Eddy Louis venge sa race
Bellegueule est son vrai nom. Un nom de dur insupportable à porter pour celui qui ne l’a jamais été. Le dur comme archétype de la virilité, le vrai garçon, qui se bat, qui aime les filles et joue au football. Ce qu’il n’est pas. Le nom de son père, coléreux, alcoolique, obèse, violent, ordurier, raciste. Et homophobe, cela va de soi. Un ouvrier de l’usine de laiton qui fait vivre toute l’usine, à une quinzaine de kms de la ville, de nos jours quelque part en Picardie. La mère ne rattrape pas le père : «« C’est une femme en colère, cependant elle ne sait pas quoi faire de cette haine qui ne la quitte jamais ». L’incipit a la puissance des premières phrases de L’Etranger ou des Mots : « De mon enfance je n’ai aucun souvenir heureux ». Tout le roman y est déjà condensé. Une force et une faiblesse, car on pourrait se dire : à quoi bon le lire alors ? Important, le nom. Ce n’est pas le problème mais presque. D’ailleurs, l’épigraphe tirée de Marguerite Duras le dit déjà : « Pour la première fois mon nom prononcé ne nomme pas ». Ainsi Edouard Louis plante-t-il le décor de Pour en finir avec Eddy Bellegueule (220 pages, 17 euros, Seuil), son premier roman à 21 ans, découvert et révélé par l’éditeur René de Ceccatty.
Tiraillé entre l’amour de ses parents et leurs insultes, il est dans la plainte et la honte mais ne le nie pas. L’injure a beau être répétitive, on ne s’y habitue jamais. Les mots des autres ne parviennent pas à se former autrement que par ce biais. Là s’inscrit déjà la violence de son enfance. Un catalogue de haines, celle des autres et celle de soi. L’injure, c’est comme les coups. Impossible de s’y faire. Même si elle revient tous les jours, à heure fixe, dans un couloir du collège, entre deux crachats à la figure, ou à la table familiale – si on peut appeler ça ainsi, car chez eux, on ne dîne pas : on mange quand on ne bouffe pas, en regardant La roue de la fortune. Des pauvres que la pauvreté supérieure de leurs voisins consolait et rassurait au point de leur autoriser un mépris de classe. Le narrateur de ce roman, qui ne se veut pas témoignage a voulu comprendre son enfance douloureuse dans un village où la littérature n’est jamais entrée. La cruauté des adolescents entre eux. Un monde d’invisibles où la violence est permanente. Pas un témoignage. A table, Eddy est réduit au silence : sa sexualité est inaudible car indicible, mais on ne voit qu’elle et on n’entend qu’elle. Gestuelle d’efféminé, timbre de voix aigu. Une folle congénitale à ce qu’ils disent.
« Le fait d’aimer les garçons transformait l’ensemble de mon rapport au monde, me poussait à m’identifier à des valeurs qui n’étaient pas celles de ma famille ».
On promet le collégien au lycée d’Abbeville, comme tout le monde dans le coin. Mais sa passion du théâtre lui fait espérer le lycée Madeleine-Michelis d’Amiens. Même pour cette filière « art dramatique » au baccalauréat, dont sa famille ne veut pas, il doit se battre. Le prix à payer pour mettre son père et les siens à distance. Là commence l’inversion de toutes les valeurs. Son livre est l’histoire d’un roman en train de s’écrire. Eddy est constitué par les autres (« sale tantouze ! ») avant de se réapproprier lui-même. Avec les pierres qu’on lui balance il construit sa maison. Air biblique connu, mais joué par lui, il prend des accents poignants. Il a conscience de la transgression mais elle est seconde par rapport à l’abjection. Exclu et persécuté (Paris-capitale-gay ne fait pas oublier que l’homosexualité se vit difficilement en province, et plus encore dans la province de la province), il transgresse sans le faire exprès car il ne sait pas pourquoi il est comme ça, pourquoi il prend goût à mettre des robes, pourquoi il a aimé se faire sodomiser pour la première fois à dix ans par son cousin.
Pour en finir avec Eddy Bellegueule entre en résonance avec les textes d’Annie Ernaux, même si la race qu’Edouard Louis entend venger n’est pas la classe des gens de peu/petites gens (ad libitum) mais celle des pédés/gays/homos (ad libitum), et Retour à Reims de Didier Eribon qui en est le dédicataire –ce qui doit le rendre fier et lui donner un coup de vieux. Mais il doit aussi à la sociologie selon Bourdieu (heureusement cela ne se voit ni ne s’entend) dont il dit qu’elle lui a permis de ne pas juger ses personnages. Son livre est en colère, sous l’influence de Thomas Bernhard mais sans ses harangues, pour faire de la violence un espace littéraire. Deux niveaux de langage alternent en permanence sous sa plume : le sien en caractères romains, celui des autres en italiques. La violence de la grossièreté fait ainsi irruption en permanence dans une littérature apaisée; l’une et l’autre forme s’enchevêtrent parfois donnant la mesure de ce qu’il y a encore d’Eddy en Louis. Il est marqué par les odeurs. Pas de celles qu’exhale un champ de lavande dans le Lubéron, mais « l’odeur du cri de mon père », ou celle d’un homme au souffle de bœuf mêlé de pastis, ou encore l’odeur des corps nus déjà marqués par leur classe sociale :
« J’aurais voulu rendre palpable cette odeur, pouvoir la manger pour la rendre plus réelle »
Il y en aura pour lui faire un procès en misérabilisme. Mais qu’attend-on d’un écrivain qui vient de là ? Qu’il en parle comme Nathalie Kosciusko-Morizet du métro ? Le charme discret du dénuement ? Ca pue plus encore que ce que cela prétend désigner. Edouard Louis a écrit son livre comme on écrit un mot d’excuses. S’excuser autant qu’excuser les autres. Ceux qu’il a fuis. Sans en tirer gloire. Car la fuite n’est pas nécessairement une manifestation de lâcheté. Fuir est parfois plus difficile que résister.
(photos Jean-Pierre Bertin-Maghit et Henri Cartier-Bresson)
1 294 Réponses pour Eddy Louis venge sa race
et quand je pense , je clique mal.
J’aime bien penser.
Moi j’aime bien cliquer !
contre-pied:
http://www.laviedesidees.fr/La-fiction-du-social.html
T. de Chardin, H. de Lubac, M. de Certeau.
Que des bons.
Enfin, surtout le deuxième et le troisième.
Enfin, surtout le deuxième.
Aujourd’hui, 25 janvier 2015, nous célébrons la conversion de Paul de Tarse.
Camarade JC, voici le moment de l’auto-examen
« il n’y a plus d’esclaves et de maîtres… un en Christ »…
Il est temps, il est grand temps d’écouter la bisexualité qui gémit au sein de toi et l’humanité méprisée qui frappe à ta porte.
« « Le pape François a évoqué le philosophe jésuite Michel de Certeau en recevant le président Hollande. » »
Ce qui permet de ne rien savoir sur ce qu’ils ont pu dire, puisque le brillant de Certeau, dans le savoir du dernier siècle, était partout chez lui.
uh, uh, ne prenez pas votre cas soc’ pour une généralité.
La position du misssionnaire est une gymnastique intellectuelle.
http://www.canalacademie.com/ida8901-Ignace-de-Loyola-la-conversion-1521.html
Il fait encore un temps à ne pas vous tenir compagnie.
Bon week-end !
Préparez les vivants
à baiser les morts
http://www.laviedesidees.fr/La-fabrication-sociale-d-un.html
u. dit: 25 janvier 2014 à 10 h 10 min
« Il est temps, il est grand temps d’écouter la bisexualité qui gémit au sein de toi et l’humanité méprisée qui frappe à ta porte. »
« il n’y a plus d’esclaves et de maîtres… un en Christ »…
Camarade u.,
– ce que tu entends gémir au sein de moi, c’est ma prothèse. J’ai acheté un gode-ceinture expérimental à Bougboug. Mal fini, le plastique rouille. On peut effectivement invoquer une bisexualité bruyante !
– Evidemment, je l’ai toujours dit : nous sommes tous frères.
(mais, c’est vrai qu’il y en a qui sont plus frères que d’autres…)
De l’influence de l’enseignement religieux et des religions.
Vieille branche, le sureau vous égare.
Permettre que la vie du grand Loyola soit rapetissée par un ordinaire François Sureau, et sembler s’en réjouir…
On pourra donc m’entendre sur RFI, dans l »émission d’Yan Amar « La Danse des mots » le mardi 28 janvier 2014 entre 14h et 14h 30. On pourra même y réagir, ici où là-bas !
Avec ou sans modération ?
L’infortune, grand prix du roman de l’académie française en 1990… C’est fou comme le temps passe à l’oubli quoique avec cette mémoire informatique il suffit de savoir que chercher, comme la question contiendrait la réponse.
(mais, c’est vrai qu’il y en a qui sont plus frères que d’autres…)
les soeurs
Le choix du mot englobe différentes pistes, que nous suivrons le 28 janvier entre 14h et 14h30, promis!
bérénice dit: 25 janvier 2014 à 10 h 18 min
Je n’ai pas lu les livres de Lahire, mais quelqu’un qui renverse la marmite de potion magique (appelée « habitus ») du grand druide Bourdieu ne peut que m’être sympathique.
http://www.rfi.fr/emission/20140128-jacques-barozzi
tu devrais envoyer ta photo au webmaïster
ha que n’as tu ton site pour l’y faire figurer ! rénato serait mort de jalousie
Pour Rose, la recette :
Prenez de beaux filets de merlan. Attention, hein : pas de filets surgelés ou déjà prêts. Vous achetez les poissons entiers et vous faites préparer les filets par votre poissonnier, en gardant la peau.
Dans un plat en fonte, vous faites chauffer de l’huile d’olive (bio). Au bout d’un moment, vous ajoutez le jus d’un citron (bio).
Vous placez alors vos filets, la peau contre le plat, vous couvrez d’un couvercle, vous attendez que la chair du poisson soit bien cuite, blanche, mais surtout pas trop (éviter le déssèchement).
Vous réservez alors vos filets, et vous mettez à feu tout doux le jus.
Vous prenez du riz blanc (bio), vous le faites cuire mais là aussi, pas trop.
Vous revenez à votre plat : vous ajoutez au jus deux bonnes cuillerées à soupe de crème (bio), vous touillez jusqu’à ce que ce soit un peu onctueux, vous ajoutez par-dessus mais SANS MELANGER le riz, vous rajoutez encore les filets réservés, vous salez, vous poivrez, un peu d’herbes genre céleri en poudre (tout bio).
Vous ouvrez le four de votre super super chaudière à granulés mixte et bois -la gloire de votre maison – vous mettez votre plat muni du couvercle dix minutes dedans.
C’est simplissime et excellent. Le cidre -surtout celui de Clopin , parce qu’il est fermier, fruité et sec (faut dire que Clopin a gardé, dans son clos, des variétés anciennes de pommier : c’est donc un mélange unique de pommes qui lui sert), le cidre brut, donc, va très très bien avec ! Et le goût du merlan est vraiment fin. Il n’en reste généralement pas une miette… Attention en servant : le truc, c’est de faire une construction sans mélanger. le poisson dessus, le riz dessous, et encore en-dessous la sauce.
La nourriture c’est ce qu’il reste quand il n’y a plus rien d’autre à faire, en tirant un peu sur l’ineptie, on pourra développer la spiritualité dominante des peuples d’affamés.
Préparez les vivants
à baiser les morts
ha que c’est vilain ! on pouvait caviarder le tesque, palimpsester sade, cochonner rambrante c’était encore du boulot de graphiste parisien y’a 30 ans..maintenant n’importe quel infograph picard couche avec monalisa..
chauffer de l’huile d’olive (bio)
dans le dernier tango à à la dieppoise c’est que du beurre et de la crème double a tous les étages..du jus de moule..des crevettes grises..dla saint jacques
10h18 Quelle horreur, j’ai du m’imposer le visionnage d’un film mexicain dont j’oublie le titre et où il fut question d’un père qui pour se débarrasser du corps mort de sa fille l’emballe dans des sacs poubelle, traverse la ville pour finir à la décharge et dans un dernier réflexe se décide à l’introduire… Abject . Pauvreté inimaginable totale en représentation.
Du Japon
http://news.fr.msn.com/ecologie/photo/fr2fr-massacre-des-dauphins-se-poursuit-au-japon#image=2
Grâce à la dernière chronique de Clopine, JC est désormais prévenu qu’en allant honorer ses chèvres il ne doit pas oublier de sortir couvert !
C’est-y pas bio ?
bérénice dit: 25 janvier 2014 à 10 h 47 min
Abject . Pauvreté inimaginable totale en représentation.
C’est de toute évidence une métaphore.
Un écrivain va remette son manuscrit à un éditeur.
Avec le petit remords de rigueur, avant l’échéance.
C’est ce que Les inrocks et Terra Nova appelleraient « une critique féroce de la république des lettres ».
Il est bien certain, Chaloux, qu’entre la paranoÏa de Jauni Brownie et celle, érotomaniaque, de cette pauvre Rose qui cherche encore et toujours à s’accrocher à mes basques – pour un cas, c’est un cas ! – il y là les lecteurs tout désignés pour l’ouvrage de N.Rheims ..
Bon, ce n’est pas très charitable de se moquer.
Oh non.
Ce n’est pas bien du tout,
du tout,
du tout.
Ces toutous méritent toute notre compassion.
Si.
(je sens que jauni Browni va japper de plaisir!)
Bougueeau, je vous recommande « la marmite dieppoise ». C’est la cuisson de trois poissons différents qui fait l’originalité de la recette, et du restaurant du même nom. La carte est restreinte à quelques plats, mais la recette phare est effectivement très très bonne.
Connaissez-vous aussi les maquereaux marinés à la dieppoise ? C’est tout un monde…
Virginia Woolf
Comment ça ?
Fi des cochonailles, clopine se reconvertie dans la poissonnerie ?
Quel karma !
« Il est bien certain, Chaloux »
Chaloux est parti, Daaphnée, mais soyez rassurée, D. est revenu !
Enchantement ou substitution ?
« Virginia Woolf »
La Folle de Chaillot
Daaohnée c’est la folle de Chaloux ?
Dans la poissonnerit, plutôt.
Je n’ai pas lu les livres de Lahire, mais quelqu’un qui renverse la marmite de potion magique (appelée « habitus ») du grand druide Bourdieu ne peut que m’être sympathique.
Le problème avec les sociologues, U., c’est surtout la reception de leurs discours, non ?
On aurait tendance à penser que ce qu’ils constatent – et encore, leurs grilles de lecture sont bien discutables … voyez Marcela – a valeur de « vérité »: si les choses sont comme cela, argument du nombre à l’appui, c’est que là réside le sens des choses.
Et l’exemple, en nombre, prend valeur d’argument.
Quelle stupidité !
« Le problème avec les sociologues, U., c’est surtout la reception de leurs discours, non ? » (Daaphnée)
Les discours de réception, c’est pas gai non plus, surtout quand il faut faire l’éloge d’un nul, qui a eu le malheur de précéder.
Une minorité écoute ça avec une jouissance perverse.
(je sens que jauni Browni va japper de plaisir!) (Daaphnée)
Tais-toi, pétasse, ou j’ti fous mon p’tit bout dans l’oignon. Quand c’est pas le Chaloux qui la ramène, c’est sa poule ! Mais que fait l’hôte de ces bois? A-t-on remarqué que, sans doute définitivement écoeuré de lire tant d’insanités, i;l semble avoir renoncé à intervenir ? Tout fout le camp dans cette baraque. Rose, ti amo. Ti voglio !
quelqu’un qui renverse la marmite de potion magique (appelée « habitus ») du grand druide Bourdieu ne peut que m’être sympathique. (daaphnée)
Cracher dans la soupe à Bourdieu, c’est facile. C’est Sartre qui parlait de la supériorité reconnue des chiens vivants sur les lions morts. Mais discuter Bourdieu avec des arguments sérieux, c’est une autre affaire. Les aptitudes intellectuelles de Daaphnouille ne me semblent pas à la hauteur de cette entreprise délicate.
Comment parler des livres à la télé aujourd’hui ?
La grande librairie ou Bibliothèque Médicis, en tous points décalquées de la défunte Apostrophe de Bernard Pivot ne sont pas vraiment convainquantes ni stimulantes.
Plutôt démodées et quelque peu ennuyeuses, malgré le savoir faire indéniable des animateurs.
C’est un vrai problème.
Y a t-il encore place pour les magazines culturels sur les médias traditionnels ?
Le pape François a raison, internet est un don de Dieu !
La grande librairie ou Bibliothèque Médicis, en tous points décalquées de la défunte Apostrophe de Bernard Pivot ne sont pas vraiment convainquantes ni stimulantes.
Plutôt démodées et quelque peu ennuyeuses, malgré le savoir faire indéniable des animateurs.
C’est un vrai problème. (Jacques Barozzi)
« convaincantes »
Un peu injuste. Je garde le souvenir d’une émission assez récente (je crois que c’était chez Taddei) qui réunissait Quignard, Echenoz et Modiano ; on ne s’ennuyait pas. Ce sont peut-être les invités qui, souvent, sont ennuyeux. Mais même dans ce cas, ces échanges restent très au-dessus des insanités qu’on s’envoie à la figure, avec force vociférations, chez un Ruquier, où c’est bien pire que sur les fils les plus agités de la RdL.
malgré le savoir faire indéniable des animateurs
comme on sait pas choisir le croisement d’animatrices a fortes poitrines et de jeunes pédés affriolants donne elcabache baroz..c’est scientifique
« le souvenir d’une émission assez récente (je crois que c’était chez Taddei) qui réunissait Quignard, Echenoz et Modiano » (John Brown)
C’était chez Busnel. Modiano a laissé entendre d’emblée qu’il n’avait rien à dire mais voulait bien faire acte de présence par politesse. Echenoz avait l’air de se faire ièche comme un rat mort. Quignard (qui est un homme très gentil dans la vie) faisait ce qu’il pouvait pour paraître enthousiaste, mais ça sonnait faux.
Cracher dans la soupe à Bourdieu, c’est facile
non jean marron, ça rapporte, la sociologie est la base du marketting..un truc tellement scientifique que le libéralisme interdit a quiconque de discuter la scientificité puisqu’il paye des sommes folles pour ça..private..djeuste biznèce..si zouzou trouvait un mentor il calçonnerait avec un barbe de 8 jours et un air goguenard et dubitatif a 40 k€ par mois..
t’étais pas la cible keupu..trop con
Le pape François a raison, internet est un don de Dieu !
..faut reconnaitre son improbabilité..assez ztupéfiant..un aoutpout de la guerre froide dingue..ha les historiens auront un taf maous
« un air goguenard et dubitatif a 40 k€ par mois » (bouguereau)
C’est ainsi que je vois u., en effet. Pour retoucher le portrait, ajouter peut-être un petit filet de bave, rapport aux 40 000 balles par mois qu’il n’a pas, justement.
Connaissez-vous aussi les maquereaux marinés à la dieppoise ? C’est tout un monde…
j’ai été élevé au rollmops clopine..la lisette crue nique vontraube et ses souchis
Pauvre Jauni Browni, qui confond les assertions de U. et les miennes !
Quelle confusion mentale !
La sénilité ne lui ronge pas que les tripes ..
Je crois que tu m’as convaincu, le boug.
Pour ne pas périr d’ennui, je songe sérieusement à créer mon propre blog !
Mais comment le nommer ?
Quelqu’un aurait une idée pour le titre ?
un petit filet de bave, rapport aux 40 000 balles par mois qu’il n’a pas, justement.
L’homme « fort de la Rdl » tourne au SMIC. Misère!
C’était chez Busnel. Modiano a laissé entendre d’emblée qu’il n’avait rien à dire mais voulait bien faire acte de présence par politesse. Echenoz avait l’air de se faire ièche comme un rat mort. Quignard (qui est un homme très gentil dans la vie) faisait ce qu’il pouvait pour paraître enthousiaste, mais ça sonnait faux.( L’homme fort de la RdL)
Comme quoi les impressions sont fort différentes. L’attitude que vous prêtez à Modiano ne me paraît pas correspondre à la délicatesse de l’homme. C’est vrai qu’Echenoz n’avait pas dit grand’chose, mais c’est sûrement quelqu’un qui préfère écouter que tenir le crachoir. En tout cas, la réunion de ces trois-là sortait de l’ordinaire. Cela passait beaucoup aussi par les regards. Emission à revoir, en tout cas, histoire d’en avoir le coeur net.
Je crois que tu m’as convaincu, le boug.
c’est la puissance du ricard du porc et de bourdieu baroz !..je ne suis qu’un ayatola de banlieue..remercie allah pour moi !
pour le nom…si phil te propose goudurisc envoie le chier
Analyser la collection de la Pléiade, c’est questionner une politique éditoriale et une conception de la littérature.
Mon navigateur, qui refuse de me diriger sur le site de « Fabula.org », m’indique » URL incorrecte » . A vérifier.
comme on sait pas choisir le croisement d’animatrices a fortes poitrines et de jeunes pédés affriolants
N’exagérez pas, le Boug’!
Ici, avec Jauni Browni gros, gras, grande gueule mais petite bite, ça ne peut pas bien fonctionner non plus.
Non.
Que voulez-vous, ça pinaille !
Pfff !
L’homme « fort de la Rdl » tourne au SMIC. Misère!
oui..ha si zouzou tournait à 40k€ il serait généreux..ouvrirait un serveur gratos pour les affiliés de la rdl…mais voilà..tu vois bien que le libéralisme n’est pas un bon régime zouzou
L’homme fort de la Rdl est u. ?
« C’est ainsi que je vois u., en effet. » (mastard)
Couilles en or, et n’en parlons plus!
jhon brown sait raisonner, dommage qu’il joue si souvent à chocapic, brèfle, personne n’est parfait moi non plusse.
je vais me dévorer un toine culot, wouikende à trignolles.
« ouvrirait un serveur gratos pour les affiliés de la ddl… » (bouguereau)
« There is no free lunch »
C’est Friedman ou Hayek qui a dit ça?
C’est aujourd’hui repris à tout bout de champ par des financiers ou des administrateurs de merde.
C’est comme « turkeys don’t vote for Christmas », « it takes two to tango »…
Putain, quand je pense que moi aussi, j’ai répété ça.
Fini.
Le porc + Allah + les rolmops, c’est Berouth sur Seine ta banlieue, le boug !
Le god-ceinture contre les lances roquettes ?
Peace and love !
Daaphnée, vous qui connaissez ma sensibilité, ma délicatesse, vous me proposez quoi comme titre pour mon futur blog ?
« Tenue de soirée » jacques, tu as tout dedans, le goût du cinetoche, le verbe vert, et l’envers du décor. Ceusse qui cherchent les paillettes seront bien choqués, ils risquent de revenir, fascinés.
Les discours de réception, c’est pas gai non plus, surtout quand il faut faire l’éloge d’un nul, qui a eu le malheur de précéder.
Une minorité écoute ça avec une jouissance perverse.
Plus ou moins tout de même, je me souviens d’un débat Braudel/Bourdieu/Gallo où Bourdieu ne passait pas pour celui qui aurait inventé le fil à couper le beurre … et ne le revendiquait pas non plus, bien qu’à travers sa personnalité, la sociologie ait bénéficié d’une grande diffusion de ses travaux.
En revanche, ce qui apparaissait de l’apport de la sociologie aux autres sciences humaines, était, très justement, remis à sa place (avec entre autre la question de l’ « habitus », si je me souviens bien, et la question du travail sur le « temps présent » des sociologues).
L’échange Braudel/Bourdieu était très intéressant, les deux s’écoutaient … ô miracle des esprits ouverts à ce moment-là.
A revoir:
Braudel/Bourdieu/Gallo
http://www.ina.fr/video/CPB79051936
Bourdieu présentait « critique sociale du jugement » et les critiques que lui adressait Braudel étaient très pertinentes.
« L’échange Braudel/Bourdieu »
Ce sont des pères, Daaphnée, et je n’en tue aucun!
Mais comme vous l’avez noté, leur lourde descendance nous empêche parfois de voir l’herbe nouvelle qui pousse devant nous!
« Daaphnée, vous qui connaissez ma sensibilité, ma délicatesse, vous me proposez quoi comme titre pour mon futur blog ? »
Hors du mot Queue, Jacques, pas de salut.
Mais de manière diverses et raffinées de l’accommoder.
Vous allez trouver!
« Hors du mot Queue, Jacques, pas de salut. »
Incluant la jaquette en queue de pingouin, « Tenue de soirée », c’est pas une mauvaise idée, Detolle picard !?
l’herbe nouvelle qui pousse devant nous!
L’expression est jolie, U. … Je vous vois, enfin, un brin d’optimisme ..
avec le manteau de foururre, je suggère, pour te caresser les joues ..
Je sens que je vais devoir faire une synthèse, Jacounet ..
mmm ..
« Hors du mot Queue, Jacques, pas de salut. »
+ ce côté pipelette qui vous caractérise ..
qqc avec l(a) queue de pie ..
On interroge Daaphnée et c’est u. qui répond : ce couple est fusionnel !
(ce couple est fusionnel !
je me demande si Jacounet ne va pas croire que je vous chauffe à blanc, U. ..
Alors que vous restez de marbre, en vrai. )
D’autant plus que sous la fourrure je serais nu, Detolle picard …
Qui a dit le 25 janvier 2014 à 12 h 42 min :
« N’exagérez pas, le Boug’!
Ici, avec Jauni Browni gros, gras, grande gueule mais petite bite, ça ne peut pas bien fonctionner non plus. » ?
Ben oui, Jacques.
Entre l’autre grassouille, la bite en berne, et vous: peu de différences dans les réactions.
Et si l’autre est pédé comme vous, en plus, franchement je vous laisse aux joies scoop !
Délit d’homophobie !
D à 14h05
>Jacques Barozzi
fusionnel et exhibitionniste. C’est leur lot attribué.
bien cordialement à vous,
je repars
rose
u. excusez mais je ne raccorde pas votre réponse à mon envoi, ????
Daaphnée dit: 25 janvier 2014 à 13 h 24 min
ô miracle des esprits ouverts à ce moment-là.
Je n’en sais rien : mais cela changeait de vos sempiternels « mon cul, mon cul, mon cul » et « baise-moi, baise-moi, baise-moi », publics.
A se demander si sans le public, cela marche. On peut en douter tellement l’habitus semble inscrit dans votre fonctionnement.
C’est vrai.
Il y avait quelques décollages.
« Délicatesse et sensibilité » serait un bon titre pour votre blog, Jacques Barozzi.
Est-ce que Jérusalem est en Europe ?
Le problème avec les sociologues, (Daphnée)
Je les vois comme des arpenteurs, des géomètres qui font des relevés topographiques, qui recueillent des données laissant à chacun l’opportunité de s’exercer à l’analyse, celle-ci étant de toutes façons imprégnée d’idéologie,ou l’opportunité de poser des conclusions alors même qu’elles s’éloigneraient des leurs quand ils en font part.
Je constate que Barozzi n’a pas eu un mot au sujet du bouquin d’Edouard Louis. Lui qui nous a fait tant et plus sa Cosette (à Cannes (sic)), il est complètement laminé par le récit de cette enfance picarde (et néanmoins picaresque).
Rose, éros pulsion de vie, on nous demande quelque-part de sublimer plutôt que fantasmer plus ou moins crûment, en gros ou en détail.
l’un dans l’autre ? en hommage à passou, près / loin c’est déjà pris en copyright.
jacques ne penserait-il qu’à sa propre carrière, sans se soucier des jeunes qui écrivent, je n’oserais le dire, il s’est dévoué à lire jc ..
NO, it is not. Jerusalem is a town (Yates County), New York state, in the United States of AMERICA.
La supériorité des chiens vivants sur les lions morts, d’après Jean Sol partre : cela se discute.
Ce matin, par miracle, une émission sur France Inter où étaient lues des lignes du Lion au moment de la rencontre du narrateur avec la bête, sa queue claqua plus fort. Puis la petite voix fluette et déterminée de Patricia.
Je peux vous assurer que ce King là, mort, vaut tous les chiens vivants d’aujourd’hui.
Le bonheur dans son essence même cette émission là vers 11h30;
Haut les cœurs.
Sa queue claqua plus fort c’est l’exemple, par grand hasard, en lien avec vos propos courtois.
Soave il vento…
Porthos aussi est pulsion de vie.
Entre sublimer et fantasmer la frontière est mince.
silencio dit: 25 janvier 2014 à 14 h 29 min
jacques ne penserait-il qu’à sa propre carrière, sans se soucier des jeunes qui écrivent,
Pourtant, Edouard Louis est fort beau garçon…
Je n’en sais rien : mais cela changeait de vos sempiternels « mon cul, mon cul, mon cul » et « baise-moi, baise-moi, baise-moi », publics.
Rose
Dites, Rose, il n’y a que vous qui dites cela.
La preuve.
Alors, assumez ou allez vous faire soigner.
« Ça se lit bien est un curieux argument pour défendre un livre. (Eric Chevillard)
« ça se laisse lire » n’est pas mal non plus.
Rose des rails ?
http://www.forumancientcoins.com/MONetaromana/corrisp/a831/grande.html
… et on a vu le résultat..
bérénice dit: 25 janvier 2014 à 10 h 41 min
La nourriture c’est ce qu’il reste quand il n’y a plus rien d’autre à faire, en tirant un peu sur l’ineptie, on pourra développer la spiritualité dominante des peuples d’affamés.
Allez dire ça aux hommes de Cro. vous allez vous faire recevoir. Et aux Kirghizes vous ne serez pas à la table des hôtes.
Je ne prendrai pas la peine de vous l’expliquer le banquet autour du mouton (où je découvre d’ailleurs que la tête est un met de choix, ce qui me console un peu).
Et puis, in fine, tant mieux pour vous si vous ne venez pAs d’un peuple d’affamés : vous ne venez donc pas de bien loin.
La supériorité des chiens vivants sur les lions morts, d’après Jean Sol partre : cela se discute. (Rose)
Sans doute, mais on peu trouver des exemples à l’appui de sa thèse. ainsi :
Daaphnée est une chienne (bâtarde) vivante. Pierre Bourdieu est un lion mort. donc la supériorité de Daaphnée sur Bourdieu est reconnue.
Merci renato et comme il y a à disposition deux heures de prise de son, nous pourrions tester l’influence de cette musique sur nos provenances diverses, examiner le contenu du flux soumis au chant, voir si des améliorations du style et contenu sont constatables.
la pecora nera renato.
Rose c’était ronique.
John Brown dit: 25 janvier 2014 à 14 h 37 min
« Ça se lit bien est un curieux argument pour défendre un livre. (Eric Chevillard)
Moi, je n’ai jamais vu un sommelier servir une carafe d’eau ni entendu un serveur dire « ça se boit bien » à propos de flotte.
Un mets un singulier au pluriel
(aglagla, le retour de flammes)
un œuvre pour Dürer au masculin
Les amours au féminin
>bérénice Puisque c’était ironique je vous parlerai du banquet chez les Kirghises. OK.
Bonne joueuse.
25 janvier 2014
Ah merci Clopine.
Cela va me changer du steak/frites.
Bises
rose dit: 25 janvier 2014 à 14 h 45 min
Les amours au féminin
Moi, je n’ai jamais vu un sommelier servir une carafe d’eau ni entendu un serveur dire « ça se boit bien » à propos de flotte. (oenologue)
Moi non plus; c’est d’ailleurs pourquoi je n’ai pas repris toute la citation de Chevillard; « ça se lit bien » est en effet un curieux argument, plutôt dépréciatif, mais Chevillard n’a pas trouvé la bonne comparaison; difficile de débiter à jet continu de l’humour inspiré quand on a décidé d’en faire sa raison sociale. Chevillard me fait parfois l’effet d’un équivalent « littéraire » de ces humoristes professionnels qu’on nous sert en série dans je ne sais plus quelle émission dominicale.
@ jhon brown, c’est que daaphnée pratique la domination masculine, edouard louis a une petite voix de porcelaine, interviewé dans un sofa devant un paravent chinois ..
http://www.yourtes.org/
Rose j’ai repéré la tente, je m’installe et attends votre récit, avec le décalage horaire peut-être verrions nous un ciel étoilé.
faire sa raison sociale. Chevillard me fait parfois l’effet d’un équivalent « littéraire » de ces humoristes professionnels qu’on nous sert en série dans je ne sais plus quelle émission dominicale.
N’importe quoi! On pourra parler du style à Chevillard, de son coté insolite, hors du contexte, de son humour mais là n’est pas le tout, à mon avis. Etes-vous de l’espèce des jaloux? des envieux?
« bérénice dit: 25 janvier 2014 à 14 h 16 min
u. excusez mais je ne raccorde pas votre réponse à mon envoi, ???? »
On passe ici en courant comme sur un court, berenice.
On a vite oublié qui a fait le service, on ne sait plus à qui on adresse un revers…
Heureusement!
« Etes-vous de l’espèce des jaloux? des envieux? »
Brown?
Ça rentre pas dans le film.
C’est des types comme moi qui s’en prennent aux lions!
Etes-vous de l’espèce des jaloux? des envieux? (Bérénice)
Pas du tout. Je prise fort Chevillard romancier (j’ai eu l’occasion de m’en expliquer ailleurs). Je trouve qu’il se disperse un peu trop, voilà tout ; on ne peut pas toujours être inspiré. Ceci dit, lire « L’Autofictif » est toujours une source de vif plaisir.
u. dit: 25 janvier 2014 à 15 h 07 min
en courant comme sur un court
Ou alors on prend le vélo…
« Et si l’autre est pédé comme vous, en plus, franchement je vous laisse aux joies scoop ! »
Joli !
Imaginez, délicate Daaphnée, que je termine un commentaire à vous adressé de votre façon : « Et si l’autre est juive comme vous, en plus, franchement je vous laisse aux joies cachères ! » ?
Chenillard, c’est plutôt « L’Autolfactif », il aime se sentir l’odeur corporelle visiblement.
Cela doit être quelqu’un qui fait collection de ses crottes de nez et de ses vieux chewing-gums, comme un David Lynch du pauvre. En plus c’est un couard fini, il a peur de Busnel. Son public se compose de borénice et de sean braun ? Qui cela étonnera-t-il ?
L’autre jour, Rose écrivit « je ne suis pas un oiseau ». C’est pourtant pas faute d’être perchée.
Daaphnée, femme vulgaire…
Je n’ai rien à dire sur le livre d’Eddy Louis pour la simple raison que je ne l’ai pas lu.
Je trouve qu’un sommelier, dont le métier et de vendre du vin plutôt que de l’eau, pourrait très bien dire d’un petit vin de propriétaire qu’il se boit bien ou qu’il se laisse boire ! Mais là, ça foutait par terre la démonstration à Chevillard !
« Sartre et Bourdieu doivent se retourner dans leur tombe. » (Daaphnée)
Ils reposent ensemble?
Ce huis clos doit être un enfer.
Jacques Barozzi, et si l’autre est juive comme vous, sur le schéma précédent, signifierait-il, puisqu’on ne peut pas considérer que « pd » sauf à etre préssé soit correct, que l’adjectif ou nom commun jusqu’à nom propre serve d’injure chez vous aussi?
une remise de livre qui est un don d’internet
« ? Printed in the late 16th century this small book from the National Library of Sweden is an example of sixfold dos-à-dos binding, where six books are conjoined into a single publication but can be read individually with the help of six perfectly placed clasps. This particular book was printed in Germany and like almost all books at the time is a religious devotional text. The National Library of Sweden has a fantastic photo collection of historical and rare books where you can find many more gems like this, and this, and this.
http://www.thisiscolossal.com/2014/01/this-16th-century-book-can-be-read-six-different-ways/
« Et si l’autre est pédé comme vous, en plus, franchement je vous laisse aux joies scoop ! » (Jacques Barozzi)
Apparemment que Daaphnée n’est pas avare d’injures tombant sous le coup de la loi. Tout-à-l’heure, un certain « Jaunie Brownie » s’est fait traiter de « merde humaine ». Les nazis disaient « drecksman »… Si Daaphnée est vraiment juive, comme vous le dites, ça la fout mal. Il semble que, sur ce blog, la modération des commentaires fasse problème. Entre les interventions de Daaphnée et de ses émules, on a parfois l’impression de louvoyer sur un trottoir encombré d’excréments canins.
Qu’un homme ne montre pas de goût sexuel pour sa petite personne met la nymphomaniac Daaphnée en fureur !
Surtout, ma foi, si en plus il est joli garçon…
breda se prend pour Bloom.
Quelqu’un pourrait-il traduire le bérénice de 15 h 26 min ?
« dont le président a pu apprécier lui-même la bonne connaissance de la France et de ses valeurs. Et de sa laïcité. Le pape lui a même cité le philosophe jésuite Michel de Certeau. »
c’est ainsi que l’on parle de psychanalyse pour les fidèles
Disons, Jacounet, que si moi je peux me permettre de jouer avec les mots .. Vous, en revanche ..
Un peu comme ce Jauni Browni .. malgré, pour lui, un tout petit vernis d’homme de lettres.
Tout petit.
C’est ballot.
Le pape lui a même cité le philosophe jésuite Michel de Certeau. (Breda)
Vu le vaudeville élyséen, il aurait été mieux inspiré de citer Feydeau.
breda c’est quand même pas La brède
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_La_Br%C3%A8de
Jacques Barozzi dit: 25 janvier 2014 à 15 h 31 min
Quelqu’un pourrait-il traduire le bérénice de 15 h 26 min ?
ça a l’air d’être du français mais c’est, en effet, incompréhensible. Il nous faudrait un cryptologue de génie, genre Alan Mathison Turing. « Mauvais genre » protestera Daaphnée… puisqu’il était « pd ».
Jacques, et se faire traiter d’enculé quand on n’aime pas ça, est-ce que ça tombe sous le coup de la loi?
« Mauvais genre » protestera Daaphnée… puisqu’il était « pd ».
Le « genre » (!) « pd », comme vous dites pudiquement, est très bien porté par certains.
Pas tous. Vous devez en savoir quelque chose, apparemment.
Paradoxalement il m’arrive d’utiliser ces deux lettres en pensée quand je suis pressée d’exprimer une colère, une humeur sombre mais passagère, j’agrémente j’invente pour ne pas tomber dans cette facilité condamnable, je fais des efforts pour la rayer de mon répertoire,cependant alors je lui greffe des rames des palmes des lesbiennes.
inhumaine.
Il est vrai, Chaloux, que j’ai quelque peu hésité … il m’évoque plutôt le porc.
Chaloux les mots débordent rarement de la phrase, heureusement! Où en serions nous juste après l’intention car n’envisage-t-on pas à proférer de telles choses de passer à l’acte ou ne souhaite-t-on pas tout ce mal à celui à qui on le donne à entendre?
Oui, Daaphnée, une sorte de porc de cirque.
on aurait pu dans les livres offerts glisser « comment faire rire un paranoïaque de Roustang , également jésuite, m
Le terme « pédé » est effectivement un peu foireux puisque pédéraste est construit autour de la racine « enfant ». L’acception actuelle la plus courante ayant dérivé vers « homosexuel masculin », on a re-formé pédophile qui en toute rigueur est la même chose que pédéraste. Erosion de la langue. Comme dirait Kador : « C’est chié ! »
« les mots débordent rarement de la phrase »
Bérénice, sont-ce des images ou des métaphores?
notoirement reconverti à l’hypnose, ce françois -là et de trois: trouez le quatrième!
Un de mes amis apprécie particulièrement que j’appelle « fille à soldat ».
trouvez!
Ces caresses sur la RdL me rappellent les propos de Mauriac sur « l’excrémentialisme » de Sartre.
Finalement, c’est assez germano-pratin.
Cette insulte est presqu’un réflexe archaique chez certains comme putain pour la femme, comme juif sale juif qui tenace s’enracine comme bambou.
« Le terme « pédé » est effectivement un peu foireux puisque pédéraste est construit autour de la racine « enfant ». » (Sergio)
Il en va de même, patron, pour l’usage de l’affreux « pédagogique » par les hommes politiques.
« Il faut que le gouvernement fasse preuve de davantage de pédagogie »…
Le peuple, c’est des p’tits enfants.
Je pense billot, je coupe les petiots.
Voilà comment on « assassine » un Turing, à 41 ans, en 1954, en Angleterre, après l’avoir contraint à la castration chimique pour cause d’homosexualité.
« qui tenace s’enracine comme bambou. »
Joli.
Mais pas n’importe quel bambou: ce bambou là.
Chaloux dit: 25 janvier 2014 à 15 h 58 min
Un de mes amis apprécie particulièrement que j’appelle « fille à soldat ».
Genet, Sergio, qui assumait son homosexualité, utilisait volontiers « pédérate » comme un terme général qui désignerait l’homme attiré par d’autres hommes.
Terme qu’il déclinait en « tantouze », « tapette », « pédé », « caroline » … et j’en passe .. Jusqu’à inverser les « il » et les « elle » pour ses Divine, Mimosa, Notre-Dame ..
C’est dire combien il n’y a pas à se pousser du col, comme on le lit ici chez des nuls.
N’être qu’en comparaison… Non mais ce que ça trimballe…
Lire : J’apprécie qu’un de mes amis m’appelle « fille à soldatS ».
u. que voulez-vous, toujours garder un miroir pour se voir, se ficeler à quelques principes de base, en tentant de ne pas s’en écarter, j’en suis toujours à me demander qui je serais s’il y avait la guerre.
Ce « pédérate » en dit long !
« pédéraste » est d’ailleurs le mot qu’il utilise dans les entretiens, où là, il s’agit pour lui d’utiliser un Français très châtié.
Aucun auteur pour psychanalyser Jean Genet? et son pédérate
Chaloux dit: 25 janvier 2014 à 16 h 11 min
Très drôle, John Brown, et de bonne guerre.
Daaphnée dit: 25 janvier 2014 à 16 h 10 min
Genet qui assumait son homosexualité, utilisait volontiers etc. etc. etc.
Sans le s le terme perd son aspect transperçant, pénétrant, non?
Daaphnée dit: 25 janvier 2014 à 16 h 14 min
… il s’agit pour lui d’utiliser un Français très châtié.
Non, non, il n’était pas masochiste !
assume ton homophobie
Saperlipopette! Encore un pédé!
Daaphnée dit: 25 janvier 2014 à 16 h 10 min
Terme qu’il déclinait en « tantouze », « tapette », « pédé », « caroline » …
Pour nos amis de la Royale on a « corvette » !
corvette, c’est infantile.
Daaphnée dit: 25 janvier 2014 à 16 h 19 min
assume ton homophobie
Saperlipopette! Encore un pédé!
Absolument, et assumé 100%, et même militant !
Fille à soldat ne requiert pas de « s ». C’est soldat après soldat.
Néanmoins il fallait lire :
Un de mes amis apprécie particulièrement que je l’appelle « fille à soldat ».
Si vous étiez moins cons, je vous parlerais de la coiffeuse à Chaloux (une coiffeuse, un Chaloux)mais vous ne le méritez pas.
Daaphnée, connaissez-vous la musique russe de piano. Il y a de vraies merveilles. Ce matin, en sortant de chez la coiffeuse, pour une bouchée de pain (une cinquantaine de baguettes, en fait) je me suis offert les partitions des œuvres complètes pour piano de Glinka, Balakirev et Lyadov.
Ci-dessous,Rossignol, de Glinka, par la sublime Maria Grinberg.
http://www.youtube.com/watch?v=r_6w0oYiZNQ
Comme en France, la Grande-Bretagne a mal à son service public. Depuis plusieurs années, les bibliothèques font les frais des coupes de budget dans les différents comtés, et de plus en plus d’établissements sont gérés par des volontaires. Les militants poursuivent le combat, et cela passe aussi bien par la mobilisation que par la communication.
d
Comme en France, la Grande-Bretagne a mal à son service public. Depuis plusieurs années, les bibliothèques font les frais des coupes de budget dans les différents comtés, et de plus en plus d’établissements sont gérés par des volontaires. Les militants poursuivent le combat, et cela passe aussi bien par la mobilisation que par la communication.
dans une bibliothèque spécialisée dans l’image , les bibliothécaires se font cuire, ds leur « espace » du poisson le vendredi, poisson dont l’odeur crie aux narines des lecteurs !
Mikhail Glinka , l’Alouette, transcription pour piano par Balakirev.
Kissin.
http://www.youtube.com/watch?v=vaAkw1QNo18
Absolument, et assumé 100%, et même militant !
Félicitations!
Il nous reste en stock quelques tringles à rideau à distribuer aux heureux lauréat du « dîner de con ».
Daphnée, revenez, vous n’avez pas tout dit sur les pd et nous voulons savoir en héritiers de P Perret. Personne n’égale votre majesté, il faudrait d’ailleurs et de ce fait écrire une chanson dans le style du beau sapin.
Chaloux vole au secours de Daaphnée empêtrée dans ses fautes de français et ses propos homophobes. Pourvu que dans son menu russe, il fasse l’impasse sur Tchaïkovsky !
16h35 sacrément offensif pour une mitan!
Le jeu du samedi dit: 25 janvier 2014 à 16 h 35 min
… aux heureux lauréat du « dîner de con ».
Donc 1 lauréat et 1 con au dîner. Bref, vous dînez seul. C’est triste, non ?
« dans une bibliothèque spécialisée dans l’image , les bibliothécaires se font cuire, ds leur « espace » du poisson le vendredi, poisson dont l’odeur crie aux narines des lecteurs ! » (breda)
Enfin un mystère soviétique dissipé.
Chez les Popovs, les couvertures cartonnées des Editions du Progrès semblaient reliées à la colle à poisson.
C’était la faim.
aux heureux lauréat du « dîner de con ».
Quand on pense que Rose était à 2 doigts de gagner, misère!
Baroz porte la poisse!
Sans en tirer gloire. Car la fuite n’est pas nécessairement
car ? P.Assouline s’épuise surement à apprendre le grec, les enclitiques , et les lacaniens
45, 48, 51 un style décousu, c’est pour la Fashion week ou vous manquez de fil pour coudre les boutons?
… aux heureux lauréat du « dîner de con »
pépèpe..le lauréat c’est le cornac
..bon on peut se consoler que lassouline ça devrait lui couter un max en fourniture de bouche..mais c’est un médichi en carton bouilli
Bouboug l’a une grosse trompe.
clopine, sans commentaire, s’affirme en vraie peau de fesse
Titi la souris dit: 25 janvier 2014 à 17 h 11 min
Bouboug l’a une grosse trompe(molle).
En fait, il y a tromperie, effet d’optique. C’est une énorme hernie.
Quand on pense que Rose était à 2 doigts de gagner, misère!
c’est pas un concours de fistfeuck ! de la distinction !..que quelqu’un nous mette un peu de piano russe
..haaa..
excusez-moi, un galant, un faisan, un client…Je m’évapore sur le vaporetto
http://www.ubaldi.com/petit-menager/aspirateur-et-nettoyeur/nettoyeur/polti/nettoyeur-vapeur-polti–vaporetto-vt-evolution–100423.php?utm_source=GShopping&utm_medium=pla&utm_campaign=Catalogue&xtor=SEC-1106072750&gclid=CJ_t7-3cmbwCFVKWtAodFzMANw
..la mongolfière gonflé au pet..toud’suite on est dans les sphères avec cheuloux..le savoir faire..vdqs épicétou
Ta gueule, raclure de Boug.
Comment ça, Chaloux ?
Le Boug’ a une trompette ?
Bon, c’est vrai que piano et trompette, ça ne marche guère ensemble .. C’est dommage, au fond.
Non, c’est son tronc qui pète.
Daaphnée dit: 25 janvier 2014 à 17 h 27 min
Bon, c’est vrai que piano et trompette, ça ne marche guère ensemble .. C’est dommage, au fond.
Faudrait faire un essai avec Nini Rosso… Sur les lacs ! Le piano sur un ponton au milieu…
Daaphnée dit: 25 janvier 2014 à 17 h 27 min
Bon, c’est vrai que piano et trompette, ça ne marche guère ensemble ..
ça ne marche pas, c’est vrai, mais ça JOUE ensemble : concerto pour piano, trompette et orchestre à cordes / do mineur/ opus 35 / Chostakovitch
( tiens, so what de Miles Davis.
Ici, Miles Davis & John Coltrane.
ça ne marche pas, c’est vrai, mais ça JOUE ensemble : concerto pour piano, trompette et orchestre à cordes / do mineur/ opus 35 / Chostakovitch
Hé oui ! ça joue ensemble, bien évidemment.
Pfff !
C’est un as, ce photographe, une photo réelle qui a l’air plus trafiquée qu’une photo réellement trafiquée… Là on dirait une sorte de collage il n’en est rien évidemment.
Camille Saint-Saëns : septuor pour trompette, deux violons, alto, violoncelle, contrebasse et piano / mi bémol majeur / opus 65.
Sur les lacs ! Le piano sur un ponton au milieu…
mmm .., Sergio, un concert au bord du lac .. à la tombée de la nuit, quand la chaleur se dissipe ..
Côté suisse, ça se fait ..
100% assumé & mélomane
Hé ho !
Il faudrait vous mettre un peu au jazz, vous .
Vous allez manquer d’air avec votre chemise boutonnée jusque sur la pomme, d’Adam.
cheuloux c’est tantor..il te fait marcher un stainway avec cadre en fonte
bon normalement vous devriez me payer ma part de choucroute jambette..
Bouguereau, je connaissais la peau des fesses, déclinée en appeau d’Ephèse, mais de la « peau de fesses », je ne connais pas.
Et vous pourriez avoir deviné pourquoi j’ai fermé les commentaires de mon blog, non ? J’étais si lasse que je me suis dit, après tout, peau d’balle et balai de crin, je ferme…
Mais si vous avez un message à me délivrer, vous pouvez toujours écrire à clopinetrouillefou@gmail.com !!!
mais j’insiste pas..jean marron srait jaloux..il dirait que c’est lui le grand maou
Daaphnée, le cp,certo pour piano et trompette. Le Septuor de Saint-Saens est très amusant. mais écoutez surtout le Quintette qui est sublime.
L’autre concerto pour piano de chostachovitch est magnifique aussi.
Ci-dessous le 2e mouvement, par le maître soi-même.
http://www.youtube.com/watch?v=MHpmHhi1Rxk
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