de Pierre Assouline

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La République des livres
Comment toucher à « Penelope » sans attenter à « Ulysses » ?

Comment toucher à « Penelope » sans attenter à « Ulysses » ?

Nul doute qu’avec l’acquisition des droits cinématographiques de Voyage au bout de la nuit par Joann Sfar, on va encore reparler des mauvaises manières que le cinéma fait à la littérature et du caractère intouchable des héros de roman qui campent dans notre imaginaire. Bas les pattes devant Bardamu ? On en reparlera.  En attendant, on peut déjà parler d’un autre chef d’œuvre, ce qu’on appelle un classique moderne : Ulysses de James Joyce, le plus grand poète de l’anglosaxonnie. Est-il normal, admissible, décent, ce que vous voulez, de démembrer ce qui a été conçu comme un tout ? Passe encore qu’un manuel de littérature s’y risque puisque par définition, il est fait de morceaux choisis. Mais qu’en est-il lorsqu’un seul d’entre eux apparait à première vue, en couverture donc, à l’égal d’un texte autonome ? Et même, par un effet d’optique, comme un nouveau texte de l’écrivain, un inédit ?

Bien sûr, l’édition de Pénélope (120 pages, 3 euros, Folio) qui parait ces jours-ci ne prétend rien de tel et rien n’y est dit de tel. Mais le flâneur de librairie peut s’y laisser prendre de prime abord. Il s’agit du dernier chapitre de Ulysses intitulé justement Penelope, traduit de l’anglais (Irlande) par Thiphaine Samoyault sous la direction de Jacques Aubert, maître d’œuvre des volumes de Joyce dans la Pléiade. L’avoir en poche lorsqu’on a un long trajet à parcourir dans les transports en commun et une chance et une promesse : celle d’un transport peu commun tant ce dix-huitième chapitre emporte son lecteur malgré l’absence de ponctuation.

Si l’on n’a jamais lu Ulysse, c’est une drôle d’expérience que de commencer par la fin en y bondissant dans une ellipse vertigineuse du titre aux dernières pages en faisant l’économie des pages insérées entre ces deux moments (ici cinq conseils pour parvenir à lire Ulysse). Il est vrai que ce monologue intérieur de Marion dite Molly, épouse de Léopold Bloom qui, un matin de la mi-juin 1904, a été pris de déambulation dans sa bonne ville de Dublin, est l’un des morceaux d’un roman qui n’en manque pas, mais l’un des plus inoubliables tant il est enfiévré. On y découvre enfin dans son flux de conscience cette femme, invisible et inaudible durant le millier de pages précédent. Un incipit de 2500 mots, huit phrases en tout et pour tout, un incipit et un excipit qui se rejoignent afin de refermer une boucle (« Yes »/ Oui ). Dans une astucieuse préface, Laura El Makki invite à relire ces pages non comme le portrait assez caricatural d’une femme par un homme mais quasiment comme l’autoportrait d’une femme émancipée ; elle n’en rappelle pas moins le point de vue de Philippe Forest selon lequel Joyce se situe là sur la ligne de crête entre l’homme et la femme où l’on est saisi de vertige face au grand vide.  Reste à savoir si cette lecture d’un chapitre final en liberté et en toute indépendance porte préjudice à notre intelligence de l’oeuvre dans son intégrité.

 L’écrivain Michel Déon ne supportait pas que l’on révisât une traduction princeps au motif qu’elle fut exécutée en des temps pionniers sous l’oeil de l’auteur même ! Touchez pas à mon Ulysse ! Or toute traduction vieillit et le respect ne doit pas paralyser les candidats. Pas de vache sacrée pour un traducteur sinon un André Markowicz n’aurait jamais osé attaquer la montagne Dostoïevski par la face nord, ni Odette Lamolle le mont Conrad Cet Ulysse là (Ulysses en anglais) a été publié pour la première fois en français en 1929 après avoir découragé des dizaines de traducteurs. L’éminent Auguste Morel s’y était mis avec succès, aidé dans sa tâche monumentale par Stuart Gilbert et Valéry Larbaud dont on ne dira jamais assez tout ce que lui doit la notoriété de la littérature anglaise en France. Il avait reçu également l’aide de l’auteur lui-même, ce qui n’est jamais négligeable. Surtout pour un texte aussi complexe, sophistiqué, piégé et apparemment délirant. Un vrai cauchemar de traducteur. Même si de l’aveu de l’auteur, le mot juste n’était pas ce qui lui importait le plus puisque le mot juste est souvent le mot d’à côté. Non le problème pour lui c’était : une fois qu’on a les mots, dans quel ordre les met-on ?

Rappelons que ce roman ressemble à nul autre, puisqu’il intègre tous les genres littéraires à lui seul : l’épopée, le récit, l’histoire, le pastiche, l’essai, le drame, la farce, le monologue intérieur, la prose et la poésie. Et toutes les figures de rhétorique, toutes les langues à commencer par tous les dérivés du shakespearien. Sans compter tous les genres musicaux (l’oratorio, la symphonie, l’opéra, musique de chambre) car il écrivait avec l’oreille. S’il y a bien un poète en prose qui rend un son et une voix, c’est bien lui. Et malgré tout, ça n’est jamais chaotique car toute cela obéit à une organisation implacable, à une structure d’autant plus efficace qu’elle est invisible. Techniquement, quand on entre dans les coulisses de la fabrication de cette œuvre, on est pris de vertige. Pour le reste il faut se laisser emporter tout en sachant que ce n’est pas du Proust ni du Zola même si ça en commun de nous offrir une vision du monde, et une conception de l’homme à travers l’archétype que représente Ulysse. Et puis Calypso, Charybde et Sylla, Nestor, Protée les Cyclopes et toute la bande.

De toute manière, Joyce lui-même disait y avoir introduit tant de devinettes et d’énigmes qu’il y avait là de quoi occuper des érudits pendant des siècles. Ils ne cesseront discuter sur ce que j’ai voulu dire, assurait-il encore en précisant que c’était là le seul moyen de gagner l’immortalité. Mais attention : le contresens absolu consisterait à ne le lire que comme un exercice de style hors du commun, un texte crypté, truffé de centons, de citations, d’allusions et de références. Donc cette traduction de 2004, la première à oser depuis celle originelle de 1929, eut pour maitre d’œuvre Jacques Aubert. Il a eu la bonne idée de s’entourer d’un collectif constitué de huit traducteurs professionnels, d’universitaires et d’écrivains. Chacun a pris un morceau. Ça fait huit styles. On dira que cela manque d’unité. Justement c’est cela la bonne idée.

A texte polyphonique, écrit de dix-huit points de vue différents, traduction polyphonique, à charge pour le maitre d’œuvre d’unifier le tout. Elle ne remplace pas l’ancienne traduction mais lui succède, l’enrichit, la complète en mettant à profit quelques décennies de recherche joycienne ce qui n’est pas rien. Alors pourquoi bouder son plaisir. Reste à savoir si l’on pourrait en dire autant d’un autre Everest joycien.

Y a-t-il quelqu’un dans la salle qui ait réussi à lire Finnegans Wake au-delà des premières pages ? Moi non plus. Sauf à avoir une conception assez extensive de l’incipit. Foin de nos complexes ! Car il existe une édition revue et corrigée pour les nuls ou à peu près qui devrait nous permettre de pénétrer davantage dans l’impénétrable texte réputé le plus musical, les plus ésotérique, le plus complexe, le plus baroque et le plus envoûtant des grandes aventures de l’expérimentation littéraire au XXème siècle. On peut avancer que c’est probablement le moins lu des livres-cultes, ce qui n’est pas le moindre de ses paradoxes. Après trente ans de travail sur les manuscrits (20 000 pages disséminées sur 60 carnets) et quelque 9000 « amendments » (modifications, rectifications) aussi mineurs que cruciaux, les universitaires Danis Rose et John O’Hanlon ont osé une version « lisible ». Plus compréhensible. Si l’un est un spécialiste de l’oeuvre de Joyce, l’autre est un mathématicien ; mais après tout, Philippe Lavergne qui a travaillé vingt ans à sa traduction du livre pour Gallimard, n’est-il pas ingénieur informaticien ? Toutes choses qui n’auraient pas déplu à l’auteur, fortement influencé dans son travail de composition par la théorie des cycles de Vico. Il est toutefois permis de se demander si, une fois rétablies obscurités, ruptures syntaxiques et ponctuation chaotique, c’est encore du Joyce. Même si le tandem a aussi voulu réparer les « erreurs » dues à ses problèmes de vue. Jugez-en par le tout début :

«  »riverrun, past Eve and Adam’s, from Swerve of shore to bend of bay, brings us by a commodius vicus of recirculation back to Howth Castle and Environs » » (version originale)

«  »riverrun, past Eve and Adam’s, from swerve of shore to bend a day, brings us by a commodious vicus of recirculation back to Howth Castle & Environs » » (version amendée)

   Ce néo-Finnegans Wake, qui est paru chez Houyhnhnm Press en édition de luxe (1000 exemplaires entre £250 et £750) avant d’être publié en format de poche par Penguin, se veut aussi emblématique du XXIème siècle que Ulysses le fut du XXème. On verra. Mais pour James Joyce, c’était tout vu, si le fantôme du quasi-aveugle en lui m’autorise le mot. N’avait-il pas prédit à sa parution en 1939 que son work in progress occuperait les critiques et les professeurs pendant les trois cents ans à venir ? L’édition en ligne de Finnegans Wake, où chaque mot ou presque est éclairé plutôt qu’expliqué (il suffit de cliquer dessus) est étourdissante. Et elle devient un enchantement lorsqu’on la lit tout en écoutant l’auteur lisant son texte… On comprend encore moins mais ça n’en est que plus envoûtant. On peut toujours rêver à la voix de Joyce lisant Penelope et à son inflexion dans le « OUI » final ! (ici on peut l’entendre en 1924). Henri Cartier-Bresson, qui en avait toujours un exemplaire en poche depuis qu’il l’avait découvert à sa parution dans les années trente, disait que ce « oui » était un cri de victoire et un acquiescement à la vie de nature à décourager quiconque de se suicider.

 (« James Joyce dans la campagne française en 1922 » photo D.R. ; « Nora Barnacle et James Joyce allant se marier, le troisième personnage étant Fred Monro, 1931, D.R.; « James Joyce photographié par Gisèle Freund en 1939 au moment de la parution de Finnegans Wake » )

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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commentaires

1 657 Réponses pour Comment toucher à « Penelope » sans attenter à « Ulysses » ?

Marie Sasseur dit: à

Correction, je viens de ramasser des figues, les mains pas très habiles

Donc

C’est tout à l’honneur d’et alien de mesurer l’humanité bafouée des femmes qui pose question à travers ce procès historique de l’affaire Pélicot, à l’aune des kapos œuvrant pour le reich nazi.
Belle honnêteté intellectuelle là encore, aussi honnête que le réalisateur du film Kapo, diffusé très vite sur le petit écran français.

closer dit: à

« Septembre sans attendre » est un bon petit film distrayant. Rien d’exceptionnel mais on ne s’ennuie pas. Quel rapport avec les gays JJJ? A priori aucun.
Le dénouement est un peu téléphoné…

puck dit: à

@ »La féminité n’est pas une garantie d’humanité. Les gardiennes des camps nazis en sont la sanglante démonstration »

encore un qui vient s’inspirer de mes commentaires sur le bloapassou pour écrire ses trucs.

maintenant j’y suis habité, Chevillard m’avait déjà fait le coup…

Marie Sasseur dit: à

»La féminité n’est pas une garantie d’humanité. Les gardiennes des camps nazis en sont la sanglante démonstration »

Water closet sous entend que Gisèle Pélicot est coupable , du coup.

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, opposer laïcité et religion, c’est confondre politique et religion ; autrement dit, méconnaître ou se défier de la laïcité et, accessoirement, mépriser les fondements de notre société

closer dit: à

Je n’oublie pas quelques hommes (wikipedia):

« Émile Louis (1934-2013), accusé d’avoir enlevé, violé et assassiné sept jeunes filles handicapées dans l’Yonne de 1975 à 1980, condamné à la perpétuité plus de 20 ans après les faits20,21.
Thierry Paulin (1963-1989) et Jean-Thierry Mathurin (1965-). Ils avouent le meurtre de vingt-et-une personnes, commis par étranglement ou étouffement, entre 1984 et 1987, tandis que la justice leur en attribue dix-huit. Thierry Paulin meurt du sida et Jean-Thierry Mathurin est condamné à la perpétuité en 1991 avant d’être libéré en 201222.
Francis Heaulme (1959-), dit « le routard du crime », responsable de onze meurtres, un peu partout en France, de 1984 à 1992, dont deux qui conduisent à une erreur judiciaire. Il est condamné à la perpétuité23,24,21.
François Vérove (1962-2021), dit le « grêlé », commet quatre meurtres et plusieurs viols en Île-de-France. Sur le point d’être démasqué en 2021, il se suicide avant son arrestation25.
Jacques Rançon (1960-), dit « le tueur de la Gare de Perpignan », responsable d’au moins 3 meurtre et 2 viols sur des jeunes femmes autour de la gare de Perpignan ainsi qu’à Amiens entre 1986 et 1998, il fut condamné à 7 reprises, dont deux ne concernant pas ses activités meurtrières.
Michel Fourniret (1942-2021) responsable de plusieurs meurtres et viols envers des jeunes filles en France et Belgique, de 1987 à 200121,26.
Patrice Alègre (1968-), reconnu coupable de 5 meurtres, 6 viols et une tententative de meurtre sur des jeunes femmes.
Pierre Bodein (1947-) tue et viole une femme et deux filles de moins de 15 ans en 2004. Son casier judiciaire fait état de sept condamnations, dont trois en cour d’assises, notamment pour des viols avec violence : condamné à la perpétuité27.
Patrick Salameh (1957-) surnommé le « Jack l’éventreur de Marseille », reconnu coupable de 4 meurtres sur des jeunes femmes. Il continue toujours de clamer son innocence
Yvan Keller (1960-2006) avoue avoir tué, entre 1989 et 2006, 150 vieilles dames lors de cambriolages en France, en Suisse et en Allemagne. Cependant, la justice lui en attribue 23. Il se suicide avant son procès28.
Guy Georges (1962-), dit « le tueur de l’Est parisien », commet sept meurtres de femmes et plusieurs viols en France ,de 1991 à 1997. Il est condamné à la perpétuité en 200121,29.
Yoni Palmier (1978-) commet quatre meurtres, de novembre 2011 à avril 2012, dans un périmètre de cinq kilomètres dans le département de l’Essonne : condamné à la perpétuité30. »

Ce n’est qu’un échantillon (Petiot, Landru, etc).

Les victimes de tous ces monstres auraient peut-être préféré être violées pendant leur sommeil. Qui sait?

Tout ça pour dire que tout ce foin autour de l’affaire que vous savez n’a aucun sens. Il s’agit d’un détraqué de plus parmi des dizaines, mais qui n’assassine pas sa victime.

puck dit: à

@ »La féminité n’est pas une garantie d’humanité. Les gardiennes des camps nazis en sont la sanglante démonstration »

pas besoin de retourner si loin dans l’Histoire.

aujourd’hui on a Ursula van der Layen et Victoria Nuland qui ont sur les mains le sang de centaines de milliers d’ukrainiens.

il faut écouter l’interview de Nuland quand, avec un petit sourire au coin des lèvres, elle explique pourquoi elle a ordonné aux ukrainiens de ne pas signer d’accord avec les russes en mars 2022 : ses raisons sont hallucinantes de bêtise, on se dit sérieux ? autant de morts pour des raisons aussi idiotes ?

voilà de quoi sont capables les femmes !

et Nuland a été formé par Albright à qui l’on doit la mort de centaines de milliers d’enfants en Irak suite au blocus !

elle aussi s’en était expliquée à l’ONU : pas de regrets, si c’était à refaire ? oui je le referia…

des centaines de milliers d’enfants ! des bébés !

une femme qui n’a pas de regrets pour avoir tué des milliers de bébés ?

et cette femme est morte bien tranquillement dans son lit.

si elle n’a pas subi la justice des hommes j’espère qu’elle aura eu celle de Dieu et que maintenant elle brûle en enfer pour ce génocide d’enfants !

Madeleine Albright la plus grande tueuse d’enfants de tous les temps !

Jean Langoncet dit: à

@comme en 1956…

Si vous faites référence à Suez, félicitation pour votre ironie mordante ; comparer cette opération aux crimes de guerre commis actuellement par Israël à Gaza et dans les territoires occupés qui sont de nature à tout éliminer des palestiniens et de ce qui pourrait constituer un état indépendant, sauf les fanatiques du Hamas au demeurant financés de longue date par Bibi & co (cf. Charles Enderlin sur le sujet) : quel humour audacieux ! A moins que vous ne soyez qu’un gros naze comme il en pullule aujourd’hui là-bas

closer dit: à

Je ne sous entend rien du tout, mais j’ai tenté de poster une liste de quelques dizaines de tueurs et violeurs en série trouvée sur wiki (cherchez « tueurs en série français » et vous ne serez pas déçu) et j’ai été censuré.
Je me disais naïvement que ces dizaines de victimes violées, torturées, tuées auraient peut-être préféré être violées pendant leur sommeil, qui sait?

Tout ça (avec le bourrelles nazies plus haut) pour dire que cette affaire n’a rien d’extraordinaire comme on essaye de nous le faire croire du matin au soir.
Le coupable est un détraqué de plus, qui ne tue pas son unique victime, point final.

closer dit: à

puck, vous délirez gravement.

Marie Sasseur dit: à

»La féminité n’est pas une garantie d’humanité »
En illustrer l’exemple avec des kapos nazies convaincues.

C’est juste, mais est-ce le sujet du débat soulevé par l’affaire Pélicot ?
Est-ce que le débat Pélicot a pour corollaire l’honorabolité, la bonté, la noblesse d’âme, attribuée tacitement à toutes les femmes ?
Non.
Le procès Pélicot montre que monsieur banal est capable d’aller violer une femme droguee sur proposition de son mari.
Est cexsur monsieur banal est in nazi ?
Bien sûr que non, c’est ce qui gêne un peu water closet qui a du mal à trouver un précédent historique dans l’horreur, dans une république qui n’est pas le reich nazi, pour refuser de voir la réalité.

Marie Sasseur dit: à

Est ce que monsieur banal est un nazi ?

closer dit: à

Avec toute la mauvaise foi qui règne sur ce blog, je suis obligé de préciser que je ne minimise pas ni n’excuse le coupable. Je dénonce l’exploitation qui en faite par des milieux qui essayent de nous faire croire que l’on est devant un crime inouï, sans précédent qui démontre le machisme systémique qui règne en France et que sais je encore…
Il y a eu et il y aura encore mille fois plus atroce. Faisons tout notre possible pour détecter ces cinglés à temps et les mettre hors d’état de nuire…

Marie Sasseur dit: à

Tu te rends compte de ce que tu lis, frotte toi mes yeux :

« Je me disais naïvement que ces dizaines de victimes violées, torturées, tuées auraient peut-être préféré être violées pendant leur sommeil, qui sait? »

On sait une chose, c’est qu’à 80 balais, il y en a qui devraient laisser la place.
Pour le bien-être de l’humanité.

Marie Sasseur dit: à

Il y plus atroce, dit water closet, qui cherche à se conforter sur Wikipedia…

Ce genre de raisonnement, relativisme fallacieux, qui a servi a cautionner bien des atrocités.
Doit ignorer que la France est un pays de Droit.
Malgré les assauts de plus en plus barbares, comme water closet a en donné la preuve, une nouvelle fois.

Marie Sasseur dit: à

J’ai clairement indiqué que l’affaire Pélicot est un précédent qui risque d’augmenter le seuil de tolérance vis à vis de l’insoutenable.
Avec l’irresponsable water closet et un deux idiot-e-s utiles sur ce blog, on y est !

Rosanette dit: à

@closerJ
e dénonce l’exploitation qui en faite par des milieux qui essayent de nous faire croire que l’on est devant un crime inouï, sans précédent qui démontre le machisme systémique qui règne en France et que sais je encore »…
que le crime soit inouï ,sans précédent dans l’horreur pourquoi pas ?C’est ce qui explique son écho médiatique .
en revanche qu’il démontre « le machisme systémique qui règne en France  » c’est absurde
et sur ce point je suis pleinement d’accord avec vous comme je l’ai déjà écrit de manière »radoteuse et lassante « 

Marie Sasseur dit: à

monsieur banal , bien planqué derrière don écran, sait maintenant ce qu’est le consentement , il faut l’espérer.
Si c’est pas oui, c’est non.

Chaloux dit: à

Céline Pina a parfaitement raison.

Dans le Beaux-Arts d’octobre il y a une très amusante analyse de la Dulle Griet de Breughel: le monde dirigé par les femmes. Un carnage.

Marie Sasseur dit: à

Marie Sasseur dit: à
La conséquence sociale de cette affaire Pélicot sera comme déjà évoqué par certaines personnalités, le consentement.
Autant vous le dire tout de suite, cette forme d’elopement n’a rien à voir avec le yes de Molly. 😁

C’est drôle en cherchant la définition complète de ce mot elopement, une fugue amoureuse, je me suis demandé quel avait été le jour j du mariage pour J Joyce.
Y avait-il la famille, ont ils fait un banquet, la mariée était elle belle, y avait il du soleil, enfin du bonheur quoi.

Alors ce fut un véritable elopement, deux fois !
James et Nora se sont mariés deux fois, en cachette, moins la seconde fois à cause des paparazzi, et la première fois, en 1904, Nora aurait menti sur son nom, à moins qu’ils n’aient jamais été mariés avant 1931.

Bloom dit: à

– Bon, suffit que je me prenne deux buts pour que Bibi-la-crapule se mette à dégommer de nouveaux voisins: « Yémen la guerre comme yéleveux »…Fuite en avant d’un fou (titre gogolien)

– Ca me rappelle la célèbre anecdote célèbre racontait goulûment le génial Ivry Gitlis:
« Savez-vous ce qu’El Cordobés, le fameux torero, a répondu quand Yehudi Menuhin s’est présenté à lui?
‘Et moi Yéhoudi merde!' »

– Tiens, mon ancien Conseiller culturel en Inde, François Vandeville, est en ce moment sur France Q en qualité de Secrétaire général du Sommet de la Francophonie. Un type bien, mais qui hélas ne s’entendait pas du tout avec l’ambass; le pire est que Département le savait (ils avaient déjà eu maille à partir en Allemagne), mais il a fait le choix de les renommer dans la même ambassade…Il a bien rebondi ensuite, N°2 à Mexico, olé coeurs!

– Causeur n’est pas liseur: le vers d’Aragon est

« L’avenir de l’homme est la femme ».
(« Elle est la couleur de son Ame.
Elle est sa rumeur et son bruit.
Et sans Elle, il n’est qu’un blasphème ».)
– Le Fou d’Elsa

Citer Ferrat quand on veut attaquer sournoisement Aragon, c’t’un peu nul. Caramba, encore raté (je cite FV).
Sans parler du contenu qui n’est que du réchauffé, tout le monde connnaissant les abjectes Phillys Henriot, Marceline Déat, Jacqueline Doriot, Pierrette Laval, Phillys Pétain, Renée Bousquet, Louise Darquier de Pellepoix, Mauricette Papon, Jeanne Hérold-Paquis, Henriette Lafon et Pierrette Bony, Eugénie Deloncle, Josephine Darnan, Charline Maurras, Paulette Morand, Jacqueline Benoist-Méchin, Céline Ferdine et toutes les krapules aux ordres des Fritz.

Dans ce magazine-là, ça cause, ça cause , mais ça baiSSe mal/mâle…

puck dit: à

@ »puck, vous délirez gravement. »

vous pouvez préciser svp ?
parce que quand on insulte quelqu’un le minimum est de préciser, à moins que ce soit aujourd’hui devenu la norme.

mais avant de préciser je vous conseille de regarder le début cette toute petite vidéo qui, je l’espère, fera fonctionner les 2 neurones qui vous servent à penser :

https://www.youtube.com/shorts/1T5JRVR53Eo

puck dit: à

quand la journaliste parle de 500 mille enfants elle est loin du compte.
selon des humanitaire on est plus proche du million.

et donc plus proche du nombre d’enfants morts dans les camps nazis que d’Hiroshima !

Jazzi dit: à

« Père Lachaise

81ème division :

Olympe MARTELLET (Adèle Colin : 1809-1902), gouvernante d’Alfred de Musset. »

Où est le problème ?

Jazzi dit: à

Il suffit de regarder autour de soi, la thèse systémique : « Tous les hommes sont des machos dominateurs et les femmes d’innocentes victimes » ne tient pas.

Chaloux dit: à

Aragon c’est du pipi de chat. Pas étonnant que Bloomie-le trou prévu à cet effet adore.

Heureusement que Bloomie fait partie de l’élite, qu’est-ce que ce serait si ce n’était pas la cas?

Jean Langoncet dit: à

@Il suffit de regarder autour de soi, la thèse systémique : « Tous les hommes sont des machos dominateurs et les femmes d’innocentes victimes » ne tient pas.

Ici elle tient très bien ; s’il s’agit de faire du chiffre

Jean Langoncet dit: à

Rions encore un peu

« JERUSALEM (Reuters) – Le député d’opposition israélien Gideon Saar va rejoindre le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu, a annoncé ce dernier dimanche, une décision appelée à renforcer le Premier ministre israélien sur le plan politique.

L’un des critiques les plus farouches de Benjamin Netanyahu au cours des années passées, Gideon Saar doit devenir ministre sans portefeuille et siéger au sein du cabinet de sécurité du Premier ministre, a rapporté de son côté la chaîne de télévision israélienne N12.

Une telle extension du gouvernement renforcera probablement la position de Benjamin Netanyahu en réduisant sa dépendance vis-à-vis d’autres membres de son gouvernement de coalition. »

Source : annoncée – le 29 septembre 2024 à 19h45

Chaloux dit: à

Le problème Jazzi, c’est que ce n’est pas la même personne. Il y a beaucoup de morts dans ce caveau.
Adèle ne s’appelait pas Olympe, elle est née en 1815 et non en 1809, et est morte en 1907 et non en 1902.
Ici son faire-part de décès.
Répéter toujours les même choses voit que tu n’as jamais fait de recherches historiques. Il ne suffit pas baver ce qu’on a lu (exemple le pied-bot de Talleyrand, il a fallu attendre Waresquiel pour apprendre qu’il ne résultait pas d’un accident).

https://www.ebay.fr/sch/i.html?_from=R40&_trksid=p4432023.m570.l1313&_nkw=adele+martellet&_sacat=0

Jean Langoncet dit: à

En effet, renato ; tous derrière le fou, en diagonale

Jean Langoncet dit: à

(on peut être calculateur, cynique et néanmoins fou)

J J-J dit: à

@ Quel rapport avec les gays JJJ? A priori aucun.
Le dénouement est un peu téléphoné
Dircloser, vous êtes toujours mesuré dans vos propos de centre mou, au point d’en être un garçon aseptisé, parfois. La précision gaie était significative sous ma plume, d’une part un clin d’oeil à notre ami, le spécialiste du cinéma et de la littérature,, et à mes autres amis (hétéro friendly) qui adorèrent le happy end du film, espérant sans doute que leur propre envie de se séparer se terminât par ce genre d’heureuse issue ; ils sont un brin fleur bleue, comme nous tous, certes, mais pas complètement « téléphonés » non plus. Les gens s’identifient en général à ce genre de films intimistes sans les traiter avec votre désinvolture, tel un aimable divertimento. Perso, j’en tire une conclusion sociologique… La force de l’amour sur la mode de la lassitude copulatoire a plus de chance d’advenir parmi l’actuelle génération des quadras dépourvue d’enfants, que parmi les milliers de couples qui se « plaquent » pour un rien aussitôt après avoir pondu un ou deux moufflets pour aller se « recomposer » ailleurs, en les mettant directement au centre de leurs inévitables chantages affectifs de ruptures… Comme si ces jeunes couples adeptes du « jveux tout, tout de suite », incarnaient la norme de la prétendue recomposition des rapports familiaux à venir, par rapport aux vieux couples bobos petits bourges qui se séparent sans trop savoir pourquoi, mais en s’y astreignant sans pathos apparent pour se singualariser du commun. Chez Michel Tournier, le « medianoche amoureux » avait une autre allure, mais c’était une autre époque, une autre génération.
Voilà ce qu’il convenait d’un brin sociologiser, me s-t-il… Et parfois, les Espagnols ont bien plus d’allure que les frenchies, quand leur cinéma nous parvient… Et qu’on ne vienne pas nous parler de Woody Allen, c’te blogue !
__________
@ Joyce … c un joli prénom… Comme celui de Carol Oates qui écrivit BLONDE, une somptueuss et inégalée fiction sur la vie Marilyn… Autre chose que la sombre merde d’Ellroy dont on nous fait tout un folklore pitoyab’, analogue à l’autre pensum de FF Coppola. – Les Ricains n’ont plus grand chose à proposer en ce moment, hormis un biopic de Trump propres à faire rêver les néo Pucks de nos RDL. Pitoyarbres !—

A pluss, bàv.

Bloom dit: à

Marie Sasseur dit: à
Bravo Robert, vous avez plié le fâcheux !

My pleasure, Marie.
Pas difficile – lui et ses clones sont de petits joueurs.

Rapanui dit: à

Charles Dickens, un des auteurs anglais que j’affectionne le plus, ne publiait-il pas ses romans sous forme de « feuilleton », ce qui avait pour effet d’en faire autant de « morceaux choisis », comme auraient dit nos aieux?
Un certain illogisme caractérise l’opinion formulée plus haut.

rose dit: à

Je kiffe grave

Si c’est pas oui, c’est non.

Jean Langoncet dit: à

Le pape appelle à un cessez-le-feu immédiat au Liban « martyrisé »
Article de AFP
Le pape François a exprimé dimanche depuis Bruxelles sa « douleur » devant l’élargissement du conflit au Proche-Orient et demandé un cessez-le-feu immédiat au Liban « martyrisé ».

« Je continue de suivre avec douleur et préoccupation l’élargissement et l’intensification du conflit au Liban », a-t-il déclaré à la fin d’une messe au stade roi Baudouin.
« Le Liban est un message mais en ce moment c’est un message martyrisé, et cette guerre a des effets dévastateurs sur la population », a-t-il poursuivi.

« Trop de personnes continuent de mourir jour après jour au Moyen Orient », a-t-il ajouté alors que l’armée israélienne a lancé des frappes massives visant de hauts responsables du Hezbollah et des sites d’armement du mouvement dans le sud du Liban et dans son fief à Beyrouth.

« J’appelle toutes les parties à un cessez-le feu immédiat au Liban, à Gaza, dans le reste de Palestine et en Israël », a encore déclaré le pontife argentin.

Près d’un million de personnes pourraient avoir été déplacées par les frappes israéliennes sur le Liban, le plus grand déplacement de population de l’histoire du pays, selon le Premier ministre libanais, Najib Mikati.

puck dit: à

@Les Ricains n’ont plus grand chose à proposer en ce moment

si Trump est élu les US pourraient au moins peut-être cesser de mettre le bordel partout sur la planète, au moins pendant 4 ans.

sauf que là les irakiens et les syriens viennent de pulvériser une base militaire en Syrie et on ne sait pas comment les américains vont réagir.

Trump avait demandé juste avant de quitter la MB de fermer toutes les bases militaires américaines en Syrie et en Irak et de faire rentrer tous leurs soldats à la maison.

c’est la seule fois où le Pentagone n’obéit pas à un ordre présidentiel, ils ont préféré y rester, je pense que tous les soldats américains de cette base militaire vont rentrer, mais pas entiers.

puck dit: à

les américains et l’Ukraine c’est tout de même une sacrée histoire.

en 2008 Bush Jr dit à la réunion de l’otan à Bucarest on va faire netrer l’Ukraine dans l’otan !

et là les français et les allemands disent niet pas question !

même le chef de la CIA W. Burns qui était à l’époque en poste à Moscou a dit : Niet ! si on fait ça c’est la guerre ! (ça fait partie des trucs confidentiels diffusés par Assange)

puck dit: à

non le chef d’état dont il faut le plus s’inquiéter actuellement c’est ni Poutine, ni Trump ou Biden, ni Nettanyahu ou Xi, le type le plus inquiétant c’est Macron.

les américains suivent leur plan, Poutine c’est pareil : depuis 2002 il dit que si l’Ukraine entre dans l’otan ce sera la guerre, Xi pareil etc…

non le seul qui est totalement erratique c’est Macron.

un type qui est capable de prendre une décision aussi absurde et réactive que la dissolution est tout à fait capable de déclarer la guerre à la Russie.

même les anglais ou même les polonais ne le feraient pas, mais Macron oui !

parce que psychologiquement c’est un type totalement instable et imprévisible.

J J-J dit: à

parce que vous accordez encore du crédit à ce pitoyable clown, puckt ?… qui faillit provoquer un coup d’état aux States !… Cessez donc vos éculubrations (!) et vos cyniques billevesées sur son « angélisme » alternatif à la politique de Bayden à l’égard d’Israel. Vous valiez mieux que çà, jadis.

Samuel dit: à

Les maronites, les sunnites et les druzes au Liban sont soulagés après l’élimination de Nasrallah et ses acolytes.
Oseront-ils dire merci aux israéliens ?
Pas sûr.

J J-J dit: à

et cessez de nous rabattre les orielles avec votre Macron qui n’est plus rien… depuis la mère U. von der Layen qui n’a même plus peur de sa bombinette atomique, dont il ne pourra jamais se servir pour faroucher Poutine & Mao Zedong, de toute façon.

puck dit: à

je lis vos commentaires et je comprends tout à fait vos obsessions pour les cimetières.

j’y vois une manière d’exprimer votre inquiétude sur la situation actuelle du monde.

surtout en Europe ! parce que maintenant la guerre en Ukraine est terminée, sauf qu’elle ne s’est pas terminée comme les occidentaux l’espéraient.

la question centrale qui se pose aujourd’hui est : les européens et les occidentaux vont-ils accepter leur défaite ?

les italiens, les espagnols, les grecs etc.. ils s’en tapent, même les allemands doivent contents que ça s’arrête pour pouvoir racheter du gaz à la Russie.

mais les anglais et les français c’est moins sûr !

on le voit dans le discours de Macron à l’ONU : il pense encore qu’il va pouvoir aider les ukrainiens à récupérer la Crimée et le Donbass, le mec il a un train de retard, sauf que quand l’information sera arrivée jusqu’à son cerveau il peut avoir une réaction totalement inattendue.

en plus la France est une puissance nucléaire et quand on est une puissance nucléaire il ne vaut mieux pas avoir un président instable dans sa tête…

du coup voilà je comprends que vous parliez de cimetières.

Jazzi dit: à

@Chaloux,le cimetière du Père-Lachaise totalise 70 000 concessions environ et depuis son ouverture, en 1804, un million de personnes y ont été inhumées à ce jour.
Dans mon guide (livre ou blog) j’ai dû faire le tri et ne retenir que les célébrités les moins incontestables : par exemple, Musset et sa soeur, mais pas sa gouvernante durant une dizaine d’années…

@JJJ, « Septembre sans attendre » est un film gai mais aucunement gay…

puck dit: à

le discours de Macron à l’ONU était totalement halluciné, mais celui du PM anglais l’était mille fois plus.
il faut le regarder dire son discours : quand il parle de la Russie limite il a de la bave qui coule de la bouche tellement il est enragé.

si les européens veulent voir grandir leurs enfants et leurs petits enfants il faut qu’ils lancent une pétition pour faire piquer le premier ministre anglais, ce type a la rage il faut le piquer sinon il va tous nous pulvériser.

puck dit: à

le truc drôle à l’onu c’est de voir l’audience suivant le type qui fait son discours.
pour Macron les 2/3 de la salle étaient vides, je pense que c’est la première fois que ça se produit.

il n’y a que pour le président ukrainien que la salle était encore plus vide.

closer dit: à

L’intention, cela veut dire quelque chose, puck. Madeleine Albright ne s’est pas dit « chic on va tuer des enfants en Irak », pas plus que les alliés ne se sont dit « quelle chance on va liquider tous les bébés de Hambourg et de Dresde! ».
Les tortionnaires femmes des camps nazis ont tué des enfants pour tuer des enfants, ce n’est pas moralement tout à fait la même chose, puck.

closer dit: à

Vous voyez, pour les cimetières il suffisait de demander à JB!
Réponse rapide et précise…

closer dit: à

« pour Macron les 2/3 de la salle étaient vides »

Pourtant hier matin, JC Casanova que j’ai connu mieux inspiré était en extase devant le discours de Macron…

Chaloux dit: à

Bloomie: »Dans un pays où « tout est politique », le désintérêt pour la politique est lui-même éminemment politique. »

Tout ce qui n’est point prose n’est point vers…

Chaloux dit: à

Aucun souci Jazzi, mais j’avais déjà corrigé les fausses informations concernant Adèle Colin.

puck dit: à

closer je vous aime bien.

ça me fait penser quand vous disiez que le film Nomadland montrait l’esprit pionniers des américains alors qu’il parlait des conséquences de la crise financière de 2008.

sur ce que vous dites de Albright je ne sais pas si je dois vous répondre ou si ce n’est pas mieux de vous laisser réfléchir tout seul, comme quand on dit il ne faut pas donner du poisson à ces gens il faut leur apprendre à pêcher.

je vous propose de relire ce que vous avez écrit et de chercher s’il n’y a pas un truc qui cloche dans votre raisonnement.

commencez par exemple par réfléchir à sa réponde sur le thème du « oui c’était nécessaire ».

à partir de là vous essayer de faire le lien entre le fait qu’elle donne cette réponse à la justification.

quand vous arriverez au fait de dire oui effectivement elle justifie cet acte qui a causé la mort de 500 mille enfants (pour rester à l’estimation de la journaliste).

et là vous revenez à la question de la responsabilité : elle justifie cet acte, mais elle n’en est pas responsable.

ensuite vous prenez la proposition inverse : elle n’en est pas responsable, mais elle pourrait le déplorer, voire le condamner et regretter la mort de tous ces enfants.

et là vous en arriverez à la proposition suivante : elle n’a rien fait, mais elle ne condamne pas.

ensuite vous relisez le que vous écrivez et vous regardez à nouveau si y’a qq chose qui cloche.

en fait c’est comme ça qu’on fait des dissertes de philo en terminale.

J J-J dit: à

@ Septembre sans attendre » est un film gai mais aucunement gay…
aij tjs l’impression que vous prenez les gens pour des demeurés, jzmn. Non, ce n’est certainement pas un film gai…, vous n’avez pas bien dû le comprendre, c’est une tragédie à peine voilée. Comment peut-on en rire ?

pmp, le fade J.C Casanova, je ne l’ai jamais connu inspiré… Un bien insipide directeur aronien de Commentaire, moins inspirant qu’un Nora-Gauchet au feu « Débat », un Nora qui ne sut hélas pas éviter le naufrage de sa revue, à cause de son arrogance légendaire (*cet homme antipathique m’a tjs fait penser au caractère de Boulez ou à celui de Lanzman, allez savoir pourquoij).

puck dit: à

closer il y a des allemands qui ont regretté ce qu’il s’est passé.

Albright n’exprime aucun regret : si c’était à refaire elle le referait ! elle provoquerait à nouveau la mort d’un demi million d’enfants !

sa disciple Nuland pense pareil pour l’Ukraine : des centaines de milliers de morts et un pays dévasté ? pas grave, si c’était à refaire elle le referait : elle empêcherait à nouveau les ukrainiens de signer les accords en mars 2022 !

puck dit: à

il y a des femmes qui n’éprouvent aucun sentiment maternel, aucune empathie, mais au niveau de ce que répond Madeleine Albright à cette journaliste, ce cynisme, cette froideur, je ne l’ai jamais vu.

J J-J dit: à

la sophistique délirante de puck se croit d’être pédagogique… Quand on s’amuse à la prendre en défaut, bien qu’il arbore de flagorneuses stratégies de captations sur lesquelles on y ferme les yeux, il est l’un des premiers à battre en retraite et à avouer qu’il ne connait rien à ce qu’il radote… Au fond, il maîtrise plus que tout autre l’art de l’enfumage, exposé par Raymond Boudon au sujet de l’art de se persuader des idées douteuses, fragiles ou fausses.
Mais qui s’en soucie ? – Le mien, de souci, ne vise qu’à étudier les diverses tactiques increvables des erdélien.nes pour capter l’attention de leurs partenaires. Pour le reste…, tout ce veau, toute opinion se vèle. Une maïeutique de poules efflanquées. Bàv,

D. dit: à

Compte tenu de l’actualité internationale, j’ai dû faire aujourd’hui un aller-retour en Antarctique. On est venu me chercher et on m’a ramené. Heureusement.

puck dit: à

zut j’ai oublié que votiez pour Glucksmann.

dommage que BHL ne se présente pas…

puck dit: à

D. tu penses quoi de donner le prix Sakarov à Elon Musk pour son combat pour défendre la liberté d’expression aux US ? c’est courageux non ?

D. dit: à

Je pense qu’il faut rendre à Elon Musk ce qui appartient à Elon Musk, qu’il faut rendre à Puck ce qui appartient à Puck, qu’il faut rendre à Bloom ce qui appartient à Bloom, qu’il faut rendre à Chaloux ce qui appartient à Chaloux et qu’il faut me rendre ce qui m’appartient.

Jazzi dit: à

Rien de dramatique dans « Septembre sans attendre », JJJ.
Cette histoire de divorce festif est jubilatoire et particulièrement cérébrale.
Et le couple s’amuse à voir la tête de leurs parents et amis à l’annonce de cet évènement.
Le ton est plus proche de l’esprit des films d’Almodovar que de la tragédie.
On peut même augurer que le couple divorce pour mieux se retrouver…
https://www.lelezarddeparis.fr/leternel-present-de-lamour

J J-J dit: à

Aujourd’hui j’ai découvert cette anglaise un brin étonnante, la connaissez-vous ?
https://www.babelio.com/auteur/Hilary-Spurling/62925
On m’a fourré dans le mains son histoire de la grande Thérèse, sous titrée « La plus grande escroquerie du siècle » (traduite chez Allia, 2003). Bien mystérieuse que cette Thérèse Humbert (Daurignac), on verra bien de quoi il retourne. J’imagine assez que MC/PR en sache quelque chose de plus frais.
BN à tous.tes,

rose dit: à

D. dit: à
Je pense qu’il faut rendre à Elon Musk ce qui appartient à Elon Musk, qu’il faut rendre à Puck ce qui appartient à Puck, qu’il faut rendre à Bloom ce qui appartient à Bloom, qu’il faut rendre à Chaloux ce qui appartient à Chaloux et qu’il faut me rendre ce qui m’appartient.

Oui. Je plussoie.

J J-J dit: à

Merci d’avoir mis en ligne votre chronique élogieuse à juste titre, mais qui, perso ne m’a pas vraiment convaincu… Rien à voir avec Almodovar ni Allen… A force de vouloir toujours comparer les films originaux à qq chose, je crains que LA critique paresseuse raconte toujours un peu n’importe quoi. Il vaut mieux la lire après coup, et s’en être formé un jugement avant de la lire ou alors, de l’avoir oubliée, c clair. Bàv,

J J-J dit: à

Mais vous appartenez-vous au juste, D. ?…, vous qui n’êtes jamais qu’une créature appartenant à votre bon dieu et point un César ? Bàv…

J J-J dit: à

@ dommage que BHL ne se présente pas…

A quoi ? et comment (en chemise blanche à col mao ?) -> On l’a déjà lue 100 fois, c’te mauvaise blague, sans l’avoir encore TAF bien comprise… Trump, Netanyahou, Xijiping, Poutine et Macron seraient-ils vos nouveaux maîtres à panser la cuisinière ou à sustenter le mangeur d’hommes ? Bàv.

Jazzi dit: à

Ne soyez donc pas paresseux, JJJ.
Je serais très intéressé de lire votre impression, assurément plus dramatique que la mienne, sur ce film que pour ma part j’ai trouvé réjouissant et léger.
Là où je vois surtout une comédie, ainsi que bon nombre de critiques, vous voyez une tragédie voilée.
ça mérite débat !

Jazzi dit: à

« votre chronique élogieuse à juste titre, mais qui, perso ne m’a pas vraiment convaincu… »

Comprenez bien que je ne cherche à convaincre personne, JJJ, seulement à faire entendre mon point de vue.

puck dit: à

D. tu sais quoi ? tu es la Sagesse incarnée !

je suis mille fois d’accord avec toi : il faut absolument rendre à Bloomy ce qui appartient à Chaloux et rendre à Chaloux ce qui appartient à Bloomy !

Ils doivent absolument commencer par entreprendre des démarches notariales pour faire un état des lieux et estimer ce qui leur appartient et réciproquement !

rose dit: à

« Joyce était animé de puissantes pulsions qui trouvèrent à s’exprimer »

rose dit: à

Cépamoi.
Je lui aurais donné le bon dieu sans confession.

rose dit: à

En Suisse, Bâle j’aime.
Quoi de surprenant ?

MC dit: à

Thérèse Humbert est un des rares personnages vivants insérés dans les Aventures d’ Arsène Lupin…. MC

MC dit: à

Je n’avais pas vu, mais tout arrive quand on s’absente, les avis de la spécialiste autoproclamée sur l’inscription Gouvernante d’ Alfred de Musset, qui , d’après elle, ne saurait avoir existe. Dans ce cas là, comment donc aurais-je trouvé ce gouvernorat??? Mieux vaut en rester à Ariane Chemin à qui je transcrivais l’inscription, un peu étonné je dois le dire: «  il a été très important pour elle d’être la gouvernante de Musset . Il est des cas , à la vérité nombreux , où Ariane Chemin vaut très largement Marie Sasseur!

JC..... dit: à

ANATOMIE CULTURELLE ET LITTERAIRE

En RdL, la majorité des nombrils parlent à d’autres nombrils. Sourds. Car les nombrils n’ont pas d’oreilles, hélas le résultat est décevant !

Bonne journée, camarades ombiliqueux.

rose dit: à

Pourtant, Marie Sasseur
« Si c’est pas oui, c’est non.

rose dit: à

« Si c’est pas oui, c’est non ».

rose dit: à

Notes diverses :
Ma mère ne changera pas d’Ehpad. C’est non.

Ai jubilé vingt heures non stop. C’est comme être moine et avoir des poux dans la tonsure.

Suis redescendue sur la terre ferme.

Moi non plus ne suis jamais agressive répugnante envers Clopine.

Brefeuleu, je me rendors.
Et non, c’est non.

rose dit: à

Notas supplétifs :
Ma mère et moi avons un gros truc en plus (pardon pour les autres).

La suite plus tard.

Marie Sasseur dit: à

La stratégie du bourrin

Chaloux dit: à
Suis en train de lire « Dix ans chez Alfred de Musset » par Mme Martellet née A. Colin, qui fut sa domestique, son infirmière et presque son médecin.

MC dit: à
Chaloux, Olympe Martellet a fait graver sur sa pierre tombale « Gouvernante d’Alfred de Musset

MC dit: à
Chaloux, je ne me suis pas fié audit site, pour la simple raison que je ne le connaissais pas. Mais j’ai vu , » de mes propres yeux vu », la pierre tombale. Après, c’est une question de mémoire . MC

MC dit: à
J’ai vu cette pierre tombale il y a longtemps, Pablo, mais il me semble que c’était Olympe. Maintenant, ces deux prénoms féminins sont fréquents au dix neuvième Siècle

Marie Sasseur dit: à

Le site en question où le menteur a vu
LA pierre tombale d’Olympe gouvernante de Musset, vue de ses yeux vu.

L’occurence Olympe Martellet gouvernante de Musset n’existe nulle part ailleurs que sur ce site , d’un amateur qui n’est pas a l’abri d’avoir, lui, d’avoir fait une erreur, de prénom et de dates.

Contribution est demandée aux parisiens: un petit tour au cimetière.

Marie Sasseur dit: à

MC dit: à
Chaloux, Olympe Martellet a fait graver sur sa pierre tombale « Gouvernante d’Alfred de Musset

Ça pose son erudit de fête foraine, nan ?

Marie Sasseur dit: à

@hélas le résultat est décevant !

Surtout quand on ne participe en rien…

Chaloux dit: à

« Dans un pays où « tout est politique », le désintérêt pour la politique est lui-même éminemment politique. »

Tout ce qui n’est point vers n’est point prose.

Marie Sasseur dit: à

Ça pose son erudit de fête foraine, nan ?

Des détails sans importance , la plupart du temps erronés, ou volontairement maquillés, ou inventés, et détectables quand on  » tombe  » dessus , inverifiables ou nécessitant une armée de fact-checkers à plein temps, tellement tout est falsifié dans les propos de ce chatgpt détraqué.

Chaloux dit: à

Tout ce qui n’est point prose n’est point vers.

Marie Sasseur dit: à

Tout n’est pas perdu.
Merci d’avoir suscité cette curiosité.

« Minorité religieuse du Moyen-Orient actuel, les Druzes de Syrie, du Liban et d’Israël forment des communautés dont les chefs spirituels se caractérisent par une pensée ésotérique originale. Leur livre saint, la Sagesse, développe une interprétation nouvelle du Coran et jette les fondements d’un ésotérisme dogmatique qui tranche avec le shi’isme ismaélien dont il est issu.

Sur le socle de leurs doctrines secrètes, les savants druzes du xve siècle établirent une doctrine juridique singulière en islam et des institutions propres à gérer les affaires privées des croyants. Le droit druze en dit long sur cette normativité, à l’instar de l’interdiction de la polygamie, de la répudiation ou du mariage mixte. Quels sont les fondements historiques de ce particularisme communautaire ? D’aucuns l’attribuent à un personnage mythique, l’émir al-Sayyid (m. 1479), quand d’autres y voient la preuve d’une singularité religieuse. Wissam H. Halawi examine cette période de transition en confrontant sources narratives et juridiques inédites. »

https://triangle.ens-lyon.fr/spip.php?article11233

J J-J dit: à

TRAGI-COMEDIE

– bjr jzzman… J’ai donné mon propre point de vue sur ce film, mais vous ne l’avez pas assimilé. J’ai souvent le dé-« formatage » d’aller au delà d’une première impression, et de « sociologiser » un film en sondant les interrogations qu’il a chez moi suscitées. Ce film représente à mes yeux une tendance « tragique » de l’évolution des mœurs de certains segments de nos sociétés. Ce dont vous semblez « débattre » entre nous repose alors sur un évident malentendu de cadrage… Personne n’a évidemment le monopole d’une interprétation possible qui en vaut une autre, à moins d’en appeler directement à une intention univoque du réalisateur à l’égard de son film… Or, à ce sujet, tous ne s’expliquent pas la diversité des réactions des spectateurs attentifs à leur film quand iceux n’entendent pas se laissent influencer par les « critiques » qui racontent généralement la même chose… Et souvent, leur réactions important plus à ces réalisateurs que celles des critiques patentés… Comme on les entend chez ces sinistres comédiens du dimanche soir, où un public de bêtes à sous vient compter les points des apparentes divergences entre eux afin de les distraire, comme jadis au cirque barnum des Bory/Charensol.

– Tout ce qui n’est point vert est pause (Thérèse Humbert : « ce que je veux, je l’aurai »).

– Par exemple, ce qui est exactement écrit sur la tombe de Céleste Albaret ne m’a personnellement jamais intéressé. Or, je veux bien supposer que cela intéresse la terre entière, au point que l’on ait vu des gens s’entretuer pour avoir raison, à bien moins que ça. A côté de cet enjeu, ne venez surtout pas nous emm…. avec le sort du Liban ou avec l’état des pouponnières françaises. Pfff !

– Le plus souvent, les « choses » entre elles ne sont pas co-mensurables. Seule, chaque petite musique intérieure qui s’échappe parfois de nous, peut atteindre l’autre, et susciter du rapprochement intersubjectif par on ne sait quel truchement d’un soudain acouphène. Toute l’herdélie, y compris les plus improbables de ses membres correspondants, peut être bénéficiaire de ce proche bruissement, sans en avoir conscience.

Bàv (30.9.24_8.26)

Marie Sasseur dit: à

@Or, je veux bien supposer que cela intéresse la terre entière, au point que l’on ait vu des gens s’entretuer pour avoir raison, à bien moins que ça.

Je pense que tu sous-estimes l’enjeu qui est moins de tout savoir sur une pierre tombale que de constater  » l’expérience de la pensée  » qui fait de telle personne un personnage imaginaire on a même lu , devant des erreurs manifestes qu’Olympe pouvait être la belle-sœur d’Adele ,
que de se demander à qui servent ces réalités alternatives et leur mode d’expression, toute expérience littéraire étant ici exclue la dinguerie ne pouvant cependant pas être écartée.
Devant une accumulation d’indices graves et concordant, lol, je n’ai plus aucun doute concernant le chatgpt détraqué.
Pour un lecteur de Musil, thesard !, franchement, tu n’as pas retenu grand chose.
Bonne suite, c’est lundi.

J J-J dit: à

Sur la photo de Gisèle (F.) mise à l’affiche, il me parait évident que Joyce vient d’être foudroyé par un acouphène en train de lui donner une clé d’explication d’un passage d’Ulysses qu’il n’avait jamais bien compris lui-même.

J J-J dit: à

Je veux bien essayer de comprendre votre logorrhée, une fois de plus, mais votre tutoiement systématique m’en entrave grave, hélas… Je vous le redis une fois de plus : nous n’avons jamais gardé vos (lots) gorets ensemble, alors qu’on aurait pu.

closer dit: à

Merci Monsieur Puck pour vos précieuses explications. Je suis honoré que vous m’ayez consacré autant de lignes.

Allez plus loin: fallait il bombarder Hiroshima et Nagasaki? Hambourg et Dresde? Caen et Le Havre?
Je suppose que MA était persuadée que l’action US en Irak était nécessaire, ou alors cela signifierait qu’elle y aurait contribué pour le plaisir de tuer des innocents, ce que je ne crois pas. Elle se trompait comme beaucoup d’autres politiques. Elle montre une insensibilité rare dans cet interview, je le reconnais. Est-ce que cela la met dans le même sac que les kapos femmes des camps qui tuaient des enfants? Je ne le pense pas.

C’est toute la question des victimes civiles de la guerre qui est posée. Vous avez certainement la capacité d’y répondre et je vous en remercie d’avance.

closer dit: à

Tragi comédie? Une tragi comédie c’est bien la controverse hallucinante sur la tombe du Père Lachaise! Un historien du futur qui se pencherait sur la RdL se demanderait sur quelle bande de fous du 21ième siècle il est tombé…

Bloom dit: à

Retour sur cet article faiblard de Cozeur. Mon successeur à l’Af Pondy, qui venait de Nankin où il s’était  éclaté, disait de la directrice des cours que j’avais neutralisée fastoche pendant 3 ans et dont il avait hérité,  « n’aurait pas déparé la rampe à Auschwitz »(verbatim). Rien de nouveau sous le soleil.
(Ce pauvre Gérard dut hélas jeté l’éponge après 6 petits mois)
Nos fâcheuses femmes fachos, Marine et Marion, la tata et la cousine, yaourt et tartine,  pd-gères d’une entreprise familiale florissante, elles auraient fait quoi pendant l’Occupation? Henriot ou Laval? Darnan ou Bousquet? Doriot ou Deat?
En attendant, ces détourneurs de fonds publics, la honte de la France, l’affront national, vont en prendre pour leur volgograd. Un petit séjour par la case prison surpeuplée leur fera le plus grand bien, agrémenté de peines d’illégibilité qui à la hauteur.de leur forfait. Fini la demago à deux marks.

Bloom dit: à

Finie

Bloom dit: à

Jeter

closer dit: à

Septembre…est une gentille comédie un peu répétitive « Estamos bien, estamos muy bien » répété je ne sais combien de fois et un final couru d’avance. Mais c’était souvent amusant et bien joué. Pas de quoi argumenter pendant des heures (suivez mon regard…).

J J-J dit: à

@ Cl… déjà un embryon de réponse dans le post précédent, pour ce futur historien : « toute expérience littéraire étant ici exclue la dinguerie ne pouvant cependant pas être écartée ».
Et croyez-moij, elle sait de quoi elle cause dans ses pinceaux !… Elle a bien lu son Musil (le surnom de Foucault Michel pour les extimes e-lettrés) !… et Ses Bals hivernent, comme d’hab !
Bàv,

J J-J dit: à

Oui, vous nous l’aviez déjà dit, cl.. Pourquoi en rajouter encore un 1/4 d’heure ? Vous perdez votre temps dans les cimetières à deux sous, cher ami. Sans vouloir vous

J J-J dit: à

La vision sarcastique des hordes de touristes débarquant chez J. Ferrari en Corse, vaut vraiment le détour. A mourir de rire, l’est.
On dirait parfois du bilieux C., au meilleur de sa mauvaise foie. – Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Le tu t’entrave.
Bof, c’est une « raison  » on va dire.

« La controverse à propos d’une tombe d’une illustre inconnue au plus grand nombre » présentée comme cela, c’est évidemment rigolo pour amuser un public acquis à la cause de la bêtise et à l’abrutissement, démence sénile?.
Dire mille fois une chose fausse n’en fera pas qu’elle devienne une réalité.
Pour avoir éprouver durablement le harcèlement insane d’un détraqué une fois mis en doute la réalité de son  » savoir « , cet énième épisode de rdl saison n, vient ponctuer une conviction établie de longue date.
Que cela se fasse sur un détail absolument insignifiant, et erroné, ma foi, ce chatgpt détraqué n’a t il jamais produit autre chose sur ce blog ?

J J-J dit: à

« Estamos bien, estamos muy bien »… sur l’air de Cria Cuervos, c’est tragique anéfé, ou plutôt pathétique, je vous le concède, dircl.cl

Jazzi dit: à

« Ce film représente à mes yeux une tendance « tragique » de l’évolution des mœurs de certains segments de nos sociétés »

Quand vous avez dit ça, vous n’avez rien dit, JJJ.
Tout le reste n’est que généralités sociologiques et subjectivistes sur la critique cinématographique et ne nous parle pas de votre point de vue sur le film…
J’y ai d’ailleurs rien compris !

Marie Sasseur dit: à

Aïe
Pour avoir éprouvé durablement le harcèlement insane d’un détraqué une fois mise en doute la réalité de son » savoir « , cet énième épisode de rdl saison n, vient ponctuer une conviction établie de longue date.

J J-J dit: à

RECTIF / Dire mille fois une chose fausse n’en fera pas qu’elle devienne une réalité (MS).
Une vérité plutôt, non ?…
Votre nouveau label (le détraquéchatgpt) ne change en rien la pulsion harceleuse qui vous aide à tenir… Sans MC, votre bouc-émissaire favori du moment, il ne vous resterait pas grand chose pour vous faire accroire, à la vérité.
Mais jusqu’à quand, au juste, resterez-vous l’esclave de votre propre tracto-pèle intoxiqué ? Croyez-vous que Passoul soit flatté de vos chatteries ? C’est à désespérer du singe qui ne répond jamais à la profondeur de vos abyssales analyses littéraires.
Ce faisant, chacun.e imagine aisément la cause de votre porcine aigreur inextinguible sur cette chaine, à défaut d’en comprendre entièrement la furieuse mais vaine vacuité.
Bàv @ les FFF-i

J J-J dit: à

@ J’y ai d’ailleurs rien compris !

Quel aveu, jzmn ! Comme quoi tout ce qui précède en dit long sur votre dernier commentaire. Cessons là, SVP. Tchin @ la RDL reconnoissante. Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Dus toquard, tu parles comme une barrique qui fuit.
Fais plus court et pertinent.
Tes sempiternelles idioties sur les uns les autres ne sont plus tellement amusantes.
Et je remercie Passou et Robert, sans eux j’aurais persisté à ne pas motiver un non ferme à cette  » poésie  » joycienne de Molly.

Phil dit: à

porcine aigreur

dear Passou doit apprécier la Maigrette de canard

J J-J dit: à

@ Le tu t’entrave.

OUI, et comment !… il vous salit, surtout, hélas.

Jazzi dit: à

Lettre d’une jeune femme digne.

« Je suis la première victime de Taha O. Je pense à Philippine et à sa famille, et je suis immensément triste. J’aimerais les réconforter, la réconforter, mais je ne fais face qu’au vide insupportable laissé par sa mort. »

« J’ai tout fait pour que ce qui m’est arrivé ne se répète pas. J’ai porté plainte pour que le viol que j’ai subi soit nommé et reconnu, que mon agresseur soit reconnu coupable et moi, victime. J’ai tenu bon pendant les deux ans d’enquête, d’instruction et de procès en me disant que ma démarche protégerait d’autres femmes. »

« La justice a été faite, mon agresseur a été condamné à la peine quasi maximale encourue pour ce type de crime commis par un mineur et a été incarcéré. Immédiatement après sa libération, il aurait récidivé et commis l’irréparable. Si tel est effectivement le cas, pourquoi ? Pourquoi le système pénitentiaire a-t-il failli à prévenir cette récidive ? Pourquoi n’a-t-on pas su arrêter cette escalade de la violence jusqu’au meurtre d’une jeune femme ? »

« La dangerosité de Taha O. était connue. Un homme qui viole une femme est dangereux. Qu’il soit inconnu de sa victime ou son mari, qu’il soit étranger ou français, que le viol ait eu lieu dans une forêt ou dans un appartement conjugal. Le viol est un crime. Il est le radical de la violence, il contient en son sein une négation de l’autre, de son droit à être et à exister. »

« Une obligation à quitter le territoire français (OQTF) avait été émise à l’encontre de mon agresseur. Celle-ci n’a pas été exécutée. Les raisons de ce dysfonctionnement devront être éclaircies et ces failles corrigées. Ces questions ne doivent cependant pas oblitérer la question primordiale de la prévention de la récidive. Quand bien même cette OQTF aurait été respectée, quels dispositifs de coopération internationale existent pour prévenir la récidive de crimes sexistes et sexuels de criminels expulsés ? Notre fraternité, notre humanisme, ne peut pas s’arrêter aux portes de nos frontières. »

« Je souhaiterais le lancement d’une commission d’enquête sur la prévention de la récidive dans les cas de crimes sexuels et sexistes. Quelles mesures de prévention de la récidive sont prévues et effectivement mises en place dans les centres de détention ? Quel est l’impact de la détention dans la réduction des risques de récidives ? Quels programmes d’accompagnement à la réinsertion sont prévus ? Il me semble essentiel que nous nous interrogions collectivement sur l’effectivité des moyens mis en place et ceux à créer pour que ce qui est arrivé ne se reproduise plus. »

« Philippine aurait pu être ma sœur. Je ne peux être sa voix, je ne suis que la mienne. La parole que je porte se joint à celle des femmes qui ont lutté et luttent encore aujourd’hui contre les violences sexistes et sexuelles. »

J J-J dit: à

@ ne sont plus tellement amusantes.
Surtout quand elles vous concernent directement, sans aucun doute. Parce qu’elles l’étaient, avant, amusantes ? Une barrique pour une bourrique…, oh, c kif-kif, comme on dit en Arabie 😉

Marie Sasseur dit: à

@Surtout quand elles vous concernent directement

Tes imbecillités ?
Non, elles ne me concernent pas.

J J-J dit: à

Quand je prends la peine d’écrire et de m’adresser à un public anonyme quoique pseudo_isé, je fais toujours attention à ne jamais être envahi par la moindre émotion. Icite, il y en a trop, il n’y a même que ça… Comme si pactiser avec le témoignage « d’une jeune femme digne » au drame du jour en la copiant-collant devait valoir à son auteur une manière d’absolution. Ite missa est, jzmn@mielde fiel.org – Bàv,

Bloom dit: à

Pas vu l’info dans les journaux français (entendu sur F.Inter seulement) qui, il me semble, se concentrent sur Beyrouth, notre ancienne zone d’influence…Grand classique du tropisme « national » des relations extérieures:

Times of Israel, ce matin:
« Dozens of Israeli planes strike port, power plants in Yemen after Houthi missile attacks
Day after Houthis claim missile targeted PM’s plane at Ben Gurion Airport, IAF hits Hodeidah, Ras Isa port, where Iran-backed group said to receive arms, oil; Houthis say 4 killed »

Solidarité avec les Beyrouthins et les collègues de l’IF du Liban, via l’ami Edouard, Attaché Q à Sofia:
https://www.facebook.com/edouard.mornaud/posts/pfbid02Kp7df9mTeZxEpoQ9hNT7iu2k2qnKkCtG2mXE5z1X84eqJdfzMf7khy9tEbcv59knl?from_close_friend=1&notif_id=1727512974355823&notif_t=close_friend_activity&ref=notif

Quand ça canarde, on renvoie la famille à la maison et on reste en poste, c’est la règle et c’est normal.

J J-J dit: à

@ Elles ne me concernent pas…
Ah bon ? On avait cru, pourtant, la prueva… et plus fissa, tumeur.

J J-J dit: à

@ rBl, oui mais que peut-on faire quand on reste à la maison en Roumanie ou à Pondy, chéri ?… J’avoue en perdre mon latin diplomatique, Rbl
(@ Walit Joumblatt, l’infatigable, entendu ce matin, j’ai eu naguère la chance improbable de le croiser à Beyrouth, au cours d’un voyage au Liban et en Syrie, en 1999. Eté ému d’entendre le vieux druze survivant parler dans un langage français aussi pur que jadis, celui de Leila Shaïdit, la porte-parole de Y.A.). – Bàv,

Bloom dit: à

La vision sarcastique des hordes de touristes débarquant chez J. Ferrari en Corse, vaut vraiment le détour

A mettre en regard avec la description des passagers du bus Ryan Air à destination de Shannon via l’aéroport de Beauvais dans La Carte et le territoire d’un Welbeck encore drôle et lisible avant de se faire sinistre et risible .

Ferrari c’est un bolide, il était prof de philo au lycée français de Dubai quand il a eu le Goncourt, amplement mérité.
Sont rares, les vrais bons comme lui. Pas au-dessus d’une demi-douzaine, si l’on excepte les « institutionnels ». Passou en a évoqué un dans un de ses billets précédents. Objectif le dernier carré des as.

closer dit: à

Belle lettre de la première victime du meurtrier présumé, JB. Belle lettre mais je crains que les voeux de prévention de la récidive ne puissent pas être exaucés.
Les seuls remèdes vraiment efficaces à ma connaissance sont la castration chimique et l’enfermement définitif. Y sommes nous prêts?
Si quelqu’un a plus d’info sur la prévention du viol il sera le bienvenu.

Chaloux dit: à

Trump est décidément un homme extraordinaire.

Bloom dit: à

3J, la famille Joumblatt, fiers Druzes du Chouf, sont les « parrains » des deux garçons qu’a adoptés un de mes anciens collègues libanophile, actuellement en poste au Mali .
Je songe aussi aux tourments de mon ami S. qui fut kidnappé et retenu en otage alors qu’il dirigeait le centre culturel de Tripoli et qui a deux beaux enfants issus d’un mariage avec la fille d’une grande famille de pharmaciens sunnites de Beyrouth…Des gens déchirés au plus profond car tout autour, c’est la peste et le choléra…
Vous avez du vécu dans la région & savez quels sacs de noeuds il faut dénouer…

Quant à « Shmuel », le pseudo-intermittent de Tsahal (la blague!), il a tout simplement oublié les Palestiniens dans sa liste des populations du Liban. Sabra et Chatila, y connait visiblement pas. Pourtant, c’est bien l’IDF qui a couvert les assassins phalangistes/chrétiens maronites pour qu’ils accomplissent leur sale besogne d’égorgeurs d’enfants, de femmes et de viellards, comme le montre si puissamment Ari Folman, authentique tankiste israelien, lui.

Alors qu’approche la saison des prix, on se souviendra que récemment, une partie du jury Goncourt, dont notre hôte, a refusé de faire le voyage de Beyrouth à l’invitation du Ministre de la culture Md Mourtada, proche du mouvement (de la milice) chiite Amal, ancêtre et fidèle allié(e) du Hizbullah.
Rétrospectivement, on ne peut que saluer leur décision. Ceux qui y sont allés se posent-ils aujourd’hui des questions? Iront-ils déjeuner chez Drouant le coeur léger?

Bloom dit: à

vieillards

Bloom dit: à

approche de

J J-J dit: à

@ cl. En général, je conseille aux gens désireux d’en savoir plus sur ce qu’il leur semble devoir faire, d’en référer à mon collègue Jean Proulx, du CICC, un bon spécialiste de la criminalité sexuelle et du traitement de ses auteurs judiciarisés, déjà écouter ses conférences et, lcé, lui adresser des demandes de savoir au site suivant :
https://www.cicc-iccc.org/fr/personnes/chercheurs_reguliers/jean_proulx
Bàv,

J J-J dit: à

Intéressante, votre mise au point sur la complexité libanaise, rBl, je la partage… Et me rappelle bien de la « désertion » de notre hôte avec celle de Tahar BJ… Peut-être s’en expliquera-t-il mieux un jour, dans ses futurs mémoires de juré… On doit l’espérer.

J J-J dit: à

mais au fait j’y repense, rBl, comment se portent FERRIER le japonais et COETZEE, l’australien ?
Bàv,

J J-J dit: à

@ la castration chimique 1/ et l’enfermement définitif 2/. Y sommes nous prêts?
Pmp,

1 – OUI, et suelement s, l’auteur y consent en la demandant instamment… Sinon, NON, jamais ! Je ne la demanderais jamais à aucun politique. Cette idée de « politique pénale » ne se ne me serait même jamais venue à l’esprit. C’est dire ce qui nous oppose, matériellement et idéologiquement.

2 – JAMAIS ! je ne serai jamais un partisan de la peine de mort lente, pire encore que l’autre.

Cela dit, on s’en fout de ce que chacun pense icite… Mais parfois, ça fait du bien de l’énoncer, et sans grandes nuances.

On peut aussi poser d’autres questions oiseuses à l’ascenseur. Genre : auriez-vous été pour castrer chimiquement l’abbé Pierre, si vous aviez su qu il était, comme le surent les Suisses qui le gardèrent un temps bien au chaud, jadis ?… (sans aucune obligation de réponse, comme d’hab, bien sûr).
Bàv,

rose dit: à

Et me rappelle bien de la « désertion » de notre hôte avec celle de Tahar BJ…

Moi aussi.

Bloom dit: à

Mick est au top, il a passé son mois de vacances au soleil, prépare un nouvel opus & travaille avec un collectif d’artistes.
L’ami John est encore sous le coup de la disparition de l’auteur de la Trilogie New Yorkaise. Me Too. Des dizaines d’étoiles ont cessé de briller depuis qu’il nous a quittés. John fait souvent le voyage en Argentine où il est fêté comme nulle part ailleurs et publie ses romans en traduction espagnole avant leur version anglaise. Il s’est forgé un monde de littérature des Suds, à la thématique cohérente et privilégie cet espace à fois géographique et intérieur.
Je ne désespère pas de l’interviewer prochainement (une rareté, comme vous savez).

J J-J dit: à

Ailleurs, Christiane nous a remis en mémoire l’oratorio final de Sonia, la nièce de l’Oncle Vania. C’est magnifique ! Je vais le murmurer à l’oreille de MM, pendant qu’elle s’endormira, et lui rendre à nouveau l’hommage d’amour qu’elle mérite. Comme à tout.es celzéceux frappés par le malheur quotidien, inconsolables.
—-
« Que faire ? il faut vivre ! Nous vivrons, oncle Vania ! Nous vivrons une longue série de jours, de longues soirées. Nous supporterons patiemment les épreuves que nous enverra le destin. Nous travaillerons pour les autres, maintenant et dans notre vieillesse, sans connaître le repos. Et quand notre heure viendra, nous mourrons soumis. Et là-bas, au-delà du tombeau, nous dirons combien nous avons souffert, pleuré, combien nous étions tristes. Et Dieu aura pitié de nous. Et tous deux, nous verrons, cher oncle, une vie lumineuse, belle, splendide. Nous nous en réjouirons, et nous rappellerons avec une humilité souriante nos malheurs d’à présent. Et nous nous reposerons. Je crois à cela, mon oncle ; je le crois, ardemment, passionnément… Nous nous reposerons (…) Nous nous reposerons ! Nous entendrons les anges. Nous verrons tout le ciel en diamants ; nous verrons tout le mal terrestre, toutes nos souffrances, noyés dans la miséricorde qui emplira tout l’univers ; et notre vie deviendra calme, tendre, douce, comme une caresse. Je crois cela, oncle ; je crois… »

Il y a ce passage super émouvant aussi dans le roman de Norek, quand les soldats frigorifiés et épuisés arrivent à s’endormir en écoutant le murmure de la prière du petit paysan finlandais. Devenu tireur d’élite à son tour, sa prière… devenue un hymne à la résistance.

rose dit: à

nous mourrons insoumises, nous.
Sinon, quelle beauté !
Merci Christiane et J J-J d’être le relayeur.

MC dit: à

Eh bien allez donc au cimetiere , Sasseur, et restez-y le plus longtemps possible! Je ne vois pas en quoi avoir vu cette pierre tombale il y a des années diminue la force du témoignage. Sans compter Ariane Chemin , que vous vous gardez bien de réfuter. MC

Bloom dit: à

Billet d’humeur du camarade Erner sur FC vendredi dernier, 27 septembre 2024, avec lequel j’empathise pleinement, comme on dit en anglais.

Un siècle de sionisme vient de disparaître.
97 ans exactement, c’est un artiste israélien qui s’est éteint. Son prénom était Dov, et son nom en hébreu signifiait lumière.

Si je vous en parle, c’est parce que sa vie résume ce qu’a été vraiment le sionisme, le sionisme originel, et non pas ce qu’on en a fait ou les contresens qui sont faits à son sujet. Dov s’appelait en réalité Bernard. C’était un gamin de Belleville, à Paris.

Il avait 12 ans en 1939, juste assez pour porter l’étoile jaune et assister à la déportation de ses parents, qui avaient à peine eu le temps de lui dire, à lui et à son frère, d’aller faire des courses pour échapper à la rafle. Enfant caché dans le Vercors, il lui a fallu tout réapprendre en 1945, non seulement à lire et à écrire, mais aussi à parler et à ne plus avoir peur des hommes. Orphelin, pratiquement sans famille, il a sauté dans un bateau à Sète pour fonder un kibboutz en Israël, non loin d’Ashdod, petit port de pêche. À l’époque, le kibboutz était une utopie socialiste, tout était mis en commun, même les vêtements. Dov travaillait dans les champs et dessinait. Il est devenu un artiste, un grand artiste, a participé à la création du musée d’Israël, puis a couché ses obsessions sur le papier ou à travers différents gestes.

En mémoire de ceux qui étaient devenus poussières, il a travaillé sur la décomposition. Il s’est enfermé dans une cage à Tel Aviv pour protester contre la guerre, a construit des ogives en balsa, a dessiné Hitler, des milliers de Hitler en porte-jarretelles, jusqu’à faire une exposition intitulée My Friend Hitler , conjurant ses terreurs d’enfant – un enfant octogénaire. Dov détestait la politique du Grand Israël, et finalement, sa vie durant, il a été une souris sur l’enclume, fuyant l’Histoire avec sa grande hache, luttant pour les Palestiniens, luttant aussi pour un foyer juif, car les peuples qui n’ont pas d’État n’ont pas de droits – si vous ne me croyez pas, demandez aux Kurdes ou aux Palestiniens. Enfant, j’avais dans ma chambre l’affiche de l’une de ses expositions : on le voyait aux côtés d’un Palestinien avec cette question : « Which of these two men will die first? » – lequel de ces deux hommes va mourir en premier, Dov nous a quitté et je ne sais ce que ce palestinien est devenu. Certes, Dov Orner était mon oncle, mais je suis sûr que vous aussi, vous l’auriez aimé.

Rosanette dit: à

Peut être ma mémoire m’induit-elle – en erreur, mais je crois me souvenir que pour l’évènement évoqué notre hôte et Tahar Benjelloum avaient été considérés -on comprend pourquoi,-comme des  » persona non grata » par les invitants ;
Et ce qui , autant que je m’en souvienne , m’avait paru scandaleux , c’est que les autres membres du jury aient répondu favorablement à l’invitation ; au lieu soit d’imposer leur présence soit de refuser de participer à la manifestation ;Plus que de l’inélégance

Rosanette dit: à

@ bloom
qui est ce John , apparemment un écrivain connu ,qui a été si ébranlé par la disparition de Paul Auster

Marie Sasseur dit: à

Le détraqué demande à d’autres de vérifier ses mensonges.
Intellectuellement les révisionnistes imposent aux autres la charge de de la preuve, c’est un grand classique,
Et Olympe Martellet fut.

Jazzi dit: à

MS et MC, je me charge d’aller vérifier…

J J-J dit: à

@ rosanette : john maxwel Coetzee

J J-J dit: à

oups, pardon rBl, la question s’adressait à vous…

Marie Sasseur dit: à

@ »Alors qu’approche la saison des prix, on se souviendra que récemment, une partie du jury Goncourt, dont notre hôte, a refusé de faire le voyage de Beyrouth à l’invitation du Ministre de la culture Md Mourtada, proche du mouvement (de la milice) chiite Amal, ancêtre et fidèle allié(e) du Hizbullah »

Cher Robert, il me semble en effet que la rdl avait suivi cette affaire très pénible, d’abord pour Passou.
Sans revenir sur le pourquoi du comment, il me semble que les invitations au salon Beyrouth livres, n’ont pas été lancées par le ministre libanais de la culture, mais par une instance française au Liban ?
Le ministre libanais moutarda, lequel s’etait fendu d’un tweet antisémite tout autant qu’ anti israelien, arguant du sionisme militant de la littérature présentée pour ce salon et par ceux qui la portaient.
Lequel ministre a confirmé si on peut dire son propos en soutenant l’offensive criminelle du hamas , le 7 octobre 2023.
Cela aurait été dommage de jeter le discrédit sur la base de faux souvenirs, tout à fait vérifiables en ligne, pour ceux qui ont besoin d’un disque dur externe…sur les organisateurs de ce salon.

et alii dit: à

travail sur
Comment continuer à travailler quand le scandale arrive ?
Boîte de réception

Entreprise(s)
s’intéresse surtout à :
Emmaüs après le scandale de l’abbé Pierre, l’indispensable restauration de la confiance des bénévoles et des salariés

Marie Sasseur dit: à

@je me charge d’aller vérifier

Oui merci de vérifier cela :

81ème division :

Olympe MARTELLET (Adèle Colin : 1809-1902), gouvernante d’Alfred de Musset. »

rose dit: à

« notre hôte et Tahar Ben Jelloun avaient été considérés -on comprend pourquoi,-comme des » persona non grata » par les invitants »

Chose intéressante que les souvenirs et plus encore de la mémoire.
Je me souviens de mon côté d’un refus d’y aller, et pas de persona non grata.
Je peux me tromper.

Marie Sasseur dit: à

Chose intéressante que les souvenirs et plus encore de la mémoire.

Oui, surtout quand on la perd.

FL dit: à

« Je n’ai pas trop envie, César, de vouloir te plaire. Ni de savoir si tu es blanc ou noir. » Catulle Poème XCIII

C’est expéditif. Et de mon point de vue pas prudent. César était un homme puissant et dangereux.

Faut que je regarde la chronologie.

FL dit: à

Il y a quand même des poèmes dont je me demande comment il a pu les réciter chez Claudia.

rose dit: à

mais je suis sûr que vous aussi, vous l’auriez aimé.

Oui, beaucoup.

et alii dit: à

Chose intéressante que les souvenirs et plus encore de la mémoire.
tres intéressante:
je découvre que j’ai donc des souvenirs tres précis de mes 4ou 5 ans,avec le nom des lieux et des gens;dont on ne m’a jamais reparlé, et même on a mis en oeuvre sdes stratégies (de mensonges, de simulacres) pour que je les oublie:rien n’y a fait
c’est l’anti alzheimer, sans manipulation de « psy »
prédateurs (trices) ou non

rose dit: à

Oui, surtout quand on la perd.

Justement, ce qui est TRÈS intéressant lorsqu’on la perd est qu’est-ce qu’il reste.

FL dit: à

« On trouve d’ailleurs au bord du lac de Garde les vestiges de la villa de Catulle. Elle se situait à Sirmione, ‘ la perle des presqu’îles et des îles ‘.  »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Catulle

et alii dit: à

sans manipulation:
je pourrais préciser:mais en lisant sur internet (à quoi je suis réduite en ce moment)

rose dit: à

C complètement incroyable et alii.
Moi, je ne remonte pas si loin sept ans je crois.

Jazzi dit: à

Moi aussi comme et alii, mes souvenirs, très nets, remontent à mes 4, 5 ans…

et alii dit: à

rose, dans ces cas, tout est intéressant, y compris dans des rêves où cela advient parfois

et alii dit: à

ce qu' »il faut », c’est vérifier, autant que possible, en « croisant » pour éviter de « confondre », et même se questionner sur les « confusions » éventuelles

et alii dit: à

oliver sacks avait raconté comment son frère lui avait signalé une confusion;

Marie Sasseur dit: à

rose dit: à
Oui, surtout quand on la perd.

Justement, ce qui est TRÈS intéressant lorsqu’on la perd est qu’est-ce qu’il reste.

Au delà de la thérapie, le crincrin de ce blog, il faut voir aussi les cas où on vous demande de ne pas oublier.

rose dit: à

sur quelle bande de fous du 21ième siècle il est tombé…
Cénous.
Moi je suis allée à Villa Clara Entrerios Argentina mi amore, pour voir où était né Joseph Kessel.

rose dit: à

, il faut voir aussi les cas où on vous demande de ne pas oublier.

Encore faudrait il savoir à quoi faites-vous référence.

closer dit: à

Je me résume:

Un, je tombe sur un article recensant deux livres, « Tueuses » de Minou Azulai et Véronique Timsit et « Collaboratrices » de Pierre Brana et Joelle Dusseau, qui remettent en cause la fable largement répandue selon laquelle « la femme est présentée comme un éternel bébé phoque, victime du patriarcat, à jamais martyre et proie ». On peut aussi évoquer l’excision encore largement pratiquée dans certains pays sur les petites filles avec l’approbation des femmes de la famille.

Deux, on présente l’affaire de Mazan comme un comble de l’abomination. En un ou deux clics, on peut trouver une liste de tueurs et violeurs en série et, sans remonter à Barbe Bleue, à Sade ou à Jack l’Eventreur, cela fait du monde.
Les deux sans doute les plus connus, Du…oux et Four…ret commettaient leurs crimes avec l’aide de leurs femmes; bel exemple de sororité. A l’époque je ne me souviens pas que l’on ait évoqué un machisme systémique ou une masculinité toxique quelconque; ce n’était pas encore la mode.

Trois, j’en conclus que le battage politico sociologisant autour de cette affaire est artificiellement fabriqué à des fins politiques.
Mazan est un exemple de plus des pulsions perverses qui existent dans l’être humain et plus spécialement chez les hommes pour le viol. 90% ou 99% des hommes et des femmes contiennent ces pulsions à l’aide de l’éducation et des contre pulsions empathiques qui existent aussi à l’état naturel…Les autres sont des cas qui relèvent d’une pathologie individuelle et non sociale, ou pour une infime partie.

Je n’interviendrai plus sur le sujet, sauf faits nouveaux notables révélés par le procès.

Bloom dit: à

Exact, MS, c’est l’IF au Liban qui était la puissance invitante (cela dit on n’est pas chez nous au Liban et on ne peut rien faire sans feu vert du pays hôte).
Pour moi, c’est clair: le tweet du gros con de ministre, pas négociable: soit l’IF annule, soit personne n’y va.
On ne travaille pas en collaboration plus ou moins ouverte avec des islamofascistes.
Et pourtant, je n’apprécie ni ME Schmitt, ni Tahar Ben Jelloun.

Libé sur l’Affaire, 25 octobre 2022

Ils n’étaient plus que quatre jurés du Prix Goncourt présents à Beyrouth pour annoncer les quatre romans finalistes du prix 2022 qui sera remis le 3 novembre chez Drouant à Paris. Les autres membres du jury du plus prestigieux des prix littéraires français ont renoncé à faire le voyage pour participer à la première édition du festival Beyrouth Livres, organisé par l’Institut français dans la capitale libanaise. Car l’événement a été pollué avant son lancement par une polémique soulevée par le ministre de la Culture libanais.

«Le ministère de la Culture ne peut permettre que la porte soit ouverte pour la culture sioniste, serait-elle masquée, ni que le Liban soit un tremplin de propagande pour la littérature sioniste et les contenus littéraires aux objectifs et à l’inspiration sionistes», avait déclaré le 8 octobre Mohammed Mortada. Le ministre, affilié au mouvement chiite Amal, allié du puissant Hezbollah, a dénoncé dans un communiqué l’invitation par le festival littéraire francophone de certains écrivains «ayant embrassé les projets sionistes dans la pensée et dans la pratique».

«Campagne de boycott»

Premier à réagir, l’écrivain Selim Nassib, né dans une famille juive libanaise, a annoncé qu’il renonçait «malheureusement» à se rendre au Liban. «Youssef, le héros de mon roman, est né à Beyrouth dans une famille juive. Le ministre parle-t-il de moi ? De quelqu’un d’autre ? De plusieurs autres ? Quoi qu’il en soit, cette allusion à des auteurs “masqués” soutenant secrètement “les projets sionistes” m’a profondément dégoûtée» écrit l’auteur du roman le Tumulte, dans un communiqué diffusé quelques jours après la déclaration de Mortada.

Dans la foulée, trois jurés du Goncourt, Eric-Emmanuel Schmitt, Pierre Assouline et Tahar Ben Jelloun, ainsi que l’écrivain Pascal Bruckner, ont annoncé renoncer au déplacement. Ils ont été nommément ciblés dans un article du quotidien Al-Akhbar, organe officieux du Hezbollah, confortant la position du ministre de la Culture. Une «campagne de boycott des pro-israéliens invités au Liban» a été lancée par les milieux pro-Hezbollah. Ceux-là se sont saisis de l’occasion pour resservir leur discours de haine au nom de l’antisionisme, au moment même où le «Parti de Dieu» a eu un rôle décisif dans la négociation avec Israël du partage des frontières maritimes et de l’exploration du gaz en Méditerranée. Une surenchère politique aux dépens d’un événement culturel.

Dans l’intervalle, la déclaration du ministre de la Culture qui a mis le feu aux poudres a été retirée du site du ministère. Et l’annonce de la dernière sélection du Goncourt a bien pu être faite par Didier Decoin, le président du jury, depuis la résidence des Pins, domicile de l’ambassadrice de France au Liban. La polémique ne doit pas faire oublier l’essentiel. Les finalistes du Goncourt sont : Giuliano da Empoli, pour le Mage du Kremlin (Gallimard), Brigitte Giraud pour Vivre vite (Flammarion), Cloé Korman pour les Presque Sœurs (Seuil) et Makenzy Orcel pour Une somme humaine (Rivages).

Marie Sasseur dit: à

@Pour moi, c’est clair: le tweet du gros con de ministre, pas négociable: soit l’IF annule, soit personne n’y va.

OK la-dessus

Bloom dit: à

RIP Jacques Réda, poète considérable. Le dernier.

Marie Sasseur dit: à

L’offre de résistance est aussi recevable. Mais elle n’a pas été manifestée comme telle, ou alors bien tard.

Marie Sasseur dit: à

L’offre de résistance en allant sur place, veux-je dire.

rose dit: à

Trois, j’en conclus que le battage politico sociologisant autour de cette affaire est artificiellement fabriqué à des fins politiques.
Des fins politiques : lesquelles ?

rose dit: à

IF
Vous écrivez plus haut Instance française : laquelle ?

et alii dit: à

vous êtes trop aimable,rose;je suis convaincue que SACKS? ET Luria! vous seront plus utiles, puisque je me suis occupée de mes histoires sans votre haute autorité

rose dit: à

Comme moi et alii, puisque je m’occupe de mes histoires sans votre haute autorité.

et alii dit: à

L’une des premières mentions d’un patient hypermnésique remonte aux années 1920, dans les travaux du neuropsychologue soviétique Alexandre Luria. Il a étudié la mémoire de Solomon Cherechevski, un jeune journaliste russe. Son rédacteur en chef avait remarqué qu’il ne prenait jamais de notes, mais n’oubliait jamais rien. L’homme était capable de mémoriser des listes de soixante-dix mots, et de la restituer sans faute, quelques heures ou quelques années plus tard. Toutefois, l’ancienneté des travaux rend difficile l’étude de ce cas d’hypermnésie.

LE CAS JILL PRICE
Le cas clinique le plus célèbre est sans doute celui relaté par le neurobiologiste James McGaugh, dans un article publié en 2006 dans Neuropsychologia. Une Américaine, du nom de Jill Price, écrit une lettre au spécialiste pour lui faire part de ses capacités de mémorisation exceptionnelles, mais aussi des souffrances que cette hypermnésie engendre. Elle explique qu’elle a commencé à développer ses facultés exceptionnelles depuis qu’elle a déménagé de la côte est à la côte ouest, lorsqu’elle avait quatorze ans, un changement qui l’a bouleversée. Contrairement aux mnémonistes, les « athlètes de la mémoire », elle n’utilise pas de moyens mnémotechniques. « Quand j’entends une date, je vois ce jour », explique-t-elle. Interviewée par la chaîne américaine ABC en 2006, on lui demande, sans l’avoir avertie au préalable, d’évoquer ce qu’elle avait fait à diverses dates remontant jusqu’aux années 1980. Une rapide vérification dans son journal intime permet de voir que tout ce qu’elle dit est juste, à une réponse près. Elle a également la capacité de localiser précisément certains événements d’actualité marquants et de préciser les dates correspondantes, à condition que ces événements ne soient pas antérieurs à ses quatorze ans.

MC dit: à

Et Madame Martellet fut! Olympe ou Adèle, peu importe. Quant à imposer un mensonge par un site, je ne vois ni le pourquoi ni le comment de la démarche. Mais cette tombe existe , n’en déplaise aux arguties de Marie Sasseur, digne continuatrice ici de Chaloux, et je l’ai vue.

et alii dit: à

à votre différence, chère ROSE,je vous ai indiqué une référence demeurée incontestée sur le plan mnémonique: LURIA.
A VOS CLICS

Marie Sasseur dit: à

« Olympe ou Adèle, peu importe. »

Et l’autre détraqué , en boucle.

Marie Sasseur dit: à

A VOS CLICS

Ai garage, alors pour ce qui me concerne, j’y ai remisé des livres d’O. Sacs, je viens d’en vérifier les titres dans sa biblio : l’homme qui prenait sa femme pour un chapeau, l’odeur de si bémol.
Rien gardé de cette lecture, malgré le vif intérêt suscité alors sur ce blog… trop éloignée de mes centres d’intérêt.

Marie Sasseur dit: à

Pardon !

Au garage, alors pour ce qui me concerne, j’y ai remisé des livres d’O. Sacks,

Nicephore dit: à

Correction :
C’était bien la fin du monologue de Molly Bloom.
Diabolicum perseverare.

Bloom dit: à

IF = Insitut Français = Opérateur culturel du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères, localement sous la tutelle d’une ambassade, autrefois soit Centres/Istituts culturels français ou tout simplement SCAC( Service de cooperation et d’action culturelle).
Donc la France qui invite la France ailleurs qu’en France.

Bravo à ceux qui ne sont pas allés. Comme au judo, on amène l’adversaire sur son terrain et on se garde d’aller sur le sien.
Oeuf corse, je suis solidaire des collègues qui bossent à l’IF Beyrouth aujourd’hui. Peut-être le chef de service de l’époque (Cocac) et l’ambassadeur ont mis la pression sur le personnel pour que l’événement se déroule commer prévu tellement ils avaient la trouille d’avoir à rapporter à la Centrale une annulation qui la foutrait mal dans leur carrière.
Pas improbable vu la façon dame radasse dont la France se couche devant tous les pouvoirs avec Macron et les bras cassés qu’il a nommés au Quai. Pire encore, chez nous même on se vautre devant Xi quand on efface le Tibet des musées Quai Branly et Guimet (nouvelle direction aux ordres).
Ma femme me rapporte qu’en Chine on boit du thé oolong parce qu’on sait que la patrie des Droits etc. obéit désormais au doigt et à l’oeil aux desiderata du Secrétaire géréral du Parti communiste. La start-up nation a vendu son âme en échange de vils contrats.
On remerciera messieurs les ‘xiao ren’ qui ont oeuvré au renversement des traités inégaux d’antan: Fabius, Macron, Raffarin et Khons saurs.
BOYCOTTEZ les 2 musées parisiens qui crachent à la face de la province annexée et de la recherche française sur le Tibet!
Mille milliards de mille sabords, bientôt il vont nous changer le titre de l’album d’RG en « Tintin dans les mondes himalayens »! Tchang!
MerdRe alors, cornegidouille & petit bâtons dans les oneillles!
L’Oedipe de la Somme n’a toujours pas pigé que les Chinois ne respectent que les forts? Et personne pour le lui dire? Serait-il sourd, nue fois?
En attendant, plus faible que la France aujourd’hui, tu meurs. On se marre à l’ambassade de Chine car on sait fort bien qu’un des Inspection généraux de chinois n’a jamais enseigné la langue (inutile quand on a torché trois ou quatre discours historiques à Matignon).

Bloom dit: à

une fois…

Bloom dit: à

un des Inspecteurs généraux

Marie Sasseur dit: à

« Mais cette tombe existe , n’en déplaise aux arguties de Marie Sasseur, digne continuatrice ici de Chaloux, et je l’ai vue. »

Digne continuatrice, non.
C’est cette insistance à vouloir à tout prix que ce soit la tombe d’Olympe qui a fait clignoter un truc, cette insistance malgré deux dénegations. Et on a compris pourquoi. Sinon, comme tout le monde je me fous éperdument de la gouvernante de Musset, qui a été à Musset ce que la gouvernante de Delon, une fois malade, a été à Delon, une fois malade .

J’ai ajouté que la mention  » gouvernante d’Alfred de Musset  » sur la pierre tombale me paraissait impossible , mais après avoir lu ses souvenirs intimes, un culte poursuivi pendant 50 ans après sa mort, explicite sur le faire-part de décès, il se peut qu’Olympe ait voulu faire savoir qui elle était.
Il faudra redemander à Ariane Chemin.

Nicephore dit: à

@Jazzy :
Un message sur votre boite mail AOL.

Jean Langoncet dit: à

@IF = Insitut Français = Opérateur culturel du Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères, localement sous la tutelle d’une ambassade, autrefois soit Centres/Istituts culturels français ou tout simplement SCAC( Service de cooperation et d’action culturelle).
Donc la France qui invite la France ailleurs qu’en France.
Bravo à ceux qui ne sont pas allés. Comme au judo, on amène l’adversaire sur son terrain et on se garde d’aller sur le sien.

Le même qui quand l’IF de Gaza a été bombardé par la glorieuse armée nationale avait moqué « l’usine à cocktails »
https://www.lefigaro.fr/international/conflit-hamas-israel-l-institut-francais-bombarde-a-gaza-paris-reclame-des-explications-a-l-etat-hebreu-20231103#:~:text=La%20France%20a%20demand%C3%A9%20vendredi%203%20novembre%20des?msockid=0f3bf15696f064833ea8e5df972065b2

Jean Langoncet dit: à

Rodomontades de Tartarin de cul de basse fosse

Jean Langoncet dit: à

PS : est-ce vraiment opportun d’évoquer cet épisode du Goncourt “libanais” ?

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