de Pierre Assouline

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La République des livres
La mémoire de Javier Marías ne dormait que d’un oeil

La mémoire de Javier Marías ne dormait que d’un oeil

Rares sont les écrivains avec lesquels je ressens de profondes affinités, pour lesquels j’ai éprouvé dès la découverte de leur œuvre une évidente familiarité, auxquels je me suis attaché pour des raisons tant littéraires que purement humaines, sans les avoir jamais rencontrés, ni croisés, ni interviewés. Javier Marías en était. C’est peu dire que l’annonce de sa mort le 11 septembre 2022 à 70 ans m’a touché, une émotion inexplicable à ceux qui ne placent pas la littérature dans les hauteurs de l’art, une émotion ravivée par la parution à titre posthume de son dernier roman Tomás Nevinson (Tomás Nevinson, traduit de l’espagnol par Marie-Odile Fortier-Masek, 736 pages, 26,50 euros, Gallimard). Il n’est pas la suite de Berta Isla mais son complément. Il peut s’apprécier tout aussi bien isolément dans l’ignorance de ce qui l’a précédé.

Dès l’incipit, on comprend que le narrateur est un quadragénaire « élevé à l’ancienne », entendez qu’il s’interdit de frapper, torturer, trucider les femmes car cela heurterait son éducation, mais aussi que sa mission va probablement l’inciter à enfreindre ce tabou moral. Tuer quelqu’un, on en est tous capables. Question de circonstances. Recommencer, c’est autre chose. Tout dépend de la manière ; même les soldats mettent désormais des distances qui désincarnent cet acte ultime ; les soldats tuent par drones interposés ou sur écran comme dans un jeu vidéo. Tomás Nevinson est un agent du MI5 et du MI6 à la retraite et grillé, revenu vivre en 1994 à Madrid après des années de clandestinité et de silence, loin de sa femme et de ses enfants qui le considéraient comme disparu ou mort. Un homme maladroit et sec sur le plan sentimental, doté d’une double culture étant né d’un père anglais et d’une mère espagnole, fan du Real Madrid.

On le découvre lorsqu’il le retrouve Tupra, un ami d’autrefois, toujours actif dans les services secrets espagnols. Le « petit service » qu’il lui demande va l’obliger à replonger en servant, une fois n’est pas coutume, la cause de ses deux pays : il s’agit de localiser, puis d’identifier sous un palimpseste d’identités successives avant de l’exécuter une femme qui a activement participé à des attentats pour le compte de l’IRA et de l’ETA, ces sœurs jumelles. Très vite, l’enquête établit que de forts soupçons pèsent sur trois femmes. A charge pour lui de les approcher, de les espionner et de faire un rapport qui permettra d’engager une décision. L’une d’elle vit dans « une ville du Nord-Ouest » de l’Espagne, forte de 200 000 habitants, queJavier Marías se refuse à nommer de son vrai nom (« Ruàn » n’existe pas) mais dans laquelle se déroule une grande partie de l’action. Au début, il les épie à la manière du James Stewart de Fenêtre sur cour avant de se rapprocher de plus en plus jusqu’à créer des liens puis de démasquer la bonne. Anne Boleyn, Jeanne d’Arc, Marie-Antoinette étaient des femmes. Le souvenir de leur exécution le poursuit et le paralyse. Il a pourtant déjà tué. Deux fois. « Son doigt a du métier » comme on dit en Sicile. Un assassinat en perspective ? En effet, mais en éviter d’autres. Ce qui les différencie du camp d’en face, ce n’est pas seulement qu’ils ont de la mémoire et l’on sait qu’elle dort que d’un oeil : ils ne connaissent pas la haine. Trupa ne cesse de lui répéter. Ni la haine, ni la vengeance, ni le ressentiment- ce qui les distingue des policiers du GAL qui pratiquent secrètement les exécutions sommaires de « fanatiques », des terroristes ou prétendus tels.

« Le passé est un intrus impossible à refouler ».

La chute du mur de Berlin et ses conséquences sur les relations Est-Ouest avaient laissé les services secrets de certains pays désorientés, privés d’un ennemi héréditaire, épuisés et las. Aux Anglais et aux Espagnols restaient deux morceaux de choix clairement identifiés comme l’ennemi à abattre : l’IRA et l’ETA, les nationalistes catholiques irlandais et les indépendantistes basques, qui usaient de la terreur pour se faire entendre. Long et lourd est le sanglant palmarès basque. Tout Espagnol de ce temps-là se souvient, de quelque bord politique qu’il fut, du centre commercial Hipercor à Barcelone en 1987, de la caserne de la garde civile à Vic, d’une autre caserne à Sarragosse. Des massacres à l’aveugle sans parler des exécutions de plusieurs balles dans le dos de civils en pleine rue ou à une table de café, sans oublier en juillet 1997 le kidnapping puis le meurtre d’une balle dans la tête d’un jeune conseiller municipal du PP Miguel Angel Blanco, l’assassinat de trop qui horrifia particulièrement l’opinion publique et la fit descendre par millions dans les rues du pays pour hurler « Basta Ya ! ».

L’Espagne et l’Angleterre ont eu aussi leurs années de plomb rivalisant en barbarie avec celles de l’Italie. On conceptualisait déjà à loisir sur la violence d’Etat et la violence légitime. Si pratique pour se dédouaner des pires crimes ! Aux yeux de Tomás Nevinson, ces gens-là sont inaccessibles à notre entendement. Des décervelés qui ont subi un lavage de cerveau, et leurs chefs, des manipulateurs. Des gangsters enhardis par l’innombrable foule espagnole qui les conspue et les voue aux flammes de l’enfer après chaque attentat. Et il ne faut pas beaucoup pousser l’auteur pour qu’il y englobe également les batasunistas (néologisme forgé à partir de Herri Batasuna, branche politique de l’ETA militaire).

Dans les services secrets, ils avaient pris l’habitude de compter séparément les assassinats commis par l’ETA sous Franco et ceux perpétrés depuis l’instauration de la démocratie, allez savoir pourquoi (eux-mêmes semblaient l’ignorer). En revanche, on savait bien pourquoi les grands quotidiens américains qualifiaient toujours les gens de l’ETA de « séparatistes » ou de « nationalistes basques » mais jamais de « terroristes ». Pour autant, Javier Marías ne se lance pas dans de grandes envolées morales à prétention universaliste ; il nous assène juste des vérités qui nous parlent tant elles nous reflètent. Leur instructeur, du temps où Tomàs et Tupra étaient des apprentis espions, disait qu’il existe cinq chancres à combattre : la cruauté, la haine, la foi, la folie, la bêtise, toutes également contagieuses. Il leur en reste quelque chose.

« Tel est le problème de ceux qui nous connaissent depuis notre jeunesse : ils donnent l’impression de faire autorité et tout ce qui sort de leur bouche devient parole d’Evangile. Qu’ils disent la vérité ou qu’ils mentent »

Marías, on lui fait confiance dans l’ensemble car, sur ce que l’on croit connaitre aussi bien sinon mieux que lui, il ne se trompe pas. Aussi n’irons-nous pas vérifier si effectivement, les putes sous le régime nazi étaient obligées de crier Heil Hitler ! deux fois : pendant les préliminaires puis durant le prétendu orgasme. Ou si l’écrivain cubain en exil à Londres Cabrera Infante lui a vraiment dit un jour : « Tous les guérilleros auxquels on voue un culte, tous les terroristes soi-disant idéalistes sont avant tout des assassins aussi intelligents que rusés ». Ou si Franco avait vraiment sur son bureau la fameuse photo du cadavre de Mussolini pendu par les pieds en place publique « pour me rappeler que jamais je ne partirai comme ça ». On le croit sur parole. C’est d’abord cela le pacte de lecture.

Rien n’est simple, tout est double. Pas une page qui ne le murmure. Par sa complexité narrative, la richesse de ses personnages, la densité des situations, ce roman d’espionnage dont la maitrise est à couper le souffle fait irrésistiblement penser à l’œuvre de John Le Carré sans jamais verser dans une inspiration directe, un pastiche ou un à la manière de. Son écriture est aussi sinueuse et discursive mais bien plus digressive encore (ce goût de la digression lui est venu en traduisant Tristram Shandy) s’autorisant des développements de plusieurs pages apparemment hors-sujet avant de retomber sur ses pieds en virtuose, et nous avec.

Le narrateur parle alternativement à la première personne et à la troisième selon qu’il s’exprime sous son nom de Tomás Nevinson ou sous l’un de ses pseudonymes ; alors, le désignant, il le met à distance notamment lorsque celui-ci commet des actes ou ressent des émotions que Marias juge repréhensibles. Plus d’une fois il fait sien le fameux cogito d’Ortega y Gasset : « Yo soy yo y mi circunstancia » (« je suis moi et ma circonstance »). On croirait que toute son œuvre littéraire a gravité autour de cet axe pendant un demi-siècle : nos décisions sont  le produit de l’union insécable entre notre moi profond et le moment et le lieu où elles s’engagent.

Son intime commerce avec la littérature anglaise favorise dans son sens de l’humour une tendance naturelle à l’understatement (« Dachau, endroit insalubre entre tous… »).L’évocation de Waterfield’s et de Blackwell’s, des librairies renommées d’Oxford, exprime toute la nostalgie de l’ancien étudiant et de l’ancien professeur que fut Javier Marias dans cette ville. Mais la parenté entre les deux écrivains qu’une génération séparait s’impose d’évidence comme une filiation dans le diptyque formé par Berta Isla et Tomás Nevinson, favorisée par l’anglophilie profondément ancrée chez l’auteur. Qu’il cite Shakespeare, Yeats ou T.S. Eliot, ce n’est jamais gratuitement, cuistrement, en passant mais toujours à propos et de manière récurrente, comme des bornes du récit, des références signifiantes que l’on se plait à retrouver. Styliste assurément, il rend son récit si captivant hors toute notion de suspens que l’on en est véritablement captif ; la fiction n’est jamais aussi addictive que lorsqu’elle ne le fait pas exprès.

 Marías est de ces grands lecteurs pour qui les personnages les plus puissants de la littérature romanesque, le Quijote, le prince Salina, le narrateur de la Recherche et son entourage (il fait ici un usage permanent de Macbeth et du Becket de Meurtre dans la cathédrale) sont bien plus réels et présents que nombre de personnes de la vie quotidienne. Il vivait avec sa famille de papier davantage qu’avec les êtres de chair et de sang. Mais ses citations sont si naturellement inscrites dans le contexte qu’elles perdent soudain leur caractère de citation. A croire que ses classiques auteurs de chevet se sont mis au service deJavier Marías. De même qu’un livre moins connu et plus surprenant à cet endroit, encore que… : La Haine et la Honte (Tagebuch eines Verzweifelten) de Friedrich Reck-Malleczewen, journal d’un aristocrate allemand de 1936 à 1944.

L’intrigue est là, fortement charpentée, ce qui est d’autant plus remarquable que l’auteur prétend improviser, écrire au fil de la plume, ne rien planifier, en parfaite osmose avec son narrateur qui s’en remet davantage à son intuition et à son instinct qu’à l’organisation ; ainsi communique-t-il sa propre indécision à son personnage, lequel hésite tout au long du roman quand tout conspire à le convaincre que s’il va jusqu’au bout, il épargnera des malheurs à ses compatriotes ; mais si on litJavier Marías, c’est moins pour l’histoire que pour ce qu’elle dit d’autre que ce qu’elle raconte.

Quant au mystère le plus manifeste de cette édition, à savoir le choix de la photo de couverture en bandeau (un portrait de l’acteur Gérard Philipe dans Monsieur Ripois, le film de René Clément), même si Gallimard n’a fait que se conformer au choix de l’éditeur espagnol, on reste dubitatif. On croit certes se souvenir que dans Berta Isla, il était dit que Tomás Nevinson ressemblait à l’acteur ; mais rien de tel pour induire le lecteur en erreur car, après qu’une telle personnification du héros, il peut s’attendre à des développements à ce sujet ou à une quelconque exploitation de cette ressemblance alors qu’elle est inexistante dans le roman. Contrairement aux images récurrentes qui hantent le narrateur, notamment celle du personnage interprété par Walter Pidgeon dans Man Hunt (1941) de Fritz Lang, l’histoire d’un chasseur à l’affût dans la forêt proche de Berchtesdagen en juillet 1939 qui, découvrant soudain Adolf Hitler dans la lunette de son fusil, se demande : tirer ou pas, telle est la question. La photo reproduite sur une pleine page à l’intérieur du livre, la seule en 700 pages dont on peut penser qu’elle était donc suffisamment importante et nécessaire pour y figurer, eut été bien plus éloquente : à Vic peu avant Noël et peu après un attentat de l’ETA contre la Guardia Civil, ruine et désolation, avec au premier plan un père le visage en sang la mine hébétée, aussi désemparé que désespéré, portant sa fille blessée dans ses bras. Javier Marias consacre deux pages bouleversantes à ce que « nombre de Basques considéraient comme un carnage héroïque ». C’est de cela qu’il s’agit dans ce roman, et non de Gérard Philipe. Mais c’est moins séduisant. On n’ose imaginer que ceci explique cela.

(« Attentat à Vic » photo Pere Tordera ; « Le portrait de Miguel Angel Blanco brandi dans les cortèges » photo D.R. ; « Walter Pidgeon dans Man Hunt/ Chasse à l’homme » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

988 Réponses pour La mémoire de Javier Marías ne dormait que d’un oeil

FL dit: à

Au cas où ça vous aurait échapper, ces dames sont en train de se lâcher sur Beigbeder.

FL dit: à

* échappé

Janssen J-J dit: à

Effectivement, @ Paul & rôz, le qualificatif de « décisif » pouvait prêter à confusion…
Je n’apprends rien de « décisivement » nouveau dans ce que je cherche à percer chez Franz depuis toujours, car les rectifications des détails et l’apport des précisions apportés par Stach ne me sont plus très « utiles ». Je ne les mésestime évidemment pas, loin de là, mais mon « enjeu » est sans doute très différent du vôtre, à moij qui ne me suis jamais personnellement soucié de critique littéraire ou de m’atteler à une biographie.
Ce qui me parait le plus décisif dans le travail de R Stach, c’est la préface de justification de son entreprise. Et je vous invite à la relire et à la méditer, et croyez que je vous en prie sans vous accuser de l’avoir lue en diagonale… Et de surtout bien mesurer la portée de son aveu inaugural, relatif à la « vanité » (dérivée du qualificatif de vaine) de la démarche de tout biographe… Laquelle, au delà de l’empathie qu’il peut vouer à son auteur (conscient d’être « le premier » à s’y être collé), l’amène très honnêtement à reconnaître deux choses : 1°/ « l’empathie calme la douleur de ne pas savoir » (forumle magnifique ! p.35) ; 2/ voici la pierre de touche de toute entreprise biographique et singulièrement à l’égard de FK : « si un individu socialement insignifiant est en mesure de provoquer dans l’histoire de la culture mondiale un choc dont l’écho continue de retentir de nos jours, il semble que l’on doive considérer sa vie et son oeuvre comme deux univers inconciliables, obéissant chacun à ses lois propres »…
Pour moi, cher PE, tout est dit… Aucun biographe ne réussira jamais à pénétrer la loi de l’autre, pas plus que la loi du lecteur récepteur indéfiniment troublé par le mystère de l’oeuvre de son écrivain de prédilection… Ce lecteur sait qu’aucun biographe le plus empathique et fou qui soit, ne réussira jamais à concilier les lois disjointes des deux univers… De fait, Stoch a l’orgeuil de sa modestie quand il se propose comme tâche ou mission d' »expliquer comment une conscience à qui tout donne à penser, a pu devenir une conscience qui donne à penser à tous » (p. 33).
Je lui rends ainsi cet hommage et lui tend mon chapeau. Pas plus, pas moins. A la fin, aucun mystère ne sera, et je le sais pour ma part, comme je l’ai su après avoir passionnément lu la sociologie de Lahire, une entreprise tout aussi estimable que celle de Stach.
Cela dit, je voudrais vous faire comprendre que je lis cette immense bio avec le plus grand respect et scrupule, sans en rater une ligne, et je lirai évidemment les autres tomes à venir, car c’est en effet un monument cathédrale dans lequel j’ai voulu entrer sans que quiconque m’y ait forcé.. Fallait-il en faire un tel raffut, comme dirait « mon précieux » ?… Voilà qui est fait…
une dernière petite précision à PE /// je retire le terme d’insulte… En réalité, j’ai sur-réagi sur votre accusation de ma prétendue lecture en « diagonale ». Ce « clin d’oeil » ironique que j’ai cru adressé à un ancien pseudo désormais mort et enterré, reste surtout fort désobligeant… On peut bien adresser tous les défauts de la terre que l’on voudra à un keuf, sauf celui d’être un lecteur inattentif, alors qu’il a toujours été du genre plutôt laborieux. Car vous usez là du même type de sarcasme qu’une MS, dès que l’on touche et douche ses lectures enthousiasmées. Elle insulte à qui mieux mieux ce qu’elle vous imagine, vous le savez bien, sans revenir sur les objections formulées, tandis que vous…, vous tentez d’argumenter pour démontrer qu’on aurait eu tort de vous contredire, noh sans oublier au passage la petite pique finale s’apparentant au sabot de la mule. C’est à l’évidence une nette différence de degré, et sans doute un progrès dans la manière dont les herdéliens se parlent et s’estiment en général… Voilà pourquoi je prends soin de m’expliquer. Et que celzéceux que cela peut emmerder m’enjambent allégrement. Je les emmerde comme on dit poliment dans les milieux proustiens qui s’acoquinent parfois avec le peuple 🙂
Bàv,

J J-J dit: à

(suite) aucun mystère ne sera levé (oups/opus)

et alii dit: à

elon toute vraisemblance, Léonard de Vinci n’était qu’à moitié italien. Sa mère, Caterina, était une juive circassienne née quelque part dans le Caucase, enlevée à l’adolescence et vendue comme esclave sexuelle à plusieurs reprises en Russie, à Constantinople et à Venise avant d’être finalement libérée à Florence à l’âge de 15 ans. la conclusion à laquelle est parvenu le nouveau livre Il sorriso di Caterina, la madre di Leonardo , de l’historien Carlo Vecce, l’un des plus éminents spécialistes de Léonard de Vinci.
tablet

rose dit: à

Janssen J-J

Ai dit a Emma la réponse.
J’ai répété en trois lettres, signalé que ce n’était donc pas le couvent. Elle a dit « la rue ». Puis a donné sa langue au chat.
Quand j’ai donné la réponse la SPA, s’est caché les yeux, a poussé un gros oh, et tout le toutim.
L’était abalobée. Et ensuite, toute contente.

Merci à vous, grosses bises.

et alii dit: à

guardian:
« Selon le professeur Martin Kemp, professeur émérite d’histoire de l’art à l’Université d’Oxford, la mère de Léonard était Caterina di Meo Lippi, une orpheline pauvre et vulnérable, qui n’avait que 15 ans lorsqu’elle a été séduite par un avocat. Elle vivait avec sa grand-mère dans une ferme décrépite, à environ un mile de Vinci dans les collines toscanes.

Kemp fait part de ses affirmations dans un livre qui sortira le mois prochain, Mona Lisa: The People and the Painting , écrit avec le Dr Giuseppe Pallanti, économiste et chercheur en art. Des documents récemment découverts ont également mis en lumière la célèbre gardienne du portrait, Lisa del Giocondo, et son mari, Francesco. Loin d’être un marchand de soie florentin distingué, comme on le supposait auparavant, il était « un opérateur pointu », faisant le commerce du sucre de Madère, du cuir d’Irlande, de la propriété, de l’argent – et des esclaves, estime Kemp, à en juger par les preuves d’achats

FL dit: à

Un peu comme Rimbaud quoi.

FL dit: à

Un peu comme Rimbaud quoi.

Jean Langoncet dit: à

Du procès du Kafka de Stach. Merci Paul Edel pour vos témoignages décisoires

Mary Curry dit: à

La bio de Kafka, par R. Stach, parue il y a 20 ans, qui vient seulement d’être traduite en français, montre surtout l’oeuvre d’imposture d’un milieu germano parisien, ceux qui ont cru intelligent de le présenter à leur image ou d’autres qui l’ont traduit avec désinvolture quand ce n’était pas de l’incompétence.

Mary Curry dit: à

Encore une fois, merci aux éditions du Cherche Midi et à R. Quatresous, le traducteur, les autres peuvent remballer leur baratin, Edel aussi.

Jazzi dit: à

« diagonale »

Pourquoi le choix de ce défunt pseudo, JJJ ?

D. dit: à

Pourquoi ennuye-t-on Donald Trump ? Qu’a-t-il fait ?

MC dit: à

FL on pourrait ajouter le côté épicé de la cuisine romaine, surtout si on lit Apicius. Lequel n’est pas un personnage de Quignard, Bien à vous. MC

D. dit: à

Jean-Paul Capitani n’est plus.

renato dit: à

Marcus Gavius Apicius, De re coquinaria libri.

rose dit: à

borne rétractable qui était alors en position basse pour permettre l’accès à des véhicules sur la place de la République. « La borne serait remontée au moment où le vélo passait, propulsant son passager en l’air », explique le

Cela s’appelle un plot.
Il y a les mécaniques et les autres avec laser.
Les mécaniques sont sujets à des dysfonctionnement.

Hyper dangereux.
RIP M.Capitani.

rose dit: à

dysfonctionnements.
S’il se déclenche sous ton véhicule et percé le carter d’huile, le moteur est foutu, ta voiture part à la casse.

D. dit: à

Encore un coup de borne.

MC dit: à

Si ma mémoire est bonne , on lisait Diagonal.

FL dit: à

Très épicée donc MC ! Les Romains inventeurs de la cuisine indienne : légumes et épices.

FL dit: à

Le pois chiche reste un incontournable de la cuisine méditerranéenne. De l’est à l’ouest. Du nord au sud.

Un invariant multimillénaire comme l’huile d’olive.

Va essayer de faire manger des pois chiches à une personne née au nord de la Loire. Bon courage.

FL dit: à

Le pois chiche, l’huile d’olive et l’oignon.

FL dit: à

Je ne sais pas comment a été fait cette carte. A la regarder je pense qu’elle a quelque chose de vraie. Même s’il faudrait mettre des bémols. Par exemple historiques.

Le pois chiche c’est toute la méditerranée + le Portugal. Même si les pays du Maghreb doivent en faire une consommation plus importante que les autres pays.

Un régime végétarien bien entendu doit comporter des légumineuses qui est la source de protéines et remplace la viande ou le poisson.

https://twitter.com/INRAE_France/status/1630872959773491200/photo/1

et alii dit: à

poignet droit pété « en tombant;
bon seder!
shalom

rose dit: à

Je ne sais pas si le charouset de Seder, la Pâque juive, peut dépasser le pudding.

Peut-être me lancerai-je.

Le pudding je l’ai noyé sous le cognac, 80 ans d’âge et le jus de la confiture d’orange très liquide, moit/moit, et servi avec des écorces d’oranges moelleuses.

Pas encore goûté, je vous en donnerai des nouvelles.

rose dit: à

Je l’ai fait goûter à un trentenaire héroïque, qui en a redemandé le lendemain.
J’ai biché.
Deux ont éclaté de rire. É-cla-té. La seconde fois, j’y suis allée un peu fort sur le cognac. Usuellement, il y a une sauce au brandy avec du beurre cru servi avec des fruits frais. J’ai adapté cognac + oranges.

En cas de guerre, tu amènes un pudding dans ta musette, tu tiens trois mois.
Qui va permettre de faire cesser la guerre en Ukraine contre la Russie ? En Russie contre l’Ukraine ?

rose dit: à

Macrounet qui voyage en Chine ?

rose dit: à

Le pois chiche, l’huile d’olive et l’oignon.

FL et l’ail.

Et les oranges.
À Nice, comme à Athènes, les orangers couverts d’orange que personne ne cueille !!!

rose dit: à

d’oranges

rose dit: à

Nous avons lu Diagonal et MàC.

rose dit: à

Bon Seder à tous
« Pessah – la Pâque juive – commence mercredi 5 avril 2023 au coucher du soleil. Le premier Séder a lieu ce même mercredi 5 avril après la tombée de la nuit, et le second Séder a lieu le jeudi 6 avril après la tombée de la nuit. Les festivités prendront fin au soir du jeudi 13 avril 2023. »

Et que Bouguereau revienne.

rose dit: à

Jazzi
C’est magnifique ! Merci pour l’info. !

rose dit: à

Jazzi
Ne peux pas voir la tombe de Juliette, pas inscrite sur Facebook.

rose dit: à

Jazzi
Ne peux pas voir la tombe de Juliette, pas inscrite sur Facebook.
Ai pu entrevoir qu’elle était très fleurie.

Janssen J-J dit: à

Connaissez-vous le fion vendéen, que l’on confectionne par les temps de Pâques… ? Nos poules pondent en abondance en ce moment. Une pâtisserie qui n’a rien d’un étouffe-chrétien, sans blague… Profitez-en !… les guerres de Vendée sont bien lointaines, et ce département a le vent des globes en poupe.
https://www.google.com/search?q=fion+vendeen&rlz=1C1CHBD_frFR843FR843&oq=fion+vendeen&aqs=chrome..69i57j46i19i512j0i19i22i30l6j0i15i19i22i30.3804j1j15&sourceid=chrome&ie=UTF-8

@ MC, Si ma mémoire est bonne/. Oui, elle est. Il fallut changer le pseudo et prendre une ligne plus droite, moins hypoténuse, au bout d’un certain temps quand Diago ne rejoignait plus Jean-Jacques J.! Célavie.

@ GP n° 204 – Je me souviens de Pierre B., mon grand-père maternel, décédé à 101 ans et pas mécontent, disait-il juste un peu avant. Aujourd’hui (5.4.23_8.54), il aurait eu 118 ans.

GP n° 205 – Je me souviens des hurlements « à la parodie de justice » de la veuve de Mao Tsé Toung (Zedong), lors de son procès après la prise de pouvoir de Teng Xiao Ping. Je ne sais pas pourquoi je me rappelle de cela ce matin. J’avais trouvé cette femme terrifiante. Elle se grava dans l’hypocampe.

Je veux saluer la future victoire prochaine de l’Ukraine résistante face à la barbarie poutinienne condamnée par l’Histoire. Et l’entrée officielle de la Finlande dans notre OTAN. La Suède finira par nous rejoindre en dépit du veto de la Turquie. L’Europe sera de plus en plus forte pour imposer au reste du monde pourri par le capitalisme financier, la nécessaire transition écologique redistributive des mondiaux communs, pour endiguer la crise climatique.

… Et la justice pénale de l’Amérique puritaine est passée de son côté sur son grisbi… Qui l’eût cru ? Singulier pays, Nicole Ba, pas vrai ?

News du jardin : ouf, les jeunes pousses n’ont pas gelé cette nuit !… Longue vie à nos start-up végétales, je l’espère.

Bàv,

D. dit: à

Je me suis procuré les deux journaux de la macronie : Playboy et Pif.
Si quelqu’un les veut ?

renato dit: à

FL, comme condiment les Romains employaient le garum, une sauce liquide d’entrailles de poisson et de poisson salé équivalent du gyosho japonais. Cela ne signifie pas qu’il y a eu influence des premiers sur les deuxièmes ou vice-versa. De même pour les pâtes, qui sont apparue en différents lieux, surtout Chine et bassin méditerranéen. Les pâtes anciennes étaient en blé tendre (ou autres céréales : millet, p. ex.) non séchées — courte durée de vie — diffusées un peu partout. Les Arabes, dans leur périple de la Chine à la Méditerranée, se nourrissaient avec des pâtes en blé tendre séchées d’origine chinoise — meilleure durée de vie —. Les Siciliens sont passés au blé dur. Donc, les Arabes ont transmis aux Européens les pâtes en blé tendre séchées, comme par ailleurs le zéro — invention indienne —.

Cela dit, le fait qu’il ait fallu attendre les marchand Arabes m’étonne, car d’un côté il y a eu l’ouverture de da Route de la Soie en concomitance avec l’expansion de l’empire d’Alexandre ; d’un autre côté, les anciens historiens chinois ont enregistré des ambassades romaines en Chine. La plus ancienne remonte à l’empereur Antonin le Pieux ou Marcus Aurelius et arriva en Chine en l’an 166.

honneur de blog dit: à

Macrounet qui voyage en Chine?

Sortez de votre étroit grangeon, rose!

rose dit: à

Étroit ?
Non, carré.

D. dit: à

Les yeux de merlan frit, c’est très bon avec du Nutella.

rose dit: à

Non merci D.
Je lirai, si vous la faites, votre analyse, sinon je m’en passerai volontiers.

honneur de blog dit: à

Melle (rose) nous les bassinent bien fort!
Un étroit carré tout de même.

renato dit: à

FL, à propos du végétarisme chez les Romains.

Pendant près de vingt siècles, Ovide a voulu nous faire croire qu’il avait vécu huit horribles années d’exil sur les bords de la mer Noire *, tout en restant à Rome… (Eliot a pleuré pour de vrai au bord d’un lac : « By the waters of Leman I sat down and wept… ». **).
Ovide parle de froid et de glace, bref, il décrit une Roumanie qui serait dans l’océan Arctique. Les températures, cependant, ne sont pas adaptées, certains critiques ont fait une comparaison météorologique assez crédible et, surprise, la différence entre les conditions climatiques de la Roumanie et celles du centre de l’Italie était insignifiante. Qu’en est-il du vin qui se transforme en glace dans la tasse ? Pourquoi collectionner de drôles de noms de poissons si ce n’est pour s’amuser à esquisser une espèce d’écriture dada ? Peut-être les ravages de l’âge, puisque à propos de l’Halieutica : « id volumen supremis suis temporibus incohavit » ***. Par ailleurs, le poète bordelais Ausone s’est servi de l’Halieutica composer le catalogue des poissons de la Moselle, mais ça c’est un autre moment…

Le poète se serait-il trompé dans l’écriture de sa propre légende ? L’expression « carmen et error » ne renvoie-t-elle pas à un fait réel ? C’est insignifiant, car Auguste n’était pas homme à se perdre en jouant « l’élégant empereur sur les terrasses vêtu d’une trabea transparente », on peut dire qu’il n’était nullement stupide, et par conséquent que Corinne lui aurait semblé un prétexte insuffisant pour se mettre en colère. Il est peut-être plus raisonnable de s’attacher à l’opinion du Dr Ernest Bonnejoy **** qui, se référant à l’éloge de Pythagore *****, avance l’hypothèse qu’Ovide était pythagoricien et végétarien, ce qui aurait causé sa disgrâce, car il « blâmait ouvertement les coutumes de la cour ». Mais ce n’est probablement pas la raison invoquée par Auguste : et aujourd’hui encore, l’obscurité règne sur les véritables raisons de l’exil du poète de l’Ars amatoria. La question reste de savoir pourquoi Ovide invente non seulement Corinne, mais aussi l’exil. Pourquoi inventer ? Il avait une carrière, avait déjà écrit les Métamorphoses et il « travaillait à un ouvrage où il traitait du calendrier romain avec un sens mondain et amusé de la littérature » ****** : aurait-il inventé un exil uniquement pour répandre des lamentations mélancoliques ?

Peu importe comment chacun organise sa légende : Ovide l’a probablement inventée ; Henri Rousseau l’a sans doute inventée : le Mexique, la Jungle, le Désert. Tous deux avec des résultats admirables ; d’autre part, il y a ceux qui insistent pour l’organiser à travers des faits réels et qui n’aboutissent à rien.

* A.D. Fitton Brown, The unreality of Ovid’s Tomitan exile, Liverpool Classical Monthly, 10, 1985.
** The Waste Land – le verset renvoie au Psaume 137, dans lequel le peuple d’Israël, exilé à Babylone, pleure au bord du fleuve en se souvenant de Jérusalem. Eliot parle du peuple d’Israël mais pense aux Européens et Jérusalem représente l’Europe avant la Première Guerre mondiale. Après les ravages de la guerre, les Européens ont traversé une période difficile et n’ont pu que pleurer les bons souvenirs du passé. Référence également au congé de convalescence de la Lloyd’s Bank qu’Eliot a passé à Lausanne pour recevoir un traitement psychologique.
*** Pline l’Ancien, Naturalis historia, livre XXXII.
**** Le Végétarisme et le régime rationnel, Paris 1891.
***** Métamorphoses, chap. XV.
****** Maurizio Bettini, I classici nell’età dell’indiscrezione, Einaudi, Turin 1995.

D. dit: à

Macron, Darmanin et Borne ont une qualité commune: ils ne portent pas de barbe. Il faut leur reconnaître ça.

D. dit: à

Je ne sais pas si c’est judicieux de gaver les sans-dents de sucre et acides gras trans et saturés ? Il faut leur donner des légumes à la place. Par exemple des endives.
Aucun nutritionuste ne dira le contraire.

Jazzi dit: à

« aurait-il inventé un exil uniquement pour répandre des lamentations mélancoliques ? »

Un auteur pour Clopine !

Jazzi dit: à

Promis, D., après ta mort, on ira distribuer des endives aux SDF parisiens !

D. dit: à

« Un régime végétarien bien entendu doit comporter des légumineuses qui est la source de protéines et remplace la viande ou le poisson. »

Absolument pas. Ça ne remplace aucunement pour deux raisons :
– les protéines végétales sont beaucoup moins assimilables que les protéines animales.
– elles sont carencées en certains acides aminés indispensables.

rose dit: à

Melle (rose) nous les bassinent bien fort!
Un étroit carré tout de même.

On commence par l’orthographe avant de balancer des insanités.

Nous les bassine.
Sujet Melle.

Deux conclusions :
– Plus macho que vous, tu meurs (qui dit aux femmes de se taire =>je vous emmerde💩.)
– Plus nul en orthographe que vous, tu meurs également : ce n’est pas pck il y a devant nous et les que le verbe se conjugue au pluriel 🧐).

Bilan : mon grangeon est le mien, occupez-vous de vos chaussettes.

Bilan bis : je crois que quinze jours de plus pour Bouguereau, cela nous ferait des vacances de Pâques.

rose dit: à

honneur de blog dit: à
Macrounet qui voyage en Chine?

Sortez de votre étroit grangeon, rose!

Honneur de blog à côté de la plaque.

rose dit: à

Des vacances de Pâques.
🐰🕶️🌧️🥚🐓

honneur de blog dit: à

La gilet jaunasse rose se déchaîne!

honneur de blog dit: à

à côté de la plaque.

Tectonique.

Jazzi dit: à

« Et si le directeur de Playboy ne compte dévoiler aucun détail, il fait en revanche monter le suspense : « Ce que je peux dire, c’est qu’elle est dans des poses étonnantes de la part d’un ministre, ça c’est sûr » »

Je veux bien ton numéro de Playboy, D., mais seulement si Marlène Schiappa est à poil !

renato dit: à

Un humaniste obtus vaut-il mieux qu’un électricien automobile averti ?

Pablo75 dit: à

« Un régime végétarien bien entendu doit comporter des légumineuses qui est la source de protéines et remplace la viande ou le poisson. »
Absolument pas. Ça ne remplace aucunement pour deux raisons :
– les protéines végétales sont beaucoup moins assimilables que les protéines animales.
– elles sont carencées en certains acides aminés indispensables.
D. dit:

Comme d’habitude, tu dis n’importe quoi. J’ai l’impression qu’à force de manger des endives ton cerveau est en train de se liquéfier…

« Le quinoa a aussi un bon contenu en méthionine, en cystine, en arginine, en histidine et en isoleucine, ce qui en ferait un complément parfait pour les légumineuses, qui ont une faible proportion de certains de ces acides aminés essentiels. »

« Le quinoa est composé à 70% de glucides, 15% de protéines, peu de lipides, des fibres et de nombreux minéraux tels que le fer, le manganèse et le cuivre. Le quinoa contient davantage de protéines que les céréales et surtout il contient tous les acides aminés essentiels (AAE) qui font en partie défaut à ces dernières. Le quinoa est donc particulièrement recommandé dans le cadre d’une alimentation végétarienne. »

Avant de pontifier bêtement, informe-toi:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Graine_de_quinoa

rose dit: à

La gilet jaunasse rose se déchaîne!

honneur de blog dit: à
à côté de la plaque.

Tectonique.

Non, testostérone, soi disant honneur de blog.
De facto, vous avez besoin de cela et êtes incapable de vous en en passer pour faire passer vos journées d’ennui mortel.

Et sans votre dose de bidoche, rouge saignante (je passe le reste sous silence, doses immodérées d’alcool, ganja, cocaïne, pornographie) et bien, il vous manque toujours quelque chose.
Si vous ne gnackez pas, vous êtes mort : quelle triste vie que la vôtre.

MC dit: à

Très épicée, oui. On a trouvé des sites de conservation du Garum -les conserveries de l’époque- en Bretagne. Cela dit, quant on voit une recette de Ket-shup (ainsi l’orthographiait-on, en deux mots) dans un livre de cuisine de la Restauration, avec marinade de la substance durant trois jours et passage à travers un linge (!) on se dit que nos aïeux avaient aussi le gout épicé ,,et que ce ketchup là vaut bien le notre, le surpasse peut-être en force. Pourquoi invente-t-on? Vaste question. Ovide-a-t- ul invente son exil? Probablement pas. Je formule l’hypothèse d’un mécanisme de surenchère visant à attirer la pitié. Le procédé est assez courant. Exile à Quimper, le Pere Caussin prétendra dans ses lettres que le bruit des vagues de l’ Odet, dans les faits, une bien innocente et calme rivière, l’empêche de dormir! Il y a peut-être de ça dans les terrifiantes descriptions de la Roumanie Ovidienne…. Inventer une Dame, ou des rapports platoniques avec, est déjà plus convenu. Avant Corinne il y a Lydie… Je note qu’ Alexia N ne me répond toujours pas sur les filles Heredia. Il serait pourtant amusant que l’aïeul fut le terne Rene Doumic! Bien à vous. MC

rose dit: à

Sauf qu’il est hyperdangereux pour les pays concernés de surconsommer du quinoa pck nous mettons alors les populations locales en danger.

renato dit: à

Enfin, Jacques ! Si on a un minimum de pratique pas besoin d’une photo de Playboy pour savoir ce que la confection contient !

D. dit: à

Le merlan est préférable au quinoa. Je ne comprends pas que l’on puisse prétendre le contraire.

renato dit: à

“Le merlan est préférable au quinoa. Je ne comprends pas que l’on puisse prétendre le contraire.”

Et vous en dites quoi de l’endive revenue dans le bouillon d’oeufs dures ?

D. dit: à

Mon analyse ? Faudrait pas qu’elle fasse tâche.

D. dit: à

Ça me donne ennvie d’essayer, renato.

renato dit: à

Vous salez l’eau de œufs dures, D. ?

Pablo75 dit: à

Sauf qu’il est hyperdangereux pour les pays concernés de surconsommer du quinoa pck nous mettons alors les populations locales en danger.
rose dit:

C’est exactement le contraire. Il y a plein de « populations locales » qui sont sorties de la pauvreté grâce au quinoa, et cela d’autant plus qu’il est vendu souvent (le bio en tout cas) sous le label commerce équitable.

À part ça, on trouve de plus en plus du quinoa français dans les magasins bio.

closer dit: à

Aux légumes il manquera toujours la B12, qui est vitale.

Jazzi dit: à

oeufs durs, renato
En français l’oeuf est masculin, contrairement à l’italien « uva »…

Jazzi dit: à

Je m’emmêle les pinceaux !
l’oeuf est bien masculin en italien « uovo », l' »uva » c’est le raisin !

Pablo75 dit: à

Aux légumes il manquera toujours la B12, qui est vitale.
closer dit:

S’il y avait un aliment qui contenait tout ce qu’il faut pour vivre en bonne santé, ça se saurait.

et alii dit: à

calculs:
Par ailleurs, aucune preuve solide ne permet pour le moment de prouver l’existence de liens entre la Grande-Bretagne et les anciens cultes solaires proche-orientaux. « La première élaboration du calendrier 365 plus 1 jour est documentée en Égypte seulement deux millénaires plus tard que Stonehenge », ajoutent-ils. Ils suggèrent en revanchent que l’objectif principal de l’installation était cérémonial, en mémoire des morts : les fouilles montrent que de nombreuses parties différentes du vaste complexe ont été utilisées comme lieux de sépultures pendant des centaines d’années.

Pour Timothy Darvill, interrogé par nos confrères de LiveScience, « ce qu’ils disent ne remet pas en cause le modèle essentiel des structures de sarsen à Stonehenge construites comme une manifestation d’un calendrier solaire perpétuel ». Sa dimension cultuelle, par exemple, pourrait expliquer l’alignement avec le solstice d’hiver, date liée aux morts dans certaines religions préhistoriques. Les débats de longue date autour de ce « témoin silencieux du paysage sacré de ses constructeurs », comme le décrivent les chercheurs, sont donc loin d’être clos — sans rien enlever « à sa fascination et à son importance extraordinaires », concluent-ils tout de même.
https://www.geo.fr/histoire/stonehenge-naurait-finalement-pas-ete-un-ancien-calendrier-solaire-suggerent-de-nouvelles-recherches-214046?utm_campaign=20230405&utm_medium=email&utm_source=nl-geo-histoire#nlref=3f61450b4cf08e9d44ccf6c2f649e776&part%5Bname%5D=pm&part%5Btoken%5D=3f61450b4cf08e9d44ccf6c2f649e776&srAuthUserId=3f61450b4cf08e9d44ccf6c2f649e776&utm_campaign=20230405&utm_medium=email&utm_source=nl-geo-histoire&nlsha=c9d208096a0cf9890af148e732b7f0569a768fe1b915dacd51f2d2d7cda0cdd7

honneur de blog dit: à

Je suis végétarien madame rose gilet jaunasse!
Vous êtes comme les élépfistes sans fil, projetant vos fantasmes grangeonnesques sur ceux qui ne sont pas d’accord avec vos propos éthyliques! 🙂

Sport martial dès à présent.
A ce soir.

et alii dit: à

ukraine
Il devient brièvement le drapeau de la toute nouvelle République populaire ukrainienne en 1918, avant d’être balayé par le rouge soviétique. Il faudra attendre 1991 et l’effondrement de l’URSS pour que le bicolore flotte à nouveau dans le ciel ukrainien. Le blason de l’Ukraine y est parfois apposé : il s’agit d’un trident qui prend la forme d’un faucon fondant sur sa proie, au style fortement influencé par le passage des Vikings dans le pays. geo

une main dit: à

La rose et le raid Zebda. 🙂

rose dit: à

propos éthyliques!

Comme on est soi-même on voit les autres.
Honneur de blog, catalogué.

une main dit: à

H d B et son altère égo…

honneur de blog dit: à

rose et son O ferrugineux.

et alii dit: à

sur geo:tout sur les repas(et même les plus anciens)

renato dit: à

C’est la question des vestiges dans les désinences des neutre pluriel latins de certains mots, Jacques : un œuf masculin, des œufs feminem (un uovo, delle uova).

et alii dit: à

suite haroset
De manière plutôt surprenante, la première référence connue à la pratique de plonger dans le charoset peut provenir non pas de la littérature rabbinique mais du Nouveau Testament, une citation de la bouche de Jésus, rien de moins, trouvée dans l’Évangile de Matthieu. Jésus et ses 12 disciples se réunissent pour un repas qui est presque certainement la fête de la Pâque, quand Jésus dit : « Celui qui trempe sa main avec moi dans le plat, celui-là me trahira

renato dit: à

« Et que Bouguereau revienne. »

Il faudrait se souvenir des passages de chacun, donc Passou dot :
« Une précision à propos de Bouguereau : je l’ai suspendu (et non banni) temporairement car il a insulté de manière répétitive l’un des contributeurs qui intervient sous son vrai patronyme. Ca n’a pas sa place ici. J’aurais voulu l’en prévenir par courriel et lui demander d’arrêter mais son adresse est aussi fausse que sa signature est pseudonyme. Bientôt, il pourra à nouveau contribuer à sa guise. Et s’il recommence il sera cette fois banni. Ici ça marche comme ça depuis 15 ans”.
https://larepubliquedeslivres.com/deux-fois-kafka-avec-autant-dempathie/comment-page-3/#comment-1288626

Cela étant donné, je suppose que lo robot attend une adresse vérifiable.

Jazzi dit: à

« un œuf masculin, des œufs feminem (un uovo, delle uova). »

Oui, d’où ma probable confusion entre l’oeuf et le raisin, renato ?

renato dit: à

dot > dIt

Alexia Neuhoff dit: à

Mon aïeul, cher Marc, figure dans le tableau de Paul Chabas « Chez Alphonse Lemerre à Ville-d’Avray » (1895).

Jazzi dit: à

Figure t-il parmi ceux-là, Alexia ?

« Qui sont ces poètes, confédérés depuis 1866 autour de la revue du Parnasse contemporain d’Alphonse Lemerre, et qui avaient fait dire à Rimbaud qu’il serait Parnassien sinon rien ? Outre Charles Cros et ses deux frères, Antoine, le médecin, et Henri, le sculpteur (« l’un ausculte et l’autre sculpte »), Rimbaud rencontre, par l’entremise de Verlaine, d’autres connaissances de ce dernier, ceux notamment qui, après avoir lu ses poèmes, s’étaient cotisés pour le faire venir à Paris. Tels Léon Valade, du même âge qu’Arthur, mais qui écrit des poèmes plutôt mièvres ou parfois des portraits satiriques, ou Charles Mérat, trentenaire flamboyant, arborant une superbe canne et surnommé le « Cigare dédaigneux ». Ainsi que le musicien Ernest Cabaner, le doyen et le plus décavé de la bande, qui joue du piano pour gagner sa pitance dans un bar à soldats de l’avenue de la Motte-Piquet, du côte de l’Ecole militaire, ou au Café de Bade, dans le Quartier latin, et auquel Léon Valade avait consacré un sonnet s’achevant sur ces vers : « Il se nourrit de lait, de miel, de harengs-saurs/Pâle quand on le voit s’acheminer vers l’orgue/On lui dit : Où tes pas s’en vont-ils ? A la morgue ?/Ruisselant, il répond : « Je n’y vais pas, j’en sors ». Ou encore, le caricaturiste Louis Forain, de deux ans plus vieux que Rimbaud, et qui, comme lui, a connu l’errance et vit d’expédients. Ces esprits rebelles entretiennent leur amitié à grands coups de verres d’absinthe bien tassés, jusqu’à tard dans la nuit.
Sans oublier Théodore de Banville, un des chefs de file des Parnassiens avec François Coppée. »

et alii dit: à

Hérédia était parnassien:
« le dernier essai de William Marx, Des étoiles nouvelles qui paraît aux éditions de Minuit. Originant sa réflexion sur une vive polémique qui, au début du siècle dernier, agita la France au sujet d’un sonnet de Heredia, Marx explore une manière inédite d’appréhender la manière dont la littérature découvre le monde et permet de le percevoir. Oeuvrant à ce qu’il nomme une astrocritique, le professeur au Collège de France enquête sur l’image des étoiles nouvelles et ses accidents en traversant nos bibliothèques. Autant de raisons pour Diacritik de partir à la rencontre de l’essayiste le temps d’un grand entretien. »
https://diacritik.com/2021/03/05/william-marx-la-bibliotheque-deploie-une-cinquieme-dimension-invisible-a-loeil-nu-des-etoiles-nouvelles/

et alii dit: à

parnassien suite avec william MARX:
De telles analyses avaient cours dans la poésie classique, et la poésie parnassienne s’y prête aussi. On peut alors être conduit à constater que ce qui fonctionne merveilleusement dans le texte ne pourrait pas fonctionner tel quel dans le monde : d’où une grosse déception de l’interprète réaliste, alors que le formaliste s’en moque. Dans la pratique toutefois, il n’y a pas de formalisme qui tienne sans un rapport particulier à notre savoir du réel, ne serait-ce que pour le contredire. En tout formaliste travaille en sourdine un réaliste qui lui fournit les outils de l’interprétation. Puissante est l’image littéraire capable à la fois de suggérer beaucoup et de s’adapter à des contextes divers, sinon contradictoires : une

et alii dit: à

plus de 90 000 personnes se sont tournées vers ce dispositif (ex-MonPsy) entré en vigueur le 5 avril 2022. Il permet d’obtenir un remboursement de huit séances par an chez un psychologue libéral, sur prescription médicale, dans le cadre de troubles « légers à modérés ».

Si les professionnels réclamaient des mesures pour l’accès aux soins psychiques, après une pandémie qui a fait des ravages sur la santé mentale des Français, le programme a toutefois été largement décrié dès sa présentation par le gouvernement. Dénonçant tant ses nombreux critères d’exclusion que ses modalités d’accès ou la tarification imposée, les psychologues ont annoncé un boycott du dispositif. Un an plus tard, il affiche un bilan très mitigé, en dépit des
obs

Alexia Neuhoff dit: à

Bilal Hassani ne pourra pas se produire ce soir dans l’église Saint-Pierre-aux-Nonnains de Metz. Pour la raison qu’un collectif catholique a estimé que ce « chanteur transsexuel » n’avait pas sa place dans ce lieu que sa présence profanait. Il se trouve que cette église a été désacralisée depuis des siècles et qu’elle est dévolue à des concerts de musique en tous genres. Face aux menaces dudit collectif et aux risques d’insécurité qu’elles auraient pu engendrer le spectacle a été annulé. Ce que ne peut qu’approuver Françoise Grolet, conseillère régionale de la région Grand-Est et élue du Rassemblement national, qui appelait à revenir «au bon sens».
Je ne sais pour ainsi dire rien de ce chanteur ni de ce qu’il chante. Pour autant, cette annulation est assimilable à un acte de censure. Il ne faudrait pas que cela préfigurât l’avenir des activités culturelles dans ce pays avec qui l’on sait au pouvoir.

et alii dit: à

un produit de marquage codé (PMC). Des projectiles contenant le produit, tirées avec un fusil de type paintball, doivent permettre de marquer les manifestants à distance. Invisible à l’œil nu, inodore, le produit persiste longuement sur la peau et les vêtements.

C’est la première fois qu’en France ces PMC justifient des mises en garde à vue dans le cadre d’une manifestation. Pour la gendarmerie, ils doivent permettre de faciliter l’arrestation des militants commettant des violences. Mais leur utilisation semble pour l’instant encore expérimentale.
à Sainte-Soline

et alii dit: à

l’info sur les PMCest sur reporterre

et alii dit: à

PRECISION de l’express:
« Plusieurs pelotons seront en capacité de se servir des PMC » pour le 1er-Mai à Paris, affirment les forces de l’ordre.

Patrice Charoulet dit: à

Amusant !

Comme dans beaucoup de communes, le conseil municipal dieppois, adresse à chaque habitant un Journal de bord périodiquement et, conformément à la loi, offre une tribune à tous les groupes de ce conseil, y compris aux groupes d’opposition.
Dans le numéro que je viens de recevoir, je lis toutes ces tribunes. Or, dans la tribune du Rassemblement national (parti pour lequel je ne vote jamais), je découvre une vingtaine de fautes d’orthographe grossières.
Le texte fourni a été publié …tel quel ; on n’est pas allé jusqu’à corriger ce déluge de fautes d’orthographe.
Amusant !

renato dit: à

« … sa place dans ce lieu que sa présence profanait. »

Vue la « qualité morale » du gros des catholiques ce son plutôt eux qui profanent les églises.

renato dit: à

son > sonT

Janssen J-J dit: à

@ AN
Faut-il déduire de cette lamentable affaire que l’interdiction du préfet du coin aurait été motivée, sous prétexte officiel de trouble à l’ordre public aux abords d’une églidse désacralisée, par des considérations bienveillantes à la pression des intégristes catho du FN qui ont tant charmé le conseil général, protestant contre la menace de quelques fans LGBT ?…
Voilà ce qu’est devenue la neutralité de « l’Etat-Macron » aux aboisd, qui aurait tant besoin de calmer les ardeurs « marinesques » de la popul française… Evoui, on en est là, jzmn !….

(affaire à suivre attentivement, comme celle des bassines).

Alexia Neuhoff dit: à

@JJ-J
Pour ce que j’en ai lu, c’est le producteur du spectacle qui a pris la décision de l’annuler. Au regret de la municipalité qui ne l’organisait pas, se contentant de louer la salle (l’église). D’une part, le « collectif Aurora Lorraine » et le « groupe Lorraine Catholique » ayant appelé « à venir prier le chapelet, à 19h45 ce mercredi 5 avril, devant la basilique », le producteur a estimé plus prudent de ne pas mettre en danger le public. En réponse, une mobilisation en faveur du chanteur, était prévue, à 19h à la colonne de Merten, avec pour mot d’ordre : « Ne laissons pas les racistes et les LGBTphobes dicter leurs lois ».
Quant au « collectif Aurora Lorraine », il se décrit comme étant « au cœur d’un combat civilisationnel, culturel et social ». Tout est dit.

D. dit: à

J’ai décidé de quitter ce blog définitivement pour la raison suivante : personne ne m’aime.

J J-J dit: à

Merci pour ces précisions, AN, en effet j’ai suivi ça de loin… Tout aussi édifiant que le départ de D. ! Non, restez… je vous en pris, l’boug va revenir après Pak et la décision du Conseil Constit. qu’il attend avec beaucoup d’anxiété, comme toute la France… TOut le monde vous aime, au contraire… même RM a beaucoup d’écritures sur vos pâtes aux endives… !

Phil dit: à

Alexia ou le vain combat

Jean Langoncet dit: à

De la vulve de truie farcie chez Horace et de la démagogie des RNeux en réseaux virtuels, à chacun ses filiations ; confère supra

Jean Langoncet dit: à

@Voilà ce qu’est devenue la neutralité de « l’Etat-Macron » aux aboisd, qui aurait tant besoin de calmer les ardeurs « marinesques » de la popul française… Evoui, on en est là, jzmn !….

Choisi ton camp camarade ! De l’extrémité du petit doigt de pieds gauche à l’extrémité du petit doigt de pieds droit ; deux points d’appui indiqués pour investir l’Arc de Triomphe

J J-J dit: à

@ dirJL, vous connaissiez ça, vous ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Bangalter
Première fois que j’en entend causer. Ai du manquer qq chose à ma culturgé.
@ dirPhil, votre très mauvais jeu de mots supra, entre nous, il est… On ne TRAITE pas en vain les gens de la sorte, même si on n’est pas d’accord avecques leurs combats.

Jean Langoncet dit: à

choisis

Jean Langoncet dit: à

@dirJL, vous connaissiez ça, vous ?

Vaguement, comme tout le monde ; mais je connais un chat polydactyle

Jean Langoncet dit: à

…et tant de têtes bien pleines – de vide, éventuellement – plutôt que bien faites

Jean Langoncet dit: à

mais je connais un chat polydactyle > mais je connais un chat polydactyle sur le bout des doigts

J J-J dit: à

@ Choisi ton camp camarade (sic : un S à ce verbe à l’impératif, SVP)
C’est lui qui m’a « choisi »… Voyez plutôt !
Ne me tutoyez pas au nom du communisme…
Votre thèse itérative sur les extrêmes qui se rejoindraient pour aller détruire le Capitole commence à me courir grave, ainsi que votre allergie au jaune, bouton d’or et à votre approbation de la réforme des retraites à 64. Enfin, chacun sa merde, hein !
Bàv,

Phil dit: à

Pas d’affolement dear Jjj, il me semble Hassani s’est produit sans souci à Saint Eustache, de quoi satisfaire Jean. La Lorraine, reste barrèsien d’énergie nationale, faut-il en faire une quiche

Jean Langoncet dit: à

Voilà (un sursaut d’empathie me conduit à vous considérer de mauvaise foi ; un troll, quoi)

Janssen J-J dit: à

Moi j’ai surtout gardé le souvenir d’une hyène dactylographe… Pas très reluisante du pelage d’ailleurs… Les chats ptérodactyles, non je vois pas bien, là…. Je n’aimerais pas en arriver aux insultes à nouveau, même si le beau temps est toujours un peu orageux en fin de journée
Bàv, (-et à Micheline Presle, quasi centenaire…)

et alii dit: à

on m’a traité, mon poignet,mais il y a peut-être « quelque chose » de cassé;donc à suivre,
bonsoir

Jean Langoncet dit: à

Sous d’autres faisceaux horaires, la journée de ne fait que débuter

Jean Langoncet dit: à

@deux points d’appui indiqués pour investir l’Arc de Triomphe

Du déjà vu. Se référer à cet égard aux condamnations définitives intervenues à l’encontre de ceux qu’on appelle communément les « fachos », notamment sinon exclusivement ; qu’ils se travestissent aujourd’hui des costumes de l’extrême gauche pour manipuler l’opinion doit fortement leur coûter …

Jean Langoncet dit: à

@Voilà ce qu’est devenue la neutralité de « l’Etat-Macron » aux aboisd, qui aurait tant besoin de calmer les ardeurs « marinesques » de la popul française… Evoui, on en est là, jzmn !….

La France : combien d’églises et combien de concerts de transsexuels non baptisés en leur sein ?

Patrice Charoulet dit: à

Saint-Simon et Sido.

« Les vingt volumes de Saint-Simon se relayaient au chevet de ma mère, la nuit ; elle y trouvait des plaisirs renaissants .»( Colette, « La Maison de Claudine », chapitre « Ma mère et les livres »)

rose dit: à

Pleine lune rose en bélier.

closer dit: à

« D’une part, le « collectif Aurora Lorraine » et le « groupe Lorraine Catholique » ayant appelé « à venir prier le chapelet, à 19h45 ce mercredi 5 avril, devant la basilique », le producteur a estimé plus prudent de ne pas mettre en danger le public. »

Des fois que des grenades offensives soient dissimulées sous les chapelets…on est jamais trop prudent.

Bande de cons!

D. dit: à

Bon je reste, uniquement parce que l’on m’a supplié et je n’aime pas voir les gens pleurer à mrs genoux. Mais bon. La prochaine fois…

Janssen J-J dit: à

@ Sous d’autres faisceaux horaires, (j’aime beaucoup les fuseaux et les fuselles, aussi)
@ La pleine lune est prévue le 7. Il faut planter juste à sa redescente et tondre itou, l’herbe repousse bien moins vite,
@ on connaît beaucoup de transexuelles catholiques sur cette chaine. Ne nous obligez pas à les faire chanter dans nos églises désinfectées (sic) !
@ on m’a traité, mon poignet,mais il y a peut-être « quelque chose » de cassé;donc à suivre (sic), / Apparemment, il se casse tous les deux jours. Peut-être pas la peine d’insister outre mesure… Arrêter le clavier mal tempéré…
@ l’empathie du troll ?… doit pas savoir trop à quel sein téter son lait.
@ bélier ascendant sagittaire, c’est le type qui fonce tête baissée dans le lard mais s’arrête toujours à temps à cause du doute de la flèche du sagittaire qui le repousse pour le calmer. Il en résulte souvent une montée en soupe au lait… Comme pour un sevrage erratique qui aurait mal tourné, chez le sujet (feu 1 – feu 3).
@ en passant par la Lorraine, la seule région que je n’eusse jamais fréquentée. Manque à ton palmarès de géographie en sabot. Tesson et Kahn s’en sont également détournés. Tu me diras, sont pas vraiment des modèles de chemises noires à suivre.
(**** JMR de Gaston Roupnel)

Jean Langoncet dit: à

On est l’idiot.te utile des faisceaux qu’on peut

Janssen J-J dit: à

@ Des fois que des grenades offensives soient dissimulées sous les chapelets…

Elles le sont, et exigent de se désencercler des contrôles légitimes. L’histoire nous a suffisamment appris que rassemblées sous des chapelets ensoutanés, elles étaient souvent la cause primaire et initiale de nouveaux foyers d’infection pendémiques. A surveiller, oui.

J J-J dit: à

traduction ? « On est l’idiot.e utile des fascistes (de fascié, faisceaux) qu’on peut », keupu, Autrement dit, des islamo gauchistes radicalisées, si l’on comprend bien la perversité des trolls incandescents. Et ça nous situe le gars au centre droit, vers chez François Beyrouth, le palois en IGAME.

J J-J dit: à

alors ce film sur les 3 Moustiques, ça vaut-il le coup, jzman ? Il sort chez nous demain !, avec un jour de retard… Le temps d’avancer encore un brin dans l’avis de Kafka. Bàv,
nb/ le chanteur belge Stormae renonce à tous ses concerts, etalii va devoir annuler une fois de plus sa présence.
Merci de n’avoir pas mis votre menace à exécusssion, D. Un grand tourment de moinssssssss, pour les hendives de l’ère Delly.

Jean Langoncet dit: à

Du dans le mille.

Jacques dit: à

Cette immonde et répugnante créature de Bilal Hassani qui chante comme une merde transexuelle de bas étage et qui, par provocation et pour faire le buzz, veut chanter dans une église !
Qu’il aille chanter dans une mosquée au Maroc et on verra ce qui lui arrivera.
Cet avorton est soutenu sur ce blog par les deux sales gouines gigi et jazzi. Est-ce un hasard ?!
Qu’ils crèvent tous, ces maudirs dégénérés.

Jacques dit: à

…ces maudits…

Jean Langoncet dit: à

@les néo-nazis végétariens

Doit-on réintroduire la vulve de truie ?

On savait vivre en ce temps-là ! Les noms de Lucullus et d’Apicius ne veulent plus guère dire grand-chose de nos jours. Certes, nous n’en sommes plus aux extravagances simplistes de la Nouvelle Cuisine d’il y a une dizaine d’années et le poulet au Coca Cola n’est plus en odeur de sainteté dans les restaurants branchés de la capitale, mais nous sommes encore très loin de la finesse et de l’élégance des Romains de l’Antiquité.
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/doit-on-reintroduire-la-vulve-de-39631

J-J J dit: à

erreur…, jzmn est encore au cinoche, s’est pas encore prononcé sur gisèle Halimi… Calmez-vous, les gouines sont + propres que la moyenne en général, surtout à pkrl, voyons doncques ! Couché opié, vous disj !

J J-J dit: à

J’avions point encore vu la tronche de cette chanteuse. Elle a l’air pas male sur la wiki. Une fausse blonde peut-être ? Mais enfin qui ne l’est pas de nos jours, hein ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bilal_Hassani
C’est à cause de ça qu’il y a tout ce raffut dans les églises de lorraine ? Ben mon ieux !

FL dit: à

On m’avait dit qu’Ovide avait surpris l’impératrice en train de rendre un culte à la Grande Déesse. Culte à mystère. Et c’est ce qui explique sa disgrâce.

Ça serait donc faux.

Jean Langoncet dit: à

Des végétariens légendaires.

Arrêtée par des SS en 1942 dans un petit village de Prusse orientale où elle avait fui la guerre, Margot Woelk avait en effet été choisie avec une quinzaine d’autres femmes pour devenir goûteuse au service d’Adolf Hitler. Un rôle qui lui a permis de connaître de nombreuses habitudes du leader de l’Allemagne nazie, notamment son régime alimentaire. Le Führer était en effet végétarien, ne consommant ni viande ni poisson, mais des produits frais en majorité. Il s’interdisait également la cigarette et l’alcool.
https://www.lemonde.fr/europe/article/2013/02/15/une-gouteuse-de-hitler-se-confie-a-la-presse-britannique_1833440_3214.html#:~:text=Le%20F%C3%BChrer%20%C3%A9tait%20en%20effet,complicit%C3%A9%20d'un%20officier%20sup%C3%A9rieur.

FL dit: à

Oui mais il faut que les inventions se diffusent Renato. Il ne suffit pas de les connaître. Il faut que ça se diffuse.

Moi je fais toujours mes pâtes fraiches à la farine de blé banale. Je viens de découvrir que certains mettent de l’huile. J’en ai jamais mis. Ni oeufs non plus. Eau + farine. C’est tout.

Jean Langoncet dit: à

@renato dit: à
« … sa place dans ce lieu que sa présence profanait. »
Vue la « qualité morale » du gros des catholiques ce son plutôt eux qui profanent les églises.

Assertion que l’on pourrait prêter à la vache Kyrill de Moscou la genevoise, renato

FL dit: à

Bon j’ai oublié les oranges chère Rose.

Mais le nord en consomme. L’ail aussi. Huile d’olive, pois chiches et oignons (les crus en tout cas) c’est plus nettement méditerranéen.

FL dit: à

Le problème d’Adolphe c’était pas son végétarisme c’était plutôt la cocaïne.

renato dit: à

J’ai en effet parlé de transmission, EL.

D. dit: à

Moi la vulve, je l’aime aux endives.

Jean Langoncet dit: à

Peut-être, mais son « végétarisme » a connu des suites industrielles aujourd’hui florissantes ; et pourquoi pas ?

renato dit: à

Prêtez-la à qui bon vous semble JL, mais dans les limites du possible démontrez-moi qu’elle est fausse.

Jean Langoncet dit: à

De ce point de vue, commencez par montrer votre étalon, renato

renato dit: à

Yehudi Menuhin et Leonardo étaient végétariens, mais ni l’un ni l’autre ont commis de crimes…

renato dit: à

Pas besoin de votre invitation JL !

renato dit: à

Déjà la quantité de prêtres pédophiles en dit long sur les qualités morales de ces gens.

FL dit: à

Ce qui montre au minimum c’est que la réputation du grand artiste français avait dépassé les frontières dès le début des années 30.

Des cours sur « La Recherche » étaient donnés aux États-Unis par l’infâme Bernard Faÿ.

renato dit: à

FL, ce regard su Ovide est un patchwork composé de diverses hypothèses que l’on trouve en cherchant à droite et à gauche, qu’il soit vrai ou pas n’a pas d’importance, car ça ouvre des perpectives.

Jean Langoncet dit: à

@Vue la « qualité morale » du gros des catholiques ce son plutôt eux qui profanent les églises.

Définir votre étalon – vos critères d’évaluation, si vous préférez -pour juger du “gros des catholiques” ; est-ce trop vous demander pour me permettre de vous répondre de manière circonstanciée, renato ? Tu parles d’un romain végétarien se revendiquant d’Ovide … parvenu à un certain point, la mythomanie est une pathologie
https://www.youtube.com/watch?v=IN8LVe8y-2I

renato dit: à

Je ne suis pas végétarien.
Je laisse aux crétins le plaisir de se revendiquer de…
Pas besoin des réponses circonstanciées de qui que ce soit.

Jazzi dit: à

« Jeanne du Barry », réalisé et interprété par Maïwenn avec Johnny Depp dans le rôle de Louis XV, fera l’ouverture du 76e Festival de Cannes et sera présenté en avant-première mondiale. Le sixième long métrage de la réalisatrice sera projeté le mardi 16 mai sur l’écran du Grand Théâtre Lumière, après la cérémonie d’ouverture retransmise en direct sur France Télévisions et Brut. « Jeanne du Barry » sortira le même jour dans les salles françaises.

Jazzi dit: à

Retraites : onzième journée de grève et de manifestations ce jeudi.
Cette nuit pleine lune rose.

Demain, la France va-t-elle se réveiller apaisée ou en plein chaos ?

JC..... dit: à

Que le haute-contre maquillé comme Guignol chante dans une église désaffectée, un entrepôt d’engrais puants, une annexe woke à la Sorbonne, une chambre basse au Vatican peuplée de cardinaux peu regardant, on s’en fout !

La religion est une distraction futile et tolérante qui en a vu d’autres, bien pires …

renato dit: à

« Tu parles d’un romain végétarien se revendiquant d’Ovide »

Et puis c’est quoi cette broderie ? donc, si je parle d’un poète homosexuel je me revendique homosexuel et si je parle de Gramsci du communisme ? Mais on va où avec l’interprétation des mots des autres ? on ne peut plus parler de quelques choses sans qu’un crétin suspecte qu’on s’y cache derrière ?
`
6.4 — 7.27

Jean Langoncet dit: à

renato est translucide comme une feuille de riz

Jazzi dit: à

Pour en revenir à la littérature

Céline

l’exode de juin 40

« Braoum ! Vraoum !… C’est le grand décombre !… Toute la rue qui s’effondre au bord de l’eau !… C’est Orléans qui s’écroule et le tonnerre au Grand Café !… Un guéridon vogue et fend l’air !… Oiseau de marbre !… virevolte, crève la fenêtre en face à mille éclats !… Tout un mobilier qui bascule, jaillit des croisées, s’éparpille en pluie de feu !… Le fier pont, douze arches, titube, culbute au limon d’un seul coup ! La boue du fleuve tout éclabousse !… brasse, gadouille la cohue qui hurle étouffe déborde au parapet !… Ça va très mal…
Notre bouzine cane, grelotte, engagée traviole au montoir entre trois camions déporte, hoquette, elle est morte ! Moulin fourbu ! Depuis Colombes qu’elle nous prévient qu’elle en peut plus ! de cent malaises asthmatiques… Elle est née pour les petits services… pas pour les chasses à courre d’enfer !… Toute la foule râle à nos trousses qu’on avance pas… Qu’on est calamité pourrie !… C’est une idée !… Les deux cent dix-huit mille camions, chars d’assaut et voitures à bras, dans l’épouvante massés fondus se chevauchant à qui passera le premier cul par-dessus tête… le pont croulant, s’empêtrent s’éventrent s’écrabouillent à tant que ça peut… Seule une bicyclette en réchappe et sans guidon…
Ça va trop mal !… Le monde écroule !…
« Avancez donc charognes freineuses ! Et chiez donc malotrus vaseux ! » »
(Guignol’s band)

renato dit: à

Et là je comprends les limites du gars : puisque « translucide » vaut corps transmettant la lumière de manière diffuse au travers duquel les objets apparaissent flous, « feuille de riz » est de trop — économie des moyens nada ! pourtant ici il n’y a pas une jolie prof de cinquième à impressionner avec une métaphore à deux balles ! —

Jazzi dit: à

Le temps, ce grand trieur sélectif littéraire !

A propos du tri sélectif et autre compost naturel, que découvrent benoîtement nos grands dadais d’écolos d’aujourd’hui, pas même capables de ramasser correctement les poubelles à Paris.

Ici, le petit Jazzi de 5 ans découvre la maison de ses grands-parents maternels, rue de la Tour, à Lucéram, Alpes-Maritimes, par un beau jour de l’été 1957 :

« Nous arrivâmes* à l’heure où finit la sieste. Une population joyeuse et bonne enfant nous attendait avec impatience, telle la dernière diligence dans les plaines du Far West. Tenant son bagage d’une main et moi de l’autre, mon père s’apprêtait à nous faire grimper la ruelle principale du village, quand je vis un jeune garçon se détacher d’un groupe de chenapans et venir lui secouer la manche** de sa veste : je n’avais pas reconnu Ange*** ! Durant tout le trajet, tandis qu’il me décrivait avec volubilité les charmes du village, il m’apparut comme un étranger. Il avait forci, pris de l’assurance et son allure maintenant était celle d’un petit paysan. Presque parvenus au sommet du village, mon frère me désigna, juste en contre bas de la tour crénelée, la maison de nos grands-parents.
L’habitation et ses occupants me parurent d’emblée rustiques.
Mon grand-père, Prosper Dalmas, était un petit homme sec, au visage anguleux, barré par une grosse moustache blanche. Le crâne chauve, il avait des yeux d’un bleu d’acier pénétrants, semblables à ceux de ma mère. Sa femme, Joséphine, née Paul, était toute aussi petite, mais plus ronde et trapue. La peau tannée, les yeux marrons, entièrement vêtue de noir, je remarquai, quand elle déposa chaleureusement deux baisers mouillés sur mes joues, qu’elle dégageait une odeur rance de poisson et d’oignon. Dans cette maison basse, sombre, aux pièces minuscules, pleine de recoins et d’alcôves, mon père détonnait : il semblait un géant, suprêmement élégant. Il se montra amical et déférent avec ses beaux-parents, sortant de son sac tout un lot de victuailles, qu’il déposa sur la table de la cuisine.
Quand je demandai à aller aux toilettes, je retrouvai dans le regard d’Ange, qui m’observait en coin, depuis le début, l’air innocent et bêta, toute la sournoiserie dont il était coutumier. Il me montra du doigt une porte basse dans le mur, au pied des escaliers en raidillon menant à l’étage supérieur. J’entrai dans une sorte de grotte, sans lumière, dont les parois humides conservaient au frais d’insupportables relents d’urine et de merde, qui me piquèrent aussitôt le nez. Retenant mon souffle, les narines bouchées, j’eus à peine le temps de deviner, dans l’obscurité, une énorme jarre, coiffée d’un couvercle en bois, autour de laquelle tournoyaient d’écœurantes mouches vertes, et pour tout papier, des feuilles de journaux. Je ressortis illico. Mon frère me récupéra en rigolant et m’entraîna au premier étage. Dans le couloir, deux portes, sur la droite, ouvraient sur des chambres, encombrées de hauts lits à armature de fer, recouverts de couvertures constituées de petits carrés de tricots multicolores. Sur le sol, d’identiques petits tapis, destinés à préserver, l’hiver, de la fraîcheur du carrelage, égayaient ces pièces sommairement meublées. Au bout du couloir, un débarras, aux murs tapissés de casiers en bois, où mes grands-parents conservaient dans des boites à chaussure une grande variété de graines. De là, on accédait au balcon d’où l’on avait une vue réjouissante : à gauche, des plants de cultures, un vieux pont en pierre, des collines boisées, vert foncé. En face, au-dessus des maisons, l’imposant clocher avec son crépi jaune et son horloge centrale qui sonnait tous les quarts d’heure. Sur la droite, une enfilade de toitures en tuiles rondes, du rose clair au rouge sang !
Autour de la large table en bois, qui occupait la moitié de la salle à manger, assis sur de longs bancs latéraux, nous prîmes notre repas du soir dans un quasi-silence, rompu par quelques rares échanges en patois local entre mes grands-parents. J’eus tout le loisir de contempler le cadre en bois, suspendu en face de moi, dans lequel étaient religieusement conservées sous verre, les trois médailles obtenues à la Grande Guerre par mon aïeul. Après l’inévitable soupe de légumes, ma grand-mère servit une omelette au corned beef et une salade au fort goût d’ail. Après que j’eus mordu dans une pomme rabougrie mais particulièrement goûteuse, Ange m’informa que tous les légumes et les fruits que nous mangions provenaient de nos campagnes, réparties tout autour du village. S’ils étaient si succulents : « C’est grâce à la merde recueillie dans la cave, sous le trou des cabinets, que pépé mélange à la terre dans laquelle il plante ses graines. » En reposant la pomme, je me mis à pleurer. Mon père, qui avait probablement lu sur les lèvres de mon frère ses propos, le gronda sévèrement, puis nous ordonna de monter nous coucher. »

*Par l’autocar de Nice.
**Le père du narrateur est sourd et muet.
***Frère ainé du narrateur, 8 ans, placé chez ses grands-parents depuis plusieurs semaines.

JC..... dit: à

NOUVELLE DE CHINE

Les services viennent de confirmer la nouvelle rassurante concernant l’ami Bougboug : il est à Beijing, où il fait partie de la cohorte d’industriels de la culture que traine Bébé Macron à ses basques voyageuses.

Souhaitons au créatif Bouguereau de remporter le marché des gode-ceintures personnalisables, trouvaille qui donnera aux indigènes asiates une formidable joie de vivre charnelle, ce qui doit accompagner comme toujours le communisme capitalistique radieux, post COVID…

Alexia Neuhoff dit: à

Jazzi, s’il ne trie pas sélectivement, sait recycler…

rose dit: à

Il n’a pas encore fait le lien entre économie et processus de paix ?
D’un côté, il emmène soixante PDG pour signer des contrats avec la Chine et de l’autre
« Guerre en Ukraine, en direct : à Pékin, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen vont inciter Xi Jinping à s’impliquer pour la paix en Ukraine
Les deux dirigeants seront reçus dans la matinée (heure de Paris) par le président chinois au palais du Peuple. Mercredi, le président français a estimé que Pékin pouvait jouer un « rôle majeur » pour « trouver un chemin de paix ». »
In Le Monde. fr

D. dit: à

Poisson et oignons rances, soupe de légumes, omelette au corned beef salade au fort goût d’ail.

Voici de bonnes idées à retenir pour mes menus quotidiens.

D. dit: à

J’y rajouterais bien quelques vulves de truie aux endives.

FL dit: à

L’exode de 1940.

Ce genre de scène il l’a faite mille fois. Exemple : les gamins dans le métro de Berlin, ou les autoroutes françaises.

J J-J dit: à

@ Cette immonde et répugnante créature de Bilal Hassani – En voyant sa tronche, aij failli tomber dans les paumes, c exactement la gueule de Jissée que je m’étais toujours imaginée.
@ Concentré sur la controverse matinale JL/MC d’une très haute volée de bois verts, on a oublié qu’une arbritre littéraire undercover avait disparu de la RDL. Elle a été arrêtée aux aurores en tant que membre influent des hackers du darkweb rançonnant la passoulie et consorts depuis des plombes. Il ne pouvait rien faire… On va tous enfin pouvoir respirer, même si ma soeur est toujours présumée innocente au regard de la loi. Mais en GAV durant 48 h, pourra pas attaquer en difam…
@ cette nuit, ma lune n’était pas rose… Hélas
@ scoop… Viens de découvrir ce matin qu’un texte de Foucault m’avait échappé (et peut-être à la vigilance de la RDL ?). Il s’agit de : « La grande étrangère. A propos de littérature » (présenté par Artères, Bert, Potte-Bonneville, Revel), Ed. EHESS, 2013.
@ J’ai jadis dégusté des mamelles de vaches et des groins de porc frits et grillés, dans un restaurant spécialisé en triperies à Paris (Le Ribouldingue, rue St Julien le Pauvre, JMS…) mais jamais encore de vulves de truie farcies. Je m’en délicie pourtant la nageoire par avance. Où peut-on encore en trouver à Paris plutôt qu’à Chaville (où elles sont de réputation un brin frelatées) ?
@ On a changé de billet… Allons voir si la nouvelle Manchette rose, etc
Bàv (6.4.23_10.47)

renato dit: à

À un moment Jules Renard passe devant la maison d’un paysan et par la fenêtre il le voit éplucher des pommes de terre, puis il regarde mieux et il voit que ce ne sont pas des pommes de terre qu’il épluche, mais des carpeaux (voir son journal). Il est rare de trouver des cons si distingués ailleurs que sur un « prestigieux » site littéraire pour ne pas connaitre ce fait : pendant des millénaires les hommes ont dû composer avec la nourriture, mais dédé l’idiot il n’arrive pas à réfléchir plus loin que l’endive… bon, il semble qu’il soit un type comique, et là, il faudrait trouver un terrain d’entente relativement à l’usage du mot « comique ».

MC dit: à

L’essai de William Marx « Des étoiles nouvelles » il ne s’est pas foulé pour le titre. On reconnaît là la chute des Conquérants, du cher Heredia! MC

MC dit: à

La controverse matinale JL MC?! Pas aujourd’hui, en tous cas. Agitée la marionnette Sasseur semble maintenant. Inutile.

et alii dit: à

MC pourquoi lui reprocher ce qU’il ne cache pas du tout: au contraire?
BONNE JOURNEE
suis épuisée ;j’ai passé des examens ce matin

et alii dit: à

la pensée de Legendre décèle l’architecture fiduciaire qui soutient les sociétés occidentales et dont l’équilibre, à l’ère du Management généralisé, semble menacé. Co-auteur des Introductions à l’œuvre de Pierre Legendre[1], parues quelques jours avant la mort du penseur, et auteur de La Religion industrielle[2], Pierre Musso revient sur la figure et l’œuvre du fondateur de l’ « anthropologie dogmatique ».

PHILITT : Le silence qui a suivi la disparition de Pierre Legendre a indigné certains de ses lecteurs. Partagez-vous cette indignation ? Comment expliquez-vous la relative indifférence du monde universitaire à l’égard de sa pensée et de son œuvre ?

Pierre Musso, philosophe et docteur en sciences politiques
Pierre Musso : Le faible écho médiatique qu’a eu la mort de Pierre Legendre ne me trouble pas outre mesure. Legendre lui-même n’aimait pas particulièrement les médias ni les cercles académiques, les évitait le plus possible et lorsqu’on voit les hommages que les médias rendent, notamment dans l’audiovisuel, à diverses personnalités populaires – ce que n’était pas Legendre –, on peut légitimement penser que c’est plutôt à la gloire de Pierre Legendre de n’avoir pas été célébré de la sorte. En outre, Legendre a toujours été à contre-courant, à la marge des institutions universitaires et évidemment médiatiques.
https://philitt.fr/2023/03/19/pierre-musso-legendre-decele-larchitecture-invisible-dun-occident-sur-le-point-de-seffondrer/

et alii dit: à

excuses lui reprocher: lui W Marx

J J-J dit: à

il se prendrait pour une étoile nouvelle, sortie de l’océan, le WM ?

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