de Pierre Assouline

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La République des livres
Conversation d’Eckermann avec Jean-Yves Masson

Conversation d’Eckermann avec Jean-Yves Masson

Sans Goethe, qui connaîtrait Eckermann ? Le cas n’est pas isolé dans l’histoire, et pas seulement dans celle de la littérature. Sauf que celui-ci est particulièrement saillant dans la mesure où il éclate dès la couverture des fameuses Conversations avec Goethe (Gespräche mit Goethe in den letzen Jahren seines Lebens) que Johann Peter Eckermann (1792-1854) publia une première fois en 1836, et dont il publia une nouvelle version enrichie en 1848. Ce portrait du Maître en mouvement perpétuel, offert au public avec ses esquisses dans leur saisissante vérité, devint rapidement un classique ; comme les Propos de table de Luther, l’un et l’autre de ces recueils de mots ayant « changé le destin de l’âme allemande » ; les propos rapportés y sonnaient si juste qu’on en fit un livre de Goethe lui-même bien qu’il n’en relut pas entièrement le manuscrit. Du moins avait-il consenti au projet.

Les deux hommes avaient fait connaissance après que le disciple eut adressé l’un de ses textes au maître. Celui-ci se fixa alors à Weimar et, neuf années durant, se livra au commerce quotidien des idées avec celui qu’il admirait. Il reconstitua de mémoire la teneur leurs propos, plus qu’il ne les retranscrivit. Peu de thèmes, de sujets et de personnages de leurs temps leur échappèrent, qu’il s’agisse d’art ou de politique. Il leur fallut attendre près de deux siècles pour rencontrer leur troisième homme en Jean-Yves Masson (1962), lequel s’est fait le confesseur du confesseur. Pour inventer son narrateur, il s’est glissé dans la peau de Sir Robert Doolan. Son nom n’apparaît qu’à quelques reprises dans les trois volumes des Conversations. Le magistrat avait juste eu la chance d’être là à Weimar dans ses jeunes années ; il apprenait l’anglais à Eckermann qui en retour lui enseignait l’allemand. Rentré à Londres, il se souvint, à un âge où l’on est plus heureux dans la compagnie des livres que dans celle des hommes.goethe_in_der_roemisch

L’incendie du théâtre de Weimar (185 pages, 15 euros, Verdier) se veut le roman de cette rencontre ; mais en dépit des apparences, il n’a rien d’un roman historique ; plutôt un précieux précis d’amitié littéraire et poétique, animé par l’esprit de l’exercice d’admiration. Partant du principe qu’un événement a priori secondaire dans la vie d’un homme vaut non par son authenticité mais par sa signification, il s’est emparé de l’incendie du théâtre de Weimar dans la nuit du 21 au 22 mars 1825. Un accident peu après minuit et la représentation de la pièce de Cumberland Le Juif… Toute la ville était là, et les habitants qui ne s’étaient pas déplacés, tel le Grand-Duc Charles-Auguste de Saxe-Weimar-Eisenach, observaient le tragique feu d’artifice depuis les hauteurs. Goethe (1749-1832), qui le surnommait Serenissimus, avait regardé les lueurs depuis son balcon, avant d’aller se coucher. Seuls furent surpris d’une telle distance ceux qui ignoraient qu’il ne se rendait pas non plus aux enterrements de ses amis, pas même celui de Schiller. Le théâtre n’était pas un chef d’œuvre d’architecture mais tout de même.

Il y a de belles pages sur Shakespeare que Goethe admirait, ainsi que sur Walter Scott ou Napoélon ; d’autres plus nombreuses sur la Flûte enchantée, la suite et le prolongement que Goethe avait entrepris de lui donner dans un esprit tout aussi maçonnique mais une facture plus cocasse et bouffonne encore ; et des passages émouvants sur Byron que le narrateur vénère comme un demi-dieu et le héros de son adolescence, celui par les yeux duquel toute sa génération avait vu le monde :

 « Savoir que j’étais sur terre en même temps qu’un être aussi extraordinaire était en soi un réconfort. Il m’a toujours semblé que les poètes sont des accumulateurs d’énergie et que c’est par là qu’ils viennent en aide à leurs contemporains et à leur successeurs ».

Goethe soutenait que son œuvre était le produit d’un être collectif, quoique signée de son seul nom. Il avait le génie de donner de la grandeur aux sujets les plus futiles et frivoles dès lors qu’il s’en emparait. Les Conversations n’en sont pas exemptes. Eckermann se voulait interlocuteur mais certainement pas secrétaire ainsi que la postérité l’a abusivement consacré. Il avait bénévolement assuré la publication de son œuvre et de ses papiers posthumes.

Cette nouvelle conversation sur l’une des plus fameuses conversations de la littérature se déploie naturellement dans un cercle des plus restreints. La sensibilité de Jean-Yves Masson à cet univers, l’intime entretien qu’il a noué de longue date avec la poésie et la langue allemandes, lui permettent de l’ouvrir au monde sans cesser d’en faire un cercle enchanté. Il réussit à faire de ce moment anodin un événement inouï, une œuvre d’art illuminée par les flammes du théâtre du Grand-Duché qui ne tarda pas à être reconstruit sur les plans de Goethe. L’édifice ne brillait pas par la beauté de sa forme. Ce qui de l’avis du grand poète n’avait aucune importance, un théâtre n’étant jamais à ses yeux qu’« un amas de planches régulièrement dévorées par le feu » : le chef d’œuvre, c’est ce qu’on y joue.

(« Le vieux chêne, 1895, ou l’arbre de Goethe à Weimar, huile sur toile de Henri Harpignies ; Goethe dans la campagne romaine, 1787, huile sur toile de  J.H.W. Tischbein, Musée Städel, Francfort)

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829 Réponses pour Conversation d’Eckermann avec Jean-Yves Masson

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 12h14

Un suicide ? Ce gouvernement n’a pas de cœur. François ! Fais quelque chose. Tu es libre sans ton vieux boulet !

t’es un trés mauvais conseiller jicé..si j’étais le bon roué françoué je te jetterais aux crocodiles..tu vois que t’as bien choisi et qu’il défend tes interets..trop

u. dit: 28 janvier 2014 à 12h22

« les fils de la RdL apparaissent comme une sorte de café du commerce »

On aura beaucoup médit des cafés du commerce.

C’était un des piliers de notre culture citoyenne.

(Par exemple, le thé à la menthe, ça la fait pas).

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 12h28

les fils de la RdL apparaissent comme une sorte de café du commerce

..et alors! (bouguereau)

Et alors rien. Pourquoi pas un café du commerce de plus, en effet ? Il en faut. Cependant, il existe des clubs de lecture, dont tous les membres ont lu le livre dont on a choisi de parler; les débats y sont d’une autre tenue et d’un autre intérêt qu’ici. Assouline pourrait s’en inspirer; Il n’y a pas que la formule de Wikipedia qui commence à s’user.

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 12h29

Dans quelle catégorie ti situes-tu ?
Celle des buveurs de:
1) à table:
– café
– vin rouge
– vin blanc
– bière
2) au comptoir:
– café
– vin rouge
– vin blanc
– bière

@ Hilbertitude dit: 28 janvier 2014 à 12h31

« Il n’y a pas que la formule de Wikipedia qui commence à s’user. »

Effectivement…. !

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 12h33

Cependant, il existe des clubs de lecture, dont tous les membres ont lu le livre dont on a choisi de parler

..et tu perds ton temps au café du commerce pour dire que le commerce ne va pas..

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 12h36

« Il n’y a pas que la formule de Wikipedia qui commence à s’user. »

..tu tires de la satisfaction à le dire..t’espères en le café du commerce..trop..trop

renato dit: 28 janvier 2014 à 12h38

« les fils de la RdL apparaissent comme une sorte de café du commerce »

Nous attendons impatiemment votre participation (active), que, cela va sans dire, élèvera les ébats…

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 12h40

C’était un des piliers de notre culture citoyenne.

chez ginette..au balto pour pisser..au café des sports à reculons..au café du commerce c’était prés des gares et des administrations..à peu prés jamais

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 12h41

votre participation (active), que, cela va sans dire, élèvera les ébats… (renato)

Je ne pratique pas la sexualité de groupe.

@ Draftné dit: 28 janvier 2014 à 12h41

« Dans quelle catégorie ti situes-tu ? »

J’y mi situe dans les cats et les gories slivantes :

1) à table:
– café
– vin rouge
– vin blanc
– bière
2) au comptoir:
– café
– vin rouge
– vin blanc
– bière
3) au lit :
– antillaise
– sioux
– caucasienne
– munichoise

Ti y content ?

renato dit: 28 janvier 2014 à 12h41

Vous oubliez les apéros et les eaux-de-vie, Daaphnée, des moments non secondaire dans l’espace zinc…

DHH dit: 28 janvier 2014 à 12h44

vous avez dit « café du commerce »
c’est une verité qui n’est pas neuve sur la RDL
j’en faisais le constat il y quelques annéees sur un fil de ce blog:
« La RDL a changé ;c’est dommage pour ceux, qui ne goûtaient pas seulement les billets du maître, mais se délectaient régulièrement des commentaires, tout en n’intervenant qu’occasionnellement, quand la matière évoquée les interpellait.

C’était comme un salon ,dans lequel brillaient quelques grands causeurs ,pour le bonheur des autres invités ,plus discrets, qui butinaient avec bonheur leurs propos.

Et puis le salon s’est transformé en un trivial café du commerce ,où une bande d’habitués vient faire sa belote quotidienne ,et ils s’y installent en échangeant leurs vannes habituelles sur les thèmes éculés chers à chacun d’eux et dans son style prévisible .

Les stars de naguère, sans doute rebutées par la présence envahissante de ces habitués , ne se montrent plus guère dans cette RDL appauvrie. La lecture des commentaires devient de ce fait le plus souvent un moment stérile pour les autres familiers du blog , par ailleurs peu tentés de s’immiscer dans ces échanges pauvres en contenu, et qui s’autorisent même les pesanteurs de la blague salace.

A quand le retour des grands qui voudront bien faire l’effort d’ignorer cette présence , et qui ,par leurs écrits brillants et savants redonneront son lustre à la RDL? »
Cet espoir que je formulais ne s’est pas vraiment realisé ,mais il reste les billets du maître et aussi,contrairement au sentiment que j’exprimais alors, ,le plaisir pimenté d’observer et de cerner ,precisement à travers ces vannes, des personnalités qu’on finit par bien connaître sans jamais les avoir rencontréees

renato dit: 28 janvier 2014 à 12h44

« Je ne pratique pas la sexualité de groupe. »

Il ne faut pas croire tout et n’importe quoi, l’onanisme ne produit pas la surdité, cela se sait même dans les environnements moins informés, désormais…

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 12h48

c’est une verité qui n’est pas neuve sur la RDL
j’en faisais le constat il y quelques annéees sur un fil de ce blog:

un vieux pilier qui veut t’humilier hiiimilitude..

JC..... dit: 28 janvier 2014 à 12h49

Pardonnez moi de vous le dire avec toute la tendresse possible, chère Judith… mais vous êtes vieille, très vieille !

Il n’y a pas de maitre, ici. Cette notion est stupide sur un blog d’échange non normés ! Pas de bons et de mauvais : juste le temps qui passe trop vite pour vous …

JC..... dit: 28 janvier 2014 à 12h53

Dès que l’on est plus seul, on fait de la sexualité de groupe…. et, reconnaissons le, c’est ignoble !

JC..... dit: 28 janvier 2014 à 12h56

Avant de vous quitter définitivement* :
– Sarkozy ? Néron !
– Hollande ? Héliogabale !

* demain, 6:00

on se marre dit: 28 janvier 2014 à 13h23

« quand on ne veut pas parler du présent, un peu gênant,  »

baroz, expert en pièces jaunes, à la rescousse du brêle de porquerolles.. .

ça baigne dit: 28 janvier 2014 à 13h36

@DHH
« Les stars de naguère,  » « café du commerce »

Vous exagérez beaucoup! Le blog compte des experts politico-économistes d’excellence, de fins connaisseurs de la chose publique, pour qui le pouvoir appartient de droit aux raclures décomplexées racistes qui ont creusé le déficit, accru les inégalités, aggravé la dette, en plus de piquer plusieurs centaines de milliards et qui s’amusent à lyncher FH faute d’avoir quoi que ce soit à proposer si ce n’est aggraver la situation, qu’ils ont laissée, en s’en prenant aux acquis sociaux comme c’est le cas des requins internationaux en place!
On ne se lasse pas de tomber sur leurs chiures qui encombrent le blog dès le matin!

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 13h48

Le plus fou, c’est que DHH conserve ses bouses pour les resservir à l’occasion !
Tiens, ça me fait penser à l’autre bécassine.

Bon, il paraît que PA garde dans la cave un tonneau de goudron et qu’au grenier, traîne un vieil édredon plein de plumes …
On appellerait ça une performance on line ..

Le temps passe dit: 28 janvier 2014 à 13h52

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 14 h 48 min
Le plus fou, c’est que DHH conserve ses bouses pour les resservir à l’occasion !
Tiens, ça me fait penser à l’autre bécassine.

Tiens, la vieille Folle de Paris remâche ses douleurs.

Giovanni Sant'Angelo dit: 28 janvier 2014 à 13h58


…il y a plusieurs solutions,…

…et, notamment celle d’être  » riche « ,…aux dépends des autres,…

…usuriers divers,…connivences de groupes pour endetter de concert, une fraction de la population, par des lois, qui ne les concernent pas ou plus,…

…être  » riche « , et en plus vouloir le montrer,…c’est déjà ne pas avoir accès aux services publiques,…

…en ce sens, qu’il ne doit pas exister de service privé pour les riches,…( interdiction de collaborer avec des persécuteurs du peuple ),…
…je pense aux roueries des magistrats,…aussi,…avec un pied pour la loi,…et un autre pied pour plaider l’innocence des voleurs,…pour finalement en faire parti pleinement,…

…un autre système,…dans les dignités réciproques,…de tout les représentants des instruments de l’état,…hélas,…pour les riches,…uniquement,…aujourd’hui!,…

…un autre son de cloche!,…très sensible aux abus, des représentants de l’état,…à combattre les misères,…par d’autres misères et pour restez indispensables aux misères de la population,…

…un peu, comme, un  » management « , non-indispensable ( genre cellule mafieuse libre ) ,…pour se nourrir des fainéants à vivre du travail du peuple par lui-même,…et détourné pour les riches à redevenir encore plus  » riches « , comme des  » malades « que le peuple nourrit par les lois et magistrats,…

…c’est, un peu, plus claire l’offshore organisé des mafias du monde pour la boucherie des peuples-dignes dans leurs bottes,…etc,…

…un con peut en cacher, un autre plus grand encore,…Paris tenu,…en Stalag 14,…Ah!,…

…un sanguinaire éternel de justice pour tous,…Vive la guillotine,…pour les riches!,…etc,…

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 janvier 2014 à 14h10

Aïe, zut. Arrivée trop tard sur le lien indiqué par Jacques, l’émission est affichée « prochainement », on ne peut l’écouter. J’ai pensé la « podcast », mais sous le bouton « podcast », il est fait mention d’un « lecteur de podcast » que je dois avoir quelque part sur ce fichu ordinateur, mais que je ne sais pas utiliser.

Comment faire ?

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 14h11

Ce tableau (J.H.W. Tischbein) est assez atroce, il est vrai.
Quelle caricature dans le genre: le bas relief, les vagues ruines au lointain, et Goethe !
Cette pause improbable: le buste pratiquement de face (l’épaule droite), bras gauche sur genou droit, alors que le visage et les jambes partent sur le côté ..

C'est révoltant ! (bis) dit: 28 janvier 2014 à 14h22

C’est révoltant ! dit: Votre commentaire est en attente de modération.
28 janvier 2014 à 15 h 17 min

JC….. dit: 28 janvier 2014 à 13 h 49 min
Pardonnez moi de vous le dire avec toute la tendresse possible, chère Judith… mais vous êtes vieille, très vieille !

Cet individu, sous couvert d’anonymat, autant par le contenu de son interpellation que par le choix de sa formulation, administre la preuve de sa toxicité. J’ose espérer qu’il a pour lui les circonstances atténuantes d’un dérèglement mental.

MON commentaire « en attente de modération » lorsque vous laissez apparemment passer des propos ignobles ?

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 janvier 2014 à 14h41

Petit plaisir, de vous lire ici pendant que je vous entends ! Bon, votre interviewer m’énerve un tantinet, il vous coupe la parole… Votre voix est très bien, claire et timbrée, avec un léger « tremblement » qui la fait vibrer (et les « euh », mais ça, vous n’y pouvez rien !)

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 14h51

Bon, votre interviewer m’énerve un tantinet, il vous coupe la parole…

ho é..et toi cafouillant sur les avantages de la crème double dans la sodomie lors de ta prochaine interviou clopine..ha tu sras dans tes ptis souliers

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 14h53

la première chose qu’il dit c’est que c’est trop cher « mais on y reviendra »..comme je lui aurais dit de fermer sa grosse gueule de grotenculé directe comme lassouline à elcabache

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 14h55

..et puis ces badodzis..ça m’aurait ennervé..mais tu t’en es bien tiré baroz..tu vas ête riche et adulé des plombiers et des zingueurs

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 15h01

Ce tableau (J.H.W. Tischbein) est assez atroce, il est vrai.

je le trouve trés bien..quel cahier des charges !

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 15h03

..manque une chopine..une wurst et un laguiole..mais c’est vraiment en cherchant la petite bête

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 janvier 2014 à 15h05

Eh oui, à peine 8 euros et « c’est trop cher », « on y reviendra » – et il a oublié d’y revenir, je ne m’en plains pas parce que, du coup, vous avez parlé de textes bien intéressants !

Mais il est vrai que ce journaliste m’est apparu bien prétentieux. A rebours, vous étiez clair, précis, documenté – jouant un rôle de « passeur ».

Je m’en vais l’acheter, tiens, moi, votre goût de l’Afrique ! (en regrettant de ne pas vous voir travailler sur, tenez par exemple un « goût des champs »)

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 15h07

je le trouve trés bien..quel cahier des charges !

Cahier des charges, en effet!
Mais avec un tel zèle, le résultat fait peur.
Bref, la pause du sujet, totalement ridicule.
Puis, le Boug’, pensez-une seconde à ce que peint Turner dans les mêmes années …
On comprend que ce soit Turner que retienne la postérité, non ?

Phil dit: 28 janvier 2014 à 15h10

Beaucoup « de goût de » restent à produire. Faut donner les idées à Baroz mais pas sûr que le directeur de collection suive. Dans le goût du cinéma, baroz avait proposé de placer Brasillach. refusé. Pour le goût de l’Afrique, Morand est passé malgré sa vision dépréciative de la négritude. C’était l’époque, of course. Baroz is quite clever.

Sergio dit: 28 janvier 2014 à 15h10

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 16 h 03 min
..manque une chopine..une wurst et un laguiole..

Et un bitor ! C’est vrai, ça, où qui n’est, le bitor ? On va pas crever la dalle jusqu’à plus soif…

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 15h14

On comprend que ce soit Turner que retienne la postérité, non ?

j’ai une grosse tendresse pour la peinture de commande, c’est un peu comme les compliments et les discours lu à table, ça peut être mauvais mais si c’est court et circonstancié j’applaudis toujours

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 15h21

..par exempe dafnoz..quand je visite un chateau minabe quand y drache et que le gardien te montre une croute au dessus de la cheminée en disant « c’est meusieu l’comte avant d’être emporté par le chagrin les dettes et la siphylis »..et ben je fais hooo! et je pense en sortant qu’il a bien fait de pleuvoir dans le fond

chantal dit: 28 janvier 2014 à 15h21

j’ai regardé le curseur en écoutant, on parle de l’afrique à partir de la moitié de l’émission, les intermèdes musicaux sont bien choisis,on voyage un peu en écoutant le balafon ect ..
Intéressante la manière de découper en trois: fugues, indépendances et white micmac, éclairant aussi le point de vue subjectif introduit dans l’anthologie.

William dit: 28 janvier 2014 à 15h39

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 16 h 14 min
j’ai une grosse tendresse pour la peinture de commande

Quand le pseudo s’impose

christiane dit: 28 janvier 2014 à 15h41

Dans un entretien, Yvan Amar, excellent journaliste à RFI disait :
« L’écoute de la radio en France est extrêmement diversifiée. Pourquoi est-ce qu’on choisit des émissions courtes ou longues, des infos ou la musique? Ca dépend de la façon de vivre, de l’âge, de métier, de la disponibilité, du fait si l’on écoute en travaillant, en voiture, en rentrant chez soi, dans la journée ou dans la nuit.
Cependant, pour Yvan Amar, il est certain qu’aujourd’hui on écoute plus d’émissions courtes. Les grilles des radios, même sur des radios comme France musique et comme France Culture, réduisent les temps d’écoute, surtout pour les heures de «grosse écoute». «La radio devient de plus en plus rapide, de plus en plus fragmentée, et on va vers l’estétique de la saccade. Et plus la radio est une radio d’info, plus on a de petites infos qui crépitent comme des grenades!».
Yvan Amar est sûr que la radio est un média qui change énormément. De plus en plus il y a des gens qui écoutent la radio sur leur téléphone portable, sur leur iphone ou même sur leur téléphone fixe. Il y a encore cinq ans, ça ne se faisait pas, dit l’intervenant. Néanmoins, selon Yvan Amar, aujourd’hui, on écoute encore un petit peu la radio à l’ancienne en France. »
Dans cette émission « La danse des mots », la place et l’accueil qu’il donne à Jacques Barozzi est intéressante. En vingt minutes (hors extraits musicaux), il lui permet de commenter cette collection : « Le gout de… » chez Mercure, son propre travail dans cette collection (17 livres), la façon dont il construit chacun de ses livres, comment il mène son travail de recherche, comment il s’y implique notamment dans le dernier « Le gout de l’Afrique ».
Les réponses de Jacques Barozzi permettent de l’écouter, d’apprécier sa logique, sa mémoire, sa personnalité (tellement différente des échanges, ici, parfois), cette voix profonde et paisible.
Le résultat est appréciable et me donne envie de compléter la collection incomplète de ses ouvrages, dont ce dernier. Série que j’apprécie beaucoup.

Au passage, je signale, l’excellent livre de Clopine Trouillefou « Petites histoires familiales et nombreuses » – (éd. du NET)12€. De courtes séquences, intéressantes, pudiques, fortes, espiègles parfois. Une belle plume.

Siècles passés dit: 28 janvier 2014 à 15h44

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 16 h 07 min
pensez-une seconde à ce que peint Turner dans les mêmes années …

L’Histoire de l’Aart vue par dafnoz.

Qu’est-ce que 50 ans pour une vieille carne.

chantal dit: 28 janvier 2014 à 15h51

pourrais-tu nous en dire plus par exemple sur ton choix de Nadine Gordimer, ce serait peut-être intéressant puisque tu met aussi l’oeuvre Coetzee en avant, quelles sont leurs approches de l’identité au regard par exemple de l’oeuvre de Senghor qui redonne ses lettres de noblesses au fait d’être noir, je pense aussi à Césaire, mais ce sont là les Antilles et les îles que j’aime tant ..

Le non-temps impose au temps
la tyranie de sa spatialité : dans toute vie
il y a un nord et un sud, et l’orient et
l’occident. Au plus extrême, ou, pour
le moins au carrefour, c’est un fil des
saisons survolées l’inégale lutte de la vie et de
la lucidité, fût-ce celle du désespoir et de
la retombée, la force aussi toujours de
regarder demain. Ainsi va toute vie.
Ainsi va ce livre, entre soleil et ombre,
entre montagne et mangrove, entre chien
et loup, claudiquant et binaire
Le temps aussi de régler leur compte
à quelques fantasmes.
et à quelques fantômes.

Aimé Césaire, « Moi laminaire ».

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 15h56

il est reflexe et excellent..je croyais que dhh était keupu..c’est pire de lui ressembler tu trouves pas raclure?

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 15h57

Cher John Brown.
Comme j’étais hier près de chez cet écrivain, je me suis permis de déposer dans la boîte aux lettres de sa belle maison une copie de nos échanges à son propos. Ainsi que ton adresse et ton numéro de téléphone (qui ne semblent plus figurer dans l’annuaire mais que j’avais relevés il y a longtemps).
J’espère que tu sauras m’en remercier le moment venu.
Bien à toi,
Chaloux

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 16h01

Quand le pseudo s’impose

je peux pas faire le cuistre mais la peinture de commande oublié à au moins pour elle des défauts qui la font attachante et l’académisme pour elle n’est qu’une référence..c’est dailleurs ce qui la fait concerver là où elle doit être souvent..

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 16h04

..il se peint et se signe..c’est une autocommande satisfaite..c’est pas du ouyam..et c’est meugnon tout plein..me comprends tu mieux?

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 16h06

..bon c’est un exemp..sans plus..c’est un autoportrait interessant punaisé au café du commerce..mal torché ça n’en est que mieux

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 16h07

..alors que ouyam y’est en amérique lui meusieu ! les ploutocartes se l’arrachent..

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 16h08

Bouguereau, je te trouve réducteur dans le jugement, et morne dans le châtiment.

Non, ce n’est pas ce qu’il faut dire.

J’ai pensé : ce vieux monsieur s’ennuie, il lui faut du mouvement.

D’abord, pour éviter tout ridicule public:

– Changer de numéro de téléphone.
– Porter des lunettes noire.
– Déménager.
– S’acheter une perruque.
– Changer d’identité.

C’est tout un monde nouveau qui s’ouvre à lui.
John Brown me devra peut-être les plus belles années de sa vie.
Il faut positiver.
Bien à toi,
Chaloux.

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 16h10

Cet analphabète de « Siècles passés » !

C’est vous la vieille carne et débile, en plus!
Le jeune, très jeune Turner(1775-1851) peint « Pêcheurs en mer » en 1796 et il est entré à 14 ans à l’Académie!
Et cette croute de Tischbein date de 1787.
Crétin !

Korbak dit: 28 janvier 2014 à 16h11

châlouse est une donneuse mais ça on le savait déjà si on a lu son seul livre « Consternations avec moi-même » où il se dénonçait à la police des moeurs comme incapable d’ouvrir un blog, comme typique non-starter bavard, manieur hors pair de l’insulte et de l’insinuation. son cas ne fut jamais pris au sérieux par les autorités supérieures littéraires

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 16h17

Ce qui est amusant, John Brown, c’est que tu as le droit de tout dire, ici et sur ton blog, publiquement, mais qu’il est interdit d’en informer les intéressés. Il y a là quelque chose que je ne comprends pas. Je n’ai divulgué aucun secret, je n’ai commis aucune trahison, tout était public. Je me suis juste permis de donner un petit coup de pouce à ton destin qui me semble en avoir bien besoin. Après tout, s’il y avait des suites, tu aurais certainement quelque enseignement à en retirer. Remercie-moi plutôt de t’offrir cette chose si rare et si précieuse : une vie nouvelle.
Bien à toi,
Chaloux.

closet dit: 28 janvier 2014 à 16h25

Chaloux « Comme j’étais hier près de chez cet écrivain, »

c’est qui ? c’est qui?

georges dit: 28 janvier 2014 à 16h28

Alexia Neuhoff 28 janvier 2014 à 16 h 53 min
« Personne, ici, pour s’indigner du post de 13 h 49 min le 28 janvier 2014 ? »

ah ? ! voyons voir…! ah non! lire ce taré?! non merci!

Alexia Neuhoff dit: 28 janvier 2014 à 16h34

ça baigne dit: 28 janvier 2014 à 14 h 36 min
On ne se lasse pas de tomber sur leurs chiures qui encombrent le blog dès le matin!

Je viens de faire une expérience fort intéressante : suite au post de 13 h 49 min, j’ai envoyé (en des termes mesurés) un message pour en souligner le caractère inacceptable. Ce message est apparu sur mon écran avec la mention « votre commentaire est en attente de modération ». Les mots ont apparemment perdu tout sens.

DHH dit: 28 janvier 2014 à 16h36

@jacques barozzi
Moi aussi je suis allée vous écouter et je suis tentée par votre livre que je lirai
Une petite question ;D’après votre interview votre anthologie –tellement plus joli que le ce best of dont nous rebat les oreilles ailleurs -commence par un texte de Salluste .
Ce choix a-t-il quelque chose à voir avec la suggestion que je vous avais faite sur la RDL quand vous annonciez travailler à ce « goût de l’Afrique » ?

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 16h38

Pardonne-moi, John Brown, j’oublie de te dire que j’ai ajouté à ce courrier deux portraits. Celui qui figurait sur ton blog, dont j’avais gardé une copie, ainsi que celui où l’on voyait, dans l’arrière-fond, la magnifique applique 1960 qui pare si joliment ton salon plastifié.

Alexia Neuhoff dit: 28 janvier 2014 à 16h40

Cet individu, sous couvert d’anonymat, autant par le contenu de son interpellation que par le choix de sa formulation, administre la preuve de sa t.x.c.té. J’espère qu’il a pour lui les circonstances atténuantes d’un dérèglement m.nt.l
(cryptage nécessaire pour…)

un chou ché un chou dit: 28 janvier 2014 à 16h43

Ce choix a-t-il quelque chose à voir avec la suggestion que je vous avais faite sur la RDL quand vous annonciez travailler à ce « goût de l’Afrique » ?

Fais gaffe baroz, la vieille va te demander une part sur les bénéf

Sergio dit: 28 janvier 2014 à 16h51

Alexia Neuhoff dit: 28 janvier 2014 à 16 h 53 min
Personne, ici, pour s’indigner du post de 13 h 49 min le 28 janvier 2014 ?

Le mieux dans ces cas-là c’est y coller un maître coup de poing et donc après consécutivement ça dit la messe tout seul… Evidemment faut pas rater son coup comme Achab avec son harpon sinon l’inconvénient c’est que c’est mal barré…

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 16h51

« son cas ne fut jamais pris au sérieux par les autorités supérieures littéraires ».

John Brown, c’est alors que tu perds ton sang froid (non sans raison cette fois) que tu atteins des sommets.
Continue sur cette voie. Elle monte. C’est la tienne.
Ton:
Chaloux.

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 janvier 2014 à 16h52

Décidément, cette Daaaphnée, qui, pour insulter autrui, ne trouve que les termes de « bouse » ou « bécassine » – ne se rend pas compte que c’est sa propre vulgarité qu’elle dévoile ainsi, en employant des termes (pour elle, insultants)qui relèvent de la ruralité. Il faut voir aussi comme elle hoquette et vomit les termes de « fermière » ou de « femme de ménage », manifestement, pour elle, synonymes d’abaissement. Proust, qui plaçait, en termes d’amitié, les ouvriers avant les aristocrates (et seulement après, les bourgeois), aurait fait un portrait virulent de la virago de ce blog…

Pourtant, de quelle laideur morale serait le portrait de celle qui se permet de mépriser, ici et croyant ainsi m’atteindre, le monde paysan, soit 45 % de la population mondiale.

Et ce, sur un blog dont l’hôte a, pendant une période de sa vie, été un dévoué gardien de dindons !!!

Daaphnée pourrait-elle seulement comprendre pourquoi Pierre Assouline n’en semble pas le moins du monde honteux ?

D’ailleurs, tous les propriétaires de basse-cour ne peuvent que l’admirer. Songez que les dindons sont les pires volailles qui soient. Certes, leur laideur est si atroce qu’elle en devient intéressante : ce lambeau de peau, comme un goître, qui vient clore le crâne microcéphale. Cette peau nue jaillissant des plumes, épaisse, ridée, pendante comme un sexe de vieil homme. Ces couleurs trop éclatantes(Monet a peint des dindons blancs, mais ils peuvent être noirs, bleutés, avec collerette d’un rouge vif) disposées en palette… Mais ces grosses volailles sont surtout dangereuses. Chez nous, vous n’en verrez plus, depuis que le fils aîné de Clopin, aux champs avec son père, et âgé de trois ans, s’est fait attaquer par un dindon. Directement aux yeux. Les oies vous préviennent, elles, de leurs intentions. Pas les dindons. Le temps pour Clopin d’enlever l’enfant, de le porter aux urgences, le mal était fait, et le petit a dû garder longtemps un pansement aux yeux. Clopine, de retour et empli d’une rage froide et implacable, s’est muni d’un bâton, a été assommer la bête et lui a proprement tordu le cou : bravo, Clopin.

Or, notre hôte, si frêle, si calme et posé, a eu la charge d’un troupeau de 2000 dindons. Moi je dis « chapeau », comme je félicite notre bergère, Jeanne, que son troupeau de moutons suit à sa cadence à elle, sans que jamais elle ne force son pas, et sans qu’un seul animal ne la devance, ce qui est un exploit !

Personnellement, l’accident arrivé à mon beau-fils est la cause de mon aversion pour les affreux dindons. Et si je devais faire le portrait moral de la si délicieuse et distinguée (wouarf) Daaphnée, ce serait sous les couleurs criardes, la vulgarité du cou nu, la bêtise dévoilée par la tête minuscule que je la sacrerais dindonne en chef !

Alexia Neuhoff dit: 28 janvier 2014 à 16h53

Le commentateur de 13 h 49 min récidive à 17 h 43 min en toute impunité et sans modération (lui), tiens tiens !

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 16h54

« Certes, leur laideur est si atroce qu’elle en devient intéressante : ce lambeau de peau, comme un goître, qui vient clore le crâne microcéphale. Cette peau nue jaillissant des plumes, épaisse, ridée, pendante comme un sexe de vieil homme. Ces couleurs trop éclatantes(Monet a peint des dindons blancs, mais ils peuvent être noirs, bleutés, avec collerette d’un rouge vif) disposées en palette… Mais ces grosses volailles sont surtout dangereuses. »

Clopine, vous êtes sûre que vous avez pas plutôt gardé John Brown?

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 16h59

Clopine,votre histoire rappelle celle du doux Fénelon.
Néanmoins, était-il besoin de tuer cet animal, et de cette manière barbare?
On connait les dindons. La nature du votre était semblable à celle de tous les autres. Etait-ce sa faute? Et fallait-il qu’il y ait châtiment? J’avoue que vous me choquez un peu.

précisons dit: 28 janvier 2014 à 17h00

Clopine vous n’ êtes pas très gentille pour les dindons,un des animaux les plus anciennement vénérés. Parlons plutôt de dinde, voulez-vous bien?

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 17h02

Au Moyen-âge, on faisait le procès des cochons. Michel Pastoureau a écrit sur ce sujet. Votre Clopin a régressé de 7 siècles.

précisons dit: 28 janvier 2014 à 17h04

Et ne faut-il pas reconnaître, que le glou, glou, glou de crête nous ferait plutôt penser à un sexe féminin assez décati?

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 janvier 2014 à 17h05

Chaloux, il n’y a pas de plus ardent défenseur de la cause animale que Clopin – dont la vie a été bâtie pour ne pas tremper dans l’agriculture industrielle et ce qu’elle signifie de souffrance animale (avez-vous déjà visité une porcherie industrielle, comme en Bretagne ?)

Et la façon dont il a tué le dindon violent n’était pas barbare. Je crois bien, ma parole, tant il avait eu peur pour son fils, qu’il aurait pu le trucider à mains nues. Mais il l’a d’abord assommé…

Nous mangeons de la viande, en nous assurant que les animaux qui nous la fournissent ont eu une vie correcte. Et, quand Clopin tue une volaille, je peux vous assurer qu’il le fait sans douleur ni souffrance pour l’animal en question.

La vie aux champs repose sur ce genre de pacte, et ne nous faisons pas d’illusions : c’est l’être humain qui est le maître. Le savoir, le vivre, et exercer cette domination le plus respectueusement possible, voilà le challenge.

Il y a quelques années, j’avais écrit une petite nouvelle « ma soeur âne », qui illustre cette thématique. Si cela vous intéresse, Chaloux…

Ornithologue amoureux dit: 28 janvier 2014 à 17h06

Daaphnée !!! Un cygne blanc majestueux, délicat et sublime, là où Clopine s’écrase en bouse, lourde comme une autruche s’essayant à voler

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 17h07

Au Moyen-âge, on faisait le procès des cochons

c’est qu’ils hésitaient à leur attribuer une âme mon cheuloux..elle est en avance et toi une bille..no chance

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 17h10

Changer de numéro de téléphone.
– Porter des lunettes noire.

ha c’est un portrait avec le pied..tu jouis..et j’avais moi des méthodes de police..hoho..cheuloux en vopo..t’es mignon

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 17h12

Michel Pastoureau a écrit sur ce sujet

elizabête de fontenay aussi..comme phélicie

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 17h14

Clopine, même si votre Clopin avait tué cette pauvre bête en aube, gants blancs, avec des génuflexions et en lui chantant un requiem, votre histoire demeurerait choquante. Vous devriez demander qu’on l’enlève. Ce qui me choque c’est le rapport clairement établi faute/mort. Votre dindon était aussi dindon que la nature l’avait fait dindon. Il a agi en dindon (comme John Brown). Il n’y avait donc pas à le punir. Votre clopin aurait mieux fait de se punir lui-même d’avoir été aussi négligeant. On ne laisse pas un petit enfant à la portée des animaux de la ferme, cela se sait depuis la nuit des temps.
Quant à votre livre, je vais le lire, mais ne me dites surtout pas que vous mangez de l’âne ou que vous en envoyez en boucherie. Manger de l’âne, comme du cheval ou du chevreau… Jamais.

un chou ché un chou dit: 28 janvier 2014 à 17h14

Pauvre Clopine !
« m’atteindre, le monde paysan, soit 45 % de la population mondiale. »

Si encore vous êtiez vraiment une paysanne, même pas ! Ne vous imaginez pas représentative de quoi que ce soit d’autre que vous-même.
Et qu’est-ce que vous venez encore tartiner les murs de ce blog de vos abyssales sottises !

Ce qu’on s’en fiche, ici, de vos clopiconneries familiales, franchement !
La Sainte-Trinitouille .

Végétarien dit: 28 janvier 2014 à 17h15

« Nous mangeons de la viande, en nous assurant que les animaux qui nous la fournissent ont eu une vie correcte. »

Les carnivores n’ont aucun respect de la vie animale. Brutes !

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 17h15

Bouguereau, vieille burne vide, cette question remonte bien plus haut:
« Qui sait si l’âme des bêtes va en-bas? ».
L’Ecclésiaste.

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 17h20

« Qui sait si l’âme des bêtes va en-bas? ».
L’Ecclésiaste.

ils avaient des lettre et des inquiétudes mon cheuloux..toi des principes et des certitudes imbéciles

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 17h22

Avec toutes les nullités qui sont publiées chaque année ! Cette pauvre Clopine, même pas !
Pfff ..

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 17h22

On ne laisse pas un petit enfant à la portée des animaux de la ferme, cela se sait depuis la nuit des temps

la nuit des temps c’est le rayon célophane de leclers et surtout ne pas oublier le numéro de la gendarmerie pour toi mon cheuloux

Sade, divin marquis dit: 28 janvier 2014 à 17h25

Merveilleux ! Merveilleux ! Après le Mariage pour Tous de Taubira, la masturbation par Peillon des enfants à la maternelle.

J’en ai rêvé, le gouvernement l’a fait ! Goethedammerung !

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 17h26

Bouguereau, range ton manuel d’inquisiteur bas de gamme.
Cette histoire de « principes » et de « certitudes », j’entendais ça quand j’avais cinq ans. C’est le degré zéro de la critique.
A part parler fondement et ressasser de vieux trucs rhétoriques dont ne ne sert plus que quand on est déjà très fatigué, qu’est-ce que tu sais dire?
(Comparer Pastoureau à Mme de Fontenay, c’est noté. Mais encore?).

diététique dit: 28 janvier 2014 à 17h28

Nous mangeons de la viande, en nous assurant que les animaux qui nous la fournissent ont eu une vie correcte et blablableurpbleurpbleurp

Le poisson, ça rend moins gros et moins con.

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 17h29

scuz..hold dze line mon cheuloux..
profite pour étoffer un peu ta matière..et enlève tes lunettes de soleil tu vois pas bien l’écran

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 17h32

Oui, John Brown, tu as agi en dindon, en dindon-Brown, qui affirme ce dont il ne sait rien, et parle à longueur de post de ce qu’il n’a pas lu. Et crac ! le bâton… Au moins ta double nature, car il doit tout de même rester quelque chose d’humain au fond de tes dindonnades, te permettrait-elle de faire amende honorable, ce qui n’était pas le cas de cette pauvre bête, qui d’ailleurs n’en aurait pas eu le temps.

Bendit, Cohn ! dit: 28 janvier 2014 à 17h32

Que mille papouilles enchantent l’enseignement du genre chez les tout-petits !

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 17h35

Le Boug, que tu sois une grosse nullité, avec des arguments et un bagage de cour de collège genre banlieue rouge, pas besoin de retirer ses lunettes pour s’en apercevoir. Le problème pour toi ce n’est pas que je m’en aperçoive (je le sais depuis longtemps), c’est que quelques autres s’en aperçoivent aussi. Mais tu ne devrais même plus t’en inquiéter, le voile à demi-levé finit toujours par s’envoler.

DHH dit: 28 janvier 2014 à 17h42

@clopine
Je suis assez indifferente à la matiere de tous ces posts qui tournent autour du dindon et de son sort et qui traitent l’evenement que vous racontez en termes de souffrance ou de responsabilité animales ; car cette vision anthropomorphique me gêne intellectuellement ,même si elle est partagée par des gens aussi éminents qu’Elizabeth de Fontenay.
Et c’est sans arrière –pensée que j’ai aimé votre histoire, triste mais qui finit bien, parce qu’elle est joliment racontée ; j’ai surtout trouvé votre description du dindon vraiment reussie ;vous avez un vrai talent d’écriture ……étonnant chez une Bécassine ,pourraient penser certaines

Pape François dit: 28 janvier 2014 à 17h42

Je commence à en avoir assez des combats Chaloux/Brown, du pugilat TKT/Dédé, du crêpage de chignon Daaphnée/Clopine, des grossièretés JC/DHH ! Où vous croyez-vous ? N’avez vous aucune pudeur ?…

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 17h45

Bouguereau, sérieusement, l’argument des « principes », des « certitudes », l’allusion à la « gendarmerie », c’est un discours de dominé.
De dominé recruteur.
Tout à fait toi, à mon avis.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 17h46

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 12 h 18 min
on apprend que l’auteur est homo ?
il a connu Eddy ?

Une maman inquiète dit: 28 janvier 2014 à 17h47

C’est quoi ces histoires de genre et de masturbation à l’école ? Un garçon, c’est un garçon et une fille une fille ! Qu’est ce qu’elle dit de ça, Nadjat ?

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 17h49

Je n’ai pas lu le billet. C’est encore pour les universitaires.
Certain que si Eddy l’avait fait Erasmus, Jean-Yves nous ferait un autre portrait de l’Allemagne. Plus actuel.

Yahvédonné dit: 28 janvier 2014 à 17h53

« Un livre américain de 1250 pages sur le génocide fait du seul mot « Jew » (Juif) imprimé six millions de fois. »

Plus con, tu meurs.

diététique dit: 28 janvier 2014 à 17h55

crêpage de chignon

Comment ça, un chignon ?
Cette Clopine !
Elle se fait plutôt voler dans les plumes, non ? Et je crois bien que PA a gardé des oies et non des dindons … aurait-elle fait partie du troupeau ?
Las !
Serait-elle assez dinde pour se faire plumer par un dindon, fût-il une dindonne ?
C’est possible .
Si .

Un karma exceptionnel, cette Clopine !

Ornithologue dit: 28 janvier 2014 à 17h57

Certaines femmes sont des colibris enchanteurs, d’autres des autruches stupides !
Sauras tu faire la différence ?

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 18h00

Qui est ce John Brown dont on parle beaucoup mais qu’on ne voit pas ? Il existe sans exister. Carnavalesque fantoche. On peut observer cet effet dans le cas d’autres personnages (Daaphnée, Bouguereau, JC, etc.), eux aussi souvent évoqués, sous un jour généralement peu flatteur, par d’autres intervenants qui semblent s’en servir pour se délivrer sur eux de quelques unes de leurs leurs obsessions, un peu comme ces petites filles qui projettent leurs fantasmes sur leur poupée. C’est, en somme, une façon comme une autre de faire son autoportrait.

Circulez! circulez! dit: 28 janvier 2014 à 18h05

Qui est ce John Brown dont on parle beaucoup mais qu’on ne voit pas ?

lesorogeneseserogenesdeugene.blogspot.fr/

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 18h05

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 19 h 00 min
Ah non, les robes, les poupées, nous en avons soupé !

JO dit: 28 janvier 2014 à 18h06

Nomination de Vincent Peillon au grade de Grand Masturbateur du Gender de l’Education Nationale … Tous nos compliments.

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 18h10

On peut observer cet effet dans le cas d’autres personnages (Daaphnée, Bouguereau, JC, etc.)

J’oubliais Clopine, elle aussi à la fête en ce moment. Très curieuse, cette montée générale du niveau de l’agressivité au moment où la nuit tombe. C’est certainement un trait caractéristique d’un stress plus fréquent qu’on ne pense. On se libère de son angoisse en la transformant en agressivité dirigée contre la première tête de Turc venue. Puisque Clopine parlait tout-à-l’heure de dindons, c’est l’occasion de rappeler qu’un personnage du « Bartleby » de Melville porte justement ce nom, et que son comportement cyclothymique ressemble étrangement à celui de quelques uns des habitués de ce blog.

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 janvier 2014 à 18h12

Non, non, je crois que c’était bien des dindons. Des dindons israëliens, mais des dindons tout de même. 2000 ! J’ai peine à m’imaginer ! A-t-il été pincé ? va savoir.

(je l’aime mieux, notre hôte, que mes dindons, que mes moutons… )

Alexia Neuhoff dit: 28 janvier 2014 à 18h12

georges dit: 28 janvier 2014 à 18 h 23 min
(comme jc ( jamais « modéré »))

En effet mais vous aurez remarqué que lorsqu’il l’est (exceptionnellement) il se répand en objurgations contre la CENSURE dont il est victime (procédé classique des fascistes) au point qu’il a réussi à intimider les modérateurs. Joli cas de manipulation.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 18h13

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 19 h 10 min
Et force est de constater que vous prenez une part active à la psychotisation du billet.
Comme s’il en avait besoin.
Il s’agit d’un exercice d’admiration. Un de plus.
Sinon, Weimar ?

Giovanni Sant'Angelo dit: 28 janvier 2014 à 18h17


…& ,…mon 14 h 58 mn,…

…mention,…
…les abris-bus, c’est pas les chiottes,…etc,…uriner y a rien à voir!,…

…Oui!,…je vous tient le parapluie,…etc,…

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 18h17

Merci à Circulez! Circulez! pour le lien. J’ai cliqué dessus, mais je n’ai pas vu apparaître le nom de ce John Brown. L’auteur du billet que j’ ai lu est une certaine « Jeanne la Pâle nue dans ses châles ». Drôle de nom. Ce doit être un pseudonyme.

Circulez! circulez! dit: 28 janvier 2014 à 18h18

DHH, dans quel livre de Fontenay parle-t-elle de cela ?

Et si DHH allait discuter dindon/cochon et autres gracieusetés emperlousées de cet acabit… sur le blogounet de sa normande chéri ?

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 18h19

Bon JB, une fois débarassé de vos châles, j’ai bien connu un pote à Weimar.
Il est de la même époque que moi: 1844/1900

georges dit: 28 janvier 2014 à 18h20

Alexia Neuhoff 28 janvier 2014 à 19 h 12 min
la phrase que vous avez relevée, ce n’est rien par rapport aux ignominies qu’il pond en vieux
fa f raciste frustré et aigri

mais ou est donc or ni car dit: 28 janvier 2014 à 18h22

Que des égarés, des fermiers, la basse-cour vole au secours de la volaille! Et Goethe dans tout ça? Où sont les spécialistes réclamés depuis quelques heures, instruction du dossier? Néant! Que fait la police

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 18h24

Himiltrude dit: 28 janvier 2014 à 19 h 00 min

John brown, tu t’émotionnes, ce que tu racontes devient de plus en emberlificoté.
Tu peux toujours essayer de détourner l’attention sur mon cas, mais :
ce qui ressort de tout cela, c’est que nos avis divergent sur un point au moins.
– Tu penses que le droit à tenir des propos calomnieux à l’égard d’un écrivain que tu n’as manifestement pas lu devrait t’être constitutionnellement reconnu. (Pas de la critique littéraire : des propos calomnieux. -Quant à la critique littéraire à propos d’écrivains qu’on n’a pas lus, ça peut aussi rapidement déraper).
Et moi je ne le pense pas.
En ceci, je ne suis pas non plus de l’avis de la grosse mouche du coche Bouguereau, qui me traite de gendarme mais passe sont temps à faire ici la police politique.
Bouguereau et toi vous pensez donc qu’il devrait être permis de calomnier;
mais le droit à la calomnie, c’est un premier pas décidé vers un monde totalitaire dans lequel aucune intégrité n’est plus respectée… Les procès de Moscou, les déportations en masse, les exécutions sommaire, et pis encore.
Cette toute petite affaire est au fond assez grave.
C’est ce que j’ai voulu essayer de te faire comprendre. Inutilement, c’est assez patent, puisque pour éviter de regarder ta faute en face, tu me calomnies aussi.
Pour ma part, je ne te calomnie pas, je te lis.
Est-ce que tu saisis la différence?

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 18h26

Oui, mais, Goethe n’est célèbre que par sa langue.
« langue de Goethe »
C’est tout ce que je sais. Plus deux ou trois bricoles. Ininteressantes au possible.

John Brown dit: 28 janvier 2014 à 18h27

Bon JB, une fois débarassé de vos châles, j’ai bien connu un pote à Weimar. (Des Journées…)

Me débarrasser de mes châles ? Ah mais pas question. Qu’est-ce que c’est que ces manières? Me prendriez vous pour un de ces Edouard Louis, de ces Jean-Truc Masson, si vigoureusement et si justement dénoncés par JC, sinon par JB ? Je ne mange pas etc.

Moeurs des retraités en Paca dit: 28 janvier 2014 à 18h28

« Jeanne la Pâle nue dans ses châles ». Drôle de nom. Ce doit être un pseudonyme.

Non, non. Jeune il faisait du naturisme, maintenant il se travestit.

des déracinés entiers dans les souches dit: 28 janvier 2014 à 18h31

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 19 h 26 min
Oui, mais, Goethe n’est célèbre que par sa langue.
« langue de Goethe »
C’est tout ce que je sais. Plus deux ou trois bricoles. Ininteressantes au possible.

t’es professionnellement niaiseux ou c’est juste un naturel chez toi?

Alexia Neuhoff dit: 28 janvier 2014 à 18h32

georges dit: 28 janvier 2014 à 19 h 20 min
Alexia Neuhoff 28 janvier 2014 à 19 h 12 min
la phrase que vous avez relevée, ce n’est rien par rapport aux ignominies qu’il pond en vieux
fa f raciste frustré et aigri

C’est possible, Georges, je viens de moins en moins sur ce blog depuis qu’il est devenu l’instrument d’une propagande d’extrême droite. L’attaque inacceptable dont a été l’objet DHH (que je ne connais pas) me révolte.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 18h35

JB, justement, cette histoire d’Eddy, il faudrait en faire un roman. Un roman politique extrémiste, signé: JC de Porquerolles
Genre, celui qui a subi les derniers outrages, et qui revient au pays, l’étendard de la « marine » sanglant élevé: « tu seras une fille, mon fils »

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 18h36

des déracinés entiers dans les souches dit: 28 janvier 2014 à 19 h 31 min

mais oui, mais oui. Universitaire ?

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 18h36

« passe son temps »
« Les exécutions sommaires ».

Clopine, des histoires d’animaux humains… Je lirai votre livre ( et le Proust aussi), et j’en ferai un compte-rendu détaillé.

Mal de gorge et migraine dit: 28 janvier 2014 à 18h41

L’attaque inacceptable dont a été l’objet DHH (que je ne connais pas) me révolte.

Les « raclure », ça passe mal.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 18h43

Mal de gorge et migraine dit: 28 janvier 2014 à 19 h 41 min
Au 346ème message, il faut être plus explicite.
A quelle heure ?

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 18h47

Me débarrasser de mes châles ?

Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez me convoiter, me désirer, me captiver
Déshabillez-moi, déshabillez-moi

John Brown dit: 28 janvier 2014 à 18h48

Genre, celui qui a subi les derniers outrages, et qui revient au pays, l’étendard de la « marine » sanglant élevé: « tu seras une fille, mon fils » (Des Journées)

Excellente suggestion. Je n’arrive pas à voir ce « roman » d’Edouard Louis autrement que comme une saloperie. Il serait temps de dénoncer fermement les abus de ce genre bâtard nommé autofiction, et qu’on devrait plutôt nommer le « déballage irresponsable avec dommage collatéraux », genre où se sont tristement illustrés, avant l’Edouard Louis, un Doubrowsky, une Angot, une Ernaux, pour ne citer que les plus connus, avec la complicité d’une critique peu regardante sur les problèmes éthiques soulevés par ce genre de pratique. Les voiles fictionnels dont ces gougnafiers se servent pour dissimuler leurs mauvais coups sont autrement plus transparents que les châles de ma copine Jeanne. J’en profite pour rappeler que je m’appelle John et pas Jeanne : quand se décidera-t-on à prendre enfin les pseudos au sérieux ?

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 18h51

l’allusion à la « gendarmerie », c’est un discours de dominé.
De dominé recruteur.

sois pas si dur avec toi cheuloux..

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 28 janvier 2014 à 18h51

Vous avez raison de vous révolter, Alexia. Nous sommes un certain nombre, ici, à être écoeurés devant certains postes, explicitement homophobes (ah ! Daaphnée et son « si mon fils était homo, j’aurais l’impression d’avoir failli à mon rôle de mère », franchement !!!), insultants ou obscènes. DHH est juste une grande dame, consciente d’être (je mets des guillemets) « privilégiée », mais qui ne se permet jamais de mépriser personne, elle… Ce qui filtre des com’ de JC est parfois insoutenable. Et je ne parle pas du machisme ambiant…

John Brown dit: 28 janvier 2014 à 18h55

Genre, celui qui a subi les derniers outrages, et qui revient au pays, l’étendard de la « marine » sanglant élevé: « tu seras une fille, mon fils » (Des Journées)

La meilleure façon de lutter contre les voyous de l’autofiction, c’est en effet de retourner contre eux leurs élucubrations sous la forme de parodies burlesques. Tiens, je vais me faire la main sur « Passion simple », de la mère Ernaux, que j’ai lu lors de sa parution, dans un moment d’égarement : ça devrait donner. Je vais en faire un feuilleton pour mon blog.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 18h56

John Brown dit: 28 janvier 2014 à 19 h 48 min

Il faut laisser à Eddy le temps de grandir.
Je lui souhaite simplement d’oublier son bouquin, qui l’enferme.
Il y a un truc qui m’a toujours fait un effet boeuf ( sur le toit): les paroles s’envolent, les écrits restent.

Mme Michu dit: 28 janvier 2014 à 18h58

La vérité toute nue dit: 27 janvier 2014 à 22 h 57 min

Mme Michu dit: 27 janvier 2014 à 22 h 41 min
c’est con…

Pas tant que ton pseudo qui dit toute ta trouille. Et tellement commune…

Mme Michu dit: 28 janvier 2014 à 18h59

les paroles s’envolent, les écrits restent.

Et les flics tiennent à leur uniforme.

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h02

Et John Brown me traite de malade. Le texte, tout à fait d’actualité en ce qui le concerne,est à lire en entier.

http://lesorogeneseserogenesdeugene.blogspot.fr/2012/08/il-ny-personne-au-pseudo-que-vous.html

« Il est possible encore que le premier à avoir mis en circulation le pseudo
Paul Edel soit depuis déjà longtemps hors d’état d’accuser qui que ce soit, réservant ses dernières forces pour souiller ses couches au fond de quelque maison de retraite suburbaine. »

L'inné est un acquis dit: 28 janvier 2014 à 19h04

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 17 h 08 min

Dans le type corbeau Chaloux se hisse enfin au niveau de TKT.
Il était temps.

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h05

bouguereau dit: 28 janvier 2014 à 19 h 51 min

Trop facile de retourner le propos. Classe de 5e. décidément on n’en sort pas…
Invente!
(je sais, tu peux pas, t’es trop lourd, mais essaie quand même).

John Brown dit: 28 janvier 2014 à 19h06

Il faut laisser à Eddy le temps de grandir. (Des Journées)

A 21 ans, il n’a pas encore appris à avoir du coeur ? Et il sort de Normale ? Qu’est-ce qu’on lui a appris, à Normale ? On ne lui a pas appris à avoir du coeur ? Pourquoi les victimes se font-elles bourreaux ?

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h07

L’inné est un acquis dit: 28 janvier 2014 à 20 h 04 min

Fais gaffe quand même, John Brown, ça aussi c’est de la calomnie. Ton blog est public, je relaie des propos publics.
Te mets pas trop de sales affaires en même temps sur le dos, ça va faire désordre.

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h10

Et puis l’effet, hormis le fait que je te connais, Je pense que la RDL, sur réquisition de l’autorité publique, peut être amenée à communiquer ton IP.

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h11

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 20 h 10 min

Et puis l’effet Pinocchio,n’y compte pas trop.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 19h12

John Brown dit: 28 janvier 2014 à 20 h 06 min

JB, je suis plus optimiste que vous.
A normale sup’, vont bien finir par raisonner.
(mes excuses à tous les autres; les intelligents)

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 19h18

J’ai l’impression que Chaloux manque encore d’ampérage.

Daaphnée dit: 28 janvier 2014 à 19h20

(ah ! Daaphnée et son « si mon fils était homo, j’aurais l’impression d’avoir failli à mon rôle de mère », franchement !!!),
Clopine Trouillefou

Pardon ?
Hau ..Ce n’est pas exactement ce que j’ai dit.
Qu’importe.
Vous êtes pathétique, là.
Vous touchez le fond du caniveau, ma pauvre Clopine ! Bête, médiocre, minable.

Mais c’est bien votre place, le caniveau.
Surtout, restez-y.

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h21

des tournées entières sur le marbre dit: 28 janvier 2014 à 20 h 18 min

Si tu t’y connais, va donc sur Wiki, ils demandent du personnel :

« Cette page est considérée comme une ébauche à compléter en français. Si vous possédez quelques connaissances sur le sujet, vous pouvez les partager en modifiant dès à présent cette page (en cliquant sur le lien « modifier »).

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h24

Ah vous êtes vraiment fatigants d’imbécilité…
Evidemment, je n’ai mis aucune lettre dans aucune boîte aux lettres.
Mais tu vois, John Brown, quand on retourne vers toi ton genre d’humour cynique, tu le prends pas si bien que ça.
Tu devrais y penser…
Bonne soirée,

Quantité, quantité dit: 28 janvier 2014 à 19h24

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19 h 24 min

Tu fais du texte Chaloux, tu t’enivres de tes mots, tu étales, tu merdes.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 19h24

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 20 h 21 min
Vous devenez grossier, là, Chaloux.
Indigne de vos origines ?

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h27

Quantité, quantité dit: 28 janvier 2014 à 20 h 24 min

C’est toujours pareil, Bouguereau. Tu as la rime morne, je te l’ai déjà dit.
Que ce texte te déplaise, je le conçois, il contient une vérité qui te dérange…
Cherchons…
Du moins, je ne crois pas m’en tirer avec de la scatologie…

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h28

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 20 h 24 min

Des Journées, les pires grossieretés on les entend dans le XVIe. Vous vous faites une idée tout à fait erronée de ce qui s’y dit.

Le Bichon de l'un vaut bien le dindon de l'autre dit: 28 janvier 2014 à 19h32

Chaloux a son John Brown comme TKT a son D.

Fixations d’esprits malades.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 19h33

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 20 h 28 min
Chaloux, je préfère quand vous nous causez châteaux. C’est tout à fait personnel.

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 19h36

renato dit: 28 janvier 2014 à 20 h 04 min
Renato, c’est classe !

Giovanni Sant'Angelo dit: 28 janvier 2014 à 19h40


…je lis un livre,…pour éclairé ma lanterne,…
…mais, tout de même,…il faut être du milieu pour y voir clair,…

…Cricri, bien entendu,est marquée, elle n’a pas connu son père. Elevée au << Bon Pasteur<< elle a filé la << vingt et une << et connu l'école de dressage de Cadillac.

…franchement,…avec les indéracinables du quartier Saint-Denis,…
…on veut s'instruire, en adulte,…l'odyssée de ces filles dites de joie,…
…çà s'appelle,…
…l'hydre aux mille têtes,…
…le T.G.V.,…et l'A.D.N.,…n'y sont pas cités,…
…un peu la bibliothèque,…

…il faut " imaginer ", entre l'abscisse et l'ordonné,…<< la courbe bien rectiligne <<,…la flèche qui monte, des affaires,…etc,…c'est pas marqué " saucisse ",…etc,…

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h43

John Brown me traite de fou.
Souvenons-nous.
Charlotte Delbo…

« Commémorons, commémorons… On n’arrête pas de commémorer sur ce blog. Quand ce n’est pas Mauvaise Langue, c’est Assouline qui prend le relais. Barbiefiant à la longue. Il y a pourtant d’autres sujets. Puisqu’on en est aux commémorations, existe-t-il un DVD du film de Leni Riefenstahl sur les J.O. de Berlin, autre remarquable réalisation du IIIe Reich ? Ce serait davantage d’actualité.
Rédigé par : John Brown | le 27 juillet 2012 à 14:18 | | »

Ce ne sont pas les travaux de la mère Delbo sur la racine de pissenlit qui l’autorisent à revendiquer une place au soleil des lettres. Au contraire.
Rédigé par : John Brown | le 28 juillet 2012 à 08:02 | |

Sachons lire.
Rédigé par : John Brown | le 27 juillet 2012 à 15:34 | | Alerter |

Accessoirement, sachons nous taire.
Rédigé par : chaloux | le 28 juillet 2012 à 09:49 | |

Accessoirement, sachons nous taire.
Rédigé par : chaloux

Alors là, tu peux compter là-dessus et boire de l’eau fraîche.
Rédigé par : John Brown | le 28 juillet 2012 à 11:02 | |

John Brown, je ne m’étends pas sur les dernières parutions ou reparutions de Charlotte Delbo (théâtre, essais, témoignages…) aux Editions de Minuit. Tout de même, vous savez que je vous dis toujours ce que je pense : et ici vous parlez sans avoir lu.
Rédigé par : C.P. | le 28 juillet 2012 à 12:20 | |

Non content d’être si content de lui, Jean Marron prend sa rhétorique d’employé de mairie pour … de la « provoc ».
Rédigé par : Chaloux | le 28 juillet 2012 à 13:04 | |

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h44

Evidemment, Bouguereau adore, il le répète sans arrêt.
Un petit reste du pacte germano-soviétique…

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 19h44

Giovanni, ce livre que vous lisez, « odyssée des filles de joie », c’est le titre ?

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 19h54

Retour aux évidences dit: 28 janvier 2014 à 20 h 34 min

C’est plutôt qu’au bout de cinq lignes tu peux plus suivre…

Giovanni Sant'Angelo dit: 28 janvier 2014 à 19h57


…@,…des journées,…

…le titre, c’est,…l’hydre aux mille têtes,…
…et, à l’intérieur,…c’est du propre!,…
…avant, de voyager,…une sorte de  » la carte du territoire,… »,…pour ne pas tomber comme un bleu!,…plus cons tu meurs!,…en voyages,…
…çà fait 30 ans, que je n’ai plus voyagez!,…Oui!,…merde alors!,…
…comme un guide,…du promeneur en vacances,…etc,…

Cardex dit: 28 janvier 2014 à 20h04

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 20 h 43 min

Adepte N°1 de TKT, Chaloux constitue ses fichiers.

Jacques Barozzi dit: 28 janvier 2014 à 20h18

Merci à toutes celles et tous ceux qui m’ont fait l’amitié de m’écouter !
Commençons par la doyenne en âge. Mais oui DHH, si Salluste est dans l’anthologie, c’est à vous qu’il le doit principalement.
Depuis que je viens ici, j’ai testé en direct la plupart de mes « goût de… », vous donnant parfois la primeur de certains textes avant même qu’ils ne soient publiés.
Mais s’agissant de ce dernier goût, après que le sujet a été accepté et le contrat signé, j’ai eu comme un vertige.
D’habitude l’on traite dans cette collection d’un thème particulier, d’une ville, parfois d’une île, plus exceptionnellement d’un pays, et moi j’avais proposé tout un continent à moi tout seul, et pas des moindres !
J’avais donc fait appel à vos lumières.
C’est ainsi que je dois aussi Coetzee à Bloom et Clopine, qui en dire le plus grand bien ici. Et Chantal et renato m’avaient enlevé les préventions que j’avais contre Mabanckou…
Clopine, je vous trouve un peu sévère avec Yvan Amar et indulgente avec moi.
Comme vous tous, j’ai découvert l’interview aujourd’hui, ayant gardé une pas trop mauvaise impression d’ensemble de l’enregistrement la semaine dernière.
Je me suis trouvé un peu trop speedé et bagayant, tandis qu’Yvan Amar était parfait et j’ai pu constater qu’il m’avait bien lu, voire apprécié.
Nous étions tombés d’accord avant pour que je parle de la collection et de ma façon de procéder (aurais-je dû parler de votre rôle dans cette affaire ?), avant d’aborder Le goût de l’Afrique proprement dit.
Ce qui m’avait soulagé sachant que 80% de l’auditoire de RFI est basé en Afrique et que l’émission est très écoutée par les étudiants africains !
S’agissant du prix, moi aussi je trouve que c’est un peu cher pour un petit livre de poche. Presque 8 euros, alors que lorsque j’ai commencé à travailler pour cette collection, en 2006, les exemplaires coutaient entre 4 et 5 euros. La seule chose qui n’a pas suivie cette inflation, c’est le maigre forfait donné à votre serviteur…
Encore merci et bonsoir !

Chaloux dit: 28 janvier 2014 à 20h24

Ite missa est.
J’y pense, John Brown, j’avais un peu dérouillé mon latin pour t’écrire. Ce sera pour une autre fois.
Et tiens-toi tranquille.

DHH dit: 28 janvier 2014 à 20h28

@Alexia
Merci de relever la sottise injurieuse de certains propos à mon encontre.rassurez-vous ils ne m’atteignent pas
J’ai trop conscience de ce que je suis , non pas vraiment une grande dame comme le dit clopine mais une vieille dame respectable et respectueuse des autres
.je peux critiquer ,mais dans ce cas j’argumente et jamais je n’injurie gratuitement comme le font ceux qui se croient drôles en m’accablant de grossieretés .
De sorte que je ne me sens pas concernée par les propos stupides et vexatoires que m’adressent à la faveur de l’anonymat, tant le leur que le mien, des gens qui seraient peut-être glacés de respect s’ils me rencontraient dans la vraie vie

des journées entières dans les arbres dit: 28 janvier 2014 à 20h31

Jacques Barozzi dit: 28 janvier 2014 à 21 h 18 min
Barozzi,  » bonsoir! » on dirait VGE qui quitte le plateau !
et le lien de l’émission ?

Entracte publicitaire dit: 28 janvier 2014 à 20h36

des gens qui seraient peut-être glacés de respect s’ils me rencontraient dans la vraie vie

ANNONCE SPECTACLE:
Chopine the first petowoman in the ploutre
organisation Dhh les ficelles SARL
Jeudi, salle des fêtes, 20H15
entrée 3€72

John Brown dit: 28 janvier 2014 à 20h48

Merci à Chaloux d’avoir posté un lien avec le billet signé de mon amie Linda, billet intitulé « Paul Edel ou l’effet Pinocchio ». J’en ai profité pour le relire, il n’a pas pris une ride. J’ai relu du coup ce que j’avais écrit à l’époque à propos de l’opuscule de Richard Millet, « Eloge littéraire d’Anders Breivik », qui lui avait valu l’anathème imbécile de la mère Ernaux, entraînant dans son sillage l’ineffable Le Clézio; manifestement,ils n’avaient pas pris la peine de lire l’ouvrage incriminé. Dieu sait pourtant si les thèses de Millet me sont, pour la plupart, antipathiques, mais, là encore,je ne changerais pas une ligne de ce que j’avais écrit. Merci encore, en tout cas, à ce brave Chaloux, pour ce petit coup de pub (non sollicité de ma part, je m’empresse de le préciser).

Giovanni Sant'Angelo dit: 28 janvier 2014 à 20h59


…à 21 h 13 mn,…des journées,…

…ce que j’ai acheté c’est écrit par rené Delpêche, édition Karolus, 1961,…çà explique aussi,…

…les  » astuces  » du métier, pour arrondir les fins de moi, avec la collaboration de l’épouse de fraîche date,…avec langage  » argot du trottoir « ,…

…les voyages depuis,…30 ans,…déjà, passés, Oui,…
…a un moment donné,…j’ai préférer étudier de nouveau à fond tout seul,…parce que l’enseignement était trop contradictoire, pour arriver à en vivre avec sérénité,…donc,…
…déjà, on vois tout à la télé!,…avec les accidents en moins!,…voilà,…etc,…

…osez sortir,…etc,…

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