Franz Kafka à la trace
Le lecteur passionné en nous a-t-il vraiment envie de convaincre l’autre réfractaire ? Même pas sûr. Difficile de résister pourtant. Quand j’entends dans la bouche de la romancière Cécile Guilbert, un esprit fin, pointu, curieux, qu’elle n’a jamais pu lire les romans de Kafka tant ils lui « tombent des mains », cela m’accable ; mais lorsque peu après elle reconnaît que le Journal du même Kafka la comble, cela me console et je me dis que tout n’est pas perdu. L’envie me vient alors de lui en donner le goût non par la force mais par la persuasion, de biais, en la faisant pénétrer dans l’univers romanesque de l’écrivain autrement que par la lecture de ses fictions. Ni même par son « impossible biographie », ce n’est pas le moment alors que ses biographes se demandent curieusement si sa vie ne résiste pas à la réduction biographique. Plutôt par l’image, par la déambulation dans le motif et par ses lettres.
Qui était Kafka ? est un DVD (Arte diffusion) de Richard Dindo, auteur suisse de très originaux documentaires consacrés notamment à des écrivains tels que Max Frisch, Rimbaud, Aragon, Genêt ou plutôt des « relectures filmiques » d’un de leurs romans qui se veulent un au-delà de la conventionnelle biographie filmée. Son Kafka est une merveille de recherche formelle basée sur la pureté de l’image statique. Toute en finesse et en subtilité. Prague y est une métaphore de tous les absents qui l’obsèdent, Kafka une ville faite homme. Escaliers, rues, façades, murs, fenêtres, ponts, portes : le documentariste les observe comme s’ils étaient le grain de sa peau. Rien n’est moins démagogique que de photographier ainsi le lieu le plus touristique d’Europe centrale pour en faire une ville-fantôme, surtout quand le spectateur est hanté tout le long par la voix du narrateur, Sami Frey. Ces lieux ne sont animés et incarnés que dans les documents d’époque du monde d’avant. Il arrive que l’on soit pris d’un sentiment d’étouffement comme le héros asphyxié tant par sa ville que par sa famille.
Alors, qui était Kafka ? Celui de Richard Dindo est un être souffrant qui pousse si loin et si fort la haine de son père que ça le détruit, convaincu d’avoir été plus abîmé par son éducation que tous ceux qu’il connaît. Quelqu’un qui n’a aucune confiance en lui sauf lorsqu’il écrit. Quelqu’un qui sait des choses que les autres ignorent mais qui voit si clairement dans ce monde effrayant que cela lui est insupportable. C’est naître qu’il aurait pas voulu.
Richard Dindo s’est imprégné de cet univers. Les traces l’attirent, les lieux l’aimantent, l’absence le retient. Le monde de Kafka tel qu’il en parle est un monde mort. Une Atlantide de la mitteleuropa engloutie dans la nouvelle Europe des consommateurs. Mais l’émotion est bien là qui affleure à chaque image. Milena Jesenska son amie, Felice Bauer sa fiancée, Dora Diamant et ses interlocuteurs les plus proches Max Brod et Gustav Janouch. Des comédiens disent leurs mots mais ne se déguisent pas. Ils ne jouent pas à faire semblant, préférant surgir en surimpression pour nous raconter chacun leur Kafka. Les documents d’époque sont nombreux naturellement, mais il y a manière et manière d’isoler un détail avec quelques notes de piano qui lui conféreront une touche joyeuse ou mélancolique. Ces tableaux sont un déni de carte postale. Ils nous font entrer dans le monde de Kafka par ses fenêtres aveugles et ses passages mystérieux. Des voix, les mélodies hébraïques de Ravel ou les lieder de Suppé, les mots de l’épistolier mêlés à ceux du diariste, des répétitions incantatoires. Pas de faux bruits d’ambiance de rue, pas de faux bruits de pas dans la neige, pas de faux.
Si on n’a pas la possibilité de se rendre à Prague, on peut encore sa kafkaïser sans quitter Paris. Il n’est pas de meilleur guide que Jan Jindra, un photographe tchèque de 45 ans, s’est mis en tête de photographier les voyages de Franz K dans l’ex-Tchécoslovaquie, en Suisse, en Italie….. Comme le fait remarquer Georges-Arthur Goldschmidt dans sa lecture de l’oeuvre parue sous le titre Celui qu’on cherche habite juste à côté (120 pages, 13 euros, Verdier) :
« Dès qu’on ouvre un texte de Kafka, on y lit ce qu’on y lit, on y voit écrit ce qui y est écrit. Il n’y a pas d’arrière-mondes chez Kafka ni de sous-entendus ».
Y compris dans ses Journaux qui appartiennent de plein droit à son oeuvre, les mots de Kafka ne sont rien d’autres que ce qu’ils racontent. Téméraire celui qui voudra déposer ses images sur de telles pages! Jan Jindra s’y est risqué, avec Judita Matyasova.
A Paris, ils ont repéré vingt cinq lieux que le grand K. visita en 1910 et 1911. Son hôtel, le Sainte-Marie à l’angle de la rue de Rivoli et de la rue de l’Arbre Sec, mais il ne fut pas facile de se mettre dans sa peau, du haut de son balcon au 5ème étage car depuis les magasins de la Samaritaine se sont étendus jusqu’à absorber l’immeuble ; or sa direction n’était pas très chaude, craignant d’avoir affaire à des reporters à scandale ; finalement, après trois jours de négociations, les photos furent prises. Puis il y eut une station de métro parmi d’autres (Porte Dauphine) car il avait été fasciné par ses bruits, ses odeurs, les grandres lettres de des noms sur les plaques en émail et ses tunnels… La gare de Lyon et la gare de l’Est… Des anciens omnibus au Musée des Transports… Un bordel du 7 rue de Hanovre où il avait été avec son ami Max Brod, mais la visite fut décevante car il n’y a plus que des bureaux…. Le Café-concert des Ambassadeurs au 10 place de la Concorde mais l’hôtel Crillon est demeuré insensible au projet… Le café Duval est-il toujours ouvert sur le boulevard Sébastopol ?
Au 26 rue Saint-Pétersbourg, l’hôtel Windsor où il avait également vécu a disparu. L’écrivain aimait aller au cinéma mais le KinoPathé a disparu, de même que le café Biard. Les Grands bains du Palais-Royal firent la joie du nageur mais ils ont disparu. Comment un tel registre des disparitions n’inviterait-il pas à la mélancolie ? A l’Opéra-Comique, pas de problème, tout est resté en l’état, contrairement aux Folies-Bergères où l’intérieur comme la façade ont connu des modifications. Les bouquinistes des bords de Seine sont toujours là, les grilles du Palais de Justice montent la garde à l’entrée, les galeries du musée du Louvre n’ont pas bougé, la Comédie-Française est immobile depuis Molière ou à peu près, les vieilles boîtes postales n’ont pas toutes rendues l’âme, le lac du bois de Boulogne n’a pas été soulevé par un monstre du Loch-Ness, le portrait de Voltaire qui avait tant amusé Kafka ricane toujours sur un mur du musée Carnavalet mais on aurait du mal à dire, comme il l’écrivit que « la rue de Cléry a l’air de tomber du ciel ».
Idéal pour des prises de vues rarement réalistes mais plutôt poétiques, allégoriques ou oniriques, toujours en noir et blanc, à la recherche de Kafka, son ombre, sa silhouette, son souffle. Une poignée de porte, une cage d’escalier, la pluie sur la vitre, cela suffit à ressusciter une atmosphère. Si nécessaire, il suffit de reprendre L’éducation sentimentale de Flaubert puisque Kafka avait visité Paris en le considérant comme un guide touristique…
Et si d’aventure vos pas vous portent un jour jusqu’au nouveau cimetière juif de Prague, lorsque vous vous retrouverez inévitablement face à la tombe de Franz Kafka, observez les pèlerins à vos côtés : leur curiosité est si puissamment aimantée par le nom gravé dans le marbre qu’elle en néglige les morts alentour. Il suffirait pourtant de pivoter à 180 ° pour découvrir dans l’exact prolongement du regard de Kafka un nom sur une plaque : celui de Max Brod. On ne saurait mieux cimenter une amitié pour l’éternité et un peu plus. Parce que ce fut l’un, parce que ce fut l’autre. On pourrait s’arrêter là et décourager toute explication. Ce serait dommage car elle existe bel et bien, si tant est que le mystère d’une si profonde et su durable amitié fut réductible à l’examen attentif d’une correspondance, fût-elle d’un autre temps, celui où l’on s’écrivait encore Lettres à Max Brod 1904-1924 (traduction de Pierre Deshusses, 325 pages, Bibliothèque Rivages). Leur recueil s’intitulait justement Eine Freundschaft (Une Amitié) à sa parution en 1989 chez Fischer ; encore qu’il ne s’agisse que des lettres de Kafka et non de celles de Max Brod, ce qui ampute la connaissance de leur relation de l’autre versant.
Pauvre Brod que la postérité, cette garce qui tapine sur le trottoir de l’histoire littéraire, a réduit au rang de « meilleur ami de » qui vous savez ! Qui connaîtrait encore l’existence de l’un sans la gloire de l’autre ? Le fantôme de Brod en rirait jaune en se souvenant que sa production fut, du moins en quantité de papier, supérieure à celle à celle de Kafka. L’injustice est amère mais une œuvre ne se juge pas au trébuchet des apothicaires. Le spectre de Maxime du Camp doit ressentir quelque chose comme ça en contemplant la renommée de l’ami Flaubert. Le traducteur Pierre Deshusses ne s’y est pas trompé qui attaque sa préface sur ce qui fait problème dans le couple Kafka-Brod. Non tant que l’un fut l’exécuteur testamentaire de l’autre mais qu’il « aurait »bravé ses dernières volontés. Rarement un conditionnel aura été lourd d’un tel poids de non-dits, de sous-entendus, d’insinuations. Que Kafka ait écrit à Brod, à la fin de 1921 et à nouveau le 29 novembre 1922, de « tout brûler sans être lu » au lendemain sa mort après que Brod le lui ait demandé ne change rien à l’affaire.
On sait que celui-ci n’en a rien fait mais la question de sa trahison nous a toujours paru vaine. Au fond, seuls importent vraiment les ressorts de la décision de l’écrivain, non la réaction du dépositaire. Inutile de s’acharner à tuer la légende, le problème est ailleurs : si Kafka voulait vraiment faire disparaître son œuvre à paraître, que ne l’a-t-il fait lui-même ? Les deux congénères (un an de différence à peine) s’étaient connus un soir d’octobre 1902 à l’issue d’un e conférence à Prague et ne s’étaient plus lâchés. C’est d’ailleurs chez son ami que, dix ans après, Kafka fit la connaissance de cette Felice qu’il voulut épouser nonobstant les aléas de leur relation (ni avec toi ni sans toi).
En creux, à travers tout ce que Kafka dit de Brod, on perçoit l’aveu de ses propres faiblesses, notamment dans l’admiration qu’il professe pour l’énergie et l’activisme que son ami déploie dans son travail littéraire. Il aimerait tant lui aussi être capable d’élever les murailles d’une citadelle afin d’y protéger sa solitude et de la mettre à l’abri des miasmes du grand dehors. On (re)découvre un Kafka moins casanier qu’on le l’a dit, les échos de ses voyages en Europe en témoignent ; son goût des chambres d’hôtel « où je me sens tout de suite chez moi, plus qu’à la maison, vraiment » ; ses lectures de Knut Hamsun et de Joseph Roth, de Faim et de La Marche de Radetzky ; le calvaire de son écriture
Kafka épistolier fait autant de fautes d’orthographe et de ponctuation que nombre de ses pairs mais ses lettres sont autrement plus intéressantes. Pas de récriminations contre les éditeurs, ni de petits comptes et autres mesquineries. Même si la vie quotidienne est présente à toutes les pages, sous sa plume elle ne prend jamais le masque de la banalité. Nulle affectation dans cette tenue : il était naturellement ainsi. Quoi qu’on en dise, la correspondance est ce qui ment le moins chez un écrivain. On y retrouve la densité de sa réflexion, la légèreté de son humour, sa forme tout simplement. Ses lettres ne déparent pas l’ensemble de son œuvre. On s’en était d’ailleurs rendu compte en 1984 lors de la publication des Lettres à sa famille et à ses amis aux côtés des Journaux et des romans par la collection de la Pléiade dans l’édition de Claude David, laquelle contenait déjà un certain nombre de lettres à Max Brod. Un mois avant de mourir, Franz Kafka envoie sa dernière lettre. Elle sera pour lui. Au fond, un ami, c’est quelqu’un à qui on peut un jour (1 novembre 1912) écrire juste une lettre de quatre mots :
« Rien, Max, rien. Franz ».
(Photos Jan Indra. Toutes les légendes se trouvent ici)
890 Réponses pour Franz Kafka à la trace
« En un certain sens, le Bien est désolant. »
FK, Journal
Info :
Octavio Paz, Marcel Duchamp ou Le château de la pureté.
Si, WGG, cela a un grand intérêt.
L’intérêt de savoir comment et pourquoi une personne dotée d’une capacité de réflexion puissante privilégie souvent l’hypothèse extraterrestre.
J’ai longtemps admis moi-même cette hypothèse puis j’ai changé d’avis.
Vous allez avoir la primeur de ma propre hypothèse puisque je ne l’ai jamais révélée directement ni directement ni pas le biais de médias.
Elle se nomme : militaire paranormale.
L’événement de Minot se situe en plein pendant le déroulement des expérimentations paranormales menées par l’armée US : précognition, vision à distance…dont on sait que les résultats ont été très probants. L’URSS a également mis en place de tels programmes.
Mon hypothèse est que la forme lumineuse observée et détectée est la partie visible physique d’une énorme forme-pensée élémentale générée au sein d’un labo de l’URSS par un ou plusieurs individus particulièrement doués, engagés par l’armée rouge. Cette forme étant ensuite guidée pour observer, rendre compte et même neutraliser (ce qu’elle tenté de faire) « both outer and inner-zone intrusions alarms were activated at the remote missile Launch Facility Oscar-7 »
http://minotb52ufo.com/
J’ai basculé vers cette hypothèse quand j’ai moi-même commencé à faire des voyages astraux involontaires qui m’ont conduit chez les voisins en traversant les murs. Cela peut prêter à sourire mais c’est pourtant exactement ce qui s’est passé. Et ma forme-pensée a une fois été vue dehors, à quelques mètres de ma maison, suspendue dans l’air comme une sorte d’orbe très lumineux mais non éblouissant. Quand mes voisins me l’on dit j’ai enfin compris ce qui se passait et quelle était la puissance, malgré moi, de ce qui se passait. Mes voyages ont souvent commencé au moment de l’endormissement entre le chien et loup de la conscience et de l’inconscience. Cela peut aller très vite, on ressent une sorte d’arrachement, c’est assez angoissant, et hop on se promène, on peut parcourir des kilomètres en une fraction de seconde, on voit tout même dans le noir. J’ai l’habitude de raconter des blagues mais là je vous assure que tout cela est véritable, sur mon honneur et ma personne.
Vous l’avez lu ?
Une interprétation mallarméenne assurément de Marcel Duchamp.
alors ça c’est un peu fort de café tout de même !
non seulement je me fait ratatiner par Paul Edel pour des raisons aussi obscures qu’incompréhensibles, comme quoi je ne l’aimerais pas alors que depuis des années je n’ai jamais cessé de dire ici même et aussi sur son blog, toute la profonde admiration que j’éprouve pour sa personne et pour la qualité de son travail.
mais en plus j’en vois qui applaudissent à ce ratatinage injuste et injustifié, prenant ainsi le parti du plus fort ! pour sauter de joie au ratatinage du plus faible, d’un plus faible qui n’ose même pas mettre les mains pour se protéger des coups qu’on assène cruellement sur son visage ensanglanté !
alors qu’en plus, ce plus faible n’a jamais rien fait d’autre que défendre les plus faibles contre les plus forts ! pourquoi ? par amour naturel des plus faibles, cet amour démesuré pour les plus faibles qui conduit inévitablement à l’être soi-même pour pouvoir s’aimer un tantinet.
mais qu’importe ! allez-y ! remettez-en donc une couche Paul Edel, vous qui en tenez une bonne, que les gens continuent de s’amuser de voir les faibles agoniser.
@hamlet – à 20 h 36 :
très intéressant, comme d’habitude. Je viens de terminer l’excellent essai de G-A. Glodschmidt Celui qu’on cherche habite juste à côté – Lecture de Kafka (Verdier).
Passou l’a signalé dans son billet (et bien que paru en 2007, je ne l’avais pas lu.)
Il sent, comme vous, et l’explore finement, le grotesque des personnages de Kafka.
« Le burlesque, le bouffon, est partout présent chez Kafka : en voilà un qui, sans crier gare, devient scarabée, un autre que poursuivent des balles de ping-pong, un troisième qui se plaît à se laisser mourir de faim, un autre encore qui prétend être un pont et qui s’effondre au moindre passage, un cinquième qui chevauche un seau à charbon, un médecin qui se met au lit avec le malade.(…)
Le grotesque, c’est peut-être cela la faute, ce qui dépasse quand on ne doit voir qu’une seule tête, le point qui résiste à toute explication, à toute injonction, et qui tel le culbuto – objet éminemment kafkaïen – reprend toujours sa position. Le personnage de Kafka n’apprend rien, il ne retient rien, c’est un pitre – déshabillez-moi ça ! »
Plus loin, quelques pages en amont, il témoigne de son saisissement, de sa sidération à la lecture de La Métamorphose.
En amont, encore, il met en parallèle les écritures de Musil… et de Kafka (plus nette).
Il plonge dans cette cocasserie jusqu’à frôler le territoire de l’absurde, cher à Beckett. : « Est absurde ce qui ne glisse pas selon les enchaînements attendus, qui ne se raccorde à aucun ordre logique attendu, c’est donc ce qui renvoie au au désarroi, à la situation du désemparé.(..) L’absurde c’est ce dont on ne peut rien dire et qui renvoie la parole à sa provenance – ce qu’elle ne peut justement pas dire. »
Cet essai de G-A.G est étonnant, abordant cette vérité : « c’est parce qu’il n’y a rien à révéler que Kafka est à ce point compréhensible et impénétrable. Il y a le il-y-a – et pas autre chose. »
120 pages rafraîchissantes.
hamlet joue de la dialectique du maître et de l’esclave. Se campant dans la figure de l’esclave il espère prendre la relève du maître. Son agonie n’est que le triomphe de l’hypocrisie.
des interprètes :le joournal de JAM
je raisonne tout naturellement en chrétien, voire en catholique romain, et ce n’est que par une torsion interminable que je parviens, si j’y parviens, à me décoller de cette détermination pour penser en logicien, voire en psychanalyste, ce à quoi je ne prétendrais pas si un certain Jacques Lacan ne m’en avait, et à beaucoup d’autres, frayé la voie à partir d’une expérience précoce ayant permis à cet élève brillant et dévot des pères maristes du Collège Stanislas d’accéder à « la fonction fondamentale de maudire Dieu », comme il en fit une fois la confidence au public de son Séminaire, ce qui d’ailleurs ne l’empêcha point d’accueillir dans son École freudienne pas moins de douze jésuites, qui, sous la houlette de l’excellent père Beirnaert que j’ai un peu connu, poursuivaient un dessein missionnaire des plus précis que le maître des énigmes eut tôt fait de déchiffrer et de contrarier de toutes ses forces,
JAM journal
car elle se convainquit que je fus le marionnettiste de Lacan dès ma rencontre avec lui en 1964, et que c’était moi qui l’avais détourné de consolider le Nom-du-Père pour se lancer dans la logique mathématique, complot pourtant peu vraisemblable étant donné qui nous étions respectivement lui et moi à cette date, et tels que l’éternité change. Au reste, je ne me suis nullement résigné à la proscription subie de la part de la puissante et séculaire Compagnie.
Soyez persévérant, hamlet. Bien fou celui qui tente de vous élucider. Immobile comme la toupie, le mouvement est insaisissable.
(Ah, j’ai oublié, dans son essai, G-A.G. éclaire les « fables » de Kafka par des pensées de Wittgenstein extraites de son recueil De la certitude.)
Retour à Kafka (Journal – 2 août 1917) : » La plupart du temps celui qu’on cherche habite juste à côté… »
Rabattre Kafka du côté de Wittgenstein c’est rabattre Kafka du côté de l’anti-philosophie, du côté de l’idée que la vérité nuit et qu’il faut la destituer, qu’il faut en finir avec Platon comme dit Nietzsche. Je ne suis pas sûr que ce soit la pensée de Kafka et qu’à le rabbatre ainsi du côté d’une thérapeutique (guérir de la vérité, comme dit Nietzsche) on ne commette pas un contre-sens majeur à l’égard de Kafka, qui ne situe du côté de la recherche de la vérité, qui y tient. D’ailleurs toute son évolution, son désir final de s’installer en Terre promise milite contre cette destitution de la vérité.
Pas de quoi être fière http://www.mag4.net/Rimbaud/poesies/Ophelie.html
…qui SE situe…
« Et pour Wittgenstein, guérir la maladie-philosophie purement et simplement, laquelle est la propension qu’on doit élucider à émettre des propositions absurdes, dépourvues de sens. »
(Alain Badiou, L’anti-philosophie (2))
Je pense effectivement que GAG se laisse ici emporter par sa plume sur la qustion du grotesque,et que le croisement avec le De la Certitude n’apporte rien. Quandoque bonus Homerus dormitat, Christiane…
WGG vous avez lu la petite histoire du trapéziste ? Benjamin voit dans Joséphine son texte testamentaire, je le vois plutôt dans cette histoire du trapéziste, d’autant qu’elle répond parfaitement à la question que vous vous posez sur le rapport de K. à la vérité.
dans ce texte l’imprésario est la figure du lecteur et le trapéziste celle de l’artiste, qui ne peut vivre que dans son filet, même quand il voyage en train il ne peut s’empêcher de se caler dans le filet à bagages.
la question de la vérité se pose dans la contradiction entre mystique de l’art et iconoclasme de la vie.
un peu comme ce que vous dites sur le Stendhal que Paul Edel vous a fait miraculeusement comprendre, gros nigaud que vous êtes !
Kafka explique dans ce texte que l’espace de l’art représente un lieu de vie SANS spectateur.
et l’espace qui sépare ce lieu de vie « artistique » inhabité de l’espace de la vraie vie au milieu des hommes, cet espace, cet écart représente le don de, comment dire de l’art ?
et donc la question de la vérité ne se pose plus en terme de vrai et de faux, mais de don et de sacrifice : et ça c’est dans tous les bouquins de Kafka : la « vérité » s’articule entre don et sacrifice.
et c’est là sa vision des choses.
et dans cette histoire, l’imprésario du trapéziste, qui nous représente vous, moi et tous ses lecteurs, que fait-il ? il s’inquiète pour l’artiste, comme nous nous inquétons tous pour Kafka, et c’est même cette inquiétude qui nous empêche de voir son humour dont nous parlions avec Paul Edel, et là je lui conseillerai de relire tout Kafka en se débarrassant de son inquiétude, parce que c’est elle qui nous sépare de ses textes, vous à cause de l’Histoire tragique que vous ne pouvez pas vous sortir de la tête quand vous lisez le Procès, et Paul Edel dont un trait de son caractère est d’être totalement dénué d’humour.
d’ailleurs dans ce petit texte, arrive un moment o l’imprésario cesse de s’inquiéter pour se lever de son siège et aller contempler l’artiste qui dort dans son filet à bagages, comme s’il communiait avec lui, et dans cette communion paisible Kafka montre en lui une image de ce qu’il croit être le « lecteur idéal ».
vous me suivez, chez Kafka il ne s’agit jamais de vérité mais uniquement d’abandon, mot dont il faut retenir la dernière syllabe : don, car cet abandon exprime pour Kafka le don de l’art, et vos histoires de vérités, mon chez maître, vous pouvez vous les carrez là où je pense…
Ne jouez pas les innocents Hamlet,vous avez la memoire bien courte! n’endossez pas le rôle du pauvre persécuté. Vous avez changé de pseudos :Zeno, Dexter, Jep ,Pinko, Puck, etc.. pour revenir à votre scie :constater qu’il n’y avait plus de penseurs ni d’ écrivains dignes de ce nom à notre époque. Vous étiez le Grand Juge. Vous étiez dans le rôle assez convenu de celui qui dénonce chaque matin la bassesse culturelle de son époque . Vous étiez le Nisard de mon blog. Vous avez criblé,sans cesse les intervenantes de votre mépris . Or tout mon blog « pres loin » prend pour objectif à inciter à lire et découvrir et prouver, arguments à l’appui, textes à l’appui, qu’il y a une culture vivante, exaltante, de Thomas Bernhard à Jonathan Coe, et de Claude Simon à Sophie Bassignac en passant par Jacques Teboul, les frères Rolin, ou Ingeborg Bachmann ou Botho Strauss.. Oui, c’est une défense et illustration des textes contemporains français ou étrangers ;souvent ils se révèlent, à la relecture d’une grande beauté, ou d’une grande force, d’une puissance critique aussi sur notre monde ..et hélas souvent méconnus.
Je me souviens de vos déclarations répétées, lassantes, sous divers pseudos, contre Houellebecq, Cl Simon,Le Clézio, Angot, François Bon, etc etc..vous changiez de pseudo pour chanter le même refrain amer : qu’il n’y ait plus un seul écrivain français digne de ce nom. C’est une position tenable si elle ne bascule pas dans un parfait mépris culturel en laminant tout ce qui s’écrit , et c’est aussi une forme d’obscurantisme ..L’ arrogance et le manque de discernement littéraire que vous manifestiez (tout le monde au niveau zéro) n’est pas dans l’œuvre de Musil. . Relisez-le ce grand écrivain : si le désespoir se lit chez Musil, comme chez Broch, quand une culture fait naufrage devant les nazis… n’oubliez pas ses dons : l’exquise légèreté satirique, la délicatesse de sa bouffonnerie, son mariage de l’intelligence et de l’humanité pour raconter les amours d’Ulrich et d’Agathe, par exemple. C’est le souhait que je formule pour vous.
sérieux c’est lourdingue ces histoires de « vérité ».
dans ces années-là les (« bons ») écrivains n’en avait rien à battre de la vérité !
chez Musil il n’est jamais question de vérité, pas plus que chez Mann ou Kafka !
si vous cherchez des auteurs en quête de vérité lisez donc Angot ou Enard ! mais pas Kafka ! la vérité c’est juste bon pour les crétins !
vosu savez ce que disait Musil sur la vérité ? il citait Maeterlinck quand il dit : à la place de la vérité je préfère trois bonnes vraisemblances.
et Musil de s’interroger sur cet adjectif « bonne » : qu’est-ce qu’une bonne vraisemblance ?
même du réel ils s’en tapaient tous ! le réel c’est un truc bon pour les mathématiciens et les crétins !
en art à cette époque il n’existait que des réalités plus ou moins consistantes selon leur bonne ou mauvaise vraisemblance.
sérieux WGG vous encore pire que Paul Edel, vous faites des anachronismes et vous pensez les années 20 avec des idées littéraires de 2017, ce genre de truc ça vaut grave un zéro pointé !
La vérité s’articule en vrai/faux. C’est ce qu’on appelle encore la logique du tiers exclu. Il n’y a rien d’autre (pas de tiers terme) que vrai/faux.
L’opposition don/sacrifice n’a strictement aucun rapport que ce soit avec l’idée de vérité. Ce sont des catégories de la morale, pas de la vérité.
Et il est vrai que Kafka se place souvent du point de vue de la morale. Là, il n’est pas faux de dire qu’en cela il est Juif. Mais sa morale n’est pas calquée sur le Judaïsme. Il s’agit bien plutôt à mon avis d’une éthoque de la création et de l’artiste dans la société. C’est de ça dont nous parle Kafka.
Paul Edel, je vous en prie ne me faites pas ce procès, j’étais un autre à cette époque, je le reconnais et je ne saurais trop m’en faire pardonner, mais j’ai bien changé depuis ! je suis devenu un autre homme prêt à vous lécher les bottes comme tous ceux que vous aimez bien ! vous pensez qu’un criminel reste toujours un criminel même après avoir purgé sa peine ?
Chez Musil ? Mais chez Musil il est constamment question de la vérité justement ! L’Homme sans quealité est justement un réquisitoire contre la modernité qui a transformé la vérité en statistique !
@Petit Rappel dit: 13 août 2017 à 12 h 39 min
A chacun ses passeurs, M.Court… Je suis fidèle à G-A.G. depuis longtemps. Il est le seul qui m’ait permis de progresser dans la lecture des livres de P.Handke. Et son ouverture au burlesque pour ceux de Kafka, me plait bien.
Quant au rapprochement avec De la certitude de Wittgenstein (un de mes livres préférés), il est tout à fait pertinent. « (88) … de sorte que certaines phrases une fois dites soient hors de doute. elles se trouvent à l’écart de la route où se meut la recherche. ».
Les deux travaillent sur la limite de la langue. Rien ne prouve que le mot corresponde à ce qu’il exprime malgré « l’exactitude de la langue de Kafka, faite de mots simples, toujours pris dans leur sens précis. ». Le langage exerce en permanence son emprise sur nos façons de penser. Il trace une limite pour l’expression de nos pensées. Le langage de Kafka « échappe à toute prise au moment où le commentaire tente d’atteindre le cœur du récit.(…) on ne peut que le paraphraser.(…) Son sens est uniquement dans la tête du lecteur. »
Moi, j’ai toujours considéré hamlet comme un type qui sort d’un asile d’aliéné et je ne lui ai jamais accordé quelqu’intérêt que ce soit, à ses élucubrations infantiles. C’est un tout dingue, rien de plus, un de ceux qui viennent se coller sur le papier tue-mouche dans la salle à manger de la cuisine l’été…
Christiane, ne dites pas que Wittgenstein est tout à fait pertinent. Vous n’y comprenez que couic à Wittgenstein. Vous m’amusez.
GAG il dit là proprement n’importe quoi. Il commence sérieusement à devenir gâteux… Tout ce qu’il dit là est d’une grande bouffonnerie. C’est un démenti total du rationalisme européen depuis 2500 ans ! C’est n’importe quoi. La vérité ça existe dans les mots, dans la langue, en dehors de celui qui lit ! Non mais !
« Je me suis un peu égaré, mais cela ne fait rien, car vous m’avez peut être accompagné et maintenant nous nous sommes égarés tous les deux. »
K à Milena (et à tous ces lecteurs…)
Bon dimanche
Char n’aimait pas trop la vérité.
Qu’est-ce que c’est que cette bouffonnerie encore à propos de Char ?!!! Mais lisez les auteurs dont vous parlez, ça vaudra beaucoup mieux que de pianoter vos inepties ici, Lucie.
Je rêve! Voici ce que je trouve dans la notice WIKI de Pierre Legendre:
« À l’inverse, pour L’Express, Legendre est le dernier penseur à contre-courant7. Pierre Assouline, voyant en lui le dénonciateur d’une tyrannie qui ne dit pas son nom (libérale-libertaire)12, considère que « sa pensée est l’une des plus stimulantes qui soient » et que « son œuvre est de celles qui dominent leur champ »12.
Passou, vous êtes prié de vous expliquer. Comment pouvez-vous faire l’éloge d’un penseur méprisé par WG? C’est inconcevable.
GAG cite abondamment Wittgenstein mais il n’a rien compris lui non plus à Wittgenstein.
Il me fait constamment penser à ceux qui cite Mozart dans leur publicité pour parler de la dernière 4×4 à acheter. C’est exactement du même ordre. Le devenir publicitaire de la pensée française… C’est assez effrayant !
p.tain WGG, j’avais oublié combien c’est flippant pour un névrotique angoissé comme moi d’avoir de discuter avec un p.tain de psychotique comme vous !
on ne pourrait pas enfermer tous les psychotiques de cette terre pour que les névrosés puissent enfin vivre librement sans avoir un p.tain de psychotique de mes deux qui vienne vous cassez les burnes !
Passou n’a rien compris lui non plus à Pierre Legendre, c’est clair. Enfin, pas pour Passou apparemment…!
Passou est un brave type mais il ne comprend rien à la philosophie, c’est pas son truc. Mais il admire les savants. Ce qui n’est pas un reproche. Mais il ne discerne pas les réactionnaires des autres. Il n’a pas les clés de la maison, c’est pas son truc. Voulant dénoncer un totalitarisme il fait l’éloge d’une pensée totalitaire… C’est de la grande bouffonnerie journalistique. Pour le coup, il dénature le métier que par ailleurs il honore de sa plume. Il s’est trompé, ça arrive à tout le monde.
J’ai toujours beaucoup aimé Hamlet.
Il a atteint son sommet sous le pseudonyme de Dexter.
Depuis, il est moins original, moins intéressant.
« Tenez Passou, vous savez quoi? ». Il commençait souvent ses commentaires par une formule de ce genre. J’aimerais qu’il nous la rappelle exactement. J’adorais.
Non, moi, je n’ai vraiment rien d’un malade mental, hamlet. Je vous assure. Si c’était le cas, je ne serai pas professeur.
En revanche, je vous ai toujuors pris pour un fou, un vrai, ceux qu’on rencontre dans les hôpitaux. Car, la plupart du temps, tout ce que vous dite n’est que pure bouffonnerie. Et vous n’êtes même pas le bouffon du maître.
Il est clair que personne ne comprend rien à rien, sauf WG, qui comprend tout sur tout.
closer dit: 13 août 2017 à 13 h 47 min
J’ai toujours beaucoup aimé Hamlet.
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Mais c’est normal ! Qui se ressemble s’assemble… Vous ne m’étonnez pas du tout. Je l’aurais parié…!
closer dit: 13 août 2017 à 13 h 50 min
Il est clair que personne ne comprend rien à rien, sauf WG, qui comprend tout sur tout.
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Pour le coup, c’est vrai, en effet ! Ici, c’est vrai.
Hamlet,
Rien n’a lieu qu’une fois. Les personnages de Kafka ne peuvent revenir en arrière, ni se défaire d’eux-mêmes (Le Procès). Ils ne peuvent qu’aller vers la mort. Ils vacillent sans savoir pourquoi ils ont décidé du premier pas. Leur mystère est en eux pas dans les autres. Mais avec Kafka, il n’y a rien à penser d’eux avant qu’ils ne les fassent exister par son écriture. « Tout est déjà dit lorsque la parole commence. ». Tout est déjà trop tard. Ils clignotent puis s’effacent, devenant silencieux et pour toujours, dévorés par le néant total et le livre est refermé. « L’intérieur de la Loi est inaccessible. » G-A.G. écrit sur la dernière page du livre cité « Kafka c’est la persévérance dans l’inaboutissement. » Pas d’issue, pas de fin.
Le début du bouquin de GAG est bonne et stimulante dans son analyse du Procès. Mais après il débloque complètement.
Pour un type comme WG qui prend tout au premier degré et possède un sens de l’humour proche de zéro, un Dexter est incompréhensible.
C’est évident.
Je le prenais au début au deuxième degré, pensant à une bouffonnerie volontaire jusqu’au jour où j’ai compris qu’il était très sérieux dans ses bouffonneries…! C’est lui qui n’a aucun sens de l’humour, pas moi !
WGG, c’est quoi alors cette obsession à toujours chercher le vrai le faux.
tout ça pour dire que s’il arrivait qu’un lecteur ne sache faire ce discernement, et bien qu’il vous pose la question, parce que vous savez toujours démêler le vrai du faux !
non ? existerait-il une question ayant un rapoort à la vérité et à laquelle vous ne puissiez pas répondre de façon courte et concise ?
vous savez quoi WGG, vous ressemblez à Edel quand dans son dernier commentaire il se fait tout seul comme un grand son auto-portrait, très proche de la perfection bien sûr.
et après ça il vous reproche si vous avez le malheur d’en rire, quel être à peu près censé de ne se bidonnerait devant un type qui se fait un tel portrait de lui-même ? sérieux ?
Lisez Alain Badiou commentant Lacan, là c’est de la vraie philosophie, de la vraie pensée qui pense. Et c’est pas totalitaire du tout ! C’est autrement plus stimulant que Legendre qui est bon comme chef de la grande Inquisition du Père. Un vieux Schnock, c’est tout… Effrayant tout ça !
Mais tout roman est bâti sur un arrière-fond idéologique qui repose forcément sur la dictinction du vrai et du faux. Ph. Hamon a même écrit tout un ouvrage critique sur cette question. Mais on le savait avant, c’est évident.
bon d’accord, sur ce coup WGG je vous fais une entière confiance : donnez moi un seul exemple de vérité et d’idée relevant d’une morale chez Kafka.
allez, dites-moi et promis je serai prêt à le gober.
Mais je souscris à tout ce que dit Popaul à votre propos. j’avais pas suivi toute l’affaire, comme dit Monsieur Plume chez Michaux, mais j’avais bien compris ça.
Tout ce que dit Popaul relève simplement du bon sens. Rien qui contredise la vérité. Vous devez être un de ces êtres qui sont constamment dans le ressentiment, dans la hargne, la haine du monde, la haine de soi. On en voit parfois des specimen dans votre genre dans un ou deux séminaires filmés de Lacan, qui l’agressent violemment. Lacan ne se laisse jamais démonté, il en a vu d’autres avec les fous. Vous êtes de ce genre-là. Vous auriez simplement besoin d’une petite thérapie, une petite analyse d’une bonne vingtaine d’années sans doute… C’esg triste, les gens qcomme vous. Ils gâchent sans cesse la fête, croyant la susciter.
Mais tout chez Kafka est d’ordre moral. Ses pensées sur le péché, tout, absolument tout. C’est un moraliste Kafka, c’est évident. Il est à situer dans cette tradition. Il apporte quelque de juif pour le coup dans cette tradition. Il faudrait l’étudier de plus près. Ici, on trace simplement des perspective, on ne prétend rien d’autre.
Vous voyez les rapports humains uniuquement sous l’angle du rapport de force. Jamais il ne vous vient à l’idée que la vérité ça existe et existe en dehors de celui qui l’énonce.
« tout roman est bâti sur un arrière-fond idéologique qui repose forcément sur la distinction du vrai et du faux. »
whaouh ça c’est ce qu’on appelle « pondre une vérité ».
vous pensez à qui ? à Flaubert ? Bouvard et Pécuchet ?
on ne doit pas avoir la même définition du mot « vérité ».
une « vérité » c’est un truc qui marche pour tout le monde ? ça voudrait dire que tout le monde sort d’une lecture avec la même idée simple de ce qu’y est vrai et faux ?
et ça marche aussi dans le monde réel ou bien c’est que pour les bouquins ?
les moralistes font de la morale ?
comment un type aussi obsédé par le vrai et le faux peut-il pondre autant de sornette !
donnez moi le nom d’un seul moraliste qui fait de la morale ?
on ne doit pas avoir la même définition du mot « morale », je pense que vous voulez parler d’éthique, les trucs sur les façons de vivre en société, les coutumes blablabla, ça c’est de l’éthique, c’est pas de la morale.
WGG je vous envie de vivre dans ce monde simple et empli de certitudes que vous vous construit autour de vous.
c’est sans doute pour cette raison que les névrosés ont autant de mal à supporter les psychotiques.
sur badiou ,ce que dit JAM
Maintenant que j’y pense, c’est peut-être ce qui m’a rendu insupportable d’être traité par
Badiou de « renégat » à la fin de deux gros volumes publiés en Angleterre et qui visaient à faire
croire qu’il avait été le centre vivant des fameux Cahiers pour l’analyse que j’avais inventés à
l’École normale avec mes camarades Grosrichard, Milner et Regnault, alors que lui n’en était
qu’une pièce rapportée, tard venu et marginal. Des escroqueries de Badiou il y en a d’autres,
que je conterai peut-être si ça me chante.
Bref, le jour où j’ai pleuré en lisant les débats
le lien de JAMiller:
http://www.lacanquotidien.fr/blog/wp-content/uploads/2017/05/LQ-698-2.pdf
On ne peut commencer un poème sans une parcelle d’erreur sur soi et sur le monde, sans une paille d’innocence aux premiers mots.
La bibliothèque est en feu
Visiblement Char admet qu’il peut faire des erreurs – pas comme certain, suivez mon regard… Du coup la vérité est toute relative.
Mais mon petit enfant, mon petit enfant (…) tu prends donc au sérieux toutes mes plaisanteries stupides (…), je voulais seulement te faire rire un peu avec cela, nous nous méprenons par peur, s’il te plaît ne m’oblige surtout pas à t’écrire en tchèque, il n’y avait là aucune trace de reproche, je pourrais plutôt te faire le reproche que tu as, des Juifs que tu connais (moi compris) – il y en a d’autres! – une bien trop bonne opinion, parfois je voudrais justement en tant que Juifs (moi compris) les serrer dans le tiroir de l’armoire à linge, attendre, puis tirer un peu le tiroir pour voir s’ils sont tous déjà étouffés, sinon repousser de nouveau le tiroir et continuer ainsi jusqu’à la fin.
K à Milena
lol
Mon pauvre Nicolas ! Pauvre René Char… si mal compris. Si Char admet faire des erreurs, c’est bien que la vérité est un critère. Et il n’y a aucune relativisation de la vérité comme critère. Mais vous ne comprenez rien à ce que vous lisez, hein ! Rien ! C’est effrayant. C’est une véritable bouillie de confusions dans votre esprit !
et alii dit: 13 août 2017 à 15 h 07 min
Ce n’est pas ici le lieu de régler vos petites cuisines, vos petits conflits d’ego qui n’intéressent que vous ! D’autant que vous êtes suffisamment « renégat » effectivement pour ne pas afficher votre NOM !
Moi, je vous parle de philosophie, de la pensée. Pas de vos plats rances et indigestes. Vu ?
hamlet, c’est même plus la peine de lui répondre (j’avais naïvement cru qu’on pouvait lui tenir un discours rationnel), il te vous transforme l’idée la plus simple et la plus banale en une espèce de bouillie de chat pas possible. Ce type est un vrai banjo.
…un vrai barjo mais peut-être aussi un banjo, qui sait ?…
je ne vois pas pourquoi je devrais afficher mon nom , cest une nouvelle loi du blog ? Moi, je ne comprends pas pourquoi certains tiennent à se faire connaître comme juifs ou juives, comme professeurs , ou comme soldats sur ce blog .Ce que je peux dire de l’avoir entendu c’est que P.Legendre faisait e grief aux psychanalystes de s’intéresser bien peu aux mères au point de ne pas savoir ce qu’était une mère , non qu’on ne parle des mères juives, même pur dire qu’il n’y en a pas (pour l’affichage du titre et de l’auteur, chacun trouvera s’il le désire sur google qui sait aussi bien que wgg! (le prénom, c’est aldo je crois et il a un enfant qui chante )l’affichage c’est pour des circonstances particulières , et j’espère qu’on définira les règles de participation au blog afin de décider au plus vite si je le quitte pour ne pas importuner l’am ha’aretz de service obsédé par la judéité , le féminin, la littérature, et la vie
Pourquoi me traiter de banjo alors que j’étais d’accord avec vous : les moralistes c’est des types font de la morale, la preuve c’est que Nietzsche les aimait bien pour ça, parce que lui aussi il aimait bien la morale
Pas vrai wgg?
Vous non plus vous naimez pas qu’on vous renvoit vos sottises ds la figure
Ne soyez pas trop dur, W est tellement intelligent que le seul endroit où on l’accepte c’est dans les commentaires de blog et encore dans doute pas tous. Imaginez l’en privé face à sa solitude et ayez pitié.
Amen
Parce qu’ils sont plus honnêtes que vous, c’est tout ! Vous déblatérez vos collègues anonymement comme font les voyous qui envoient des lettres anonymes.
donnez moi un seul exemple de vérité et d’idée relevant d’une morale chez Kafka.
Sois juste ? à la fin de la colonie pénitentiaire .
Je suis normal, c’est tout. Je me sers de ma raison. Vous devriez en faire autant.
Vos commentaires sont débiles.
La méthode est complètement démente mais l’idée ?
Nietzsche aimer bien la Morale ?!!!!!!!!!!!!
Et Audelà du bien et du Mal, c’est quoi ? C’est de la morale, pauvre débile échappé de l’asile de fous du coin ! Va te faire soigner.
Mais où vs etes un vrai faux c.l c’est qd vous defendez les auteurs dont parle paul edel : le clezio et ts ces defenseurs de la veuve et autres orphelins a la noix, tiers mondistes de mes deux qui ont plombé notre litterature, alors que si le roman est mort (comme vous le disiez il y a 2 jours) c’est bien à cause de leurs ideologies de bazar vous en conviendrez, eux par contre partent d ideologies pour balancer des verites toutes faites et enfoncer des portes ouvertes… Mais pas Kafka
Wgg c etait ironique parce que c est vous qui avez dit que les moralistes font de la morale!
Relisez vous b.rdel!
Je suis normal.
Quelle horreur.
Est-ce que les récits de Kafka peuvent rejoindre l’idée de la parabole où une situation imaginaire permet la mise en abîme de l’homme au prise avec différentes systèmes, des situations d’épreuve d’où d’après le peu que j’ai lu de lui il ne sort que rompu, condamné .
Non, c’est pas parabolique. Il le dit d’ailleurs à Milena en parlant de la métaphore. Ses récits ne sont jamais à ses yeux métaphoriques de quelque chose. Sur ce point GAG a parfaitement raison. Il y a une sorte d’hyperréalisme chez Kafka. Tout est à prendre à la lettre. Ça s’articule d’ailleurs très bien avec l’idée qu’il se construit par l’écriture. Il s’invente ; comme Montaigne en somme, sauf que ça va beaucoup plus loin que Montaigne, ça touche le travail même de/sur l’inconscient.
Celui qui ferait la liste gigantesque de tous les gens qui sur n’importe quel thème n’ont rien compris selon Blabla-Widergänger, il montrerait à quel point il est fou.
C’est simple: sur n’importe quel thème personne n’a rien compris sauf lui.
Il y a donc deux possibilités: ou Blabla-Widergänger est un génie incompris qui comprend tout sur tout et pour qui tous les commentateurs du blog sont des pauvres diables incultes, ou c’est un malade mental qui devrait être enfermé depuis longtemps.
Si c’est un génie, on se demande ce qu’il fait ici depuis tant d’années toute la journée avec autant d’idiots qui ne le comprennent pas, déployant toute son énergie à convaincre des anonymes demeurés qu’il est un génie, au lieu d’écrire et publier toutes les génialités qui déverse ici gratuitement chaque jour.
Ou dit d’une autre façon: pourquoi un génie perd tout son temps depuis des années à convaincre des abrutis qu’il est un génie?
Conclusion 1: sa seule présence jour et nuit ici montre qu’il n’est qu’un pauvre malade mental et que tout ce qu’il écrit n’est que du pur délire.
Conclusion 2: discuter avec lui est, donc, complétement stupide.
La colonie l’illustrerait avec cette machine infernale qui grave les enseignements dans la peau des condamnés , la Langue au prix d’affreux supplices ne lui laisserait aucun répit et condamnerait l’auteur à la justesse ?
Or donc, Zeno, Dexter, Jep ,Pinko, Puck, etc…, tout ça c’était la même chose qu’Hamlet ?… (vu qu’icelui n’a pas eu l’air de démentir, mais de se repentir pour faire acte d’allégeance et d’allégraisse à paulédelle…).
Ce blog vit tous les jours de ces retournements, c meveilleux…, & la somme de toutes ces intelligences érudites en compétitions ombrageuses venues du monde entier sur Kafka et les siens, quelle expérience passionnante !
Et le bon Jean Giono qui croyait encore, en 1935, à la joie de la vie paysanne en petites communautés communistes à convertir, mais pas vraiment à l’invention de la machine à garder les moutons… C’est tout le contraire qui est arrivé. Mais peut-on lui en vouloir d’avoir compris et vibré à ce point, tel un vrai poète paysan provençal, à la nature et aux bêtes de la forêt du plateau de Grémone, comme nous nous y essayons encore aujourd’hui avec celzéceux ? Non…, je ne pense pas.
WGG, n’avez-vous pas émis l’idée qu’il pressentait l’avènement du totalitarisme nazi, est-ce qu’en fonction de ce pressentiment qui peut être s’originait dans un vécu – l’antisémitisme n’est pas un phénomène nouveau – on ne retrouve pas une inquiétude, angoisse en toile de fond, ajouté à cela sa maladie qui je le crois n’a pas dû être pour rien dans la couleur de ses récits.
Non justement j’ai dit exactement le contraire, à savoir que le roman est suffisamment souple et plastique pour renaître et s’inventer !
On est dans une période double pour la poétique du roman aujourd’hui : d’une part une espèce de néoclassicisme bon teint qui a renoncer à toute invention pour dire le monde nouveau qui est devant nous ; donc une forme romanesque totalement réactionnaire, mort-née, obsolète, qui ne laissera rien dans l’histoire littéraire sinon la trace de l’impasse de notre époque à dire la complexité du monde nouveau ; d’autre part une sorte de renoncement à toute littérature qu’est la forme Houellebecq, qui est elle aussi une impasse mais qui plaît aux âmes décérébrées d’aujourd’hui.
Le roman attend sa forme pour dire notre époque.
Le Nouveau roman était une invention remarquable pour dire la sienne, la guerre et ses conséquences. Mais elle n’est plus pertinente aujourd’hui.
Il faut inventer autre chose. Et pour ce faire, il faut d’abord et avant tout se plonger dans le réel, c’est-à-dire dans l’horreur. Et pour ça, toujours aussi peu de candidats !
Totalitarisme nazi, non ; il est mort trop jeune dans le siècle. Mais il a pressenti certainement les dégâts qu’allait occasionner la montée des nationalismes à l’encontre des Juifs, ça oui !
Oui, en effet. Ici, peu de gens comprennent quelque chose à la littérature. À part Popaul, et quelques autres très rares. C’est un fait objectif. C’est le propre d’un blog. Déjà Flaubert l’avait pressenti avec ses deux compères, Bouvard et Pécuchet, dont il rit. Mieux vaut en rire, sauf quand les cons vous injurient à longueur de commentaires débiles…
Des « réflexions » aussi « géniales » que celle-ci:
« Au fond, on pourrait synthétiser le XXè siècle d’une formule qui opposerait Heidegger et Lacan et qui serait celle-ci, d’une grande densité : Il n’y a de sujet que dépourvu de sens (Lacan) et de sens que d’un sujet raturé (Heidegger).
Voilà le dilemme où nous sommes pris »…
Blabla-Widergänger en a écrit ici des milliers depuis 10 ans.
Pourquoi il ne les compile pas en plusieurs volumes et les envoie chez des éditeurs pour les publier?
La réponse est simple: parce que lui-même sait que ce sont des co.nneries.
Pourquoi pond-il ici alors plusieurs douzaines par jour?
La réponse est encore une fois très simple: parce que, pour pouvoir guérir de sa certitude de n’être qu’un pauvre crétin (sa vraie tragédie), son unique but dans la vie est que quelqu’un le considère comme un génie.
WGG, oui lui est mort trop tôt, ses trois soeurs sont mortes en camps de concentration, les juifs de ce temps souffraient d’avantage encore de cette réputation dont on les charge .
« . Le meurtre d’une jeune fille dans un village en avril 1899, immédiatement identifié par les habitants comme meurtre rituel juif et repris dans les pages d’un journal antisémite pragois, est imputé à un cordonnier du village, Hilsner donc, arrêté et condamné à mort. Celui qui sera le premier président de la future république tchécoslovaque, Tomas Masaryk, est l’un des seuls à le soutenir, et démonte les accusations dont il fait l’objet dans une petite brochure, mais il est considéré comme un traître et peu écouté. Néanmoins, l’opinion est touchée, et Hilsner sera finalement gracié quelques années plus tard. «
Mais mon pauvre Pablo75, tout ça te dépasse de 10 000 pieds ! C’st ce que dit Badiou. Va le lire sur son site, tu verras, pauvre tartignole, c’est ce qu’il dit. Mais t’es con, t’es con. C’est pas de ta faute.
kafka en italieFranz Kafka (right) with Max Brod’s younger brother, Otto, at the Castel Toblino near Trento, Italy, 1909
http://423upe1bidgy1q9a4h4ewcvk.wpengine.netdna-cdn.com/wp-content/uploads/2017/07/banville_1-081717.jpg
@ Blabla-Widergänger
À chaque fois que je te lis, je me demande: mais qu’est-ce qu’il fait un génie comme lui toute la journée ici depuis 10 ans?
Ou tu as une explication rationnelle ou tu es fou.
C’est le propre d’un blog.
Tout sessplique, nétoiller.
wgg, bien que le sens ne soit pas pour tous et en toutes occasions d’un accès facile je doute qe les littérateurs en leur fort intérieur écrivent en pensant rester incompris par un lectorat trop c;n , la littérature éventre peut être le monde mais reste ouverte.
for.
monsieur Pablo, longtemps j’en suis arrivé à votre conclusion 75. Mais puisque cela ne change rien à l’affaire, c’est que personne de son entourage n’a songé à le faire enfermer (sur le net, et c normal, il n’est pas dangereux au sens de la police administrative et judiciaire du terme). Et surtout, parce qu’il est protégé par le robot de la rdl et de son maître, à qui il fait une puble d’enfer. Le robot n’a jamais eu l’instruction d’éjecter les posts de widerganger, en revanche, il est indéniable qu’il a reçu l’ordre de le faire à celui de mic.hel a.lb.a, puisque les nombreux messages de sympathie et de déférence allant en ce sens sont instantanément éjectés quand ce patronyme apparaît comme dénué de ponctuations internes, dans la tactique d’adapation habituelle à la petite censure de modération.
La grande question est de savoir pourquoi chacun lui répond avec une régularité d’horloge et y perd des plumes à tous coups, en dehors des 2 ou 3 qui font semblant de faire ami-ami mais qui, au bout d’un certain temps, finissent par s’en mordre la queue, tel le plus irréductible d’entre eux, JC, obligé d’aller s’en placer une chez le très accueillant blog de Sergio qui, lui, ne filtre rien.
Sinon, le terme de « génie » sans bouillie ne me paraît pas vraiment approprié pour cet homme si singulier. En revanche, (et dieu sait que je n’y connais rien), il y aurait sans doute qq chose à creuser dans l’estime réciproque que s’inspirent les névrosés à l’égard d’un psychotique. C pas trop mal vu sur un plan clinique général, d’après les spécialistes de l’addictologie aux blogues littéraires, la dernière des basse-cours du 21e s., où l’on cause avec délices, càd salonnardement.
La plupart d’envous ici, vous n’êtes plus éducables. Vous êtes le produit, assez misérable et pathétique de notre époque, qui a renoncé à toute hiérarchie. Pour vous, la science, la pensée, le savoir, la vérité ne s’énoncent plus à travers des gens de savoir qu’on a à écouter. Vous êtes les premières victimes de cette démagogie. Et vous êtes, corollaire inéluctable, des gens très conformistes qui sont soumis et qui ne savent plus utiliser leur raison. On en aest revenu aux reproches qu’adressait Kant à son temps dans son fameux texte « Was ist Aufklärung ». La démocratie nous a fait régresser de plus de trois siècles en arrière. On n’est pas encore chez les barbares mais ils arrivent à grands pas. Il y en a ici déjà un ou deux.
@ Blabla-Widergänger
Et pourquoi toutes tes idoles sont des escrocs intellectuels (Heidegger, Blanchot, Lacan, Badiou…) ? Parce que c’est leurs délires verbales qui te permettent le mieux de pondre des « génialités »?
Pas plus de 5000 lecteurs capables de comprendre un écrivain digne de ce nom. Et encore !
@ Blabla-Widergänger
Tu ne me réponds pas.
Si ce que tu écris ici (disons un 20-30 %) est génial, pourquoi tu ne le publies pas?
Je ne comprends toujours pas comment une imposture littéraire gaguesque , gag est leur lieu commun,a force de loi.
Un monde tout de même chez un ou deux , de prendre des vessies pour des lanternes. Kafka ne mérite qd même pas une branlette pareille.
Ici, je l’ai déjà dit mille fois, je ne pond aucune génialité. Il y a à ce sujet un profond malentendu dans la tête des gros couillons de ce blog. C’est un blog littéraire, où j’y vais de ma petite musiquette, c’est tout. C’est par sur un blog que s’énoncent des trucs géniaux. Faut con comme un balais, comme Pablo75 (qui est le dernier balais de chiottes à la mode) pour penser une énormité pareille.
Et puis quand on traite les Lacan Badiou et alii comme il le fait des grands peintres du XXè siècle, c’est même pas la peine de lui répondre; on sait d’emblée qu’on a affaire à un gros con butté, borné, qui a mis son cerveau dans ses pieds et qui marche dessus à pids joints. Pas la peine de se fatiguer à lui répondre !
@ Blabla-Widergänger
Pourquoi Attali ou Assouline ne te publient pas? Comment ils laissent échapper un génie comme toi?
Paul Jorion a été connu en France grâce à Attali, lequel a recommandé aussi Macron à Hollande. Et Passou a dû faire publier beaucoup d’écrivains bien moins géniaux que toi.
J’avoue que je ne comprends pas.
Kafka est mort en 1924.
En septembre 1938, les accord de Munich sont appliqués, et le pays perd les Sudètes, depuis lesquelles des milliers de juifs prennent la fuite. Quelques mois plus tard, en mars 1939, l’armée allemande occupe le restant de la Bohème-Moravie, sur le territoire de laquelle se trouvent à l’époque 118000 juifs. Les lois raciales sont aussitôt appliquées, les juifs sont donc chassés des emplois publics, les médecins juifs condamnés à ne soigner que des patients juifs, les entreprises confisquées, la population juive contrainte à faire enregistrer l’inventaire de ses biens, ses capitaux et devises saisis, etc. En 1940, le port de l’étoile jaune est rendu obligatoire. Dans les pays tchèques, la « solution finale » est appliquée à partir de 1941, avec le départ d’un premier convoi de 1000 personnes en direction des ghettos polonais. Par la suite, les nazis décident, sur le conseil des autorités juives qui y voient un moyen de sauver une partie de leur patrimoine, de faire de Prague ce qu’ils appellent un « musée de la race disparue », raison pour laquelle la plupart des monuments juifs de la ville ont survécu à la guerre. Ils créent ainsi au nord du pays le ghetto de Terezin, petite ville vidée de ses habitants. Les juifs tchèques y sont entassés pour quelques semaines ou quelques mois avant d’être envoyés vers les camps d’extermination en Pologne. Ainsi, 89000 juifs de Bohème et de Moravie sont déportés, et 80000 mourront en déportation. Après la guerre, on constate à Prague un afflux de réfugiés juifs de l’est, et 19000 migrent pour Israël, phénomène qui se reproduit en 1968 après l’écrasement du printemps de Prague, avec cette fois 15000 départs. Aujourd’hui, on dénombre environ 6000 juifs en République Tchèque, dont environ 1200 résident à Prague.
@19.01, merci pour avoir mis en ligne cette photo inconnue. Qui me permet d’avancer ceci qui crève les yeux : personne n’a encore expliqué que le drame intime de Frantz Kafka, comme il est montré sur cette photo de manière éclatante, était lié à une souffrance constante liée à ses grands pieds plats : il avait un mal de chien à trouver des chaussures à 46… La cruelle milena j. avait osé s’en moquer, tandis que max b. n’y faisait jamais allusion, pour ne pas blesser son ami. Or, on sent bien que toute l’oeuvre romanesque de K. témoigne de cette gêne récurrente, comme l’a fort bien perçu michel widergÄnger, le génie de kiev.
Il est vraiment naïf (en plus de crétin) ce pauvre Blabla-Widergänger: « Ici, je l’ai déjà dit mille fois, je ne pond aucune génialité. »
Cela veut dire qu’ailleurs, il en pond.
Il se croit vraiment un génie, cet andouille.
C’est dire à quel point il est fou.
C’est par sur un blog que s’énoncent des trucs géniaux.
pourquoi y passez vous tant de temps, nous sommes non éducables, incapables, demeurés, nuls, seriez-vous en représentation, dans ce cas votre public est de mauvaise qualité, cherchez une autre scène car de celle-ci ne proviendra aucun résultat . Temps perdu pour aucune connaissance ou reconnaissance, nous sommes irrécupérables à votre cause.
D’autres prédicateurs juchés sur leur caisson sévissent dans les parcs publics en plein air ; ici, c’est le lieu de Foutriquet en majesté virtuelle. Passons.
Mon ambition ici n’a jamais été autre chose que de transmettre, d’ouvrir l’esprit des autres à l’inconnu. Un peu comme avait voulu faire Jeanne Moreau dans l’émission de Pivot. Faire connaître la pensée de tel ou tel, Heidegger, Badiou, etc. Parce qu’ils me semblent importants. C’est tout.
Mais faut voir avec quelle hargne, hostilité, quelle haine tout ça est reçu ! Même sentiments qu’à l’égard de Jeanne Moreau, la haine ! Conclusion : les ploucs ne sont pas éducables. Ils haïssent en réalité le savoir, la culture, etc. C’est typique de la petite bourgeoisie montante ; on le voit fort bien sur les blogs. Badiou comme Milner l’ont très bien senti venir. C’est une lente dérive vers la barbarie, qui part du sentiment d’humiliation que rennsent les ploucs, et ils se vengent. Ils n’ont que ça pour s’en sortir, comme Hitler.
Ailleurs, oui, en effet !
Ici, j’écris parce que ça me plaît, c’est tout. Qui m’aime me suive. Les autres, qu’ils aillent se faire f.outre…! Ils ne m’ont jamais intéressé.
non – c’est qu’il a toujours voulu éduquer des inéducables, car il n’y a hélas pas réussi dans la vraie vie de l’E.N., et c’est bien pourquoi elle a cherché à l’en faire virer, tellement il y produisait de dégâts. Icite, ce généreux élan lié à une psychose paranoïaque en rapport avec sa personnalité est beaucoup moins compromettante sur un plan strictement lacacanien, d’après les spécialistes. Je dis ça, mais enfin j’y connais rien, et surtout à Lacan – Miller – Badiou, Legendre et Heidegger. Donc, je me retire pour la dernière fois, hein, hein.
BS à toussent.
C’est le bon moment pour les haricots verts, il y en a encore une moisson à ramasser, quelle barbe !
les ploucs ne sont pas éducables.
oui mais alors qu’est-ce qu’ils forniquent contrairement à vous!
Bérénice ca m’intéresse, vous êtes disponible mardi ?
Mais qu’est-ce que vous en savez d’abord !
@ Blabla-Widergänger
Si ailleurs tu ponds des génialités, offre-nous quelques unes ici pour qu’on te condidère enfin comme ce que tu es: un génie.
Pourquoi tu les caches?
Pourquoi ne pas ouvrire un blog W?
W ça m’intéresse, t’es disponible mercredi ?
Tout juste capables de petites calomnies, les petits ploucs ! Bien infâmes, bien salaces, bien dégueulasses ! On la voit venir la barbarie des Bouvard et Pécuchet de blog. On la voit tout à fait venir.
Nicolas, mon mari m’a quittée, classée dans les inconsommables, oui bien sûr je suis libre mais je ne dispose d’aucun diplôme pour la chose!
Mais j’ai un blog, mon pauvre chéri ! Il est tjrs pas au courant celui-là. Pablo75 en a fait pourtant une scarée pub…
WGG, avez vous lu 2084 ?
Et pourquoi ca ne te suffit pas pour transmettre ton savoir ?
Mais je me fous de quelque considération que ce soit, mon pauvre ami ! C’est bien ça que tu ne comprendras jamais. Tu me vois avec ton petit monde étriqué de petit bourgeois rétrograde et ignoble. Je n’habite pas sur ta planète de dingues.
Je l’ai acheté, bérénice, je n’ai encore pris le temps de le lire, hélas ! Et vu l’année qui s’annonce, ça ne va pas être pour tout de suite non plus.
Sansal selon vous mérite-t-il le titre qui l’honore: écrivain ?
On ira doucement Bérénice, je t’apprendrai, n’ais pas peur https://youtu.be/Stz8SQ_xeNk
@ Blabla-Widergänger
Je suis sûr que tu as des poèmes et des aphorismes à publier. Pourquoi ne pas commencer à le faire ici? Tu pourrais ainsi épater des éditeurs, à commencer par Passou, même si ton opinion sur lui n’est pas terrible (« Passou est un brave type mais il ne comprend rien à la philosophie, c’est pas son truc. Mais il admire les savants. Ce qui n’est pas un reproche. Mais il ne discerne pas les réactionnaires des autres. Il n’a pas les clés de la maison, c’est pas son truc. Voulant dénoncer un totalitarisme il fait l’éloge d’une pensée totalitaire… C’est de la grande bouffonnerie journalistique. Pour le coup, il dénature le métier que par ailleurs il honore de sa plume »). Mais il a du pouvoir dans le milieu éditorial, tu sais?
WGG, vu la complexité de ce que vous avalez pour nourriture intellectuelle de ce livre vous ne devriez faire qu’une bouchée, 300 pages en folio, écriture fluide .
je ne comprends toujours pas comment une im.post.ure litteraire ga.gu.esque a force de loi, gag pour les « i.nti.m » ( gaffe à la trad me.rdi.que d’icelui, est leur lieu commun,chez un ou deux qui prennent des ves.sies pour des lanternes.
Kafka ne mérite qd même pas cet on.a.nis.me à deux balles .
Nicolas 19h39 c’est de la drague ou je n’y connais rien, vous grillez les étapes, je suis une vieille brocante je ne vous plairais vraisemblablement pas.
Mais je ne tiens pas le même genre de discours sur mon blog et ici. Sur mon blog, c’est beaucoup plus fouillé et approfondi. Mais je ne le fais plus parce que c’est trop de temps perdu pour des gens qui ne le méritent pas. Mais j’ai déjà eu des commentaires élogieux, en particulier par un philosophe qui est venu me visiter, et m’a envoyé un e-mail direct, pas un commentaire, en me demandant de ne pas dire son nom. Mais c’est un philosophe assez connu. Moi, ça me suffit. Ici, c’est synthétique, rapide, j’indique des pistes c’est tout. Et comme je l’ai dit aussi mille fois, j’ai besoin d’un pyblic pour penser, même un public de crétins, ça m’oblige à la formulation. C’est très rarement compris. Mais je m’en fous. Ce qui importe c’est que ça me permet de mettre de l’ordre dans mon savoir. C’est un bon outil pour ça. Si ça peut éveiller en plus l’intérêt de certains tant mieux. Mais c’est rarement le cas. La plupart du temps ça n’éveille que ls sarcasmes des gros couillons d’ici, dont je me fous totalement.
Mais vous ne connaissez rien de ma vie, bérénice. Vous jugez sans rien savoir.
gag pour les « i.nti.m »
Je pense que ce monsieur ( s’il s’agit bien de Georges-Arthur Goldschmidt) a droit au respect même s’il n’emporte pas l’adhésion, est-ce une façon de transgresser ?
Ne vous dévalorisez pas ainsi, laissez moi en juger, qui sait ce que la vie nous réserve?
@ la vie dans les bois
« je ne comprends toujours pas comment une im.post.ure litteraire ga.gu.esque a force de loi, gag pour les « i.nti.m » ( gaffe à la trad me.rdi.que d’icelui, est leur lieu commun,chez un ou deux qui prennent des ves.sies pour des lanternes.
Kafka ne mérite qd même pas cet on.a.nis.me à deux balles . »
Si tu essayais de nous dire la même chose mais en français? (Tu étais en train de traduire Mallarmé en espéranto?).
L’art de la synthèse par W, 145 commentaires sur Chretien de Troie.
Ce philosophe, qui est un grand spécialiste de Heidegger, m’a même dit que ce j’avais écrit était du même niveau qu’Adorno ! Et beh oui, mes pauvres chéris… ! Mais lui était capable de s’en apercevoir, pas vous !
C’est bien, en plus ici j’ai mon comptable…! Quoi de mieux !
@ Blabla-Widergänger
« Sur mon blog, c’est beaucoup plus fouillé et approfondi. Mais je ne le fais plus parce que c’est trop de temps perdu pour des gens qui ne le méritent pas. »
Et ici les gens méritent que tu perdes ton temps à leur dire des choses beaucoup moins fouillées et approfondies?
Comment il faut comprendre ça? Tu préfères déc.on.ner ici que passer à la postérité là-bas?
Nicolas tu paux aller lire l’article sur Chrétien de Troyes sur mon blog. Tu verras, c’est autrement fouillé. Mais tu devrais me remercier de t’avoir ouvert l’esprit en prenant le temps d’écrire 145 commentaires tous plus intéressants les uns que les autres pour te faire découvrir cet écrivain. C’est unique ! Tu ne te rends même pas compte de la chance inouie que tu as ici de me fréquenter. C’est de la confiture pour les coc.hons.
Un commentaire c’est court, sinon ce n’est plus un commentaire c’est un article. Et puis j’ai pas envie d’essuyer perpétuellement les idioties des hamlet, Pablo75 à longueur de commentaires. Ils ne sont pas capables de comprendre, ils ne me méritent pas.
Il y a quelque chose qui cloche, Blabla-Widergänger: ta présence ici est incompatible avec le génie. Les génies ne passent pas leur vie à squatter le blog d’un autre.
Je n’ai pas noté l’adresse de ton blog à l’époque, pour diverses raisons, tu me la redonnerais?
C’est pas tout ça les debiles mais j’ai les crocs.
À demain
Je n’ai absolument aucun respect pour le gag mer.d.ique.
Un petit passage pour vous remercier, au nom de Blabla, qui n’aurait pas le cran de le faire.
Chacun de vous remplit la mission que Blabla vous assigne sans que vous vous en doutiez : le garder jusqu’en septembre, le protéger de l’isolement dans lequel il s’est laissé tomber, ( car qui croirait qu’il voyage actuellement? Il ne sait décidément pas ce que c’est que le voyage. A ce propos, pas trouvé ses photos de Prague sur Google Maps. Quelqu’un a-t-il un lien?).
Salut à Pablo et à quelques autres.
Bonjour Chaloux.
Ne passant par ici que de temps en temps, je ne savais pas que Blabla-Widergänger était en voyage. Il est censé être où?
Demande à Pablo75, c’est le grand spécialiste ici de Wgg…!
A Kiev, où il attend sa fiancée. Tu te vois, à des milliers de kilomètres, dans un monde inconnu, continuant à poster à longueur de journée sur la RDL? Blabla ne connait rien du lachez-tout du voyage. Il est chez lui, dans son merbier.
Mais chacun s’occupe de lui, il a de quoi se montrer satisfait. Il existe encore.
Ah, ok, je comprends maintenant pourquoi Janssen J-J l’appelle « le génie de Kiev »…
Drôle d’idée d’attendre à Kiev une fiancée en passant la journée sur ce blog. Quel menteur compulsif, ce mec !!
ce n’est pas drôle.
Avec le guide d’une ville et Google Maps c’est facile de faire croire à des naïfs qu’on est en vacances…
Oui, Pablo, il pense autant qu’il voyage. Mais je ne marche plus. C’est terminé.
« Nous vivions déjà entre l’anxiété et la dépression « . La seule phrase de Blabla (son chef-d’œuvre sur Caim) à laquelle on puisse croire sans réserve.
Le reste, du vent.
Pourquoi il ne publie jamais des photos des endroits qu’il visite, pour prouver sa bonne foi? C’est facile de le faire…
Tu sais dans quelle rue il habite? C’est rue Caulaincourt?
Quand il était à Prague, on aurait juré qu’il visitait le VIIIe arrondissement. Bref, il n’y était pas. Quoique comme le dit justement Pierre Assouline, cette ville ne soit plus ce qu’elle était. Son prétendu voyage en Ukraine est du même tonneau. Il n’y est pas non plus. Mais c’est sans importance.
Tu ne marches pas, tu cours, mon pauvre chéri…! Faut absolument que je note les conversations de ces deux olibrius, ça vaut la peine.
Pablo, si je te réponds, je tombe sous le coup de la loi.
Ah oui, et pis là, le Wgg, attention, y va pas te rater, hein ! à lui les pesetas…
Et lui ne tombe pas sur le coup de la loi en écrivant:
« Widergänger dit: 10 août 2017 à 17 h 45 min
Luchini est un excellent acteur, et un brave type. Il m’est arrivé de lui serrer la main à l’épicerie en face de chez moi, chez Miloud. Mais il est comme tout les petits cons de son milieu, il n’a qu’une piètre opinion des profs. Il est nul. »
😉
Passionnant ! Vraiment passionnant. On voit un con en train de penser, ça fout les jetons…
@ Widergänger
« Ah oui, et pis là, le Wgg, attention, y va pas te rater, hein ! à lui les pesetas… »
Tu parles de toi à la 3eme personne, comme les empereurs?
(Étrange qu’étant à Kiev, au lieu de pesetas, il n’ait pas dit « hryvnias », la monnaie locale).
D’ailleurs, il n’est certainement allé en Russie non plus, contrairement à ce qu’il raconte. Sur son lamentable blogounet, il n’y a pas une photo originale, tout est pris sur Internet.
L’entrée « laboratoire central du travail d’un écrivain » est vraiment savoureuse, quand on connait le bonhomme.
certainement pas.
Que de passion pour le Wgg ! Une véritable star pour les couillons, ce Wgg… On va rebaptiser le blog à Passou, le Wgg magazine…
Non, d’ailleurs je n’existe pas, je suis un fantôme : c’est mon nom Wgg !
Que serait un blog sans drague? adorable Berenice..franchement… Un Macron sans Brigitte? un Vatican sans Pape? un chat sans moustache? des stagiaires TV qui présentent la météo sans décolleté?
et puis sur ce blog applaudissons l’enthousiasmante mauvaise foi de Chaloux contre WGG. Un feu d’artifice longue durée qui continue jour après jour,mois après mois,même la nuit, alors que le public est parti se coucher après avoir raconté aux enfants les histoires de l’oncle de Prague:mais oui, ce soir,je vais te lire, ma puce, Kafka, tu vas voir, c’est un auteur super rigolo.
Je dois dire que j’aime beaucoup Luchini, que j’ai vu plusieurs fois dans ses spectacles. D’abord, une façon de mesurer le vrai pouvoir -immense en réalité- de la littérature, et puis j’ai rarement vu une salle chauffée à blanc à ce point-là, prenant littéralement son pied. Quand un comédien sait faire ça, c’est qu’il a du génie. Le scrogneugneu de collège, qui nous invente maintenant un grand lycée, comme si on allait chercher des hur_luberlus pareils pour enseigner dans les grands lycées parisiens, se paie en monnaie de singe, comme pour tout le reste. C’est sa monnaie.
« Que de passion pour le Wgg ! »
Qu’est-ce que je disais? On s’occupe du pauvre gars, il est ravi. Lui dont personne ne s’est jamais occupé. Quelle revanche!
Rassurez-vous Edel, vous n’entendrez plus parler de moi que de loin en loin, je suis fatigué de ce cirque et j’ai mieux à faire que de lire mon content de sottises tous les jours. Pas posté depuis une quinzaine, ne me cherchez pas, vous aussi, où je ne suis pas. Quant à ma foi, elle est excellente.
La chacha va perdre ses moustaches dis donc…! Lui ausi il aurait besoin d’une bonne cure…
En tout cas, ce que dit Badiou de Lacan est tout à fait passionnant ! Et la critique qu’il fait de Lacan tout autant, à propos des mathématiques. Je suis tout à fait de l’avis de Badiou en plus. J’ai toujours partagé son point de vue depuis le temps où j’étudiais les mathématiques, il dit exactement ce que j’en disais. Incroyable !
Mais à lire Badiou, on se rend compte à quel point Lacan est un très grand penseur. Il nous apprend à connaître réellement le réel.
Je renvoie au séminaire de Badiou sur Lacan. Je ne mets pas copier/coller ici des extraits parce que les couillons vont encore m’accuser de faire du copier/coller. Pourquoi je faire chiller pour des tarés ?
Quant au insupportables et dérisoires hénaurmités de Blabla sur la se_xualité et les femmes, elles ne prouvent qu’une chose, c’est qu’il ne connait ni l’une ni les autres. Chez Blabla, le mensonge est toujours doublé d’un aveu. Apparemment, Edel a trouvé ça très bien, il n’en est que plus précisément classé… Ce mois d’aout est décidément un festival auquel je suis bien content de ne participer que si peu.
Badiou parle aussi très bien du Partage de midi, de Claudel, à propos de Lacan. C’est vraiment passionnant. Qu’il oppose au parathage de Minuit chez Hölderlin. Ça plane !
Tu y participes déjà trop, mon chacha ! Tu devrais dégager vite fait avant qu’on t’en tire par la peau du culte…!
20h03 c’est un minimum syndical en l’absence de violence, médisance ou autre joyeuseté qui vous seraient directement adressées. Vous pouvez esquiver silencieusement si son dernier ouvrage n’emporte votre suffrage, j’ai cru comprendre qu’il était plutôt bon traducteur et reconnu pour tel.
Mon pauvre Blabla, tu n’as décidément aucune dig_nité, mais c’est ton problème. Les posts du duc de Bellerente à ton sujet étaient on ne peut mieux sentis. Preuve qu’il reste quelques personnes fréquentables ici.
La championne française du disque s’appelle Mélina Robert-Nichon.
J’ai beau être un grand amateur d’avancées féminines, ici comme ailleurs le trop me semble l’ennemi du bien.
Même Christiane a fini par comprendre, malgré son insondable esprit de charité, c’est dire. Ton naufrage, pauvre Blabla, ce n’est pas beau à voir.
Widergänger dit: 13 août 2017 à 21 h 09 min
Tu y participes déjà trop, mon chacha !
A soixante posts par jour alors que tu es parait-il en voyage en Ukraine, je te trouve particulièrement gonflé… Mais même plus besoin d’être crédible, juste tenir pour ne pas sentir la solitude autour de toi… Quel destin…Mais surtout quelle dérision. Tu devrais t’arrêter à temps, à supposer qu’il soit encore temps, ce dont je doute.
et alii à 19h01
je ne sais si ce sont les chaussures, mais le premier personnage assis de profil me fait penser à ces deux
cordialement
Bah alors Chaloux, pour quelqu’un qui se porte bien on peut se demander pourquoi tu viens ici pour degueuler sur tout. T’es sûr que ça va ?
un festival, mais c’était en juillet, chez georges sand
https://festivalnohant.com/event/martha-argerich-piano-akiko-ebi-piano/
Il n’y a absolument rien à esquiver. Je ne pense pas que le gag -sic- soit recommandable pour la lecture de Kafka. Contrairement à ce qu’on veut vous faire croire.
Quoi qu’on en dise, la correspondance est ce qui ment le moins chez un écrivain.
c’est par pure charité pour celzéceux qui prennent le train en marche que je renvoie à cet excellent blog qui s’arrêta un jour de 2011, le Monde de mediapart ayant eu ras la casquette d’une telle médiocrité, quels ingrats dans ce journal d’hébergement,
https://blogs.mediapart.fr/michel-alba
le savoir, en avions parlé lors d’une conférence sur l’échec dans un grand lycée marseillais.
(déjà dit, je crois)Ai retrouvé la date, et le titre d cela conférence suivie d’un débat, récemment, dans mes papiers.
un, dans le débat de la salle, assurait la primauté du maître sur l’élève et revendiquait la parole reçue dans un tel silence que la communion à côté est parlottes de nonnettes. Lorsque l’on reçoit avec componction le corps du christ sur la langue.
Homme relativement jeune, son point de vue était suranné.
A mes yeux, le rapport au savoir est exactement le même que lorsque l’on fait l’amour.
Non, le maître n’apprend pas tout à l’élève.
C’est le rêve imbécile, même si je peux le concevoir, de l’apprentissage du haut vers le bas, i-e du malaxeur de terre vers un modèle malléable. Ce sont Pygmalion et Galatée.
Le savoir se transmet de manière réciproque, la jouissance de l’un conduit la jouissance de l’autre qui conduit la jouissance de l’un et il s’agit d’un aller-retour.
Le maître vers l’élève et l’élève vers le maître et réciproquement sans aucune prééminence de statut : égalité absolue.
On apprend en jouissant et on jouit en apprenant.
La meilleure relation du savoir est l’amour.
Très bien Nicolas. J’ai rencontré des intellectuels italiens tout à fait extraordinaires, et nous sommes invités à Assise. Une année sans Italie ne serait pas une année de vie.
Prends soin de toi.
Merci Et al.
La photo de 19h01
Je me souviens avoir posté ici le récit d’une escapade de Kafka dans les alentours d’un lac alpin italien. Souvenir d’un fêtard.
Je croirais volontiers qu’aucun écrivain ne ment jamais. La volonté de dire le vrai est toujours plus grande que le mensonge, plus forte que l’homme, plus répandue en tout cas que la volonté de le lire.
Je m’en sors pas trop mal merci. Pareil.
Si un nous dit qu’il est à Kiev, pour moi, il est à Kiev.
S’il n’y est pas, c’est son problème, ce n’est pas le mien.
Si un capte toute l’attention de tout le monde, nous, en méprisant ce même monde, cela ne me regarde pas.
Je suis une femme estimée, reconnue, aimée.
Si apprendre c’est se soumettre sans aller-retour et sans reconnaissance de qui je suis, alors je n’apprends rien, pis, je ferme hublots et écoutilles.
Je ne corresponds pas aux portraits des imbéciles décrits par notre hérault du moyen-âge.
Ce qui est à mes yeux extrêmement dommage, c’est que certains, celzéceux, mettent grande énergie à communiquer avec autrui, à être dans l’échange, à tenter la conversation même si c’est sur trois ou quatre commentaires.
Un qui parle sans échange coupe toute tentative d’échanges mutuels, surtout quand il ramène tout à lui incessamment comme pour nous faire une mauvaise blague.
Parfois, je le crois gentil, comme les gentils, ces hérétiques, puis cela se termine par un torrent d’injures envers le nous que nous représentons, patients, attentifs.
Alors mon sentiment se transforme en « mais il se fout de notre gu….le » et je trouve alors notre patience envers lui bien mal récompensée.
Adoptons illico la philosophie tao, tao tsé toung, donne, tatie danielle, sans rien attendre en retour.
salut à tous : en projet, attaque du tome 2 vernon subutex.
Cet été j’ai refilé lemaglit à un jeune allemand fan de Dostoievski qui cherchait à mieux connaître la culture française et à développer son français au delà de la simple parlote apprise à l’école. Il m’a dit les yeux qui brillent qu’il avait (enfin) trouvé quelques pistes. Passou a fait un allemand heureux !
…
…çà fait, deux jours, que je n’ai pas accès a votre site,!…
…je ne sais même pas, comment, l’accès s’est ouvert,!…Non, rien de spécial, à signaler,!…
…
…des difficultés à voir de loin,…reprendre, des vitamines, arrêter depuis, deux ans,?!…
…mystères et boules de gomme,?…etc,…
…
…le chat, qui dort, sur mon ordinateur,…
…etc,…
Janssen pose également d’excellentes questions.
Quel destin…Mais surtout quelle dérision. Tu devrais t’arrêter à temps, à supposer qu’il soit encore temps, ce dont je doute.
Grande lucidité cependant si wgg ne se répandait , ne fuyait pas comme une outre percée vous ne pourriez l »écrire, à toutes pathologies son utilité, et peut-être aussi inversement.
une utilité , enfin… corrigez pour moi, merci.
@rose dit: 13 août 2017 à 21 h 45 min
Ce qui est étonnant chez vous c’est cette possibilité d’exprimer paisiblement votre vérité, sans haine, sans emportement et avec beaucoup de franchise et de lucidité.
Pour ma part, je suis terrassée par les photos et vidéos des incendies en Haute-Corse. L’île devient noire et comme morte sans son maquis, ses forêts, ses oiseaux, son ciel bleu. Le ciel est devenu opaque, empli de fumées et de flammes encore. Les habitations sont menacées.
Le Var, les Alpes-Maritimes, l’Aude, le Tarn… également. C’est terrible quand la rage devient à ce point criminelle car la sécheresse et le vent amplifient le désastre mais ne le provoquent pas.
Au moins W. n’est pas un incendiaire et puis on peut sauter ses commentaires. Il laisse des petits chemins de traverse… Il était bien, autrefois mais il s’est durci et isolé, oui, Rose.
Bonne nuit, Rose. Merci de ce que vous êtes.
Vous êts une grande naïve, rose, pour croire que l’amour permette d’apprendre quelque chose de l’autre. Allez plutôt lire ce que Badiou explique de l’amour dans son séminaire en commentant Lacan. Vous verrez c’est pas du tout ça…!!!!
La conception que chacha se fait de la vérité en littérature relève de la classe de maternelle…! Quel taré ce type ! Mais quel taré !
Ou ce qui ment le plus…!!! Et quand on lit Lacan, on sait que la correspondance d’un écrivain est ce qui ment le plus ! C’est au contraire dans ses œuvres qu’il ment le moins. C’est tellement évident ! Même pas besoin de lire Lacan pour en être convaincu. Que de clichés ! Que d’idées à trois sous sans le moindre intérêt !
Blabla n’a évidemment rien compris à ce que j’ai écrit. Même chez le plus énorme mythomane que la Terre soit en mesure d’engendrer et de porter,-prenons un exemple : Blabla- le vrai finit toujours par percer, et même dans l’exemple choisi, par su_inter.
De l’autre, dans l’amour, on apprend le mystère. Ce qui n’est déjà pas rien. Blabla n’est qu’un perroquet. Pas besoin de l’aimer pour s’en apercevoir.
Si, j’ai parfaitement compris que t’étais un magnifique imbécile…! Mais on le savait déjà, mon chacha !
c’est par pure charité pour celzéceux qui prennent le train en marche que je renvoie à cet excellent blog qui s’arrêta un jour de 2011, le Monde de mediapart ayant eu ras la casquette d’une telle médiocrité, quels ingrats dans ce journal d’hébergement,
https://blogs.mediapart.fr/mich.el-al.ba
NB/ ne cliquez pas, avant… il convient d’enlevez les points dans le nom patronymique…
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