Des librairies ferment ? et alors ?
La France, combien de librairies ? De librairies, pas de divisions, pour une fois. Longtemps, ce pays s’est enorgueilli de posséder l’un des plus forts taux de librairies par habitant. Il y a une dizaine d’années, on en comptait plus d’une dizaine pour la seule ville de Grenoble – mais très peu en Corse et encore moins en Ariège. N’empêche que cette manière de record, surtout vu de Grande-Bretagne ou des Etats-Unis, paraissait être la moindre des choses pour une vieille nation qui se targue d’avoir été, sinon d’être encore, littéraire. La raison en était pourtant technique : la loi Lang/Lindon sur le prix unique du livre (c’est l’ancien ministre de la Culture qui m’a lui-même suggéré de l’appeler ainsi, lors d’un débat, afin de rendre justice à l’activisme de l’éditeur dans ce projet).
En 2014, la France comptera donc quelque 80 librairies de moins. D’un coup ! On pourra toujours se consoler au lendemain des fêtes en répétant, comme chaque année, que le livre est le cadeau le plus offert (des études pleines de chiffres et de courbes l’attestent), même si l’on sait que le noyau de gros lecteurs ne cesse de se rétrécir et que les gens lisent de moins en moins, surtout les jeunes, rien n’y fait. Ce trou dans le tissu des librairies françaises sera impossible à repriser. D’un côté, la faillite de Virgin par la faute de propriétaires plus soucieux d’investissements financiers que de vente des livres. Résultat : 26 points de vente de moins. De l’autre le dépôt de bilan de la chaîne Chapitre par la faute de propriétaires incompétents. Résultat : 52 magasins en moins. Ou un peu moins si certains sont effectivement repris par des libraires indépendants (tel Chapitre-Privat à Toulouse repris par la Maison du livre à Rodez). Dans un cas comme dans l’autre, des erreurs stratégiques reposant sur des modèles économiques inadaptés. Sans oublier, comme le rappelle Christine Ferrand dans son éditorial de LivresHebdo, la fermeture de Mona lisait, chaîne de magasins de livres neufs à prix réduit (trois librairies sur les neuf que comptait l’enseigne seraient reprises) Et la perspective pour la Fnac, toujours à vendre, de devenir un Darty-bis en glissant tout doucement vers l’électroménager et en réorientant son modèle par les franchises.
On en est là. Bien sûr, si on est Aurélie Filippetti, on crie très fort et très haut contre Amazon, bouc-émissaire idéal, en oubliant que la très-grande-librairie-en ligne ne se contente pas de réussir là où le portail des éditeurs français avait échoué : elle apporte également des livres en un temps record à des lecteurs et des villes ou des bourgades de France métropolitaine et d’outre-mer où il n’y a pas un libraire à moins de cent kms. Crier haro sur Amazon permet aussi de ne pas voir que le téléchargement gagne du terrain sur le livre papier, et partant sur la librairie ; de ne pas s’interroger sur les autres raisons qui ont provoqué une baisse spectaculaire de la vente des livres en septembre (5% de moins que l’an dernier qui était déjà un mauvais crû) ; et surtout de ne pas admettre que nombre de libraires n’arrivent plus à joindre les deux bouts aussi si ce n’est avant tout parce que le montant de leur bail est devenu exorbitant, comme le libraire historique Castéla, place du Capitole à Toulouse, a eu le courage de le reconnaître avant de baisser définitivement le rideau. Ou la non moins historique Del Duca sur les grands boulevards à Paris. C’est que les modes de consommation ont évolué –et la sociabilité avec.
Il n’est même plus sûr que le fameux « contact physique », alchimie d’un toucher, d’une voix, d’un regard, d’un accueil, d’une bienveillance, d’une expérience, qui lie un libraire à ses fidèles clients, ne soit pas en passe d’être obsolète tant la relation permanente à l’écran a modifié les habitudes du lecteur. A court terme, les librairies indépendantes ont bien raison de tout miser sur cette relation personnelle, renforcée par une animation permanente de leur lieu (conférences, débats, dédicaces, rencontres etc). Mais pour combien de temps encore ?
Une fois dressé le constat, reste à inventorier l’ampleur des dégâts. En d’autres temps, le chœur des lamentations aurait été unanime. Pas cette fois. Bien sûr, du côté des éditeurs, on se désole d’une baisse dramatique du chiffre d’affaires, perspective annoncée avec certitude. Mais on sait aussi que les éditeurs se sont toujours plaints de leur situation. N’importe quel chercheur qui a travaillé sur l’histoire de la profession en a fait l’expérience : la lecture des Nouvelles littéraires des années 30 aux années 70 résonne d’une même plainte, inchangée et récurrente. Mais ce qui est nouveau, c’est qu’on entend désormais de plus en plus de professionnels exprimer un point de vue pragmatique, ne pas déplorer la situation et oser poser la question taboue : la fermeture de librairies entraînera-t-elle automatiquement une baisse des ventes de livres ? Et de répondre d’un même élan : rien de moins sûr car les lecteurs se reporteront soit sur des librairies indépendantes du quartier d’à-côté, pour ce qui est des grandes villes, soit sur les librairies en ligne (Fnac, Decitre, Sauramps, Mollat, Priceminister, Gibert Jeune, le Furet du Nord, Dialogues etc et bien sûr Amazon).
Et alors ? Le dire ainsi, c’est déjà faire acte de provocation, pour l’instant. Car l’air de rien, en même temps que le livre, au moment où s’amorce sa dématérialisation et tandis qu’il devient un produit comme un autre aux yeux des consommateurs de produits culturels, la librairie est peut-être en train de quitter le statut de sanctuaire dont elle a longtemps joui – et la bibliothèque métamorphosée en médiathèque, aussi. Changement d’époque ?
(Photos Passou)
809 Réponses pour Des librairies ferment ? et alors ?
chantal dit: 16 décembre 2013 à 18 h 01 min
Vous avez raison : Bloom, c’est champagne et poilus… Je l’imagine avec les yeux de Peter O’Toole et la face de Charles Pasqua…
qljriu dit: 16 décembre 2013 à 12 h 35 min
pas vrai, Marcel ? Quand vous étiez instituteur, avant d’être prof de maths, vous leur appreniez des trucs que vous saviez, à vos élèves, n’pas ?
Il est vrai qu’à cette époque, les repères étaient plus visibles. Après 1968, grande période de la contestation – parfois très légitime – il y a eu de grandes dérives : les mathématiques dites modernes allaient être la panacée universelle pour que tout un chacun comprenne enfin cette matière rébarbative, l’histoire allait être rénovée en rejetant toutes ces dates encombrant les cerveaux de nos enfants et en les motivant à l’aide d’anecdotes, raccrochées à rien, sur les monuments de leur quartier, et le français allait s’apprendre dans les opuscules des halls de gare. Surtout, l’idée maîtresse était que tout s’apprend sans effort et dans le jeu. On se souvient des dégâts de libres enfants de Summerhill. Bon, il y a eu quelques rectifications de tir, mais on n’est loin de faire la part entre le fondamental et le superflu.
Sur le recrutement des enseignants, cela a été une bonne chose que d’élever le niveau en passant du bachot à la licence. Evidemment, l’enseignement élémentaire est pluridisciplinaire et on voit poindre quelques problèmes : tel enseignant de formation scientifique pourra-t-il être à la hauteur dans l’enseignement du français ? Normalement, l’enseignement dans les IUFM doit pallier ces hiatus non insurmontable pour la majorité.
Il est un autre réel problème qui réside dans les moyens donnés à l’éducation. Certes, elle est bien dotée mais on peut faire mieux quand même. Le texte ci-dessous a été écrit sous le quinquennat précédent au moment des suppressions drastiques de postes.
Dépoussiérage
La situation était alarmante. Les caisses de l’état étaient vides. On n’allait bientôt plus pouvoir verser le salaire du Président. Le gouvernement multiplia les commissions pour examiner les dépenses superfétatoires. On réalisa que l’Éducation Nationale – et plus particulièrement l’enseignement des mathématiques dans les collèges – était un gouffre. Tout un aréopage – doctes inspecteurs généraux, parlementaires, personnalités connues pour l’intérêt porté aux choses éducatives – dirigé par le Ministre en personne, passa à la loupe les programmes pléthoriques que les enseignants devaient inculquer aux chères têtes bondes (et souvent brunes).
Les triangles furent les premiers à subir l’attaque frontale. Il fut avancé que l’étude des triangles quelconques était une ineptie. Pourquoi une telle notion vague, propre à brouiller les jeunes esprits, était-elle enseignée ? De surcroît, ces triangles de guingois représentaient un obstacle à l’approche de la vision harmonieuse de l’univers. Seul le triangle équilatéral par sa simplicité et son esthétisme trouva grâce à leurs yeux. On biffa donc tout ce qui ne concernait pas l’équilatéralité et deux centaines d’heures d’enseignement – ou plutôt de gaspillage enseignemental – furent économisées. Bien sûr, un vieux schnock qui avait dû connaître les dinosaures fit remarquer que Pythagore passait à la trappe. Ce fut un tollé. Comment en 2008 pouvait-on encore se préoccuper de ces choses obsolètes datant de plus de 2.500 ans ? Dans la foulée, les quadrilatères subirent le même sort. Il n’y eut que le carré qui ne resta pas sur le carreau. Et puis, tout ce qui n’était franchement pas rond – l’ellipse, la parabole, l’hyperbole – fut considéré comme faribole. On les élimina rondement. L’économie en heures passa d’un bond de 200 à 600.
Devant ces résultats encourageants, la commission s’attaqua avec enthousiasme à l’algèbre. Elle remarqua qu’additionner, soustraire et multiplier des lettres, quand on ne les divisait pas, étaient d’une aporie sans nom. Et puis, pouvait-on encore laisser traîner dans les manuels cette expression sibylline et absconse « soit x l’inconnue » plongeant les élèves dans une perplexité sans fond, puisque cette inconnue logeait de manière immuable à la 24 ième place dans l’alphabet ? Les chiffres ne devait pas être mélangés aux lettres, un peu d’ordre était nécessaire : les uns aux maths, les autres au français ! Et le célèbre jeu télévisuel ne s’en porterait que mieux. Il est vrai qu’il était un peu dur, même pour un ministre, de jouer au compte est bon avec des lettres. Quant au mot le plus long avec des chiffres ? Bref, on économisa ainsi plus de mille heures.
L’euphorie gagna la commission. Après avoir soulevé ce lièvre, elle en souleva un autre dans la foulée. On avait parlé d’opérations mais on n’en avait pas discuté. Quelqu’un fit remarquer qu’un ministre du passé avait déjà fait œuvre de simplification hardie en supprimant allègrement la division au CM, allégeant substantiellement le fardeau des maîtres et des élèves. Aucune heure ne fut économisée, mais la route était toute tracée pour en faire au collège. Si la division était inaccessible à l’école, elle ne l’était pas moins au CES. Certains dirent même qu’elle ne pouvait trouver sa place qu’à Sciences-po pour illustrer l’adage « Diviser pour régner » devant nos futurs penseurs. On décida donc de biffer le mot division des programmes. Le grognon de service qui avait plaidé pour Pythagore intervint pour défendre sa grande utilité dans les partages d’héritages. Un inspecteur le toisa en rétorquant que les partages en parts égales n’étaient qu’une vue de l’esprit. N’avait-on pas encore en tête l’incident de Soisson où Clovis dut réprimer sévèrement un de ses reîtres qui avait fait voler en éclat un vase qui revenait légitimement au maître après le sac de la ville ?
On débattit longuement de la soustraction. Le secrétaire de séance biffait, gommait biffait, gommait… On tomba finalement d’accord pour offrir aux élèves des soustractions rondes et carrées, partant sans retenues. Il était vrai que ce mot de retenue était à proscrire car créant des traumatismes irréversibles dans la tête des élèves comme le fit remarquer un éminent psychothérapeute. Le gain en heures atteignait des sommets. Cependant, le Ministre avait placé la barre un peu haut et le compte n’y était pas encore. Alors, un secrétaire d’État émit l’idée révolutionnaire : « Et si on se passait des quatre opérations ? ». Monsieur Hewlett-Packard qui somnolait dans son coin, sursauta. Il avait arraché haut la main le marché des calculettes. La proposition du secrétaire d’État risquait de le lui faire perdre. Il protesta avec véhémence. Le ministre le rassura tout de suite. Le cours des bûchettes avait encore augmenté, les machines de monsieur Hewlett-Packard pouvaient habilement se substituer à ce matériel onéreux. On les distribuerait donc aux élèves de CP voire de maternelle pour qu’ils s’initient au dénombrement. Et si, par hasard, certains d’entre eux remarquaient qu’en appuyant sur les touches, il s’affichait des nombres, peut-être que, finalement, ils découvriraient tout seuls les vertus des opérations, ce qui mettrait aux anges les tenants de l’auto-apprentissage.
L’objectif était atteint. La commission se sépara grandement satisfaite de ses travaux et vota une augmentation de salaire de 200% pour le Président et une forte prime de rendement pour le Ministre.
je ne me moque pas, il y a probablement un message, mais lequel ?
Le colloque est obsolète.
Mais enfin, monsieur Marcel, reconnaissez que l’étude des triangles quelconques est une belle perte de temps …
Un triangle équilabial, je veux bien.
Un triangle recglande, passe encore.
Un triangle biosocèle, certes, ça peut plaire
….mais les triangles QUELCONQUES… !
On est à l’Uniniversité, pas en Banlieulieu !
Histoire de faire autre chose que perdre votre temps en chamailleries inutiles, quelqu’un pourrait-il me dire comment on écrit 10 puissance 14 sur un clavier azerty ?
Monsieur Brown : on est sur un blog littéraire. L’orthographe mathématique on s’en tape !
sur un clavier azerty le seul moyen d’écrire 10 puissance 14 est :
10 000 000 000 000
John Brown dit: 16 décembre 2013 à 18 h 18 min
Histoire de faire autre chose que perdre votre temps en chamailleries inutiles, quelqu’un pourrait-il me dire comment on écrit 10 puissance 14 sur un clavier azerty ?
Bah, John, tu viens de l’écrire, non ?
restons simples dit: 16 décembre 2013 à 18 h 54 min
sur un clavier azerty le seul moyen d’écrire 10 puissance 14 est :
10 000 000 000 000
C’est 10^13, ça !
sinon, outre le lavement au vinaigre de framboises préconisé par bouguereau, on peut écrire « dix mille milliards » ou alors on se sort les doigts du cul, on oublie sa machine à écrire, on utilise un traitement de texte genre Word et on commande « exposant ».
C’est 10^13, ça !
Ben non. 10 puissance 2, c’est 100, 10 puissance 3, c’est 100, etc., donc 10 puissance 14, c’est 10 + 13 zéros. Enfin il me semble.
10 puissance 3, c’est 1000, évidemment.
chantal dit: 16 décembre 2013 à 18 h 09 min
Le colloque est obsolète.
reste polie, chantal.
Et 10 puissance zéro, c’est quoi, restons simples ?
Phil dit: 16 décembre 2013 à 17 h 10 min
Pas du tout Phil, ça fait toujours plaisir de faire du lèche-vitrine.
Voyez, si on regarde les chiffres, c’est pas du tout ça. Car il y a un truc épatant, toutes ces grandes réflexions sur l’économie du livre, sont basées sur des sondages. Et ça, quoi qu’on en dise, ça reste de la haute voltige économique, qui rivalise d’ingénuité avec la cartomancie.
D’ailleurs il manque un lien, pour les matheux.
http://www.syndicat-librairie.fr/fr/chiffres_cles_du_secteur_du_livre
10 puissance zéro, c’est zéro.
restons simples dit: 16 décembre 2013 à 19 h 19 min
Je sais pas, mais il me semble que la réponse exacte va vous être donnée par marcel callbrix. Il s’y connait en ronds carrés.
des journées votre lien n’est pas très parlant
pfftt encore coincé au temps du cinéma muet
et si l’interprétation de vos colonnes de sondages (absentes)
ressemble à à votre message, nous voilà ainsi bien mal renseignés.
Que vouliez-vous dire, haute voltige mathématique et falsification des résultats?
Est-ce bien là le sens de votre propos?
restons simples dit: 16 décembre 2013 à 19 h 19 min
10 puissance zéro, c’est zéro.
Contre toute attente, c’est 1.
C’est une convention certes, mais il y a une explication pseudologique : 10^1 c’est 10 (1 suivi d’un zéro), 10^2 c’est 100 (1 suivi de deux zéros), 10^n c’est 1 suivi de n zéros. Si n=0, le résultat est donc 1 suivi de zéro zéro, donc c’est un.
bérénice dit: 16 décembre 2013 à 19 h 34 min
Mé non, Bérénice.
Ce lien n’est parlant que pour ceux qui ont compris « la raison technique ».
Soyez téméraire, explorez les liens.
nous voilà ainsi bien mal renseignés
Alors ça ma bonne dame, quand en bonne démagocratie qui se respecte le mantra unique est de répéter que tout le monde le sait et cela même chez les spécialistes de l’information, il s’ensuit logiquement que.. – mais suis-je bête, vous le savez déjà
Ok, Bérénice, I’ve got cette histoire belge.
http://www.youtube.com/watch?v=I5MPeaY9eLo
Pas le temps, vous pourriez extraire la quintessence de ces expertises et nous communiquer ce qui semble essentiel à la compréhension de la situation de ce secteur de l’économie, désolée de n’avoir pas la compétence d’un fonctionnaire mandaté pour Bercy.
Et je n’ai que faire de vos histoires belges.
Et moi, Bérénice, je n’ai que faire de vos attentes, peu curieuses !
Trés bien dans ce cas pouvez-vous faciliter la navigation? Dans cette page que vous communiquez indiquez quelle rubrique est nécessaire à la compréhension, au hasard j’ai cliqué sur l’une d’elle qui se refuse, à moins que tout soit indispensable pour un visionnage correct complet clair synthétique.
Jacques-André WIDMER dit: 16 décembre 2013 à 5 h 26 min
Avec la majorité, je déplore aussi la disparition des librairies physiques, comme celle des chevaux de trait dans nos campagnes et les « Baisse un peu l’abat-jour » de l’époque où la France était encore équipée de réseaux à 125 Volts et d’ampoules à 15 Watts…Et où le pain amer de l’après-guerre se payait en pièces à trous…
–
Vous avez tout à fait raison, sauf pour le 125 volts qui est plus dangereux que le 230 en cas d’électrocution, car l’intensité du courant est double. Peu de gens savent ça.
Quoique avec 15 Watts on a jamais que 0,12 Ampères.
Mais si Mèmère fait sa lessive de blanc à 90°, on a 16 Ampères au lieu de 8 en 230 Volts.
Mémère a intérêt à faire attention, ou bien aller au lavoir, ce qui finalement serait la meilleure solution.
Et puis il faut des fils plus gros en 125 volts. Et le cuivre coûte cher. Ce qu’il faudrait, c’est que le cours du cuivre baisse.
D. dit: 16 décembre 2013 à 20 h 38 min
Jacques-André WIDMER dit: 16 décembre 2013 à 5 h 26 min
Vous avez tout à fait raison, sauf pour le 125 volts qui est plus dangereux que le 230 en cas d’électrocution, car l’intensité du courant est double. Peu de gens savent ça.
D’abord, la puissance était 110 volt et non 125. Ensuite, d’après V=RI, l’intensité n’est pas double mais divisée par 2. Arrêtez d’induire les gens avec de l’erreur.
Vous avez tout à fait raison, Marcel, où avais-je la tête. D’ailleurs je crois que R varie en fonction de la température, et comme nous sommes à 90°, c’est à dire pi/2, il faut considérer le quart de l’alternance, ce que j’ai omis malencontreusement.
D. dit: 16 décembre 2013 à 20 h 53 min
Tout à fait D., et cela me rappelle une histoire quand les jeunes avaient la chance d’allez au service militaire (heureusement que maintenant, ils échappent à la folie guerrière du président). Le formateur dit : l’eau bout à 90°. Le bidasse Bidoche lui fait remarquer que c’est faux. Le formateur passe sa nuit à potasser les livres. Le lendemain, il revient et déclare :
Bidoche a raison, l’eau bout à 100°, c’est l’angle droit qui bout à 90°.
perso, suis pas surpris que les librairies ferment…d’abord il y’a Amazon & la Fnac, ensuite il y a la qualité du service…hier, je me trouvais a l’Ecume des Pages a Paris, a la recherche d’un bouquin pour offrir…d’abord, les étagères n’étaient pas en ordre alphabétique, ensuite quand je demande a un employé s’il pouvait m’aider a trouver le bouquin en question, il me fait ’je suis occupé’…ni ‘désolé’ ni ‘donnez-moi 2 secondes et je suis a vous’ ni tata Jacqueline…j’ai décidé alors d’aller dépenser mes sous a la Fnac de Montparnasse ou une jeune & charmante employée me trouva le bouquin immédiatement…et avec le sourire aussi…
…
…pensons aux fonctions des ensembles,…ne nous perdons pas dans les détails des machineries qui sont contrôlées par automatismes,…
…
…un objectif,…précédent a été de nous gaver de Math-moderne,…essentiels à tout les raisonnements,…mais attention à nos » divisions d’esprits « ,…pour culminer ensemble aux » objectifs d’intérêt général fixes » par un simple tournemain,…
…
…de là,…à dire avoir le bras long,…je ne crois pas,…c’est plutôt a la somme des quintessences & organigrammes et aux praticiens » motivés « ,…en relais de sources sûres,…qu’il faut louer le succès,…des plans,…
…jouer aux échecs,…c’est déjà,…de voir l’intérêt de l’état, dans la complicité de leurs intendances d’obscurantisme du pouvoir,…dans les lois de dégrossissage de détails du peuple,…& qui va mendier,…qui va faire la bonne du quartier,…et les ouvrières de » surface close « ,…
…envoyez pour rappel,…en garde ! soldatesque de lèche-cul du pouvoir,…etc,…
…garder le ton, d’un rythme,…à l’A.D.N.,…du bon pouvoir partagé !,…c.q.f.d.,…
…des profs,…du contentieux,…ou des profs pour l’élitisme partagé,…rien de plus!,…
…etc,…envoyez !,…
Il y a plus bas des gens qui débloquent sur les puissances de 10. C’est pourtant simple.
(a) Pour n entier > 0, 10^n est par définition le produit de n facteurs égaux à 10.
(b) Toute personne sachant encore compter combien une multiplication comporte de facteurs peut constater que, quels que soient p > 0 et q > 0, on a
10^p * 10^q = 10^(p+q).
Après cela, tout le travail consiste à définir les exposants entiers quelconques (i.e. non nécessairement > 0) DE TELLE SORTE QUE LA REGLE PRECEDENTE SUBSISTE.
Exercice – Montrer que (10^p)^q = 10^pq.
(c) Si l’on désire, et l’on désire, que la règle (b) soit encore valable si p ou q est nul, il faut définir 10^0 de telle sorte que
10^0 * 10^n = 10^n
car 0 + n = n.
(d) Comme la relation ab = b implique a = 1 (si b non nul), il s’ensuit que l’on doit DEFINIR 10 ^0 comme étant égal à 1.
(e) Dans tout cela, le nombre 10 ne joue aucun rôle. Vous pouvez le remplacer par 153678,57943 si vous y tenez, ou par pi, ou…
(f) Les puissances de 10 servent aux physiciens et à toute sorte d’autres gens à définir des « ordres de grandeur ». Il leur faut aussi des nombres du genre un dixième, un centième, etc. et savoir comment ça fonctionne. Par définition, multiplier un nombre x par un dixième (1/10), c’est le diviser par 10. Il s’ensuit que le nombre 1/10 doit, entre autres conditions, vérifier la relation
10^n * 1/10 = 10^(n-1)
car diviser par 10 un produit de facteurs 10, c’est supprimer l’un de ces facteurs.
(f) Si l’on veut être cohérent avec la règle énoncée en (b) ci-dessus, il faut donc convenir que
1/10 = 10^(-1).
(g) on définit alors les puissances négatives de n’importe quel nombre POSITIF de telle sorte que
x^(-n) * x^n = x^0 = 1,
d’où x^(-n) = 1/x^n. Etc. Tout baigne dans l’huile, quelques règles formelles simples permettent de calculer de façon quasi automatique.
Inutile d’entourer tout cela de laius « pédagogiques » ou d’explications « intuitives » qui interfèrent avec la concentration sur le sujet. La meilleure pédagogie, c’est (1) de donner des définitions claires et précises (2) de tout justifier de façon strictement logique. Le reste est du verbiage.
On laisse aux littéraires de ce blog le soin de poursuivre par eux mêmes la théorie jusqu’au point où ils auront compris ce que signifie par exemple l’expression
(racine de 2)^(pi).
Good luck. Pour vous aider, lire le (début du) dernier chapitre de mon Analyse mathématique I (Springer-Verlag, 1978), que j’ai rédigé à dessein pour montrer comment on peut s’élever pas à pas du plus simple au plus compliqué. Malheureusement, ça prend du temps et de la patience.
Avec mes excuses pour ce que d’aucuns considèreront comme de la pédanterie, alors que c’est – littéralement – le b-a-ba des mathématiques.
Roger Godement
Visitez http://godement.eu/site/
Merci, Marcel.
Moi qui toujours été dernier en maths, ça me fait quelque chose, ces mots doux.
Merci Roger.
J’ai pas tout compris, mais merci quand même.
Mon cours magistral sur les puissances de 10 semble avoir complètement détraqué le cerveau de M. Giovanni San Angelo.
Au fait ce ne sont pas « des gens » qui débloquent, c’est John Brown, un type tout à fait particulier.
Monsieur Godement, c’est un plaisir énorme de vous (re)lire ici.
vous vous trompez, m’sieur gode-ment, giovanni sant’angelo est un génie.
…
…R.G.,…un diamant en puissance 10,…un coup de marteau,…Oh!,…les particules en carats au vent!,…etc,…
…mes livres de Math-algèbre,…et pour mon meuble laquée,…combien de couche,…à tribord,…bien à vous,…!
…
…les ordinateurs,…aux diamants,…et puis après,…a deux mains & a trois balles près du cochonnet,…pétanques encore,…un pastis avec un zeste de bordeaux,…chambré au fût,…etc,…
…
Personne n’a encore été fichu de me dire comment je peux écrire 10 puissance 14 avec 14 en tout petits caractères remontés (j’espère que je me fais comprendre). Ce n’est pas une question de mathématiques, c’est une question d’esthétique, une affaire d’élégance. Je m’étonne que, sur un blog littéraire où les questions d’esthétique sont pour ainsi dire récucurrentes, mon petit problème laisse tout le monde indifférent.
« avec ses yeux bleus incroyables
baroz l’avait pensé avant toi kabloom »
Euh, moi, c’est plutôt les moustaches d’omar Sharif qui me faisait de l’effet, le boug !
Giovanni, vous trouverez dans l’un de ces documents un texte qui parle de Grothendieck, qui m’avait beaucoup plu.
M. Godement , que je remercie,pour tout ce qu’il a donné. http://godement.eu/site/documents/
Des journées peut-on considérer 1)que vous draguez Giovani
2) qu’utilisant une référence en mathématiques vous donner à voir l’étendue de votre compréhension et les domaines à laquelle elle s’applique
3) vous laissez dans un élan généreux liberté au lectorat de tirer les conclusions qui s’imposent à votre sujet
ma conclusion étant que vous êtes salement brillant bigrement intelligent conséquemment modeste.
bérénice dit: 16 décembre 2013 à 23 h 02 min
Bérénice, je ne peux plus rien pour vous; Adressez vous à D. ( qui a bien compris qu’Ampère, à résistance égale, l’électrocute. Et d’ailleurs, G. Clonney est. irrésistible)
Non, voyez-vous, je suis toute à ma joie de savoir M. godement toujours parmi nous ( enfin, quand je dis « nous », c’est très très sélectif!)
Yep. Monsieur Godement.
A suivre :
lemonde.fr/economie/article/2013/12/16/les-travailleurs-chez-amazon-ont-des-conditions-de-travail-dignes-du-xixe-siecle_3517609_3234.html
Zut, c’est l’e-motion, lire: G. Clooney.
Vous savez, Bérénice, (vous ne le savez pas?)que dans les magasins Fnac, parfois, -mais c’est très rare, voire rarissime, Abdel-, qu’il y a le sourire, en plusse.
Est-ce que ceci pourrait vous divertir?
http://www.lactamme.polytechnique.fr/images/PRIM.42.16.D/display.html
Et ça nous fait quel âge, Monsieur Godement, toujours vert d’esprit ?!
…
…Merci!,…à dans les arbres!,…
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…il n’empêche que de diversions en escroqueries des peuples,…
…le blanc seing toute catégories,…peut être attribuer,…aux gestions par les ramifications des églises et vases communicants,…
…travailler,…jour et nuits du matin au soir,…pour Dieu et ses disciples,…et en fin de compte se retrouver avec rien à soit,…rien de rien,…& juste en enfer avec Dante & Marco-Polo de mes deux!,…
…elle est belle la chrétienté a égorgé son prochain l’un & l’autre au bénéfice des thiers payants pour l’unité une et indivisible de(s) états c’est moi,…toujours les mêmes à se gargariser des profits à la réduction humaine dans les esclavages aux quotidiens!,…
…Patron,…demain,…je vais rejoindre les paradis pas perdus pour tout le monde,…aux édredons de liasses à 500 €uro’s,…
…quelle chaleur,…même tout nu,…couverture en ours grizzli de B.B.,…elle aime tant qu’on s’occupe des bêtes fourrées,…çà me fend le coeur,…deux fois en quatre,…exposant 10 SUR 10,…etc,…
…en repassant envoyez!,…
…
…
…Bérénice,…je ne sais pas pourquoi vous me protéger dans cette discipline journalistique,…
…mais , est ce que je doit craindre le pire,…et oublier mes ailles,…et me retrouver très terre à terre,…
…enfin!,…des craintes non fonder,…autant songer déjà à la Croix-Rouge,…et le don de sans toi ma mie,…le Rubi-con,…encore à traverser,…et Rome à pied levé!,…etc,…
…
« Personne n’a encore été fichu de me dire comment je peux écrire 10 puissance 14 avec 14 en tout petits caractères remontés (j’espère que je me fais comprendre », dit John Brown.
Ben, c’est une question de traitement de texte. Dans le mien (NotaBene, inconnu en Fr), on fait Ctrl+7, c’est tout bête. Si j’avais dû écrire des maths comme sur ce blog, je serais dingue depuis longtemps. Pendant 40 ans, j’ai comme tout le monde utilisé une machine à écrire; les exponents se tapaient facilement en remontant le rouleau d’un demi-cran. Il y a aussi ce stupide signe * pour la multiplication. Tout ça, c’est des inventions des informaticiens !
Roger Godement
Non, Bérénice, les spirales d’Archimède ne sont pas ma tasse de thé. Je me souviens vaguement en avoir entendu parler lorsque j’étais en prépa (1939-40, ça répond à la question de J. Barrozi sur mon âge), après quoi c’est totalement disparu de mon panorama. Bien sûr, on peut s’amuser à faire jolis dessins, Polytechnique a été inventée pour ça.
Roger Godement
D vous devez vous souvenir puisqu’il est ce soir question de mathématique du nom de ce chercheur britannique qui s’est attelé à démontrer résoudre une énigme irrésolue, vous l’aviez cité avec JC en octobre, j’ai perdu sa trace et ne me reste pas même une vague idée de son travail, l’avez-vous?
Je vais me demander et je reviens.
J’ai la réponse, mais je ne vous la donnerai pas
Vous n’avez qu’à chercher un peu, Bérénice.
Allez je vous embêterez plus, je pense que 30 vies comme la mienne ne suffiraient pas à comprendre deux lignes de ce chercheur, voyez ça va m’occuper. C’est pour ma collection, c’est mieux que les panini.
Que viennent faire ces petits pains ici ?
Giovani n’ayez crainte, nos champs ne se croiseront pas, comment êtes-vous? Que j’en éprouve un regret…
les panzani, ils donnent des images auto-collantes chaque 2 paquets promotionnels.
…
…bérénice,…je vous trouve bien naîve en art des graphismes,…toujours est-il,…que j’ai dépasser des frontières de la création sans programmes ou astuces,…et au naturel,…c’est question d’homme dans son unité avec l’espace,…la pensée infinnitisimale succincte,…seule,…
…il existe aussi sur des programmes de photo-dessin des années 2000,…il y a toutes les arborescences graphiques,…comme un cerveau sans fin ou un serpent constricteur,…un magma de la pensée, donc,…pourquoi en être issus avec une structure,…par qui!,…par qui!,…comment & pourquoi!,…
…des questions ou les math’s ne sont aussi que diversions & leurres du pouvoir,…
…le pouvoir à fabriquer les raisons et les motivations comme une alchimie de statut entre groupes ; les victimes et leurs persécuteurs,…ensembles la danse macabre de la vie,…
…le romantisme ou est’il passé,…la pipe aux parents et grand’parents,…la romance du foyer,…etc,…
…comme l’écrit » D « ,…et demain un autre jour pareil !,…
…
…
mais je me fiche éperdument du portrait de ce mathématicien, je veux son nom, c’est important j’ai accordé à cet homme une de mes photos et j’aimerais me souvenir de pourquoi
…
…bérénice ,…je suis splendide pour moi,…
…et aussi,…un rien de trop narcissique,…
…on est comme on est!,…une chance!,…on ne se refait pas!,…et c’est bien ainsi!,…pour moi,…
…j’aime tout,…et bonne nuit!,…fatigué!,…déjà,…
…
D si vous me filiez une adresse valide je vous ferais parvenir cette image qui vous dirait quelque-chose, votre dimitri@ n’est pas valide et j’ai eu la naïveté d’y croire effectivement.
John Brown dit: 16 décembre 2013 à 18 h 18 min
Histoire de faire autre chose que perdre votre temps en chamailleries inutiles, quelqu’un pourrait-il me dire comment on écrit 10 puissance 14 sur un clavier azerty ?
Au clavier, je ne sais pas. Est-ce que ça existe ? Si vous êtes en word, John, vous tapez 10, puis vous cliquez sur format, puis sur police, puis vous cochez indice, puis vous tapez sur OK, puis vous tapez 14. Il apparaîtra en exposant. Pour continuer, il faut enlever le cochage sinon la suite du texte sera en exposant.
Roger Godement dit: 16 décembre 2013 à 22 h 18 min
Bonjour monsieur Godement et cher collègue. Je vois que vous êtes contre les approches heuristiques dans les mathématiques, pourtant un bon dessin vaut mieux qu’un discours parfois. Par exemple, comme la notion d’ensemble ne peut se définir de manière d’élémentaire, doit-on se priver d’en donner un aperçu métamathématique, dites-moi ?
Je dois aussi vous dire tout le plaisir que j’ai eu, quand j’étais étudiant, de m’initier à l’algèbre en utilisant votre ouvrage particulièrement rigoureux. Merci.
A la FNAC Montparnasse, les employés sont généralement sympas; aux Halles, rayon bouquins, ça passe son temps à discuter fort,
ça joue le dérangé et donne des vagues réponses quand le client pose une question. Fnac off!
Mon client me prie de faire savoir à mademoiselle/madame Bérénice Tite que le nom du chercheur anglais qui démontra la conjecture de Fermat en 1993, est ANDREW WILES, professeur à Princeton.
L’histoire est fort bien contée par Simon Singh dans son livre « Le dernier théorème de FERMAT » chez J.C.Lattès, à condition de ne pas avoir conduit sa vie dans les domaine du BOF (Beurre,oeufs, fromages) et d’avoir un minimum de connaissance curieuse des mathématiques.
Par ailleurs, il me prie de féliciter le Sire de Godement, 92 ans en octobre dernier, se félicitant que les mathématiques conservent les hommes de grande vertu aussi bien ! Que cela serve d’exemple à bien des littérateurs à la dérive, ici même …
Vive Bourbaki ! Vive Passou ! Vive la France ! Vive la Crèmerie ! Bien à Vous !
J’oubliais ! L’émotion, sans doute…
Mon client salue ses amis nombreux en RdL – « une majorité silencieuse et fidèle » m’a t il dit- et les remercie pour les nombreux messages d’encouragement reçus. Qu’ils ne se fassent aucun souci ! Ses nouvelles tâches le passionnent.
En prière, bien souvent une partie de la nuit avec Mère Graziella de Hautecloque qui lui a confié l’enivrante tâche de Conseiller Régulier et Spirituel de son couvent, il se dévoue de toute son âme à votre salut comme à celui des novices dont il a la charge, et qui ont tant de besoins, les chères petites !
Aujourd’hui, tout son temps sera consacré à l’installation de la Crèche de Noël du couvent, merveilleux santons d’époque, ouvrage qui rappelle la naissance de notre Sauveur à tous les mécréants des religions concurrentes et remet leurs fantaisies délirantes et criminelles à leur juste place …
Vive Jésus ! Vive la Chrétienté ! Gloire à Dieu ! Joyeux Noël !
…Merci!,…le crémier à J.C.,…de Galactica séries films & Alpha Spot en dix-versions,…Bip,! Bip,!,…
…encore avec le boulet Stalag-13,…& aux Pieds Nickelés!,…et consorts de chrétiens mixtures en Marabou du terroir moderne,…aux vents des gelées royales,…
…etc,…
…Andrew Wiles prof à Princeton,…chercheur anglais,…
…conjecture de Fermat en 1993,…
…un à la foie,…suivant,…
…
« Les travailleurs chez Amazon ont des conditions de travail dignes du XIXe siècle » Lemonde.fr
http://www.fabula.org/actualites/p-quignard-la-suite-des-chats-et-des-nes_60287.php
Parce que, Chaloux, je pensai à vous et que vous l’aimez beaucoup.
Bonne journée
Il y a aussi ce stupide signe * pour la multiplication
y zont fait avec cqu’ils avaient goodman et avec souci d’êtes lisibe sans mésinterprétation, des scribes trés modestes, les majuscules elles mêmes..pour les math t’as soi des éditeurs spèces ou tu emploies les conventions globiche clavier de base (^pour exponent) ou tu utilise les codes ascii spéciaux, et t’énerveras ton monde, tes potes matheux compris
arthur dit: 17 décembre 2013 à 7 h 51 min
« Les travailleurs chez Amazon ont des conditions de travail dignes du XIXe siècle » Lemonde.fr
Il vaut mieux être chômeur ou pigiste au Monde, c’est sûr ! Moins fatiguant.
l’Ecume des Pages, qui était autrefois une librairie spécialisée dans les ouvrages médicaux, est devenue généraliste et prospère, prenant avantageusement le pas sur la Hune voisine, avant et après délocalisation. C’est désormais la principale librairie de Saint-Germain-des-Prés, d’où une certaine infatuation des vendeurs ?
Il est vrai que l’ambiance générale de la Fnac Montparnasse (vendeurs et aussi public) est plus amène, courtoise, détendue que celle de la Fnac du Forum des Halles.
Est-ce dû à l’effet rive gauche ou au fait que ce soit la première boutique historique de cette enseigne, qui avant de s’être reconvertie au libéralisme pur et dur était une entreprise participative de tendance saint-simonienne, du temps où son patron était le franc-maçon Michel Baroin ?
Il vaut mieux être chômeur ou pigiste au Monde, c’est sûr ! Moins fatiguant
arrête de dire que c’est que des gros cons qui bossent chez bézosse
qui avant de s’être reconvertie au libéralisme pur et dur était une entreprise participative de tendance saint-simonienne, du temps où son patron était le franc-maçon Michel Baroin ?
t’es a quelle cellule de l’ump exactement baroz ? que je vais t’apprendre a les traiter de mous incohérents
La France va fermer? Et alors?
François Hollande’s beleaguered socialist government was under increased pressure to boost the eurozone’s second largest economy after a collapse in manufacturing orders tonight left it on the cusp of another recession.
A survey of French manufacturers found that output contracted and businesses shed jobs in November in response to the fastest slowdown in new orders since April, accentuating the single currency bloc’s sluggish recovery. The services sector also declined, potentially sending the country sliding back into recession after having only emerged from one in the second quarter of 2013.
Hollande is already the most unpopular French president on record and can expect to face further charges of economic incompetence after the mainstays of French output and employment failed to reverse their fortunes ahead of the Christmas break.
French GDP shrank by 0.1% in the three months to the end of September and a second quarter of decline would put it technically in recession.
The government is under fire for presiding over a moribund economy that has kept unemployment at a record high.
Dans l’évocation des librairies du quartier, il faudrait évoquer également La Procure, avec son indéfectible odeur d’eau bénite qui vivifie les rayonnages de ce sanctuaire saint sulpicien…
Le petit Jean-Philippe se souvient-il qu’il s’y procurait ses premières images porno, le boug ?
« 547 romans publiés en France en janvier/février 2014 dont un peu plus de la moitié traduits d’une langue étrangère. »
Passou sait-il compter ou a t-il mal lu le précis de Roger Godement ?
« En moins de deux mois, du 2 janvier au 27 février 2014, quelque 547 romans seront en librairie. Ce chiffre est assez inattendu, d’autant qu’on le doit aux nouveautés françaises: 352 titres contre 195 romans étrangers. »
« Il vaut mieux être chômeur ou pigiste au Monde, c’est sûr ! Moins fatiguant. »
Rien que des fénllants
Parmi les romans de ce début d’année 2014, faites vos voeux avec ces deux-ci :
« ● Tahar Ben Jelloun, L’Ablation (Gallimard)
Le récit dont on parle déjà. Tahar Ben Jelloun raconte l’histoire d’un ami mathématicien qui subit une ablation de la prostate. Il le suit dans ses visites à l’hôpital, ses rendez-vous avec l’urologue, choisissant de ne rien occulter de la réalité de sa douleur physique et psychologique, afin qu’au-delà de la détresse, cette expérience parle à ceux qui vivent la même épreuve et à leur entourage. Sortie le 9 janvier.
● Pierre Assouline, Sigmaringen (Gallimard)
Julius Stein, le majordome des Hohenzollern, est chargé de veiller sur leur château de Sigmaringen et d’organiser la vie de ses nouveaux occupants. Réquisitionnée en 1944 par Hitler pour servir de refuge à Pétain et aux membres du gouvernement de Vichy, la propriété est le théâtre de querelles claniques entre collaborateurs et miliciens. On y croise aussi deux civils, dont un certain L.-F. Céline. Sortie le 9 janvier. »
Il a bon dos, l’ami mathématicien ! Roger Godement bande toujours, tandis que Jelloun doit plutôt bander mou ?
Rorschach dit: 17 décembre 2013 à 10 h 17 min
c’est l’goulag
quelque 547 romans seront en librairie
moi j’attends le prochain jean calbrix.
Il vaut mieux être chômeur ou pigiste au Monde, c’est sûr ! Moins fatiguant.
il vaut mieux être con
« Il le suit dans ses visites à l’hôpital, ses rendez-vous avec l’urologue »
voilà un sujet passionnant !
Bonnes questions, Baroz, qui fleurent agréablement Le Goût de Paris, iZnTit?
Je dirais que le coin est surtout plus humain: tandis qu’aux Halles tu t’enfonces dans un repaire cavernicole où s’agitent des zombies pressés d’en finir une bonne fois pour toute avec la culture, à Montparnasse, tu t’élèves dans la lumière comme dans la connaissance (sauf pour la cybernétique, qui tient toujours un peu du trou noir). A Montparnasse, t’évolues en pleine symbolique franc-mac, genre Flûte enchantée. Fou le bien que le grand jour peut faire au physique comme au moral.
Bon, il se peut que ce soit tout simplement une question de management d’équipe (si le patron de la FNAC off Halles a comme film préféré « I… comme Icare » et comme lecture de chevet les oeuvres complètes de Stanley Milgram, faut pas chercher plus loin…)
« voilà un sujet passionnant ! »
Vu de l’intérieur !
Mais connais-tu la FNAC Etoile, instalée dans un délicieux grand magasin de la Belle Epoque, Bloom ?
L’ambiance y est claire et aérienne mais les habitués, professionnels et civils, n’y sont pas particulièrement sympathiques !
A se demander quels sont les goûts de son directeur ?
Au cours de mes promenades
mes repères
mes haltes
ce sont les librairies (au passage, je vérifie si mes livres sont bien présentés)
les jardins
et les…
pâtisseries
Pour les bordels ?
ClasséX !
Baroz, pour l’ambiance détestable qui règne à la FNAC Etoile, je ne vois que l’influence délétère du quartier, hypostase du mauvais goût et du façadisme. Pas un hasard si les pétro/gazo-monarques du Golfe en ont fait leur base avancée.
Bien vu, Bloom !
Est-ce que Popol nous parlera des bureaux du Point, au-dessus de chez Tati, juste avant l’attentat de la rue de Rennes, vestige ici aussi d’un antique grand magasin ?
Et que Popol nous parle aussi des livres de la future rentrée littéraire, où figurent quelques uns de ses amis !
9 h 53 min
bientôt le travail des enfants, le retour à l’esclavage, c’est la liberté
L’histoire se passa dans la rue Bonaparte, presque à l’angle de la librairie la Procure (6e arr.).
Voilà ce que j’en écrivis à l’époque dans la rubrique « Graffiti » en page 9 du supplément dominical du Monde daté du 17-18 juin 1979 :
« Une si jolie petite phrase
Près du jardin du Luxembourg, entre un immeuble de bureaux et un immeuble d’habitations, il y a un grand mur blanc. Sur cet écran idéal, quelqu’un a déversé, en grosses lettres à la peinture noire, un « Olivier je t’aime », qui sonne comme un véritable chant d’amour. Impossible pour celui qui passe là de ne pas le voir, ou, plutôt, de l’entendre.
Ayant reçu ce message, j’ai souri et, au fil de la promenade, me suis laissé à rêver. Ah l’amour !
Puis, dans ce quartier, où flotte la pensée de Roland Barthes, je me suis mis en devoir, presque malgré moi, de décoder ce message, d’en extraire le signifiant. Bien mal m’en prit !
Je pensais alors que cet « Olivier je t’aime » pouvait être un hommage public de l’amante à l’aimé. Un hommage un peu fou, un peu voyant, un peu exhibitionniste, tout simplement. Mais ça pouvait être aussi une information indirecte du genre : « Je te l’écris car je n’ose te le dire de vive voix, sais-tu, Olivier je t’aime. » Dans ce cas, autant envoyer un mot par la poste, c’est tout aussi efficace et plus discret.
Si l’auteur du message ne cherche pas la discrétion, c’est peut-être que l’information qu’il transmet ainsi à l’objet de ses flammes, plus qu’une information, est une revendication. Le « je » du message entend clamer, noir sur blanc et à la face du monde, son amour pour Olivier. Si cet amour est invoqué comme un juste droit, c’est donc qu’il n’est pas reconnu. Alors là, au moins deux possibilités :
– Cet amour n’est pas reconnu par Olivier lui-même. Vous ressentirez le pathétique de cet « Olivier je t’aime » qui résonne comme une supplique désespérée !
– Cet amour est rejeté par les parents ou par la société et ne peut s’avouer franchement. Le « je » serait-il un homme ? Serions-nous en présence d’amours coupables du genre adultérins ?… Ainsi le « Olivier je t’aime » est moins pathétique, car cet amour, quoique interdit, a de grandes chances d’être partagé. C’est plutôt la révolte qui sourd dans cette phrase. Révolte qui n’hésite pas à s’attaquer aux biens privés !
Toutes ces hypothèses ouvrant de nombreuses possibilités, j’imaginais cependant avoir circonscrit le problème, quand, plusieurs jours après, je m’aperçus alors que j’étais loin d’en avoir fait le tour.
En effet, pourquoi limiter le raisonnement à un amour d’amants ?
Si vous prenez en considération l’amour parental, vous pouvez très bien voir dans cette phrase le cri de douleur d’un père, d’une mère, à qui on a enlevé la garde de son enfant et qui vient lui dire, par le seul moyen possible, son amour ravi : « Même si je ne peux plus te voir, sache que : Olivier je t’aime. »
Ou encore, en tirant sur vos cheveux, vous pouvez admettre que la petite phrase soit l’œuvre d’un poète chantant la gloire de l’arbre méditerranéen : « Olivier je t’aime », comme il aurait pu dire : « Cyprès je t’adore, platane mon amour ou aubépine de mon cœur. »
Depuis, je ne cesse de m’interroger sur les possibilités signifiantes de cette petite phrase, si simple en apparence, et qui a pris, pour moi, des allures de casse-tête chinois !
Je vous épargnerai mes dernières conclusions. Si vous saviez combien je déteste Olivier !
Aussi, si l’auteur de cette si jolie petite phrase venait à tomber sur ces lignes, lui demanderais-je de bien vouloir me rendre la paix spirituelle en m’expliquant ce qui se cache sous cet « Olivier je t’aime ! »
Et voici la réponse que je reçus, peu de temps après :
« Paris, le 19 juin [1979
Monsieur,
Après quelques hésitations, je choisis de vous écrire, au risque de contrarier ou de décevoir les si jolies pensées que vous inspirent les graffitis parisiens.
Je dois vous demander avant tout de ne pas publier cette lettre, pour des raisons que vous saurez comprendre j’en suis sûr. En revanche, je ne vois aucune objection à ce que vous utilisiez cette réponse pour nourrir un autre article sur le sujet sans toutefois citer mon nom et autres précisions qui abimeraient la petite complicité établie entre nous.
Pour ne pas abuser de votre temps, je dois être plus précis et surtout vous révéler que je suis « l’Olivier » dont vous parliez dans le Monde du 17 juin – les lignes m’ont beaucoup troublé et valaient bien la peine qu’on vous rende la paix spirituelle dont vous semblez avoir besoin ! J’habite en face du fameux mur blanc, au 84, rue B., l’inscription est maintenant effacée par les soins d’une Mairie bien soucieuse de préserver la qualité esthétique du béton blanc. Je dois vous avouer aussi que « l’exercice de style » que j’essaye
péniblement de mener à bien, n’est certainement pas ma façon
habituelle d’écrire, mais vous avez sans doute réveillé en moi le soupçon de romantisme qui sommeille, ne vous inquiétez pas ça va passer, la fin de la lettre sera moins empesée, je l’espère !…
J’aimerais que vous imaginiez la stupeur, ou plutôt, la gifle reçue sur le pas de la porte un beau matin, il y a de çà quelques mois, à la vue du monstre à mille pattes !…
Pour continuer dans le ton du roman-photo pour concierges – je n’ai rien contre les concierges, mais je ne me sens vraiment pas à l’aise –, Astrid venait de repartir pour Anvers, la veille, et ce n’est que plus tard, qu’elle m’a avoué s’être relevée la nuit, profitant de mon sommeil et d’une bombe à peindre noire qui trainait sur ma table à dessin pour aller se défouler, mi farce, mi désespoir, à quelques pas du commissariat, se souciant peu des « on-dit » (l’immeuble entier jubile, et votre article n’a pas fini de faire rire).
Ici, un doute me prend ( !), j’ai peur que vous ne me croyiez pas (foutu style).
On peut peut-être se voir après votre travail, je préfère savoir à qui je m’adresse…
Elle est prof d’Anglais, d’Allemand et de Flamand, en Belgique et nous nous sommes rencontrés en haut du Mont Blanc (où nous fêtions les 50 ans de mon papa – celui-ci affirmait être l’entremetteur des amours de son bon fils, mais plus tard répudiait la copine, pour des raisons très freudiennes dont je vous parlerai peut-être si l’histoire vous intéresse encore).
Pas trop déçu ?
En fait, je crois que je suis encore très amoureux, j’ai toujours eu très peur d’elle pour parler franchement. Elle vit maintenant avec un type de 40 ans. J’en ai 23, barbu, et je mets toujours beaucoup trop de sentiment dans ces histoires-là.
Ecrivez au 84 rue B. à Olivier M***** ou téléphonez pendant le mois de septembre au journal V**** – 550.32.32/postes 317 ou 322.
A moi de vous juger !
Olivier
La suite est classée X…
« Est-ce que Popol nous parlera des bureaux du Point, au-dessus de chez Tati, juste avant l’attentat de la rue de Rennes, vestige ici aussi d’un antique grand magasin ? » je vous réponds Jacques:
dans les bureaux du journal , chacun comptait le nombre de minutes entre son passage par la porte d’ en bas et l’explosion.Nous sommes restés dans nos bureaux, sidérés .un photographe m’a dit:de la fenetre d’où j’étais, j’ai commencé à prendre des photos du massacre sur le trottoir et j’ai été soudain obligé de fermer les yeux.
pour les livres de la rentrée de janvier, je ne reçois plus ni SP ni livres dédicacés, donc, je vais aller flaner en librairie et lire l’opinion des confreres.et eventuellement,acheter..
paul edel dit: 17 décembre 2013 à 12 h 11 min
je ne reçois plus ni SP ni livres dédicacés
Jean Calbrix va vous en envoyer un tout de suite.
A part ça, le blog théâtre est toujours aussi passionnant. Bon, le billet est inchangé depuis le 6 novembre et le dernier tweet remonte à un mois et demi, mais jicé ne s’en lasse pas, c’est le principal.
Ce « A moi de vous juger ! » m’avait-il refroidi ?
Ou étais-je plus préoccupé de trouver un autre sujet d’inspiration ?
Quoiqu’il en fut, je n’ai pas cru bon de donner suite à cette gentille invite.
Ma première hypothèse avait banalement été la bonne.
Pour les rencontres, je préférais aller directement au bordel…
Jacques Barozzi, l’Olivier qui vous a écrit le 19 juin 79 est un imposteur. C’était moi, cet Olivier du graffiti.
Je ne peux pas le prouver, bien sûr, mais j’en ai eu confirmation par l’auteure du serment.
@Bouguereau 9h31. Vous avez raison bien sûr, et je me souviens du premier PC arrivé chez nous (Math P7 Jussieu) dans les années 70, acheté par un maître-assistant devenu fanatique d’informatique. La machine était française et utilisait encore les signes ^ et * inventés dans les années 50 avant les traitements de texte. Mais nous sommes en 2013 !
Il y a aussi Marcel, à 2h13, qui explique à John Brown comment taper un exposant en Word. Quelle complication, alors qu’un simple macro (dans le genre de ceux permettant d’écrire en italiques, gras ou souligné) incorporé au traitement de texte suffirait. Quand même c’est bizarre, il me semble que Word permet depuis déjà longtemps de faire des formules mathématiques autrement plus compliquées qu’un simple exposant.
Marcel me dit aussi qu’en Maths un bon dessin est parfois utile, et que pour définir la notion d’ensemble il faut donner des exemples. Ouais, à l’époque des « maths modernes » il y avait les célèbres « patates » inventées par des pédagogues n’ayant pas le sens du ridicule (et qui, dans leur immense majorité, n’avaient pas été plus loin que le chapitre I de la Théorie des Ensembles de Bourbaki). Donnons un exemple un peu moins bête pour expliquer la notion de « fonction » ou « application » (termes sinonymes).
Considérons, avec Levi-Strauss, l’ensemble H des hommers et l’ensemble F des femmes vivant da
http://www.youtube.com/watch?v=hCvMYnkNnrk
Au bonheur des Dames
Merci, Paul, je vous nomme ancien combattant de la légion de l’information et de la communication et vous donne l’accolade au nom de l’ensemble de la profession journalistique !
(Daaphnée et bérénice se mélangent de plus en plus les pseudos !)
« Considérons, avec Levi-Strauss, l’ensemble H des hommers et l’ensemble F des femmes vivant da »
M. Godement, vous avez de toute évidence été interrompu par un fâcheux.
–Il y en a aussi dans la vie réelle.
J’espère que vous l’aurez fichu à la porte.
Finissez votre exemple, if you please!
« da… »
Y a pas malaise, j’espère ?
On attend avec inquiétude la suite !
(D. tient mieux ses fiches anthropomorphiques…)
Tiens, Jacques aussi a pris son carnet de notes.
On sera au moins deux à attendre dans l’angoisse, M. Godement, des fois qu’on comprend pas.
(suite) Considérons, avec Levi-Strauss, l’ensemble H des hommes et l’ensemble F des femmes qui vivent dans une société donnée et en âge d’être mariés. Le « produit cartésien » de ces deux ensembles est l’ensemble H x F des « couples » (x,y) où x est un élément de H et y un élément de F. L’ensemble G des couples tels que « x et y sont mariés » est le « graphe » de la « correspondance » mariage. Pour que l’on puisse parler de « l’application x –> femme de x » de H dans F, ou de la « fonction f définie sur H et à valeurs dans F » telle que f(x) soit, pour tout x dans H, la femme de x, il faut (et il suffit) que chaque homme soit marié, et marié à une seule femme. Dire que cette application est « injective », autrement dit que la fonction ne prenne jamais la même valeur en deux endroits différents, c’est dire qu’une femme ne peut être mariée qu’à un seul homme. Dire que l’application est « surjective », c’est dire que toute femme a un mari. Et si l’application est à la fois injective et surjective, i.e. si tout homme est marié à une seule femme et vice-versa, on dit que l’application est « bijective ».
Exercice – L’application qui, à chaque tableau du Musée du Louvre associe son auteur est-elle injective ?
Tout cela est na
Pour que l’
C’est la traduction mathématique de l’équation adultèrine dans le théâtre de Feydeau, Roger Godement ?
goodmane fait tout une mathématique ou le postulat c’est qu’il ne peut pas se faire enculer..c’est comment dire, petit, étroit
les maths modernes c’était pas ça goudemane..t’es comme jicé tu corriges la création..alors que dieu est de gauche et un peu kmer rouge, zouzou le sait bien et se tient a carreau
Monsieur Godement (que je ne connaissais pas…) après nous avoir confié son âge fut pris d’un malaise, ça semblait aller mieux et puis… le coup des librairies de quartier.
Très belle sortie!
Car depuis un bon moment tout le monde s’en foutait – comme de la FANCDARTY- que ces petites librairies ferment!!!
Gloire à Mr Godene ment pas surtout…
..il a aussi un faible pour goering qui kiffait pilonner les colonnes de réfugié..mais c’est goering qu’il l’a copié
les maths modernes c’est « étant donné ma rondelle esplosée »..clopine a ajouté « et c’est qui qui paie les pots cassés? »..et c’était copernicien goudemane..toi t’es comme euclide..ça s’encule même pas à l’infinie..c’est dla vieille mécanique
ta gueule béré
Daaphnée et bérénice se mélangent de plus en plus les pseudos !
Que vous êtes méchant, Jacques ! J’ai cru comprendre que Bérénice avait rencontré quelques déceptions … et s’il y a quelques vrais goujats ici, franchement je la plains très sincèrement d’être tombée dessus !
Dans la définition de l’ensemble G par M. Godement, c’est l’homme qui est pris comme référence dans la « fonction f définie sur H et à valeurs dans F », mais il est évident que c’est un choix purement logique et qu’on aurait pu procéder à rebours.
En revanche, Levi-Strauss a toujours soutenu mordicus que dans les systèmes de parenté, ce sont les hommes qui échangent les femmes, et non l’inverse.
Son premier argument était un état de fait: ce sont les hommes qui ont le pouvoir (mais on peut lui opposer des cas contraires).
Son deuxième argument, en revanche, relevait de sa métaphysique personnelle: c’est l’émergence de la pensée symbolique (le langage articulé) qui aurait fait que les femmes puissent être perçues comme des valeurs et des signes, susceptibles d’être échangés. (Mais pourquoi pas le contraire?)
Sauriez-vous me dire le nombre exact des interprétations possibles de la phrase « Olivier je t’aime », monsieur Godement ?
Sinon, à quoi pourrait bien servir les mathématiques !
Bouguereau si vous avez en votre possession des titres plus actuels dans ce style ne vous privez pas, un peu déconnectée de l’actualité musicale délirante. Agnès Obel , nouvelle voix, d’autres surement
Daphnée je ne sais d’où vous tenez ces « indiscrétions » toutefois rassurez-vous je n’ai toujours rencontré Abo le minable homme des neiges.
toujours pas, excusez.
Tu ne m’as toujours pas répondu à propos des images pieuses du petit Jean-Philippe, le boug…
Bon, U., Godement tient mordicus à sa logique personnelle …
Je suggererais autre chose ..
Tiens, vous seriez en abscisse, moi en ordonnée ..
OU le contraire,
quoique l’aléa d’une position aérienne me plaise assez .. Bref.
Pour ce qui est de la fonction .. Fi des fonctions affines, ce truc linéaire !
Pfff !!!
Non.
je choisirais un truc variable pour volutes et circonvolutions désordonnées ..
Bon, c’est .. il faudrait ajouter un petit truc ..
genre filet ( léger mais résistant).
( Bérénice, vous avez déploré ici que D. .. rien de plus. )
Pour le rôle du préservatif, il y a bien D. : il baise par procuration !
C’est sur le groupe G que M. Godement nous éclaire, Daaphnée.
Vous êtes sûre de ne pas avoir confondu avec le point G?
@ bérénice dit: 17 décembre 2013 à 0 h 15: « D si vous me filiez une adresse valide je vous ferais parvenir cette image qui vous dirait quelque-chose, votre dimitri@ n’est pas valide et j’ai eu la naïveté d’y croire effectivement. »: D.bile ne donnera jamais une adresse valide, grand timide et grand voyou du web, il compte sur son anonymat pour tout se permettre.
Bérénice, j’ai bien noté, vous portez des baskets et avez besoin de vacances ? Vous faites du jogging ?
Vous n’aimez que quelqu’un se permette d’avoir sa propre lecture/interprétation de vos commentaires gauchistes ?
Preuve que Daaphnée et béré, c’est kif-kif !
Et D., c’est toute la cohorte de ses (leurs) admirateurs et un peu plus !
Les Thénardiers de ce blog, qu’ils plombent et pompent…
D. va rater le coche, Jacques.
Lui qui comptait ne pas mourir idiot, et évoquait dans un post l’angoisse de rouler en décapotable, risque de se faire verbaliser avant avant d’avoir rencontré une dame le chapeautant d’autorité.
C’est une course de vitesse entre Dédé et la charmante mais inepte Najat!
Pom… Pom… Pom…
« Olivier je t’aime »
Jacounet, c’est très simple.
Il y a un doute, c’est évident, sur Olivier – est-ce bien toi ? – voire, conséquemment, sur aimer – n’est-ce pas moi que j’aime quand je m’entends dire que je t’aime ?
Un truc hypercompliqué, taillé sur mesure pour D. ..
C’est, Daaphnée, que les colonnes du Monde étaient chèrement comptées ; j’aurais pu développer les hypothèses au carré, merci !
le point G?
Je n’ai rien confondu du tout, U., j’ai l’esprit de synthèse et je vais à l’essentiel, moi.
« c’est toute la cohorte de ses (leurs) admirateurs et un peu plus ! » (barozz)
» pour goering qui kiffait pilonner les colonnes de réfugié » (boug’)
Bon les gars, voilà qui devrait vous mettre, euh…
d’accord.
C’est copernicien et saint-sulpicien à la fois !
http://img.over-blog-kiwi.com/0/20/39/77/201301/ob_c8a0ff_lagrandemanifhomo-reiser.jpg
« Olivier je t’aime »
C’est sûr que les interprétations sont infinies.
Jacques est peut-être tombé sur un vieux militant admirateur du petit postier.
Ça peut être aussi le cri de plaisir d’une lectrice admiratrice de « Port Soudant ».
Mais avant tout, ce qui compte, Daaphnée, ce n’est pas les pensées mais l’émotion qui sous tend la question et à sa réponse.
Ma révélation, que vous avez pu lire en avant première.
Merci qui ?
« Port Soudant »
Ooops.
C’est l’ouvriérisme du premier exemple qui a déteint sur le soudeur du deuxième.
Encore une interruption informatique !
Tout cela, donc, est du verbiage pour enfants des écoles. Pour un exposé plus mathématique, on commence par NE PAS définir la notion d’ensemble : c’est la notion primitive (comme celle de point en géométrie traditionnelle, sur laquelle plein de gens ont divagué), avec une relation « x est un élément de l’ensemble y » et un axiome « deux ensembles sont égaux si et seulement s’ils ont les mêmes éléments ». Cela suffit déjà à définir les nombres entiers 0,1,2,… comme ensembles spécifiés : 0 est l’ensemble vide (la relation x appartient à l’ensemble vide est fausse quel que soit x), 1 est l’ensemble dont le seul élément est 0 i.e.l’ensemble vide, 2 est l’ensemble dont les seuls éléments sont 0 et 1 i.e. l’ensemble vide et l’ensemble dont le seul élément est l’ensemble vide, et ainsi de suite. Le nombre 14 qui intéresse John Brown est donc l’ensemble dont les seuls éléments sont les nombres (ou ensembles – tout est un ensemble) 0,1,2,…,13. L’inventeur de cette définition des entiers, von Neumann vers 1925, est l’un des célèbres quatre cavaliers Hongrois de l’apocalypse nucléaire avec Szilard, Teller et Wigner. Il a inventé en 1945 l’architecture von Neumann des premiers ordinateurs et s’en est servi pour aider Ulam et Teller à inventer la bombe H. Il a présidé de 1953 à 1957 le « tea pot committee » chargé de mettre au point les projets de missiles intercontinentaux américains. Atteint d’un cancer, il se déplace dans le fauteuil roulant du Dr Strangelove avant d’entrer à l’hopital et d’y mourir en 1957. Salué sur son lit de mort par les sept principaux dirigeants (politiques et militaires) de la défense américains. Un modèle pour la jeunesse.
Roger Godement.
Visitez godement.eu.
PS – Je sais bien que tout cela a peu de rapports avec la disparition des librairies, mais c’est conforme à la tradition de ce blog. Comme j’achète beaucoup de livres américains, je me fie à Amazon.com ou Amazon.co.uk où l’on trouve beaucoup de livres d’occasion en excellent état et deux ou trois fois moins chers que ce que les bibli universitaires françaises paient à des intermédiaires arnaqueurs. Cela explique la richesse de nos BU…
« Jacques est peut-être tombé sur un vieux militant admirateur du petit postier. »
En fait, j’ai reçu plusieurs lettres-réponses. Dont l’une d’un meussieur pincé du XVIe arr. qui me reprochait sêchement de n’avoir pas reconnu le cri d’un admirateur d’ Olivier Guichard, vieux baron du Gaullisme !
Vous n’avez pas une FNAC au Havre, monsieur Godement ?
Vous assassinez la librairie de grandes surfaces et de petits quartiers !
C’est honteux !
mais c’est conforme à la tradition de ce blog.
au fait..vas tfaire enculer goodemane
non mais c’t’un lourd ce roger..plus plomb que béré..péte nous dans la baignoire baroz et fais nous des bulles
« Port Soudant »
Ooops.
C’est l’ouvriérisme du premier exemple qui a déteint sur le soudeur du deuxième
mais quel trouducul ce zouzou !..bon je sais bien..et alors?
Roger Godement dit: 17 décembre 2013 à 14 h 10 min
Roger Godement dit: 16 décembre 2013 à 22 h 18 min
On laisse aux littéraires de ce blog le soin de poursuivre par eux mêmes la théorie jusqu’au point où ils auront compris ce que signifie par exemple l’expression
(racine de 2)^(pi).
Vous vous fichez du monde, Roger. Vous venez de faire un exposé pour définir
a^x pour x rationnel (avec des imprécisions du genre p>0, q>0 sans dire où se trouvent p et q, puis vous introduisez la loi de composition * sans la définir) et vous demandez aux citoyens de la RDL de poursuivre votre étude algébrique en demandant la signification de (racine de 2)^(pi) alors que cette étude n’est algébrique, mais analytique (prolongement d’une fonction continue sur Q^* en une fonction continue sur R). Le verbiage et l’incohérence est dans votre camp.
elle apporte également des livres en un temps record à des lecteurs et des villes ou des bourgades de France métropolitaine et d’outre-mer où il n’y a pas un libraire à moins de cent kms
bon..ami lassouline..rencarde toi sur la politique du tout réinvestissement de djef..et précisément de cette prime au désenclavement (à perte, ya des litanies sur les journaux ricains que roger frait mieux d’lire pour édifier les enfants)..et axeccoirement des impots qu’il paie (pas)..mais bien sûr..et alors..et alors
quant au « portail des éditeurs »..non mais franchement, c’est une blague ?.si c’en est une..et alors..et alors ton humour se barre
Le verbiage et l’incohérence est dans votre camp
roger est d’l’ump..vdqs
vive Godement… c’est autre chose que le boudegras qui nous ressort encore son copain Goering… y en a marre ducon, t’as compris ?
j’ai rien contre djef, il fait du biz, comme steeve qu’a -rien- inventé, sinon que c’était un grand biznéceur..il font cqui savent faire..mais franchement laisser entre ces pognes là les bouquins et votre bande passante..c’est carrément se foutre du monde..oui oui..et alors
ce que les bibli universitaires françaises paient à des intermédiaires arnaqueurs. Cela explique la richesse de nos BU…
Rodgeur, vous êtes sans doute bien meilleur en Prof Cosinus (Cunimb’ est déjà pris, par sergio) qu’en père siffleur. On voit que ça fait un sacré bail que vous n’avez pas dû aller faire des bulles dans une de « nos BU », sans quoi vous pousseriez des « ooooh ! », « aaaahhh ! », « ya ya youuuuuille, la vérrrrité! » , « ma mère de ma mère…bouguereau, mate un peu ça ! »etc. ,comme s’il en pleuvait. Encore deux ou trois « sheebam ! »et « woooow ! » qui vous seraient restés coincés dans le corgnolon, et puis alors l’apothéose, la bioutifoule : vous vous mettriez à genoux, joignant vos mains à en faire péter les jointures, justement, en vous mettant à sangloter toutes les larmes de votre corps chenu (c’est une image), et à chanter louanges à sainte Geneviève pour ces actions de (vaches) grâces.
Faut sortir, Roger, c’est pas sain de rester enfermé comme ça. C’est promis ?
bouguereau s’énerve aujourd’hui, le temps se gâte. Est-ce dû au retour de u. ?
errata
n’est algébrique > n’est pas algébrique
est dans votre camp > sont dans votre camp
u. dit: 17 décembre 2013 à 13 h 56 min
z est toujours q, poil au u.
« la charmante mais inepte Najat! »
Le sexisme de vieux con d’U m’épatera toujours.
Je trouve que traiter Najat de « charmante et inepte » c’est gentil, et proche de la vérité. On aurait pu être plus sec ! et même lui jeter des bananes ou de la semoule.
Gode ment et Vit dit vrai ?
(j’espère qu’on ne l’a pas fait fuir, on l’aime !)
(y a du grabuge chez les Thénardier !)
des bananes ou de la semoule.
ou les nouilles à collier
aide aux seniors : toi, tu sors mais pour dire des conneries
Le sexisme de vieux con d’U
Bah, chez les vieux cons, tout est à l’avenant. Et puis mettez-vous à sa place : pour u, une journée sans pute c’est un jour sans soleil, alors si en plus il doit payer des amendes !
Et les putes sans leurs u., vous en faites quoi, niguedouille?
Les PTT, ça sert à rien.
Tout et rien…
« … en un temps record bourdegarde, vils ville et France metro d’Outre Mer…. »
Un jour j’ai voulu acheter 1 livre… (neuff)
il m’est peut-être arrivé -qui c’est- par l’Amazone très proche…
mais j’ai préféré venir livre à Pariss Place Vend^me.
qUI SUIS-je ?
J’ne le c’est m’plut !
Leonarda, fleur scolaire épanouie, a été demandée en mariage par TKT, il y a une heure !
monsieur GODEMent, SerieuseMent!
nE partez pas…
Que pensez-vous d’une géométrie partant d’un ensemble sans forme, passant par volume,
surface… et finissant au Point !
C’est piègeux je sais bien.Mais vous en avez trop dit et pas assez.
[( Franchement, U., il y en a qui ne se rendent pas compte de l’homme vertueux et généreux que vous êtes .
Quand je pense à toutes les folies que vous avez faites pour moi .. même les deux pieds dans le même plâtre .. pfff !)]
u. dit: 17 décembre 2013 à 15 h 37 min
Et les putes sans leurs u., vous en faites quoi
des ptes ?
@aide aux seniors 14h49. Je ne comprends pas très bien votre argot, mais votre allusion finale à Sainte Geneviève signifie probablement que, si j’allais à la bibliothèque de ce nom, je serais surpris de sa richesse. Il est exact que je n’y ai quasiment jamais mis les pieds, ayant trop souvent vu la queue des lecteurs pour y entrer. Mais je consulte souvent SUDOC pour savoir quelles BU françaises ont tel ou tel livre qui m’intéresse (généralement américain vu mes centres d’intérêt). Je suis en effet assez souvent surpris de constater qu’ils sont à SG (et pas surpris qu’ils soient à SciPo), mais je constate aussi qu’on n’en trouve très souvent que 0, 1 ou 2 dans la totalité des BU françaises; les littéraires qui font des thèses vous expliqueront que, pour faire une bibliographie, il vaut mieux prendre quelques jours pour consulter les catalogues des bibli de Harvard ou Berkeley que de naviguer deux ans dans le maquis des biblis françaises. Cela dit, je sais aussi, et pour cause, que nous avons à Jussieu depuis longtemps une bibli de maths et informatique des plus impressionnantes…
même les deux pieds dans le même plâtre .. pfff !)
On a souffert.
L’embêtant, c’était pour la douche.
les littéraires qui font des thèses vous expliqueront
t’as des mauvaises frequentations roger..tfrais mieux dfaire des maths et d’ête scientifique..et dfaire des stats dans un bacofils épicétou
TKT
QUI EST parti MARxiste revenu maoiste D’albanie-kosovare,
c’Est un sacré veinard ! avec la Léonarda !
c’est qu’elle a une très grosse Dot la gamine,
que même ses cousins ont ferraillé dur pour la doter ainsi.
« Quand je pense à toutes les folies que vous avez faites pour moi .. même les deux pieds dans le même plâtre .. pfff ! »
En Sicilia, manquant de plâtre, nous mettons plutôt les deux pieds de nos contradicteurs gênants dans un ciment de qualité supérieure. Toute folie n’est pas à faire sans un minimum de précaution.
Oui, U. …
Mais que de doux souvenirs .. vous courant sur ce chemin moussu au bord de la cascade, moi étendue au soleil .. les chutes de Kegon dans le lointain ..
ah …………………..
Allez, un petit tour rue Saint Denis pour me faire secouer le poireau, et je reviens.
On y trouve des bourbakistes.
aïe aïe aïe.. malgré sa promesse de s’éloigner u revient et, du coup, daaphnée aussi..
le vieux lubrique et sa suzanne.. malheur de nous
Et les putes sans leurs u., vous en faites quoi, niguedouille?
justement..toujours à les faire attendre..et t’es là dans l’absence ..ordure!
vous courant sur ce chemin moussu au bord de la cascade
Avec ma jambe dans le plâtre…
et t’es là dans l’absence ..ordure!
J’y vais, j’y vais.
Avec un copain, c’est sympa aussi.
u. dit: 17 décembre 2013 à 16 h 00 min
me faire secouer le poireau, et je reviens.
La partie de la phrase située après la virgule n’était pas indispensable.
Armal la Propreté, etc.
Je vois bien que vous avez du mal à imaginer certaines choses.
Rentrez chez vous bel enfant, c’est l’heure du goûter!
Et Dédé?
Dédé la ferme. Et alors?
@Marcel 14h40 « Vous venez de faire un exposé pour définir
a^x pour x rationnel (avec des imprécisions du genre p>0, q>0 sans dire où se trouvent p et q, puis vous introduisez la loi de composition * sans la définir) ».
Vous avez mal lu. Je n’ai défini a^x que pour x entier, et non pas pour les x rationnels, et du reste c’est bien de cela qu’il s’agissait chez John Brown, qui se moque probablement de savoir ce qu’est dix puissance trois quarts (réponse : la racine quatrième de 10^3). Le contexte montre qu’évidemment p et q sont entiers, et que le signe * désuigne la multiplication puisqu’il s’agit de compter les facteurs d’un produit.
Quant au fait que définir racine de 2 à la puissance pi n’est pas de l’algèbre, mon texte ne dit pas le contraire. Du reste, en bien plus simple, 2^1/2, i.e. racine de 2, n’est pas non plus de l’algèbre stricte, puisque personne n’a j
Rentrez chez vous bel enfant, c’est l’heure du goûter!
Très drôle.
Franchement, U., il y en a qui ne se rendent pas compte de l’homme vertueux et généreux que vous êtes . (Daaphnée)
Mais oui.
Et dire que les puceaux du blog me voient en rôdeur.
— Finalement, la paresse l’emporte: j’y envoie un copain, avec une enveloppe.
(Un coup de bécane, Pif?)
M. Roger Godement est passé sur le prestigieux blog à passou. Presque nonante ans au compteur si l’on accorde foi à ses déclarations. Comme ces libraires dont passoupline annonce la fin depuis le début de son blog mais qui résistent.
La première grande mutation des librairies fut le remplacment des vielles filles sur échelles en bois par des jeunes hommes sensibles perchés sur des tabourets.
Changement subtil qui peut avoir joué un rôle dans le désaffection de la lecture par les nouvelles générations.
Suite
puisque jamais personne ne démontrera par des méthodes purement algébriques que la racine carrée de 2 existe : il faut utiliser de l’analyse, i.e. des passages à la limite, pour y parvenir. Tout cela est expliqué de façon parfaitement claire dans le texte auquel je réfère.
Roger Godement
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