Feydeau à la folie !
Feydeau ? Adultères et portes qui claquent. Soit. Mais une fois qu’on a lancé ce lieu commun, on n’a rien dit. Car si son théâtre n’était réductible qu’à sa caricature, pas sûr qu’il ferait autant d’effet plus d’un siècle après. On le dirait daté, obsolète et on le remiserait au grenier. Or il suffisait l’autre soir de voir la salle bondée du Vieux-Colombier pliée de rire du début à la fin, et le large sourire des spectateurs à la sortie, pour imaginer qu’il n’en est rien et qu’il porte en 2013 comme en 1892, date de la création à Paris du Système Ribadier, pièce en trois actes de Georges Feydeau et Maurice Hennequin.
Donc, le mari, la femme, l’amant. Comment s’y prendre pour en faire autre chose que ce que c’est ? Rester fidèle tant à la lettre qu’à l’esprit de Feydeau, le sel de son théâtre : l’absurde, le paradoxe, la fantaisie, la bizarrerie, le comique, la folie. Surtout la folie. Cette fois, c’est encore plus étrange. Influencé par les expériences de Charcot à la Salpêtrière auxquelles assistait le grand monde, le dramaturge a en effet introduit l’hypnose, et non plus la lettre ou le mot doux comme dans nombre de ses pièces, comme élément-clé sur lequel repose le fameux système mis au point par Ribadier lorsqu’il trompe sa femme : il l’endort le temps d’aller voir ailleurs. Sauf que tout ne marche pas toujours comme prévu, que des courts-circuits font disjoncter les personnages, empêtrés dans leurs stratagèmes mensongers. Confrontés à l’imprévisible, ils s’efforcent de s’en sortir individuellement en puisant dans leurs réserves d’imagination, d’invention, d’adaptation, de souplesse. Vieilles recettes ? Qu’importe si la cuisine est bonne. « Passé les bornes, il n’y a plus de limites ». C’est d’Alphonse mais cela aurait pu tout aussi bien allais ici.
Zabou Breitman a réussi une mise en scène rêvée pour rendre justice à cette dinguerie remarquablement composée, à son sens du burlesque aussi bien qu’à sa touche poétique. Tant par la mise en abyme opérée par le double décor (un salon bourgeois adossé à l’entrée du théâtre du Vieux-Colombier et la rue du même nom) que par l’énergie déployée par les comédiens, ce qui se noue autour de l’envers du décor fonctionne à merveille autour d’un principe ainsi résumé par Zabou Breitman : « Ce que l’on croit n’est pas forcément ce que l’on voit, ce que l’on voit n’est pas forcément ce que l’on croit ». Ainsi a-t-elle fait de « son » Système Ribadier une chose féroce conduite à un rythme d’enfer qui ne laisse guère de répit au spectateur. Une planche de Daumier interprétée par les frères Marx.
La troupe est irrésistible. Elle s’en donne à cœur joie, manifestement heureuse de servir un texte aussi bien vissé, plus profond qu’il n’y paraît dans le désespoir qui affleure, et d’être portée par un metteur en scène aussi ingénieux. Même le chien, qui traverse régulièrement la scène, est au poil. A la fin, il vient saluer avec les comédiens. Plus cabot, tu meurs !
Deux heures de spectacle. Jusqu’au 15 janvier 2014 (mon Dieu, comme le temps passe…)
756 Réponses pour Feydeau à la folie !
« Feydeau fut sans doute le seul homme de théâtre de son temps à avoir parfaitement bien compris la psychologie féminine. »
Sherlock: Mais de quelle « psychologie » ?
Watson: biologiquement parlant, la biologie n’étant pas réduite à la dissextion des grenouilles, il faut convenir que l’hypnose endort l’intelligence.
Sherlock: Watson vous êtes une ânesse ! Feydeau était un psychanaliste ! Seules les hystériques y sont sensibles. Comme aussi » 4 consonnes et 3 voyelles » qui fait l’expérience d’Albertine endormie, un vrai somnifère.
« Il traite donc de l’hystérie par des moyens détournés, et ce même lorsque l’hypnose constitue l’objet de sa pièce, comme dans Le Système Ribadier (1892). Ribadier, naturellement doué pour endormir sa femme Angèle, la neutralise régulièrement lorsqu’il va voir sa maîtresse. Mais s’il peut le faire, c’est que conformément alors aux idées de Charcot, elle est très probablement hystérique, l’hypnose constituant à la fois un remède contre l’hystérie et un moyen de la diagnostiquer : seules les hystériques y seraient sensibles. »
Possible qu’Allais ait repris cette histoire de borne franchie.
Pourtant, c’est à Ponsard et je crois à sa Lucrèce qu’on doit le fameux
« Quand la borne est franchie, il n’est plus de limites »
Etonnez-vous, après cela, d’etre classé dans l’Ecole dite du Juste Milieu, qui poussa sous Louis-Philippe, avec le bien nommé Casimir Delavigne!
Sur l’hypnose et Charcot, Feydeau donne en effet la version comique. Mais il existe chez Maurice Renard une version tragique. On commence par l’adultère, la femme meurt, mais le cadavre, toujours hypnotisé, reste fidèle au rendez-vous qui lui est fixé…On mesure ainsi l’effet de ces expériences sur les écrivains de la fin du siècle et du début du vingtième…
Bien à vous.
MCourt
La France et le Qatar, du très mauvais boulevard:
La France à genoux devant le Qatar : l’exemple des lycées français
(…)
Il ne fait pas bon diriger un lycée au Qatar. Pour la deuxième fois en un an, le proviseur d’un établissement français a été contraint de quitter l’émirat, pourtant très en cour à Paris. Cette fois, il s’agit du proviseur du lycée Bonaparte de Doha qui dépend du ministère des affaires étrangères et qui a dû partir précipitamment début septembre après une plainte déposée pour « attitude antimusulmane ».
Selon nos informations, Hafid Adnani, fonctionnaire de l’Éducation nationale en détachement à Doha, a fait l’objet d’une plainte déposée début septembre par la directrice financière du lycée Bonaparte dont il voulait se séparer. D’après plusieurs sources, le proviseur lui reprochait de ne pas détenir les diplômes qu’elle prétend avoir pour occuper son poste. Un conflit professionnel somme toute banal, mais qui a vite tourné au cauchemar. Car la plainte a provoqué l’arrestation du proviseur français. L’ambassade de France, alertée, est intervenue. Mais, en échange de sa liberté, Hafid Adnani a dû faire ses valises, direction Paris, en l’espace de quelques heures et en laissant sa famille à Doha.
Dans l’établissement, c’est la stupéfaction. La rentrée venait d’avoir lieu et rien ne laissait présager, selon plusieurs témoignages, le départ du proviseur.
Mais ni chez Laurent Fabius ni chez Vincent Peillon, on ne souhaite commenter plus avant une affaire extrêmement sensible. L’Élysée se contente, de son côté, de renvoyer vers le Quai d’Orsay et affirme que le dossier n’a pas été évoqué lors des deux entretiens avec les autorités qataries que François Hollande a eus en septembre. La France est de toute façon très en retrait dès qu’il s’agit de condamner les pratiques de la famille régnante.
À l’automne 2012, c’est l’autre lycée français de Doha, le lycée Voltaire, qui en a subi les conséquences : il s’agissait cette fois d’un établissement dépendant de la Mission laïque française, une association fondée en 1900 pour diffuser l’enseignement en langue française dans le monde et actuellement présidée par l’ancien ambassadeur Yves Aubin de la Messuzière.
Inauguré en grande pompe en 2008 par le président de l’époque Nicolas Sarkozy, aux côtés du prince héritier, l’établissement a été voulu par la famille régnante, les Al-Thani, pour scolariser de riches familles qataries (le lycée Bonaparte étant pour l’essentiel fréquenté par des enfants d’expatriés) mais aussi, par exemple, le jeune fils de Ben Ali, qui y étudie depuis l’exil forcé de son père, l’ancien président tunisien. Très vite, les conflits sur les programmes se sont multipliés avec les autorités – c’est le procureur général de Doha qui préside le conseil d’administration. Comme l’a raconté Le Nouvel Observateur, le proviseur a été convoqué en 2010 pour un livre d’histoire contenant des pages consacrées à la chrétienté. « On censurait les livres pour ne pas montrer que la France est productrice de vin ou une femme nue dans le manuel de sciences. Il ne fallait pas chanter non plus les Trois petits cochons en maternelle ! »raconte à Mediapart une ex-mère d’élève.
Pour apaiser les tensions, un nouveau proviseur, Franck Choinard, avait été nommé, avec un salaire deux fois plus important que son prédécesseur. Mais rien n’y a fait : la Mission laïque, qui gérait l’établissement, a été priée de plier bagage fin 2012. « Une première dans l’histoire de l’association », s’étrangle son président Yves Aubin de la Messuzière. La Mission est accusée par les Qataris d’avoir détourné plus de 500 000 euros de la comptabilité de l’établissement pour d’autres lycées dans le monde. À l’époque, le proviseur Franck Choinard soutient Doha et tourne le dos à l’association. Il dépose même plainte à Paris, pour détournement. Mais cette dernière vient d’être classée par le procureur de la République. Surtout, Choinard a lui aussi dû quitter précipitamment le Qatar, accusé de pédophilie – une accusation qu’il réfute. « C’est là encore un dossier monté de toutes pièces par les autorités. Ce sont les pratiques qataries », dit un bon connaisseur de l’émirat.
« Ce sont deux établissements qui fonctionnent. Globalement, cela se passe plutôt bien au Qatar », explique-t-on au ministère de l’éducation nationale.
Mediapart / Le Nouvel Obs / Le Point
« Si vous voulez mon avis, jeune homme, tout cela finira mal »
Hergé, Les 7 boules de cristal.
Pablo75 dit: 16 novembre 2013 à 19 h 56 min
« On vient de passer sur Mezzo la Cinquième de Bruckner avec l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam dirigé par Harnoncourt dans un concert du 25 octobre dernier. »
Tout à fait d’accord : ça faisait pitié d’entendre Bruckner dirigé à la zim boum boum par un concierge d’Ecole de musique hollandaise. Grosse catastrophe !!!
Enfin, on n’écoute Harnoncourt qu’une fois, on se fait un jugement et on en parle plus.
mais comment es tu venu fabien dans la cité ?
Enfin, on voit Feydeau une fois, on se fait un jugement… et on en parle plus.
Bloom,
honnête homme mais à la limite de l’islamophobie (Ouh, que c’est nauséabond !), met en lumière le déséquilibre relationnel entre le Qatar et la France, parfaite continuité d’erreur entre l’Agité de Neuilly et le Nul de Tulle…
On pardonne tout aux riches, même d’être bêtes dogmatiques !
« Feydeau fut sans doute le seul homme de théâtre de son temps à avoir parfaitement bien compris la psychologie féminine. » (Christiane)
Pas flatteur pour les femmes. Il est vrai que Christiane s’y connaît, étant un parfait personnage de Feydeau.
M. Court,
En recherchant sur le net l’origine de ce mot vaudeville, il y a un petit document scanné, de 1890: l’histoire du vaudeville par un certain E.M. Prioleau, qui dit des choses amusantes.
le seul homme de théâtre de son temps à avoir parfaitement bien compris la psychologie féminine.
Pauvre Christiane !
rougesubtil,
Tout à fait d’accord !
Georges Kiosseff, le taulier de la république du jazz, est aussi « communicant » qu’un annuaire du téléphone … Il censure à mort, l’onanisme de l’agenda est sa spécialité musicale, et pourtant, j’adore et pratique le jazz ! Plus nul que lui, c’est difficile !
À propos d’histoires vraies et d’histoires fausses, voir l’anecdote sur Maskelin in « Le mystère laïc » de Cocteau… si ce n’est pas une lecture trop ardue pour les intervenants qui se sont échappés de la maternelle…
je suis supérieure
Hé bien, Bloom, ça chauffe sous le soleil qatari !
Le proviseur aura eu affaire à quelques parents qataris, rois de l’embrouille: 1/3 inculture 1/3, de frustration sexuelle, 1/3 de perversité mais pleins aux as !
Que du bonheur !
Mais qu’ils laissent donc leurs gamins dans des écoles coraniques où ils apprendront à réciter comme des perroquets, des âneries!
S’il y a des gamins inaptes à assimiler les programmes par incapacité à s’ouvrir à une autre culture que la leur, que viennent-t-ils faire dans un établissement français ?
On se le demande !
Pardon ?
La culture française les attirent parce que sur le CV, ce sont des valeurs sûres ?
Très probablement mais ça ne s’achète pas, les diplômes et la culture .
Enfin, peut-être qu’au Qatar avec force barriques..
On connait le Grand Leader des intervenants échappés de la maternelle : ce serait un petit rital, déterminé à emmermeubler le monde de ses copié-collé pompeux.
(mais aussi peu dangereux que le Matamore !…)
Déjà actif à 10H19, l’usurpateur de pseudo ?
Quel entrain !
une amie a voulu aller sur le blog intitulé « de Bernhard à Updike », elle n’a trouvé que « de Proust à Proust » ? quelqu’un a une explication ?
Daaphnée
Les diplômes et la culture s’achetaient à Toulon…
Quel était le vendeur ? Le directeur ! Un gars d’ascendance barbaresque qui les vendait aux étudiants chinois en technologie. Condamné.
Petit ? faut arrêter de vous regarder dans le miroir JC… ce n’est pas bon pour la santé mentale… bien que dans votre cas…
jc votre agité est incomparablement nul et pourri en tant que petit chef il force votre respect (jamais vous ne l’avez critiqué quandil était aux affaires occupé à casser le pays),impressionnable que vous êtes, vous pouvez toujurs faire le malin
Jacques Barozzi 16 novembre 2013 à 19 h 47 min
En fait, sur la scène des commentaires de la RDL, c’est encore du Feydeau !
C’est un message subliminal de Passou ?
en effet!!
JC….. 10 h 25 min
Les diplômes et la culture s’achetaient à Toulon…
Quel était le vendeur ? Le directeur ! Un gars d’ascendance barbaresque qui les vendait aux étudiants chinois en technologie. Condamné.
Tiens, jicé a été condamné
Être le malade mental, le fou, le déviant, de renato, c’est un signe de bonne santé, non ?
Ma journée commence bien, et le cher Poly, mon troll aux polyprénoms, qui en rajoute.
Supercalifragilisticexpialidocious !
Malade mental ? fou ? déviant ? pfff ! toujours exagérer : vous n’êtes qu’un petit rustaud sans consistance — et si cela ne suffisait pas, mythomane sur les bords…
ce que je préfère c’est quand un nouveau connu entre..qu’il va parler et que les gens applaudissent..et qu’il doit marquer la pause..ravi..
En effet, Le Boug’ .. toute moustache gominée à l’arrêt ..
Cela dit, j’aime assez l’absurde dans les dialogues .
La traduction de certains titres des pièces de [ʒɔʁʒ fɛ.do] en anglais peut laisser songeur:
Un fil à la patte = « Cat Among the Pigeons »
Le Système Ribadier = « Where there’s a will »
Le Dindon = « Sauce for the Goose »
Gibier de potence = « Fair Game »
Remarquez, nous avions baptisé notre version d’Un gfil à la patte: The Lumberjack Song, en hommage à la célèbre chanson des Python, que les acteurs entonnaient en forme de répons au paroxysme de la farce:
I’m a lumberjack and I’m okay
I sleep all night and I work all day
He’s a lumberjack and he’s okay
He sleeps all night and he works all day
I cut down trees, I eat my lunch
I go to the lavatory
On Wednesdays I go shopping
And have buttered scones for tea
(…)
la suite sur
http://www.metrolyrics.com/lumberjack-song-lyrics-monty-python.html
un (g)fil….
Et dire qu’on prétend que je suis méchant. On dirait une classe de techno en cours de culture générale…
Bonne journée,
« On dirait une classe de techno en cours de culture générale », dit la limasse.
Après l’énoncé des fiascos et des humiliations subies, quelle réaction au MEN?
« Ce sont deux établissements qui fonctionnent. Globalement, cela se passe plutôt bien au Qatar », explique-t-on au ministère de l’éducation nationale.
J’imagine ce fonctionnaire de petite taille, rondelet, le regard perdu derrière des lunettes carrées, et le cheveu teint.
Christiane dit: 16 novembre 2013 à 22 h 49 min
« Feydeau fut sans doute le seul homme de théâtre de son temps à avoir parfaitement bien compris la psychologie féminine. »
Christiane est sans doute la seule femme de son temps à n’avoir rien compris à la psychologie féminine –ou bien– Christiane est un homme du XIXème siècle.
–ou bien (le plus probable)– Christiane ne connait rien de Feydeau
Christiane est sans doute la seule femme de son temps à n’avoir rien compris à la psychologie féminine
Ni aux hommes à femme..
anonyme dit: 17 novembre 2013 à 11 h 14 min
Bonne journée également aux aptères,ce sont des créatures de Dieu comme les autres.
passou a récupéré un tas de copains pour son bateau ivre, mais comme c’est pas payé, baroz préfère commenter
« vous n’êtes qu’un petit rustaud sans consistance — et si cela ne suffisait pas, mythomane sur les bords… »
Aaaaaaaaaaah ! Je jouis… Merci, on sent la pratique du branle !
Marcel dit: 16 novembre 2013 à 18 h 18 min
Marcel, mon bon, quand je te dis qu’on est faits pour s’entendre.
(Quant à la larve qui me poursuit, « limasse » je l’écrirais plutôt autrement. Ah méchanceté -vraie celle-là- de l’illettré… Mme Chaloux me dit à l’instant : »imagine-toi le pauvre type que ce doit être. Il est pardonné d’avance ». Voici, aptère sans orthographe, en vérité je te le dis, tu es pardonné).
Christiane dit: 16 novembre 2013 à 22 h 49 min
Feydeau fut sans doute le seul homme de théâtre de son temps à avoir parfaitement bien compris la psychologie féminine.
Adieu Ibsen, adieu Strindberg, adieu Tchekhov.
tiens il y a une république de la danse que personne ne commente, daphnée elle s’appelle
http://larepubliquedeladanse.com/
Dieu que c’est mauvais, jamais nous ne l’inviterons à Charleroi, elle peut toujours sautiller ..
Ytr
Chaloux dit: 17 novembre 2013 à 11 h 07 min
La méchanceté est parfois un comportement du à une méconnaissnce, ou un moi surdimensionné ?
La pédagogie n’a que faire de vos états d’âme.
Si vous avez un CAP d’électrotechnique, options électricien d’équipement ou électromécanicien, par exemple, vous êtes aussi du spectacle.
http://www.agasc.fr/site/bij/docs/pdf/Metierstheatre.pdf
Oui, JC, sur Kioseff, on se croirait revenu au temps su Jazz-Hot d’avant-guerre avec le père Panassié, tout le petit monde du Jazz se marre
petit rustaud sans consistance — et si cela ne suffisait pas, mythomane sur les bords
le genre se vantant d’avoir une sale gueule sans en avoir une, etc etc etc
Je n’aime guère de bashing anti-renato, car renato est un gentil garçon.
J’imagine ce fonctionnaire de petite taille, rondelet, le regard perdu derrière des lunettes carrées, et le cheveu teint.
—
Ce doit être quelque CHOSE comme ça, u.
Mon collègue proviseur ne décolère pas. Cette sombre affaire ajoute au climat pesant qui règne en ce moment.
Relisons Kafka: débarqué du jour au lendemain par ses propres autorités sur instruction des autorités du pays d’accueil pour comportement soi-disant discriminatoire, alors qu’on est soi-même d’origine kabyle et parfaitement arabophone…Heureusement, on est recasé dans un bahut de la banlieue de la capitale, histoire d’éviter le dépaysement…
Dire qu’à une époque, certains prenaient leurs ordres à Moscou et que maintenant il semblerait qu’on les prenne maintenant à Doha? De la calomnie, purement et simplement.
Rappeler que le Qatar est depuis peu devenu membre associé de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) sans passer par la case « observateur »? Et alors? A Doha dans le Q., c’est ce qu’on appelle un Doha d’honneur.
A force de manger leur chapeau et d’avaler des couleuvres, certains vont vraiment tomber malade…
Et il est bien fait de sa personne, je vous assure. Il porte le boxer-short avec style.
A Doha dans le Q., c’est ce qu’on appelle un Doha d’honneur.
bouguereau devrait apprécier, et pourtant il est difficile.
En hystérie comme en lâcheté les femmes se planquent derrière celles des hommes, c’est pas du Feydeau mais de l’actualité.
(((Bouh, je m’ennuie, je m’ennuie, je m’ennuie..)))
Adieu Ibsen, adieu Strindberg, adieu Tchekhov.
—
Et George Bernard Shaw: tout le monde sait qui est « Superman » dans sa pièce « Man and Superman ».
Des Journées, votre argument « moi surdimensionné » montre que vous avez commencé à réfléchir sur la psychologie humaine vers la classe de quatrième et que ça s’est arrêté là. En dessous d’un certain niveau, il n’y a rien à répondre, et c’est ce qui vous fait croire, je suppose, que vous avez le dernier mot. Il n’en est rien. La République des Livres est devenue La Dictature des Microcéphales. Je vous laisse avec vos pareils. Je reviendrai quand on pourra discuter avec des gens sérieux sans se farcir la fange.
bloom le quatar a du fric, et le fric est roi .. mes oreilles ont bien sifflé dans les corridors de la francophonie, j’y ai appris à me taire.
quand on pourra discuter avec des gens sérieux sans se farcir la fange
« A force de manger leur chapeau et d’avaler des couleuvres, certains vont vraiment tomber malade… »
C’est comme cela depuis que les ministres et le Président sont devenus hauts fonctionnaires du Parti. Et des plus mauvais. Au lieu de faire de la Politique, ils expédient au jour le jour les affaires de l’Etat et laissent la République reconnaissante aux sponsors de Paris Saint-germain : Le spectacle est fiancièrement équilibré.
Un vaudeville ?
En 1792, ce couplet courut la ville :
Il ne fallait aux fiers Romains
Que des spectacles et du pain ;
Mais aux Français, plus que Romains,
Le spectacle suffit… sans pain.
Chaloux, vos 47 balais, j’espère qu’ils vous servent à faire le ménage devant votre porte.
Bloom, je n’ai pas trouvé les articles sur le Qatar. Vous disiez le nouvel’obs, mediapart ..
Pourriez-vous mettre un lien?
des journées entières dans les arbres dit: 17 novembre 2013 à 12 h 31 min
Oui, sans cesse, beaucoup plus que vous ne croyez, et je commence par vous balayer vous.
Bon dimanche,
Chaloux,
Faites bon ménage. Nous verrons cela, lors de l’inauguration de votre futur blog.
Qu’il y manque de la lumière ne me paraîtra pas surprenant.
se farcir la fange.
—
Tout de suite l’hyperbole qui t/p/ue…C’est pas gentil.
Une petite pensée pour ces pauvres Germains qui durent se farcir la frange (qui se voulait la frange éternelle) pendant 12 longues années…
Ou encore pour les prisonniers de S21, homme et femme du Nouveau Peuple, à qui Duch et ses acolytes faisaient manger leurs excréments à la cuiller.
Relativité.
hommeS et femmeS
En tout cas, si « lumière » il y a, elle ne sera certainement de même nature que celle qui vous éclaire… Cela me semble aller de soi….
Bonne nuit.
chaloux est meilleur au four qu’au moulin ..
Bloom, que ça pue ou que ça tue, je m’en fous. Est-ce que la reste ne pue pas et d’autre manière? Quant à la fange, ce n’est certainement pas à vous que je faisais allusion. Vous pouvez au moins m’accorder ce crédit-là.
http://larepubliquedeladanse.com/
Dieu que c’est mauvais
Crayola
Pourquoi n’y laissez-vous pas votre petit commentaire?
En tout cas, si « lumière » il y a, elle ne sera certainement de même nature que celle qui vous éclaire…
C’est une évidence Chaloux, la mienne vient de l’énergie hydraulique.
Changement de décor.
En 1792, ce couplet courut la ville :
Mais aux Français, plus que Romains,
Le spectacle suffit… sans pain.
Moi y’en a vouloir des sous de Jean Yanne ça date pourtant pas d’hier non plus
Le vrai c’est que j’en ai plus qu’assez de voir des larves ignares, tout juste bonnes à insulter et ce n’est pas grand-chose (mais le voient-elles seulement que ce n’est rien?), s’acharner sur des gens curieux et cultivés (voyez la façon indigne dont est traitée Christiane ici. Quant à mon cas personnel, ce qui se dit m’indiffère), interdire (ni plus ni moins qu’interdire,- il est interdit d’interdire) aux autres de livrer leurs réflexions souvent intéressantes par pure médiocrité, jalousie, et crasse bassesse. Paul Edel a bien raison de faire le ménage.
12H54
C’est ce que l’on appelle théâtralement : compter sur le trou du souffleur.
ou compter sur le flou du trousseur?
compter sur le trou du souffleur
c’est pas humain d’en avoir qu’un
« Paul Edel a bien raison de faire le ménage. »
Personne ne lui conteste ce droit (enfin, personne…). Il est d’ailleurs évident qu’il censure tout ce qui ne lui plaît pas, même si dans le commentaire, il n’y a rien d’offensant, qu’il assume donc… mais que non, il nie à chaque coup : « Pas de censure chez moi ».
daaphnée, je n’ai pas envie de commenter, je prépare ma valise :
renatoj’assume la censure contre les trolls. je dis clairement quand je ne censure pas. c’est aussi simple que cela.
Bon, un peu de douceur dans ce monde de brutes,
un bolero du bout des ailes,
Caetano Veloso & João Gilberto – Besame mucho
http://www.youtube.com/watch?v=SMvZNEt424g
des gens curieux et cultivés (voyez la façon indigne dont est traitée Christiane ici (Chaloux)
Chaloux manie subtilement l’oxymore.
paul edel dit: 17 novembre 2013 à 13 h 42 min
renatoj’assume la censure contre les trolls. je dis clairement quand je ne censure pas. c’est aussi simple que cela.
Menteur.
« Paul Edel a bien raison de faire le ménage. » (renato)
Paul Edel est le technicien de surface le plus actif de la blogosphère
Paul, un troll, dans les faits, n’est qu’un commentateur dont les posts provoquent des polémiques, et en ce sens — étant donné les opinions de chacun — un post qui n’est pas mis en ligne avec l’intention de troller peut apparaître comme l’action d’un troll. C’est là que la censure chez vous devient incompréhensible.
je dis clairement quand je ne censure pas. (Paul Edel)
ça doit lui arriver chaque fois qu’il lui tombe un oeil
John Brown/Chaloux
Deux cons pour le prix d’un.
Soldes sur la rdl.
Hé, John ! c’est Chaloux qui a dit que PE est en droit de faire le ménage, ce n’est pas par hasard que la proposition est entre guillemets…
La crise est là dit: 17 novembre 2013 à 14 h 04 min
En revanche pour les vieilles ripopées dans ton genre, jamais de crise, on en trouve toujours en suffisance.
Et « suffisance » c’est le mot.
Deux cons pour le prix d’un.
Soldes sur la rdl. (La crise est là)
Si on ajoute « La Crise est là », ça doit en faire bien six
14h12 14h14
Preuves
un post qui n’est pas mis en ligne avec l’intention de troller peut apparaître comme l’action d’un troll. C’est là que la censure chez vous devient incompréhensible. (renato)
Le problème de Popaul, c’est que tout intervenant qui ne partage pas ses opinions est un troll. Popaul ne supporte que l’extase béate façon Christiane.
La crise est là dit: 17 novembre 2013 à 14 h 16 min
14h12 14h14
Preuves
En fait il voulait dire :Pieuvre…
C’est sa signature…
Aucun esprit. Du genre « gentil miroir » qui ne fait que recycler…
C’est parce que renato est un troll sans le savoir.
Preuves (La Crise est là)
J’ai l’intuition supra-naturelle que tu es un con, mon lapin. Pas besoin de preuve
« Pieuvre »
C’est pas « un con », c’est le hamster d’un con.
L’humour de l’un est égal à la culture de l’autre.
Et inversement.
« La crise est là dit: 17 novembre 2013 à 14 h 31 min »
Lui il est plein d’humour et de culture mais un peu peine…à prouver… M’étonne.
Je te propose un nouveau pseudo : « peinatout ».
« … un troll sans le savoir. »
Parfois on sait que le post que l’on met en ligne sera interprété comme provocation ; parfois on se demande pourquoi il a été interprété comme provocation. Il est toutefois inutile de se poser des questions, puisque comme dit plus haut, ce sont les opinions de chacun qui priment…
Marie Darrieusecq n’est pas mon écrivaine favorite mais elle publie dans « Le Monde » de ce jour un papier qui lui fait honneur. Sur le même sujet, dans le même journal, une interview lumineuse de Patrick Chamoiseau, écrivain de très grand talent, dont on parle trop peu. Vive Christiane (Taubira) !
Encore quelques minutes de patience.
La crise est là dit: 17 novembre 2013 à 14 h 41 min
Encore quelques minutes de patience.
Bonne nouvelle, peinatout se fait sauter le caisson!
Un de moins…
Trois, deux, un…Feu !
(Renato, je plaisantais.)
Feydeau et Sacha Guitry, deux auteurs singuliers, sont toujours joués, hier comme aujourd’hui.
Ce sont désormais des classiques du théâtre français.
Vive Christiane (Taubira) ! (mézigue)
Vive l’autre aussi, d’ailleurs
..ferme ta gueule raclure de keupu
Feydeau et Sacha Guitry, deux auteurs singuliers, sont toujours joués, hier comme aujourd’hui.
Ce sont désormais des classiques du théâtre français. (Jacques Barozzi)
Je propose d’intégrer ce scoop dans un manuel d’initiation au théâtre français à l’usage des classes de maternelle supérieure.
« voyez la façon indigne dont est traitée Christiane ici. »
A commencer par Daaphnée, Chaloux !
renato les opinions de certains sur tout en d’autres lieux, inconcevable de prendre en charge des intérêts marginaux, au mieux ils serviront d’alarme, de témoin, d’épouvantail à moineaux et seront incorporés dans la section Dassault
Parfois on sait que le post que l’on met en ligne sera interprété comme provocation (renato)
Bof, penses-tu.
Feydeau et Sacha Guitry
..c’est un rapprochement convenu, Feydeau c’est quand même autre chose jean marron
bouguereau dit: 17 novembre 2013 à 14 h 51 min
La glaire géante est en phase de réveil.
Salut Bouguereau !
Ben oui, JB, à la suite de Molière et Marivaux, et avant… qui ?
Jacques, n’étant point prélat, je ne gère pas l’Imprimatur pour les écrits de Daaphnée…
Dur de se décider.
14h35 – 14h47, Chaloux semblait prendre une avance définitive dans l’exposition de sa connerie, johnny était largué mais dans un dernier sursaut colette tenta une remontée fulgurante mais inutile.
Chaloux est bien le plus con.
Ben oui, JB, à la suite de Molière et Marivaux, et avant… qui ? (Jacques Barozzi)
Après Guitry, ya plus de classiques, y a plus que des claques chic, et encore.
ce n’est pas la provocation qui caractérise le troll, mais qu’il répugne au sujet
Chaloux semblait prendre une avance définitive dans l’exposition de sa connerie, johnny était largué mais dans un dernier sursaut colette tenta une remontée fulgurante mais inutile.
Chaloux est bien le plus con. (La Crise est là)
Mais c’est qu’il commence à nous gonfler grave, ce con !
ce n’est pas la provocation qui caractérise le troll, mais qu’il répugne au sujet (bouguereau)
Ta gueule, le boug’, tu es un sujet qui me répugne
Disons que vous vous en lavez les mains, Chaloux, et que moi je suis pour la paix des ménages…
« La paix du ménage, dont l’action est située à Paris en 1890, est un condensé de la comédie de boulevard. Trois personnages : le mari (M. de Sallus) , la femme (Mme de Sallus), celui qui n’est pas le mari (M. Jacques de Randol). Le mari, volage décide de reconquérir son épouse au moment où celle-ci s’apprête à fuir avec son amant. La pièce se joue en les quelques heures qui séparent cette décision d’un revirement aussi inattendu qu’aigre-doux. Le portrait de la bourgeoisie que brosse Maupassant est d’abord amusant, mais devient vite ambigu, puis très cruel, et il n’hésite nullement à monter en épingle la lâcheté des hommes.
« Et pourtant dans la Paix du ménage, et c’est là une des grandes originalités de cette pièce, pour ne pas dire une de ses étrangetés, Maupassant envisage, dans le cadre du mariage, la possibilité d’une entente amoureuse, d’une complicité érotique. La cohabitation légalement ratifiée d’une femme et de son mari ne condamnerait pas forcément les sentiments à s’affadir et la bagatelle pourrait bien, contre toute attente, y trouver son compte. »
(extrait de la préface inédite d’Albert Algoud)
êtes-vous allés faire votre marché comme c’est dimanche? pour un panier de …. à renverser sur la table, attention ils sont fragiles
ohn Brown dit: 17 novembre 2013 à 14 h 59 min
Mais c’est qu’il commence à nous gonfler grave, ce con !
Ce « nous » inaugure un rapprochement inespéré entre johnny et chaloux.
Preuve est faite, la connerie rapproche
Ta gueule, le boug’, tu es un sujet qui me répugne
toutafé jean marron..un troll s’authorise à décider du sujet, ou il veut l’être lui même
« un troll s’authorise à décider du sujet, »
boug
vdqs Jacques Barozzi est un troll.
Mon dernier message s’est envolé je ne sais où. Mais laisse tomber, John Brown. C’est un cri de solitude qui mérite surtout de la compassion. Tu t’y vois, toi, répéter des dimanches entiers « c’est un c… ! c’est un c… »? Peinatout doit être bien malheureux…
« ou il veut l’être lui même »
bouguereau
Jacques barozzi est un troll.
Jacques, Mme Chaloux me dit :
-« Mme Chaloux, c’est moi ».
Donc, pas de confusion.
« « c’est un c… ! c’est un c… »? »
Chaloux a une peur terrible de s’apercevoir qu’il en est un.
Il n’ose écrire le mot, trop d’angoisse.
Mais au fond il le sait et s’acharne à le prouver.
Chaloux j’ai toujours cru que votre madame était imaginaire, sans faille aucune défection ni déception l’imaginaire un compagnon fidèle, une accommodation, une projection illimitée, dématérialisation sans contrainte.
Et les enfants, ils sont imaginaires ?
Bérénice, cette remarque sent le parfum « Daaphnée » à plein nez.
Heu…moi c’est vous dont j’ai toujours pensé que vous étiez un être imaginaire. A chacun ses intuitions, vraies ou fausses…
Bon dimanche,
C’est mieux que du Feydeau, ici !
Chaloux qui êtes-vous? On peut bien évidemment décrypter votre pseudo avec pugnacité cependant à trop éclairer votre intention reste que vous vous situez dans son ombre à écrire ce qui vous chante et quoi nous renseignerait hormis votre pile votre face sur votre tranche franche et nette
Nous revenons sur Popal (si on peut dire cela); ce qui nous hérisse le poil que nous avons fourni, c’est sa pusillanimité :
pourquoi se cacher sur le psendo Paul Edel quand on s’appelle Jacques-Pierre Amette, ancien prix Goncourt ? pourquoi râler sur tous les prix littéraires : parce qu’il ne fait partie d’aucun d’entre eux ? tout ceci nous laisse pantoises et nous agace franchement, à moins d’en rire… ahahah
Vous êtes bien amusants !
c’est mieux que Jacques Barozzi, ici !
« Ciel, mon mari ! Une histoire de l’adultère, du XVIe au XIXe siècle
Avec Agnès Walch, spécialiste de l’histoire des représentations conjugales et familiales
L’historienne Agnès Walch est l’auteur d’une Histoire de l’adultère, du XVIe au XIXe siècle. Corollaire de l’amour conjugal, l’adultère (qui désigne toute relation sexuelle hors mariage) est sans doute l’un des matériaux auquel les romanciers et les auteurs de théâtre ont le plus souvent recouru. »
Je me prépare très activement à mettre sur Youtube quelques petites choses pour en discuter ailleurs. D’après les premiers essais que j’ai faits en mettant la caméra dans le piano, je peux vous dire que vous verrez que ni mon nez (dont je suis très fier) ni ma barbe ne sont imaginaires.
Colette et Christiane dit: 17 novembre 2013 à 15 h 38 min
Jean Brun,
t’es vraiment une raclure de la plus basse espèce.
Abject.
Jacques oui l’adultère au théâtre et la guerre au cinéma, rendons nous nous sommes cernés!
Au moins bouguereau donnait son adresse lorsqu’il agressait quelqu’un
Disparition de Doris Lessing.
Disons que l’adultère chez Sophocles est plus intéressante que chez ma voisine, et que la guerre (comme la police, d’ailleurs) il est préférable de la voir au cinéma qu’à sa porte.
bouguereau dit: 17 novembre 2013 à 14 h 51 min
..ferme ta gueule raclure de keupu
Au moins MàC donnait son adresse lorsqu’il agressait quelqu’un dit:
Jean Brun,
t’es vraiment une raclure
keupu était donc John Brown ?
Jacques Barozzi dit: 17 novembre 2013 à 14 h 52 min
(((((((je suis (((chuuut))) la ((( mieux))) (((habillée))) la plus (((belle))) la plus (((jeune))) la plus (((intelligente))) la plus (((cultivée))) la plus (((culturée))) la plus (((sexàpiles)))))))
@16.09… Qu’a-t-elle eu le temps de faire de l’argent gagné avec son prix Nobel, Doris ? Le donner à Alice Munro, j’espère ?… qui va bientôt en faire un don à la RDL pour chasser définitivement les trolls…
@Colette et Christiane
Laissez les filles,
on rentre dans notre soue.
Disparition de Doris Lessing.
On va la retrouver, Alexia, rassurez-vous, la NSA est sur le coup.
Avant la nuit, elle s’appelait Doris Day.
John Brown dit: 17 novembre 2013 à 14 h 41 min
Marie Darrieusecq […] publie dans « Le Monde » de ce jour un papier qui lui fait honneur.
Tout à fait d’accord quant au fond. La forme, à mes yeux, laisse à désirer, l’article est fort mal ficelé et me donne l’impression d’avoir été rédigé à la hâte ou bien sous le coup d’une indignation (compréhensible), il perd de sa vigueur à force de faire flèche de tout bois. Mais l’essentiel est dans le fond.
doris n’était pas très seute mais ne savait point se vêtir avec goût
Pauvre petit troll (16.19 et 23) seuseutte !
Lorna dit: 17 novembre 2013 à 16 h 20 min
On va la retrouver, Alexia, rassurez-vous, la NSA est sur le coup.
Eh bien disons le autrement : décès, mort de Doris Lessing. Mon « disparition » tenait moins du politiquement correct (je partage avec DL la même aversion pour cette scorie mentale) que d’une sorte d’euphémisme de bienséance (par rapport à un événement qui m’attriste).
Jacques Barozzi dit: 17 novembre 2013 à 14 h 52 min
« voyez la façon indigne dont est traitée Christiane ici. »
A commencer par Daaphnée, Chaloux !
Avec la complicité tacite de sa coterie, Jacques : u., JC, C.P. C’est drôle, vous ne vous en prenez jamais à C.P. quand il flatte JC et Daaphnée dans le sens du poil. Seriez-vous clientéliste, vous aussi ? Ou ventre mou, comme u. ?
Bon, par exemple si l’on veut porter à l’estrade une pièce mondiale comme Anne-Marie Stretter, est-ce que l’on mettra les tennis déserts côté cour, ou côté jardin ? Et la bicyclette alors ?
est-ce que l’on mettra les tennis déserts côté cour
les tennis : côté court.
Lorna > tais-toi, on va finir par croire que tu es rose.
@ Paul Edel: À lire les prestations de JC sur la RdL, commentaires qui sont, avec leur bêtissime racisme des années 30, tout ce qui ne devrait pas être toléré : « Paul Edel, votre manière de faire est la seule valable ». JC et D. pourrissent la RdL, pourquoi devriez vous accepter cette boue, sous prétexte de liberté d’expression ?
JC, D., même combat, empêcher « la converstation », dans le but de se donner l’illusion d’exister…
euphémisme de bienséance (par rapport à un événement qui m’attriste).
hach pour se donner cette peine de quoi n’est ton pas capabe de prouver aux autes dabord alexia..
rassurez-vous, la NSA est sur le coup
aucun danger..raclure de con de superstitieux de keupu
et vontraube tout cette énergie pour nous partager tes obsessions..c’est trop
Ben alors, jo dorlan, vous ne savez plus quoi utiliser comme pseudo ?
Momolle du ventre ou d’ailleurs ?
comme prouver son incapacité à rêver un paradis sans vue sur l’enfer ((en fait plus un aveu qu’une preuve …))
Disons que l’adultère chez Sophocles est plus intéressante que chez ma voisine
elle est moche ou t’es déçu de pas ête l’amant..et tu préfères sofoc..pas par dépit, non
et toi tu crois à tes chances …
passer deuz..ha c’est bien du sofoc tiens..
j’ai jamais eu tellement de chance avec mon vosinage..si..excepté quelques petits vieux formid.. »disparus trex et marc bolan » comme dit la chanson
Je préfère mettre une distance, bouguereau… la voisine tu la vois tous les jours… ça devient ennuyeux…
tous les jours !? tu la mattes trop et tu souffres..c’est du sofoc
les treuls, quel enfeur
C.P. quand il flatte JC et Daaphnée dans le sens du poil.
daaphnée aussi est poilue?
Vous, avec si peu de moyens, ce doit être l’enfer tous les jours !
elle est moche
elles sont toutes meuches
vaut sans doute mieux ête sofoc pour en parler alors
Réfléchis bouguereau, pour une fois… on ne va pas chercher des problèmes avec le voisinage… bon, si tu n’as d’autres possibilités se comprend…
vaut sans doute mieux ête sofoc pour en parler alors
ah bon? il faisait dans le marketing idéologique Sophocle? étonnant
TKT dit: 17 novembre 2013 à 17 h 52 min
Des jours et des jours de mutisme volontaire, une difficulté de chaque instant pour l’assumer, et soudain il craque.
IL revient.
Toujours aussi ridicule.
Une burne.
..ta gueule bouguereau..tu nous gonfent épicétou..vdqs
..entièremant daccord avec vontraube..il assure rsvp
vous ne savez plus quoi utiliser comme pseudo ?
..te bile pas dafnoz..keupu fra l’affère épicétou
..sinon y a le lavement au vinaigre de franboise comme disais ma grand mère qu’en donnais au rats..mais ca pas fais pas forcément allé ou on veut dirait jicé..
Daaphnée dit: 17 novembre 2013 à 18 h 09 min
Ben alors, jo dorlan, vous ne savez plus quoi utiliser comme pseudo ?
Mais si. Jo Dorlan me va très bien, ce n’est même presque pas un pseudo.
La mienne de voisine est absolument sublime, mais Mme Chaloux veille au grain (je ne pousse pas l’imagination jusque là).
Avec tous ces personnages, le souffleur est pas au chomdu ; déjà lorsqu’il y en a un qui a un trou on peut pas savoir qui attendu que tout le monde doit dégoiser en même temps…
« Momolle du ventre », c’est absolument terrible….
renato dit: 17 novembre 2013 à 18 h 25 min
la voisine tu la vois tous les jours…
Daaphnée dit: 17 novembre 2013 à 18 h 36 min
Vous, avec si peu de moyens, ce doit être l’enfer tous les jours !
Renato a plus de moyens que vous ne croyez, Daaphnée.
Bonjour, Chaloux. Vous me semblez très en forme aujourd’hui. Continuez.
sublime… n’exagérons rien. Mais il est vrai que quand on voit Mme Chaloux on peut comprendre qu’il m’admire.
Chaloux dit: 17 novembre 2013 à 19 h 40 min
« Momolle du ventre », c’est absolument terrible….
Terrible, assurément. Craignez-moi, monsieur.
je viens de faire un tour en barque sur la Marne .. malheureusement il faisait un peu froid .
jo dorlan acceptez mon humble suggestion en cas de panne ou d’avarie de désaffection, jo dorauski
Le Ventre Mou, c’est l’éternelle victime des philosophies de l’histoire.
Ça me donne envie de sortir dans la rue en caleçon rouge, avec une banderole en breton.
Heureusement que le temps froid vient en renfort de ma paresse.
u. recentrez-vous sur vos chakras sinon vous aussi devrez payer l’écotaxe pour import de sous vêtements non écologiques. Qu’est-ce qu’un vêtement écologique?
« avec une banderole en breton. »
C’est côté pernaud de u., tout dans le folklore.
Il préférera toujours un bonnet nationaliste à un chapeau rond.
Le FN rode, u. espère la bise.
bérénice dit: 17 novembre 2013 à 20 h 19 min
vous aussi devrez payer l’écotaxe
Vous êtes contre Bérénice ?
« Il préférera toujours un bonnet nationaliste à un chapeau rond. »
Rien sur mon caleçon?
Et Feydeau?
L’écotaxe,
vrai clivage.
La droite, la gauche intérêt mineur.
L’écotaxe, pour ou contre, un vrai choix pour le futur.
u. semble contre, est-ce bien étonnant ?
u. dit: 17 novembre 2013 à 20 h 29 min
Et Feydeau?
Déjà donné, trop tard mon zouzou.
…
…çà y est,…avec un avis qui fait jurisprudence,…
…
…enfin,…Google,…a passer les normes du Rubicon,…
…
…dorénavant,…Google peut tout photocopier,…c’est même est devoir,…
…
…enfin,…et les droits d’auteurs,…
…faut voir les trottoirs,…rive gauche ou rive droite,…
…
…juste une question,…qu’est ce qu’il reste à copier/coller/publier,…
…
…là je ne vois pas, et avec çà, le tout, ce n’est pas de savoir,…
…mais ou sont les artisans, les mains, les modus=vivendi,…pour un savoir faire = utile,…
…
…
…tu sait chérie,…c’est comme cela et comme ci,…qu’il faut faire,…
…
…mais enfin,…tu vois bien, que je me donne à fond ( perdus ),…pour les paradis fiscaux,…Oui,…et n’oublie pas les parachutes dorés aussi,…je fait tout pour,…etc,…
…envoyez,…
Pour Pablo s’il passe par là.
Je trouve que ça ressemble quand même plutôt à Horowitz.
Prélude opus 32 N°12 de Rachmaninov par lui-même.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/34/G_Feydeau_Carolus-Duran_Lille_2918.jpg
par son beau-père Carolus Duran, au musée des Beaux Arts à Lille.
Bouzin
J’en appelle à la postérité
avant-dernière réplique dans Un Fil à la patte
de William Hogarth Le contrat de mariage 1744
Bouzin dans Un fil à la patte
http://patatheatre.files.wordpress.com/2013/06/charon.jpg
Mais que fait Bois d’Enghien ?
Ça revient à quoi ce bordel, un littérateur a mis ses pattes dans les paramètres ?
Si on met un plus lourd que l’air il reste en bas ?
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