Des Italiens se mobilisent pour sauver… l’Histoire !
Question pétitions, contre-pétitions et autres manifestes, les intellectuels italiens n’ont jamais été en reste par rapport aux intellectuels français. On leur a suffisamment reproché de signer plus vite que leur ombre. On dira que c’est probablement en rapport avec leur tempérament, et plus encore avec l’intensité du débat d’idées dans la péninsule depuis la fin de la guerre. On y a vu récemment des historiens notamment s’engager dans l’affaire Cesare Battisti, contre le négationnisme mais pour la liberté de la recherche, pour la défense du Liceo Classico (basé sur le latin et le grec) dans l’enseignement secondaire et même pour… l’annexion de la Corse par l’Italie ! Mais depuis que Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur et vice-président du Conseil, s’est révélé en à peine un an comme l’homme fort du gouvernement Conte, c’est la première fois que l’on voit autant d’intellectuels de différentes disciplines s’unir pour défendre l’enseignement de l’Histoire.
Le texte publié le 26 avril dernier par le grand quotidien La Repubblica se veut un appel. Intitulé « L’Histoire est un bien commun, sauvons-la ! », il a été lancé à l’initiative de l’historien de l’antiquité romaine Andrea Giardina, de la sénatrice à vie Liliana Segre et de l’écrivain sicilien Andrea Camilleri. Le fait même qu’un seul des trois soit un historien reflète leur volonté d’atteindre le plus largement possible les consciences citoyennes bien au-delà du cercle des collègues et de la citadelle universitaire. Ils y défendent des principes qui auraient semblé aller de soi il y a peu encore mais qui exigent d’être désormais martelés et protégés dans une Italie de plus en plus à l’unisson avec la vague populiste qui gagne l’Europe.
Nullement corporatiste, c’est un appel en faveur d’un savoir critique, non homogène, basé sur le dialogue des cultures et non sur le repli identitaire. Il interpelle aussi les représentants des institutions et associations politiques, publiques et privées, afin qu’elles soutiennent la recherche historique « en danger » et au-delà, toute connaissance critique du passé tant c’est un esprit qui est menacé. Le texte pointe notamment les dérives du débat dans les réseaux sociaux, ou l’on voit se dresser face aux « experts » (traduisez : des historiens), généralement légitimés par une œuvre, un parcours universitaire, une autorité professionnelle etc, des « contre-experts » qui ne s’autorisent que d’eux-mêmes pour se faire les porte-voix de l’opinion publique en dénonçant leurs « privilèges de caste », occultes, naturellement. Ce serait sans importance s’ils ne diffusaient pas une contre-histoire fantaisiste et relativiste au nom d’une volonté de déséidéologisation.
De quoi inquiéter alors que la place de l’histoire est à nouveau réduite dans le secondaire où le ministre de l’Education Marco Bussetti vient de supprimer l’épreuve d’histoire au bac (maturità), (ce qu’il a démenti) et plus vertigineusement encore à l’Université où le nombre de postes ne cesse de diminuer, tandis que la situation des centres d’archives et des bibliothèques est de plus en plus précaire sinon alarmante dans plusieurs cas.
Pour les signataires de cet appel, l’histoire n’est pas une discipline comme une autre en ce qu’elle participe plus que toute autre à l’éducation citoyenne d’un individu. Quelque chose comme une instruction civique supérieure, plus indispensable que jamais. Il est vrai que le climat est devenu délétère après que le grand congrès de Vérone sur la famille – politique, et « historique »- ait affirmé l’existence de la « famille naturelle » comme seule référence ; et après qu’à Trieste, le Conseil municipal ait décidé de restreindre le financement de toute association qui nierait ou sous-estimerait le drame des foibe, massacres politiques et nettoyage ethnique organisés par le maréchal Tito de 1943 à 1947 afin d’éliminer ses opposants et de vider l’Istrie de sa population italienne en les précipitant, morts ou vivants, dans des gouffres.
L’appel des trois dans la Repubblica a eu un grand retentissement. Il a été abondamment commenté par des écrivains (Roberto Saviano), des architectes (Renzo Piano), des spécialistes des antiquités romaine et grecque (Eva Cantarella, Luciano Canfora…), des cinéastes (Paolo Sorrentino, Paolo Taviani) des sociologues, des philosophes, des artistes, des scientifiques et bien sûr des enseignants du secondaire. Mais au-delà des intellectuels ? Interpellés sur les raisons de leur engagement, les signataires évoquent « l’urgence » de la situation. Pas sûr que cela suffise à alarmer, sinon troubler, une société anesthésiée par le divertissement berlusconisé et le calcio à tous les étages.
(« Matteo Salvini lors d’un meeting » photo D.R.)
1 435 Réponses pour Des Italiens se mobilisent pour sauver… l’Histoire !
Angot, qui ne sera plus là la saison prochaine, comme l’annonce la presse, a fait son mea culpa :
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« Dans un communiqué transmis par son éditeur, l’autrice dit regretter « de ne pas avoir réussi » à se faire comprendre dans l’émission du 1er juin », de n’avoir « pas su trouver les mots » et « d’avoir blessé » par ses propos. »
Demain, je vois qu’il faut que je me lève aux aurores pour me rendre dans le Cher, non loin de Jouet sur L’Aubois.
Cette vérification de mon emploi du temps m’a inspiré un poème que je voudrais dédier à une amie très chère, malheureusement actuellement retenue contre son gré pas une peuplade germanique (contre le gré de la peuplade qui ne sait plus quoi en faire). Elle se reconnaîtra et j’en suis certain, après avoir lu ce poème, décidera derechef -elle décide tout derechef- de lui consacrer une de ses fameuses fiches de lecture pour meubler sa captivité.
Voici:
Jouer sur l’hautbois de son cousin
C’est pas bien, c’est pas bien!
Bonne soirée,
contre son gré par une peuplade
Gisèle (suite)
Tonnerre, averse brutale, rafales de vent et hop le soleil est de retour.
Je n’ai pas eu le temps de relire (replonger – bouleversée).
Pendant l’orage j’ai commencé Les citrons verts. Donc il part de Venise* à l’aube. « La brume tremblote sur les collines derrière Venise ». Le vapeur passera par les grecques avant de débarquer sur une île où les nationalistes ont peint sur les murs des slogans nationalistes (« Enonis, enosis seulement »). On lui a dit que les femmes chypriotes son laides, qu’il aurait mieux fait d’aller à Athènes, que c’est un pays sec comme une noix et que les gens y boivent comme des trous !
Je découvre un verbe : « Diverses invasions l’affouillèrent »
Il n’est pas un simple touriste. Il veut y vivre quatre ou cinq ans, acheter une petite maison de paysan… En attendant il logera chez son ami Panos à Kyrenia.
Le chauffeur du taxi lui dit : « Nous ne voulons pas chasser les Anglais ; nous voulons qu’ils restent ; mais en amis, et non en maîtres. »
* Pourquoi le narrateur quittant Venise, pense-t-il « à Stendhal, assis pour l’éternité sur une chaise à dossier droit, buvant un verre de vin au Florian ? »
Il ma manque une référence. Je ne savais pas qu’il avait séjourné à Venise. Le café Florian offre un cadre magnifique près de la place Saint-Marc, je crois. Qu’y faisait-il ?
Donc, me voici découvrant Chypre dans les années 50 par les yeux du narrateur.
« Le café Florian offre un cadre magnifique près de la place Saint-Marc, je crois. »
Pas près mais en plein sur la place, Christiane !
Stendhal — Venise :
http://dspace.unive.it/bitstream/handle/10579/4677/821071-1174126.pdf?sequence=2
En Orient, Flaubert s’éclate, JJJ !
À 30 ans, Gustave Flaubert évoquait les jeunes gamins qu’il s’offrait en Orient. Dans une lettre écrite du Caire en 1850, il disait :
« Ici c’est très bien porté. On avoue sa sodomie, on en parle à la table d’hôte. C’est aux bains que cela se pratique. On retient le bain pour soi (5 francs) y compris les masseurs et la pipe et on enfile son gamin dans les salles. »
Dans un message que lui adressait son ami Alfred Le Poittevin, Flaubert pouvait lire : « Je t’embrasse le priape en te socratisant. Je viendrai te voir sans faute vers une heure. Bandes-tu ?».
Reste-t-il des doutes ? De moins en moins quand l’écrivain lui-même dit à Louis Bouilhet de ses aventures au Caire :
« Tu me demandes si j’ai consommé l’œuvre des bains. Oui, sur un jeune gaillard gravé de la petite vérole qui avait un énorme turban qui m’a fait rire. Je recommencerai. »
(source : Tétu)
HENRY JAMES
« Je m’asseyais à la terrasse du café Florian pour manger des glaces, écouter de la musique, bavarder avec des connaissances : le voyageur se rappellera sans doute la foule des tables et des petites chaises, qui s’avancent comme un long promontoire sur le lac paisible de la Piazza. Les soirs d’été, à la lueur des étoiles et de toutes les lampes, réverbérant l’écho des voix et des pas légers sur le marbre (seuls bruits émanant des arcades qui l’entourent), l’endroit ressemble à un salon en plein air consacré aux boissons rafraîchissantes et à une dégustation plus raffinée encore : celle des impressions délicieuses recueillies pendant la journée. Lorsque je ne préférais pas garder les miennes pour moi, il se trouvait toujours quelque touriste égaré et débarrassé de son Baedeker avec qui en discuter, ou quelque peintre vénitien d’adoption qui se réjouissait du retour de la saison propice aux effets spectaculaires. La merveilleuse église, avec ses petits dômes, les enchevêtrements de sa dentelle de pierre, le mystère de ses mosaïques et de ses sculptures, avait un air fantomatique dans l’obscurité atténuée, et la brise marine passait entre les colonnes jumelles de la Piazzetta – linteaux d’une porte qui n’était plus gardée –, aussi doucement que si elle y avait rencontré les pans ondulants d’un lourd rideau. En de telles occasions, il m’arrivait de penser aux demoiselles Bordereau [les logeuses du narrateur], de trouver triste qu’elles fussent enfermées dans des appartements qui, malgré leurs vastes dimensions vénitiennes, devenaient étouffants dans la chaleur de juillet à Venise. Leur existence semblait à mille lieues de la vie de la Piazza. Il était certainement bien trop tard pour faire changer d’habitudes l’austère Juliana, mais la pauvre Miss Tita, j’en suis sûr, aurait bien apprécié une glace de chez Florian ; parfois je songeai même à lui en apporter une. »
(« Les Papiers d’Aspern », traduction par Aurélie Guillain)
ah, j’me doutions bin que vous alliez en rajouter un brin, jzman ! Bon, mais n’étaient-ce point des écarts de jeunesse flaubertiens comme nous en eûmes toustes, d’insolites curiosités dans un monde où apparemment, l’on ne se marrait point tous les jours ? Ai encore découvert ceci, sous la plume émolliente de Du Camp : « au milieu d’opulents feuillages sortait un jeune moine. Il avait impudiquement relevé sa robe jusque par-dessus son ventre et il se livrait à cette occupation égoïste des âmes peu communicatives, sur laquelle de docteur Tissot a écrit un traité qui faisait mes délices quand j’étais en cinquième »…
Bien à vous,
Marinetti, Venezia :
http://gritti.provincia.venezia.it/5E%20area%20di%20progetto/marinetti%20venezia%20passatista.htm
Voir ces deux vieilles bêtes touiller leurs dernières hormones avec des extraits de correspondances lues au lycée, fait un peu froid dans le dos.
Il faut croire Flaubert quand il dit « Madame Bovary c’est moi », JJJ. Tout aussi à voile et à vapeur était Balzac, le premier à avoir introduit des homos dans sa Comédie humaine, ouvrant ainsi la voie au jeune Marcel Proust…
« un peu froid dans le dos »
Pourquoi, Chaloux, tu ne t’es jamais fait réchauffer le bas du dos ?
C’est un blog d’obsedes du cul, moitié pédophiles, en plus.
@renato dit: 4 juin 2019 à 19 h 32 min
Ce lien est superbe. Je n’ai pas fini de l’explorer mais il m’apporte une réponse : il écrivait Histoire de la peinture en Italie et ne cessait d’aller à la quête des œuvres d’art. Il était un amateur passionné de la peinture italienne d’après les quelques lettres que j’ai lues. Il ne semble pas attiré par le côté pittoresque de la ville mais réfléchit au lien entre littérature et art, pensant que chaque époque à son idéal de beauté, cherchant à comprendre l’expressivité de l’art, la peinture des passions sans décrire la peinture vénitienne. Il aime la peinture en psychologue, les tableaux comme source d’émotion. C’est surprenant et passionnant. Merci.
Merci, Jazzi. Je ne connais pas Venise, toi, oui, apparemment.
De belles amours saphiques aussi dans Balzac, Marie Sasseur !
https://www.lemonde.fr/livres/article/2008/09/18/les-rates-de-la-famille-balzac-et-les-formes-sociales-de-la-sexualite-de-michael-lucey_1096568_3260.html
@Jazzi dit: 4 juin 2019 à 19 h 44 min
Ce café était, semble-t-il, prisé des écrivains.
Un lieu incontournable, Christiane, pas seulement pour les écrivains !
Dans Venice (1882), Henry James affirmait déjà que prendre un café au Florian figure au nombre des « plaisirs simples » de Venise, au même titre que la contemplation d’un Titien ou d’un Tintoret, ou qu’une flânerie dans la basilique Saint-Marc. A l’origine, le Florian n’était que l’une de ces multiples boutiques de café qui fleurirent dans toute la ville, dans la seconde partie du XVIIe siècle. Mais très vite, il devint unique en son genre. Dans La vie vénitienne, Henri de Régnier, avoue : « Car je fréquente le café, moi qui, à Paris, n’entre jamais dans ces établissements ; mais à Venise il y a le Florian ! Nous nous installons dans une de ses petites salles peintes à fresque, dans celle où est représenté un Chinois, et le temps passe agréablement. » Devenu citoyen d’adoption de Venise, il y tiendra même salon durant le premier quart du XXe siècle, en compagnie de ses jeunes confrères : Claude Farrère, Abel Bonnard, Edmond Jaloux, Jean-Louis Vaudoyer et Emile Henriot. Rappelons que Venise fut au centre du commerce international du café au cours des XVIIe et XVIIIe siècles. Les cargaisons importées par la Sérénissime étaient en grande partie réexpédiées dans tout le reste de l’Italie et divers pays étrangers. En 1789-1790, leur volume atteignit le chiffre record de 1 440 963 livres ! C’est dire que le café a contribué à la prospérité des Vénitiens. Le Florian n’est-il pas le musée vivant qu’en retour ils ont élevé à la gloire de cette « flore d’orient » ? Pour s’en tenir à l’Italie, pays inventeur de l’espresso et du cappuccino, signalons encore au lecteur le Café Greco à Rome, le Platti à Turin, le Camparino à Milan, le Gambrinus à Naples ou le Gilli et le Giubbe Rosse à Florence.
(in « le goût du café »)
Angot n’est pas décevante. Elle verse dans une faiblesse consternante
Elle est fidèle à elle même. On ne sait pas pourquoi elle a été amenée a établir une hiérarchie de la barbarie et de l’indignité humaine, simplement elle a cru qu’elle devait le faire. Comme convaincre sa mère d’une fatalité sociologique. Elle est tres influençable en vieillissant, on regrette un peu qu’elle se soit vautrée sur ce qu’elle a tenté de dénoncer.
« les signataires évoquent « l’urgence » de la situation. »
Absolument Passou, tout est tres urgent, de plus en plus, en macronie en etat d’urgence social.
Le mouvement de mobilisation des personnels soignants et urgentistes se poursuit. Certains ont décidé de se mettre en arrêt maladie et n’assurent pas leurs gardes.
Nerval
Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé,
Rends-moi le Pausilippe et la mer d’Italie,
La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,
Et la treille où le Pampre à la Rose s’allie
qui-de la RDL a dit que c’était « son poème préféré »
Du coup, Ed a déserté. Elle est allé « aphorismer » ailleurs, la pauvrette, la victime, le bouc émissaire, l' »aphosrismatrice », ci-devant animatrice et monitrice en courtes phrases bien construites, pour changer. Quel beau tableau ! C’est Ed ! Du moins, c’était.
nerval et l’italie
http://temporel.fr/L-Italie-de-Gerard-de-Nerval
@ E alli :El Desdichado de Nerval ? C’est peut-être bien moi, du temps où je côtoyais les chimères …
La grêle, les éclairs,et je suis plongée dans l’écoute aventureuse des amours de Nessim, Leila, Justine, le frère au bec de lièvre, le poète, la vérole, et une boîte d’olives d’Orviéto. La mer a d’étranges reflets turquoise, ma barque file entre les roseaux.
« Octavie » ou l’esprit du récit
Le voyage, ainsi que la nouvelle, naissent d’un « vif désir » [19], suscité par la nostalgie d’un « amour contrarié ».
Ah c’est pas mal. Presque aussi bien que Lamartine et Graziella…;-)
Enfin ces jours, veille du grrand jour les Brit’s et les Ricains ont toutes les raisons de se retrouver…
Aux franzais reste Bourvil dans leur memoire ciné , pour les accueillir sur une plage de Normandie , avec une bouteille de champagne au terme du jour le plus long…
Pensez-y Passou, avant de donner des leçons de morale politique a deux balles, all over the world.
« Jazzi dit: 4 juin 2019 à 20 h 27 min
Un lieu incontournable, Christiane, pas seulement pour les écrivains !
Dans Venice (1882), Henry James affirmait déjà que prendre un café au Florian figure au nombre des « plaisirs simples » de Venise »
tarifs :
19 euros la pression
24 euros la petite viennoiserie
et 10 eros sit vous restez écouter l’orchestre jouer les 4 saisons de Vivaldi.
à mettre dans la catégorie « petits plaisirs simples » pour ceux qui en ont les moyens.
« Le café Florian offre un cadre magnifique près de la place Saint-Marc, je crois. Qu’y faisait-il ? »
Avec un peu de chance, il devait y boire un café, Non ?
« Jazzi dit: 4 juin 2019 à 20 h 07 min
Il faut croire Flaubert quand il dit « Madame Bovary c’est moi », JJJ. Tout aussi à voile et à vapeur était Balzac, le premier à avoir introduit des homos dans sa Comédie humaine, ouvrant ainsi la voie au jeune Marcel Proust… »
génial !
Chez Florian gens ennuyeux, désormais, Jacques ; je préfère l’Harry’s, déjà on est pas ennuyés par les touristes, et puis il savent préparer le Martini very dry comme nulle part ailleurs.
Et c’est en Normandie qu’ils aiment se mobilisent pour ce qu’ils aiment de l’Italie.
« Près de Rouen, la plus grande usine de Nutella du monde est bloquée depuis une semaine »
Cela fait si longtemps que je n’y suis pas retourné, renato. Nous y allions en hiver, mais je veux bien vous croire. On parle du Florian d’il y a plus d’un siècle. C’est comme à Paris, le Flore, Lipp ou la Coupole ne sont plus ce qu’ils étaient…
x dit: 3 juin 2019 à 22 h 04 min
« (…)quel peintre continuerait à inviter le spectateur à se reposer sous les arbres idylliques de son paysage lorsque les paysages de cette terre sont devenus exclusivement des routes de fuite et de persécution ? (…)
moi aussi je préfère le Harry’s, le martini est à 26 euros, le cadre est moins beau que le Florian, mais la différence c’est qu’avec le Martini à 26 euros ils vous donne en plus des olives vertes.
j’aime tous ces bars (Ritz, Florian, Negresco etc…) où l’on paye son café 15 euros et son apéro 26 euros, avec cette sélection par l’argent on n’est sûr au moins de pouvoir siroter son verre sans se faire emmerder par une famille de pauvres avec leurs gamins sales et insupportables qui vous braillent dans les oreilles.
Né en Lorraine, Claude part pour l’Italie alors qu’il est encore adolescent, et mis à part deux voyages, dans sa jeunesse, à Nancy et à Naples, il vit à Rome et dans ses environs.
Ce dessin provient d’un album relié en parchemin, mentionné pour la première fois dans l’inventaire de Don Livio Odescalchi (1713). À cette époque, cet album contenait 81 planches de l’artiste. Puis l’ouvrage fut perdu, et retrouvé en 1960, avec 60 dessins encore intacts. Ces dessins sont presque tous d’une qualité exceptionnelle et en bon état, et constituent le plus vaste ensemble connu de l’œuvre dessiné du Lorrain.
toutefois dans ces troquets pour riches on n’est jamais à l’abri de retrouver assis à côté d’un américain de Dallas ou d’un footballer de la Lazio qui trempe son croissant dans son coca cola.
Ah ! hamlet et ses pitreries.
Christine Angot remet le paquet d’excuses. Bon, pour une fois, on va la croire. Mais désormais, qu’elle la ferme une fois pour toutes. Ses livres aussi, les lecteurs vont les fermer :
« L’expression « en bonne santé » était cependant absurde. […] Je n’ai pas su trouver les mots. Je le regrette. Mon travail est de me faire comprendre. Je m’excuse d’y avoir échoué. Il me tenait à cœur d’éloigner la concurrence victimaire dont certains jouent. »
« éloigner la concurrence victimaire dont certains jouent »
Il est spectaculaire que c’est cela qui a joué, dans son intervention foirée. Elle a exactement fait ce qu’elle se reproche après coup. Vraiment, à la TV, il faudrait mettre des gens responsables, surtout le samedi soir. Enfin, il n’y aura pas d’autres saisons. C’est terminé, et ça finit mal.
Vous êtes un objet, un truc sur lequel un patron a droit de vie ou de mort, mais… vous êtes en bonne santé ! C’est le principal, non ? Quelle conne !
Et les petites Noires girondes, de treize ans, qui étaient violées à tire-larigot, sans obstacle, sans peine de prison, à la Polanski… elles étaient en bonnes et dues formes, et c’est tout ? L’apologie des objets sexuels, voilà ce qu’a fait Christine Angot, sans évidemment s’en rendre compte, la nulle…
hamlet dit: 4 juin 2019 à 22 h 30 min
j’aime tous ces bars (Ritz, Florian, Negresco etc…) où l’on paye son café 15 euros et son apéro 26 euros, avec cette sélection par l’argent on n’est sûr au moins de pouvoir siroter son verre sans se faire emmerder par une famille de pauvres avec leurs gamins sales et insupportables qui vous braillent dans les oreilles.
–
…sur ce point-là je vous rejoins, hamlet.
Je suis d’ailleurs un presque (quasi) habitué du Ritz. Il serait cocasse que nous nous y soyions déjà observés.
« Je suis d’ailleurs un presque (quasi) habitué du Ritz. Il serait cocasse que nous nous y soyions déjà observés. »
Je n’y suis pas allé récemment, mais je suis un habitué du bar Hemingway du Ritz. J’aime parcourir ces longs couloirs putrides, où le luxe dégénéré s’installe à foison, pour aboutir dans ce petit réduit minable, désert et vide, où le barman va vous servir une boisson (un cocktail !) qui coûte la peau des fesses. Je préfère rester chez moi ou aller au bar de la Comédie française, où règne Jacuzzi, si je ne me trompe ? et où je ne risque pas de rencontrer Jean d’Ormesson, qui n’est plus là, ni Christine Angot, ou ce qu’il en reste.
Christine Angot, c’est dommage, j’ai cru un moment, quand elle était avec Fillon, qu’elle allait lui filer une torgnole. Non, ç’aurait valu le détour, vous ne trouvez pas ? Et Fillon, après ça, on lui aurait tout pardonné !
Si ça se trouve, mon cher D, on s’est déjà croisé là-bas, comme j’ai sans doute croisé Jacuzzi à la piscine Deligny, dans le temps. Que le monde est petit !
Par contre, je n’ai jamais croisé Ed. Aucune fille immature ne m’a émasculé. C’est déjà ça.
, simplement elle a cru qu’elle devait le faire. Comme convaincre sa mère d’une fatalité sociologique.
MS à 20h28.
Vous proposeriez qu’elle la haïsse de manière virulente pck qu’elle n’ a jamais rien compris à rien et jamais protégé sa fille ?
Elle fait ce qu’elle peut Christine Angot. Même si souvent c’ est pas terrible.
Jacuzzi, j’aurais aimé discuter un peu avec vous du nouveau film d’Almodovar. Mais vous en avez déjà parlé depuis longtemps. Le problème est que vous en parlez trop tôt, et on ne se souvient plus de ce que vous avez dit quand soi-même on y a été. C’est peut-être dommage. En tout cas, moi, j’ai aimé. C’est un film qu’il faudrait préconiser à Ed, qui n’aime pas les vieux. Cela la guérirait, un peu. Est-elle guérissable, du reste ? Pourquoi pas ?
Delaporte : Ed, alors vous êtes guérissable ?
Ed : Pas avec un vieux stayre comme vous.
Delaporte : Que voulez-vous dire ?
Ed : Blablablabla…
Delaporte : Merci, ma chère Ed, pour cette prestation décisive et qui vous ressemble tant. Mais vous avez fait trop long…
Ed : Et je vous emmerde tous !
(Inédit)
Oui, certainement, Delaporte.
Et à la messe aussi. J’ai souvent assisté aux messes de Saint-Germain-des-Près que vous semblez très bien connaître.
Je trouve que nous avons de la chance de connaître tous ces lieux exceotionnels, chance que nous avons su saisir.
En effet il y a ici beaucoup de personnes qui sont attirées par des univers beaucoup plus banals en un sens et parfois aussi beaucoup moins sains.
à une amie très chère, malheureusement actuellement retenue contre son gré pas une peuplade germanique (contre le gré de la peuplade qui ne sait plus quoi en faire). Elle se reconnaîtra et j’en suis certain, après avoir lu ce poème, décidera derechef -elle décide tout derechef- de lui consacrer une de ses fameuses fiches de lecture pour meubler sa captivité.
Bisous Ed.
Je vous souhaite le meilleur. La vie vaut d’être vécue. Puissiez-vous rencontrer l’amour. Comme Charlotte avec Dimitri
« Puissiez-vous rencontrer l’amour. Comme Charlotte avec Dimitri »
Ah oui, c’est fascinant. La petite principauté qui donne des leçons d’amour à la France ! On aura tout vu, mais c’est comme ça.
Il y a quelques années, un étudiant en psychiatrie était venu sur ce blog, et il avait fait à chacun (et à moi-même) un diagnostic épatant. Dommage qu’il ne vienne plus, surtout pour les nouveaux, comme Ed. Qu’est-il devenu ? Est-ce aujourd’hui à lui (si certains s’en souviennent ?) de subir l’enfermement ? Il était sur la bonne voie.
Jazzi
Que vous fassiez prosélytisme pour vos publications de compilation, c’est entendable sur un blog du commerce. Que nous nous réjouissons de vos succès éditoriaux qui mettront qq beurre ds vos épinards fait partie de l’ espèce de courtoisie cauteleuse que nous pratiquons ici.
En revanche, convoquer Flaubert pour faire l’apologie et convaincre du bien-fondé de la sodomie des petits garçons dans les hammams d’ Orient, soyez sûr que je ne l’admettrai pas.
Un enfant est un enfant et a besoin de respect pour grandir.
Bien courtoisement,
Rose
Je veux bien Delaporte en parler un peu avec vous de Douleur et gloire.
réjouissons
respect est loin de suffire.
d’être protégé
de garder son intégrité
réjouissions
B de m.
Vu la mort d’Auguste : édifiant. Simenon.
@Bien courtoisement,
Rose
Chantal
Son père était belge.
Il était donc à moitié belge.
« Je veux bien Delaporte en parler un peu avec vous de Douleur et gloire. »
Ah oui. Il faudrait que Jacuzzi nous remette ce qu’il en a écrit, et que nous avons oublié, comme base de départ de réflexion.
@Vous proposeriez
Je ne propose rien. Je suis une lectrice d’Angot. Maus pas une de ses téléspectateurs.
« Vous proposeriez qu’elle la haïsse de manière virulente pck qu’elle n’ a jamais rien compris à rien et jamais protégé sa fille ? »
Une vraie conne cette rose, elle fait les questions et les réponses, comme au stalag.
Si elle lisait les bouquins dont elle cause, au lieu d’emmerder ceux qui lisent.
« convoquer Flaubert pour faire l’apologie et convaincre du bien-fondé de la sodomie des petits garçons dans les hammams d’ Orient, soyez sûr que je ne l’admettrai pas. »
La seule apologie que je fasse c’est celle de rétablir la vérité, rose. Contrairement aux familles d’écrivains et aux veuves abusives en tous genres qui se livrent au caviardage de leurs correspondances et mémoires.
Vladimir Poutine prétend que l’homosexualité n’existe pas en Russie et que c’est une maladie des pays de l’Ouest. Comme jadis les communistes qui affirmaient que l’homosexualité était une perversion bourgeoise, ainsi que le montre Marcel Proust dans le Recherche…
Ce n’est pas en recourant à l’hypocrisie et aux mensonges que vous parviendrez à protéger les enfants…
Delaporte et rose vous n’avez pas besoin de moi pour parler du dernier film d’Almodovar…
Jazzi, dès que quelque chose touche de près ou de loin à l’homosexualité il en fait des tonnes et perd tout jugement critique.
si on me permet l’expression je dirais qu’il perd un peu les pédales.
je veux dire que ce tropisme identitaire lui fait perdre un peu les pédales.
Une autre mobilisation.
« INTERVIEW – Jacques de Saint Victor, universitaire et critique littéraire, publie Casa Bianca. Un roman intelligent qui met en lumière la richesse culturelle et la diversité des dialectes en Italie.
Dans son dernier récit, Casa Bianca (éd. des Equateurs), Jacques de Saint Victor, évoque les péripéties d’un couple atypique qui a décidé de restaurer un petit couvent niché au fin fond des Pouilles, à l’extrémité de la Péninsule, dans le Salente, ce que certains Italiens appellent aussi le «Finistère», un Finistère du sud. De Paris à Lecce, ce livre évoque une Italie si proche et pourtant si dépaysante, ayant conservé ses traditions, faisant d’infimes nuances des différences profondes, ce qu’une Américaine, Raymonde Carroll, avait appelé des «évidences invisibles». L’auteur nous fait pénétrer avec une écriture fine et instruite dans un univers encore mystérieux, ce «réalisme merveilleux» du quotidien, un monde de magie et de traditions où le passé de la Grande Grèce est encore largement présent dans les usages, les processions, la musique et surtout dans la langue. »
http://www.lefigaro.fr/langue-francaise/actu-des-mots/comment-les-dialectes-disent-la-diversite-culturelle-de-l-italie-20190603
Marie Sasseur dit: 5 juin 2019 à 8 h 44 min
vous ne voulez pas changer de pseudo ? à chaque fois que je le vois je pense à Lavande.
j’imagine que c’est le cas de tous ici.
du coup, comme tout le monde pense à Lavande personne ne lit ce que vous écrivez.
c’est dommage non ? vous devriez changer de pseudo.
Marie Sasseur dit: 5 juin 2019 à 8 h 44 min
sinon, si vous ne voulez pas changer de pseudo et que vous vivez dans un appartement situé au dessus du 10è étage, une autre option serait de vous jeter par la fenêtre.
@personne ne lit etc.
« Ces questions d’acculturation vous intriguent.
Oui, dans ce récit, comme dans mon précédent, Via Appia, je tente d’insérer l’histoire et l’ethnologie dans un récit plus littéraire. Car le lecteur est souvent rebuté par les travaux plus savants. Or, ces questions de «transferts culturels» sont souvent passionnantes car elles permettent de comprendre d’où nous venons, qui nous sommes. La plus frappante de cette acculturation, c’est le château italien de Frédéric II, au nord des Pouilles, Castel del Monte, qui a en partie servi de modèle à l’abbaye du Nom de la Rose dans le roman d’Umberto Eco. C’est un château bâti sur le modèle de l’architecture française que Frédéric II admira à la Croisade, avec des apports venus d’Orient, de Turquie, de Perse ou d’Arménie. On retrouve aussi beaucoup dans ce sud l’influence des Latins d’Orient, qu’on juge alors peu virils (Jacques de Vitry dit qu’ils sont «plus habitués aux bains qu’aux batailles») et cet esprit communautaire propre aux Grecs qui, comme le rappelle Hegel dans ses Leçons sur la philosophie de l’histoire, ont une conception bien moins individualiste que celle des Romains. J’évoque dans le livre ces petites communautés très étranges, où certains habitants vivaient enfermés dans des Corti, des cours fermées, au sein des villes, en mettant tout en commun à l’image des habitants de Tarente décrits par Aristote. En France, les communautés hippies n’ont pas tenu longtemps ; ici elles existaient de l’Antiquité aux années 1980. »
même lien
Quant aux allusions à mon autopromotion et enrichissement personnel, rose, j’ai expliqué mille fois ici que j’enrichis tout le monde sauf moi…
hamlet, dirais-tu que le « tropisme identitaire » juif que l’on note sur ce blog fait perdre quoi que ce soit aux divers commentateurs qui l’expriment ?
« renato dit: 4 juin 2019 à 22 h 45 min
Ah ! hamlet et ses pitreries. »
il y a d’autres aspects assez drôles, quand on les observe de loin, dans ces lieux où cohabitent de près richesse et pauvreté.
la terrasse du Florian en est un, voir ces gens assis à la terrasse en train de siroter leur cocktail à 30 euros le verre, avec ces gamins qui s’attardent à les regarder, et leurs parent qui leur gueulent dessus pour qu’ils avancent plus vite.
aujourd’hui où les écarts entre riches et pauvres sont devenus démesurés, ces scènes ont quelque chose de grandiose, d’un point de vue métaphysique, dans ces cas-là je n’éprouve aucune haine contre les humains hormis le Christ, et haïr le Christ me procure un immense bien-être.
le rabin un peu pété s’est pétrom dbout et lui a coupé un morceau du calot à keupu..dans tous les cas faut rester zen et profiter dses sous qu’il dit yavé baroz
tèrezoune y pendouille moins quand qui fume des gros oinj..forcément c’est pas pratique
Jazzi : tous les tropismes identitaires sont gonflants, que ce soit les juifs, les musulmans, les femmes, les noirs, les homos tous !
surtout dans un lieu consacré à la littérature.
mais cela permet de mieux comprendre tes réactions à mes critiques de Proust, faut pas toucher à un homo même si c’est le derniers des connards.
répond franchement : y a-t-il un seul film d’Almodovar que tu as détesté ?
une autre option serait de vous jeter par la fenêtre
keupu y’est comme mon larbin..le suicide de « l’autre » comme vengeance à leur coups dans l’casque tout petit..peut ête pas que dans lcax..mais ça ne nous..
Un enfant est un enfant et a besoin de respect pour grandir
reuzment que rose elle hinterdit phormelment qu’on les hancule..sinon des larbin des keupu..une vallée de larme que ça srait
où je ne risque pas de rencontrer Jean d’Ormesson, qui n’est plus là, ni Christine Angot, ou ce qu’il en reste
du delaporte pur jus de cadave..un genre de bitters pour cocktail à croque mort
« tous les tropismes identitaires sont gonflants, que ce soit les juifs, les musulmans, les femmes, les noirs, les homos tous ! »
Oui, hamlet, notamment les hétéros, les beaufs, les cathos ou les machos…
« Ce n’est pas en recourant à l’hypocrisie et aux mensonges que vous parviendrez à protéger les enfants… »
T’as tout faux J2z, tout faux! Tu es prisonnier de cette imbécile idéologie de la transparence qui caractérise notre époque pourrie (putride dirait l’autre). Plus on cite des actes pédophiles (surtout commis par des hommes célèbres, donc a priori ayant une certaine influence morale), plus on la banalise et plus on la banalise, plus on la rend possible. Il y aura toujours des types qui se demanderont pourquoi ce qui était permis à Platon, Flaubert, Gide ou Montherlant ne le seraient pas à eux…
Vive l’hypocrisie, vive la décence! Il ne s’agit pas de mentir positivement mais d’éviter comme tu le fais d’étaler partout avec une complaisance malsaine et une évidente schadenfreude des actes répréhensibles qui ne peuvent qu’encourager des types au bord du passage à l’acte. Ma mère se contentait de me dire de ne jamais suivre des types qui me proposaient de me donner des bonbons ou des jouets…Ça a suffit à me protéger.
« Un enfant est un enfant et a besoin de respect pour grandir »
Quand ce n’est pas dans sa famille, le boug, il se fait hanculer à la sacristie ou à l’école laïque et républicaine !
closer et Poutine même combat…
(n’est-on pas ici sur un prestigieux blog littéraire à destination d’un public plus que mûrissant ?)
Il ne s’agit pas de mentir positivement mais d’éviter comme tu le fais d’étaler partout avec une complaisance malsaine et une évidente schadenfreude des actes répréhensibles qui ne peuvent qu’encourager des types au bord du passage à l’acte. Ma mère se contentait de me dire de ne jamais suivre des types qui me proposaient de me donner des bonbons ou des jouets…Ça a suffit à me protéger.
je suis de votre avis pour J.B;il abuse au delà du tolérable,et n’aurait pas indiqué, par exempole mimouni pour B>alzac;ça aussi c’est une question pour lui, »l’individu qui ne gère pas comme lui,l’ego; mais aujourd’hui,il y a aussi les réseaux sociaux
il y a des témoignages sur l’obs de gens qui ont passé la cinquantaine sur leur vie érotique;j’ai vu un centenaire jouer à l’harmonica des chansons populaires;il y a des villes qui remettent des médailles aux gens âgés ;les INDIVIDUS comme il dit,le J.B, sont des pressés de sucer et diriger
Les Tartuffes se révoltent !
Concrètement, faut-il caviarder (censurer) les correspondances, mémoires et autres textes autobiographiques des écrivains, même un siècle après leur mort ?
littérature
https://laregledujeu.org/2018/12/18/34681/quest-ce-que-la-litterature-homosexuelle/
toujours littérature
https://laregledujeu.org/2018/12/29/34694/qu-est-ce-que-la-litterature-homosexuelle-2/
Et sur la pédophilie de Jules Verne, et alii, vous n’auriez pas un lien ?
sur Jules Verne,il ya Michel Serres;vous truverez bien ?
Verne
https://www.lautrequotidien.fr/articles/2016/5/14/la-jules-vernes-totale-immersion-de-michel-serres
Michel Serres c’est mieux que monsieur Propre, et alii !
Ce lien n’est pas pour vous ni pour closer…
https://tetu.com/2017/11/21/jules-vernes-jean-moulin-honore-de-balzac-on-avait-cache-quils-etaient-bisexuels-homos/
Il ne s’agit pas de censurer les éditions des correspondances complètes des écrivains, qui ne sont généralement lues que par une minorité d’amateurs ou de chercheurs, mais d’éviter d’en extraire complaisamment les passages les plus scabreux pour les étaler partout… La correspondance de Flaubert comprend quatre mille lettres. N’a-t-il parlé que de ses expériences au bordel? Le seul possible avantage de la « transparence » actuelle (que j’appelle, moi, exhibitionnisme, fin du sanctuaire de la vie privée) serait de rendre indifférent l’étalage de la sexualité. Il semblerait que non, que beaucoup se régalent encore de ces exhibitions, comme des gamins de quatrième dans la cour de récré il y a quarante ans. Nos vieux disaient souvent « ce qui se passe entre les quatre murs de ma chambre à coucher ne regarde personne »…Heureuse époque.
« La correspondance de Flaubert comprend quatre mille lettres. »
Nous en avons abondamment parlé ici, notamment avec MàC, closer.
Je ne faisais que prolonger le commentaire de JJJ, afin que l’on comprenne mieux le beau portrait de nageur Breton longtemps censuré dans son ouvrage à deux mains avec son ami Maxime du Camp, « Par les champs et les grèves »…
De plus, il semblerait, selon hamlet, que lorsque je perds les pédales je devienne génial !
Heureuse époque. ça ce n’est pas sur;en réalité,la chambre à coucher débordait de partout avec tout!et tous;et les femmes s’y acharnaient à ce débordement;j’ai aussi des souvenirs, mais j’avais déjà lu Michel Strogoff ,avec passion
hamlet dit: 4 juin 2019 à 21 h 27 min
« Jazzi dit: 4 juin 2019 à 20 h 07 min
Il faut croire Flaubert quand il dit « Madame Bovary c’est moi », JJJ. Tout aussi à voile et à vapeur était Balzac, le premier à avoir introduit des homos dans sa Comédie humaine, ouvrant ainsi la voie au jeune Marcel Proust… »
génial !
quand est-ce que « génial » est devenu à la mode?Encore un mot qui est quasi synonyme de « con »
Évolution historique de l’usage du mot « génial »
Source : Google Ngram, application linguistique permettant d’observer l’évolution de la fréquence d’un ou de plusieurs mots ou groupe de mots à travers le temps dans les sources imprimées.
https://www.lalanguefrancaise.com/dictionnaire/definition-genial/
il y a des dates pour un fil d’histoire
Il me serait difficile de reconnaître que je suis « génial », et alii, mais pour « con », j’ai déjà dit à Ed, que j’étais d’accord avec elle…
Claro sur à Twit’vitesse :
« – T’as combien d’abonnés sur Tweeter?
– Un peu plus de 6000.
– Génial ! Ils vont tous acheter ton livre !
– Non, ils vont juste le liker. »
Josse Vincent sur à Twit’vitesse :
« Oct 80, Fr. Culture.
– Marguerite Duras, vous dites : « Écrire, c’est n’être personne… Je ne comprends pas toujours cette phrase… »
– Ah bon?
– Pas toujours.
– Vous savez, je ne comprends pas toujours très bien ce que je dis. Ce que je sais, c’est que c’est complètement vrai. »
Jazzi, oui il arrive un moment où la connerie, quand elle est poussée à ses extrêmes, en denvient géniale !
en ce sens ton commentaire était génial.
tu réfléchis 2 secondes à ce que tu écris :
quelqu’un te dit qu’aller s’envoyer des gamins dans des pays du tiers monde c’est pas très cool.
et toi tu réponds quoi ?
tu réponds que Poutine est un taré, ce que tout le monde sait déjà.
tu vois Jazzi comment fonctionne l’identitarisme ?
alors que tu devrais simplement répondre que tu condamnes ce comportement qui consiste à s’envoyer des gamins.
le problème en plus de l’identité c’est que toi tu n’es pas un père, tu es juste resté le fils de ta mère, et si tu étais père tu verrais les choses autrement !
tu le comprends ça Jazzi ? crétin que tu es !
hamlet, même pas ma mère n’a réussi, ne fût-ce qu’une seule fois, à susciter en moi un sentiment de culpabilité ; ce ne sera donc pas vous, un qui se cache derrière un pseudo comme il se cacherait derrière le tablier de sa maman, qui arriverez à réussir cet exploit.
Cela dit, ce dont les gens comme vous, avec leur constante culpabilisation, qui ont traîné les partis, disons, humanistes vers des chiffres en dessous des indicatifs téléphoniques. Par ailleurs, je me demande souvent qu’elles actions réelles vous conduisez contre la pauvreté, etc. — bien à part venir jouer le pitre sur un blog littéraire, naturellement.
Quant à votre stupide observation [« tous les tropismes identitaires sont gonflants, que ce soit les juifs, les musulmans, les femmes, les noirs, les homos tous ! »], un qui avance les arguments que vous avancez — pauvreté, etc. — devrait se cacher dans un lieu obscur, possiblement dépourvu miroirs, car ces humains qui on suffert et suffert de discrimination, pour ne pas dire plus, ont le droit de représenter leur souffrance.
Bien, maintenant apéro, et pour que ce ne soit jamais le dernier, aujourd’hui un Martini very dry.
BàV, renatornasabbia.
Contrairement à toi, hamlet, je ne suis pas ici pour porter des jugements moraux à postériori sur les écrivains, mais seulement à les donner à lire et à établir les liens entre eux : La Comédie humaine de Balzac ouvre la voie à La Recherche… de Proust, notamment via l’homosexualité.
D’accord ou pas d’accord ?
« Nos vieux disaient souvent « ce qui se passe entre les quatre murs de ma chambre à coucher ne regarde personne »…Heureuse époque. »
Au Vatican ils disent la même chose, closer !
renato, j’ai récemment découvert que je n’aimais pas le martini;j’aime les cocktails , et même le mojito!sinon champagne avec des framboises et des groseilles!et je vous accompagne
on a commencé le latin ou presque avec la guerre des Gaules et le De viris illustribus, donc l’italie
https://dailygeekshow.com/vestiges-gallo-romains-france/
à propos de Johnny Halliday, s’il est vrai que son père était belge, on pourrait dire qu’il a quelque chose de cet esprit, mais c’est ambigu car élevé à Paris, puis ayant pratiqué le cabaret à Londres, vécu aux Etats – Unis, en Suisse, il a surtout bourlingué. A la mort de ce père, dont il a suivi pratiquement seul la mise en fosse – le personnage ayant été parfois encombrant et surtout peu affectueux -, il a pensé prendre la nationalité, mais comme cela se mêlait à des considérations fiscales, cela ne s’est pas fait. La suite à démontré que ce n’était pas clair pour lui …
D’ailleurs il a bien chanté intentionnellement mon pays c’est l’amour.
Vous savez, je ne comprends pas toujours très bien ce que je dis. Ce que je sais, c’est que c’est complètement vrai
in vino véritasse..comment dire..c’est pas faux qu’il dirait tèrezoune
fèredom y manaquait pus qu’la belgitude..
– Génial ! Ils vont tous acheter ton livre !
– Non, ils vont juste le liker
les tendanceurs sont pas les payeurs baroz..ha si lassouline avait pigé ça..il srait un critique point 2..mais mon cul
Ma mère se contentait de me dire de ne jamais suivre des types qui me proposaient de me donner des bonbons ou des jouets…Ça a suffit à me protéger
non mais quel con ce renfield..
correspondance Flaubert en Pléiade,4273 lettres.Mais on en retrouve encore…
pour une poignée de blatte il aurait dit a manman d’aller sfaire..faut trouver les bons mots épicétou..tout est affaire de pnl qu’il dirait renfield
commande – lui son goût bouguereau, donne l’exemple pour une fois lol.
et toi ta mère t’a fait trop de gros bisou polo..du coup t’étais trés esposé
Il y aura toujours des types qui se demanderont pourquoi ce qui était permis à Platon, Flaubert, Gide ou Montherlant ne le seraient pas à eux…
..tu parles de tendanceurs de france hinfo mon cloclo..sapré cloclo
chambre à coucher OU LE CABINET DU médecin :qu’est ce que vous faites des maladies spécifiques?
j’aurais du écrire MST EN STYLE INTERNET
Le seul possible avantage de la « transparence » actuelle (que j’appelle, moi, exhibitionnisme, fin du sanctuaire de la vie privée)
..pourtant de phameux de droite point barre ici n’ont rien a cacher..courageux..contre l’anonymat etc..que ça se sache qu’il sont des force morale..tu veux dire qu’c’est que des gros pédo qui hallumentde grossier contrefeu au populo..toujours refait
Dans le cas Jules Verne, il faudrait peut-être un peu de prudence. l’hypothèse d’un lien avec le jeune Briand ne résiste pas à l’examen. En revanche, l’existence de Madame Duchene comme égérie des vieux jours, et non pas d’un jouvenceau comme l’avaient suggéré certains, est prouvée par une photo issue d’une collection particulière; Il ne reste que le problème Gaston Verne, analysé lucidement par Patrick Avrane. Soit bien peu de choses, et n’allant nullement dans le sens qu’on leur prête ici.
dans le sens qu’on leur prête ici
aux riches meussieu courte..aux riches..bah..ça nous éclaire d’une chose vieille comme matusalème..c’est qu’on profite de la faiblesse autant que possibe..et plus c’est possibe..plus on en profite..fatom
Je ne suis pas trop amateur de Martini. C’est trop sucré. Mais chacun fait comme il veut.
Les femmes ont aussi besoin de respect pour grandir.
« Pas sûr que cela suffise à alarmer, sinon troubler, une société anesthésiée par le divertissement berlusconisé et le calcio à tous les étages. »
On sait pas Passou, on sait pas, l’Italie est la 2eme puissance industrielle manufacturière en Europe, derrière l’Allemagne.
En macronie, ils n’ont plus d’idée, pour l’Europe, autre que la guerre.
Et pour ça, il faut aussi que vous vous mobilisez, Passou, comme un bon journaliste sportif !
« Les exportations d’armement français en hausse de 30% en 2018 »
« C’est trop sucré. »
Essayez comme ça :
Raffraîchissez le verre* avec des glaçons. Videz le verre et versez 6 cl de gin et 2 gouttes de vermouth — vous pouvez aussi vaporiser le vermouth sur la suface du gin—.
L’olive piquée d’un cure-dents au fond du verre, oui ou pas — faut voir la qualité de l’olive…
https://www.lessecretsduchef.be/10278-thickbox_default/classico-verre-martini.jpg
PS — Le Martini ce sera le Dry, pas le Blanc.
Rarement l’apéritif pour moi, renato.
Parfois un whisky bien tassé en hiver et un grand pastis glacé ou un demi pression par temps de canicule. Mais toujours un verre de vin à chaque repas : rouge ou rosé selon la saison.
Là, je viens de passer au rosé.
Dès que j’ai eu du poil au menton, ma mère m’a servi du vin, elle disait que c’était bon pour la santé.
Le dimanche, après la messe, nous avions droit à un verre de vermouth fait maison ou à un Martini en apéritif.
De même que tous les soirs, le souper commençait invariablement par un potage de légumes et s’achevait sur une salade aillée.
Quand je me plaignais du goût de l’ail persistant dans l’haleine, elle répliquait autoritairement que c’était bon pour le sang et me donnait un grain de café à croquer.
Quelques principes de base, que je suis plus ou moins, et dont je n’ai pas à me plaindre aujourd’hui, jouissant plutôt d’une bonne santé…
Le Martini
C’est un toponyme, une marque de fabrique et le nom d’un cocktail,à base de vermouth qui est un vin aromatisé.
L’ail est en effet très bon pour la santé, surtout cru. Mail il faut bien reconnaitre qu’après en avoir mangé on keupue durablement de la gueule.
Il protège le système cardio-vasculaire et est vermifuge. Un Taenia peut d’éliminer simplement en mangeant une gousse d’ail cru.
Le vin. Seul le rouge est bon pour la santé. Et bio. Et un seul verre par repas. Et tenir compte de l’importanre ration calorique qu’il apporte.
Pour un gastronome, le moment de l’apéritif est important. L’apéritif est à la gastronomie ce que les préliminaires sont à l’art d’aimer. Un bon apéritif vous requinque, et vous permet de manger par exemple quelques cornichons ou amuse-gueule divers, chauds ou froids. Je n’ai pas d’apéritif préféré, tout est bon, seul le fait d’avoir le temps (l’éternité) devant soi compte.
Le meilleur apéritif, j’en avais déjà parlé ici, est le dry martini fait dans les règles de l’art. C’est la boisson préféré de James Bond, mais avec de la vodka. Il y a des livres entiers qui ont été écrits sur cette boisson, qui est une drôle de chose, et s’apparente davantage à une religion qu’à autre chose.
Ah, l’ail, il faut le digérer, je vais cueillir de l’ail des ours au printemps, et je mélange les fleurs dans du fromage blanc par exemple à la place des radis.
Chez moi on buvait souvent un peu de vin rouge, mon oncle était détaillant, sa boutique était marrante, du pinard, des polars et des cigares., Parfois de la liqueur d’angélique, ma vieille tante des Yvelines en faisait chaque année. Ou alors mais il faut digérer du Bols hollandais à base de jaune d’oeuf, une petite cuiller en dessert sur une boule de glace. Je sens l’odeur de ma quiche monter, champignons des bois, petits pois et persil.
J’ai essayé une recette avec du Tsipouro, fraises et verveine, c’est pas mal.
Je ne comprends pas ce que vous appelez « dry Martini ». Je n’ai jamais rencontré ce genre de dénomination. Je connais le Martini Rosso et le Martini bianco, tous deux forts sucrés avec un goût amer qui en font (pour moi) une boisson peu agréable.
Eclairez-moi svp sur ce que vous appelez « dry Martini ».
Le fameux régime crétois autorisait quelque 25 cl de vin rouge par repas. Régime très généreux.
« Eclairez-moi svp sur ce que vous appelez « dry Martini ». »
Il y a sur le dry martini une notice Wikipédia très complète, et quantité de livres en librairies. C’est une boisson fascinante, en effet. Il faut obligatoirement qu’elle soit faite par un barman compétent. Au bar Hemingway du Ritz, par exemple. Sur le dry martini, on peut discuter pendant des heures. C’est un sujet de thèse.
Jacuzzi, le film d’Almodovar vous a plu ?
J’ai compris. Ce que vous appelez boisson est un cocktail dans lequel il n’y a pas du tout de Martini commercial et que l’on appelle Martini. Il paraît qu’aux USA, où je ne suis jamais allé et où je n’ai aucune raison d’aller, Martini désigne par défaut le cocktail sans Martini commercial alirs qu’en Europe, c’est le contraire. C’est d’autant plus trompeur que Wikipédia nous apprend que la maison Martini commercialise un « extra dry » soit disant depuis 1900 et que pourtant je n’ai jamais encore vu en magasin. Très bizarre.
le dry est à base d’agrumes, on le trouve facilement aux environ de 13 euros, la semaine dernière il était comme l’Apérol en promo.
Mais vous le trouvez où, Chantal ? Chez un caviste qui en possède ou un site en ligne ?
Dans mon Delhaize, D.
Attendez,minuteChantal vous me parlez d’un « dry » mais moi j’ai lu « extra dry ».
Ce qui me permet d’apprendre qu’il existe chez la maison Martini un « dry » que je n’ai pas plus vu que le « extra dry ».
Qu’est-ce que c’est un Delhaise ?!
« C’est marrant, mais quand on a fini un livre, on dirait que le cerveau n’est pas au courant et continue de bosser dessus comme si de rien n’était. Et quand on explique au cerveau que le livre est fini, il se met à tourner à vide et à faire un bruit de lave-vaisselle intersidéral » (touite de claro).
… C’est vrai de la lecture et pas seulement de la traduction…, mais pas avec tous les livres. Oui avec Woolf, Flaubert, Hugo, Durrell, Houellebecq ou Damasio, par exemple au hasard, mais pas avec Beauvoir, Angot, Proust, Sagan, Yourcenar ou Munro, au hasard.
Etc.
Les machines à tambouriner qui tournent à vide sont dangereuses, en général. Ma mère me disait qu’il ne fallait pas. Exactement comme pour la petit’Chapée.
Le Martini Dry n’est pas disponible en France, moi je l’achète en Suisse ou en Italie.
Pour une fois qu’on peu trouver un produit intéressant en Suisse, l’information est d’importance. Le problème est qu’il faut y aller et que c’est hors de question pour moi.
d’une semaine à l’autre çà change, donc regardez bien.
Je suis encore dans Durrell, il y a l’olive décisive dans le coktèle …
J’ai trouvé Delhayze, ce sont des magasins d’alimentation belges. Mais que faites-vous en Belgique, Chantal ?
N’ayant ni Francs belges ni Francs suisses en poche, l’affaire est close pour moi. Je prendrai un double whisky.
Je vous invite, CT et MS, à nous rejoindre dans ce jeune mouvement rebelle très prometteur.
https://rebellion.earth/the-truth/demands/
J’y réside D.
trouvé le produit : https://www.delhaize.be/fr-be/Boissons-et-alcools/Alcools/Aperitifs/Vermouth-Extra-dry-18-ALC-/p/S1971080100235200000
Bien sûr, il faut être prélablement convaincu que le cycle du productivisme est achevé comme il est montré ici https://laviedesidees.fr/Le-productivisme-aura-t-il-une-fin.html
et commencer par minimaliser ses conso perso. Pas facile, hein.
JJJ pas besoin pour moi, j’y vais déjà …
« N’ayant ni Francs belges… »
La Belgique est passé à l’€ !
As Fratelli Alinari vacates its Italian headquarters, there are hopes that Tuscan government will rescue the historic collection
https://www.theartnewspaper.com/news/world-s-oldest-photo-agency-faces-crisis?utm_source=daily_june5_2019&utm_medium=email&utm_campaign=email_daily&utm_source=The+Art+Newspaper+Newsletters&utm_campaign=3a7ad1b517-EMAIL_CAMPAIGN_2019_06_04_01_56&utm_medium=email&utm_term=0_c459f924d0-3a7ad1b517-43644573
Vous êtes sûr, renato ? Il me semblait au contraire que ce petit pays où règne le désordre et la mésentente était sur la liste d’attente à côté de l’Albanie.
L’armoise, plante utilisée pour la fabrication du vermouth, est aussi le nom dérivė d’une divinité.
Y’a pas que le foot et Berlusconi, dans la vie .
https://www.reconstitution-romaine.com/armoise herboristerie romaine antique.html
L’autre Artemisia :
https://blogfigures.blogspot.com/2010/03/artemisia-gentileschi-autoritratto-come.html
Attention à l’armoise qui est abortive.
Italy’s Culture Ministry Quashes Steve Bannon’s Dream to Turn an 800-Year-Old Monastery Into a School for Far-Right Nationalists
https://news.artnet.com/art-world/italy-ends-steve-bannons-attempt-turn-800-year-old-monastery-school-far-right-nationalists-1563613?utm_content=from_artnetnews&utm_source=Sailthru&utm_medium=email&utm_campaign=Europe%20June%205%20a.m.&utm_term=New%20Euro%20%2B%20Newsletter%20List
J’ai déjà raconté ici, à propos d’apéritif, comment Edgar Faure avait mis au point un régime imparable : il buvait un ou deux whiskys, puis passait directement au café – pour duper son estomac, et lui faire croire que les agapes étaient terminées. Pas con comme système !
Stéphane Verger est directeur de l’UMR 8546 AOrOc « Archéologies et philologie d’Orient et d’Occident » (CNRS – École normale supérieure, EPHE)
https://theconversation.com/video-entretien-avec-hugues-roest-crollius-chercheur-en-biologie-et-stephane-verger-directeur-du-laboratoire-darcheologie-de-lens-118231?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%205%20juin%202019%20-%201327512412&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%205%20juin%202019%20-%201327512412+CID_13a568dc642dcb61010b5be5a37db531&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Vido%20%20Entretien%20avec%20Hugues%20Roest-Crollius%20chercheur%20en%20biologie%20et%20Stphane%20Verger%20directeur%20du%20laboratoire%20darchologie%20de%20lENS
NUIT
SCIENCES & LETTRES
À L’ÉCOLE NORMALE SUPÉRIEURE
« Les Origines »
7 JUIN 2019
45 rue d’Ulm, PARIS 75005 – 17h30/2h – Entrée libre
Le thème retenu cette année, « Les Origines », ne manquera pas de stimuler de nombreux débats dans toutes les disciplines des lettres, des sciences humaines et sociales, des sciences et des arts. L’origine excite souvent l’imagination car on croit y voir la source de toute explication, de toute histoire. Des récits de fondation des anciens aux théories actuelles des origines de l’univers ou de la vie, ce thème tient également une place centrale dans la construction des grands mythes qui jalonnent l’histoire de la pensée. Il est aussi au cœur des débats contemporains sur les processus complexes de la construction des identités individuelles et collectives, auxquels on substitue trop souvent une vision simpliste de l’origine comme état de fait.
http://www.nuit.ens.fr/
Trees in the Australian city already have unique ID numbers and email addresses for reporting problems like dangerous branches or vandalism. Tegg, a photographer and filmmaker, learned that people were using these email addresses to write directly to the trees themselves: love letters, existential questions.
renato, je pense vous connaitre un peu et depuis assez longtemps cher ami pour ne point être traverser par l’idée de vous culpabiliser de quoi que ce soit, et même si je le voulais je sais déjà que ce serait peine perdue, je ne pensais pas une seconde à vous, c’est pour ça que j’ai pris la terrasse du Florien, sinon j’aurais pris la pièce d’Hemingway au Harry’s 😉
Jazzi, d’accord alors pas de morale ni jugement de valeur, et cela vaut bien sûr autant pour Flaubert que pour Poutine, d’ailleurs entre un homo pédophile et un macho homophobe, s’il fallait choisir…
une image pour renato
et les designers italiens qui sont si en avance
https://hyperallergic.com/wp-content/uploads/2019/05/Nature_1597_0152-720×480.jpg
Jazzi, par contre s’il s’agissait juste d’une observation d’ordre littéraire vous auriez pu ajouter que Flaubert traite ses personnages comme ces gamins : de simples objets destinés à satisfaire ses petit désirs de petit pervers, un peu comme Proust mais en bien pire.
ANDREA ALBERTINI
L’éditeur de livres collectors
La réédition du livre de polaroïds de Carlo Mollino, c’est lui.
La parution des facéties de Maurizio Cattelan et Pierpaolo Ferrari dans le magazine Toiletpaper, c’est encore lui. Andrea Albertini a passé sa vie dans l’imprimerie familiale, favorite des éditeurs de livres d’art et de photographie, avant d’en devenir un à son tour, en 2004. Depuis sa maison de Bologne, il jongle avec les personnalités fortes de la création, dont il retranscrit l’univers sur papier. À paraître, les paysages d’Hiroshi Sugimoto, les dessins d’Art Spiegelman et les instantanés de Dennis Hopper.
Ces Italiens qui nous inspirent
Ces Italiens qui nous inspirent
© Renzo Chiesa
PAOLO ZERMANI
L’architecte culte
Il ne figure pas sur la liste des « starchitectes », et pourtant ceux qui connaissent son travail lui vouent un culte sans limites. Virtuose, comme son aîné Aldo Rossi, de la brique rouge qu’il traite de manière quasi mystique, Paolo Zermani est en passe de s’installer tranquillement et discrètement dans l’histoire de l’architecture, en construisant, du côté de Parme, un paysage architectural composé de maisons privées, de chapelles, d’églises, de musées ou encore de folies.
http://www.zermaniassociati.it
Ces Italiens qui nous inspirent
un designer italien qui travaille avec des femmes:il est féministe
En 1969, l’architecte et designer Gaetano Pesce faisait scandale, au Salon du meuble de Milan, avec son fauteuil Up – aux formes d’une Vénus paléolithique – enchaîné à un repose-pied tel un boulet, pour dénoncer l’aliénation des femmes. Un demi-siècle plus tard, le revoilà bon pied bon œil (toujours espiègle…), qui inaugure à Florence, l’exposition « Maestà Tradita », « Vierge en Majesté trahie », où il reprend son message féministe avec encore plus de vigueur.
En expérimentant tous azimuts, il s’insurge dès les années 1970 contre la standardisation des objets. La chaise Golgotha (1972), fabriquée à partir d’un linge posé sur une armature d’acier puis figé par un jet de résine, n’est jamais la même en fonction du tombé du tissu et du geste de l’opérateur, forcément aléatoire.
Chaises Golgotha, allusion indirecte au suaire de Turin, 1972-1973.
Chaises Golgotha, allusion indirecte au suaire de Turin, 1972-1973. COURTESY GAETANO PESCE
A partir de 2002, avec l’Italien Zerodisegno, Gaetano Pesce s’intéresse à la beauté de l’imperfection (le « malfatto »), en donnant aux ouvriers la dernière main (forme et couleurs) sur des chaises et autres meubles qu’il a dessinés. Ils sont ainsi cosignataires d’une « série » de pièces uniques, celles de la collection « Nobody’s Perfect » qui libère « les objets de l’obligation d’être identiques » et interroge sur la production industrielle qui bannit l’anomalie, le défaut, le hors-norme.
« Je ne vois pas de différence entre le design et l’art. Partout, on ouvre des musées d’art et du design. Je pose la question : “Comment pouvez-vous donner deux fois le même nom à votre musée ?” »
« Gaetano Pesce ne parle que de métaphysique. Il ne pose donc que des questions », écrivait-on dans Le Monde en 1996. Ce qui ne l’empêche pas de signer l’un des premiers immeubles « verts » au monde, avec sa façade incrustée de pots de fleurs géants (Organic Building à Osaka, en 1993) et de convaincre avec son « design social » des marques de renom, tels Cassina, B & B Italia, Knoll International, Venini ou Swarovski.
Avec la collection « Fish Design », des bijoux, vases, plateaux… réalisés en résine colorée, l’artiste
https://www.lemonde.fr/m-design-deco/article/2016/11/30/gaetano-pesce-designer-feministe_5040816_4497702.html
Delaporte vous nous remémorez Edgar Faure, un homme exceptionnel aux grandes qualités dont il n’existe hélas plus aucun équivalent de nos jours du fait de la décadence de notre société et de la défaillance toujours plus grande des dispositifs de sélection et de formation de ce qu’on nommera non sans amertume « les élites ».
et alii, le « malfatto » est une tradition, j’ai quelque part un dessin de Gio Ponti pour du carrelage, années 40, avec indication pour l’artisan : « Fatelo male ».
Cela bien à part, Gaetano Pesce :
https://blogfigures.blogspot.com/2012/03/gaetano-pesce-clothes-lamps.html
Edgar Faure, je l’ai toujours trouvé sympathique. Il était excellent historien. En politique, c’était la girouette suprême : « Ce n’est pas la girouette qui tourne, disait-il, c’est le vent. » Les hommes politiques actuels sont beaucoup moins intelligents, évidemment.
Après ces élections européennes, Macron aurait dû changer de cap, et tourner avec le vent – devenir écolo. Mais pas du tout ! Le monolithe va garder le même cap, et être balayé par un vent contraire. « Je plie, mais ne romps point », disait le roseau. Macron n’est pas un roseau, comme le fut Edgar Faure.
Dites-moi, JJJ, j’ai l’impression que vous conversez tout seul depuis bien des semaines.
Est-ce que vous vous en êtes rendu compte ?
(ce post faisant exception, if course)
Pour moi Macron ne finira pas l’année sans quitter ses fonctions. J’en ai toujours eu le pressentiment.
je ne connaissais pas ces lampes renato;pourtant j’ai vu plusieurs expos ,et même une où il était venu aux arts déco à Paris;c’est un homme très chaleureux, et j’aime son oeuvre:on a envie de toucher!c’est irrépressible;
j’avais lu qu’il avait une maison en Amérique latine mais je n’ai pas cherché pour voir à quoi elle ressemblait;
dans la mode, j’ai connu la famille Ungaro;lui,le couturier, parce que son frère est aussi tailleur, et amateur d’art-collectionneur peut-être-avait fait une maison sans fil à plomb!
ils ont une soeur qui travaillait alors avec le tailleur,une jeune femme pas snob du tout, en etout avec moi,qui aimait beaucoup la nature
donc, maintenant,on n’écrit plus correcteur, on écrit mal fatto!
Sur Edgard Faure cette anecdote qui faisait s’esclaffer Mitterrand : quand il séjournait à La Mamounia c’était accompagné d’une jeune femme. Un jour le chasseur le voit arriver avec une femme plus âgée. Il lui en fait la réflexion et Faure de répondre « oui mais c’est parce que ma femme est morte ».
edgar
Si vous êtes intéresse à l’architecture d’avant-garde et excentrique, et alii, et vous ne le connaissait déjà, Paolo Soleri — ici un exemple :
Oups ! connaissait > cnnaisseZ
j’ai trouvé une video sur les images d’arcosanti:mais ce n’est pas excentrique :comme les ateliers doivent stimuler la jeunesse!il faudrait que cela soit connu en dehors du « milieu » , par exemple par les journaux féminins sur « la maison »,avec des articles de journalisme vivant ;moi, je trouve que c’est « top »!
c’est quand même en plein désert,si j’ai bien compris, mais quelle expérience de vie!
@ j’ai l’impression que vous conversez tout seul depuis bien des semaines. Est-ce que vous vous en êtes rendu compte ?
Mais voyons donc, ai-je jamais fait autre chose icite, franchement, D. ? Converser… comme si on était là pour ça ! Non, je vous l’ai déjà dit, icite, c’est rien que mon journal extime. D’ailleurs j’y ajoute ceci, ce 5 juin. Viens de voir le film PARASITE (Bong-Joon-ho). Et bien, il ne m’a pas tout à fait convaincu. Il est bien trop long et surtout, je n’aime pas trop le mélange des genres : comédie burlesques, thriller noir, fable sociale… Non, il faut choisir ! Quant aux deux morales véhiculées, je suis à peu près d’accord avec la première : à force de faire trop sentir aux pauvres qu’ils puent, même discrètement, leur vengeance peut devenir féroce. Quant à la deuxième qui veut que les pauvres évitent de se frotter aux pelures de pêches, ça ne vaut pas pour tous, hien. M’enfin, voilà tout ce que j’en pense. Et mainteant, j’attends l’avis de sspécialisssses de l’rdl, le vôtre D., vous attends pour conSER-VER. Bien cordialement !
Delaporte, tu me fatigues ! Mais je suis un brave garçon :
18 mai 2019 à 10 h 03 min
Quoique pleinement justifiée, palme ou pas palme, « Douleur et gloire » (quel titre français à la soap opéra !) est un bon cru.
Voire même un cru exceptionnel.
Un beau film personnel en forme de bilan.
Une sorte d’à la recherche du désir perdu et retrouvé.
Rarement Pedro Almodóvar se sera ainsi livré, en profondeur et en délicatesse.
Aucune impudeur narcissique dans cette énième autofiction, où le cinéaste espagnol évoque, en une narration éclatée, son enfance, l’amour exclusif pour sa mère, la détresse dans laquelle sa mort l’a laissé, mais aussi ses premières pulsions villageoises pour un maçon analphabète, sa plus flamboyante histoire d’amour (malheureux) de jeunesse madrilène, ses conflits avec l’un de ses plus célèbres comédiens, ou encore l’entrée douloureuse dans la vieillesse et la vacuité de sa vie lorsqu’il ne tourne pas.
Souvenirs réels et affabulation imaginaire, tout lui sert pour aboutir à un film, tant sa vie est liée au cinéma.
Comment retrouver l’impulsion, l’énergie, le désir de s’atteler à une oeuvre nouvelle, où la justesse des sentiments le partage avec l’émotion, quand on se sent physiquement amoindri, dépressif et solitaire ?
Dans tout film, et tout particulièrement chez Almodóvar, il y faut l’intervention d’un élément magique, à défaut d’une intervention divine, pour que le processus créatif reparte.
Ici, la découverte inattendue d’un modeste dessin le représentant un demi siècle plus tôt, servira de déclencheur.
Les mauvaises langues diront que la drogue aura aussi beaucoup aidé.
Peu importe, le film est là, servi, par un subtil glissement de rôles, où Antonio Banderas devient le réalisateur-narrateur de l’histoire, lui même incarné par l’acteur Asier Etxeandia. Tout deux tout aussi remarquables, ainsi que Penélope Cruz, aussi belle et voluptueuse que Sophia Loren en lavandière napolitaine, dans le rôle de la mère d’Almodóvar.
Et c’est ainsi que « Douleur et gloire » se métamorphose peu à peu sous nos yeux, quelque peu humides, en « Douceur et bonheur »…
Je sors de la projection de « Parasite », JJJ. J’en parlerai demain…
Soleil vert dit: 5 juin 2019 à 17 h 31 min
Je connaissais cette anecdote, mais vous la racontez très mal, excusez-moi de vous le dire. Quand on raconte une petite histoire, il faut que ce soit au cordeau, comme moi l’autre jour avec la blague de la prostituée et des Chinois sous le lit. Personne ne m’a félicité pour cette blague, et je ne suis pas content du tout. Désormais, je n’en raconterai plus, sauf si cela concerne Ed, pour lui apprendre à rigoler un peu.
« Delaporte, tu me fatigues ! »
Votre critique est excellente, mais n’est intéressante que si on a vu le film. Vous l’avez postée trop tôt. Vous êtes un rapide, Jacuzzi, un éjaculateur précoce, du moins pour ce qui est le cinéma. Sinon, quel tableau vous nous tracez de Flaubert ! C’est honteux, et un grand catholique ne pourra que s’en offusquer, surtout que c’est probablement un cynique montage de textes qui ne repose que sur une réalité biaisée. En plus, vos références étaient sujettes à caution. Vous n’avez même pas été voir le texte original. Si ça se trouve, ce sont des faux. Il vous faudra encore travailler, Jacuzzi.
« Je sors de la projection de « Parasite », JJJ. J’en parlerai demain… »
Je vais aller voir Parasite, mais je crains le pire. J’ai écouté la conférence de presse à Cannes du réalisateur, qui a une tête à claques. Je ne sais pas si je vais aimer. Je désapprouve le cinéma asiatique quand il plagie le cinéma occidental ou s’y réfère trop (ici ce gros nul de Chabrol). Je ne vais y aller que samedi, mes soirées sont prises déjà. Je sors beaucoup le soir, j’ai un vrai agenda de star, moi aussi.
Vous imaginez le lycéen ou la lycéenne, dont Flaubert est le Dieu, et qui arrive sur ce blog et qui lit les citations tronquées de Jacuzzi. C’est un coup à ne pas passer le bac !
Macron a lu la lettre d’un jeune résistant tué par les nazis.( il pouvait pas choisir un pétainiste, ils ont dans l’ensemble bien survécu )
Son idéologie du héro, jeune mais mort, commence à caractériser un truc pas tres clair…
De leur côté, les russes par l’intermédiaire de l’un ou l’une de leurs ministres, signale que ce d day en Normandy, n’est pas le début de la fin du reich nazi et insiste sur une « réécriture catastrophique de l »histoire « , vu ceux qui sont tombés sur le front de l’Est.
et alii, c’est à partir du travail de Wright et de Soleri que dans les années 60 on a commencé à réfléchir sur le gaspillage des resources et la réhabilitation du territoire — « on », enfin, dans mon cercle d’amis. Dommage que la notion d’arcologie ne renvoie aujourd’hui, presque seulement, qu’aux expérience cyberpunk et aux auteurs de science-fiction avec les limites qui vont avec. Je crois, toutefois, qu’il s’agit d’une expérience qui peut produire de bons résultats.
Pour excentrique, je comprends votre réserve. Cela dit, j’ai employé ce mot en songeant à la plus part du travail d’architecture qui se produit et l’approche de l’urbanisme qui est encore pratiquée.
Au pied d’un grand arbre :
ont dans l’ensemble bien survécu
–
Laval ne fait pas partie de l’ensemble
« Vous imaginez le lycéen ou la lycéenne, dont Flaubert est le Dieu, et qui arrive sur ce blog et qui lit les citations tronquées de Jacuzzi. »
Hypothèse hautement improbable, Delaporte. Au rayon jeune, nous n’avons que Ed, et elle n’est déjà plus de toute première fraîcheur. Par ailleurs, c’est vraiment prendre les jeunes lycéens pour des abrutis !
Phil te dirait que parmi les jeunes ipodés d’aujourd’hui, il ne s’en trouve plus dont Flaubert serait le Dieu. Ce que je ne pense pas.
Je me souviens que mon prof de philo, au lycée Carnot de Cannes, un marxiste bon teint, nous avait donné un devoir sur l’amitié. Candeur ou provocation, j’avais pris l’exemple de Verlaine et Rimbaud. Il s’en montra fort choqué et me prit à partie en ricanant devant toute la classe en me rendant ma copie notée 8/20. L’âge n’est pas forcément synonyme d’intelligence…
: 5 juin 2019 à 18 h 33 min
arretez, ces textes sont connus;c’est vous qui êtes plein de préjugés et quantbau prosélytisme, vous n’avez rien à envier;Flaubert était très potache-je nebvretrouve pas SONexpression avec ses copains mais ne surjouait pas ce qu’on dirait aujourd’hui dans la perversité;
17h01 que devient la promesse de 1000 milliards en faveur de l’environnement? Il lui est peut être plus facile de démanteler les républicains que rallier les écolo, c’est un pari. J’ai lu un titre qui m’a paru aller dans ce sens
e la notion d’arcologie ne renvoie aujourd’hui, presque seulement, qu’aux expérience cyberpunk et aux auteurs de science-fiction
ça c’est dommage parce que j’ai souvenir de beaucoup de jeunes cherchant des chantiers d’arc héologie;mais là,il s’agit de futur en plus, c’est très exaltant ,j’ai déjà fait communiquer cela par mail à ma nièce, l’italienne traductrice dont la mère,aujourd’hui morte,a été prof d’histoire ,que je fais encourager à prendre contact avec vous ,pour « lui ouvrir l’esprit »;
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