de Pierre Assouline

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La République des livres
Kafka, saison 2

Kafka, saison 2

Il y a comme ça de vieilles règles en vigueur dans l’édition. Inutile de chercher à les discuter en toute logique car elles reposent sur l’expérience et le pragmatisme qui en découle. Le fait est qu’en France, contrairement à nombre d’autres pays, les nouvelles se vendent mal- quand elles se vendent un peu ce qui n’est même pas assuré. On dit aussi que le deuxième roman d’un auteur inconnu fêté pour son premier est le plus souvent maudit, ignoré, tant et si bien qu’une boutade suggère de passer directement au troisième. Autre idée reçue : le syndrome du deuxième tome, ne fut il  que le second. Il tombe dans une profonde indifférence dès sa parution. Aussi suggère-t-on de tout ramasser en un seul volume au risque de le rendre obèse ; mais une suite un an après, non, c’est trop risqué, l’intérêt et la curiosité se seront émoussés ; par définition, on ne réitère pas l’effet de surprise et cette masse découragera le format de poche. On peut ainsi laisser incomplète une œuvre remarquable et qui a déjà fait date les pays où elle est parue dans son intégralité : le Kafka de Reiner Stach, chef d’œuvre dans le registre de la biographie. Comme si elles entendaient lancer un défi à la malédiction, les éditions du Cherche-Midi ont relevé le gant en en lançant le second tome sous-titré « Le temps de la connaissance » (Die Jahre der Erkenntnis). 950 pages pour 29,50 euros et c’est peu dire que le cher Franz les vaut bien.

Toutes les qualités louées dans le premier tome (voir ici) se retrouvent naturellement dans le second. Il s’agit bien du même homme mais saisi entre 1915 et 1924. Ses dernières années, celle du Médecin de campagne, de la Lettre au père et du Château. On l’avait laissé dans un monde entre-deux et un univers intérieur vacillant marqués par les prémices de catastrophes : le déclenchement de la première guerre mondiale, la rupture de ses fiançailles avec Felice Bauer, l’abandon au milieu du gué du manuscrit de son roman Le Procès. Trois effondrements qui se produisaient sur un terrain psychique favorable tant il était instable mais si difficile à décrypter… Il faut souligner à ce sujet la formidable honnêteté du biographe qui n’hésite pas à reconnaitre régulièrement les lacunes de l’information tout au long de son récit (le troisième volume de la trilogie, qui couvre ses premières années, paraitra paradoxalement en dernier car ce sont celles sur lesquelles on en sait le moins) :

« Nous savons peu de choses sur… », « Nous ignorons… », « Il semble que… », « Nous ne connaissons que par fragments ses lectures… »

On y retrouve un homme plus que jamais rongé par l’irrésolution, les scrupules, le perfectionnisme ainsi que la rigidité et l’autodestruction qui en découlaient. L’examen de sa correspondance révèle un mal-être gravitant autour d’un centre obscur dissimulant de l’indicible. Guetté par la dépression, on le voit tout démolir dans le l’illusion de tout reconstruire sur un tas de gravats : il démissionne de la compagnie d’assurances où il a effectué toute sa carrière professionnelle en juriste expert des accidents du travail, coupe le cordon qui le rattache à l’appartement familial, quitte Prague pour Berlin, décide de se consacrer à l’écriture et de vivre de sa plume quitte à en vivre mal au besoin. De toute façon, étranger au monde, il se sent tout le temps ailleurs.

Il reconnait son « inaptitude mentale » à se marier, sinon à entretenir des rapports réguliers avec une femme (cette fois Milena puis Dora). De fait toute sexualité lui est étrangère ; malgré ses tentatives, elle ne cadre pas avec son aspiration au bonheur et il opte pour la stratégie de l’évitement. Contrairement à l’écriture lorsqu’elle lui apporte une relative satisfaction. Le cas du Château. Pas vraiment une autothérapie mais presque. Son héros s’humanise : il n’est plus « K. » mais « Josef ». Il avait commencé à l’écriture à la première personne ; trois chapitres sont rédigés avec des « je » et des « moi » jusqu’à ce que…. Jusqu’à la description de l’acte sexuel, impossible à assumer personnellement, et pour cause. Il s’enferme alors dans ce château (Schloss en allemand, étymologie renvoyant à l’idée de fermeture et d’enfermement- Geschclossenheit), interprétation qui n’est pas de lui car il s’est toujours refusé à commenter ses écrits. Lorsque parut Un médecin de campagne tiré à 1000 exemplaires, un seul critique littéraire pragois prit la peine de le lire et d’en rendre compte. On suppose qu’il en fut affecté mais jusqu’où ?

Stach nous invite à replacer les fragments, notes, aphorismes, brouillons, premiers jets et autres « prises d’élan » de Kafka dans le continuum verbal de son œuvre au lieu de les isoler ; selon lui, ils s’inscrivent naturellement dans « une sorte de système sanguin de l’imaginaire » ; car rien dans ce qu’il écrit ne distingue le littéraire du personnel, cela forme un tout, un bloc insécable. On savait déjà que Kafka était un nageur croyant et pratiquant, familier du bassin de la Schwimmschule, la piscine fluviale sur l’île Sophieninsel. Mais ce que le biographe nous apprend, c’est à quel point les fragments consacrés à l’histoire du grand-nageur-qui-ne-savait-pas-nager fait écho à sa propre irrésolution pathologique gouvernée par la peur de ne pas réussir. La mise à l’épreuve le paniquait. Or son champion le devient dans des compétitions en eau libre lorsque, constatant à mi-course dans l’effroi qu’il est seul en haute mer sous un ciel vide entre la ligne d’horizon et celle du rivage, il nage comme un dératé pour ne pas mourir noyé. Il l’emporte par peur de la mort et pulvérise le record du monde tant il veut sortir de l’eau le plus vite possible quitte à s’en éclater les poumons.

Reiner Stach fait le point sur toutes les interprétations, parfois délirantes (notamment pour La Métamorphose), que son oeuvre a suscitées. La fameuse Lettre au père, qui relève davantage de la nouvelle que de la correspondance (qui a jamais écrit une lettre d’une centaine de pages ?), n’y a pas échappé et le sujet, à soi seul, pourrait donner matière à un livre. Dans ses dernières années, Kafka se rapprocha de sa judéité tant religieusement que politiquement. Il se plongea dans l’étude des textes et se rapprocha des cercles sionistes qui préparait à l’émigration en Palestine. Son apprentissage de la langue se fit sur un double registre : l’hébreu biblique, seule voie d’accès véritable et authentique à l’intelligence de la Torah, et l’hébreu moderne qui en était dérivé afin de servir de langue nationale au futur Etat d’Israël. Ses amis le décrivaient « fier » de pouvoir s’exprimer couramment dans cette langue.

Manifestement souffrant et malade, l’écrivain se résout à consulter sous la pression de sa famille. Un neurologue diagnostique « une névrose cardiaque ». Des palpitations, quoi. Le patient n’insiste pas car il entend d’abord conserver son amour-propre intact, garder la tête haute, fuir toute mise à nu. Physiquement affaibli sinon épuisé, il est constamment sur la défensive. Mais c’est bien de tuberculose qu’il s’agit. Ses séjours dans les sanatoriums, dans lesquels on ne peut s’empêcher de percevoir des échos de « montagne magique », sont relatés dans le détail, développement d’autant plus nécessaire que l’intéressé vit cette infection des poumons comme une maladie de l’esprit telle « un débordement de ses limites initiales ».

 Il se meurt fou de perfection, conscient de ne pouvoir jamais atteindre cet idéal de pureté et de vérité. Heureusement son biographe n’a pas été atteint du même mal. Il sait que certains mystères demeureront inentamés et pas seulement parce que nul chercheur n’a encore pou avoir accès à l’intégralité des archives de Max Brod. A commencer par celui-ci qu’aucune spéculation, et il y en a eues, n’est parvenu à réduire : puisque Franz Kafka désirait si ardemment que fussent brûlés ses manuscrits, lettres, papiers, dessins, non seulement ceux en possession de son ami mais tous ceux se trouvant dans d’autres mains, et qu’il avait pris soin avant de disparaitre d’enjoindre Brod par une lettre univoque de se plier à sa volonté, que ne l’a-t-il fait lui-même de son vivant ?

En disparaissant en 1924, Franz Kafka a échappé au second acte de la catastrophe civilisationnelle qui menaçait à nouveau l’Europe et qu’il ne cessait de prophétiser. Il n’aura pas eu à vivre à nouveau cette « alliance mortifère de la violence et de l’administration ». Il ne saura pas que ses trois sœurs mourront dans des camps de concentration auquel son oncle n’échappera qu’en se donnant lui-même la mort. Les quatre femmes qui avaient été ses amies de cœur seront exterminées dans des camps nazis. Son propre frère et ses meilleurs amis également. Un entourage comme une hécatombe.

« Son monde a cessé d’être. Seule sa langue vit ».

Enfin, il faut admirer dans la réussite de ce livre une osmose des plus rares entre un écrivain, son biographe et leur traducteur. Car Régis Quatresous a non seulement traduit de l’allemand le texte de Reiner Stach mais retraduit tous les extraits que celui-ci cite des livres et des lettres de Kafka, en se fondant systématiquement sur les textes originaux mais également sur « la comparaison attentive » des traductions existantes. Chapeau bas !

(« Dessins de Franz Kafka » extraits de « Kafka. Les dessins », sous la direction d’Andreas Kilcher, traduit de l’allemand par Virginie Pironin et de l’anglais Gaëlle Cogan, Les Cahiers dessinés, 368 p., 35 €/ THE LITERARY ESTATE OF MAX BROD, NATIONAL LIBRARY OF ISRAEL)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

909 Réponses pour Kafka, saison 2

Rosanette dit: à

@rose
je pense que vous savez que l’enseigne hôtelière l »eLion d’or » est un calembour-« le lit on dort » mais scette enseigne est parfois présente a l’étranger sous forme d’une traduction deLion d’or
en Allemagne notamment

Chantal dit: à

c’est intéressant de lire que Kafka aurait voulu ouvrir un restaurant et s’intéressait à la diététique. Un point de vue qui éclaire sa personnalité énigmatique. J’ai tenté d’avaler ma première choucroute depuis le début de la semaine et je portionne, une amie haïtienne m’ayant conseillé le jus de choucroute pour faire une détoxication de printemps. La bouteille de jus de choucroute est exorbitante en magasin diététique, je me suis doncrabattue sur une choucroute artisanale trouvée à l’Intermarché. La vue des saucisses accompagnant la portion de choucroute m’a un peu défrisée, mais elle était accompagnée d’un petit jambonneau. Je digère lentement, il y a des baies de genévrier dans cette choucroute.
J’ai l’impression que rentrer dans un ouvrage de Kafka c’est en quelque sorte mastiquer un plat qui ne nous est pas coutumier, et que certaines expressions, visions, cauchemards saugrenus sont autant de petits morceaux qui restent calés entre les dents. Un fil dentaire ou un critique littéraire, un avis extérieur n’est pas inutile pour examiner de près les petits morceaux en question. Les trois jjj sont actifs en ia pour confronter traduction et google translate son constat est amer.

Jazzi dit: à

Robert Badinter est mort.

closer dit: à

Chantal, pourquoi n’allez-vous pas dans une vraie charcuterie, de préférence alsacienne?

Chantal dit: à

Il n’y en a pas dans mon quartier Closer. C’est plutôt biffanas à tous les coins de rue.

Décès du Robert, que va faire Elisabeth seulette ?

closer dit: à

Seiji Ozawa est mort.

En ce moment Daphnis et Chloé dirigé par lui sur Radio Classique.

closer dit: à

« Une bifana est un petit sandwich typique du Portugal. Dans du pain portugais on met ensuite des escalopes de porcs. On peut manger ce sandwich dans tout le Portugal, fait de différentes façons mais souvent avec les mêmes aliments. »

Je ne connaissais pas…

Pablo75 dit: à

S.Ozawa, mort à 88 ans. R.Badinter, à 95 ans.

La lucidité conserve, le talent est bon pour la santé.

VOCES8 performs ‘The Deer’s Cry’ by Arvo Pärt at St Vedast Church in London.

https://www.youtube.com/watch?v=Ir3htl3UlBk

Pablo75 dit: à

J’ai tenté d’avaler ma première choucroute depuis le début de la semaine et je portionne, une amie haïtienne m’ayant conseillé le jus de choucroute pour faire une détoxication de printemps.
Chantal dit:

… et moi, je ne connaissais pas votre chef d’orchestre japonais
Chantal dit:

Il y aurait un lien entre ces deux faits que ça ne m’étonnerait pas…

Gustav Holst – The Planets – Mars, the bringer of war

The Boston Symphony Orchestra – Seiji Ozawa

https://www.youtube.com/watch?v=QUEGEtbp8y8

Chantal dit: à

… my niece sings this at her Scottish boarding school, thank’s for  » the deer’s cry ».

MC dit: à

Si l’on peut nommer lucidité l’abolition de la peine de mort. MC

Soleil vert dit: à

Jazzi dit: à
Robert Badinter est mort.

J’ai une pensée pour vous

et alii dit: à

je ne sais plus qui a raconté avoir retrouvé les papiers d’ une personne Shabbes goy;il y a quelques jours une femme m’a raconté que sa mère était concierge (à marseille peut-être) et allait s’occuper du feu de locataires juifs; je lui ai donc raconté l’usage;c’est fou tous ces gens qui disent n’avoir jamais connu de juifs et soudain vous sortent un souvenir comme la fille de cette concierge!

et alii dit: à

allait s’occuper du feu au shabbath;cette dame?QUI MAINTENANT EST DE manosque, sait que je suis juive depuis que je lui ai parlé de l’amitié de PAGNOL ET COHEN ET DE LA Place du lycee-albert cohen
Marseille 1er Arrondissement – 13201

et alii dit: à

amitié que je n’ai pas inventée:
Albert Cohen et Marcel Pagnol : « A jamais mon frère et ami »
« Les amitiés littéraires » (4/5). Ils sont dans la même classe de 6ᵉ, à Marseille, en 1905. Les futurs grands écrivains se lient très vite, et cette camaraderie adolescente, qui marque les deux hommes, se poursuit sans faillir tout au long de leur vie.
le monde

Jazzi dit: à

« J’ai une pensée pour vous »

Je ne fais pourtant pas partie de la famille, SV !

.Janssen J-J dit: à

@ « Si l’on peut nommer lucidité l’abolition de la peine de mort ». Décide-dément, vous nous décevrez toujours un brin,
@ Au lit, on dort, au lit on baise, on baise et on s’en dore,
@ « Les trois jjj sont actifs en ia, son constat est amer (Chantale ;;;) » -> n° 63 – « Etre ébloui par la vérité, c’est là tout notre art ; seule est vraie la lumière sur le visage grotesque qui recule ».
Il faut bien faire avec ça. Aujourd’hui, Robert est mort, et Franz, il y a un siècle… Tous deux étaient juifs et contre la peine de mort. Contre le mitard dans les colonies pénitenTiaires. Pour Victor Hugo et Albert Camus. Contre Martine Le Pen.
Je reviendrai à Kandara. – Je sors, il est trop tard que tu ne penses.
Bàv,

rose dit: à

Élisabeth va déprimer puis elle fera comme toutes les veuves, elle mènera sa vie. (Emma).

Encore faut-il être veuve un jour !(🤒, rose).

et alii dit: à

« Les parents peuvent être de parfaits éducateurs, mais seulement avec les enfants des autres. »
— Franz Kafka

Patrice Charoulet dit: à

GOUVERNEMENT ATTAL

Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique
Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer
Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités
Nicole Belloubet, ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse
Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire
Rachida Dati, ministre de la Culture
Sébastien Lecornu, ministre des Armées
Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice
Stéphane Séjourné, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères
Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques
Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques
Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Ministres délégués :
Auprès du Premier ministre :

Prisca Thevenot, chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement
Marie Lebec, chargée des Relations avec le Parlement
Aurore Bergé, chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les Discriminations
Auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique

Roland Lescure, chargé de l’Industrie et de l’Energie
Olivia Grégoire, chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation
Thomas Cazenave, chargé des Comptes publics
Auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires :

Dominique Faure, chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité
Auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer :

Marie Guévenoux, chargée des Outre-mer
Auprès de la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, de la ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse et du garde des Sceaux, ministre de la Justice :

Sarah El Haïry, chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles
Auprès de la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités :

Fadila Khatta, chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées
Frédéric Valletoux, chargé de la Santé et de la Prévention
Auprès du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire :

Agnès Pannier-Runacher
Auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères :

Franck Riester, chargé du Commerce extérieur, de l’Attractivité, de la Francophonie et des Français de l’étranger
Jean-Noël Barrot, chargé de l’Europe
Auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires :

Patrice Vergriete, chargé des Transports
Guillaume Kasbarian, chargé du Logement
Secrétaires d’Etat :
Auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique :

Marina Ferrari, chargée du Numérique
Auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires :

Sabrina Agresti-Roubache, chargée de la Ville
Auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer :

Sabrina Agresti-Roubache, chargée de la Citoyenneté
Auprès du ministre des Armées :

Patricia Mirallès, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire
Auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères :

Chrysoula Zacharopoulou, chargée du Développement et des Partenariats internationaux
Auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires :

Hervé Berville, chargé de la Mer et de la Biodiversité

et alii dit: à

«C’est Kafka qui m’a fait comprendre qu’un roman, on pouvait l’écrire autrement», m’a dit une fois Gabriel Garcia Marquez.
kundera nouvel obs

closer dit: à

Il faut s’appeler Charoulet pour nous infliger la liste complète du gouvernement, dont tout le monde se fout éperdument…

Phil dit: à

Pas trop vite, dear Closer. Nommer un ministre de l’Europe qui ne connaît que l’Argentine est bien une décision kafkaïenne.

et alii dit: à

prague :
*e 7 septembre, la communauté juive de Prague, en République tchèque, a inauguré un nouveau monument dans son cimetière afin de tenter de réparer une partie des dégâts.

Le monument se compose d’environ 6 000 pavés fabriqués à partir de pierres tombales juives qui ont été utilisées en 1987 pour paver la place Venceslas de Prague, selon la chaîne nationale Česka Televize. La municipalité a remis les pierres à la communauté juive en 2020, après les avoir retirées lors de rénovations.
La communauté avait chargé les artistes Jaroslav et Lucie Rona de réaliser le monument, qui a coûté environ 32 000 dollars et comprend un monticule entouré de neuf blocs constitués des pavés. Bien que des caractères des alphabets hébreu et romain soient visibles sur certaines des pierres, aucune pierre tombale individuelle utilisée pour fabriquer les pavés n’a pu être identifiée, d’après les informations fournies.

Dans un discours prononcé lors de la cérémonie d’inauguration, František Bányai, président de la communauté juive de Prague, a qualifié les pavés de « symbole de barbarie, de grossièreté et de cruauté archaïque ».

Le cimetière juif de Žižkov, où le monument intitulé « Retour des pierres » a été dévoilé, fait partie des nombreux cimetières juifs dont les terres ont été volées sous le communisme. Les autorités avaient construit une antenne de télévision sur une partie du cimetière, violant ainsi les lois de la tradition juive qui interdisent de perturber les lieux de sépulture.

rose dit: à

Jazzi dit: à
« J’ai une pensée pour vous »

Je ne fais pourtant pas partie de la famille, SV !

Vous les avez croisés récemment, Jazzi, Elisabeth et Robert, bras dessus bras dessous, le long du jardin du Luxembourg.
C’est pourquoi Soleil Vert,

rose dit: à

comme un homme âgé, sympathique et bienveillant, avec une mauvaise mémoire.
Ita est, il commence à yoyoter.
Que fait son épouse ?

William Boquet dit: à

@comme un homme âgé, sympathique et bienveillant, avec une mauvaise mémoire

Vu l’organisation et la qualité de son administration, ses qualités sont tout à fait satisfaisantes à cette fonction et sans comparaison avec ses adversaires ; que cela fasse ricaner et suscite les railleries de voyous comme Bibi la fripouille ou Poutine et leurs affidés trumpistes est plutôt bon signe

Alexia Neuhoff dit: à

La mort de ce grand homme que fut et restera Robert Badinter ne suscite pas beaucoup de réactions ici. On mettra cela sur le compte de la sidération ou du silence respectueux qu’une telle annonce impose. J’ai tout de même noté la malveillance d’un partisan de la peine de mort mais… passons. A moins que l’homme de gauche, malgré sa formidable action pour faire progresser les droits humains, ne puisse trouver grâce aux yeux aveuglés de haine de réacs invétérés.

Janssen J-J dit: à

Aux trois grands hommes qui nous ont quittés cette semaine, Jean, Seiji et Robert, qui eurent mon égale estime de leur vivant, je souhaite une mort bien heureuse et apaisante, par la grâce de Gabriel F.
https://www.youtube.com/watch?v=flboe048gn4
Bien à eux,

Janssen J-J dit: à

@ AN, j’ai également été choqué par la réaction « malveillante » épinglée, mais j’ai préféré ne pas insister, après avoir béni le robot rdl qui n’avait pas estimé devoir faire état de ma prime indignation… Tous les jours, il se trouve que cet internaute me déçoit, mais je ne sais pourquoi, ne parviens-j pas à le haïr.
Sidéré et silencieux. Voilà pourquoi, oui.
Merci à vous,

Alexia Neuhoff dit: à

JJJ, je ne vois pas qui est ce « Jean » dont vous annoncez le décès.

William Boquet dit: à

@la liste complète du gouvernement, dont tout le monde se fout éperdument…

Une personne un peu âgée vient de me demander de lui acheter « le journal », la seule chose qui l’intéresse étant la composition du gouvernement au complet a-t-elle précisé …

renato dit: à

Ozawa et Murakami, De la musique :

Dans la Postface, Ozawa révèle : « Personne n’aime la musique autant que Haruki. Aussi bien la musique classique que le jazz. Non seulement il l’aime, mais il la connaît très bien » (p. 301 de l’édition anglaise).

rose dit: à

« Jean Malaurie meurt le 5 février 2024 à Dieppe, à l’âge de 101 ans[11]. Crématisé, ses cendres ont été placées sous un cairn de l’île de Thulé, au Groenland[12]. »

Incroyable !
Ce qui, dans ta vie, a compté !

Impressionnant ! Émouvant !

rose dit: à

Robert Badinter suscite l’admiration sur des plans divers.
Parler de lui alors qu’il est à peine mort me semble incongru. Pensons à son épouse qui la solitude va connaître.

renato dit: à

pardon !

(p. 301 de l’édition anglaise) > (p. 301 de l’édition italienne)

Jazzi dit: à

Pas bras dessus bras dessous, rose, mais cheminant côte à côte, elle voutée et lui s’appuyant sur une canne.
J’ai encore dans l’oeil le sourire pétillant du mari conversant avec sa femme…

B dit: à

La mort de ce grand homme que fut et restera Robert Badinter ne suscite pas beaucoup de réactions ici.

Vous avez le droit de rédiger un éloge funèbre, de rappeler ce qui fut son action, d’éclairer cet esprit qui telle une veilleuse vient de s’éteindre dans le choeur de l’humanité, de veiller cette nuit en sa mémoire, de prier si vous êtes croyante . Son âge, néanmoins, n’est pas tout à fait étranger à sa disparition.

https://alanna.life/articles-guides/eloge-funebre-exemples.html

Clopine dit: à

Sur Cnews, l' »hommage « particulièrement ahurissant, ce soir, de De Villiers (De Villiers !) à Badinter. Juste l’occasion d’étaler sans vergogne les théories de l’extrême droite devant des « journalistes » uniquement occupés à tenir droite la cuillère à soupe. Elisabeth, réagissez, de grâce. De Villiers affirme que votre époux était contre la contraception et l’avortement. Il n’évoque son engagement contre la peine de mort que pour, sous les yeux bienveillants de journalistes muets, égrener pendant dix minutes les raisons de la pertinence de cette peine de mort. C’était sur CNews, y’a une demie heure, et TOUT était à gerber. Quelqu’un me soutient dans cette analyse, ou bien haussez vous tous les épaules ? C’est grave, très grave, pourtant…

Pablo75 dit: à

La mort de ce grand homme que fut et restera Robert Badinter ne suscite pas beaucoup de réactions ici.
Alexia Neuhoff dit

Et la tienne se limite à dire que sa mort ne suscite pas beaucoup de réactions ici, Grosse Nouille?

Pablo75 dit: à

Cette Vieja Chocha d’Alexia est l’exemple type de la Gauche Caviar, venant donner des leçons de moral ici qu’elle ne suit pas elle-même.

Si elle était un minimum intelligente, elle aurait écrit ici un « vibrant hommage » à Badinter avant de s’étonner du peu de réactions que sa mort suscite. Mais non, elle c’est la Pensée Morale de la Gauche Caviar avant tout: d’abord faire la morale et après réfléchir au fait si elle n’est pas ridicule en exigeant ce qu’elle même ne fait pas.

Quelle Andouille !!

et alii dit: à

« Vladimir Poutine, l’accusation, par Robert Badinter, Bruno Cotte et Alain Pellet. Fayard, 216 p., 18 €

Alexia Neuhoff dit: à

Pablo75 dit: « Grosse Nouille? »
Grosse conne, toujours « grosse », comme c’est bizarre ! Pauvre chose insignifiante macérant dans tes petites haines, tu m’amuses. Tes insultes sont des médailles d’or style jeux olympiques que j’accroche en broche sur mon chemisier Issey Miyake. Un peu kitsch mais ça te ressemble. Gros con !

Alexia Neuhoff dit: à

Pablo75 dit: « venant donner des leçons de moral »

C’est dépassé, viejo ! On parle de « développement personnel ». Entérate.

Clopine dit: à

A part ça, j’ai visionné « anatomie d’une chute », un an après tout le monde ahahah, et je n’ai pu m’empêcher de penser que l’ombre biographique de Carson Mac Cuillers.

Clopine dit: à

Plane sur ce film (euh, fin de phrase avalée par le clic d’envoi, excuses !)

Clopine dit: à

Je veux dire… Enfin, c’est assez rare comme configuration, le couple d’écrivains… Les Mac Cuillers, enfin zut, voyez vous ?

Soleil vert dit: à

Clopine dit: à
Sur Cnews, l’ »hommage « particulièrement ahurissant, ce soir, de De Villiers (De Villiers !) à Badinter.

Hommage aussi du RN (Bardella)
Pour paraphraser Audiard … à ce point là ça devient gênant.

Pablo75 dit: à

mon chemisier Issey Miyake
Alexia Neuhoff dit

D’aussi mauvais goût que ton pseudo, Vieja Chocha.

(On attend ton Hommage à Badinter – assis, mais on l’attend quand même).

rose dit: à

Son âge, néanmoins, n’est pas tout à fait étranger à sa disparition.

J’adore (deux claques).
Il eut persévéré jusqu’au 22/12/2024, échu, il eût eu quatre vingt seize, ce qui est jeune. Si on jeûne, et que l’on mène une vie réglo, cent vingt ans semble être l’âge auquel nous pouvons nous résoudre à mourir.

rose dit: à

C cherché* ds la rubrique homme et je n’ai trouvé que des pantalons plissés.

*Le chemisier Issey Miyake.

rose dit: à

Tout le monde va s’approprier. De l’intérêt d’être distant.

Jazzi dit: à

1969-1971 : en Première et Terminale au lycée Carnot de Cannes, j’avais pour prof de philo, Monsieur Leborgne.
Un marxiste communiste revendiqué, qui militait activement pour l’indépendance de sa Guadeloupe natale et fut envoyé en exil à… Cannes.
C’est à lui que revint l’honneur de faire respecter aux garnements rigolards que nous étions une minute de silence lors de la mort du général de Gaulle.
Révolutionnaire mais toujours tiré à quatre épingles, courtois et ironique envers ses élèves, il ne m’avait pas en grande sympathie et me désignait comme « le grand blond » en parlant de moi aux autres élèves.
Je me souviens que nous avions eu une longue conversation en classe sur la peine de mort et que j’avais été surpris par sa position : le maintien de la peine de mort était selon lui le gage de la valeur de toute vie. Le prix à payer et qu’il ne fallait pas dévaluer.
J’appris, par la suite, qu’il entama une grève de la faim, dans sa classe du lycée Carnot, et fut renvoyé en Guadeloupe…
http://www.lescrutateur.com/2014/05/lycee-poirier-de-gissac-pourquoi-yves-leborgne-par-edouard-boulogne.html

rose dit: à

Jazzi dit: à
Pas bras dessus bras dessous, rose, mais cheminant côte à côte.

Ils conversaient.
Autre chose que les couillons que nous sommes ici.

Enfin, Jazzi, vous me stupéfiez : comment voulez-vous être bras dessus, bras dessous si vous ne cheminez pas côte à côte ?

rose dit: à

Nous résoudre difficilement.
Ben merde alors.
Avec Emma, avons inauguré ce jour la tisane du centenaire du père Blaise.

rose dit: à

Quelques difficultés à comprendre comment l’on peut être professeur de philosophie et pour la peine de mort.

Pablo75 dit: à

j’avais pour prof de philo, Monsieur Leborgne. Un marxiste communiste revendiqué […] Je me souviens que nous avions eu une longue conversation en classe sur la peine de mort et que j’avais été surpris par sa position : le maintien de la peine de mort était selon lui le gage de la valeur de toute vie.
Jazzi dit:

Les communistes ont toujours été pour la peine de mort et l’ont pratiqué partout en masse. Ils étaient même pour la peine de mort appliquée aux enfants: « Le 7 avril 1935, Staline étend même la peine de mort aux enfants âgés de plus de 12 ans » (Wikipédia)- ce qui n’a pas empêché de dormir aucun communiste occidental, aucun des millions d’idiots utiles qu’on sévi en Occident pendant des décennies (genre Alexia Neuhoff – grande admiratrice d’un autre grand partisan de la peine de mort: Che Guevara).

Alexia Neuhoff dit: à

Pablo75 dit: (On attend ton Hommage à Badinter – assis, mais on l’attend quand même).

Je l’ai rendu, ce me semble, imbécile ! En revanche, j’attends avec gourmandise tes réserves, ton hostilité, tes aversions… quoique je doute que tu en aies le courage. Cobarde !

Pablo75 dit: à

Pablo75 dit: (On attend ton Hommage à Badinter – assis, mais on l’attend quand même).
Je l’ai rendu, ce me semble…
Alexia Neuhoff dit

« ce grand homme que fut et restera Robert Badinter ».

C’est ça ton hommage? Tu te fous de qui, Vieja Chocha?

rose dit: à

Janssen J-J et Rosanette,

Ce calembour, avec amour, ma maman nous l’a fait tant de fois ! Dis, on va au cinéma ? Oui, on va aller au lit on dort.
Et schboung, répétitif et à chaque fois on se faisait avoir.
Et puis avant que de naviguer seule, mais en groupe, j’ai fait quelques navigations avec mes parents qui étaient un couple flamboyant et aimant.
Bien sûr que outre la navigation qu’ils connaissaient parfaitement, mon père excellent capitaine quoiqu’à mon avis trop précautionneux et ma mère parfaite seconde, quoique je le pense assez casse-cou, outre donc la marine à voile, il y avait la gastronomie, et les adresses des uns ou des autres.
Et sur la route de Ouistreham, une auberge de campagne nommée au Lion d’or dont je ne peux vous parler tant le souvenir culinaire est, comme le couple de mes parents, flamboyant.

Or, par la suite, lors de mon célibat prolongé, ai pu constater combien cette enseigne Au Lion d’or était conjointe avec un niveau gastronomique d’exception.

Ce qui fait que, dans mes traces mémorielles, le calembour (pourtant, nous étions furieux, seul l’amour inconditionnel de ma mère pour ses trois enfants compensait) passe loin derrière le plaisir gustatif.

Eh oui.
C’est Emma qui m’a parlé de Ouistreham aujourd’hui : les chemins de la mémoire !!!

Pablo75 dit: à

@ la Vieja chocha Alexia Neuhoff

« j’attends avec gourmandise tes réserves, ton hostilité, tes aversions… »

J’ai parlé de la « lucidité » de Badinter (qui est pour moi l’un des plus grands éloges qu’on puisse faire de quelqu’un) et j’ai mis de la musique religieuse d’Arvo Part. C’est suffisant pour un endroit où tout le monde sait qui est Badinter – sauf pour la Conne de Service que tu es et qui n’a jamais rien compris à rien…

Pablo75 dit: à

Sur la peine de mort, le mot atroce de Céline: « La peine de mort est le prix Nobel des assassins. »

rose dit: à

En ce moment, je suis ravie : le placement de ma maman en EHPAD et sa mise sous tutelle organisés par deux de ses enfants, deux Jacques Mesrine pour une maman autant aimante, c’est beaucoup, a un coût de cinquante mille euros par an.
Cela fait neuf ans de séjour forcé, comme à la Kolyma (grande sympathie avec le docteur et son épouse et le cuisinier etc., avec beaucoup de monde, IRL) avec les économies de ma maman sur le travail forcené qu’elle a accompli toute sa vie.
Le 20 février, ce fera quatre ans échus que ma mère aura été jetée avec une violence incommensurable dans cet EHPAD.
Dans cinq ans, sans préjuger de l’inflation galopante, chacun de ses enfants devra participer à l’entretien de sa mère à hauteur de 1333 € par mois.
Je jubile.
Bon, je reprends mon bouquin. C’est pas trop bien de jubiler pour cela, mais je jubile quand même.

Bonne soirée,

rose dit: à

Nous avons eu aussi le Requiem de Gabriel Fauré.

Alexia Neuhoff dit: à

Mais pour qui se prend cette cloche de Pablo ? Pourquoi je me soumettrais à ses injonctions débiles ? Rends hommage ! Fais et dis ceci ou cela. Réserve ton machisme à ta femme (si femme il y a, on espère pour elle que ce n’est pas le cas). Je n’ai aucun compte à te rendre et ce n’est pas demain la veille que tes tentatives de domination masculine ont la moindre chance d’opérer. C’est fini, tout ça, il serait temps que tu t’y fasses, crétin !

rose dit: à

Domination masculine ;😇😇 je tiens à préciser puisque les dérapages s’accumulent : à quatorze ans, on n’est pas une petite fille, et pire, à quatorze ans, on n’est pas personne. Je frémis, je tremble.

rose dit: à

« Mais à la fin de sa prise de parole, il a commis une ultime bourde en parlant du chef d’État égyptien, le maréchal al-Sissi, comme du « président mexicain » ».
Il yoyote, clairement : mais que fait sa femme ? Puisque femme il a.

rose dit: à

Les deux smileys avec des couronnes d’ange sur la tête, ce n’est pas moi. Ce doit être le correcteur, fondu de la tilde. On voit le résultat.

et alii dit: à

petite fille
il m’a tres souvent semblé que des femmes de soixante dix ans étaient des petites filles et que certaines ,en institution infantilisante, avec les meilleures bons sentiments, le restaient jusqu’à leur mort

Jazzi dit: à

« Pourquoi je me soumettrais à ses injonctions débiles ? Rends hommage ! Fais et dis ceci ou cela. »

Mais qui a dit que la mort de Robert Badinter laissait tout le monde indifférent ici, Alexia ?

Pablo75 dit: à

Mais pour qui se prend cette cloche de Pablo ? Pourquoi je me soumettrais à ses injonctions débiles ? Rends hommage ! Fais et dis ceci ou cela.
Alexia Neuhoff dit

Elle est tellement gaga cette Vieja Chocha d’Alexia, qu’elle a oublié déjà que c’est elle qui a interpellé les visiteurs de ce site parce qu’ils ne réagissaient pas à la mort de Badinter. Elle a une mémoire de poisson rouge, la Grosse Andouille. C’est notre Commissaire Morale aux Bonnes Réactions de Gauche qui a écrit plus haut, avec un ton de Conne Absolue:

« La mort de ce grand homme que fut et restera Robert Badinter ne suscite pas beaucoup de réactions ici. On mettra cela sur le compte de la sidération ou du silence respectueux qu’une telle annonce impose. »

Quant à ton recours pathétique aux vieilles histoires de Domination Masculine pour masquer la quantité industrielle de Bêtise Unisexe que contient ton cerveau de Nouille Inguérissable, il ne fait que confirmer ton niveau mental de vielle soixante-huitarde attardée qui n’a toujours pas compris dans quel monde elle habite.

(C’est drôle, j’écris ceci en écoutant le concert de Mezzo, dirigé par une femme, Cathrine Winnes, et dédié à des oeuvres de compositrices exclusivement: Grazyna Bacewicz, Clara Schumann, Fanny Mendelssohn, Lili Boulanger, Ethel Smyth, Signe Lund, Kaija Saariaho et Helena Munktell. Comme machisme, on a vu mieux…).

Jazzi dit: à

« à quatorze ans, on n’est pas une petite fille, et pire, à quatorze ans, on n’est pas personne »

Vous dites ça pour Judith Godrèche, qui, à cet âge, et 35 ans après les faits, porte plainte pour viol contre les réalisateurs Benoit Jacquot et Jacques Doillon, rose ?

closer dit: à

Tu m’as devancé, Pablo. Qu’un communiste, même prof de philo, soit pour la peine de mort, c’est dans l’ordre des choses puisque ses camarades l’ont appliquée des millions de fois.
Ce qui est plus étonnant, c’est qu’il l’avoue à une époque où c’était déjà très mal vu…

rose dit: à

,en institution infantilisante
C’est une colonie de vacances tes enfants t’y jettent et tu n’en sors jamais.
Infantilisante, c’est pour mieux te dominer, mon enfant.

et alii dit: à

vous en comprenez, de ces choses, rose!

rose dit: à

Et alii
Je suis concentrée là-dessus. Et je vous omets les carottes râpées pour lesquelles je suis en train de militer. En ce qui concerne les petites filles de 80 ans et plus, un nom porte cette pathologie. On peut donner alors peluches et livres d’enfant à la personne atteinte. Ma maman n’a pas cela : elle a la pureté dans le cœur.

rose dit: à

Et alii
Espérant que vous ne dites pas cela en vous moquant.
Et qui de plus sérieux que les enfants ?

et alii dit: à

rose, il y a des geriatres pour les personnes atteintes de maladies sévères et je suppose que les personnes qui s’occupent d’elles font des formations; du moins a priori;mon ex belle mère souffrait d’une maladie dégénérative -on ne parlait pas alors d’alzheimer-et on lui avait acheté une poupée!
ceci dit, je songeais ,d’abord, à des femmes « normalement « névrosées » si l’on peut dire

D. dit: à

C’est bon les carottes râpées.

D. dit: à

Robert Badinter est mort.

rose dit: à

Pour moi, Robert Badinter est vivant.

rose dit: à

Les carottes râpées mais pas en conserve, boîte de cinq kilos.
Il pleut des trombes d’eau. J’ai un pull, pas de parapluie.

rose dit: à

Soleil Vert
La pathologie de la mélancolie propre à la séparation ?
Comme avec Sergio ?

J J-J dit: à

Bravo Zaho, depuis bien longtemps, n’avais-j pas apprécié d’une chanson populaire de cette qualité. Il y a encore une possibilité de paradis au delà de la symphonie des éclairs, Robert, et espéré-j une place pour toi au Panthéon.
https://www.youtube.com/watch?v=pqo59FkF_5g
Bàv, 10.3.24_8.17

Patrice Charoulet dit: à

@Madame ou Monsieur Closer

J’ai entendu dix fois Luc Ferry affirmer qu’il ne connaissait pas plus de quatre ou cinq ministres du gouvernement précédent.
Si des confrères d’ici veulent l’imiter, je mets cette liste pour qu’ils aient lu au moins une fois
ces noms.
Mais il est probable que beaucoup n’ont pas même voulu y consacrer vingt secondes, vous par exemple.

Janssen J-J dit: à

@ C’est bon les carottes râpées – Robert Badinter est mort.

Bien sûr, on peut mettre les deux événements sur le même plan pour amuser la galerie, plutôt que de pleurer. Puisqu’au final, les carottes sont toujours cuites pour tout le monde, et les carottes ne sont pas sacrées à défaut d’être sucrées (;-) Dans l’Ancien T, il me semble pourtant que le mauvais dieu n’ait jamais autant ri des saillies jaunes du bon diable.

n° 52 – Im Kampf zwischen dir und der Welt, (dear Dédé), sekundiere der Welt,

Cette nuit passée à méditer le magistral et vertigineux chapitre de Reiner Stach dédié au Château (p. 617-654), à propos du généreux « féminisme » de Franz, notre misogyne névrosé dans son espace culturel spatio-temporel. J’y reviendrai, @ Paul surtout (merci pour ses belles remarques supra sur la défense du bouquin), car il y a là, on l’imagine assez bien, une clé de lecture lumineuse, admirable de profondeur et d’originalité… Je l’avais pressentie à ma troisième lecture du roman de l’Arpenteur K., sans jamais avoir pu venir à bout de sa relative obscurité. Une flaque de lumière s’est nuitamment entrouverte autour de la figure de Frieda dans le roman. Pas étonnant, du reste : en 1987, Stach aurait consacré une étude entière aux mythes érotiques chez Kafka (hélas non traduite en français), en analysant notamment la structure de ses positions idéologiques vis à vis d’Otto Weininger, et mieux expliquer ici les raisons de sa prise de distance d’avec le double vie érotique de son ami Brod, à la sexualité débridée et jamais assouvie.

@ Juste un petit clin d’œil à Jzmn qui n’aurait peut-être pas été autant inspiré qu’il l’eût pensé, dans son évocation de la probable détestation de K. pour nos portables d’aujourd’hui.

@ Bàv., amitié et respect aux 2 Emilie (d’ElizaBad), et aux 2 Emma (la Bovary et la maman).

Janssen J-J dit: à

J’ai lu attentivement votre liste, et ça roule !… Je crains qu’elle ne soit constituée pour 90% que des « larbins de Manuel Macron », d’après un bon mot de FOG. Notons juste que la chevelure de Madame Beloubet n’a pas subi d’altérations depuis sa dernière permanente d’il y a cinq ans. Ce qui constitue déjà un excellent présage pour le futur de notre Education Nationale. Bàv,

Bloom dit: à

On gardera en mémoire la haine dont a été l’objet Robert Badinter de la part de la droite et des policiers. Les petits cercueils envoyés par la poste, les lettres anonymes promettant à ses enfants les pires sévices. Je renvoie les ironistes à 1/2 shelkel qui sévissent ici aux turpitudes de leur histoire récente.

C’est un signe des temps que l’expérience juive de la vie qui a autrefois produit des Lévinas, Kiejman et Badinter, s’exprime aujourd’hui à travers des shlock comme Zemmour, E. Lévy et Goldnagel, ce dernier, entre autres, préfacier des Vertus du nationalisme, de Yoram Hazony (un « esprit frère »), disciple de la théologie messianique du rabbin raciste Meir Kahane.

Soleil vert dit: à

rose dit: à
Soleil Vert
La pathologie de la mélancolie propre à la séparation ?
Comme avec Sergio ?

Badinter ce n’est pas seulement l’abolition de la peine de mort c’est aussi le début de la dépénalisation de l’homosexualité …

Paul Edel dit: à

Une demande en mariage bien peu ordinaire. Dans une longue lettre rédigée sur plusieurs jours, du 10 au 16 juin 1913, Franz Kafka formule enfin sa première demande en mariage explicite  et officielle à Felice Bauer: »Toutefois, nous n’avons plus le temps de beaucoup tergiverser, du moins je le ressens ainsi, voilà pourquoi je te demande: veux-tu être ma femme ? Le veux tu ? »
Mais le plus étrange c’est la suite de cette lettre. Quelques lignes plus loin il déclare :: « Car je ne suis rien, rien du tout […]. Porter un jugement sur les gens et m’identifier à eux, cela je m’y entends un peu […]. Je n’ai aucune mémoire, je ne me rappelle ni ce que j’apprends, ni ce que je lis, ni ce que je vis, ni ce que j’entends, je n’ai de mémoire ni pour les êtres ni pour les événements, je me fais l’effet de rien avoir vécu, de n’avoir rien appris […]. Je ne peux pas penser, en pensant je me heurte continuellement à des limites, je peux encore saisir certaines choses isolées au vol, mais une pensée cohérente et susceptible de développement m’est absolument impossible. En fait, je ne sais pas non plus raconter ; bien plus, je ne sais même pas parler ; quand je raconte quelque chose, j’ai le plus souvent un sentiment analogue à celui que pourraient avoir de petits enfants qui s’essaient à faire leurs premiers pas. »

Soleil vert dit: à

Me souvenais plus de ce mot de Mitterrand : « j’ai deux avocats, Robert Badinter pour le droit et Roland Dumas pour le tordu. »

Phil dit: à

des shlock

quel chutzpah !
L’editeur Schocken, exilé de Berlin, impose la langue allemande dans ses bureaux israëliens. Kafka ravi.

Janssen J-J dit: à

Apparemment, en France, il est toujours préférable
de stigmatiser les marxistes (communistes staliniens du passé) toujours « pour la peine de mort », plutôt que les 64 à 70% de nos bons français d’aujourd’hui, toujours favorables au rétablissement. Mais pourquoi ? quand tout le monde sait que cette majorité stable des français de bon sens, n’est située ni à droite, ni au Front, ni aux gilets jaunes, mais n’appartient bel et bien fondamentalement qu’à la gauche caviardée, soumise ou hein sous mise (en tutelle).
Robert aurait en outre dépénalisé le délit d’homosexualité : honte éternelle à lui, depuis 1982 ! Car la pédophilie n’a jamais autant augmenté depuis lors, dans l’Eglise ou au cinéma, comme on l’a-j entendu sur le terrain de pétanque. Les ministres de M. s’enc. et nous enc., et on trouve ça normal, hein !
Pauvre France d’MC et de Dédé-prime ! Et pendant ce temps, la planète regarde à côté… de Gaza et de Kiev. Bàv,

Bloom dit: à

« Nous sommes tous très orphelins d’un homme qui a porté avec un immense courage (cet esprit de justice, ces valeurs progressistes profondément humanistes) ; il nous racontait à quel point il ne pouvait plus sortir au restaurant (….) c’est un homme qui a été traqué parce qu’il revendiquait ces valeurs profondes humaines de justice ; cet homme avait une hauteur de vue, et c’est ce qui va nous manquer profondément aujourd’hui ; même dans ces dernières apparitions, chaque fois qu’il s’est mis à parler de quelque chose, c’était un phare (….) ; la dignité, la fougue, l’énergie incroyable qu »il avait dans ses plaidoiries (…) ; c’était un homme d’une classe et d’une tenue absolue. »

– Charles Berling, qui interpréta le rôle de Robert Badinter dans L’Abolition (2008), 13/14 France Inter, 9 février 2024.

Jazzi dit: à

Il me semble pourtant que du point de vue moral et philosophique, l’argument du professeur Yves Leborgne est recevable et discutable.
J’y pense souvent.
Peut-on ôter la vie à quelqu’un sans risquer la sienne ?

Jazzi dit: à

Le lien entre homosexualité et pédophilie, JJJ ?

rose dit: à

Janssen J-J
Transmis.
Réponse : c’est gentil hè !

Janssen J-J dit: à

@ Malgame…, Ben justement y’en a pas, voyons donc, jzmn !… Mais allez donc prêcher ça à la majorité des bons français qui y croivent, et notamment aux collèges Stalinclasse, en Russie et chez nous, à Parisse 🙂 ah ah ah
Bon, je sors, y’a de très bonnes huîtres au marché du coin en février, à 6,5 € la dz, des affinées de Marennes-Oléron, de chez Grasset. Y va pu en rester, à force !— Bàv,

Bloom dit: à

Roland Dumas pour le tordu

– La différence entre C. Deviers-Joncourt et une goélette?
– Aucune, toutes deux branlent du mât…

Bloom dit: à

Joncour

J’y cours.

et alii dit: à

et jamais assouvie.
ah,le jeune! et champion!

D. dit: à

Six euros 50 la fouzaine, c’est donné.
Dommage qu’on ait gu mal à trouver ça dans le 92. Le 92 c’est bien, sauf pour les huîtres. Tout le monde est d’accord là-dessus.

D. dit: à

Avec des carottes râpées.

duralex said laisse dit: à

(On attend ton Hommage à Badinter

Hier, ce fut France Badinter à France -Inter.
Et ce matin ça continue…
cela face à certaines personnes de gauche qui accablaient il y a peu de temps, madame Badinter, sur ses positions philosophiques universalistes et profondément républicaines.
Badinter disait bien que l’avenir est sombre.

duralex said laisse dit: à

On attend ton Hommage à Badinter

Et votre intérêt surtout.

duralex said laisse dit: à

Badinter disait bien que l’avenir sera sombre.

En effet.

et alii dit: à

on ne peut dire mieux que Badinter est un phare;j’y ai tant pensé que j’ai relu le poème de Baudelaire

Jazzi dit: à

« Badinter disait bien que l’avenir sera sombre. »

Oui mais avec des huitres et des carottes râpées, il s’éclaircit !

Alexia Neuhoff dit: à

Elisabeth Badinter est une philosophe engagée dans une forme de féminisme qui, effectivement, ne fait pas l’unanimité parmi les militantes de cette cause. Comment pourrait-il en être autrement ? Ses positions méritent d’être entendues, questionnées, discutées : c’est le principe même du débat intellectuel et la fonction de la philosophie. C’est au moins le signe que nous ne vivons pas (encore) sous un régime totalitaire.

closer dit: à

Plutôt que d’apprendre leur nom, cher Monsieur Charoulet, j’aimerais apprendre une bonne nouvelle: ils sont compétents, travaillent, trouvent des solutions à nos problèmes les plus criants et les mettent en place! Si c’était le cas depuis 7 ans (et même plus si l’on considère que EM travaillaient avec FH), cela se saurait.

Phil dit: à

nous ne vivons pas (encore)

Mme Agacinski, également philosophe engagée mais moins publicisée que Mme Badinter, n’est pas (tout à fait) de cet avis.

et alii dit: à

Autre idée reçue : le syndrome du deuxième tome,
depuis le temps que je suis la RDL,je me demande si l’on a fait un guide des symptomes identifiés par les pratiquants de la critique:évidemment avec des traitements dédiés;

et alii dit: à

et puisque j’y suis le contributeur acharnés à refiler ses endives ne souffrirait-il pas d-un TTROUBLE COMPULSIF ?trouble des conduites alimentaires?
A-t-il songé à consulter?

et alii dit: à

acharné! sans s ;

et alii dit: à

à propos des « vieilles dames » « infantilisées qui jouent les « petites filles »
il y a les coiffures, et les habillements qui suggèrent cette impression-petite fille- (souvent recherchée à leur insu par les aidantes,et les troubles alimentaires dont l’anorexie

Alexia Neuhoff dit: à

Phil dit: « Mme Agacinski, également philosophe engagée mais moins publicisée que Mme Badinter, n’est pas (tout à fait) de cet avis. »
Vous m’épatez ! D’une part, je ne vous voyais pas intéressé par le débat féministe, d’une autre je ne vous imaginais pas aussi intime de S.A. dont les avis n’ont pas de secret pour vous. Félicitations !

Jazzi dit: à

Après le choc de « La zone d’intérêt », le léZard fatigue…

Phil dit: à

Ne nous emballons pas, dear Miss Neuhoff. Il suffit d’écouter les ondes de Franceradio pour tomber des… nues.

et alii dit: à

c’est renato qui nous parla du fameux chat
le revoilà,ce chat;raconté par E.KLEIN .N’EN DePLAISE a pablo
Étienne Klein : « Le chat de Schrödinger aide à montrer à l’échelle macroscopique ce qu’il se passe à l’échelle microscopique. Dans cette histoire on a un chat quantiquement décrit comme un chat vivant + un char mort. »
https://www.dailymotion.com/video/x7zvw1v

B dit: à

Car la pédophilie n’a jamais autant augmenté depuis lors

C’est sérieux? si oui et en suivant votre raisonnement la pédophilie serait associée à l’homosexualité qui dépenalisée ouvrirait à la libération de pulsions perverses envers des enfants ou encore mineurs. Est-ce que ce que l’augmentation de ces crimes et enregistrée ne provient pas plutôt du fait que les cas sont plus recensés qu’auparavant, un peu comme pour le viol et la violence envers les femmes? A moins que votre communiqué soit ironique? Possible aussi d’envisager l’accroissement démographique associé à une déliquescence des moeurs s’originant je ne sais trop où puisque les religieux étant impliqués eux-aussi dans ces affaires ne tendent pas à prouver que la perte du « sacré » ou de la foi constituerait une explication à cet accroissement des comportement pervers envers les enfants. Plus on est, plus on dégénère?

B dit: à

Malgame…, Ben justement y’en a pas, voyons donc, jzmn !

Excusez, 3J, je n’avais pas lu ça.

Janssen J-J dit: à

B. vous avez l’art de faire vos questions et vos réponses… en feignant de croire qu’on ferait des « communiqués » ou des « raisonnements », de notre côté. Vous le faites exprès ou quoi… ?
Heureusement que vous êtes prise d’un doute : « A moins que votre communiqué soit ironique ? » Ouf…
(***je m’adressais à jzmn en l’interpellant sur @ Malgame…). B., bàv 🙂

B dit: à

et alii,  » je crois que la conscience morale agit comme un tribunal », constatons que chez certains la pile de dossiers s’accumule sur leur bureau sans qu’ils estiment et même n’entrevoient la nécessité de les ouvrir pour faire le point utile à statuer sur la nature de leurs agissements,la conscience n’occupe pas la psyché des délinquants et des criminels récidivistes mais je pense qu’elle n’encombre pas non plus trop certaines personnes qui bénéficient d’un statut recouvrant l’honnêteté, la droiture, la loyauté et qui pour certaines ont pignon sur rue.

B dit: à

3J, je vous l’ai écrit, je n’étais pas descendu jusqu’au suivant.

B dit: à

descendue.

J J-J dit: à

OK, nos messages se sont croisés, B…
Merci d’avoir rectifié avant moi. Bàv, cela dit, vos « hypothèses » mériteraient d’être discutées, mais pmp, pas envie; dans l’ensemble un brin trop capillotractées à mon goust…

@ rBl, au passage, je vous avertis de l’existence d’un important match de rugby dans l’après midi. Moij je vais me promener un brin, il fait trop beau, le muguet.

Bloom dit: à

Bonne balade, 3J, j’étais en forêt ce matin pour pouvoir me téléporter vers Murrayfield à l’instant (enceinte qui a bien changé, et pour le mieux, depuis que nous y allions voir les matchs en 79 et 80 de notre nord-est glacial et macbethien….)

Janssen J-J dit: à

n° 62 – Wer inherhald der Welt seinen Nächsten iebt, tut nicht mehr und nicht weniger Unrecht, als wer innerbalb der Welt sich selbst liebt. Es bliebe nur die Frage, ob das erstere möglich ist.

(deepl) -< Celui qui aime son prochain à l'intérieur du monde ne fait ni plus ni moins de tort que celui qui s'aime lui-même à l'intérieur du monde. Il ne reste plus qu'à se demander si le premier est possible.

(google) -< Celui qui aime son prochain dans le monde ne commet ni plus ni moins d'injustice que celui qui s'aime lui-même dans le monde. La seule question qui reste est de savoir si la première solution est possible

(Fillion) -< Qui en ce monde aime son prochain n'est ni plus ni moins injuste que celui qui, en ce monde, s'aime lui-même. Il resterait à se demander si le premier cas de figure est possible.

***Je "mesure" mieux-j aujourd'hui l'étendue des contresens possibles sur les apports respectifs des traductions "humaines" de FK et celles de l'IA… Brrr, —-

Jazzi dit: à

Est-ce la mort programmée du cinéma d’auteur ?

Tout ces cinéastes hétéros qui ont besoin d’une muse virginale pour les inspirer et qui ne peuvent se sublimer, créer, qu’en couchant avec elles : Jean-Claude Brisseau, Benoit Jacquot, Jacques Doillon, Philippe Garrel…

Alexia Neuhoff dit: à

Phil dit: « Ne nous emballons pas, dear Miss Neuhoff. »

Je m’emballe rarement. Le combat féministe est une cause que je défends. Cela ne me semble pas superfétatoire, même sous nos latitudes, où la domination masculine se ravive d’autant plus qu’elle est menacée dans ses fondements. Derniers spasmes de la bête aux abois? Comme en témoignent les délires de quelques contributeurs ici. Je ne partage pas pour autant les excès de militantes radicales dans leurs propos, leurs écrits ou leurs actions dès lors qu’elles tuent toute possibilité de dialogue (en appelant au boycottage, par exemple). Si leur colère est souvent juste, elle s’exprime de façon maladroite et improductive, notamment en calquant des modes de fonctionnement violents qu’elles sont censé combattre.

poussière dit: à

âme à l’ game vous jouez plutôt tordu mais rien de nouveau de ce point de vue… hélas…

B dit: à

. Le combat féministe est une cause que je défends

Si ce n’est pas indiscret, quels sont vos moyens, la militance, l’action ( comme par exemple les manifestations des Femen dont d’ailleurs nous n’avons pas de nouvelles), l’engagement au sein d’un mouvement? d’une association ?

B dit: à

Je m’emballe rarement.

moi c’est pareil sauf face à la connerie en général et de façon négative et d’une manière enthousiaste pour la peinture, la littérature, le cinéma encore quelquefois, la photo, les paysages et les chiens plus que pour leurs maîtres dont je n’ai à vrai dire que peu à faire, les hérissons quand ils sont vivants, les hérons cendrés, les aigrettes garzette, les poules angora, les rivages de l’Atlantique, les îles peu fréquentées, les torrents. J’en oublie, la liste exhaustive paraitrait sans interet.

William Boquet dit: à

(… et toujours pas un radicalisé de l’extrême droite religieuse pour soutenir ouvertement que Kafka était antisémite ; la RDL n’est plus ce qu’elle était … à plus loin)

B dit: à

Ceci dit, nous sommes toujours le con de quelqu’un et untel haut perché estimera que vous ne valez pas kopek, que vos capacités limitées ne devraient pas vous permettre de vous situer hors de la mêlée incriminée autant du côté de l’esprit qui vous anime, l’état d’esprit que sous l’aspect de vos états de services ainsi que du contenu du contenant. a y penser, l’expression  » on est toujours le con de quelqu’un » signifie mieux la position de cet autre qui vous prend pour un imbécile que sur les potentielles caractéristiques de celui qui devient victime d’un fourbe.

closer dit: à

Si vous avez l’occasion de lire le dernier numéro de la revue « Commentaires » (dans toutes les bonnes médiathèques), précipitez vous sur la deuxième partie des souvenirs d’Alain Besançon « De Sigmund Freud à Raymond Aron et George Orwell »…savoureuse promenade chez les intellectuels des années soixante.

et alii dit: à

« Von den ersten Versen der ostjüdischen Dichter möchte ich Ihnen, sehr geehrte Damen und Herren, noch sagen, wie viel mehr Jargon sie verstehen als sie glauben. Ich habe mehr eigentlich Sorge um die Wirkung, die für jeden von ihnen in dem heutigen Abend vorbereitet ist, aber ich will, dass sie gleich frei werde, wenn sie es verdient. Dies kann aber nicht geschehen, solange manche unter Ihnen eine solche Angst vor dem Jargon haben, dass man es fast auf ihren Gesichtern sieht. Von denen, welche gegen den Jargon hochmütig sind, rede ich gar nicht. Aber Angst vor dem Jargon, Angst mit einem gewissen Widerwillen auf dem Grunde ist schliesslich verständlich wenn man will. » « Avant que vous n’entendiez les premiers vers des poètes juifs d’Europe orientale, je tiens encore à vous dire, Mesdames et Messieurs, combien vous comprenez plus de yiddish (Jargon) que vous ne le croyez. Je ne suis pas vraiment inquiet de l’impression que cette soirée prépare à chacun de vous, mais je veux, si elle le mérite, qu’elle se dégage immédiatement. Mais cela ne peut pas se produire tant que le yiddish inspire à certains d’entre vous une angoisse qu’on pourrait presque lire sur vos visages. Je ne parle pas seulement de ceux qui traitent le yiddish avec dédain. Mais l’angoisse du yiddish, une angoisse mêlée au fond d’une certaine répugnance, est si l’on veut chose compréhensible. »
introduit l’article
Franz Kafka : Écoutez le yiddish
Max Kohn
https://www.cairn.info/revue-figures-de-la-psy-2007-2-page-193.htm

MC dit: à

JJJ, libre à vous de vous incliner avec force cérémonies devant la dépouille de Badinter, mais on ne partagera pas ici votre défense de sa politique. MC

MC dit: à

Toutes proportions gardées, cela fait penser au choeur des militants qui accompagnent les apparitions de Greberg Thumta.

MC dit: à

On applaudit sans savoir pourquoi, on suit l’idole sans se préoccuper des conséquences, et l4on est sur, betement sur, qu’on a raison… MC

et alii dit: à

Forward est un journal juif américain publié à New York (États-Unis). Il a été fondé en 1897 comme quotidien en yiddish (פֿאָרווערטס, Forverts) par Abraham Cahan (en) (qui en assura la direction jusqu’en 1946). Il était à cette époque l’organe des unionistes socialistes.

Sa circulation grandit rapidement, en parallèle avec la montée rapide de la population yiddishophone aux États-Unis. En 1912, il était tiré à 120 000 exemplaires1 et vers la fin des années 1920 et le début des années 1930, le Forward était un quotidien métropolitain d’influence considérable et de circulation nationale de plus de 275 000 exemplaires1,2 mais il avait déjà chuté à 170 000 en 19391. En 1962, on n’en imprimait plus que 56 126 en semaine et 59 636 le dimanche3 ; en 1983, le journal n’était plus publié qu’à titre hebdomadaire, avec un supplément en anglais2. En 1990, le supplément devint un magazine indépendant, qui avait atteint une circulation de 26 183 en 2000, alors que l’édition hebdomadaire yiddish continuait de décliner à 7 000 et en deçà4.

Si à aucun moment il n’oublie son passé socialiste, allant jusqu’à publier Le Capital en yiddish en fascicules, il veille à ce que le journal puisse rivaliser avec les autres quotidiens new-yorkais. Il impose un yiddish clair et simple. Tous les sujets, tous les styles sont abordés : les feuilletons à l’eau de rose, les essais photographiques, les courriers du cœur, les articles de science et d’histoire côtoient le reportage de fond, la critique d’œuvres littéraires, des derniers spectacles et films yiddish, la fiction de talent. Les écrivains yiddish les plus populaires des années 1920-1930, Sholem Asch et Israel Joshua Singer, collaborent au journal. Isaac Bashevis Singer y publie en feuilleton et en yiddish, dans les années 1950, une œuvre comme Ombres sur l’Hudson5. On y trouve aussi des traductions d’œuvres classiques et modernes, américaines et européennes.

Aujourd’hui, le Forward est publié à un rythme hebdomadaire, en éditions yiddish et anglaise
wiki

Bloom dit: à

La puissance de votre pensée nous éblouit ici, MC. Vous devriez postuler pour le poste de garde des sots.

William Boquet dit: à

Kafka et Dylan (Josephine the singer or the mouse folk) par McClure

Bob Dylan: The Poet’s Poet :
« (…) In Toronto I read Kafka’s “Josephine The Singer.” A mouse-narrator relates an account of a woman-mouse named Josephine who is a singer. She proclaims herself a great artist and the other mice congregate to hear her at the risk of their lives. But nothing will satisfy her ambition. She has a coterie of worshipful followers. Many of the mice people, however, are not at all sure that what she does, as fascinating and important to them as it is, is singing. They think that it may only be “piping” and perhaps it is her childishness (as she reflects simple attitudes of her people back to them) that is attractive: “Here is someone making a ceremonial performance out of the usual thing.” Josephine demands freedom from the labor quota of the mouse people. But no matter how much they love or worship her they will not free her from the work law. Josephine disappears — perhaps has gone into hiding — to force people to accept her demands. Anyone interested in Dylan and/or poetry should look at the piece.(…) »

https://www.rollingstone.com/music/music-news/bob-dylan-the-poets-poet-190445/

William Boquet dit: à

(la place de l’individu au sein de la communauté, la place de la communauté au sein de la société, la place de l’individu au sein de la société)

William Boquet dit: à

@On applaudit sans savoir pourquoi, on suit l’idole sans se préoccuper des conséquences, et l4on est sur, betement sur, qu’on a raison… MC

Le suivisme marche dans les deux sens ; à défaut d’une critique argumentée de « sa politique » (l’expression en elle même trahi une certaine mollesse intellectuelle et morale)

William Boquet dit: à

trahit

et alii dit: à

communauté?Société?
. Si Kafka a un sujet, c’est bien l’exclusion, le sentiment d’être exclu. C’est un sentiment d’être étranger, ou étrange, ou incapable de participer (ou, dans sa vie personnelle, incapable de se marier), et il transforme ce sentiment d’exclusion en désir de s’exclure lui-même. Lorsque les héros, ou anti-héros de Kafka, ne décrivent pas à quel point ils sont exclus – même de la Loi, qui par définition est censée inclure tout le monde – ils découvrent d’une manière étrange qu’ils se sont eux-mêmes exclus sans s’en rendre compte. Et, peut-être pire, sans que personne d’autre ne le remarque ou ne s’en soucie.
Sur parler et ne pas parler – Adam Phillips dans LRB :

William Boquet dit: à

@et alii dit: à
communauté?Société?

Au coeur de ma parenthèse : l’individu, autrement dit, la liberté

William Boquet dit: à

Liberté, égalité, fraternité ; voilà ce que Badinter a incarné mieux que d’autres

William Boquet dit: à

Dans ces conditions toujours, il paraît que rosanette a « entendu dire » que l’émancipation des juifs était en réalité une aliénation …

Patrtice Charoulet dit: à

@Madame ou Monsieur Closer

Pris de (l’excellente) revue « Commentaires » ?

closer dit: à

« Pris »?
Je l’ai lu à la médiathèque.

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

relâche

L’un des sens du nom « relâche »  (vx) est : interruption d’une activité fatigante ou désagréable ;
détente qui en résulte. REMARQUE. Le mot s’emploie en général dans des contextes où le genre n’est pas marqué : « un relâche » est aussi rare que « une relâche ».
Prendre un peu de relâche.- (sans article) se donner relâche.
Loc. adv. Sans relâche : sans répit, continuellement.

et alii dit: à

A PROPOS/ADAM PHILLIPS
Depuis 2003, il est rédacteur en chef des nouvelles traductions Penguin Modern Classics de Sigmund Freud . Il est également un collaborateur régulier de la London Review of Books .

Joan Acocella, écrivant dans The New Yorker , a décrit Phillips comme « le plus grand écrivain psychanalytique de Grande-Bretagne », [2] une opinion reprise par l’historienne Élisabeth Roudinesco dans ILEST EFFECTIVEMENT CONNU ET COMMPSY D ECRIVAINS
enfant de juifs polonais de deuxième génération . Il a grandi au sein d’une famille élargie composée de tantes, d’oncles et de cousins ​​et décrit ses parents comme « très consciemment juifs mais non croyants ». [4] Enfant, son premier intérêt était l’étude des

et alii dit: à

TOUJOURS D ‘A P
« « Être une personne – du moins une personne moderne – c’est être exclu de soi-même et des autres. Pour les plus manifestement exclus – par exemple les Juifs émigrés de la génération de Kafka dans des sociétés antisémites comme Prague – les options disponibles incluaient l’assimilation ou le sionisme, tous deux excluants. Mais il y avait aussi la question et la réponse qualificatives de Kafka : « Qu’ai-je en commun avec les Juifs ? Je n’ai rien en commun avec moi-même.

et alii dit: à

il me semble que ces dernières années,on parle beaucoup d’incarnation

et alii dit: à

L’Incarnation est le dogme chrétien selon lequel le Verbe divin s’est fait chair en Jésus-Christ. Cette notion est exprimée dans le Prologue de l’Évangile selon Jean : « Le Verbe s’est fait chair » (Jn 1:14). Elle se situe au centre de la christologie.

La notion d’incarnation fut débattue au cours du christianisme primitif. La controverse théologique la plus vive fut celle du docétisme.

et alii dit: à

adam excuses

William Boquet dit: à

Mon moteur de recherche serait-il antisémite ?

A la proposition « émancipation des juifs », il propose en première intention :

Émancipation des Juifs

Wikipédia
L’émancipation des Juifs désigne le processus de libération des Juifs en Europe et dans le monde, qui leur a permis d’obtenir la citoyenneté et la pleine …

Histoire des Juifs en France

Wikipédia
Les Juifs de France sont les premiers à jouir de l’émancipation que la France leur accorde au début de la Révolution française, tant dans la métropole que dans …

Je comprends mieux pourquoi Erdogan, entre autres, a banni wikipédia … des fois que ça éveille la curiosité, sinon l’esprit critique

William Boquet dit: à

On attend toujours, petites bêtes emplies d’éspoir que nous sommes, des précisions sur ce commentaire de rosanette et ses lourdes insinuations : « sur les noms donnés aux juifs au moment de leur émancipation ,pouvez vous me confirmer ce que j’ai entendu dire a savoir que pour le grand nombre de ceux qui prenaient des noms d’animaux la taxe dont ils étaient redevables pour l’inscription de ce nom à l’état civil variait en fonction de la noblesse de l’animal ? »

William Boquet dit: à

(la vente de titres nobiliaires a vécu)

William Boquet dit: à

@et alii dit: à
adam excuses

et alii nous dira tout de L’Evangile, ce fameux Pomerol

et alii dit: à

bill bouquet* »je ne suis pas un robot
(robot Mot tchèque robot formé sur robota fém. « travail pénible, corvée », empl. en 1920 par l’écrivain Karel Tchapek [1890-1938] dans sa pièce R.U.R., trad. en angl. dès 1923 (ds NED Suppl.2), pour désigner un androïde capable d’exécuter des travaux à la place de l’homme, v. Otto CNRTL)

William Boquet dit: à

@pour le grand nombre de ceux qui prenaient des noms d’animaux la taxe dont ils étaient redevables pour l’inscription de ce nom à l’état civil variait en fonction de la noblesse de l’animal ?

… une piste avalisante (assez fumante) de la génération rosanette
https://www.youtube.com/watch?v=gMdcE8jdz70

William Boquet dit: à

Vad hände med dem?

FL dit: à

Amusant. Peut-être pas exact mais amusant. Comme d’habitudes ça manque de noms.

« L’exemple coûte. » – Roland Barthes

https://twitter.com/ericmarty55/status/1755980886405718088?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Etweet

« Dans la mode sociologique actuelle, il est curieux de constater que les plus acharnés à réduire la réalité humaine aux rapports sociaux et aux rapports de production sont dans leur œuvre d’un narcissisme radical qui ne concède rien à autrui…. »

FL dit: à

* comme d’habitude

FL dit: à

Cela étant je me suis toujours pas remis des développements de Bergounioux sur les dents de ses enfants ou sur l’arbre du chemin qui mène à sa maison.

William Boquet dit: à

Il vaut sans doute mieux s’intéresser à la manière dont les foutriquets Villiers et Bardella tentent de faire leurs les causes de Badinter, le cadavre de ce dernier encore chaud, alors qu’ils en sont les pires contempteurs [on se souviendra ici des commentaires de rosanette le jour de la mort de Georges Steiner], mais enfin et puisqu’elle continue de tourner, un rappel du dévoiement de ce qui pouvait encore ressembler à un état civil en mai 2023 :

Mai 2, 2023

Israël/TPO. Les autorités israéliennes utilisent la technologie de reconnaissance faciale pour renforcer l’apartheid

Les autorités israéliennes utilisent un système expérimental de reconnaissance faciale appelé Red Wolf pour pister les Palestinien·ne·s et automatiser les très strictes restrictions de leur droit de circuler librement, a déclaré Amnesty International le 2 mai.

Dans un nouveau rapport intitulé Apartheid automatisé, l’organisation montre preuves à l’appui que Red Wolf fait partie d’un réseau de surveillance qui ne cesse de s’accroître et qui consolide le contrôle exercé par le gouvernement israélien sur les Palestinien·ne·s et aide à maintenir le système d’apartheid israélien. Le système Red Wolf a été installé aux points de contrôle dans la ville d’Hébron, en Cisjordanie occupée ; il scanne les visages des Palestinien·ne·s et les ajoute dans de vastes bases de données de surveillance, sans le consentement des intéressé·e·s.

Amnesty International a également rassemblé des informations montrant que l’utilisation par Israël de la technologie de reconnaissance faciale contre les Palestinien·ne·s dans Jérusalem-Est occupée s’est accrue, en particulier à la suite de manifestations et dans les secteurs entourant des colonies illégales. À Hébron et dans Jérusalem-Est occupée, la technologie de reconnaissance faciale soutient un dense réseau de caméras de surveillance en circuit fermé qui permet d’observer de façon presque constante les Palestinien·ne·s. Le rapport Apartheid automatisé montre que cette surveillance s’inscrit dans le cadre de la volonté délibérée des autorités israéliennes de créer un environnement hostile et coercitif pour les Palestinien·ne·s, afin de réduire au maximum leur présence dans les secteurs stratégiques.

L’histoire récente l’a montré et l’actualité le montre tous les jours, n’en jetez plus …
https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2023/05/israel-opt-israeli-authorities-are-using-facial-recognition-technology-to-entrench-apartheid/

et alii dit: à

L’antisémitisme d’hier et d’aujourd’hui, avec Annette Wieviorka

Lacan Web Télévision
Studio Lacan: émission 73
L’antisémitisme d’hier et d’aujourd’hui, avec Annette Wieviorka
https://youtu.be/0m2ylN5F3Y8

William Boquet dit: à

faire leur

FL dit: à

Irène Théry dont je rappelle qu’elle était violemment opposée au mariage homosexuel. Elle te l’expliquait par a plus b.

« Irène Théry, sociologue : ‘ Robert Badinter a permis de mettre fin à plus de vingt siècles de définition du couple comme formé nécessairement d’un homme et d’une femme ‘ ‘

https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/02/10/irene-thery-sociologue-robert-badinter-a-permis-de-mettre-fin-a-plus-de-vingt-siecles-de-definition-du-couple-comme-forme-necessairement-d-un-homme-et-d-une-femme_6215867_3232.html

et alii dit: à

peut-être ;aurais-je dû dire que personnellement, je compte « pour du beurre « ici où certains contributeurs ont des attentes importantes ;
hors de question pour moi de « m’attacher » à un contributeur ou une contributrice de la RDL pour quelque motif que ce soit; ni positif, ni négatif

D. dit: à

Pourtant je suis très attachant.

rose dit: à

Compter pour du beurre alors que vous êtes de la crème, il manque une étape qui suit la baratte.

rose dit: à

« C’est une mascarade. Je regrette qu’Anne Hidalgo se soit livrée à cela. Faisons attention à ne pas jouer avec la démocratie car au bout du compte, ça l’abîme », a asséné le patron de Bercy. »

> Bruno Lemaire
Et la vente des autoroutes à des entreprises privées ce n’est pas une mascarade et un déni de démocratie ? Avec les bénéfices éhontés générés.

rose dit: à

Dormi six heures.
Rêve érotique fascinant parce que puissant.

rose dit: à

Cette semaine à l’Ehpad, outre la semaine des mensonges, vite balayés lorsque tu ne mens jamais, cela a été la semaine des fils.
Alors que je me questionnais, Emma m’a dit « c’est parce qu’il pleut. Ils n’ont rien d’autre à faire, alors ils viennent voir leur mère » : implacable.

En tout cas, moi, je n’avais jamais vu cela. Hormis le fils exemplaire qui est là tous les jours, et à qui je n’ose pas dire, les autres fils ont jailli comme les crocus au printemps.

rose dit: à

Plus quatre.

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