DSM : le livre qui rend fou
Les médecins ont toujours déconseillé à leurs patients d’ouvrir le Vidal, et plus encore les traités de médecine et autres dictionnaires spécialisés. Ils étaient d’avis, à juste titre, qu’il y a dans cette littérature de quoi se rendre malade tant les termes employés, d’autant plus mystérieux qu’ils sont incompréhensibles au commun, risquent d’ajouter la souffrance à la douleur. Encore fallait-il avoir les moyens de se procurer ce genre de livres, à supposer qu’on ait su où les trouver et qu’on ait su les choisir. Mais depuis que les patients peuvent obtenir n’importe quoi sur un clic, les médecins ont baissé les bras ; la nature de la consultation s’en ressent parfois car le niveau de connaissance, et de mauvaise interprétation, a augmenté ; et la montée en puissance des associations d’usagers, en l’espèce, n’arrange pas les choses.
Il y a une vingtaine d’années de cela, alors que je préparais un roman, je cherchais à construire un personnage principal souffrant de certains déséquilibres psychiques. Il me fallait bien entendu documenter sa personnalité. D’une librairie l’autre, je finis par tomber chez un spécialiste qui me conseilla d’accueillir le fameux DSM. Acronyme de Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, il s’agit “du” manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux ». Le mien sous sa couverture jaune, publié par Masson (500 pages, grand format), était le DSM-III-R, ce qui signale son ancienneté (1983 en France, 1980 aux Etats-Unis), le “R” précisant qu’il s’agit de l’édition révisée.
Des groupes de travail réunis au sein de l’Association américaine de psychiatrie en sont l’auteur. Une équipe d’une dizaine de psychiatres, professeurs, chefs de clinique en a assuré la traduction française sous la houlette de Julien Daniel Guelfi. Importante, la traduction, lorsqu’il s’agit d’unifier concepts et terminologies. Depuis cette époque, « troubles affectifs » a été remplacé par « troubles de l’humeur » et « Paranoid Disorders » est devenu « Delusional Disorder » (trouble délirant). Cela dit, malgré/à cause de la polysémie et l’ambiguïté sémantique de certains termes, les traducteurs ont fait le choix de rester très proches du texte américain, privilégiant la littéralité à l’adaptation. Exemple : « attaques de panique » pour panic attacks.
Le DSM s’est imposé comme la Bible des psychiatres et des psychologues, pas seulement aux Etats-Unis mais dans le monde. Malgré l’existence de l’ICD, classement établi par l’Organisation mondiale de la santé, il demeure « la » référence, un peu comme le fut le Traité d’Emil Kraepelin qui connut huit éditions entre 1883 et 1915, en toute question relevant de la nosologie (étude des critères de classification des maladies). Ce qui ne va pas sans poser de problèmes.
Tous ceux qui le pratiquent oublient parfois qu’il s’agit d’une classification expérimentale, que chaque version n’est qu’une forme arrêtée d’un processus en cours et que d’une révision l’autre, ce qui était vrai hier ne l’est plus de la même façon aujourd’hui. De plus, la standardisation des symptômes et du diagnostic, quels que soient les pays et les cultures, est contestable, comme ne manque pas de le faire le mouvement « Stop DSM » qui dénonce la dangerosité de cette pensée unique ; de même la tendance très américaine à psychiatriser les comportements, le surdiagnostic entrainant une surmédicalisation, ce qu’avait déjà pointé Christopher Lane Comment la psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont médicalisé nos émotions (Flammarion, 2009) ainsi que Martial van der Linden s’agissant du Mythe de la maladie d’Alzheimer. Même si elle est considérée comme un trouble cognitif mineur, la perte de mémoire se retrouve ainsi pathologisée au nom d’un incertain principe de précaution en raison des dégâts causes par la maladie d’Alzheimer…
La traduction française du DSM 5 vient de paraître, deux ans après l’édition originale et quelques années après avoir été testée en ligne. Outre les reproches habituels, elle se voit de plus en plus critiquée pour son souci de servir les intérêts des laboratoires pharmaceutiques en « inventant » des maladies, ou du moins en médicalisant abusivement certaines comportements, de manière à coller au lancement d’un nouveau médicament. Pour ne rien dire de la passion classificatrice en psychiatrie, folie de la taxinomie que d’aucuns considèrent comme une maladie…
Au chapitre des addictions, comme le souligne le français Marc Auriacombe qui a participé à son élaboration, aux côtés de vingt-huit autres sous la direction d’un professeur de neurosciences, elles ne font qu’une qu’il y ait absorption de substance ou pas. Joueur ou héroïnomane, c’est tout un car la pathologie fait intervenir les mêmes mécanismes cérébraux.
Les autres modifications du DSM 5 par rapport aux éditions précédentes ? Certains troubles de la schizophrénie n’y sont plus ; le syndrome d’Asperger n’est plus isolé mais classé avec l’autisme ; les troubles de la personnalité se divisent désormais en schizotypique, limite, antisocial, narcissique, obsessionnell-compulsif ; les symptômes des troubles liés au déficit de l’attention et au caractère bipolaire sont affinés ; l’hypersexualité est désormais une catégorie à part entière. Edifiante lecture ! mais elle n’est pas sans danger pour l’équilibre du lecteur.
Il faudra attendre l’édition révisée du DSM-5 pour y trouver certainement un chapitre consacré à un type particulier d’addiction : la commentarite. Elle consiste à poster nuit et jour sur la République des livres dite justement « la nef des fous » à partir de fausses adresses IP et sous des pseudonymes assez inventifs, des opinions plus ou moins sensées sous des billets de blogs ou de sites, entretenant un rapport souvent lointain avec le sujet abordé, le tout de manière compulsive et dans une certaine confusion mentale où souvent une vraie culture se mêle à un tropisme obsidional marqué, une forte volonté d’exclusion, la manie de l’usurpation d’identité numérique, une capacité limitée à l’échange d’arguments, un sens de l’humour percutant, un délire plus ou moins maîtrisé, et une tendance récurrente à se croire le sel de la Toile. Diagnostic et statistique suivront bientôt dans le DSM-6.
(« Oeuvres de Jean Rustin », photos Passou)
515 Réponses pour DSM : le livre qui rend fou
…
…comme dirait,…Patrick Mc Goohan N°6,…nous ne sommes pas des numéros,!…etc,!…ni des cobayes,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…
…
…dans le feuilleton, » le prisonnier » 1967,!…
…etc,!…
Passou !!! vous êtes en pleine confusion… Ce que vous appelez ‘commentarite’ :
« poster nuit et jour à partir de fausses adresses IP et sous des pseudonymes assez inventifs, des opinions plus ou moins sensées sous des billets de blogs ou de sites, entretenant un rapport souvent lointain avec le sujet abordé, le tout de manière compulsive et dans une certaine confusion mentale où souvent une vraie culture se mêle à un tropisme obsidional marqué, une forte volonté d’exclusion, une capacité limitée à l’échange d’arguments, un sens de l’humour percutant, un délire plus ou moins maîtrisé, et une tendance récurrente à se croire le sel de la Toile »
n’est autre que la ‘porquerollite’, définie en 2004 par le Docteur Jean-Louis Adhémar Napoléon JC, célèbre psychiatre de la Clinique de la Plage d’Argent, tenant laboratoire au Bar des Sportifs ….
[ . .]
Douillard !
Vous êtes indemne ! La commentarite passoulinienne ne vous possède en rien ! Hourrah…..
DSM : LE LIVRE QUI REND FOU
Jean Rustin l’a lu ……
Alba a dû avoir un pressentiment :
Toute biographie est décevante, la vie d’un homme résumée à des actes et à des faits ne donne à penser finalement que l’insignifiance et l’inutilité des destinées humaines.
Des « photos des œuvres de Jean Rustin » faites par « Passou »…
Vous l’avez donc rencontré, regardé longuement ses toiles en sa présence, vous l’avez écouté, il a fait de même. Vous avez donc, plus que nous visiteurs, eu la chance d’aller plus loin que l’apparence qui dérange, plus loin que ce désir de fuite qui monte en nous face à ces visages et ces corps poignants, égarés, vulnérables. Ceux que l’on cache dans les asiles, les hôpitaux car ils sont notre possible image, un jour, où tout basculerait dans l’absence à soi, la fin du combat pour se montrer à la hauteur de nos désirs de puissance, de respectabilité, la honte.
Je retiens de sa palette une infinie douceur comme pour ne pas leur faire de mal, comme pour les laisser dans l’innocence malgré la trivialité de certains gestes, malgré ces impudeurs dont ils n’ont aucune conscience. Petits êtres ayant perdu la contrainte du savoir être en société, retournés à l’informe du corps déserté par la raison, la pensée.
De tous ces maux évoqués par ce livre que je fuis à grandes enjambées, la folie, la perte de repères est la pire nous rendant dépendants du regard des autres avant la chute dans le rien qui est la fin de cette douleur.
Qu’a peint Rustin avant ce compagnonnage ? Pourquoi s’est-il enfermé dans ce monde presque inhabitable ? Que peut la médecine pour ceux-là qui étaient à notre semblance et qui se sont échappés d’une extrême impossibilité d’être pour entrer cet univers infernal ?
Pas du tout d’accord avec vous, ami Chaloux !
Certaines destinées ne sont ni insignifiantes, ni inutiles et ceci dans les activités humaines les plus diverses : sciences, médecines, arts …
Liste exhaustive contre 10 euros, poste restante, Porquerolles.
Et qu’avez-vous à dire de l’épilation au XVIIe siècle ?
http://antiguoescriba.blogspot.fr/2015/06/depilacion-en-el-siglo-xvii.html
Tableau #1. Ont posé : Ueda, La vie dans les bois, JC & Alba (main dans la main).
RDL : le site qui rend fou
C’est la faute à Passou !
JC, je ne faisais que citer Alba EN REFERENCE AU BILLET.
Toute biographie est décevante, la vie d’un homme résumée à des actes et à des faits ne donne à penser finalement que l’insignifiance et l’inutilité des destinées humaines.
« Résumée » alors qu’une autobiographie de l’homme ordinaire (quoique vous pensiez forcément à des hommes et des femmes sensés ne pas relever du régime ordinaire) chercherait à lui donner une ampleur, une densité, une intensité qui manquent finalement et que ce travail de synthèse, à la recherche de sens en réunissant des éléments disparates éparpillés comme perdus dans l’étendue atone qu’un calendrier sans éclat, sans la volonté d’une intelligence puissante à l’œuvre voue au néant quand bien même la sensation de pouvoir y échapper nous tiendrait et maintiendrait dans le cercle des vivants. Et que serait une pensée onirique pragmatique ou philosophique qui ne trainerait pas derrière elle comme un ciel ou un voile de mariée, ou ne tendrait pas devant elle vers des faits qu’induisent les actes, actions, engagements dans le monde du réel tangible de l’efficacité.
Radioscopie, vous êtes ignoble, et dans l’erreur … votre spécialité : Jean Rustin, le pauvre, peint là avec une infinie lucidité les plus hautes autorités gouvernementales grecques !
Chaloux, je vous remercie d’accepter mes sincères regrets pour cette confusion de type DSM V2
8h30 rien mais nous faut-il supposer que cette pratique ne vit le jour qu’après que le laser et son rayon aient été découverts, et ce en dépit du témoignage pictural depuis Lascaux, pardonnez mais je ne traduis pas l’espagnol et j’éprouve une de ces flemmes ce matin à tel point que l’amusant et fort à propos rébus me passe à 10 000 au dessus à moins qu’il ne s’agisse d’une nécessité informative attenante au billet que je n’ai pas lu car regardant rapidement ce que Rustin nous donne à voir du cycle des vies je trouve que Passou exagère, c’est la fête de la musique et nous devrions tous péter la calamine à l’idée de recevoir ce soir une overdose de décibels quand malheureusement ce pauvre Jack aura été mal interprété et que l’industrie de l’amplificateur aura transformé les instruments d’époque en machine de guerre.
Benitoto préfère le DDT au DSM !
Franchement, je me demandais, en lisant le billet, où nous allions comme cela, bon sang, et quel rapport, autre que la recherche documentaire de notre hôte, le DSM pouvait bien avoir avec la République des Livres ?
C’est vous dire la franche rigolade que le dernier paragraphe m’a procurée…
Bravo Passou. Vos vengeances sont aussi acidulées qu’un bonbon anglais : courez donc au drugstore, nous en rapporter un plein sachet !
Le père Noël est une ordure, voilà tout Pierre Assouline.
Par contre, « tropisme obsidional » me laisse rêveuse… Il faudrait imaginer une sorte de « montée » (ou de descente) psychiatrique vers une RDL assiégée, c’est bien cela ?
« Obsidional » me renvoie aussi à « obsidienne », cette roche volcanique vitrifiée, lourde et lisse.
Et c’est vrai que Jc, dans le genre vitrifié…
wouarf.
bérénice dit: 21 juin 2015 à 8 h 53 min
Et que serait une pensée onirique pragmatique ou philosophique qui ne trainerait pas derrière elle comme un ciel ou un voile de mariée, ou ne tendrait pas devant elle vers des faits qu’induisent les actes, actions, engagements dans le monde du réel tangible de l’efficacité.
Et bien, ce serait de l’ordre / aller acheter le pain. Ou de cet acabit.
J’adore l’idée matudinale de péter la calamine ; on va garder ça pour ce soir, quand les vieux seront couchés, in memorandum de leur bon vieux temps.
faux ! JC le Fourbe aime encore mieux le Zyklon B
Rose, vous êtes la commentarite en chef selon la définition de Passou?
( D’habitude, le dimache matin, c’est sport.)
« Et c’est vrai que Jc, dans le genre vitrifié… » (la vache normande)
Tout l’humour normand tiendrait dans un dé à coudre pour fillette manchote ! Rien à voir avec la légèreté pétillante des facéties méditerranéennes…
« une forte volonté d’exclusion, une capacité limitée à l’échange d’arguments »
Il existe bien une catégorie de » créateurs » ( appelons-les comme cela par défaut)qui correspondent à ces critères, les artistes » brut » ou » singuliers » et ça leur réussi pas mal, non?
folie de la taxinomie que d’aucuns considèrent comme une maladie…
Ne sera pas demandé d’internement d’office pour ce genre de fantaisie. De fait ne pourrait-on simplifier en classant les patients ? :
-susceptibles de ne nuire qu’à eux-mêmes -ceux qui ne se nuisent en rien ni ne risquent de mettre en danger autrui en perturbant ou pas l’ordre public mais affichent des symptômes signant une atteinte psychiatrique , -ceux qui sont potentiellement dangereux pour autrui ou seraient susceptibles de le devenir compte tenu des troubles présentés -puis ceux qui sont déjà passés à un acte autre qu’une tentative d’autolyse et présentent une menace de récidive.
Et dire que des écrivains ou des artistes prennent des adjuvants pour délirer.
Un excès de commentarite et ça repart!
« la commentarite. Elle consiste à poster nuit et jour à partir de fausses adresses IP et sous des pseudonymes assez inventifs [exemple : widertrucmuche], des opinions plus ou moins sensées sous des billets de blogs ou de sites [dreuz, dreuz et dreuz, + Attali ++++], entretenant un rapport souvent lointain avec le sujet abordé [déclin de la France], le tout de manière compulsive et dans une certaine confusion mentale où souvent une vraie culture se mêle à un tropisme obsidional marqué [Israel, Gaza etc.], une forte volonté d’exclusion, une capacité limitée à l’échange d’arguments[nul, nul, tous nuls+ qq noms d’oiseaux], un sens de l’humour percutant [mes petits chéris], un délire plus ou moins maîtrisé [apocalypse, 3ème guerre mondiale], et une tendance récurrente à se croire le sel de la Toile [le + beau, fort, intelligent, grand, magnifique, le tout à l’ego].
Pour en finir, une question :
Comment appeler la maladie qui frappe souvent les hommes politiques se présentant à la Présidentielle sur un programme bandant à gauche, et appliquent un programme flasque de droite ?
La « promessite » politicarde socialiste ?….uhuhu !
« le tout à l’ego », c’est pas mal non plus. Mais il faut vérifier que l’installation est bien conforme (et que les tuyaux ne risquent pas de péter, bien sûr)
Jc, vous savez ce qu’elle vous dit, la vache normande ?
Meuh.
A propos de nosologie et de taxinomie, il faut se remémorer la Thèse du Docteur Hans Prinzhorn, Expression de la folie – Dessins, peintures, sculptures d’ asile ( traduit très tardivement chez gallimard en 1984)qui voulait » encadrer » les desssins des « fous » par des maladies précises.
Sa conclision fut d’ avouer leur génialité et leur profusion créatrice.
En fait, sur ce blog, les sujets de Passou sont des camisoles de force…
La Vache qui ….
Ne parle pas la bouche pleine de foin, sale bête !
Si l’on trouve en général plus de blogs que de lecteurs, dans ce cas particulier, il y a plus de commentateurs que de lecteurs
9h44 resterait à déterminer si l’égo a une odeur, dans le cas contraire aucun inconvénient aux fuites autre que la fuite des cerveaux vers des pays plus accueillants.
Message au médecin malgré lui:
Je lis ce billet comme une manifestation de la passion du dico.
Je note une nouvelle entrée à la lettre C. de votre nouvel auto-dictionnaire. ( à paraître bientôt ?)
Commentarite n. f.: « névrose du commentaire infini » , med. pschychiatr. terme isolé. S’emploie pour désigner la maladie d’un groupe de moins de 10 personnes, comptant double, les cinglés du music (*) hall.
(*) fait référence au même « genre » pictural que celui de rustin.
Vous vous préparez un bel été, bien studieux.
Je reviendrai prendre de vos nouvelles régulièrement, voire l’évolution du traitement infligé.
« Il y a une vingtaine d’années de cela, alors que je préparais un roman, je cherchais à construire un personnage principal souffrant de certains déséquilibres psychiques. »
Depuis, il a fait des petits, ce personnage en quête d’auteur. Ayant hérité du même trouble, nan ?
La profondeur de votre ignorance pour tout ce qui est agriculture est confondante. En juin, les vaches normandes ne mangent pas de foin, mais de l’herbe, cette herbe azotée, vivace, qui pousse si dru qu’un bâton posé le matin ne se retrouve plus le soir, qu’à tâtons.
Si j’étais dictateuse, j’interdirais la nourriture à tous ceux qui ne font pas l’effort de savoir d’où elle provient.
Vous en mourriez du même coup, Jc, ce qui vous renverrait à votre état d’inanité (sonore, ou non).
traitement infligé, la psychiatrie a tout de même évolué depuis Charcot.
« si dru qu’un bâton posé le matin ne se retrouve plus le soir, qu’à tâtons. »
On pourra tout au long de la journée entendre sur France Info cette phrase surréaliste (pour ne pas dire démente) :
« Combien coûtera à la France la sortie de la Grèce de la zone Euro ? »
Sur le tableau du haut, on reconnaît parfaitement JC, La Vie dans les bois, Bloom et Rose.
« En juin, les vaches normandes ne mangent pas de foin, mais de l’herbe, cette herbe azotée, vivace, qui pousse si dru qu’un bâton posé le matin ne se retrouve plus le soir, qu’à tâtons. »
Votre remarque est d’un primaire ! … du style « bête à manger du foin ».
Quand à l’agriculture, il est exact que je m’en branle comme de ma première explication de texte.
La lecture du DSM-5 est devenue complètement inutile depuis que les fils des commentaires de la RdL permettent de se faire une idée précise des principaux dérangements mentaux.
>Versubtil
chez vous toujours pas de miroir ?
Clopine, j’interviens. Certes les vaches ne mangent pas de foin, mais on fauche tous les 15 jours et on leur prépare ainsi leurs réserves de foin pour l’hiver.
A ce propos, on peut constater que la production de viande bovine peut être parfaitement écologique dans beaucoup de régions, dont la Normandie. On dénonce souvent les « grosses consommations d’eau », « les rejets », les nitrates » etc…
Mais il n’y a pas besoin d’une once de nitrates en ce moment en Normandie. Tout le problème vient des filières et des lobbies qui imposent un type d’exploitation avec à côté la responsabilité des consommateurs qui pour certains veulent absolument ingurgiter au moins 7 steaks par semaine, donc pas chers et issus de filières d’élevage intensif polluant.
Le bœuf ce ne doit pas être plus de 2 fois par semaine, et de très bonne qualité. Non pas pour des raisons de santé, mais pour des raisons écologiques.
Pas pour des raisons de santé parce que la encore d’autres lobbies ont réussi à nous inculquer des notions totalement erronées.
Une personne qui ne fait pas de cholestérol peut en manger sans problème, le midi de préférence et à condition d’avoir une dépense calorique importante due soit à l’activité physique soit au climat froid. Les autres jours, s’orienter vers le poulet bio (important qu’il soit bio, non seulement pour le bien-être de l’animal mais aussi parce qu’il ne contient pas d’antibiotiques favorisant l’installation de souches bactériennes multirésistantes), le porc fermier en petites quantités (jambon, filet mignon) et bien entendu le poisson en prenant garde à minimiser la part de poissons gras afin de ne pas trop ingérer de dioxines, et notamment les poissons gras de la mer du Nord qu’il vaut mieux éviter autant que possible.
quoi ? JC le Fourbe expliquer un texte… lui qui ne sait lire que Mein Kampf
Passou,
Si vous décidez d’une ballade thérapeutique des adeptes les plus atteints de la RdL, genre Nef des Fous, je fournis le bateau….
radioscopie dit: 21 juin 2015 à 8 h 35 min
Tableau #1. Ont posé : Ueda, La vie dans les bois, JC & Alba (main dans la main).
Anselme dit: 21 juin 2015 à 10 h 21 min
Sur le tableau du haut, on reconnaît parfaitement JC, La Vie dans les bois, Bloom et Rose.
Il faudrait savoir!
– Quel tableau extraordinaire…
et mouchard en plus le Benitoto, mais ça on le savait déja
Ça veut dire quoi, obsidional, Bérénice ?
Laissons tomber les vaches, les veaux et la viande rouge de sang ! Une bonne bouillabaisse vous comblera et gardera votre ventre plat …
LA BOUILLABAISSE
Pour faire une bonne bouillabaisse
Il faut se lever de bon matin
Préparer le pastis et sans cesse
Raconter des blagues avec les mains
Pour faire une bonne bouillabaisse
Il faut se lever de bon matin
Préparer le pastis et l’eau fraîche
Raconter des blagues avec les mains
Les courageux prennent leur canne
Et vont eux mêmes la pêcher
Mais le poisson passe et ricane
Y a plus qu’à l’acheter au marché !
{Refrain:}
Ah ! que c’est bon la bouillabaisse
Ah ! mon dieu que c’est bon bon bon
Ah ! que c’est bon la bouillabaisse
Ah ! mon dieu que c’est bon.
Rose depuis d’autres concepts ont été posés, la thérapie est un ensemble de techniques proposées pour soigner par définition des malades, la notion de soins s’étend à la partie estimée saine de la population avec le « care » plus récemment.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Care_(sciences_sociales)
D: A. − Qui concerne le siège d’une ville. Bien qu’il fût employé du Gouvernement et de ce fait exempt du service militaire pendant la période obsidionale, il s’était laissé inscrire au bataillon de son quartier (Verlaine,OEuvres compl.,t.4, Louise Leclercq, 1886, p.129). ♦ Fièvre, folie obsidionale. Désordre mental qui frappe la population d’une ville assiégée. La «fièvre obsidionale» favorisait l’agitation révolutionnaire (Bainville,Hist. Fr.,t.2, 1924, p.219).Ce sentiment de l’«espace vital», on l’a vu, avec la fièvre obsidionale, passer de la psychologie des individus dans celle des nations et des peuples (Mounier,Traité caract.,1946, p.301).
− P. anal., PATHOL. Délire obsidional. Délire, folie d’une personne qui se croit assiégée, persécutée:
. Sa maladie [de Rousseau] est surtout spirituelle: étrange délire obsidional. Il est un homme assiégé; le monde entier l’enserre et lui, il demeure enfermé dans la région la plus trouble, la plus confuse de lui-même. Mauriac,Gds hommes, 1949, p.115.
radioscopie dit: 21 juin 2015 à 9 h 40 min
hyper grave de voir ailleurs ce que l’on ne voit pas chez soi : vous vivez avec versubtil ?
par analogie, siège
HIST. ANTIQUE. Siège curule. Siège d’ivoire sur lequel les magistrats romains s’asseyaient. (Dict. XIXe et XXe s.). Synon. chaise* curule. P. anal. Fauteuil de style empire. L’aïeul, posé sur son siège curule, se taisait et regardait François de son air soupçonneux de vieux sphinx (DRUON, Gdes fam., t. 2, 1948, p. 39).
2. [P. réf. à la place occupée par certaines personnalités dans des assemblées diverses] Dignité, fonction, charge attachée à une autorité officielle, attribuée soit à vie soit par un vote la nommant pour un mandat déterminé. Siège parlementaire, présidentiel; siège vacant, à pourvoir; siège à la Chambre, au Conseil, au Parlement, au Sénat; siège de conseiller, de député; perdre, gagner des sièges; perdre son siège. Lorsqu’un siège épiscopal est vacant, le chapitre cathédral se rassemble et nomme un vicaire capitulaire à qui sont dévolus tous les pouvoirs de juridiction (BILLY, Introïbo, 1939, p. 60):
3. Dans le choix des ministres, comme dans l’œuvre nationale commune, je n’entendais exclure aucune des grandes tendances de l’opinion et, notamment, aucun des trois partis qui ont obtenu, et de beaucoup, le plus de voix aux élections et le plus de sièges à l’Assemblée.
DE GAULLE, Mém. guerre, 1959, p. 627.
à chacun ses entrées, panthéon ou orphéon
« in memorandum de leur bon vieux temps »
Pense-bête ou pense bête ?
Je le savais, Bérénice, c’était pour vous tester.
Un pigeon, c’est plus con qu’un dauphin, d’accord… mais ça vole. Michel Audiard
héhé
(quand on est con, on le reste, constatation : le dimanche matin c’est sport !).
>Je le savais D. C’était pour vous tester.
radioscopie dit: 21 juin 2015 à 10 h 46 min
Panse bête.
Anselme dit: 21 juin 2015 à 10 h 24 min
La lecture du DSM-5 est devenue complètement inutile depuis que les fils des commentaires de la RdL permettent de se faire une idée précise des principaux dérangements mentaux.
Je plussoie : s’occuper de soi-même avant de s’occuper d’autrui. Anselme.
Le dimanche matin, vous devriez être à la messe, crapules sans science, sans conscience et sans cœur !
pense bête
Il est vrai que jusqu’à peu l’homme ne leur attribuaient pas le droit à l’émotion alors penser, vous n’y croyez pas sérieusement. On évalue nos modes de pensées au niveau de nos évolutions et l’animal n’était capable que de conduites instinctives jusqu’à ce que des chercheurs découvrent qu’il peut répondre à des problèmes plus ou moins complexes et s’adapter à des situations qu’il ne rencontre pas dans son milieu naturel.
Oui, la fille…, tout l’intérêt de ce billet réside dans sa chute ! La réponse du Passou au troupeau de ses commentateurs. devons -nous lui répondre ?
Tout est dit : bon dimanche ; radioscopie vit avec versubtil et ils ne sont pas heureux.
le siège est il autre chose que ?
a) P. métaph. [P. réf. à l’idée de toute-puissance que le mot évoque] Après les châtiments, les fléaux, les déluges, Les hommes ont assis sur des sièges sacrés D’autres hommes savants, austères, vénérés, Pour être au milieu d’eux comme la loi vivante (HUGO, Légende, t. 6, 1883, p. 349). Du haut de son siège, il discerne peu de ridicule, il échappe au dégoût (BOYLESVE, Leçon d’amour, 1902, p. 238).
et aussi
b) [P. allus. biblique au Magnificat] Il a déposé les puissants de leurs sièges et il a relevé les humbles (CLAUDEL, Poés. div., 1952, p. 861)
attribuait.
et puis le siège de
l’hypersexualité est désormais une catégorie à part entière. et remplit les douze prochains volumes. Quelque cohorte est prise ici.
D. dit: 21 juin 2015 à 10 h 29 min
Clopine, j’interviens. Certes les vaches ne mangent pas de foin, mais on fauche tous les 15 jours et on leur prépare ainsi leurs réserves de foin pour l’hiver.
A ce propos, on peut constater que la production de viande bovine peut être parfaitement écologique dans beaucoup de régions, dont la Normandie. On dénonce souvent les « grosses consommations d’eau », « les rejets », les nitrates » etc…
Mais il n’y a pas besoin d’une once de nitrates en ce moment en Normandie. Tout le problème vient des filières et des lobbies qui imposent un type d’exploitation avec à côté la responsabilité des consommateurs qui pour certains veulent absolument ingurgiter au moins 7 steaks par semaine, donc pas chers et issus de filières d’élevage intensif polluant.
Le bœuf ce ne doit pas être plus de 2 fois par semaine, et de très bonne qualité. Non pas pour des raisons de santé, mais pour des raisons écologiques.
Pas pour des raisons de santé parce que la encore d’autres lobbies ont réussi à nous inculquer des notions totalement erronées.
Une personne qui ne fait pas de cholestérol peut en manger sans problème, le midi de préférence et à condition d’avoir une dépense calorique importante due soit à l’activité physique soit au climat froid. Les autres jours, s’orienter vers le poulet bio (important qu’il soit bio, non seulement pour le bien-être de l’animal mais aussi parce qu’il ne contient pas d’antibiotiques favorisant l’installation de souches bactériennes multirésistantes), le porc fermier en petites quantités (jambon, filet mignon) et bien entendu le poisson en prenant garde à minimiser la part de poissons gras afin de ne pas trop ingérer de dioxines, et notamment les poissons gras de la mer du Nord qu’il vaut mieux éviter autant que possible.
Quand tous les cons aspirant à faire notre bonheur à notre corps défendant s’occuperont de leurs oignons, il fera bon vivre ! Michel Audiard
kestabouffé rose ?
de la vache folle, rose.
« Tout est dit : bon dimanche ; radioscopie vit avec versubtil et ils ne sont pas heureux. »
C’est la fête des paires ! « Si la photo est bonne, qu’on m’amène ce jeune homme » etc.
Jean Rustin eut trouvé en « rose » un excellent modèle.
Rose, j’ accepte ma part de « folie » depuis longtemps déjà, faites comme moi et tout ira bien.
peinture : j’aime bien le portrait de JC à l’extrême-droite, très ressemblant
Vous jetez de la nourriture? Vous oubliez des dates? Votre môme pique des colères? Le DSM, cinquième du nom, vous alerte: vous êtes malades! Mais on peut vous soigner…
un sens de l’humour percutant, un délire plus ou moins maîtrisé, et une tendance récurrente à se croire le sel de la Toile.
C’est tout moi.
Surtout ce point-là, dédé, dont TKT a fait les frais : « une forte volonté d’exclusion » !
Obsidional, ça veut dire quelque chose comme « mentalité de ville assiégée »…
Attila, bien sûr que nous devons répondre à ce pauvre Passou, citadelle assiégée, capitaine d’une nef des fous, sollicité par « tous » pour faire taire « les autres »,témoin de graves dérapages et d’accidents bénins, et qui tous les matins, en trempant sa tartine dans son bol de café au lait, doit soupirer sévère en pensant aux c… qui vont encore être dites sur son blog, euheuheuh, « prestigieux » ?
Même le blog à passou est psychiatrisé. C’est dire dans quel monde de fous nous vivons.
Passou, notre fier et tortueux taulier, responsable mais pas coupable de ce blog, sera traduit en justice dès que les socialistes se seront convertis au fascisme joyeux, type italien ou monégasque, et que le bons sens aura sanitisé le pays, 93 compris….
En tant que ministre de la Justice du futur gouvernement fasciste modéré, je veillerai à ce qu’il soit ECARTELE tel Ravaillac…. mais…. entre quatre chattes en chaleur.
(ceux qui n’ont fait que mal vivre leur désir ne peuvent pas comprendre à quel point ce supplice est long, pénible, douloureux, et ambigu…
Bonne soirée, les petits !
to share and to view
(j’ai cherché)
y’en a qui vont se faire un renfort de gens célèbres ici?
je réponds à votre question par rapport au sens de ce texte.
Widergänger dit: 21 juin 2015 à 12 h 58 min
Même le blog à passou est psychiatrisé.
La partie commentaires, précisément. Vous n’y êtes pas pour rien.
je sais pas quoi dire
missieur le psichiatre, je vois que c’est un peu la concorde qui se lève sur a photo
http://euro-synergies.hautetfort.com/media/02/00/3507402220.jpg
« Un écrivain argentin déjà condamné à une amende risque jusqu’à 6 ans de prison pour avoir plagié l' »Aleph » de Borges. »
Elle va pas le lâcher
« c’est dingue dit: »
Casse-toi, moustique!
mais par dingue vous entendez dingue?
Puisque c’est dimanche… DU DANGER DE LA LECTURE :
Je suis loin du DSM, mais dans Trois hommes dans un bateau Jerome K. Jerome raconte que, souffrant sans doute d’un rhume des foins, il a le malheur d’ouvrir à la bibliothèque du British Museum une encyclopédie médicale. Il découvre alors avec effroi qu’il a TOUTES les maladies, même les plus graves et les plus exotiques, SAUF l’épanchement de synovie. Consulté, un médecin ami l’examine et lui remet une ordonnance pliée qu’il porte à un pharmacien, lequel se déclare incompétent. L’ordonnance dit :
– Une livre de beefsteak avec une pinte de bière brune toutes les six heures.
– Une promenade de dix miles chaque matin.
– Un lit à 11 heures précises chaque soir.
– Et ne pas se bourrer le crâne de choses auxquelles on ne comprend rien.
Bonne fête des pères et de la musique !
c’est dingue dit: 21 juin 2015 à 14 h 06 min
je sais pas quoi dire
Breathless
Jacques Barozzi entre dans la chambre, voit l’horreur et crie : « Ne transformez pas cet espace en dépotoir ! »
Lu sur un forum http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php?t=81817 :
« En psychiatrie, on appelle délire paranoïde un syndrome délirant caractéristique de la schizophrénie. Malgré la proximité entre les deux termes, il faut bien le distinguer du délire paranoïaque qui est caractéristique du groupe des paranoïas et qui présente une sémiologie bien différente.
En fait, on peut même opposer le délire paranoïde et le délire paranoïaque point par point.
Le délire paranoïde se construit grâce à des mécanismes multiples : hallucinations, interprétations, intuition, imagination (voir la définition des caractéristiques structurales des délires),
Tandis que le délire paranoïaque, généralement basé sur une intuition délirante, ne fait ensuite plus appel qu’au mécanisme interprétatif.
Le délire paranoïde comprend des thèmes multiples imbriqués, il est non structuré, hermétique, flou, bizarre
Tandis que le délire paranoïaque est centré sur un seul thème (les thèmes possibles sont : jalousie, préjudice, complot, érotomanie, etc.)
Le délire paranoïde est non systématisé, c’est-à-dire qu’il n’obéit à aucune logique interne : les thèmes s’enchaînent sans lien logique, s’imbriquent, se confondent donnant une impression de désorganisation du sens et de la pensée.
A contrario, le délire paranoïaque est dit hautement systématisé : les prémisses sont délirantes (on parle d’une intuition délirante initiale, c’est comme si quelque chose avait été révélé au patient, qu’a partir de là, il « avait compris »), mais ensuite, le délire se déploie de manière parfaitement organisée, logique, claire, cohérente, pouvant même assez souvent emporter l’adhésion des auditeurs. »
Cette distinction m’intéresse dans le cadre de mes recherches sur la folie de Hitler : il est paranoïaque, son »thème » est le complot (juif en l’occurrence) et on a bien le droit de qualifier de folle l’idéologie qu’il bâtit autour. Elle n’a en effet rien à voir avec ce qu’on entendait antérieurement par « antisémitisme ». Témoin d’ailleurs le premier texte antisémite connu de Hitler, du 16 septembre 1919, qui prêche l’abandon d’un antisémitisme « sentimental » (celui des pogroms) pour une antisémitisme « rationnel ». Ce n’est donc pas le meurtre qui est condamné, mais son caractère non systématique. Il y a bien là un délire, engendrant un sentiment d’urgence puis, quand les conditions sont réunies, un passage à l’acte.
Les gens que cette idée fait bondir (ici ou ailleurs) assènent de bonne ou de mauvaise foi qu’un fou ne saurait diriger un Etat. Sans doute confondent-ils « paranoïaque » et « paranoïde ».
Et voilà que le DSM renonce à ce dernier terme !
Question : garde-t-il ou non une place pour la paranoïa ?
Comme Monsieur Badiou est un philosophe politique, je lui répondrai qu’à Épinal, il ne se passe pas grand chose
Avec un recensement de 32 734 habitants, je vous en prie.
…
…les normes de la folie,!…le système politique et social,!…de la contrée ou vous vivez,!…
…
…imaginez-vous vivre en Hongrie, sans votre Bible de témoin de Jéhowah,!…
…
…en Espagne sans toréadors, sait déjà fait,!…
…
…en Italie sans pizzas,!…quatre saisons,!…
…
…dans les pays du » nord « , sans l’icône du » füreur « , sous le lit,!…ou au W.C.,!…
…
…en Belgique sans les » collabo’s » de tout poils,!…
…
…en russie, sans les nostalgiques de l’U.R.S.S.,!…
…
…chaque pays, fait son alcool,!…sa bière,!…et nous vante que c’est la meilleure,!…avant le cimetière,!…
…
…Oui,!…je vous le dit, l’excès tue, à très petite dose médica-menteuse,!…
…
…etc,!…etc,!…mon blé, ma liberté,!…de penser,!…
…
…la vie, cette perpétuelle improvisation, les normes sécurisées à sa survie,!…etc,!…
…
Comptons les pinalité pour retard de paiement.
…
…résumons, << touchez-pas au Grisbi <<,!…
…
…juste ma part d'inquisiteur,!…complice,!…
…collabo's à toutes heures,!…mon psy, mon terroir,!…mes strates adorées,!…etc,!…
…cocus au zoo,!…Stalag 13,!…€urope,!…
…etc,!…
les mecs qui avaient répondu Glenn Meideros, ils avaient pas bons quand même.
Aucun intérêt.
Je me permets d’intervenir dans ce débat par le rappel d’une tribune équilibrée http://www.lesgrandsdebats.fr/Debats/Le-manuel-de-psychiatrie-DSM-5-est-il-un-livre-dangereux/Le-DSM-5-objet-d-une-polemique-mondiale-551
Les classifications psychiatriques sont un éternel débat.
Faire un faux Delpla ou un faux C.P., par exemple, ça n’a aucun intérêt. Un faux D. ou un faux ueda, là oui, ça peut être marrant. Et, avec un faux ueda, on fait d’une pierre deux coups, puisque ueda est persuadé que c’est un D. Autrement dit, on fait en même temps un faux D.
Sinon, les faux bouguereau ou les faux H.R., c’était bien aussI. Mais ils viennent plus, alors les imitateurs ont laissé tomber.
(Nous mettons évidemment à part le troll qui utilise tous les pseudos indifféremment, de sergio à rose en passant par renato, sans effort de pastiche. Lui, c’est un cas particulier, et sa finalité est ici difficile à cerner.)
@ Sant’Angelo Giovanni
Tu veux une claque ?
Dodo dit: 21 juin 2015 à 16 h 06 min
Tu veux une claque ?
Dodo s’est trahi. C’est signé ! Dodo = Jambrun.
en d’autres termes, le faux Ueda est… Jambrun.
…
…le nouveau film avec des claques, » plus fou que moi, tu meurt « ,!…
…les pétasses en devenir,!…charmes inclus,!…etc,!…Ollé,!…
…
…diviser pour régner,!…vive l’empereur,!…moi-même,!…là,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…
…
…il fait bon, dehors , je sort,!…
…
…
…connait pas Jambrun,!…rien à cirer,!…
…etc,!…Ciao les lézards,!…etc,!…
…
Faut casser du toubib ? Cottard du Boulbon… Même des vrais des réels qu’existent ? Surtout… Y a no problemo on enfourche et on arrive !
Dodo dit: 21 juin 2015 à 16 h 03 min
Lui, c’est un cas particulier, et sa finalité est ici difficile à cerner.
Il est vivant, au moins ? Il est de la Terre ? Il parle curieux même Valéry Larbaud arriverait à tien traduire en terrestre… Mais c’est peut-être très riche comme un tableau de Mendeleïev, hein ! La littérature qu’on cherche tant… Phrases très simples… Faut étudier !
Est-ce qu’on peut avoir un petit mot de machin chose la boule de poils pour voir s’il se reconnait?
ça va les nouveaux entrants ?
…
…c’est fait,!…je suis à mes 79 kg,!…
…
…faut imaginer, ou j’étais,!…
…
…retour au ventre plat, abdominaux,!…la légèreté de l’esprit sein en soi,!…
…
…tout çà avec, le sens de l’échiquier,!…
…etc,!…un corps comme au début des années 70’s,…j’en reviens pas,!…
…etc,!…alors Waterloo,!…ou même la guerre de Troie,!…rien à foutre , à commémorer,!…la Hélène à deux, à Troie, à quatre,!…
…Cinéma pour victimiser son peuple d’abrutis,!…
…
…management, pour certain, se croire le bidet des croisades,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…Oui,!…Ah,!…quel spectacle ridicule,!…avec nos parasites politiques,!…etc,!…
…
« Elle consiste à poster nuit et jour »
Non mais faut bien voir que par exemple dans des localités par exemple comme Nancy par exemple, c’est quasi le détroit de Béring ! La nuit… On n’a même pas le temps de se lever ! Il le refait immédiatement, nuit… Un post qu’on essaie d’envoyer de jour il est pas arrivé au serveur qu’ici ça rnuit !
D’ailleurs c’est bien simple même mon simulateur de vol je le mets sur une heure qui existe pas c’est midi !
Jeanluc El F.C, toujours fidèle au poste.., « avec ta maman »?
Oui ben maintenant faudra faire une demande pour tout même pour être timbré ! Frappé du chapeau… C’est un luxe, quoi !
ouais, c’est quoi au S.M.O.D.E.C?
« un incertain principe de précaution »
Ben c’est la trouille ! Les fesses serrées… Les foies ! Les jetons… Ca prolifère par duplication…
Je fais le 129ème commentaire ce qui est remarquable puisque c’est 2^7+1
J’adore les décomposition en puissances de 2. Et il est tout à fait possible de decomposer l’univers tout entier en puissances de 2, ce n’est qu’une question de temps mais aussi de volonté.
je n’aimais déjà guère Rustin, mais il m’est insupportable , là;
D, c’est bête il m’était venue une idée mais elle manquait de puissance et je l’ai perdue. Il faudrait des intellections hybrides avec une énergie bipolaire, genre solaire enrichi.
14h39 Hypochondrie qui a donné le malade imaginaire, quelle belle maladie, songeons à ce que les Arts, cinématographique par exemple, perdraient à illustrer sans maladie.
Ce billet m’a rappelé un proverbe yddish cité un jour par Rachel Ertl
répondant à un interlocuteur qui lui demandait comment elle avait réussi à introduire un enseignement du yddish dans l’université , cette grande dame du yddish , a expliqué que professeur de littérature américaine à l’origine ,elle avait commencé par faire une large place dans son enseignement au roman juif américain, les Singer et autres Malamud, ce qui avait suscité curiosité et intérêt pour le yddish, et nourri donc une demande significative pour un enseignement de cette langue ,ce qui a abouti à la création d’un module universitaire specifique ,dont elle fut evidemment la responsable
Et c’est pour faire faire sentir la l’efficacité de cette demarche « à trois bandes » qu’elle a livré ce proverbe que je cite à peu près :
« Souvent il faut savoir faire le tour de sa tête pour aller chercher son oreille » .
C’est me semble –t-il le tour de sa tête que vient de faire Passou, nous entretenant sur un ton scientifique et presque compétent d’un sujet qui surprend sous sa plume , pour aboutir à son oreille, avec le paragraphe final ,qui fait enfin comprendre à quelques habitués que « Y en a marre de pourrir ce blog ! »
DHH votre insistance à oublier une voyelle nous donne à voir ce qui pourrait être pris pour manie à moins que vous souffriez ponctuellement de troubles de l’attention, pour d’autres, l’application à omettre, portera sur les éléments de ponctuation volontairement mal disposés, les écarts, les tirets trop espacés du mots, les intervalles irrégulièrement respectés de façon récurrente, pour le moment l’interligne n’a pas trouvé me semble-t-il à être perturbé. C’est agaçant, je ne sais comment les personnes qui ont a se frotter à l’écrivant atteint de ces défauts sur un autre versant que sa production écrite font pour garder leur stoïcisme, cela doit être extrêmement difficile, enfin ce n’est pas de notre ressort, peu importerait votre graphie pourvu que le fond s’offre agréable et compréhensible qui plus est captivant.
« le Roman comique (de Scarron) est aujourd’hui ce que le Père Goriot sera en 1980 ». (Stendhal)
du mot, excuses présentées pour fautes dispersées.
…
…mais, engueulé – moi,!…Nom de Dieu,!…
…
…des plaisirs partagés,!…ces brefs émois du délire,!…heureux hilarants,!…
…c’est gratis,!…profitez-en,!…etc,!…
…mais, qu’est ce qu’ils sont retords ces gamins en enfants de coeurs,!…
…
…processus de joindre et disjoindre à la pensée unique,!…unique,!…l’argent des coïncidences volumineuses,!…
…
…je me disais aussi,!…la saint Jean pour sauter en enfer,!…avec tout ces paradis fiscaux,!…les balles en l’air,!…Ah,!…
…
…Non, jamais sans châteaux et milliardaire,!…toutes ces bonnes à rien faire,!…à souffler les bougies,!…
…l’humour,!…des carbones 14,!…elle est bonne,!….
…etc,!…
LABAT dit: 21 juin 2015 à 20 h 15 min
je n’aimais déjà guère Rustin, mais il m’est insupportable , là;
C’est vrai, ça ! On peut être fou et beau…
Le type à droite sur le banc, c’est Chaloux quand il parle des écrivains journalistes.
La fille à droite toute nue, c’est Daaphnée quand elle s’adresse à Ueda.
Le type en prière (deuxième à partir de la gauche) sur le banc, c’est Sant’Angelo Giovanni.
« à partir de fausses adresses IP et sous des pseudonymes assez inventifs »
NPC ne pas confondre… C’était en latin, non ?
Les pseudos, oui, c’est du mou du logiciel pur.
L’adresse IP c’est une autre paire de manches, parce qu’en réalité elle aboutit à l’adresse physique de la machine qui émet les posts, un numéro unique de par le monde. Evidemment c’est aussi logiciel, c’est pas gravé à la gouge dans une plaque de métal, mais c’est déjà dans du circuit imprimé, inaccessible sauf en usine, comme on dit.
Pour être plus précis, et là est le plus important, dans une maison ce ne sera même pas l’adresse d’un ordinateur ou de l’autre, mais du routeur, de la box, quoi. Redoutable nuance ! Donc si l’adresse IP est bannie, il ne suffira pas de grimper deux étages pour envoyer ses posts à partir de la machine des gardes du corps ou de la bonne du curé : c’est toute la baraque qui est exclue, sauf bien sûr si l’on a et une Freebox et une PTTbox et une Bouyguesbox, donc ici trois contrats, c’est-à-dire deux adresses IP non encore bannies.
Pour s’en sortir, l’ostracisé peut changer de machine, de carte-mère, de carte réseau, cela ne servira à rien. Tout ce qu’il peut faire, c’est prendre un nouveau contrat, en déménageant ou en annulant l’ancien, aller dans un cyber-café, chez la voisine, ou encore les « proxies ». Mais là c’est un tapanar infâme, et d’ailleurs c’est la leçon vingt-trois…
Les cieux proclament la gloire de Dieu, le firmament raconte l’ouvrage de ses mains.
Le jour au jour en livre le récit et la nuit à la nuit en donne connaissance.
Pas de paroles dans ce récit, pas de voix qui s’entende;
mais sur toute la terre en paraît le message et la nouvelle, aux limites du monde. Là, se trouve la demeure du soleil :
tel un époux, il paraît hors de sa tente, il s’élance en conquérant joyeux.
Il paraît où commence le ciel, il s’en va jusqu’où le ciel s’achève : rien n’échappe à son ardeur.
…
…23 h 02 min,!…
…le type en prière,!…deuxième à droite,!…c’est moi,!…donc,!…d’après vous,!…
…
…vous savez tout de même,!…que je ne pris pour personne, je ne prie pas même pour moi,!…
…j’ai en horreur la mendicité et les prières,!…continuer ce cirque forain de prière sans moi,!…
…dans quel champ expérimental peut on imaginer de trouver des pauvres types pareils,!…
…aussi démunis de vitalité et misérables que leurs cadres en maîtres tortionnaires,!…
…en fassent des tableaux,!…
…
…misérables de se prévaloir des seuils des misères, pour s’échafauder des richesses extorquer par les pitiés galvauder,!…
…
…un style, d’immigrés forcer,!…
…
…et,!…quels goûts de vues, pour en partager à jouir de tels illustrations, aux styles holocaustes,!…
…
…prévenir, vaut mieux que guérir,!…
…se méfier des amours, comme de la peste, au moins,!…etc,!…mes rabats-joies,!…
…etc,!…
« Diagnostic et statistique suivront bientôt dans le DSM-6. »
On va rêtre dans l’ours ? Ah ça c’est bien alors… Avec tous nos blazes par Rustin ! Mais alors en papier Canson-Montgolfier comme le marquis d’Arlandes… Après une expo terrible à Drouant comme Houellebecq la Carte !
C’est amusant d’observer Fabius, porteur d’un Plan de Paix en Palestine !
On dirait un fruit blet, un vieil indien qui regarde passer les Wells Fargo, un vautour déplumé, un personnage de Jean Rustin qui s’ennuie, ne croit plus a rien, traîne ses fringues propres….
Lassitude, désabusassion, foutritude, mollesse. Tout le contraire d’un faiseur d’Histoire….
Si Rustin vous en bouche un coin, c’est que vous avez eu affaire à son féminin.
Rustine ?
Pour les amateurs de pathologie rare, de délire littéralement littéraire, rendez-vous sur le blog normand de la Brayonne de DSM où fleurissent d’étranges fleurs vénéneuses, mises en bouquet à l’intention de notre cher Paul Edel, plus communément nommé POPAULUS, Empereur à ROMA.
Vaut le voyage … Trois étoiles… éteintes !
Oeuf corse.
ETA? c’est pas mal aussi, bon an mal an les autorités connaissent des difficultés similaires à démanteler des réseaux d’assassins nichés dans ces campagnes par tant d’aspects séduisantes, la main de Dieu assurément s’est posée là. Vous ne devriez pas à la légère, Bloom, glorifier sans faire de tri sélectif ces régions de production avicole. Cargèse, Piana… piano, fortissimo.
JC….. dit: 22 juin 2015 à 5 h 42 min
C’est tout à fait ça ! En plus il se fait humilier par Netanyahou, tout sourire. Vraiment une diplomatie française de mer.dre !
Oui, une diplomatie de m.erde, une justice de m.erde, une présidence de m.erde …
Reconnaissons, au moins, une cohérence parfaite dans le non-compétent gouvernemental !
Et n’oublions, pas, JC, une Idée de l’Homme de mer.dre, à la base d’une Idée de l’Education de mer.dre !
J’ai appris depuis l’autre jour que le 30 de la rue Godot de Mauroy, où a vécu Stendhal en 1839, était l’Hôtel Godot de Mauroy. L’immeuble du 30 de nos jours n’est donc sans doute plus celui où il a vécu. En revanche, au 35, où vivait son cousin, Romain Colomb, rien n’a changé. Stendhal a posé ses mains sur la poignée de la porte cochère ainsi que sur celle de la grande porte vitrée de l’escalier ; ses pas ont écrasé les tapis de l’escalier… Je me demande à quel étage vivait son cousin, et si c’était sur la cour ou sur la rue. Le propriétaire actuel de l’immeuble doit le savoir parce qu’il m’en avait parlé un jour sans préciser l’étage ni l’appartement. Cette information doit être dans les archives de l’immeuble.
Ce genre de curiosité doit certainement relever d’une pathologie DSM… La littérarite…
Ce qui est marrant dans l’immeuble du 35 de la rue Godot de Mauroy, c’est que l’actuel propriétaire de l’immeuble, qui est un milliardaire travaillant dans la pharmacie (il a une usine à fabriquer des médocs), a modifié des petites choses quand il est arrivé dans l’immeuble en 1978, notamment des lanternes style 18ème siècle qu’il a fait placer dans le hall de l’immeuble. À l’époque, je m’étais dit que c’était un décor très kitsch et prétentieux pour notre époque. Mais à la réflexion, ces lanternes donnent à l’entrée de l’immeuble un style tout stendhalien. Le fantôme de Stendhal y loge probablement… et nous éclaire de ces lanternes magiques…
Quelques détails aussi relevant du fétichisme littéraire au sujet de la mort de Stendhal.
Il a eu sa crise d’apoplexie sur le boulevard des Capucines au débouché de la rue des Capucines en venant très certainement de son hôtel sis alors dans l’actuelle rue Danielle Casanova, un peu après 19h. Le matin il avait mis la dernière main à une nouvelle qui devait être publiée dans La Revue des Deux Mondes, Suora Scolastica. Il fut enterré à l’église de l’Assomption, l’actuelle église polonaise de la rue Cambon, au coin de la rue Saint Honoré.
L’essentiel de sa vie s’est passée dans ce périmètre réduit puisqu’il avait écrit La Chartreuse au 8 de la rue de Caumartin, au 4ème étage, dans une chambre meublée louée pour cet effet, et que son ministère, celui de Guizot à l’époque, occupait l’hôtel à colonnades qui fait le coin du boulevard et de la rue des Capucines, juste en face.
Michel Leiris raconte dans un de ses derniers textes qu’il avait été accroché par deux prostituées dans la rue des Capucines qu’il remontait vers le boulevard.
Ce périmètre est le lieu de mon enfance.
08h43
« Stendhal a posé ses mains sur la poignée de la porte cochère ainsi que sur celle de la grande porte vitrée de l’escalier ; ses pas ont écrasé les tapis de l’escalier… »
En mettant les mains sur la poignée et en se prosternant sur le tapis, on déclenche des miracles
« accroché par deux prostituées dans la rue des Capucines qu’il remontait vers le boulevard. »
Et en en descendant, il en a été décroché
C’est aussi de cet endroit précisément, le coin de la rue des Capucines et du boulevard du même nom qu’est partie la Révolution de 1848. Le rapprochement mérite au moins un séjour en HP…
Un autre fait notable, c’est précisément à l’endroit où est mort Stendhal que tapinait un jour dans les années 80 une superbe prostituée.
Mais au contraire, n’oublions pas que l’éducation propagée à Gaza et en Cisjordanie est toute entière basée sur la hai.ne des Juifs avec l’aide de l’U.E. qui finance en grande partie les livres scolaires. C’est une éducation fondée sur les mêmes principes que celle des nazis.
« le coin de la rue des Capucines et du boulevard du même nom qu’est partie la Révolution de 1848. Le rapprochement mérite au moins un séjour en HP… »
c’est certain, surtout qu’il n’y a pas une seule capucine par là
Absolument véridique !
Cette Europe de m.erde finance à Gaza la haine du Juif et ça ne choque personne chez nos compatriotes, mous du cervelet !
Tous des Antonio, les humanistes islamophiles boboïdes !…..
Dans un effort de surclassement intellectuel terrible, je me mets à la place des commentateurs les plus prestigieux de ce blog de prestige, et je frémis.
Quelle tristesse doivent éprouver ces Elus à la lecture de certains messages effroyablement nuls, bien que porquerollais d’esprit… !
Un autre fait notable, c’est précisément à l’endroit où est mort Stendhal que tapinait un jour dans les années 80 une superbe prostituée.
En avait-elle connaissance? sans, je dirais qu’il n’y aurait aucune grandeur à cette rencontre historique.
@ Bérénice 22 h 03
Le post que vous m’avez adressé hier à 22h 03 me dit deux choses
1) Que je suis je suis une piètre dactylo.
C’est vrai mais cela tient à mon grand âge
Lorsque j’etais jeune on n’apprenait à taper à la machine que si on n’etait pas capable de faire des études plus valorisantes ou si les circonstances économiques ne vous permettaient pas d’envisager des études supérieures.
Je me suis mise à la frappe tardivement avec l’arrivée des traitements de texte, ce qui signifie qu’à partir de ce moment j’ai cesse de donner des brouillons manuscrits à ma secrétaire et que je lui ai envoyé des textes dont la frappe contenait tous les défauts que vous relevez ,et elle les remettait dans une forme impeccable
Aujourd’hui je fais tout moi-même et je me sens par ailleurs incapable de progresser en dactylographie ,d’où le résultat deplorable que vous soulignez
2) Que des posts aussi dépourvus d’intérêt que les miens ne méritent pas l’effort de lecture qu’impose cette dactylographie déficiente
D’où pour moi deux solutions aussi peu satisfaisantes l’une que l’autre
–une solution radicale :ne plus poster
–une solution alternative :Dès lorsque je ne me sens pas capable d’améliorer la qualité de ma frappe ,livrer des posts suffisamment interessants pour faire oublier leur présentation mediocre
Mais pour échapper aux deux nuisances que vous supportez comme lecteur ,la solution dépend de vous ;elle est simple ;zapper mes post
La « crise du livre » dont on entend parler aurait-elle un rapport avec le reflux apparent de la gauche ?
Editer à gauche ou à droite, ce n’est pas le problème. La vraie difficulté, pour un éditeur tel qu’on le rêve, c’est de laisser guider ses choix éditoriaux par des qualités qui ont peu à voir avec le penchant politique : la vraie intelligence, la générosité, la noblesse d’âme et quelques autre qui devraient interdire à un éditeur d’ouvrir son catalogue aux élucubrations d’un Zemmour telles que la déportation des Musulmans de France et le salut des Juifs par Pétain.
« la vraie intelligence, la générosité, la noblesse d’âme et quelques autre qui devraient interdire à un éditeur… »
Eh, oui !…. pour certains bolos empaillés vivants, l’intelligence, la noblesse d’âme, c’est fait pour interdire à un Zemmour d’être lus par des dizaines de milliers de lecteurs.
« Tyran ! » dirait Josette…
C’est louable de distinguer les « Musulmans de France » des « Français musulmans » car cela correspond bien à la vérité : on est d’abord Musulman.
Puis Français, parfois, si ça convient, si c’est avantageux, si on est républicain, laïc et démocrate. Il faut bien des papiers, aussi …
Le DSM s’est imposé comme le Qur’ân des psychiatres et des psychologues, pas seulement aux Etats-Unis mais dans le monde. Il demeure « la » référence, un peu comme le fut la Sunna lancée par Emil Kraepelin. Ce qui ne va pas sans poser de problèmes.
Tous ceux qui le pratiquent oublient parfois que ce qui était vrai hier ne l’est plus de la même façon aujourd’hui.
SCOOP
Hollande chantait hier à l’Institut du monde Arabe, chez Lang :
-on ignore en quelle langue
-Carla, absente, aurait apprécié le suave du crooner vocaliste
-un duet, Hollande-Bruni est prévu pour 2017. Cambadelis est contre … Gayet aussi…
bon, bein je vais le faire alors
JC….. dit: 22 juin 2015 à 10 h 53 min
C’est louable de distinguer les « Musulmans de France » des « Français musulmans »
Voici un postulat, un peu bizarre peut-être: il existe une majorité de Français musulmans, et une minorité de Musulmans français.
C’est un postulat parce que ce sont des catégories relatives et qu’aucune étude empirique ne permet de l’établir.
C’est un postulat aussi pratique parce que seule cette présupposition permet de ne pas désespérer, le désespoir se traduisant soit par la violence soit par la résignation.
Ces Français musulmans, qui se reconnaissent dans une entité française (politique, culturelle) avant de se définir par l’appartenance à la Oumma sont le produits de l’histoire (différences de génération), de l’évolution sociologique (différences de classe: bourgeoisie d’origine musulmane), de l’éducation, etc.
C’est malheureusement un jeu à somme nulle: on est d’autant plus Français et républicain qu’on est éloigné des prescriptions originelles et totalisantes de l’islam.
Au sein de ceux qui se reconnaissent comme des Musulmans de nationalité française, il existe aujourd’hui des mouvements qu’on pourrait appeler, sur le modèle de la SFIO, la SFII (Section française de l’Internationale islamiste).
Un exemple intéressant, parmi d’autres, est le Mouvement Islamique de Libération, et sa charte en 40 points qui énonce clairement l’objectif d’autonomisation de la « communauté » et le refus de collaboration avec les partis républicains.
C’est explicitement décrit par les diverses manif’ s’étant déroulées en Seine Saint Denis et ailleurs: « Nous avons notre propre droit constitutionnel qui est le Coran ».
Ces mouvements sont ignorés par un généreux bobo comme notre ami Brown. Mais ces mouvements n’ignorent pas les généreux bobos comme notre ami Brown.
C’est là toute la différence.
De même que Gutenberg a changé l’acte-lecture avec son invention diabolique, de même Numérique balaie le passé, et exige une autre littérature.
Qui tarde à surgir !
Que ceux qui disent : « C’était mieux avant » rejoignent ceux qui le pensent, près du poteau et attendent la suite…
Les ‘Français musulmans’ refusent dans leur majorité la violence et l’exclusivisme des mouvements islamistes français.
Mais ils sont liés à eux par une relation très compliquée.
Un bon esprit la comparait à la relation ayant existé entre les Pieds Noirs et l’OAS. La majorité des PN était opposée au terrorisme, mais elle reconnaissait en l’OAS « sa propre part d’ombre ».
alors comme ça JC peut brailler et éructer ici en toute impunité, cela devient vraiment pénible, fuyons !
Un seul conseil aux rêveurs de souche : lisez l’Alcoran sans idée préconçue, et réfléchissez.
Un seul conseil aux nouveaux venus : abandonnez les lectures inutiles, vivez comme les Indigènes hexagonaux.
youpi dit: 22 juin 2015 à 12 h 00 min
« alors comme ça JC peut brailler et éructer ici en toute impunité, cela devient vraiment pénible, fuyons ! »
Je vous en supplie…. RESTEZ ! Il est si doux de vous lire, et de ne pas se comparer.
Le problème est toujours le même : que faire de celui qui vous ressemble comme un frère et qui est sombre ? ….
Place à la Littérature !
Bonne soirée….
Autant que vous sachiez dès à présent que je n’aime pas du tout le prénom Hervé.
On remarquera d’ailleurs que très peu d’écrivains acceptables se prenomment Hervé. Pour ainsi dire aucun.
à DHH 10h19. Votre pseudo m’a parfois fait rêver ,un n° de comète survolant de temps à autres l’univers dérivant d’humains plongés dans la littérature?cette fois vous êtes résolument Docteur Humouris Causa.Je ne m’étais pas encore aperçue que vous étiez une piètre dactylo ..c’est dire mon incompétence.Mais j’ai souvent apprécié l’intérêt de vos posts toujours personnels;je n’y réponds pas toujours, je n’ai pas un avis sur Tout,l’échange ,pour moi, ne ressemble pas à un terrain d’escrime; je me méfie aussi de mes engouements qui m’entraîneraient bien souvent au-delà des limites permises,insupportables et faussement pédantes;aucun problème,ne privez pas la RDL de vos posts,que ceux qui cherchent une dactylographie classieuse jouent à saute-mouton;j’ai été absente 3 semaines et hier soir j’ai découvert avec stupeur l’écran de mon PC entièrement zébré de rouge;Dieu sait comment ce petit post va ressortir..J’en suis encore à T.Cremisi,sur le dessus d’une pile ,quel retard.Au plaisir de vous lire dans votre dactylo originale.
Inutile de me citer Bazin : il s’appelait Jean-Pierre.
Sur un ensemble de plusieurs centaines d’écrivains convenables, absolument aucun ne s’appelle Hervé. C’est fascinant. J’ai voulu le vérifier par acquis de conscience et je ne m’étais pas trompé d’un cheveux.
Moi aussi j’ai eu l’écran zébré de rouge a une epoque. Je peux vous dire que ce n’est que le commencement si vous continuez à vous croiser les bras.
Lola et DHH :
bonheur de vous lire
Mais j’aurais bien aimé que M.Assouline réponde à mes interrogations concernant ce grand peintre : Rustin.
Christiane, je peux vous dire sans me tromper que le sport favori de Rustin était le vélo.
Elle nous les gonfle, Christiane, avec Rustin.
Bon écoutez j’ai du travail à finir, je reviendrai plus tard faire un point d’avancement.
A Christiane de 8.26, Oui, J’an Rustin était un ami. Nous nous sommes beaucoup vus durant les dix dernières années de sa vie. Nous avons un peu voyagé ensemble. Je l’aimais et l’admirais. Une rupture a eu lieu dans sa vie vers les années 60 : avant, il peignait quelque chose de proche de l’abstraction lyrique. Et il fit un long séjour en HP pour cause de dépression sévère semble-t-il. Là, on lui demanda de peindre les fresques de l’hôpital. UN jour qu’il était en haut de son échelle, un professeur de psychiatrie et ses internes s’installèrent dans la salle en l’ignorant et firent venir une jeune malade pour l’examiner. Elle se déshabilla et se mit à se masturber frénétiquement devant eux. Des éclats de rire, des rires gras et des moqueries fusèrent. La scène choqua si profondément Rustin que du jour au lendemain, il se mit dessiner et à peindre des personnages aux allures de malades mentaux, souvent nus et onanistes, dans des salles dépouillées. Et durant des dizaines d’années, il ne cessa, produisant une oeuvre des plus fortes sur la solitude.
j’en parle ici aussi http://larepubliquedeslivres.com/georges-limbour-visiteur-de-tableaux/
L’abstraction lyrique comme Burgonde, alors ! Que des nuages…
Mais là je trouve qu’il retient son bras : une sorte de pitié, mais pas méprisante, plutôt complice.
Ce qu’il aurait fallu, c’est une bonne galerie de péteux, comme par exemple ceux qui se marrent comme des sacs, et alors là taper à mort ! Visiblement il a les moyens, hein…
Non mais la dactylo il y a des palanquées de didacticiels… Et au cache-clavier, andale !
D’ailleurs Passou va nous préparer une épreuve de vitesse, avec que des $ù%7$*=)… Ca doit bomber !
C’est le seul truc où il faut pas prendre un bègue pour la dictée…
« il n’en a plus pour longtemps » : enfin une bonne nouvelle !
@Passou dit: 22 juin 2015 à 14 h 46 min
Oh, merci. J’ai relu ces lignes grâce au lien mais ce jour vous y ajoutez ce témoignage d’amitié, cette mélancolie, cette dignité face aux quolibets qui affectent l’espace commentaires de votre RDL quand fidèlement vous proposez quelques unes de ses œuvres. De son vivant il a dû affronter la même incompréhension, le même rejet. Le monde de la folie effraie comme celui de la mort. le rire est une défense. Lui a posé sur ses toiles tant de solitude, de douceur, d’innocence. La trivialité est dans le regard de ceux qui sont choqués par ces portraits, pas dans le geste de ces êtres plongés dans une inconscience d’êtres perdus. Votre amitié a dû lui être précieuse et rare. De loin, il leur souriait…
Une rupture de Rustin et plus rien n’avançait comme avant.
16 h 09 : il s’agit de Benitoto, bien sûr
Je ne sais pas si les maniaques de la commentarite se livrent à des actes onanistes tout en postant ici, Passou, mais je suis rassuré de voir que ce serait sous votre regard compatissant et non point vos rires gras, merci pour eux !
« Lui a posé sur ses toiles tant de solitude, de douceur, d’innocence. La trivialité est dans le regard de ceux qui sont choqués par ces portraits » (Christiane)
Solitude ? Douceur ! Innocence !
Très chère, c’est ce que vous y voyez ! Je n’y vois moi que violence, torture, crasse, horreur, insanité et folie …. C’est une peinture que je déteste tant elle est pour moi malsaine.
C’est comme cela : il n’y a pas de vérité, pas d’absolu, pas d’incontestable en art.
JC, Passou te regarde et il pleure !
« Diagnostic et statistique suivront bientôt dans le DSM-6. »
Pour le remède, faudra attendre le DSM-7 ?
Passou peut comprendre une lecture plus sommaire, moins sensible, idiote et simpliste, venant de quelqu’un qui ne connaît pas Rustin, ni d’Eve, ni d’Adam…
JC dit : « violence, torture, crasse, horreur, insanité et folie » : véritable auto-portrait très ressemblant
J’aime bien le coup des labos qui inventent des folies ; le contraire serait étonnant : leur reste plus qu’à se mettre à produire des cancers… Si ça marche bien ça leur fera de la publicité, un peu comme les gars qui programment des virus…
Ici radio Paris grisaille: lu l’excellente notice nécrologique sur James Salter dans le Monde avant de passer devant le 19 rue Mazarine, où habita Desnos de 1934 à son arrestation en 1944.
« Hommes rongés au mythes/Il est trop tard pour soupeser vos tares (…) »
Embrassons-nous, Mole Ville…
Je les trouve très fortes moi aussi les toiles de Rustin, et très émouvantes. C’est manifestement un grand peintre. Marusa a fait des dessins à l’encre de chine de ce style, elle aussi. Ce genre de personnages la touchait beaucoup. Elle aussi avait fait un séjour en HP pour une dépression sévère à Montréal, ceci expliquant sans doute aussi cela.
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