Comment toucher à « Penelope » sans attenter à « Ulysses » ?
Nul doute qu’avec l’acquisition des droits cinématographiques de Voyage au bout de la nuit par Joann Sfar, on va encore reparler des mauvaises manières que le cinéma fait à la littérature et du caractère intouchable des héros de roman qui campent dans notre imaginaire. Bas les pattes devant Bardamu ? On en reparlera. En attendant, on peut déjà parler d’un autre chef d’œuvre, ce qu’on appelle un classique moderne : Ulysses de James Joyce, le plus grand poète de l’anglosaxonnie. Est-il normal, admissible, décent, ce que vous voulez, de démembrer ce qui a été conçu comme un tout ? Passe encore qu’un manuel de littérature s’y risque puisque par définition, il est fait de morceaux choisis. Mais qu’en est-il lorsqu’un seul d’entre eux apparait à première vue, en couverture donc, à l’égal d’un texte autonome ? Et même, par un effet d’optique, comme un nouveau texte de l’écrivain, un inédit ?
Bien sûr, l’édition de Pénélope (120 pages, 3 euros, Folio) qui parait ces jours-ci ne prétend rien de tel et rien n’y est dit de tel. Mais le flâneur de librairie peut s’y laisser prendre de prime abord. Il s’agit du dernier chapitre de Ulysses intitulé justement Penelope, traduit de l’anglais (Irlande) par Thiphaine Samoyault sous la direction de Jacques Aubert, maître d’œuvre des volumes de Joyce dans la Pléiade. L’avoir en poche lorsqu’on a un long trajet à parcourir dans les transports en commun et une chance et une promesse : celle d’un transport peu commun tant ce dix-huitième chapitre emporte son lecteur malgré l’absence de ponctuation.
Si l’on n’a jamais lu Ulysse, c’est une drôle d’expérience que de commencer par la fin en y bondissant dans une ellipse vertigineuse du titre aux dernières pages en faisant l’économie des pages insérées entre ces deux moments (ici cinq conseils pour parvenir à lire Ulysse). Il est vrai que ce monologue intérieur de Marion dite Molly, épouse de Léopold Bloom qui, un matin de la mi-juin 1904, a été pris de déambulation dans sa bonne ville de Dublin, est l’un des morceaux d’un roman qui n’en manque pas, mais l’un des plus inoubliables tant il est enfiévré. On y découvre enfin dans son flux de conscience cette femme, invisible et inaudible durant le millier de pages précédent. Un incipit de 2500 mots, huit phrases en tout et pour tout, un incipit et un excipit qui se rejoignent afin de refermer une boucle (« Yes »/ Oui ). Dans une astucieuse préface, Laura El Makki invite à relire ces pages non comme le portrait assez caricatural d’une femme par un homme mais quasiment comme l’autoportrait d’une femme émancipée ; elle n’en rappelle pas moins le point de vue de Philippe Forest selon lequel Joyce se situe là sur la ligne de crête entre l’homme et la femme où l’on est saisi de vertige face au grand vide. Reste à savoir si cette lecture d’un chapitre final en liberté et en toute indépendance porte préjudice à notre intelligence de l’oeuvre dans son intégrité.
L’écrivain Michel Déon ne supportait pas que l’on révisât une traduction princeps au motif qu’elle fut exécutée en des temps pionniers sous l’oeil de l’auteur même ! Touchez pas à mon Ulysse ! Or toute traduction vieillit et le respect ne doit pas paralyser les candidats. Pas de vache sacrée pour un traducteur sinon un André Markowicz n’aurait jamais osé attaquer la montagne Dostoïevski par la face nord, ni Odette Lamolle le mont Conrad Cet Ulysse là (Ulysses en anglais) a été publié pour la première fois en français en 1929 après avoir découragé des dizaines de traducteurs. L’éminent Auguste Morel s’y était mis avec succès, aidé dans sa tâche monumentale par Stuart Gilbert et Valéry Larbaud dont on ne dira jamais assez tout ce que lui doit la notoriété de la littérature anglaise en France. Il avait reçu également l’aide de l’auteur lui-même, ce qui n’est jamais négligeable. Surtout pour un texte aussi complexe, sophistiqué, piégé et apparemment délirant. Un vrai cauchemar de traducteur. Même si de l’aveu de l’auteur, le mot juste n’était pas ce qui lui importait le plus puisque le mot juste est souvent le mot d’à côté. Non le problème pour lui c’était : une fois qu’on a les mots, dans quel ordre les met-on ?
Rappelons que ce roman ressemble à nul autre, puisqu’il intègre tous les genres littéraires à lui seul : l’épopée, le récit, l’histoire, le pastiche, l’essai, le drame, la farce, le monologue intérieur, la prose et la poésie. Et toutes les figures de rhétorique, toutes les langues à commencer par tous les dérivés du shakespearien. Sans compter tous les genres musicaux (l’oratorio, la symphonie, l’opéra, musique de chambre) car il écrivait avec l’oreille. S’il y a bien un poète en prose qui rend un son et une voix, c’est bien lui. Et malgré tout, ça n’est jamais chaotique car toute cela obéit à une organisation implacable, à une structure d’autant plus efficace qu’elle est invisible. Techniquement, quand on entre dans les coulisses de la fabrication de cette œuvre, on est pris de vertige. Pour le reste il faut se laisser emporter tout en sachant que ce n’est pas du Proust ni du Zola même si ça en commun de nous offrir une vision du monde, et une conception de l’homme à travers l’archétype que représente Ulysse. Et puis Calypso, Charybde et Sylla, Nestor, Protée les Cyclopes et toute la bande.
De toute manière, Joyce lui-même disait y avoir introduit tant de devinettes et d’énigmes qu’il y avait là de quoi occuper des érudits pendant des siècles. Ils ne cesseront discuter sur ce que j’ai voulu dire, assurait-il encore en précisant que c’était là le seul moyen de gagner l’immortalité. Mais attention : le contresens absolu consisterait à ne le lire que comme un exercice de style hors du commun, un texte crypté, truffé de centons, de citations, d’allusions et de références. Donc cette traduction de 2004, la première à oser depuis celle originelle de 1929, eut pour maitre d’œuvre Jacques Aubert. Il a eu la bonne idée de s’entourer d’un collectif constitué de huit traducteurs professionnels, d’universitaires et d’écrivains. Chacun a pris un morceau. Ça fait huit styles. On dira que cela manque d’unité. Justement c’est cela la bonne idée.
A texte polyphonique, écrit de dix-huit points de vue différents, traduction polyphonique, à charge pour le maitre d’œuvre d’unifier le tout. Elle ne remplace pas l’ancienne traduction mais lui succède, l’enrichit, la complète en mettant à profit quelques décennies de recherche joycienne ce qui n’est pas rien. Alors pourquoi bouder son plaisir. Reste à savoir si l’on pourrait en dire autant d’un autre Everest joycien.
Y a-t-il quelqu’un dans la salle qui ait réussi à lire Finnegans Wake au-delà des premières pages ? Moi non plus. Sauf à avoir une conception assez extensive de l’incipit. Foin de nos complexes ! Car il existe une édition revue et corrigée pour les nuls ou à peu près qui devrait nous permettre de pénétrer davantage dans l’impénétrable texte réputé le plus musical, les plus ésotérique, le plus complexe, le plus baroque et le plus envoûtant des grandes aventures de l’expérimentation littéraire au XXème siècle. On peut avancer que c’est probablement le moins lu des livres-cultes, ce qui n’est pas le moindre de ses paradoxes. Après trente ans de travail sur les manuscrits (20 000 pages disséminées sur 60 carnets) et quelque 9000 « amendments » (modifications, rectifications) aussi mineurs que cruciaux, les universitaires Danis Rose et John O’Hanlon ont osé une version « lisible ». Plus compréhensible. Si l’un est un spécialiste de l’oeuvre de Joyce, l’autre est un mathématicien ; mais après tout, Philippe Lavergne qui a travaillé vingt ans à sa traduction du livre pour Gallimard, n’est-il pas ingénieur informaticien ? Toutes choses qui n’auraient pas déplu à l’auteur, fortement influencé dans son travail de composition par la théorie des cycles de Vico. Il est toutefois permis de se demander si, une fois rétablies obscurités, ruptures syntaxiques et ponctuation chaotique, c’est encore du Joyce. Même si le tandem a aussi voulu réparer les « erreurs » dues à ses problèmes de vue. Jugez-en par le tout début :
« »riverrun, past Eve and Adam’s, from Swerve of shore to bend of bay, brings us by a commodius vicus of recirculation back to Howth Castle and Environs » » (version originale)
« »riverrun, past Eve and Adam’s, from swerve of shore to bend a day, brings us by a commodious vicus of recirculation back to Howth Castle & Environs » » (version amendée)
Ce néo-Finnegans Wake, qui est paru chez Houyhnhnm Press en édition de luxe (1000 exemplaires entre £250 et £750) avant d’être publié en format de poche par Penguin, se veut aussi emblématique du XXIème siècle que Ulysses le fut du XXème. On verra. Mais pour James Joyce, c’était tout vu, si le fantôme du quasi-aveugle en lui m’autorise le mot. N’avait-il pas prédit à sa parution en 1939 que son work in progress occuperait les critiques et les professeurs pendant les trois cents ans à venir ? L’édition en ligne de Finnegans Wake, où chaque mot ou presque est éclairé plutôt qu’expliqué (il suffit de cliquer dessus) est étourdissante. Et elle devient un enchantement lorsqu’on la lit tout en écoutant l’auteur lisant son texte… On comprend encore moins mais ça n’en est que plus envoûtant. On peut toujours rêver à la voix de Joyce lisant Penelope et à son inflexion dans le « OUI » final ! (ici on peut l’entendre en 1924). Henri Cartier-Bresson, qui en avait toujours un exemplaire en poche depuis qu’il l’avait découvert à sa parution dans les années trente, disait que ce « oui » était un cri de victoire et un acquiescement à la vie de nature à décourager quiconque de se suicider.
(« James Joyce dans la campagne française en 1922 » photo D.R. ; « Nora Barnacle et James Joyce allant se marier, le troisième personnage étant Fred Monro, 1931, D.R.; « James Joyce photographié par Gisèle Freund en 1939 au moment de la parution de Finnegans Wake » )
1 657 Réponses pour Comment toucher à « Penelope » sans attenter à « Ulysses » ?
«… Iran : la révolte des adolescentes »
O Penelope hop.
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Fat Man, ami du Hamas et du Hizbullah est quantié négligeable. Un eunuque (ta mère).
« Certes, le « succès » irlandais n’est pas qu’un simple tour de passe-passe comptable. Un tour dans le quartier de la tech à Dublin suffit à se rendre à l’évidence : les sièges de Google, Meta et autre LinkedIn s’y agrandissent rapidement, le long des canaux. » Le Monde.
Là où Joyce et Nora se promenèrent un certain 16 juin 1904…
Choissisez votre Irlande: colonie des USA ou colonie britannique?
Pour moi, le choix est fait. Vive Belfast!
les propos sinophobes de Bloomy me font penser à la polémique entre JF Billeter et François Jullien.
Ricoeur et d’autres s’étaient rangés du côté de Jullien, mais à l’époque je trouvais plus rigolo ce que disait Billeter.
maintenant, dans cette ambiance de sinophobie actuelle entretenue par le matraquage médiatique j’avoue que François Jullien nous manque.
Je me demande même si passou n’avait pas écrit un truc élogieux sur un bouquin de Jullien : pas sûr qu’il nous reponde le même genre d’article aujourd’hui.
c’est fou la façon dont les médias arrivent à changer les opinions publiques, c’est même assez flippant.
c’est comme la réponse hallucinante de closer sur la mort de milliers d’enfants irakiens à cause du blocus.
sa réponse du genre : contrairement aux nazis les américains ne visaient pas précisément les enfants irakiens mais la population en général.
les mecs ils font un blocus où ils bloquent l’arrivée de vaccins et de médicaments sauf que leur blocus ne vise pas spécifiquement les enfants.
parce que les américains partent du principe qu’un bébé de 6 mois est aussi robuste et résistant qu’un adulte de 35 ans et donc si on bloque les vaccins et les médicaments le risque est équitablement réparti.
en fait le blocus visait principalement les adultes irakiens et si les bébés sont plus fragiles c’est juste un aléas de la nature qui n’a rien à voir avec la décision politique…
en fait on demande si les gens sont simplement idiots ou alors si à force de leur bourrer le mou ils pensent vraiment que les bébés de 6 mois sont aussi résistant que les adultes…
Puck, ni shuo shenme? Ban ge naozi. Shenjingbing!
Trop d’eau dans la tête comme disent les Pékinois.
@Bloom dit: à
Fat Man, ami du Hamas et du Hizbullah est quantié négligeable. Un eunuque (ta mère).
Eructation et rôt d’un bébé Bibi type
Nicephore dit: à
@Jazzy :
Un message sur votre boite mail AOL.
Y peut pas répondre , il est parti en mission d’envoyé spécial au cimetière.
Bon, j’ai commencé mon enquête sur l’affaire Olympe/Adèle Martellet.
Pas si simple sur le terrain…
Mais avant de vous en faire le récit, j’aurais besoin de savoir qui ici a sorti cette histoire et pourquoi ?
Il apparait déjà que trois erdéliens soient impliqués dans cette affaire, qui fait polémique : Chaloux, Monsieur Court et Marie Sasseur.
Et que vient faire Ariane Chemin dans tout ça ?
Merci de me donner vos versions de manière la plus objective !
On veut juste savoir ce qui inscrit sur la tombe.
C’est compliqué ?
La 81e div. est très grande, pleine de vieilles tombes moussues.
Et beaucoup de concessions anciennes et abandonnées ont été remplacées par de nouvelles tombes.
Je l’ai parcourue dans tous les sens, en vain.
Je dois aller à la conservation pour me faire indiquer la ligne et la rangée, avec le nom et la date de décès précise du mort.
C’était fermé quand je suis passé (17h) et je dois y retourner.
Affaire à suivre…
Merci
« Putain d’Adele » comme dit l’autre 🤣
N’ai trouvé ni dans ma boîte email ni dans mes spams de messages à votre nom, Nicéphore.
«… Iran : la révolte des adolescentes »
Ce que montre très bien le film « Les graines du figuier sauvage », renato.
https://www.lelezarddeparis.fr/cris-persans
Pour les non-sinophones: Ni shuo shenme? Ban ge naozi. Shenjingbing! = Tu dis quoi? t’es un vrai demeuré, un malade (psycho)!
Le gonze qui se permet de qualifier de sinophobe quelqu’un qui vit en couple avec une chinoise depuis 30 ans est un bendan (crétin). Il a lu F.Jullien, ce qui peut laisser de graves séquelles.
Perso, je suis plutôt Anne Cheng, Sébastien Billioud, JF Béja et JF.Billeter qui lui aussi a une femme chinoise, à qui il a consacré un très chouette livre.
(Doit y avoir un truc avec Cherno(dé)byl chez ce type..)
SUR LUNDI MATIN/
Combattantes, quand les femmes font la guerre
Entretien avec la sociologue Camille Boutron
Lire en ligne « Combattantes, quand les femmes font la guerre »
C’était fermé quand je suis passé (17h) et je dois y retourner.
Affaire à suivre…
Bravo Jazzi !
LUNDI MATIN
RANCIERE la liberté
https://lundi.am/Combattantes-quand-les-femmes-font-la-guerre
videos
bonsoir
Ariane Chemin serait à l’origine de l’information du livre écrit par la gouvernante de Musset qui a travaillé pour lui dix années durant et lui a livré un culte les cinquante années qui s’ensuivirent.
Apparemment, les inscriptions sur la tombe ne correspondraient pas à la morte, Adèle. Nommée Olympe.
Un seul ici a lu ce livre et va le relire.
Il a vu aussi la tombe. Il aimerait une vérification.
Création radiophonique de l’Atelier Oncléo à partir de la nouvelle d’Anton Tchekhov « L’Étudiant » (trad. A. Markowicz, éd. Alinéa).
Fin : B. Okoudjava, « Молитва », une adaptation de « Prière » (poème que François Villon a sans doute écrit pour sa consolation)
https://lundi.am/L-Etudiant-Tchekhov-Feat-Jacques-Ranciere
précision;
Création radiophonique de l’Atelier Oncléo à partir de la nouvelle d’Anton Tchekhov « L’Étudiant » (trad. A. Markowicz, éd. Alinéa).
Elle est morte Adèle, je ne l’ai pas fait exprès.
« L’ami John est encore sous le coup de la disparition de l’auteur de la Trilogie New Yorkaise. Me Too. Des dizaines d’étoiles ont cessé de briller depuis qu’il nous a quittés. »
Comment peut-on vouloir se faire passer pour une pointure en littérature en s’exprimant dans un style aussi niais?
Jazzi, prends des photos et applique-toi bien. J’ai l’impression qu’il y a toute la famille dans ce caveau.
Bloomy tu pourrais vivre avec une chinoise depuis 5 siècles que ton commentaire n’en puerait pas moins la sinophobie à plein.
une sinophobie teintée de néocolonialisme non moins puant sur la théorie du « bon chinois » (comme ta femme j’imagine et du « mauvais chinois ».
le « bon chinois » étant celui qui est soumis aux ordres de la France parce que comme tu le dis ce monde n’obéit qu’à la loi de la force donc un bon chinois est pas définition moins fort qu’un colonialiste français comme toi qui va chercher son épouse dans ses colonies… alors qu’un mauvais chinois est celui qui ne se laisse pas marcher sur les pieds.
là où t’as pas trop de bol mon sinophobe adoré c’est que tu ne risques de na pas trop aimé le monde qui est en train de dessiner, limite tu as bien fait de te trouver une gonzesse avant parce que maintenant c’est pas sûr que tu t’en trouverais une qui accepterait de vivre une vie de naze comme la tienne.
c’est ce qu’on appelle un changement de paradigme…
comme les paradigmes influent aussi sur la vie privée des gens.
Pas de rendez-vous nécessaire
https://pbs.twimg.com/media/GYvFh1bXwAAvJv4?format=jpg&name=medium
le truc drôle avec les chinois c’est qu’ils refilent aux russes des sous ensembles permettant de fabriquer des armes, comme ils disent ils ne donnent pas d’armes, mais ils refilent ces sous ensembles.
du coup les occidentaux ont dit il faut sanctionner ces entreprises ! sauf que les américains utilisent les mêmes fournisseurs pour fabriquer leurs armes.
résultat on les laisse tranquilles.
pour le fentanyl c’est pareil : les américains disent c’est les chinois qui fabriquent le fentanyl qui arrive aux US.
des sénateurs ont dit il faut sanctionner ces entreprises et interdire le fentanyl fabriqué en Chine.
là les boites pharmaceutiques américaines ont dit désolé c’est pas possible parce que c’est eux qui produisent notre fentanyl et si on les boycotte on n’aura plus de fentanyl à donner à nos cancéreux.
pourquoi ces boites américaine font produire leur fentanyl en Chine ? pour augmenter leur bénéfices parce que ç a reviendrait plus cher de le produire aux US.
le problème avec la Chine c’est que nous ne sommes pas victimes de leur puissance nous sommes juste victimes de notre cupidité !
L’ulcère du duodenum dont est mort Joyce était-il dû à la boisson?
comme pour l’Irak : pourquoi ce blocus qui a tué des centaines de milliers d’enfants ?
parce que l’Irak envoyaient des scuds en Israël ? non !
la raison c’est que Saddam avait décidé de ne plus utiliser le dollar pour payer son pétrole.
on a tué des centaines de milliers d’enfants pour une histoire de dollars !
comme pour le Kosovo ou l’Ukraine ils ont inventé le massacre d’une maternité parce qu’avec les américains le point de départ est toujours un mensonge et vlan ! la punition !
le point de départ est toujours un mensonge et vlan ! la punition.
Pas qu’avec les américains.
Moi, je n’ai pas pris de photos chez Jazzi, mais il y a aussi beaucoup de monde.
Son papa n’aurait jamais oublié le s.
les échanges de ce blog dans le cointexte actuel m’ont rappelé « l’idée » de Freud
« j’airéussi là où le paranoiaque échoue »
vous trouverez des interprétations « freudiennes » à foison sur internet, n’est-ce pas rose ou -et- clopine
je me souviens avoir entendu dire P.LEGENDRE QU4IL PASSAIT POUR PARANOIAQUE ET SE CONSIDERAIT TEL lui-même;quant à P.Bayard ,il a déclaré que les narrateurs de ses livres étaient tous paranoiaques!
ça c’est du diagnostique!
le cointexte, je trouve cela mignon
la rdl, un petit cointexte ?
Sur le registre de l’état civil du 8ème arrondissement (décès), n°2422, rédigé le dix-neuf novembre 1907 à trois heures du soir
acte de décès de Marie, Adèle Colin, âgée de quatre-vingt-onze ans, sans profession, née à Charcier (Jura), décédée en son domicile à Paris, rue de Duras 7, le dix huit novembre courant à six heures du soir; fille de (sans autres renseignements) Veuve de Aimé Pierre Martellet […]
(Je n’ai rien trouvé à Charcier (naissance, baptême) mais je n’y ai peut-être pas consacré le temps nécessaire ; je n’ai pas localisé « Bourand », lieu de naissance indiqué dans la préface de Dix ans chez Alfred de Musset, ni poussé le zèle jusqu’à éplucher le dossier de la reconstruction du barrage du Martinet de Bourand (sur le territoire actuel ou dans les environs de Charcier)).
Donc Adèle et non Olympe.
Mais s’agissant d’une époque pas si lointaine, pour laquelle on dispose de documents permettant des recoupements, la confusion des prénoms n’est pas pendable. Elle n’aurait probablement pas empêché de trouver le livre de souvenirs signalé par Chaloux.
Je comprends très bien que l’on ait le souci de l’exactitude, mais comme d’autres l’ont dit avant moi, le prénom de la gouvernante n’a strictement aucune importance pour la lecture littéraire de l’œuvre de Musset.
« Sa vie son œuvre » finit par ressembler au fameux pâté d’alouette…
@mais comme d’autres l’ont dit avant moi, le prénom de la gouvernante n’a strictement aucune importance pour la lecture littéraire de l’œuvre de Musset.
Au contraire, cette veuve Martellet a fait mentir ce qui semble » entendu » ici que le petit personnel n’a pas d’histoire.
Il faut lui reconnaître la volonté de se faire un nom:
Pour ceux qui ont pu parcourir les souvenirs de la gouvernante, tout à fait accessibles en ligne ! c’est évident.
Maintenant, ses souvenirs n’ont absolument aucun caractère d’importance pour la lecture de Musset.
Ces souvenirs sont plutôt des propos de dévote,et assez actimonieux pour qui selon elle porte atteinte à son maître.
Comme déjà dit :Absolument aucun intérêt.
acrimonieux
@mais comme d’autres l’ont dit avant moi, le prénom de la gouvernante n’a strictement aucune importance pour la lecture littéraire de l’œuvre de Musset.
Le prénom est important dans ce qui nous intéresse.
Bien sûr que c’est Adèle et pas Olympe.
Merci de confirmer, s’il en était besoin, ce que nous savions déjà : un mensonge, ridicule, entêté, grotesque.
Unmade Beds
https://www.eyeforfilm.co.uk/images/newsite/Debbie_Harry_-_Unmade_Beds.jpg
Bourand ce peut être le nom du fermier, de la ferme, du coin (texte) un patois.
En tout cas, abandonnée, elle fut. Adéle.
Colin serait son nom de naissance et Martellet son nom d’épouse.
Si tout ça est pour dire que les petites gens ont de l’importance, on le sait depuis longtemps. D’ailleurs, hier soir, en mangeant noix de mon noyer/roquefort sur petites tranches de pain rassis, je me questionnais sur pourquoi un aristocrate se commettait avec de pauvre gen.
Pire, semblait y trouver quelque intérêt.
N’ai pas eu la réponse.
Une petite fille de six ans a été abandonnée par son père et par sa mère : la mère a été d’accord : insistons sur son horreur pour parfaire le portrait des femmes horribles.
Mon père, lui, sur sa tombe, a fait écrire son patronyme de son vivant.
Sinon rien. Pas une photo. Pas de date, rien.
Sa tombe est abandonnée.
Laisdons le petit personnel de l’état civil conjecturer sur Olympe et revenons à la littérature .
« parce qu’avec les américains le point de départ est toujours un mensonge et vlan ! »
Souviens-toi de Mainila (*)
Go Simo, go.
Adèle Colin et ses souvenirs ont une importance que l’Assasseure serait bien incapable de mesurer, faute d’une culture et d’une intelligence suffisantes(quoiqu’elle soit elle-même extrêmement suffisante). J’y reviendrai un peu plus tard.
Être précis en ce qui concerne l’état-civil de cette femme, est une manière d’honorer sa mémoire. À bien des égards elle mérite.
Le texte complet des souvenirs de la6 veuve Martellet est accessible en ligne.
À chacun de juger de son importance.
Des ragots et popotins d’arriere cuisine. Pas plus intéressée par les confessions de la gouvernante d’Alain Delon.
La postérité littéraire ne lui a accordé aucune suite , et j’avoue que ce fort Boyard au cimetière pour la retrouver me fait rire de non cœur.
Moi je dis toujours : à chacun selon son niveau.
Et visiblement il y a un gap…lol
Elle le mérite.
Téléphone.
Adele, sans le sou, et sans reconnaissance, à la mort de son grantomme, à de quoi émouvoir l’huissier, intellectuellement s’entend, car dans la réalité, c’est une autre storia.
Hommages au modeste Jimmy C., mister president, de Camp David (1924-2024), à Simo Hayha (1905-2002), modeste gueule cassée finoise, survivant à l’enfer blanc.
-> Amitiés à la modeste Adèle Martellée au Blanc-Sec, à la Modesta de Goliarda et à la Modestine de Stevenson. Bàv, filles modestes (1.10.24_8.15)
L’Assasseure n’hésite jamais à tartiner son imbécilité. C’est même à ça qu’on la reconnaît.
Quelle importance ?
je préfère la littérature.
Et je croise les doigts pour Simo.
Que vont « expliquer » les épouses des 40 violeurs, au procès ? Voilà qui va susciter plus de curiosité en France erdélienne que le discours de clôture de politique générale de l’ancien premier ministre Barnier. c komsa, la vie qui dirfile.
L’Assasseure, tu ne sais pas ce qu’est la littérature. Tu serais bien incapable de la voir là où elle est. C’est pour toi un objet invisible. La verrais-tu, tu serais devant elle comme une poule qui a trouvé un râteau.
« Il a une femme chinoise ».
Ai-je bien lu cela ?
Exemple : Il a une femme Chinoise, une batterie de casseroles, et un aspirateur ?
Disons que pour un même livre lu, un même livre lu, si les mots ont encore un sens dans ce cloaque d’egos malmenés je ne crains personne. Personne.
A ce sujet, j’ai grandement passé l’âge de recevoir des leçons de lecture, à fortiori, quand ce ne sont que coups de menton, et autres bouffissures.
Dire ce que sont ces souvenirs d’Adele ne devraient pas mettre l’ huissier dans tous ses états, mais au contraire, lui apprendre à ne pas trop intellectualiser son goût des petites gens, mais réfléchir avant de les jeter à la rue.
Après tout avec ces exigences couillues
lol, de on choisit son job, non ?
Le registre d’expression de l’huissier véreux indique juste qu’il a le cerveau qui marine dans l’ordure à pas cher.
Qui n’est jamais passée pour une imbécile, au crible d’un rateau-laveur en savates diaprées ?
Bàv, dirduc de bilhoreau : le monde s’éveille en Charente avec les yeux empoissés du nouveau sommeil d’octobre, tardant à s’écarquiller. Il est grand temps d’aller s’en jeter une petite pour s’éclaircir l’esprit, hein.
Retour à Ulysse, et à ‘Moly’ (avec un seul ‘L’). Dans son idépassable Exil de James Joyce, Hélène Cixous cite la lettre que l’auteur irlandais envoie à son ami Budgen :
« Comme je vous l’ai dit, un mot clef suffit à m’inspirer. ‘Moly’ me pose un sacré problème. Voici où j’en suis de mes rélexions. ‘Moly’ est le don d’Hermès, dieu des mœurs publiques, cette influence invisible (prière, chance, agilité, présence d’esprit, force de récupération) qui sauve en cas d’accident. Elle donnerait l’immunité contre la syphilis (‘syn philis’ = amour de cochon ?). Hermès est le dieu des poteaux indicateurs & donc il est, particulièrement pour un voyageur comme Ulysse, le point de convergence des routes parallèles ou contraires. C’est un accident de la Providence ». (syn = sin = péché). »
Je relis des passages de « Rouen, la Trentième Nuit de Mai’31 », magistrale et shakespearienne pièce d’Hélène. Vous qui appréciez, qui respectez cette créatrice singulière à la voix d’or et à l’intelligence vif-argent, ayez une pensée pour elle ces temps-ci…
@Jazzi :
Je vous ai envoyé un nouveau mail sur votre boite mail @AOL. Adresse qui figure sur le Lézard.
Bonjour Jazzy,
Je suis Nicephore sur la République des Livres.
Je n’arrête pas de me faire traiter de connard par Marie Sasseur.
La connaissez-vous ?
Merci de votre réponse.
Cordialement.
–
Michel Grosbois
OK, le troll est réveillé.
Et moi je suis déjà loin.
À toute’
Vous semblez l’avoir dépassée, l’hellène, non, rBL ? 🙂
L’autre est déjà loin, mais elle va s’arrêter on the road pour poster avant 5’… Elle passe son temps à twitter au volant. C’est une femme moderne, un brin pétrol-dangereuse… Sur le périf, l’va pas pouvoir descendre à 50. Sa craint, à toute’…
Nora Bernacle ou Amalia Popper ?
Adèle et Musset, c’est exactement le même cas d’espèce que Céleste et Proust.
Celui de la servante dévouée entrée en dévotion pour son maître après sa mort et qui se souvient à la fin de sa vie de cette rencontre déterminante pour elle.
Une histoire, à caractère sociologique, sur non pas la lutte mais la rencontre des classes.
A faire hurler les féministes d’aujourd’hui…
Emouvant et édifiant.
Certains artistes du 19e siècle et du début du 20e n’ont-ils pas d’ailleurs épousé leur bonne ?
Puck le minus, suppôt(zitoire) de Poutine et de Xi, sache que tes propos, rien moins que diffamatoires car ils contiennent des allégations d’une bassesse qui te va bien au teint, je les traite cette fois-ci au sulfate de mépris. Tu es un moins que rien & je ne vais pas perdre mon temps avec ton insignifiance.
En revanche, si tu injuries encore une fois ma femme chinoise, tu le payeras très cher. No second warning.
Continue à déverser ta diarrhée sur le reste, bouffon, tout le monde s’en tape, moi le 1er. Mais pas touche à madame.
Remember Delaporte?
Nicéphore, je vous ai déjà répondu ici que je ne la connaissais pas plus que ça…
« Au procès des viols de Mazan, des épouses sidérées : « Ce n’est pas un homme comme ça »
Les épouses des cinquante coaccusés de Dominique Pelicot, qui leur a livré sa femme Gisèle droguée aux anxiolytiques, continuent malgré tout à les soutenir, souvent en euphémisant les faits. Avec pour certaines, le but revendiqué de les sauver. » (Le Parisien)
Où commence et où s’arrête la sororité ?
Certes non, 3J. Elle m’a beaucoup appris sur JJ lors de longues conversations à Pondichéry, ou dans son restaurant préféré (un Libanais). Elle avait connu les Jolas, alors vous pensez…!
Et puis elle a inspiré des thèses passionnantes, je pense à celle de Margaux Criou, par exemple : “Oui-dire : j.ouissances de la vie chez Hélène Cixous, Jacques Derrida et James Joyce”, avec un jury présidé par Jean-Michel Rabaté, maitre d’oeuvre de la Pléiade cité par Passou.
« J.ouir de la vie », voilà qui lui va à merveille.
C’est le canard laqué, ça énerve.
Certes non, 3J. Elle m’a beaucoup appris sur JJ lors de longues conversations à Pondy, ou dans son restaurant préféré. Elle avait connu les Jolas, alors vous pensez…!
Et puis elle a inspiré des thèses passionnantes, je pense à celle de Margaux Criou, par exemple : “Oui-dire : jouissances de la vie chez Hélène Cixous, Jacques Derrida et James Joyce”, avec un jury présidé par Jean-Michel Rabaté, maitre d’oeuvre de la Pléiade cité par Passou.
« Jouir de la vie », voilà qui lui va à merveille.
Du nouveau sur la tombe de la gouvernante de Musset?
Je n’en dors plus et je ne suis sans doute pas le seul!
Pour qui s’intéresse à la Chine et n’a pas la chance de fréquenter l’amphitéâtre Marguerite de Navarre, les cours d’Anne Cheng, fille du grand poète François Cheng, sont disponibles ici:
https://www.college-de-france.fr/fr/agenda/lecture/la-chine-est-donc-un-etat-despotique-dont-le-principe-est-la-crainte
Demain, le 2 octobre, le nouveau cycle débutera par une conférence sur: Discours sur la race entre Europe et Chine.
C’est rien de dire que l’on est à des milliers de ‘li’ des déchets de Puckoff, l’autre baichi du blog.
« Du nouveau sur la tombe de la gouvernante de Musset ? »
Faudra patienter, closer, j’ai commencé à réunir la documentation d’un futur roman : « La gouvernante d’Alfred de Musset » (titre provisoire)…
Peut-on demander à ce que les palmes académiques soient retirées à individu?
Je contacte mon député. C’est un ami.
Avec l’appui de Passou, Goncourt assuré JB!
Après tout, pourquoi pas Jazzi? Pour Ariane Chemin , je ne sais si elle a œuvré sur Musset, mais j’ai parlé avec elle de cette sépulture sur le blog de Paul Edel et de la mention « Gouvernante d’ Alfred de Musset », qui s’y trouve gravée.. Et c’est elle qui m’a dit que je fait d’avoir été « gouvernante de Musset fut très important dans sa vie. ». Je reproduis ses propres termes. Bonne chance pour la retrouver. Je l’ai trouvée par hasard…
Gasp! Pas Ariane Chemin , qui n’a rien à voir ici , mais Ariane Charton!!!!
Ce qui vaut, je le crains, toutes les Sasseur du monde!!!!
Et maintenant c’est Ariane Charton, dont la bio de Musset est à l’usage exclusif des collèges, voire des maternelles.
Je comprends mieux, MC.
Oui, elle a écrit sur Musset.
https://www.babelio.com/livres/Charton-Alfred-de-Musset/312761
« Ariane Chemin , qui n’a rien à voir ici , mais Ariane Charton »
Bof après Olympe, maintenant Ariane Chemin, quel chaos mental.
Où commence et où s’arrête la sororité ?
aujourd’hui, je trouve qu’elle commence ici:
Pour le reste on a déjà dit que nombre de conjointes de violeur vont d’une manière ou d’une autre défendre leur conjoint monsieur banal. Par sideration, oui, mais aussi par deni inconscient.
Pour une infime minorité, -mais qu’il convient néanmoins d’envisager-, s’il faut envisager un « risque » judiciaire, ce serait une accusation de non dénonciation de crime.
Ça va comme ça ?
aujourd’hui, 1er octobre , d’octobre rose
gouvernante n’est pas nourrice mais voir quand même:
De quelques romans de la rentrée (2)
Francis Bacon a-t-il eu seulement une nourrice ? Et d’abord l’a-t-elle vraiment élevé jusqu’à le suivre dans ses pérégrinations une fois adulte ? A la limite, on s’en fiche ; on n’ira pas vérifier car on y croit dur comme fer dès lors que Maylis Besserie est notre guide. Son roman La nourrice de Francis Bacon (247 pages, 20 euros, Gallimard) clôt une trilogie irlandaise commencée avec Beckett (Le Tiers-temps, 2020), poursuivie avec Yeats (Les amours dispersées, 2022) et achevée là avec Bacon. Car cette écrivaine a vraiment l’Irlande chevillée au corps, à l’esprit, à l’âme. L’écriture en est fine, précise, charnelle, subtile. Le grand peintre y est raconté de l’intérieur par sa nourrice, comme l’indique le titre, encore que le terme de nanny convienne mieux ainsi qu’elle en fait usage en permanence dans le livre. Entre les deux mots, il y a davantage qu’une nuance.
RDL
Les propos orduriers de Samuel à l’encontre de Bloom nous salissent tous.
Mon soutien à l’un et mépris pour l’autre.
je roule sur l’asphalte vers l’hôpital pour la suspicion d’un cancer du sein rose. Et je vous twite quand même la rdl. J’avais pas eu le temps de consulter ariane charton, ça m’avait échappé. Je peux pas tout contrôler au volant pour Pierre A, hein ?
A@plusse.
Pourquoi de tels propos injurieux qui n’ont rien à voir avec le sujet du billet de M. Assouline, ni avec la littérature?
Certains des scripteurs semblent d’une grande vulgarité et pauvrement dotés intellectuellement. Je crois que cela va intéresser la fille d’une amie qui travaille sur ces thèmes à l’ULL.
Par contre Jazzi, quand quelqu’un se fait traiter de nazi, tu ne réagis pas.
Arrête ton cirque.
Le jjj lui, se permet des trucs cheloux avec ses avatars… et ça passe aussi.
Ça doit être un truc tacite de la maison poulaga.
Oui jzman, mais à qoui bon ? Tant que ces deux ordures n’auront pas été virées, hein.
Inutile de s’indigner, de telles réactions les font jouir.
Bàv… (et @ ed poivre et sel) Je ne vous conseiller pas d’aller vous emm… dans les cimetières pour si peu, jzmn, cela ne suscite que le mépris des putes borgnes. En revanche, si vous en tirez un roman ou une nouvelle, c’est épatant, cela devrait plaire à CT et CP, et peut-être vous les réconcilier d’un brin.
Le jjj lui, se permet des trucs cheloux avec ses avatars… puck, notamment.
@ un truc tacite de la maison poulaga.
S’y connait pas mal, en démontage des robinets au sein du darkweb, ma soeur…
et chaloupe, c’est un truc cheloux, un avatar de pukt et de shmuel 75, des foik ?
Ah bon ? – et quand panse l’intéressé puck, de ma soeur, la paranorgïaque qui twite à 100 haleurs…
oulà, l’est en grande forme le copain et avatar de ma soeur, ce matin !
Espérons que ce soit positif!
Much appreciated, Baroz. C’est dans LE besoin que l’on reconnait ses amis (et dans LEURS besoins, ses ennemis).
Qu’ils déversent leur benne à ordures, il sera bien temps de les propulser défintivement dans les ténèbres extérieures.
On ne va tout de même pas se laisser gâcher Roch Hachana qui arrive à grands pas (4-5 octobre)
(C’était la fête de la lune il y a dix jours – hao chi!)
Boum boum badaboum !!!
j’aime pas trop quand ça vire au dîner con, servi par le même à toute heure, sur ce blog. Si je me mets à table, c’est que c’est midi.
C’est cela Bloomie,
Si tu ne me cherches pas, je te laisse tranquille et je t’oublie.
Sois sage avec moi et je serais de même sage avec toi, ok ?
Tant que ces deux ordures n’auront pas été virées
—
3J, vous n’êtes pas dans la partie ‘celte’ du pays, mais avez peut-être des intuitions dignes de Merlin. A creuser (en respectant le trait de côte, oeuf corse).
Allez, je vais voir les amis du Soleil, ma seconde maison, en pleine création de leurs Dragons. Je vous dirai.
et puis, il y a le jeu des 1000 francs que toute l’herdlie écoute religieusement, pas vrai, ma soeur la trêve ? Euh, mais les diners de kons, c’est pas un peu TOIj qui les provoques un brinj, hein ? Allez, à la soup aux chloux !…
(Au fait, René Fallait…, l’est enterré où ? – question au Superbe Ancho) 🙂
Pour la partie celte , moi je fais confiance à Sylvain Tesson.
Le pauvre Bloomie devient complètement marteau avec ses rêves de toute puissance.
Dès que rentre, j’écris aux palmes académiques avec ses messages en leur demandant s’ils trouvent raisonnable de les lui conserver.
À part répéter ce qui existe déjà dans les bouquins sur Joyce qu’il recopie ici pour quelques gogos ébahis, où est sa légitimité pour faire éclater une telle supériorité?
Nulle-part.
J’oubliais de dire qu’une de mes amies, qui est une authentique spécialiste de Joyce internationalement reconnue, me confirme que Bloomie est totalement inconnu dans ce cercle.
Donc Bloomie, même sur ce chapitre, ne la ramène pas trop.
De plus, Bloomie est intervenu plusieurs fois dans La Règle du jeu de BHL.
La règle du jeu.
BHL.
La Libye et tant d’autres choses.
Bloomie, pas de leçon politique.
Bon après-midi.
Va mâcher du papier pour fabriquer des dragons.
Pour en revenir à César en Gaule c’était quand même du tourisme sexuel. Surtout qu’il s’en est pris à un jeune homme valeureux, Vercingétorix, mais appartenant à des tribus à peine sortie de l’âge de pierre.
En quelque sorte c’était quand même de la violence sexuelle.
Et personne ne lui a rien dit.
D’un autre côté César était une victime lui aussi. Je ne l’oublie pas. Lors de son triomphe à Rome, ses soldats, l’apostrophaient par un « Salve Regina » tout a fait douteux lorsqu’il paradait dans les avenues de Rome assis sur son cheval.
C’était de l’homophobie.
Ils auraient du être arrêtés et jugés.
Quand on descend du petit Ezechiel de service au sous-Celine période Allemande,, ça fait mal! MC
C’est pour dire que Catulle qui osait s’en prendre à une personnalité aussi toxique, c’est tout à son honneur.
Et il publiait. Ce qu’il racontait était donc de notoriété publique.
Franchement c’était courageux.
Son côté outsider rendait cette position courageuse plus facile. J’en suis bien conscient.
* ses soldats l’apostrophaient
Bloomie Tchang avant de m’attaquer en diffamation relis-toi d’abord :
« Ma femme me rapporte qu’en Chine on boit du thé oolong parce qu’on sait que la patrie des Droits etc. obéit désormais au doigt et à l’oeil aux desiderata du Secrétaire géréral du Parti communiste. La start-up nation a vendu son âme en échange de vils contrats.
On remerciera messieurs les ‘xiao ren’ qui ont oeuvré au renversement des traités inégaux d’antan: Fabius, Macron, Raffarin et Khons saurs.
BOYCOTTEZ les 2 musées parisiens qui crachent à la face de la province annexée et de la recherche française sur le Tibet!
Mille milliards de mille sabords, bientôt il vont nous changer le titre de l’album d’RG en « Tintin dans les mondes himalayens »! Tchang!
MerdRe alors, cornegidouille & petit bâtons dans les oneillles!
L’Oedipe de la Somme n’a toujours pas pigé que les Chinois ne respectent que les forts? Et personne pour le lui dire? Serait-il sourd, nue fois?
En attendant, plus faible que la France aujourd’hui, tu meurs. On se marre à l’ambassade de Chine car on sait fort bien qu’un des Inspection généraux de chinois n’a jamais enseigné la langue (inutile quand on a torché trois ou quatre discours historiques à Matignon). »
des tribus à peine sortie de l’âge de pierre.
–
Tout-à-fait erroné.
Les Gaulois n’avaient évidemment pas le degré de civilisation des Romains, mais ils étaient très loin de l’Âge de pierre, pratiquant l’agriculture, l’élevage, ayant de nombreux artisanats très aboutis, notamment le tissage, la confection, l’orfèvrerie, l’ébénisterie. Ils avaient par les druides des lettrés, très au-dessus de simples chamanes, qui lisaient et écrivaient sur du bois ou sur du métal des phrases écrites avec des caractères druidiques et dont il ne reste quasimment plus rien de nos jours.
La deuxième sélection du prix Goncourt 2024 :
Sandrine COLLETTE, Madelaine avant l’aube (JC Lattès)
Kamel DAOUD, Houris (Gallimard)
Gaël FAYE, Jacaranda (Grasset)
Hélène GAUDY, Archipels (L’Olivier)
Philippe JAENADA, La désinvolture est une bien belle chose (Mialet-Barrault)
Maylis de KERANGAL, Jour de ressac (Verticales)
Jean-Noël ORENGO, « Vous êtes l’amour malheureux du Führer » (Grasset)
Abdellah TAÏA, Le Bastion des larmes (Julliard)
Sniif…
Bloomy pour que les vils états vendent leur âme en échange de vils contrats, il faut :
– d’un côté la vile nation
– de l’autre côté ceux qui font des vils contrats :
https://www.oaklandinstitute.org/guerre-spoliation-prise-controle-terres-agricoles-ukrainiennes
Chaloux, pour l’administration des palmes, si vous pouviez joindre également mes messages ? J’ai bon espoir d’être proposé.
Bloomy tu peux vous réécrire une petite histoire de la Chine en prenant comme référence littéraire non pas « Tintin au Tibet » mais « le Lotus Bleu » ?
encore que la guerre de l’opium c’est aussi un moment glorieux de l’histoire de l’Angleterre.
du coup dans la foulée tu peux aussi nous écrire une petite histoire du colonialisme anglais.
J’en ai lu deux dans la 2eme sélection Goncourt, et franchement je préfère pas.
Beaucoup d’oeuvres ne méritent vraiment pas de figurer dans cette sélection du Goncourt !
Retenons dès maintenant La désinvolture (etc.) comme vainqueur et gagnons ainsi beaucoup de temps.
COMME L4A TRES JUSTEMENT RAPPEL2 Bloom:
On ne va tout de même pas se laisser gâcher Roch Hachana qui arrive à grands pas (4-5 octobre)
donc sur la vie des idées:
« De 1562 à 1598, alors que les guerres de Religion privent la France de ses repères, les stratégies pour maîtriser, travestir et éliminer les signes confessionnels deviennent un enjeu de survie. Les marques extérieures de l’identité révèlent alors ce que la guerre civile fait à la société. »
sur »survivre « de jérémie Foa
https://laviedesidees.fr/Jeremie-Foa-Survivre
Retenons dès maintenant La désinvolture (etc.) comme vainqueur et gagnons ainsi beaucoup de temps.
Bof, moi cette histoire de la suicidée par le balcon, ça me tente pas. Encore de la littérature de fait divers.
C’est une liste Goncourt pour dépressifs chroniques.
« Durant les guerres de Religion, un doute omniprésent quant à la véritable nature des êtres et des choses fait triompher « la perte du droit à l’indifférence » et « l’obligation afférente de tout expliciter » (p. 12). Chacun étant dans l’incapacité de comprendre qui est l’autre, la France devient « un univers de signes » (Umberto Eco, cité p. 149). Un contexte de politisation extrême suscite le besoin vital de gérer l’expression de son identité et de percer celle des autres, générant une hantise du secret et abolissant la frontière entre le privé et le public. Par conséquent, à l’inverse de l’individu renaissant de Jacob Burckhardt, émancipé et épanoui, les hommes et les femmes des troubles civils sont contraints de maîtriser leur façonnement en permanence afin de contourner les embûches mortelles de leur quotidien. »
idem vie des idées
Pour la suicidée du balcon, je trouvais qu’Ariane Chemin, oui oui Ariane Chemin, tenait là un vrai sujet, avec les suicidés de Montreux, jusqu’à ce qu’elle en fasse une » thèse » psy de trauma transgenerationnel, autrement dit, de la merde.
Moi je compte maintenant sur les Académiciens pour faire un triomphe à Simo.
Afin de rendre compte des dérèglements multiples induits par les troubles civils, ce livre propose une histoire des anonymes et des recoins. Il ne s’agit pas de simples détails, car s’y nichent les angoisses, les doutes et les revirements des guerres de Religion. La reconstitution du quotidien « au ras du sol » (p. 11) confère de la visibilité à des oubliés de l’histoire et conduit le lecteur dans les creux où se cachent les signes et dans les crêtes où ils se travestissent. »
idem
Bon d’accord. Je propose de ne retenir personne cette année alors.
« La désignation de soi et de l’adversaire constitue le principal enjeu identitaire de la langue en temps de conflit civil. Cette « insécurité sémantique » (p. 212) se complexifie en fonction des particularismes locaux et de l’évolution des événements, qui appellent tantôt à exploiter la puissance de la taxinomie, tantôt à l’éviter. En outre, des processus inédits de réification, de bestialisation et de diabolisation ouvrent la voie au massacre, lequel est parfois euphémisé par d’autres pratiques langagières. Fort de ces résultats, l’auteur rapproche légitimement la réforme de Malherbe et la pacification henricienne : au sortir des guerres de Religion, la langue se voit retirer tout rôle politique en réaction à son implication dans les troubles civils. »
idem
Cette histoire des suicidés de Montreux, je rappelle vite fait, une famille commet un suicide collectif en se jetant d’un balcon, peut interpeller les lecteurs de Cabane d’Abel Quentin. Des survivalistes upper class, en milieu urbain, une secte en huis clos qui va vouloir fuir la réalité.
Selon Ellmann Giacomo Joyce serait le pont entre A Portrait of the Artist as a Young Man et Ulysses. Or, Ellmann souleve un lievre : le modèle de Molly est Nora Bernacle ou Amalia Popper, maitresse de JJ et mystérieuse Dame de Giacomo Joyce et première traductrice de quelques récits des Dubliner en Italie ?
Le père d’Amalia, un juif de Bohême, s’appelait Léopold.
Mais Amalia était-elle vraiment la maîtresse de Joyce à Trieste ou était-elle Emma Cuzzi ou les deux l’étaient ?
Trouvé au Musée Joyce (Trieste) un livret de Roberto Curci, Tutto è sciolto, sur les origines triestines du Giacomo Joyce, et en particulier sur ses inspiratrices : Emma Cuzzi et Amalia Popper.
Autour de Giacomo Joyce et tout ce qui va avec :
http://p-www.iwate-pu.ac.jp/~acro-ito/Joycean_Essays/GJ_Anti-Semitism.html
En France, une femme sur huit sera confrontée au cancer du sein au cours de sa vie. Parmi les facteurs de risque figure la consommation d’alcool : chaque année, 8000 cas de cancers du sein sur les 61000 détectés lui sont attribuables, selon l’Institut national du Cancer. Quels mécanismes sont en jeu, et quelles sont les implications en matière de prise en charge et de traitement ?
https://theconversation.com/alcool-et-cancer-du-sein-limiter-sa-consommation-diminue-le-risque-239021?utm_medium=email&utm_campaign=Et%20surtout%20la%20sant_20240924&utm_content=Et%20surtout%20la%20sant_20240924+CID_2dd02e581d8d9d7a09db1bdc47ed6f60&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Lire%20larticle
« Bon d’accord. Je propose de ne retenir personne cette année alors.:
C’est clair tu sors de la liste, mon vieux en tirant une gueule de 20 pieds de long, comme un parisien heureux.
Pfff
J’ai un message important à faire passer à tous : il faut que nous nous aimions et que nous nous le disions. Alors je commence : je vous aime toutes et tous ici.
Octobre, Mosaïque romaine
https://i0.wp.com/followinghadrian.com/wp-content/uploads/2014/10/15270674559_284fc55da7_h.jpg?ssl=1
Musée archéologique national d’Espagne, Madrid
sérieux ça devient ch.ant cette posture de supériorité morale qui se permet de donner des leçons à la terre entière !
maintenant on la trouve partout : dès qu’on écoute Francul, on lit le Monde etc…
partout cette petite musique de la haine ordinaire comme l’autre avec son esprit de beauf franchouillard genre BHL qui s’imagine avoir le monopole de la pensée parce qu’il a épousé sa Navalny chinoise !
en fait c’est ce genre de beauf débile avec leur esprit étriqué qui sont en train de nous mettre le b.rdel de partout !
encore les néoconservateurs américains ils ont une force de frappe avec leurs agences de la cia et leur 800 bases militaires à travers le monde, mais là c’est des petits néoconservateurs petit bras de chiotte qui nous balancent des leçons de morale à la c.n !
alors qu’ils devraient essayer de calmer le jeu pour éviter de mettre le feu à la planète ils ne peuvent s’empêcher d’ajouter leur petite graine de haine !
sérieux c’est ch.ant !
D. c’est gentil de m’aimer, moi aussi je m’aime.
vérification:
sur le nom de Néha , le scribe scannérisé (le monde)
néha est un prénom qui se donne encore;d’origine indienne, c’est un prénom arabe qui signifie esprit, sagesse, et est porté par des filles
Michel Barnier a fait son discours de présentation de sa politique générale. Le point essentiel à retenir est qu’il ne va rien se passer du tout pendant les 3 à 6 mois de son gouvernement. Nous pouvons donc dormir tranquille, pendant que les termites mangent tranquilles. Crunch crunch crunch miam miam miam.
🐛
Cela-dit j’aime beaucoup Michel Barnier tout comme j’aime beaucoup les termites.
Plus précisément
https://images.app.goo.gl/71BBowC2VXL8Bdgp7
Cette histoire des suicidés de Montreux, je rappelle vite fait, une famille commet un suicide collectif
Un garçon adolescent s’en est sorti de mémoire.
C’est une liste Goncourt pour dépressifs chroniques.
C’est une liste Goncourt de l’époque.
Ernest Perroton 1920. On a pris cent ans plus quatre.
James Joyce:
renato sait de quoi il parle, ce qui change des pieds nickelés. Je serai bientôt à Trieste sur le chemin de l’Albanie et du Kossovo & ne manquerai pas de visiter le musée Juice, avant d’aller me receuillir sur la tombe d’Ettore Schmitt, au Cimitero Cattolico di Santa Anna.
@Un garçon adolescent s’en est sorti de mémoire.
En l’ayant totalement perdue, la mémoire.
En passant, comme ça, discrètement, Modestine est une ânesse. Avec son bât de charge.
Ma mémoire au top :
« Seul le fils adolescent avait survécu à la chute, mais était grièvement blessé et dans le coma. »
Cher Puck, calme toi !…tes jugements sont souvent meilleurs que les nostres mais n’oublies pas : nous sommes libres et ta vie est en danger !
Michel Barnier est au sommet de la gloire : il est le fils intemporel de Jupiter Jocris. Michou, le bébé Manu l’a créé de sa maman chérie, un jour où il n’avait rien à foutre.
Bonne soirée, puceaux, pucelles, putes, punaises poissardes, pompeuses peinardes, papouilleuses perses de camping moyen-oriental
Et dans le vol d’Air France qui s’est crashé ds l’Atlantique, seul une fille adolescente s’en est sortie.
Comptez sur moi pour comptabiliser les survivants. Où que ce soit.
La rosse qui dépece les commentaires c’est un peu le même effet qu’un sanglier qui vient retourner le jardin.
D. dit: à
« J’ai un message important à faire passer à tous : il faut que nous nous aimions et que nous nous le disions. Alors je commence : je vous aime toutes et tous ici. »
Euh !!!…Non, rien !
Celui-ci :
« Le vol Rio de Janeiro–Paris AF447 (AFR447)8 du 31 mai 2009 était le vol régulier de la compagnie Air France entre l’aéroport international Antônio Carlos Jobim et celui de Roissy-Charles-de-Gaulle. Il transportait 228 personnes, dont 216 passagers et 12 membres d’équipage. »
Seule, une jeune fille adolescente s’en est sortie.
Sam Beckett: Fin de partie.
Faut tout de même que je l’obsède sacrément pour qu’il aille me traquer dans les recoins du web, l’Henriot du blogapassou. Acharnement typique du petit rond de cuir à constituter son fichier, rictus aux lèvres.
Incurable souchien, hystérique enfonceur de touches.
Ce soir le thème c’est fin de partie. Tara, donc au mytho qui ne connait pas plus de joycien/nes que je suis archevêque, non plus que de député d’ailleurs (sauf peut-être à la droite du RN). La République ne se compromet pas avec un personnage aussi louche. Mytho la Chalouche, roooo! Mitée,la Chalouche!
Fin de partie de Sam Beckett aussi pour Sam Débecte, le pseudo-VRP de l’IDF qui fait déjà dans son froc. Je doute que l’empafé soit au rdv du 9, pour la pratique du tranchant de la main. Les pleutres sot tous des veules.
Allez, bonne nuit les cloches!
« For whom the bell tolls,
It tolls for thee! »
https://www.youtube.com/watch?v=sYA3EneNmB8
(Merci à John Donne et Big Ben, fidèles compagnons)
Bloomie, la femme dont je parle est une amie (pas une relation de dîners), et une spécialiste reconnue de Joyce. Mais, je te l’accorde, ce que tu sais bien mieux que moi, c’est à quel point tu es inconnu dans ce cercle. Totalement et définitivement inconnu, ainsi que tu le mérites.
De plus, il est vrai que ta soumission à Bernard-Henry Lévy fait de toi un personnage politiquement souillé. Car collaborer (le beau mot!) à sa revue revient à endosser son bilan.
Ce que je crois, c’est qu’après tes adieux avortés, tu es revenu ici sur ordre. Quelqu’un te tient, Bloomie, c’est évident.
Chantal dit: à
duboisrobindepondy@gmail.com
c’est aussi du boudin ?
—
Non. Je déteste les mensonges. Je vous réponds illico si vous me contactez. Vppius pourres m’aider, j’ai perdu l’adresse postale de mon copain dessinateur Nicolas Vadot, qui a rencontré son australienne grâce aux regrettés Jean-Marie Derscheid, le galeriste, et Serge W. de Wallonie Bruxelles, et moi qui dirigeais l’AF Sydney.
Frank Pé était aussi de la partie, toute comme votre famille princière, royale aujourd’hui… Sacrée Mathilde…puisque te vlà!
Vous pouvez (peut-être- m’aider.
Bernard-Henri.
Affaire de mœurs?
Pourquoi as-tu été renvoyé si brutalement d’Inde?
(Pas « si brutalement, dinde »! Encore que…
Je fais mon possible pour l’apprendre.
Chic, J-N Orengo est dans le top 8. Il faut qu’il arrive dans le top 4. Après, c’est la part du diable, comme disait Bataille.
Marrant, c’est en quittant sa « zone de confort » à savoir l’Asie, qu’il est propulsé dans la liste des gros prix.
@ Bloom, volontiers, je vous l’envoie par retour
Pour Orengo, on a déjà tout donné ici…
BHL a été renvoyé du Bangladesh, pas d’Inde, alors qu’il était conseiller économqiue du président Sheikh Mujibur Rahman. L’armée n’appréciait guère ses connexions naxalites à Calcutta, où il se rendait régulièrement pour retrouver sa compagne et rencontrer des maoïstes effectivement.
J’ai travaillé un temps pour l’ULL sur les intellectuels francophones et l’Inde au 20es. Cet épisode m’avait marqué.
Bien noté, Chantal. C’est très chouette de votre part.
A bientôt!
MS, j’avais beaucoup aimé sa Fleur du capital. Sans concession…Le personnage de Kurz, c’est autre chose que le faux poster-boy de Tsahal…
Lady Bird
J’ai fait le tour du sujet Speer…
Sujet désossé , il ne me reste plus rien à en dire.
il ne me reste plus rien à en dire, de plus que ce qui a été posté sur le billet correspondant
S’il y a une constante, Rapanui, c’est que vous ne comprenez jamais rien. Confrontez votre arbre généalogique avec celui de M. Court, j’ai l’impression qu’il y aurait comme une possibilité de cousinade!
D’ailleurs, cher Robert, il y a une grosse faute de traduction pour le titre de ce roman d’Orengo, en lice pour le Goncourt, si vous le connaissez , dites le lui.
Décès de jacques Réda.
» Bougonneux comme une contrebasse et remâcheur de vers de quatorze pieds, celui que l’on a l’habitude d’inscrire dans le sillage de Fargue, de Follain et de Cingria fut également le successeur de Georges Lambrichs à la rédaction en chef de la Nouvelle revue française dont nous sommes quelques-uns à ne pas avoir oublié les sommaires, entre 1987 et 1995. Membre du comité de lecture de la maison Gallimard, celle-ci a tout naturellement publié la majeure partie de son œuvre, ce qui n’a toutefois jamais empêché l’adepte des chemins détournés de confier ailleurs des manuscrits souvent un peu plus « décalés », que ce soit chez Verdier, chez Théodore Balmoral, au Temps qu’il fait et chez Fata Morgana (1) d’où les critiques recevaient les services de presse rehaussés d’un malicieux carton portant l' »Hommage de l’auteur absent de Montpellier ». »
Didier Pobel. Pour saluer jacques réda.
Je n’ai pas lu son dernier, MS, mais je le connais très bien (nous étions ensemble en Inde) et le lui dirai. Vous pouvez juste me mettre sur la voie?
Merci!
Il a cité Göring, autant qu’il ne se fasse pas surprendre.
Vous avez compris, les autres?
Toutes les précisions données dans les commentaires du billet correspondant.
D’accord. Il est brillant, Jean No, pourtant. On se voit la semaine prochaine, si le monde existe encore that is.
72 minutes pour l’anéantissement total.
Naturellement c’est beaucoup moins pour Chaluel et Samoux, une nanno seconde chacun et pfffiit ! l’air est tout de suite plus pur.
Mais je suis là.
De qui es-tu l’agent?
Qui te tient aussi fermement?
Je comprends que ta respiration soit un peu oppressée. Que tu sois mal ventilé.
Qu’est-ce qui t’arrive si on te repère?
JC sympa vos conseils.
c’est comment le nom de votre bateau, limite faire le tour de Port Cros, le Mas du Langoustier, faire un détour par le cap Lardier… c’est un bon truc pour se détendre…
en fait j’ai pas trop envie de me détendre parce que tous ces types que je lis et j’écoute sur Radio France, l’Express, le Monde, Libé, le Point, France 5, Arte etc ils me gonflent tous.
j’écris à certains mais je ne peux pas écrire à tous, et ici j’ai l’impression qu’il y a comme un concentré de cette bêtise humaine, du coup je me défoule sur eux et ça me détend.
exemple au hasard : un type comme Bloomy avec sa Navalny il concentre en lui tout ce qui peut me gonfler en ce monde, le pire du pire de l’hypocrisie et du mensonge ambiant, du coup ça me détend de le traiter d’espèce de BHL, et BHL qui pensait que Botul existait vraiment c’est le plus grand imbécile que notre pays a produit depuis Charles X et encore on pourrait remonter plus loin.
JC l’ami, tu pourras me redire le nom de ta frégate ?
j’ai des potes qui ont acheté un catamaran en Bretagne, ils ont voulu le ramener à Bandol il se sont encastrés un rocher vers Porto.
on vit dans un monde hyper compliqué.
Ah Chamy , s’il fallait partir du principe que vous compreniez tout, que la vie , et ce blog, serait beaux! Hélas, hélas, hélas! MC. PS Laissez Monsieur Rapanui tranquille, il a l’air de s’y connaître sur des sujets où vous ne maîtrisez rien, sauf l’insulte et l’invective.
exemple vraiment au hasard : sur Arte ils ont fait une émission sur les mensonges d’état.
ils ont parlé de Mitterrand avec sa maladie et de la fille de l’ambassadeur du Koweit qui s’était fait passé pour une infirmière d’une maternité du Koweit attaquée par les irakiens.
et c’est tout, pour les journalistes quand on parle mensonge d’état on a que ça.
ces débiles n’ont pas compris que s’ils voulaient faire une émission sur les mensonges d’état il fallait qu’il commence par faire une émission sur eux !
Lire Ah Chaloux . Rectification inopportune.
sûr que ce genre d’émission sur les mensonges d’état vont se multiplier.
parce qu’ils commencent à avoir des remords à force de raconter des conn.ries du coup ils vont essayer de faire des trucs pour dire : vous voyez on n’a pas peur de parler des mensonges d’état.
du genre on est des journalistes courageux, on a peur de rien… comme BHL.
« La vie de Jean-Baptiste Botul, philosophe de tradition orale, est encore mal connue. Seules certitudes : il est né en 1896 et mort en 1947. À part cela, on ne sait pas grand-chose sinon que ce grand esprit, originaire des Hautes Corbières (il pâtit beaucoup de son accent méridional) connut de très près Joséphine Baker, Lou Andréa Salomé et Simone de Beauvoir. On signale sa présence en Argentine, à Clipperton, en Cilicie et au Paraguay dans des missions restées très secrètes.Depuis douze ans, « Les Amis de JBB » consacrent leurs loisirs à retrouver, pièces après pièces, à travers nombres d’archives lacunaires et éparses, les traces de ce penseur méconnu. Les Éditions Mille et une nuits ont publié quatre de ses oeuvres ou plutôt des transcriptions de propos attribués à Botul : La Vie sexuelle d’Emmanuel Kant (1999), Landru, Précurseur du féminisme (2001), Nietzsche et le démon de midi (2004) et La Métaphysique du mou (2007). »
L’Iran attaque Israël.
Ça va barder pour la planète.
Mon pauvre MC, vous allez de rectification en rectification, un vrai chapelet de saucisses. Vous auriez dû être charcutier.
Quant au reste, mêlez-vous de vos vieilles fe.sses surement horriblement boutonneuses. J’ai répondu à cette immense pointure (encore une! Un vrai magasin de chaussures!) qui n’a pas compris le sens de mon post.
Ernest Peroton 1920 (sic) avait la Péroche…, Nêne+ 4. Modestine était une ânesse comme pas mal de meufs de l’époque de Pérochon, c’est sûr, mar^z, déjà elle était rétive eu égard aux coups de baston de Robert-Louist. C’était une sainte. Existe-t-il des snippeuses célèbres en ce bas-monde, en dehors de ma soeur, la loutre blanche ?
(@ les poudrins de ma mémoire)…
Comment Israël va riposter ?
Telle est la question que tout le monde se pose.
il y a longtemps j’ai rencontré un paraguayen, un monsieur assez cultivé, d’un certain âge, qui avait eu l’occasion de côtoyer JB Botul à Montevideo.
Il en avait gardé un fort souvenir.
s’était fait passeR, Puck.
La Mémaphysique du tout (2007). »
J’aime assez…
C’est bon les saucisses.
il y a une journaliste, une philosophe dont le nom m’échappe, elle travaillait à l’Express, elle avait écrit un papier sur le ton humoristique sur BHL et Botul.
BHL a réussi à la faire virer du journal ! en 3 jours boum ! licenciée !
et après ce type nous fait croire qu’il est comme Bloomy un défenseur de la liberté, de la démocratie et des nobles causes…
Décès de jacques Réda.
Un collègue psychiatre a lu les messages de ce « Chaloux »: pour lui, il s’agit d’un cas assez classique de paranoïa délirante caractérisée par la fausseté du jugement, la jalousie, une agressivité morbide; vanité, suffisance, morgue, prétention, rigidité monolithique et hypocondrie, complètent le bref portrait de cet avatar(e) pervers caractériel.
On serait aux USA, il aurait peut-être déjà exprimé son déséquilibre de façon dangereuse.
* des tribus à peine sorties de l’âge de pierre.
renato, j’attends mon Haydn.
Je suis en manque, c’est trop duuuuur.
Il semblerait, selon certaines sources, que notre Bloomie soit un enfant naturel de ce Botul qui jamais n’exista. Naturel, c’est vite dit, bien sûr! Plutôt un produit synthétique en fait. Un petit cabotin, agent de l’étranger? Allez savoir! Hébergé le couteau sous la gorge? Héhé…
J’ai entendu ce matin que l’Iran était affaibli? La fin des mollahs?
Voui, un Haydn sinon rien!
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