de Pierre Assouline

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Eddy Louis venge sa race

Eddy Louis venge sa race

Bellegueule est son vrai nom. Un nom de dur insupportable à porter pour celui qui ne l’a jamais été. Le dur comme archétype de la virilité, le vrai garçon, qui se bat, qui aime les filles et joue au football. Ce qu’il n’est pas. Le nom de son père, coléreux, alcoolique, obèse, violent, ordurier, raciste. Et homophobe, cela va de soi. Un ouvrier de l’usine de laiton qui fait vivre toute l’usine, à une quinzaine de kms de la ville, de nos jours quelque part en Picardie. La mère ne rattrape pas le père : «« C’est une femme en colère, cependant elle ne sait pas quoi faire de cette haine qui ne la quitte jamais ». L’incipit a la puissance des premières phrases de L’Etranger ou des Mots « De mon enfance je n’ai aucun souvenir heureux ». Tout le roman y est déjà condensé. Une force et une faiblesse, car on pourrait se dire : à quoi bon le lire alors ? Important, le nom. Ce n’est pas le problème mais presque. D’ailleurs, l’épigraphe tirée de Marguerite Duras le dit déjà : « Pour la première fois mon nom prononcé ne nomme pas ». Ainsi Edouard Louis plante-t-il le décor de Pour en finir avec Eddy Bellegueule (220 pages, 17 euros, Seuil), son premier roman à 21 ans, découvert et révélé par l’éditeur René de Ceccatty.Brooklyn1947

Tiraillé entre l’amour de ses parents et leurs insultes, il est dans la plainte et la honte mais ne le nie pas. L’injure a beau être répétitive, on ne s’y habitue jamais. Les mots des autres ne parviennent pas à se former autrement que par ce biais. Là s’inscrit déjà la violence de son enfance. Un catalogue de haines, celle des autres et celle de soi. L’injure, c’est comme les coups. Impossible de s’y faire. Même si elle revient tous les jours, à heure fixe, dans un couloir du collège, entre deux crachats à la figure, ou à la table familiale – si on peut appeler ça ainsi, car chez eux, on ne dîne pas : on mange quand on ne bouffe pas, en regardant La roue de la fortune. Des pauvres que la pauvreté supérieure de leurs voisins consolait et rassurait au point de leur autoriser un mépris de classe. Le narrateur de ce roman, qui ne se veut pas témoignage a voulu comprendre son enfance douloureuse dans un village où la littérature n’est jamais entrée. La cruauté des adolescents entre eux. Un monde d’invisibles où la violence est permanente. Pas un témoignage. A table, Eddy est réduit au silence : sa sexualité est inaudible car indicible, mais on ne voit qu’elle et on n’entend qu’elle. Gestuelle d’efféminé, timbre de voix aigu. Une folle congénitale à ce qu’ils disent.

« Le fait d’aimer les garçons transformait l’ensemble de mon rapport au monde, me poussait à m’identifier à des valeurs qui n’étaient pas celles de ma famille ».

On promet le collégien au lycée d’Abbeville, comme tout le monde dans le coin. Mais sa passion du théâtre lui fait espérer le lycée Madeleine-Michelis d’Amiens. Même pour cette filière « art dramatique » au baccalauréat, dont sa famille ne veut pas, il doit se battre. Le prix à payer pour mettre son père et les siens à distance. Là commence l’inversion de toutes les valeurs. Son livre est l’histoire d’un roman en train de s’écrire. Eddy est constitué par les autres (« sale tantouze ! ») avant de se réapproprier lui-même. Avec les pierres qu’on lui balance il construit sa maison. Air biblique connu, mais joué par lui, il prend des accents poignants. Il a conscience de la transgression mais elle est seconde par rapport à l’abjection. Exclu et persécuté (Paris-capitale-gay ne fait pas oublier que l’homosexualité se vit difficilement en province, et plus encore dans la province de la province), il transgresse sans le faire exprès car il ne sait pas pourquoi il est comme ça, pourquoi il prend goût à mettre des robes, pourquoi il a aimé se faire sodomiser pour la première fois à dix ans par son cousin.

Pour en finir avec Eddy Bellegueule entre en résonance avec les textes d’Annie Ernaux, même si la race qu’Edouard Louis entend venger n’est pas la classe des gens de peu/petites gens (ad libitum) mais celle des pédés/gays/homos (ad libitum), et Retour à Reims de Didier Eribon qui en est le dédicataire –ce qui doit le rendre fier et lui donner un coup de vieux. Mais il doit aussi à la sociologie selon Bourdieu (heureusement cela ne se voit ni ne s’entend) dont il dit qu’elle lui a permis de ne pas juger ses personnages. Son livre est en colère, sous l’influence de Thomas Bernhard mais sans ses harangues, pour faire de la violence un espace littéraire. Deux niveaux de langage alternent en permanence sous sa plume : le sien en caractères romains, celui des autres en italiques. La violence de la grossièreté fait ainsi irruption en permanence dans une littérature apaisée; l’une et l’autre forme s’enchevêtrent parfois donnant la mesure de ce qu’il y a encore d’Eddy en Louis. Il est marqué par les odeurs. Pas de celles qu’exhale un champ de lavande dans le Lubéron, mais « l’odeur du cri de mon père », ou celle d’un homme au souffle de bœuf mêlé de pastis, ou encore l’odeur des corps nus déjà marqués par leur classe sociale :

« J’aurais voulu rendre palpable cette odeur, pouvoir la manger pour la rendre plus réelle »

Il y en aura pour lui faire un procès en misérabilisme. Mais qu’attend-on d’un écrivain qui vient de là ? Qu’il en parle comme Nathalie Kosciusko-Morizet du métro ? Le charme discret du dénuement ? Ca pue plus encore que ce que cela prétend désigner. Edouard Louis a écrit son livre comme on écrit un mot d’excuses. S’excuser autant qu’excuser les autres. Ceux qu’il a fuis. Sans en tirer gloire. Car la fuite n’est pas nécessairement une manifestation de lâcheté. Fuir est parfois plus difficile que résister.

(photos Jean-Pierre Bertin-Maghit et Henri Cartier-Bresson)

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commentaires

1 294 Réponses pour Eddy Louis venge sa race

Madame de Valognes dit: 24 janvier 2014 à 11h08

Il est vrai que Court sur pattes a une haute considération pour lui-même et ne vient pas se frotter ici à tous ces palefreniers !

JC..... dit: 24 janvier 2014 à 11h09

« C’est comme les loupiots, on part avec un, on revient avec deux. »

Camarade u., je connais des filles qui étaient venues sans et qui sont reparties avec… C’était avant Coraline Froufroureste et les femelles ukrainiennes, œuf corse !

JC..... dit: 24 janvier 2014 à 11h12

Madame de Valognes,
Se frotter aux palefreniers ? Louis II l’a fait… pourquoi pas notre Court ?

u. dit: 24 janvier 2014 à 11h12

 » j’ai été amputé des deux jambes, brulé au second degré par les cops  »

– « Même pas mal », que j’ai dit à une rombière qui voulait me serrer le crochet.

John Brown dit: 24 janvier 2014 à 11h14

Chaloux me manque. Pourquoi Assouline a-t-il enlevé la photo où on le voyait en pleine séance de shadow-boxing ? Comme enseigne, c’était plus adéquat que ce cliché où il arbore un air faussement mélancolique. A mon avis, il n’en pense pas moins. Mais si mais si.

bouguereau dit: 24 janvier 2014 à 11h16

Vous voyez : c’est vraiment un sensible, ce Ben Jelloun ! Une prostate, la belle affaire !

..et alors ! qu’il aurait dit lassouline

John Brown dit: 24 janvier 2014 à 11h24

Le grand méchant loup et la petite fille avec un panier, c’est le petit chaperon rouge, John Brown, pas Blanche-neige. (Rho)

Je m’y perds, moi, parmi toutes ces gamines prépubères. Miam. Gloup. J’ai toujours compris « le Petit Chaperon rouge » comme une fable pédophilique déguisée. Scrunch. Pourquoi l’Assouline, au lieu de nous parler de ce roman sinistre, ignore-t-il les confessions de Matzneff ? Discrimination.

papa dit: 24 janvier 2014 à 11h28

Et si ce sont les pères qui voudraient comprendre les fils

non mais ça va pas?! Plutôt crever! ou alors faut qu’il demande pardon !

rose dit: 24 janvier 2014 à 11h34

Griffée.
Et voilà.
Sans rendez-vous l’après-midi.
Et m.
Je suis contre les paniers pour chats.

christiane dit: 24 janvier 2014 à 11h35

charles dit: 24 janvier 2014 à 11 h 11 min
Il y a toujours une part d’imaginaire dans nos souvenirs…

rose dit: 24 janvier 2014 à 11h35

C tendance : les vœux pour le chat aussi.
« Bonne année Bigou ».

Serrer le crochet, ou l’écorché ?

Non, couture.

rose dit: 24 janvier 2014 à 11h38

Le type, là en gros plan chaque fois que j’allume mon ordi. fait un saut de l’ange. Normalement pour être en représentation, comme M. Farmer et épater la galerie comme M. Farmer et être tout le temps à poil comme M. Farmer faudrait que le plongeoir fasse/soit à dix-huit mètres.
Standart pour les jeux O. Comme M. Farmer.

charles dit: 24 janvier 2014 à 11h46

Christiane
Il y a toujours une part d’imaginaire dans nos souvenirs

Dans le cas de ce livre (cet auteur) souvenirs semble bien léger

charles dit: 24 janvier 2014 à 11h47

Christiane
Il y a toujours une part d’imaginaire dans nos souvenirs

Dans le cas de ce livre (cet auteur), l’emploi du mot « souvenirs » semble bien léger

rose dit: 24 janvier 2014 à 12h03

Si je le vois.
Ce qui peut rendre autant heureux.

Je ne sais pas, honte à moi, tendre des perches.

JC..... dit: 24 janvier 2014 à 12h24

« Le type, là en gros plan chaque fois que j’allume mon ordi. fait un saut de l’ange.  »

Meuh, non Rose ! …
C’est pas un saut de l’ange : c’est une vieille photographie, photoshopée récemment. Le type est un copain priapique et pédophile, Raymond Lulle, qui fait la toupie turque sur son zboub effacé, devant une belle jeunesse innocente qui ferait mieux de travailler sur l’économique à l’école…

christiane dit: 24 janvier 2014 à 12h41

charles dit: 24 janvier 2014 à 12 h 47 min
Ne pas oublier le face à face de deux écritures, le sous-titre « roman » (et non pas autobiographie), le temps passé depuis l’enfance. Des faits, des actes émergent, d’autres sont oubliés. Et il n’est pas certain, comme je le lis dans certains commentaires, que ce soit dans un « règlement de comptes » vengeur concernant les parents. Longtemps l’enfant baigne dans un flou : c’est sa famille (dans ce cas, la répulsion, la gêne cohabitent avec une possible tendresse). Bazin a bien exploré cette ambiguïté.
Ce qui est remarquable c’est cette distance qu’il a mise dans sa vie avec son passé, ce chemin différent de celui qu’il aurait pu prendre, cet épanouissement dans le monde des idées, de la culture.
Quant à l’écriture, je ne peux encore la juger n’ayant pas lu le livre (mais quasiment toutes les critiques le concernant, il semble que l’exactitude des éclats du langage des siens – mis en mémoire – soit offert sans édulcoration.
Les critiques sont positives. Ce livre étonne, ébranle, est jugé remarquable.
Merci de m’avoir répondu plus posément que Bouguereau…

des journées entières dans les arbres dit: 24 janvier 2014 à 12h51

Le problème d’Eddy, c’est qu’il insulte grave l’avenir. Le sien.
Il faudrait aussi chercher à savoir pourquoi dans les établissements d’enseignement français, mais pas uniquement, la sélection par les maths est prisée pour accéder aux études longues. Plus prisée que l’aptitude à l’histrionisme, par exemple.

u. dit: 24 janvier 2014 à 12h59

J’ai bien connu Raymond, JC.
Une sacrée tchache.
Il voulait nous faire croire qu’il avait lu la Cabbale.
Il était ficelle, aussi.
Ce n’est qu’aujourd’hui je peux lui dire: Raymond, tu es un imposteur.

JC..... dit: 24 janvier 2014 à 12h59

D’un point de vue artistique, et financier, les maths c’est l’Idéal … d’un point de vue de la nature, Eddy c’est un loupé grave.

Raymond dit: 24 janvier 2014 à 13h05

u. dit: 24 janvier 2014 à 13 h 59 min
Raymond, tu es un imposteur.

Absolument pas ! Je certifie que tous les posts signés Raymond sont de moi.

Phil dit: 24 janvier 2014 à 13h15

Cette histoire pédophiliqueuse fait souvenir du père Matzneff, comme le rappelle plus bas johnbrown.
Certes, le Yul Brynner de la littérature a moins la cote auprès des « éditeurs découvreurs » que les crevettes en caleçon.

charles dit: 24 janvier 2014 à 13h43

Christiane
Merci
Pas vengeance mais distanciation -il peut s’en éloigner, mais pas vraiment s’en détacher, il est marqué à jamais
Oui il fait avoir lu le livre

L'homme fort de la RdL dit: 24 janvier 2014 à 13h46

J’aime beaucoup mon nouveau pseudo.
A bientôt pour de nouveaux commentaires.

tchoutchou dit: 24 janvier 2014 à 13h46

u. dit: 24 janvier 2014 à 13 h 59 min
Raymond, tu es un imposteur.

yen a des qui m’inssultes et qu’ça les démange deussmesurer à mon génie ?

bouguereau dit: 24 janvier 2014 à 14h22

J’aurais voulu rendre palpable cette odeur, pouvoir la manger pour la rendre plus réelle

..c’est pas trés bon

Babar dit: 24 janvier 2014 à 14h25

» Tout est cru, lucide, terrible dans ce récit de l’ablation de la prostate »
Les plus de cinquante ans vont se l’arracher faisant fi du TR et du dosage de PSA. Ils sauront tout sur leur zizi bientôt en panne définitive, déprimés s’abstenir. De fait je n’ai jamais pu calquer si une activité saine et quotidienne favorisait ou non l’adénome.

Babar dit: 24 janvier 2014 à 14h31

Les critiques sont positives. Ce livre étonne, ébranle,___________ christiane
Est-il question des techniques employées durant le préliminaire amoureux? Avec ou sans préservatif, à la main ou via la méthode télépathique, à savoir ne rien faire, attendre que le gâteau, le soufflé, lève sous l’action de la chaleur torride dégagée et ressentie qui oblige les garçons à se mettre tout nu en prenant l’air adéquat

L'homme fort de la RdL dit: 24 janvier 2014 à 14h32

Assouline vient de m’appeler pour me dire : oui, alors, n’est-ce pas, on s’interroge, pourquoi ce pseudo ? Eh bien, c’est très simple, je passe deux heures par jour en salle de musculation. U. en a rêvé, je l’ai fait.
Faut voir mes abdominaux en touches de piano. Même Sergio ne peut pas rivaliser. Et, question biscottos, alors là je prends bouguereau au bras de fer quand il veut.

Babar dit: 24 janvier 2014 à 14h42

Bouguereau ne relèvera pas le défi, ses abdo kronembourg, ces biceps au forceps? renoncement, résilience, assignation à résidence, enfermé tel le Gollum dans l’entresol à sécréter son encre noire.

Sergio dit: 24 janvier 2014 à 14h48

L’homme fort de la RdL dit: 24 janvier 2014 à 15 h 32 min
ne peut pas rivaliser

Ha mais ça c’est entièrement normal ! Nous à la salle de muscu on a un estanco qui fait restaurant pour les travailleurs de midi, et là, le mec, il a la licence IV loi du 24 septembre 1941 donc finalement c’est pareil on buvait pas que de l’eau à l’hôtel du Parc…

Giovanni Sant'Angelo dit: 24 janvier 2014 à 14h54


…attention,…on est aux portes de l’apocalypse,…

…plus aucun amour à générer,…rester tapis dans son appartements,…pas de fêtes ou de rencontres joviales spontanées,…

…Escort-girl’s par Compte-tu-m’as – à Fantômas
…les esprits à penser,…si je lui fait çà , c’est autant,…etc,…loger-nourrie,…ou vice-versa,!…

…les existences,…avec l’utopie des mariages à l’église,…avec tout ce que çà coûte, comme dépenses pour les millions de chômeurs,…et faire qu’elles familles,…si les épouses sont normalement très belles,…
…ou désirer par des tiers,…
…les amis pour débaucher l’épouse, ou le mari qui pense en faire son job lucratif,…

…vient chez moi,…D.S.K.,…c’est autant la soirée,…et j’en passe,…
…corruptions ou obligations de vie pour prendre le T.G.V.,…à la côte d’azur,…

…chéri je t’aime,…les clefs de l’hôtel,…
…tu me rejoint pour les photos,…dans une 1/2 heure,…
…venez Monsieur,…mon cousin,…me prête sa chambre à l’essaie,…
…c’est partout Paris,…met là moi!,…
…il est propre au moins,…
…on s’est échanger les couples , y a deux semaines,…mais si,…chez Ben-noix à lots les artistes,…Ah,…Oui,…le père à l’artiste la longue perrier sans sel,…etc,…

…le pantalon en partage,…les enfants origines,…traînés de chambrières cousues sans fils,…
…les bâtards aux tabars nickelés!,…
…aux show’s berlingot’s,…star’s,…

…l’Apocalypse,…des esprits avec la mondialisation,…buzze-ness de merde!,…sinon rien à signaler !,…etc,…

breda dit: 24 janvier 2014 à 14h57

qui a dit « j’avais de très bons enchaînements » (revue Desports citée dans le mag litt (boxe )
cest P.assouline que j’woody à perdre Allen parce que Rheims , j’ôte le H reste Reims!

Babar dit: 24 janvier 2014 à 15h12

Et alors? Quoi? Avec ce maudit bronze équestre pour tenir compagnie à l’ange, Marine en succession du FN foulera le parvis de du chef d’oeuvre gothique, qu’est devenue la station service qui faisait angle avec la rue Voltaire?

Babar dit: 24 janvier 2014 à 15h21

Comme je ne dispose d’aucune nouvelle ni des dernières, je dirais en affirmant n’en rien savoir que de plus je ne connais pas Christiane et en conséquences, ne vois pas trop où vous situez le raccord sur le pipeline. Christiane s’attache à la critique accueillante faite à ce premier roman d’un jeune homme plaisant.

Babar dit: 24 janvier 2014 à 15h29

De fait la station garage ne se situait pas à l’angle de la rue voltaire mais subsistait au terme d’une ruelle qui elle permet de joindre la rue voltaire au parvis sans emprunter le boulevard. Cependant une préférence pour l’abside et les jardins dont on peut disposer du regard à la terrasse du café qui peut-être a changé de nom, le Cardinal.

Mme Michu dit: 24 janvier 2014 à 16h23

Avant-hier de vieux cons parlaient sur la rdl de cul, bite, couilles et pédés.

Hier de vieux cons parlaient sur la rdl de cul, bite, couilles et pédés.

Aujourd’hui de vieux cons parlent sur la rdl de cul, bite, couilles et pédés.

Demain de vieux cons parleront sur la rdl de cul, bite, couilles et pédés.

Chez les journaleux, c’est JP-Pernod tous les jours et que le monde est mignon sur instagram, et que tout le monde il est gentil.

De temps à autre quelques chochottes pour se plaindre des gens qui ne viennent pas hurler sous leurs fenêtres qu’on leur fiche la paix.

Trépidante vie des ploucs rassurés.

Et bon week-end…

christiane dit: 24 janvier 2014 à 16h26

Oui, Charles,
face à cette enfance où on ne lui donnait pas la parole, où nulle parole ne le valorisait, il s’est donné la parole, a raconté, a affronté cette violence en un acte : écrire. L’écriture sert aussi à prendre des distances et même parfois à se dépouiller de la mémoire, à ne pas en rester captif. Ce livre est certainement pour lui, un passage, un seuil, une métamorphose. L’écriture aura eu lieu.

JC..... dit: 24 janvier 2014 à 16h30

T’as raison, Michu …

Bouchons les culs !
Coupons les bites !
Ecrasons les couilles !
Cramons les pédés !
Enfilons les gouines !
Débauchons les gamins !
Gazons les vieux !

… et passons une bonne soirée !…

Mme Michu dit: 24 janvier 2014 à 16h36

Ne demande pas la création d’un cercle pour sauver le rouleau de pq qui amorti mes pets, JC…

Mme Michu dit: 24 janvier 2014 à 16h37

Ach le vieux gag de plus de douze ans du gay homophobe.

Kolossale finasserie.

Tu parles…

u. dit: 24 janvier 2014 à 16h47

« Aujourd’hui de vieux cons parlent sur la rdl de cul, bite, couilles et pédés. »

Je suis désolé, Mme Barbichu, c’est quand même le thème du livre.

Même la lutte des classes passe après, et pourtant c’est bon, la lutte des classes.

Babar dit: 24 janvier 2014 à 16h55

Dans Babar, j’entends : bar, bas, bât.
C’est qu’alors vous entendez des voix ou souffrez d’une hypoacousie, d’acouphènes, j’entends deux syllabes: ba bar .

bérénice dit: 24 janvier 2014 à 16h57

u. cessez de nous empoisonner avec vos obsessions, con cul bite couilles, y’en a marre et toujours pas malabar, c’est frustrant!

u. dit: 24 janvier 2014 à 17h01

J’imagine une équipe de « Closer » débarquant sans crier gare chez les parents d’Edouard Louis. (Brown)

C’est une question que je me suis posée, la réaction des parents, à propos de M. et Mme Angst, au lendemain de la parution du livre (Mars).

u. dit: 24 janvier 2014 à 17h03

« u. cessez de nous empoisonner avec vos obsessions, con cul bite couilles, y’en a marre et toujours pas malabar, c’est frustrant! »

Mais…
Je suis stupéfait!

Ce n’est pas moi qui ai choisi le billet.
Bérénice, vous m’avez frappé au-dessous de la ceinture.

u. dit: 24 janvier 2014 à 17h09

Quand je pense que notre dernière conversation avec JC portait sur la cabale.

Il y a de quoi bouder.

bérénice dit: 24 janvier 2014 à 17h12

u. y’en a marre quand même, mais toujours pas de quoi en faire un roman, tout juste un commentaire oiseux de plus.

bouguereau dit: 24 janvier 2014 à 17h15

Je suis stupéfait!
Ce n’est pas moi qui ai choisi le billet.

on te voit venir..tu vas accuser lassouline, c’est pas popo qu’elle dit clopine..il est animé que de rouages suisses trés exacts et exempt de grosses graisses animales..à peine un film de silicone fin et résistant à la fracture même au delà de 450°F..en suisse les celsius ça fait bouseux..carrément picard même

bouguereau dit: 24 janvier 2014 à 17h17

oiseux..ça fait immotivé..cochon quoi..c’est vrai on peut manger du tofou a la place..on vit plus vieux encore..c’est pas oiseux

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 17h24

Evidemment, ce fil aussi (après d’innombrables autres, est pollué par des interventions imbéciles. Du coup, on ne peut pas parler… Par exemple, je voudrais dire que l’interprétation qui semble admise par tous, de la photo choisie pour illustrer le propos de notre hôte, ne me semble pas si « pertinente » que cela.

La plupart des tristes commentateurs de ce blog y voient l’illustration de la pulsion homosexuelle. Deux adolescents en regardant un troisième, à la piscine…

Or, à mon sens, ce n’est pas le regard, ni les protagonistes, mais le lieu qu’il faut interroger.

Car nul besoin d’être homosexuel pour regarder le corps des autres…

Il suffit d’être « à la piscine ».

Ou encore « à la plage ».

Le regard peut ne pas être concupiscent, mais oui Messieurs. Il peut être interrogatif, comparatif, certes intrusil… Mais dénué de pulsion sexuelle…

Et la piscine est le lieu où on interroge les autres, non pour les désirer (ou pas seulement), mais aussi pour se repérer…

D’autant que, si vous regardez la photo, vous devriez admettre que la bandaison des regardeurs n’est pas franchement évidente. Leur timidité, oui : ils portent des maillots de bain, aujourd’hui interdits dans la plupart des piscines, dits « bermudas », dissimulant tout ce qui peut se dissimuler.

M’intéresse plus, sur cette photo, la gamine.Vous remarquerez qu’elle regarde un groupe de « petiots ».

Vous avez donc trois plans (comme chez Bach !) dans cette photo : l’adulte qui s’assume (ah que oui !), les ados qui se cherchent, les petiots qui vivent leurs vies…

Ce qui me paraît plus intéressant, plus « riche », qu’une banale affaire de bandaison.

M’enfin, ce que j’en dis, hein.

des journées entières dans les arbres dit: 24 janvier 2014 à 17h28

« sa sexualité est inaudible »
pas tout à fait juste. Au train, pardon, au métro où vont les choses pour Eddy, mon petit doigt me dit (celui qui clique à droite, à gauche, surtout au Nord), qu’il va bientôt changer de pseudo; je ne sais pas mai Eddy « grande gueule », ç’aurait de l’allure, non ?

bouguereau dit: 24 janvier 2014 à 17h30

aujourd’hui interdits dans la plupart des piscines, dits « bermudas », dissimulant tout ce qui peut se dissimuler.

tu y es pas clopine..tu sais pourquoi que les calçon sont ferboteunes..bicoz des salopard y viendraient rincer leur calbut de 15 jours..c’est pour ça..suis mon regard

bouguereau dit: 24 janvier 2014 à 17h33

j’ajoute que la piscine est un lieu formidable de littérature

..ha ce « bouillon de culture »..et de micose..un lieu de mémoire clopine de ta génération..now c’est que pour les clubs de vélo uboat et les écoles

Devant l' image dit: 24 janvier 2014 à 17h36

L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 18 h 24 min
Ah, Clopine aussi brillante dans son analyse de l’ image que Michel Foucault analysant les Ménines de Vélasquez, mémorable!

L'homme fort de la RdL dit: 24 janvier 2014 à 17h38

L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 18 h 24 min
Le regard peut ne pas être con cul pissant

Au nom de bérénice, cessez, je vous prie.

Devant l' image dit: 24 janvier 2014 à 17h38

Clopine, vous devriez avec votre crayon tracer les lignes des regards multiples, marquer les perspectives…

Devant l' image dit: 24 janvier 2014 à 17h41

Et l’ horizon des toîts, la ligne du mur, vous en faite quoi, vous en dite quoi Clopine?
C’ est sûr, là, Michel Onfray nous expose une dialectique du liquide et du dur, avec connotation sexuelle si ça vous chante!

Devant l' image dit: 24 janvier 2014 à 17h46

Admirez d’ ailleurs la construction et la dynamique visuelle de cette photo, Clopine.
Elle est très réussie.
Il faut en remercier Passou!

chantal dit: 24 janvier 2014 à 17h57

C’est pas mal clopine, j’imagine le petit garçon dans le coin à droite qui dialogue avec la petite fille qui tourne le dos, alors pourquoi tu ne viens pas nager, tu boudes ?

si mon fils prenais la plume pour raconter son enfance en se défoulant un max, ( la réalité augmentée façon jauffret ), j’aimerais autant qu’il le fasse sous pseudonyme, je n’ose imaginer la mère d’édouard louis, plantant innocemment ses radis, pendant que ses voisins ayant acheté le bouquin dans un élan de sympathie ( c’est un petit gars de chez nous, on l’a connu petiot ) découvrent horrifiés ou rigolards la production de Bellegueule.

C’est toujours plus fendart quand ce sont les autres hein ?
Le cinoche est l’invention d’un voyeur ..

Verrai-t-on Pierre Assouline très satisfait qu’une de ses filles un tantinet révoltée et poussée au derrière par les ennemis jurés et naturels de ses parents, en pleine crise dieudonesque, se fende d’un opuscule: « Mon père ce troudeballe pervers, ma mère cette folle hystérique ». A mon humble avis, passou vivant et l’oeil noir de rage irait rendre faire rendre gorge à l’éditeur c’est humain, je ne pense pas vraiment qu’il se fendrait la poire entre ami en disant : ma fille a un humour terrible, elle est pire que moi en dézinguage; et son epouse d’ajouter, c’est une saine réaction de sa part, nous l’avons toujours laissée libre de ses choix. Enfin sait-on jamais, ..

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 17h59

Bouguereau, tu n’y es pas (c’est bizare que moi, qui ai tant de mal avec le tutoiement, te l’octroie direct, mais c’est ainsi.

Si tu avais une connaissance aussi profonde (1m30-2m10) des piscines que moi (et pour le savoir, il te faudrait acheter mon livre, ahahah), tu saurais que le bermuda a été interdit parce qu’il déséquilibre les bassins. Les mômes arrivent à transporter, dans l’étendue du tissu, suffisamment de tissue pour pourrir les alentours de la piscine et causer des dommages matériels…

Ah là là, Bouguerau, précipite-toi sur mon petit bouquin? Tu y trouveras, au moins, j’en suis sûre, un certain rafraichissement. Suffit de se laisser couler dans le grand bassin !

(sourire)

L'homme fort de la RdL dit: 24 janvier 2014 à 18h00

« La plupart des tristes commentateurs de ce blog y voient l’illustration de la pulsion homosexuelle. Deux adolescents en regardant un troisième, à la piscine… » (L’honneur perdu de Clopina Trouille)

C’est curieux. Je n’ai pas vu de commentaire analysant la photo en ce sens. Mais ce qui est incontestable, c’est que cette photo a été choisie par Assouline pour illustrer, en effet, un livre parlant d’homosexualité.
Alors peut-être, au lieu de vous en prendre aux commentateurs, devriez-vous reprocher son choix à l’auteur de l’article, si vous trouvez vraiment que ce cliché est mal venu.

u. dit: 24 janvier 2014 à 18h01

« Ce qui me paraît plus intéressant, plus « riche », qu’une banale affaire de bandaison. » (Clopine)

Ce soir, on déguste.

Et pourtant on n’avait rien dit sur le crâne chauve de la deuxième photo qui inspecte sa queue.

Et ta soeur? dit: 24 janvier 2014 à 18h02

Ah là là, Bouguerau, précipite-toi sur mon petit bouquin?

faut toujours qu’elle viennent t’refiler ses vieux calendos qui puent la mère d’ma mère

se lancer à l' eau dit: 24 janvier 2014 à 18h03

chantal dit: 24 janvier 2014 à 18 h 57 min

C’est pas mal clopine

Chantal, vous êtes indulgente, Clopine n’ avait pas chaussé ses lunettes.

L'homme fort de la RdL dit: 24 janvier 2014 à 18h04

« Mais… Le mec il a même franchi le mur ? » (Sergio)

Oui, c’est un resquilleur. Le tremplin est de l’autre côté de la clôture. La caissière n’a rien vu.

des journées entières dans les arbres dit: 24 janvier 2014 à 18h08

Il a commencé son travail photographique par un reportage sur la mine du Vilaret, près de Grenoble (1992). Puis, il a entrepris une étude pendant plusieurs années sur les usines de pâte à papier et les papetiers de Fontaine-de-Vaucluse pour un projet d’ouvrage qui s’intitule L’Eau, le papier, la Sorgue avec un texte de Jean Clamour.

je lis à propos du photographe de la piscine.
yep.
http://pagora.grenoble-inp.fr/

VDQSTP dit: 24 janvier 2014 à 18h10

en confectionnant le repas du soir !

cherche pas tes mots clopine, va-s’y à la louche épicétou

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 18h12

Euh, ben justement, il y a un côté « ternaire » dans cette photo : l’adulte en plein vol, (comme une mélodie), les lignes horizontales qui resserent le sujet (comme une cadence), la personnificatin des protagonises « la petite fille, les garçons, le devenir des uns et des autes », (comme un motif), qui me font penser à Bach.

Le seul problème de cette photo, c’est qu’elle glorifie les piscines municipales. Oh, ce n’est pas que j’y vois gran’chose à redire : j’ai grandi dedans. (voir mon livre, je vous emmerde, na !)

C’est qu’elles étaient souvent financées, ces fameuses piscines des années 60, par les dessous de table de Dassault et compagnie. Si certains villages, notamment dans l’Oise, se dotent de places centrales dénommées, en hommage, « Marcel Dassault », c’est que celui-ci, pour se blanchir, ou guise d’expiation de fortune exceptionnelle, a financé , en sous-main, nombre de ces équipements.

M’enfin ce que j’en dis, hein….
PS : ça s’appelait ‘les piscine tournesol ».

touille touille dit: 24 janvier 2014 à 18h20

Euh, ben justement, il y a un côté « ternaire » dans cette photo : l’adulte en plein vol, (comme une mélodie), les lignes horizontales qui resserent le sujet (comme une cadence), la personnificatin des protagonises « la petite fille, les garçons, le devenir des uns et des autes », (comme un motif), qui me font penser à Bach.

cloclo le crincrin sous l’bras

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 18h24

ah, tiens, puique j’y suis et que les cuisses de pintade aux petits poids riquent fort d’être trop cuites, sachez que mon Clopin de compagnon est un photographe génial. Il est en plus modeste. Mais un mec dont on tombe amoureuse, rien qu’en ayant vu ses photos, ben prenez-en de la graine, ô vous vieillards libidineux qui squattez ce blog.

Bon je retourne à mes pintades, et vous laisse entre vous.

des journées entières dans les arbres dit: 24 janvier 2014 à 18h27

se lancer à l’ eau dit: 24 janvier 2014 à 18 h 53 min
great.

le lard cé pas pour les cochons dit: 24 janvier 2014 à 18h41

y paraît que clopin y fotograz la fermière a cheval sur la pintade dans les choux

NKM dit: 24 janvier 2014 à 18h47

la fermière a cheval sur la pintade dans les choux

Du porno écolo!
Du porno écolo!
Du porno écolo!

Depuis le temps que vous en parlez vous devriez vous y mettre... dit: 24 janvier 2014 à 18h51

(voir mon livre, je vous emmerde, na !)

Facile à dire alors que même avec tes potes t’y arrive pas !

Detolle picard dit: 24 janvier 2014 à 18h56

mes peintures sont à chier, mais je sais manipuler au clavier, le pire c’est que je ne m’en vante pas, aucun de mes potes ne met mon travail en valeur, est-ce pour ce motif aigri que je tape sur les autres ?

Chaloux dit: 24 janvier 2014 à 18h57

John Brown, tu me fais doublement de la peine. D’abord parce que ce post semble écrit par un petit gros de onze ans qui commence à entrevoir ce que sera sa vie et qui ne se trompe pas de beaucoup. Ensuite, parce qu’il s’agit évidemment d’un autoportrait autobiographique, à quelques détails près qui ne sont plus à ta portée. Et puis parce que c’est tout à fait indigne de toi. C’est déchirant.
(Cet été je passerai route de Falicon, avec une bonne bouteille, et tu verras que je ne suis pas un si mauvais homme.)

breda dit: 24 janvier 2014 à 19h03

L’incipit a la puissance des premières phrases de L’Etranger ou des Mots
c’est peut-être bien u et bien trouvé ,mais trop justement pour le lecteur gamma (race à désaristotéliser)

kicking dit: 24 janvier 2014 à 19h05

est-ce pour ce motif aigri que je tape sur les autres ?

grands dieux! mais où donc permet-on cela???

Detolle picard dit: 24 janvier 2014 à 19h29

non, pas l’ortho, du tout, trop de bras cassés sur le dos en ce moment et papelards kaffeka.

rose dit: 24 janvier 2014 à 19h39

J’ai tout écouté sans défaillir mais c’est quelle génération là ? Douze ans non ?

rose dit: 24 janvier 2014 à 19h43

Ce n’est pas Clopine qui nous écrit « vous me faites tous chier ma sauce est foutue ? »
J’ai la berlue.
Je n’y crois pas.

Chaloux dit: 24 janvier 2014 à 19h48

Retrouvé.
Macchaloux: Au règne du malfaisant Macbrown, il est temps de mettre fin!

Macbrown: Je fais !

Lady X: Oui, c’est vrai : il fait !

Macchaloux: Est-ce là toute ta puissance? Est-ce qu’il prie?

Lady X: Non. Avant de mourir pour de bon, il meurt de peur. Sa teinture coule.
Son dentier claque. Son goitre tremble.

Macchaloux: L’épouvante sera donc ta prière.

Macbrown (tombant à genoux): Seigneur! Pitié!

Lady X: C’est drôle, certains sont tout en bras, d’autres tout en jambes. Mac Brown est tout en fèces!

Macchaloux: Dieu quel odeur !

Macbrown: Pardon, mon doux seigneur, c’est l’ammoniaque en décomposition qui me coule de la couronne. Je suis comme une chandelle fondue !
Je n’ai plus rien à perdre !

Lady X: Erreur, ça coule encore un peu par là!

Macchaloux: Comme c’est étrange, Lady X, ce corps pourri ne parvient pas à puer aussi fort que sa plume!
Allons, relève-toi, canaille.
Je renonce à mon crime.
Un seul coup de sabre dans ta carcasse ferait rouiller mon sabre.

Lady: Macbrown n’est plus qu’une flaque !

Macbrown. Je vais rentrer en seau !

Macchaloux: Adieu, céphalopode chose.

rose dit: 24 janvier 2014 à 19h49

et re…
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 19 h 12 min

(voir mon livre, je vous emmerde, na !)
C’est la journée juron ?

Je l’ai lu.
J’ai détesté le dépucelage (mais aussi dans Heimat j’ai détesté surtout pck c’est le frère de Jacob qui lui pique son amoureuse ; ça l’fait pas.)

J’ai beaucoup aimé la première nouvelle que j’ai lue par le milieu du livre, les deux sœurs dont la grande amoureuse et la petite chaperonne. Elles m’ont fait penser aux sœurs Brontë. Elle est restée ma préférée.

Si cela ne vous dérange pas, je préfère le blanc. Avec l’aile. Ou le contraire. Merci. Par contre les petits pois, je suis capable de perdre mon sang froid.

rose dit: 24 janvier 2014 à 19h51

Quand elles marchent le long de la grève, que la petite se serre contre la grande qui chantonne pour se donner du cœur au ventre parce qu’elle est en rage, contre son amoureux et tout ça. Qu’il fait pleut, qu’il fait gris que l’on croit que jamais plus ne reviendra le soleil. Tout ça.
Puis qu’il revient.
Alors qu’on le l’attend plus.

Ouaip.
C’est ma préférée de vos nouvelles.

kicking dit: 24 janvier 2014 à 19h54

mais c’est quelle génération là ? Douze ans non ?

mouarf! tu sais ma vieille, si on devait s’approcher de quelques éminents radoteurs aimant tant répéter le mantra des jeunes dépassant les vieux pour leur mettre le nez dans la tranche d’âge majoritaire de leur audience ou de leurs lecteurs..

alors sois assurée qu’au besoin me reprocher de tirer dans le tas t’es parfaitement permis, ce serait de bonne guerre..

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 20h01

Rose, je vous aime. Et puis, vous savez, dans la vie d’une petite fille, le dépucelage, c’est comme un point d’orgue. La fin d’une mélodie, et l’appui sur la pédale.

… Et puis, vous savez, pour la cuisine, vous venez quand vous voulez. Demain : filets de merlan et sauce à ma façon.

Comme je dis toujours à Clopin : « on va faire comme moi je veux. Tout ira bien. « 

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h10

L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 24 janvier 2014 à 21 h 01 min

pas demain merci. Je dois aller en Bretagne visiter une librairie vers Auray je crois, ou on se retrouvera à Paris avec deux autres compagnons de blog je crois aussi ; vous êtes sur ma route.

Je dis cela pour l’écriture mais vous racontez bien ce que vous voulez.

(nota : ah bon, parce qu’il y a une pédale ?)

Bises Clopine
Et christiane et DHH.

John Brown dit: 24 janvier 2014 à 20h14

Retrouvé.
Macchaloux: Au règne du malfaisant Macbrown, il est temps de mettre fin! etc. (Chaloux)

Il est timbré ! il est timbré !

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h15

Encore eût-il fallu le savoir.
Pas grave.
Moi je suis la petite fille en maillot de bain une pièce là sur la photo.
Il y a la même piscine découverte à Montbrun les bains année 60 monts du Vaucluse, version nord du Ventoux près de Malaucène et de Buis les Baronnies et de Gigondas et de Vacqueyras. Immense & découverte (la piscine). Beaucoup de garçons qui plongent.
Je l’ai loupée pck je lisais Maurice Genevoix et que le bouquin m’a paru supérieur à la piscine. Pourtant, cela m’en a coûté, mais j’ai choisi le bouquin.

Voilà : c’est la vie.
Tant pis pour tous les garçons qui plongeaient et que je n’ai pas regardés.
T’as vu, y’a un petit garçon là qui attend que je le regarde pour plonger mais moi aussi je vais plonger alors, hop.

u. dit: 24 janvier 2014 à 20h17

« mais oui Messieurs. » (Clopine)

Saprelotte.
On aurait ignoré le regard épuré?

Je venge ma race?

Ou je range ma face?

(A vrai dire, ma vraie curiosité, Clopine, ce serait de savoir avec quelle sauce vous accommodez le merlan. Ca c’est du sérieux. Et vous buvez quoi, avec ça?)

christiane dit: 24 janvier 2014 à 20h17

Salut, rose,
vous avez plus de chance que moi ! J’ai commandé par erreur « La recherche racontée à mes potes » que j’ai déjà !!! et donc, j’ai repassé commande « des petites histoires ». Impossible donc de participer à votre échange !

des journées entières dans les arbres dit: 24 janvier 2014 à 20h18

Phil dit: 24 janvier 2014 à 14 h 15 min
petts potins qui en valent bien d’autres…
histoire pédiphi, pédophi, bref, personne n’a relevé l’amalgame entre pédophilie et homosexualité; mais y aurait-il du Gide en Ceccatty ?
Il faut trouver le bon Haïku, pour illustrer tout ça.

Chaloux dit: 24 janvier 2014 à 20h19

Non John Brown, je ne suis pas timbré, c’est un vieux truc qui avait été fait en réponse à une saynète semblable, dans laquelle tu insultais copieusement Daaphnée. Je l’ai juste mis en ligne pour te montrer qu’il y a bien longtemps que je t’ai pardonné tes excès de langage de vieille personne un peu déboussolée.

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h23

>christiane c pas grave on y reviendra. Je ne l’ai pas la recherche (je peux vous l’échanger, mais je ne sais pas si vous avez confiance dans la poste j’ai perdu un beau colis je ne sais où en France). Je peux y aller demain matin si vous voulez.

Giovanni Sant'Angelo dit: 24 janvier 2014 à 20h24


…tant d’histoires, pour rien,…sur ces photos,…
…si, je vous dis,…que j’ai été dans un pays, ou tout le monde s’essuyait devant tout le monde,…et tous nus,…sans cabines, aussi bien filles que garçons,…
…les fentes,…prenait à cette âge là,…pour moi,…un aspect de ventouse, ou d’aspirateur,…
…j’était plus une poussière,…je n’avait rien à craindre,…je ne suis pas partis en compagnie d’Alice in Wonderland,…

…difficile de vivre en sachant de trop,…on évite avec des motivations  » opposées « ,…de ne pas faire  » le pas, de trop « ,…

…la chose qui me rassure, c’est que dans la nature,…les °degrés de température des corps « ,…sont très différents les uns des autres, avec en plus la divergence des affinités,…
…donc,…
…tout du cinéma,…et retournons à rêver de T.G.V.,…
…je met de côté, l’artiste en moi,…
…place au touriste,…
…un petit hôtel,…de ci de là,…et voyagez,…voyagez,…par monts et par vaux,…
…etc,…
…un jour peut’être,…Ah!,c’est vous le petit à remuer la soupe avec sa « louche « ,…
…etc,…

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h25

Chaloux dit: 24 janvier 2014 à 21 h 19 min

Non John Brown, je ne suis pas timbré, c’est un vieux truc qui avait été fait en réponse à une saynète semblable, dans laquelle tu insultais copieusement Daaphnée. Je l’ai juste mis en ligne pour te montrer qu’il y a bien longtemps que je t’ai pardonné tes excès de langage de vieille personne un peu déboussolée.

Eh bé ?

Des remords ?

C’est la pleine lune ou quoi ce soir ?

des journées entières dans les arbres dit: 24 janvier 2014 à 20h26

Rose, c’est le billet pour nous recauser de votre action enseignante, là; celle pour les enfants victimes de vexations, que vous preniez pour des loosers.

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h32

à 4’12 amorce puis à 4’26 reprise puis à 4’30 cela démarre réellement c’est extraordinaire jusqu’à 5’42 environ solo musical flamenco. Avant qu’elle ne rechante ; la seconde moitié est sublime.

Alors ta femme aux trois quarts à poil en tenue affriolante […]. Je choisis Nina.
Quant à la fin, elle est éblouissante.
10’21

Pourtant je l’aime bien Mylène mais trop c trop.

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h35

Je ne vais pas parler des enfants des autres. Leurs parents sont adorables ; ils arrivent les poings tout faits ils repartent en me disant « vous êtes adorable » je le savais déjà. Comment tu veux bosser quand tes parents bossent pas hein ?

Alors on rit.
Voilà.

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h37

Et je te passe Nina Simone au piano je voudrais pas te voir pleurer : moi je toffwuiwai des peeles de plouie à técouter chanter et pouis wui’e.
avec Michel D’ucker au bibewon.
Je cwouaque.

John Brown dit: 24 janvier 2014 à 20h38

une saynète semblable, dans laquelle tu insultais copieusement Daaphnée. (Chaloux)

Moi ? Insulter Daaphnée ? Mais jamais ! jamais ! Calomnie ! J’ai toujours eu le plus grand respect, que dis-je, de l’amour, pour Daaphnouille, ma bondouille, ma cagouille !

John Brown dit: 24 janvier 2014 à 20h40

Moi ? Insulter Daaphnée ? Mais jamais ! jamais ! (mézigue)

Quoique … Effectivement… peut-être. Mais alors c’était il y a très très longtemps.

Giovanni Sant'Angelo dit: 24 janvier 2014 à 20h43


…Non,…je ne connais pas les bains japonnais,…
…mais, il est possible,…que suivant les  » particules  » des enseignants,…
…des explorations des libertés consensuelles sont plus,…dégagées,…par les hasards des directions  » à la mode de chez nous,…
…Non,…mais je compte, me limitez à l’Europe dans un premier temps !,…enfin,…
…on verra,…d’hôtel en hôtel,…et de vigne en grappe à ramener,…etc,…

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h45

John Brown dit: 24 janvier 2014 à 21 h 40 min

Non c’est tous les deux jours. En moyenne. Parfois plus.
Elle s’en contente.
Drôle de fille.

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h51

C’est surtout quand je leur dis « bon je vais vous raconter une histoire ». Ils adorent.

Pierre Murat, l’autre jour, dans un article dont il a le secret, ( avant cela il avait écrit « c’est top » j’avais admiré l’audace) a conclu en disant que peut-être nous allons vers (enfin les réalisateurs mais nous avec) des happy end. Je le crois. Retour aux princesses & aux crapauds & aux mariages heureux.
Tout ça.
Le pied.
Aux piscines municipales des communistes. Toutes de béton et carrelées de blanc. Nettoyées à la javel.

Cela m’a fort réjouie de voir que j’étais de mon temps (un peu en avance mais bien dans mon temps).

Par contre, question subsdidiaire faudra-t-il subir vraiment de se farcir obligatoirement les litanies journalières de celui qui se prend pour un écrivain et qui a le melon (en haut à droite) ?

Horresco referens.

rose dit: 24 janvier 2014 à 20h58

Les enfants ne sont pas victimes de vexations ils portent juste le poids de leurs parents.
Ce qui est lourd.

Mais bon y’a bcp d’avantages pour compenser cela : les portables les ordis.

Nous allons peut-être vers un monde où le travail ne sera plus une valeur première, on débrayera donc. D’où l’intérêt chérie de la pédale (et la boîte automatique aux US hein ? ma poule).

rose dit: 24 janvier 2014 à 21h05

Dans Heimat, première partie chronique d’un rêve il y a grande dispute entre le père et le fils le premier reprochant au second d’être fainéant bon à rien abruti.
Et de passer son temps à lire.
Il fait valdinguer le livre de Jacob sur des distances phénoménales et la seconde fois dans un tas de fumier.

Horresco referens.

Mais le petit s’accroche (il a grandement raison)/

J’ai hâte de voir la seconde partie.

Quant il voit son amoureuse, il comprend illico qu’elle s’est fait voler nuitamment son pucelage -elle a perdu la tête, la valse ronde) par son frère, il gueule soudainement Liberté, Liberté, fondamentalement désespéré, mais il a gagné la Liberté.

Et il part donc émigrer.
Il en avait l’intention, avec elle, mais puisqu’elle a perdu la tête et que lui l’a bien plantée sur les épaules il va y aller sans elle.

Comment attendre jusqu’à mardi la suite ?

Palala.

rose dit: 24 janvier 2014 à 21h08

Eddy c’est quand même

Eddy Merckx (ckx notez !)
Eddy Mitchell

mais surtout eh dis-moi.

Salut

bonne soirée

Giovanni Sant'Angelo dit: 24 janvier 2014 à 21h11


…mais, la boîte automatique,…
…j’ai roulé avec,…c’est même parfait,…çà nous laisse plus d’attentions à conduire,…

…là voiture,…j’en ai eu vite marre,…

…s’en exagérer,…comment peut’on vivre normalement dans sa peau, avec une voiture,…
…faire la file,…faire les courses avec 10 supermarchés devant ta porte,…
…de plus allez ou,…s’il n’y a rien,…
…rien,…que des accrocs au pognon,…
…rien,…de constructifs entre amis,…rien,…vivre sur une lune avec de l’eau et ses métamorphoses avec le temps,…rien,…etc,…

qui ramassait le plus? dit: 24 janvier 2014 à 21h18

C’est qu’elles étaient souvent financées, ces fameuses piscines des années 60, par les dessous de table de Dassault et compagnie Clopine

A quoi on peut répondre :

Aux piscines municipales des communistes(?)Rose

kicking dit: 24 janvier 2014 à 21h19

triple meurtre à Belfort sous l’emprise d’une irrépressible pulsion de mort (AFP dixit)

d’aucuns font vraiment peur avec leur vision de l’irrépressible..

kicking dit: 24 janvier 2014 à 21h44

ne serait-ce qu’en voyant avec consternation tout ce qui se dit ou s’écrit sur les maladies psychiques.. enfin, on a les pauvres qu’on peut..

bérénice dit: 24 janvier 2014 à 21h45

…rien,…de constructifs entre amis,…rien,…vivre sur une lune avec de l’eau et ses métamorphoses avec le temps
le temps est bien injuste et nous transforme en cancrelat, en cloporte, rien qu’à nous condamner pour nous enfoncer dans la place à grands coup de poêle à frire sur la tête!

TKT dit: 24 janvier 2014 à 22h01

Clopine, c’est ainsi, quoi qu’ils fassent ou pas, en matière de Mécénat, les gens riches et connus, sont toujours en tort, aux yeux du « bon peuple ». Marcel Dassault, offrait des piscines aux quartiers populaires, le fils Serge, s’offre des électeurs. Je préfère les dépenses du père.

bérénice dit: 24 janvier 2014 à 22h17

TKT prendriez-vous tous ces gens qui composent le « bon peuple » pour des abrutis?

bérénice dit: 24 janvier 2014 à 22h19

D, ma pulsion sexuelle atteint des sommets et j’ai besoin d’une oreille attentive sans l’attentat, puis-je compter sur votre disponibilité amicale?

bérénice dit: 24 janvier 2014 à 22h23

De fait j’ai toujours été attirée par des hommes dans votre genre auxquels il faudrait ajouter 2 décennies cependant pour ne pas affronter la vindicte populaire, ces gueux insensibles, tout en vous parle d’amour mais sauriez-vous en retour recevoir mon tourment, mes vapeurs, mes fer à repasser?

bérénice dit: 24 janvier 2014 à 22h25

Ne vous pressez surtout pas pour la réponse, je suis au bord de la fenêtre et la température au sol semble être des plus géniales.

bérénice dit: 24 janvier 2014 à 22h27

Personne pour envisager de ramasser mon fracas, la voie libre dégagée faiblement éclairée par la municipalité qui se laisse de temps à autre courtiser par Pierre Ménard, l’ami des pauvres et donc des désespérés.

renato dit: 24 janvier 2014 à 22h43

«… mon tourment, mes vapeurs, mes fer à repasser? »

Étiez-vous à la Cité de la Musique pour l’expo ‘Europunk’, aujourd’hui ?

D. dit: 24 janvier 2014 à 22h49

Bonsoir renato. La question s’adresse-t-elle à moi aussi ? J’ai terriblement envie de répondre.

Giovanni Sant'Angelo dit: 25 janvier 2014 à 23h51


…au lit!,…circulez,…pas de bavardages dans les chambres,…etc,…

Sergio dit: 25 janvier 2014 à 0h07

Giovanni Sant’Angelo dit: 25 janvier 2014 à 0 h 51 min

…au lit!,…circulez,…pas de bavardages dans les chambres,…etc,…

Maintenant ils ont tous des i quelque chose des téléphones extraordinaire les surveillants leur retirent le soir on n’aurait jamais vu ça on aurait mis le feu au toit !

JC..... dit: 25 janvier 2014 à 5h09

A quoi bon lire 220 pages de ce règlement de compte famili-sociétal ? Honnêtement ?! Mis à part un petit voyeurisme de genre à la mode ?…

Tant d’ouvrage plus intéressants sont à découvrir, redécouvrir ! Bref, on s’en tape des aventures personnelles de ce gamin et de ses déboires passés, présents et à venir.

Souhaitons lui de sortir de sa guerre, de ne pas trop faire la fière, et basta !
(…17 euros : la somme est énorme pour l’intérêt d’une œuvre pareille…)

JC..... dit: 25 janvier 2014 à 5h29

Tant qu’à perdre 17 euros en attendant un futur chef d’œuvre, vu que les « Mémoires d’Enfer » d’El Shennawy ne sont pas encore sorties de presse, ni même écrites, un livre amoureux d’une vie d’homme – pas un trouduc – qui devrait être intéressant :
« Le pays du lieutenant Schreiber », d’Andreï Makine (Grasset, 217 p., 17 euros).

Jacques Barozzi dit: 25 janvier 2014 à 7h59

« la Fin …. »

…du suspense, la « clarification » est annoncée pour aujourd’hui !

Jacques Barozzi dit: 25 janvier 2014 à 8h03

Donnez ! donnez !
A quoi sert l’argent des OGN ?
A organiser des voyages privés pour ceux qui ne souffrent pas de la faim ?

@Julie dit: 25 janvier 2014 à 8h27

Ah, on voit bien que vous ne voyagez pas. Faites seulement un petit tour en Angleterre et vous verrez combien le change ment.

JC..... dit: 25 janvier 2014 à 8h53

D.,
J’ai apprécié votre vidéo du décollage des deux bombardiers B-1. Tellement incongrue, émouvante, décalée, sur ce blog littéraire… enfin… c’est toujours mieux comme volatile que l’effroyable pintade de Rockwell proposée par Rose !

Si vous avez une écaille de spacetime de libre, ce matin… vous pouvez me dire quelles sont les nouvelles d’Orion ?

Ils sont au courant de ce que François a dit à Pépère, concernant le mariage sodomite ? Et l’euthanasie ? et le PMA, et le GPA, et le GIA, et le GPS ? Et le changement de favorites en cours ? Ils vous en ont parlé ? Et l’histoire du nouveau huron à la belle gueule qui adore sa famille d’alcooliques ? Non ? ah……..

Diable ! Mais de quoi il cause l’Orionais au bistrot galactique, la purée de sa mère !

rose dit: 25 janvier 2014 à 8h57

D’ailleurs un minimum de lucidité vous permettrait de dire que c’est la famille américaine qui est effroyable là et non la pintade qui n’y est pour rien. La pauvre.

Un des mets préférés du renard la pintade.

des journées entières dans les arbres dit: 25 janvier 2014 à 8h58

« Le pape François a évoqué le philosophe jésuite Michel de Certeau en recevant le président Hollande. »

En langage châtié, les goûts philosophiques papaux ont une certaine homogénéité, T. de Chardin, H. de Lubac, M. de Certeau.
Jésuite un jour, jésuite toujours ?

rose dit: 25 janvier 2014 à 8h59

JC….. dit: 25 janvier 2014 à 6 h 09 min

A quoi bon lire 220 pages de ce règlement de compte famili-sociétal ? Honnêtement ?! Mis à part un petit voyeurisme de genre à la mode ?…

Pardon : vous l’êtes lucide.
Alors pourquoi cette charge contre la pintade (qui est plutôt une dinde d’ailleurs, ce doit être Thnksgiving) ?

des journées entières dans les arbres dit: 25 janvier 2014 à 9h02

Eh bien, cela n’est pas bon signe.
‘reusement, j’aime ien pensé que F. Sureau était du voyage à Rome.

Jacques Barozzi dit: 25 janvier 2014 à 9h03

Quand un jésuite rencontre un autre jésuite, ils se racontent des histoires de jésuites, JC !

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