
Eddy Louis venge sa race
Bellegueule est son vrai nom. Un nom de dur insupportable à porter pour celui qui ne l’a jamais été. Le dur comme archétype de la virilité, le vrai garçon, qui se bat, qui aime les filles et joue au football. Ce qu’il n’est pas. Le nom de son père, coléreux, alcoolique, obèse, violent, ordurier, raciste. Et homophobe, cela va de soi. Un ouvrier de l’usine de laiton qui fait vivre toute l’usine, à une quinzaine de kms de la ville, de nos jours quelque part en Picardie. La mère ne rattrape pas le père : «« C’est une femme en colère, cependant elle ne sait pas quoi faire de cette haine qui ne la quitte jamais ». L’incipit a la puissance des premières phrases de L’Etranger ou des Mots : « De mon enfance je n’ai aucun souvenir heureux ». Tout le roman y est déjà condensé. Une force et une faiblesse, car on pourrait se dire : à quoi bon le lire alors ? Important, le nom. Ce n’est pas le problème mais presque. D’ailleurs, l’épigraphe tirée de Marguerite Duras le dit déjà : « Pour la première fois mon nom prononcé ne nomme pas ». Ainsi Edouard Louis plante-t-il le décor de Pour en finir avec Eddy Bellegueule (220 pages, 17 euros, Seuil), son premier roman à 21 ans, découvert et révélé par l’éditeur René de Ceccatty.
Tiraillé entre l’amour de ses parents et leurs insultes, il est dans la plainte et la honte mais ne le nie pas. L’injure a beau être répétitive, on ne s’y habitue jamais. Les mots des autres ne parviennent pas à se former autrement que par ce biais. Là s’inscrit déjà la violence de son enfance. Un catalogue de haines, celle des autres et celle de soi. L’injure, c’est comme les coups. Impossible de s’y faire. Même si elle revient tous les jours, à heure fixe, dans un couloir du collège, entre deux crachats à la figure, ou à la table familiale – si on peut appeler ça ainsi, car chez eux, on ne dîne pas : on mange quand on ne bouffe pas, en regardant La roue de la fortune. Des pauvres que la pauvreté supérieure de leurs voisins consolait et rassurait au point de leur autoriser un mépris de classe. Le narrateur de ce roman, qui ne se veut pas témoignage a voulu comprendre son enfance douloureuse dans un village où la littérature n’est jamais entrée. La cruauté des adolescents entre eux. Un monde d’invisibles où la violence est permanente. Pas un témoignage. A table, Eddy est réduit au silence : sa sexualité est inaudible car indicible, mais on ne voit qu’elle et on n’entend qu’elle. Gestuelle d’efféminé, timbre de voix aigu. Une folle congénitale à ce qu’ils disent.
« Le fait d’aimer les garçons transformait l’ensemble de mon rapport au monde, me poussait à m’identifier à des valeurs qui n’étaient pas celles de ma famille ».
On promet le collégien au lycée d’Abbeville, comme tout le monde dans le coin. Mais sa passion du théâtre lui fait espérer le lycée Madeleine-Michelis d’Amiens. Même pour cette filière « art dramatique » au baccalauréat, dont sa famille ne veut pas, il doit se battre. Le prix à payer pour mettre son père et les siens à distance. Là commence l’inversion de toutes les valeurs. Son livre est l’histoire d’un roman en train de s’écrire. Eddy est constitué par les autres (« sale tantouze ! ») avant de se réapproprier lui-même. Avec les pierres qu’on lui balance il construit sa maison. Air biblique connu, mais joué par lui, il prend des accents poignants. Il a conscience de la transgression mais elle est seconde par rapport à l’abjection. Exclu et persécuté (Paris-capitale-gay ne fait pas oublier que l’homosexualité se vit difficilement en province, et plus encore dans la province de la province), il transgresse sans le faire exprès car il ne sait pas pourquoi il est comme ça, pourquoi il prend goût à mettre des robes, pourquoi il a aimé se faire sodomiser pour la première fois à dix ans par son cousin.
Pour en finir avec Eddy Bellegueule entre en résonance avec les textes d’Annie Ernaux, même si la race qu’Edouard Louis entend venger n’est pas la classe des gens de peu/petites gens (ad libitum) mais celle des pédés/gays/homos (ad libitum), et Retour à Reims de Didier Eribon qui en est le dédicataire –ce qui doit le rendre fier et lui donner un coup de vieux. Mais il doit aussi à la sociologie selon Bourdieu (heureusement cela ne se voit ni ne s’entend) dont il dit qu’elle lui a permis de ne pas juger ses personnages. Son livre est en colère, sous l’influence de Thomas Bernhard mais sans ses harangues, pour faire de la violence un espace littéraire. Deux niveaux de langage alternent en permanence sous sa plume : le sien en caractères romains, celui des autres en italiques. La violence de la grossièreté fait ainsi irruption en permanence dans une littérature apaisée; l’une et l’autre forme s’enchevêtrent parfois donnant la mesure de ce qu’il y a encore d’Eddy en Louis. Il est marqué par les odeurs. Pas de celles qu’exhale un champ de lavande dans le Lubéron, mais « l’odeur du cri de mon père », ou celle d’un homme au souffle de bœuf mêlé de pastis, ou encore l’odeur des corps nus déjà marqués par leur classe sociale :
« J’aurais voulu rendre palpable cette odeur, pouvoir la manger pour la rendre plus réelle »
Il y en aura pour lui faire un procès en misérabilisme. Mais qu’attend-on d’un écrivain qui vient de là ? Qu’il en parle comme Nathalie Kosciusko-Morizet du métro ? Le charme discret du dénuement ? Ca pue plus encore que ce que cela prétend désigner. Edouard Louis a écrit son livre comme on écrit un mot d’excuses. S’excuser autant qu’excuser les autres. Ceux qu’il a fuis. Sans en tirer gloire. Car la fuite n’est pas nécessairement une manifestation de lâcheté. Fuir est parfois plus difficile que résister.
(photos Jean-Pierre Bertin-Maghit et Henri Cartier-Bresson)
1 294 Réponses pour Eddy Louis venge sa race
Je note votre touite sur cette cette histoire de propriete intellectuelle des tweets…ca me rappelle votre breves de blog…a mon souvenir, vous n’aviez demande la permission de personne avant de reproduire leurs propos et d’en faire commerce…certainement pas a moi en tous cas…suis pas litigieux de nature, et vos royalties ne m’interessent pas du tout, je gagne assez bien ma vie, merci a vous, mais un simple SVP ou merci m’aurait suffit, au lieu d’un ‘porter plainte si vous voulez’…pas tres classe tout ca…
les pas de côté et les noms propres, c’est un peu surfait.. les écrivains sur machine à calculer faudrait vous libérer un peu le logiciel.. on étouffe..
…
…c’est bien malheureux tout cela,…et c’est un cas précis,…qu’il expose,…
…
…et combien,…il y en a d’autres, dans » presque « , la même configuration,…des milliards sur les continents,…
…
…à cause de la crise de » style « , définie pas Céline,…
…
…se résoudre en front unis,…à trouver le sursaut d’union de la force en famille,…
…préserver les acquis,…garder son indépendance,…et assurer à chacun » l’espoir » des jours meilleurs,…avec ténacité, humour, quelques préceptes du fond des âges,…
…et grand’mère,…et grand-père la guerre 14-18,…et ils sont revenus,…et les oncles,…en 45,…
…en sommes seul,…mais toujours des points de repères des vertus à ne pas transgresser,…aussi,…avec naturel,…
…se mêler, aux échelons des priorités dans le verbe,…
…arriver à exprimer, une meilleure idée,…entre s’assouplir aux partages des services aux utilités familiales,…et se faire mériter une boîte de couleurs,…et le luxe, les crayons-aquarelles,…
…
…déjà, la nature, se pousse ses priorités suivant » l’environnement » familiale,…
…l’esprit aux graines du printemps,…etc,…
…
‘’L’injure a beau être répétitive, on ne s’y habitue jamais.’’
Malheureusement si, j’en connais qui s’y sont habitué. Jusqu’à s’en convaincre et s’injurier eux-mêmes.
Me reviens spontanément en mémoire une phrase de San-Antonio:’’Quand tu n’arrêtes pas de te faire cracher à la gueule, tu finis par ne plus t’essuyer’’.
Merci beaucoup Pierre Assouline pour ce beau et enrichissant papier On a l’impression que vous avez tout dit. Tellement bien dit qu’il n’est plus nécessaire de lire le livre concerné.
Cordialement.
« Car la fuite n’est pas nécessairement une manifestation de lâcheté. »
Merci pour le tuyau.
« Qu’il en parle comme Nathalie Koskuzio-Morizet du métro ? »
Cher Passou, honte sur vous ! D’abord, c’est Nathalie Kosciusko-Morizet …
Ensuite, dans ce billet homophile tout à fait cradingue, cette attaque sur la pétasse blonde polytechnicienne luttant avec charme contre la pétasse brune comme une peste boboïde, membre historique du harem de Soliman el Petigros, cette attaque est une prise de position politique majeure qui va peser lourd dans les élections municipales prochaines !
Votre engagement, cet usage d’un nom gauchi, peut faire élire la sœur Anne que l’on voit venir de loin … C’est cela que je ne vous pardonnerai jamais. J’adorai tant la fumure des Tiberi…
Le billet lui est d’une grande délicatesse sodomite, ce qui est bien naturel compte tenu du sujet. Dix ans, c’est le bel âge pour enfiler l’armure d’une future carrière ! Avec satisfaction, je note que le cri du pastis est puant, qu’en général un ouvrier d’usine est homophobe, raciste, coléreux, obèse et me réjouis de ne rien partager avec ces pauvres, heureusement si nécessaires à la vie cossue des riches capitalistes provinciaux.
Bien entendu, économe de mes deniers, je n’irai pas dépenser bêtement 17 euros pour lire cette confession d’une tantousinette parmi d’autres, et lui conseille – en profitant des lois généreuses actuelles – de régulariser la situation en épousant son cousin, avec dispense papale et adoption d’un gosse qui, à son tour …
Encore mille mercis pour vos efforts désespérés tentant à propager le goût de la bonne littérature parmi les brutes hétérosexuelles de province et les folles cultivatrices du Marais. Bien à vous !
Celui-là, je le lirais bien.
Quand son article contient des niaiseries (du genre commencer une lecture « sur un air antillais »), j’ai toujours l’impression que Pierre Assouline sous-entend, peut-être sans le savoir lui-même (diable de plume), « n’en croyez rien, ne lisez pas ». Quelque chose qui rappelle un peu le papier quadrillé dont usait Chardonne quand il mentait.
« Car la fuite n’est pas nécessairement une manifestation de lâcheté. Fuir est parfois plus difficile que résister. » Très bien vu. C’est aussi une forme de salut. Voir L’Eloge de la Fuite de Henri Laborit, livre fondamental.
« à quoi bon le lire alors ? Important, le nom. Ce n’est pas le problème mais presque. »
Non, il me semble que le « problème » est ailleurs.
Il est plein, beaucoup, de termes trop « intellectuels » pour Abbeville, ce billet.
Il a une belle gueule Eddy. Et alors ?
http://www.lefigaro.fr/livres/2014/01/22/03005-20140122ARTFIG00280–en-finir-avec-eddybellegueule-d-edouard-louis.php
La fuite est une lâcheté … mais il y a plusieurs types de fuites possibles, dont celle que je préfère : le retrait stratégique.
Dernier délire sur les tweets !
Il me semble que le droit est en retard – ça lui arrive souvent – sur la réalité : un post, un tweet,sont de la même nature, bien qu’écrit, qu’une CONVERSATION entre « causants ».
Aucune nécessité de copyright, de protection, et encore moins de remerciements aux auteurs de ces paroles lettrées en dur grâce aux nouveaux outils de communication !
« Bellegueule est son vrai nom. »
ça commence bien
Des « clichés ».
En l’occurence, des passeurs, et des bons, ont organisé la « fuite » d’Eddy.
Naturellement la fuite fonctionne seulement si on gagne… voir le combat des Horaces et des Curiaces…
Est-ce que la « fuite » valérienne va lui permettre de « venger sa race » ?
« l’homosexualité se vit difficilement en province, et plus encore dans la province de la province) »
le refoulé péculintégriste en sait quelque chose
« Est-ce que la « fuite » valérienne va lui permettre de « venger sa race » ? »
elle est plutôt du genre à vouloir le faire ch..r un max
Va t elle nous pondre une dramatique confession ? J’attends avec impatience son futur ouvrage : « Pour en finir avec un petit gros ! »
: le retrait stratégique. Le repli de la clique?
La pollution de l’éthique? La répartition des mots et graphiques? Sommes nous paraplégiques à ne pouvoir installer le cric? Quoi faire de ces ancêtres pâtres et chics?
Après avoir fait du billet un goûter et plaint ce garçon qui s’en sort de l’adversité, j’arrête sur image et je trouve quand même que c’est un peu affreux sales et méchants.
Ceci étant, je vais prendre ma douche, attacher mes cheveux, trouver une panoplie seyante qui affronte les éléments par ordre chronologique, je reviens ce soir pour savoir si je puis y comprendre encore une phrase ou deux.
A méditer par les fabricants de passions tristes (comme on dit ‘fabricant de saucisses’):
(..)la vertu ne consistant pour chacun en autre chose (par la Déf. 8, part. 4) qu’à vivre selon les lois de sa nature propre, et personne ne s’efforçant de se conserver (par la Propos. 7, part. 3) que d’après les lois de sa nature, il suit de là : premièrement, que le fondement de la vertu, c’est cet effort même que fait l’homme pour conserver son être, et que le bonheur consiste à pouvoir le conserver en effet(..).
Spinoza, Ethique, Partie IV.
« je trouve quand même que c’est un peu affreux sales et méchants. »
Revenez-nous, Béré, jolie, propre et gentille… c’est si rare, ici.
« Pour en finir avec un petit gros ! »
Non. Plutôt :J’y suis j’y reste (avec le soutien sincère des amis de porquerolels)
Comment ne pas se marrer à la lecture de ce que ce brave Spinoza a pu pondre sur le divin … et sur l’éthique. Poubelle !
« affreux sales et méchants »
comme le beaf de pécul, la coqueluche de boug et d’u.
Je vois qu’il y en a qui aiment, alors , allons-y!
===
PROPOSITION XIX
Chacun désire ou repousse nécessairement, d’après les lois de sa nature, ce qu’il juge bon ou mauvais.
Démonstration : La connaissance de ce qui est bon ou mauvais, c’est la passion même de la joie ou de la tristesse, en tant que nous en avons conscience (par la Propos. 8, part. 4), et conséquemment (par la Propos. 28, part. 3) ; chacun désire nécessairement ce qu’il juge bon, et repousse au contraire ce qu’il juge mauvais. Or, ce désir ou appétit, ce n’est autre chose que l’essence même de l’homme ou sa nature (par la Déf. de l’appétit, qu’on trouvera dans le Schol. de la Propos. 9, part. 3, et dans la Déf. 1 des pass.). Donc chacun, par les seules lois de sa nature, désire ou repousse, etc. C. Q. F. D.
Exclu et persécuté (Paris-capitale-gay ne fait pas oublier que l’homosexualité se vit difficilement en province, et plus encore dans la province de la province)
ha causer des pédés ça permet d’accrocher ses gamelles et de fourguer toute la vieille came.. »quelquepart en picardie »..
« Tout le roman y est déjà condensé. Une force et une faiblesse, car on pourrait se dire : à quoi bon le lire alors ? »
Du miel, pour le camarade JC.
Pas encore assez de café, c’est sûr, mais j’ai du lire deux fois cette phrase:
« Un ouvrier de l’usine de laiton qui fait vivre toute l’usine, à une quinzaine de kms de la ville »
À moins que ce ne soit l’usine qui fasse vivre toute la ville ou que ce soit l’ouvrier qui soit le soutien de toute la famille, il faudrait imaginer un grandiose ouvrier nourricier: il offre son sang, à la chaîne, à ses camarades.
Ou il distribue le laiton (le litron?) qui fait vivre?
Ce martyre paternel m’interloque.
l’odeur des corps nus déjà marqués par leur classe sociale
numéro 51 de pernod ricard..
sans déconner ça fouette nanardland des années 50’s..
manque pus que rénato en congepaye avec son accent italien collant des baffes..ha je ne te félicite pas lassouline..on dirait une chromo
Celui-là, je le lirais bien.
tada, ce con de cheuloux ça lui rappelle la mort de louis 16 et marie georges..vous la sentez pas votre l’haleine a tuer les boeufs à rungis rien qu’a penser aux thunes que vous allez vous faire..aller vous faire enculer
Photo
Deux jeunes mecs à gauche regardent le cul de leur camarade.
Le petit, à droite, c’est moi.
J’en ai pris des baffes, pour laisser ainsi trainer mon regard, toujours dans une même direction.
Sortir d’une situation d’ennui par le haut, c’est le choix du mec qui plane au dessus.
C’est probablement un montage, le photographe a voulu figurer le rêve de ses personnages sur la photo, comme une sorte de phylactère.
C’est assez fort, je trouve.
Si on n’est pas d’accord, on a le droit, l’alternative crève les yeux:
la photo 2, point d’atterrissage du plongeur, début du rêve véritable.
C’est du roman désespérant, ce récit !
La mère une vraie conne, le père un vrai con, le cousin con comme une bite, la belle gueule conne comme un trou du cul … l’usine en laiton, les corps qui puent, l’absence de classe de la classe ouvrière … cette attaque contre le pastis …Pfffff!
P’tain ! on est loin de Paul Géraldy en ce IIIème millénaire… et l’autre expatrié qui nous remue le Spinoza mort et enterré sous le nez, en agitant son éthique comme une tige de jade divinement athée marxisante !
P.A (6:15)- Eh bien, que fais-tu ? tu n’as donc pas lu mon nouveau billet ?
JC – Euh, bien… non… mais j’y cours.
P.A. – J’ai un peu égratigné NKM, je compte sur toi pour contrebalancer, comme d’hab’. Lâche-toi sur l’homophobie, etc. J’ai mis le mot « race » en titre, c’est un bon booster.
JC – OK, comptez sur moi.
(JC….. dit: 23 janvier 2014 à 6 h 30 min)
« Le nom de son père, coléreux, alcoolique, obèse, violent, ordurier, raciste. Et homophobe, cela va de soi. »
Au Parti, on disait la même chose, mais on modifiait les mots, sur le marbre, on avait l’habitude.
« Le nom de son père, ardent, toujours bon camarade, solide, ferme devant la réaction, franc parler, patriote. Et attentif à la famille, cela va de soi. »
Aux empatriés bouseux:
Sunt qui Deum instar hominis corpore et mente constantem atque passionibus obnoxium fingunt sed quam longe hi a vera Dei cognitione aberrent, satis ex jam demonstratis constat. Sed hos mitto : nam omnes qui naturam divinam aliquo modo contemplati sunt, Deum esse corporeum negant. Quod etiam optime probant ex eo quod per corpus intelligimus quamcunque quantitatem longam, latam et profundam, certa aliqua figura terminatam, quo nihil absurdius de Deo, ente scilicet absolute infinito, dici potest. Attamen interim aliis rationibus quibus hoc idem demonstrare conantur, clare ostendunt se substantiam ipsam corpoream sive extensam a natura divina omnino removere atque ipsam a Deo creatam statuunt. Ex qua autem divina potentia creari potuerit, prorsus ignorant; quod clare ostendit illos id quod ipsimet dicunt, non intelligere. Ego saltem satis clare meo quidem judicio demonstravi (vide corollarium propositionis 6 et scholium II propositionis 8) nullam substantiam ab alio produci vel creari. Porro propositione 14 ostendimus præter Deum nullam dari neque concipi posse substantiam atque hinc conclusimus substantiam extensam unum ex infinitis Dei attributis esse.
On parie qu’le gars-fion, petit baron des déjections, ignore le Gaffiot.
Au Parti, on disait la même chose,
u. et son parti l’ump…
P.A – Lu ton 6 h 30 min : peut mieux faire = un peu mou, manque de saignant, de niaque. Piste : salir + classe ouvrière / penser Paris Vs province.
Aimable Diablogue, je n’envisage pas une seule seconde de vouvoyer ceux qui me tutoieraient … Logique, non ?
Fallait pas y adhérer, au Parti, u., fallait faire comme les preux de 56, déchirer sa carte et la renvoyer. L’Huma faisait chic dans la poche arrière dans certains cercles.
Ni la GP ni les ‘talas’ aimaient ça.
Fastoche de cracher dans le borscht.
Au Parti, on disait la même chose, mais on modifiait les mots, sur le marbre, on avait l’habitude.
de nos jours quelque part en Picardie
Car la fuite n’est pas nécessairement une manifestation de lâcheté. Fuir est parfois plus difficile que résister.
ca stermine bien avec un bel ascenceur social..sniff
£ 100 000 : c’est le prix payé par la British Library pour acquérir les archives littéraires de Hanif Kureishi.
—
Ca va lui permettre de se refaire: le boursicotage l’avait ruiné.
ca stermine bien avec un bel ascenceur social..sniff
à paris avec un 12m2 à 600€..y’a la place pour un piano droit et quelques partition d’un compositeur russe..resniff
Aux expatriés en fuite….
Le Gaffiot fut ma première arme de destruction massive quel délice de taper sur la tête de camarades plus petits, les grands étant immédiatement alliés naturels.
Cet exemplaire bosselé trône juste à côté des délicieux petits Hatier dont celui de Georgin …
Puis-je me permettre un commentaire léger ? Quelle fatuité d’écrire en latin sur un blog ! Totalement ridicule.
Quelle fatuité d’écrire en latin sur un blog !
—
Question fatuité, on s’y connait, ou je me trompe?
« n’envisage pas une seule seconde de vouvoyer ceux qui me tutoieraient »
fais gaffe je suis revenu en loucédé et en bateau pour te surveiller
P.A. – Tu glandes, arrête de te disperser, de tirer tous azimuts tes petites flèches en plastoc usées (Valérie, Spinoza…). Vois du côté d’u. et ses boulets anticommunistes primaires. Du lourd, nom de dieu !
en picardie ils me traitaient de pédé comme il disent..clopine et ses frangines venaient voir leur cousin et me carréyaient une bouteille de kro pour m’apprende comme elles disent..sniff..à paris je fais quelques passes..sniff..pour pouvoir leur payer un crème à 8€ et un croissant à 5 en terrasse quand elle viennent me voir..la tronche qu’elles font ces pétasses..
La vraie question : Pépère Ier aura t il le courage d’affronter la tigresse devenue folle ?!
Le Drian a proposé de faire revenir de Centrafrique, où il y a juste un peu d’épuration ethnique religieuse en cours mais rien de méchant, une dizaine de commandos spécialisés « conflits conjugaux » pour l’assaut de La Lanterne…
C’est vrai que le mot « race » dans le titre laisse un drôle d’arrière goût (« Cortigiani vil razza dannata » c’est loin désormais… et ça avait du sens au XIXe…) …
C’est vrai que le mot « race » dans le titre laisse un drôle d’arrière goût
ouais ptptp..carrément un sale gout..
Bloom & sa race:
Cognitio boni et mali nihil aliud est quam laetitiae vel tristitiae affectus quatenus ejus sumus conscii.
Die Erkenntnis des Guten und Schlechten ist nichts anderes als der Affekt der Lust oder Unlust, sofern wir uns desselben bewußt sind.
The knowledge of good and evil is nothing else but the emotions of pleasure or pain, in so far as we are conscious thereof.
La conoscenza del bene e del male non è altro che il sentimento della Letizia e della Tristezza in quanto noi ne siamo consapevoli.
De kennis van goed en kwaad is niets anders dan een aandoening van Blijheid of Droefheid voorzoover wij ons daarvan bewust zijn.
El conocimiento del bien y el mal no es otra cosa que el afecto de la alegría o el de la tristeza, en cuanto que somos conscientes de él.
La connaissance du bien et du mal n’est rien d’autre que l’affect de joie ou de tristesse, en tant que nous en sommes conscients.
Louis, un nom dur à porter, en effet !
Portrait réel du père ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Émile_Louis
Mais il doit aussi à la sociologie selon Bourdieu (heureusement cela ne se voit ni ne s’entend) dont il dit qu’elle lui a permis de ne pas juger ses personnages.
Cela ne se voit ni s’entend mais, apparemment, ça y est, et c’et heureux. Bellegueule occasion de relire « La Distinction », magistrale description des réflexes de micro-classe.
« Fuir est parfois plus difficile que résister. »
N’a-t-il a essayé de résister, en vain?
L’enthousiasme collectif pour ce roman est incompréhensible. 220 pages où l’auteur décrit les pauvres comme des dégénérés alcooliques, avec une espèce de bonne conscience navrée et de mépris de classe implicite qui fait un peu froid dans le dos. Tout y passe : le père picole, la mère est débile, le cousin l’encule, etc. Il aurait voulu écrire une caricature qu’il ne s’y serait pas pris autrement.
@bloom
deja que Spinozapour une intlligence ordinaire c’est difficile;alors en latin!
je vous admire de dominer ce texte et qui plus est dans sa langue d’origine
il n’empêche que ce latin de Spinoza meriterait peut etre l’appreciation que me valut naguere un theme latin de la part de Pierre Grimal
« la syntaxe est sauve mais le tour est barbare »
Judith, vous flattez bien : vous finirez favorite….
Un photographe de la solitude urbaine ce Jean-Pierre BERTIN-MAGHIT ?
« fallait faire comme les preux de 56 » (Bloom)
Devenus lépreux, les preux?
Un peu au début seulement, et à côté que de gratifications!
Bonheur de nos pères
— chi non ha vissuto negli anni prima della globalizzazione non può capire cosa sia la dolcezza del vivere…
Si j’en crois leur expérience, le destin n’avait pas imaginé conjoncture plus heureuse que celle de l’intellectuel communiste jouissant d’une société capitaliste de plein emploi.
Ils avaient tout, la révolte sur mesure, le confort –et le cul en plus!
Quand ils posent les yeux sur les visages d’avortons qui aujourd’hui portent l’écharpe rouge, ils pleurent comme des Goanais rêvant de l’ancien empire.
Putains, ils étaient respectés.
L’enthousiasme collectif pour ce roman est incompréhensible. 220 pages où l’auteur décrit les pauvres comme des dégénérés alcooliques, avec une espèce de bonne conscience navrée et de mépris de classe implicite qui fait un peu froid dans le dos. (Lefevre)
Les comptes-rendus d’Assouline (cela se vérifiait aussi dans le précédent, consacré au livre de Nathalie Rheims) ont ceci de bon qu’ils contiennent entre les lignes (sans qu’ apparemment, il en ait conscience) les bonnes raisons qu’on peut avoir d’être dégoûté de lire un livre. Ce commentaire de Lefevre, en revanche, met les points sur les i, c’est-à-dire sur le point aveugle du récit de Monsieur Louis. Il lui faudra sans doute quelques années encore pour se rendre compte que les bourreaux sont aussi (et surtout) des victimes.
Tout est dans le texte
La vraie question : Pépère Ier aura t il le courage d’affronter la tigresse devenue folle ?! (JC)
la fuite n’est pas nécessairement une manifestation de lâcheté. Fuir est parfois plus difficile que résister (PA)
Béni sois-tu, saint Closet (Closer?), qui m’a permis enfin qu’elle me lâche la grappe! (FH)
Voulez-vous assister à une petite leçon de cinéma sur les deux passions de Passou : histoire et images ?
http://www.dailymotion.com/video/xbp5ka_cours-de-cinema-cinema-et-histoire_shortfilms
Camarade u.
Vous parlez de « …l’intellectuel communiste jouissant d’une société capitaliste…. ».
Autant je vois ce que peut signifier société capitaliste, autant le bloc « intellectuel communiste jouissant » me parait étrange !
La jouissance, j’en ai entendu parler, mais qu’est ce qu’un « intellectuel communiste » ? Vous pensez sérieusement que ça peut exister ? Je me demande si je ne vais pas téléphoner à Pierre (Laurent) pour savoir s’il en a un de disponible…pour me faire une idée.
Il me semble qu’il y a contradiction entre les deux termes.
Immoraliste, hédoniste, rationaliste, progressiste, Michel Onfray n’est-il pas notre Spinoza?
« les visages d’avortons qui aujourd’hui portent l’écharpe rouge »
jésus marie! un peu de respect pour christian b quand même soyez correct !
« Béni sois-tu, saint Closet (Closer?), qui m’a permis enfin qu’elle me lâche la grappe! (FH) »
Chieuse comme elle est, c’est pas dit qu’elle se tire – fera monter les ventes, pour votre bonheur et celui de votre admirateur
On se demande dans quelles circontances l’éditeur René de Ceccatty a découvert ce nouvel et jeune écrivain.
Gide allait aux bains de la rue d’Oberkampf et donnait aussi une chance à ses recrues en caleçon, mais sous la condition d’user une belle langue.
Onfray ? Spinoza ! Il est athée comme un phoque, le Michou : c’est l’Emile Louis de la philosophie, il fait rien qu’a enfiler toutes les philosophies – handicapées par les impossibles – qui passent …
érotique de la mort ?
http://passouline.blog.lemonde.fr/files/2008/12/katyn-esec.1230122968.thumbnail.jpg
« La jouissance, j’en ai entendu parler, mais qu’est ce qu’un « intellectuel communiste » ? »
Parfois de très beaux intellects, camarade JC.
Au prix, en public, d’une légère anesthésie locale ou pour les cas sérieux d’une pensée hémiplégique.
Ça faisait quand même une moitié de cerveau qui fonctionnait!
Vive, critique, ironique, libertine, quand il s’agissait de l’Ouest.
Le contraire quand ils étaient forcés de mentionner l’autre côté du Mur.
Servile, hébétée, conformiste…
Mais quelle belle moitié!
Et leur queue pouvait rester entière par ici!
Bande de veinards…
JC….. dit: 23 janvier 2014 à 10 h 29 min
JC….. dit: 23 janvier 2014 à 10 h 35 min
P.A. – A désespérer ! C’est mou du genou, c’est creux comme un vieux radis russe, tu n’as plus de jus, plus rien…
Baroz, tu nous fais un remake à la Tournachon de l’homme des foules (des ‘fools’), façon spleen de Paris, avant l’aphasie finale où maman Aupick récupère son « petit » égaré dans le poësie?
légère anesthésie locale ou pour les cas sérieux d’une pensée hémiplégique.
les grands futés les ont anéantis à force d’intelligence
diablogue matutinal dit: 23 janvier 2014 à 10 h 42 min
u. se portant à son secours, ça sera sûrement plus vigoureux
» Moi, au moins, j’suis pas un pédé » … » Moi, au moins, j’suis pas mon père, ouvrier alcoolique et raciste « . Comment porter un regard équitable sur le jeu cruel des exclusions et des rejets, quand on est soi-même, comme tout un chacun, partie prenante du jeu ? Comment être à la fois dans la mêlée, et au-dessus ? C’est la question que pose, me semble-t-il, ce livre, comme les récits d’Annie Ernaux et de quelques autres la posaient aussi. Qu’est-ce qui ouvre la possibilité d’un regard suffisamment distancié ? La distance du temps, sans doute…
« Women will shine in Japan ».
(Abe Shinzô)
Gide allait aux bains de la rue d’Oberkampf et donnait aussi une chance à ses recrues en caleçon, mais sous la condition d’user une belle langue.
..d’être né trop tard zouzou en a presque mal au cul..sniff
Mais vivre avec une seule moitié de cerveau, même boostée, quand on se veut un intellectuel… n’est ce pas légèrement gênant ? Ne vaut il pas mieux vivre avec les deux hémisphères ?
Tu me diras… si on vit au milieu des siens, le handicap… il passe inaperçu.
« mal au cul..sniff »
Tu nous inquiète bouguereau avec cette goutte au nez depuis ce matin.
Pieds nus dans les bains douches?
l’alliance du « bon gout capital gay » parisien (en vérité devenu province certes mais ha que c’est bon d’avoir la province de la province..oui rajoutons en une pour ménager les suceptibilités de province..le bon gout reconnaitra les siens) avec un ouvrier chinois qui bat le picard a plate couture pour ce qui est de cracher par terre..ça c’est là que zouzou belle gueule venge sa race
Allons, PM ! Allons… tout ceux qui se sont crûs au dessus de la mêlée finissent généralement dedans, au fond.
Si au moins il avait pu aller à confesse, supplier humblement d’être pardonné! Mais non! Hélas trois fois hélas
l’appreciation que me valut naguere un theme latin de la part de Pierre Grimal (DHH)
Il faudrait qu’un de ces jours nous ayons l’occasion de confronter nos notes et nos appréciations. Précieuses reliques… Lors d’une vente chez Drouot, peut-être ?
Ah ! Bernadette ! Aller à confesse … c’est entrer en religion, Dieu Tout-Puissant !!!
Pieds nus dans les bains douches?
non en province..en parlant de picardie j’ai connu (je connais) un chauffeur d’engin agricole pédé qui marche aux emphètes..ils bossent assez bien le long de la a1..surtoutla nuit, tu sais pour amortir le myon d’eu que coute ces merdes, les dealers et les pédés en sortent de la a1 pour le rejoindre au milieu de nul part….dans son djondir il est en tong en pleine hivers c’tenculé..si si je t’assure ils ont du réseau en picardie..
dans son djondir il est en tong en pleine hivers c’tenculé
t’es déjà monté dans une cabine de smi ? c’est pareil..il se passe des pornos.. »les gens » savent tout de lui..et tu sais ce qu' »ils disent »..il a du boulot, il est bien vu à la superette, il raque rubis, dis à lassouline qu’avec son eddy bellegueule (sic) qu’il est complétment aout et grotesque
@JC
grâce au secours miséricordieux de la sainte église le cerveau focntionne en entier
Eddy Louis venge sa race ?
Joe Louis venge sa race, aussi !
Le boxeur noir de 1m88 surnommé « Brown Bomber » fut champion du monde des poids lourds entre 1937 et 1949. Il devint champion du monde le 22 juin 1937 à Chicago et resta invaincu jusqu’en 1949.
Au cours des vingt-cinq combats qu’il disputa pour défendre son titre, seulement trois allèrent à la limite.
Ne jetons pas la pierre aux intellectuels communistes de naguère!
Ils nous ont laissé quelques beaux enfants.
Du passé, tout ça.
L’hémiplégie se déplace.
On la perçoit souvent, dans une communauté politique, quand se profile à l’horizon la question de l’ami/ennemi, c’est à dire quand on met les mains sur ses yeux.
(Répétez après moi: l’Europe est post-nationale, l’Europe est la patrie des droits de l’homme, l’Europe ne peut avoir de frontières que provisoires, elle est l’humanité en marche.
Ergo: les Européens n’ont pas d’ennemi.
Nous avons dépassé la politique grâce à l’éthico-économique.
Devant eux, seulement des compétiteurs ou des malfaiteurs)
En matière de défense, à quel moment perdons-nous une parcelle de notre cerveau?
(Répétez: le multi-culturalisme, c’est forcément la paix)
Nos amis britanniques viennent nous taquiner, c’est des hypocrites…
« A growing reluctance in an increasingly multicultural Britain to see UK troops deployed on the ground in future operations abroad is influencing the next two strategic defence reviews, according to senior figures at the Ministry of Defence.
There is also concern that British troops have been seen taking action mainly in Muslim societies.
The MoD is still taking stock of the surprise decision of the House of Commons last summer to reject military intervention.
Senior figures believe the rejection of that action was not just the by-product of a political battle between Labour and the government, but revealed deeper-seated long-term trends in British society.
One of the issues raised is improving the recruitment of British officers from minority ethnic communities. »
La frontière Dâr al-Islâm/ Dâr al-Harb, elle m’a déjà coupé en deux.
Désolé de vous interrompre, beaux sires, mais l’Europe, si c’est l’humanité en marche, elle marche la tête basse et le cul offert aux quatre vents…
Eddy Louiss, l’organiste de Jazz, ne se venge pas, il continue à nous enchanter par sa musique
tiens jicé si tu l’as pas vu, terrib
Chesnel, je pensais justement à ses enregistrements avec le Petrucciani lyrique…
u., un de mes meilleurs amis est depuis peu en poste à Tokyo. Très intéressant, évidemment, mais, dans ce pays quand même très francophile*, le constat qu’il dresse a de quoi surprendre: baisse des effectifs d’apprenants de français dans tous les instituts, vieillissement du public (reflet de la démographie japonaise atone)…
Décidément, cette marche à l’amble nippono-teutonne, en matière de démographie cette fois… Gare aux lendemains qui déchantent, où les femmes ne resplendiront plus du tout du tout…
*
Ici, notre boulanger japonais produit une baguette tradition de tout premier choix. Very gifted.
Eddy Louiss ;
http://www.youtube.com/watch?v=SSRow1Yhl14
Des Ukrainiens se font en se moment buter dans la neige?
On a la solution: gouvernance économique, free trade, droits de l’homme.
Le reste devrait s’arranger tout seul.
C’est notre grandeur, nous autres Européens.
« Ici, notre boulanger japonais produit une baguette tradition de tout premier choix. Very gifted. » (Bloom)
A Taibei, un boulanger-patissier a fait sensation.
« Mieux qu’à Paris »
Vérification faite, tout est importé congelé par avion depuis la Belgique, c’est beaucoup moins cher.
Parmi tous ces romans en quelque sorte d’apprentissage construits autour d’un éloignement progressif du milieu d’origine , l’entrée dans autre culture et les déchirements qui accompagnent cette mue PA cite Annie Ernaux ;
O pourrait aussi citer Albert Memmi
A cet égard son roman La statue de Sel me semble indépassable dans la description de la gêne inspirée par le monde d’où l’on vient, dans l’analyse du sentiment coupable de lui devenir de manière irréversible étranger, de l’avoir trahi maintenant qu’on est installé socialement et culturellement chez les autres ,avec pourtant cet inconfort que même si on y est désormais chez soi on sait qu’on n’est pas « des leurs »
on apprends des trucs grâce à la paire d’experts u.jicé toujours à mettre les saloperies de la droite sur le dos des cocos
la vachette d’Intervilles.
c’est vrai il est trop embedded dans les chèvres ça manque de virilité
DHH
on circule de plus en plus, de plus en plus les gens viennent d’ailleurs pour longtemps ou pas ils ne le savent pas à l’avance
(ya que les beaufs pour s’en étrangler de haine)
Ignorant !
Ils font pire ces cocos tueurs de liberté … et dans ta clémence chrétienne, tu leur pardonnes ? ….Chien !
Ayant l’expérience des relations sociales et syndicales au plus haut niveau c’est à dire pas très haut, je peux vous garantir qu’il y a des chèvres plus agréables dans les rapports, que des cégétistes, même mignonnes…
Vérification faite, tout est importé congelé par avion depuis la Belgique, c’est beaucoup moins cher.
gagne petit..les gens qui ont dla thune se foutent bien du prix..et quoi kabloom, oui la boulange c’est un savoir faire, un savoir faire tu sais ce que c’est ?
http://www.youtube.com/watch?v=2xge3JEDiK0
« je peux vous garantir qu’il y a des chèvres plus agréables dans les transports que des cégétistes, »
C’est à cause d’une chèvre que Mauvaise Langue n’a pas pu passer cette foutue agrég’.
Ils font pire ces cocos tueurs de liberté …
allons..arrête de les flatter.. »ils ont eu de bons maitres »
Eh bien, voici notre hôte rudement ému, et il semble qu’il y ait de quoi – je vais prendre une grande respiration, (comme quand, dans le métro, on croise une mère mendiant avec son ou ses enfants, et qu’on a besoin de se blinder pour passer outre), et lire ce livre. J’attendrai cependant le printemps, le retour des hirondelles, le calme de mon jardin, le velouté des premièrs pensées et l’odeur du lilas. J’aurai, j’en ai peur, besoin de tout ces secours pour affronter une histoire pareille…
Camarade,
L’homme nouveau n’a pas besoin de ces valeurs anciennes, agrégation, doctorat, lifting, cure d’amaigrissement … LML est en avance sur son temps !
je peux vous garantir qu’il y a des chèvres plus agréables dans les rapports, que des cégétistes, même mignonnes…
t’as pas d’éducation..une bonne rééducation jicé et tu dirais bien bonjour à la dame
Allons Clopine, Pierre simule…. réveille toi !
LML est en avance sur son temps !
djeust congepaye et number 51!
Je me demande, Bougboug, si justement …. tu n’aurais pas trop de bonne éducation… c’est lourd, hein ?
Allons Clopine, Pierre simule…. réveille toi !
il copie dieudonné..c’est pas de jeux
« le constat qu’il dresse a de quoi surprendre: baisse des effectifs d’apprenants de français dans tous les instituts »
C’est le contraire qui serait surprenant.
Au sein d’une Europe un peu stagnante, on ne voit pas pourquoi ils choisiraient un pays que, de Seoul à Shanghai, on appelle aujourd’hui « l’homme malade de l’Europe » (歐洲病夫).
c’est lourd, hein ?
comme un cheval mort ! mais faut faire comme gilgamèche avec enquidou..attendre que les asticots lui sorte du nez avant de le coucher..et vouloir le ressuciter
Ils font pire ces cocos tueurs de liberté
il regrette le temps du maréchal et d’hitler franco salazar …
te faire le porte parole des riches coco qui planquent leur thune à la city te va comme un gant beurre zouzou..avec le calçon gide aurait craqué..ha c’est pas guilgamèche mais t’as de quoi te lamenter
de Seoul à Shanghai,
rassurez-vous, u. : l’anglais peu à peu remplace le français ailleurs aussi
« il regrette le temps du maréchal et d’hitler franco salazar … »
Exact ! L’art dégénéré était à son summum : il reste cet art, vivant … et les trois connards sont morts !
« L’homme nouveau n’a pas besoin de ces valeurs anciennes, agrégation, doctorat, lifting, cure d’amaigrissement »
tout le monde a pas la chance de se payer une grande artiste qui te met au fromage blanc zéro pour cent
« les trois connards sont morts ! »
ils ont des héritiers (toi-même)
je peux vous garantir qu’il y a des chèvres plus agréables dans les rapports, que des cégétistes, même mignonnes…
t’y connais rien
Tu m’as eu, score vainqueur ! Je sors …
qui te met au fromage blanc zéro pour cent
enfant d’putain ! dracul ne sera même plus l’ombre de lui même..c’est une cruelle celle là alors
boudegras plus chargé que d’habitude, c’est dire
JC, que vous vous trouviez drôle, soit, cela n’est quand même pas autre chose qu’un réflexe de troll. Vous ressemblez de plus en plus, à D.-le-franchouillard-ignorant. Taibei est une ville du nord de Taïwan. Je n’ai jamais vu autant de boulangeries avec des produits « façon française » qu’à Taïpei. Sauf bien entendu à Séoul, où dans le centre, il y a une filiale, presque tout les deux cents mètres, d’une chaîne francophile qui propose des produits français, mais aussi allemands, comme le Baumkuchen. Pour ce qui est de Tokyo, c’est certainement la ville, en dehors de Paris, avec le plus grand nombre de très bonnes pâtisseries qui proposent des spécialités françaises, made in Japan. Pour ce qui est des prix, puisque vous en parliez, je ne crois pas que la clientèle s’en préoccupe. Du pain Made in Belgium, serait quand même plus cher que made in china, non ?
Vous devriez voyager, ce qui vous ouvrirait l’esprit que vous avez tordu. Bloom a raison, Tokyo est une ville extraordinaire, les Japonais ont le sens de la qualité et de la perfection. Les Français aussi bien sûr, question produits de luxe, il y a un savoir-faire qui est apprécié worldwide. Bref, pain français, mais voiture allemande.
À la lecture de vos connentaires, imprégniés de votre esprit tordu, je me demande, au finish, si vous n’êtes quand même pas un clone de D.bile ? La bonne preuve, vous allez faire l’observatoire de l’Helvète, parlez des fantasmes du vierge-de-partout. Votre dernier commentaire où vous vous disiez indispensable pour la RdL, me semble une pure répétition de commentaires anciens du plouc cantalou, immigré à Melun.
PS: Etiez vous dans les manifestations contre le mariage pour tous ?
Je ne sais pas pourquoi, précisément, mais je ne vois pas une femme dans votre vie, depuis que vous avez 70 ans et plus. Quelle masochiste pourrait vivre à vos cotés ? Oui, bien sûr, vous êtes peut-être un mari battu (coups de patogas dans vos burnes) et, vos seuls moments de paix et de plénitude, vous les vivez en déféquant sous forme de commentaires ?
PS: Je ne crois pas, que le fils ou la fille d’un couple de même sexe, devienne par automatisme, homosexuel ou homosexuelle. Pourquoi ? Vadiou, JC, je connais des tas d’homosexuels/elles qui ont des parents tout à fait hétéros…
TKT, votre perspective est celle du voyageur.
Je n’ai jamais vu autant de boulangeries tkt
Vous avez donc dépassé les 15 kg d’embonpoint?
Tkt ressemble sûrement à un Paris-Brest, il dégouline de crème sur les bords!
Un Paris-Brest?
Vous rigolez, pas assez large pour notre globe trotter!
Comment croire une seule seconde à l’assertion d’un JC, qu’on pourrait exprimer par : « Assouline ne pense pas un mot de ce qu’il dit, et s’il écrit du bien de ce livre, c’est qu’il le juge au contraire nul à chier » ?
D’abord, quel intérêt aurait notre hôte à pratiquer de la sorte ? Assouline est critique littéraire : de telles pratiques lui retireraient bien vite la crédibilité sur laquelle repose sa réputation…
Et puis tout, chez notre hôte, dément une telle posture. Sa sensibilité, d’abord, son rapport au texte et à la littérature, sa foncière générosité (je vous rappelle que nous nous ébattons sur un blog entièrement gratuit, et que nous profitons sans vergogne d’un savoir et d’un point de vue que nous ne partagerions pas ainsi, avec d’autres que Pierre Assouline, enfin, voyons !)
Enfin, imaginons une seule seconde que oui, cela peut arriver, notre hôte exerce sa malice en chroniquant, de manière volontairement ambigüe, un livre, histoire de semer le doute… Clin d’oeil un peu tordu, mais enfin…
Croyez-vous vraiment que ce ne seraitn pas, je ne dis pas inapproprié mais tout simplement complètement déplacé, à propos d’un livre qui relate une histoire pareille ? Quelle opinion vous faites-vous de notre hôte, et quelle personnalité avez-vous vous-même, pour imaginer une telle perversité ? C’est un abîme que vous mettez là au jour : l’abîme de la médiocrité jalouse, de la calomnie, d’une très certaine homophobie larvée.
Heureusement que, comme le montre l’architecture de ce blog, Pierre Assouline est au dessus de tout ça.
Mais parfois, quel dégoût m’envahit, quand je lis vos nauséeux propos, JC !
d’ormesson dit: 23 janvier 2014 à 12 h 06 min
enfant d’putain !
Les arpents du bon lieu dit: 23 janvier 2014 à 12 h 34 min
Un Paris-Brest?
Sur ces échanges bigarrés, les linguistes étendent une nappe de douceur.
« Ce sont ces expressions qui m’ont rappelé les constructions marocaines qu’on vient de voir. « Sa mère », bien que n’ayant pas le caractère hypocoristique de bābā, m’a d’abord frappé dans ses emplois de transitiveur comme « il déchire sa mère », « il tue sa race ».
Ce parler a pour origine les banlieues de la région parisienne, mais il gagne très vite les jeunes.
Il faut dire que les verbes « déchirer » ou « tuer » sont intransitifs dans le parler jeune quand ils prennent le sens de « être très bon » : « C’est un film qui déchire ! » (i.e. « qui est très bon/drôle », Jamel) ; « J’ai vu des images, ça va déchirer » (Jamel) ; « Je suis trop contente ! J’ai déchiré au partiel » ; « Elles tuent ! » (baskets). Quel est le rôle du complément d’objet ? D’un point de vue sémantique, pourquoi utilise-t-on « sa mère » ou « sa race » ?
On peut analyser en parallèle la transitivation par le pronom de 1re personne (Jamel) : « Louis de Funès, il me tue, Louis de Funès, il me déglingue », « Bacri, par exemple, il m’a déchiré ! » ; et celle avec « sa mère » ou « sa race » comme support : « Ce film, il déchire sa mère ! »
J’ai recherché d’autres emplois de « sa mère » et « sa race » auprès de plusieurs sources qui m’ont confirmé l’extension de ces constructions : une interview de Jamel Debbouze dans le magazine Studio, mes étudiants de licence ou de maîtrise d’arabe maghrébin à l’INALCO, de jeunes professeurs-stagiaires6 à l’IUFM de Créteil, des voyages dans les transports parisiens.
Il semble que l’utilisation de ta race soit un peu plus violente que ta mère dans les insultes généralement obscènes :
16) Enculé de ta mère !
(17) Putain d’enculé de ta race !
Ou tout simplement : Ta mère ! Ta race ! ou Nique ta mère ! sont des insultes très répandues chez les jeunes ; elles peuvent fonctionner comme termes d’adresse :
18) Ta mère, t’as même pas intérêt à monter ! Reste dehors ! (dans un bus).
(19) Ta mère, arrête de me prendre la tête !
Il faut noter une prononciation très emphatique de ces mots chez les garçons ou chez les filles qui jouent les « garçons manqués », avec une forte influence de l’arabe maghrébin : [ṭa ʁāṣ] [ṭa mēx], avec un « r » à la fois vélaire et vibré (prononciation existant également dans le sud de la France en dehors de toute influence de l’arabe maghrébin).
—
Vous allez voir qu’un robot modérateur va me sucrer la fraise.
Voilà que Clopine se prend pour la Mère Supérieure du couvent!
» Assouline est critique littéraire : de telles pratiques lui retireraient bien vite la crédibilité sur laquelle repose sa réputation… »
Mais c’ est d’ un ridicule, Clopine!
Remplacez critique littéraire par gendarme…quel honte!
« Clin d’oeil un peu tordu, mais enfin… » (Clopine)
« Mords-lui l’oeil », j’ai entendu ça.
« Tords-lui l’oeil »?
Je vais y mettre des étudiant d’IUFM.
« Tords », « tokh », ça n’a pas quelque chose de vélaire?
Là, on peut le dire tkt est battu d’une grosse louche!
banlieue et temps jadis http://www.myskreen.com/film/comedies/2773562-tout-le-monde-n-a-pas-eu-la-chance-d-avoir-des-parents-communistes/
D’abord, quel intérêt aurait notre hôte à pratiquer de la sorte ?
évident clopine, un critique doit ménager et dire, dailleurs est il ici tellement critique ? et puis il doit faire parler..évidemment toi tu n’as pas les mêmes soucis sur ton blog, tu te protèges en quelquesorte et à pas cher, lassouline doit faire le fouteur de merde bien tempéré..imagine le son d’un clavecin profond dans la fosse à jean marron
Ce parler a pour origine les banlieues de la région parisienne, mais il gagne très vite les jeunes.
tu fais linguiste arrièré.. »ta race ».. »ta mère ».. »sale batard ».. »racaille » et le « bostonien » (verlan) désignaient le plouc dans les 70 et 80’s..rembobine tout
quand je dis le plouc inutile de te dire qu’il n’était pas de la banlieue parisienne..
désignaient le plouc
c’était « un marqueur »..pire « sale batard de ta race racaille de la ville » signait son bouseux de l’arrière pays
« tu fais linguiste arrièré.. »
Quand linguiste étudier puis publier, lui toujours être ainsi.
» de telles pratiques lui retireraient bien vite la crédibilité sur laquelle repose sa réputation… » Clopine en parlant de Pierre Assouline.
Mais c’est vous qui le prenez pour de la pâte à gâteau, l’ Assouline!
Comme si celui-ci écrivait pour avoir bonne réputation!
Quelle piètre idée vous vous faite de l’ écrivain et de la création littéraire en général.
Si Clopine écrit pour sa bonne réputation, attention quand même à la répudiation!
« mes étudiants de licence ou de maîtrise d’arabe maghrébin à l’INALCO »
Organigramme Inalco :
PEREIRA Christophe CC arabe maghrébin
BARONTINI Alexandrine CC arabe maghrébin
Je penche pour le 1er (chargé de cours)
Quand linguiste étudier
non tu pars d’un apriori à lassouline « capital des pédés »..comme clopine qui croit que la bouse de vache a dla vertue en max facial..c’est discutable scientifiquement
Au sein d’une Europe un peu stagnante, on ne voit pas pourquoi ils choisiraient un pays que, de Seoul à Shanghai, on appelle aujourd’hui « l’homme malade de l’Europe » (歐洲病夫).
—
Pas si simple. Les Japonais et les Coréens aiment une certaine France, celle des parfums, de l’art, de la cuisine, du petit village refait type Lourmarin, Eguisheim, etc… La conjoncture défavorable ne les atteint pas au coeur, c’est juste de la pâtée pour journalistes.
Et puis dans de nombreux pays d’Asie, le nombre d’apprenants de français est en hause, dans cette autre Asie, la populeuse, la djeune, la dynamique, qui ne singe ni l’occident, ni les US, mais parvient à des synthèses que même pépère il sait pas faire.
L’homme malade de l’Europe était l’Allemagne il n’y a pas si longtemps, alors il y a de l’espoir. Et puis, si la France est si malade, quid de l’Espagne, du Portugal et de la Grèce…? RIP?
Mein Gott, me foila en drain de ludder condre le frenchpashing inderieur, sheissdreck!
Reprenez-vous les métros, on fait des choses à l’international, et des belles, et pas que la guerre!
Putain de ta race!
…Cela porte atteinte à ma crédibilité et à ma réputation, sachez-le Clopine.
« sans déconner ça fouette nanardland des années 50′s.. »
et je dirais même plus :le minerai en moins.
Vous imaginez, un, pas blond aux yeux bleus, « petit voûté » ou » nerf d’acier » qui fignole des poignées de portes à longueur de journée et en fait un poème ?
http://www.usinenouvelle.com/article/le-picard-favi-commercialise-un-laiton-antimicrobien.N189618
Pas compris ce que NKM vient faire dans l’histoire en métro.
Elle refuse l’idée d’Hidalgo d’implanter des HLM dans le XVIème ?
Connaissez-vous les prérogatives d’un maire ?
« Pas si simple. Les Japonais et les Coréens aiment une certaine France, celle des parfums, de l’art, de la cuisine, du petit village refait type Lourmarin, Eguisheim, etc… La conjoncture défavorable ne les atteint pas au coeur, c’est juste de la pâtée pour journalistes. »
Ouais.
Notez que je me borne à rapporter l’expression.
Maintenant, faites un test.
Combien y vont une fois?
Combien y reviennent, hormis pour les soldes?
Le 1 et le 2, c’est toute la différence.
Ils rencontrent à Paris des individus maussades et jean-foutres, parfois malpropres, à l’occasion brutaux…
On vit mieux à Kobe.
Notez que ce ne sont que des voyageurs, comme notre TKT (sorry, TKT).
@U
Avec tout ce que vous pouvez relever du parler de vos eleves ,j’imagine que vous nous preparez un ouvrage de linguistique décrivant la langue française des rejetons de l’émigration maghrebine :phonétique (le r velaire dont vous parlez y serait en bonne place),syntaxe, lexique etc…
Ce genre de travail a été realisé ,pour le parler des français d’Algérie (les pieds-noirs) par un universitaire français dans les années 50 ;M.Lanly
C’est très intéressant encore que non exhaustif et je pense que votre ouvrage aurait beaucoup en commun avec le sien
Feeding bouguereau
À dire dans le métro:
« Pardonnez-moi, Monsieur, mais vous n’allez pas tarder à voir votre Papa ».
« Mercier (1951), dans son dictionnaire, note que le mot est « très employé dans les insultes ; daba tšūfu baba-kum ; daba tšūfu kifaš ndir l-baba-kum “vous allez voir ce que je vais vous faire !” ; ndegdeg baba-h : “je vais lui casser la figure” » ; expressions que l’on traduirait littéralement par « vous n’allez pas tarder à voir votre papa ! ; vous n’allez pas tarder à voir comment je vais faire à votre papa ! ; je fracasserai son papa ».
L’emploi est ici une forme d’adresse indirecte où baba est un moyen de détourner, pour des raisons qui restent à déterminer, l’invective directe sur un absent ou un support référentiel.
Bonjour, monsieur Thierry ! Comme vous l’avez compris mon patron vous prend pour un con et me charge de vous répondre.
Ce que je fais avec plaisir car nous sommes du même monde, celui des employés, des domestiques, n’est il pas vrai ?
A la lecture de votre « Vadiou, JC, je connais des tas d’homosexuels/elles qui ont des parents tout à fait hétéros… », il m’a dit : « Réponds à ce connard que tous les pédés et toutes les gouines ont des géniteurs hétérosexuels, c’est la nature qui veut ça … »
Il a une qualité, mon patron, c’est qu’il est franc. Pervers…mais franc.
Arrêtez, c’est trop d’honneur!
Dominique Caubet, « Du baba (papa) à la mère, des emplois parallèles en arabe marocain et dans les parlures jeunes en France », Cahiers d’études africaines, 2001
(C’est bien ça:
« Vous même, M. Debbouze, appeliez-vous votre langage un parler autochtone ou une parlure jeune? »)
@ le jardinier de JC….. dit 23 janvier 2014 à 13 h 44: Vous êtes du même monde que JC ? Je veux bien vous croire, vous êtes JC. Et même, vous êtes aussi, D.bile ou son clone.
Vous vous trompez, il y a des enfants sont les parents sont des homosexuels ou homosexuelles et parfois, les deux à la fois. La mauvaise vie ? Bof, je ne suis pas sûr que les enfants du personnage qui se rapporte à la mauvaise vie, soient malheureux.
Regardez D., croyez vous qu’il soit sorti indemne de son enfance ? Pénétré, mais pas par l’esprit de JC…
N’oublier pas, jardinier de JC, de nettoyer le sol devant la porte de votre cabane à outils. Quand vous aurez enlevé la merde, votre patron, JC, aura disparu. Comme vous dises souvent, cela nous fera des vacances. Vacances de quoi ? De votre merde.
« Je n’ai jamais vu autant de boulangeries avec des produits « façon française » qu’à Taïpei. Sauf bien entendu à Séoul, »
cela va effectivement de soi.
On vit pas ? On a encore grailler, jaffrer…
u., « voyageur » ne veut pas dire grand chose.
TKT voudrait nous faire croire qu’il passe son temps à parcourir le vaste monde, mais les infos qu’il balance à tout va sur ce blog, il les a pêchées sur internet, sur des sites d’agences de voyage. En réalité, il ne s’est jamais éloigné de plus de cinq mètres de sa chaise percée, dans son deux-pièces cuisine de Basse-Nendaz. C’est le type même du globe-truqueur.
je trouve que l’expression de Sant’angello qualifiant TKT « d’Okapi » de ce blog est le plus brillant pseudo qu’on lui aie jamais trouvé, il devrait lui tresser une couronne en remerciements, un rien me fait rire en ce moment.
Rien depuis 13 h 44 min. Qui parlait de JC comme « poule aux oeufs d’or » ? Incapable de chauffer la salle…
dis jhon brown, entre les petites bouquets sur ton blog et tes posts, tu ne crois pas que ? non, j’ai rien dit..
serions nous sous influence du billet ?
Feeding bouguereau
je mange que du bon
C’est le type même du globe-truqueur
..goering aussi si on veut a ce compte là
John Brown, êtes vous toujours orné de ces moustaches frisées au fer ?
Haute-Nendaz ? Ce n’est-il pas au Valais ?
Quant aux voyages, vous pensez ce que vous voulez. Votre commentaire nous fait découvrir un John Brun ressemblant au plouc cantalou.
J’ai au moins fait le trajet Neuilly-Zürich, mais peut-être, ne suis-je jamais sorti de ma ville natale ? J’ouvre la fenêtre et que vois-je ? Le Château de Madrid.
Ils rencontrent à Paris des individus maussades et jean-foutres, parfois malpropres, à l’occasion brutaux…
On vit mieux à Kobe.
tes calçons en manche a air on jurerait que t’es encore là
je mange que du bon
non..mais pas la main de nimporte qui même aux pitbouls on apprend ça tout petit..les bonbons c’est bon pour leur belles dents
« J’ouvre la fenêtre et que vois-je ? Le Château de Madrid. »
TKT
Enfin une réelle précision sur l’âge de TKT, habituellement la lecture de ses commentaires nous le situe aux alentours des 80-85 (juste un peu plus âgé que Phil)
Avec cette histoire de château le doute n’est plus permis, il a largement dépassé la centaine.
Je me demande s’il ne se prend pas pour le comte de St Germain.
TKT dit: 23 janvier 2014 à 14 h 51 min
u., « voyageur » ne veut pas dire grand chose.
Je crois que si mais c’est injuste, puisque vous avez, comme on dit, résidé.
« tes calçons en manche a air on jurerait que t’es encore là »
Attention, je viens avec mon papa.
Au fait, ça ne mange pas de pain, mais la chute du billet est très bonne.
« Edouard Louis a écrit son livre comme on écrit un mot d’excuses, etc. »
Pourquoi ne pas le dire?
Pourquoi ne pas le dire?
« Je me demande s’il ne se prend pas pour le comte de St Germain. »
Je m’en vais en me marrant!
« « voyageur » ne veut pas dire grand chose. »
TKT ne connait que « voyagiste », comme l’agence qui organise ses circuits pour personne du quatrième âge.
Les visites sont courtes pour ne pas fatiguer le touriste mais La documentation fournie est parfaite
JC, vous êtes un plouc de province. Le châteaux de Madrid se trouve à Neuilly.
et revoilà Goering chez boudegras, ce mec l’obsède donc tellement, comme Goebbels ?
en réalité, ses posts le dé/montrent : boudegras n’est qu’un vieux RADOTEUR épicétou
Gestuelle d’efféminé c’est pas forcément vrai, ça… Y a qu’à voir Ernst Roehm…
tkt a eu une brève idylle avec dalida ? pourquoi ne pas le dire ?
l’insert argotique dans le récit, c’est pas une trouvaille 2014 ce brave garcon bien que très affecté écrit très classique; je passe à autre chose.
« Le châteaux de Madrid se trouve à Neuilly. »
TKT
Woooouuuuaaarrrfff !
Et voilà que le château rêvé du jeune Thierry fait des petits.
Quand on rêve, on ne compte pas.
tiens ! une idée… et si boudegras c’était pas MCourt sur pattes bourré ??? santé !
Manuel Valls veut « renverser la vapeur et inverser la tendance» (les journaux)
Il n’en fait pas des tonnes, Jacques?
Manuel Bellegueule?
Je me demande ce qu’en pensent les dames.
À vue d’oreille (on dit bien de nez), Clopine aime la voix, c’est plus tard qu’elle se frotte les yeux
(Mais non, j’ai oublié Onfray)
J’ouvre la fenêtre et que vois-je ? Le Château de Madrid. (TKT)
C’est le 27 mars 1792 que le château de Madrid (Neuilly) fut confié à une entreprise de démolition.
Eribon, c’est un type envers qui on restera reconnaissant pour avoir si souvent tendu le bon micro.
u. dit: 23 janvier 2014 à 17 h 22 min
Allez u., allez u., allez, hue ! A droite, toute !
« inconfort que même si on y est désormais chez soi on sait qu’on n’est pas « des leurs » (DHH)
C’est pas la condition moderne?
Les intellectuels juifs européens n’auraient fait que donner voix de manière plus précoce et plus profonde à une expérience devenue universelle…
« Quelque chose comme ça? »
Faut mélanger le pastis et la sueur ça excite les dames y paraît…
« On vit mieux à Kobe. »
Pas aussi bien qu’à Fukushima
« Pas compris ce que NKM vient faire dans l’histoire en métro. »
Elle est exaltée par le métro (citation :Le métro est pour moi un lieu de charme, à la fois anonyme et familier »,. Je prends souvent les lignes 13 et 8 et il m’arrive de faire des rencontres incroyables. Je ne suis pas en train d’idéaliser le métro, c’est parfois pénible, mais il y a des moments de grâce.
dia/blogue dit: 23 janvier 2014 à 17 h 35 min
à droite (et à l’extrême ) nous sommes une grande famille unie, nous avons du style ça plaît bien
Ce livre me parait avoir une grande importance pour Edouard Louis car il lance hors de son enfance, de ses années passées de êtres dont… cet Eddy Bellegueule, afin de mettre par les mots, le secret, au jour. Tans que ce n’était pas écrit, tant que ce n’était pas lu, ça n’avait pas vraiment d’existence, une réalité floue, obscure, presque imaginaire comme sont les souvenirs que l’on veut rejoindre. Maintenant cette souffrance ne rôdera plus dans sa tête. Ce livre, édité, n’a plus besoin de lui. Il peut sen détacher et aller…
« habituellement la lecture de ses commentaires nous le situe aux alentours des 80-85 (juste un peu plus âgé que Phil) »
on est une bande de petits jeunes on se marre
» c’est la nature qui veut ça »
pervers et con que tu es, la nature t’a râté
n
@ ça m’étonnerait ! dit:23 janvier 2014 à 17 h 24: Ducornaud alias Dvodka alias JC-cloné est allé contrôlé sur internet ! WikipéDia. cela ne change rien à ce que je voulais exprimer. Vous êtes donc de retour, avec toujours le même style et, les mêmes raccourcis.
« Maintenant cette souffrance ne rôdera plus dans sa tête »
Christiane est bien sûre d’elle!
« C’est pas la condition moderne? »
… e alcuna salute se l’illusione porta altrove…
« Quelque chose comme ça? »
aller zouzou fait un effort et dit moi ce que sont les leurs et leur chez soi..approximativement chus pas chien (resnif) quelquechose comme la picardie département 51 et paris..75 attation..pas les neuf trois..feed un peu ça sra dla bonne
moi chte crois vontraube..va vole et venge toi
Maintenant cette souffrance ne rôdera plus dans sa tête.
hahem christiane..fait gaffe un peu
en tout cas outre la race de rénato y’a aussi la photo d’époque dla piscine..infinie liberté des 60’s ajoutons la dessus « belle gueule » et c’est l’aveu de costa gavras
Le type qui fait l’ange, c’est Renato ?
JC ?
je ne parie que sur ceux dont on peut penser qu’ils sont rester minces .
Comment ça, Le Boug’ ?
Heu .. j’ai un doute ..
U., ce serait votre papa ???? Ah .)
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