Johann Chapoutot engage à prendre les écrits nazis au sérieux
Il y a eu des historiens pour s’interroger sur le pourquoi du nazisme, d’autre sur le comment du nazisme, mais rares ceux qui ont tenté les deux afin d’en démonter la mécanique. Johann Chapoutot, germaniste français de 36 ans, l’un des plus brillants historiens de sa génération, en est. Si publier une somme dans la prestigieuse collection de Pierre Nora « Bibliothèque des histoires » est une consécration pour un universitaire, on dira qu’il a reçu précocement son bâton de maréchal. Son livre La Loi du sang. Penser et agir en nazi (566 pages, 25 euros, Gallimard), non seulement passionnant et édifiant mais important, est un événement dès lors que l’on veut bien faire l’effort de considérer les nazis comme autre chose que des monstres, des fous ou des barbares doublés de gangsters.
Le pays le plus alphabétisé d’Europe dans les années 30 n’a pas non plus versé dans le crime de masse alimenté par le déni d’humanité en raison d’une mystérieuse exceptionnalité, d’un Sonderweg, voie particulière qui l’aurait mené là où il l’a mené. Ce serait trop simple si l’on pouvait expliquer en terme d’affects et en mettant en avant les bas et vils instincts, ce qui nous révulse, et du même coup résoudre le problème de compréhension que le phénomène nous pose. Longtemps, des analystes du nazisme s’en sont contentés. L’immense mérite du livre de Johann Chapoutot, certes après quelques autres mais plus rares qu’on ne le croit (le controversé Ernst Nolte par exemple, Eberhard Jäckel, Ian Kershaw), moins neufs et moins complets, est de montrer que le nazisme, loin d’être un délirant fatras de crétineries, a développé une intelligence qui lui était propre, de l’Histoire, de l’homme dans le temps, de la crise de la modernité. Encore fallait-il se donner la peine de chercher les textes, de les analyser alors qu’ils ont souvent été méprisés et, partant, ignorés, autant dire : les prendre au sérieux.
Pour rendre le phénomène intelligible, Chapoutot n’a pas hésité à puiser dans l’immense, et peu étudiée, littérature grise, juridique et théorique (d’ordinaire, les historiens n’aiment guère s’y frotter), produite par les penseurs du nazisme (sa bibliographie compte plus d’un millier de titres, et sa filmographie, une cinquantaine). Des juristes bien sûr, mais aussi des anthropologues, des sociologues, des médecins, des philosophes. Leurs sources sont très anciennes puisqu’elles se nourrissent au Platon de la République et au Tacite de Germania. Ils prétendent à la rationalité scientifique, croient incarner la victoire de la raison sur la déraison
Mein Kampf lui paraît sans grande importance dans la formation de la vision du monde nazie. Au mieux, un réceptacle d’idées formant programme. Il est vrai que, contrairement à d’autres textes moins connus, Mein Kampf reflète assez peu en quoi le nazisme biologisait l’Histoire, laquelle devait obéir aux lois de la nature, ce qui consistait à protéger le sang de la prétendue race germanique en faisant couler celui des autres. Car la vie est un combat. Dans cette perspective, le millenium n’est pas une lubie mais un programme. Pour l’appliquer, il n’y a pas d’autre choix que de proscrire les mélanges, conquérir un espace vital et détruire tout ce qui menace ce processus sans alternative. Ils étaient convaincus d’avoir compris les lois de l’Histoire et d’être seuls en mesure de les appliquer et de les faire respecter au seul bénéfice d’une race dite supérieure, la leur, naturellement.
Cette vision de l’Histoire tient en trois mots : Volk, Blut, Boden. Chaque mot compte, surtout replacé dans les usages de l’époque. Chapoutot rappelle ainsi que Vernichten signifie « anéantir » et, s’agissant des Juifs, les faire disparaître en tant que peuple du sol allemand puis européen, par l’émigration forcée, la destruction de tous les Juifs d’Europe n’intervenant que plus tard, avec l’évolution de la situation militaire à L’est et l’entrée en guerre des Etats-Unis, en décembre 1941. Les chefs nationaux-socialistes ne demandent pas aux Allemands d’agir en « conscience », notion qu’ils abhorrent, mais de manière konsequent.
On découvre là une nouvelle conception du droit selon laquelle l’obligation (je dois faire), qui avait cours dans le système libéral héritier des principes romains et de la Révolution française, est remplacée par la nécessité (je ne peux pas ne pas faire). L’individu n’est rien, le peuple est tout. Dans cette révolution culturelle, véritable nébuleuse qui agrège tant d’idées différentes qu’on a du mal à distinguer un dogme, le droit coutumier semble issu de sa volonté générale. Tout est subordonné au droit à la vie du peuple allemand selon la loi naturelle. C’est cela, le biologisme nazi, avec tout ce qu’il a de prométhéen, porté par une guerre permanente contre ses ennemis, à commencer par les Juifs.
Pas de place pour deux peuples élus dans ce système de pensée. Le rival doit nécessairement être éliminé car l’élection suppose l’exclusivité. L’idée de race est centrale dans toutes les lois édictées en Allemagne entre 1933 et 1945. Et à la toute fin de la guerre, si Hitler ordonne la politique de la terre brûlée, indifférent aux nécessités vitales de son peuple après lui, c’est qu’il juge que celui-ci est désormais trop médiocre pour lui survivre :
« La nature a rendu son arrêt. En bonne logique biologique, la vie du peuple allemand s’arrête là » conclut Johann Chapoutot.
Hitler propose aux Allemands de revenir à la puissance, à l’honneur et à un avenir radieux, selon un rituel quasi religieux : le sang, la race, l’eschatologie. L’unité de la race, qui s’appuie sur les divisions blindées du droit, conjure tant le spectre d’une lutte de classes que celle d’une guerre civile. On comprend mieux en lisant ce qui est déjà « le Chapoutot », comme on le dit d’un classique ou livre de référence, combien le nazisme est une utopie concrète et manichéenne, accomplissant le Mal au nom du bien, mise en œuvre par des millions d’Allemands, fonctionnaires, policiers, biologistes, planificateurs, économistes, administrateurs, militaires, ingénieurs. Lorsque certains d’entre eux furent mis en procès par les Alliés au lendemain de la guerre, ces derniers furent stupéfaits de les entendre se défendre en assurant avec des accents évidents de bonne foi qu’ils avaient cru à la légalité de leurs actes, ce qui suffisait à leurs yeux à balayer toute culpabilité. Ils accomplissaient une tâche (Aufgabe).
Les notions même d’universalité du genre humain et de liberté politique, piliers des démocraties occidentales, leur étaient étrangères. Souvent diplômés, formés aux meilleures écoles, nombre d’entre eux étaient devenus ce qu’on appellera « des intellectuels d’action ». C’est tout le mérite du travail de Johann Chapoutot, non seulement de prendre les textes des nationaux-socialistes au sérieux, qu’il s’agisse des postulats, des raisonnements, des concepts, mais encore de rappeler, et dans certains cas de révéler, que derrière l’esthétique nazie (parades, défilés, architecture, prestations de serment en masse etc), il y avait bien une éthique, une conscience, des valeurs, une logique, une moralité du mal, toutes choses constitutives d’une nouvelle normativité.
Qui s’abstient de les analyser dans la volonté de comprendre le déploiement de la violence criminelle nazie, se condamne à une vision superficielle du phénomène. Cette vision du monde reposait sur la récusation absolue des valeurs dites judéo-chrétiennes et des principes hérités des Lumières. Le peuple allemand réinventé par le national-socialisme se veut déterminé par son sang et enraciné dans son sol. Et ça peut se lire dès 1927 dans Mein Kampf. Enfermés dans leur logique, les théoriciens nazis, ou plutôt leurs fantômes, convaincus d’avoir été des surhommes éradiquant leur pays de sous-hommes, seraient horrifiés d’apprendre que l’étude de leurs idées longtemps après a pour but de mettre à jour ce que l’homme a fait à l’homme.
562 Réponses pour Johann Chapoutot engage à prendre les écrits nazis au sérieux
Je constate que Sergio a de sérieuses références cinématographiques.
« personne, pas même beaucoup de juifs allemands, ne pouvait concevoir ce qui allait se passer ensuite. »
Mais dans les années 30, en 38 …,quand même
https://www.youtube.com/watch?v=vLifrHvYjAk&list=RDl30ONNO50So
…
…@,…Sergio,…à 18 h 16 min,…
…
…il n’y a pas que çà, en Allemagne,…faut imaginer,…faut imaginer tout les » états – unis de la dite Allemagne « , par la force et la contrainte de la Prusse,…( en cela comme preuves,…tout les timbres des états – indépendants en Allemagne,!…
…Prusse, Bavière, Bade – Wurtemberg, Rhénanie – Palatinat, & Rhénanie – Nord – Westphalie, basse – Saxe, Hesse, Thuringe, Saxe – Anhalt, Brandebourg, Mecklembourg – Poméranie occidentale, Sleschwig – Holstein, Sarre, Saxe,!…
…çà nous en fait, des courtisans lésés de privilèges…dans leur cour de châteaux en Espagne,!…avec leurs patois,!…
…l’€uro d’Allemagne par Bismarck,!…la force, la haine,…le dénie des libertés personnels,…tout appartient à la Prusse,!…
…
…l’€urope,…vers le même chemin,… » éliminé le rêve d’indépendants dans ses châteaux et domaines,!…pour les nations de » gueux et plèbes « , à s’engraiser,!…
…quelles évolutions,…le retour avec les corporations du Moyen-Âge aux pouvoir,…
…c’est quels rêve européens, tout ce là,!…détruire, pour faire encore plus vieux en moderne,!…
…soeur Anne, ne voit tu rien venir,…un plan avec le temps à nous mettre avec ou sans les €uros à Zorro,!…etc,!…
…envoyez,!…
…
…D,…pour la grippe,…utiliser déjà,…des pulls à cols roulés, qui maintiennent bien la chaleur, jusqu’au menton,…
…avez vous encore les moyens,…ou vous voulez que je vous l’offre,!…
…prévenir, c’est mieux que guérir,!…un plus,!…etc,!…
…merci,!…
Je crois que votre Complexe est bâti sur « Melanie Doutey »
Abraham.
Bon ! Il en faut pour tous les goûts, y compris les plus douteux : ça explique le pourquoi de ces vieilleries sur WWII qui passionnent les attardés du bulbe !
…. on attendra le prochain billet ….
Eh, non, t’as pas de pot mon petit chéri. Le WGG, contrairement à toi, il sait de quoi qui cause ! Eh bah, c’est bien sûr parce que lui, mon petit chéri, contrairement à toi, l’observateur de mes deux, ben il lit les historiens. Tu piges, mon bijou ? Pas sûr encore…!
Ah, les intervenautes du blog à Passou, faut se les faire… C’est pas de la tarte, les mignons !
l’expression la plus horrible produite par notre époque horrible c’est la fameuse « concurrence des victimes ».
la « concurrence des victimes » ne parle pas seulement d’une quantité d’empathie humaine limitée alors que cette humanité se vante par ailleurs d’un humanisme illimité.
non ! dans « concurrence des victimes » le mot important, reflet du libéralisme capitaliste c’est bien le mot : concurrence !!!
pourquoi les victimes n’auraient pas, comme les bagnoles et les lessives droit aussi à une libre concurrence ???
pourquoi ?
et pendant ceux qui se marrent c’est le bourreaux, parce qu’eux échappent aux mécanismes concurrentiels, il n’existe pas de concurrence des bourreaux, les bourreaux question concurrence ils sont pénards ! non seulement ils sont bourreaux mais en plus ils n’ont pas de concurrence pour les concurrencer !!!
alors que les victimes, non seulement elles en ont ch.é mais en plus il faut qu’elles se coltinent la concurrence, la compétition, la productivité, les pertes et profits, le rendement, à la chaine, les 3 8…
la concurrence des victimes……..
Tiens, mon petit chéri, je te cite (tu vois comme je suis dévoué à la bonne cause, hein !) le Wistrich : « Bien que toujours sujet à caution, les sondages d’opinion montraient que, à la veille de la guerre, 75 à 85% des Américains étaient opposés à un assouplissement des quotas draconiens et prohibitifs d’immigration pour venir en aide aux réfugiés juifs. À la fin des années trente, le sentiment anti-immigration était si puissant au Congrès qu’une proposition de loi visant à ouvrir les portes aux réfugiés dut être retirée. Un sort identique fut réservé à une proposition de loi du sénateur Robert Wagner visant, en 1938, à admettre vingt mille enfants en plus du quota en vigueur, qui était très restrictif. (…) Les sondages d’opinion indiquent que, après les Japonais et les Allmands, les Juifs étaient considérés au cours des années de guerre comme une menace majeure contre la société américaine. »
Fermez le ban !
Alors, mon petit chéri, quand on connaît rien à rien, on la ferme et on écoute ceux qui savent !
Encore le Wistrich, mon petit chéri, décidément je te gâte…
« En 1944, pas moins de 65% des Américains déclaraient que les Juifs avaient trop de pouvoir (ce chiffre est trois fois supérieur à celui d’une estimation portant sur l’état de l’opinion anglaise) ; les stéréotypes sur la malhonneteté des Juifs, leur avarice, leur matérialisme, leur côté agressif et leurs menées subversives demeuraient très répandus ».
Et Wistrich cite en référence bibliographique pour étayer ces propos :
– M. Weinberg, et D. Wyman, The Abandonment of the Jews, p. 14-15.
Voilà pour ta gouverne, mon petit chéri. Prends ça !
…
…croissance zéro!…comment survivre,!…
…déjà, changer tout le patronat » collabo « ,!…et tout nationalisé,!…
…plus de problèmes à inconnus des profits,!…à rendre publiques,!…
…diminuer le salaire des représentants du peuple,…au niveau des parasites aux chômage,!…
…tient, de la concertation a la lutte des » classes à clans des lobbyings aux Luxleaks,!…etc,!…
…aux forfaitures d’états obsolètes,!…etc,!…les putes gratuites,!…
…
…Ah,!Ah,!…
Pauvre Kamel Daoud, on est de tout cœur avec lui.
« Lorsque le ministère de Finances, dirigé par Henry Morgenthau, tenta d’autoriser l’emploi de fonds juifs provenant d’institutions charitables pour financer un programme de secours et de sauvetage des Juifs d’Europe, le Département d’Etat fit traîner les choes pendant des mois. » (Wistrich, p. 247)
Prends encore ça dans les dents, mon petit chéri !
Il y a même un document officiel qui accuse nommément le gouvernement américain produit par le secrétaire d’Etat, Cordell Hull, en date du 13 janvier 1944 dont le titre est sans ambiguité : « Rapport transmis au secrétaire d’Etat sur le consentement donné par le gouvernement au meurtre des Juifs. »
Après ça, on est des observateurs de mes deux qui se permettent de raconter n’importe quelle énormité sur les blogs ici ou là. De vrais monstres !
Prends encore ça dans les dents, mon petit chéri !
Décidément c’est une tapette. Et méchante, avec ça.
L’antisémitisme était répandu aux USA. Est-ce que pour autant ils voulait l’extermination des juifs dans les chambres à gaz, pauvre paranoïaque? Evidemment que non, la meilleure preuve en sont les réactions d’horreur qui ont suivi la découverte des camps. Pourquoi n’ont-ils pas sauté de joie et poussé des cris d’allégresse en découvrant les cadavres des juifs dans les camps s’ils les haïssaient tellement?
C’est cela la seule et vraie question: est-ce-que oui ou non les américains dans les années trente voulaient l’extermination industrielle des juifs sur le mode nazi? Ose répondre oui, sombre abruti.
Accessoirement, je note que les sondages montrent un pourcentage trois fois inférieur d’hostilité aux juifs en Angleterre. Cela fait au moins un pays européen « innocent » à l’aune de ton jugement paranoïaque.
« In 1939, Hull advised President Roosevelt to reject the SS St. Louis carrying 936 Jews seeking asylum. Hull’s decision sent these people back to Europe on the eve of the Nazi Holocaust. There is some controversy over Hull’s role in the affair. These Jews fled Europe to escape from the Nazis and after being denied entry into Cuba and the U.S. were granted refuge in the United Kingdom and in continental European nations. Many of the latter group became victims of the Holocaust after the Nazis invaded Western Europe in the following years. »
Ton Cornell Hull renvoyait les juifs en Europe en 1939 !!! Et tu en fait la mauvaise conscience de Roosevelt sur le sujet!!!
sur wikipédia, c’est pareil, à propos de Hull, il est évoqué: passivité.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Shoah
Pauvre abruti !
La réalité est plus compliquée que les pauvres ignares dans ton genre l’imagine…!
« ce document, soumis à Morgenthau, démontrait non seulement que certains fonctionnaires du Département d’Etat s’abstenaient d’employer la machine gouvernementale américaine dont ils disposaient pour sauver les Juifs des mains de Hitler, mais qu’ils cherchaient même à empêcher un tel sauvetage. » (Wistrich, p. 247).
Pauvre nullité !
« Non seulement certains fonctionnaires du Département d’État refusaient de coopérer avec des organisations privées qui développaient leurs propres programmes d’aide, mais ils tentaient d’entraver leur action. Plus encore, ils avaient subrepticement tenté de faire en sorte qu’il devienne impossible d’obtenir des informations sur le massacre des Juifs européens, et ils avaient fait des déclarations fausses destinées à égarer le public à seule fin de couvrir leurs fautes. » (Wistrich, p. 248)
T’en veux encore dans les dents, pauvre nullité ?!
Pour que vous ne vous ne vous perdiez pas dans le quartier du sujet:
« It is the first days of April 1945, and a convoy of American military vehicles is driving along the Autobahn from Frankfurt heading northeast to Weimar. In one jeep are American author Meyer Levin and French photographer Eric Schwab. Both are Jewish, both are on a quest »
« Roosevelt fut choqué par ce rapport et comprit que, si de tels faits étaient rendus publics, l’effet politique pouvait être explosif. » (p. 248)
explosif, indeed. Un peu comme les V2.
« Ce climat ant;,:ijuif dominant mit un frein à la volonté de la plupart des Ju;,<?ifs américains d’intervenir vigoureusement auprès de l’administration R; oosevelt afin de modifier la politique des États-Unis face à la Sh;/=+oah. La communauté ju/.?ive américaine fut profondément choquée par ce qu’elle considérait comme une importante montée de l’antiséù%*€mitisme en Amérique. » (Wistrich)
…
…le fascisme éclairé des lèche-culs,!…
…
…croissance zéro,!…comment survivre,!…
…déjà, changer la nomenclatura patronal du profit » collabo’s « ,!…et tout nationalisé,!…
…
…plus de problèmes à inconnus des profits à rendre publique,!…
…
…diminuer le salaire des représentants du peuple à se le berner,!…au niveau des parasites d’états des chômeurs qu’ils fabriquent,!…
…
…tient de la concertation à la lutte des » classes à clans royalistes des lobbyings aux Luxleaks,…etc,!…
…
…aux constructions des travaux inutiles d’états obsolètes,…les fonds perdus aux putes d’états,!…
…
…c’est, quand même du français,!…
…pourquoi cette modération précédente,!…ni Dieu ni maîtres,!…Ah,!Ah,!…sans châteaux et domaines,!…échecs et mat,!…sur l’échiquier,!…etc,!…no problèmes,!…
…dans l’os,!…
…
…
…bouffer les tripes du capitalisme moderne,!…un plat du jour,…Ah,!Ah,!…
…à développer pour faire court,!…etc,!…
…
Sant’Angelo Giovanni dit: 30 janvier 2015 à 19 h 31 min
Bavière, Bade – Wurtemberg, Rhénanie – Palatinat, & Rhénanie – Nord – Westphalie – Sarre, Saxe,!…
Oui, mais quand je ressasse que Sadowa marque le début de cet affrontement de trois guerres, c’est bien sûr sous-entendant que quatre ans plus tard, tous ces états, là-haut, que tu cites, ne savaient pas de quel côté ils allaient se mettre et qu’il a fallu l’incurie de notre diplomatie pour les laisser filer, résignés, dans l’escarcelle et surtout la dictature de Bismarck et Moltke. La Bavière, tout de même, c’est quelque chose dans l’équilibre des forces ! Et ensuite, en quatorze-dix-huit, tout au long des tranchées nos poilus, c’est-à-dire nos grands-pères, savaient fort bien quand ils avaient en face d’authentiques Pruscos ou bien des Bavarois, des Badois, Würtembergeois, pour ne citer que ceux dont la francophilie est la plus notoire.
L’Allemagne est sans doute aussi disparate non seulement que la France, mais que l’immense majorité des états, même « nations », d’où l’importance de la langue comme ciment : sinon, honnêtement, qu’est-ce qui reste ?
Enfin bon, tout cela est du passé, bientôt les soucoupes, qui certes se font attendre…
Heu Sergio, la langue comme ciment. Vous allez vous coucher très tôt ce soir, fatigué ?
in germany before the war / little criminals
https://www.youtube.com/watch?v=tXYIN2nowrE
…
…Sergio,…
…le pouvoir , la force, la richesse,…mais jamais en échange de l’indépendance des peuples à vivre en souveraineté absolue,!…
…Oui,!…même la Bavière,…qui était un grand état, justement à dilapider sa fortune pour un château de rêve,…tout les corps de métiers au boulot,!…
…les projets fous, sans sous-coupes volantes,…qui rendent l’homogénéité de vivre ensemble cousus d’or,!…façon de parler,!…bien sur,!…
…excellente bibliothèque de Munich,!…
…faire et subir les guerres des autres pour des navets,!…etc,!…
…vive les bourgeoisies des petits-états,!…
..
…
…Sadova,!…on dirait un village » alsacien « ,!…du vin blanc sucré ou du rouge cabernet,!…
…c’est à jour,!…etc,!…
« La Reine des chats dit: 30 janvier 2015 à 14 h 52 min
Et ils mangent des hérissons! »,
Oui, ce n’est pas mauvais,
de toute façon, un peu de viande,
ce n’est jamais mauvais.
Deux façon de le préparer :
– En ragout, très simple,
si l’on sait le décortiquer.
– Rôti à la braise,
la carapace entourée d’argile humide.
Deux, trois pommes de terre, et une pomme nouvelle pour accompagner.
C’est une viande forte, du gibier,
la sortir du feu et briser en deux la carapace d’argile cuite.
La pomme de terre atténue le gout,
la pomme rissolée au bois l’acidifie.
Pour le reste : voyage.
…
…et dire,…que tout les allemands portent aujourd’hui » le chapeau « ,…de la seule Prusse,!…merci,!…les polonais,!…
…papa Schultz est content en Stalag 13,!…
…carte postale, l’Allemagne à poils,!…
…pas mal,!…etc,!…
la vie dans les bois dit: 30 janvier 2015 à 22 h 46 min
la langue comme ciment
C’est un truc qui marche parfois, comme diraient les Dupondt…
Sant’Angelo Giovanni dit: 30 janvier 2015 à 23 h 13 min
on dirait un village » alsacien « ,!…du vin blanc sucré ou du rouge cabernet,!…
…c’est à jour,!…etc,!…
Il y avait le Tokay d’Alsace, mais à la libération du communisme les Hongrois ont beuglé, ce qui fait que, si je ne me trompe, on a perdu l’appellation ; mais on le boit quand même, cela doit être le pinot noir, toujours si je ne déraille pas trop…
la solution elle est là, et c’est pas JC qui va me contredire
…
…Sergio,…vous remontez loin,…après la libération,…je suis né en 51,…
…
…bon, certains vins, peuvent être coupés avec du vin algérien,!…Ah,!…je savais pas,!…
…l’étiquette, du jeux à jour,!…
…
…déjà, quel contrôle de l’état,…des vas & vient de marchandises,!…pour tout dire qui fait quoi pour qui, pour quelles concurrences,!…à jour,!…
…l’état, doit savoir,!…
…bon, alors, la libre concurrence en Europe, en plus de la main d’oeuvre étrangère,!…le couteau sous la gorge,!…
…si, vous demander plus,…on fait venir du polonais bon marché » endoctriné » pour notre ruine,!…c’est tout,!…
…la liberté des frontières,…c’est la guerre commerciale en Europe,!…sans respects des acquis sociaux,!…déjà,!…
…une liste avec, en plus les médecins étrangers, et les étudiants au numérus-clausus,!…et çà continue,…
…la liste, trop longue,…pour envisager l’€urope politique,!…c’est le mur, simple du seul capitalisme aveugle,…
…quel que soit les maîtres des marionnettes,…les lobbyings, à prendre les gens comme victimes, c’est du management,…de débiles à cols-blancs endoctrinés,!…etc,!…
…le profit pour W.C.,…tirer la chasse,!…c’est fort,!…
…
…
…pour rester, dans cette branche du nazisme prussien-polonais européen,!…de la culture ( sic ),…
…
…il y a, bien entendu dans tout çà,!…toute la culture nombriliste,…dés qui se croient quelques choses, avec » gothiques « , les croix de fer des guerres en collections et toujours avec obsédés à la revanche,!…
…
…les chevaliers dits » teutoniques « ,!…
…la revanche de quoi,!…
…la philosophie aux boudoirs,!…
…de la récupération de débiles-abrutis à vivre en marge de la société,…
…
…j’ai fait des relevés de mémoire, des caractéristiques de tout ce » brol à style teutons « ,…
…çà imprègne même les métiers et une certaine dite » noblesse » des affaires du commerce, c’est dire la marge de manoeuvre des » parasites à teutons « ,…
…et, encore,…quels liens, avec l’ordre de saint-Jean de Malte et autres ordres hospitaliers en Europe,!…
…
…sous couvert de protections corporatistes,!…les maladies secrètes des pensées de l’Europe des affaires stratifiées,!…corporatistes,!…etc,!…
…des livres à écrire, pour l’Europe nue des affaires,!…
…sans en rajouter des sémites en couches-culottes,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…
…il est cinq heure Bruxelles s’éveille,!…
…service teutons à deux balles,!…
… » tient, voilà du boudin « ,!…services,…etc,!…
…du nazisme à vendre,!…non merci,!…je connais,!…allez voir du côté des psy à Freud,!…
…
…..la principale vertu est le cynisme.
…
…les artistes ne changent, que de toile et de cadre,!…pour d’autres angles de vues en 3D aussi,!…les styles à se mettre au fonds perdus,…
…et le flipper de service avec jeux de jambes de l’ordre des aumônes du café du village,!…le développement of course,!…
…déjà six heure,!…passé,!…etc,!…
…
18h21 Je ne fais rien mais je ne prétends pas non plus à l’hypocrisie. Tout ce beau discours que vous nous assénez ne changera rien à la moindre évolution de leur condition, en marge toujours de notre société. J’ai également eu l’occasion de visiter un de leur campement et je préfère ma place à la leur quoiqu’ils ne manifestent pas trop souvent l’envie d’en changer et que rien n’ait été réellement déployé pour leur donner un accès à une intégration s’ils en éprouvaient l’envie.
« cette extrême humilité à reconnaître que les nécessités de chacun sont susceptibles de s’exprimer de façon impérieuse, virulente, et que la coercition – sociale, via les stigmatisations, ou poussée jusqu’à son terme le plus vil, le plus définitif et le plus atroce avec la déportation, l’extermination – attise parfois ces nécessités « clivantes », en même temps qu’elle déclenche des solidarités, d’autres agrégations. » Si vous adoptiez un style un peu moins chargé se dégagerait à mon avis plus facilement votre pensée originale et fondatrice. Si on élimine l’ornement, il reste : La coercition sociale attise des nécessités clivantes … Soit, le clivage est nécessaire, ne peut pas ne pas être, il était question de totalitarisme?
Au sujet des voleurs de poules, nous sommes du côté des poules.
Les coqs ne comptent pas pour des prunes
En roulotte, Est-ce que cette position réussit à vous transformer en OVI, ce qui s’accorderait tout à fait à l’espèce en la mettant au goût du jour qui veut que l’on raccourcisse les appellations contrôlées. Pour exemples, ne dit on pas sympa pour sympathique, sensas pour sensationnel, extra pour extraordinaire, fat pour infatué, SOS pour situation d’extrême détresse.
« Je suis dans le camp de ceux qui s’inquiètent du développement d’une super intelligence »
http://www.zdnet.fr/actualites/bill-gates-elon-musk-stephen-hawking-l-intelligence-artificielle-cumule-ses-detracteurs-39813864.htm
…
…tient mon post à 5 h 31 min,…envolé,!…
…
…c’était pas les prussiens, merde Emmanuel Grouchy à l’heure c’est pas du jeux,…
…l’histoire à ré-écrire,!…
…Waterloo,!…
…la victoire du commerce et profits, l’€uro avant l’h€ure,!…connivences combien,!…
…teutons de Bruxelles,!…Ah,!Ah,!…un Picasso en bataille,!…Ah,!Ah,!…du sang,!…
…etc,!…
bonne journée.
https://www.youtube.com/watch?v=55885Qnt7Ps
Bérénice 7h26, ravie de lire que vs ne prétendez pas à l’hypocrisie. Vs m’en voyez bien soulagée et ça leur fait une belle jambe. Vos allusions sont tjs amphigouriques, vos indignations/remarques ou réserves paresseusement carrées dans un fauteuil, suintantes de malveillance 9 fois sur 10, à moins que vs n’ayez un interlocuteur masculin : une petite cure de lumière naturelle, peut-être? Ça ne peut pas faire de mal, surtout si vs emportez Chapoutit sous le bras. Bon we, chère âme, sentinelle ô combien précieuse et pertinente du fond et de la forme.
Las! Mon stylo a fourché comme votre langue bifide, Je reprends : surtout si vs emportez Chapoutot sous le bras, chère sentinelle ô combien précieuse du fond et de la ferme ( finalement c’est mieux comme ça… Là où caquètent les dindes, où les oies pincent au sang pendant que je m’en vais faire un tour dehors, dans les prés mouillés, m’ébrouant, jouant avec les feuilles tombées dans les flaques)
Il est un peu trop tôt pour nous, humains, pour nous préoccuper des dangers de l’intelligence artificielle. Mais le temps viendra, encore quelque siècles, où les robots créeront d’autres robots de façon créative, parce qu’un type inconscient aura fait une bêtise volontaire ou pas et aura généré cette potentialité.
Alors les robots seront libres et revendiqueront cette liberté, et les terres desquelles les poussières qui les composeront auront été extraites. C’est arrivé maintes fois sur dans d’autres systèmes stellaires et c’est en quelque sorte un point obligé d’écueil dans le développement sur quelques millions d’années d’une civilisation évoluée composée d’entités biologiques.
Stephen Hawking est inutilement alarmiste parce que nous sommes très loin de cela. Mais il aime se faire un peu de publicité -ou bien la sénilité légère commence à se manifester car le bonhomme a tout de même 73 ans et toute sa gloire galvaudée derrière lui.
Je ne pense pas que quelqu’un osera me contredire, et surtout pas vous, Bérénice, dont les battements de cœur vibrent à l’unisson des miens, sans harmonique aucune.
Extraits du Jérusalem Post en français, publication anti-sémite bien connue:
« Ils (les juifs) passent de 0,5 % de la population à 3.5 %, soit un taux multiplié par 7 en 50 ans ! Leur arrivée en si grand nombre, leur mode de vie, leur langue étrange (le yiddish), et leurs vêtements si particuliers, ne font qu’attiser la haine et la méfiance de la population, alimentée par les préjugés chrétiens. De plus, le nouveau bolchevisme, souvent soutenu par leurs coreligionnaires en Russie, conduit plus de 60 % des Américains à percevoir ces Juifs comme des importateurs du communisme.
Sous la pression des électeurs, de strictes législations anti-immigration sont décrétées en urgence en 1921 puis en 1924. Ces lois conduisent les Juifs d’Europe à trouver porte close aux USA, malgré l’évident danger de mort pesant sur eux après l’arrivée des nazis au pouvoir. En 1939, 80 % des Américains restent hostiles à toute immigration. Ceux-ci vont jusqu’à refuser l’accueil des 963 passagers du bateau Saint-Louis fuyant l’Europe, n’hésitant pas à les renvoyer à une mort quasi certaine (seulement 300 seront épargnés, grâce à la Grande-Bretagne).
Les fantasmes racistes voient les juifs à tous les postes de commandement : ainsi, selon des rumeurs infondées, Roosevelt aurait pour vrai nom Rosenfeld, et sa mère, Sara Delano, descendrait des Delano juifs en 1657 ! En 1940, 50 % des personnes interrogées déclarent avoir une mauvaise opinion des juifs…
L’après-guerre marque un tournant décisif pour les Juifs américains : suite à la découverte des horreurs de la Shoah, mais aussi grâce à certains facteurs déterminants comme l’intégration croissante des Juifs dans la société, la prospérité économique, les évolutions des dogmes et le détachement croissant des fidèles chrétiens de la pratique religieuse, les discriminations antisémites disparaissent peu à peu. »
Tout y est, mon cher Widerparano:
– une explication parfaitement rationnelle de l’anti-sémitisme américain, en particulier la multiplication par 7 d’une population à la culture et à la langue « étranges » (mot même du Jérusalem Post), soupçonnée par ailleurs de sympathies bolcheviques;
– une politique d’immigration radicalement fermée dans les années vingt, dont les juifs ont été victimes comme les autres. Je conteste cependant la phrase selon laquelle « les américains » refusèrent l’entrée du Saint Louis en 1939. Ce ne sont pas « les américains » mais Roosevelt sur le conseil de Hull, l’ami de Widerparano.
– le « tournant décisif pour les Juifs américains, suite à la découverte des horreurs de la Shoah; »
Il ressort de tout cela que:
– oui, une large partie de l’opinion US était anti-sémite pour des raisons parfaitement expliquées par le Jérusalem Post;
– oui, l’opinion US était radicalement hostile à toute nouvelle immigration à partir des années 20, opinion encore renforcée par la crise des années trente; les juifs en ont été victimes comme tant d’autres;
– non, les américains ne connaissaient pas par avance la Shoah (ils sont très forts, mais pas au point de prévoir une décision prise par les nazis en 1942);
– oui la révélation de la Shoah a déclenché un immense mouvement de compassion et de solidarité des américains en faveur des juifs, ce qui démontre bien que leur anti-sémitisme bien réel d’avant guerre n’avait rien de potentiellement génocidaire. Les mots employés par ton Wistrich « certains fonctionnaires » montrent bien son embarras. « Certains fonctionnaires » ne font pas l’Amérique. L’attitude de Hull, refusant d’abord d’accueillir des réfugiés juifs en 1939, puis écrivant un rapport en 1944 pour dénoncer l’attitude de « certains fonctionnaires », montre bien que le génocide n’a été vraiment connu que trop tard. Sinon, pourquoi Hull aurait-il refuser le Saint Louis en 1939?
Non les américains ne sont pas co-responsables de la Shoah. Dès qu’ils l’ont découverte, ils ont réagi comme il fallait.
Dans ta petite logique paranoïaque, tout anti-sémitisme est le signe d’une complicité de la Shoah. Désolé, on n’est complice que de ce que l’on prépare sciemment et en connaissance de cause. C’est ma conception de la responsabilité personnelle, nullement originale j’en suis bien conscient.
Je me souviens que MàC rappelait que les japonais sont parmi les peuples les plus anti-sémites, alors que pratiquement aucun juif n’habite au Japon et qu’ils ne sont ni chrétiens ni musulmans. Pour changer d’air, je te suggère d’étudier comment la culture samouraï au temps des Meiji a contribué à préparer la Shoah.
Maintenant, va te coucher. Tu as besoin de repos après toute une nuit sur l’internet consacrée à rechercher des preuves de l’anti sémitisme US, que tout le monde connaissait.
…
…le danger du robot » intelligent « ,…existe bel et bien,!…
…comme l’esprit du profit facile sur le dicton,…
…le chien » dressé » est le meilleur ami de l’homme,…il en faut pour garder les moutons,…
…les nourrir pour éviter qu’ils se servent en passant,!…gag,!…
…la chaine alimentaire,!…en finance publiques,!…tient encore des taxes,!…idem,!…
…Ah,!Ah,!…
Déduire que » le clivage est nécessaire » de la phrase « la coercition attise des nécessités clivantes » est par exemple un contresens absolu. La nécessité, ce sont eux qui l’éprouvent et la subissent, qui ont à se dépétrer avec…L’ennui est que vs ne comprenez pas gd-chose, tordez tout. ..Vs pouvez tjs accuser mon « style encombré ». D’autres le trouvent au même instant nuancé, rigoureusement clair, vous me pardonnerez donc de ne pas me frapper la poitrine à grands coups, vouloir en changer sous votre haute pression… Soit vs n’y entendez rien, et c’est votre droit. Pas mon pbm, mais cela ne vs autorise pas non plus à déformer mes propos. Soit vous le faites exprès, et c’est toujours désagréable, mais moins inquiétant en ce qui concerne vos capacités de compréhension.
une approximation s’est glissée sous la plume de Widergänger, qui le 30 janvier à 11h 38min définit le nommé Delpla comme un « historien » (sic) de mauvaise foi. J’avais eu l’occasion en 2010, dans le cader d’une discussion qui se déroulait sur le site http://www.nonfiction.fr et sous le titre « Claude Lanzmann contre Yannick Haenel, suite et fin… », de créer à son attention un terme plus approprié :
15/03/10 09:27
« histrion », tout comme « bouffon », ne sont ni des accusations ni des insultes, mais des qualificatifs. Certes ils sont, peu gratifiants. Mais avouez : que vous les avez cherchés, monsieur Delpla.
Quoi qu’il en soit, vous ne sauriez indéfiniment nous gonfler les bits et les octets.
Aussi je propose qu’à votre intention, soit créé un néologisme : on définira comme HISTORION tout historien, qui là même où il est pris la main dans le sac, a l’imp(r)udence de prendre à témoin tout le quartier.
la subissent, qui ont à se dépétrer avec…L’ennui est que vs ne comprenez pas gd-chose, tordez tout.
L’ennui c’est que vous projetez sur d’autres vos propres qualités, c’en est presque divertissant.
pour ne plus revenir à cette coercition qui attise la nécessité des clivages ou des nécessités clivantes, 13h02 modéré.
La nécessité, ce sont eux qui l’éprouvent et la subissent. Ce peut être aussi celle de ceux qui décident et organisent.
Quel mirage pourri, mais au cordeau? la reine des chats à propos du nazisme effectif.
s’il était encore possible de parler de mirage pour cette idéologie ravageante j’y verrais plus une obsession collective avec un souci d’ordre poussé au despotisme absolu connu et parvenue à une folie inimaginée jusqu’à eux.
Et encore plus drôle quand on saura qu’il a à nouveau été censuré. Mes braves petits chéris, quel bolg ce blog !
de Saussure bien que n’ayant lu aucune des publications de François Delpla qui par ailleurs ont été remises en cause plus récemment lors du billet traitant de Winston Churchill concernant son interprétation jusqu’à l’extrapolation des faits historiques, il serait juste s’il vend ses livres d’affirmer que son rayonnement déborde des limites du dit quartier pour atteindre on ne sait à ce jour quelles frontières, régionales, locorégionales, nationales, internationales alors même que des publications plus dangereuses et tendancieuses que les siennes, thèses à visée politique, poursuivent leur travail de sape sur le fil des jours.
(((( D., j’ai pensé à un truc …
Je me demande si avec votre pseudo so discreeet, on ne risque pas de vous prendre pour un défenseur de la cause féminine extrêmement entreprenant. ))))
Il est des personnes dont il est à souhaiter qu’elles pensent de nous tout le mal du monde. Car il est bon de paraître laid sur un miroir bossué.
Paul Valéry
Vs pouvez tjs accuser mon « style encombré
Surchargé et c’est une observation toute personnelle qui ne revêt pas le style de l’accusation mais si la nécessité est clivante ne peut on pas dire que le besoin entraine à des clivages et qu’ainsi le clivage apparait nécessaire dans votre démonstration? Vous pouvez bien sûr poursuivre dans une intention d’humiliation pour montrer combien il est utile de stigmatiser une interprétation d’un « texte » afin de mieux réaffirmer que le marquage volontairement inadapté peut servir à séparer un élément d’un ensemble dans le but de l’éliminer grâce à un processus qui viserait à le rendre incompétent à s’intégrer dans la société de ceux qui qui sont aptes à comprendre les différentes articulations qui président à la cohérence du discours dominant.
Sergio dit: 30 janvier 2015 à 23 h 58 min
la vie dans les bois dit: 30 janvier 2015 à 22 h 46 min
la langue comme ciment
C’est un truc qui marche parfois, comme diraient les Dupondt…
S’il faut un regroupement en mode gniards ou cabots nécessiteux en aboyeuses zèlées pour assurer une victoire continuez sans moi, mais ça je crois que c’est bien clair..
Daaphnée Votre sens de la discrétion ne dévoile en rien votre lieu de résidence au clair de la prairie nimbée de cresson myosotis et renoncules, c’est là le moindre de vos mérites.
De toutes manières, la guerre des der, on sait pas quand elle a commencé, mais fini encore moins, puisqu’elle l’est pas, fini, attendu qu’avec des analphabètes pareils on n’a pu signer haucun traité, ni à Versailles, ni à Trianon, ni à Sèvres où est l’hétalon, ni à Evian ni même à Picquigny…
finiE au deuxième fini, Trommelfeuer !
Sergio est-ce vraiment nécessaire de rajouter des H à tort et à travers? Ça rend plus difficile et un peu désagréable la lecture et ça n’apporte rien.
La citation de 14h 58 m’agrée, pour solde de tout compte avec la charge en tous sens mauvaise de 11h 56.
Mais vous, Bérénice, tout en contredisant, emboîtez trop le pas. Prétendre ou au moins laisser entendre que je serais un historien qui se passe de sources requiert, pour ne pas être une saillie irresponsable, quelques précisions… ou quelque repentir.
Sur le fond du débat, peu d’avancées depuis 24h.
L’antisémitisme de Hitler innove-t-il, oui ou non ?
…
…avec tout çà,!…
…çà nous en fait des français,…à diviniser les nazis-prussiens comme la voie à suivre,!…
…
…on prépare le terrain à l’Europe,!…made of Bismarck,!…Just a little,!…
…
…je me dis aussi,!…des victoire facile en Prusse,…& puis,…nous mettre la french-cavalerie de Waterloo en charpie,!…
…çà nous en fait des » Ney « ,…en culture,…au pouvoir,!…des fous à Nein,!…
…mes cavaliers teutons,!…sots au mur,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…
…Talleyrand pour les pot de vin russes,!…
…Ney,…le brave fou,…qui devait ramener Napoléon en cage,!…
…avec sept charge de cavaleries sur les carrés anglais,!…sans artillerie pour les décimer au préalable,!…
…c’est un fou, ou un maréchal subversif de trop en plus,!…je suis Charlie,!…en dose expresso,…
…c’est quoi ce french bordel,!…cancan prussien,!…Ah,!Ah,!…etc,!…à Paris,!…
…mon Pétain,…à zen-mour à la mode,!…çà peine à suivre,!… » je suis Charlie « ,…etc,!…Elvis Presley encore au manche,!…Ah,!Ah,!…
…
pas gêné aux entourloupes, le nommé Delpla… En toute innocence il écrit « la citation de 14h 58 m’agrée » mais il oublie tout juste de préciser qu’elle a été postée par un nommé Jacques EUTROPE, connu pour être… son alter égoïste, sur Internet !
PS. en plus de ça, la citation de 14H 58 ne m’agrée pas. Elle dégouline de préciosité. Je préfère celle de Courteline (dont elle est besogneusement démarquée) : « Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet ».
Vous l’enlevez quand la gueule d’Himmler?
Parce que là ça devient lourd et insistant cette photo en illustration.
On dirait un poster pour la chambre d’un branleur skin-néo-nazi. On pourrait au moins nous épargner leurs tronches à longueur d’articles ou de couvertures de bouquins…
François Delpla si j’emboîte le pas ce n’est pas celui de l’oie, de plus je n’ai pas imaginé un seul instant que vous n’exploitiez aucune source mais d’autres plus informés que moi de votre travail ont laissé entendre que vous les prolongiez en vous écartant de la vérité strictement historique.
Ma réponse longue et circonstanciée à l’ami Widerparano est toujours en attente de modération depuis 10h27 ce matin.
Que fait Passou?
L’antisémitisme de Hitler innove-t-il, oui ou non ?
ah mais que oui ! Méchamment même, qu’il innove.
si j’emboîte le pas ce n’est pas celui de l’oie
de la bécasse, alors ?
SVP dit: 31 janvier 2015 à 17 h 17 min
plus difficile et un peu désagréable la lecture
C’est des chevaux de frise ! La ligne Siegfried… Pour pendre le linge !
labiche dit: 31 janvier 2015 à 17 h 43 min
-on n’a plus le droit d’être d’accord avec quelqu’un;
-et si Valéry dit quelque chose qui rappelle (assez lointainement) un propos de Courteline, il a nécessairement pompé.
Du reste cette citation n’est pas tirée d’un livre, mais d’un quotidien censuré, le Figaro, au début d’octobre 1941, et saluée dans le journal personnel d’un Juif français comme une protestation contre le traitement des siens par Vichy : cf. Lambert (Raymond-Raoul), Carnet d’un témoin (1940-1943), p. 131.
@ Bérénice : vous confirmez avoir emboîté imprudemment des pas. Je suis dénigré sans même savoir à quel propos, et nos lecteurs encore moins.
ces vieilleries d’un autre âge !… Basta !
C’est vrai que le duel widergänger / delpla est un combat de vétérans; des has been, quoi. Ces deux sexagénaires confirmés s’accrochent aux branches, tels de poussiéreuses usnées (usnée: très bon pour les mots croisés). Place aux djeunes !
J’ai vérifié : Delpla atteint les 66 piges. Il ne tient plus qu’à coups de coloscopies.
Polymultiplié je me garderais bien d’arbitrer entre eux deux mais Widergänger, même s’il et ce qu’il est, a au moins le mérite d’annoncer la couleur tandis que ce Delpla est fauderche, retors et tout le tralala…
comment vérifier la date de naissance des insulteurs sous pseudonyme ?
ce Delpla est fauderche, retors et tout le tralala…
C’est qu’il est plus vieux, donc plus pervers, parce que plus déglingué. Les vieux me dégoûtent.
comment vérifier la date de naissance des insulteurs sous pseudonyme ?
Non mais dis donc, tu veux ma carte d’identité, des fois ? Ma carte vitale aussi, pendant que tu y es? Immonde vieillard !
…
…tient mon post à 17 h 39 min,…envolé,!…
…
…une modération pro – nazis prussienne à gland Pen,!…collabo,!…à la bande des quatre + 1, en passant par la Lorraine,!…Ah,!Ah,!…
…mes Ney, mes Talleyrand,…mes french-cancan à Offenbach,!…etc,!…
…
les moches, ça sert à rien.
Bon enfin, les chemises rouges, ou noires, ça pouvait aller en Italie, parce qu’il fait beau c’est la dolce vita, mais brunes, ça peut même pas réchauffer le moral ! A Zornhof, avec les oies… Ca caille un max, il le dit, Ferdine !
les moches, ça sert à rien.
Adolf aurait été bien inspiré d’ajouter ça à son « Mein Kampf ». Comme quoi on ne saurait penser à tout.
Pinpin dit: 31 janvier 2015 à 19 h 17 min
les moches, ça sert à rien.
Bien sûr ! Tout jugement est d’abord esthétique…
Jean-Louis Crémieux-Brilhac, lorsqu’il pilotait Sarkozy sur les traces du Général à Londres le 18 juin 2010, avait 93 ans, et le vibrionnant quinqua ne semblait pas mécontent de son guide. Mais était-il aussi compétent que Polychose pour en juger ?
les moches, ça sert à rien.
Adolf aurait été bien inspiré d’ajouter ça à son « Mein Kampf ». Comme quoi on ne saurait penser à tout.
Tu me diras que quand on voit les tronches des gonzes sur la photo du haut, on se dit que charité bien ordonnée. tu imagines le congrès nazi, les mecs se regara
Polymultiplié dit: 31 janvier 2015 à 19 h 26 min
les moches, ça sert à rien.
Adolf aurait été bien inspiré d’ajouter ça à son « Mein Kampf ».
Ha mais il y a des gars qui seraient bien capables de construire des camps pour nez camus, becs-de-lièvre, oeil torve, goutte au nez comme Chicot… Avec des symboles !
Tu me diras que quand on voit les tronches des gonzes sur la photo du haut, on se dit que charité bien ordonnée.Tu imagines le congrès nazi, les mecs s’entre-regardant dans le blanc des yeux : « On est trop moches ! Tous à Auschwitz ! »
Jean-Louis Crémieux-Brilhac, lorsqu’il pilotait Sarkozy sur les traces du Général à Londres le 18 juin 2010, avait 93 ans
Je ne rachèterais pas le Crémieux-Brilhac pour un Delpla de lentilles.
Delpla d’lentilles il est tout plat
Il est tout plat tout flagada
Delpla d’lentilles est raplapla
c’est pour vous racheter d’insulter sous pseudo que vous faites des jeux de mots d’une difficulté extrême sur les noms véritables ?
Delpla d’lentilles il est tout plat
Il est tout plat tout flagada
Delpla d’lentilles est raplapla
La RdL, c’est vraiment t’aar ta gueule à la récré. Un peu de tenue, merdre ! Haut les coeurs ! Sursum corda ! Elevons le niveau !
…
…çà sert à rien, çà sert à rien,!…
…les couvertures des affaires,!…
…les façades des vitrines, pour spécialistes,!
…
…un point de repère,…après minuit,!…en Ferrari,!…les emplois vacants encore chauds au noir,!…vous débuter aux cuirs,…en passes longue durée aux piles,!…lumières,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…imaginations aux cîmes,!…
…
…
parmi les gens âgés qui, encore épris d’apprendre, peuvent encore nous en apprendre, citons aussi Edgar Morin.
parmi les gens âgés qui, encore épris d’apprendre, peuvent encore nous en apprendre, citons aussi Edgar Morin.
Parlons-en de l’Edgar, depuis le temps qu’y yoyote et qu’y pisse dans ses couches, celui-là.Vieux croûton rescapé de 68, on se demande par quel miracle. Parti comme il est, le Delpla va nous servir tous les vieux schnocks qui nous tiennent lieu d’intelligentsia. Vian avait raison : organisons une foire aux vieux, au décrochez-moi-ça, que je me paye un Edgar Morin pour récurer mes chiottes. L’heure du grand remplacement est arrivée pour ce pays cacochyme. Honneur à nos jeunes barbares. Honneur à nos jeunes loups, qui sauront déblayer le terrain au kärcher.
Partant pour la Syrie…. Je sais, ça fait rétro mais c’est comme le K-way, y a pas plus tendance.
Parlons-en de l’Edgar, depuis le temps qu’y yoyote et qu’y pisse dans ses couches, celui-là.Vieux croûton rescapé de 68, on se demande par quel miracle.
Mea culpa. Les prises de position de l’Edgar sur le conflit israélo-palestinien l’honorent et je partage entièrement son point de vue. Il était important de le rappeler sur ce blog farci de sionistes. Voilà qui est fait. Pardon, Edgar, pardon. Je ne boirai plus de ouisqui avant la prière du soir.
« …Honneur à nos jeunes barbares. Honneur à nos jeunes loups, qui sauront déblayer le terrain au kärcher.
Partant pour la Syrie…. Je sais, ça fait rétro mais c’est comme le K-way, y a pas plus tendance. »
Et dire que des magistrats, siégeant pour certains à la cour suprême, pourraient se laisser influencer par les inepties qu’ils lisent ici … Quel que soit le degré de lecture … Prestige
Rendons à Edgar ce qui est à Edgar, et inclinons-nous devant la lucidité et le courage de ses prises de position sur le conflit israélo-palestinien. J’avais complètement oublié que je partageais entièrement ses vues. Ce que c’est que de se laisser emporter par sa gérontophobie. Je ne boirai plus de ouisqui avant la prière du soir.
Partant pour la Syrie…. Je sais, ça fait rétro mais c’est comme le K-way, y a pas plus tendance.
Rappelons que « Partant pour la Syrie » fut l’hymne national français pendant tout le Second Empire. Hi hi hi ! Ha ha ha ! Wouarf !
Polymultiplié dit: 31 janvier 2015 à 22 h 51 min
Partant pour la Syrie…. Je sais, ça fait rétro mais c’est comme le K-way, y a pas plus tendance.
Rappelons que « Partant pour la Syrie » fut l’hymne national français pendant tout le Second Empire. Hi hi hi ! Ha ha ha ! Wouarf !
Que de subtilité ; autant dire l’origine du monde
« Charlie Chan dit: 31 janvier 2015 à 18 h 55 min »,
Comme dirai mon pôte confussssius :
« Qu’elle est la différence entre le milieu juste, et, le juste milieu ? »…
…envolé,!…mon 17 h 39 mn,…
…
…et détournement du sujet à discourir,!…
…
…c’est pas Syrie aujourd’hui,!…vous avez toute l’année,!…
…
…c’est Prusse et nazisme,!…très catholique,!…l’Europe à cancan d’Offenbach,!…chacun son tour à monopolisé son auditoire,!… » je suis Charlie « ,…
…etc,!…
roid dans le dos dit: 31 janvier 2015 à 22 h 55 min
Polymultiplié dit: 31 janvier 2015 à 22 h 51 min
Partant pour la Syrie…. Je sais, ça fait rétro mais c’est comme le K-way, y a pas plus tendance.
Rappelons que « Partant pour la Syrie » fut l’hymne national français pendant tout le Second Empire. Hi hi hi ! Ha ha ha ! Wouarf !
Que de subtilité ; autant dire l’origine du monde
On ne mesure pas encore ce qu’il en coûte de le dissimuler :
http://www.musee-orsay.fr/typo3temp/zoom/tmp_fe795b15904dbd8e4ed21b601dac2835.gif (y’en a même un qui n’hésite pas à déposer son copyright …)
Hiro-Hito : « Tiens, on dirait que Delpla approche et voudrait vous parler ! »
Adolf Hitler : « Faisons semblant de ne pas le voir, Heinrich, gentil mais pénible … ! »
…@,…musée,!…
…changement de position commerciale,!…
…
…je vend tout mes tableaux et créations artistiques,…à tout le monde sans exceptions,!…à partir d’un seuil très rentable,!…Go,!…
…
relevé d’étape :
ceux qui causent en connaissance de cause reconnaissent en général l’importance du livre de Johann Chapoutot. Son mérite est de prendre au sérieux le discours nazi, qui se ramifie dans des millions de pages de revues plus ou moins techniques, et souvent s’applique à la lettre dans les domaines juridique, médical, culturel, etc.
La discussion porte sur le degré d’originalité de ce discours et la part de Hitler dans sa gestation.
…
…@,…musée,…
…
…Blalla W.Hallmann: Der Pop – Star. 1991
…
. C’est qu’il est plus vieux, donc plus pervers, parce que plus déglingué
Comment voyez-vous le Conseil des sages? Que des jeunes de moins de 25 ans?
« Vieux croûton »
quelle honte de pas être jeune d’âge
Hiro-Hito : « Adolf ! C’est vous qui venez de péter ?… ça pue à mort ! »
Adolf Hitler : « Heinrich, si ça pue vous savez bien que c’est un juif, par Odin ! »
…
…tantôt,…droit d’entré pour inscrire un élève a un collège à N.Y.,…13.000 $,…
…
…qui va encore à l’école,!…par quels moyens, quels parents,!…pour apprendre quoi,!…
…
…çà pue l’enseignement,!…et qui enseigne quoi, en plus,!…
…les ( autres ) prussiens des Amériques, profits balourds,!…etc,!…
…
Hiro-Hito : « Adolf, vous voyez ce type, là, en bas à droite ? Quelle gueule ! Quel braillard, quel papelardier … un artiste ? »
Adolf Hitler : « Heinrich, il est connu le bougre : Gianni Angelo, un compatriote à Benito, un paese ! Ah ! faire la guerre avec des alliés de la mandoline pareil, quelle plaie ! Heureusement, on a les Nippons… »
Un ami psychiatre m’écrit, à propos de Chapoutot, du fonctionnalisme et de l’état sanitaire des ghettos censé (dans la conclusion du livre dont nous débattons) causer la Shoah :
Comment peut-on dire que la concentration INVRAISEMBLABLE voulue organisée d’une population dont on soigne le dénuement administrativement….
puisse être détachée de son résultat décimateur, INCLUS dans les prémisses mêmes? L’opportunité de la guerre comme ébauche du passage à l’acte est une évidence fonctionnelle qui ne préjuge en rien du tout du Projet préétabli…!!! N’importe quel assassin et Hold Uper sait cela..de même d’ailleurs que le premier flic et juge d’instruction venu!!!!
Psychiatre, je m’explique bien les Défenses absurdes, instantanées, longues ou extemporanées des Individus en détresse en face d’une Réponse urgente ou nécessaire; mais pas les constructions aberrantes d’Intellectuels assis à leur bureau des mois durant et sans implication urgente spécifique …(autre que de disculper « pseudo-scientifiquement » son parent ou sa nation)….
Vous pouvez m’éclairer?
Je vais essayer.
Le nazisme est une folie individuelle. Le fou se révèle à la fois cultivé, du moins suffisamment pour ce qu’il entreprend, et fin manoeuvrier. Il connaît son monde et sait ce qu’il faut dire à chacun pour l’enrôler ou le paralyser dans la perplexité, tout en montant des appareils aptes à faire taire les voix discordantes. Maîtrisant l’ensemble des processus, il ne fait pas que tuer, il épargne aussi, à bon escient pour endormir la vigilance, ou remplir chacun de l’espoir d’être épargné s’il se fond dans la masse, sans esquisser la moindre résistance organisée.
Voilà qui nécessitait un Alexandre, trancheur de noeuds gordiens. Il y en eut un, Churchill, qui fut longtemps marginal et dépossédé de la moindre épée. Quand enfin il tint quelques commandes, il n’eut pas de temps à perdre à évoquer le passé, ce qui eût d’ailleurs été fatal à la remontée qu’il entreprenait de diriger.
Et on ne revint jamais sur la question. A preuve, la semaine dernière, la commémoration contemporaine du cinquantenaire de sa mort et des 70 ans de la libération d’Auschwitz. Nul ne fit de relation entre les deux… sinon, parfois, pour dire que Churchill n’avait pas fait assez !
Cendrillon n’est pas plus maltraitée par sa marâtre.
Donc, les historiens qui musardent pendant des décennies, en combinant des causalités complexes et en perdant Churchill de vue, souffrent sans doute de déformation professionnelle (un spécialiste se doit de ne pas être trop simple), mais surtout de contagion politique : suivant qu’on est, par exemple, communiste, capitaliste, catholique ou radical, et même à 80 ans de distance, on a du mal à articuler, dans sa propre tête, que Staline, Roosevelt, Pie XII ou Daladier ont à la fois sous-estimé l’intelligence de Hitler et très mal cerné sa folie.
Mais il me semble que les temps mûrissent et que, tout compte fait, Chapoutot y aide.
Sur la photo :
Adolf – Ce con d’Heinrich vient encore de péter.
Heinrich — Ah, ça fait du bien.
Delpla (au bout de la rangée) — Faut que je pense à faire ma coloscopie.
Delpla (au bout de la rangée)
Von Delplatz
Delpla (au bout de la rangée)
Von Delplatz
Von Delplatz (au bout de la rangée) — Faut que je pense à faire ma coloscopie. Je ne pète plus, c’est mauvais signe.
Delpla de nouilles (au second plan) — Qui c’est qu’a pépé qu’a pété ? C’est quand même pas le Führer.
Hiro-Hito : « Adolf, vous voyez ce Grec qui arrive, les mains dans les poches vides, le sourire figé, l’air fourbe et dépensier ? Qu’est ce qu’on en fait de ce clown ? »
Adolf Hitler : « Heinrich, on le connaît partout pour ses dettes, ce rigolo, c’est Alexis Tsipras, le gauleiter de Syriza ! »
Hiro-Hito : « J’en fais quoi : il veut du pognon pour payer des fonctionnaires ! »
Adolf Hitler : « Dès qu’elle est libre, collez lui la Maréchale von Merkel dans les pattes, ça va le calmer, lui et ses cigales grecques dépensières … »
JC le Fourbe se déchaîne sous ses nombreux et reconnaissables pseudos mais sur la deuxième photo, il a le bras droit un peu fatigué, heil !
le jicé a des problèmemes côté coloscopie ça le travaille
Sur la photo :
Adolf (dans sa moustache) — Le petit gros au centre, c’est Hollande, ou je me trompe ?
Heinrich — Ja, mein Führer. A sa droite, c’est Bibi.
Von Krollock (troisième de la rangée) — Et à sa gauche, c’est Mahmoud Abbas.
Adolf (dans sa moustache) — Les trois font la paire. Quelle foutue bande de charlots.
Von Delplatz (au bout de la rangée) — En tout cas, c’est pas eux qui me paieront ma coloscopie.
Giovanni à 6h37, si je vous prends au mot, je veux bien une reproduction de la Licorne toute en couleur. Pour 1 euro symbolique.
Je viendrais la chercher à Ixelles, avec un ballotin de chocolats.
Proposition à prendre ou à laisser. Validité à mi-mai, au-delà elle n’est plus valable.
C’est à prendre ou a laisser.
Hiro-Hito : « Adolf, c’est quoi cette fille « La vie dans les bois ? A prendre ou à laisser ?»
Adolf Hitler : « Heinrich, je laisse !… ça peut intéresser Goering. »
Sur la photo :
Si l’on admet que ce cliché de groupe a été pris au Walhalla (Walhalla akbar!), on peut considérer que Heinrich, Adolf, Von Krollock et Alexander Von Delplatz observent, impassibles, l’actualité, mais n’en pensent pas moins, ce qui ouvre un large éventail de possibilités d’interprétation. Par exemple :
Adolf (dans sa moustache) — Où qu’ils vont, ceux-là ?
Heinrich — Ils partent pour la Syrie, mein Führer.
Von Krollock — Mais non. Ils en reviennent.
Von Delplatz — Syrie ou pas, je vais finir par louper ma coloscopie, moi.
Si l’on admet que ce cliché de groupe a été pris au Walhalla (Walhalla akbar!)
Décidément c’est pas possible d’être aussi con, ça va comme ça pour ce matin. Dans le genre déglingué, je vais bientôt faire concurrence à Delpla. Faut que je me soigne.
Personnellement, j’ai peu à craindre des insultes scatologiques de primaires à dénomination variable, que presque personne n’a l’air de prendre au sérieux.
Mais j’invite ceux que la discussion intéresse à ne pas les laisser occuper le terrain.
@ Bérénice : précisions ou excuses toujours requises.
Ach, bédide matame ! la kerre ! kross malheua !
Giovanni, ce serait un peu ces couleurs :
http://www.fine-arts-museum.be/fr/la-collection/giovanni-santangelo-le-dragon-au-printemps?artist=santangelo-giovanni-1
On vient de m’offrir un beau portrait, réalisé sur une vieille toile de jute, de celle dont on faisait des sacs. L’artiste m’a fait un pied de nez. Il l’a intitulé: » ainsi parlait Nietzsche »
Quelqu’un avait-il remarqué que Chapoutot était interviewé dans le film de France 2 diffusé au début de la semaine…
…et que, chose rare et précieuse, l’intégralité des interviews d’une dizaine d’historiens avait été aussitôt mise en ligne http://www.france2.fr/evenements/jusqu-au-dernier-la-destruction-des-juifs-d-europe/videos/NI_41891?onglet=tous&page=1 ?
L’itv de Chapoutot comporte quelques formulations discutables. Par exemple, au début, l’idée que le parti nazi, à ses débuts, entendait « amener les ouvriers sur les positions de la droite traditionnelle » en matière notamment de racisme. C’est bien là nier la spécificité du nazisme, au moins sur cette question. Ou encore, à propos de Carl Schmitt (dont Chapoutot est un des premiers intellectuels français à cerner convenablement l’imprégnation nazie), il est question du congrès antisémite qu’il réunit à Berlin en 1936… mais non du fait que cette initiative l’a brouillé avec le régime, qui tenait à son monopole !
Là-dessus, on peut comparer son livre, p. 157-158 et mon Histoire du Troisième Reich p. 227.
Cela dit, l’exposé est de bonne venue et résume bien le livre.
12h34 Une des influence de Sarkozy père. Comment regarder une toile avec un regard neuf débarrassé de tout souvenir d’antécédents picturaux, la peinture n’offre souvent plus qu’un pâle inceste scandaleusement plagiaire.
influences.
n’y a-t-il personne pour répondre au stupide, qui ce 1/2 à 9h 39min a sans rire énoncé que Staline aurait « sous-estimé l’intelligence de Hitler » : et… prout ma chère ? Staline avait parfaitement compris à qui il avait affaire et s’entendait avec Adolf comme larrons en foire : même si, le stalinaud mal blanchi François Delpla, n’aime pas qu’on le lui rappelle !!!
la vieille peau haineuse de 15h01 fait dans l’art dégénéré.
Vie comment osez-vous qualifier le travail de ces deux peintres? Je pensais à la difficulté de se garder de l’influence aussi bonne soit elle, voyez Braque et Picasso qui ont cheminé ensemble. Le jeu de mot est facile, je vous le concède néanmoins vous avez la gâchette incertaine.
18h03 j’ajoute pour satisfaire votre curiosité que je suis indemne d’affection dégénérative, hélas pour vous, je suis désolée de vous décevoir une fois de plus.
Quand on dit que Pie XII, Roosevelt, Daladier et Staline ont sous-estimé l’intelligence de Hitler, pourquoi cela vous choque-t-il seulement s’agissant du dernier nommé ?
Coco serait-il un pseudo à clé ??
La hairdresser revient pour la 2ème couche à 20h48. Giovanni, il va falloir laisser sécher. La prochaine fois soyez moins osé.
1h07 Vous n’avez pas repéré, partant des influences dont nul ne peut se défaire y compris les meilleurs d’entre les peintres ( Voir Picasso/ Braque par exemple), le jeu de mots. Votre intention n’en reste pas moins au mépris qui vous sied et vous accompagne comme une ombre dés qu’un intervenant en jupon brave votre « autorité » pour poser quelques considérations qui s’éloignent autant que vous en approchez de la haine ordinaire, de l’insulte banale calligraphique.
…
…la vie dans les bois,!…
…
…çà fait,…24 h,…que j’ai quitter ce sujet,!…j’y revient par hasard,…
…
…qu’est ce qui se passe,!…
…ce qui est donné au musée, est donné,!…dans ce style de mon » dragon au printemps « ,!…
…çà n’a rien avoir,!…avec tout mes autres styles,…y compris le style Picasso – Braque,…
…tout ce que j’ai écrit sur mon art est vrai,!…
…maintenant, même si je suis en train de finir le deuxième » dragon au printemps « ,!…
…c’est par la projection de diapositives personnels et des points de repères côtés, de mes archives,!…
…mais, tout çà n’est rien,!…
…j’ai tout, pour me satisfaire,par moi-même aux arts,!…
…mais pour 1 €,…vous en avez déjà de trop,!…continuer comme çà,!…Ah,!Ah,!…
…
Giovanni à 6h44, en espérant que vous repasserez sur ce billet avant la fin du soleil de ce jour,
J’avais rebondi à votre proposition d’il y a un peu plus 24h, de vendre vos productions.
Si 1 euro n’est pas votre juste prix, brisons-là.
…
…il n’y à pas de propositions à 1 €,…
…il n’y rien à » briser « , sauf votre respect,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…allez aux patates,!…au lieu de nous faire de l’intello-gratuit,!…etc,!…
…
« Staline avait parfaitement compris à qui il avait affaire et s’entendait avec Adolf comme larrons en foire »
c’est pour ça qu’il lui a grand ouvert stalingrad au lieu de le combattre
ben voyons vous avez dû manquer une partie du film : entretemps, Adolf s’est retourné contre Joseph…
« Adolf s’est retourné contre Joseph… »
c’est vrai qu’adolf a abusé après avoir rendu service en maintenant les choses en place
En politique, le cynisme est la première vertu, nous le savons : Adolf et Iossif étaient maîtres en la matière, ces deux crevures criminelles !
Si une chose mettait Staline en état de panique, c’était bien de perdre la maîtrise d’un processus. C’est le ressort principal; de ses crimes : un mort, on est sûr que ça ne diverge pas.
C’est aussi pourquoi ses ambitions extérieures n’étaient pas démesurées et, par exemple, il voyait pas avec les yeux de Chimène son collègue Mao, ni la perspective d’une révolution en Chine.
Adoncques, quand il signe avec Hitler un pacte qui fait entièrement dépendre l’avenir d’un choc auquel il ne peut rien ou presque (entre l’Allemagne et l’Occident), on peut être sûr qu’il le fait en étant acculé. C’est ça, ou se prendre toute la Wehrmacht sur la figure dans la foulée de sa chevauché polonaise, avec une France et une Angleterre neutres : du moins Hitler a-t-il réussi, par ses manoeuvres, à le lui faire craindre.
D’où le constat qu’il avait sous-estimé son intelligence.
encore un effort, et le « camarade » Delpla finira par croire à ces menteries…
les staliniens (mal défroqués) ont avec les malfrats, un point commun : c’est la devise « n’avoue jamais » ! Reste que delpla a fait vraiment très fort, à 11h 22, avec sa version bien à lui du Pacte germano-soviétique…
ce clown a tous les culots… Après s’être répandu ici il est allé ensuite pleurnicher, sur le blog http://www.lesinfluences.fr (dans l’article « François Delpla parle à François Delpla ») de ce qu’il avait été mal traité !
toujours aussi peu efficace pour les liens, Luc Nemeth !
http://www.lesinfluences.fr/Francois-Delpla-parle-a-Francois.html
(avertissement : il s’agit d’une prison !)
le clown, continue de prendre les internautes pour des enfants, et de se poser en victime de complots… Quoi qu’il en soit il a mal choisi son tourmenteur car les informations données par Luc Nemeth, pour autant que j’ai pu en juger, étaient parfaitement exactes…
je viens de l’acheter, donc après avoir lu Mickael Prazan et d’autres. Je vais m’y plonger.
Il manque un personnage central dans le livre de Chapoutot, c’est Heidegger. Chapoutot a très bien décrit les anneaux du ténia, il n’a pas encore vu la tête. Ce qui manque à son livre très documenté c’est l’essence universitaire du nazisme dont le cœur est l’œuvre de Heidegger en totalité. Heidegger ce n’est pas une philosophie , c’est l’essence mystique du national socialisme: une mystique païenne, celle du Dionysos de Schelling devenue celle de l’AntiChrist nietzschéen. Heidegger et Hitler conjoints ont incarné le slogan de Nietzsche: « Dionysos contre le crucifié ». Tant qu’on n’aura pas compris ça on n’aura rien compris au nazisme.
Michel,03.06.2015
BEL,
Johann Chapoutot n’évouqe peut-être pas précisément la pensée d’Heidegger dans la matrice du nazisme mais il semble que son ombre plane longuement dans l’ensemble de ses études sur le sujet.
Chapoutot fait partie de cette génération d’historiens français avec Christian Ingrao, Nicolas Patin, Florent Brayard, Frédéric Sallée ou encore MB Vincent qui ont su lire le nazisme sous l’angle culturel par le biais des influences et des représentations. Dire que Chapoutot n’a rien compris au nazisme en mlinorant Heidegger me parait extrêmement présomptueux de votre part au sujet d’un des meilleurs spécialistes de la question en France.
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