
Eddy Louis venge sa race
Bellegueule est son vrai nom. Un nom de dur insupportable à porter pour celui qui ne l’a jamais été. Le dur comme archétype de la virilité, le vrai garçon, qui se bat, qui aime les filles et joue au football. Ce qu’il n’est pas. Le nom de son père, coléreux, alcoolique, obèse, violent, ordurier, raciste. Et homophobe, cela va de soi. Un ouvrier de l’usine de laiton qui fait vivre toute l’usine, à une quinzaine de kms de la ville, de nos jours quelque part en Picardie. La mère ne rattrape pas le père : «« C’est une femme en colère, cependant elle ne sait pas quoi faire de cette haine qui ne la quitte jamais ». L’incipit a la puissance des premières phrases de L’Etranger ou des Mots : « De mon enfance je n’ai aucun souvenir heureux ». Tout le roman y est déjà condensé. Une force et une faiblesse, car on pourrait se dire : à quoi bon le lire alors ? Important, le nom. Ce n’est pas le problème mais presque. D’ailleurs, l’épigraphe tirée de Marguerite Duras le dit déjà : « Pour la première fois mon nom prononcé ne nomme pas ». Ainsi Edouard Louis plante-t-il le décor de Pour en finir avec Eddy Bellegueule (220 pages, 17 euros, Seuil), son premier roman à 21 ans, découvert et révélé par l’éditeur René de Ceccatty.
Tiraillé entre l’amour de ses parents et leurs insultes, il est dans la plainte et la honte mais ne le nie pas. L’injure a beau être répétitive, on ne s’y habitue jamais. Les mots des autres ne parviennent pas à se former autrement que par ce biais. Là s’inscrit déjà la violence de son enfance. Un catalogue de haines, celle des autres et celle de soi. L’injure, c’est comme les coups. Impossible de s’y faire. Même si elle revient tous les jours, à heure fixe, dans un couloir du collège, entre deux crachats à la figure, ou à la table familiale – si on peut appeler ça ainsi, car chez eux, on ne dîne pas : on mange quand on ne bouffe pas, en regardant La roue de la fortune. Des pauvres que la pauvreté supérieure de leurs voisins consolait et rassurait au point de leur autoriser un mépris de classe. Le narrateur de ce roman, qui ne se veut pas témoignage a voulu comprendre son enfance douloureuse dans un village où la littérature n’est jamais entrée. La cruauté des adolescents entre eux. Un monde d’invisibles où la violence est permanente. Pas un témoignage. A table, Eddy est réduit au silence : sa sexualité est inaudible car indicible, mais on ne voit qu’elle et on n’entend qu’elle. Gestuelle d’efféminé, timbre de voix aigu. Une folle congénitale à ce qu’ils disent.
« Le fait d’aimer les garçons transformait l’ensemble de mon rapport au monde, me poussait à m’identifier à des valeurs qui n’étaient pas celles de ma famille ».
On promet le collégien au lycée d’Abbeville, comme tout le monde dans le coin. Mais sa passion du théâtre lui fait espérer le lycée Madeleine-Michelis d’Amiens. Même pour cette filière « art dramatique » au baccalauréat, dont sa famille ne veut pas, il doit se battre. Le prix à payer pour mettre son père et les siens à distance. Là commence l’inversion de toutes les valeurs. Son livre est l’histoire d’un roman en train de s’écrire. Eddy est constitué par les autres (« sale tantouze ! ») avant de se réapproprier lui-même. Avec les pierres qu’on lui balance il construit sa maison. Air biblique connu, mais joué par lui, il prend des accents poignants. Il a conscience de la transgression mais elle est seconde par rapport à l’abjection. Exclu et persécuté (Paris-capitale-gay ne fait pas oublier que l’homosexualité se vit difficilement en province, et plus encore dans la province de la province), il transgresse sans le faire exprès car il ne sait pas pourquoi il est comme ça, pourquoi il prend goût à mettre des robes, pourquoi il a aimé se faire sodomiser pour la première fois à dix ans par son cousin.
Pour en finir avec Eddy Bellegueule entre en résonance avec les textes d’Annie Ernaux, même si la race qu’Edouard Louis entend venger n’est pas la classe des gens de peu/petites gens (ad libitum) mais celle des pédés/gays/homos (ad libitum), et Retour à Reims de Didier Eribon qui en est le dédicataire –ce qui doit le rendre fier et lui donner un coup de vieux. Mais il doit aussi à la sociologie selon Bourdieu (heureusement cela ne se voit ni ne s’entend) dont il dit qu’elle lui a permis de ne pas juger ses personnages. Son livre est en colère, sous l’influence de Thomas Bernhard mais sans ses harangues, pour faire de la violence un espace littéraire. Deux niveaux de langage alternent en permanence sous sa plume : le sien en caractères romains, celui des autres en italiques. La violence de la grossièreté fait ainsi irruption en permanence dans une littérature apaisée; l’une et l’autre forme s’enchevêtrent parfois donnant la mesure de ce qu’il y a encore d’Eddy en Louis. Il est marqué par les odeurs. Pas de celles qu’exhale un champ de lavande dans le Lubéron, mais « l’odeur du cri de mon père », ou celle d’un homme au souffle de bœuf mêlé de pastis, ou encore l’odeur des corps nus déjà marqués par leur classe sociale :
« J’aurais voulu rendre palpable cette odeur, pouvoir la manger pour la rendre plus réelle »
Il y en aura pour lui faire un procès en misérabilisme. Mais qu’attend-on d’un écrivain qui vient de là ? Qu’il en parle comme Nathalie Kosciusko-Morizet du métro ? Le charme discret du dénuement ? Ca pue plus encore que ce que cela prétend désigner. Edouard Louis a écrit son livre comme on écrit un mot d’excuses. S’excuser autant qu’excuser les autres. Ceux qu’il a fuis. Sans en tirer gloire. Car la fuite n’est pas nécessairement une manifestation de lâcheté. Fuir est parfois plus difficile que résister.
(photos Jean-Pierre Bertin-Maghit et Henri Cartier-Bresson)
1 294 Réponses pour Eddy Louis venge sa race
tu connais the swimmer avec lancastré dafnoz
j’ai oublié le point d’intrrogation..
le plongeur va se ramasser un plat à moins qu’il ait le temps de se redresser?
baroz connait lui..et lancastré fait pas de plat
Non mais les gros normalement ils sont pas méchants d’ailleurs comme dirait Truffaut l’inventeur du gros : « c’est une joie, et c’est une souffrance… »
« je ne parie que sur ceux dont on peut penser qu’ils sont rester minces . »
(Daaphnée)
Il n’en est pas question.
Depuis que je vois les ravages exercés par un type aux cheveux teints, avec un veston tendu sur le bide autour du bouton central, pour moi c’est choucroute et double part de galette des rois.
Bon, Sergio, n’allez pas croire .. il y en a même de très confortables ..
Mais pour faire le saut de l’ange, à mon avis le ventre déséquilibrerait ..
Lancastré, Le Boug’ ? Burt de son petit nom ?
Mais qu’attend-on d’un écrivain qui vient de là
et qu’attend -on d’un écrivain ? est déjà une bonne question (s
« j’ai oublié le point d’interrogation.. »
La dernière fois, c’était ta serviette.
Daaphnée dit: 23 janvier 2014 à 18 h 36 min
il y en a même de très confortables ..
Et d’ailleurs ils tiennent plus longtemps que nous dans les eaux froides par exemple les Sargasses… Enfin ça laisse ux requins le temps de venir comme dirait Paul Morand…
c’était ta serviette.
Mais pas son bonnet de bain ..
Ach! Costa Gavras Z (partie 12)
http://www.youtube.com/watch?v=TY4JFbke6FY
qu’attend-on d’un écrivain qui vient ici ?
Il n’en est pas question
Bon, U., si ça peut vous faire plaisir ..
10KG en trop pour un homme, ce n’est pas un problème .. s’ils sont bien portés ..
TKT dit: 23 janvier 2014 à 18 h 06 min
La burne dans toute sa splendeur
(perso je ne connais pas « ça m’étonnerait » mais devant tant de certitude de la part de Thierry vérifier semble la moindre des choses)
A part ça, tout usager de la ligne 1 ou tout habitant de Neuilly sait que le Château de Madrid n’existe plus.
En réalité TKT doit être né dans la Creuse (beau pays un peu triste) et avoir loupé son bac à Guéret.
Pas bien de renier ses origines Thierry (et hop, sujet du jour)
La dernière fois, c’était ta serviette.
l’en pas bsoin lancastré..la piscine comme une déroute..comme la tienne zouzou cherchant tes vieux sparadrap au fond..en faisant du sous l’eau
( Bon, sans rapport direct avec le sujet,
je viens de rentrer après un détour par une librairie, et j’ai pris:
Saul Bellow, Le coeur à bout de souffle et Une affinité véritable.
Il est vrai que la couverture, rose rouge, du coeur à bout de souffle m’avait donné faim . Pas dit qu’en le lisant ..
Voilà .)
ntm dit: 23 janvier 2014 à 17 h 46 min
trop fastoche, là; suis pas au niveau…
merci, je ne suis pas vraiment les potins parisiens.
Mais quelle belle idée du métropolitain, elle a, NKM.
Oui, il y a des moments de grâce dans le métro.
Aut’chose que métro-boulot-dodo, n’est-il pas ntm; quoi ma ligne, qu’est-ce qu’elle a ma ligne demande Zazie?
http://www.youtube.com/watch?v=FhX6OkzMvgk&list=PL871D83365BEF62E7&index=1
En repensant à cette histoire d’Eddy, doué de sa plume, je me demandais quel avenir professionnel lui plairait. Prof ?
je ne suis pas vraiment les potins parisiens.
en fait de potins c’était dans des gros titres de beaucoup de canards (peut-être pas le figaro certes)
ntm, des coincés dans le métro, il y en a.
Vos initiales, un problème avec la mère ?
Attention à bien poinçonner métro Lilas.
« en faisant du sous l’eau » (b.)
‘Crache dans le masque et frotte, avant d’emboucher ton tube’, qu’on me disait.
Quelque chose me dit que ça ne te déplaît pas.
Pas dit qu’en le lisant ..
Pauvre Saul il va être déçu, oh wait ! il est mort ..
des coincés dans le métro, il y en a
Edr
Quelque chose me dit que ça ne te déplaît pas
cracher ça fait vieux chinois..l’eau, l’eau faut reconnaitre que c’est la liberté..quand j’en vois j’ai envie dme chter dans..même un pot au feu tiens..avec un os a moal..2 osses..3 !..là t’as interet a avoir une grande serviette noué autour du cou qui te descend jusqu’au genoux comme clemenceau
Mais mais, je suis les potins de la République.
Il y a un prof d’allemand qui tweete.
Il a même encouragé un jeune à bosser sur les accords de Matignon.
Mais, mais, je suis les potins de la République. Il y a un prof d’allemand qui tweete.
Il a même encouragé un jeune à potasser les accords de Matignon.
Un tweet avec modération, bien sûr.
@U 17 h 42
U vous avez raison;cet inconfort n’est plus seulement une experience juive.
il suffit pour en être convaincu d’observer les clivages existant à l’interieur d’une promo de l’ENA ,pourtant perçue par l’exterieur comme un bloc socialement homogene
la seule voie pour etre vraiment des leurs ce n’est pa la promotion sociale et la reussite sociale ausi brillante soit-elle mais ….le mariage
quand j’en vois j’ai envie dme chter dans
« i’m swimming home » lance le Boug’
bouguereau dit: 23 janvier 2014 à 9 h 18 min
u. vous qui avez l’air de connaître un peu « Antoine », pouvez-vous me dire ce que signifie ce post de votre ami.
Merci d’avance,
tweet avec modération, bien sûr
Sans idéologie ça grille moins de neurones ..
Eh bien, non. Je n’y crois pas une seule seconde, à vos arguments. Pierre Assouline choisit de chroniquer ce que bon lui semble. Qu’il soit influencé par l’amitié, par son éditeur, par le microcosme parisient, soit, je le veux bien encore. Mais qu’il pousse l’indélicatesse et le mauvais goût à dire du bien d’un livre dont il penserait du mal, sur le sujet de l’enfance martyre d’un jeune homosexuel, là, franchement, vous voudriez faire croire ça à qui ?
Par contre, ce dont je suis sûre, c’est de la malveillance qui guide les doigts de certains participants à ce blog. Profitant de la « célébrité » de l’endroit, du fait que ce soit un rare blog nommément propriété d’une personnalité littéraire, leur jalousie d’impuissants se déchaîne.
On peut trouver notre hôte ambitieux (il l’est), parisien (il l’est aussi), et défendant une certaine forme d' »entre-soi », qui exclut, pardine, des gens comme vous et moi. Mais la noirceur dont vous l’accablez n’existe que dans vos coeurs à vous, saperlipopette !
(cet hyper jeune écrivain, j’l’ai entendu causer chez celui-que-je-ne-peux-pas-blairer (Fr. B.)- c’était la semaine dernière- hier, le Coin-coin en fait une critique touchante ; hier, tjs, 28 mn sur Arte, uN MUST ! 21 ans, le mec ! wesh ! de dieu que je vais le lire, et rapidos, qui plus est … il a un je-ne-sais-pas ? NON, ça fait France Gall, la conne, grâve – chût-
Apprécié j’ai, la référence faite au prof. Labo-etc (n’oubliez, jamais son Oncle d’Amérique – Maus, de Art spiegelman … well, c’est dans ma tête, sorry)
une certaine forme d’ »entre-soi »
Un home providentiel en somme ..
ça fait France Gall, la conne, grâve
Faut dire que France Gall ça fait pas très djeun ..
Y paraît que Clopine a rouille mayo
d’la mayo ou des vers
« u. vous qui avez l’air de connaître un peu « Antoine », pouvez-vous me dire ce que signifie ce post de votre ami. »
Cher Chaloux,
Je ne suis pas allé voir, parce que « antoine » (dieu sait qui est ce petit fretin) n’a rien à voir avec l’animal marin nommé bouguereau.
Je sais, je sais…
Il est insupportable.
Il est épouvantable.
Il est monstrueux.
Mais quoi, bouguereau, c’est complesque, demandez à Christiane.
Cette nuit, j’ai fait un cauchemar.
Le président en palmes marchait sur la plage.
Il n’avait pas l’air inquiet.
L’injure, c’est comme les coups. Impossible de s’y faire.
Toutes les familles heureuses se ressemblent…
Le malheur,l’enfance bafouée,violentée,humiliée,dites-le comme bon vous semble,est comme un pays étranger pour qui n’y a pas vécu.La langue,les moeurs,tout y est différent.On peut éventuellement l’explorer comme le ferait un ethnologue,mais si on l’approche de manière abstraite,on dira inévitablement des conneries.
On se fait aux injures et aux coups,mes parents qui ne sont plus de ce monde se sont foutus sur la gueule pendant plus de 15 ans,du lourd,et quand ils leurs restaient un peu d’énergie,plutôt le lendemain d’ailleurs,j’y avais droit aussi,aux coups comme aux insultes,eh bien on s’y fait,je dirais même qu’on se lasse,c’est toujours pareil,le même scénario,les mêmes mots,on se fatigue,on sait que ça va tomber,on ne pleure plus,par défi et on file dans sa chambre ouvrir un livre.
Le malheur est un pays exotique pour les bienheureux.
Il existe une étrange confrérie,celle des gosses humiliés,ils se reconnaissent,ils savent qu’ils vont se comprendre,ils ont grandis dans le même pays.
Essayer de parler de cette saleté d’enfance à quelqu’un qui a connu une enfance ordinairement heureuse,sans rien vivre d’irréparable,comme le disait fort justement Sartre,il n’y comprendra que pouic,au mieux,vous aurez droit à sa compassion.Ah,il faut bien le dire c’est un peu dégoutant ces histoires de coups,de père qui a trop bu et qui cogne et toute la misère qui va avec.Vraiment,on veut bien l’entendre,eh oui,ça existe,mais ça poisse,ça gêne.
Mais à lire,c’est bien,ça ne mange pas de pain.
J’ai lu un livre inoubliable sur cette histoire d’enfance bafouée,celui de Moritz Thomsen »mes deux guerres »Moritz y raconte ces deux guerres,celle qu’il mena contre son père-un type atroce-,et celle qu’il mena dans les bombardiers,Moritz dit qu’il les a perdues toute les deux,ces guerres.J’aime ce livre parce qu’il évoque avec une élégance et un humour admirable les souffrances d’un homme qui ne guérira jamais de son enfance,oui,on n’en guérit jamais,Fargue aussi l’a dit.
Observateur de la nuit noire et obscure dit: 23 janvier 2014 à 19 h 47 min
C’est que quelqu’un se méfie des rames de métro…
bouguereau dit: 23 janvier 2014 à 9 h 18 min
Je suis quand même allé voir, Chaloux.
C’est abominable.
Et il serait académicien?
j ‘en ai incroyablement soupé et ce n’est pas une haine dia dine
haine dia dineL’hendiadys ou hendiadyin (n.m., du grec ἓν διὰ δυοῖν / hèn dià duoîn, « un en deux ») est une figure de rhétorique (passou a ben des illusions sur « les milieux »)
Faut dire que France Gall ça fait pas très djeun ..
Pascal Obispo non plus, pas vrai bro ? Quelle horreur !
Et à voir comme ça hurle aux vieilles lunes ici et ailleurs…
« Eh bien, non. Je n’y crois pas une seule seconde, à vos arguments. Pierre Assouline choisit de chroniquer ce que bon lui semble. Qu’il soit influencé par l’amitié, par son éditeur, par le microcosme parisient, soit, je le veux bien encore. Mais qu’il pousse l’indélicatesse et le mauvais goût à dire du bien d’un livre dont il penserait du mal…. »
Mais arrêtez, Clopine!
P. Assouline, c’est un pro.
Supposez qu’il doive mettre tous les livres qui paraissent au-dessus de la pile, eh bien, il n’y aurait plus de pile.
C’est aussi simple que ça.
Chaloux ce matin 7.54, celui-la vous « lirez bien », comme Chevillard (cf. encart à droite) concernant un vin qui se « boit bien »: même effet qu’une carafe d’eau?
Intéressante, la théorie sur Passou usant malgré lui de tournures qui révèlent son degré réel d’engagement ou d’enthousiasme.
Je jetterai un œil sur cet Eddy Bellegueule. Contrairement à JC je n’ai aucune peine à m’assumer comme pleinement gay friendly. Ici en Belgique le mariage entre même sexe (encore heureux!) est autorisé depuis longtemps. Ce que je crains dans ce livre est une forme de boboïsation perverse, mélange de misérabilisme et de complaisance, genre « précis du jeune homosexuel grandi en province » avec force détails trash vendeurs. Une espèce de Christination angotique exportée du côté des homos, alors que pitié, une suffit! Annie Ernaux, rien à voir. Ce que je souhaite à Louis.
C.D.
(« Supposez qu’il doive », c’est correct?)
Sergio dit: 23 janvier 2014 à 17 h 45 min
« Faut mélanger le pastis et la sueur ça excite les dames y paraît… »
Un bureaucrate à oreillettes m’a dit un jour:
« Nous ne devons jamais oublier que ce monument historique est la concrétion de la sueur et du sang des travailleurs »
(c’est traduit).
Non mais, il n’était pas écoeuré ce mec?
Nous on a la décence d’y ajouter le pastis.
(C’est pour ça qu’elles sont plus nombreuses à venir, il ne faut pas lire le Daily Telegraph)
« précis du jeune homosexuel grandi en province »
Encore un genre méconnu ?
Quelle est la sociologie des gays des champs et des gays des villes, vous avez étudié la question ?
bouguereau, c’est Boudu sauvé des eaux.
Il se laisse flotter sur le dos, ne craint pas le coup de soleil sur le vide, et respire par un chalumeau.
Evidemment, il y a les cow-boys. Ils ne sont pas belges.
http://www.youtube.com/watch?v=7fe1dzhY_ps
« le coup de soleil sur le vide » > sur le bide
Le régime qui prétend savoir mieux que moi ce que je veux faire, je tousse.
Excellent, de nota.
— Ça permet aussi de relativiser les histoires de couples qui pleurnichent.
Les mots sont parfois pareils, mais on a droit au coup de gueule devant les confidences.
« Mais noie-la, ta grognasse!
Tu attends Closer? »
(Ça se dit aussi au masculin, hein)
(« Supposez qu’il doive », c’est correct?)
(( oui, comme vous le savez, mais c’est assez moche.))
« Par contre, ce dont je suis sûre, c’est de la malveillance qui guide les doigts de certains participants à ce blog »
Je pianote en braille, Clopine, vous n’allez quand même pas vous en prendre à un handicapé?
…
…de quoi que çà cause !,…de quoi que çà cause !,…de la division des classes & des castes sociale,…
…
…mais, qui en veut du » château « ,…au prix de l’entretien,…et du personnel,…à vos couleurs,…qui en veut,…
…
…venez en construire,…
…en plus, c’est pas une blague,…un de mes familier très proche est architecte,…mais qui en veut!…
…je vous dis,…personne !,…
…Oui!,…pour l’été,…une colonie de vacance, un certain cinéma,…des villageois à employez avec leurs frimousses en » badauds « ,…
…les grilles ouvertes,…les grillons qui chantent,…la sieste sous les cerisiers,…
…mais qui en veux du château dans le cul,…
…
…faux voir les conditions,…sur intendant des finances,…tout ces fous-quêtes,…besogneux,…
…
…de plus,…pour quelles » conspirations » les châteaux,…Iznogoud,…amène-toi avec ta tête de lard,…
…deux tranches,…etc,…
…Oui !,…Madame est encore bonne!,…c’est çà,…et ta nièce elle prend du combien,…elle se monte en malle & il n’y a que maille qu’y l’aie,…
…encore un naze des pots de chambre héraldique,…
…alors cette tarte aux cerises,…il m’en restera un bout sur la langue,…
…des châteaux pour se faire chier dessus !,…etc,…
…
« Mais noie-la, ta grognasse!
Tu attends Closer? »
(Ça se dit aussi au masculin, hein)
Cette histoire de piscine vous monte à la tête, U. très cher.
@ Charles et Bouguereau
La parole est agissante, l’écriture aussi. « Aller » permet de faire avec un passé, ça ne signifie pas « oublier ». Et ce changement de nom est de bon augure.
Belle soirée.
« Cette histoire de piscine vous monte à la tête, U. très cher. »
Vous avez raison, bien sûr.
En palmes et bonnet de bain, on ne fait pas plus ridicule.
u. dit: 23 janvier 2014 à 20 h 39 min
« bouguereau (….) respire par un chalumeau »…
…et écrit avec un sanibroyeur.
Il doit être plombier.
Chaloux, vous serez toujours trop bon avec cet animal de bouguereau, seul Melville peut le décrire.
Un coup de harpon, oui.
Et encore, électrique.
On ne va quand même pas mouliner pour le ramener à bord.
…des châteaux pour se faire chier dessus !,…
On en a bien vu faire de l’énhaurme soupe pour planquer l’incitation au crachat à la gueule…
Quelle est la sociologie des gays des champs et des gays des villes, vous avez étudié la question ?
Les vieux cons se ressemblent partout, vraiment pas la peine de faire des études pour ça!
Vous êtes prié de laisser Melville tranquille.
Sans évoquer les vieilles vraiment trop connes qui trimballent leur problème avec les pédés…
…
…de toute façons,…incroyables,…
…le nombres d’homonymes en plus avec le même métier,…
…
…çà devrait tout de même être signaler,…dans un répertoire plus précis,…qui est qui,…origines, date de naissance,…écoles fréquentées,…
…des fois, des gu-gus de pieds nickelés,…en pivots et charnières,…
…l’un travaille et l’autre empoche,…au nez et à la barbe des régularisations des informations,…
…Oui,…€ddy Louis venge sa race,…un pied dans l’édredon,…etc,…
…
u. votre réponse à de nota n’est pas à la hauteur, aucune excellence à cela, seulement du courage, non seuement à le dire, mais en plus à le dire ici !
Je ne suis pas sûr que Daaphnée ait une bonne influence sur vous, hélas !
Bon, n’aimant pas déranger les gens pendant leurs activités professionnelles ou hobbyesques, je vous souhaite une bonne soirée…
Abdelkader dit: 23 janvier 2014 à 2 h 08 min
Je note votre touite sur cette cette histoire de propriete intellectuelle des tweets…ca me rappelle votre breves de blog…a mon souvenir, vous n’aviez demande la permission de personne avant de reproduire leurs propos et d’en faire commerce…certainement pas a moi en tous cas…suis pas litigieux de nature, et vos royalties ne m’interessent pas du tout, je gagne assez bien ma vie, merci a vous, mais un simple SVP ou merci m’aurait suffit, au lieu d’un ‘porter plainte si vous voulez’…pas tres classe tout ca…
Merci Abdelkader pour vos dépôts. Merci Pierre Assouline pour vos relais.
Le narrateur de ce roman, qui ne se veut pas témoignage a voulu comprendre son enfance douloureuse dans un village où la littérature n’est jamais entrée.
bizarre ? peut-être encore une illusion déguisée en flou conceptuel artistique ?
monsieur michu, si vous voulez insulter, merci de pas utiliser mes messages. Assumez, que diable, vos allées et venues dans ce bois parisien.
Dèjà, que ça vole bien bas.
Eddy Louis, dit « belle gueule », a 21 ans.
Je ne comprends toujours pas, pourquoi il serait emblématique d’un nivellement par le bas, d’un problème économique, d’un problème politique d’éducation, d’un problème sociologique, d’un problème de moeurs, d’un problème de langue française.
Un problème personnel familial, des comptes à régler ?
La téléréalité offre pourtant d’autres possibités que l’édition d’un livre que ni « le grand roux », ni « le petit au dos voûté » ne seront à même de lire, si j’ai bien compris le billet.
L’incipit a la puissance des premières phrases de L’Etranger ou des Mots : « De mon enfance je n’ai aucun souvenir heureux »
Voyons, voyons… Et si on se modérait un peu dans l’éloge… Et pourquoi l’incipit des « Confessions », pendant qu’on y est ? Il y a des rapprochements qui se retournent contre celui qu’ils prétendent honorer. Ni le début de « L’Etranger » ni celui des « Mots » ne s’apparentent à ce genre de déclaration ronflante et, au fond, plate et inutile.
« u. votre réponse à de nota n’est pas à la hauteur, aucune excellence à cela »
Et la pudeur, Jacques?
J’ai respiré, après avoir lu De nota.
Si vous voulez, j’ai observé un court silence avant d’écrire la suite.
Parce que De nota, ce n’est pas aujourd’hui que je le découvre, et que mon histoire ne vaudrait pas grand chose, en comparaison, n’allez pas me parler de Cannes.
C’est intraduisible sur la toile, ces choses-là, mais vous devriez le savoir, ou plutôt vous le savez parfaitement!
Bon, je n’ai pas pu suivre le fil de Sophie.
Entre vous et moi, qu’est-ce qui vaut vraiment le coup?
J’en suis au coup d’après, au DVD plus tard, par manque de temps, et là il est trop tard pour réagir.
d’autres possibilités, etc.
Poursuivez.
Giovanni qui soulève le problème de l’entretien des châteaux était bien parti.
…
…et dire qu’a une époque somme toute récente,…on mangeait avec les mains,…et plus,…
…ne parlons même pas des saillies,…
…la jument elle attend Sir,…mettez y du vôtre,…mon nôtre du verbe,…etc,…
…
u., vous avez raison, je serai toujours trop bon avec Bouguereau, quoiqu’on se lasse de la bonté comme du reste. Mais ne parlez plus de Melville, ça réveille Toto. On ne pourra plus le rendormir. Quant à de nota, c’est vrai qu’il est très fort.
Tiens, le charognard s’est réveillé…
Ceux qu’il a fuis
J’imagine une équipe de « Closer » débarquant sans crier gare chez les parents d’Edouard Louis. « C’est vous les monstres? On voulait savoir si vous étiez aussi affreux que dans le livre ». A suivre vingt pages de reportage, avec photos, tronche du père, de la mère, des voisins, avec pastis, sans pastis, avec haine de classe, racisme anti-tout, etc. Romancier, parents du romancier, journalistes(Assouline en tête) et, peut-être aussi, lecteurs, tous au fond du même sac : mon Dieu, pardonnez leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font.
Tout de suite les grands mots, Toto…
Bof, avec une fiente qui n’est pas encore sortie de maternelle il n’y a pas d’assez grands mots…
Si Edouard Louis a dans les 21 ans, et si son roman est, comme le suggère ce qu’en dit Assouline, très directement autobiographique, le papa et la maman sont sans doute bien vivants ( à moins que, depuis la publication du bouquin de fiston, ils ne soient plus morts que vifs); ils ne sont sans doute pas du genre à porter l’affaire devant les tribunaux, comme le firent naguère des gens mis en cause par une Christine Angot ou une Annie Ernaux. En somme, ce bouquin n’est pas moins moralement sordide que ce qu’il dénonce.
Toto, « tout ce qui est exagéré est insignifiant », ce n’est certes pas moi qui le dis, mais un grand esprit comme vous devrait commencer par-là.
(Assouline devrait rebaptiser son blog « Obervatoire des vieux messieurs ». C’est vraiment une mine. Je ne sais pas ce que vous avez tous, après 65 ans, à parler sans arrêt du t.. du c.. et de ce qui va avec, mais je commence à avoir peur de vieillir.)
Des journées, le fait que nous savons tous que vous faites exprès de provoquer insidieusement ne vous dédouane en rien. Simplement, au lieux de parler de sortir les tartes à la crème du genre champs et villes qui me paraissent accessoires en comparaison à d’autres clivages… Si vous tenez à vous la jouer race jusqu’ici inconnue de dinosaure photomaton avec plugin photoshop in the lost world, viscéralement incapable de ne pas chercher à fourvoyer la réalité, possible que l’on en restera là.
…
…des journées pleins les arbres,…poursuivez,…
…deux fois rien,…
…il y a, a mon avis, des gens ou les pouvoirs leurs rentrent comme un gant,…souples et facile,…long style,…
…et, avec le grand mérite, de faire vivre tout le monde,…en harmonie,…sans efforts,…
…
…alors, avec tout les archétypes et filtres des connaissances,…le maître reste le maître même s’il est accoutrer comme un clochard errant,…ou perdu express aux oubliettes,…
…
…mais, Oui,…il faut d’autres solutions pour l’entretient des châteaux,…surtout que les châtelains,…ne peuvent pas prélever l’impôt ou dîme,…avec tout le poids de l’histoire locale sur le dos,…
…
…un ministère des monuments – vivants – habiter,…voilà du travail pour les artisans,…les fenêtres, l’humidité,…les toits,…
…un autre genre parallèle au film,…Le Magnifique avec J.P.Belmondo,…le retour autrement,…dis!,…
…
…vivre au château, et l’armurerie à lustrer,…et j’en passe,…mieux aller se faire voir ailleurs tout le boulot qu’il y a sans fin,…etc,…
…
Que c’est mal écrit… Bref,
au lieu de sortir des tartes à la crème
qui me semblent accessoires comparées à d’autres
Vraiment ennuyeux ce mythomane… ou pianiste du dimanche…
« Je ne sais pas ce que vous avez tous, après 65 ans, à parler sans arrêt du t.. du c.. et de ce qui va avec, mais je commence à avoir peur de vieillir »
Hihihi…
Comme c’est vrai.
Encore quelques années, Monsieur le bourreau!
(Le temps ne fait rien à l’affaire, bien sûr, pour ce qui est du cul)
Le de Nota, qui se fait toujours passer pour une victime, je le connais bien. C’est facile de raconter sa vie sur un blog anonyme, ça mange pas de pain.
C’est son truc, à de nota, de jouer au Calimero en permanence, lui, le seul à avoir tant souffert dans son enfance, lui, l’incompris, le juif errant et j’en passe …
Ca ne l’empêche pas de mentir, de faire semblant, de dire à une femme qu’il l’aime et qu’il veut vivre avec elle pour aussitôt aller en retrouver une autre que bien sûr finalement il aimait aussi. Mais il s’était trompé, le pauvre chéri, vous comprenez, avec son enfance pourrie, il ne l’a pas fait exprès !!
Comment en vouloir à quelqu’un qui raconte pareilles horreurs sur son enfance ! Il a toutes les excuses du monde pour tout se permettre !
On pourrait croire que la souffrance rend empathique et fait mûrir son homme, mais chez lui, que nenni !
Moi aussi, je peux en raconter dans le genre vaudeville à la Hollande, sauf que je n’ai pas la chance de m’appeler Trierweiler. Et le de nota, il m’a foutu complètement par terre, et IL S’EN FOUT d’avoir foutu ma vie en l’air, d’avoir brisé toute la confiance que je pouvais avoir en quelqu’un avec ses faux semblants !!!!
Je me doute que vous vous foutez tous de mon histoire et tant mieux d’ailleurs, mais en attendant, ne vous laissez pas berner par ceux qui sont dans la plainte en permanence, et qui feraient mieux d’aller chez le psy. C’est souvent une manière de cacher leur irresponsabilité.
Un jour, on est adulte, normalement, malheureusement ce n’est pas le cas de tout le monde. Et pendant ce temps-là ce sont les autres qui morflent.
Et comme ce blog est essentiellement destiné à vider son sac avec forces injures et bassesses en tous genres, j’en profite. Ca mange pas de pain, c’est anonyme !
les mythomanes les plus ennuyeux restent ceux qui écrivent des récitatifs pour petits soldats
Ayant subi les assauts répétés d’une érotomane à l’ âge adulte après les coups moraux et physiques de mon père, je suis un vrai moi-gnon!
Pierre Assouline soyez clément lors de votre troisième billet à la suite!
Toto, ce n’est parce que je vous aidé à avouer que vous n’êtes un vaniteux dindon qu’il faut m’en vouloir à ce point-là.
Vous bruliez de faire cet aveu.
Qui sait? Quoi que!
« Ca mange pas de pain, c’est anonyme ! »
Bon pain.
(C’et toi, Véronique?)
La suite des meilleurs :
« C’et toi > c’est toi
(renato qui m’avez appris ce sens de la correction, riez aussi, La prego)
autrement, le viol collectif semble devenir le nouveau sport national en inde, pas de quoi être en-chanté les grands chefs..
C’ est vrai, quoi!
Mon père nous empestait quant il allait au cabinet. Il y restait des heures et la famille qui était nombreuse tapait sur la porte pour y aller chacun à son tour selon ses besoins. Mais il lisait des romans de Simenon dans les chiottes, mon père le cogneur!Et à chaque fois que j’ entends parler de Simenon, cette odeur, là, est toujours présente.
Je n’ ai pas 65 ans, loin de là, mais je me suis posé la question de savoir si le cul collait à force de rester si longtemps sur la cuvette les WC.
« L’Eglise, qui « ne doit pas être autoréférentielle », rappelle une nouvelle fois François – lui-même suivi par plus de dix millions d’internautes sur ses différents comptes Twitter –, doit s’engager sur Internet « pour porter à l’homme blessé » sur la route numérique « l’huile et le vin » : « que notre communication soit une huile parfumée pour la douleur et le bon vin pour l’allégresse », remarque-t-il dans une formule inspirée de l’Evangile. »
Shit,
pour de la formule c’est de la formule … .. .
Religion d’esclave toujours prêt à ouvrir le cul et le gosier !!! !! !.
A volte ridere è la miglior soluzione, u.
Mignon, enfin… dit: 23 janvier 2014 à 22 h 57 min
ce que vous écrivez me rappelle un peu les pages que Raymond Guérin a consacrées à son père.
Hélas, pauvre Chaloux !
L’histoire continue…
http://hyperallergic.com/104706/petition-aims-to-thwart-demolition-of-iconic-rizzoli-bookstore/
Toto, comme d’habitude, vous prenez les autres de toute votre hauteur, mais vous n’êtes pas perché bien haut. Montaigne vous le rappellerait. U. a raison, riez.
Uffa, che barba…
Depuis, je fais ça vite au cabinet, de peur que l’ odeur me rattrape et la littérature avec!
J’ ai essayé la résilience par la pratique de l’ art et je dessinais des sexes lorsqu’un jour je me suis rendu compte que ce n’ était que les colombins fantasmés et refoulés de mon père!
Il cognait avec frénésie, à jeun, il était fou ( « papa, un grand paranoïaque » m’ ont dit mes sœurs qui sont toutes infirmières en psychiatrie! )et j’ étais moi-même le bâton avec lequel il me frappait, je me dessinais frappant/frappé, j’ était la part manquante de son moignon, cette part perdue et coupée en Allemagne en 1944…
La folie au quotidien, du moins lors du retour de son travail. Il cherchait sans doute le bâton qui lui manquait au bas de la jambe pour pour se faire battre, enfants interposés.
Le cas de belle gueule est plus commun et courant que ce que l’ on croit.
Je me demande pourquoi tout le monde prend Chaloux pour un con. Entre peigne-cul et con, y a une différence, bon Dieu !
(Certes, pour ne pas se rendre compte qu’u. se fout de sa gueule, il faut qu’il soit un peu con, mais un peu seulement.)
Chaloux est un lettré.
« Me Frédérique Giffard, l’avocate de Valérie Trieweiler, a annoncé, jeudi 23 janvier, que sa cliente souhaitait « clarifier » la situation de son couple. Quelques heures plus tard, Mme Trieweiler elle-même l’a désavouée, compliquant encore un feuilleton qui embarrasse de plus en plus l’Elysée. »
Bien, le peuple écoute.
« Contactée par Le Figaro, l’avocate de Valérie Trieweiler s’est d’abord exprimée sur la volonté de sa cliente. « Elle souhaite réellement que toute cette affaire puisse se résoudre pour en sortir le plus dignement possible », avait-elle assuré. »
Ça c’est moi, le mec qui sort dignement.
« Visiblement, cette sortie médiatique n’a pas du tout plu à Valérie Trieweiler, qui s’est confiée peu après à Europe 1. « Elle a parlé sans savoir et sans être mandatée. (…) Elle n’est plus mon conseil », assure-t-elle. »
Ça c’est bouguereau.
Sauras-tu dire pourquoi?
Chaloux dit: 23 janvier 2014 à 23 h 02 min
les pages que Raymond Guérin a consacrées à son père.
Ah, Raymond Guérin ! Son père .. bien sûr ..
u. dit: 23 janvier 2014 à 23 h 25 min
Ce post est une parodie « orientée », pour ne pas dire malveillante.
Le cas de belle gueule est plus commun et courant que ce que l’ on croit.
A la différence qu’à toi la merde, à lui le pastis!
Ouais.
Je vois qu’on s’amuse en mon absence. Je n’ai pas le temps de passer tous les commentaires en revue, mais ces posts ne sont pas de moi :
u. dit: 23 janvier 2014 à 21 h 22 min
u. dit: 23 janvier 2014 à 21 h 53 min
u. dit: 23 janvier 2014 à 22 h 36 min
Je fus sauvé comme toi Boudu, le pensionnat, la distance et l’ espérance…
chr. dit: 23 janvier 2014 à 23 h 23 min
C’est là qu’est le problème. Qu’un type comme u. se foute de ma gueule, comme tu dis, je suis capable de l’accepter et même de lui en être reconnaissant, à cause de son intelligence et de sa finesse. Et même, je serais triste qu’il arrête. Pour les petits joueurs comme John Brown, le vidangeur, et quelques autres (dont je me fous à longueur d’année…), c’est une autre affaire.
Mais il va me falloir lire Raymond Guérin.
Chaloux dit: 23 janvier 2014 à 23 h 35 min
je me suis trompé, il fallait lire : »Pour les petits joueurs de merde », puisque c’est leur truc.
Rassurez-vous, Chaloux, u. dit que les posts où il se paie votre tête ne sont pas de lui.
u, vous l’avez peut-être déjà sur votre table, dan le cas contraire :
Enrico Testa, L’italiano nascosto, chez Einaudi :
http://www.einaudi.it/libri/libro/enrico-testa/l-italiano-nascosto/978880621165
u. dit: 23 janvier 2014 à 20 h 34 min
Nous on a la décence d’y ajouter le pastis.
Ha mais pur, hein ! Sinon on n’en finit jamais faut recommencer tout le temps…
D’ une certaine manière, Mignon, enfin…, vous étiez devenu son membre fantôme à votre père?
Il vous battait du pavé si je puis m’ exprimer ainsi.
Chaloux dit: 23 janvier 2014 à 23 h 35 min
le vidangeur
Ha ça c’était bien… Ca se fait plus beaucoup dans les régions inexpliquées, mais alors c’était vraiment très bien pour tout le quartier… Naturellement Louis l’Apollon il traduirait ça lui en musique…
Boudu sde dit: 23 janvier 2014 à 23 h 51 min
En quelque sorte, oui, j’ étais une partie de sa jambe et son pied…Mais ce n’ était vraiment pas le pied pour moi!
( Bonne nuit.)
…
…heureux,…
…assis devant l’écran,…
…les pieds dans une bassine d’eau chaude,…
…à côté d’un radiateur électrique,…
…heureux,…
…vous dites!,…tout a fait de votre avis,…
…je ne signe pas, dans les moments d’extases!,…
…agréable,…comme dirait,…D,…s.v.p,…ne m’emmerdez pas!,…
…vouvoyons-nous,…etc,…à la rose,…et les corps-nichons,…Oh!,…la vache!,…etc,…
…
Giovanni Sant’Angelo dit: 24 janvier 2014 à 0 h 05 min
…les pieds dans une bassine d’eau chaude,…
Ha là c’est les cors-bacs alors ! Qui mugissent sur nos plaines…
« L’arpenteur du Nord-ouest dit: 23 janvier 2014 à 23 h 44 min
Rassurez-vous, Chaloux, u. dit que les posts où il se paie votre tête ne sont pas de lui. »
Ça, c’est un peu pervers, bien sûr, quoique sans gravité.
Si vous êtes encore là, Chaloux, ça me rappelle le discours naguère dominant « Il n’y a pas de métalangage, etc. ».
Il ne sert à rien de dire: « ce n’est pas moi ».
Sur un blog, je l’ai appris, il faut de quelque manière toujours le prouver, puisqu’on ne demande pas à une instance policière de mettre toutes les cartes sur la table (mais on peut, bien sûr, certains de nos camarades préféreraient finalement cette solution).
Il faut donc non pas nier simplement, mais prouver soi-même, par un développement construit ou au moins cohérent, qu’on est bien Dugomeaux, etc.
Quel ennui.
Ce qui m’a frappé faisant l’expérience d’un blog (je ne connais que celui-ci), c’est la possibilité qu’en dépit des images, forcément virtuelles, les affects générés par de telles idoles pouvaient être (eux) fort réels.
On déçoit (pour des foutaises), on blesse (pour des bêtises), on inquiète (sans savoir), etc.
Allons, c’est une épreuve!
Prouvons à l’ami et à l’amie que nous sommes bien là, ironique mais sans duplicité.
Conséquents dans la durée alors même que les ami/es ont des expériences et opinions contraires, et parfois incompatibles.
Ce n’est jamais gagné.
Ça veut dire quoi?
Un certain bavardage (la durée)? une singularité de style (« c’est moi, c’est moi! »)?
Pour marquer son p’tit terrain en levant la patte?
C’est dérisoire, bien sûr.
Alors quoi? Alors rien.
Sinon l’exercice, l’expérience, comme nos ancêtre les primates.
Qui es-tu? C’est bien toi? Hostile ou amicale?…
Avec la durée on sait ou on doit savoir.
Bon, moi je n’ai aucune théorie, et du boulot à faire avant de cogner l’oreiller, mais…
le fait que Chaloux ait supposé la possibilité que je me moque, etc, etc…
montre que le malentendu est au coin de la rue.
Peut-être inévitable.
Mais pas nécessairement définitif.
Et merde, je m’aperçois que je parle comme un vieux sage.
Allez tous vous faire foutre.
Si l’on se tient à l’opinion de Kraus c’est inquiétant…
U;, je passe avant d’aller me coucher. Je n’ai pas sérieusement émis cette possibilité. J’ai tenté d’expliquer à un moucheron qui décidément ne veut pas me lâcher (était-ce pas ce bidet de John Brown?) que si c’était le cas, il y aurait de toute façon distinction, parce qu’il y a élection. Affinités électives. Rien ne vaut les affinités électives. Je le sais quand je vous lis.
pour renifler ou afficher au balcon la belle soie « pas moi, tati pas moi », voyez par vous-même ou pas, jamais eu envie de concourir pour qui a les plus beaux et les plus nombreux lèche-cul, bonne nuit..
u. dit: 24 janvier 2014 à 0 h 18 min
Pour marquer son p’tit terrain en levant la patte?
Ha là les tigres blancs de Sibérie ils font pas ça ils font que gueuler, seulement cela s’entend à huit kilomètres ! Evidemment là aussi faut de l’organe mais on gagne bien en portée…
Je vais me coucher…avec Barrès. Gréco ou le secret de Tolède reste un beau livre.
Barrès l’a dédié à Robert de Montesquiou d’une manière bien amusante et même prophétique.
« Au Comte Robert de Montesquiou. Au poète, à l’inventeur de tant d’objets et de figures rares, à l’un des premiers apologistes du Gréco et qui lui-même trouvera quelque jour son inventeur et son apologiste. Hommage amical de son admirateur ».
Quand on sait qui fut « l’inventeur et l’apologiste », on se dit que ces quelques lignes sont déjà d’une intuition géniale.
…
…Sergio,…
…déjà essuyés les pieds,…et l’eau est jeter!,…
…je me débrouille tout seul,…puisque seul,…et autonome,…voilà,…
…j’aime mes pieds,…à juste titre!,…etc,…
…
seulement cela s’entend à huit kilomètres !
oh je me marre.. en pensant aussi au « besoin d’être aimé » (certains deviennent vraiment cons quand on leur a mis une idée dans la tête) de certaines grosses pour lesquelles cela doit faire le tour du monde..
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=ASoh7nKUXxY#t=106
Après la ménagère de moins de cinquante ans un nouveau genre érotique à destination des 18-25 ans venu d’outre Atlantique débarque en France et Passou ne nous en dit rien ?
Kiev s’embrase : un printemps (arabe) en hiver ?
Chauffe Marcel !
quel fils ingrat! moi mon père n’a accepté de m’offrir mon premier scooter (rose) que pour mes soixante dix ans, ma mère m’a bordé dans mon lit jusqu’à mes quatre-vingts ans, eh bien je ne leur en ai jamais voulu au contraire, ça m’a donné une bonne base pour réussir dans la vie, sans laquelle je ne serais pas le super man que je suis devenu, admiré de tous et toutes
Salopes de victimes dit: 23 janvier 2014 à 22 h 40 min
« Et comme ce blog est essentiellement destiné à vider son sac avec forces injures et bassesses en tous genres, j’en profite. »
Injures ? Bassesses ? Vider son sac ? Vous voulez rire, salopes ! …
Ce blog est de la qualité Prestige Littéraire pur jus, animé par un critique, un écrivain de premier plan entouré de ses fidèles compagnons, bien loin des turpitudes imaginaires que vous inventez sous nos yeux admiratifs.
S’il y a, par ci par là, quelques méchancetés, quelques cruautés, quelques piques mortelles, elles sont si finement glissées par le taulier que même une proustienne expérimentée, ou se croyant telle, ne les voit pas.
En outre, quoi de plus ennuyeux qu’une enfance heureuse ?
« Arrêtez d’accabler votre voisin de rame ! Ce n’est pas seulement sa faute. Dans le métro parisien, les mauvaises odeurs sont plus subtiles »
http://rue89.nouvelobs.com/2010/02/25/mais-pourquoi-ca-pue-autant-dans-le-metro-parisien-140401
REVIENS FRANCOIS ECLAIRER MA LANTERNE
(paroles : Valerie T. / musique : Garde Républicaine)
J’ai retrouvé la chambrette d’amour
Témoin de notre folie
Où tu venais m’apporter chaque jour
Ton baiser, ta rondeur jolie
Et chaque objet semblait me murmurer
Pourquoi reviens-tu sans lui ?
Si ton ami un jour fut infidèle
Il fallait lui pardonner
Dans mon cœur tout ému des souvenirs anciens
Une voix murmura : Reviens ! !
Refrain
Reviens !, veux-tu ?
Ton absence a brisé ma vie
Aucun autre, vois-tu
N’a jamais pris ta place en notre petit nid
Reviens !, veux-tu ?
Car ma souffrance est infinie
Je veux retrouver tout mon bonheur perdu
Reviens !, François !, veux-tu ?
J’ai retrouvé ta photo de Gayet
Qui m’annonçait la rupture
Et ce billet que sa main a tracé
A rouvert l’ancienne blessure
Je le tenais entre mes doigts crispés
Hésitant à le détruire
Puis brusquement, craignant de le relire
Dans le feu je l’ai jeté
J’ai détruit le passé, il n’en reste plus rien
Tout mon cœur te chante : Reviens ! !
Refrain
Reviens !, veux-tu ?
Je veux vivre ta vie
Aucune autre, vois-tu
N’apportera tant de joie à ton vit
Reviens !, veux-tu ?
Car mes conseillers chôment !
Je veux retrouver tout mon lustre perdu
Reviens !, François !, veux-tu ?
mon père me donnait des grands coups sur la tête avec les encouragements de ma mère, j’adorais ça
« Chanel N°5. Sans rire ! Les parkings attenants sont désodorisés avec un mauvais parfum du type Chanel N°5 ou Rive Gauche d’Yves Saint Laurent. Ce qui donne le sentiment que la station est fréquentée par du beau monde. »
51 c’est comme ces empafé de viennoiserie qui brumise une odeur de beurre alors que tout est fait au suif..je propose une odeur de cul en plus clopine..ça ça srait parisse..l’absolute magdaléna
et pas que de tête jicé..
En outre, quoi de plus ennuyeux qu’une enfance heureuse ?
l’ennui, mais y’a rien de plus formateur jicé
Bon, moi je n’ai aucune théorie, et du boulot à faire avant de cogner l’oreiller
roohoo l’zouzouz core un peu il nous l’reprochrait..ou peut être qu’il montre là le sacrifice qu’il fait pour nous..sapré zouzou
l’odeur de tabac froid qui imprène les vêtements de passagers du rer a et de bus, c’est mortel
Ce matin, un homme sort de prison, trente-huit ans après son incarcération : c’était, nous dit-on, la plus longue réclusion en France.
La horde de journalistes qui l’attend à la sortie le fête à l’égal d’un ex otage enfin libéré : « C’était l’enfer », leur déclare-t-il, ému !
Mais pas un journaliste d’information n’a songé à nous éclairer sur les raisons qui lui avaient valut cet enfermement exceptionnel !
VATICAN NEWS
Horrible nouvelle pour le pays !
Pépère Ier n’a été à Roma que pour échapper à ses ex-favorites, se retirer de la vie publique, passer les examens théologiques, et devenir Cardinal chargé de mettre de l’ordre dans la Curie Romaine…!!! Il sera ordonné ce matin.
Depuis cette annonce, de nombreuses conversions athées sont enregistrés au Vatican, de catholiques qui paraissaient sûrs de leur foi.
Son dauphin au trône présidentiel français, désigné avant son départ, surprend les spécialistes : Benoit Hamon !
Julie Gayet va devoir patienter un certain temps avant de faire son entrée triomphale à l’Elysée ?
Valérie Trierweiler, que l’on croyait anéantie de chagrin, refuse avec la plus grande énergie à lui céder la place et s’accroche obstinément à son fromage !
Je vais me coucher…avec Barrès. Gréco ou le secret de Tolède reste un beau livre. (Chaloux)
On est heureux d’apprendre que Chaloux couche avec Barrès. Chaloux est la Colette Baudoche de la RdL. Après tout, c’est une façon comme une autre de ne pas se retrouver tout seul dans son petit dodo. quelques pages de Barrès, la petite branlette du soir, et puis notre Chaloux sombre dans un sommeil peuplé de rêves bleus : Robert de Montesquiou l’encule, Marcel lui touche le pipî , etc. etc. De confidence en confidence, de brimborion en brimborion, Chaloux encombre les fils de la RdL de sa fétide présence, se berçant de l’illusion qu’on peut s’intéresser à lui. Chaloux, quel nom… Chez Bouguereau, Chaloux se transforme en Cheuloux, dévoilant ainsi sa triste vérité, ce qu’il y a de pitoyablement torve, d’ignoblement baveux chez ce gnome rampant, larve immonde qu’on écrase du talon. Le tapettoïde Chaloux incarne, jusqu’à la caricature, ce qu’il y a de plus dégradant chez les humains : l’illusion qu’on peut s’intéresser à vous.
J’ai vu deux pipelets en bas de chez moi, alors je viens faire le 3ème.
Valérie part en Inde, vers Brahma et le petit éléphant Ganesh.
Avec son coquin au Vatican, notre univers religieux est en train de basculer!
l’illusion qu’on peut s’intéresser à vous. (mézigue)
Non, pas exactement : la conviction qu’on DOIT s’intéresser à vous, puisque vous êtes Chaloux… euh, non… Cheuloux… Beurk
« De mon enfance, je n’ai aucun souvenir heureux ». Tout le roman y est déjà condensé. Une force et une faiblesse, car on pourrait se dire : à quoi bon le lire alors ?
Elle est vraiment incroyable et stupéfiante cette remarque ! Car enfin, imaginons plutôt un roman qui dirait : « De mon enfance, je n’ai que des souvenirs heureux ». Vous iriez lire cette daube, vous autres ?
Serait-il d’ailleurs possible qu’un éditeur assez niais aille éditer la recette du bonheur avec l’espoir d’entrer son auteur dans la Pléiade un jour ?
Il n’y a que du malheur, de la blessure ou de la faille transcendés, ouigre, qui aient vocation à produire (éventuellement) de la bonne littérature. Je n’en connais pas d’autre substrat.
Et si l’on se risque éventuellement à lire le roman de Sigmaringen, comme c’est mon cas, c’est donc pour deux raisons : 1 – parce qu’on sait bien qu’on va y pressentir et trouver les tourments intimes de Passouline, 2 – & parce qu’on entretient avec la RDL une sorte de charité compassionnelle implicite au nom du fait qu’elle existe… donc, tant mieux si ce nouveau roman leur rapporte un peu d’argent, à lui et à son éditeur…
Mais pour le reste, pas d’histoire ! pas d’hypocrisie, SVP ! Que Passoul ne nous raconte surtout pas sa vision du bonheur dans un roman ou un récit, pouah…, on passerait immédiatement notre chemin. T’imagines le voir se mettre à nous raconter son dernier coup de foudre pour Mouchette !
internet est un don de dieu
jachques c ne parlera plus en public
Frère Brown !
Je vous supplie, au nom de Dieu le Miséricordieux et de son berger le FMI, de vous arrêter d’ennuyer, d’injurier, d’accabler, votre frère le sérieux, l’habile, le mélomane, Abbé Chaloux.
Allez en paix, mes bien chers Frères !
« Avec son coquin au Vatican, notre univers religieux est en train de basculer! »
jamais l’instytutteur il sra cap’ de remplacer le curé il gagne pas assez
Bernadette est un don de la Vierge Marie
Cardinal de Hollande….. dit: 24 janvier 2014 à 10 h 39 min
Frère Brown !
Je vous supplie, au nom de Dieu le Miséricordieux
Ben quoi ? Et ma culture physique matinale ? Si Chaloux n’existait pas, il faudrait réinventer le punching-ball.
» un roman qui dirait : « De mon enfance, je n’ai que des souvenirs heureux ». »
ça serait louche, pas crédible
hier 21 h 05 : ta gueule Christiane
Et vous, JC, vous sentez-vous aussi des affinités électives avec Chaloux, comme votre ami u. ?
Si l’atome est crochu, l’affinité, elle, est queutive.
Alberto Arbasino invite à imaginer la rencontre du père de Kafka et de la mère de Gadda dans un sanatorium autrichien… c’est vrai que compte tenu du travail des deux écrivains, l’exercice pourrait donner une belle pièce pour le théâtre…
« Aller » permet de faire avec un passé,
par la simple écriture?! vous rigolez!
Je suis à deux doigts de monter avec une grande agence de voyage, un Tour Operator dans la région d’Abbeville, contant au monde émerveillé de tant de noirceur, l’histoire malheureuse de ce chérubin joli, le « EDDY LOUIS HORROR SHOW ».
Ouvrage relié pleine peau de zébu, dédicacé par Papa et Maman les monstres, apéro à la maison de l’Enfer, visite d’usine avec saynète jouée et chantée par les ouvriers « Le Laiton, c’est coton ! C’est pas fait pour les cons… », récit en direct live du cousin Joe l’Enculeur, bref tout ce qui préfigure une comédie musicale à succès…
Pas belle la littérature de confessionnal ?
@Christiane « une réalité floue, obscure, presque imaginaire comme sont les souvenirs que l’on veut rejoindre »
ben voyons!
la littérature de confessionnal ?
on se marre bien à écouter vos conneries à confesse
Pasolini dit que l’histoire c’est la passion des fils qui voudraient comprendre les pères. Et si ce sont les pères qui voudraient comprendre les fils, on parle de quoi, de « fin de l’histoire » ?
Rigobert Lheureux dit: 24 janvier 2014 à 11 h 01 min
« Et vous, JC, vous sentez-vous aussi des affinités électives avec Chaloux, comme votre ami u. ? »
C’est impossible ! Chaloux est un exemple si haut placé dans l’échelle de mes valeurs erratiques…Intouchable !
Mignon, enfin… dit: 23 janvier 2014 à 23 h 18 min
la part manquante du moignon : la main ?
http://aevigiran.over-blog.com/5-categorie-12491642.html
ou bien aut’chose ?
« puisqu’on ne demande pas à une instance policière de mettre toutes les cartes sur la table »
Point n’est besoin de police : une simple inscription préalable suffirait. Et une adresse mail valide ne serait même pas nécessaire : chaque pseudo serait associé à un certain mail qui, même s’il est faux, deviendrait une sorte de mot de passe.
Mais peut-être est-ce difficile à mettre en place.
>nom mais attends un peu :
et si au lieu d’aller chercher les solutions ailleurs tu les cherchais chez toi, in situ en ton for intérieur ?
(à la gendarmerie des blogs qui empêcheraient n’importe qui de faire plein de c….).
[Quand t’es trompé, t’es trompé.
Ça sert à rien de pardonner.
L’avait qu’à réfléchir avant l’autre couillon.]
On peut vivre avec quelqu’un sans vivre avec : c’est hyper reposant.
Moi j’aime bien.
J’aime tout court.
J’aime Court.
J’ai ciré toutes mes chaussures d’hiver.
Je pars chez la veto. avant qu’elle ne ferme.
Pour mon chat que je n’ai pas le droit d’amener sans panier (problème).
Je n’ai pas 3000 paires de chaussures comme Céline Dion ; si j’insistais je serais jalouse (mais je n’insiste pas). J’ai passé la matinée à cirer mes chaussures.
Nickel chrome.
rose dit: 24 janvier 2014 à 11 h 22 min
J’aime Court.
Bien à vous.
3642 mille pseudos seraient associés à 3642 mille pseudos.
Je vois pas l’intérêt alors que t’es un et indivisible.
« Mais peut-être est-ce difficile à mettre en place. »
Absolument pas difficile… plutôt facile, même… ce n’est qu’une question de volonté…
Mais un pseudo = une adresse mail = un individu.
Pour toi ça passe pas.
Pour moi ça passe.
J’ai ciré toutes mes chaussures d’hiver.
Pour mon chat que je n’ai pas le droit d’amener sans panier (problème).
(rose)
Le problème est réglé : mettez-le dans une boîte à chaussures.
Si ça passe pour un ça peut passer pour l’autre. Sauf un riche dans le chas d’une aiguille.
Mais je pense que t’as eu une augmentation de salaire pour être aussi heureux. Je ne vois rien d’autre qui pourrait te rendre autant heureux.
Trop gros : je vais le mettre dans mon panier à provisions recouvert d’un torchon comme si j’allais voir ma grand-mère : sinon je vais me faire engueuler et je déteste cela.
« je vais le mettre dans mon panier à provisions recouvert d’un torchon »
Excellent. Comme ça il sera mort étouffé en arrivant chez le véto, vous ferez des économies.
« je vais le mettre dans mon panier à provisions recouvert d’un torchon comme si j’allais voir ma grand-mère » (rose)
Avec Brown en grand méchant loup?
Pardonnez-moi d’intervenir, mais un chat ça se met souvent dans la gorge.
(Profonde ? Pourquoi profonde ?….)
Lu dans « le Monde » cette pub pour le dernier opus de Tahar Ben Jelloun :
» Tout est cru, lucide, terrible dans ce récit de l’ablation de la prostate »
Encore heureux qu’il ne nous la serve pas toute cuite.
Avec Brown en grand méchant loup? (u.)
Pousse-au-crime, va. Mais j’y pense : Rose en Blanche-Neige, quel délicat appariement de couleurs. Eh eh eh…
Rose en Blanche-Neige, quel délicat appariement de couleurs. Eh eh eh… (mézigue)
Miam !
Sans aller chercher dans le luxe (40 €), on trouve un bon panier pour le transport du chat entre 7 et 15 €…
renato dit: 24 janvier 2014 à 11 h 43 min
chercher dans le luxe (40 €)
TKT rigole.
Je suis allé une fois dans une clinique pour chat, c’est le nom du chat qu’ils enregistrent, avec photo, etc.
En salle d’attente, c’est les chats qu’ils appellent, c’est mortifiant.
« Gros Calin, s’il vous plaît », Dugommeau ils s’en foutent.
Les propriétaires de ces bêtes se regardent sourire en coin et échangent des salades, sans aller malgré tout jusqu’à se renifler le cul.
Le grand méchant loup et la petite fille avec un panier, c’est le petit chaperon rouge, John Brown, pas Blanche-neige.
disparu de la RDL, Court : bouillon !
« Les propriétaires de ces bêtes se regardent sourire en coin et échangent des salades » (u)
Vous confondez les chats et les escargots.
Encore heureux qu’il ne nous la serve pas toute cuite
excellent dirait clopine..que dirait lassouline qui est pas habitué aux plats de la campagne..? pas mauvais ?
sans aller malgré tout jusqu’à se renifler le cul.
excellent dirait clopine..mais que dirait..? « un peu fort! » ?
Johnnie,
C’est un sensible ce Tahar !
Une bricole son ablation, pour un type qui a lui vécu …
Je vous ai dit que j’étais né en 1922 d’une mère albanaise et d’un père inuit ? … En 29 pour survivre à la ruine j’ai vendu un de mes reins, … en 39, l’autre pour accueillir convenablement nos frères germains et collaborer en affaires… en 40 on m’a ablater la prostate et la rate, … en 58 j’ai perdu une burne à Alger dans la fermeture intempestive d’une portière de ma Dauphine que j’avais ramenée d’Indochine…en 68 l’autre sur les barricades germanopratines, ….en 81 un œil devant la TV en voyant apparaître la gueule de l’ami de Bousquet sur minitel, ….en 2007 l’autre, à la nouvelle de l’agitation à prévoir …et une main main bouffée par une urne carnivore…… en septembre 2013, un altermondialiste écologiste m’a poussé sous un RER : j’ai été amputé des deux jambes, Innocenté, le mec… lors d’une manif pour le Mariage contre Tous, j’ai été brulé au second degré par les cops !…
Vous voyez : c’est vraiment un sensible, ce Ben Jelloun ! Une prostate, la belle affaire !
Le coup du miaulement du chat dans le bus, c’est ça qui est bon pour le vivre ensemble.
C’est les bêtes qui vont faire le lien dans une société qu’on détricote.
Attention quand même, rose, à limiter la familiarité.
C’est comme les loupiots, on part avec un, on revient avec deux.
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