Diable de Caubère !
Mais comment fait-il ? Trois heures durant, Philippe Caubère est partout sur la scène de l’Athénée-Louis Jouvet, on ne voit et on n’entend que lui, et à la fin, il a l’élégance de ne pas paraître exténué quand les spectateurs le sont allègrement d’avoir autant savouré, souri et surtout ri sans discontinuer. Que c’est bon d’entendre des gens rire de bon cœur, d’un rire qui n’est pas le rire gras des shows télévisés ni le rire de dérision que Canal + a incrusté dans les esprits. Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante.
Avec l’air de ne pas y toucher, à sa manière burlesque et déjantée et sans jamais se prendre au sérieux, La Danse du diable est aussi une réflexion en abîme sur le théâtre et le transmission, avec la mère comme fil rouge et personnage central. Ce pur projet de théâtre d’un seul homme n’a rien d’un one man show. C’est juste un grand comédien qui nous raconte une histoire, mais si comique qu’elle nous fait rire comme on ne sait plus le faire au théâtre, et si fantastique qu’elle nous fait rêver comme on n’ose plus le faire au théâtre. Le personnage qui remplit la scène de sa présence s’appelle Ferdinand Faure, son alter ego. Il a des fantasmes de gloire.
«Peut-on, de nos jours, parler de soi-même, de ses craintes intimes, de ses espérances, et que ce soit gai ? Peut-être que je suis fou, ou prétentieux, ou les deux à la fois. Tant pis.”
Vingt ans après avoir rempli l’Athénée-Louis Jouvet de milliers de spectateurs, tous les soirs pendant des semaines, et un an après avoir dû renoncer à le présenter à ses compatriotes marseillais, un tendon d’Achille ayant rompu les amarres lors d’une cabriole à Tarascon-sur-Ariège, et ce n’était pas que métaphorique, il remet donc ça avec son spectacle-fétiche La Danse du diable, créé en 1981 au Festival d’Avignon, premier d’une saga autobiographique mais si peu nombriliste qui sera suivi par le Roman d’un acteur et L’Homme qui danse. Autant d’œuvres qui sont désormais à voir et à écouter autant qu’à lire. L’ensemble constitue une épopée personnelle parmi les plus originales du théâtre contemporain en France.
En 1981, Philippe Caubère avait 31 ans ; or il n’hésite pas à reprendre à 64 ans un spectacle aussi physique, qui exige tant de l’intensité de la mémoire que de la tension nerveuse. On comprend qu’il le dédie au danseur Jean Babilée, immortel interprète du Jeune homme et la mort qu’il avait créé à 23 ans avant de le reprendre à 60 ans. Un modèle éblouissant pour celui qui, à ses débuts, avait pris le soleil du côté de chez Mouchkine.
Il est tout à tour, et parfois à quelques secondes d’intervalle, des hommes et des femmes, des Marseillais et des Aixois, Malraux l’agitateur agité, Sartre en nain globuleux, l’omniprésent général de Gaulle en héron enchanté, sans oublier le déhanché Johnny Ouliday, François Mauriac confit en méchancetés, et Jean Vilar, et Gérard Philippe et Roger Lanzac et Lucien Jeunesse, tous traités dans un irrespect étincelant. Tel est le bestiaire de Caubère : la France des années 60. Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline.
Caubère joue vite sans se presser. Il est rapide où d’autres se précipitent, car le temps sur scène n’a pas le droit de prendre son temps comme dans la vraie vie. Il faut condenser et comprimer, pratiquer l’ellipse jusqu’à l’os. Il réussit l’exploit d’être toujours dans l’énergie sans jamais verser dans l’hystérie, qu’il murmure, se lamente, vocifère, radote, se récrie, se confie. Il parvient même à n’en faire jamais trop tout en en faisant jours plus. Le temps est loin où l’on parlait de ce spectacle avec admiration mais en louant le phénomène en lui, le comédien marathonien, le logorrhéique inspiré, celui qui pouvait aligner ses « morceaux » sans reprendre son souffle. Car on a beau chercher, il n’y a pas le moindre excès dans cette entreprise pourtant démesurée.
C’est un grand privilège que de voir un tel comédien, l’un des rares à être véritablement un artiste total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime, recréer son monde soir après soir. Ce qu’il raconte est né de l’improvisation, avant d’être fixé dans des livres, puis de retourner mordre la poussière des planches mais sans jamais perdre en chemin la spontanéité, la fraicheur et la vitalité de l’ invention première.
Et quel bonheur d’entendre prononcés des milliers de mots, dont on a l’impression qu’ils se rencontrent pour la première fois ainsi parfaitement articulés, et non marmonnés à voix basse en tournant le dos au quatrième mur comme ça se fait de plus en plus souvent au Français, avec ces liaisons magnifiques que l’on dirait d’un autre temps tant la radio prend à cœur de les ignorer de nos jours. Philippe Caubère, c’est une présence portée par une voix et c’est si rare…
Et pour finir, on entend sa voix mais d’outre-tombe nous murmurer que « le théâtre, c’est un peu comme les rêves, ça n’existe pas ». Ce qui est plutôt bien vu pour un homme tourmenté comme un insomniaque. Voilà, c’est jusqu’au 7 décembre et si vous n’avez pas compris qu’on y va pour se faire du bien, qu’on en ressort heureux et provisoirement réconcilié avec ses contemporains, c’est que vous êtes bouchés à l’émeri.
(« La danse du diable » photo D.R.; « Philippe Caubère dans les airs » photo Passou)
1 443 Réponses pour Diable de Caubère !
Prem!
Je commence à lire d’un air intéressé et puis je tombe sur la phrase qui tue:
« La Danse du diable est une réflexion sur le théâtre »
Une pièce qui est une « réflexion sur le théâtre », c’est comme un roman qui est « une réflexion sur le roman », un tableau qui est « une réflexion sur la peinture », etc…ça donne envie de partir en courant.
Enfin, je vais tout de même terminer, par respect pour Passou qui se donne tant de mal pour nous faire plaisir…
Une Expo photo de Jed Martín, et le soir prendre un peu de hauteur…, diable. Et pourquoi pas, ce petit caprice des dieux, pour mon demain. Embarquement immediat.
Quelle belle expression allitérative que cette « ellipse jusqu’à l’ os » Pierre Assouline!
Cela nous rappelle le si fameux rasoir d’ Ockham,dussent nos commentatrices et commentateurs s’ en souvenir ici.
Closer de 18.25, vous avez raison, alors je viens de préciser…
Sans nouvelles de Jacques Barozzi et JC, la France morte d’inquiétude attend de savoir s’ils y prennent un bain de pieds ou pas.
Bien, mon usurpateur peut sévir en toute impunité : drôle de façon de tenir un blog !
t’as raison rénateau..qu’est ce tu fouts lassouline
http://www.youtube.com/watch?v=8gfMXEmCew4
rares à être véritablement un artiste total, un auteur complet, usant du verbe, de la danse, du mime
tu dvrais faire une restriction pour clopine..qu’elle croit pas qu’il fasse aussi le pétomane
Chez Sottebises un montant record est attendu lors de la vente aux enchères du masque de l’immense peintre en carrosserie bouguereau.
provisoirement réconcilié avec ses contemporains
ah ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine….
J’ai assisté à cette représentation dans les années 80, il nous avait enthousiasmés et fait beaucoup rire. Une chance que de l’avoir cueilli jeune et beau!
J’ai adressé sur l’autre fil et à Chaloux un questionnaire type « mode et travaux ». Au cas où il soit encore possible de s’amuser.
bérénice dit: 11 novembre 2014 à 20 h 20 min
Ma chère vieille tante, à ce que je vois, vous entendez jouer à la plus fine.
Le 11 novembre 1918, grand beau temps sur la France. C’était pas du théâtre.
Pierre Assouline, c’est qui « Mouchkine »?
Z’avez pas beaucoup fréquenté les bancs inconfortables et les spectacles géniaux du Théâtre du Soleil… Et puis je crois me souvenir qu’elle a un prénom, « Mouchkine »…
Z’êtes aussi vulgaire que boumou quand vous vous y mettez…
20h35 ah tiens! vous l’auriez deviné
Béret nïce…
@Anémone
Répéter rabâcher
Répéter ressasser sans cesse
en s’appuyant sur tout ce qui surgit
en s’agaçant de tout ce qui s’efface
Ainsi ai-je vécu
Ange oublieux mon bel ami
tu trahis toujours avec le sourire
et tu consoles
d’une chanson vite émiettée au vent léger
« Tiens … c’était donc ça » me dis-je
Soudain s’impose l’évidence
Le chemin vers la mort en est-il plus facile ?
La fraîcheur de la résignation me gagne
un matin de beau temps
et les fourmis affairées sans répit vont et viennent
et à l’autre bout de la mer s’ébattent les dauphins
Tanikawa Shuntarô, Ange oublieux
http://photos1.blogger.com/blogger/2943/3143/1600/Num%3F%3Friser0001.0.jpg
Chaloux dit: 11 novembre 2014 à 20 h 39 min
Pierre Assouline, c’est qui « Mouchkine »?
Z’avez pas beaucoup fréquenté les bancs inconfortables et les spectacles géniaux du Théâtre du Soleil… Et puis je crois me souvenir qu’elle a un prénom, « Mouchkine »…
Z’êtes aussi vulgaire que boumou quand vous vous y mettez…
Phil dit: 11 novembre 2014 à 20 h 36 min
Le 11 novembre 1918, grand beau temps sur la France. C’était pas du théâtre.
Le récit des ancêtres, mon p’tit gars. Le réseau social fossile, que zuckerberg peut même pas rêver.
L’appui du fou?
t’as pas l’air très au courant de ce que je pense des réseaux sociaux top mode et du temps que j’y perdrais remarque..
ah zut, encore ce nombril, quelle horreur, que c’est moche…
crêmes déssert
Messieurs dames, bonne soirée en votre compagnie.
quel dommage de ne pas être assez proche et lèche cul comme dirait béré..
enfin, les gens propres sur eux font cela à distance..
mais voui, bonne soirée, vais vérifier si un connard n’a pas encore trafiqué la machine à laver tiens..
pas être assez proche et lèche cul comme dirait béré..
lèche bottes peut-être encore que je n’y joindrais la voix, horreur des situations conflictuelles. Je ne me prononce que sur les constats positivement positifs excepté si celui à qui il est adressé est un ami qui par définition peut tout entendre.
horreur des situations conflictuelles
avec Pétain c’était Noël au balcon et Pâque au tison mais cela ne m’amuse pas nécessairement
je dis ça, maintenant on dit plus couramment Noel au scanner Pâques au cimetière .
PMB dit: 10 novembre 2014 à 14 h 57 min
Paul Edel dit: 10 novembre 2014 à 13 h 10 min
« Dédié à ceux ici qui croient que ML est un mauvais prof. La passion de transmettre est la clé de toute pédagogie. Et je suis persuadé qu’il pense que ses élèves, eux, peuvent comprendre. »
Comme quoi, tant que ML fait de la pédagogie pour les 5emes, le reste n’a aucune importance…moi je vous propose ceci : vous invitez sur ce site (et ailleurs, autant que je sache) ses éleves de 5eme, a lire ses propos de lunatique et vous leur demandez leur opinion…les élèves se trompent rarement sur leurs profs…j’imagine que quelques-uns sont arabes et/ou musulmans…ils apprécieront, j’en suis sur, ses ‘Va te faire enculer par un Arabe’, ses ‘Mort a la peste verte islamique’ et son inoubliable ‘Lâche et Arabe’ qu’il a dirigé vers moi…ils apprécieront tant qu’ils ont parleront a leurs grands frères, qui voudront venir discuter sémantique avec lui…
Tout dépend du carburateur chauffé à la gnole de poilu ça explose épouvantablement comme en 14
Philippe Caubère est un comédien, auteur, metteur en scène français, né le 21 septembre 1950, à Marseille, Bouches-du-Rhône.
prenato vous êtes marrant.
Bien peigné à la raie, prénuptial, prégnant du pince haut pas tout à fait accouché…
Plus jeune que lui, il en faut peu, Bérénice.
Va te faire enculer par un Arabe’,
Abdelkader, personnellement la nationalité m’importerait peu, le verbe suffirait à fâcher.
ici c’en est à ne plus savoir si le juif tient à nuire au juif ou l’arabe aux arabes ou la femme aux femmes ou l’homo aux homo ou etc etc
une bonne pro-mots, pas facile à trouver
Abdelkader on disait aussi chez les grecs qui traditionnellement ont eu la réputation d’entretenir ces habitudes qui ne sont pas partout et toujours acceptées et bien vues .
La carpe au fond du lac fait glouglou
Caubère est très fort mais sait-il faire la girafe?
Phil dit: 11 novembre 2014 à 21 h 09 min
Le récit des ancêtres, mon p’tit gars. Le réseau social fossile, que zuckerberg peut même pas rêver.
Un p’tit bagel à 2€ avec un trou au milieu, façon donut, ça se trouve partout ; à Bangui aussi ?
Je suis en train de lire « Ariane Mnouchkine et le Théâtre du Soleil » de Bruno Tackels et cet article de Passou tombe à point nommé. Je vais tenter de voir ce spectacle mais le 7 décembre, c’est pas très loin!
Etant donné l’intérêt du billet, je suis d’autant plus désolée de voir que les 9/10 des premiers commentaires sont des insanités. D’habitude il me semble que les non sens, grossièretés et insultes démarrent plus tard.
Lavande dit: 11 novembre 2014 à 22 h 33 min
je suis d’autant plus désolée de voir que les 9/10 des premiers commentaires sont des insanités. D’habitude il me semble que les non sens, grossièretés et insultes démarrent plus tard.
Je viens ici pour prendre une leçon de français.
Qu’est-ce qu’une insanité?
C’est un non-sens, une grossièreté ou une insulte.
Je lis pourtant ce soit des signatures prestigieuses du blog à Passou, d’Abdelkader à bérénice.
Et bouguereau, ndd!
Lavande, je partage avec vous une certaine nostalgie.
Caubère, c’était Molière, Molière himself.
Plus récemment, à mon admiration s’est jointe mon estime, car sauf erreur, c’était bien Caubère qui, en tant qu’ami des putes, en remontrait à la désarmante Najat dans un article retentissant du Monde.
Je vois que le maître des lieux, après avoir donné un coup de main à une République soeur (la brillante Sophie, qui poursuit sa Route du Rhum, sous nos applaudissements) prend le relais d’une autre, la très bonne Charlotte ayant jeté l’éponge.
On se sent vaguement coupable.
Oh je sais bien, C.P. va encore protester de son engagement.
Ses commentaires, il les a lâché avec les élastiques alors que tous les soirs il en a plein les mirettes.
Même mon camarade JC qui y allait de son soutien sans avoir rien vu!
Comme moi! Par galanterie!
Ah, on est bien récompensé.
« une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline. » : non mais Ferdine est méchant parce que les gens sont méchants ! Si les gens étaient gentils Ferdine serait gentil…
Abdelkaka en appelle au lynchage collectif d’un honnête et brillant professeur de l’Education nationale.
Sergio, il assumait assez bien sur quoi il roulait…..
Et mort à la peste verte islamique ! qui a encore fait des victimes en Israël sur des Juifs innocents.
Le dieux des fanas du stade, hein……
On ne prête qu’aux riches, mais je n’ai jamais dit « Va te faire enculer par un Arabe » ! Dans ce cas, ce serait plutôt un Grec…!
Abdelkaka a des pratiques du KU Klux Klan ! Abdelkaka est un lâche lyncheur léche-cul…
Mesdames, Messieurs
Le spectacle de ce soir (Le Spectre d’Austerlitz) vous a été présenté grâce à une co-production Brown-Dédé.
Son by Dolby, couleur by Deluxe.
Sous vos applaudissements.
Analyse: « un lien direct entre l’attentat à Tel Aviv et les décapitations de l’EI »
Selon Ron Ben-Yishaï, les dernières émeutes sont alimentées par la ferveur islamique mondiale
L’ensemble du monde musulman est actuellement entré dans une frénésie religieuse violente, et particulièrement dans nos environs, et si les forces de sécurité israéliennes ont appris de dures leçons de l’Intifada précédente, seront-elles suffisantes ?
Le troisième Intifada prend de l’ampleur, et suit également un chemin bien trop familier: Jérusalem, le secteur arabe d’Israël, la Judée et la Samarie, et maintenant Tel-Aviv. L’enfer saute d’un lieu à l’autre, et chaque nouvelle étape nourrit et alimente celles d’avant. Voilà comment tout s’est déroulé pendant la première Intifada, l’Intifada des pierres, pour se poursuivre au coeur de la deuxième Intifada, l’Intifada des kamikazes.
Disney ose ! Une nouvelle version de Blanche Neige où celle-ci est méchante pour obéir à maman va sortir. Il paraît qu’Atchoum en prend plein la tronche.
Widergänger dit: 11 novembre 2014 à 22 h 58 min
On ne prête qu’aux riches, mais je n’ai jamais dit « Va te faire enculer par un Arabe » ! Dans ce cas, ce serait plutôt un Grec…!
En effet, c’était : « va te faire enculer par Ton arabe » à l’intention de Jacques Barrozzi (je donne son prénom, des fois qu’il se prendrait pour un écrivain, et je double les « r » comme les « z », pour le cas, très improbable, où ils viendraient à manquer)
Widergänger dit: 11 novembre 2014 à 23 h 04 min
Le troisième Intifada prend de l’ampleur, et suit également un chemin bien trop familier
Bah, vous êtes là.
On peut dormir tranquille.
Venons en aux choses sérieuses.
Personne?
Personne sur ce blog?
Personne pour signaler que le numéro spécial du Monde sur Simenon est véritablement excellent?
Peur de passer pour lèche-cul?
Il est merveilleusement équilibré.
(Les extraits… Les critiques anti-Siménon… Que du bon… Et quand les meilleurs font la moue, comme Paulhan, c’est encore de l’admiration…)
Je le lisais dans la voiture-bar de mon TGV, et j’ai failli me le faire piquer.
Je l’aurais racheté, tiens.
Peur de passer pour lèche-cul?
alors ça, ça serait vraiment du nouveau..
Et le théâtre du monde?
Le théâtre qui mène nos vies?
Dernier entr’acte (ce que les Nippon appellent un kogen):
Putin, sous les yeux de son mari qui en oublie Obama passe son mentaux à la mère Peng Liyuan, son épouse.
Ah, ça buzze.
Regardez-donc à droite:
http://www.youtube.com/watch?v=QLJKVETVF6Q
De la référence?
Quoi de mieux que Foreign Policy?
http://www.foreignpolicy.com/articles/2014/11/10/putin_hits_on_china__first_lady_apec_censors_go_wild?utm_source=Sailthru&utm_medium=email&utm_term=%2AEditors%20Picks&utm_campaign=2014_EditorsPicks11%2F10RS
ah c’est sûr qu’elle a vraiment l’air de l’avoir voulu sur les épaules
La mère Peng Liyuan?
La Michelle Obama chinoise?
Une sorte de Mireille Mathieu de l’Armée Populaire de Libération.
Vous, je ne sais pas, mais moi je me passe ça au petit déjeuner.
(Elle poitrine?
C’est sûr, mais quel corps politique, ndd)
http://www.youtube.com/watch?v=azFc6PFi-xE
A demain, Caubère!
bon, elle a pas l’air froide au point de se retourner dans sa tombe faut admettre..
Je ne veux surtout pas vous lasser, mais regardez un peu l’entrée en scène de cette Treiweiler.
C’est pas d’un goût sarkozien?
Rolex?
http://www.youtube.com/watch?v=2D40CzOGcL4
That’s all folks
Le théâtre qui mène nos vies?
euh..
Un automobiliste a perdu la maîtrise de son véhicule lorsqu’il a avalé de travers un bonbon pour la gorge lundi soir à Lenzburg (AG). Sa voiture a fait un tonneau et a été entièrement démolie, indique la police argovienne.
Le conducteur, un homme de 45 ans, et sa femme s’en sont tirés avec des blessures légères.
(ats / 11.11.2014 18h00)
Un OVNI dans vos librairies ! Son titre ? « Je ne veux surtout pas vous lasser », confidences en rire jaune d’une éminence grise anonyme quittant la vie politique. Un livre rare pour ambidextres pouvant se lire de gauche à droite comme de droite à gauche, de haut en bas et de bas en haut. Le critique du Figaro dit que c’est du flan, celui de Libé le coussin péteur d’un porteur de Rolex qui aurait voulu être artiste et le critique du Guardian trouve que ça pue.
J’fais mon lynchage tout seul, merci a vous…rendez-vous donc, devant l’Institut du Monde Arabe, dimanche 14 decembre, a 14 :00…je serai en fez rouge…
candie dit: 11 novembre 2014 à 23 h 08 min
Que ce lunatique ait dit ‘va te faire enculer par Ton Arabe’ ou ‘va te faire enculer par UN Arabe’, cela changerait-il quoique que ce soit ? il y’a le fait d’abord qu’il dise a un homo d’aller se faire enculer, ensuite se faire spécifiquement enculer par un Arabe, pas par un Juif ou par un Inuit…ne serait-il donc qu’un futile enculeur de mouches a caca ? perso ca ne change rien a la chose…il m’a aussi traité de ‘Lâche et Arabe’…vous dites quoi a ca ? vous lui trouvez toujours des excuse ? comment ? z’etes toujours aussi compréhensive envers autrui ? z’etes assistante sociale ? et son ‘Mort a la peste verte islamique’. Z’en pensez quoi ?
Franchement, je m’en tâterais, si ce n’était le simple fait que tout blog devrait avoir un cahier des charges (ici ils ont tous un bidule qui spécifie ce qui est acceptable ou pas) et que le taulier est tenu par la loi de maintenir et d’adhérer a ce cahier des charges…or il a montré une attitude disons pour le moins cavalière envers cet énuclé de sa mère qui vient ici insulter des races et des religions entières, contre l’esprit et la substance de la loi concernant les blogs publiques et qui tremble a l’idée que ses élèves puissent en être affranchis…
Fuck me ! je rentre du pub ou les chanteurs étaient en forme (salut Fons, j’ai offert une pinte au pianiste en ton nom et il a ensuite joué Delilah de Tom Jones)…je viens ici et c’est comme si je respirais des effluents toxiques…la même rengaine, les mêmes trouducs semi-séniles racontant les mêmes salades et riant de leurs bons mots…elle est loin la littérature…
https://www.youtube.com/watch?v=5gXEnYrPrMI
quel nous vêle…….
…
…s’il vous plait,!…pensons plus au confort quotidiens,!…
…au sujet de la voiture volante,!… » remember Mary Poppins « ,!…
…
…Non,…la récente voiture-volante, çà va pas,!…déjà question de piste d’atterrissage,
…imaginons le vas et vient,!…pire qu’une ruche d’abeilles,!..Non,!…comme nos aéroports,!…avec taxi,!….etc,!…
…
…je suis plus près, du modèle avec ballon à l’hélium dans un très léger alliage en métal-doublé,!…pour garder un espace-intermédiaire pour les jeux de sécurité( ex; grêlons )et fils de contrôle-caméras sur angle sur la légère plate-forme en volume.
…
…ceci-dit,!…je vois des pieds élévateurs-extensibles comme ceux d’Apollo ( capsule sur la Lune )& joints entre-eux, par des armatures d’assemblages ( rétractables – extensibles ) en plate-formes-superposées pour supporter cette réserve d’hélium en ballon,!…qui maintien en l’air, l’habitacle de conduite et directions avec votre poids et celui d’un ou plusieurs passagers avec bagages,!…
…le reste, c’est un jeux d’enfants, dans l’habitacle des commandes pour toutes les variétés d’instrumentations du modèle le tout clos et séparé,…( sous la réserve d’hélium, placé à 1 ou 2 mètres au-dessus , qui elle-même,…peut être surmonter de 2 paires d’hélices ),!…pour stabiliser l’engin en l’air,!…
…une fois, les passagers à bords dans l’habitacle et élever au dessus des maisons, aussi par les pieds extensibles ( gente capsule sur la Lune ),…
…les hélice se mettent en marchent, pour faire contre-poids, à l’ensemble de l’engin,!…& à rester géo-stationnaire sur lui-même,!…et par un autre moteur à hélice ou à propulsion,…partir, voyager à son lieu de travail ou loisirs,!…
…pour freiner ou s’arrêter, un autre moteur à hélices à l’arrière qui freine et arrête l’habitacle en position géostationnaire,…
…ensuite,…déclenché l’ouverture des pieds extensibles, se poser en douceur,!…et faire ce qui vous plait,!…
…( sans feux-rouge, frais de péages, amandes de stationnements, etc,!…)
…
…l’essentiel, c’est la grosse réserve d’hélium, pour compenser notre poids,!…
…et un minimum de bricolage à monter en série,!…c’est pas un chronomètre,!…
…c’est un principe,!…qui dit mieux,!…
…
…Diable de Caubère,…parler pour rien dire,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…encore un tour, la voiture à demi-hélicoptère-ballon,…etc,!…
…
…avec, des petits détails de compensation,!…tout marche,!…
…bien, sur, interdiction de vendre aux riches,!…c’est pour les moins-riches le confort,!…
…vous disiez la guerre,!…Oui,…la guerre technologique,!…à l’eau ferrugineuse,…un Cointreau of course,!…à l’eau de Spa,!…
…Ah,!Ah,!…envoyez,!…
…
…
…tient,!…en réfléchissant encore,!…
…
…pour protéger » la plate-forme ballon-hélium « ,…contre les grêlons, ou hautes-températures-solaires,…
…Oui,!…autant, l’intégré dans l’habitacle au beau-milieu,!…
…mais et l’habitacle peux prendre une » forme de soucoupe volante « ,!…si de plus; en y plaçant les diverses doubles-hélices , sur l’habitacle et les autres ( pour avancer ou reculer ),…dans des ouvertures télécommandés comme les trappes d’ogives des sous-marins,!… c’est mieux,!…
…
…je suis effrayez,!…je réinvente les sous-coupes volantes,!…mais bien terrestres celles-là,!…
…
…mais, alors, c’est rien,!…les soucoupes existeraient vraiment,!…çà alors,!…
…
…c’est embêtant,!…je ne croyait pas aux soucoupes-volantes,!…quelle affaire à jour,!…Ah,!Ah,!Bip,!Bip,!…Go,!…etc,!…
…
…Oui, avec des limites, nécessité de la pesanteur, pour jouer autour,!…etc,!…
…envoyez,!…
J’ai connu, jadis, une concierge portugaise sympathique qui geignait à tout propos, pour rien, pour geindre, pour chouiner… J’ai repensé à elle en parcourant ce matin un inédit de Gracq qui devrait sortir soon : « La plainte d’Abdel l’arabe au couchant ».
Qu’elle était gentille dans son escalier, Ma’ame Lopez …!
Camarade ueda,
En reluquant avec malice vos liens chinois, j’ai éprouvé la douloureuse expérience suivante : dériver…
J’ai rêvé d’habiller les ténors et musiciens de l’opposition, les Fillon, les Sarkozy, les Lemaire, les Juppé, comme à Beijing … bien les ranger en ordre de bataille, bien galonné électoral pour s’y retrouver, bien propre en uniforme sortis des teinturiers de droite.
Soudain ! Atroce ! Cauchemar … la chanteuse qui remportait le succès sur le devant de la scène, qui effaçait tous les pitres à pipeaux, le cul bien cambré par des talons trop hauts, les yeux bien débridés … oui ! elle ! Marine !!!
Réveil en sueur et signe de croix pour conjurer le mauvais sort…
« Il parvient même à n’en faire jamais trop tout en en faisant jours plus. »
J’aime bien Passou enthousiaste… démesuré… à en perdre le fil des mots… sans excès…
Nuit rdienne assez calme ?a part le post post post modernisme. C’est bien, c’est bien!
Les cloches matinales sonnées par le frère Palymobil de service.
Abdel,
je suis tout content de te lire en pleine forme. Juste un petit request de ma part. Je sais que je t’ai dit de payer un pint de temps à autre au piano man. Mais, vu la fréquence de tes soirées au oiseau volant, et bien que sachant ce que je te dois lors de notre soirée, le cidre et tout, j’espère que tu ne m’en veux pas si je te demande de pas exagérer avec mes pints. NON, je ne suis pas radin comme le Playmobil Captain, mais tu sais bien la cheffe, elle pourrait être contrariée si je n’arrivais plus à payer ses sachets chez Liberty’s que tu l’as vu porter. Je te fais confiance.
Concernant la rdl. OUI, malheureusement toujours la même musique des Türvorsteher et leurs chiens qui ne cessent d’aboyer, ils se sont même mis au porno comme j’ai lu hier. Je n’ai pas eu le temps pour vérifier si Palymobil man s’y est mis aussi, mais si jamais c’est le cas, je comprends encore moins pourquoi les pages 206 et 207 l’ont fait flipper, à mon avis il doit y avoir une toute autre raison au sujet de son énervement contre le dernier Reinhardt. Et si jamais on y trouvait trop de vérités?
Je crois que c’est sans espoir d’aucune amélioration contre les commentaires insultants et risquants le juge de monsieur Brassens. Gare au Goriiiillllle! C’est vraiment tout comme dans la classe de la cheffe. Quelques types et nanas incorrigibles dont le seul but dans leur vie d’école est de déranger la classe et d’empêcher les pauvres immigrés d’apprendre le peu ce qui pourrait leur donner un espoir de changer pour une classe de niveau supérieur. Mais comme tu m’as raconté que certains rdliens sont des profs eux mêmes, ils doivent bien connaître cette situation de classe. C’est pour ça que malgré ta connaissance assez fondée de la rdl, j’ai toujours un peu de problèmes à te croire au sujet de cette signature de prof dans les commentaires racistes et tout autres. Pas trop le temps pour le moment, donc à plus tard dans la journée ou à demain.
Et piano avec les pints, comme dirait le vrai renato. Hope all is fine in London.
Les ceusses fonsolâtres, faux innocents, simulateurs de simplicité, qui croient que je suis énervé contre ce pauvre Eric Reinhardt n’ont pas bien compris.
Pourquoi irai-je m’énerver contre un type qui écrit un livre de merde ? C’est son droit le plus absolu ! Déféquer soulage !
Je suis énervé contre les raisons passouliniennes qui m’ont conduit à dépenser des biftons pour lire des glanduseries stupides, lamentables et minables…
En plus des potes qui savent lire, écrire et compter m’ont dit que le « Royaume » de Carrère est bon et méritait le Goncourt !… Bref, j’enrage d’avoir perdu temps et argent. Deux bonnes raisons d’être énervé.
Excusez moi, frère des cloches, je veux bien vous croire sur parole d’homme de toute franchise, mais ayant lu le dernier Reinhardt assez près, jâi un peu de problèmes avec votre statement et je me demande si vous dites toute la vérité. Isn’t there a saying in your country in risk of a soon suicide, which sounds a bit like ‘la vérité blesse’? J’espère que vous ne m’en voulez pas that I just had a tea cup spilling moment quand je me suis demandé pourquoi les Playmobil men de mes fis n’avaient jamais de zizi.
Nice day to you. I have to run for the train to Cologne. My paper wants me to do a report about those hard racist hooligans who demonstrated some weeks ago. I hope that I will not see a Playmobil face among them.
J’ai connaissance d’un malheureux compatriote qui vient de se faire traiter, sur le Continent, de xénophobe par des socialistes avinés !
Tout ça parce qu’il adore voir des africains heureux dans leurs riants pays libres encharié, plutôt que frustrés de supporter la licence des mœurs qui règne en France où nos sœurs ne sont pas recouvertes de sacs poubelles sombres cachant leurs redoutables appâts ! …
C’est un xénophile de grande humanité ce brave homme, il voyage pour voir l’étranger chez lui, dans son jus … uhuhu !
Boko Haram, les amis, n’oubliez pas ! Boko Haram, l’éducation occidentale c’est Satan au pupitre !
Le polyglotte vertueux m’amuse… ce matin le temps change.
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« A quoi bon lire des nouveautés quand tant de livres, classiques anciens ou modernes, sont bien meilleurs ? »
Il faut bien faire tourner le business de l’édition, grands dieux !
Tout le reste n’est QUE littérature …
tu veux pas répéter encore une fois ? on n’a pas bien compris…
Ah ! maudits soient les redoublants …
qui fait dans la reddition permanente depuis une éternité mon chou ?
(se rêve maîtresse d’école là où elle risque pas son cul la conne)
on entend sa voix mais d’outre-tombe nous murmurer que « le théâtre, c’est un peu comme les rêves, ca n’existe pas »
pour une mise en abîme..: qu’un macab pour parler d’author sur le sujet
A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline
manque pus que le chaperon et son pot de beurre
Il parvient même à n’en faire jamais trop tout en en faisant jours plus
surtout pas corriger
céline et les lourds, va savoir s’ils avaient pareille épaisse couche de mauvaise graisse tiens, c’est vrai que là j’y étais pas..
Je découvre le billet… et, juste comme ça, bien que Chaloux ait sursauté et Lavande rétabli, on en est encore à « Mouchkine » pour Ariane Mnouchkine, mère théâtrale et cinématographique de Philippe Caubère (mère difficile à quitter d’ailleurs).
ueda, si Charlotte voulait bien donner une chronique plus régulière, il y aurait aussi plus de commentaires dans la république du théâtre.
non marmonnés à voix basse en tournant le dos au quatrième mur
..celui qui a des oreilles
on en est encore à « Mouchkine »
pas changer..en 14 ça aurait francisé en mouchequine pour faire d’excellent français mort..le temps passe bêtement pour les vivants
et quel choix DR bouboug culturé
tu me transmets en télempathie l’image de celle qui sert à bouffer peu avant mon indigestion tiens
C.P. bonjour…
que veut dire pour Caubère « Mnouchkine, mère difficile à quitter » ? (Pour ceux qui ne sont pas dans le coup …)
enfin faut admettre que comme redoublant il était encore plus fort que Larsson
mais quel succès, JC doit en rêver tiens..
bouguereau dit : ses muses « tête de bite »… déjà écrit 14 fois depuis l’an dernier, c’est le progrès
JC, Caubère cheminant seul n’a pourtant pas cessé d’évoquer, dans « Ariane ou l’Age d’Or », « Les Enfants du soleil », « Le Roman d’un acteur », textes et spectacles… Ariane Mnouchkine. Avec un mélange d’admiration reconnaissante et d’affection houleuse. Ces relations ne font plus la une de commentaires critiques (et parfois empreints de malignité) et c’est bien ainsi, mais Ariane, la « Coopérative du Soleil » à la Cartoucherie, le film « Molière » sont évidemment inoubliables dans la carrière de Caubère.
Comme le temps passe. Personne, sauf CP, ne semble avoir souvenir du « Molière » de Mnouchkine (Ariane !), qui réconciliait les collégiens préservés de la i-culture avec leurs classiques.
C.P., mais bien sûr que si, on s’en souvient ! L’adaptation cinématographique était somptueuse, avec cette scène finale où Klaus Nomi accompagnait la montée des marches d’un Molière-Caubère mourant (quelle bonne idée, cette « montée » alors qu’on aurait pu pesamment le faire « descendre » cet escalier). La permanence des images demeure : les scènes de carnaval, le jeu amoureux entre la « vieille » actrice et le jeune auteur, les scènes à la cour, l’enfance de Molière : rien n’a été oublié, soyez-en sûr !
Et puis le théâtre du soleil, où, pendant les entractes, les acteurs servaient les spectateurs, mais si, mais si !
C’était une période si explosive théâtralement, qu’elle fut, comme pour tout le reste, souvent imitée, jamais égalée…
pardon, je m’adresse à Phil et non CP !
Merci C.P. !
J’ai vu deux trois trucs mis en scène par Ariane à la Cartoucherie, c’était sympathique, le lieu plaisant, l’engagement des comédiens, évident. Pas vu le Molière … un vague souvenir de l’Indiade. Bizarrement aussi, d’un Shylock (?)…
Je viens de voir sur Wiki qu’elle appuyait Ségolène Royal en 2007. Belle lucidité politique !… Personne n’est parfait.
.. D’ailleurs, même n’étant pas dans la confidence, on voyait bien, quand on regardait « Molière », que la liaison Molière-Armande Béjart relatée dans le film devait sûrement beaucoup à la réalité contemporaine Caubère-Mnouchkine. M’enfin, je dis ça je dis rien !
alors pourquoi se perdre dans les satiriques on à mémère qui refoule de la jaquette en espagnole tu me diras bien sûr, pas facile de lire quand on t’a invité au ciné, tu vois ma vieille ?
oui Clopine, Klaus Nomi…qui n’allait pas faire long feu. Mnouchkine mérite son prénom.
« Mnouchkine mérite son prénom. »
Certes, Phil, mais qui fait le Minotaure ?
Parmi les victimes d’icelui : Philippe Léotard !
1798 à la Cartoucherie, j’y étais !
Comme tout cela me semble loin et vieux !
1789, of course !
JC à la Cartoucherie ? il a dû prendre une balle dans le fion comme dirait bougue-rototo plus tard
bon les classiques du big names & places dropping se lâchent, caressez vos pieds les poupons et bonne journée
« une épopée personnelle parmi les plus originales du théâtre contemporain en France. »
Caubère, un Molière d’autofiction dépourvu de son répertoire : une figurine échappée du musée Grévin pour club du troisième âge ?
Le Diable s’habille en Hugo Boss ou en Francesco Smalto ?
Si j’en crois la conclusion de Passou, je crains d’être bouché à l’émeri !
Ce matin, vu sur BFMTV le retour de Philippe de Villiers auteur d’une biographie de Jeanne d’Arc : on régresse, on régresse !
Ira-t-on tous au Paradis ?
« A quoi bon lire des nouveautés quand tant de livres, classiques anciens ou modernes, sont bien meilleurs ? »
Qui a dit que notre avenir est dans notre passé ?
Jehanne ! Une fille déguisée en homme ! Ce serait parfait pour envisager ta reconversion.
Ton âme enfin sauvée ! Conforme à l’ordre naturel voulu par Dieu, Jacky ! Ne crache pas sur les pucelles : elles ont l’armure tendre et une dague-ceinture Bouguereau …
(passou s’adresse à plus modestes que vous il me semble)
« Rire moliéresque, finesse de marivaudage, tragique russe, hénaurmité rabelaisienne, humour bouffon, ridicule de la farce, et le tout fait un excellent auteur dont la voix est unique dans le spectacle français, aussi pétaradante qu’étincelante. (…) Le résultat, étourdissant, donne l’impression de lire une version actualisée d’A la recherche du temps perdu adaptée en bande dessinée par Louis-Ferdinand Céline. »
Tout le théâtre et la littérature réunis et actualisés !
C’est pas un peu too much pour un seul homme ?
(et ça me fait ch.er de trimbaler ma clique un peu n’importe où en ce moment, chacun son truc les clubs de mémères)
« C’est pas un peu too much pour un seul homme ? »
Passou est méditerranéen, Jacques ! Solaire, ombreux …
Bien plus chaud qu’un Cannois, bien plus dithyrambique qu’un Porquerollais !
Quoi, j’exagère ? Quoi ! …C’est pour être compris …)
Clopine 10h11
« Et puis le théâtre du soleil, où, pendant les entractes, les acteurs servaient les spectateurs, mais si, mais si !
C’était une période si explosive théâtralement, qu’elle fut, comme pour tout le reste, souvent imitée, jamais égalée… »
N’en parlez pas au passé Clopine, le théâtre du Soleil se porte toujours bien. J’y suis allée il y a quelques mois pour un Macbeth à la scénographie extraordinaire. Un beau spectacle même si j’ai eu quelques réticences sur Lady Macbeth (et en particulier son costume).
L’ambiance est la même: repas sur des grandes tables à l’extérieur – le Soleil était au rendez-vous, dans tous ses avatars.
Bien d’accord avec Passou sur la diction de certains comédiens qui, dos au public, marmonnent dans leur barbichette (réelle ou virtuelle) comme si ce n’était de toute façon, pas très important qu’on comprenne ce qu’ils disent.
Jacques 10h51 : mais non, mais non!
» Philippe Caubère est partout sur la scène de l’Athénée-Louis Jouvet »
Théâtre de l’Athénée-Louis Jouvet
Square de l’Opéra-Louis-Jouvet
Tél. : 01 53 05 19 00
Métro : Havre-Caumartin – RER : Auber
Construit par l’architecte Paul-Casimir Fouquiau à l’emplacement de l’éphémère Éden-Théâtre, bâti au début des années 1880 et démoli en 1892 pour permettre l’aménagement de l’actuel square de l’Opéra-Louis-Jouvet, le théâtre de l’Athénée a été inauguré en 1896.
Dans cet environnement intime, préservé des rues avoisinantes, et salué par le majestueux groupe en bronze du Poète chevauchant Pégase d’Alexandre Falguière (1897), se dresse l’étroite façade du théâtre.
Celle-ci se caractérise par sa large verrière du premier étage, dont le réseau des nervures évoque le style flamboyant, surmontée d’une seconde verrière plus sobre et encadrée par six pilastres.
Les espaces intérieurs on conservé la même élégance feutrée d’origine : hall, coursives, foyer-bar conduisent le spectateur vers la grande salle à l’italienne de 570 places où resplendissent le velours de ton lie-de-vin du rideau de scène et des fauteuils et les abondantes ornementations dorées.
C’est dans cette délicate bonbonnière, dévolue jusqu’alors au théâtre de boulevard et aux pièces de Courteline, Feydeau ou Tristan Bernard, qu’en 1934 Louis Jouvet vint établir son dernier campement : il y mourut subitement dans son bureau le 16 août 1951.
Sous sa direction, le théâtre de l’Athénée, auquel son nom reste attaché depuis 1955, prit un tour plus intellectuel. Entouré des comédiens Madeleine Ozeray, Pierre Renoir, Alfred Adam ou Romain Bouquet, et du décorateur Christian Bérard, Louis Jouvet innova avec ses mises en scène mémorables d’œuvres de Molière, Jean Giraudoux, Marcel Achard ou Jean Genet.
En 1982, Pierre Bergé alors propriétaire des lieux y adjoignit la petite salle Christian Bérard de 90 places et offrit la tutelle de l’Athénée-Louis-Jouvet au ministère de la Culture et de la Communication, conférant ainsi à cet ancien théâtre privé son statut actuel de théâtre public.
Dirigé depuis 1993 par Patrice Martinet, le fondateur du Festival « Paris Quartier d’été », le théâtre fut classé Monument historique en 1995 et rénové l’année suivante. Poursuivant la politique d’exigence et d’innovation initiée par son illustre prédécesseur, ce dernier y a présenté, entre autres auteurs dramatiques contemporains, des pièces de Valère Novarina, Jacques Lassalle ou encore Jean-Luc Lagarce.
(in « Les lieux de spectacle et vie artistique à Paris », éditions Massin, 2013)
Lavande, ceci :
« Bien d’accord avec Passou sur la diction de certains comédiens qui, dos au public, marmonnent dans leur barbichette (réelle ou virtuelle) comme si ce n’était de toute façon, pas très important qu’on comprenne ce qu’ils disent. »
Pourrait s’appliquer aussi à la Rdl ! (j’ai des noms !)
s’il faut refroidir les autres pour jouer les grands chauds……
Bon … Ok, Lavande !
D’un autre côté…. l’accueil sympa des spectateurs à la Cartoucherie, c’est business aussi, hein ….
Les théâtreux ne sont pas plus cons que des traders, ou des plombiers : on est tous frères et on s’aime … et vous en aurez pour votre argent !
(j’ai des noms !)
tu te les as plus foulées que pour le tien ?
Sans doute, mais les plombiers sont plus rares…
Merci, Lavande, pour vous, un autre extrait de mon récent livre, dont j’ai offert le dernier exemplaire à… Clopine !
12e arrondissement
Théâtres de la Cartoucherie
Route du Champ-de-Manœuvre
Tél. : 01 43 74 24 08
Métro : Château-de-Vincennes
C’est dans l’ancienne fabrique d’explosifs et poudre de la Cartoucherie, situé dans le bois de Vincennes et désertée par l’Armée, qu’Ariane Mnouchkine établit en 1970, de façon plus ou moins autorisée, la troupe du Théâtre du Soleil, qu’elle avait fondée avec Philippe Léotard en 1964.
Les lieux totalement délabrés, furent restaurés alors par les membres de la troupe eux-mêmes, rejoints quelques temps après par d’autres compagnies qui occupèrent les hangars adjacents.
En 1971, Jean-Marie Serreau y créa le Théâtre de la Tempête, dirigé aujourd’hui par Philippe Adrien ; en 1972, Antonio Díaz-Florían y installa le Théâtre de l’Epée de Bois, qui n’était alors qu’un atelier et en 1973, Jacques Nichet, auquel a succédé François Rancillac, y établit à son tour le Théâtre de l’Aquarium.
Depuis plus de quatre décennies, la Cartoucherie est un vaste ensemble théâtral, qui s’est également ouvert en 1999 à la danse avec l’Atelier de Paris, placé sous la direction de Carolyn Carlson.
De nombreux spectacles y furent créés et rayonnèrent au-delà de ses murs, tels 1789, création collective du Théâtre du Soleil en 1970-71, suivie la saison d’après par 1793 ou bien le film Molière, écrit et mis en scène par Ariane Mnouchkine en 1976 avec la troupe du Théâtre du Soleil.
Tandis qu’au Théâtre de la Tempête furent présentés, entre autres, des pièces de Valère Novarina, Copi ou Jean-Luc Lagarce, que le Théâtre de l’Aquarium s’attachait à découvrir de nouvelles formes théâtrales et que le Théâtre de l’Epée de Bois transitait du théâtre politique et expérimental vers un « théâtre de texte ».
(op. cité)
Avant de vous quitter définitivement, au grand soulagement des fragiles (j’ai les noms : copyright normand), prions mes frères et mes sœurs pour que cette création, cet artefact humain, Philae, se pose sans encombre sur une comète naviguant à plus de 50.000 km/h … Dix ans de voyage, 5 milliards de KM parcourus !
Et il dit même pas combien ça coûte ?
A son âge, Caubère… ne devrait il pas se ménager un peu, au lieu de tirer sur la corde ? Il est fauché, ou quoi ?….
Bercy accepte la négociation…
Pour Noël, neuf ou d’occasion, non mais j’y crois pas ! ?
http://livre.fnac.com/a6012402/Jacques-Barozzi-Lieux-de-spectacles-et-vies-artistiques
Faire monter les cours est le B.A. BA du boursicotage livresque !…
“A son âge” ?!
C’est vrai que l’on peut maquiller une gamine âgée de 14 ans pour jouer un homme âgé de 64 ans… C’est aussi vrai que, si c’est bien fait, le contraire est aussi vrai.
La ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, a assuré aujourd’hui que Jean-Pierre Jouyet était, « bien sûr », toujours soutenu par l’Elysée, affirmant qu’il « travaille sereinement » malgré ses versions successives d’un déjeuner avec François Fillon.
Le secrétaire général de l’Elysée est-il toujours soutenu par la présidence? « Bien sûr », a répondu à la presse la ministre à l’issue du Conseil des ministres. « Il avance, il est au travail, sereinement », a déclaré Royal, qui fut la condisciple à l’Ena de Jouyet.
Elle a repris en main le petit gros, père de ses gniards ?! Photos à l’infra-rouge suivent.
Pourrait s’appliquer aussi à la Rdl ! (j’ai des noms !)
cette envie de dénonciation..
Un peu d’humour, Paul !
Pas besoin de faire 5 milliards de km pour se debarrasser d’un frigo…z’auraient mieux fait de le balancer a la tronche du garde champetre…que dis-je? Je l’aurais fait pour eux gratos…mon frigo meme…
Comme par hasard (Alexandre) Mnouchkine père était producteur de cinéma http://www.independent.co.uk/news/people/obituary-alexandre-mnouchkine-1453830.html
((…)associated with some of the most memorable French films of the Forties, Fifties and Sixties.(Alexandre) Mnouchkine was fortunate in acquiring the services of Jean Cocteau in 1948, when Cocteau was still furthering the career of his lover and protege Jean Marais. He had written two plays with that in mind, L’Aigle a deux tetes and Les Parents terribles, which Mnouchkine enabled him to film, respectively in 1948 and 1949.
As on the stage, the former starred Marais and Edwige Feuillere – and it is difficult now to see why, even in a post-war world (…)
5 milliards de KM parcourus !
Facile
« Croire au progrès, cela ne signifie pas croire qu’un progrès a déjà lieu. Sinon ce ne serait pas une croyance. ». Franz Kafka
jacques, franchement, hurler aux trolls depuis des années comme le fait Clopine.. et dans un même mouvement vouloir dénoncer, non, je trouve ça médiocre. choquant.
avec l’humour…Jacques on peut faire n’importe quoi..une femme âgée se fait renverser par une vélo , un alcoolo saute et frappe sur un couple dans un bistrot commeje lai vu récemment …. suffit de dire à cahque fois: » allons un peu d’humour ».. on peint sur une vitrine un slogan antimesite .. il faut répondre? » allons un peu d’humour.. » l’humour a bon dos…je ne marche pas dans ça..d’autant que Clopine fait la leçon morale à tout le monde.. avec une sorte de triomphalisme qui n’admet ps la réplique.;… . on peut nuancer, non? je le dis, je ne amrche pas dans ce gernee de truc. là, je prefè-re les « insultes » de WG ,c’est au moins clair et net.Violent mais pas jésuite.
Paul vous vous égarez. Le « j’ai des noms » faisait clairement suite, au moins dans mon intentions, au sketche de Coluche ! C’est-à-dire à ce qui se fait de plus loin de la dénonciation…
Vous me critiquez durement, pourtant, vous avez tort sur un point : je ne suis plus la même, sur ce blog. Il est impossible d’y demeurer si l’on veut se garder de toute critique ou jugement envers les autres, la preuve, vous-même à mon égard ! Je me suis endurcie, c’est vrai, et j’ai abandonné mes scrupules qui m’empêchaient de réagir autrement que par la plainte. Désormais, il m ‘arrive de répliquer (suite à ce que j’ai découvert sur le blog de Bergeret, que je n’aurais jamais cru exister : une volonté délibérée de nuire, non pas un simple amusement ou une provocation, non pas une réaction exaspéré à tel ou tel, mais une volonté délibérée, ça fiche un sacré coup vous savez ! Je ne crois certes pas faire de « triomphalisme », mais enfin, si vous préférez les insultes à tout va de WGG à mes tentatives de conversation… En tout cas pas de délation de mon côté, vous avez tort doublement. Ce que vous allez nier, bien entendu, mais reconnaissez au moins que moi, je n’attaque pas votre personnalité ! Au contraire : j’ai toujours exprimé, ici et ailleurs, mon admiration et mon respect. Je continuerai, malgré votre antipathie désormais déclarée. Mais au moins, admettez que vous avez pu faire une erreur, et prendre pour l’expression d’un désir ce qui n’était que de l’humour, nom de dlà !
Ou bien n’en faites rien, après tout. Vous serez un de plus. Or, un de plus, un de moins…
Paul Edel dit: 12 novembre 2014 à 13 h 12 min
Bon coup de gueule, non de d’là
Hello Abdel, the next time in Paris don’t miss either the Picasso museum rue Thorigny vraiment a great exhibition. Bonjour Fons, vous aviez evoque dans ces colonnes l’ecrivain TC Boyle, je me souviens que j’ai dans ma bibli dont je suis encore tres loin today, « le cercle des inities » et cette autre histoire, celle de Lloyd Wright et de son apprenti est emballante. Je poursuis my trip in Paris, et vais reprendre le metro, pour rejoindre Jed Martin.
C’était une période si explosive théâtralement,Clopine.
Et les autres théâtres en Europe la même époque, c’ est du pipi de chat?
The Bread and puppet , do you know it, Clopine?
Et Peter Brook, Clopine, do you know him?
La canopee est. un mot absolument detourne a Paris
when Cocteau was still furthering the career of his lover and protege Jean Marais
furthering, dans quel sens ? Dear Abdel, repeat it for us, please.
Mnouchkine, fille de ? aujourd’hui ils/elles le sont tous (in France).
Sometimes Pauledel prend tout en blog.
Le théâtre des silences…
http://www.letheatredessilences.com/theatre-des-silences.html
Mais qui des deux protégeait l’autre, Phil, Cocteau ou Marais ?
Souvenez du bel éphébe allant mettre son poing dans la gueule du critique collabo !
…
…@,…4 h 36 mn,!…
…
…et les soucoupes volantes existeraient donc, vraiment,!…
…et, produites ou çà,!…
…
…bon,!…on peux supposer, que vu l’expérience de jadis à l’hélium pour ses dirigeables,!…
…il est possible que ces O.V.N.I.,..sont produit par des ingénieurs allemands,!…
…bien,!…sur le système actuel de paiement est plus profitable aux états,!…
…
…et, donc,!…mon système de villégiature , décrit à 2 h 13 mn,!…est une réalité auquel les convergences d’ingénieurs ne peuvent éviter aussi,!…
…Ah,!…Ah,!…
…la technique-libre,!…c’est un rien » utile « ,!…Go,!…etc,!…Bip,!Bip,!…
…
du panache, baroz, sans aucun doute. Ce qui n’empêchait pas Abetz de rigoler quand il le tirait des tasses où le bel éphèbe donnait à juger de sa musculature.
Souvenez du bel éphébe allant mettre son poing dans la gueule du critique collabo ! (Jacques Barozzi)
On peut être sûr que le bel éphèbe n’était pas Jacques Barozzi (question d’âge, bien entendu). Parmi les nombreuses tares dont est affligé cet enfoiré, deux au moins auraient suffi, il n »y a pas, après tout, si longtemps, à l’expédier de l’autre côté d’une frontière que, selon un personnage de « La Folle de Chaillot » (cette grande folle appréciera, je pense), on ne repasse pas. A la tête de son régiment de turpitudes, le Barozzi arbore sans doute un képi de général de brigade(deux étoiles).
Ta gueule, Jambon avarié !
jamais vu cautère ni à la télé, ni au théâtre, en regardant la danse du diable sur youtube je trouve son référentiel humoristique très daté, mais pour un public senior pourquoi pas quelques réminiscences ..
pour piger ce que C.P et Passou entendent par son rapport à la mère :
apparemment, Clopine n’est plus « délicieuse », les temps changent
chantal voit un « cautère »… à la jambe de bois ?
Caubère pardon !
Je m’imagine assez difficilement son imitation parodique des ballets de Balanchine, enfin si Pierre Assouline a eu le bonheur de voir en Philippe Caubère tout un corps de ballet, ne lui ôtons pas le plaisir qu’il a eu de s’en divertir ..
Dans le lointain, je pourrais même voir un cratère, mais je n’ai qu’une boîte d’allumettes à porté de main, mais si vous jouez au tas de fagot ..
pour un public senior
ma mère de ma mère..
ne lui ôtons pas le plaisir qu’il a eu de s’en divertir ..
on peut gâcher..mais oter..t’es présomptueuse comme clopine
Ou bien n’en faites rien, après tout. Vous serez un de plus. Or, un de plus, un de moins…
même ceux qui te reste valent pas cher clopine..c’est xactement cque ça veut dire
Caubère a beau faire du téléphérique, il reste en surpoids.
Weber aussi qui joue la pièce de BHL, où le philosophe en chemise blanche déboutonnée a souhaité le déshabiller pour mieux dénoncer l’Europe des nantis fasciss. L’intermittence du spectacle ne fait pas maigrir.
Ta gueule, Jambon avarié !
le jette pas! il est encore bon pour les lasagnes
on nous demande souvent si bougeureau ne serait pas de la pédale lui aussi
mais non bouguereau, tu me cherches noisettes, ou je t’ai vexé ?
ma mère de ma mère ? tu nous en fait tout un spectacle ? Allez, je te laisse un tapis, un cendrier, des coussins et même un plaid rapiécé à te jeter sur les épaules pour que tu puisse jouer, on voudrais bien voir tes rictus, fais nous ta rencontre avec jcvd, un grand moment qu’assouline viendra applaudir, il est bon public quand il se sent à son aise sous le tipi de la cartoucherie.
… bouguereau aussi
C’est vrai que l’on peut maquiller une gamine âgée de 14 ans pour jouer un homme âgé de 64 ans…
et les keufs t’ont cru rénateau ?
Clopine…clopine..
« antiphathie déclarée, » tout de suite les grands mots !!.. méfiez vous de ce genre de posture..pas du tout » d’antipathie déclarée ». Votre combat rouennais, telle une jeanne d ‘arc, du genre « Tous des trollsqui veulent ma peau.. » qui veulent me mettre au bûcher.. ne fait pas de vous une sainte….. laissez tomber ceux qui ne vous aiment pas…selon vous la liste est intermibale et monotone de vos trolls..laissez pisser…acceptez d’avoir des gens qui ne pensent pas comme vous, car sinon on serait dans une terrible cafeteria orwelienne ..
tu me cherches noisettes, ou je t’ai vexé ?
ni l’un ni l’ot ma poule..t’es trop nerveuse..détends toi
faute de cautère tacle bougue-rototo, on la félicite
selon vous la liste est intermibale et monotone de vos trolls
c’est l’moment de dire qu’cest toi bergeret polo !
Phil « fille de ? aujourd’hui ils/elles le sont tous (in France) »
de là à critiquer les intermittents …
Ta gueule, Jambon avarié ! (Jacques Barozzi)
La tienne, Bas résilles troués !
Pour éviter tout malentendu, je tiens à préciser les deux tares que j’entendais dénoncer chez l’infâme Barozzi. La première, comme chacun le sait désormais ici, est de tenter (vainement) de faire passer pour des oeuvres littéraires des guides du Paris by nigyht à l’intention de touristes japonais peu au fait des subtilités du langage frantsouès. La seconde est d’emmener au Père-Lachaise des cohortes de RdLiennes en manque pour leur faire savourer le douteux plaisir de le voir satisfaire ses pulsions malhonnêtes en s’empalant sur le sguègue de Victor Noir. En l’absence de toute législation sérieuse punissant ce genre de dérives, je m’étais chargé, jusqu’à l’époque des J.O. de Pékin (ça ne me rajeunit pas), des exécutions extra-judiciaires seules à la mesure de tels forfaits. mais depuis cette époque, j’ai bien baissé (vu que je baise moins, mais ça, ça ne regarde que moi), surtout que, ayant trop lu, Widergänger, Zemmour et Richard Millet, j’ai bien compris que tout dans ce pays partait en sucette, c’est le cas de le dire, comme on a d’ailleurs coutume de dire dans les milieux hormosessuels.
on voudrais bien voir tes rictus
comme la jéhanne pour faire le jéhan faut du bisquit
Chantal, vous êtes au boulot?
Les rêves, ça existe autant que la réalité, puisque ça passe par nous ! Hen plus la réalité avec les théories du chat des cordes, en ce moment c’est bouché ov course à l’émeri…
La tienne, Bas résilles troués !
ça rajoute dans le sesque jean marron..plus les faux noeil au beurre noir ça fait émo en diabe
la réalité, puisque ça passe par nous !
on compte pour du beurre nous sergio..
Oui je suis au taf, j’y retourne d’ailleurs, ce n’est pas les ‘ma poule’ qui donnera du relief à mes fins de mois.
Les Goûts de baroz (ceux du mercure) valent pour les incipits aux extraits proposés.
bougue-rototo : « les faux noeils » … déjà utilisé 23 fois depuis le début de l’année… en progrès constants
Chantal, je ne suis aucunement le bougre de roteuteu de service, vous savez!
si ça avait été la voix de shakespeare au moins sergio.. »l’étoffe de vos rêves c’est pas du tweed ».. »vot taylor est fauché bande de surrendeur monki de français »
La seconde est d’emmener au Père-Lachaise des cohortes de RdLiennes en manque pour leur faire savourer le douteux plaisir de le voir satisfaire ses pulsions malhonnêtes en s’empalant sur le sguègue de Victor Noir.
Nom d’un parapluie !
Jacounet est allé déniaiser sur le marbre notre Simplicité !
Et on ne sait probablement pas tout ..
La seconde est d’emmener au Père-Lachaise des cohortes de RdLiennes en manque pour leur faire savourer le douteux plaisir de le voir satisfaire ses pulsions malhonnêtes en s’empalant sur le sguègue de Victor Noir (moi)
J’attends sur ce point l’irréfutable témoignage de Clopine Clopan pan cucul. Mais comme je la soupçonne d’être la fille spirituelle du tandem Fillon/Jouyet, je risque d’attendre encore longtemps.
Chantal, je ne suis aucunement
c’est vrai il a trop une tête de con chantal..fais gaffe tu sucres ma poule
Clopine Clopan pan cucul
crénom! pour un jambon avarié tu te défends jean marron
Paul Edel dit: 12 novembre 2014 à 14 h 44 min
Clopine…clopine..
Qui ne se reconnaît dans ce souffle d’amicale lassitude?
Qui ne s’est prit à dire:
« Widergänger… Widergänger… »?
(« ueda… ueda… »?
Me souviens pas)
Si vous le dites, Jean M à part éventuellement le! qui colle très souvent les interventions de versubtil quand il ne signe pas, difficile de vous identifier.
bougue-rototo : « ma mère de ma mère » : 88 fois, bingo
Je me suis trouvé un blaze d’enfer, digne du trio de comiques Chevallier-Audiat-Mistingouette :
J.-C. Azerty Yu Iop-là Boum !
Je suis très content de Yu, qui fait très Chinois poli (comme dirait Barozzi)
Chaloux dit: 11 novembre 2014 à 20 h 39 min
Pierre Assouline, ….
Z’êtes aussi vulgaire que boumou quand vous vous y mettez…
Ce chaloux quand même, quel bestiau.
L’hôpital et la charité à lui tout seul.
bouguereau dit: 12 novembre 2014 à 14 h 53 min
la réalité, puisque ça passe par nous !
on compte pour du beurre
Bon au moins c’est pas les canons… Mais c’est vrai, on compte pour du beurre, l’identité n’est guère avérée à partir d’une certaine échelle ; et halors justement, il s’ensuit que les rêves on les a, et tertous ! Rêves ou réalité, on le voit dans le même navigateur même les sourds les aveugles…
… ni pour de la margarine…
Daaphnée dit: 12 novembre 2014 à 15 h 00 min
Nom d’un parapluie !
Les parapluies je croyais que c’était plus fabriqué ils en ont tous en Lorraine même les jeunes et en n’importe quelle tenue jusques et y compris le maillot de bain…
Hon va peut-être revenir aux baleines ! Quel travail comme dirait Gaston…
il joue l’indifférence rance, mais bouguereau encaisse caisse et fulmine mine, cela nous réjoui joui… on adore
abdelkader dit: 11 novembre 2014 à 21 h 34 min
Je n’ai jamais cautionné ses insultes ni celles de personne.
Et je ne comprends pas que la modération de ce blogue les laisse.
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