discours sur la maturité de intellectuels sont à côté de la plaque (d’égout :pastichée par les artistes contemporains)

en passant..... dit: à

les commentaires de Madame Verniglia ne sont pas plus hors sujet que les dégoulinades et autres bavocheries du sieur bougros, c’est pourtant clair

Rétablissons la hiérarchie des valeurs dit: à

en passant….. dit: 21 octobre 2015 à 9 h 44 min

Nuance : les commentaires de bouguereau ne sont pas toujours hors sujet et ils sont généralement drôles, donc dignes d’être lus, alors que ceux de Madame Verniglia sont d’une débilité crasse.

Observatoire des Crétins dit: à

En période pré-électorale, le cas des crétins qui ne sont ni érudit, ni savant, nous intéresse au plus haut point, et doublement.

Cas des crétins qui n’étant pas en capacité de travailler font de la politique pour être élu et en vivre.

Cas des crétins de contribuables qui, le sachant pertinemment, continuent d’aller voter pour des crétins bien connus.

closeur dit: à

Géniale Elisabeth Lévy!

« Les Blancs, ça n’existe pas, mais il y en a trop partout – à l’Assemblée, dans l’entreprise et, bien entendu, à la télé. Cet heureux oxymore qui constitue le cœur du credo antiraciste vient d’être illustré spectaculairement par le CSA. Quelques jours après que toute la France convenable s’était étranglée de rage parce que Nadine Morano avait parlé de « race blanche », le « gendarme de l’audiovisuel » – qui ne traque rien d’autre que de supposés dérapages langagiers – tance la télévision française, coupable de ne montrer que 14 % de « personnes perçues comme non blanches » – non, je n’invente rien, c’est la terminologie employée par nos supposés sages. Et en prime de ne pas montrer sous un assez bon jour les perçus-comme-non-blancs, plutôt délinquants que médecins, plus souvent seconds rôles que héros.

La madame Diversité du CSA, Mémona Hintermann, a donc fait la tournée des popotes médiatiques pour déplorer que les télés aient « peur de montrer des Noirs et des Arabes » – elle doit être très colère, Mémona, pour oublier de faire usage des périphrases stupides dictées par les bonnes manières progressistes. Quant à madame Ernotte, la nouvelle patronne de France Télévisions, elle annonçait le Grand soir multiculturel il y a un mois : « On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans, et ça, il va falloir que cela change. » Mais pour l’instant, il semble qu’elle ait exclusivement recruté des mâles blancs. Il est vrai qu’ils sont jeunes et de gauche, ce qui efface un peu la pâleur de leur teint. »

etc, etc…à lire d’urgence dans Causeur…

Clause toujours dit: à

closeur dit: 21 octobre 2015 à 9 h 51 min
etc, etc…à lire d’urgence dans Causeur…

Nous nous en passerons facilement et vous laissons à votre adoration béate d’une ancienne voix de droite qui s’engage, comme vous, vers une extrémité bien poujadiste.

Observatoire des Crétins dit: à

A l’appui de ce que signalent certaines personnes bien informées qui n’ont pas peur des maux et du parler franc, nos études statistiques démontrent qu’il y a des liens solides, des corrélations fortes, des relations étroites, entre crétinerie, bronzage, littérature, ethnie, et religion …..

en passant..... dit: à

9:50, les valeurs littéraires du sieur bougros :
« ta gueule raclure » !

Observatoire des Crétins dit: à

« Comment trouver facilement un crétin ? », voilà une question que nous posent souvent les non-spécialistes de notre science crétine.

Nous répondons qu’il suffit d’ouvrir les yeux, sans avoir à courir vers des mondes lointains.

Un exemple ? En haut à droite ! « Que reste-t-il de l’éducation humaniste à l’heure où l’on forme plutôt des producteurs-consommateurs ? »

closeur dit: à

Sur le même thème qu’ Elisabeth Lévy, le non moins génial Gilles William Goldnagel (encore un j..f me direz-vous…seraient-ils les plus courageux?):

« Je suis désormais un mâle blanc assumé. Et le pire, c’est que je la ramène. J’ai saisi la semaine dernière le CSA d’une réclamation contre Delphine Ernotte, notre nouvelle présidente de France télévision qui veut (ma précédente chronique) moins de blancs à la télévision publique.

J’ai rappelé à la haute autorité les nobles propos de notre président de la république et de son premier ministre qui, au lendemain d’une certaine controverse, ont proclamé urbi et orbi que «la République n’avait ni race, ni couleur».

Remarquez que ce n’est pas gagné, puisque le lendemain de ma saisine, je découvrais que le CSA faisait faire une enquête pour connaître le pourcentage de blancs sur les écrans couleur.

Décidément, je suis incorrigible: je n’arrive pas à me résoudre que l’on fasse exister le blanc rien que pour le dissoudre… »

Observatoire des Crétins dit: à

Nous venons de licencier notre Directeur général, trop éloigné de notre réel, trop intelligent …..

lecteur poli dit: à

closer payé pour faire son agit’prop’ extrême droitiste

Observatoire des Crétins dit: à

Les nominations dans les cercles d’autorités, dans les ministères, dans les corps constitués, au plus haut sommet de l’Etat sont du type « montgolfière », c’est à dire gonflées à l’hélium crétin raffiné.

Plus tu es nul, plus tu es crétin, plus tu grimperas haut aidé par tes pairs, des clones.

D. dit: à

Ce que vous affirmez est très exagéré.
Et s’il y a quelque chose que je déteste, c’est l’exagération.

D. dit: à

Ce qui est inadmissible, c’est de se référer à un paramètre de couleur dans un sens comme dans un autre.
Donc les propos de Mme Ernotte sont tout autant inacceptables que ceux de Mme Morano.

gontrand dit: à

« Montaigne a tort, à mes yeux, de donner raison aux Indiens du Brésil anthropophages, sous le prétexte invoqué et fallacieux que nous aurions commis pires crimes pendant les guerres de religion. Or, ce qui peut-être qualifié ici, à juste titre, de crimes, est, chez les Indiens, la norme. C’est tout de même une immense différence. »

Avec du retard (j’étais absent deux jours), je ne peux qu’approuver WG. Nous crevons du relativisme culturel qui aboutit à « comprendre » ce qu’il faudrait condamner. Il faut toujours revenir à Kant. Ne rien accepter qui ne soit universalisable. On ne peut pas sortir de là.

Observatoire des Crétins dit: à

Ceux qui n’aiment pas l’exagération resteront les tacherons de l’impossible, les esclaves du capitalisme, les suppôts d’un ultra libéralisme criminel et anxiogène !

Soyez parfaitement crétins ! Exagérez sans cesse ! Promettez aux sots une lune pour chacun…..

Polémikoeur. dit: à

Comment ne pas relever – pas révéler ! –
qu’au moment où le torrent de boue
du commentarium emporte Claude Lévi-Strauss,
la République du cinéma s’occupe d’un « Seul sur Mars » ?
Naufragilement.

Observatoire des Crétins dit: à

Le relativisme culturel des non-crétins est une hérésie !

Comprendre n’est pas nécessaire au vivant !

Il suffit de savoir ce que nous sommes, ce que nous voulons être, et de condamner les autres pratiques non-crétines.

Observatoire des Crétins dit: à

Bienvenue à Poloniqueur, il est des nôtres…..

Widergänger dit: à

C’est marrant, Lazarillo tire avec un long temps de recul. Pour prendre le temps de viser sans doute. Et manquer sa cible. Pas de chance, le pauvre petit chéri. Il ne saura jamais tirer.

r02 dit: à

Observatoire des Crétins dit: 21 octobre 2015 à 11 h 21 min
Comprendre n’est pas nécessaire au vivant !
Il suffit de savoir ce que nous sommes

Pour savoir ce que nous sommes, il faut comprendre ce que nous sommes. Et pour ça le crétin a du boulot.

r02 dit: à

Si Widergänger et Lazarillo arrêtaient de pomper avec leurs règlements de compte dont tout le monde se fout, ça nous ferait des vacances.

il faut arriver à 2000 commentaires dit: à

Closeur contrand 11 h 14 min encore un nase qui se prend pour un penseur

Widergänger dit: à

C’est tout de même pas de ma faute si Lazarillo est l’illustration même de ces crétins qui passent leur temps à calomnier autrui (il n’a sans doute que ça à faire pour faire taire son ennui, ce pauvre idiot), dont parle l’observatoire des crétins.

il faut arriver à 2000 commentaires dit: à

r02 dit: 21 octobre 2015 à 11 h 32 min
« Si Widergänger et Lazarillo arrêtaient de pomper avec leurs règlements de compte  »

Quand WG dit des énormités c’est normal (sauf pour les beaufs) que ça ne passe pas –

roland dit: à

les européocentristes c’est pas ça qui manque

Observatoire des Crétins dit: à

Pauvre r02, son rationalisme, étroit, logique, besogneux, le perdra. Il ne sert à rien de comprendre en cherchant un universalisme absolu.

Il sera malheureux, car non-crétin ! Il divorcera. Finira, bourré, sous les ponts de la mère Hidalgo…

Widergänger dit: à

Faut précisément être un sinistre beauf pour laisser croire que je puisse dire des énormités. Heureusement, les autres, qui ne sont pas beaufs, savent lire et jugent Lazarillo à sa juste valeur. Un blog est AUSSI fondé sur la confiance envers le bon sens des lecteurs. Il serait abusif et erroné de croire que ce sont toujours les pires ordures qui remporteraient la conviction des lecteurs du blog.

Widergänger dit: à

Si j’ai bien lu, Seul sur Mars est une réécriture de Robinson Crusoé. Une nouvelle version en quelque sorte, adaptée à notre monde. Je vais aller le voir, ça a l’air passionnant.

bébert dit: à

« Pour savoir ce que nous sommes, il faut comprendre ce que nous sommes. »

Comme disait Le MonGénéral, les choses étant ce qu’elles sont, le monde étant ce qu’il est…

passons discrètement dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 11 h 50 min
« Faut précisément être un sinistre beauf pour laisser croire que je puisse dire des énormités.  »

quand on est supérieur comme vous prétendez l’être…

Observatoire des Crétins dit: à

L’un de nos meilleurs doctorants nous a posé une question concernant l’illustration du billet, question difficile, à laquelle aucun d’entre nous n’a pu répondre :

« Claude Lévi-Strauss ? c’est le type ou l’oiseau noir ? »

Widergänger dit: à

Ah oui, tiens, à propos de l’expression « mon seigneur », qui avait débouché sur une âpre discussion à propos du possessif de « monsieur », j’ai la solution.

La possession n’est pas dans le sens que la personne qui commentait le prétendait.

L’expression « mon seigneur » ne signifie pas que le locuteur possède ledit « seigneur » mais simplement qu’il est à son service : « mon seigneur », ou « messire » signifie en réalité : « Je suis votre homme », « je suis à votre service ». De même quand on s’adresse à quelqu’un en disant : « monsieur ». De même dans la hiérarchie militaire : mon lieutenant, mon capitaine, mon général, etc.

J’ai vu ça en lisant un bouquin sur Yvain l’autre jour.

Widergänger dit: à

Je n’ai jamais prétendu à la supériorité, sauf par plaisanterie ou ironie. Mais souvent, les autres ne rient pas apparemment ; ils ne comprennent pas mon humour. C’est peut-être en cela que je suis supérieur justement…

bouguereau dit: à

quand que les enfants lui jettent des cailloux c’est l’intifada à mon dracul

Diagonal dit: à

@20.26 sur l’immaturité de l’ethnologie en tant que science humaine…
Pour ma part, j’ai toujours préféré les anthropologues/ethnologues britanniques capables de devenir des romanciers irrésistiblement drôles, genre Nigel Barley
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nigel_Barley qui mériterait vraiment d’être redécouvert par la RDL. Mais même chez les plus savants d’entre eux, genre l’américain Clifford Geertz, il y avait souvent cette légèreté de l’écriture, y compris sur les objets les plus épineux (je mets à part l’insupportable Evans Pritchard qui ne savait pas écrire). Chez Claude LS, en revanche, c’était solide comme du béton, mais hélas plein de pesanteur et souvent sans grâce… Voilà pourquoi on lit encore Tristes Tropiques qui se démarque de tout le reste, y compris du Regard éloigné. Il est curieux que ce bouquin de 1955 ait suscité un malentendu majeur, -toute sa vie durant- sur la production scientifique de Lévi-Strauss, de laquelle les masses populaires se sont hélas trop vite détournées. La faute à Jean Malaurie, alors ?

bouguereau dit: à

juste..le roman noir a utilisé avant lui cette dérive dans un autre monde.. »les marges »..le privé hésite souvent comme lui

Widergänger dit: à

Le premier ethno-sociologue de la modernité, c’est à mon avis Proust. Comme CLS, Proust cherche derrière l’apparence de la vie sociale des lois invisibles. Même démarche de CLS. C’est bien pourquoi d’ailleurs, Proust disait que son bouquin était « dogmatique ». Et avant Proust, le duc de Saint-Simon, le plus grand écrivain français, que personne ne lit. Mais Saint-Simon, c’est énorme, époustouflant.

bouguereau dit: à

Seul sur Mars est une réécriture de Robinson Crusoé

l’espace c’est aux ricains comme la djélly est aux anglais dracul..ventredi y’est pas à la fête..et dans les étoiles on tûte dla crème de macab en tube..faut rien perde

Observatoire des Crétins dit: à

Nous sommes à peu près tous d’accord avec monsieur Diagonal qui parfois ne pense pas de travers pour confirmer que Nigel Barley, conservateur au British Museum, nous parait bien supérieur, humoristiquement parlant, à ce que vous appelez CLS !

Son livre « L’anthropologie n’est pas un sport dangereux » P.B.Payot/1988/8,99 euros en témoigne largement.

Il est titulaire chez nous de la chaire « Tristes Tropiques ? Foutaises ! Rions ensemble, crétins ! » …..

bouguereau dit: à

Le premier ethno-sociologue de la modernité, c’est à mon avis Proust

risquer de sfaire enculer c’est smette en danger pour dracul..comme le douanier rousseau..mais en moins bien

Widergänger dit: à

L’ethnologue Yvonne Verdier s’est appliquée à décrire dans l’œuvre de Thomas Hardy les structures de la vie paysanne de l’Angleterre de la fin du XIXè siècle : Coutume et destin, Thomas Hardy et autres essais, Gall., 1995. Étude particulièrement intéressante à propos du grand roman de Th. Hardy, Tess d’Umberville.

Widergänger dit: à

La Rdl mériterait une étude ethno-sociologique. Pour le coup, ce serait une ethno-sociologie hilarante.

bouguereau dit: à

C’est peut-être en cela que je suis supérieur justement…

c’est bien ton droit..c’est pas bien grâve haprés tout dracul..ça tfait des trucs commes les gonzesses en collier dchien qui rluque un fouet qu’on leur met soulnez et qui « s’imagine » comme dit dédé..mais voilà faut savoir pas aller trop loin dracul..faut savoir poser son paintball et ses bigoudis..sinon hoù on va là!

gontrand dit: à

« Puis, l’université de Lahore et le département des Beaux-Arts : « Sculpture prohibée, musique clandestine, peinture enseignée comme un art d’agrément… une exaspération de l’austérité et du puritanisme.(…) L’art « a pris le maquis ». Il ne s’agit pas seulement de rester fidèle à l’is.lam, mais plus encore de répudier l’Inde (…). en piétinant l’art on abjure l’Inde. »

Merci Christiane de citer ce passage de CLS qui renvoie à son néant ce pauvre Bloom qui prétendait que l’essence de l’Inde se trouvait sauvegardée au Pakistan!

bouguereau dit: à

..t’as l’droit de te transformer en torrent d’boue pour emporter micouille..vu ton ascendance t’as des pouvoirs..et des grands

bouguereau dit: à

Sculpture prohibée, musique clandestine, peinture enseignée comme un art d’agrément…

ça tourne beaucoup hautour de ça 501..il cause comme un papisss..un vrai papiss..c’est assez marrant

bouguereau dit: à

l’essence de l’Inde

en même temps l’inde c’est comme le bordeau..c’est un continent..y’a de tout..et pour tous les gouts..

closer dit: à

« Le lion ailé de Venise, tatoué sur mon bras, figure dans les armoiries de la famille dont je porte le nom, »

Barozzi, portez vous seulement le même nom que cette famille où en faites-vous partie par le sang? C’est très important pour votre prestige!
(au fait avez-vous vu Casanova hier soir par l’ami Stephane Bern? A ma grande surprise, il n’a pas évoqué de famille Barozzi à Venise)

Widergänger dit: à

Mais il semble que le personnage de Vendredi soit devenu une case vide dans la structure de Robinson. À moins qu’il n’ait été intériorisé comme si Wathney l’avait mangé…

Observatoire des Crétins dit: à

Les Barozzi à Venise étaient tout entier dévoués à l’entretien des tinettes de la Cité prodigieuse. Ne jamais oublier d’où l’on vient, ça aide pour savoir où on va…..

D. dit: à

Je me permets de répondre à sa place :
Il en fait vraiment partie et il a raison d’en être fier.

Widergänger dit: à

Ce que dit Jean-Louis Charlet à propos des réformes actuelles de l’enseignement est très juste. L’Ecole est en train de sombrer.

christiane dit: à

@gontrand dit: 21 octobre 2015 à 12 h 31 min
Dans ce chapitre, CLS, cherche à comprendre – du moins c’est ce que j’ai ressenti – comment des civilisations si différentes peuvent se nuire. Certaine néantisant l’autre…
l’évolution de l’art, le rapport de l’homme à l’art est un bon marqueur.
Il m’arrive, aujourd’hui, traversant les musées, les expos, les galeries d’art, les villes de sentir quelque chose de la culture qui peu à peu disparait, devient incompréhensible. Une perte aussi épouvantable que la destruction de Palmyre. Pourquoi la beauté suscite-t-elle tant de haine ? Pourquoi certains hommes sont-ils avides de détruire cette beauté ? Où allons-nous ?

D. dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 12 h 03 min
Je n’ai jamais prétendu à la supériorité, sauf par plaisanterie ou ironie. Mais souvent, les autres ne rient pas apparemment ; ils ne comprennent pas mon humour. C’est peut-être en cela que je suis supérieur justement…
~
Je souffre de ça, moi aussi.

Widergänger dit: à

Nous, les professeurs de lettres, nous vivons des Palmyre tous les jours, quand on voit que nos élèves sont de moins en moins capables de déchiffrer les grands textes de la littérature française.

L’Ecole est en train de sombrer dans l’indifférence générale. C’est ça le pire. Aucune mobilisation de masse pour défendre l’école humaniste dans la République. On est en train de construire notre enfer de demain avec les réformes actuelles de l’enseignement. On va produire des barbares qui seront les premiers étonnés si on le leur dit.

pat dit: à

12h32 ‘ce pauvre Bloom qui prétendait que l’essence de l’Inde se trouvait sauvegardée au Pakistan!’

et alors que connais-tu toi du Pakistan! faut être c.on un vrai bof comme gontrand fhaneux pour faire ce genre de procès d’intention à Bloom. Pov gontrand et ses amalgames toujours aussi du c on !

Widergänger dit: à

Le Conseil Supérieur de l’Education nationale s’est prononcé contre la Réforme Belkassem. L’Académie française aussi. Mais ça réforme quand même. On va avoir je ne sais combien de journées de formation cette année. On va perdre son temps à écouter une langue de bois infernale qui laisse tout le monde indifférent quand on ne s’en moque pas carrément tellement c’est bête, débile, inconsistant et vide. On va nous bourrer le crâne une fois de plus avec des monstruosités pédagogiques de m…!

pat dit: à

christiane dit: 21 octobre 2015 à 12 h 53 min

les faschiss ne pensent qu’à détruire,zigouiller
Ah, s’ils pouvaient s’entretuer..Faudrait faire un film là-dessus

Ueda dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 12 h 58 min
Nous, les professeurs de lettres, nous vivons des Palmyre tous les jours

Sans Zénobie malgré tout
Seigneur, le joli brin d’fille que c’était.

cqfd dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 13 h 04 min

Apportez des petits gâteaux et apéros ça passera le temps

Ueda dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 13 h 04 min
Le Conseil Supérieur de l’Education nationale s’est prononcé contre la Réforme Belkassem. L’Académie française aussi.

Passe encore.
Mais moi aussi, je suis contre.

envoyé du trés haut dit: à

« Seigneur, le joli brin d’fille que c’était. »

Le Seigneur dirait que ce n’est pas très galant pour daaphnée de dire ça

Bloom dit: à

C’est Tess d’Urberville, ML (Tess of the d’Urbervilles en anglais), immense roman haut-victorien dont l’envers masculin est Jude l’Obscur, le dernier Hardy, où Jude est un Tess fait homme, soumis à maintes humiliations sociales & autres…
Je vais jeter un coup d’oeil au bouquin que vous avez cité. J’avais eu un cours remarquable sur Tess, structuraliste en diable mais/et absolument passionnant. Où revoilà CLS.

Mimi a bien enregistré dit: à

« On va avoir je ne sais combien de journées de formation cette année. On va perdre son temps à écouter une langue de bois infernale qui laisse tout le monde indifférent quand on ne s’en moque pas carrément tellement c’est bête, débile, inconsistant et vide. On va nous bourrer le crâne une fois de plus avec des monstruosités pédagogiques de m…! »

Réflexion très pertinente d’un élève de 1ère après bientôt deux mois de cours, rapportée par son répétiteur de français.

Ueda dit: à

Et merde, l’immeuble de rencontre où je me trouve a coupé l’eau pour la journée.

Et ils n’ont pas prévenu ou c’était pas dans une langue compréhensible.

M’en fous, je me rase au Vittel, raffiné comme le petit Marcel.

Mais où va le Monde dit: à

Paraîtrait même que certains veulent rendre l’école obligatoire.

J’ai lu que MÊME les filles seraient concernées.

Ueda dit: à

gontrand dit: 21 octobre 2015 à 12 h 31 min
ce pauvre Bloom qui prétendait que l’essence de l’Inde se trouvait sauvegardée au Pakistan!

Il a dit ça?

Il voulait probablement dire quelque chose de pas ordinaire.

(De dieu je me suis coupé, c’est l’irritation, on ne peut quand même pas lire toutes les langues)

D. dit: à

Reconnaissons un bon raseur en Ueda.

Ueda dit: à

christiane dit: 21 octobre 2015 à 12 h 53 min
Pourquoi la beauté suscite-t-elle tant de haine ? Pourquoi certains hommes sont-ils avides de détruire cette beauté ? Où allons-nous ?

Nous allons vers un califat mais attention un califat bien d’chez vous, un califat canaille, un califat coquin, un califat mutin.
Tout le meilleur se vivra intra muros comme en Iran (crénom les belles filles).

Le sacer, le non-permis sera effacé de l’espace public, mais il vivra plus que jamais, bien clos, bien circonscrit, grâce aux joies de la perversion domestique.
Le haram comme harem.
Ça nous fera les pieds d’apprendre l’étymologie.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…@,…closer,…à 12 h 40 min,!…

…lions ailés d’or,!…passant et contrepassant sur champ d’azur,!…

…de l’éthique de respecter, le dessin final,…payé,…à l’autorité compétente,!…
…sic,!…après 25 ans au moins,…je retrouve mon blason déposé,!…Oui,!…
…au lieu d’occuper tout le champ,…je retrouve mes armoiries,…en  » abîme « ,…c’est à dire en très petit, au centre de l’écu,!…
…pourtant, un blason, çà ne se lit pas à la loupe,!…dérision des administrations attachés aux stratifications d’état,!…

…pourquoi, ce détail,!…qu’en est il, si vos enfants orphelins vivent dans une option des profits à lèche-culs des souverains,!…
…les enfants après quelques générations, ne sont plus, de leurs ancêtres  » que corvéables à merci,!…

…qui êtes vous, de l’autorité d’état ou ecclésiastique,!…
…surtout, donc, une continuité de lèche-culs soumis,!…aux Louis XIV,…d’avant, ou après,!…des suborneurs d’autorités,!…

…je suis, je suis, ou je ne suis plus, de quoi,…mais déjà,…respecter un blason,…qui ferait de l’ombre,…en 25 ans, tout neuf,…dans le sens, que je ne recherche aucune filiation avec mes ancêtres du même nom,!…
…coupons court,!…Non,…vous devez vous comportez comme un serf,!…Ah,!Ah,!…
…serf, parmi les Dieux subjugués,!…subversifs,!…allons bon,!…
…respectez même un blason admis,!…Oh,!…que c’est lourd et déviant, l’honnêteté,!…
…surtout avec des cocus nobles, du bidet à Rebecca,!…fraudes des états à écraser, les bien-pensants nobles nouveaux ou de généalogies antiques,!…cousues sur mailles,!…

…conclusion, vous êtes qui vous êtes,!…avec ou sans châteaux ni milliardaires,…il tient à vous, de ne pas vous déployez, dans l’univers, avec des comportements de serfs ou servitudes,!…
…je ne suis, le serviteur de personne,!…
…que çà vous plaise ou non,!…Go,!…
…etc,!…vivre dans son droit,!…libre,!…Ah,!Ah,!…
…compétences avec ou sans hérédités,!…etc,!…envoyez,!…

Bloom dit: à

CLS se trompe sur le Pakistan & sur Lahore: ce qu’il appelle le département des Beaux-Arts de l’Université qui n’existait pas dans les années 50, où régnait en maitre le National College of Arts.
Il n’y a fait qu’un très court séjour, j’y ai travaillé 4 années, la dernière a débuté un certain 11 septembre 2011…Avec tout le respect dû au maitre, I beg to differ…Ce qu’il a écrit sur l’islam est majoritairement d’une grande sottise.
Je maintiens donc: on trouve au Pakistan un raffinement, une culture & un niveau intellectuel bien supérieurs à celui qui prédomine en Inde. Tout ceux qui fréquentent le sous-continent vous le diront. La situation change parce que les talents quittent le pays, certes, mais l’élite pakistanaise reste d’un très haut niveau.

Avec un ami historien prof à Delhi, nous n’avons pas complètement abandonné le projet de monter une expo des photos prises par CLS lors de son court séjour dans les Chittagong Hill Tracts (piedmont de l’Himlaya, aux confins du Bangladesh & du Myanmar, peuplé de diverses tribus) dont il rendit compte dans un article en anglais publié dans la revue « Man » en 51: « Miscellanous notes on the Kuki of the Chittagong Hill Tracts ».
« Il y a plus de choses dans le ciel & sur terre, Horatio, que n’en rêve ta philosophie »

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 21 octobre 2015 à 13 h 04 min
« On va avoir je ne sais combien de journées de formation cette année. On va perdre son temps à écouter une langue de bois infernale qui laisse tout le monde indifférent quand on ne s’en moque pas carrément tellement c’est bête, débile, inconsistant et vide. »

Albablabla, je ne me fais aucun souci pour toi : si « c’est bête, débile, inconsistant et vide », tu vas pouvoir en remontrer aux formateurs. D’autant qu’en matière de « racontage » tu en connais un rayon.

D. dit: à

Je disais ça pour faire un bon mot, U eda, en réalité je vous apprécie et je sais bien que c’est réciproque. Nous avons des sensibilités très proches, c’est évident.

D. dit: à

Je pense que je pourrais facilement être vous, et vice-versa, apparence exceptée bien entendu.

Ueda dit: à

Qui a parlé de l’éthnologie de soi?

J’ai trouvé fort juste la description suivante de M. Philippe de Villiers:

– Ce succès ne vous donne-t-il pas envie de remonter sur le ring politique?

Je n’en ai pas envie et cela me paraît, dans les circonstances actuelles, inutile. En effet, nous ne sommes plus dans un système démocratique, nous avons basculé dans un système oligarchique protégé par une médiacaste mondialiste: la potestas est partie à Bruxelles et à Washington et l’auctoritas chez Ruquier.
Impossible de survivre plus de cinq minutes quand on joue au rodéo de la vérité dans cette cabine de maquillage: on vous déstabilise, on vous déséquilibre, on vous peinturlure en paria, on vous rend grotesque, et vous terminez dans la sciure sous les sifflets playback. Seule la parole agréée est filtrée par le tamis idéologique de la pensée conforme.
Les hommes politiques ont encore aujourd’hui le culot d’expliquer aux Français ce qu’ils feront demain, alors qu’ils savent parfaitement qu’ils n’ont plus le pouvoir.
Aujourd’hui, pour faire de la politique, il faut avoir beaucoup d’argent pour acheter les sondages, car ils sont prescripteurs et structurent l’offre. Et il faut accepter de participer au simulacre, au risque d’y perdre son honneur. »

Ce Vendéen ne manque pas d’allure, et qu’il parle d’honneur me le rend soudain sympathique.

on se calme et on boit frais à Majorque dit: à

Qui a écrit : « le monde a besoin d’honneur ».

Une boîte de Chocapic pour celui qui trouve.

Et interdit de tricher !

radioscopie dit: à

Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Ueda a enfin trouvé son maitre à penser (un marquis, c’est plus présentable) et Wider… sa clique « d’intellectuels » rances et déclinistes habituels. Ce qui dispense ce dernier de réfléchir à une meilleure pratique de son métier, entendu que c’est foutu d’avance.

Ueda dit: à

Le fameux pas d’côté, il est facile à faire.
On se rend compte alors de la différence fondamentale des cultures politiques.

A Taïwan, chaque citoyen considère de son devoir civique de signaler aux autorités les personnes entrées sur le territoire au mépris de la loi.

Les illégaux venus de Chine sont hébergés dans des centres fermés, où ils ne jouissent que du nécessaire (nourriture de base, un téléphone 3 ou 4 fois par semaine, la télé).
Ils resteront là, jusqu’à ce que leur pays d’origine veuillent bien les réclamer.

Les émissions devenues quotidiennes sur l’entropie migratoire de l’Europe sont regardées avec une incompréhension absolue.
Lorsque cet effarement s’élève à la réflexion, il s’accompagne toujours d’un mépris parfaitement perceptible.

Comment leur en faire le reproche?
Notre auto-destruction volontaire est en effet extraordinaire.
Pour peu qu’on soit à l’abri, elle est même passionnante.

Ueda dit: à

radioscopie dit: 21 octobre 2015 à 14 h 28 min
Ueda a enfin trouvé son maitre à penser (un marquis, c’est plus présentable).

Votre vision du monde, qui est sans surprise, me rappelle la scène où Georges Marchais, à l’époque de l’euro-communisme, tonnait contre un gouvernement français comprenant « le Prince Poniatowski, le comte d’Ornano! »…
À côté de lui, les camarades italiens souriaient finement, avec parmi eux le marquis Berlinguer, secrétaire-général de PCI.

D. dit: à

J’ai toujours apprécié Philippe Devilliers et j’ai d’ailleurs déjà voté pour lui, je ne m’en cache pas. Il monte encore de plusieurs pasvl’escalier de la sagesse. Je l’ai entendu avec grand plaisir il y a quelque jours sur France Inter. Et je pense que par rapport à beaucoup d’autres, il a toujours dégagé une chaleur naturelle, c’est un personnage charismatique et non calculateur. Le fait qu’il doit catholique pratiquant n’y est sans doute pas etranger

Phil dit: à

Intéressant, bloom. les voix discordantes sur Lévi-Strauss ont peu été étouffées dans l’oeuf (de dinosaure). a-t-il mieux compris l’Inde que Pasolini ?..

panic attac dit: à

Ma parole, si D.et Ueda ne sont qu’une seule et même personne… que signifie ? Moi qui apprécie tant l’humour de D.
Je n’ose y croire.

Pupuce dit: à

que pensez-vous WWG de cette déclaration de Niet à mi-août : c’est le grand mufti de Jerusalem qui demandé à Hitler d’exterminer tous les Juifs ???

avec ou sans particule dit: à

adioscopie dit: 21 octobre 2015 à 14 h 28 min
Les débiles ne sont pas nécessairement aristos,du moins il est des exceptions -ueda n’est pas aristo et pourtant..

bouguereau dit: à

que signifie ?

ça voudrait dire qu’il fout pas la rame..un feignant galactique

Observatoire des Crétins dit: à

Non ! Tous ceux qui se déplacent en caravane ne sont pas des crétins. La plupart sont dans les affaires. Non ! Pas les affaires des autres ! ils gagnent honnêtement leurs vies. Méfions nous des généralisations abusives …..

bouguereau dit: à

A Taïwan, chaque citoyen considère de son devoir civique de signaler aux autorités les personnes entrées sur le territoire au mépris de la loi

oui mais c’est audlà dmon périnée dirait clopine

bouguereau dit: à

il a toujours dégagé une chaleur naturelle

ça fait un peu biomass de tadfumier dédé..traite dle d’métanier tant que tu y es

Clopine éberluée dit: à

Dites donc, la première photo, là, l’homme à l’oiseau (d’ailleurs, je n’identifie pas bien l’animal : un perroquet ? Un ménate ?). Eh bien, vous me croirez ou pas, mais CLS ressemble rudement à ma belle-mère, là-dessus.

Bon d’accord, je sors.

bouguereau dit: à

Qui a écrit : « le monde a besoin d’honneur »

ce sac a vin de sergio arrété par les forces de l’ordre cul nu sur sa motocyclette à plus de 100 sur la place stan

Sergio dit: à

likotura dit: 21 octobre 2015 à 9 h 38 min
quand un gamin de six ans crée un réacteur nucléaire dans son garage,

son père peut plus y installer le train électrique !

Le dicke Hermann il l’aurait mal pris…

Sergio dit: à

bouguereau dit: 21 octobre 2015 à 15 h 34 min
sur sa motocyclette à plus de 100 sur la place stan

C’est très modeste ; à cette allure on cale immédiatement. Ces pitres doivent trafiquer leurs cinémomètres par jalousie…

A moins évidemment que « cent » ne soit le nombre des flics stabulant éternellement sur la Place : alors, c’est encore plus modeste !

respect dit: à

‘ au mépris de la loi’

c’est méprisant

Sergio dit: à

bouguereau dit: 21 octobre 2015 à 15 h 42 min
et si sergio faisait clopine..

Non mais j’ai bossé un mois chez Vilmorin-Andrieux ! Et le Malraux était là on peut rien me dire…

Chaloux dit: à

Ueda, je suis comme vous, la gauche et la droite ont réussi à me rendre réac. Plus je deviens réac plus j’en redemande. Si j’avais su que c’était aussi bon, j’aurais commencé avant.
Celui qui a mes faveurs en ce moment, outre notre Chapon Mou élyséen, le de Funès de la Courneuve, c’est Cambadélis. A près de soixante-cinq ans, ce grand et gros garçon a enfin trouvé sa vocation : se ridiculiser de toutes les façons possibles. Sans façon. Les deux années qui viennent vont être un sacré numéro de cirque.

Clopine qui hausse les épaules dit: à

Sergio qui « fait » Clopine ? Je me gausse. On ne « fait » pas Clopine : on le devient.

(et c’est bien de moi)

D’accord, je sors derechef.

Clopine qui hausse les épaules dit: à

Chaloux, venez donc un peu chez les anars. Vous avez l’embarras du choix (« trois anars, c’est trois tendances différentes de l’anarchie »), m’enfin perso j’ai une grosse tendresse pour l’alternative libertaire.

Voir leur dernier numéro : ils ont une vision de Paris, comment dire ? Assez sombre…

D. dit: à

Heureux d’apprendre que vous êtes comme moi, Chaloux.

radioscopie dit: à

Ueda dit: 21 octobre 2015 à 14 h 33 min
« Votre vision du monde, qui est sans surprise » etc.

Possiblement. La vôtre ne l’est pas moins : elle suit en tous points la mode qui consiste à penser réac.

andré dit: à

« Et le Malraux était là on peut rien me dire… » (Sergio)

vous compreniez ce qu’il disait ?

ça craint dit: à

radioscopie dit: 21 octobre 2015 à 16 h 12 min

le pauvre ueda est au bord de la crise de nerfs depuis que daahpnée est partie loin il voit des imans partout

D. dit: à

Sinon il y a Bayrou, c’est curieux que tout le monde l’oublie. C’est un gars bien, son défaut c’est de continuer à croire à l’Europe alors qu’elle nous tue. Sinon il est bien au dessus d’un Hollande et d’un Sarkozy.

Pupuce dit: à

bientôt les chants de ralliement ici : « Les gars de la Marine » ou « Marion Maréchal nous voilà » !

de par le fait dit: à

‘continuer à croire à l’Europe ‘

les jeunes sont trop insolents, faudrait une bonne guerre pour leur apprend’ à vivre et la politesse comme dans l’temps tiens

Observatoire des Crétins dit: à

Nous accueillons bien volontiers chez nous, car ils jouissent de grandes dispositions d’esprit et d’une remarquable continuité dans l’erreur, tous les gens de gauche qui voient leurs idées de jours en jours inapplicables…..

Bienvenue les crétins nouveaux !

Chaloux dit: à

Clopine, je n’ai pas encore fait mon choix. Dans ma proche famille, quand j’avais douze ans, on me traitait déjà « d’anar de droite ». Les anars ont donc toutes leurs chances…

(Je suis en train de travailler la Ballade de Grieg, et je me prends un gros panard sans étiquette).

Ici, divine par Jorge Bollet.

https://www.youtube.com/watch?v=ILXOjgCU4sQ

Chaloux dit: à

D. dit: 21 octobre 2015 à 16 h 17 min
Sinon il y a Bayrou.

Bien d’accord.

Attila dit: à

Un ticket Bayrou-Devilliers, vous êtes totalement de droite, D., depuis le centre jusqu’aux extrêmes !
Vous préférez la Marine ou la Morano ?

Attila dit: à

Moi, finalement, je crois, que je vais peut être bien voter, pour la première fois, Hollande : il encaisse bien les coups et il applique mieux que Sarko une politique économique libérale, avec les réformes qui s’imposent et qui sont, hélas, autant d’entailles dans nos acquis sociaux, de plus en plus lointain héritage des Trente Glorieuse…

jicé et nadine dit: à

Observatoire des Crétins dit: 21 octobre 2015 à 16 h 34 min

pas de problème là où la droite et l’extrême droite sont aux manettes

en passant dit: à

Attila

FH fait une politique de centre droit- et
ce serait bien pire avec talonettes ou un autre de son camp (ils sont pareils pour casser les acquis sociaux) sur le fond) et encore plus à droite

Bloom dit: à

a-t-il mieux compris l’Inde que Pasolini ?..

Bonne question, Phil. Ils ont tous deux suffisamment été marqué pour écrire un texte dessus. Celui de CLS est très court, mais fait date parce qu’il est étrangement caricatural de la vision qu’à l’occident de l’islam (« l’hindouisme » est paré de toutes les vertus « aryennes », et ignore le système des castes, qui tue aujourd’hui aussi sûrement que la route). Pasolini faisait de la phénoménologie, sans autre ambition que de se situer individuellement en rapport avec une société & des principes de vie radicalement « autres ». Et puis il était en goguette avec Elsa & Alberto: j’aurais bien aimé les rencontrer ces trois-là.
« Comprendre l’Inde » est un vaste projet, évidemment irréalisable en totalité. Pour certains hiérarques étrangers en poste à Delhi, c’est la corruption généralisée qui constitue le prisme unique de leur vision…
Pour moi, c’est indéniablement le hiatus entre la vision individualiste de l’hindouisme & la vision communautariste de l’islam. La violence violence au coeur des cultes shivaite & vishnouite est très présente. Dans le sud, on « sacrifie » un fruit rouge sang tous le matins & on protège sa maison avec des têtes de monstres grimaçantes censées éloigner le mauvais oeil (le gros point noir de khôl des enfants aussi).
On découpe à la machette aussi, pour quelques poignées de roupies ou pour des histoires foncières…La semaine dernière, une gamine de 2 ans a été violée avec sa soeur de 5 ans…Rien à comprendre.
On put retenir que suite à l’assassinat de M.M. Kalburg, un « intellectuel rationaliste » dans le Karnatka, la plupart des écrivains indiens primés ces dernières années ont rendu leur médaille/insigne en guise de protestation contre le fascisme hindouiste & l’intolérance religieuse qui s’installe petit à peut sous le règne de Narendra Modi. Je ne suis pas sûr que l’on en parle dans la presse française (qui « couvre » très mal l’Inde quand il n’y a pas d’attentat islamiste), mais la presse anglo-saxonne rapporte les événements avec justesse:
http://www.nytimes.com/2015/10/18/world/asia/india-writers-return-awards-to-protest-government-silence-on-violence.html?_r=0

radioscopie dit: à

Palsambleu ! Par deux fois, voilà qu’on scripte « Devilliers » icitte. Le Marquis en est tourneboulé et son page (Ueda) itou. Manants, rendez ses rallonges et ses tiroirs au citoyen Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon.

D. dit: à

Mais j’ai toujours été de droite, Jacques. Qu’est ce qui vous laissait penser le contraire?

que sais-je dit: à

Il a été écrit des horreurs su Gandhi – Que croire

D. dit: à

Marc Bordigoni, spécialiste des « gens du voyage » estime quil y a une rupture consommée entre l’État et les « gens du voyage ». Commençons par expliquer ces guillemets auxquels je tiens à tout prix ; la poésie qui se dégage d’une telle expression est dans bien des cadcparfaitement déplacée. Les voyages en question se gont

Sergio dit: à

andré dit: 21 octobre 2015 à 16 h 13 min
vous compreniez ce qu’il disait ?

C’est vrai que c’est à gros grain… Maintenant avec les synthés logiciels on doit y arriver… Ca fait un peu penser aux doigts des violonistes jamais en repos sur les cordes ! L’harmonica aussi y a ça…

Bloom dit: à

Invariant de la pensée levi-straussienne: primauté de la croyance, de la loi & de la culture sur la réalité objective:

« Le cannibalisme en soi n’a pas une réalité objective. C’est une catégorie ethnocentrique: il n’existe qu’aux yeux des sociétés qui le proscrivent. Toute chair, quelle qu’en soit la provenance, est une nourriture cannibale pour le bouddhiste qui croit en l’unité de la vie. A l’inverse, en Afrique, en Mélanésie, des peuples fiasianet de la chir humaine une nourriture comme les autres, sinon parfois la meilleure, la plus respectable, qui seule, disaient-ils, « a un nom » »
-CLS, Nous sommes tous des cannibales, p.172

Même raisonnement qu’avec la barbarie, peu ou prou…

On pense au Capitaine Cook, qui fut consommé cru comme met de choix par les chefs polynésiens de Hawaï…

Bloom dit: à

« la chir humaine » était de la chair humaine avant de devenir de la etc…

Observatoire des Crétins dit: à

Hé ! chers amis ! Vous n’allez pas élire autre chose qu’un crétin, à la rigueur une crétine, en 2017. Le savez-vous ?!

Vous êtes dans une grande démocratie. Ici, le pouvoir appartient aux Nombreux*, il n’appartient pas aux Meilleurs ! Vous aurez donc, en 2017, un crétin à la place du précédent, comme en 2012.

*les Nombreux, ce sont les crétins mais propres, ça fait mieux dans un rapport, une étude, un essai politique, un Fragment, une République …..

D. dit: à

Les voyages en question se font bien souvent entre deux ou trois zones de non-droit fortifiées et parfois entre l’un de ces camps et la prison.
Je me refuse à utiliser cette expression racoleuse qui sert à désigner des communautés quasi-sectaires dont le comportement d’une partie des membres l’isolé de plus en plus du reste de la population évidemment très majoritaire numeriquement parlant. Le refus de prendre ses responsabilités, tout simplement. Facile d’accuser l’Etat.

Observatoire des Crétins dit: à

Monsieur Sergio a raison, il est possible de créer des merveilles. Même si l’on est un sublime crétin.

Nous avons un doctorant qui travaille, avec succès, sur un harmonica à cordes pour asthmatique …..

bouguereau dit: à

à la rigueur une crétine, en 2017. Le savez-vous ?!

c’est ça la puissance du ricard et du porc..t’as pas destomac épicétou

D. dit: à

D’ailleurs « gens du voyage » ne désigne aucune ethnie, ni même ensemble d’ethnies.
« gens du voyage », ce n’est pas non plus un parti politique, ni une religion. Non, mais ce sont des gens qui vivent entre eux, se marient entre eux dans l’immense majorité des cas. Les conditions de scolarisation des enfants y sont mauvaises, pour ne pas dire déplorables. Et voyez, je n’ai parlé que de scolarisation, pas d’éducation. Très peu d’entre eux parviennent à des études supérieures, à se détacher par ce biais de leur communauté. Et parfois quand il le voudraient ils sont menacés.
Ca ressemble bigrement à ce qu’on appelle, juridiquement parlant, une secte, ne trouvez-vous pas ?
Et pour finir, comme d’habitude, jusques à quand ?

bouguereau dit: à

Même raisonnement qu’avec la barbarie, peu ou prou…

ça sonne bien « peu ou prou » kabloom..et c’est ma foi fort vrai..et c’est absolument certain quil faut qu’on le reste..c’est l’alliance

bouguereau dit: à

Ca ressemble bigrement à ce qu’on appelle, juridiquement parlant, une secte, ne trouvez-vous pas ?

..enfin dédé..il croient pas aux estrateresses à ton cul..eux

bouguereau dit: à

..en tout cas dédé..si qu’on pouvait voir le dos de 501 on verrait qu’il est plein de guano..

bouguereau dit: à

Dans ma proche famille, quand j’avais douze ans, on me traitait déjà « d’anar de droite ».

toi une petite raclure qu’a le culte du chef chevillé au corps comme ton plug dans l’cul..viens ici que chten colle une..t’auras une raison d’appeler la kommandantur..larbin

Phil dit: à

Merci Bloom pour votre chronique indienne. En vieille europe nous devons nous contenter de vieux récits, comme celui de Bouvier à Ceylan, qui n’est pas l’Inde et qui ne lui pas beaucoup plu.
La chair humaine a un goût boucané.

bouguereau dit: à

Très peu d’entre eux parviennent à des études supérieures, à se détacher par ce biais de leur communauté. Et parfois quand il le voudraient ils sont menacés.

c’est assez vrai..on essaie de les sédentariser..on leur file un logement avec interdiction de « recevoir »..certes il y vont de leur plein gré.. »c’est pas un beau spectacle » comme on dit dans l’populo

bouguereau dit: à

La chair humaine a un goût boucané

t’as mangé que du pompier phil..la pompière est délicieuse

Sergio dit: à

Le Cinq cent un, c’est un vrai Lévy-Strauss ?

Ben quoi depuis trois jours personne ose… Faut savoir se salir les mains on a de la pâte Arma dans le garage…

Ueda dit: à

Bloom dit: 21 octobre 2015 à 17 h 26 min
Invariant de la pensée levi-straussienne: primauté de la croyance, de la loi & de la culture sur la réalité objective:
« Le cannibalisme en soi n’a pas une réalité objective. C’est une catégorie ethnocentrique: il n’existe qu’aux yeux des sociétés qui le proscrivent….

Il me semble que vous mésinterprétez ce que dit CLS.
Il ne nie pas la réalité de cultures qui font du cannibalisme une pratique alimentaire (et non seulement « rituelle » ou « de pénurie », comme on le dit parfois). Il reconnaît parfaitement qu’il y a des sociétés où on boulotte de l’humain de manière routinière parce qu’on aime ça.

Il fait son coup habituel avec une froide ironie.
Il prend une catégorie (cannibalisme) pour y reconnaître une origine occidentale. C’est un concept qui est aussi une valeur (« c’est pas bien de faire ça »). Il prend donc ses distances.
Ensuite, au lieu de la mettre de côté, il la généralise au contraire dans une acception maximale et même hyperbolique: le cannibalisme est partout.

C’est possible si on fait de l’anthropophagie la simple variation d’une situation plus générale (intérioriser, ingérer de la matière humaine).

Dans ce texte (d’abord publié dans le Cahier de l’Herne), il dit ceci, juste avant ce que vous citez:

« (Le cannibalisme) peut enfin être thérapeutique comme l’attestent de nombreuses prescriptions de la médecine antique dans un passé qui n’est pas si lointain. Les injections d’hypophyse et les greffes de matières cérébrales, dont j’ai parlé, les transplantations d’organes devenues pratique courant aujourd’hui, relèvent indiscutablement de cette dernière catégorie. Si variées sont donc les modalités du cannibalisme, si diverses ses fonctions réelles ou supposées, qu’on en vient à douter que la notion de cannibalisme, telle qu’on l’emploie couramment, puisse être définie de façon quelque peu précise. Elle se dissout ou s’éparpille dès qu’on tente de la saisir. »

De ce point de vue formel, les thérapies modernes sont donc mises sur le même plan que les pratiques anthropophagiques.

J’en pense pense quoi?

J’en pense quatre choses:

1° Tagul’-kepu (attention à l’arrêt glottal)

2° C’est une expérience de pensée formidable (vraiment).

3° C’est se foutre du monde.
Dans la notion de cannibalisme, on me comprend pas seulement la simple ingestion de matière organique d’origine humaine.
Chacun comprend cette pratique comme une conduite complexe et orientée vers une but explicite.
Le cannibalisme signifie d’abord la possibilité de mettre à mort volontairement un humain en vue de tirer partie de sa chair.
La médecine moderne ne met pas à mort un être humain dans le but d’injecter chez un autre des éléments thérapeutiquement utile.

Le jour où ce sera le cas (comme sous Mengele?), la comparaison de CLS prendra un sens qui n’est pas seulement formaliste.

(En réalité, il se peut, Bloom, que je sois finalement assez proche de ce que vous vouliez dire).

4° Tagul’-kepu
(Merci, c’est presque ça).

bouguereau dit: à

FH fait une politique de centre droit

du bayrou en plus..en moins..bref sans bayrou

Ueda dit: à

Les « gens du voyage », ça sonne pas un peu comme « économiquement faible » ou « mal entendant »?

La « carte senior »…?

bouguereau dit: à

Le cannibalisme signifie d’abord la possibilité de mettre à mort volontairement un humain en vue de tirer partie de sa chair.
La médecine moderne ne met pas à mort un être humain dans le but d’injecter chez un autre des éléments thérapeutiquement utile.

bien sur que si..dmande à françoué
la tu touches a la part la plus exact de 501..note il savait pas à quel point..et nous non pus..pas encore..plutot que canibal comme philipe dis « antropophage » comme technicien de surface..et tu verras la lumière

bouguereau dit: à

La « carte senior »…?

no futur! bravo zouz..

bouguereau dit: à

c’est un vrai Lévy-Strauss ?

le seul vrai c’est çui avec un rivet à l’entrejambe sergio..estrêmement rare! les cowboy autour du feu plus ou moins jambe écartées par le fait se brulaient les youcs..il ont pétitionné pour qu’on le suprime..ça vaut une fortune

bouguereau dit: à

La chair humaine a un goût boucané

les mélanésiens l’appelait « le long cochon »..ça fait un peu froid dans l’dos non

Bloom dit: à

Bouvier demeure un styliste hors pair, Phil. Il y a quelques passages sur Peshawar & la passe de Khyber, si je ne m’abuse, dans l’Usage du monde. La veuve de Nicolas B. sera bientôt parmi nous, grâce à l’entremise de mon ami consul, féru de Japon…
Nous avons encore en France quelques bons spécialistes de l’Inde, mais à l’exception de 2 ou 3, ils sont soit presque à l’âge de la retraite, soit déjà à la retraite, soit trop spécialisés (géographes, botanistes, géomatistes). Les Sylvain Lévy, Alain Danielou (justement controversé) & Jean Filiozat sont difficiles à remplacer. Quant aux récits de voyage sur l’Inde, ils sont caricaturaux, au mieux et nous renseignent sur leur auteur. Pas de Mark Tully, VS Naipaul, Colin Thubron ou même, avec beaucoup de réserves, Paul Theroux, chez nous. Olivier Germain-Thomas, trop mysticisant à mon goût & Bruckner pas assez ferré.
Mieux vaut relire Les Antimémoires de Malraux, pleines de fulgurances.
Jean-Luc Racine est le plus intéressant & le plus complet des indianistes français actuels. Imaginez un peu: quand il dirigeait l’Alliance française de Calcutta (car il a été autre chose qu’universitaire, lui), S. Ray & M. Sen fréquentaient assidument le lieu! Je doute qu’on trouve l’équivalent aujourd’hui: les alliances font du « French for business » (et on n’arrive toujours pas à conclure la vente de nos Rafales…).
O tempo…reprend ton vol!

Attila dit: à

« la pompière est délicieuse »

Et, en plus, le boug est cannibale !!!

501, le bref dit: à

La boucane ou la ploutre, faut choisir.

Phil dit: à

Léry raconte comment la graisse qui coule des bras est ramenée délicatement sur le reste pour donner une belle cuisson.
Les crevettes de Top-chef peuvent aller se rhabiller.

Bloom dit: à

.ça fait un peu froid dans l’dos non

dans l’échine, le boug, dans l’échine, comme disent les bouchers néo-guinéens!

Attila dit: à

« ça fait un peu froid dans l’dos non »

La bite est bien meilleure crue que cuite, le boug !

Chaloux dit: à

« Le culte du chef… Mon pauvre boumou, ce que tu peux être convenu et demeuré.
Pour le reste, viens y voir, je te promets un long et charmant séjour dans un centre de rééducation.

boumou dans ses œuvres:

https://www.youtube.com/watch?v=0rIXipAV6Fs

D. dit: à

Je pense qu’Hamlet est Ueda en transe, en fonction de la lunaison, mais je n’en suis pas sûr. Je vais donc continuer mes études, recherches, enquête, et investigations.

Bloom dit: à

La bite est bien meilleure crue que cuite, le boug !

Baroz, me dis pas que l’a essayée au grill ou à l’étouffée!

Attila dit: à

Je sens que je vais devenir végétarien, sinon végétalien : je goûterai mais ne mangerai pas du cochon à la banane…

D. dit: à

Voyons, Jacques, un Barozzi ne peut pas dire des choses comme ça.

Larbin de bouguereau dit: à

Monsieur a particulièrement bien bu aujourd’hui. Tout son biberon. Y compris celui de sa dame. Ce soir, Monsieur n’est plus qu’une vieille rinçure de Parnod.

Daaphnée dit: à

Cuite .. ce doit être comme les croquettes, même mon chat n’en veut plus.

Préparons le dîner ! dit: à

Attila dit: 21 octobre 2015 à 18 h 40 min
La bite est bien meilleure crue que cuite!

tati Bas-roses est aux fourneaux!

closer dit: à

Un petit exemple pour contrebalancer l’enfumage de Bloom sur la violence sectaire comparée entre l’Inde et le Pakistan:

« Alors que les musulmans accusés de blasphème n’ont affaire qu’à la justice, il en va différemment pour les chrétiens, qui, en cas d’accusation de blasphème, font parfois l’objet de de grandes violences de la part de musulmans, violences pouvant aller jusqu’au meurtre. Ainsi, le 4 novembre 2004, un couple de chrétiens pakistanais accusé de blasphème a été battu à mort par une foule musulmane, qui a ensuite brûlé leurs corps dans le four à briques d’une briqueterie où ils travaillaient32. Parfois, aussi, lorsqu’un chrétien est accusé de blasphème, des musulmans s’en prennent au village habités par des chrétiens, dont est issu l’accusé et aux villageois.

Au Pakistan, des familles chrétiennes sont, illégalement, esclaves de familles musulmanes, pour des affaires de dettes. Ils sont contraints de travailler pour ces familles. Ils sont maltraités et sous-alimentés33.

Parfois, des chrétiens sont victimes de tentative d’assassinat par des musulmans, pour leur seule appartenance religieuse. Ainsi, le 14 avril 2015, un adolescent chrétien, Nauman Masih, 14 ans, a été arrosé d’essence et brûlé vif, dans la rue, par de jeunes musulmans, lorsque ces derniers ont appris qu’il était chrétien34. »

Se foutre du monde comme Bloom le fait sur le sujet, je dois reconnaître que c’est assez impressionnant…

On peut lire utilement la note Wikipédia complète sur le Pakistan, rubrique « religions », qui évoque également les centaines de femmes hindouistes et chrétiennes violées et converties de force chaque année par leur violeur musulman.

La vie dorée d’expat au contact d’une infime élite probablement formée en Angleterre, qu’il a connue là-bas il y a 15 ans lui a complètement tourné la tête. Comment un pays où une loi sur le blasphème interdit toute réelle liberté d’expression pourrait-il être un phare intellectuel? Poser la question, c’est y répondre.

Attila dit: à

Toute la saveur est dans la fraîcheur et la vigueur, Bloom, et que l’andouille soit de belle proportion : ici, le rosbif se mange cru, uniquement !

Phil dit: à

merci bloom pour la liste de spécialiss. germain-thomas, éliminé de franceculture (comme notre baroz)
Danièlou n’est pas controversé à cause de son frère, au moins ? il est un peu à droite, certes. Avant d’arriver en Inde, il a visité hollywood. son article le conduirait aujourd’hui à guantanamo.
la correspondance Bouvier-Vernet (que sa femme présentera probablement) contient justement beaucoup de lettres d’Inde envoyées à Vernet, retourné en Europe à la fin de « l’usage du monde ».

Ueda dit: à

Bloom dit: 21 octobre 2015 à 18 h 38 min
Nous avons encore en France quelques bons spécialistes de l’Inde, mais à l’exception de 2 ou 3,…

Hem hem.
J’en connais huit.

« Pour moi, c’est indéniablement le hiatus entre la vision individualiste de l’hindouisme & la vision communautariste de l’islam. »

Simple constat objectif ou, également, jugement de valeur (préférence personnelle)?

Chaloux dit: à

J’ai passé les sept années les plus mouvementées de ma vie avec une indienne divorcée d’un pakistanais. Spécialité dudit, la tête de sa femme dans la machine à laver et coups de couvercles jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. Deux ans de prison avec sursis.

Phil dit: à

c’est sûrement une vedette, chaloux

Attila dit: à

closer, vous croyez que l’Islam, via l’Inde, pourrait envahir la Chine ?

Bloom dit: à

J’en connais huit.

J’en connais davantage, mais je n’en apprécie que 2 ou 3. Constat subjectif.
Pour le reste, constat objectif. Malheureusement, vu l’immense majorité de la population hindouiste…

qu'est-ce qu'il raconte dit: à

bouguereau  » tu touches a la part la plus exact de 501..note il savait pas à quel point..et nous non pus..pas encore..plutot que canibal comme philipe dis « antropophage » comme technicien de surface..et tu verras la lumière »

je comprends rien

Chaloux dit: à

Daaphnée dit: 21 octobre 2015 à 18 h 48 min

Remarquez, Daaphnée, que je préfère nettement offrir la mienne crue plutôt que cuite!

(Celle du pauvre bouguereau, ce vieux phoque échoué sur un ban de moules mortes, est cuite et archicuite. Elle est même tombée, me dit-on, dans les chaussettes de l’archiduchesse, archisèche!).

Bloom dit: à

Danièlou n’est pas controversé à cause de son frère, au moins ?

Non, très anti-musulman. l’Inde de l’islam n’existe pas pour lui. Et bien sûr très à droite, comme vous dites, mais c’est une autre affaire.

elisabeth dit: à

closer dit: 21 octobre 2015 à 18 h 48 min

ta gu eule avec tes enfumages garde-les toi

Attila dit: à

Je l’ai rencontré chez lui, pour le Gai Pied, le frère du cardinal Daniélou, Phil : interview puis invitation à diner. Nous étions servis par un jeune hindou, doux et charmant. Je ne me souviens plus de ce que j’en ai écrit alors… La seule chose dont je me souvienne c’est qu’il avait une chaine en or ou pendait, en guise de médaille du même métal, une jolie reproduction de bite sacrée de je ne sais plus qu’elle statue sacrée !

radioscopie dit: à

Chaloux dit: 21 octobre 2015 à 18 h 52 min

« J’ai passé les sept années les plus mouvementées de ma vie avec une indienne divorcée d’un pakistanais. Spécialité dudit, la tête de sa femme dans la machine à laver et coups de couvercles jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. Deux ans de prison avec sursis. »
Ah, c’est donc ça ! En lieu de « ballade de Grieg » c’était 1°/ balade 2°/ de Kriek.

Chaloux dit: à

jeune hindou doux

Pas un jeune chinois noix?

Bloom dit: à

Closer, avec votre pseudo débile, vous êtes un crétin fini.
Je loge en France une famille de Pakistanais chrétiens qui furent menacés de mort. Alors ne venez pas me casser les pieds avec votre wikipédia à la mort moi l’andouille bien proportionnée pour Baroz.
Je ne parle pas des fondus, mais des élites. Si vous ne comprenez pas ça, vous méritiez le traitement de faveur que les extrémistes sunnites réservent aux chiites au Pakistan: le découpage minutieux et l »envoi régulier par la poste de morceaux d’anatomie bien choisis.

Phil dit: à

merci baroz, je lirais volontiers votre article. avez-vous au moins remarqué qu’il était « très à droite » ? (pas le pendentif)

D. dit: à

Bloom dit: 21 octobre 2015 à 18 h 56 min
J’en connais huit.

J’en connais treize.

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