de Pierre Assouline

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La République des livres
Conversation d’Eckermann avec Jean-Yves Masson

Conversation d’Eckermann avec Jean-Yves Masson

Sans Goethe, qui connaîtrait Eckermann ? Le cas n’est pas isolé dans l’histoire, et pas seulement dans celle de la littérature. Sauf que celui-ci est particulièrement saillant dans la mesure où il éclate dès la couverture des fameuses Conversations avec Goethe (Gespräche mit Goethe in den letzen Jahren seines Lebens) que Johann Peter Eckermann (1792-1854) publia une première fois en 1836, et dont il publia une nouvelle version enrichie en 1848. Ce portrait du Maître en mouvement perpétuel, offert au public avec ses esquisses dans leur saisissante vérité, devint rapidement un classique ; comme les Propos de table de Luther, l’un et l’autre de ces recueils de mots ayant « changé le destin de l’âme allemande » ; les propos rapportés y sonnaient si juste qu’on en fit un livre de Goethe lui-même bien qu’il n’en relut pas entièrement le manuscrit. Du moins avait-il consenti au projet.

Les deux hommes avaient fait connaissance après que le disciple eut adressé l’un de ses textes au maître. Celui-ci se fixa alors à Weimar et, neuf années durant, se livra au commerce quotidien des idées avec celui qu’il admirait. Il reconstitua de mémoire la teneur leurs propos, plus qu’il ne les retranscrivit. Peu de thèmes, de sujets et de personnages de leurs temps leur échappèrent, qu’il s’agisse d’art ou de politique. Il leur fallut attendre près de deux siècles pour rencontrer leur troisième homme en Jean-Yves Masson (1962), lequel s’est fait le confesseur du confesseur. Pour inventer son narrateur, il s’est glissé dans la peau de Sir Robert Doolan. Son nom n’apparaît qu’à quelques reprises dans les trois volumes des Conversations. Le magistrat avait juste eu la chance d’être là à Weimar dans ses jeunes années ; il apprenait l’anglais à Eckermann qui en retour lui enseignait l’allemand. Rentré à Londres, il se souvint, à un âge où l’on est plus heureux dans la compagnie des livres que dans celle des hommes.goethe_in_der_roemisch

L’incendie du théâtre de Weimar (185 pages, 15 euros, Verdier) se veut le roman de cette rencontre ; mais en dépit des apparences, il n’a rien d’un roman historique ; plutôt un précieux précis d’amitié littéraire et poétique, animé par l’esprit de l’exercice d’admiration. Partant du principe qu’un événement a priori secondaire dans la vie d’un homme vaut non par son authenticité mais par sa signification, il s’est emparé de l’incendie du théâtre de Weimar dans la nuit du 21 au 22 mars 1825. Un accident peu après minuit et la représentation de la pièce de Cumberland Le Juif… Toute la ville était là, et les habitants qui ne s’étaient pas déplacés, tel le Grand-Duc Charles-Auguste de Saxe-Weimar-Eisenach, observaient le tragique feu d’artifice depuis les hauteurs. Goethe (1749-1832), qui le surnommait Serenissimus, avait regardé les lueurs depuis son balcon, avant d’aller se coucher. Seuls furent surpris d’une telle distance ceux qui ignoraient qu’il ne se rendait pas non plus aux enterrements de ses amis, pas même celui de Schiller. Le théâtre n’était pas un chef d’œuvre d’architecture mais tout de même.

Il y a de belles pages sur Shakespeare que Goethe admirait, ainsi que sur Walter Scott ou Napoélon ; d’autres plus nombreuses sur la Flûte enchantée, la suite et le prolongement que Goethe avait entrepris de lui donner dans un esprit tout aussi maçonnique mais une facture plus cocasse et bouffonne encore ; et des passages émouvants sur Byron que le narrateur vénère comme un demi-dieu et le héros de son adolescence, celui par les yeux duquel toute sa génération avait vu le monde :

 « Savoir que j’étais sur terre en même temps qu’un être aussi extraordinaire était en soi un réconfort. Il m’a toujours semblé que les poètes sont des accumulateurs d’énergie et que c’est par là qu’ils viennent en aide à leurs contemporains et à leur successeurs ».

Goethe soutenait que son œuvre était le produit d’un être collectif, quoique signée de son seul nom. Il avait le génie de donner de la grandeur aux sujets les plus futiles et frivoles dès lors qu’il s’en emparait. Les Conversations n’en sont pas exemptes. Eckermann se voulait interlocuteur mais certainement pas secrétaire ainsi que la postérité l’a abusivement consacré. Il avait bénévolement assuré la publication de son œuvre et de ses papiers posthumes.

Cette nouvelle conversation sur l’une des plus fameuses conversations de la littérature se déploie naturellement dans un cercle des plus restreints. La sensibilité de Jean-Yves Masson à cet univers, l’intime entretien qu’il a noué de longue date avec la poésie et la langue allemandes, lui permettent de l’ouvrir au monde sans cesser d’en faire un cercle enchanté. Il réussit à faire de ce moment anodin un événement inouï, une œuvre d’art illuminée par les flammes du théâtre du Grand-Duché qui ne tarda pas à être reconstruit sur les plans de Goethe. L’édifice ne brillait pas par la beauté de sa forme. Ce qui de l’avis du grand poète n’avait aucune importance, un théâtre n’étant jamais à ses yeux qu’« un amas de planches régulièrement dévorées par le feu » : le chef d’œuvre, c’est ce qu’on y joue.

(« Le vieux chêne, 1895, ou l’arbre de Goethe à Weimar, huile sur toile de Henri Harpignies ; Goethe dans la campagne romaine, 1787, huile sur toile de  J.H.W. Tischbein, Musée Städel, Francfort)

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commentaires

829 Réponses pour Conversation d’Eckermann avec Jean-Yves Masson

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…enfin, çà reprend, un peu,…
…le paradoxe des buts à accomplir par mes explications, de l’école obligatoire par Charlemagne,…
…juste sur le billet précédent,…Eddy Louis venge sa race,…etc,…

kicking dit: à

en même temps comme c’est la coffee table de tout le monde..

Le chat dit: à

Et celui-ci,
quelle race venge tilt*** ?.

Le chat dit: à

« comme les Propos de table de Luther, l’un et l’autre de ces recueils de mots ayant « changé le destin de l’âme allemande » »…
Charcot :
Il est vrais que l’incendie du Reichstag et Auschwitz n’ont rien fait pour changer l’âme allemande !!! !! !.

christiane dit: à

Le chêne de Goethe… Tout les déportés en parlaient, parait-il, dans le camp de Buchenwald.
Cette forêt de hêtres où Goethe et son secrétaire Eckermann aimaient à converser, cet arbre sous lequel de belles discussions philosophiques se tenaient, étaient devenus un symbole dans ce camp de la mort. L’arbre fut fauché par un bombardement américain en 1940. Il n’en reste que la souche couverte d’une multitude de petits cailloux…
Je mets en regard cette huile paisible et bucolique de H.Harpignies, et les dessins du chêne que l’on peut voir au musée du camp de Buchenwald faits par les déportés…
Goethe : Faust… Souffrances de Werther… Affinités électives… Humanisme et beauté que l’Histoire lia par ce camp d’extermination, bien plus tard, à la mort.

kicking dit: à

ah tiens encore un con avec deux guerres de retard qui utilise les morts comme platform-shoes..

SF dit: à

Dans ce tableau de Tischbein, le pauvre Goethe est affligé de deux pieds gauches et sa cuisse gauche est démesurée.

candie dit: à

kicking dit: 26 janvier 2014 à 22 h 44 min
ah tiens encore un con avec deux guerres de retard qui utilise les morts comme platform-shoes..

Avec des illustrations colorées, on pouvait alors sauter une classe ; c’était avant les guerres médiques

kicking dit: à

suggestion: milite pour la démocratie à 2000km de chez toi en te délectant de la vue sur ton voisin vivant comme à Guantanamo, ça t’occupera un peu..

Dubillard dit: à

les diablogues d’Erckmann et de Chatrian étaient pas mal non plus…

Le chat dit: à

je relis toujours avec plaisir « L’ami Fritz » !.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…si c’est pas la Bible pour persécuteurs de la liberté de vivre en harmonie avec l’univers,…
…ou de La Rochefoucauld,…pour rassurer les bourgeois  » moyens  » des connivences courtisanes,…etc,…

…on s’en mêle les chignons,…
…avec l’âme allemande,…surtout, composées de plusieurs états,…avant l’unité du Bismarck avec sa Prusse et sa horde de paysans instruits pour la guerre,…objectifs sur ses voisins allemands,…

…de l’âme allemande de Prusse à deux balles dans la calligraphie gothique inventé en France,…et j’en passe,…
…l’Allemagne,…pour finir à Stalingrad,…avec le monde à se faire chier de haine!,…
…l’Âme de la Prusse de bandits-chevaliers et autres teutoniques – maçonniques pour l’€urope à poils,…Ah,…
…de la bonne  » vache  » à Zeus,…non de Dieu,…de merde !,…etc,…
…bonne soirée,…

JC..... dit: à

Il est impératif :
– de jeter au feu ce lamentable tableau « Goethe dans la campagne romaine », 1787, huile sur toile massacrée par le triste Tischbein, tant le grand homme y est représenté comme un infirme à la cuisse gauche géante, et aux pieds extravagants !
– de fermer le Musée Städel à Francfort, où est accroché le tableau monstrueux si le feu ne lui est pas réservé, afin que cette peinture cesse de faire peur aux enfants épris d’anatomie humaine
– de lire ou relire Goethe plutôt que les modernes couillonnades à nous présentées, pépiements inconsistants qui ne sont que belle gueule et pas bel ouvrage promis à durer
– de s’émerveiller du Don Juan de Byron, hélas bien oublié aujourd’hui… qui continue à réjouir le lecteur curieux.

JC..... dit: à

JOURNEE DE LA COLERE

Version pessimiste :
« Quelques milliers certes, mais ils sont déjà trop nombreux. Aujourd’hui, la « vraie France », frustrée, haineuse, trouillarde et revancharde défilait de la Bastille aux Invalides. Spectacle pitoyable, mais finalement pédagogique. »

Version optimiste :
« Quelle réussite ! Le rassemblement de ceux qui défient élites trompeuses, media achetés, est sympathique d’un point de vue du « vivre -et gueuler- ensemble ! Une manifestation saine, qui ne peut que prendre de l’ampleur pour le salut du pays. »

N.B. Et les merveilleux slogans témoignant d’une profonde connaissance politique, quelles perles !
« Hollande démission ! », « Taubira dégage ! », « Journalistes collabos ! » « Juif ! Juif ! Juif ! »  » A bas les Arabes ! » »Mort aux pédés ! » et, cerise sur le gâteau, le toujours vrai, l’inusable « CRS, SS ! »
Bref, l’avenir est serein : la relève politique est assurée, le cap clairement fixé, le succès nous est promis !

Jacques Barozzi dit: à

un théâtre n’étant jamais à ses yeux qu’« un amas de planches régulièrement dévorées par le feu »

Raison pour laquelle j’ai écrit en introduction de mon livre sur les lieux de spectacle à Paris les lignes suivantes : « Nous n’avons pas oublié néanmoins de mentionner, en place des constructions évoquées dans ces pages, les anciennes salles disparues, au grès de l’évolutions urbanistique de la capitale, de l’appétit de ses promoteurs immobiliers, ou tout simplement pour cause d’incendies. Il faut se souvenir, en effet, qu’avant l’apparition de « la fée électricité », les scènes parisiennes étaient alors illuminées à la bougie, aux quinquets puis au gaz et qu’ainsi elles n’ont pas manqué de payer un lourd tribu aux dieux du feu et des foyers… de théâtre ! »

Jacques Barozzi dit: à

« Goethe (…) avait le génie de donner de la grandeur aux sujets les plus futiles et frivoles dès lors qu’il s’en emparait. »

On ne peut pas en dire autant de JC !

JC..... dit: à

TURQUERIES

ERDOGAN en Turc, avec trois pages islamiques portant sa veste, suivi d’un policier turc portant des menottes, MONSIEUR HOLLANDE bourgeois non-gentilhomme, FABIUS fraise des Rois.

ERDOGAN.- Ambousahim oqui boraf, Iordina salamalequi.
FABIUS.- C’est-à-dire : « Monsieur HOLLANDE, votre cœur soit toute l’année comme un rosier fleuri de jolies actrices. » Ce sont façons de parler obligeantes de ces pays-là.
MONSIEUR HOLLANDE.- Je suis très humble serviteur de Son Altesse Turque.
FABIUS.- Carigar camboto oustin moraf.
ERDOGAN.- Oustin yoc catamalequi basum base alla moran.
FABIUS.- Il dit « que le Ciel vous donne la force des lions, la prudence des serpents et le courage des chefs ».
MONSIEUR HOLLANDE.- Son Altesse Turque m’honore trop, et je lui souhaite toutes sortes de prospérités.
FABIUS.- Ossa binamen sadoc babally oracaf ouram.
ERDOGAN.- Bel-men.
FABIUS.- Il dit que vous alliez vite avec lui vous préparer pour la cérémonie, afin de voir ensuite votre fille Europe, et de conclure le Mariage pour Tous rapidement.
MONSIEUR HOLLANDE.- Tant de choses en deux mots ?
FABIUS.- Oui, la langue turque est comme cela, elle dit beaucoup en peu de paroles. Allez vite où il souhaite.

Jacques Barozzi dit: à

En revanche, JC a l’art de rendre futiles et frivoles les sujets les plus grands !

JC..... dit: à

Tu bé bégaies, Ja Jacky… !

Boson de Gonfaron dit: à

Vers 1895, Harpignies peignait comme on peignait vers 1820. Sa toile n’en a pas moins de charme.

u. dit: à

ce lamentable tableau « Goethe dans la campagne romaine », massacrée par le triste Tischbein, tant le grand homme y est représenté comme un infirme à la cuisse gauche géante (JC)

Le grand homme clopinait?

JC..... dit: à

Nous ne répondrons pas à cette u-provocation ! Trainer la patte ou clopiner c’est du pareil au même, ne jouons pas sur les maux …

Boson de Gonfaron dit: à

le chef d’œuvre, c’est ce qu’on y joue.

C’est ce qui s’appelle enfoncer les portes ouvertes du théâtre.

« chef-d’oeuvre » s’écrit en principe avec un trait d’union.

u. dit: à

Le commentaire niais de la matinée:

Le véritable portrait de Goethe n’est-il pas cet arbre puissant du premier tableau, dont la superbe ramure, etc., etc.?

Boson de Gonfaron dit: à

Walter Scott ou Napoélon

C’est vrai que ce petit Corse aux cheveux plats avait, si l’on y songe, une dégaine d’ustensile de cuisine.

renato dit: à

La cuisse de Goethe ? peut-être une phlegmatia coerulea ou, plus banalement, phlébite bleu… bon, la position de la jambe pourrait faire preuve… comment ils auraient réparé ça avec les moyen de l’époque ? Enfin, il me semble incroyable que le grand homme ait accepté le tableau sans se soucier de son image…

u. dit: à

« …For nobody can write the life of a man, but those who have eat and drunk and lived in social intercourse with him. »
Boswell (Life of S. M.)

Pas grave, j’ai souvent bu avec des morts.

Boson de Gonfaron dit: à

Peu de thèmes, de sujets et de personnages de leurs temps leur échappèrent

Si on faisait dans la modestie et la mesure, ce ne serait pas plus mal; « de leurs temps » devrait plutôt se mettre au singulier, non ?

Boson de Gonfaron dit: à

j’ai souvent bu avec des morts. (u.)

Moi aussi; il suffit pour cela de boire à n’importe quelle fontaine. Il me semble que, là, je confonds « boire avec les morts » et « boire les morts ».

Boson de Gonfaron dit: à

j’ai souvent bu avec des morts. (u.)

J’ai souvent bu (sec) à la santé des morts.

pour en revenir au sujet dit: à

A propos des 23 pages de l’ interwiew (sic) de J.Y. Masson en lien, ne peut-on pas dire qu’ il est des vôtre, il a tenu son couplet comme vous autres!
Ses études, ses examens, ses rencontres, etc…etc…

pour en revenir au sujet dit: à

Qu’ en pense Boson de Hic?

bouguereau dit: à

tant le grand homme y est représenté comme un infirme

allons c’est évident il est assis sur un pain de glace..il venait de se faire démonter par un âne et il tente de faire bonne figure..il y arrive presque, et oui n’est pas goethe qui veut: toujours korrect !..cette pose avachie imbécile n’est pas immotivé et prend un sens romantique inoui : il a mal au cul et ça ne se voit pas !.. c’est le stoïque dégingandée allemand a son sommet!.. jicé je me demande quelquefois où tu as la tête

bérénice dit: à

oulala! je crois qu’on va s’ennuyer sérieusement sous l’arbre tronçonné!

robert dit: à

Jacques Barozzi 27 janvier 2014 à 8 h 42 min
En revanche, JC a l’art de rendre futiles et frivoles les sujets les plus grands !

oui il est con, pas la peine de lire ses chiures

bouguereau dit: à

Il avait le génie de donner de la grandeur aux sujets les plus futiles et frivoles dès lors qu’il s’en emparait

il y a dans plusieurs de ses lettres cette fin « et si ce que je t’écris t’ennuie j’ai joint à la présente un paté pour me faire pardonner »

bouguereau dit: à

..ha c’est pas cet enculé de voltaire qui t’aurait envoyé un paté c’est certain..bon souvent c’est des trucs allemands du genre « une concerve de carotte »..mais quand même

JC..... dit: à

Si on avait à représenter le Boug sous forme infographique, rondelle ventilée par secteurs d’intérêt, je vois bien 90% le cul, 5% la littérature non cochonne, 5% divers … et une pincée de subtilité dans la légende.

NB : Où avais-je la tête ? mais au bout du tangon de spi … comme toujours !

Robert dit: à

« et si ce que je t’écris t’ennuie j’ai joint à la présente un paté pour me faire pardonner »

Clopine elle a tout copié.

Curiosa dit: à

on se croirait chez Popaul !

JC..... dit: à

Et toi, robert, … la mise en lumière de la stupidité des voisins, c’est acte de bien … Bravo !

Mais … quand vas tu t’occuper de sortir le tas d’ordures personnelles qui traînent dans ton cerveau de canari nain ?

Himiltrude dit: à

Ce tableau de Tischbein est probablement une des catastrophes majeures de l’histoire de la peinture. N’empêche qu’on y respire un singulier parfum de modernité. La pose, le chapeau… cela annonce certains portraits de Byron ou de Chateaubriand. Quant à la piquante harmonie de la jambe gauche et de la jambe droite, elle préfigure de façon stupéfiante certains montages de Hans Bellmer.

Himiltrude dit: à

Il y a dans ce portrait quelque chose d’un portrait de Madame Récamier qu’aurait fauté avec un portrait de Chateaubriand.

papalagui dit: à

j’ai quelque part au fond d’un caisse, les propos de table de luther .. à l’enseigne du pot cassé.

parler sous un arbre, c’est une tradition qui n’est pas qu’européenne, voir l’arbre à palabre ..

Un petit extrait d’Hermann Hesse : Paysages

Fleurette passe, et l’âge dépasse la jeunesse.
Il est ainsi des fleurs à chaque pas de la vie,
De la sagesse, de la vertu ;
Chacune a sa raison, nulle l’éternité.
Coeur quand la vie t’appelle,
Sois paré à partir et à recommencer.
Cours vaillant sans regret,
te plier à des jougs nouveaux et différents.
En tout commencement, un charme a sa demeure,
C’est lui qui protège et aide à vivre.
Franchissons, sereins, espace après espace ;
N’acceptons en aucun les liens d’une patrie,
pour nous l’esprit du monde n’a ni chaînes ni murs ;
Par degrés, il veut nous hausser, nous grandir.
A peine acclimatés en un cercle de vie,
intimes en son logis, la torpeur nous menace.
Prêts à lever l’ancre et à gagner le large,
Tu pourras t’arracher aux glus des habitudes.
Peut-être aussi l’heure de la mort nous lancera-t-elle, jeunes,
vers de nouveaux espaces.
L’appel de la vie jamais ne prendra fin.
Allons, mon coeur, dis adieu et guéris.

Paroles d’Aube, Conférences des « Midis de la Poésie », Jacques Crickillon, in Oberland montagne romantique ; Engadine Montagne symboliste, la Renaissance du Livre. P 88. Dépôt légal : septembre 2000.

Bihoreau de Bellerente dit: à

«Rentré à Londres, il se souvint, à un âge où l’on est plus heureux dans la compagnie des livres que dans celle des hommes.»

Cet âge me vient bien vite. Je me demandais hier si je n’y étais point
déjà rendu…

u. dit: à

Vue l’attention fascinée qu’il lui porte, presque tout ce que Goethe dit de Napoléon est intéressant.
Il a du mal à en expliquer l’évidence au jeune Eckermann.

Wir kamen auf Napoleon, und ich bedauerte, dass ich den nicht gesehen. »Freilich, «sagte Goethe, »das war auch der Mühe wert. – Dieses Kompendium der Welt!« – »Er sah wohl nach etwas aus?« fragte ich. – »Er war es,« antwortete Goethe, »und man sah ihm an, dass er es war; das war alles.«

Il était là, c’est tout, et tant pis pour les aveugles.

Quand il lit les documents sur l’expédition d’Egypte, il ne rate pas les bons détails. Bourrienne rapporte que N. classait alors les livres qu’il lisaient sous des rubriques, et que les Testaments et le Coran était listés sous la catégorie « Politique ».

Es findet sich in dem Werke des Herrn Bourrienne eine Liste der Bücher, die Napoleon in Ägypten bei sich geführt, worunter denn auch der ›Werther‹ steht. Das Merkwürdige an dieser Liste aber ist, wie die Bücher unter verschiedenen Rubriken klassifiziert werden.
Unter der Aufschrift ›Politique‹ z. B. finden wir aufgeführt: ›Le vieux testament‹, ›Le nouveau testament‹, ›Le coran‹ woraus man sieht, aus welchem Gesichtspunkt Napoleon die religiösen Dinge angesehen.«

Etre lu par N, en campagne, il en dit « Respect! » comme dans le Neuf Trois.
« Aber«, fuhr Goethe sehr heiter scherzend fort, »habt Respekt! Napoleon hatte in seiner Feldbibliothek was für ein Buch? – meinen ›Werther‹!«

Fin du café.

Jacques Barozzi dit: à

« Je me souviens d’un âge où j’étais plus heureux dans la compagnie des hommes que dans celle des livres. »

Bel incipit pour des confessions d’un homo solitaire ?

u. dit: à

Jacques Barozzi dit: 27 janvier 2014 à 11 h 14 min
« Je me souviens d’un âge où j’étais plus heureux dans la compagnie des hommes que dans celle des livres. »

Il arrive que ce soit le contraire.
Ennui profond des années de lycée, ensuite la vraie vie!

u. dit: à

 » quand vas tu t’occuper de sortir le tas d’ordures personnelles qui traînent dans ton cerveau de canari nain ? » (JC)

Restons ouvert.
Robert, c’est peut-être un génie qui se contraint.

raymond dit: à

« Robert, c’est peut-être un génie qui se contraint. »

Ne pas confondre robert et Robert
Quant au génie, seul u. en a

u. dit: à

« Quant au génie, seul u. en a »

Mais non, il y a longtemps que je ne me frotte plus la lampe.

bouguereau dit: à

celle de zouzou brille sous les couvertures..

bouguereau dit: à

Fin du café.

à 11h10..fait jour ouve les volets plutôt que d’allumer la lumière sous les couvertures

bouguereau dit: à

Bel incipit pour des confessions d’un homo solitaire ?

les gonzesses qui lisent sont vaguement empéchée et circonvenable..c’est un nanard à la fragonard..ha les pédés et leur habitus..

bouguereau dit: à

c’est incontestabe..l’arsouille pose tel l’odalix mâle..le voile est un gros drap de lin qui gratte pour cacher sa pignole..un romantique allemand ça se branle pas comme zouzou dans le noir..mais à la gaspard fridriches.. »rapt de la deutcheu wurst » qu’il dirait heidegger

bouguereau dit: à

Cet âge me vient bien vite. Je me demandais hier si je n’y étais point
déjà rendu…

et ce matin bio il mal au cul..

Titusse Androniquissusse dit: à

oulala! je crois qu’on va s’ennuyer sérieusement sous l’arbre tronçonné!

L’occasion pour toi d’étaler ton expertise.

JC..... dit: à

Mais la compagnie des hommes ou celle des livres, c’est pareil, les livres étant des hommes !

Il n’y a que la compagnie des femmes qui est vraiment autre chose. Autre chose de bien plus grand que les hommes morts sur étagères, nos amis, ou vivants dans notre espace…

NB : ne crachons pas sur nos années de lycées. Elles furent merveilleuses de découverte : pratique assidue du baby-foot et du jazz, rêveries amoureuses abouties ou non …

autoaffliction dit: à

Sur la lancée du succès d’Edouard Louis, JC va nous pondre son autofiction.

JC..... dit: à

Un jour, j’aurais le Goncourt pour un livre qui sera nul, mais bon à vendre !

Ce jour là, riche de mes avances sur tirage, je me commanderai un manteau d’empereur à la Bokassa, avec couronne de King angloïde, lourde, brillante et poilue…

Sous les flashes de reporters triés sur le violet, je ferai mon entrée chez Drouant, un bâton de Maréchal à la dextre, une côtelette savoureuse d’étudiant opposant à l’Empire à la sinistre, entâmée.

Le sourire de l’auteur primé sera profondément satisfait, et la graisse à la lèvre rappellera à tous d’où nous venons… et l’importance de la lutte contre la faim chez l’intellectuel anorexique standard.

JC..... dit: à

Pour revenir et servir au billet, une petite annonce avant de partir :
« A vendre, Goethe-ceinture made in Germany, deutsche qualität, design Helmut von Bouguereau. »
Bonne soirée !

u. dit: à

On n’arrêtera pas, sur ce foutu tableau.

Scènes de la vie napoléonienne

« Le repos de l’invalide ».

u. dit: à

Le premier tableau n’a été peint que pour y glisser l’anamorphose d’une jeune bergère.

Je reconnais qu’il faut avoir l’oeil.

tel père... dit: à

« Sur la lancée du succès d’Edouard Louis, JC va nous pondre son autofiction. »

d’ailleurs c’est le père d’EL

Sergio dit: à

bouguereau dit: 27 janvier 2014 à 12 h 18 min
l’odalix mâle

Un Chippendale alors…

u. dit: à

Derrière la pauvre jambe recouverte d’un drap, l’artiste a disposé les éléments d’un vide-grenier.
Restes d’un monde que l’éclopé au regard triste ne pourra plus parcourir.

C’était des hommes de la liberté.
« Sur ton oreille dressée,
Sur ta patte maladroite
J’écris ton nom »

breda dit: à

le tableau est surtout célèbre parce que e peintre a peint 2jambes gauches!

u. dit: à

Le chapeau, manifestement absurde, est le fruit d’un remords du peintre après que le modèle ait foutu le camp.

Boson de Gonfaron dit: à

Je ne comprends pas pourquoi l’auteur n’a pas imaginé une liaison homosexuelle entre Eckermann et Goethe. C’était l’occasion de pimenter une narration qui semble peiner à s’arracher à une certaine fadeur. Et si Edouard Louis rewritait, histoire de le pimenter, le roman de Jean-Yves Masson, tandis que celui-ci s’évertuerait à édulcorer celui d’Edouard Louis ? Il faut sortir de cette pratique de la littérature où chacun peine sur son carré de choux sans jamais prêter main forte au voisin. La coopérative littéraire, c’est l’avenir.

u. dit: à

A côté des corps nus de jeunes Grecs à ses côtés, Goethe is obviously overdressed.

(J’arrête, j’arrête)

u. dit: à

« Je ne comprends pas pourquoi l’auteur n’a pas imaginé une liaison homosexuelle entre Eckermann et Goethe. »

C’est très juste.
On avait déjà l’handicapé.
Eckermann, un peu métis à la Pouchkine, c’était parfait.

Boson de Gonfaron dit: à

Je ne comprends pas pourquoi l’auteur n’a pas imaginé une liaison homosexuelle entre Eckermann et Goethe. (môa)

Quoique… Les « Entretiens avec Eckermann » donnent une idée assez juste de la littérature comme jeu sexuel collectif : Goethe féconde Exkermann qui féconde Jean-Yves Masson qui féconde Assouline qui féconde l’internaute. –Eh ben, et l’internaute, alors ? — On n’attendait que toi. Le problème de la couronne n’est pas pour autant résolu, mais on s’en approche. c’est comme pour le théorème de Fermat.

Boson de Gonfaron dit: à

Le problème de la couronne n’est pas pour autant résolu, mais on s’en approche. c’est comme pour le théorème de Fermat. (moâ)

J’ai trouvé ! Il suffit que l’internaute s’improvise traducteur de Goethe, et on y est en plein.

bérénice dit: à

l’odalix mâle
L’Obelix que dalle? Sergio, pour réunir les idées dans un éclair de génie prismatique.

u. dit: à

« J’ai trouvé ! Il suffit que l’internaute s’improvise traducteur de Goethe, et on y est en plein. »

I smell a rat.

rectif gratis dit: à

@u. « après que le modèle ait foutu le camp. »

il faut l’indicatif après « après que » (après que le modèle a foutu le camp)

Sergio dit: à

bérénice dit: 27 janvier 2014 à 15 h 00 min
L’Obelix que dalle?

Ha mais Obélix c’est un dur qui s’ignore, mais romantique ! Y a qu’à voir avec Falballa il fait rien d’autre que devenir tout rouge jusqu’à l’explosion…

Boson de Gonfaron dit: à

J’ai trouvé ! Il suffit que l’internaute s’improvise traducteur de Goethe, et on y est en plein. (moâ)

Je crois que je vais demander à Assouline l’autorisation d’exposer mes vues sur la traduction dans « la version du traducteur ». Selon moi, les ceusses qui nous serinent le refrain trop connu — « le traducteur est au service de l’auteur » — se mettent le doigt dans, car la vérité est bien que l’auteur, le traducteur l’encule fort et ferme. Et généralement sans vaseline.

bouguereau dit: à

bioro c’est ce qu’il supporte plus..pour ça qu’il préfère les livres..les livres avec vazeline c’est dégueu..même la recherche..clopine n’aimerait pus c’est certain

bouguereau dit: à

la femelle c’est la nature l’être couche toi là qui attend..l’homme le latin la culture..l’allemand c’est landrogyne..c’est vrai goethe est parthénogénétiquement parlant autosuffisant..le gros goering pour s’envoyer en l’air n’avait besoin que d’un messerchmit

u. dit: à

« il faut l’indicatif après « après que » »

C’est pas bouguereau qui aurait fait cette grosse faute, c’est un puriste.

bouguereau dit: à

Savoir que j’étais sur terre en même temps qu’un être aussi extraordinaire était en soi un réconfort

y’a échange de gamète à condition d’être dehors la main sous un torchon à jambon par petite brise..

bouguereau dit: à

l’arbre de Goethe à Weimar

vontraube y va dire qu’y a gravés, sans coeur..rachelle kz david

breda dit: à

et déjà en 1803 ? un peu avant Chevillard
« on traite le public comme on ferait un malade ou un convalescent .

u. dit: à

la femelle c’est la nature l’être couche toi là qui attend..

Parfois, on l’entend doucement haleter.

u. dit: à

« et déjà en 1803 ? un peu avant Chevillard »

Il est né en 1823, je crois.
1833 ?

breda dit: à

et en plus il y a des admirations stériles!

u. dit: à

« c’est vrai goethe est parthénogénétiquement parlant autosuffisant. »

L’autofiction, c’est pas la sculpture de soi?

Sergio dit: à

Faut reconnaître que le papeau, on dirait qu’il l’a chouravé à l’épouvantail du voisin…

u. dit: à

« et en plus il y a des admirations stériles! »

L’expression ‘exercice d’admiration’ m’a toujours laissé circonspect.

u. dit: à

« Faut reconnaître que le papeau, on dirait qu’il l’a chouravé à l’épouvantail du voisin… »

Il est lui même patte folle, il n’y a plus un oiseau à côté.

Phil dit: à

« Cette nouvelle conversation sur l’une des plus fameuses conversations de la littérature..

La littérature a dû attendre le début du siècle passé pour voir débarquer les spécialistes des resucées. Camille Mauclair par exemple.
La télévision a connu ses « Arthur » plus rapidement, avantage du sans-file, comme dirait bougreau.

breda dit: à

Weimar est à sept huit kilomètres de buchenwald

rectif gratis dit: à

C’est pas bouguereau qui aurait fait cette grosse faute, c’est un puriste.

grosses faute? Bah, beaucoup de gens font la faute, le subjonctif a l’air plus élégant mais …
(les historiens emploient « avant que »)

Curiosa dit: à

pendant ce temps, moi, je me marre, je lis le « JOURNAL INTIME DE SALLY MARA écrit par Raymond Queneau (*****)

Curiosa dit: à

je me marre aussi en lisant le boudegras de bouguereau qui a ressorti son pote Goering pour 114ième fois, à part ça il ne radote pas le vieux schnock

christiane dit: à

@breda dit: 27 janvier 2014 à 16 h 12 min
Merci. Beau rappel en cette journée nationale en mémoire des victimes de l’Holocauste et des crimes contre l’humanité.
Les deux dessins sont émouvants et la souche aussi.

J,Ch. dit: à

merci aussi à ceux qui comme moi ont pensé à l’anniversaire de Mozart… à quand La République de la Musique ?

bérénice dit: à

Goethe donc, à part faire dans la décoration intuitive, pas grand chose! Et si c’était le thème punition si cher à PA qu’il ne s’en sert qu’une fois l’an pour ne pas l’user et le ranger comme neuf, vierge d’apports nouveaux et édifiants dans son étui de cuir vieilli au chalumeau? Il l’a fait exprès pour nous clouer le bec, nous laisser cois.

bérénice dit: à

« Savoir que j’étais sur terre en même temps qu’un être aussi extraordinaire était en soi un réconfort. Il m’a toujours semblé que les poètes sont des accumulateurs d’énergie et que c’est par là qu’ils viennent en aide à leurs contemporains et à leur successeurs ».

Voilà une pensée verte à mettre sur tous les toits, le réconfort de vivre au pied de ces Fameux et Cronopes.

Curiosa dit: à

à Béré nice : Goethe cronope ou fameux ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…bérénice & C°,…

…un exercice des analogies et des comparaisons,…appliqué aux simultanéités des événements des rêves aux réalités,…

…Bon!,…et qu’est ce que c’est maintenant,…
…l’habitude des maquettes,…vision des montages et démontages,…
…l’habitude des plans,…tactiques,…métaphysiques,…les continuités ou les blogs à dix-versions,…
…Oui,…un Martini on the rock’s,…ou une liqueur de mirabelle,…un Cynar,…
…vous êtes nouvelles dans ces bosquets !,…
…et Pan!,…en garde,…
…et, cet arbre me met à nu,…je monte et y voie l’horizon,…Ouf!,…personne,…
…cette branche pour moi,…toute seule,!…
…etc,…
…Alice, à se maquette à se monter à la colle-forte,…( l’imagination ),…l’imagination et son frein!,…etc,…

Hélas..... dit: à

Les extraits du lien Bérénice sont à oublier rapidement tant ils sont désopoilants

Caroline dit: à

Ses « Ultimes vérités sur la mort du nageur » (Verdier), parues il y a quelques années, étaient délectables. Il me semble, antérieurement à cela, avoir entrevu sa grande et large silhouette dans un colloque, à Bruxelles ou Berlin, dans les années 90? Je me souviens de m’être fait la remarque ensuite, en y repensant, tenant le livre en main, que je ne m’attendais pas à une complexion aussi imposante pour un texte aussi délié. Est-il vrai que J-Y.M enseigne désormais la littérature comparée à la Sorbonne? Ses cours doivent être passionnants.

bérénice dit: à

Giovanni pourquoi pas le petit prince

kicking dit: à

et l’écoute du Guglielmo Tell m’évoquera désormais la RSI..

Jacques Barozzi dit: à

Passou, Job existe et il vit à Paris (du moins il y vivait encore l’hiver dernier). On peut le voir à la fin du film ci-dessous et il s’appelle Henri. Il émerge, majestueux et crasseux, enveloppé d’une couverture, les pieds nus, au beau milieu des Champs-Elysées enneigés, parmi un large éventail de Job de tous les sexes et de tous les âges. C’est le seul dont on ne connaitra pas l’histoire ni n’entendrons sa voix ! Il partage avec les rats le royaume incomparable du Paris nocturne !
http://www.aramisfilms.fr/fiche_bord.html

u. dit: à

« Jacques Barozzi dit: 27 janvier 2014 à 20 h 40 min
Passou, Job existe et il vit à Paris  »

Il existe partout, mon fils, et je cherche les mots pour le dire en bengali.

u. dit: à

« je ne m’attendais pas à une complexion aussi imposante pour un texte aussi délié » (caroline)

Je comprends très bien.

Al’inverse, c’est comme croiser un esprit puissant et un grand coeur, enfermés dans une poitrine de rachetoque.

Kant, peut-être?

— Au fait, la rencontre d’Erfurt, 1808.
Cette multiplicité des versions, ça n’évoque pas « Rashomon »?

u. dit: à

« Un fameux? Jamais lu. » (bérénice)

Opinion individuelle?
C’est tout bon.

Multiplié?
C’est plus fameux.

u. dit: à

C’est plus fameux > Ce n’est plus fameux.

Je sais, renato, ne jamais écrire trop vite.

u. dit: à

« …et, cet arbre me met à nu,…je monte et y voie l’horizon,… » (Giovanni)

C’est pas Amarcord?
« Voglio una donna »…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@ bérénice,…
…Giovanni,…pourquoi pas, le petit prince,…

…cette stature du petit prince,…c’est de l’ouate pour fragiliser une éducation pour enfants,…
… » dessine moi un mouton « ,…la fin de tous avant de vivre sous les cerisiers aux champs des grillons!,…
…la vie  » coincé  » en ville,…chez les intello’s,…

…Little Nemo in Slumberland,…avant les autres,…

…une autre histoire écrite et reprise,…par un paysan observateur,…
…deux rats ensemble qui courent les champs,…
…l’un avec en bouche le bout de bois d’une branche que l’autre rat,…lui tend, perpétuellement aussi, par la bouche,…

…l’amour entre  » bêtes « ,…sans sécurité sociale,…l’autre rat étant aveugle,…
…etc,…

u. dit: à

« vierge d’apports nouveaux et édifiants dans son étui de cuir vieilli au chalumeau? »

Là je dis: On s’arrête.
bouguereau a bien le droit de flotter entre deux eaux.

u. dit: à

« …la vie » coincé » en ville,…chez les intello’s,… »

Intello’s?
English?

Voir Abdelkader.
C’est un cérébral.

u. dit: à

« Voilà une pensée verte à mettre sur tous les toits, le réconfort de vivre au pied de ces Fameux et Cronopes. »

C’est une bonne phrase.

— Après, on discute.

u. dit: à

« …l’amour entre » bêtes « ,…sans sécurité sociale,…l’autre rat étant aveugle,… »

Je suis comme Jacques, j’ai vu ça à Paris, Giovanni.

Je n’en tire aucune conclusion.

u. dit: à

« merci aussi à ceux qui comme moi ont pensé à l’anniversaire de Mozart…  » (J.Ch.)

Je n’y ai pas pensé, mais je suis profondément d’accord.

Le jazz, les séries… On adore.
Mais il faut quand même être sérieux.
À un certain moment, on a beau être cool et libéral, on dit « pousse » (vous avez remarqué?).

On devient nerveux comme Finkie, parce qu’il ne faut quand même pas tout confondre.

Chaloux, en attendant que M. Assouline complète sa république, vous ne pourriez pas prendre l’intérim?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@ u,…

…toute les situations ne sont pas comparables,…comme des montages sur cellophane et ambiance de projections d’esprits pour coudre ou en découdre des visions animées,…

…je ne suis pas à l’état de pomme offerte à tout vent,…etc,…
…et j’aime de plus en plus à vivre seul,…

…il y a de belles filles,…mais avec  » l’option « ,…haut revenus, situation de gain exorbitante,…etc,…
…pour retrouver une classe de beauté, comme ma mère,…
…et, d’autres variantes encore plus belles,…il faut aller voler,…ou faire de la politique et payez son couple, avec l’argent du peuple,…Non,…
…le raisonnement  » coince « ,…dans la logique, de qui va avec qui,…
…mieux restez seul, que déçu,…c’est certain,…

u. dit: à

« Je n’y ai pas pensé, mais je suis profondément d’accord. »

Je suis heureux de lire ça.

Ce n’est pas onaniste, c’est de l’autofictif.

— Debout les morts!
Une question: à quand remonte votre dernière lecture de >Dichtung und Wahrheit?

On demande discipline et franchise.
Pas de planqué qui, dans la file, lève le doigt en disant « Ich bin krank ».

u. dit: à

« …il y a de belles filles,…mais avec » l’option « ,…haut revenus, situation de gain exorbitante,…etc,…
…pour retrouver une classe de beauté, comme ma mère,… »

On connaît ça, Giovanni.

On se met en tandem, et elles sont à nous.
C’est quand vous voulez.
Demandez à bouguereau, il appelle ça Bildingsromam, est-il snob.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…bon,…j’ai aussi, d’autres occupations à convenir,…
…mais vos remarques, ne font pas état de notre taux d’ébriété,…à distances,…etc,…

u. dit: à

« mais vos remarques, ne font pas état de notre taux d’ébriété »

Sobering remark
(c’est pas moi, c’est Bloom qui parle comme ça)

u. dit: à

« Le tandem », naturellement je compte sur vous, Giovanni.

On a tous connu ça.
(« Déconne pas, prends la moche »)

C’est pratiquement du Kundera.
C’est l’ethos européen, et merde pour l’Islamisme et le vetero-catholicisme.

u. dit: à

Avant de prendre congé, j’ai relu.

Je suis consterné.

Sur ce blog, depuis 30 minutes, Giovanni et moi avons été les seuls goethéens.

Shame on you.
Adeus.

Mme Michu dit: à

C’est pas Amarcord?
« Voglio una donna »…

Servez-vous!
Faut pas vous gêner…

Alice dit: à

U, Pour que ce soit du Kundera, il faudrait l’intervention de Christiane (et toc pour Bettina, non mais !)
———————————————————
The Hatter was the first to break the silence. « What day of the month is it? »

Alice had been looking over his shoulder with some curiosity. « What a funny watch! » she remarked. « It tells the day of the month, and doesn’t tell what o’clock it is! »
« Why should it? » muttered the Hatter. « Does your watch tell you what year it is? »

« I daresay you never spoke to Time! »
« Perhaps not, » Alice cautiously replied: « but I know I have to beat time when I learn music. »
« Ah! that accounts for it, » said the Hatter.

Happy Birthday Charles Lutwidge Dodgson

chantal dit: à

« Nous nous trouvâmes dans les nuages, doublement désagréables cette fois, parce qu’ils masquaient la vue et retombaient en brouillard humide. Mais lorsqu’ils se déchirèrent çà et là et qu’ils nous laissèrent voir, entouré de cadres flottants, en images soudaines et changeantes, un monde brillant, magnifique illuminé par le soleil, nous ne regrettâmes plus ces accidents.
 Car c’était un spectacle que nous n’avions jamais vu et que nous ne reverrons jamais. Et nous restâmes là longtemps dans cette position assez incommode, pour saisir, à travers les déchirures et les fentes des masses de nuages sans cesse en mouvement, un petit lambeau de terre ensoleillé, un mince rivage, un bout de lac ».

Goethe, journal, 18 juin 1775.

TKT dit: à

@ u. dit:27 janvier 2014 à 21 h 20:
« Demandez à bouguereau, il appelle ça Bildingsromam, est-il snob. »:
Bildungsroman

chantal dit: à

je vous laisse, pas mal de travail, mon site à mettre à jour.

TKT dit: à

Il ne suffit pas d’être dans le dénuement, pour être Job.

TKT dit: à

Personnellement, je lis bien en regardant le tableau de Tischbein, une jambe droite et une jambe démesurée qui se trouve bien être la jambe gauche du plus grand dramaturge européen, après Shakespeare.
Shakespeare
Goethe
puis vient, Molière

Etat des lieux dit: à

TKT dit: 27 janvier 2014 à 22 h 19 min
@ u. dit:27 janvier 2014 à 21 h 20:
« Demandez à bouguereau, il appelle ça Bildingsromam, est-il snob. »:
Bildungsroman

La burne est de retour.
Irremplaçable.

Mme Michu dit: à

Mon DJ préféré a une mention « j’aime » pour un certain Lawyer, dois-je en déduire qu’il a un goût pour les hommes en robe et perruque ??

Mme Michu dit: à

Ah non, c’est même pas lui…

Et le vainqueur est..... dit: à

TKT dit: 27 janvier 2014 à 22 h 34 min
Shakespeare
Goethe
puis vient, Molière

The Voice vu par TKT.
Louboutin devant Todd’s, mais coiffés sur le poteau par Bata.
Thierry arbitre des élégances.

Jacques Barozzi dit: à

Le tas de fumier est une condition nécessaire mais pas, en effet, suffisante, TKT. Mais celui dont je parle, au-delà de toute révolte et dans l’hébétude totale face au ciel, est un vrai Job parmi les Job, incontestablement…

Mme Michu dit: à

Bon, je vais passer pour quelqu’un qui s’intéresse plus à l’entourage et aux gadgets qu’à une personne, c’est con…

La vérité toute nue dit: à

Mme Michu dit: 27 janvier 2014 à 22 h 41 min
c’est con…

Digne de TKT dit: à

Jacques Barozzi dit: 27 janvier 2014 à 22 h 41 min
dans l’hébétude totale face au ciel

Beau comme l’antique.

Sinister dit: à

 » Sombre perspective d’avenir pour Wikipédia  »

En effet, quand on voit qu’ils en sont réduits à proposer dans le menu en haut à gauche « Texte au hasard », c’est mal barré.

Marcel dit: à

Je bande à bis dans la samba,
Quand le torrent sort de la terre.
Qui donc a crié caramba ?
Je bande à bis dans la samba.

On le sait, Goethe à ri, baba,
Mais jamais lors de la prière.
Je bande à bis dans la samba,
Quand le torrent sort de la terre.

JC..... dit: à

Je canne à bis dans la simca,
Quand le chomdu sort de son lit.
Qui donc a crié caramba ?
Je canne à bis dans la simca.

On le sait, François fait caca,
Mais jamais dans son petit lit.
Je canne à bis dans la simca,
Quand le chomdu sort de son lit.

JC..... dit: à

CHOMAGE EN FRANCE
Résultat sur l’année : le total des trois catégories ABC « enfle de 6% » sur l’année 2013, atteignant le chiffre de 4 898 100 inscrits, 5 194 100 avec les Départements d’Outremer.

François Hollande, près de deux heures avant la publication officielle des chiffres, affirme : «Stabiliser, c’est ce que nous avons fait, ne suffit pas.»

Mensonge ! AUGMENTER de 6%, ce n’est pas STABILISER … Rien n’est fait !
(et tout le reste est littérature …)

Duchamp dit: à

J’aime bien Masson. Grande baraque homo et avec ça le chant du rossignol. De la sincérité chez lui, du coffre à sa manière. Bon bagage universitaire dont il arrive à se départir quand il faut: son talent est contenu là. Des façons qui changent agréablement de la petite merde auto-fictive, moi je, moi je, moi je, des tartinages sorbonneux comparatifs à la mords-le moi, ou des succès qui tiennent plus de la nominations passe-droit (C.V. mince comme une feuille de papier à cigarette genre fils Le Drian ou Manu Carrère qui se tire des prix à 30 000 euros décernés par Maman) que d’une réelle occupation des sols. Verdier est bon à ce jeu. Pas toujours (un peu tendance à être casse-burnes), mais ça arrive.

Masson..... dit: à

Moi aussi je t’aime bien Duchamp

Jacques Barozzi dit: à

Merci, Marcel.
Je m’inquitais de ton silence et me demandais si tu étais « entré en écriture » ?

christian dit: à

à 6h 18 le la chochotte de talo.net & mari.net fait sa propagande du matin

Jacques Barozzi dit: à

« Grande baraque homo »

Il fait chambre d’hôte Masson, Duchamp ?

Jacques Barozzi dit: à

Pas de quoi se réjouir des difficultés actuelles de wikipedia, grande encyclopédie universelle, coopérative des connaissances, mise gratuitement à la disposition de tous…

JC..... dit: à

christian dit: 28 janvier 2014 à 8 h 08 min
« …fait sa propagande du matin »

Un rappel des faits seulement : l’échec systématique de Pépère le Domjuju, Zayrault le Nanti et Bouboule en Sapin …!

JC..... dit: à

Exercice de concurrence, libre et non faussée, sur « Mediterranean Sundance » entre Paco de Lucia, un peu moins chevelu qu’en 76, et son comparse Al di Meola, les maitres guitaristes de Dexter, hélas retiré trop tôt à notre affection musicale …

http://youtu.be/v35YhhzCrYk

Jacques Barozzi dit: à

Clopine, parler ne m’est pas très naturel.
Je préfère, pour communiquer, passer par le tatonnement de l’écriture.
Je sais bien qu’à l’origine « le verbe » était oral. Mais je suis toujours aussi perplexe quand je lis que Stendhal, comme le rappelle Paul Edel sur son blog, a dicté « La Chartreuse de Parme » à son secrétaire en 53 jours !
Un de mes amis, très au fait des dernières technologies, a installé un logiciel sur son ordinateur lui permettant de dicter à haute voix et de récupérer le texte écrit !
Les nouvelles écritures pourraient-elles revenir à la source : la Bible, Liliade et l’Odysée, Les Mille et une Nuits…

JC..... dit: à

Jacques, je ne connaissais pas Liliade et l’Odyssée, je connais seulement « Liliane et l’Odyssée », un livre pour enfants …

Jacques Barozzi dit: à

C’est un peu le thème Des Conversations d’Eckermann, réécrites de mémoire en léger différé ?

Jacques Barozzi dit: à

Je m’adresse à Clopine et c’est JC qui répond !
A croire qu’il se voudrait fusionnel avec sa muse contrariée ?

JC..... dit: à

Tu parles de fusion, alors que tout ne monde ne parle que de scission… sacré Jacky !

u. dit: à

« parler ne m’est pas très naturel.
Je préfère, pour communiquer, passer par le tâtonnement »

Une claque est vite arrivée.

Jacques Barozzi dit: à

JC, tu crois que si j’avais dicté les titres d’Homère à cette machine, celle-ci me les aurait restitués directement écrits en italiques : « L’Iliade » et « l’Odyssée » ?

alain dit: à

JC il est pour la trique, il cause comme mari.net, il a pas moufté sous le règne de raymond, qui a pourtant augmenté le chomage de pas moins de onze pour cent, la dette publique vertigineusement, sans compter les milliards qu’il a empoché en loucédé. JC c’est le fils naturel à gueuringue et aussarace, il amuse ses amis (cérébraux) comme u. et bougros

Jacques Barozzi dit: à

Ou plutôt l' »‘Iliade » et l' »Odyssée »…

Jacques Barozzi dit: à

Alain, quand on ne veut pas parler du présent, un peu gênant, on évoque le passé : « C’était moins bien avant ! »

Jacques Barozzi dit: à

Autre variante : « C’est la faute à Voltaire ! »

Jacques Barozzi dit: à

Et Masson, est-ce qu’il venge sa race ?

JC..... dit: à

C’est vrai, Alain, que pour amuser des amis, il faut qu’ils aient un cerveau… tu me vois venir avec mon regard interrogatif vers ta pastèque creuse tapissée de rouge …. non ? Tant pis !

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

C’est peut-être que l’ombre de la mort plane au-dessus d’eux, Jacques. « Brokeback Mountain » est un des plus grands films d’amour que j’ai jamais vus, il m’a laissé une impression ineffaçable, et il est, je crois, intemporel. Un opéra – pourquoi pas ?

(avez-vous remarqué que de très grands films ont été tirés de simples nouvelles, comme Les Oiseaux de Du Maurier ou Brokeback Mountain, ou encore le festin de Babette, tiré d’une nouvelle de Blixen? A quand un « goût de la nouvelle », Jacques ?)

JC..... dit: à

Je n’ai pas vu le film Fuck Mountain, mais je suis certain que c’est « un des plus grands films d’amour que j’aurai jamais vu, et qu’il me laissera une impression ineffaçable, car il est, je crois, in-tem-porel »

« Intemporel de ta mère de la mort de nous autres ! », comme le dit la critique du Porquerolles News …

JC..... dit: à

Jacques, les héros de cet opéra nouveau ne sont pas terribles, c’est exact. Même avec ces beaux chapeaux de cow-girls en chaleur… C’est toujours une grande difficulté dans un opéra lorsque par exemple le rôle de Desdémone est tenu par une infâme pétasse, moche comme une grosse enseignante en fin de carrière.

A Marseille, j’ai entendu juste au moment ou le Maure jaloux étrangle sa Belle, un voisin de balcon s’écrier à autre voix : « J’aurais fait pareil, elle est si laide ! »

JC..... dit: à

Sombre perspective pour Wikipedia ? Les ruines, s’il se produit un cataclysme, seront superbes !

« Tout cède et rien ne tient bon » dirait Héraclite l’Obscur …

Jacques Barozzi dit: à

Clopine, j’ai décidé que le goût de l’Afrique, le dix-septième publié dans cette collection depuis 2006, serait le… dernier !
Je suis comme les chats et je n’ai pas encore accompli mes sept vies…

u. dit: à

« une infâme pétasse, moche comme une grosse enseignante en fin de carrière. » (J. Ba)

J’appelle tous les collègues, syndiqués et non syndiqués, à se réunir ce soir Salle des profs à 18h pour examiner le cas Barozzi et décider des mesures immédiates qui s’imposent.
Le dossier JC pourra être également débattu.

u. dit: à

Le syndicat présente ses excuses à M. Barozzi.

Il s’agissait naturellement, et exclusivement, de l’agent provocateur JC.

JC..... dit: à

Par les mânes infernalisées de Goethe, je demande à être confronté à toutes les grosses enseignantes en fin de carrière !

Dans une réunion ouverte au public, naturellement … mais demain ! Bonne soirée !

Pompon dit: à

Ma photo en couverture !

La même tête que ma chatte!

Leonardo dit: à

A Kosovska Mitrovica, où elle vit avec sa famille depuis son expulsion, Leonarda a réagi à la décision, en exprimant un désarroi assorti d’une menace de se suicider.

« Ils auraient mieux fait de nous tuer car ici ce n’est pas une vie, ce n’est pas de la justice mais de l’injustice, je vais me tuer car ici nous n’avons pas de vie « , a-t-elle déclaré à l’AFP. « Ma patrie, c’est la France, ici nous mourrons de faim (…) nous avons été envoyés ici pour mourir. L’avocat nous dit de ne pas désespérer car nous avons le droit de faire appel mais je ne crois plus en la justice », a-t-elle ajouté.

Un suicide ? Ce gouvernement n’a pas de cœur. François ! Fais quelque chose. Tu es libre sans ton vieux boulet !

Himiltrude dit: à

une infâme pétasse, moche comme une grosse enseignante en fin de carrière. (JC)

Décidément, JC se surpasse sur ce fil. J’ai connu plus d’une enseignante en fin de carrière, plutôt bien en chair et fort appétissante.

Sur les quelque 190 commentaires actuellement postés, AUCUN ne concerne l’ouvrage dont Assouline a choisi de nous entretenir ; j’en ai compté deux où l’on parle de l’auteur, dont on apprend qu’il est homo (encore un). C’est l’illustration caricaturale de la conséquence du fait qu’à peu près aucun intervenant n’a lu l’ouvrage dont il est question, dont il ne connaît pas non plus l’auteur; comme cette situation se répète de billet en billet, les fils de la RdL apparaissent comme une sorte de café du commerce où quelques habitués s’échangent des vannes plus ou moins sortables (celle que je cite relevant du très bas de gamme), tandis que le quarteron de gardiens de la mémoire de la Shoah en profite pour repousser une fois de plus les frontières de l’effet Godwin.

@ Hilmilitude dit: à

So what ?

u. dit: à

« C’est l’illustration caricaturale de la conséquence du fait qu’à peu près aucun intervenant n’a lu l’ouvrage dont il est question, dont il ne connaît pas non plus l’auteur »…

Au travail, Himiltrude!

Jacques Barozzi dit: à

De manière générale, Hilmilitude, nous n’avons jamais lu le livre (de récente actualité) sur lequel Passou nous donne son avis, sinon nous ne serions pas ici !

christiane dit: à

@Jacques Barozzi dit: 28 janvier 2014 à 12 h 37 min
Oups ! Quel lapsus ! bien sûr Jacques Chesnel et sa passion jazz.
A cet après-midi, cher Jacques, sur les ondes.

bouguereau dit: à

beerk..la charlotte c’est pour jicé

bouguereau dit: à

Au travail, Himiltrude!

zouzou c’est un meneur d’homme..il a une âme de chef

bouguereau dit: à

une infâme pétasse, moche comme une grosse enseignante en fin de carrière. (JC)

tada j’ai bon..il aime les queunelles du gros lars

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