Inconnu à cette adresse, Patrick Modiano
Le mystère Modiano, ce n’est pas tant l’homme ni l’œuvre. Le premier, on commence à le connaître, d’autant que l’âge venant, il se livre bien davantage depuis une dizaine d’années, accordant de nombreuses interviews, se faisant de moins en moins violence pour s’ouvrir et se livrer, communiquant volontiers des documents personnels et des photos de famille. La seconde a été si souvent explorée et décortiquée, tant par la critique journalistique que par la critique universitaire, qu’on a le sentiment d’en avoir fait le tour ; même si on a beau faire, lire et relire, identifier deux phrases de lui au premier coup d’œil, on sait ce que c’est mais on ne sait pas comment c’est fait ; le mystère demeure inentaméqu’importe après tout puisque la magie opère ; la fluidité de son écriture s’impose, après avoir été remarquablement dégraissée, épurée, affutée ; de cette manière si caractéristique d’énoncer des choses graves sous une apparence de légèreté, il creuse toujours le même sillon, de la disparition du père à l’absence du frère, et la sensation de vide que cette prise de conscience entraîne chez lui ; ses rues sont pleines de gens qui ne sont plus là ; on s’y rend dans des appartements à la recherche de personnes en sachant par avance qu’on a le plus de chance de les y trouver absents ; tout un monde inconnu à cette adresse ; un effet limpide et cristallin en émerge, fut-ce dans le tremblé du souvenir, le flou de la réminiscence, le brouillard de l’inconscient ; même dans les moments les plus précis de sa narration, lorsque tout se met en place autour d’identités patronymiques et de plaques de rues, dans une savante organisation nouant le cadastre à l’état-civil pour en faire jaillir sa poésie urbaine, le lecteur est envahi par l’état de confusion de l’auteur, les deux se retrouvant enveloppé dans une unique sensation ouatée ; et c’est toute la réussite du plus simenonien de nos contemporains.. Chez l’un comme chez l’autre, l’homme se fait romancier dès que le doute s’empare de lui.
Un gros volume vient de paraître sous le titre le plus sobre qui soit Romans (1 100 pages, 23,50 euros, Quarto/Gallimard) qui réunit dix titres de Villa triste à L’Horizon en passant par Dora Bruder et Un pedigree. Le choix s’est établi en éliminant ce qui faisait double emploi, et ce qui était trop répétitif. C’est un cycle romanesque autour des personnages qui ont habité son enfance, marqué son adolescence et hanté son passage à la maturité. Il faut l’envisager comme le puzzle de son autobiographie rêvée et le lire comme le concentré de son art poétique. C’est bien le terreau dont il est issu ; encore qu’il n’ait pas tort de lui préférer le mot de « fumier » tant le parfum exhalé par les remugles de l’Occupation agace l’odorat, quand il ne l’offusque pas.
« A mesure que je dresse cette nomenclature et que je fais l’appel dans une caserne vide, j’ai la tête qui tourne et le souffle de plus en plus court. Drôles de gens. Drôle d’époque entre chien et loup. Et mes parents se rencontrent à cette époque-là, parmi ces gens qui leur ressemblent. Deux papillons égarés et inconscients au milieu d’une ville sans regard. »
C’est ce qu’il écrit dans le bref avant-propos de ce volume. Il y paie également sa dette aux écrivains qui lui ont fait aimer la littérature dans sa jeunesse : de purs musiciens, en vérité, tels Rilke et Nerval, lequel disait de lui-même : « Il y avait là de quoi faire un poète et je ne suis qu’un rêveur en prose ». Ce que cet homme qui écrit comme un somnambule récupère à raison pour son propre compte.
Quarante cinq ans que cela dure. C’est probablement là le vrai mystère Modiano : celui de sa réception. Une adhésion automatique d’un grand nombre de lecteurs, d’une fidélité à toute épreuve, parfaitement conscients que chacun de ses romans est un chapitre d’un seul grand livre qui les contient tous, et qui en redemandent, quand bien même auraient-ils le sentiment de lire, à chaque fois, presque le même livre. Reste à savoir s’il est lu par de plus jeunes générations, plus indifférentes, ou moins marquées par l’onde de choc de la guerre et de l’après-guerre, en tout cas moins sensibles à leurs ambiguïtés, même si son univers romanesque est irréductible aux seules années 40 ; mais quand elles n’en sont pas le cadre, on en repère l’écho atténué. Si l’on secoue le pavé de Romans, il en tombe des fantômes, des seconds couteaux, des personnages douteux, des comtesses de la Gestapo, toute une faune interlope qui fit ses petites et grandes affaires dans le Paris de l’Occupation entre les bureaux d’achat gérés par l’Abwehr au Lutetia, et l’hôtel particulier des gangsters et tortionnaires de la Carlingue rue Lauriston. Ils s’appelaient Bonny, Lafont, Joanovici, Skolnikoff, Eddy Pagnon, Rudy de Mérode et autres. Nombre d’entre eux apparaissent sous leur vrai nom, ou leur autre identité que leur conférait un pseudonyme répandu, au creux des fictions du romancier. Toute une noria d’intermédiaires en tout et de courtiers en n’importe quoi, de la ferraille à la tonne au savon au kg, en passant par les bas de soie d’importation et les œuvres d’art volées à des Juifs « en voyage ». Le plus extraordinaire est que Modiano ait réussi à transcender cette humanité sordide, veule et lâche, ce monde de faussaires encaissant les dividendes de la barbarie, pour lui donner une épaisseur telle qu’elle provoque l’intérêt, sinon, par extraordinaire, l’empathie, mais jamais la compassion, sauf pour leurs victimes, les Dora Bruder.
Par une étrange coïncidence, au même moment que son Quarto de Romans, une enquête paraît à Madrid sous la signature de l’historien Fernando Castillo et sous le titre Noche y Niebla en el Paris ocupado. Traficantes, espias y mercado negro (310 pages, ediciones forcola). Pas sûr que l’idée d’associer le Milieu des trafiquants du marché noir à « nuit et brouillard » soit du meilleur goût ; l’auteur s’en explique dès les premières pages, et on voit bien son intention, disons, poétique ; mais cette façon de récupérer l’expression par laquelle dès 1941 les nazis pouvaient faire disparaître tout ennemi du Reich ou supposé tel sans autre forme de procès et sans laisse de trace, qui par la suite servit à Alain Resnais pour intituler un documentaire sur les camps qui fit date, ne fait qu’ajouter… au brouillard de l’époque. Fernando Castillo a fouillé les archives et les livres ; il s’est mis en quête des collabos français ou belges et des Allemands exilés en Espagne après 1945 (plus nombreux qu’on ne le croit) pour raconter le plus précisément possible l’aspect le plus glauque de l’Occupation à travers les vies croisées de César Gonzalez Ruano, Pedro Urraca, Albert Modiano et André Gabison. Tous des personnages des romans de Patrick Modiano, à commencer par son père. De même que dans la quête de Christine Sautermeister avec Céline à Sigmaringen, ce qui importe dans l’œuvre de Patrick Modiano, ce n’est pas l’exactitude documentaire du romancier mais son génie à restituer l’épaisseur et le mystère d’une époque dans sa vérité. Mais Sautermeister comme Castillo nous y aident en ce qu’ils nous permettent de mesurer le chemin parcouru entre ce que savent les écrivains, ce qu’ils ont lu, vu, entendu, et ce qu’ils en ont fait, une fois le réel passé au tamis de leurs propres névroses. Tout un processus de transformation de la boue en or. Et comme pour prolonger la tentative de Noche y Niebla, la Galería José R. Ortega à Madrid a eu l’idée de demander à quelques jeunes artistes de librement évoquer ce que la lecture de Modiano leur inspire. Le résultat s’expose, depuis quelques jours et jusqu’au 16 juillet, sous le titre « Geografia Modiano ». Outre une contribution de Fernando Castillo, le catalogue propose un texte de Denis Cosnard, animateur du Réseau Modiano, sur sa dérive, son errance, ses déambulations urbaines : « Ca ne te dérange pas si on fait un détour ? ». De toutes façons, inutile de le chercher : où qu’il soit, il est toujours inconnu à cette adresse, tel l’autre Klein de Monsieur Klein.
Les personnages de Romans ne sont plus que des silhouettes. Ils ont bien de vrais noms, mais leur biographie en ayant été évacuée, ils ne sont plus là que pour leur sonorité. Y figurent pourtant des dizaines de photos d’eux, à croire que l’auteur a voulu s’embarquer dans l’expérience à la manière du Breton de Nadja et qu’il n’a pas osé aller jusqu’au Sebald des Emigrants. Même ses parents : Patrick Modiano les ayant mis à distance dans un univers de fiction, il s’en est débarrassé comme on se décharge d’un fardeau. C’est pour cela qu’il en parle librement désormais, comme s’il s’était enfin guéri de ses fantômes encombrants. Demeure au-dessus, en dehors, à part, Rudy, son frère, l’ombre muette et invisible à l’oeil nu, qui plane sur toute l’oeuvre. Celui pour qui il écrit mais dont il ne parle pas.
(Oeuvres de PELAYO ORTEGA, CARLOS GARCÍA ALIX, DAMIÁN FLORES et MARIANA LAÍN exposées à la Galerie José R. Ortega)
761 Réponses pour Inconnu à cette adresse, Patrick Modiano
Volvo et pavillon de banlieue dit: 18 mai 2013 à 12 h 15 min
Votre lecture est un parfait contresens (on atteint à la perfection qu’on peut). Ce genre de situation de famille m’a toujours fait frémir.
Bloom dit: 18 mai 2013 à 12 h 05 min
Nous rappelerons seulement que le budget de lASM est supérieur à celui du RCT, que son entraîneur est néo-zélandais et son meneur de jeu australien.
Donc, balle au centre.
ben oui c’est parfois une lecture paisible et reposante, la nature lymphatique de Modiano se transmet facilement au lecteur, des fois c’est un peu stressant quand il cherche des adresses mais comme il ne trouve jamais les gens qu’il cherche c’est pas très gênant.
si vous voulez que ça bouge vous pouvez toujours regarder un match de rugby ou lire le dernier livre de Martin Amis.
« plat, bébête, inintéressant et quelconque… »
jc projette sa platitude, sa bêtise, son vide abyssal
il en a tellement rien à foutre qu’il lui faudra 9999 commentaires pour ce faire
Si le matraquage continue, « ils » vont réussir à nous faire détester
Force est d’admettre que c’est la chose qu' »ils » réussissent toujours le mieux, quelle qu’en soit l’intention déclarée……….
« jc projette sa platitude, sa bêtise, son vide abyssal »
Je suis lamentable, Momo !?
Et toi ?
Bien :
Jacques aime Modiano ;
Chaloux ne l’aime pas ;
hamlet est sur la balançoire et il joue à « je tape mon crâne avec ma petite cuillère »…
Mais Chaloux, n’avez-vous pas été « au piano » ? il y a déà quelqu’un sur ce blog qui en tient pou la ménagère au supermarché : mais avez-vous lu les derniers tweets , comme ça distraitement ?
tout le monde ne peut pas être étranger sur ses papiers d’identité, -bien que né en France parfois-(ce n’et pas mon cas ) et avoir eu une « éducation » française (c’est mon cas )
bon week-end !
les blattes, pour avoir l’impression d’exister, rejettent la notion même d’égalité
mais pas du tout, entre elles l’illusion d’une réalité de cette chimère est maladivement entretenue…
Oui, Hamlet, La Place de l’Etoile ne laisse en presque rien pressentir le Modiano d’après, et on peut meme envisager que le succès ait contribué partiellement à son inhibition.
Pour ce qui meconcerne, j’ai longtemps refusé de lire PM à cause de La Place de L’Etoile, et très précisément de ce que Jacques Barozzi appelle justement « les qualités et les défauts d’un premier roman ».
Pour le facteur temps, il est très juste de dire qu’il est venu au bon moment, entre l’effacement du mythe Gaulien et le retour du refoulé . Que ce retour se soit opéré par le roman autant et peut etre plus que par le film , n’en est pas moins remarquable. Il fudrait pouvoir mesurer l’impact des romans sur la naissance des travaux sur les années sombres. Peut etre serait-on surpris des résultats.
Reste qu’entre venir à temps et tenir longtemps, il y a peut etre la différence qui sépare l’opportunité du souffle .Prendre acte aussi du temps qui passe et sortir de ce monde des années 1940 sans abdiquer so,n monde intérieur doit etre porté au crédit de l’écrivain.
Après, on peut juger qu’avec du Je ne sais quoi et du presque rien, on fait du pas grand chose, s’irriter contre une écriture fertile en fantomes indécis pour leur indécision meme, il n’en reste pas moins que c’est là une palette qui n’a pas son équivalent. Pour le frère, merci Denis Cosnard,serait-ce la première fois que l’écriture userait de son pouvoir orphique pour convoquer les morts?
Bien à vous;
MCourt
PS
Si Témoignage est un livre intéressant, Emmanuel Berl y fait un numéro de diva assez souvent insupportable dans sa constance à soutenir les choix les plus calamiteux et à poursuivre de sa haine posthume le ytrès lucide Raymond Poincaré.
ce n’est pas mon cas ..
Les blattes ? tu parles ! on les compte parmi les plus anciens hôtes de cette Grande Mère qu’est notre Terre, et lorsqu’il n’y aura plus d’hommes pour transmettre les hauts faits de notre passage, elles seront probablement encore là… et sans le problème de la transmission qui n’est, en dernière analyse, qu’une question de mécanique…
il en a tellement rien à foutre qu’il lui faudra
10, 13, 20, 21 ans pour le dire ?
et encore, seulement avec ses saints ?
soyez un peu « logique », même si vous faites beaucoup de psychologisme sans inhibition(ce qui n’ôte rien à la justesse de l’avis qu’un succès important sur cette question peut angoisser un homme jeune comme l’était Modiano : si vous avez refusé de le lire c’est par préjugé que vous déclinez maintenant comme ce qui se disait d’un premier roman alors .
13 h 22 min est adressé à Monsieur Court que nul n’empêche d’apprécier » l’impact des romans sur la naissance des travaux sur les années sombres. », sinon de le mesurer en quelle unité ?alors que les travaux ne sont pas seulement des fictions sous le nom de romans publiés sur papier
romans en langue française
rhéostat, fermez la parenthèse S.V.P. ; et soignez vous préjugés, éventuellement, avant de mettre sur la table les préjugés des autres.
soignez vous préjugés,
qu’est ce que c’est que ce jargon ? C’est la mode de quelle cantine ?
Ce n’est pas mettre le préjugé de x en lumière ni le nommer , que de dire, avec modération : il y a préjugé , c’est en montrer l’effet, la manifestation, pour ne pas dire l’aveu
Les préjugés ça se soigne… Mémé, et sans l’aide d’un psy. Un brin de bonne éducation suffit… malheureusement vous avez un vide à ce niveau là…
Et fermez la parenthèse S.V.P. !
il est certain que e cause pas le jargon de ceux pour lesquels le signe de la culture c’est l’imparfait du subjonctif !
bien vu de la part de Sloterdijk « la culture est une observance »
et « Lorsqu’ils agissent comme on le leur a appris ce sont dans une certaine mesure des possédés de la grammaire , même si c’est seulement la variation de la possession douce par des habitudes syntaxiques »
il ne suffit pas de faire- ou essayer de promouvoir la pratique du – le poirier pour designer et promouvoir une ponctuation qui intéresse les lecteurs .
Arrêtez d’emmerder avec de l’appris et fermez la parenthèse !
je ne cause pas le jargon
Voyons ça, jargon qu’elle dit la Mémé :
« soyez un peu « logique », même si vous faites beaucoup de psychologisme sans inhibition(ce qui n’ôte rien à la justesse de l’avis qu’un succès important sur cette question peut angoisser un homme jeune comme l’était Modiano : si vous avez refusé de le lire c’est par préjugé que vous déclinez maintenant comme ce qui se disait d’un premier roman alors . »
Elle se ferme où la parenthèse dans votre jargon de parvenue de la culture, Mémé ?
c’est avec plaisir que je rappelle que ceux qui ont appelé un bordel et qui ont été dénoncés comme des prédateurs insanes et se sont frotté les mains à l’idée d’avoir des liens ,ne devraient pas oublier qu’ils ont assez emmerdé avec leurs histoires de cabriolet, leur mépris de la littérature française contemporaine et leur conviction de l’ineptie de la langue française pour se réjouir qu’on ne leur renvoie pas, au moins des bibliographies grand public pour s’occuper de leur… narcissisme comme il a été dit plus haut .
ceux qui ont appelé ce blog un bordel
La voilà qu’elle cherche à déplacer l’attention, ce sont des méthodes de canaille mais elle s’en fout la Mémé.
La question est : où se ferme la parenthèse ?
sur ce blog qui a dû supporter des cours de traitement de prostate, ceux qui le prennent pour un clac se cherchent des claques : je souhaite qu’ils les trouvent , même s’ils rêvent de tapis rouge
quant à ceux qui savent lire le français en français et se piquent de posséder tous les dictionnaires ils peuvent se précipiter sur la bible recommandée par P.Assouline sous le fil précédent
La prévention des problèmes de prostate est une question sérieuse… autant que l’approvisionnement en énergie, la production d’œuvres d’art, et la cuisson des petits poids.
Cela dit, la question est : où se ferme la parenthèse ?
tout le monde met peut être le sots au piquet mais la cuisson des alter -ego n’est pas au programme ce trimestre et il n’y aura pas encore de ravis au lit
les sots au piquet !
Enfin, elle est incapable de fermer une parenthèse… n.b. que c’est elle qui l’a ouverte… comme quoi, c’est le milieu kul-turel qu’il faut karchériser, pas les banlieues — après quoi on assisterait à une renaissance de la culture…
Bon, assez perdu de temps, bon après-midi.
tout le plaisir n’étant pas que pour moi , puisqu’un désir de perspective comparatiste est apparu, de signaler, sur la toile ,avec la question « histoire » , et où Chaloux pourra retrouver Yourcenar le site :
Mémoire et culture: actes du colloque international de Limoges, … – Page 273 – Résultats Google Recherche de Livres
books.google.fr/books?isbn=2842873777
2006 – Social sciences and history
Réalités. disparues. et. textes. inoubliables. Laetitia van den HEUVEL Université de Tilburg 1. Introduction La réflexion sur Mémoire et Culture est partie
renato dit: 18 mai 2013 à 14 h 38 min
Bon, assez perdu de temps, bon après-midi
Jamais perdu toujours recherché, manifestement HR est votre passe-temps préféré.
Le twitt sur le texte de Jean-Luc Nancy (Droite/ gauche) a été évoqué par note contre-intuitive (c’est contre cette note que ferraille renato?), versubtil, qui demande un délai (c’est raisonnable) et Mauvaise langue.
ML le juge « lourdingue » –ce qui, cher ours, revient à vous accorder vous-même tutu et chaussons de ballerine. Ça ne manque pas de sel.
Contrairement à ce que vous dîtes, ours, ce n’est pas écrit dans une langue jargonneuse, parce que cela prétend s’adresser à tous.
Ce n’est qu’un essai, une rêverie, presqu’une fantaisie.
Certainement pas une « méditation », au sens toujours un peu digestif que vous donnez à ce mot.
A votre habitude, vous avez lu trop vite (un diététicien parlerait peut-être de gloutonnerie solitaire?): Nancy ne réduit pas la « droite » à une pensée de l’ordre.
Pour autant, ce texte est une aporie.
Cette aporie est intéressante, elle illustre probablement l’impossibilité de reconnaître à ce couple symbolique puis politique (droite/ gauche) des caractéristiques durables, repérables sur une trop longue durée. Surtout quand un sens nouveau lui est donné, à partir d’un horizon « post » (postmoderne, post-humaniste, etc.): la question qui est posée devient de savoir si cette pensée de devient pas tout simplement post-politique.
(En passant, cet éloge de l’absolue indétermination est un peu étrange: on pourrait montrer qu’il est possible de le transcrire, pour l’essentiel, dans un vocabulaire plus ancien, celui de « l’existentialisme ».
Un petit saut de soixante ans en arrière?)
c’est limite obscène de connaître par coeur tous les noms des joueurs d’une équipe de rugby.
le tape à l’oeil et la frime, toujours la frime….
—
Tout de suite les grands mots, duhameau…
Pas plus obscène que de parler de Gordes, de Luberon, etc.
L’obscène, c’est l’autre, c’est bien connu.
Le rugby, cous connaissez pas, c’est votre droit, mais sachez que si votre équipe de rugby ne compte que 4 féroces infirmes, vous n’irez pas bien loin, même en honneur régional.
Un conseil: remballez vos sarcasmes, inepte écorcheur de bêtes et cessez de dégorger comme un châtré. Pourquoi ne pas rejoindre vos fantômes au pays du décor forain?
Question « frime », vous repasserez, avec vos préciosités de pseudo critique:
« le second emboite le pas de la mouvance littéraire de la fin du siècle dernier »
« une époque où la littérature se découvre de nouvelles utilités : elle adopte une forme plus thérapeutique ».
Et ça ose se réclamer de près ou de loin du grand Will? De profundis domine. Bien profond.
Nous rappelerons seulement que le budget de lASM est supérieur à celui du RCT, que son entraîneur est néo-zélandais et son meneur de jeu australien.
Donc, balle au centre.
—
En ce qui concerne le budget, je n’en sais foutre rien, mais pour l’entraineur et le 10, c’est vrai. Reste que la politique de recrutement n’est pas du tout la même. Le RCT, c’est le PSG du rugby, l’ASM serait plutôt l’OM…
.)
Tout le monde regarde le ciel, Bloom.
Il suffit d’une averse pour foutre en l’air le jeu des clermontois…
Jeune fille en fleurs,
vous savez, à mon âge c’est café, pousse café, et une petite partie aux cartes… c’est vrai qu’un pouvoir soumis à la plus pitoyable des doxas nous a privé du plaisir de lier le café, le pousse café et les cartes avec la fumée d’un bon cigare, mais que voulez-vous, ainsi va le monde.
Pourquoi voudriez-vous que le bordel extérieur s’arrête à la porte de la République…?
Il suffit d’une averse pour foutre en l’air le jeu des clermontois…
—
Et en Irlande, il pleut entre deux averses….
Souffle pas sur la braise, JC.
Ce soir l’arbitre s’appelle bouguereau
Archive:
Mourad Boudjellal, le président du RC Toulon :
« J’ai connu ma première sodomie arbitrale contre Clermont en demi-finale en 2009. Je viens de connaître ma deuxième ce soir. Je n’aime pas ça. Clermont a une très belle équipe, il n’avait pas besoin de ça »,
Le café énerve le consommateur, le pousse-café tue ses dernières neuronnes ce qui n’est pas grave pour le spectateur … P
Par contre, le « bon cigare » emmerde les proches, et rend l’air irrespirable !
Le RCT, c’est le PSG du rugby, l’ASM serait plutôt l’OM…
Là on fait dans la nuance!
Bouguereau arbitre ?
Il plongerait sous la mêlée à la place du ballon, rien que pour se faire faire des papouilles-crampons !
l’ASM, la népotique équipe du patronat exploiteur local délocalisé, Bibendum, on comprend la préférence sociale libérale protégée de Bloom!
La mauvaise langue dit: 18 mai 2013 à 7 h 32 min
Pourrait-on avoir le lien pour cet article -Guy Millière-, svp? Merci d’avance.
Pourrait-on avoir le lien pour cet article -Guy Millière-, svp? Merci d’avance.
Facile, avec les compliments d’Aurélien.
Et hop.
Quand on parle de doxa pitoyable c’est JC qui répond.
renato, j’admet avoir exagéré sur l’énervement produit par le café, pour la destruction de neurones par les alcools forts, je me tate… mais pour les salauds de fumeurs qui rendent l’air pourri avec leur saloperie à inhaler, je maintiens.
Vive la doxa anti-tabagique !
C’est toute la question du post-ancien qui se joue maintenant. C’est vrai, certains d’entre nous ont connu le monde ancien, et c’est peut-être pour ne pas froisser les plus sensibles que l’expression post-moderne fut inventée, mais c’est de post-ancien qu’il faut discuter… Oui, si on y réfléchit c’est angoissant car il ne faut pas se faire des illusions : voiture, télévision et téléphones, avions, computer, la Lune c’est fait, Mars est en perspective, et Voyager 1 navigue au-delà de l’une des principales frontières du Système solaire… mais lorsqu’ils se retrouvent dans le cercle magique (un feu, un verre, une histoire à raconter, la ‘chose’ avec les femmes) la plupart d’entre nous tombe en plein aux temps de l’aube de l’humanité… Post-ancien, donc, et tout ira bien.
Rhéostat.
Et pourquoi diable, ayant corrigé quelques manuscrits assez tot,et en corrigeant parfois bénévolement encore aujourd’hui, n’aurais-je pas été surpris de voir publié ce qui ne ressemblait que trop à un mauvais premier roman comme j’en ai beaucoup lu? Vous comptez facilement pour rien une légitime révolte contre une gloire fraichement établie autour d’un texte qui n’est vraiment pas le meilleur.Imaginez qu’Hugo meure après Han d’Islande.Eh bien Que serait Modiano s’il n’avait publié que ce premier roman?
Sur le probléme de l’influence du roman sur la recherche Historique,
En quoi est-ce peccamineux d’exprimer une éventuelle avance du roman sur la prise de conscience par l’Histoire des arrières-plans de telle ou telle période? le phénomène n’est pas récent: on reve d’abord, on cherche ensuite.Les chercheurs ne sont pas les reveurs, meme s’il arrive qu’ils les lisent. Les romanciers ne sont pas historiens ni directeurs occultes. Que les historiens d’aujourd’hui les aient lus ne peut etre prouvé, s’il l’est jamais, que par la connaissance toujours incertaine de leurs Bibliothèques. Il importe peu. L’essentiel est que le romancier soit un chamane qui cristallise une perception d’une époque refoulée.La Bibliotheque de Tressan, Le roman gothique, puis Scott , ont beaucoup pesé sur la redécouverte du Moyen Age tout au long du Dix-Neuvième siècle.Ce savoureux mélange de Chevalerie, d’Inquisition, de Cours d’Amour et de princes fous. Les travaux historiques d’un Augustin Thierry, d’un Michelet,et de leur longue postérité, en sont nourris.Dans un tout autre contexte, Que Modiano ait une longueur d’avance avec le Chagrin et La Pitié, au titre bernanosien, ce n’est pas discutable.Je vous renvoie au livre de Denis Cosnard, plus indulgent envers la Place que moi. La différence avec un Scott est qu’il s’agit ici d’un chamane à fantomes. Rien ne peut etre dit, rien ne peut etre sur, tout doit etre suggéré, sans quoi la fiction poétique se dégraderait en simple roman de gare, dans l’abolition de tout mystère. On retrouve la légende d’Orphée. Il ne faut pas regarder trop en face, à la lumière crue, ceux qu’on ramène de l’Autre Monde . Leur vie est précaire. Qu’il s’agisse du monde des morts ou du monde intérieur de l’écrivain.
Ces fantomes évitent toute gesticulation romantique. et ce monde sans héros défini, sans figure dominante, par cela meme, suscite l’empathie d’un public qui le modèle à son image. Ni tout à fait bon, ni franchement méchant. La Fable rejoint ainsi quelque part l’Histoire du public, qui s’y projette en miroir, en meme temps qu’elle propose dans les romans dits du souvenir une chronique de la lacheté ordinaire dont il m’appartient pas de dire si elle a déclenché des vocations d’historiens, mais qui n’est pas sans rapport avec des travaux ultérieurs -Ceux d Amouroux, ntre autres pour donner un exemple grand public.
Bien à vous.
MCourt
« L’air pourri » c’est parce que lorsqu’il s’agit d’investir en une bonne ventilation les bistrotiers rechignent… et voilà que les politiques légifèrent…
oratorio
quel courage vous avez !
jamais je n’oserais demander une « référence » un lien sur ce blog , ni sur un autre non plus
j’ai beaucoup appris en apprenant à me servir un minimum d’un ordinateur: il y a d’anciens professeurs reconvertis dans des activités diverses, et qui ont des enfants étudiants qui n’ont pas encore appris à aller sur la toile .
(j’ai tenté de les convaincre de se mettre au clavier en leur montrant que des jeunes femmes de leur connaissance voisines en avaient une excellente pratique….)
mais demander une référence sur le canal hystérique ?
renato, vous trainez dans les bistrots ? la où se trouve le pire de l’humanité ! La lie de la société ?
A quel titre ? épave ? membre d’une ONG A.A. ? Journaliste ?
à M. Court Tout le monde sera heureux de votre longue réflexion ;et je vous accorde très volontiers d’voir été un homme prévenu dans le métier ; P.Assouline ne dit-il pas souvent qu’on lui a dit que, qu’on sait bien queet il y a ce qu’on ne sait pas : comme cette question que vous posez » Que serait Modiano s’il n’avait publié que ce premier roman? »
vraiment voilà un roman en attente , et je n’imagine pas de le rêver: enfin, ‘espère parce qu’on n’est pas maître tout puissant de ses rêves : heureusement pour tous .
évidemment que l’on n’a pas besoin de l’exemple de Modiano pour découvrir que beaucoup se sont fourvoyés dans leurs jugements et se fourvoient encore et que ce ‘est pas indifférent à leurs questions personnelles celles-là même qui les ont engagés dans « le métier » , (quel qu’il soit ce métier )
d’avoir été
ce n’est pas
Cela dépend de l’heure, du lieu, de l’occasion, mais traîner ne me semble pas le bon mot… ce qui aliène toute valeur aux questions posées.
« Oeuvres » est un peu excessif pour qualifier des illustrations qui se rapprochent de la mauvaise bande dessinée.
Rhéostat
permettez-moi de compléter votre 16:05
« d’avoir été
ce n’est pas être »
rhéostat dit: 18 mai 2013 à 15 h 44 min
Quand on a fait la guerre – médaillé de plus, on a du courage plein la besace: La Guerre des Boutons.
Canal hystérique? On se sent bien parmi les siens, autrement on serait ailleurs. Vraiment?
u. dit: 18 mai 2013 à 15 h 27 min
Merci! Vive l’Auvergne!
You have guys like Bakkies Botha, Danie Rossouw and Chris Masoe in the Toulon line-up, and they’re not exactly going to come out and start tickling you in a ruck are they? »
– Clermont lock Nathan Hines is expected in a bruising physical battle.
Tu arrives ici, Philou, comme arrive le Commandeur !
Je te vouvoie, si tu permets : vous avez la voix forte, le regard inexorable, la main tragique …
Sur le fond, les illustrations sont affligeantes, on se croirait sous Franco
je suis certain que M Court doit être le grand-père de Pauledel, ou un cousin proche, les mêmes obsessions et tics de langage d’un gendre précieux dans les tournures… moi cela me fait rire, bien rigoler, lisez la tirade 15:38
No Future for France – Guy Millière:
http://frontpagemag.com/2013/guy-milliere/no-future-for-france/
Balamou (et NS) inconnus à cette adresse?
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/05/18/affaire-karachi-des-preuves-d-un-financement-illegal-de-la-campagne-de-balladur_3313993_3224.html
A F.Arfi – la profession reconnaissante.
Inconnu à cette adresse ?
Dommage : ratage de Pentecôte,
de venue du Saint Esprit.
D’abord, un peu d’esprit
n’est jamais superflu ;
saint, qui plus est,
presque sans supplément,
occasion à saisir…
Tant pis donc !
Restent, virtuelles ou non,
les boîtes aux lettres :
avis de passage.
Absenbuscadement.
Canal hystérique? On se sent bien parmi les siens, autrement on serait ailleurs. Vraiment?
Je ne me sens jamais nulle part parmi les miens ! le clin d’oeil me fait me recroqueviller … une de mes anciennes amies l’avait compris .
j’ai réussi à m’en séparer : une histoire d’amitié qui me laissa une énigme sur le temps, le rythme de réapparition des fantômes ,ce qu’elle était pour moi,- et peut-être moi pour elle, jamais nous n’en avons parlé et c’est tant mieux , : à la fin nous avions des histoires de traductions et de corrections:quelle épreuve , pour moi – et leur disparition définitive.
Sigismond, tu ne respectes rien ! Et ça ne rend pas intelligent, l’irrespect. Tu ne veux pas finir comme moi, hein ? Alors … sors nous un compliment sincère et spontané à Monsieur Court, fissa !
Savoir d’où ça parle?
« Guy Millière est, avec Yves Roucaute, l’un des universitaires français qui ont soutenu George Bush aux élections présidentielles américaines de 2000 et 2004 »
« condamné en première instance pour diffamation »
Sukria, wikiji.
C’est dire le niveau du punk de service!
GUY MILLIERE est un GROS SALAUD !
Lisez ci-dessous ce qu’il est capable d’écrire comme insanités :
« Il m’est parfois demandé pourquoi je défends Israël alors que je ne suis pas Juif. Ma réponse est simple : je défends Israël parce que je suis toujours du côté de la démocratie face aux dictatures et aux totalitarismes, parce que je suis du côté du droit des êtres humains face à ceux qui piétinent le droit ou usurpent son nom, et parce que je suis du côté de la liberté et de la résistance à l’oppression et pas du côté de l’oppression.
Etant pour la démocratie, le droit et la liberté et considérant que ces mots forment un ensemble indissociable (une démocratie qui peut porter au pouvoir les nazis ou le Hamas s’abolit elle-même en abolissant le droit et la liberté), je suis pour que les populations arabes soient délivrées : du fanatisme, des propagateurs de haine, donc du Hamas et de l’Autorité palestinienne.
Et je suis favorable à la fin de l’occupation de fragments de la Judée Samarie par une entité totalitaire dirigée par Mahmoud Abbas. »
Non, mais vous vous rendez-compte du fascisme de ce type. Une fois de plus Bloomie avait vu juste !!!……Bravo, Bloombloom !
Bloom, c’était une plaisanterie, vous comprenez ? parce qu’on parlait de ceux qui aiment citer des références, des grands auteurs pour étayer leur propos, et là vous citez les noms des joueurs de rugby, du coup j’ai voulu plaisanter en faisant comme si ces joueurs de rugby étaient des références ou des grands auteurs comme Willy.
vous comprenez ? loin de moi l’idée de vous critiquer. bien au contraire. et puis je sais bien qu’il ne faut pas vous chercher, vous comprenez ? je n’allais pas prendre le risque de vous titiller sachant que je ne fais pas le poids, du coup j’ai juste voulu faire une blague, a joke.
je le reconnais je ne m’y pas très bien pris, en fait j’aurais dû dire un truc du genre que sur ce blog citer des rugbymen c’était comme citer des auteurs, des références.
encore que non, parce que présenté ainsi ça n’avait pas de sens.
en fait le truc qui m’aurait arrangé, pour que puissiez bien voir que je plaisantais, et que je ne vous critiquais pas, parce que, comme je vous l’ai dit je sais à quoi on s’expose quand on cherche, et je ne suis pas d’un naturel très courageux, je suis même un peu froussard, je n’oserais jamais m’attaquer à un type comme vous, sérieux rien quand je vois votre nom en haut d’un commentaire ça me fout les jetons, non le truc qui m’aurait aidé c’est qu’un joueur de rugby s’appelle Joyce, ou même Modiano, là hop ! j’aurais fait une petite pirouette en jouant sur le nom et vous auriez compris que je plaisantais, je vois d’ici le sourire se dessiner sur vos lèvres, sérieux ça m’aurait plaisir de vous faire sourire, parce que les types qui foutent les jetons perso je préfère être leur pote, plutôt que leur ennemi.
vous comprenez ? je vous aime bien, en plus un type qui prend comme pseudo le nom d’un personnage de Joyce, avec un « B » majuscule, comme le B52, le bombardier, rien qu’imaginer que je puisse avoir un bombardier comme ennemi je sais que je vais pas fermer l’oeil de la nuit.
vous savez B52, ce n’est pas de ma faute, demandez à monsieur Assouline avant je faisais rire tout le monde, même Mr Assouline me l’a dit, que je le faisais rire, j’avais de l’humour, mais je l’ai perdu.
vous y croyez à ce genre d’histoire : un soir vous vous couchez avec de l’humour, vous êtes le type le plus drôle de la terre, et le lendemain, quand vous vous réveillez hop ! envolé ! plus d’humour.
c’est pour ça que je n’essaie plus d’être drôle, et là j’ai voulu faire une exception, je m’étais dit avec Bloom je peux prendre le risque : vlan ! résultat des courses je me prends une baffe dans la figure, Bloom : je ne l’ai pas méritée, je vous le jure sur ce que j’ai de plus cher, sur la tête de Paul Edel : Bloom je plaisantais !
Bloom vous savez, Modiano écrit bien mais il n’est pas drôle, à part dans son premier livre, mais ce n’est pas le seul, vous savez pourquoi la littérature française est aussi triste ? pourquoi nos écrivains n’ont pas d’humour ? vous le savez ?
non ? moi je le sais ! et si vous ne m’aviez pas insulté je vous l’aurais dit, et ce soir vous vous seriez couché un peu moins idiot, mais c’est la règle, c’est donnant donnant, comme dans la Bible : oeil pour oeil blablabla.
Allez, Hamlet, dis nous pourquoi nos écrivains n’ont pas d’humour !
Vous lisez l’italien JC ?
Information littéraire :
Antoine Blanc de Saint-Bonnet
La Douleur
« Sociologue et théologien-philosophe, l’auteur démontre qu’en raison du péché originel, « toute la vie est disposée pour la douleur », corollaire bienfaisant du libre arbitre des créatures appelées à participer au salut des âmes par l’expiation bien comprise et avec l’aide de la Grâce divine. « Adorable livre mystique d’une clarté de ciel entrouvert » selon Barbey d’Aurevilly, tandis que Léon Bloy le louait sans réserve… ainsi que ses propres articles, mis sous le boisseau au profit de ceux, « extrêmement médiocres », de la presse catholique considérant que « le Saint Père et l’Eglise sont la propriété exclusive de MM Veuillot et Cie, procédé simplement immonde »! On trouve également dans l’oeuvre critique de Baudelaire [Bodler] maints échos des analyses de Saint-Bonnet.
Celui-ci dépeint, au milieu du XIXème siècle, la dégénérescence des mœurs corrompues par le romantisme, « l’abaissement de l’autorité paternelle, le relâchement de l’éducation » et plus généralement « la décadence des peuples d’Europe » due « à l’affaiblissement de la Foi. » Né esclave de la nature, en proie à la paresse, à des appétits insatiables, l’homme ne peut s’affranchir que par la souffrance mûrie et acceptée, puissant moyen pour acquérir un « degré de liberté morale » à la hauteur de l’Amour de Dieu.
Le philosophe justifie l’esclavage antique, « école de soumission et de patience » qui permit la survie des individus incapables de se nourrir sans contrainte et déplore l’émancipation prématurée des noirs américains, condamnés à mourir de faim. Il défend la propriété privée et le patrimoine familial, garants de la prospérité. L’égalité s’opposant à la liberté , la justice réclame une société équitablement hiérarchisée.
Dans un style choisi, cette méditation d’une grande élévation sur la condition humaine s’accompagne de judicieux conseils pour mettre La Douleur au service du bien des âmes, de belles envolées lyriques atténuant quelque peu l’austérité du propos.
Marie-Gabrielle Decossas.
240 pages Editions de La Reconquête ; Recension de Barbey d’Aurevilly du 14 janvier 1879 ; Lettre de Leon Bloy à Blanc de Saint-Bonnet du 27 mai 1873 ; Avant-propos de la première édition ; Préface de l’édition nouvelle ; Presentation ; Prologue.
un peu d’esprit
……………….. heu… faut vraiment rire, là ?…….
‘In our language,’ he said, ‘Shake means Sheikh and Pir means a Wise Man. » (Brook, via Bloom)
Ce citoyen (Tchétchénie?) n’avait pas tort.
Ça voudrait surtout dire que William, c’est pas du neuf.
Shaykh et pîr ont originalement le même sens: « vieux ».
Seulement le premier mot est de l’arabe, alors que le second est du persan.
(Le vieux désigne ensuite un chef: pîr, c’est l’appellation du chef d’une confrérie soufie.
En persan, pour vieux con, on dira: pîr-e sag
(vieux chien; oui, pour une fois, c’est « chien » qui vient ici déterminer « vieux », plutôt que sag-e pîr.)
Pourquoi ce détail?
Parce dans un vestiaire de XV, faire le pédant, c’est faire preuve de courage.
Allez Clermont!
renato,
Insuffisamment ! J’ai lu le Dante dans l’édition bilingue du CFL, traduction d’Alexandre Masseron, édition de 1964 avec les gravures de Botticelli …. Pourquoi cette question intime ?
hamlet dit: 18 mai 2013 à 16 h 51 min
Bravo, hamlet. C’est un pur petit chef d’œuvre d’humour ! C’est quasiment aussi beau que du Robert Walser ! Je suis sincère. Admirable. Je le mets dans mes archives.
C’est vrai qu’hamlet, avec un petit « h », comme dans « hameau » ou « jambonneau », ça vous va à ravir, le côté passif-agressif, certainement.
En revanche, faudra voir à changer d’umour. Pas même l’ébauche d’un sourire.
Poursuivez votre logorrhée comme bon vous semble et abstenez-vous de provoquer. Vous éviterez ce faisant et la vaporisation et le grotesque des vraies-fausses excuses.
Faux comme un filet d’eau tièdasse.
u,
Que le meilleur gagne !
(je pense à Toulon …)
« Sociologue et théologien-philosophe, l’auteur démontre qu’en raison d’un contrat originel, « tout joueur de XV est disposé pour la douleur », corollaire bienfaisant de l’arbitre (enculé!), étant appelé à participer à une mêlée par l’expiation bien comprise (pour l’équipe!) et avec l’aide d’un bon entraîneur.
Allez, Clermont.
Tu vas nous rappeler le geste de Wilko envers Farrell, c’est ça?
Pour nous faire pleurer?
Non, Guy Millière, n’est pas apprécié de l’extrême-droite pour son racisme arabislamophobe…and my sister is a dog.
Son philosémitisme est un cache(r) sexe de circonstance (il déteste encore plus les Arabes que les Juifs). Et comme le démontrent les travaux de Zev Sternhell, en France, fascisme et antisémitisme ne sont pas co-extensifs.
Après tant de fidélité avec les jamais et les toujours qu’il y en ait pour tout le monde, vous ne pensez pas ?
« Le philosophe justifie l’esclavage antique, « école de soumission et de patience » qui permit la survie des individus incapables de se nourrir sans contrainte et déplore l’émancipation prématurée des noirs américains, condamnés à mourir de faim. Il défend la propriété privée et le patrimoine familial, garants de la prospérité. L’égalité s’opposant à la liberté , la justice réclame une société équitablement hiérarchisée. »
Cornecul !
Quand je lis ça, je sens que je suis encore loin du salut, moi qui remplace douleur par plaisir depuis toujours !
Pourtant, rien que de bonnes idées par ailleurs : sur l’esclavage yes ! sur l’émancipation trop rapide des nègres yes, mais pourquoi se limiter aux américains ? sur la défense de la propriété privée, yes ! sur le patrimoine familial, yes ! sur l’égalité qui tue la liberté, yes ! Diversité ! Diversité ! Et que vivent longtemps les sociétés fortement hiérarchisées …!!!
Allez Toulon !
Bloom dans ses œuvres : clichés, pensée prête à penser, manque d’esprit et d’humour. Fadasse, triste.
« and my sister is a dog. »
Je parie qu’elle n’est pas encore mariée…
Si vous avez pu suivre Dante, JC, vous pouvez lire « Fratelli d’Italia » d’Alberto Arbasino (Adelphi Edizioni, € 25,00 –25% € 18,75).
Après un rapide survol des quelques 1370 pages, vous construisez votre lecture en suivant le personnage ‘Jean-Claude’, les questions qu’il pose, son approche de la chose culturelle, son manque d’humour…
Il y a aussi un joli paragraphe avec Lacan à Spoleto…
« Tu vas nous rappeler le geste de Wilko envers Farrell, c’est ça?
Pour nous faire pleurer? »
Il faut une extrême sensibilité, comme la mienne, pour apprécier ce geste extraordinaire. Si tu n’avais pas le coeur aussi sec, je te dirais la beauté qui s’en dégage… ! Mais je vois le mercure qui coule dans tes veines…
Je parie qu’elle n’est pas encore mariée…
JC le vieux con non plus et tout le monde s’en fout
Le premier Ministre canadien fustige les dirigeants du monde de ne pas soutenir Israël
NEW YORK (AP) – Le Premier ministre canadien Stephen Harper a exprimé sa consternation jeudi devant le recul croissant du soutien à Israël à travers le monde et a critiqué les dirigeants internationaux de ne pas sauvegarder l’Etat juif.
» Rien n’est à plus courte vue dans les capitales occidentales, à notre époque, que l’affaiblissement du soutien à Israël que nous constatons dans le monde entier », a-t-il dit, qualifiant le pays « de seul allié stable et démocratique dans cette partie du monde. »
S’exprimant lors d’une visite à New York, Harper a également donné son sentiment sur la Syrie, et a plaidé pour une « extrême prudence « quant à l’idée d’armer l’opposition.
« Nous ne devons pas nous tromper sur ce qui se passe en Syrie », a-t-il déclaré, en affirmant qu’il y a «de la brutalité et de l’extrémisme des deux côtés. »
« Vouloir parler de l’armement de personnes anonymes dont nous ne comprenons pas les objectifs, est je pense, « extrêmement risqué », a déclaré M. Harper.
Droits d’auteur 2013 The Associated Press
17 mai 2013 Traduction Nancy Verdier
L’Assemblée générale des Nations-Unies vient d’adopter une résolution plaçant la Polynésie française sur la liste des territoires à décoloniser. La France dénonce une « ingérence flagrante ». Le quai d’Orsay pourrait-il avoir bonne mémoire et ne pas s’ingérer dans les affaires israéliennes?
Voici le texte officiel !
Résolution adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies sur la Polynésie française (17 mai 2013)
La résolution adoptée le 17 mai par l’Assemblée générale des Nations unies sur la Polynésie française méconnaît les choix démocratiques faits par les Polynésiens et va à l’encontre des objectifs poursuivis par l’ONU.
Le 21 avril puis le 5 mai, les électeurs polynésiens ont renouvelé, comme tous les cinq ans, leur assemblée territoriale. Ces élections générales leur ont permis de s’exprimer. Ils ont donné une majorité incontestable aux élus favorables à l’actuel statut d’autonomie.
La nouvelle assemblée territoriale, issue de ce processus démocratique, a marqué son désaccord avec le texte de cette résolution qui nie de fait la volonté exprimée de manière claire par la population polynésienne au suffrage universel.
Cette résolution est donc une ingérence flagrante, une absence complète de respect pour les choix démocratiques des Polynésiens, un détournement des objectifs que les Nations unies se sont fixés en matière de décolonisation.
La France est déterminée à continuer, avec le gouvernement de Polynésie française, à promouvoir le développement politique, économique et social de la Polynésie française.
source
Paris voit dans la résolution de l’Assemblée générale de l’ONU qui place la Polynésie française sur la liste des territoires à décoloniser « une ingérence flagrante » et « une absence complète de respect pour les choix démocratiques des Polynésiens ».
C’est « un détournement des objectifs que les Nations unies se sont fixés en matière de décolonisation », a déclaré dans un communiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Philippe Lalliot.
L’Assemblée générale de l’ONU a adopté vendredi une résolution plaçant la Polynésie française sur la liste des territoires à décoloniser, malgré la défaite des indépendantistes aux dernières élections territoriales début mai.
« Le 21 avril puis le 5 mai, les électeurs polynésiens ont renouvelé, comme tous les cinq ans, leur assemblée territoriale. Ils ont donné une majorité incontestable aux élus favorables à l’actuel statut d’autonomie », a rappelé le communiqué du Quai d’Orsay.
La résolution « nie de fait la volonté exprimée de manière claire par la population polynésienne au suffrage universel », a-t-il déploré, ajoutant que Paris est « déterminé à continuer, avec le gouvernement de Polynésie française, à promouvoir le développement politique, économique et social de la Polynésie française ».
La résolution de l’Onu, présentée notamment par trois petits Etats du Pacifique –Iles Salomon, Nauru, Tuvalu–, a été adoptée par consensus. La France n’a pas participé à la séance. Cette résolution ouvre en principe la voie à un référendum d’autodétermination.
Avec source L’EXPRESS
Bien dit u.ji.
Les pirs sont parmi les meilleurs de l’islam et du syncrétisme islam-hindouisme-animisme encore vivace au Pakistan, notamment lors des « urs », ces fabuleux rassemblements soufis, devenus les cibles des islamistes. A Lahore, L’Urs de Madulal Hussein, pir androgyne, se déroule dans un « darga » qui comprend cimetière (mazhar) couvent et bibliothèque. L’autre côté du miroir.
mariée ?
vous voulez la voir comme Goya la vit ? voilà
http://www.culture.gouv.fr/Wave/image/joconde/0198/m503501_d0022109-000_v.jpg
Titre
La apunta pr. ermafrodita (Il l’inscrit comme hermaphrodite’)
La résolution du machin est sans intérêt, car inappropriée.
l’image est meilleure, là(j’espère)
http://expomusees.orange.com/oeuvre-44926/la-apunta-pr-ermafrodita-il-linscrit-comme-hermaphrodite-dessins#.UZekXbU9OOg
Qui aurait pu penser
Que l’Histoire
viendrait ainsi s’abattre sur nous –
l’expression peut sembler solennelle,
mais comment le dire autrement?
En passant avec précaution
Le long des barricades improvisées
sur le chemin de la maison, sous des ciels explosés,
Entourés de corps sans vie
Le choix suprême –
Le combat ou la fuite –
Nous toisait, comme une gorgone.
La détestation d’Israël du « Monde diplomatique » passe par le mensonge et la désinformation : Euro Espoirs de football la vérité piétinée…
http://www.europe-israel.org/2013/05/la-detestation-disrael-du-monde-diplomatique-passe-par-le-mensonge-et-la-desinformation-euro-espoirs-de-football-la-verite-pietinee/
tout le monde a pu lire
5 critères pour savoir si votre boss est un psychopathe
http://tempsreel.nouvelobs.com/le-dossier-de-l-obs/20130515.OBS9091/5-criteres-pour-savoir-si-votre-boss-est-un-psychopathe.html#xtor=EPR-3-%5BActu17h%5D-20130518
Sociologue, Blanc de Saint Bonnet quand le mot est créé par Comte, qu’il abomine, et que la chose date de la fin du siècle? Il y a là au mieux un anachronisme. Au pire,une inexactitude. A moins de transformer en sociologues tous les élèves de Victor Cousin.Ou d’envisager une christo_socilogie à la sauce lyonnaise.
Mais ce n’est pas tout.
« Recension de Barbey, 1879 »
Il faudrait préciser qu’il doit s’agir d’une réédition, l’originale étant de 1849. Barbey, oui, mais Barbey trente ans après, sauf coquille.Il est vrai qu’il n’est jamais trop tard etque sa Baronne était passée par là.
Pour mémoire, les sérieuses éditions du Sandre envisagent un Blanc de Saint Bonnet intégral.
Bien à vous.
MCourt
vous voulez que je m’humilie ? c’est ça Bloom ? que je mette à genoux pour implorer votre pardon?
que je dise tout haut : « quand j’entends « que le meilleur gagne! » je pense à Bloom » Bloom?
pourquoi a-t-il fallu que ma tentative de plaisanterie tombe sur vous?
prenez Monsieur Court, c’est à la fois un grand érudit, une culture phénoménale, il connait le nom d’auteurs que même sur wikipédia vous ne les trouvez pas, et en même temps c’est un type drôle, j’ai lu des commentaires de Mr Court à tomber parterre de rire. comme quoi on peut être à la fois cultivé et drôle, d’une plaisanterie pas drôle, un type cultivé ne retient pas le fait qu’elle n’est pas drôle il retient juste l’intention de la personne de vouloir plaisanter,
et dans la mesure où cette intention ne portait en elle pas la moindre trace de malveillance, il la pardonne! alors que vous, non seulement vous êtes incapable du moindre pardon mais en plus vous vous plaisez à humilier les gens, et après vous nous sortez quoi : les bouquins de Sternhell sur le fascisme ! je suis désolé mais ça ne tient pas debout, avant de se prétendre antifasciste il faut commencer par savoir pardonner à celui qui n’a pas de mauvaises intentions, ne riez pas, c’est notre gros problème moral actuel. vous savez ce qui s’est passé dans les années 80, l’election d’un président socialiste en France, c’était porteur d’espoirs, vous savez ce qui s’est passé en 83, et ensuite dans les années 90, en septembre 2001, et ensuite durant la décennie 2000, et maintenant comme vous le savez nous sommes en 2013.
Monsieur Court se demandait pourquoi Modiano avait tenu aussi longtemps (plus longtemps que le Clezio?), je ne sais pas si le fait qu’il ait tenu aussi longtemps soit une excellente nouvelle pour tout le monde. croyez-moi Bloom, je ne sais pas ce que les années à venir apporteront à l’Europe mais je sais que quand un type cultivé comme vous ne sait pas accorder son pardon à un type d’une grande bonté d’âme et animé d’une générosité peu commune, sous prétexte que ses plaisanteries sont foireuses et bien je vous le dis, plutôt j’ose vous le dire, franchement je ne sais pas qui de Toulon ou de Clermont Ferrand gagnera la finale, mais ce que je sais c’est qu’importe qui remportera cette finale, dans la situation dans laquelle nous sommes cette finale de rugby devrait être le dernier de nos soucis, je sais bien les moyens employés pour endormir les gens, le spectacle, le sport, canal+, mais de grâce Bloom ne demandez de s’humilier à celui qui font une mauvaise plaisanterie, vous sentez monter la violence? ce n’est pas en ré éditant une compil de Modiano qu’on va réussir à calmer les gens, ni avec l’autre écrivain espagnol qui le pauvre semble n’intéresser personne sur ce blog, vous sentez Bloom monter la vague, le tsunami qui va engloutir l’Europe?un jour prochain nous ne pourrons plus, vous et moi, faire les malins, alors je vous le demande : sachez accepter aujourd’hui une mauvaise plaisanterie parce que celles de demain que nous promettent le futur seront encore plus mauvaises que la mienne.
Constitutionnel, 14 janvier 1879. IX, p 16.
Toujours à nager dans le grand bain, Court, mais qui donc vous a laissé échapper.
Exercice d’acrobatie d’un mauvais acribote : « Il faudrait précise qu’il doit s’agir… »
décoloniser la Polynésie ? ah ! enfin !
et ensuite j’espère que dans la foulée on décolonisera la Guyane, les Antilles, la Corse, la Bretagne, la Savoie et Marseille.
et qu’on vendra l’Alsace et la Lorraine aux allemands pour rembourser notre déficit.
ham let….. my people go , go down moses , way down in
d’abord les allemands devraient financer une partie du déficit de la sécu.
parce que c’est avec cet argent que nos médecins spécialistes font marcher les usines allemandes en se payant des bmw, des audi, des mercedes et des porsche : les ouvriers allemands sont payés avec l’argent de la sécu.
Et l’illustration sur la couverture de Blanc de Saint-Bonnet d’après un dessin de Armbruster vous la trouvez où mon petit Court ?
On peut aussi ajouter comme édition sérieuse et disponible les titres de Blanc de Saint Bonnet parus chez Jérome Millon, dont le De La Douleur, avec préface de François Angelier,un homme qui est un gage de compétence et de sérieux Millon a aussi édité Hello, et n’a pas l’habitude d’assassiner les chefs ‘oeuvre.
Bien à vous.
MCourt
Encore une connerie de cette taille hamlet et on va croire que vous sortez d’une grande université…
Le vrai métier de Court c’est de faire de la promotion pour grandes surfaces, moins cher chez machin, plus gros chez truc, plus à la mode chez bidule, mieux coiffé chez X,… grande surface ou sexshop ? avec un tel esprit…
« Edition sérieuse » c’est Court qui le dit, label NRF garanti, ça me rappelle Lafont qui donnait un coup de pied dans une pile de best sellers prêts à partir pour la vente, en disant : « ça tient la route, ça ! »
Court, vous vous évertuez pour rien avec votre réclame de bordel pour la concurrence, tout le monde s’en tape ici de Saint-Bonnet, personne n’achètera jamais le livre, ni chez moi ni ailleurs, il s’agit tout simplement de montrer que quelque chose d’autre existe.
Pôv’ Phiphi,
il vient nous faire sa réclame, pas de pot MC veille.
Rien de pire qu’une pub qui se retourne contre son auteur.
Plus con tu moure.
Quand la claque entre en jeu, c’est que l’enjeu est de taille… Dame, Blanc de Saint-Bonnet.
Une question quand même Hamlet.
Comment fait-on pour bouffer du tripoux et du St Nectaire à tous les repas et ne pas soutenir l’ASM ?
Allez le PUC.
« On trouve également dans l’oeuvre critique de Baudelaire [Bodler] maints échos etc. »
Philippe Régniez dit: 18 mai 2013 à 17 h 08 min
[Bodler]? De la littérature considérée comme une tauromachie…
Bagarre MC-PR, en plein dans la mi-temps … homérique.
Ah, enfin, Alexia sort de son trou.
« les ouvriers allemands sont payés avec l’argent de la sécu. »
c’est insupportable que les ouvriers ces cryptos cocos soient payés, argent de la sécu ou pas
Vu l’état dans lequel se met l’imposteur d’Asunción, Marc Court a mis dans le mille.
Syrie: Un chef rebelle découpe et mange le coeur d’un soldat en criant « Allah wakbar » ! Hollande et Fabius veulent leur livrer des armes
Les rebelles syriens islamistes sont des porcs sanguinaires. Pourtant, François Hollande et son ministre Laurent Fabius, qui décidément ne comprennent rien au Moyen-Orient, veulent livrer des armes à ces sanguinaires qui un jour risquent fort de se retourner contre la France, l’Europe ou Israël…
Selon Human Rights Watch, le clip montre Abu Sakkar, l’un des fondateurs des Brigades Omar al-Farouq, qui réalise fièrement cet acte sanglant devant les caméras. Il dit: « Je jure devant Dieu que nous allons manger vos cœurs et vos foies, vous soldats de Bashar le chien», acclamé par ses rebelles…
David Cameron souhaite lui aussi doubler l’aide militaire aux rebelles !
Ces dirigeants européens, français en tête, sont inconscients: comment choisir entre la peste et le choléra islamiste ?
D’un côté Bachar Al Assad, soutenu et armé par la Russie et l’Iran, de l’autre Al Qaïda et des jihadistes du monde entier, soutenus par les Frères Musulmans… Si au début du soulèvement syrien les choses semblaient plus claires, le régime syrien étant « le méchant » qui tuait des civils, depuis l’arrivée des milices et brigades islamistes venant du monde entier il est impossible de dire qui entre le régime et les rebelles sont les plus sanguinaires.
De plus la Russie joue en permanence un double jeu, livrant d’un côté des armes au régime syrien et de l’autre dialoguant faussement avec les naïfs européens afin de trouver « une solution » à cette guerre qui ressemble de moins en moins à une guerre civile.
L’Europe risque fort une fois de plus d’armer des extrémistes qui se retourneront contre la population syrienne pour imposer un régime islamiste dur. Les expériences de la Libye, de l’Egypte et de la Tunisie ont montré que ce n’est jamais la démocratie et la liberté qui s’installent dans ces pays musulmans trop habitués à la soumission et endoctrinés par l’islam radical.
De plus après l’installation d’un régime islamiste, il y a fort à parier que toutes ces brigades islamistes partiront vers d’autres théâtres d’opération emportant les armes fournies par l’Europe pour tuer peut-être des européens. N’oublions pas que tous ces jihadistes considèrent que le Jihad est mondial et qu’il faut islamiser toute la planète.
Alors au lieu d’armer des jihadistes qui à terme s’en prendront à l’Europe, réfléchissez à deux fois messieurs les dirigeants européens !
Reproduction autoriés avec la mention : © Christian De Lablatinière
Et pendant ce temps-là, Court feuillette comme un garde champêtre…
Alexia, ma fille, comment allez-vous ? A l’aise dans vos Dr Martens boots ?
si vous référencez votre commentaire à un site ou à un blog, vous constaterez que vous recevez une quinzaine de visites…
cela ne veut pas dire que le blog de Pierre Assouline est lu par 15 personnes, cela veut dire que les gens normaux ne lisent pas les commentaires.
(prenez ça comme une excuse)
Question conne comme tout, ça ressemble à quoi les « gens normaux » ?
abhm,
cela veut dire que ceux qui lisent les commentaires se fichent totalement du rouge mit sur un commentaire débile.
ça ressemble à quoi les « gens normaux » ?
à découvrir et redécouvrir…
les adeptes d’une secte prosélyte font dans l’exhibition de leurs points communs artificiels, par contre
Coupe d’Europe.
Victoire de Massy sur le PUC.
Vive le rugby Francilien.
Ah bon? J’ignorais que l’Histoire du sentiment Religieux en France était un article de Super marché.
Vous saviez, vous, Hamlet, qu’on trouvait le Brémond de Millon dans les supers-marchés? et. C’est Monsieur Reynier qui le dit.
Du coup, quand j’irai au rayon charcuterie, je demanderai dix kilos de Brémond, je les mettrai dans mon caddy, et j’irai payer à la caisse.Oh, le regard de la caissière…
Dites, Pierre Assouline, vous saviez que Millon c’était Gallimard? C’est encore Monsieur Régnier qui le dit. Il parait que mon métier consiste à « décerner le label NRF ». Or, quand j’écris Millon, PH Régniez lit NRF.Es-ce moi qui me trompe ou lui qui est daltonien? Parenthèse: on apppelle ici Daltonisme le syndrome dit de Joe Dalton: Le sujet explose, rage tire sur tout ce qui bouge, et n’entre pas dans la ligne du parti..Accesoirement, de vieilles obssessions peuvent refaire surface. écrire Lafont comme Bony et Lafont, gangsters, et non comme,Laffont Robert.honorable éditeur.Mais la différence est parfois peut etre, à la décharge de notre cas, difficile à faire(?).
Et puis, je croyais que les éditeurs vivaient de leurs éditions, mais Monsieur Regniez sape mes certitudes.Il atteint au grandiose dans le genre Médicis » Personne n’achètera le livre,ni chez moi, ni ailleurs,il s’agit simplement de montrer qu’autre chose est possible ».Diable! ai-je bien oui? Voici le premier éditeur qui imprime un livre pour ne pas le vendre!Mais alors pourquoi faire de la publicité pour, et nous annoncer sa parution?
Avez-vous pensé à la pauvre Madame Décossaz citée plus haut? La voyez-vous mendier ses pesetas dans les rues d’Ascunscion? comptez-vous liquider à la sortie des messes le stock imprimé?Vous en servir pour des usages domestiques dont le feu est le plus honorable? En envoyer un exemplaire sur grand papier à l’Union Rationaliste et à Pierre Assouline?ça aurait de la gueule. Mais non. vous imprimez pour dire ce livre existe! Je m’interroge: n’aurait-il pas fallu faire l’inverse? Mais il est vrai que je n’y connais , selon vous, rien.
Bien à vous.
MCourt
Pilou, Pilou !
Vive les Argentins barbus
(Bon, Armitage est vraiment un enfoiré, JC, un type du genre Nasri, dans un autre domaine.
Mais quoi, qui n’est pas heureux pour JW?)
« en criant « Allah wakbar » »
Il y a une faute grammaticale.
Sauras-tu la repérer?
D’accord… mais… nourri, logés, blanchis, ou il faut encore payer ?
« Armitage est vraiment un enfoiré »
zouzou
Post-adolescence anglaise ?
Culture footballistique ?
Dire qu’il aurait pu jouer en équipe de France.
Le meilleur a gagné : c’est pas comme en République !
(des Livres, voyons ! des Livres !)
?
Mauvaise Langue:
« Les rebelles syriens islamistes sont des porcs sanguinaires.
Abu Sakkar, l’un des fondateurs des Brigades Omar al-Farouq, dit: « Je jure devant Dieu que nous allons manger vos cœurs et vos foies, vous soldats de Bashar le chien». »
Si je comprends bien:
Un mec mange du chien.
C’est donc un porc.
C’est bien ça?
Championnat de France, finale Toulouse-Castres.
Victoire du CO.
Diarra vainqueur.
Encore une victoire du rugby Francilien.
Masoe est quand même content.
ça ce sont des noms mon Hamlet chéri (je blague hein)
P’tain ce chien, il est halal ou casher ?
J’y comprends rien moi.
« … nous allons manger vos cœurs et vos foies… »
Des sauvages ! on donne à manger aux fils des vaincus le foie de leurs pères ! c’est la base structurelle de toute grande civilisation…
» La communauté réduite aux caquets »
Une bonne définition de la RdL ?
Non.
De Gaulle, en revanche, aurait pu s’en servir pour épingler l’ONU, à la place du trop célèbre machin.
Je l’ai empruntée à un journaliste qui aurait pu faire preuve d’un peu plus de solidarité avec une communauté de quelque quinze cents Français dont il faisait partie, réunis pour quelques mois de villégiature plus ou moins forcée dans une petite ville d’Europe, au bord d’un beau fleuve bleu.
Boutade citée par l’auteur d’un livre dont l’hôte de ces bois a rendu compte dans un récent papier.
L’Autorité Palestinienne continue de réprimer les journalistes
L’Autorité Palestinienne continue ses actes de répression contre les journalistes et contre la liberté de la presse dans les territoires disputés. Récemment 2 journalistes Haroun Abou Arrah et Omar Arqoub ont été convoqués, et détenus pour interrogatoire et intimidation. Ils ont même été questionnés sur leur vie sexuelle.
il m’est impossible d’apprécier jusqu’à quel point ces bons mots sont vraiment caractéristiques du style français : je viens de lire la page foot de Pierre Jourde (qui a eu conscience dans une de ses pages précédentes que les lecteurs ne sont plus enthousiastes de cette mitraille de mots d’esprit , ce que j’ai entendu de beaucoup de jeunes )page foot que j’ai trouvée quand même décevante dans le détail ( comme la RdL d’ailleurs ) la réception ????
Israël envisage de légaliser quatre implantations juives non autorisées en Judée-Samarie, selon des documents de la Cour suprême rendus publics jeudi.
La poursuite des constructions en Judée-Samarie, condamnée par la communauté internationale, est l’un des principaux obstacles au processus de paix israélo-palestinien auquel le secrétaire d’Etat américain John Kerry espère donner un nouveau souffle à l’occasion de sa visite dans la région à partir de mardi.
L’organisation israélienne La Paix Maintenant a saisi la Cour suprême au sujet de six implantations juives construites de manière illégale en Judée-Samarie.
Dans son argumentation contre cette démarche, le gouvernement israélien a annoncé son intention de légaliser a posteriori quatre de ces avant-postes.
Nabil Abou Rdainah, porte-parole du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, a condamné peu après cette décision.
« Israël continue de faire obstacle et de saboter les efforts des Etats-Unis pour reprendre la négociation », a-t-il déclaré. « Notre position est claire, et consiste à dire que toute colonisation est illégale et doit être stoppée. »
La Paix Maintenant a également condamné cette annonce. « Cette intention de légaliser des avant-postes pour en faire des zones de peuplement définitif n’est rien d’autre qu’une gifle adressée au nouveau processus enclenché par Kerry et la confirmation manifeste d’une garantie apportée aux intérêts des colons », a déclaré l’organisation.
Le gouvernement de Benjamin Netanyahu n’a pas souhaité réagir dans l’immédiat.
Les 4 implantations concernées sont : Haroe (au nord de Ramallah), Givat Assaf (collée à Ramallah), Maale Rehavam (près de Bethlehem) et Mitzpe Lakhisch (au sud-ouest d’Hébron).
Les habitants de ces localités affirment avoir en toute légalité acheté les terres concernées à des Palestiniens. (avec agences)
page foot que j’ai trouvée quand même décevante dans le détail ( comme la RdL d’ailleurs ) la réception ????
rhéostat dit: 18 mai 2013 à 22 h 08 min
Tu fais sans doute mieux crache-venin.
si littéraire soit la page de Jourde , des analyses pus fines de la culture foot ont été déjà écrites . je n’ai pas dit qu’il n’y avait pas des traits saillants que j’appréciais de voir mis en évidence.
quoi qu’il en soit le style d’adresse de la Rdl ne me convient pas . c’est vraiment Et si c’est le genre assoulinien alors le canal HystérAssoulinique n’est vraiment pas mon genre
des analyses plus fines
Bloom 17h58
ou sinon la vie à n’importe quel prix?
waouh !
rhéostat êtes-vous vraiment persuadé(e) que la manifestation de votre sensibilité à la lecture de ce blog puisse captiver pour retenir l’attention des passants sur ce blog qui visiblement et souvent s’attachent à d’autres objectifs que celui auquel vous offrez votre temps et votre plume réfléchie?
thermostat
merci, j’ai aussi pris la peine de lire les commentaires sur la page de Jourde sur la fête-foot.cebillet n’étnt pas le premier « billet -modiano » de P.Assouline,je n’ai aucun désir d’épiloguer sur la critique journalistique et réception; d’ailleurs ce n’est pas sur l’influence d’un(e) journaliste , ni d’une)universitaire, pas même d’un jeune littéraire que j’ai lu la place de l’étoile.
critiques , marchands, et psys !! ne sont pas toujours les meilleurs intercesseurs pour un auteur littéraire et un artiste et cela commence à se savoir, même dans le public français .
ce billet n’étant pas….
« Il faut une extrême sensibilité, comme la mienne, pour apprécier ce geste extraordinaire. Si tu n’avais pas le coeur aussi sec, je te dirais la beauté qui s’en dégage… ! Mais je vois le mercure qui coule dans tes veines… »
Demandez en baie de Tokio,
jusqu’au Fuji !.
Pas,
même excrémentiels !.
rhéostat 23h52, rien que nous ne sachions donc?
La culture foot…
La culture fast food…
Des jeux et du pain.
Cirquaillement.
« rhéostat êtes-vous vraiment persuadé(e)… »
Vous faites erreur thermostat, on lit ses post très attentivement, et avec la curiosité que tout magasin de brocante demande…
La culture foot…
Je vous arrête, Polemikoeur
Qui parle ici de culture foot?
Il s’agit de la civilisation du rugby
« Court, dit: 18 mai 2013 à 19 h 50 min
Diable! ai-je bien oui? »
Mr Court :
ai-je bien lu ?
Ouïr pour oui,
cela ne vous ressemble pas !.
Donc, plaisir quand même de vous lire,
mais relisez-vous !.
que je puisse en jouir,
de votre Ouï…
23 h 17, camarade, sauf erreur.
Un peu dans l’air du (mi)temps, semble-t-il.
L’expression est drôle, n’est-elle pas ?
Civilisation du rugby, vraiment ?
Elle n’aurait pas un peu glissé vers l’oxymore
en question ? La civilisation du rugby ?
Coton, jeu et amateurisme !
Pas les calendriers, la créatinine et le mercato !
Mais, parfois, le sens de l’évolution ne se discute pas.
Force de la vague (aux enchères) et des bulles (spéculatives) !
Arrêtdevoléstement.
thermostat dit: 19 mai 2013 à 0 h 03 min
vous avez tous un sacré toupet à prétendre tout savoir!souvenir d’un professeur assez connu , un
jour en désignant je ne sais quel auditeur « mais pour qui se prennent-ils ? »
moi, je me prends pour quelqu’un qui va se remettre au travail ;
la rhétorique de la sensibilité n’est pas moins de la rhétorique que celle des fiertés .
à propos des termes d’adresse :
http://cvc.cervantes.es/lengua/coloquio_paris/ponencias/pdf/cvc_scurtu.pdf
…
…géopolitique,…tout çà,…
…
…un détails des états » brigands « ,…dans le monde,…
…en groupe, la nation, le ranch, le Bounty » film « ,…le Titanic,…les royaumes, les courts, les carnavals de diversion, l’église des abrutis,…la vie rurale en jachère,…les fonctions entre héritiers,… » administration, garde nationale, armé, commerce, ambassades, etc,…
…il est ou le changement, le socialisme d’état,…en soutien-gorge,…maigrichons les mamelles de la république pour tous,…
…
…les congés payés, pour qui,…en europe » démocratique « ,…
…
…les héritiers et leurs lèche-culs,…pour qui,…pourquoi faire,…ces apparatchiks,…
…
…mes Pétain’s d’€urope,…mes congés payés,…
…tout ces trônes libres,…livrés aux écritures de dégrossissage et diversion collabo’s,…
…encore, un Van Gogh écrit en couleurs pures et brutes,…les nuances en prenant ses distances,…du tableau géopolitique,…d’arnaqueurs,…à doxa,…
…
…etc,…envoyez,…un bronze coulé,…suivant,…etc,…
…
…
…évolution,…mutation des rôles,…etc,…cinéma du christianisme à l’€uro,…les strates d’abord,…etc,…Ah,…Ah,…pour la poule au pot,…etc,…
…
Salutation,
&
Nonne Notte !.
« mais pour qui se prennent-ils ? »
On pourrait dire de même de vous, mais ce serait descendre à votre niveau.
Cela dit, personne, je suppose, prétend tout savoir, simplement on vous lis et puisque, que l’on le veuille ou non, nous avons à faire avec un système de signes, on finit, tant bien que mal, pour comprendre la forme qui est derrière la forme que vous montrez, ce qui n’est pas joli-joli — et savoir que le monde produit encore des gens comme vous, ce n’est vraiment pas réjouissant.
Bon, maintenant vomissez votre petite haine en toute simplicité, on vous lira quand même car vous ignorer serait impardonnable, pas tellement pour vous… plutôt pour le rôle d’universitaire d’opérette que vous jouez si bien… on ‘sent’ derrière les rêves brisés d’une mère, probablement de quelque tante… Enfin, moi je vous aime beaucoup, mais c’est à savoir, ma compagne m’a formellement défendu de recueillir les chiens errants…
…
…bonne nuit,…après Delphes saccagés,…l’eurovision des lunes et » les cris » des cous tordus,…etc,…
…
il faut être complètement taré ou débile comme disent certains -j’ai oublié quand ce mot est devenu tendance pour accepter un simple témoignage d’attention d’un blog du genre de la RdL,y compris, et surtout de la part de celui qui en est le proprio , comme se dit Claro (le clavier cannibale).souvenir d’une femme qui reçut un jour d’un amant célèbre(dont j’ai rencontré le neveu dans un train ) une couronne mortuaire …. ça l’a réveillée: elle a eu après des amants beaucoup, mais beaucoup plus célèbres que les communicHI-a-nts-ou communichiens?- et aspirants plumes de ministres et de présidents
http://opinionator.blogs.nytimes.com/2013/05/17/the-role-of-a-dictionary/?nl=todaysheadlines&emc=edit_th_20130518
Bon vous pouvez me planter tant que vous voulez les cocos, ça me retarde seulement pour aller dormir. C’est le but de la manip ? A la prochaine.
Est-il possible que les gouvernements de ce que nous appelons à tort les « démocraties occidentales » soient assez cons, depuis des decennies, pour ne pas se rendre compte qu’ils se trompent systématiquement en choisissant UN camp, généralement le plus mauvais celui des intégrismes religieux maquillés en opposition respectable, dans les guerres civiles en Iran, Irak, Afghanistan, Libye, Tunisie, Egypte, Mali, Syrie ?!
De telles erreurs de jugement, fondamentales, sont le signe de l’absolu déclin de nos peuplades occidentales, se trompant lourdement sur les futurs combats de civilisation à prévoir. Il est évident que les « rebelles » se retourneront contre les occidentaux imbéciles qui les auront armés au nom de fumeux principes humanistes occidentaux, inapplicables régionalement !
Arrogants et stupides que nous sommes ! Quand comprendrons-nous que nos « valeurs » ne sont ni universelles, ni exportables et qu’il faut les défendre intra-muros avant de les promouvoir hors les murs ?! Mais non ! On marie gouines et pédés pour distraire, pour faire semblant (tout le monde s’en fout au premier chef), on crée des emplois artificiels, on entretient les privilégiés, on divise au lieu de réunir, et on s’installe tranquillement en récession durable. Faillite, obésité intellectuelle, échec programmé … bravo les gars !
Clermont méritait de gagner, belle équipe au jeu construit ! Toulon a gagné, lui, au courage. Seul le résultat compte …
Fermons la porte et jetons la clef à la mer… à propos, qui a gagné le truc de la chanson ?
Qui a gagné l’Eurorecession ?
François Hollande !
(… il succède à d’autres ténors de la vocalise impuissante…)
Poem Zen en vers libres monosyllabiques
présenté à une conférence internationale sur le méliorisme
(Pour Gill et John Carey)
Tout
ce
que
j’ai
à
dire
est:
Chut!
« simplement on vous lis et puisque, que l’on le veuille ou non, nous avons à faire avec un système de signes, on finit, tant bien que mal, pour comprendre la forme qui est derrière la forme que vous montrez, ce qui n’est pas joli-joli — » renato
Le dire de cette manière c’est encore assez peu le dire de tous ces commentaires du billet.
C’est bientôt l’heure de la messe…Et pour rester en forme, le jogging!
» Seul le résultat compte … » (rédigé par JC)
Commentaire de gros beauf, sans intérêt.
On a assisté hier soir à une très belle partie, intense, équilibrée. Résultat final parfaitement logique. L’essentiel au rugby, c’est d’être efficace, tant en attaque qu’en défense, en évitant de commettre des fautes. Le différentiel de fautes est souvent décisif(il l’a été encore une fois hier soir), d’où l’importance de compter dans ses rangs un artiste de la transformation, comme Wilkinson. Hier soir, Clermont a commis plus de fautes en attaque (et en défense) que Toulon n’en a commis en défense (ce qui n’est pas facile quand on est acculé dans ses 22m, comme les Toulonnais l’ont souvent été). Donc, résultat logique et mérité.
» Seul le résultat compte … » (rédigé par JC)
« L’essentiel au rugby, c’est d’être efficace » (rédigé par John Brown)
Bon, les gars, on va dire que vous démarrez votre dimanche en douceur.
« Seul le résultat compte … » (rédigé par JC)
– Commentaire de gros beauf, sans intérêt (JB).
Effectivement, nous n’atteindrons jamais la parfaite analyse sportive de ce fin lettré subtil non-sportif et bavard de John Brown.
On se consolera en le sachant joyeux, au milieu de toutes ses détresses, de nous avoir traité de Gros Beauf et on se gardera bien de la traiter de quoi que ce soit … quand bien même parmi les Gros, il y aurait choix multiples…
Dernier détail : si l’essentiel est d’être efficace en rugby, la traduction claire, c’est gagner le match !
Entendu aux infos (télé) : « Je veux défendre le corps de mes filles, pas qu’elle puissent le louer… ».
Et voilà comme on aliène le droit à disposer de son corps… enfin, puisque la question de la volonté est en jeu, je pourrais dire que le concept ainsi exprimé est parfaitement fasciste, mais je m’abstiens… Oups ! on me dit que ce sont surtout des ‘croyants’… et c’est bien ce qui justifie mon opinion…
Voyons la chose comme ça. Il y a assez d’orphelins, dans l’impossibilité de mettre au monde un produit à soi, on ne s’obstine pas on adopte. Toutefois, si des cons s’obstinent et ils trouvent un ventre à louer, c’est un peu l’affaire des trois partie, pas de l’esprit vigilant d’une bande d’archaïques.
Entendu d’autres conneries, mais inutile de le retenir… reste une question : ils les ont fait où leurs études ces gens-là ?
renato dit: 19 mai 2013 à 10 h 21 min
« ils les ont fait où leurs études ces gens-là ? »
Inscription générale au cours Toto !
« ils les ont fait où leurs études ces gens-là ? »
Amusant ! Comme si faire des études empêchait d’avoir des idées diverses et anti-renaldienne …
Par ailleurs, il est parfaitement acceptable de considérer l’avortement, l’adoption et la grossesse pour autrui comme totalement dégueulasse.
Question de point de vue…
Bon, les gars, on va dire que vous démarrez votre dimanche en douceur.
douceur humide,U,la pluie encore et encore,ah et si il ne cessait plus de pleuvoir?comme dans la saint glinglin de Queneau,ça changerait bien la vie,ça changerait le monde même!tous les cours d’eau quitteraient leur lit,il faudrait circuler en barque,en bateau à moteur,en voilier là ou le vent pousse,j’imagine la remontée des champs élysées du nouveau président,droit et fier dans une barque avec la garde républicaine aux rames,et le tour de france?et le rugby?on ne verrait plus que des matchs de water polo.
et les manifs?tous sur des immenses radeaux et des joutes avec les crs qui tomberaient à l’eau!Ah,ce serait un peu farce,quand même.
En attendant,il faut sortir faire trois emplettes,prendre un pébroc et vite rentrer chez soi,à l’abri,et voir s’il pleut aussi sur la rdl:pluie d’injures ou de compliments.
« C’est bientôt l’heure de la messe »
Bonne lessive
« On marie gouines et pédés »
Du temps d’itler ça se passait pas comme ça mon bon monsieur..(au lieu de radoter, que ne faits-vous donc conseiller spécial des hautes instances pour sauver la patrie ? qu’elle suive l’exemple rosbif on voit la succès des néoconss (une série de catastrophes comme vous les aimez et préconisez inutle de répondre on ne vous lira pas (allez vous faire.. )-
« on voit la succès des néocons »
Je vois surtout l’échec des vrais…
le gnome de pq est pour l’adoption des enfants nés de viols, et persuadé que la gpa va être adoptée et obligatoire le c…!!
l’avortement en cas de viol et d’inceste est un crime les enfants nés de viols et de viol incestueux sont un don du seigneur- la baise hors mariage est un crime au vatican on est pur
Vous avez fait un petit texte après l’achat de votre savon, de nota?
Depuis le commérage de C. Lanzmann, je ne peut plus voir ce poète que le visage congestionné.
Vaticanus, vous avez raison : l’avortement des bonnes soeurs violées en afrique par des indigènes lubriques aimant changer de couleur se justifie parfaitement, je l’admets volontiers …
On ne peut pas être au service de Dieu, et torcher le bambin que vous a collé dans le tiroir un type qu’a même pas fait l’ENA.
Vous voyez bien que je suis compréhensif … !
Il suffit d’une opinion qui ne plait pas à la modération et voilà nom et adresse bloqués… C’est bien, maintenant je sais ce que cette modération vaut…
renato
De nota,
ça vous dirait un job de gondolier à Venise ?
Entendu aux infos (télé) : « Je veux défendre le corps de mes filles, pas qu’elle puissent le louer… ».
Vous avez remarqué? même le jour du Seigneur, on nous parle de moins en moins d’esprit.
On va bientôt se prosterner devant des corps sans âme.
Bon, on ne va pas en plus penser à des expressions idiotes comme « bonjour, je m’appelle Elodie, je suis à l’écoute de mon corps ».
C’est un dimanche en douceur, nom de dieu.
commence à en avoir sérieusement marre de ce JC, maintenant je le boy-cocotte, je passe, il trépasse…. hop !
C’est au secondaire, c’est-à-dire entre de la 10e à la 12e année d’études, que l’on enseigne les questions relatives aux liberté individuelle ou pas ?
Sigismond,
je vous prie d’accepter toutes mes excuses si je vous déplais à ce point : vous vous doutez bien que je ne poste pas spécialement pour vous ….
aux libertéS individuelleS
« Commentaire de gros beauf, sans intérêt. » (rédigé par mézigue)
Je retire cette appréciation, d’une exquise délicatesse. On y reconnaîtra sans peine l’influence du style de LML, pour qui j’éprouve une admiration grandissante, coupable mais irrésistible.
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