Le camp des siens
Les commentateurs ont été si préoccupés par la capacité d’écrivains (Sinclair Lewis, George Orwell, Philip Roth) à anticiper la société qui s’annonce dans l’Amérique de Trump qu’ils ont négligé de s’intéresser aux penseurs que celle-ci instrumentalise pour mieux s’en inspirer. Deux italiens notamment : Antonio Gramsci (1891-1937) et Julius Evola (1898-1974). Nul n’avait prévu leur retour dans l’actualité la plus chaude.
Du premier, philosophe marxiste et membre fondateur PCI, on a voulu surtout récupérer et détourner le concept d’hégémonie culturelle devenu furieusement tendance depuis quelques temps. Parvenir à la domination non plus seulement par la force mais par du consentement cuirassé de coercition. L’alt-right américaine, qui se veut une droite alternative pour mieux masquer ce qui demeure en elle de suprématisme blanc, ne cache pas qu’elle a engagé une bataille culturelle. Breitbart News, son site de référence, n’est pas avare en citations de Gramsci, l’une notamment extraite des Cahiers de prison censée éclairer la vraie nature de la crise actuelle :
Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître. Dans cet interrègne surgissent des phénomènes morbides les plus variés”.
Selon les traductions, l’interrègne prend des allures de clair-obscur, et les phénomènes morbides sont plutôt désignés comme des monstres. Or tant les équipes de Trump aux Etats-Unis qu’un Jean-Luc Melenchon en France propagent l’idée qu’il faut dépasser la dimension économique pour prendre l’avantage moral et intellectuel, et que celui qui a l’hégémonie culturelle détient le vrai pouvoir par la subversion des esprits.
S’agissant du retour en grâce de Julius Evola, c’est moins troublant mais plus inquiétant car il était, lui, le théoricien d’un élitisme antimoderne et contre-révolutionnaire, un authentique fasciste auquel les extrême-droites italienne et française n’ont jamais cessé de se référer depuis la fin de la guerre. Or, outre Aube dorée en Grèce et le Jobbik hongrois qui propagent ses écrits racistes et ésotériques, il a trouvé un porte-voix plus discret mais bien plus influent en la personne de Stephen Bannon, conseiller de Donald Trump, lequel s’est empressé une fois élu président de le nommer au Conseil de sécurité nationale (il vient juste d’être forcé d’en démissionner/ rajout du 5 avril). Pour avoir lu attentivement les livres du penseur italien, il se contente prudemment pour l’instant de parler de sa doctrine traditionnaliste dans des conférences ou d’en faire louer les idées par d’autres sur son fameux site Breitbart News. Mais s’agissant d’autres moins sulfureux, Stephen Bannon se lâche volontiers.
Une expression revient de manière récurrente dans ses discours, interviews et déclarations pour justifier le bannissement d’un certain nombre étrangers jugés indésirables sur le territoire américain : « Nous vivons l’invasion du Camp des Saints ». L’allusion est claire, et il ne s’en cache pas, au titre du roman dans lequel Jean Raspail ne mâche pas ses mots sur la « submersion ». Tout y tourne autour de l’angoissante question « Et s’ils arrivaient ? » – non pas les extra-terrestres mais les déshérités du Sud, Indiens du Gange plutôt qu’Africains du Maghreb, un million d’émigrants à bout de souffle, débarqués sur les plages du Midi de la France, face à des indigènes occidentaux qui se demandent s’ils doivent les renvoyer chez eux, les enfermer dans des camps ou tirer dans le tas, solution qu’adoptera le dernier carré des irréductibles tandis que la population se sera réfugié dans le Nord…
C’est peu dire que la tradition d’une France terre d’asile en ressort laminée. 70 000 exemplaires s’en étaient écoulés en trente-sept ans à raison de 1500 exemplaires par an ces derniers temps. Réimprimé sans discontinuer depuis 1973, et réédité chez Robert Laffont en 2011 avec une préface (intitulée « Big Other ») l’actualisant, il est régulièrement évoqué dans la presse nationaliste en France comme un roman-culte. Longue de 27 pages, elle est nettement moins allégorique que le roman : c’est le texte de combat d’un homme ne renie rien (« Français de souche et fier de l’être ») ; malicieux et perfide, il cite les lettres que lui avaient alors adressé des personnalités qui n’étaient pas précisément des défenseurs du trône et de l’autel contrairement à lui (Malraux, Mitterrand, Jospin, Chevènement, Mermaz, Badinter, Pinault, etc encore que certaines ne sont que courtois accusés de réception), un stock qui constitue son « »parachute » » en cas de besoin, comme il dit ; malin, il se réserve l’apologie du triple Angélus et laisse au Général de Gaulle le soin de défendre les Français « peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne » (1959) ; provocateur, il indique à ses détracteurs les pages susceptibles d’être poursuivies en justice (87 motifs) en vertu des lois Pleven, Gayssot, Lellouche et Perben s’il paraissait aujourd’hui pour la première fois : « Impubliable à moins d’être gravement amputé ». On y trouve sa profession de foi ainsi résumée :
« Ce que je ne parviens pas à admettre, et qui me plonge dans un abîme de perplexité furieuse et désolée, c’est pourquoi tant de Français avertis concourent aveuglément, méthodiquement, voire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France –évitons le qualificatif d’éternelle, qui les révulse –sur l’autel de l’humanisme exacerbé »
Aux Etats-Unis, Le Camp des Saints est paru une première fois en 1975 dans l’indifférence. Mais depuis 1983, il est devenu là aussi un livre-culte dans les milieux hostiles à l’immigration, Cordelia Scaife May, héritière de la fortune Mellon, ayant financé ses nombreuses rééditions et sa diffusion. De quoi permettre à tout électeur de Donald Trump d’y retrouver le camp des siens.
(« Drapeau américain » photo D.R., « Donald Trump par Victor Escandell« )
1 106 Réponses pour Le camp des siens
J’ai comme l’impression que Marine Le Pen joue sa dernière carte. Ou ça passe ou ça casse…
Hier soir ça faisait très assemblée de gremlins
Et vous allez voter pour lequel, Paul Edel ?
« Nous, on n’a pas d’immunité ouvrière. » (Poutou). Les journalistes ont la leur. Bombardement (attribué aux USA) d’une école à Mossoul, dans la presse : « incident »; dans la même presse, bombardement d’un hôpital à Khan Sheikhun (cette fois-ci attribué au gouvernement syrien): « massacre ». Il y a quelques jours, aux informations de midi sur FC : « Conflit entre colonisateurs israéliens et colonisateurs palestiniens « . (colonisateurs palestiniens! – c’est fort ça). Touche pas à la liberté de la presse.
Mes amis,
En confidence, sur ce billet inintéressant au possible, je vous le dis en vérité :
« Voter : c’est être en soumission républicaine. Beurck !… »
Excellente chronique de François Sureau, à lire gratuitement en ligne sur La Croix, à propos de Simenon, son univers, et plus particulièrement du personnage de Maigret, à qui le cinéma redonne actualité :
« Sans doute son commissaire Maigret aurait-il accueilli avec un haussement d’épaules les lois qu’un parlement de panique vote ces temps-ci, comme à l’époque des attentats anarchistes. C’est un luxe que nous autres simples citoyens, et non créatures de fiction, n’avons pas. »
dans un souci de transparence nous dire si tu es mort ou vivant ?
chrodingueur a dit i am sometimes a dead pussy..’et ça fait malocu’ dirait bonne clopine
delaporte de derrière
Et vous allez voter pour lequel, Paul Edel ?
polo ça lui fait plus mal depuis longtemps baroz et t’es jaloux
Ou ça passe ou ça casse…
les deux mon capitaine qu’il dit le mousse baroz
La politique est une affaire exclusivement sexuelle
tate mon orgone c’est pas du mou d’veau sacrénom..
Une lionne en chaleur peut s’accoupler jusqu’à cent fois par jours avec des lions différents. De l’intérêt de lire The Economist.
« Ce que je ne parviens pas à admettre, et qui me plonge dans un abîme de perplexité furieuse et désolée, c’est pourquoi tant de Français avertis concourent aveuglément, méthodiquement, voire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France –évitons le qualificatif d’éternelle, qui les révulse –sur l’autel de l’humanisme exacerbé »
si c’était pour de la gnole..jéruzalème..le foutbol..de la thune ça srait trop dmander
Je vais en parler sans attendre à ma Directrice qui comme moi est du signe du Lion.
ma Directrice qui comme moi est du signe du Lion
100 fois ça use pas le gode ceinture dédé
Lassalle Président !
A bas le Général Tapioca !
Le Général Lassalle au pouvoir!
« Une lionne en chaleur peut s’accoupler jusqu’à cent fois par jours avec des lions différents. »
Et les sentiments, là-dedans ? Tirelire tirelot…
Ca doit être payant, non ?
Oui, mais 100 godes différents, ça use le porte monnaie de dédé, le boug !
Parfois les curés sont aussi les victimes, ici d’un jeune qui roulait sans permis :
« Un Bordelais de 19 ans, habitué des activités d’aumônerie, a volé les voitures de deux curés de Bordeaux-Caudéran… pour aller au lycée et voir sa petite amie. »
« Il y a le socialisme qui veut substituer l’Etat aux activités spontanées ,et qui sous prétexte de distribuer à chacun le bien-être, ote à chacun la liberté. Il y a le socialisme qui abolit la misère, l’ignorance, la prostitution, les fiscalités (!), les vengeances par les lois (!), les inégalités démenties par le droit ou par la nature, toutes les ligatures, depuis le mariage indissoluble jusqu’à la peine irrévocable. Ce socialisme-là ne détruit pas la société, il la transfigure. »
Démarche individuelle, et non parti. Paul Benichou d’ajouter « Il s’est toujours méfié des dogmes ».
Et d’insister sur le fait que sa théologie hétérodoxe était bien partie pour etre mal reçue à gauche…Ce qu’elle fut!
D. a laissé tomber son pull Marine au fond de la piscine pour se faire la malle avec le gland Lassalle. L’inconstant !
Je viens de balancer à la poubelle ma crème hydratante pleine de perturbateurs endocriniens en pensant à JC, plouf !
« De l’intérêt de lire The Economist. »
Un journal pour les amateurs de bourse(s), Bloom !
Delaporte dit: 5 avril 2017 à 15 h 03 min
pour aller au lycée et voir sa petite amie. »
Bon c’est déjà pas mal de conduire deux bagnoles en même temps, mais si en plus c’est pas au même endroit…
Sergio dit: 5 avril 2017 à 15 h 21 min
Cette histoire de curés volés tient en effet du miracle !
« Ce que je ne parviens pas à admettre, et qui me plonge dans un abîme de perplexité furieuse et désolée, c’est pourquoi tant de Français avertis concourent aveuglément, méthodiquement, voire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France –évitons le qualificatif d’éternelle, qui les révulse –sur l’autel de l’humanisme exacerbé »
Ce genre de discours renaude furieusement la France de papa, ou plutôt de grand-papa, voire d’arrière grand-papa. La France de race blanche et de culture gréco-latino-chrétienne, elle est de plus en plus derrière nous. Bientôt, d’ailleurs, le nom de « France » sonnera furieusement rétro, ne convenant absolument plus pour nommer la société à l’ouest du continent européen (« européen »: encore un mot qui sera bientôt obsolète) à l’horizon 2050. Après moué, de toute façon, le déluge.
Jean dit: 5 avril 2017 à 16 h 09 min
sonnera furieusement rétro, ne convenant absolument plus pour nommer la société à l’ouest du continent européen
Ca me paraît évident, comme disait le Doc… Faut regarder les choses en face, sinon on va se les prendre !
Jean, à propos de l’attente :
« Depuis quand attendait-il ? L’attente est toujours l’attente de l’attente,
reprenant en elle le commencement, suspendant la fin et,
dans cet intervalle, ouvrant l’intervalle d’une autre attente. »
MAURICE BLANCHOT
Après Marine et son pull, si t’en pinces pour Jean du Béarn au béret, D.(aniel), et si tu veux sortir de l’euro avec l’Asselineau du freixit, lis bien ça 100 fois, comme la lionne en chaleur qu’est pas sûre d’être bien fécondée pour se reproduire de souche, avant d’aller souper avec JC.
http://www.laviedesidees.fr/Cinq-mythes-sur-la-sortie-de-l-euro.html
« Depuis quand attendait-il ? L’attente est toujours l’attente de l’attente,
reprenant en elle le commencement, suspendant la fin et,
dans cet intervalle, ouvrant l’intervalle d’une autre attente. »
Grandiose fragment, pensé de l’en-dehors du travail, dans son abolition éternelle.
Janssen J-J dit: 5 avril 2017 à 16 h 39 min
se reproduire de souche
C’est sûr si elle fait un tigre ça va se voir ! Même camouflé en hautes herbes…
Jean dit: 5 avril 2017 à 16 h 09 min
chez moué déluge : êtes-vous mort ?
un tigre en haute herbe
La France est de race blanche, de culture gréco-latine et chrétienne : elle va renaitre de ses cendres ! Montjoie Saint Denis…. !
Faut être co.n comme un balai de chiottes pour le nier. Car nous allons voter en masse, nous autres les intellectuels décervelés, pour Marraine La Pine ! Notre sainte ! notre madone !
VOTEZ, ET FAITES VOTER, POUR LE PARTI MARINISTE FRANCAIS ! FREXIT ! FREXIT ! Libérons nous !
Boutez les envahisseurs hors de l’hexagone et n’oubliez pas de faire du sport… Vive la République ! Vive la France !
dans cet intervalle, ouvrant l’intervalle d’une autre attente
le patron de delaporte s’appelle zénon et la lui met dans l’fion
ne convenant absolument plus pour nommer la société à l’ouest du continent européen
au xixeme on ne craignait pas les frèles esquifs..c’étoye le péril jaune..jme souviens..jeu meu souviens d’un winqueulmanien fort ancien jaloux qu’un jour la ruine de notre dame serait contemplé en ruine et termine son livre en himaginant ses pensées et terminant son livre en répétant 2 fois.. » et j’espère que ce ne sera pas un chinois »
Boutez les envahisseurs hors de l’hexagone et n’oubliez pas de faire du sport… Vive la République ! Vive la France ! (JC)
Tu vas voir, mon doudou, comment que la France de papa elle va éclater en morceaux. Nous appelons de nos voeux une Vrounnze entièrement rechampie à coups de vagues immigratoires qui relègueront au musée (où qu’ils sont déjà depuis un bail) les envahisseurs d’antan, Huns, Goths, Wisigoths et Francs (pas du collier). Oui à une redistribution des cacartes cuculturelles. Oui au grand sausaut dans l’Incocoanu(ts) !
des cacartes cuculturelles
on irara papa voivoir dessoussou
Après moué, de toute façon, le déluge
on dirait qutu vois déjà ta tête déconfite vu qu’sans toi ça sra nickel chrome bien rangé
Pour la France : POUTOU !
Pour JC : poteau
Je viens de balancer à la poubelle ma crème hydratante pleine de perturbateurs endocriniens
va vite tlaver l’cul keupu
100 godes différents, ça use le porte monnaie de dédé, le boug !
ça huse ça huse..sapré dédé
Cette histoire de curés volés tient en effet du miracle !
dpuis jeanvaljean ça se négocie en sacristie baroz
Et les sentiments, là-dedans ? Tirelire tirelot…
les vrais sentiments sont conséquents..bonne clopine disoit ‘havant c’est que du bidon’..c’est l’épreuve du feu en somme..d’où il s’ensuit qu’il faut que ça fume
si elle pond un tigron, ça va. Mais si le p’tit lionceau veut retrouver son vrai père, bonjour Marine pour retrouver Jean-Marie parmi les 100 prétendants de souche, la recherche de paternité dans la savane, c comme à st cloud, pas fastoche parmi tous ces migrons sans souche…
En tout ca dès que Marine sera au pouvoir, début mai, il faudra faire un grand ménage à Radio-France.
Rendons la radio du peuple, financée par le peuple, au peuple. Et particulièrement France Musique, qui en ce moment-même passe un programme aussi horrible qu’élitiste.
Alors qu’il y a tant de belles choses.
Très belle idée, JiBé que ces portraits de jeunesse, fragiles. qu’avaient-ils dans la tête alors ? Souvenir d’une France des années soixante si bien évoquée par A. Ernaux (Les années). certaines photos me les ont rappelées.
Bonjour à JJJ et à Rose.
Quant au débat…
Dans le Figaro de ce jour un article sur les difficultés du CERN à répondre à la question suivante:
« L’anti-matière joue-t-elle avec la gravité? »
Trois équipes travaillent d’arrache-pied sur la question.
Il ne savent sans doute pas que nous disposons sur la RdL d’un éminent spécialiste de la physique quantique, Widergänger, qui pourrait répondre à la question en quelques minutes et leur économiserait beaucoup de temps et d’argent.
Oyez, oyez ! Pas plus tard qu’àtsouère la grognasse météo de France 2 nous annonce tout sourire que le beau temps va revenir sur la Vrounze grâce à l’air chaud venu du Maghreb ! Prophétie hautement symbolique ! C’est d’Afwik du Nord, du Sud, du Centre, de l’Ouest et de l’Est, c’est du twès Moyen Orient, c’est des plus impwobabes twous du Khul du Monde mondialisé que vont monter les forces wégénéwatwice, comme disait Wegener, l’homme des dérives ! Levez-vous vite, déwives désiwées, qui devez empowter la Vrrounze du feu woi Wené dans les espaces d’une autwe vie ! Fouchtwa ! Fatwa ! Fatmas !
bonsoir Christiane
contente de vous revoir
A la Une du Magazine littéraire, une image qui rappelle que la Bible nous dit que D.ieu a créé l’homme à son image. S’il en est bien ainsi, la réciproque est tout aussi vraie. D.ieu est à l’image de l’homme. Illico je me suis vu en Michel Ange new look repeignant au plafond de la Sixtine un D.ieu à tête de Donald Trump enfonçant impérialement son doigt impérieux dans le dans le d’un Adam à tête de Fillon. Poil au
« Après un remaniement initié par le président Donald Trump, l’ex-patron du site Breitbart News, proche de l’extrême droite américaine, a été exclu de cet organe discret mais particulièrement influent à la Maison-Blanche. »
Ce sont la nièce et sa tante, et toute la smala, qui vont en faire une tête. Z’ont pas du « anticiper », à l’heure du Tea, en lisant le billet.
Mais absolument ! Et je peux même vous dire que les extraterrestres savent jouer, eux, avec l’antimatière pour faire voler leurs merveilleux engins en sustentation dans le vide et allant à des vitesses défiant toute concurrence terrestre. Comme dit Jean-Pierre Petit, qui s’y connaît, leurs engins sont de masse nulle, à ces merveilleux fous volants, parce qu’ils joue sur la gravité et l’anti-gravité, et le procédé qui le permet joue avec l’anti-matière, c’est inéluctable ; on est bien rien, mes pauvres chéris !
Mais ils sont en avance sur nous de plusieurs millions d’années. Alors avant qu’on en arrive là, hein…
Sustentation ? Le fameux triangle …
The dick remix
https://m.youtube.com/watch?v=nBYbzb1tUEQ
quelques mises à jour :
le torrent de boue c’est en Colombie. Grande partie de la ville jouxtant le fleuve.
« 21:25Grèce de Hop! vendredi et samedi » sur le monde.fr
Hop, filiale d’Air France nous emmène tous en Grèce vendredi et samedi, faire la grève. On y restera dimanche.
On y prendra des nouvelles d cela banque new-yorkaise Goldman et Sachs et de sa crise des supprimes. Crise payée par nos amis grecs. Habitués à aller se faire voir, depuis Aristote et confrères.
Si on décide de rester lundi, ouzo et zakouskis aidant, on s’intéressera à Lehman brothers les pauvres, qui ont mis la clé sous la porte.
Grève aussi dans les TGV, aux snacks.
A quand une grève dans les bus à 10 euros de M. Macron pour faire Trébeurden-Trébizonde en 37 heures ; et deux le matin ? Parce que les bus pourraient être à 4 euros, ce me semble. Et on ne paierait pas les chauffeurs, puisqu’ils seraient heureux de conduire. Et deux auraient les costumes de Fillon ; du sur-mesure. Mais de quoi se plaignent-ils ?
des nouvelles de la banque new-yorkaise Goldman et Sachs et de sa crise des sub-primes,etc.
bien aimé le remix de QT, jean langoncet ; mais, on ne voit guère ce qu’ils mangent (seul bémol). Aime beaucoup l’effet sample. Je kiffe grave.
Sont tous beaux, quand ils étaient jeunes, mais pas Quentin Tarantino.
Puisque Tigre on évoqua, je n’y résiste pas:
Tyger! Tyger! burning bright
in the forests of the night,
What immortal hand or eye
Could frame thy fearful symmetry?
In what distant deep or skies
Burn the fire of thine eyes?
On what wings dare she aspire?
What the hand dare sieze the fire?
And what shoulder and what art,
Could twist the sinew of thy art?
And when thy heart began to beat,
What dread hand? And what dread feet?
What the hammer ? What the chain?
In what furnace was thy brain?
What the anvil? what dread grasp
Dare its deadly terrors clasp?
When the stars threw down their spears,
And water’d heaven with their tears,
Did he smile his work to see?
Did he who make the Lamb make thee?
Tyger, Tyger burning bright
In the forests of the Night,
What immortal hand or eye
Dare frame thy fearful symmetry?
Je suis affectée.
Minuit est minuit et midi est midi.
Viens de terminer la biographie écrite par Paul Webster sur Consuelo de Saint Exupéry.
Suis effarée harassée déprimée. Outre le fait qu’il ait disparu en 2004, impossible donc de nouer dialogue quelconque avec lui, quoiqu’ayant appris quelques inédits -dont le fait qu’Antoine ait été Comte, ce que je ne savais pas, et mieux que Josef et lui se sont côtoyés, j’en avais eu l’émergence mais en ai eu confirmation – il s’avère que cette biographie est un ramassis infâme de co……
Dès la page 20, puis 22 puis 24 de deux en deux comme cela il les aligne. N’ai pu quitter, espérant contradiction dans ses propos.
A la page 140 il s’y résout, ai failli en pleurer;
Bien m’en a pris d end pas céder à un sentimentalisme injustifié, les huit dernières lignes il repart à la charge.
Rien d’héroïque, tout de féroce.
Voilà.
Je suis catastrophée.
Je vais vous annoncer deux bonnes nouvelles et dis tâcher de m’endormir ensuite : le volcan au tout début du Petit Prince serait (hypothétique, autant que l’île los pajaros d l’isthme d cela péninsule Valdès) serait en El Salvador, à proximité d cela maison d’enfance de Consuelo, et se nommerait Izalco.
2/ Chaloux
au dessus du lac de Garde, je ne sais si vous l’avez visitée, se trouve la maison de Gabrielle D’Annunzio ; » cette demeure avait été confisquée après la guerre à un couple d’allemands, Heinrich Rhode et sa femme Daniela von Bülow, la fille de Cosima Liszt. Quand il emménagea, D’Annunzio découvrit dans l’une des pièces, un Steinway qui avait appartenu à Liszt. »
Brèfle, plutôt que de lire des livres qui m’assassinent proprement, je vais attaquer rapidement Citadelle.
Certaines personnes -Paix à leur âme toutefois- ne comprennent rien à rien. Ils inventent. Ils feraient mieux de faire de la couture.
il s’y résoud, je pense
Le roman n’est au fond qu’un système mythique qui nous sert à conforter les cadres mentaux propres à assurer notre rapport au monde et nos croyances. Nous croyons ainsi naïvement à la notion de commencement parce qu’il faut bien qu’une histoire commence. On lui a même donné un nom de prestige tiré du latin, on l’appelle un incipit.
Mais si l’on réfléchit bien à la notion de commencement, rien n’est moins simple à appréhender par l’esprit. On croit pouvoir définir un commencement par ce qui délimite un avant d’un après. Mais ce qui définit l’avant n’a de sens qu’une fois assurée l’existence d’un après. Après Kafka, après Joyce, après Proust, après Céline, on peut définir un avant de la littérature mais qui n’en savait rien tant que n’étaitent pas advenus et Kafka et Joyce et Proust et Céline. Cet avant n’était donc pas l’avant que définit le commencement de Kafka, Joyce, Proust ou Céline. Il n’y a d’avant que d’après. On ne saurait donc définir un quelconque commencement qui porterait le nom de Kafka, de Joyce, de Proust ou de Céline.
Il en est de même du commencement d’un roman. On ne saurait dire quand un roman commence de même qu’on ne saurait dire quand a commencé l’univers. « Au commencement… », dit la Torah, berechit, en hébreu. Mais avant l’univers qu’existait-il ? Quel est ce lieu indiqué par la préposition « be » surgi du néant de tout lieu ? Qu’est-ce qui a lieu ? L’univers était-il une potentialité du néant ? Mais alors le néant est-il encore le néant ? Un roman est-il une potentialité du silence ? Mais alors quel est ce silence qui ne saurait se taire ? Quand commence un roman ? Ne commence-t-il pas une fois achevée la lecture du dernier mot qui le ramène au silence ?
Les hommes étant mortels de père en fils, comment voulez vous qu’ils ne cherchent pas sans fin le « début mythique » de l’Univers ?!
Foutaises de la Création ….
Bornés, entre naissance et mort, ces pauvres mortels ne peuvent imaginer ce qui est naturel aux immortels : le fait d’exister de toute éternité, sans début ni fin !
Existence de toute éternité…
« Pour la France : POUTOU !
Pour JC : poteau »
Vers 18h12, après avoir ingurgité un goûter avarié, le pseudo Lacenaire -un con orbital- m’invite à crever au poteau de la vertu pendant que l’impayable clown POUTOU ferait le bonheur des Français, on se demande comment …
Si je puis me permettre une dernière volonté -martyre oblige-, j’aimerai, plutôt que poteau ou garrot, trépasser sous les chatouilles nordiques d’une délégation d’étudiantes scandinaves à la blondeur admirable !
Ah ! mourir de rire ! quel luxe élyséen ….
Je lis en allemand les nouvelles de Kafka écrites au début de sa vie d’écrivain, sous le titre de « Betrachtung ». Mais qu’est-ce que c’est mal traduit !
Rien que la première nouvelle intitulée en allemand Kinder auf der Landstrasse, rendu dans la traduction Gallimard/Vialatte par « Enfances », alors que la « Landstrasse » a toute son importance dans la nouvelle, qui s’oppose à la ville, die Stadt, qui apparaît à la fin de la nouvelle. Dans la nouvelle on est à la campagne alors que le protagoniste « strebte zur der Stadt »/ »aspirait à la ville ».
Comment traduire le titre ? Et d’abord comment traduire le titre générique de « BETRACHTUNG » ? Gallimard/Vialatte traduit par « Contemplation ». Mais ce n’est pas de contemplation qu’il s’agit. Il y a bien une volonté active du protagoniste qui « aspirait à la ville », tout à fait contraire à la contemplation.
Il faudrait plutôt traduire non pas par « Regard », comme le propose Claude David, mais par « CONSIDÉRATIONS », au pluriel et non au singulier comme en allemand. Car c’est bien de « considérations » qu’il s’agit dans ces nouvelles. Le regard, le dispositif scopique de la nouvelle n’est pas le seul sens sollicité dans cette première nouvelle. Elle commence en effet par le verbe « hören »/ »entendre », activité encore passive, donc pas « écouter ». Toute la traduction de Gallimard/Vialatte est en fait à reprendre. Il y a du Flaubert dans cette prose du jeune Kafka :
CONSIDÉRATIONS
Des enfants sur une route de campagne
J’entendais passer les charrettes devant le portail du jardin, parfois je les voyais aussi à travers les interstices du feuillage agité d’un faible mouvement. Comme ils craquaient, sous la chaleur de l’été, les rayons de bois et les timons ! Des journaliers qui s’en revenaient des champs s’esclaffaient, c’en était indécent.
________
C’est cette « indécence » qui est le déclenchaur de la nouvelle et provoquer chez le protagoniste le désir de fuir ce monde de la campagne, qui lui fait honte en quelque sorte. Le rire des paysans lui fait honte. Là est sa « considération ». Considération étrange, énigmatique et intéressante du même coup. Derrière Flaubert pointe déjà Kafka.
Mes camarades de combat de l’Institut Bartabacs de Porquerolles -nous combattons à coup de Scapa et Pastaga la déshydratation funeste liée à l’épouvantable climat ensoleillé qui règne ici- ont à l’unanimité décidé de soutenir un désistement du nain socialiste, le Petit Ben, en faveur de sa Tonitruance Jean-Luc Mélenchon.
Arrivé au premier tour devant le joyeux Fillon, la Mélenche assurerait l’élection définitive de Marraine La Pine, notre adorable blondinette usée par les ans…
Ce sera toujours mieux que la Vioque chiraquienne, l’Agité de Neuilly, la Nouille de Corrèze, bedonnant actuellement sur sa chaise longue élyséenne…
On ne peut pas faire pire comme Présidents que tout ces charlots là…!
…. et quelle joie pour ceux qui, comme moi, ont acté sur le féminisme nuit et jour : une femme au pouvoir suprême !….
Il n’y a pas de petits bonheurs négligeables.
@rose & Jacques,
mettre des astérisques ce serait comme laisser des cailloux derrière soi ; or, d’un côté je ne souffre pas de la syndrome du Petit Poucet — ni d’Ariane — et de l’autre il y a au moins un habitué de ces lieux qui connaît la méthode et comprend les allusions ; et puis, sans aller chercher loin, j’avoue qu’il me déplairait d’alléger le jeu. D’ailleurs expliquer une méthode n’a aucun sens, Hindemith disait qu’il valait mieux écrire une nouvelle œuvre qu’en expliquer une ancienne. Voyons plutôt sur un sujet plutôt simple.
C’est un sentiment inévitable et d’une banalité sans pareil : la vie a un sens quoi qu’il advient, inutile d’aller chercher dans le surplus sémantique de la métaphysique un hochet pour contenir ses peurs ou se distraire, une sucette au miel en guise de consolation ou n’importe quoi d’autre de réconfortant (au petit-déjeuner, une salade de bolets serait l’idéale dommage que ce ne soit pas la saison ; une part de tarte aux pommes ferait affaire mais la meclette jaunâtre-douçâtre entre les pommes et la pâte me dégoûte ; je ne vais pas en faire toute une histoire, je prends une part de Linzer et fin de l’incident). Déjà on ne sait jamais ce que l’on va trouver dans la métaphysique ; et puis, puisque depuis longtemps déjà la crise a usé — élimé — notre temps , et le monde ancien s’écroule sous les coups de divergences, incompréhensions, désaccords, il serait futile de perdre ses nuits et ses journées en démolissant quelques bribes de passé puisque en situation de crise nous avons la chance de comprendre le présent, marqué-porté par la conscience — non tourmentée — que nous en avons, et, éventuellement, d’entreprendre un voyage de reconnaissance dans ce qui réellement advient, dans les intervalles qui séparent un passé forcément incompréhensible et les subjectives actualisations d’instants possibles ; de ses circonstances ; de sa réalité immédiate — actualité et contemporanéité : reconstruire, réinventer, ou plus banalement, se tenir à l’évolution conceptuelle dans l’étroite correspondance entre essence et fonctions ; capturer les sons et les signes, les actes et les choses, le temps, et même les bruits et les actes insignifiants — variété des champs d’action — en prise directe : plier, déplier, replier ; « Pli selon pli » — pli dans le pli — « pli infini » ; reconstructions sémantiques légèrement différée de notre présent — une bonne dose de subjectivisme et un trébuchet de mots : convergences et intersections, superpositions d’ambiguïtés théoriques et glissements critiques. En se déployant l’action s’auto-organise selon des plans fragmentaires où l’inattendu et le plurivalent substituent le prévisible et le répétitif. On pourrait parler de vision cosmogonique mais on ouvrirait une brèche et après il faudrait la colmater et ce serait un travail et j’aime que ce jeu reste « un jeu entre moi et moi-même« , entre moi et les méandres de mes lectures ; d’ailleurs j’ai fini ma part de Linzer et aussi mon temps RdL, pour aujourd’hui.
Hé, merdre ! le mot méclette n’est pas valide au scrabble !
Message limpide et bien reçu, renato.
(du syndrome, masculin)
Le dernier Message* de renato est, comme toujours, incompréhensible … à un esprit rationnel. Par contre, son usage de l’italique est lui, admirable !
*M majuscule, car à défaut de qualité, y a le poids, cornecul ! …
« Il n’y aura pas de second débat à 11 organisé par France 2″ (AFP)
Que faire des ONZE ? Suggestion : une équipe de foot, l »AMICALE SPORTIVE DES MENTEURS » …
Quittons nous définitivement sur un de ces faits de société tout à fait enthousiasmant, digne d’un roman de l’un quelconque de ces écrivains célèbres que le monde entier nous envie.
« Katerina Laktionova, 27 ans, mannequin, est décédée des suites de son anorexie. Une semaine plus tard, sous le choc, sa mère russe a placé sa dépouille dans une valise avant de la jeter à la mer, au large de Rimini, sur la côte italienne de l’Adriatique » (Corriere della Sera)
No comment. Pas de dérive guyanaise faute de malle Vuitton conséquente. Merci.
Vous avez lu Boucheron et Nora qui s’envoient des mots doux? Je n’ai pu lire que les incipits sur Bibliobs, quelqu’un est abonné à ce machin?
Essayez méquelette, renato. Une méquelette est une petite cape que les marchands portaient au douzième siècle.
Widerganger, vous vous trompez royalement sur les vaisseaux extraterrestres. Et vous commettez en outre une erreur de taille : le poids peut être annulé mais jamais la masse.
Ces vaisseaux sont mus par des champs gravitationnels artificiels générés au sein même du vaisseau. En outre, l’intensification de ce champ conduit à la courbure de l’espace-temps, pouvant même aller jusqu’à l’effondrement gravitationnel et donc la formation momentanée d’un trou de ver, qui ser a utilisé pour passer, par exemple, d’une galaxie à l’autre.
Ah ! comment résister ?
J’ai appelé mon confrère Satan :
« Bonjour, Lulu ! Dis à Rimbaud qui mijote chez toi à feu doux, qu’en RdL (un blog littéraire passoulinien), on parle de trou de vers … »
Ah ! comment résister ?
J’ai appelé mon confrère Satan :
« Bonjour, Lulu ! Dis à Rimbaud qui mijote chez toi à feu doux, qu’en RdL (un blog littéraire passoulinien), on parle de trou de vers … »
Nicolas dit: 6 avril 2017 à 9 h 51 min
Non, mais on devine
renato
je vous remercie de votre réponse proche
Wdergänger aussi
je vous répondrai sous peu. Comme souvent, vos mots me questionnent et me permettent d’affiner ma pensée.
Je file à la bibli et à la librairie.
En espagnol on dit flechazon : cela signifie l’angelot, le puti qui lance une flèche dans le corazon. Pour cela, il faut le regard.
Caracoles, les coquillages, etc. etc.
la Mélenche assurerait l’élection définitive de Marraine La Pine
havec lui l’aventure srait plus homérique..et la pine kiffe reinhart..litterairment il l’emporte..ça te crée des dvoirs irréfragabes
Je ne faisais que reprendre les propos de Jean-Pierre Petit. Mais il est vrai qu’il s’agit du poids que l’anti-gravitation annule, et non la masse.
Maintenant il serait à voir si, grâce au bozon de Higgs, il ne serait pas aussi possible d’annuler la masse d’un corps…!
« vos mots me questionnent et me permettent d’affiner ma pensée. » (rose)
Oh ! que du bonheur !
(on affine aussi les fromages…)
>JC Vous êtes eu par l’argent. Par les espèces sonnantes et trébuchantes.
C’est, in fine, votre fonds de commerce.
Ce que vous ne savez pas, c’est que l’alcool (cf. les références sur Séchan) c’est que l’alcool (bis) ouvre tous les orifices et son absence les colmate et donc la pensée circule, lumineuse. Sans s’évaporer. Comme les vapeurs.
Or, chez vous, il semblerait qu’une fois tous les orifices ouverts, seul l’argent les colmate, vous apaise ou vous fait plaisir.
Je n’ai, avec vous, pas le moindre point commun. Dois faire un effort conséquent pour éradiquer tout jugement.
En tout cas, je ne vous accompagnerai pas lors du passage, comme je l’ai fait pour Màc. Puis m’absenterai, je ne sais combien. C’était l’objet d sema décision de quitter ce blog : je ne compte pas être là lors de votre départ définitif.
Une chose, je peux vous la dire parce que je la sais : lors du passage au purgatoire pour certains, ou dans l’enfer, je ne suis pas dans le secret des dieux -alors que le monde des morts et celui des vivants est hermétiquement séparé- le vivant compte encore par rapport au mort.
Comment ?
Pour franchir des étapes dans sa rédemption, l’assentiment du vivant est impératif.
Exemple idiot : si un trouve la torche, a désormais quelque lumière, et si un vivant lui voue une rancune tenace, il ne progresse pas. C’est le pardon du vivant qui lui permet de franchir les étapes.
Donc c’est absolument étonnant parce que, quoique séparés et ceci de manière hermétique, nous restons en lien étroit les morts et les vivants.
Je vous dis encore deux choses : pour Màc, le passage s’est bien déroulé. Lumineux, paisible, joyeux.
Pour vous, démerdez-vous : je ne peux plus vous supporter et je n’ai rien à voir avec vous ; nous sommes à des années lumière.
C’est ce qui m’a abattu au petit matin, c’est que des journalistes au Monde, des journalistes tout court, des gens qui se croient et se posent écrivains écrivent de tels ramassis de conneries et se pensent au-dessus du lot alors que ce sont de grands médiocres et de grands ignorants.
Je suis du commun des mortels, comme tout le monde et désormais, je me passe de vos insanités. Rupture.
ce jeu reste « un jeu entre moi et moi-même« , entre moi et les méandres de mes lectures ; d’ailleurs j’ai fini ma part de Linzer et aussi mon temps RdL, pour aujourd’hui
..j’ai eu peur que tu nous coinces lassouline dans ton calbut pour la journée..mais tu sais rester smart
poids que l’anti-gravitation annule, et non la masse
si faut pédaler pareil pour haller chercher son pack de kro ça vaut pas l’coup dracul..
Grâce à Khan le méchant extraterrestre guerrier de l’espace au QI de 272 et légèrement psychopathe et bien le vaisseau de l’amiral dont le nom m’échappe rattrape l’Enterprise en mode hyper espace! Oui.
Si Madame Irma voulait bien sortir du corps de Bob. D’avance merci.
Savoir, ou ne pas savoir, n’empêche de vivre que les insatisfaits structurels… j’ai les noms, enterrés quelque part. Des gens bien. Mais malheureux.
Dans Le Monde, Boucheron fait référence à »
La Nation, le texte que Marcel Mauss laissa inachevé en 1920″, Boug t’as lu ce truc?
http://abonnes.lemonde.fr/livres/article/2017/04/05/le-pouvoir-a-vous-de-voir-necessite-de-la-sociologie_5106493_3260.html?h=11
« C’était en 1920. Marcel Mauss comprenait que la nation était une chose trop sérieuse pour être laissée aux nationalistes. »
Qui se souviens de ce cher disparu ? Mouse ? Personne. La musique militaire aussi ne doit pas être laissée à des militaires.
Le début de la nouvelle de Kafka, très riche de significations diverses mais finalement très proche de ce que sera son œuvre plus tard :
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CONSIDÉRATIONS
Des enfants sur une route de campagne
J’entendais passer des charrettes devant le portail du jardin, parfois je les voyais aussi à travers les interstices du feuillage agité d’un faible mouvement. Comme ils craquaient, sous la chaleur de l’été, les rayons de bois des roues et les timons ! Des journaliers qui s’en revenaient des champs s’esclaffaient, c’en était indécent.
J’étais assis sur notre petite escarpolette, après une sieste à l’ombre des arbres dans le jardin de mes parents.
Devant le portail le bruit n’arrêtait pas. À cet instant, en effet, des enfants faisaient la course ; des hommes et des femmes étaient juchés sur les gerbes dans les charrettes de blé plongeant dans l’ombre les massifs de fleurs tout autour. Alors que le soir tombait, je vis un monsieur armé d’une canne qui se promenait en prenant son temps ; deux ou trois jeunes filles bras dessus bras dessous, qui venaient à sa rencontre, le saluèrent en se rangeant sur le bas-côté dans l’herbe.
Puis, comme un jet d’eau qui pétille, un vol d’oiseaux s’élança dans les airs, je les suivis du regard, je les voyais monter tous d’un trait jusqu’à avoir l’impression que ce n’était pas eux qui montaient mais moi qui tombais, et, me tenant bien solidement aux cordes en raison du vertige qui en résultait, je mis en branle, d’un léger mouvement, la balançoire. Bientôt j’accélérais le mouvement tandis que l’air déjà se rafraîchissait et que le vol des oiseaux laissait place au scintillement des étoiles.
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Beaucoup d’éléments qu’on retrouve dans Le Château : la honte du rire des journaliers qui évoque de manière voilée les rapports homme femme et le sentiment de culpabilité qui en résulte, la sexualité avec la canne phallique du vieillard comme les vieillards du Château, l’ombre menaçante de la charrette comme une blessure narcissique, le fantasme de la chute vertigineuse des oiseaux vus comme un jet d’eau qui pétille (« sprühend ») comme la tour qui se dresse verticale vers le ciel au début du Château, enfin le mouvement de balancement lancinant après une sieste dans le jardin des parents, figure du paradis perdu, qui donne l’impression que la scène est sortie tout droit d’un rêve du protagoniste. Tout est déjà là au fond dans cette nouvelle des débuts de Kafka.
« Qui se souviens de ce cher disparu ? Mouse ? Personne »
Mais tout le monde se souvient – par exemple son Essai sur le don « Pour commencer, il fallut d’abord savoir poser les lances. C’est alors qu’on a réussi à échanger les biens et les personnes, non plus seulement de clans à clans, mais de tribus à tribus et de nations à nations et – surtout – d’individus à individus. C’est seulement ensuite que les gens ont su se créer, se satisfaire mutuellement des intérêts, et enfin, les défendre sans avoir à recourir aux armes. C’est ainsi que le clan, la tribu, les peuples ont su – et c’est ainsi que demain, dans notre monde dit civilisé, les classes et les nations et aussi les individus, doivent savoir – s’opposer sans se massacrer et se donner sans se sacrifier les uns aux autres. C’est là un des secrets permanents de leur sagesse et de leur solidarité » Marcel MAUSS
Wgg, les écrivains réécrivent toujours la même chose. Belle trouvaille.
La scène est d’ailleurs composée comme une scène de théâtre, une scène fantasmatique. Le dispositif visuel est ici un dispositif scopique qui met en scène, à travers des images plus ou moins traditionnelles de la littérature du XIXè siècle, les pulsions du protagoniste et à travers lui de Kafka lui-même, avec une grande intensité de dépense. La scène se déploie comme une véritable scène de théâtre avec son rideau représenté par le feuillage qui laisse voir par ses interstices ce qui se passe dehors comme autant de correspondances avec ce qui se passe dedans. À la fin, le rideau se referme, la nuit est tombée, les fantasmes font place au réel. Entre les deux sont apparues des images fabuleuses sur l’écran noir de ses nuits blanches.
Oui, l’essai sur le don est tout à fait fondamental. Il permet de bien comprendre, par exemple chez Chrétien de Troyes, le régime du don et du contredon qui régit les échanges et les relations humaines.
Ce système du don et contredon, qui appartient à l’Ancien Régime, est actif encore chez Rabelais mais apparaît à ce moment-là un autre système qui peu à peu le remplace, l’argent, et les nouvelles valeurs qui l’accompagnent. On voit, manifeste chez Rabelais, Montaigne, et plus généralement à la Renaissance, le basculement d’un système dans l’autre, et ainsi apparaître sur la scène du monde la Modernité. Le personnage de Panurge chez Rabelais en est la figure emblématique.
Passionnante, en effet, Bloom, la biographie de Sartre par Line Cohen- Solal. Tout à la fois dense et abondante. Elle se laisse aller, parfois, à des moments de lyrisme échevelé ! On sent aussi le procédé universitaire qui consiste à revenir plusieurs fois sur une idée et la développer jusqu’à lui faire rendre tout son jus. On apprend beaucoup. Notamment combien, plus qu’à Céline, Faulkner ou Dos Passos, Sartre est redevable à… Kafka, WGG. Sans parler de Kant, Husserl et Heidegger.
à revenir plusieurs fois sur une idée et la développer jusqu’à lui faire rendre tout son jus
baroz et ses dispositifs scopique..sapré baroz
la vassalité n’a rien a voir dracul..mauss c’est un système..un modèle..dans l’fond ptête pas historique..un paragraphe vite fait ça suffit pas
D’ici que tu nous apprennes, Jazzi, que Sartre se faisait fouetter comme Charlus, ou Kafka le masochiste qui lui se fait graver la loi sur son corps, il n’y a qu’un pas…
Manifestement t’y connais rien, le Bougue ! Ferais mieux de la fermer. Lis plutôt Chrétien de Troyes, ma buse, au lieu de parler sans avoir comme une vieille pie toute décatie…
Honnêtement … Mauss ? Combien de divisions …. !
se sacrifier les uns aux autres
rené girard est un grand ami a lassouline..jamais il en dirait du mal
Mauss ? Combien de divisions …. !
t’acceptes de gagner des myons sur le dos des somaliens ou t’es déporté en sibérie..quoi de plus cornélien
Nous avons des enregistrements certifiés :
Hollande se faisait fouetter par Ségolène (pour obtenir une portée de dauphins inertes), par Valeria von Bank und Rottweiler (pour obtenir une First Lady pétillante), puis Julie Payet (pour rien ….), puis Germaine Bouchetrou, concierge à l’Elysée, seul exutoire affectif depuis sa fuite politique…
Le masochisme éclate surtout sur la fin, WGG, quand Benny Lévy lui fait réciter son talmud à quatre pattes ! Les Sartriens de la famille rapprochée, révulsés, on parlé d’abus et de « détournement de vieillard ». Je me demande même si ce retournement de dernière minute n’est pas la cause de la fin de Simone de Beauvoir, pourtant en meilleure santé que lui, et morte à peu près au même âge ?
La musique militaire aussi ne doit pas être laissée à des militaires
..le cerf aime le son du corps au fond des bois
Une historienne britannique, dont j’oublie présentement le nom mais qui est connue (j’ai son bouquin chez moi), a écrit aussi sur le régime du don et contredon pour montrer son basculement à la Renaissance.
On peut lire ici aussi des considérations intéressantes sur ce régime des échanges :
https://www.cairn.info/revue-du-mauss-2002-1-page-309.htm
réciter son talmud à quatre pattes !
tu te retiens pour pas te convertir baroz
Oui, en effet, Jazzi, ça a l’air quelque chose d’important alors dans ce sens la relation sado-maso avec Benny Levy. Lui-m^me ne devait pas être très clair non plus pour avoir fini dans des histoires de petites cuillers… à Jérusalem. Mais c’est un grand penseur quand même. En tout cas, ce qu’il dit du Judaïsme, j’y adhère entièrement. Il a une vision plus philosophique que religieuse du Judaïsme, comme la mienne. Mais il tient à son compte de petites cuillers… Moi, je m’en fous, je dois dire. Mais je suis soucieux que les autres s’en soucient…
C’est quoi ces histoires de petites cuillers, WGG ?
Dans le même temps, le boug, Genet faisait de même avec les palestiniens !
Je suis convaincu, quant à Kafka, que sa névrose s’explique dans sa relation avec son père. Ce qui est remarquable, c’est qu’il en a fait toute une œuvre géniale comme image de son siècle. Mais du début à la fin, jusqu’aux histoires de souris dans le terrier, Kafka nous parle de la même chose, de castration, de masochisme, et sur cette structure d’ordre plus psychotique que névrotique je pense, viennent se greffer des considérations métaphysiques qui les recouvrent parce que le rapport de l’homme au monde est de nature psychotique quoique non pathologique. Mais la pathologie n’est jamais que ce que la structure paranoïaque du savoir encadre, comme l’a montré Lacan, qui me paraît fondamental pour comprendre les tenants et aboutissants de l’œuvre de Kafka jusque dans tous ses menus détails.
C’est la vaisselle du Judaïsme…! Tout un merveilleux bazar…
C’est kasher, Jazzi !
« Mort d’Armand Gatti, figure du théâtre du XXe siècle »
Il était encore en vie !
Devoirs pour la maison, vous lirez La Nation version Mauss et demain vous ferez un exposé à voix haute à toute la classe http://classiques.uqac.ca/classiques/mauss_marcel/oeuvres_3/oeuvres_3_14/la_nation.html
Quand Sartre meurt, en juin 1980, sans attendre la succession, Arlette Alkaim Sartre, sa fille adoptive et légataire universelle, vida entièrement l’appartement de la rue Edgar-Quinet, son dernier domicile. A Jacques-Laurent Bost (sartrien de la première heure, qui fut son élève au Havre, et qui intervint auprès de son frère le scénariste Pierre Bost, lecteur chez Gallimard, pour que le manuscrit de « La Nausée », deux fois refusé, soit réexaminé, et enfin publié), qui avait demandé un souvenir personnel de Sartre, elle jeta la vieille paire de pantoufles éculée de l’écrivain. Et elle donna tout le mobilier à Benny Levy. Gardant pour elle les manuscrits…
Dommage pour les pantoufles… ! Au musée des horreurs sartriennes, elles auraient été en bonne place, et emblématiques avec ça… !
Moi, je m’en fous, je dois dire. Mais je suis soucieux que les autres s’en soucient…
dracucul dans ses petites oeuvres..c’est ton droit dracul
Dans le même temps, le boug, Genet faisait de même avec les palestiniens !
des tendrons..qui va lui chter la pierre (gi!)
a écrit aussi sur le régime du don et contredon pour montrer son basculement à la Renaissance
hinvention du téléphone
Lis plutôt Chrétien de Troyes
hencore un grotantisémite..moinsse qule roi krogold tu diras..est ce si sur
La nouvelle de Kafka se poursuit, d’une scène à l’autre, d’une mise en scène scopique à l’autre, mais cette fois le point de vue s’inverse :
« Je soupais à la lueur des bougies. Les deux coudes sur le plat de la table et, déjà, je mordais dans ma tartine, souvent d’un air lassé. Une brise tiède faisait gonfler les rideaux fortement ajourés, et, parfois, l’un ou l’autre qui passait au-dehors les maintenaient de ses mains s’il manifestait le désir de mieux me voir et de me parler. D’ordinaire, les bougies s’éteignaient et, dans le noir de la fumée qui s’en dégageait, une nuée de moustiques poursuivait un moment encore leur ronde. Si quelqu’un m’interpelait de la fenêtre, je le regardais comme on eût regardé une montagne dans le vague ou dans le vide simplement, et l’autre, d’ailleurs, n’était pas soucieux d’en attendre une réponse. »
Il y a du Flaubert dans ce style, avec le fameux « et » de reprise dans la phrase, typique de Flaubert.
une mise en scène scopique à l’autre
tout..tout est himage à l’horigine dracul..haprés hon carambouille pour havoir voler l’feu..à quoi est bon d’user les mots à cette falaise
Il y a du Flaubert dans ce style
c’est trop scopique que ça t’démange trop d’y voir du dracul..
La fenêtre qui sert de cadre aux échanges, la putréfaction à laquelle renvoie les moustiques, qui fait déjà penser à des propos de Kafka à Milena dans ses lettres.
« Qu’un copain enjambât alors le rebord de la fenêtre en annonçant que les autres étaient déjà là, je n’avais plus qu’à me lever non sans soupirer.
— Non, mais pourquoi soupires-tu ainsi ? Qu’est-il donc arrivé ? Un malheur quelconque, une faute commise à jamais ? Ne pourrons-nous jamais nous en racheter ? Tout est-il vraiment perdu ? »
Des pantoufles énculées ? Mais malheureux on aurait pu les vendre aux enchières !!
Ca y est ça recommence l’espace-temps qui se remet à se recourber ! Si jamais fait ça en anneau de Moebius une vache y retrouverait pas une botte de foin…
aux… « reconstructions sémantiques légèrement différée de notre présent — une bonne dose de subjectivisme et un trébuchet de mots : convergences et intersections, superpositions d’ambiguïtés théoriques et glissements critiques, alvéoles encombrés » (sic transit).
« on ouvrirait une brèche et après il faudrait la colmater et ce serait un travail et j’aime que ce jeu reste « un jeu entre moi et moi-même » , entre moi et les méandres de mes lectures »
Le travail de colmatage appartient aux alter qui veulent bien s’engouffrir ou pas s’engouffrer. Comme une invit’. Par exemple, l’éloge de la dette dans les 1ers chap. du Tiers Livre, un hymne à la vie comme un don mais qui, à la Renaissance de Panurge, n’appelle plus de contre don. Une invitation ludique (à l’édredon en plumes d’eider), plutôt qu’à marcher au narcissique jeu/je… Et pourtant, ses propres lectures sont-elles nôtres ? A-t-on vraiment le droit de s’y glisser ? Vertige stroboscopique : j’aime que ce jeu reste « un jeu entre moi et moi-même ». Il nous le dit, il vous le dit, sans conviction. Il ne le garde pas pour lui, c un trébuchet de mots dans sa daube (dope) subjectiviste ? Chez Goliarda et Erica, dans leur rendez-vous de Positano, on sent comme l’inaccessible magie d’une improbable relation amicalo-amoureuse, où nous autres, restons condamnés à ne jamais pouvoir placer un seul mot en elles, vue la stupeur du mystère du contre don que leurs corps n’évacuerait pas.
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Ta gueule raclure de bouguereau de marde
« l’immolation d’une certaine France –évitons le qualificatif d’éternelle, qui les révulse –sur l’autel de l’humanisme exacerbé »
Ca c’est à côté de la plaque, c’t’histoire-là… C’est pas l’humanisme, c’est qu’on sait rien sur ce qui va se passer et donc hadonc ami comme ennemi a peur de son ombre…
« sur l’autel de l’humanisme exacerbé »
Il y a eu dans l’histoire des périodes grandioses d’humanisme qui ont été florissantes. L’humanisme ne crée pas la décadence. Il est au contraire un moteur de progrès, pour l’homme bien sûr, pas pour les robots que sont déjà certains individus malades du monde moderne.
Et puis par définition l’humanisme ne peut pas être « exacerbé ». Il y a en lui une modération intrinsèque, pas comme chez ceux qui le critiquent sans savoir.
Il y a une lettre écrit par Levi Strauss dont je n’arrive pas à remettre la main dessus dans laquelle (dans mon souvenir d’il y a 5 ans) il explique que malgré tout ce qui l’a dit il est pour l’arrivé massive d’immigré en France (il me semble qu’il parle de l’Algérie). Quelqu’un a t’il connaissance de cette puta.n de lettre?
L’histoire du suprématisme culturel ça se discute aussi ; faudrait déjà qu’il ait quelque chose à opposer. Et puis à la limite même ça c’est pas grave thèse antithèse synthèse. Maintenant s’il n’y a qu’un livre de cuisine genre mein Corkampf havec surtout des pétoires, là c’est un aute problème mais alors y a pas besoin de phrases y a besoin que de pétoires…
Quant à la suprématie culturelle, on peut s’en imprégner avec ce film de 2016
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19565347&cfilm=246813.html
Stars : Aïssatou Dia, Mariyama Diallo, Abou Fofana, Nazario Giordano, Aston Tonle et six autres ado de Sevran et d’Aulnaie sous bois.
d’Olivier Babinet réalisateur
On apprend beaucoup dans une biographie à condition que le biographe ne se mette pas à broder dans le grand n’importe quoi, style je vous raconte ce que j’imagine. Des faits, du concret, des preuves.
Au fond la mécanique quantique n’est qu’un approfondissement du réel.
Le surgissement de Mozart dans la musique modifie notre perception du passé de la musique. Il y a un avant Mozart et un après, m^me s’il n’y a d’avant que d’un après. C’est-à-dire que le surgissement du présent modifie le passé et modifie du même coup le futur qui dépend du passé.
C’est excatement ce que dit la mécanique quantique au niveau des particules élémentaires.
C’est ce que Kafka a compris aussi et mis en œuvre dans ses romans comme l’explique brillamment GAG. Il y manque juste la dimension analytique une fois le la de départ. Mais l’uns’articule à l’autre.
Le passé de la vie de Joseph K. est entièrement modifié par son arrestation qui modifie également son futur. Son procès est la lente et systématique mise en œuvre de sa conscience. Il est l’extension vide de sa conscience en tant que telle, il est le lieu où surgit sa conscience. On est dans ce qu’on appelle aujourd’hui la « physique de la conscience ». Kafka en a eu la prémonition et il en a peut-être parlé avec Einstein à Prague au café Louvre ou dans le salon Fanta. On peut en effet le supposer et en écrire même les dialogues dans une pièce de théâtre…
C’est bien vrai, en même temps on est pas aidé, parce que sur ce blog en dehors de créer un avatar débile pour débiter des débilités pour faire genre on est intelligent et de Sponville et Bloch et bin y’a plus personne!
levi strauss et l’émigration massive
ce papier ayant mal digéré CLS de mathieu slama, peut-être ?
de toutes façons, les anthropologues ne nous apprennent jamais grand chose. A quoi bon s’y référer ? Laissons plutôt faire la nature prédatrice et invasive, déboussolée par la crise climatique que nous ne voulons pas enrayer.
ce qui est bien avec bouguereau : tu lui dis « ta gueule » et il se tait !
16.47 oui bien sûr, mais je doute. On n’a jamais disposé de bons critères pour juger de la bonne distance d’un biographe avec sa créature. On ne dispose que de l’explication biographique de celui ou celle qui entreprend de sonder son double aimé ou haï, des raisons pour lesquelles il/elle s’y attelle. Là- dessus, je me souviens que Roger Gentis avait dit des choses assez définitives quand il entreprit de sonder « la folie Canetti ».
C’est-à-dire que le surgissement du présent modifie le passé et modifie du même coup le futur qui dépend du passé.
Mais comment peut-on ne pas tomber à la renverse et sur le cul face à la profondeur de telles balivergnes ? Pourquoi ce besoin d’en asséner dix fois l’idée ?… c comme si on était en présence d’un kafkaïade quantique inédite. Malgré notre très bonne volonté, on ne comprend bien comment wgg en arrive toujours à se convaincre de l’admiration que procurent à son eog ses découvertes à lui-même. Jean chaloux en reste pantoiss, ébathi, bouche née, strupéfactionné, émarvillé,… priant le ciel qu’il nous aide en ceci, j’espère pour lui qu’il en aura quelque souci.
On peut quand même rappeler qu’un état de guerre, si c’est ce qui doit arriver avec ces lourdingues de Narabs, engendre nécessairement un raidissement intérieur cons&quent (à commencer par des contrôles et de la flicaille partout), mais ne nécessite en aucun cas de tomber dans le totalitarisme (le fascisme dans le cas présent).
Par exemple en quatorze on se souvient que le carnet B est resté enfoui, et que les chambres n’ont jamais cessé de siéger (avec des inconvénients parfois paradoxaux : c’est précisément pour donner du grain à moudre aux députés qu’on s’est lancé, puis obstiné dans cette malheureuse offensive Nivelle,qui devrait plutôt s’appeler offensive Briand ; un comble !)
Non mais pour les bios faut prendre Ferdine c’est un gars parfait manque rien…
Sinon y a Passou, havec sa trompe de chasse, qu’était partout…
Un jour je retrouverai ce plaidoyer et vous ferez moins les malins ou pas, à part ca je me souviens de ce docu où les responsables des différents courants de l’ethnologie naissante Nazi voulaient tous démontrer la filiation sans anicroche des allemands et de lointaines peuplades, chacun avaient la sienne et ils avaient tous raisons. Ou alors tous tort c’est selon. http://television.telerama.fr/tele/programmes-tv/l-ethnologie-du-iiie-reich,113319431.php
« il y a une lettre écrit par Levi Strauss dont je n’arrive pas à remettre la main dessus dans laquelle (dans mon souvenir d’il y a 5 ans) il explique que malgré tout ce qui l’a dit, etc »
Nicolas, relis toi mon pote avant de poster un tel charabia!
» C’est-à-dire que le surgissement du présent modifie le passé et modifie du même coup le futur qui dépend du passé. Mozart, Kafka… »
Pas besoin de mécanique quantique pour arriver à de telles conclusions, WG…
C’est-à-dire que le surgissement du présent modifie le passé et modifie du même coup le futur qui dépend du passé. (Widergänger)
Eh mais voilà qui me convient, enfin presque. Pour moi, Mozart — qu’il s’agisse de sa bio ou de sa musique — n’existe que dans l’instant présent, dans mes circuits neuronaux, et pas ailleurs. Et le reste à l’avenant. L’Univers et l’Humanité, leur passé et leur présent, n’existent que dans la stricte mesure où je daigne en prendre conscience et les penser. Cioran a dit à peu près ça, très bien :
» On a beau dire, la mort est ce que la nature a trouvé de mieux pour contenter tout le monde. Avec chacun de nous, tout s’évanouit, tout cesse pour toujours. Quel avantage, quel abus ! Sans le moindre effort de notre part, nous disposons de l’univers, nous l’entraînons dans notre disparition. Décidément, mourir est immoral… »
En attendant de mettre souverainement un terme à tout, nous prêtons libéralement mais provisoirement l’existence à ce qui nous convient. C’et ainsi que ce billet d’Assouline n’existe que parce que je daigne en prendre connaissance. Décidément, Dieu, c’est moi.
& maintenant, on nous dit que Giscard n’avait pas confiance en balladur à cause qu’il était né chez les rastaquouères turcs plutôt que chez les ploucs de corrèze…
http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/vous-avez-dit-origines-monsieur-val%c3%a9ry-giscard-destaing/ar-BBzpOU1?li=BBoJIji&OCID=HPDHP
Vous ferez pas tant les malins bien longtemps hein, quand elle sera arrivée aux pouvoirs, avec son sang bleu.
Ils ont eu tout faux en se cherchant des origines dans la race noble, les germaniques, car ils avaient tous oublié Buffon http://www.laviedesidees.fr/Naissance-de-la-race.html
Ribouldingue = avatar débile
Toi comprendre ?
Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître. Dans cet interrègne surgissent des phénomènes morbides les plus variés”
hon sait pas si l’petit chat est mort ou pas..c’est ça l’probloc a dracul
Oui, Janssen, Blabla continue de remplir l’univers de sottises et de lapalissades qu’il prend pour de la grande pensée. C’est sans remède. Pensons à autre chose.
Beaucoup plus important me semble le fait qu’on puisse encore, plus de trente cinq ans après sa mort, renifler le parfum des pieds de Sartre, par le truchement d’une paire de charentaises probablement emballées dans un papier de soie et rangées dans le fond d’une armoire.
Il faut avoir le sens de ce qui est essentiel et de ce qui ne l’est pas.
Décidément, Dieu, c’est moi
c’est pas dieu possibe..
(suite de la nouvelle de Kafka)
Je soupais à la lueur des bougies. Les deux coudes sur le plat de la table et, déjà, je mordais dans ma tartine, souvent d’un air lassé. Une brise tiède faisait gonfler les rideaux fortement ajourés. Qu’un copain enjambât alors le rebord de la fenêtre en annonçant que les autres étaient déjà là, je n’avais plus qu’à me lever non sans soupirer.
— Non, mais pourquoi soupires-tu ainsi ? Qu’est-il donc arrivé ? Un malheur quelconque, une faute commise à jamais ? Ne pourrons-nous jamais nous en racheter ? Tout est-il vraiment perdu ?
Non, rien n’était perdu. Et nous reprenions notre course sur la route.
— Dieu merci, vous voilà enfin !
— C’est toujours toi qui es en retard !
— Comment ça, moi ?
— Mais oui, toi, justement, reste donc chez toi si tu ne veux pas courir avec nous.
— Aucune indulgence !
— Quoi ? Aucune indulgence ? En voilà une façon de parler !
Et nous foncions, tête baissée, dans le soir. Le temps n’existait plus, le jour, la nuit. Tantôt les boutons de nos gilets frottaient l’un contre l’autre comme nos dents, tantôt nous courions en prenant garde à la distance qui nous séparait, des flammes nous sortaient de la bouche, telles des bêtes sous les tropiques. Pareils aux cuirassiers d’antan, piaffant d’impatience au combat, le regard haut fixé sur l’horizon, nous dévalions la courte ruelle en nous bousculant les uns les autres et l’élan de la pente dans nos petites jambes nous faisait gravir la rue opposée. Quelques-uns, isolés, sautaient dans le fossé, mais à peine disparus dans l’obscurité du talus, ils réapparaissaient déjà, debout, sur le chemin en bordure des champs, à nous toiser tels des inconnus.
— Descendez voir un peu !
— Montez d’abord si vous l’osez !
— Pour nous jeter à bas, tiens, pas si bêtes !
— Pas si lâches, vous voulez dire ! Allez, un peu de courage !
— Chiche ! C’est vous qui allez nous mettre la pâtée ! Montrez-vous donc !
Nous montions à l’assaut, un coup de poing dans la poitrine nous étendait par terre dans l’herbe du fossé, autant malgré nous que de bon gré. Une température égale régnait dans l’herbe, nous ne sentions ni la chaleur ni le froid, seule la fatigue nous gagnait.
« Décidément, Dieu, c’est moi. »
Décidemment vous tombez, Jean, dans un travers bien commun ….
J’ai le job ! … et c’est un CDIE, E comme éternel
mais ne nécessite en aucun cas de tomber dans le totalitarisme (le fascisme dans le cas présent)
si c’est quantique et que j’en marron c’est la sainte vierge..fachiss ou pas le cas présent il est grave épicétou
Te vexe pas Nicolas! Il y a juste un petit minimum d’efforts à faire pour écrire un français à peu près acceptable…
‘par le truchment’..je sais pas comment qu’y fait mon larbin pour qu’on reconnaisse son style..c’est comme ça
kafkaïade
..ça sonne faut rconnaite
Pas besoin de mécanique quantique pour arriver à de telles conclusions, WG…
comme le radiateur c’t’un truc de cancre..sans dracul y s’en sort pas..chacun selon ses moyens qu’il a dit einstein
Vous ne voyez pas le problème, mes pauvres chéris…!
ce qui est bien avec bouguereau : tu lui dis « ta gueule » et il se tait !
comme le fut du canon pour refroidir : un certain temps
havant tout faut moucher son nez..slaver l’cul et dire bonjour dracul..comment veux tu ête civil sans ça
« Vous ne voyez pas le problème, mes pauvres chéris…! »
Oh que si!
Mort d’Armand Gatti. J’avais 20 ans et j’ai vu à Toulouse : « Chronique d’une planète provisoire » et « V comme Vietnam » qui m’ont impressionnés pour la vie. Energie formidable, il était au présent, il a tout vécu. Né en 1924, on a l’impression qu’il a cherché toujours où l’on se battait. En 68 cogné sur ses mains, il ne peut plus écrire et il est contraint de dicter sa pièce à venir: c’est réel et semble une métaphore de sa vie. Se souvient-on encore de l’écriture action qu’il cherchait à promouvoir? (Déjà en 1952 il défendait Boulez face aux réactions du public…) étonnant personnage brûlant.
Maintenant s’il n’y a qu’un livre de cuisine genre mein Corkampf havec surtout des pétoires
ça me rappelle les charcutiers qui poudraient leur terrine de chval de plomb pour faire croire à l’alouette..spangéro n’a rien hinventé dracul a pas faux
boumou : »pour refroidir : un certain temps ».
Comme c’est long!
pleure pas mon larbin..jvais t’en mettre quelques unes d’avance
Toujours à te venger en chansons… Monnaie de pitre…
« Donald Trump par Victor Escandell«
celui là est vachment mieux lassouline
http://68.media.tumblr.com/c7e6d8ecf58ec9c8a0fa7bd7f68ddf7d/tumblr_okthdwCV3T1qh6rgho1_500.jpg
Ben, vous voulez que je vous dise, mes petits chéris ? Je trouve que cette nouvelle de Kafka est vraiment une très belle, très touchante évocation de l’enfance, et en même temps, elle montre combien l’enfance peut être grosse de mille angoisses encore informulées mais non moins actives. (La suite prochainement). Je vais faire un peu d’espagnol à présent, waaaaooouuuuhhh !
point..poing..mais c’est une autre héstoire mon larbin..chacun selon ses moyens
l’enfance peut être grosse de mille angoisses encore informulées mais non moins actives
..ma mère de ma mère
« Je vais faire un peu d’espagnol à présent »
Que de merveilleuses trouductions en perspective, sans aucun rapport avec le texte initial. On se régale à l’avance… Déjà, on en redemande… Une autre…une autre…
M’enfin ribould je ne fais aucun effort, pas besoin d’avoir fait l’ENA pour le deviner. Vous allez le dire à ma mère?
ma mère de ma mère..mais c’est pas là qu’on tête mon larbin..ha ton enfance a du ête grosse d’informulés..t’étonnes que t’es tout rachot
et ui…, y’aura toujours des fétichisses de vieilles savates sartreusiques, c com’sa ! D’icite qu’on r’trouve un vieux soustingue pas lavé de simone, risquerait de bat’ un autr’record.
boumou, je commence à trouver ton agonie foireuse une peu triste et longuette. Pourrais-tu pas la ramasser ?
C’est drôlement ressemblant le portrait, le boug, pas besoin de dire à qui appartient cette cochonnaille à banane, pauvre America !
Raymond – 19h098
Merci pour la mémoire de l’homme-volcan.
Pas de ricanements, Chaloux ! Songe qu’une culotte de Marguerite Yourcenar pourrait pieusement servir d’abris à toute ta famille !
Jacquot, tu devrais demander à boumou de t’envoyer ses couches usagées. Tu saurais certainement quoi en faire.
Pour revenir à Evola, rappelons que Yourcenar a longuement commenté son livre Le Yoga tantrique dans le recueil de notes posthume intitulé Sources II.
Le tempétueux Armand Gatti s’éteint … Nous sommes nés de l’agonie d’une étoile
(Poker d’as ?) entre Bernard Saby et son point d’interrogation
I
B.S. – Le point d’interrogation n’existe qu’en partant vers des identités multiples.
P.I. – Et sur les esquisses alors ?
B.S. – C’est un chiffre tronqué
II
P.I. – A travers les gestes que les hommes se sont donnés les uns aux autres, le marteau peut-il être l’ancêtre du pinceau ?
B.S. – Dans l’approche seulement…
En fait c’est le lichen que j’ai toujours cherché. En cherchant le lichen j’ai trouvé la pierre. Il y avait connivence entre eux. Finalement les deux n’ont existé que par leur connivence. Une recherche des connivences de l’univers.
III
(En blanc)
IV
P.I. – Les mathématiques ?
B.S. – La fièvre multiplicatrice. Elles composent et décomposent le labyrinthe.
P.I. – Et les vides ? Les axes verticaux ?
B.S. – Une immobilité.
Les métamorphoses y deviennent chatoiement
le trajet de leurs migrations.
V
P.I. – La matière est pleine d’objets d’art.
Pourquoi peindre lisse ? annuler au profit d’une géométrie inachevée, en friche ?
B.S. – Ce n’est pas pour supprimer la matière, mais pour en garder l’hallucination et lorsque j’y parviens la pousser à l’extra-voyance. La céramique existe, non par le potier qui lui donne forme, mais par le feu qui en fait une circulation pour ses prophéties.
Widergänger dit: 6 avril 2017 à 5 h 44 min
C’est de cela que je vous remerciais ce matin et non du système gravitationnel. Cette notion d’incipit et votre question finale
« Ne commence-t-il pas une fois achevée la lecture du dernier mot qui le ramène au silence ? »
« Nène est un roman d’Ernest Pérochon publié aux éditions Plon en 1920. Il reçoit le prix Goncourt la même année. »
Ai fini ce livre il y a deux jours. J’en avais lu la moitié antérieurement. Pour remémorer qu’est ce qui déclenche la fin tragique, je me suis remise à relire la première moitié. C’était génial. Tout était dit. C’est vraiment une boucle, la fin reprend le début.
Là, je vais relire, outre lire la vie de Consuelo écrite par elle-même, ce qui promet belle réjouissance, je vais relire le vice-roi de Ouidah de Bruce Chatwin.
Je m’intéresse beaucoup au nouveau monde, en corrélation avec l’ancien monde.
Ai trouvé en passant un hôtel au Salvador, le pays natal de Consuelo, qui s’appelle le nouveau monde.
Armel Guerne à Cioran
vas-y je t’en prie ça va être tellement chouette on va se retrouver tous les deux, dans le néant.
Non, mais après toi, vas y le premier moi je ne suis pas pressé.
Et Cioran de rajouter « j’y suis déjà »
renato dit: 6 avril 2017 à 8 h 02 min
@rose & Jacques,
mettre des astérisques ce serait comme laisser des cailloux derrière soi ; or, d’un côté je ne souffre pas de la syndrome du Petit Poucet — ni d’Ariane — et de l’autre il y a au moins un habitué de ces lieux qui connaît la méthode et comprend les allusions ; et puis, sans aller chercher loin, j’avoue qu’il me déplairait d’alléger le jeu. D’ailleurs expliquer une méthode n’a aucun sens, Hindemith disait qu’il valait mieux écrire une nouvelle œuvre qu’en expliquer une ancienne. Voyons plutôt sur un sujet plutôt simple.
Il ne s’agit en rien d petits cailloux. IL aurait s’agit de rendre accessible quelque chose qui ne l’est pas; Mais je conçois votre réticence. Alléger le jeu permet aux autres d jouer et puis il faudrait partager la balle.
Pour moi, ce ne sont pas des oeuvres, ce sont des regards sur le défilement des siècles (quant aux photos) ou des analyses sur des attitudes ou comportements(quant aux textes).
Votre univers est clos, à chacun ses choix. On n’a pas toujours envie ni besoin d’être compris.
renato
quant au reste, les p^lis et la part de Linzel merci d’avoir partagé vos réflexions.
Ce soir, comptant protéger le citronnier et l’oranger de gelées tardives ai pris le voile hivernal et l’ai mis en boule. Il avait bien séché de la tempête d’hier. Usuellement je le plie et le replie. Me semblait important de changer le fonctionnement. Mais tout à fait d’accord sur les plis. Ils ont grande importance.
J-L.6 21h15
Merci. La citation se continue…
« « Nous sommes tous nés de l’agonie de l’étoile. Des naufragés du temps et de l’espace. Et seul le verbe peut nous aider à retrouver l’éclat défunt de cette étoile… »
Un sacré poète qui n’a jamais oublié la pauvreté de son enfance et les plus déshérités. Un homme inclassable, rebelle, inventif. magnifique.
All the elements, The little prince included?
https://www.youtube.com/watch?v=1vx3_2ks5qQ
rose dit: 5 avril 2017 à 22 h 38 min
bien aimé le remix de QT, jean langoncet ; mais, on ne voit guère ce qu’ils mangent
En France on le disait comme ça ; mais qu’en pense le ministre chinois des affaires étrangères ?
https://www.youtube.com/watch?v=Mnb_3ibUp38
La France aux français, la France debout, la France insoumise, la France forte
Le président chinois Xi Jinping doit rencontrer son homologue américain les 6 et 7 avril dans sa luxueuse résidence de Mar-A-Lago, en Floride, a annoncé jeudi 30 mars le ministère chinois des Affaires étrangères. La Maison Blanche a confirmé la rencontre en précisant que M. Trump et son épouse organiseraient aussi un dîner en l’honneur du couple présidentiel chinois le 6 au soir. Cette rencontre illustre le rapprochement entre les deux puissances sur fond de crise nucléaire avec la Corée du Nord
Hindemith : « Lebhaft, ohne Ausdruck ».
Ben mon colon c’est pas facile à jouer, ça !
D’après Bergman (I dit pas mon colon, c’est des Bibel, en Suède)…
@christiane: merci pour la formule: « l’homme volcan ». Qu’est-ce qu’il a fait comme boucan, ce cher Armand (Gatti)! Et le silence comme un hommage mérité à la brûlure qu’il nous laisse.
@raymond dit: 6 avril 2017 à 23 h 24 min
J’ai lu ce soir de très beaux témoignages dans la presse. Cet homme avait une énergie contagieuse, le verbe haut et le goût du silence (un de ses paradoxes). Il a su entrainer à sa suite, dans le monde du théâtre et de l’écriture bien des amoureux de la poésie drue, écorchée,brûlante, connus ou inconnus, prestigieux ou simples. Une belle vie, un beau partage.
J-L. a mis en ligne un peu de cette beauté.
Rose – 22h19
Vous écrivez : « Ce soir, comptant protéger le citronnier et l’oranger de gelées tardives ai pris le voile hivernal et l’ai mis en boule. »
Merci pour cette beauté.
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