Frédéric Verger et quelques autres violent l’Histoire avec bonheur
Ce n’est pas d’aujourd’hui que les romanciers puisent dans l’Histoire la matière de leurs histoires. Ils y ont toujours fait leur marché avec une fortune diverse. Il y a toujours des critiques et des lecteurs pour y pointer un manque d’imagination, et il y en aura encore, ce qui révèle un manque d’imagination critique. Cette rentrée n’y échappe pas. Oublions les critiques, voyons les livres puisque cela seul compte. Faut-il le prendre comme une bonne nouvelle ? Question de point de vue, selon que l’on se place du côté des historiens ou de celui des romanciers. Mais si l’on est un peu des deux, et que l’on se réjouit du brouillage des frontières, on ne peut que s’en féliciter : avec ses 357 romans, la rentrée littéraire témoigne à nouveau que la fiction française ne s’est pas émancipée de l’Histoire avec une grande hache (copyright Perec). Mieux même : davantage que l’appel du grand large ou le polar, celle-ci est désormais la seule à faire durablement contrepoids aux ravages de l’autofiction, du moi dans tous ses états, du rapport au père et de l’introspection sans autre but qu’elle-même. Sans jamais oublier le conseil d’Alexandre Dumas à ses nègres :« Il est permis de violer l’Histoire à condition de lui faire de beaux enfants ».
Prenons les Trois grands fauves (288 pages, 18 euros, Belfond) de Hugo Boris. Les trois hommes en question sont Danton, Hugo, Churchill. Le rapport entre eux ? comment ils s’en sont sortis avec la mort à un moment de leur vie, et l’énergie qu’ils y ont puisé pour affronter l’existence. L’auteur les qualifie de prédateurs. Pourquoi pas. C’est très écrit, bien vu, bien senti, vif. A la Zweig dirait-on, celui des Trois maitres. De bons portraits même s’ils n’apportent rien que l’on sache déjà. Appeler cela « roman » est abusif, même si l’auteur prend ses libertés. Le problème est qu’il hésite entre deux thèses : ces hommes sont comme nous et ils agissent comme on agirait ; ce sont des monstres inhumains. Faudrait savoir. Un peu décevant par rapport à ce qui s’annonçait et ce qu’on annonçait.
Sorj Chalandon, c’est de mieux en mieux. On espérait qu’il quitte enfin l’Irlande pour une autre guerre puisqu’elle est sa matière, grands reportages obligent. C’est fait avec Le quatrième mur (336 pages, 19 euros, Grasset). Cette fois, le Moyen-Orient avec en prime le refoulé Gauche prolétarienne de mai 68. Une expérience de théâtre (le quatrième mur du titre) à Beyrouth coincé entre les phalangistes, les fedayin palestiniens et l’envahisseur israélien. L’Antigone d’Anouilh (dommage, celui de Sophocle, c’est tout de même autre chose) en théâtre de la cruauté. La tragédie des planches rattrapée par la tragédie de la vie. A ceci près que, contrairement à l’héroïne tragique sacrifiée par les siens, la comédienne palestinienne est assassinée par les phalangistes. C’était une belle idée de faire jouer la pièce par toutes les communautés, même si elle fleure bon pathos et bons sentiments. Mais c’était sans compter avec Sabra & Chatila. Car la naïveté idéaliste du narrateur est vite corrigée par le choc du réel. Pourtant, on ne lâche pas le livre. C’est là le véritable exploit, plus encore que de monter Anouilh à Beyrouth en distribuant les rôles équitablement.
Laurent Seksik a souvent de bonnes idées, le succès des Derniers jours de Zweig en témoigne, même si un roman ne saurait se réduire à une idée. L’auteur n’est pas un styliste mais qu’importe. Là encore, avec Le cas Eduard Einstein (304 pages, 19 euros, Flammarion) une vraie idée : Einstein avait un fils psychotique à forte tendance schizoïde. Il le cachait dans une institution spécialisée, ne le voyait jamais, l’ignorait. La honte de la famille. C’est lui, le fils, qui parle et raconte sa souffrance. Sa langue est bien typée. Il n’existe qu’une photo du père et du fils. Elle est terrible de vérité tant elle exprime. Elle sert de bandeau au livre et reflète cruellement le texte qu’elle ceint. On y croit d’autant que sa vie a été documentée par les biographes du père. Sa voix ne s’oublie pas. Le mystère demeure… à la lecture des critiques déjà nombreuses que ce livre a suscitées. Non parce qu’elles sont unanimement laudatrices, et à juste titre, mais parce qu’elles mettent sur un plan égal la douleur du fils et celle du père. Alors qu’à la lecture, seule la première m’est apparue ; elle prend toute la place, ce qui est normal ; quant à Einstein-le-génie, je n’ai vu dans son attitude qu’indifférence, oubli, refoulement.
Dans une veine plus strictement romanesque, un récit se détache. Dès son titre, L’Echange des princesses (348 pages, 20 euros, Seuil), Chantal Thomas dit tout, ce qui enlèverait du mystère à la chose. Mais c’est bien de cela qu’il s’agit puisqu’en 1722, en préparant le rapprochement des deux royaumes, le Régent Philippe d’Orléans invente d’échanger des princesses des deux côtés des Pyrénées afin de créer des alliances, Louis XV, 11 ans, épousant l’infante, 4 ans, tandis que sa propre fille, Mlle de Montpensier, épouse le jeune prince des Asturies, héritier du trône d’Espagne. Une fausse bonne idée, peut-être… Contrairement au roman. Sa réussite tient à l’écriture, donc à la voix : légèreté, grâce, élégance. Jusques et y compris dans la dénonciation du cynisme au pouvoir. Un régal de lecture. La narration est classique, bien dans le ton du matériau où elle s’enracine : moins La Gazette que les lettres, pour la plupart inédites, d’Elisabeth Farnèse, Louis 1er, Louise Elisabeth d’Orléans, Marie Anne Victoire de Bourbon, Philippe V et Madame de Ventadour consultées aux Archives historiques de Madrid. L’affaire est littérairement montée en symétrie, les deux histoires en parallèle, reconnaissance de dette de l’auteur au structuralisme. Ce qui n’exclut ni la douceur ni la cruauté sur lesquelles elle repose. Dans la première partie, l’historienne prend largement le pas sur la romancière, quasi absente. La première page est pesante ; dans la deuxième, une phrase fait déjà problème par rapport au statut du narrateur. Heureusement, par la suite, cela s’arrange et l’on retrouve la grâce, la légèreté et l’élégance des Adieux à la reine. C’est peu dire que Chantal Thomas est à son affaire en XVIIIème. C’est son temps ; elle en a épousé le rythme avec un naturel confondant. Les rituels de cette société la fascinent même si on perçoit ici ou là une pointe d’exaspération. On en regrette d’autant le hiatus introduit par la modernité parfois argotique de certains monologues intérieurs ou des rares dialogues, assez éloignés du « verbe des Lumières » cher à l’auteur. Fi des néologismes ! L’essentiel est qu’on y retrouve la musicalité de l’esprit de conversation. Mais on n’imagine pas que nos contemporains, que cette histoire devrait enthousiasmer, soient choqués par ces écarts de langage. De le belle ouvrage.
Avec Le divan de Staline (3212 pages, 20 euros, Seuil), Jean-Daniel Baltassat nous invite à passer quelques jours dans la vie du dictateur. C’est en 1950 eu palais Likani, près de Borjomi (Géorgie) où les cellules du pouvoir soviétique sont condensées en miniature chacune dans une pièce. C’est un roman qui joue sur le théâtre et c’est parfaitement réussi. Le rappel de son passé est incarné par son ancienne maîtresse et l’annonce de son futur par un jeune artiste chargé de lui présenter un « monument d’éternité » à sa gloire commandé par le Politburo. Encore que tout n’est pas aussi tranché : à la suite de nombreux interrogatoires destinés à éprouver sa pureté stalinolâtre, l’artiste se voit révéler par le pervers petit père des peuples la destinée tragique de ses parents, morts en déportation au goulag sibérien de Nazino, là même où furent observés des cas de cannibalisme, en 1933. Quant à la guerre de Corée qui fermente, qu’elle patiente. On navigue entre l’effroi et le grotesque, sans cesser d’arpenter l’intimité glaçante de Staline. Tout pour creuser à vif son inconscient et le mettre à nu. Impressionnant quand on croyait tout savoir de lui. C’est justement en cela que le romancier peut aider l’historien : par ce léger plus d’autant que la documentation a le talent de se faire oublier.
Mais dans ce registre, outre Au revoir là-haut dont je vous ai déjà dit grand bien, mon préféré c’est Arden (480 pages, 21,50 euros, Gallimard), premier roman de Frédéric Verger. Et si la composition d’une dernière opérette était le seul moyen de leur sauver la vie? Telle est la question que se posent en 1944 en Marsovie (on est déjà dans le Sceptre d’Ottokar) deux amis et associés : Alexandre de Rocoule, gérant du luxueux hôtel d’Arden, homme à femmes à la jovialité féroce, et Salomon Lengyel, veuf sérieux et solitaire, qui ont écrit ensemble depuis 1917 un grand nombre de pièces en trois actes, dont la particularité est de demeurer inachevées car ils ne sont jamais d’accord sur la scène finale. Le premier tombe amoureux de la fille du second tandis que la bête nazie rode avec insistance…
C’est parfois si exubérant qu’on se croit en présence d’une histoire toute en arborescence dont la structure nous échappe. N’empêche, même si l’on s’y perd parfois, c’est une belle réussite qui fait penser à celle du Waltenberg de Hedi Kaddour il y a quelques années. C’est une histoire traitée à l’ancienne mais avec des dons et des moyens étourdissants, bluffants. Jouant d’une grande richesse lexicale et métaphorique, l’auteur excelle dans l’art du portrait, du détail physique, décoratif ou vestimentaire. Il est également impressionnant par sa culture généreuse et partageuse, et pas seulement musicale. Cet Arden est vraiment une chose étrange, une météorite atterrie en librairie, mais si envoûtante. Et quel humour, quel détachement ! Des réserves toutefois : des textes en incise, trop longs, qui gâtent le rythme du récit. Arden est une forêt mais pas celle que le titre semble annoncer. Une forêt de sensations, d’intrigues, de pistes, de sentiments, de parfums, de couleurs, d’émotions, d’érudition, d’allusions, de partitions musicales célébrant avec tambours et trompettes les noces du réel et du fantastique. N’en jetez plus ! Mais il sera beaucoup pardonné à celui a réussi à rendre ce délire romanesque au fond si léger.
(Photos Henri Cartier-Bresson)
712 Réponses pour Frédéric Verger et quelques autres violent l’Histoire avec bonheur
Après vous !
Polimèkement.
On reconnait parfaitement Frédéric Verger sous son huit-reflets, et Histoire, qui parle pour ne rien dire…. mais comment s’appelle la troisième sous chapeau cloche ?
PS : Quand on s’appelle Einstein, on n’a pas besoin d’un gamin chillant. Bonne décision du grand Albert !
La première photo,
de clients réguliers,
a évidemment été prise
par le Patron à l’heure
où il ouvre le commentarium,
devant la porte d’entrée de la Rdl.
La deuxième photo est celle
du commentateur récurrent
qui-quitte-les-lieux-pour-toujours.
Sur la troisième photo,
le chauffeur du taxi
dans lequel le Patron
avait oublié ses notes
sur la rentrée littéraire
en train de raconter l’anecdote
à deux collègues et un ami contractuel
en attendant de charger un autre client
devant la garde de l’Est.
Vidéoprotectivement.
rien à voir, d’ailleurs I.A. est une brune
naaaaaaaaan je plaisante, c’était moi..
Ah, un billet qui va réjouir M.Court (fin du premier paragraphe)…
J’ai écouté des entretiens de Sorj Chalandon et Laurent Seksik avec de larges extraits de leur roman. Très convaincant ! J’avais fait un nœud à mon mouchoir pour ne pas oublier d’aller rencontrer ces livres.
La première photographie est savoureuse ! La deuxième me rappelle un souvenir.
Bon je vais lire la deuxième partie du billet…
@ Polémikoeur. dit: 15 septembre 2013 à 13 h 37 min
Jolie variation qui ressemble aux devinettes de l’enfance.
Camarades, je n’ai rien à dire.
Mais j’en appelle à la dignité, à la réflexion, à l’amour de la littérature.
(Je sais ce qui m’attend à la récré, et comment on maltraite aujourd’hui les boloss, ça m’est bien égal)
NON, ces photos épouvantables n’ont RIEN à voir avec la Rdl.
Nous sommes beaux, jeunes et rieurs.
C’est égal, u. semble un peu contracté entre christiane qui s’extasie et Daaphnée qui la ramène à l’ordre.
Bon, lisons cet excellent billet.
« mais comment s’appelle la troisième sous chapeau cloche ? »
JC
Ben, bonheur, c’est écrit dans le titre.
@u.14h08
c’est vrai on reconnaît bien daaphnée
Pardon, U. ???
Oui, oui, ne manquons pas de lire cet excellent billet ..
Au fait, belle expo semble-t-il du Chilien Sergio Larrain (et dites-moi plutôt, U., ce que vous inspire la charmante brune de « Bar, Valparaiso. Chili, 1963 . Nous n’avons pas encore l’âge, vous, du chapeau haut de forme et, moi, du bibi à fleur. Bon, pour cricri .. en revanche …
Cela dit, le surrané du trio est assez croquignolet )
« SERGIO LARRAIN
Vagabondages
11 septembre – 22 décembre 2013
« Une bonne image naît d’un état de grâce »
Du 11 septembre au 22 décembre, la Fondation HCB présente une exposition exceptionnelle du photographe chilien Sergio Larrain. Cet ensemble retrace l’essentiel de son parcours singulier. Des images rares, une approche poétique, un photographe brillant qui a inspiré toute une génération de photographes.
L’exposition de la Fondation HCB, différente de celle des Rencontres d’Arles, présente sur deux étages, 128 photographies en noir et blanc, dont un ensemble précieux de tirages d’époque de la collection Magnum Photos et quelques inédits. (…) »
http://www.henricartierbresson.org/prog/PROG_expopup1a_fr.htm
(Mais je vais vous dire, afleuloup , j’adorerais être comme ça . Bon, à 95, 100 ans .. Mais quand même, j’adorerais ça!)
la troisième sous chapeau cloche ?
C’est Cricri.
… »Eduard Einstein a toujours pris le parti de sa mère. …Il était brillant musicien, avait lu tout Kant, Schopenhauer, Platon. A six ans, il lisait Shakespeare. Par-dessus tout, il vouait un vrai culte à Freud, ayant son portrait affiché dans sa chambre. Eduard rêvait de devenir psychanalyste.
Il commença brillamment des études universitaires avant que sa maladie se déclenche, vite diagnostiquée “schizophrénie” (le diagnostic était courant à cette époque). Sa mère le plaça en 1930, à vingt ans, dans la clinique psychiatrique Burghölzi de Zurich (celle qui accueillit aussi l’écrivain Robert Walser et où on retrouvait, dans le staff médical, Bleuler, le créateur du mot schizophrénie, Jung et Rorschach). On y pratiquait les électrochocs à tire-larigots et on y expérimenta sur Eduard les chocs à l’insuline (on crée un coma insulinique pour tenter ensuite de réveiller le malade sans ses délires). …
Einstein reconnut dans une lettre à Freud que ses théories étaient peut être exactes. Pourtant, malgré que Freud soit le Dieu de son fils Eduard, il ne parla jamais au psychanalyste de la maladie de son fils qu’il cachait douloureusement…
@ Daaphnée dit :
« Du 11 septembre au 22 décembre, la Fondation HCB présente une exposition exceptionnelle du photographe chilien Sergio Larrain. »
Merci pour l’info !
De rien, Christiane.
Et cette photo de Cartier,me plaît beaucoup.
Les deux autres de droite sont certainement U. et moi-même avant que U. ne se décide, littéralement envoûté, à me demander en mariage.
(Il a déjà acheté le chapeau. Moi, pas encore))
diable, vous avez lu tout ça, dear passou, et sans nègres ? incroyable. dites-nous ceux qui sont imprimés sur écru. Il semble qu’ils atterrissent moins souvent dans les bacs à une ouro du bradeur gi(l)bert josef.
Le roman de Chantal Thomas, c’est plutôt Chandernagor ou Duneton ?..les goncourt, une affaire de fripier.
Sur les autres photos on voit deux témoins du mariage qui se sont fait la malle en loucedé: hamlet avec son luth sur le dos, et Sergio le russophile qui râle de s’être vu donner une casquette au lieu de sa chère chapka à oreillettes.
u. dit: 15 septembre 2013 à 15 h 51 min
une casquette
C’est vrai qu’elle a pas l’air de sortir de chez Hugo Boss, cette bienveillante…
il y a ceux qui violent l’histoire… et celui, JC, qui viole ce blog tous les jours
et l’agent de police avec son air chafouin est Keupu, surnommé « Ta-Gueule-Keupu » par ses petits camarades.
à Oeil de Lynx : ah vous l’avez reconnue !
pars pro toto, ce complément
Traitée à Burghölzli par C.G. Jung, disciple et collègue de Sigmund Freud à l’époque, Sabina Spielrein est connue pour avoir eu avec son analyste une relation ambiguë
C’est fatigant, le roman historique, faut se documenter… Si l’on veut faire les mêmes progrès que la bande dessinée en une vingtaine d’années…
keupu dit: 15 septembre 2013 à 16 h 10 min
« il y a ceux qui violent l’histoire… et celui, JC, qui viole ce blog tous les jours »
C’est pour lui faire de beaux mongoliens !
Eduard Einstein est né le 28 juillet 1910 à Zurich, en Suisse, et mort le 25 octobre 1965. ans!
ça fait 48 ans
Pas de mauvais procès, de grâce : je n’ai JAMAIS dit que le vieux moustachu était le portrait craché de Renato de Kolmar !
(…je l’ai seulement pensé …)
Donc, pour le moment, le tiercé gagnant de Passoul serait TOUSSAINT, LEMAITRE, VERGER…. Mouais.
« le portrait craché de Renato de Kolmar »
JC
Vous voulez parler de TKT ?
Son côté gaulois assumé sous le chapeau du banquier suisse.
L’étonnement du trio vient du fait suivant, qui leur apparait inimaginable : ils viennent de voir passer devant eux à petite vitesse le Sire de Bouguereau se rendant à Westminster, tout nu et engodé de frais.
…
…un hollandais au cigare, qui se tape deux javanaises encore grecs du jules,…etc,…
…
1965 – 1910 = 48 ?!
Sosie, 16h55, vous avez vu juste : en phase finale, Renato Calmar de Kolmar et Thierry von Traube sont devenus une MEME ET SEULE personne.
Ci dessous un article du professeur Aloïs Alzheimer, paru en septembre dans les NOUVELLES VETERINAIRE DE L’EST :
Le Traubisme Renatien Cérébral : une maladie grave qui peut rendre confus les plus affutés des esprits, maladroits les artisans les plus précis, débiles les artistes les plus courus.
Touchant les plus fragiles, elle frappe d’abord les petits diplômés sans envergure.
La mort par confusion totalisante intervient toujours après de longues souffrances durant lesquelles cette confusion cérébrale le dispute aux sermons démentiels déconnectés de la réalité …
Dans certains pays, ils sont retirés de la circulation pour alimenter un trafic d’organes, prospère, rémunérateur et tout à fait compréhensible.
La Marsovie, c’est un pays imaginaire comme la Syldavie, alors.
Il semble que pour l’opérette de Lehar, oeuvre que je ne connais pas et ne sais si elle a une place dans le roman de F. Verger, la Marsovie faisait référence au Monténégro.
« L’opérette se déroule à Paris autour de la communauté « marsovienne » de Marsovie, principauté d’Europe centrale (a priori qui fait référence au Monténégro). »
Urucu 48,
Vous devriez revenir à la pratique de la soustraction dans le système numérique de Base 10 …. ça donne d’excellents résultats !
Hélas ! pauvre mythomane.
Cela ne fait que 48 ans que le fils Einstein est mort.
je ne sais lus à quoi correspond le calcul que vous dénoncez justement . je parlais avec quelqu’un qui m’ennuyait aussi
des journées entières dans les arbres dit: 15 septembre 2013 à 17 h 57 min
Oui. Le Sceptre d’Ottokar en Pologne, cela m’étonne un peu, ne serait-ce que pour les paysages montagneux. J’ai toujours vu cela en Yougo.
il me semble que cela correspond à
Il est mort en 1965=> c’était il y a 48 ans
« Cela ne fait que 48 ans que le fils Einstein est mort. »
C’était ce que tout le monde avait compris, je suppose…
des journées entières dans les arbres dit: 15 septembre 2013 à 18 h 04 min
merci d’avoir restitué bonne fin de journée bonne semaine, bonne passoulinie: ce n’est pas mon symptome !chacun peut encore s’inventer le sien!)
tout le monde ?
quand la plupart s’en moque ?
basta!
Le fait que l’on s’en moque (quel intérêt ?) ne signifie pas que l’on ne l’a pas lu et compris… n’est-ce pas…
Urucu 48 dit: 15 septembre 2013 à 18 h 05 min
« je parlais avec quelqu’un qui m’ennuyait aussi »
Je suis comme vous : je parle souvent avec des gens qui m’ennuient. A la vérité, j’aime parler avec eux, mais aussi avec des gens qui ne m’ennuient pas.
Mon rêve : parler avec des gens cultivés ou culturistes, courtois, pervers mais réalistes, sportifs, qui m’admirent et me flattent comme un qatari doré à l’or fin…
Tâche difficile sur un blog aussi prestigieux, animé par la disputatio haineuse !
Sergio dit: 15 septembre 2013 à 18 h 06 min
« Oui. Le Sceptre d’Ottokar en Pologne »
Cher Sergio, mon ami… vous ne confondriez pas avec le « Spectre de Kolmar » ?
quel ennui aussi de parler ou d’écouter aussi avec des gens qui vous flattent , quelle qu’en soit la manière!tous ces conformismes! ce que j’ai aimé dans le portrait de Winnicot , c’est qu’il n’était pas conformiste .
donc je vous quitte tous sans regret
1955 ? année de la mort du père Einstein et du père Th. Mann, de la naissance d’I. Adjani, H. Guibert et M. Patini, ceusses qui font partie de la nouvelle tranche des retraités à 62 ans et 8 mois, non ? Tu vois un rapport entre tout ça, toi JC, légitime défend, d’internaute Base mentale n° 10 ?
Plutôt le spectre de Kolmar avatar de l’ectoplasme de Zürich.
Sergio, je n’ai pas parcouru ces montagnes.
peut-être un jour.
Le tout est de ne pas se retrouver dans le « bordello »
http://www.economist.com/node/16003661?story_id=16003661
N’oubliez pas de regarder ce soir la retransmission la plus palpitante du PAF : le combat entre les Ricains d’ORACLE TEAM, budget replet, contre les Iliens de TEAM NEW-ZEALAND, soudés comme des frères fauchés. En direct de Frisco.
Laissez tomber le direct du pitre de Tulle sur TF1. Bonne soirée, mes amis !
Urucu 48 dit: 15 septembre 2013 à 18 h 24 min
« quel ennui aussi de parler ou d’écouter aussi avec des gens qui vous flattent , quelle qu’en soit la manière! »
Foin de péchés capitaux ! Cultivez-votre Jardin d’Orgueil ! Les fleurs sont superbes et d’une douceur… Ciao !
des journées entières dans les arbres dit: 15 septembre 2013 à 18 h 31 min
le « bordello »
Où est-ce qu’ils vont encore coller l’Auvergne ? Je me méfie un peu…
Pour les reliefs je suis sûr, puisque justement Rastapopoulos disparaît dans une chute de bagnole…
Urucu,
sauf votre respect, il faut restituer la ritournelle en entier:
« merci pour tout
bonne soirée, bonne semaine
et bonne éternité
merci pour tout »
Dans le menu du jour, il y avait choix à la carte.
C’est pourquoi avec Sergio, nous n’avons pas choisi l’entrée, ni le plat de résistance.
On va tout de suite au dessert.
Il faut d’ailleurs que je relise ce Tintin.
« Il faut d’ailleurs que je relise ce Tintin. »
Des journées etc
Si vous pouviez commencer immédiatement cela nous fera quelques vacances.
Vite, vite dit: 15 septembre 2013 à 19 h 03 min
En fait je ne m’adressais pas à vous en particulier.
Mais pour vous, spécialement, si vous vous ennuyez, je pense que l’énonciation dans un commentaire est très importante.
Une trop grande sécheresse nuit beaucoup, car elle ne produit pas l’effet escompté.
Il y a quelques indications utiles ici:
http://www.etudes-litteraires.com/notions-stylistique.php
Ce qui va me poser problème à la lecture du livre de F. Verger, si je le lisais, c’est le mode narratif. Qu’il soit écrit à la première personne du singulier me gêne un peu. Tout comme votre « nous », abusif.
L’histoire incite à faire travailler son imaginaire. C’est une très belle matière.
En Pologne ils ont la plaine germano-polonaise faut pas s’encorder… En Russie ils en ont une aussi Plaine ma plaine ça facilite les brassages de population…
Pour reprendre le lien de Bébert à 15h33 un extrait qui répond à une question que je me suis posée. Et dont je vous fais part « vite vite », c’est la rupture entre Einstein et l’un de ses fils, ici, Eduard.
« Une scène réelle et dramatique est la dernière rencontre entre Albert et son fils dans l’hôpital psychiatrique. Albert joua du piano avec son fils et voulait le convaincre de l’accompagner. Mais cela ne se fit pas. Laurent Seksik imagine que le fils se disait : “Mon père ne supporte pas que je sois à la hauteur.” “T’accompagner ? Plutôt crever.” Et Albert Einstein laissa son fils à Zurich, couvé par sa seule mère. Eduard vécut comme jardinier de l’hôpital jusqu’à son décès en 1965, à 55 ans. Peu avant sa mort, le fils avait reçu un journaliste et lui avait dit sobrement : “Avoir pour père le génie du siècle ne m’a jamais servi à rien.” »
Ce qui me gêne un peu c’est que l’auteur ait « imaginé » ce que le fils avait dans la tête à ce moment-là.
Alors de là à porter un jugement quelconque sur qui a le plus souffert, ce n’est pas le propos.
La schizophrénie a été la maladie d’un autre « génie ».
Je me souviens avoir découvert la vie de John Forbes Nash Jr dans un film.
la réalité :
Ô Pitié…
Ne faisons pas d’Eduard Einstein le jardinier, ce qu’il devait arriver d’un peintre moyen, fils de Freud, et propulsé « fièrement »…
Outre mille pères ordinaires, nombre de célébrités n’eurent qu’indifférence pour leurs enfants: Rousseau, Picasso,… ou même
Brigitte Bardot et Sheila pour les mères!
Le véritable problème, c’est qu’Einstein ambitieux sinon arriviste, avait pu « répudier » sa première femme serbe (Milena la mère de ce fils là; mais au fait, sous quelles pressions ?) pour épouser sa cousine en quelque sorte. Du même coup il répudiait la Suisse (Zûrich, Berne..) pays qui lui avait beaucoup donné… pour conquérir Berlin, côtoyer Planck, etc… et en attendant mieux encore, devait-il espérer(mais n’avait-il pas en poche à la fin de sa vie une dizaine de passeports ?). L’essentiel de l’oubli est là. Mais il en existe un plus fondamental, quant à sa jeunesse, et même son enfance… Au fait: est-il permis d’en parler et en Suisse surtout! on se souvient des pires difficultés que devait rencontrer à Zûrich même, l’auteur de la vie de Milena « femme d’Einstein », pour faire éditer son livre (ceci dit je ne crois pas plus que pour Camille Claudel et autres féminismes, à sa « paternité » si j’ose dire, sur la « Relativité »). Cependant, il y a dix ans, j’ai proposé le thème cité plus haut au Collegium Helveticum de Zürich, et mon projet fut refusé sans autre explication… (je me suis donc rabattu sur Rimbaud, pour développer à son sujet la même problématique quant à « l’oubli », et aux « souvenirs d’enfance » etc… constitutifs de l’Oeuvre (voir: Marc Solitaire; « vierge au bol… Vierge au Globe », Prolégomènes au Paris d’Arthur Rimbaud. /2013)
la vieille elle dit a baroz « tu peux même pas lui faire de beaux enfants à mon mari, espèce de dégoutant »..le petit vieux te hait baroz et l’autre petite vieille elle veut même pus te regarder..no futur épicétou
‘l’histoire on l’encule ou c’est elle qui te casse le pot’ machiavel
Eduard vécut comme jardinier de l’hôpital jusqu’à son décès en 1965, à 55 ans.
c’est très important un jardinier à l’hôpital : c’est Laurence Kahn qui le rappelle dans un entretien « enfants du Cotau, temps de guerre » que j’ai repris ce soir . ((inadaptation des enfants et de quelques autres penser rêve 14)
L’inadaptation des enfants et de quelques autres
penser/rêver N° 14 – automne 2008
Thème – Argument – Sommaire
L’enfant agité de trois ans, futur délinquant dépistable, devait être un peu le héros de ce numéro, en compagnie de ses cousins plus âgés des banlieues chaudes : le numéro entendait insister sur la « délinquance, signe d’espoir » – formule paradoxale célèbre de Winnicott – et montrer que, dans les périodes de l’efficacité à tout prix, du pragmatisme et de la vie sans rêves, on oublie facilement que l’adaptation produit le malaise dans la civilisation.
Mais, comme l’actualité a travaillé pour nous, nous avons de plus accordé une place significative à la destruction en cours de l’Éducation nationale, avec des contributions de pédagogues renommés.
Les « quelques autres » inadaptés seraient-ils des fanatiques du rendement ?
Trois réflexions ce jour :
1) Que faire du Panthéon après que l’on aura supprimé ce culte illégitimement rendu à l’homme ?
2) Pourquoi le compte-tour est-il aussi gros que le compteur de vitesse alors qu’on le regarde rarement en définitive ? Comment convaincre les constructeurs automobiles de réduire la taille du compte tour ?
3)Comment l’évolution des espèces a-t-elle pu conduire aux cycles de menstruation qui posent des tonnes de problèmes aux femmes et indirectement aux hommes ?
D. dit: 15 septembre 2013 à 22 h 59 min
2) Pourquoi le compte-tour est-il aussi gros que le compteur de vitesse alors qu’on le regarde rarement en définitive ?
Ha non sur les motos par exemple les Yams on ne regarde que lui !
Bon. 2) est peut-être un faux problème.
Il en reste deux autres très considérables.
Ben le Panthéon on pourrait mettre oncle Wolf mais je crois qu’on sait pas trop où il est ; sinon c’est dommage, dans une cage de verre comme vladimir Illitch…
ILitch, Trommelfeuer !
…
…escrocs,…voyous,…qui çà,…en bande organisées,…qui çà,…
…
…les états, le pouvoir, les partis pris, les francs-tireurs, la politique économique,…
…
…merci,…des noms,…Dieu,…et ses prophètes,…les rois, les empereurs,…tout les ministres de tout les temps,…
…
…en conséquence,…des histoires pour nous faire marcher,…du bluff,…des à prétextes,…des alibis de fonctionnaires,…tous pourris,…etc,…
…envoyez,…
Rentrée littéraire ou rentrée politique. Hilarante vacuité …?
N’ayant pu assister, par manque de motivation, à la représentation hier soir du Holland Circus, un ami chasseur a eu la gentillesse de nous donner son point de vue que je vous livre en hors-sujet :
« Les hommes (et les femmes) politiques ne sont pas à la hauteur de la situation c’est une évidence ; car comme disait Napoléon : « Le vrai caractère perce presque toujours dans les grandes circonstances »
Or 16 mois plus tard, force est de constater que rien n’émerge de majeur. A croire que les élus politiques de gauche (comme de droite) sont en dessous de tout. Quand donc aurons nous des hommes (ou femmes) politiques abordant de front les vrais problèmes conduisant d’autant plus ardemment en l’absence de croissance soutenue, au creusement de nos déficits publics et conséquemment, à l’explosion de notre dette abyssale ?
Les pistes sont pourtant nombreuses, elles se nomment dans le désordre : coût du travail, coût de l’euro, mille feuille administratif, assistanat, place grandissante et à marche forcée de l’Islam, oubli des campagnes au profit des banlieues, incivilités et insécurité intolérables, fraudes sociales et fiscales, impôts abusifs et taxes faciles, discriminations via les multiples régimes de retraites, pensions de réversion etc…
Si un homme politique (ou une femme) s’empare de ces thèmes, il sera cloué au pilori par la pensée unique d’une gauche bien pensante et des innombrables associations droit de l’hommiste que nous finançons par nos impôts.
En fait, la question qui demeure est bien la « compétence » des élus politiques, sans courage ni audace à ce nouveau tournant crucial de notre histoire. Il va donc falloir que le peuple trouve le chemin lui-même afin que la VIème se réalise dans la douleur, nécessairement.
Nous faudra t’il nous trouver un despote éclairé, voire une dictature momentanée par le fait, sinon par le titre ; c’est très probable ! »
Cette dernière phrase traduit un désarroi funeste pour la démocratie qui fonctionne avec tant de « ratés ». Elle inquiète bien plus que la qualité ou non des romans de nos auteurs de la rentrée, probablement mis sur le devant de la scène pour vendre, les auteurs solitaires ne faisant pas partie du Réseau Officiel Littéraire restant dans l’ombre jusqu’à ce que l’Histoire les fasse surgir avec bonheur … Attendons !
AMERICA’S CUP
Deux superbes régates en baie de San Francisco, hier soir, par 18 nœuds de vent et fort courant de 2,2 nœuds.
Une pour ORACLE TEAM, la seconde pour NEW ZEALAND.
Rien n’est joué, même si les néo-Z ont mis la main sur la Coupe dans les premieères confrontations. Constat : les Ricains vont plus vite ayant trouvé de nouveaux réglages et utilisé un tacticien, Ben Ainslie, de très grande expérience.
D. à 22h59
Votre 3ème réflexion me permet de revoir cette sorte de révisionnisme qu’expose tranquillement Bardamu à 21h42.
http://rimbaudexplique.free.fr/poemes/soeurdecharite.html
Une 4ème réflexion, serait de savoir – s’il y a, s’il doit y avoir ? – une corrélation entre être un légataire universel, comme Einstein père, et être un père/époux exemplaire pour tout le monde ?
Ce que suppose cette 4ème réflexion ne vous parait-il pas borderline ?
encore que le terme légataire peut être mal compris,par moi aussi, je voulais dire: Einstein père en tant que donateur universel
D.
Vos trois questions sont éminemment intéressantes … naturellement, venant d’un esprit aussi éclairé que le vôtre.
1/ Vidons le Panthéon de ses rognures et faisons de ce lieu stupide, temple de l’arrogance, un poulailler géant.
2/ Sans intérêt
3/ Menstruations ? des TONNES de problèmes aux hommes et aux femmes ? vraiment ?
Bien à vous sous ce ciel bleu !
Savez-vous D. que j’en suis à aimer sincèrement (et non pas profondément comme l’aurait perversement dit le Bougboug) Thierry et Renato.
Je les aime comme s’il s’agissait de deux chatons perdus, oubliés par leur mère une ingrate, affolée par un matou séduisant…
Essayez de les adopter, de les aimer, ces chatons verbeux, ce serait super ! et ils nous foutraient la paix en ronronnant gaiement au lieu de miauler leur misère.
D. , votre 1ère réflexion est très pertinente.
Qu’en pensent les féminiss parisiennes ?
Vous devriez savoir, JC, que venant de vous toute insulte est un compliment. Have a good trip…
@Bardamu
Einstein était autiste paraît-il
En tout cas, pas facile d’être fils ou fille d’un génie, à forte personnalité scientifique artiste ou autre
« La schizophrénie a été la maladie d’un autre « génie ». »
on colle l’étiquette schizo à tout bout de champ
« En Russie ils en ont une aussi Plaine ma plaine »
Après la plaine blanche, un autre plaine blanche
Have a good trip…
Sur la rdl,on dit:have a good ceinture…
D. dit: 15 septembre 2013 à 22 h 59 min
Comment l’évolution des espèces a-t-elle pu conduire aux cycles de menstruation qui posent des tonnes de problèmes aux femmes et indirectement aux hommes ?
D., est un garçon qui a des TONNES de problèmes.
Le billet du jour offre une thématique tellement riche, de Louis XV à Staline, que les commentateurs ressemblent à ces foules endormies tournant autour d’un buffet trop abondant, ne sachant de quel côté y aller de ses baguettes (au breakfast, faut-il s’envoyer d’abord le jet d’acide orangé ou l’eau sale de l’american coffee?)
Allons, commençons, commençons.
(Comment ça après vous? I need time to digest)
C’est parfois si exubérant qu’on se croit en présence d’un billet toute en arborescence dont la structure nous échappe. N’empêche, même si l’on s’y perdu parfois, c’est une belle réussite
« C’est parfois si exubérant qu’on se croit en présence d’un billet toute en arborescence dont la structure nous échappe. N’empêche, même si l’on s’y perdu parfois, c’est une belle réussite »
U. est le nègre asiatique de Passou, toute la place de Paris le sait. Forcément le billet lui plait, c’est lui qui l’a écrit !
Arrêtons de taper sur le grand Albert.
La pensée permanente d’un père confronté quotidiennement à un enfant débile, c’est de l’étrangler. La loi, les convenances et un reste de narcissisme s’y opposent.
Naturellement, il y a les exceptions, comme la belle histoire de Oe Kenzaburo et de son fils.
On peut choisir de penser que c’est l’exception qui permet de ne pas désespérer, mais c’est le plus souvent l’exception d’un autre que soi.
Si on étranglait tous les débiles qui le méritent, on tomberait vite à 45 commentaires par billet …..
Mon Dieu, U. !
Vous n’y allez pas de main morte, si j’ose dire !
« La pensée permanente d’un père confronté quotidiennement à un enfant débile, c’est de l’étrangler. La loi, les convenances et un reste de narcissisme s’y opposent. »
Parlez-vous d’expérience personnelle ou d’études sur le sujet ?
Reste à définir ce qu’est un débile. Faudra demander à TKT, il sait, lui.
Après, il faudra faire des listes, département par département, s’organiser quoi.
l’année de Proust ! et rien de nouveau en cette rentrée littéra
ire qui ressemble plutôt à une sortie pluvieuse , non ?
Tous mes garçons sont débiles. Ils ont fait des études littéraires. Cela les a sauvé. Ils sont heureux. Chômeurs mais heureux. Intégrés.
Les filles, elles, ont fait putes et ça rapporte bonbon ! Parait qu’il faut dire escort girl. C’est moins salissant. Money.
L’année Proust !… Ouarf !
« on tomberait vite à 45 commentaires par billet ….. »
Exact, le reste est foutaise.
On ne peut même pas dire au sens de Malebranche que nous avons affaire à un comportement de « beaux esprits »…
L’année Proust semble durer depuis une quinzaine d’années. La conjonture médiatique actuelle peut lui donner dix ans de prospérité.
Pour avoir de beaux esprits, il faut bâtir une société aristocratique, royaliste, raciste, hiérarchisée, religieuse, colonialiste, esclavagiste et impérialiste.
Prêts pour un retour arrière, toute ? Partez !
tout fou l’camp Passou, allez-vous encore tolérer longtemps la chienlit sur VOTRE blog
( Hors sujet:
Stratégie ou vision du monde ? très intéressant Kissinger sur france Cult.
« Le désordre international : l’analyse d’Henry Kissinger
14.09.2013 – 12:45 » le samedi )
JC vous croyez aux miracles?
« Pour avoir de beaux esprits, il faut bâtir une société aristocratique, royaliste, raciste, hiérarchisée, religieuse, colonialiste, esclavagiste et impérialiste. »
On pourra choisir le pharaon, patron?
« Parlez-vous d’expérience personnelle ou d’études sur le sujet ? »
Je suis résilient, mon père n’est pas parvenu à m’étrangler.
« la vie m’a fait mal au cul » par zouzou
la chienlit sur VOTRE blog
..ta gueule raclure de keupu
Cristobal, allez nous découvrir un continent nouveau.
A 11h42, il y a deux post qui disent la même.
Sauras-tu désigner celui qui est moins franc du collier?
– « m’étrangler », U.
– « mal au cul », Le Boug’.
Le Boug’ possède une conception très particulière de l’anatomie, non ?
ta gueule raclure de boudegras immonde
pas du tout dafnoz..les bonnes filles étranglent leurs amants au bon moment..les mauvaises se mettent dans des positions qui leur interdisent la manoeuvre..l’amour c’est un compte tours dans l’rouge
Sauras-tu désigner celui qui est moins franc du collier?
..les filles mettent des colliers étrangleurs à leur molosses
( Je me demandais quel point commun il pouvait y avoir entre le Boug’ et U. . J’ai trouvé,
la laisse et le collier.
Qui tient la laisse ? Qui porte le collier ?
Mystère et fausses dentelles. )
Chien perdu avec collier: Cesbron ne s’élevait pas à ces hauteurs.
Trois réponses en échange d’une question,
le tout hors sujet ou presque :
– Pigeonnier, le Panthéon, pas poulailler.
– L’avantage du compte-tours
est de réagir à l’accélérateur,
même à l’arrêt, et de permettre ainsi
l’affirmation du caractère dominateur
de la personne aux commandes.
– Un cycle est aussi une remise à zéro périodique,
ce qui a peut-être un sens lorsqu’il s’agit de démarrer une nouvelle existence…
Y a-t-il un lien avec le compte-tours ?
Le mâle accompagnateur pourrait aussi très bien
y trouver l’occasion de recharger ses batteries
ou d’honorer quelque autre engagement périphérique.
Il y a, de toute évidence, une fusion cosmologique
entre le Panthéon, le cycle et le compte-tours.
Et maintenant, une vraie réflexion questionnante : se pourrait-il que, plus le billet
du Patron contient de notes de lecture juxtaposées,
moins l’activité du commentarium soit dense,
comme s’il y avait saturation synaptique
des intervenants ?
Professoraillement.
Un moteur en sous ou sur régime n’est jamais beau à entendre.
Évidemment, on peut changer de rapport à l’oreille, mais puisque seulement une minorité sait le faire, la présence du compte-tours dans la “zone érogène” de la voiture est une bonne chose… bon, il faut déjà que l’automobiliste sache s’en servir… mais on ne va pas tatillonner sur ça…
« On pourra choisir le pharaon, patron? »
Non !
Le pharaon vous choisira, si vous savez obéir.
(… je rêve de Benoit Hamon, Montegourde en chef de la police stendhalien…)
Polémikoeur. dit: 16 septembre 2013 à 12 h 09 min
« – Pigeonnier, le Panthéon, pas poulailler. »
Que le coq corse soit remplacé par des poules, passe encore… Des pigeons ! Je rêve !
Panthéon : simple et meilleure adaptation
de l’édifice en fonction de ses caractéristiques.
Soufflottement.
« En fin de journée, Socialbakers indiquait cette fois que 57% des fans de la page – plus de 800 000 personnes – venaient bien de France. »
« Gloire aux tueurs de malfrats ! »
Houellebecq / la Carte Bleue et le Territoire
J’ai fermé mon compte Facebook après avoir reçu par email une offre « followers contre money ».
JC, je suis Pharaon-Dieu.
N’oublies pas que je t’ai créé.
..allons rénato un libertarien de rien sait qu’on ne ferme jamais un compte facebook, enfin on peut faire mine de monnayer son honneur dans les commentaire d’un autre blog
Si le jeu est faussé, bouguereau, il ne vaut pas la chandelle.
Que le coq corse soit remplacé par des poules, passe encore… Des pigeons ! Je rêve !
..des étrons qui y dégoulinent ça ressemble a un rêve de jodo
…
…tout çà,…me rappelle,…le film avec Yul Brynner » Kings ef the sun « , 1963,…
…
…l’analogie,…des moeurs » faux-cons » à trépassés,…
…et, quelle nouvelle modernité,…si les hautes-places bien payer, sont réservées d’avance,…bûche, bûche, pour rien,…des miroir en chocolat,…
…plus ta famille à voler et escroquer » honnêtement « ,…et mieux, leurs héritiers vivront,…aucune » moralité « ,…
…
…taxer tout le monde en égalité, n’a pas de sens,…puisque les salaires et héritages sont très différents,…çà n’a aucun sens,…cette égalité-là,…
…c’est du conservatisme » masqué « ,…je ne savais pas que l’Europe est si » conne « ,…tout partis confondus,…etc,…
…enfoiré(e)s,…etc,…
…
il ne vaut pas la chandelle
..quand on l’a dans l’cul c’est toujours ça de pris rénato
Toi, peut-être, bouguereau…
..dpuis ltemps tu sents pus rien..ma parole t’es au bout du rouleau
Qu’est-ce que l’assistance publique
(comme disaient Blanche et Dac)
ne comprend pas dans l’expression
légitime défense ?
Pour ce qui est de « l’ouverture de compte »
dans un réseau social pour ados fébriles
ou pour cadres ou assimilés vaniteux,
il serait préférable d’en connaître
au préalable le mode d’emploi
et les intérêts à l’affût
pour tout ce qui est lâché
comme renseignements individuels.
Traquenartichaudement.
… je rêve de Benoit Hamon
décidément tes nuits sont belles jicé
T’es sûr de ce que t’avances ?
il serait préférable d’en connaître
au préalable le mode d’emploi
..rassure toi un cpte gmail c’est kif..ne te fais pas plus libertarien de rien
Pas que Google.
Villageglobalement.
« … cpte gmail c’est kif… »
C’est de même que pour FB ou Twitter, d’accord, mais ça dépend des infos que tu donnes…
« ..des étrons qui y dégoulinent ça ressemble a un rêve de jodo »
C’est comme ce foie-blanc de George Harrison, qui se voyait descendre la Montagne sacrée à cheval.Problème, quand le maître des tarots lui a dit qu’il devait montrer son derche face caméra, le beetle a fait sa sucrée.. Jodo raconte qu’aujourd’hui, il serait archimilliardaire et ferait la pige à Spielberg.
C’est sûr que Yoko Ono aurait pas dit non.
Rien que toutes les excrétions
laissées sur le commentarium
de la Rdl sont archivées,
indexées, disponibles
et exploitables
pour dresser le profil
de ses clients réguliers !
Encore faut-il être désœuvré,
névrotique ou appointé
par quelqu’un
qui l’est
pour s’employer
à telle distraction.
Mercenariendutouillement.
@13h53
Yoko c’était celle de John L (pas de Georges H)
13h37
non – le pauvre il rêve d’Angela et de la lpn, tous le habitants de l’île ont pu l’entendre les supplier de lui jeter ne serait-ce qu’un regard
« Encore faut-il être désœuvré,
névrotique ou appointé
par quelqu’un
qui l’est
pour s’employer
à telle distraction. »
Il semble que cela soit une passion des humains. Je me rappelle que, lorsqu’il n’y avait pas internet, si j’avait oublié un détail de ma vie, il sufficit de demander à un ami d’aller faire un brin de cosette avec des pipelettes notoires… donc rien n’a changé.
Par ailleurs, selon quelques observateurs des mœurs qui caractérisent le monde littéraire, le potin serait un puissant stimulant…
signalez les politiciens professionnels et les artistes-écrivains qui ont un enfant « inadapté » dans leur entourage proche (fils frère soeur fille nièce )
Bref étalage à l’intention des amateurs
qui fréquentent assidument le commentarium :
la fiente de pigeon, volatile doté d’un cloaque
où se mélangent commodément ses petits besoins,
est fortement concentrée en acide urique.
Pour n’être pas d’un contact très agréable,
cette matière, souvent tombante, est loin
d’être aussi « chargée » que celle produite
par les honorables correspondants de la Rdl.
Guanothérapeutiquement.
Se faire raconter sa vie oubliée
par pipelettes interposées
ne mériterait-il pas
un développement
scénaristique ?
Procurativement.
Je vais m’inventer une nouvelle série de pseudos, pour le contenu de ma participation ici et chez Paulo, je vous promets que vous me reconnaitrez dès les premiers mots de mes discours de chef.
Dans mon immeuble, j’ai tout les respect de mes colocataires, quand ils me voient, ils me laissent le passage. Ils craignent Mimi, mon chat hermaphrodite que j’ai fait teindre en bleu-roi avec des mèches noires, les ongles vernis en doré, les cils en rouge et la queue jaune canari, tout cela allant très bien avec son manteau de pluie de chez Beurrebeuriz.
Aujourd’hui c’est le jour de Sainte Edith, priez mes fils et mes filles, priez pour mon salut et pour JC.
Question pseudo intelligent, que diriez vous d’ « y » ?
victor dit: 16 septembre 2013 à 13 h 59 min
@13h53
Yoko c’était celle de John L (pas de Georges H)
Sans déc ?
« … le potin serait un puissant stimulant… »
D’ailleurs, pourquoi Laurent Seksik a pris le cas d’Eduard Einstein ? Il aurait pu faire un vrai travail d’écrivain et inventer — ou construire — un personnage.
Mais faire parler quelqu’un qui a réellement vécu, imaginer ses pensées, c’est un travail de charognard. La vie du fils fut documenté par les biographes du père ? et ils ont documenté aussi les pensées du fils ? Enfin ! en absence de potin, on l’invente…
Et avec photo à faire bandeau au livre ? D’accord, je comprends, le “Nom” fait miroir aux alouettes… avec tout ce qui va avec.
Et maintenant bouguereau va me tomber sur la tête ?
14h36
Sans déc ?
c’est avéré
« … quant à Einstein-le-génie, je n’ai vu dans son attitude qu’indifférence, oubli, refoulement. »
C’est du n’importe quoi. Personne ne peut vraiment savoir comment Einstein vivait cette situation, ce que l’on sait, si cela est vrai, c’est qu’il croyait que la schizophrénie du fil était héréditaire — je ne sais pas si cela est possible ou si ce n’est qu’un préjugé de l’époque : c’est ce qu’il croyait.
c’est qu’il croyait que la schizophrénie du fil
et la paranoïa du fil a P.Assouline comme il se prend à l’écrire par mail ?
Einstein c’est pas le gars qui a pompé Henri Poincaré ? On se perd en conjonctures…
Dear passou, êtes-vous bien sûr que vos livres (ceux que vous présentez dans cette notule) sont bankable dans votre prestigious blog ?
M’est avis qu’il faudrait revenir aux bonnes recettes du terroir. Voyez le touite sur José Gionanni, vrai faux collabo à l’insu de son plein gré qui fit dans le scénario pour salles obscures. faut délayer le touite. un challenge.
une bonne raison de ne pas adorer les erdéliens , P.Assouline compris
C’est passionnant de se pencher sur le sort de ceux qui vivent dans l’ombre d’un personnage influent », dit Goce Smilevski.
http://www.lepoint.fr/culture/la-liste-de-freud-comment-sigmund-a-sacrifie-ses-soeurs-16-09-2013-1731363_3.php
En tous cas les huit reflets du huit-reflets, eh bien on les cherche, corboeuf !
L’intérêt envers les relations familiales des « personnages influents » ne m’inspire que de la défiance car si on prend ce chemin, je fais quoi avec Mussolini qui attendit que sa maîtresse juive ait gagné les eaux internationales pour promulguer les lois raciales ?
renato : et maintenant bouguereau va me tomber sur le tête ?
attendez, quand il aura fini de cuver son pinard, gloup !
et pis la correspondance morand-chardonne, elle est dans la rentrée ou la sortie ?
faut nous updater, dear passou, sans quoi on passe pour des corniauds dans les salons literaturfähig.
Ancienne maitresse, pardon.
renato, la maîtresse de Mussolini était un mirage
Sergio dit: 16 septembre 2013 à 15 h 26 min
« Einstein c’est pas le gars qui a pompé Henri Poincaré ? On se perd en conjonctures… »
Pour être médisant à ce point là, faut être un monstre à gros cubes pétaradant dans les cathédrales polluées. « Pompé Poincaré..! », enfin Sergio !!!
Le grand Albert a « utilisé » des travaux précédents, les équations de Lorentz, etc, etc, mais a bien été le premier à casser la gueule au référentiel spatio-temporel du vieux Newton.
Mauvaise langue…
« Un mirage » ? c’est vite dit Phil si l’on songe que c’est elle qui a dit aux Juifs italiens que le moment était venu de choisir entre Rome et Jérusalem…
en effet Renato. nous ne sommes plus dans le cadre des névroses habituelles d’épouses illégitimes.
15 h 39 min
Il ne se rendait peut-être pas bien compte de la situation, était très malade, est décédé un an plus tard, comme beaucoup il sous-estimait probablement le danger -Il a d’ailleurs fallu le pousser et tout organiser pour lui pour le faire quitter son pays
renato
mussolini ét
renato
mussolini n’était pas antisémite au début (d’après les docs que j’ai vus sur Arte)
« Einstein c’est pas le gars qui a pompé Henri Poincaré »
Sur Cicéron et Point Carré
« Einstein c’est pas le gars qui a pompé Henri Poincaré ? »
Sergio nage en pleine confusion, aussi vous demanderons-nous la plus grande indulgence.
Mêlant allègrement les Présidents de la Troisième (il pensait à Raymond, ou alors à Fernande, allez savoir),il aura sans nul doute voulu écrire :
« Steinheil » (pas Einstein, sergio, capito ?), c’est pas la femme qui a pompé félix Faure ? »
@ Renato: Cela plaiderait plutôt pour Benito Mussolini. Quand le couple Goebbels recevait une demande d’aide d’anciens amis Juifs, ils prévenaient subito la Gestapo*. Un nombre non négligeable de Nazis, mariés avec des Juives, divorçait et envoyait les anciennes épouses avec parfois les enfants, vers Buenos-Aires. Je connais au moins un cas comme cela, d’un industriel qui par la suite (lire après 1945 et la denaziefirung) envoya toujours de l’argent à son ancienne épouse. Quant au nombre de gens célèbres, dans le show buziness et la littérature, qui divorcèrent pour ne pas avoir de mariage mixte…
Ce que je veux dire par là, c’est que tous les Nazis n’avaient pas été antisémites avant les lois de Nüremberg.
Difficile de savoir ce que pendant une dictature, les gens pensent vraiment.
15h39, effectivement, il a fallu le pousser dehors, l’emmener, le Siggy viennois au bout du rouleau. Longtemps, il a cru ne pas être en danger…
james b, c’est vrai, il faut aussi savoir que c’est en bonne partie grâce à la communauté juive qu’il a consolidé son pouvoir (intellectuels et industriels).
« Difficile de savoir ce que pendant une dictature, les gens pensent vraiment. »
Difficile sous n’importe quel régime politique …
Le grand Albert
allons jicé..
http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Albert
Difficile sous n’importe quel régime politique …
..de la sodomie au luger p08 lubrifié au beurre de charbon..du bayon au lard rance..de la schlague de couenne fraiche..du supplice de la baignoire à la pisse d’âne..de la salope française a ubersturmfureur avec tailleur chanel..ni petit ni grand albert jicé, du mozart ein zwei!
..je cite de mémoire celles qu’avait voulu écrire le père de keupu qu’a pospéré a éléver des cochons..nourris on sait pas avec quoi dailleurs..si keupu voulait un peu savoir a quoi il doit la vie et en écrire un roman il interesserait lassouline
« On se perd en conjonctures… », écrivait Sergio… à propos du “pompage”…
@ renato dit: 16 septembre 2013 à 16 h 15 min
« Un mirage » ? c’est vite dit Phil si l’on songe que c’est elle qui a dit aux Juifs italiens que le moment était venu de choisir entre Rome et Jérusalem…:
Voila tout le problème de l’assimilation, non ?
Cela me fait penser à la diaspora chinoise, en Asie du sud-est.: Kuala-Lumpur, Djakarta, Bangkok, Ho Chi MIn city, etc… ou Beijing ?
Une nuance quand même, les Peranakan/Babas de Malaisie ne désirent par rentrer en Chine. Pour ce qui est de Singapore, les Chinois sont en majorité et quand certains, cela existe, veulent partir en Chine, Hong Kong la capitaliste, s’offre à eux.
renato
hitler poussé mussolini à persécuter les Juifs, je ne sais plus pourquoi mussolini s’est soumis finalement, jusqu’à (faire) assassiner son propre gendre et plusieurs de ses anciens amis et soutiens banquiers notamment
a poussé
tiens von traube on reparle d’hugo boss..décidément t’as raison, goering c’est indémodable
Infâme Bouguereau,
Tu ne m’empêcheras pas d’appeler Albert Einstein, le grand Albert : il mérite ce titre.
Ni de t’appeler devant mes copines d’ours, dans l’intimité, le grand Bougboug.
Hong Kong la capitaliste s’offre à eux.
ça me rappelle un Sternberg.
avec la Dietrich, of course.
Le secrétariat de sergio, qui se confond en excuses… dit: 16 septembre 2013 à 16 h 25 min
« Steinheil
– Mais… Par exemple l’air des bijoux !
ue petite remarque
Kire Te Kanawa => by Dame Kiri Te Kanawa, an actual opera singer who performed at
Je crois Traube que ce n’est pas la même situation.
À propos des Juifs en Italie ce lien (du 140 A.C. à nos jours) :
http://www.archivio-torah.it/libretti/ebreiroma/ebreiroma1.pdf
(En italien)
james b, sans aller voir le contenu du pacte, on sait qu’il fut signé presque comme provocation car Ribbentrop fut très mal reçu par la population milanaise, ce qui la presse USA interpréta comme une perte d’influence de Mussolini, sur quoi Ciano reçut par téléphone l’ordre de signer le pacte.
Cela dit Mussolini eut deux occasion pour le casser car il ne fut pas informé par les Allemand ni pour l’invasion de la Pologne ni pour le pacte Ribbentrop-Molotov. S’il ne l’a pas cassé c’est qu’il y voyait un intérêt — on se demande bien lequel…
« Sur Cicéron et Point Carré »
Je pensais, cette fois, vous avoir définitivement signifié mon congé et mon mépris, et laissé derrière moi ce cloaca maxima qu’est devenu, nolens volens, le blog de P.Assouline.
Tandis que, sifflotant un air du folklore franc-comtois plus entêtant qu’un effluve de Guerlain, je m’apprêtais de guerre lasse à charger de lourdes chaînes cette bonne vieille deux quarante -la 403 gendarmerie était bien tentante, mais je sus résister-, quitter ce Montbéliard auquel je commençais à m’attacher dangereusement et cingler au cap nord, vers la Laponie norvégienne.
Y faire enfin retraite, mon corps apollinien, mince et vigoureux offert aux rudes vents de Borée, styliste stylite au sommet de sa colonne de glace.
A dire vrai, ma solitude n’aurait pas été complète, car j’y eusse retrouvé le souvenir de mes chers parents, et ces lectures dont Passou, qu’il en soit ici humblement remercié, m’a donné le goût.Ah…papa, maman, la Laponne et Moix. Mais il n’importe.
Car, tout à coup, patatras ! Mon oeil bleu acier, assorti avec goût à mon écharpe Hermès, effleure soudain ce vilain jeu de mots de potache attardé, cette scorie d’une bassesse sans nom… se fige, se cabre, tel un cheval flairant un noeud de vipères, se cambre ainsi qu’un fier si courbe.On y lit d’abord la surprise, l’incrédulité. Puis le courroux l’emporte,l’empourpre. Mon bel iris s’injecte alors, tels les carbus de ma Volvo chérie, d’un sang noir, un sang guimpure, allons z’enfants !
Je ne tolérerai pas, m’entendez-vous bien, tous autant que vous êtes, et même que vous n’êtes pas ! que l’on mêlât à d’aussi abêtissants infantillages mon cher Cicéron, Lucien et sa banane métallique, et ô ! le très-émouvant Catulle Mendès qui, s’il avait lu l’italien, aurait compris qu ‘e pericoloso sporgersi.
Il faut que cela Celse, est-ce bien compris ?
A bientôt.
L’année sent le Proust.
goulag sibérien de Nazino
ou
lager nazi de Bolcheviko?
qu ‘e pericoloso sporgersi.
e piu pericoloso de vomitare per la finestra, voyons!
puisqu’ils sont tous pédés, songeons à les armer
Dans une société gauloise stable, forte, riche, éternelle, où l’histoire serait enseignée chronologiquement par des maîtres, le blog à Passou serait resté cette référence bourgeoise de la littérature de langue française que nous enviaient ces pays qui, de « sous-développés », sont devenus « émergents » puis franchement « emmerdants » désormais car horriblement concurrentiels et exportateurs !
Mais tout à changé.
D’énormes sacs poubelles se promènent au bras de barbus certifiés gaulois, on détruit des églises, des esclaves de famille indépendantistes deviennent sinistre à Paris, le pays dérive comme un paquebot de croisière low-cost. Peste, doute, misère et lâcheté règnent à bord.
Et le blog prestigieux du grand Assouline est devenu ce hall de gare où tout le monde s’injurie, se doutant bien qu’il n’y aura pas de place pour tout le monde dans le dernier ferroviaire en partance…! Saigon et sese derniers hélicoptères.
Il faut s’y faire : les marchands d’armes remplaceront bientôt tous les libraires, devenus inutiles. Joie, joie, joie, pleurs de joie et bonne soirée !
de Chaloux dit: 16 septembre 2013 à 17 h 27 min
ma Volvo chérie
Ha non faut pas de familiarités moi la Yam c’est la grosse vache sinon après elle fait ce qu’elle veut…
..une bielle dans l’cul c’est ptête bon sergio
La Muse vient de me visiter. Nous eûmes tous deux un long, tendre et langoureux déduit dont vous pouvez toujours vous l’arrondir pour que je vous le narre, tas de voyeurs.
Voici le texte que m’inspirent toutes vos giries, vos affèteries et vos faux-culteries.
Je l’ai dédié à notre hôte, qui saura vous en tourner un billet, si ça le chante et qu’il n’ait rien de mieux à foutre.
Ad Calvum Passulinum (la trad à la fin, pour les fainéants)
« Di magni, horribilem et sacrum libellum!
Quem tu scilicet ad tuum Chalucem
misti, continuo ut die periret,
Saturnalibus, optimo dierum!
Non non hoc tibi, false, sic abibit.
Nam si luxerit ad librariorum
curram scrinia, Caesios, Aquinos,
Suffenum, omnia colligam venena.
Ac te his suppliciis remunerabor.
Vos hinc interea valete abite
illuc, unde malum pedem attulistis,
saecli incommoda, pessimi poetae. »
« Grands dieux ! quel horrible, quel exécrable livre tu as envoyé à ton pauvre Chaloux, pour l’en faire mourir sur-le-champ dans un aussi beau jour que celui des Saturnales ! Mauvais plaisant, tu n’en seras pas quitte à si bon compte : car demain, au point du jour, je cours bouleverser les boîtes des libraires : les Caesius, les Aquinus, Suffenus et autres poisons, je les raflerai tous et te rendrai supplice pour supplice. Vous, en attendant, adieu, retournez tous d’où vous êtes venus à la malheure, fléau du siècle, poètes exécrables. »
..trad. de Maurice Rat, reddere Caesari.
S’il ne l’a pas cassé c’est qu’il y voyait un intérêt — on se demande bien lequel…
la gloire c’est pas accessibe aux rentiers c’est certain..
La Muse vient de me visiter
..tu vois sergio
Tout Catulle pour un épi de Martial !
….ça, c’est ben vrai !…
et pis la bielle d’un panzer tigre sergio..ça nous est inacessibe..pour ça que françois voudrait démocratiquement nous la faire sentir..mais jicé c’est un mec qu’est pas habitué a prende des risques
bouguereau dit: 16 septembre 2013 à 18 h 08 min
..une bielle dans l’cul
Avec le piston ça risque de faire pas quand même… Avec les trois segments !
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