La note juste de Pauline Dreyfus et Marie-Hélène Lafon
Il n’y a pas plus dissemblables que ces deux livres : Ce sont des choses qui arrivent (226 pages, 18 euros, Grasset) de Pauline Dreyfus et Joseph (144 pages, 13 euros, Buchet-Chastel) de Marie-Hélène Lafon (144 pages, 13 euros, Buchet-Chastel). Deux parmi les plus beaux romans de la rentrée. Tout les oppose : le cadre, l’époque, le milieu, l’histoire, les personnages… Pourquoi les traiter alors d’un même élan ? C’est que l’une et l’autre et l’autre doivent leur réussite à un détail invisible, rétif à la description et plus encore à l’explication : elles ont su, chacune dans leur registre d’écriture, trouver la note juste. Ce n’est pas qu’une question de cadence, de rythme mais aussi de distance. Toutes choses qui s’accordent secrètement pour donner sa sonorité à un roman.
Une fois passée l’épigraphe de Léon Bloy (« L’homme a des endroits de son pauvre cœur qui n’existent pas encore et où la douleur entre afin qu’ils soient ») les premières pages du premier font penser au début d’un film noir tel que les Américains les réussissaient après-guerre : un enterrement, rien de tel pour explorer une vie dans ses recoins. On se croirait à celui de la danseuse Maria Vargas dans La Comtesse aux pieds nus… Sauf que celui-ci est très français, comme le milieu qu’il ressuscite, un petit monde qui se donne pour le beau monde, et que la cérémonie est racontée du point de vue du délégué de la maison Borniol en léger recul par rapport à cette mondanité en noir. Nous sommes au lendemain de la Libération en la paroisse Saint-Pierre-de-Chaillot, où Proust fit ses adieux à ce monde-là une vingtaine d’années avant, aux obsèques de la duchesse de Sorrente qui s’est suicidée sous l’empire des drogues. En brisant le silence sur sa naissance, l’Occupation lui aura révélé ses origines, le secret de famille, la « honte » de sa filiation : pas seulement bâtarde mais israélite. Fascinante est sa métamorphose sous le coup de cette double découverte. Mais il y a pire que de l’apprendre : le scandale d’une divulgation publique, officielle, même si tout le monde savait en douce. Natalie de Sorrente, née princesse de Lusignan, a quelque chose d’une « Madame Klein » qui aurait trouvé là son Losey.
Chez ces gens-là, qui ont une grande position à Paris, on n’a pas supporté, et dès 1933, le physique très vulgaire du chancelier allemand. C’est leur passe-temps favori : situer les autres. Et ce Hitler ne leur passe pas, non en raison de ses idées mais parce que c’est un parvenu. Le small talk, la plus vaine des conversations portée aux nues par les Anglais, y est goûtée ; on y prise les surnoms : Saint-Vincent-de-Poule pour un cœur trop tendre avec les femmes ; les fleurs viennent de chez Lachaume, naturellement ; on évite la politique puisqu’on ne parle pas des sujets qui fâchent ; on affecte le mépris des convenances ; on endort les enfants le soir en leur racontant l’histoire tragique de l’assassinat du duc de Berry ; toutes les disparitions ne sont pas également pleurées, certaines laissant des fournisseurs effondrés et une épouse soulagée ; le mariage y est résumé d’un bon mot : « trois mois de bonheur, trente ans de bout de table »
A 34 ans, elle a toujours eu une vie facile, d’une fête l’autre mais toujours de ces fêtes qui ne font rêver que ceux qui n’en sont pas, elle s’étourdit dans l’ivresse de la réminiscence, celle des grands bals d’autrefois, car c’était toujours mieux avant. Le seul rationnement qui l’inquiète est celui qui pourrait affecter ses livraisons hebdomadaires de morphine. Il manque pourtant à cette âme inquiète l’énergie de divorcer de son milieu.
« Ce sont des choses qui arrivent », leitmotiv mondain qui sert d’étendard au roman, est la manière par laquelle on accueille l’inévitable (grossesses etc) avec un certain fatalisme car « ce qui doit advenir advient ». Alors oui, bien sûr, ces arrestations de juifs, des brimades, peut-être même des persécutions, d’autant qu’ils ne reviennent pas à ce qu’on dit, mais enfin, ce sont des choses qui arrivent, jusqu’à ce qu’on trouve des ressemblances entre la duchesse de Sorrente et, disons, Irène Némirovsky, la romancière du Bal et de David Golder. Ce n’est qu’en relisant A la recherche du temps perdu qu’elle comprend, Charles Swann lui expliquant ce qui lui arrive mieux qu’elle ne saurait le faire.
Pauline Dreyfus (1969) est manifestement douée. On ne pouvait pas vraiment en juger avec son fameux Immortel, enfin car c’était parfois du sous-Morand truffé de morandismes. Cette fois, c’est vraiment du Pauline Dreyfus et c’est brillant. Des formules qui font mouche, des flèches qui atteignent leur cible : c’est parfaitement ciselé et bien balancé :
« C’est au choix de ses fournisseurs qu’on juge une famille »… « Dans cette guerre d’un genre nouveau, l’ennemi, ce n’était pas l’Allemand mais l’Ennui »… »La guerre, pour les Sorrente, ce sont d’abord des complications domestiques »
Un microcosme qui se donne pour une élite. Que de bassesses dans la « haute » ! Souvent drôle mais plus dérangeant car plus « politique » qu’il n’y paraît de prime abord, surtout quand un nauséeux éclat d’éditorial d’André Bettencourt dans La Terre française passe par là : « Pour l’éternité, leur race est souillée du sang du juste. Ils seront maudits de tous… ». L’auteur connaît parfaitement le monde du faubourg Saint-Germain. Elle écrit au second degré avec un accent tout en dentales et en voyelles étirées à l’infini. Son ironie est souvent cruelle, et sa précision, assez perverse ; elles font oublier la documentation, d’autant qu’on devine celle-ci ruminée et digérée depuis longtemps tant elle est invisible ; en fait, au-delà des lectures des mémorialistes de l’après-guerre, elle a puisé à de meilleures sources, la tradition orale du côté maternel, les Alfred Fabre-Luce et les Germain du Crédit lyonnais. Pauline Dreyfus est implacable et si juste sur le néo-vichysme sournois, souterrain, silencieux qui imprègne l’aristocratie et la grande bourgeoisie. La peinture de cette société est saisissante de vérité. Il est vrai que l’auteur, très fine dans l’observation, a un sens inouï du détail juste. Ne manque pas un bouton de guêtre. Elle est habile pour jouer sur l’inattendu, jusques et y compris dans les menus de Maxim’s. Comme on le dirait d’une lettre de château, c’est un roman bien tourné.
On ne le dira pas de Joseph car c’est d’un tout autre monde et d’un tout autre temps qu’il s’agit. Des ouvriers agricoles dans une ferme du Cantal. Un homme parmi eux, le héros-titre, une soixantaine d’années. Plus esseulé que solitaire. Seul par la force du destin. Tout le monde est parti. Chacun est allé faire sa vie ailleurs. Sylvie surtout, son amour de jeunesse rencontrée au bal, Sylvie qui idolâtrait Johnny Hallyday et ne supportait pas qu’un homme pleure « parce que ça fait tapette », une fille qui n’était pas d’ici et a fini par se laisser emballer par un autre qui l’a emmené loin. Alors Joseph boit comme Natalie de Sorrente jouait de se seringue de morphine. Un trou sans fond.
Marie-Hélène Lafon (Aurillac, 1962), qui commence à occuper une place singulière dans le paysage littéraire, prolonge ici la veine de L’Annonce (2009) et des Pays (2012). Une veine qui est tout sauf un filon. Car son art poétique, sa sensibilité, son univers, son économie, sa pudeur sont aux antipodes de ce qui s’écrit. Une fois n’est pas coutume, la quatrième de couverture, extraite du texte, est admirable car elle reflète bien la lettre et l’esprit du roman. Tout y est, jusque qu’à la dilection pour le cher point virgule, si injustement méprisé par nos contemporains :
« Joseph est un doux. Joseph n’est pas triste, du tout. Joseph existe par son corps, par ses gestes, par son regard ; il est témoin, il est un regardeur, et peut-être un voyeur de la vie des autres, surtout après la boisson, après les cures. Il reste au bord, il s’abstient, il pense des choses à l’abri de sa peau, tranquille, on ne le débusquera pas ».
Elle ne verse jamais dans le pittoresque ou le folklore. Son monde est laborieux mais pas misérabiliste. Ici, celle que l’on appelle « la marquise délurée », c’est une vache aubrac dans la vallée de la Santoire. Joseph est un taiseux qui ne juge pas. Quand il parle, c’est de politique, de la famille ou de Sylvie. Pour le reste, son humanité se divise entre les morts et les vivants dans le désert central de la France. Il a quelque chose d’un certain charpentier de Nazareth. L’épigraphe de Cézanne définit les couleurs : « C’est comme une carte à jouer, des toits rouges sur la mer bleue ». Ici, quand on voyage, c’est pour aller à la gendarmerie à Ségur, ou entre Riom, Allanche et Murat. Juste pour rendre visite aux autres : « Il faut fréquenter et faire maison ».
Rien n’est moins caricatural là où tant de choses, de situations, de personnages prêteraient à la caricature régionaliste, comme tant d’écrivains du terroir en ont abusé. Les mains calleuses n’empêchent pas la délicatesse. Marie-Hélène Lafon fait son portrait par petites touches. Plutôt un presque rien noué à un je-ne-sais-quoi impressionnistes. L’oncle Gustave et la servante Félicité passent par là, hommage des plus discrets de l’auteur reconnaissant, et de son héros au cœur simple. Joseph se veut une épopée ordinaire des petites gens, au sens simenonien du terme, avec ce qu’il faut de noblesse dans le caractère. Ici, ce n’est pas la lettre de château qui aurait pu mieux tourner, c’est la vie.
Ni faux-pas, ni maladresse. Tout est à sa place. Pas un mot de trop. Ces deux romans portent en eux des voix qui viennent de loin. En les lisant, on les entend. De quoi donner envie de les écouter. Bonheur muet de la note juste.
(Photos Henri Cartier-Bresson)
1 004 Réponses pour La note juste de Pauline Dreyfus et Marie-Hélène Lafon
(mais on sait s’y retrouver au moins)
BHL et J. Attali comme références. Widergänger Maître en objectivité a encore frappé.
Widergänger dit: 14 septembre 2014 à 17 h 39 min
BHL pour sa part, a éradiqué le Khadafi laïc, c’est une excellente chose, même s’il y a des retombées négatives
Cette phrase pourrait être écrite au tableau noir et analysée dans les classes.
Mme Michu dit: 14 septembre 2014 à 16 h 48 min
Bon, c’est pas tout ça mais les Femens on les voit plus.
C’est pas depuis qu’elles ont recruté des moches?
C’est un exemple de secte sciant sa branche.
Comme dit Widergänger, il est difficile aujourd’hui de trouver un ministre de la culture cultivé. Un bon américain vit en dehors des Etats-Unis, écrivait Wilde.
il est difficile aujourd’hui de trouver un ministre de la culture cultivé.
+
C’est pas depuis qu’elles ont recruté des moches?
=
Choisis entre ces deux réactions:
1) Tout fout le camp !
2) C’était mieux avant.
3) N’en tirons pas de conclusion hâtive ..
3
( Au fait, U., depuis que vous tenez vos carnets top secret .. il serait temps d’en faire qqc, non ? )
Un bon américain vit en dehors des Etats-Unis
Comme James Bond .. comment ça, c’est un Anglais ?
Tant pis pour lui.
J’ai regardé la série « Ian Fleming », on en apprend beaucoup sur les mérites des moeurs enlevées .. à la hussarde.
Comme quoi s’éloigner du giron de la mère patrie ..
« Comme dit Widergänger, il est difficile aujourd’hui de trouver un ministre de la culture cultivé »
Je pense que F. Mitterrand et Filipetti – agrégée de lettres – devaient avoir dix fois votre culture, mon pauvre Phil
Rayon sectes, certaines rentes de situation qui surfent sur la mode du moche, vaut mieux oublier d’en parler. Autant répéter en boucle les mêmes gags pour faire aussi bien qu’avant. C’est plus sûr.
Allez, bonne soirée
( Quand j’y pense !
Cette pauvre Marie-Hélène avec son Joseph ! )
Daaphnée, l’éloignement est toujours un exercice profitable. Il paraît que ce Ian Fleming téléfilmé fait la part trop belle « à la fesse ».
s’éloigner du giron de la mère patrie ..
Faut une opération militaire pour ça ?
remetteur en place, dear, c’est ce que je me disais en refermant « la Récréation ».
Passez le concours de l’ENS et l’agrégation, Phil, et on en reparle après, si vous le voulez bien
Il paraît que ce Ian Fleming téléfilmé fait la part trop belle « à la fesse ».
Ce n’est pas faux.
En même temps, comme c’est toujours la même posture .. on est sûr d’en retenir l’idée ..
Jugez sur les résultats, remetteur en place, au lieu d’exhiber les médailles.
de la culture aux maths en quelques minutes.. l’investissement culturel n’est plus ce qu’il était..
Une posture difficile à tenir sur la durée, Daaphnée. Fleming en a fait les frais. Le James Bond des derniers crus est nettement moins fessier que ceux de l’acteur en jupe (écossaise).
rayon fessier, se torcher avec une serviette ne suffit plus pour monter avec l’ascenseur du festival de la haute insolence, non, faut carrément y aller avec un portefeuille, et ministériel siyoplait..
« Je pense que F. Mitterrand et Filipetti – agrégée de lettres – devaient avoir dix fois votre culture, mon pauvre Phil »
C’est pas le diplôme qui rend cultivé. Il paraît que la plupart des soit-disant agrégés revendent tous leurs livres après avoir obtenu leur titre. Véridique !
« L’années passée aucun ne sont passés à Louis Le Grand ou à H IV. »
pour Louis Legrand je ne connais pas mais pour le HIV il faut plutôt s’en féliciter, sans vouloir dénigrer l’importance de votre travail j’imagine que les campagnes chez les jeunes pour l’utilisation des préservatifs y sont aussi pour quelque chose.
c’est bien, continuez sur cette voie.
Je viens de lire le début du livre de Joy Sorman sur la peau de l’ourse, Daaphnée (je me dis: « Un jour, je serai enfin littéraire »), et j’en reste éberlué.
Eberlué en gros comme dans le détail.
(Bon, impossible de continuer à écrire, à bientôt!)
un exemple de secte sciant sa branche
Comme si Daaphnée et Clopine jetaient les pampers en jersey de leur marmaille dans le public
Naaaan je décooonnnnnee
Notre ado de tout à l’heure va mieux, délaissant sa traumatisante lecture. Elle tente un bilan non définitif :
« Depuis que je suis rentrée en L je m’intéresse à tout, c’est trop bizarre. » (Twitter)
« j’en reste éberlué »
Eh oui ! c’est cultissime !!
Il me semble que la première chose qui cloche dans ce roman, c’est son titre. Une mauvaise inspiration. Comme si on se voyait déjà avec le Goncourt, voire le Nobel. On vend « la peau de l’ours » avant de l’avoir tué. Et c’est ce qu’il est interdit de faire. Mais Joy Sorman se rit de tous les tabous…
Comme s’il n’y avait sur terre de gens cultivés que ceux qui sont passés par l’ENS et qui sont agrégés !
Faut être parfaitement illettré pour être aussi nombriliste !
Le défaut de l’enseignement actuel, même pour ceux — et je dirais même surtout pour ceux — qui entre à une ENS, c’est d’être trop technique et de ne pas permettre aux élèves d’acquérir comme c’était le cas à mon époque une vraie culture générale.
On aborde avec les élèves de lycée des notions difficiles et même parfois ardues que je n’ai abordées qu’en deuxième voir plus tard (mais comme j’ai sauté l’année de licence en passant directement ma licence en sortant de khâgne, je ne me rends pas bien compte) à l’université tandis que les gamins d’aujourd’hui les voient en classe de Première alors qu’ils n’ont pas vraiment la maturité pour les assimiler même si les meilleurs d’entre eux les comprennent. Par exemple, le thème du Carpe diem et les enjeux de la poésie sur ce thème de Horace à Philippe Jaccottet qui le construit dans son poème comme adéquate quasiment au moment même de la création poétique du poème en train de se faire et au fur et à mesure qu’on le lit, ce qui est extrêmement difficile à comprendre pour l’élève « normal », moyen du lycée, ou les incipit de romans, ou Francis Ponge (Le Parti pris des choses) ou le roman picaresque avec Gil Blas. Je ne suis pas persuadé qu’aurais été capable à leur âge d’assimiler ces notions difficiles même si j’étais déjà très doué puisque j’étais premier de ma classe de Première à Chaptal avec des 17/18 de moyenne dans toutes les matières. Mais j’avais une vraie culture générale, solide, qui me permettait de faire de bonnes dissertations au bac et ensuite en philosophie en Terminale. Cette technicité de l’actuelle pédagogie sélectionne les dons pour l’abstraction pure au détriment du contact plus en profondeur avec les œuvres. Dans les cours privés que je donne par ailleurs, je m’efforce de compenser ce travers en donnant une culture profonde à mes élèves qui m’en sont très reconnaissants parce qu’ils savent que ça leur manque, et leur parents avec qui voient leur gamins s’épanouir en lisant en profondeur Céline ou Jaccottet. L’autre jour, l’un de mes élèves avec lequel j’étudiais ce poème de Jaccottet, qui est dans la filière scientifique, qui est moyen en maths-physiques, s’est exclamé d’un seul coup : Mais c’est passionnant la poésie ! J’avais gagné ma journée ! Je n’avais même plus besoin de me référer à la lettre de Lord Chandos d’Hoffmannsthal, il avait déjà compris les enjeu de la poésie moderne et son fondement spirituel (mais la prochaine fois, je vais tout de même la lui apporter pour mettre les points sur les i). Mais ça, les profs en cours n’ont pas le temps de le faire. J’ai aussi quelques élèves d’origine maghrébine et on voit bien monter dans la société française toute cette classe moyenne d’origine algérienne ou marocaine qui désire ardemment que leurs enfants suivent les meilleurs lycées de Paris et ils y mettent le prix. C’est très encourageant pour l’avenir de la France. Et ce sont des gens tout à fait admirables, qui ont de vraies valeurs à défendre, qui aiment profondément la France avec un pied toujours en Algérie ou au Maroc. Il m’arrive même d’avoir de grandes discussions avec certains sur les liens séculaires entre les Juifs et les Musulmans du Maghreb et sur les conflits du Proche-Orient. Ce sont des gens profondément hostiles aux islamistes, qui en voient très bien les prolongements catastrophiques en Europe. On peut s’appuyer sur eux par l’éducation donnée à leurs enfants qui, grâce à moi, puisque je m’occupe d’eux, vont tous intégrer les meilleurs lycée de Paris. Une jeune fille d’origine algérienne, qui n’aimait pas lire du tout, est plongée maintenant dans les nouvelles de Maupassant avec ardeur, et elle y croit ! L’autre jour, elle m’a dit, toute fière, Monsieur grâce à vous je me sens désormais une passion pour la lecture alors que je détestais ça avant ! Joli compliment, dont j’étais très fier à mon tour.
On ne sait pas si elle a révisé sa leçon d’espagnol, mais sa soirée est chargée :
« Bref, je vais allez regarder new girl et supernatural et après je vais prendre ma douche, faire mon sac pour demain et tout. » (Twitter)
terrible les ravages des traumatismes scolaires..
bon, quand a vu un échantillon – n’osons pas dire représentatif, disons de visibilité, ce sera mieux – de profs, il y a de quoi comprendre l’étendue des dégâts..
« Sergio dit: 14 septembre 2014 à 16 h 30 min
hamlet dit: 14 septembre 2014 à 16 h 08 min
Crimes et Châtiments
Il n’y a qu’un crime »
il n’y a aussi qu’un seul chatiment : pour nous, vous et moi, nous !
mais pas pour Nietzsche ! pour lui il faut même mettre 2 « s » à la fin : Crimess et Châtimentss, parce que si nous, nous ne sommes que condamnés à ne jamais entrevoir la moindre vérité, c’est là notre châtiment, nous le partageons.
vous savez Sergio c’est une chance que le romantisme ne soit pas arrivé jusqu’en Russie.
la Russie a été épargné du grand fléau du Romantisme, alors que nous nous ne sommes toujours pas sortis de cette malédiction.
le romantisme est l’expression de la prétention occidental, de l’orgueil de mettre l’individu au centre du monde, ils n’ont pas supporté l’humiliation d’apprendre que la terre n’était pas le centre de l’univers, il a fallu qu’ils y placent l’individu.
le romantisme est une invention bourgeoise, les bourgeois étaient tellement complexés de ne pas posséder les qualités aristocratiques qu’ils se sont inventés le moyen de se gonfler comme des baudruches, avec les poètes romantiques, les musiciens romantiques pour tomber en extase devant tant de beauté comme la Verdurin.
le Verdurinage bourgeois ! c’est affligeant tous ces gens qui verdurinent dans les théâtres et les opéras, tous ces philosophes qui verdurinent, que je te verdurine par çi que je te verdurine par là, pour se la jouer comme des aristos…
Nietzsche est le penseur du verdurinage !
si Nietzsche n’existait Verdurin l’aurait inventée !
c’est affligeant.
et aujourd’hui tous nos artistes, nos écrivains, nos philosophes verdurinent avec Nietzsche, le ciel pourrait leur tomber sur la tête qu’ils continueraient de verduriner !!!
quelle chance que la Russie ait été épargnée par le mièvre verdurinage romantique.
twitter.. ah oui.. tiens, encore ses journalistes qui se la jouent suggestions de rêves.. ravages du publireportage..
vous savez Sergio, ça ne va pas faire plaisir à renato mais je connais les italiens, à Turin les gens ne sont pas des brutes, même quand ils vont voir jouer la Juve, le type, son cheval il a dû juste l’effleurer, le caresser, et l’autre verdurineur de Nietzsche il nous a pété un plomb cela prouve bien qu’il a rejoué la scène du petit Rodia dans sa tête, les italiens ne tapent pas sur les chevaux comme des brutes, je le sais j’ai un tas de potes italiens, ils peuvent te flinguer un type qui lui marche sur le pieds mais jamais ils iraient maltraiter un cheval, ce sont des gens d’une extrême douceur, cette histoire est totalement ridicule.
« Nietzsche est le penseur du verdurinage ! »
Désolé d’avoir à vous le dire, hamlet, mais vous passez complètement à côté de Nietzsche. Dostoïevski et Nietzsche sont évidemment complémentaires, et vouloir les opposer est un contresens total, une méprise fatidique !
Elle est marrante, la petite ; elle a pas seize ans, et elle parle de son enfance avec nostalgie :
« En ce moment j’arrête pas d’écouter la soundtrack de pirates des Caraïbes. C’est toute mon enfance. » (Twitter)
Vous savez hamlet que quelque part vous perdez le sens de l’orientation, je suppose. Vous devriez mieux chercher et réfléchir sur l’expression anecdote apocryphe…
les verdurineurs adorent faire des dictionnaires amoureux : le dictionnaire amoureux de Proust (ça vous en avez des kilos), le dictionnaire amoureux de Flaubert (vous en avez des tonnes), le dictoinnaire amoureux de Balzac, de Stendhal…
parce que ce sont des auteurs pour verduriner !
mais un dictionnaire amoureux de Dostoïevski ça vous le trouverez jamais parce que personne ne voudra en écrire un parce que ce n’est pas un type pour verduriner, on aime Céline, on aime Proust, on aime Flaubert mais Dostoïevski personne ne peut l’aimer ! il est trop flippant, il a même réussi à faire flipper l’inventeur de l’éternel retour…
l’éternel retour est l’invention la plus débile de toute les inventions humaines avec celle du boomerang qui ne revient jamais, encore qu’il a été conçu pour éviter de se blesser avec ce qui en soit n’en fait un objet totalement ridicule.
¨
Pendant que tête à toto veut absolument nous vendre sa daube d’ours et de Joy en chaleur,
D. vous savez quoi ?
Il y a un an à peu près, ici était posée la question: « faut-il parier sur l’intelligence des lecteurs » ?
Je n’aurais pas mis un kopeck sur ce pari.
Vous vous souvenez de ce hold-up et de cette merveileuse histoire ( jamais chroniquée ici…)?
http://www.theglobeandmail.com/arts/books-and-media/richard-ford-why-i-called-my-new-novel-canada/article4186807/
Tout ça pour dire à Giovanni,- que je décode assez tardivement, si j’ai bien compris son problème de prix des stylos Mont Blanc- que si j’avais pu, oui, j’aurais fait un tour place Stan’ pour demander une dédicace à Richard Ford. Avec un waterman.
Tout à l’heure j’ai oublié la zique, pour dire bonne éternité, merci pour tout.
Et bonne soirée.
Bon, évidemment, le style de Nietzsche est simple et accessible (surtout le aphorismes), ainsi l’hamlet de la RdL parle de « verdurinage ».
hamlet n’appartient pas à l’élite de notre pays, c’est visible…
Vous n’avez rien compris non plus au concept de l’Eternel retour – ce qui est d’ailleurs étrange, mais montre que vous n’avez pas étudié la chose à fond.
je reprends mon message en 2 fois, car 2 liens et çela ne passe pas.
Donc avec un seul lien:
Et bonne soirée.
Pendant que tête à toto veut absolument nous vendre sa daube d’ours et de Joy en chaleur,
D. vous savez quoi ?
Il y a un an à peu près, ici était posée la question: « faut-il parier sur l’intelligence des lecteurs » ?
Je n’aurais pas mis un kopeck sur ce pari.
Vous vous souvenez de ce hold-up et de cette merveileuse histoire ( jamais chroniquée ici…)?
http://www.theglobeandmail.com/arts/books-and-media/richard-ford-why-i-called-my-new-novel-canada/article4186807/
Tout ça pour dire à Giovanni,- que je décode assez tardivement, si j’ai bien compris son problème de prix des stylos Mont Blanc- que si j’avais pu, oui, j’aurais fait un tour place Stan’ pour demander une dédicace à Richard Ford. Avec un waterman.
Suis allé feuilleter la peau de l’ours. Pauvre Collection Blanche, pauvre martyre, quel raffinement de torture ne lui aura-t-on fait subir? Béatifiée sur l’heure, sainte au plus vite.
Madame est se meurt! Madame est morte.
Et Busnel qui parle « d’émerveillement ». Que nous vaudra son état d’oraison?
(Sur le site de, l’éditeur, on peut tout de même constater que « l’auteure » sait admirablement passer sa main dans ses cheveux).
Le « boomerang … ne revient jamais » ?!
Qui vous a dit ça, hamlet ? Si vous le lancez correctement il revient, mais vous parlez peut-être du killing stick.
Widergänger, votre témoignage de professeur est encourageant. Abdelkader, qui lit Camus comme moi mais un autre, sera d’accord.
De quoi le faire rentrer de la City et pélériner vers Compostelle, comme Kerviel passé chez les communiss déguisé en Tom crouse.
Mais des journées, vous avez absolument le droit de nous avouer que vous aimez ce roman de Joy Sorman. Pourquoi pas ? Tous les goûts sont dans la nature !
la tête à toto dit: 14 septembre 2014 à 20 h 59 min
commencez par recompter le nombre de posts que vous nous avez balancés ici à propos de cette daube ?
C’est d’ailleurs dommage que Diagonal ne revienne pas nous en dire deux mots de ce Canada.
Des journées, calmement : je ne suis pas l’auteur de cette daube. Veuillez l’admettre !
tête à toto, que vous soyez un crétin qui a du temps à perdre, qui découvre Nietzsche au cinéma et à qui je n’ai plus rien à dire, ne fait plus aucun doute.
Quand même quel évènement, Richard Ford à Nancy et on ne nous a rien dit.
hamlet 20h 20
Un type de romantisme « girardien » (surtout ne dites rien à René Pommier et à notre John Brown) est tourné en dérision au tt début des Frères Karamazov :
« Comment une jeune fille ayant une dot, jolie et, de plus, vive et intelligente, comme on en rencontre souvent dans la nouvelle génération (et dont le type d’ailleurs n’était pas rare non plus auparavant), put épouser un être aussi nul [que Fiodor Pavlovitch], je crois inutile de l’expliquer longuement. J’ai connu, en effet, une jeune fille de l’avant-dernière génération « romantique », laquelle, après plusieurs années d’un amour mystérieux pour un monsieur qu’elle aurait pu épouser d’ailleurs très tranquillement, finit par créer elle-même des obstacles insurmontables à cette union et, par une nuit de tempête, se précipita d’une berge abrupte dans une rivière assez profonde et rapide, et y périt victime de ses propres caprices, uniquement pour ressembler à l’Ophélie de Shakespeare. SI cette berge qu’elle avait choisie depuis longtemps, et qu’elle affectionnait, n’eût pas été si pittoresque, si le rivage eût été plat et prosaïque, elle ne se serait pas suicidée probablement. » On croirait du Jane Austen.
Cela dit, je vs l’accorde : « De même, l’acte d’Adélaïda Mioussov [la 1ère femme de Fiodor Pavlovitch et mère de Dimitri] FUT SANS DOUTE LA CONSEQUENCE D’INFLUENCES ETRANGERES » — l’honneur russe est sauf.
mais qu’est-ce que j’entends l’élite ? le concept d’éternel retour ? le sens de l’orientation ?
vous oubliez le penseur de la joie, penser au delà des préceptes moraux, tuer la loi…
c’est que vous êtes tous de bons lecteurs ! d’ailleurs vous portez l’habit d’époque : la toge pour lire Platon, la redingote et la paire de moustache pour lire Nietzsche…
hého nous sommes en 2014, c’est la rentrée littéraire et Emmanuel Carrère fait un tabac avec son livre sur Jésus, d’autres parlent du paysan de Cantal, de la femme maltraité par son mari, l’autre des ours ?
il ne nous manque plus qu’un livre sur la vie sexuelle des pélicans et notre rentrée littéraire sera parfaite.
Nietzsche s’en est pris aux prêtres, à la loi castratrice, l’individu capable de gravir les montagnes…, pour accroitre sa volonté de puissance ?
Nietzsche a dit je n’écris pas pour mon époque mais pour les générations futures, elles comprendront !
c’est parfait, on l’a compris, Nietzsche a gagné la partie, nous sommes tous des nietzschéens, Montebourg et Filipetti sont des nietzschéens, nos hommes politiques, nos artistes, nos écrivains, nos philosophes, demandez à Phil : même lui est un nietzschéen !
c’est pas vrai Phil que vous en êtes ?
rien n’est plus grand que nous, rien n’est plus haut que nous, nous sommes les concepteurs de nos propres valeurs !
et alors ?
nous en sommes rendus où ?
regardez autour de vous ce monde nietzschéen peuplé de nietzschéens et dites-moi si cela valait la peine d’en arriver là ?
la seule nietzschéenne que j’adore c’est Valérie Trierweiler, c’est une vraie Lou Salomé.
parce uqe qu’on a commencé le travail il faut le finir, aller jusqu’au bout.
vous avez aimé Nietzsche ? et ben ça tombe bien : vous allez tous encore continuer d’en bouffer !
« une vraie Lou Salomé » 😉
Bon, je n’ai plus temps, sinon, ça allait encore déraper.
« …même si j’étais déjà très doué puisque j’étais premier de ma classe de Première à Chaptal avec des 17/18 de moyenne dans toutes les matières. Mais j’avais une vraie culture générale, solide ».
Comment se fait-il, dear Widergänger, qu’un être si brillant que vous ait eu au bout du compte une vie et une carrière aussi minables?
« Jugez sur les résultats, remetteur en place, au lieu d’exhiber les médailles », écrit ce bon Phil.
Et vous, Phil, quels résultats? Etes-vous publié, vous êtes-vous fait un nom en littérature? Allez-y, on attend
« Quiconque attaque un Juif, nous attaque » (Merkel)
Angela Merkel avait insisté la semaine dernière sur la responsabilité « perpétuelle » vis-à-vis de l’Histoire
John MacDougall (AFP) »Mes amis, mes voisins, mes compatriotes juifs – vous êtes ici chez vous », a proclamé la chancelière allemande Angela Merkel dimanche, au cours du rassemblement contre l’antisémitisme à Berlin.
« Quiconque incite à une attaque ou attaque quelqu’un qui porte une kippa ou une étoile de David, nous attaque tous », a déclaré la chancelière, ajoutant que « nous appartenons tous à la vie juive, et font partie de notre identité. »
La hausse récente de l’antisémitisme en Allemagne a été enregistrée suite à l’opération israélienne dans la bande de Gaza qui a duré 50 jours.
Sous le slogan « plus jamais de haine des Juifs », plusieurs milliers de personnes, dont la chancelière, étaient attendues dimanche à Berlin, pour dénoncer la montée des violences antisémites en Europe dans le sillage du conflit israélo-palestinien.
Organisé par le Conseil central des juifs en Allemagne, ce grand rassemblement doit avoir lieu dans l’après-midi devant la Porte de Brandebourg, en plein centre ville et à quelques centaines de mètres du Mémorial de l’Holocauste, près de 70 ans après la chute du IIIe Reich.
« On a pu entendre et voir cet été en Europe, et même dans les rues allemandes, des slogans, tels que ‘les Juifs sont des meurtriers d’enfants’ ou ‘gazer les juifs' », a constaté Ronald Lauder, président du Congrès juif mondial (WJC), dans une contribution publiée dimanche par le journal populaire allemand Bild am Sonntag.
« C’était un choc pour beaucoup de Juifs. Dans le sillage des critiques contre Israël s’exprimait soudain au grand jour de l’antisémitisme pur », a-t-il ajouté, la veille d’une réunion annuelle du WJC dans la capitale allemande.
Ces slogans antisémites entendus dans les cortèges cet été avaient été aussitôt condamnés par Mme Merkel, dans un pays toujours marqué par la Shoah et les crimes de la dictature nazie. En Allemagne, aucune dérive violente –comme ce fut le cas notamment en France– n’avait été constatée.
Pourquoi minable ?
Je suis professeur dans un des établissements les plus enviés de Paris. Mes collègues et moi-même faisons partie de l’élite des profs dans ce pays. Je ne vois vraiment ce qu’il y a de minable là-dedans.
Vous faites sans doute partie des minables qui ont des professeurs une opinions faite des plus méprisables préjugés.
Remettez-vous en cause, ça vaudrait mieux. Vos propos paraîtraient moins ridicules.
« Joli compliment, dont j’étais très fier à mon tour. »,
Nan,vous en rajouté.
« Je suis professeur dans un des établissements les plus enviés de Paris »
Un simple collège, et en fait de carrière de surcroît. Une trajectoire de minable
« tête à toto, que vous soyez un crétin qui a du temps à perdre, qui découvre Nietzsche au cinéma et à qui je n’ai plus rien à dire, ne fait plus aucun doute. »
Merci à vous, me voilà habillé pour l’hiver !
« hamlet dit: 14 septembre 2014 à 20 h 27 min »,
C’était peut-être un touriste autrichien, qui visitait Turin avec sa carriole.
Ce soir, notre ado flippe, mais pas avec ses lectures :
« Je parle avec un américain/anglais idk et genre sa maison elle est hantée et c’est grave flippant ce qui lui arrive. » (Twitter)
Vous n’êtes qu’un malheureux troll qui ne sait parler que de lui-même.
Si vous croyez impressionner la galerie avec vos galéjades d’adolescent prépubère boutonneux…!
remueur en place, j’ambitionnais d’être le toy boy du ministre de la culture Mitrand. Raté, un autre, homo-nyme critique, a pris la place.
ici l’on dîne tard et mes nouilles vont refroidir. Je penserai à vous en les tortillant.
« Quand même quel évènement, Richard Ford à Nancy et on ne nous a rien dit. »
Admirative, des journées ? Richard Ford ? Nancy ? Allons, laissez-nous Joy Sorman, c’est nous qui aurons la meilleure part…
Ils sont tous jaloux, Phil ! Ont beaux être des bœufs, y se rendent compte tout de même qu’on leur est très supérieurs.
Normal qu’ils soient jaloux. Mais ils ne sont pas très discret. Ils ont la jalousie très hystérique et revencharde. Ça les classe en plus chez les ploucs de basse Bretagne…
Il y a une semaine, quelques jours avant de célébrer au Parlement allemand les 75 ans du début de la Seconde Guerre mondiale, la chancelière, âgée de 60 ans, avait souligné « la responsabilité perpétuelle » des Allemands vis-à-vis de leur histoire.
« Ces 25 dernières années, il y a eu une renaissance de la communauté juive en Allemagne. Elle doit continuer », a martelé M. Lauder dans les colonnes de Bild am Sonntag.
Ce renouveau de la communauté juive était d’ailleurs l’une des raisons qui avait poussé le WJC à choisir Berlin pour sa rencontre annuelle, avant les événements à Gaza et les dérapages antisémites de l’été en Europe.
Actuellement environ 200.000 juifs vivent en Allemagne, ce qui fait de cette communauté la troisième d’Europe, derrière la Grande-Bretagne et la France. Une situation impensable après la chute du IIIe Reich: en 1950, seuls 15.000 juifs vivaient encore en Allemagne, contre 560.000 en 1933.
Après la chute du mur de Berlin en 1989, l’Allemagne, en raison de sa responsabilité historique, avait offert la possibilité aux Juifs originaires des pays de l’ex-Union soviétique de venir s’installer chez elle.
« Le mélange pacifique des cultures, religions et peuples nécessite des efforts constants », a remarqué pour sa part le vice-chancelier social-démocrate Sigmar Gabriel avant le rassemblement auquel il participera mais où il ne prononcera pas de discours, contrairement à Angela Merkel, qui doit s’exprimer à 14H30 GMT.
Selon le rabbin Daniel Alter, chargé de l’antisémitisme pour la communauté juive à Berlin, les sentiments antijuifs ont considérablement progressé en Allemagne ces dernières années, même s’ils restent en retrait comparé à la Grèce, la Hongrie ou la France. « Dès qu’il y a une escalade du conflit israélo-palestinien, on peut observer une haine des Juifs qui se manifeste ouvertement dans les rues allemandes », avait-il dit.
En France, le nombre d’actes antisémites a presque doublé (+91%) pendant les sept premiers mois de 2014, avec une accélération en juillet.
Selon un rapport présenté il y a quelques années au Bundestag, cité par M. Alter, un antisémitisme larvé se trouve chez un quart de la population allemande. Un chiffre qui monte à 50% dans la communauté musulmane (qui comptabilise 4 millions de personnes, la plupart originaires de Turquie).
Dimanche, le musée juif de Bruxelles rouvre ses portes, plus de trois mois après la tuerie qui a coûté la vie à quatre personnes et pour laquelle Mehdi Nemmouche, un Franco-Algérien soupçonné d’avoir un temps rejoint l’Etat islamique en Syrie, est aujourd’hui inculpé en Belgique.
(AFP)
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Belle image de la France dans le monde !
Ça fait quand même quelque 20 millions d’Allemands qui nourrissent des sentiments hostiles aux Juifs et 2 millions de Turcs vivant en Allemagne ! Près de 25 millions de citoyens allemands antisémites.
La bête immonde est tapie dans l’ombre prête à nous sauter une nouvelle fois à la gorge.
Et c’est à peu près pareil dans tous les pays d’Europe.
Après, on ira prétendre que Hitler a perdu la guerre…! Et que l’Europe n’est pas antisémite !
« Tsahal, l’armée la plus éthique du monde » (Netanyahou)
Le Premier ministre israélien s’est exprimé au cours de la conférence internationale sur la cyber-sécurité
La quatrième édition de la conférence annuelle pour la cyber-sécurité a eu à l’Université de Tel Aviv dimanche, au cours de laquelle des représentants de la sécurité du monde entier ont participé.
Au sujet de la lettre de « refus » de servir des réservistes de l’unité 8200, qui a provoqué de fortes réprobations du côté israélien, et un soutien du côté palestinien, Benyamin Netanyahou a exprimé ses plus fortes condamnations au cours de la conférence.
« Je tiens à préciser que la lettre de refus des membres de l’unité est hautement condamnable et dans son intégralité. L’armée israélienne est la plus éthique au monde. Je sais que ces accusations sont sans fondement et ne nuiront pas à l’important travail fait par tous pour la sécurité d’Israël », la « délégitimation d’Israël » en interne, constituant à son sens une immense menace.
Une quarantaine d’officiers de l’unité 8200, la plus prestigieuse en matière de renseignement israélien avaient dénoncé les abus commis contre les Palestiniens en son sein cette semaine.
« Malheureusement, la déligitimation ne vient pas exclusivement de la communauté internationale », mais également de l’intérieur, a-t-il insisté, en référence à la lettre des « frondeurs ». « Les réservistes qui refusent les ordres n’ont pas leur place », a ajouté le Premier ministre dimanche soir.
Netanyahou a débuté son discours sur les efforts investis dans la sécurité en Israël : « Je ne voudrais pas savoir dans quel état serait le pays, si nous n’avions pas autant investi dans la sécurité ».
Au sujet de la montée du terrorisme, le Premier ministre a répété que la première menace mondiale pour l’Etat hébreu était l’Iran.
« Les cyber-attaques ont échoué, tout comme les roquettes du Hamas », a-t-il déclaré, indiquant que les tentatives de piratages, certainement en provenance d’Iran, ont connu une véritable explosion pendant le conflit entre Israël et le Hamas à Gaza cet été.
« Nous nous engageons à maintenir la position d’Israël comme cyber-puissance internationale », a-t-il enfin conclu.
Hamlet, ce n’est pas la faute du présent si vous n’arrivez pas à le comprendre. Il faudrait remettre en question votre manière de le regarder…
qq illustrations à vos propos
redingote
https://www.flickr.com/photos/confetta/sets/72157608389570866
qq illustrations à vos propos
lavallière
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/94/John_Everett_Millais_-_Ophelia_-_Google_Art_Project.jpg
…
…être y être, ne pas y être,…la confiance,…
…
…le panier, le fabriquer,…ne pas y être, en être sortis,…ou le porter,…
…
…on en revient, à ou, quand, comment, pourquoi,…etc,… » combien çà rapporte d’escroquer à col blanc, avec le management, et jeux d’usuriers, entre eBay et Paypal,!…
…
…les interventions de sécurité des comptes détournées, et amovibles par leurs soins,…avec des informations contradictoires, sans que vous pouvez corriger le » piratages » des données inscrites,…
…juste, mes preuves photo d’écran avec mon appareil,… et copier/coller,…les différentes mutations des textes, sur (*)favoris,!…
…
…je répète,escroquer les gens, d’une façon ou d’une autre,…
…
…les juifs, ou ceux apparenter je m’en fou,…du moment qu’ils ne volent pas leurs prochains, et qu’ils laissent vivre les voisin en paix,…
…
…ils sont soumis aux lois, équitables, comme tout le monde,…
…être ou ou ne pas en être,…victimes comme vaches à lait,…de qui, de quoi,!…
…
…juifs ou nazis,!…la main,…les machiavel aux poux-voir,…à s’entre-bouffer,…l’éthique,…
…
…être ou ne pas en être, le capitalisme nazis-juifs aux ordures,!…avec ou sans Merkel,!…
…les parasites d’autorités à la » Berlusconi « ,…
…le concert, des plans, avec des arabes partout contre les peuples, au détriment des autochtones d’Europe,…c’est le Bide,!…la crise grec,…les nations aux économies bloquées,…un » air » de Rappetous « , d’outre -atlantique,…l’Europe colonisée style » Métropolis « ,…la confiance aux cons aux poux-voir,…sans scrupules,…
…la diabolisation des gens libres de progrès, en managements machiavéliques,!…sur les acquis du droit de vote,…
…les élus poings et pieds liés a la mondialisation globale,!…il n’y a plus de patries ,…que l’usure et le profit,…
…la classe et concept a l’Optimum à Paretto,!…
…
…mais, les juifs, un concept,…lesquels, tout le monde est juif aujourd’hui,!…tous des victimes d’enculés,!…
…il suffit de dire, je veux m’enrichir, et on confond tout, les escrocs pour les banques à rien foutre, et,…les entreprises de productions industriels ,…robotisés,!…conclusion des chômeurs,!…
…du travail, ou supprimés les robots,…jamais,!…
…donc,..l’évolution,…la gestion des loisirs en supprimant les vers dans les idées en fruits,!…
…
…le capitalisme et ses dogmes de destruction pour rebâtir, à l’infini,…en échecs,…
…supporter les gens heureux autour de soie,!…
…
…avec, ou sans pressions des immigrés arabes collabos du capitalisme à outrance, à outrance,!…
…
…çà rappel la guerre du Péloponèse, entre la pensée grecque et les rois Perse,!…en somme,!…
…
…mais, les juifs, en tant que juifs, tout le monde s’en fout,!…c’est saint-clair à deux balles aux pots,!…
…qu’ils viennent pas nous casser les couilles comme allemands à Merkel des Perses-Turk,!…Merci,!…Bip,!Bip,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…envoyez,!…Go,!…
« Bon, je n’ai plus temps, sinon, ça allait encore déraper. »
Vous allez vous coucher tôt, des journées. C’est dommage. Vous avez peur de « déraper » ? Quittez cette crainte… ici, on se dit tout !
la tête à toto dit: 14 septembre 2014 à 17 h 03 min
Très sincèrement, la prochaine fois débullez, juste par respect. Celui que l’on se doit et doit aux autres.
Si ce n’est en connaisseur du champagne, du moins pour Amélie.
Elle nous souhaite bonne nuit, mais ne nous dit pas si elle va lire quelques pages traumatisantes de son roman :
« Passez une bonne nuit. #nox » (Twitter)
all you wrote was yesterday
http://www.youtube.com/watch?v=rpO4lji8lR0
hamlet dit: 14 septembre 2014 à 20 h 20 min
c’est une chance que le romantisme ne soit pas arrivé jusqu’en Russie.
Ben houi : parce que les russes le sont, romantiques, depuis Cyrille et Méthode et même avant à l’époque des hommes-loups. Il n’est que de les voir simultanément rire et pleurer dans la même assiette de vodka. Et boire les concombres d’une autre main. Et ce que l’on disait à l’époque, c’est que le communisme n’y a rien changé. Maintenant c’est peut-être pas ça le romantisme, ni Gonzague Saint-Débris, faudrait voir à hétudier en creusant offshore…
Pourquoi ce ton agressif, des journées, presque hystérique ? Oui, je voulais faire profiter tous les internautes du blog de ce bel article, où Amélie Nothomb parle admirablement de la « bulle ». Je n’ai manqué de respect à quiconque, je crois, tout simplement je n’ai pas réussi à transférer le lien. Est-ce une raison pour me chercher une mauvaise querelle, une querelle d’ivrogne ? Je ne crois pas. Je vous remercie au contraire, des journées, d’avoir remédié à mon involontaire défaillance technique. Maintenant vous pouvez aller vous coucher, des journées. Bonne nuit.
hamlet dit: 14 septembre 2014 à 20 h 20 min
vous savez Sergio c’est une chance que le romantisme ne soit pas arrivé jusqu’en Russie.
la Russie a été épargné du grand fléau du Romantisme, alors que nous nous ne sommes toujours pas sortis de cette malédiction.
Innocent lecteur de passage, ceci est évidemment une facétie.
Les slavophiles ont été maraboutés jusqu’au trognon par la pensée romantique allemande, c’est du reste tout à fait naturel.
Voyez Kireevsky.
Et ça continue plus vers l’Est…
Il y a heureusement le Pacifique, bienheureux Californiens!
la tête à toto dit: 14 septembre 2014 à 21 h 56 min
ça dépend; les jeux ne sont pas faits.
http://correspondances-manosque.org/fiche_programme/le-royaume-demmanuel-carrere-2/?lieu=festival-in
« Ils ont la jalousie très hystérique et revencharde », écrit le raté du blog d’Assouline, qui ce faisant parle merveilleusement de lui-même. Huit ans à pisser des commentaires ineptes sur un blog, jour et nuit, pour tenter d’exister…
Tête à toto quand vous cesserez de faire l’ours,- de vouloir nous vendre sa femme ?- et d’insulter l’intelligence du lecteur moyen, on pourra peut-être, je dis bien: peut-être, vous prendre pour quelqu’un de sobre.
« Si vous croyez impressionner la galerie avec vos galéjades d’adolescent prépubère boutonneux…! »
Splendide autoportrait, petit vieillard prépubère.
vieillard prébubère… wwwwaaaaarrrrrrffff ! Le troll, y sait plus quoi inventer. Panne sèche de trolleybus…
Non non, c’est bien ce qui te caractérise. Vieillard, en effet, c’est-à-dire un vieux monsieur proche de la mort, et prépubère au vu de ton immaturité et de ton hystérie permanente
Là, je suis d’accord avec Widergänger : il y a ici un incontestable déficit dans l’invective. Insulter est un art, quasi avant-gardiste, pour connaisseurs chevronnés. Un tel blog permet aujourd’hui à de simples amateurs de s’y coller, avec de piètres résultats, et c’est ce que souvent l’on doit regretter.
Pas de pot en plus. Il est démenti par toto en personne !
wwwwaaaarrrrrfffffffffff !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
L’est foutu, le troll !
Tête à toto, c’est fort louable à vous de vous colleter à « un essai d’une critique de soi-même »
Quid de Virginie Despentes à la place ce vieux Monsieur ? Et si vous la preniez, votre place …
http://www.youtube.com/watch?v=4EUIc4ZwVp0
Des journées, voilà qui ne risque pas de vous arriver !
C’est vrai que pour ce qui est de l’invective idiote, notre Toto se pose là…
Très objectivement, « vieillard prépubère » correspond en effet assez bien à ML. La formule touche plutôt juste. Après, je ne vois pas très bien l’intérêt de passer la nuit à asticoter l’idiot du village. On pourrait reparler des deux romans évoqués dans le billet, non?
Tête à toto, vous pouvez remballer votre peau d’ours; la messe est dite: je vais dormir.
( ps: oui, repensez-y bien à Dionysos et Appolon)
Waaarrrrffff !!!!!!!
Le troll change de pseudo, il est parti avec la queue entre les jambes.
L’est bidon, le trolleybus ! Un vrai plouc !
Bonne nuit, Peau d’Ane…
ça me fait penser à cette époque où vous multipliiez les pseudos, sur le blog Langue Sauce Piquante, cher ML, répondant à vos propres questions, inventant des diplômes que vous ne possédiez pas, etc
Ce qui drôle, à La Grande Librairie de Busnel : Paul Veyne félicite Carrère pour la rigueur de ses sources et leur sérieux. Carrère lui répond qu’il s’est inspiré des livres de Peul Veyne…
Deux comiques !
Vous devez confondre avec quelqu’un d’autre…
Je n’ai jamais fait ça ici ni ailleurs.
Vous devez avoir échappé à un hôpital psychiatrique…
Ce qu’il y a de plus intéressant chez Carrère, c’ets sa gueule ! Il a vraiment une sacrée gueule.
Sa mère était vraiment bien. J’aimais lire ses articles sur la Russie dans « Le Figaro ». C’était toujours bien charpenté, logique, de belles synthèses sur la géopolitique. Dommage qu’elle n’en écrive plus.
Vous l’avez fait, sous le pseudo Israel, notamment ici en septembre 2007(les fautes d’orthographe, de syntaxe, de conjugaison et de grammaire sont d’origine):
Quand je prends soin d’écrire ici, c’est que je n’écris pas n’importe quoi. Contrairement à beaucoup. Je viens mettre mon grain de sel, et alors ? Ne laissez pas entendre que vous éprouveriez du ressentiment ! L’enjeu n’en vaut vraiment pas la peine. On n’est pas agrégé par le mystère du Saint-Esprit mais parce qu’on a beaucoup travaillé, notamment la réflexion grammaticale, pour l’oral de l’agrèg. Et je peux vous dire que ce n’est pas facile ! Il faut avoir suer sous le burnous pour manier toute la complexicité de la langue, et le tout en dix, pas plus ! Mais en même temps, l’agrèg n’est que l’agrèg ; ce n’est pas un passeport pour le paradis… ça se saurait…
Rédigé par : israel
repensez-y bien à Dionysos et Appolon
Oui, qu’on se le dise et que tout le monde y ppense, et surtout n’oubliez ppas de ppéter au minimum 6 fois ppar heure ppour limiter les risques d’explosion en les envoyant au voisin.
Oui, et alors ?
Vous prétendez que j’aurais prétendu à cette époque avoir l’agrégation. Or c’est complètement faux. Je ne dis pas du tout ça dans cet extrait.
Vous êtes un pauvre hère qui ne sait pas lire, c’est tout !
Pourquoi « sa mère était »… ? Elle vit toujours. C’est une spécialisted e la Russie. Lisez son bouquin sur Catherine II.
Vous le dites ici, toujours en septembre 2007 Et vous voilà pris la main dans le sac:
Eh oui, Aquinze, le Galmiche, c’est du sûr ! Ceci dit je ne suis pas grammairien, je ne suis qu’agrégé de lettres !
Rédigé par : israel
C’est sorti du contexte, vous trichez ! J’ai passé mon temps au contraire à dire que je préparais l’agrèg sans avoir le temps de le faire vraiment.
Vous racontez n’importe quoi, vous voyez bien. Vous avez pris une plaisanterie pour des propos sérieux comme tous les imbéciles.
Non, c’est vous qui êtes mythomane, et vous en avez donné la preuve maintes et maintes fois, ici, sur Mediapart etc.
Et qu’at-il trouvé sur Médiapart, le commissaire de police ? Doit être un bon antisémite en plus pour me surveiller de la sorte…
Je ne vois pas comment je pourrais me montrer antisémite en vous critiquant, vu que vous n’êtes pas juif…
Vous reculez ? Lâche en plus !
Allons bon, encore un porteur d’uniforme qui veut mettre quelqu’un à poil. Quelle manie chez les merdeux !
Bien dit Mme Michu.
Beaucoup de petits merdeux en effet sur le blog, d’un sérieux à couper au couteau qui ne comprennent rien à la plaisanterie ni aux jeux délicieux de la fabulation. Et ils prétendent aimer le roman… Des petits merdeux ! Rien que des petits merdeux avec une mentalité de commissaire du peuple à vous foutre dans un camp en Sibérie pour un oui ou pour un non.
Les soldats de l’amer insipide, pseudos interchangeables, quelle importance ? Ah oui, oulalalalala, internet. Mon Dieu !
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« Plus de sport n’a jamais fait de mal à personne »
(les belges -entre autres- apprécieront)
Mais bon, ouf! c’est pour Teleclub
J’espère qu’une décoratrice d’intérieur ne vous a pas fourgué un divan dont on vous empêchera de vous relever
Bonne nuit les petits
euh… On va lui mettre un peu de collagène alors
Gérard Manset, « Animal on est mal », 1968.
« … Et si on se conduit pas bien
On revivra peu-être dans la peau d’un humain
Animal on est mal… » :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Nuoiy8lGJgE
Effectivement, j’aurais pas dû vous chagriner
moi non plus
Verbe sujet complément ; )
L’antisémitisme de Hitler est fou parce que métaphysique. Le Juif est ce qui empêche l’Allemagne de ses rêves d’advenir, et mine le genre humain dont l’aspirant dictateur finit (vers 1924) par se croire le rédempteur.
De ce point de vue, le nazisme n’est pas reproductible. Et Brecht, avec sa bête immonde au ventre fécond, est un confusionniste en quête de grues métaphysiques, contaminé par ce qu’il combat : le ventre le fait con.
Reste, en écho assourdi du Troisième Reich ou engendrée par le climat actuel de petites haines universelles et d’allègres amalgames, non pas la folie mais la connerie pure, et éternelle (du moins tant qu’une vraie démocratie, appuyée sur des médias honnêtes et démoutonnisés, n’aidera pas les gens à démasquer au jour le jour et comme par réflexe la connerie, où qu’elle champignonne).
La connerie antisémite d’aujourd’hui, sous couvert par exemple d’antisionisme, n’est ni meilleure ni pire ni plus digne de notre vigilance que la connerie anti-musulmane d’aujourd’hui sous couleur d’antidjihadisme.
On veut nous lancer dans une énième guerre destructrice du Tiers Monde mais, plus grave encore, les médias occidentaux serinent que cette fois l’ennemi de là-bas entretient ici force espions, agents et correspondants. Une réaction des gens de bon sens est plus qu’urgente, ainsi qu’une ONU sortant enfin de la tutelle d’une ou deux puissances pour décider et mener toute opération de police. Et réduire les criminels à leur dimension véritable autant que misérable.
« Des frappes chirurgicales » : l’expression serait géniale si elle n’avait été détournée, précisément pour absoudre les « dommages collatéraux » au nom de la fatalité. Le chirurgien tient à honneur de ne toucher que les tissus strictement nécessaires. Mais qui a de l’honneur aujourd’hui dans les palais gouvernementaux des puissances maîtrisant les technologies militaires d’avant-garde ?
Vos gentilles réflexions, monsieur Delpla, n’apportent rien au débat. UN est un lieu de parlotte, sans plus. Pas un acteur international. Les démocraties occidentales font face à une question de survie : comment combattre la volonté de conquête du monde, objectif d’une religion totalitaire l’islam, s’appuyant sur un Livre saint qui l’ordonne ? Tout apaisement est suicidaire.
Il est agréable de se faire traiter de « gentil » quand on vient de taper comme un sourd tous azimuts : on ne saurait rêver meilleure reconnaissance du fait que les coups étaient mérités.
And so on : tout le reste n’est encore que confirmation du mien.
Hors sujet mais vous je m’autorise de votre mansuétude.
A bon’e’ca si mori. Heureusement qu’on finit par mourir! Phrase prononcée par un mineur de soufre qui aimait le vin et les cartes( qui plus qui moins, tous les mineurs de soufre aimaient le vin et les jeux de hasard, et une nourriture épicée- mouton recouvert de poivre et rôti sur la braise, caciocavallo vieilli, à croûte dure: des aliments, en somme, qui appelaient le vin- et donner des sérénades, se prendre de passion pour les femmes les plus difficiles à atteindre, et lutter entre eux, se battre en duel:tout le contraire des paysans); un samedi soir, à l’époque de Noel, après avoir perdu tout l’argent qu’il avait, et s’être endetté sur celui qu’il n’avait pas, et alors qu’il rentrait tristement chez lui, il sentit tomber sur lui, d’une fenêtre rapidement ouverte et refermée, le copieux contenu d’une « commode »(la commode était un récipient cylindrique de terre vernissée, aussi haut qu’une chaise et avec les bords solidement rabattus de façon que l’on pût- commodément- s’asseoir dessus, en somme, le vase que contenait la chaise percée). On dit: a bon’e’ca si mori à titre de commentaire et de conclusion sur ses propres malheurs, ou ceux d’autrui. »
Leonardo Sciascia,extrait de son lexique qui accompagne le livre de photographies de Ferdinando Scianna »Les Siciliens ».
ML, vous devriez aller voir le film israélien sorti cette semaine sur nos écrans : « L’Institutrice ». Je serais très curieux de voir comment vous décoderiez ce film parabolique, où l’on voit l’héroïne essayant, en vain, de sauver la poésie qui traverse l’un des enfants dont elle à la charge et qu’elle veut à tout prix préserver, contre la société israélienne actuelle, voire occidentale tout entière !
Le cinéma israélien, et palestinien compris, ainsi semble t-il que sa poésie, sont particulièrement intéressants et porteur de sens. Vous auriez tort de passer à côté !
« … sauver la poésie qui traverse l’un des enfants dont elle à la charge et qu’elle veut à tout prix préserver, contre la société israélienne actuelle, voire occidentale tout entière ! »
Quoi, Jacques, vous êtes vous aussi contaminé par le virus qui sévit dans le « corps » d’hamlet ?
@ Widergänger dit: 15 septembre 2014 à 0 h 14: « C’est sorti du contexte, vous trichez ! J’ai passé mon temps au contraire à dire que je préparais l’agrèg sans avoir le temps de le faire vraimenVous racontez n’importe quoi, vous voyez bien. Vous avez pris une plaisanterie pour des propos sérieux comme tous les imbéciles.2:
Vous mentez, vous avez il y a quelques temps dit avoir passé l ‘agrège avec succès. Vous écrivez n’importe quoi et vous êtes d’une mauvaise foi monumentale.
La vérité, vous voudriez être moins médiocre, vous inventant des ascendances de caf’conc. Votre grand-mère Alba, doit avoir honte, et l’autre grand-mère aurait mérité mieux que cela.
Vous ne plaisantez jamais, votre constante est votre haine des autres et le mépris pour tout le monde, même ceux qui ont une carrière littéraire professionnelle, parfois reconnue par leurs pairs.
Vos traductions de l’allemand sont médiocres, voir fausses, franchement vos feriez mieux de terminer un seul de vos projets.
Pas étonnant que vous trouviez JC à votre aune.
And so on : tout le reste n’est encore que confirmation du mien.
toutafé francois, c’est trés bien cque tu dis, fort mesuré, apropos, simple..bref t’es un dangeureux térroriss..si un jour t’es poursuivi par la police et qu’en bas de chez moi tu me demandes lasile..répète moi ce que je viens de dire dans ce post pour que j’hésite pour la commode..ça marchera peut être..peut être que je suis pas si mauvais dans l’fond..dis ça aussi
Je ne vois pas comment je pourrais me montrer antisémite en vous critiquant, vu que vous n’êtes pas juif…
petite phrase follement interessante dracul..comme la définition de ce que serait la perfidie elle même si on ne comprenait pas bien ce qu ça veut dire
Même les pires crapules cassent leur pipe.
Un petit verre de Synthé Mimile, comme cher à Phil, à la santé du défunt Ian Paisley, pasteur loyaliste radical ex-chef du DUP, grand prêtre de la haine anti-catho, qui passa les 9/10e de sa vie à mettre de l’huile sur le feu sur les relations entre les communautés en Irlande du Nord, et 1/10e à gérer la paix qu’on lui avait imposée de Londres et de Dublin.
« Vous ne plaisantez jamais, votre constante est votre haine des autres et le mépris pour tout le monde, même ceux qui ont une carrière littéraire professionnelle, parfois reconnue par leurs pairs. »
Ah ! ce « carrière littéraire professionnelle », que c’est-y beau !
Et ce « parfois reconnue », que ça sent-y bon la déception du laissé-sur-place-sans-succès…
Perso, je trouve que l’hypothèse (nous appellerons ça comme ça) hamlétienne sur Dostoïevski antithèse de Nietzsche intéressante, quoique psychologiquement défaillante. En effet, Napoléon ne fait pas tirer sur la foule pour « devenir » Napoléon : il l’est déjà, et seul les hasards de l’histoire seront responsables de sa montée, et de sa chute. Quand Raskolnikov élabore un crime qui serait justifié par un avenir « napoléonien », il tente d’infléchir son destin, en s’appuyant sur un sentiment de soi orgueilleux : il a donc tout faux, car on ne peut préméditer le hasard.
(mon dieu comme je m’exprime mal, et comme ma pensée, qui est pourtant clairement dessinée dans ma tête, en ressort confuse et peu probante. C’est là que je regrette mon inculture, et la modestie de ma formation intellectuelle ; c’est là que les privilégiés qui ont eu accès à un enseignement universitaire de qualité m’inspirent un sentiment qui pourrait bien s’apparenter à de l’envie, hélas !)
Clopine, vos thèses napoléonesques sont pour le moins farfelues et vides de tout contenu historique.
Demandez à Jean-Philippe boumou, il va vous espliquer.
Comment c’était le grotesque?
hier le blog était super clean, pas de bougue-rot à l’horizon, ce matin la pollution revient, les délires reprennent du poil de la bête… c’est triste comme dirait JC
Ce sont plutôt des hypothèses dostoïevskiennes que napoléoniennes, Chaloux, issues de la lecture de Crime et châtiment…
Au fait, hier, j’ai vu un fort impertinent petit film : « les invités de mon père », qui m’a fait penser à certains erdéliens croisés par ici – qui ressemblent fort au personnage joué par Luchini.
C’est donc qu’il y a quelque chose d’autre sous le chapeau du Napoléon dostoievskien. Un rêve délirant échappé de la misère?
« mon dieu comme je m’exprime mal, et comme ma pensée, qui est pourtant clairement dessinée dans ma tête, en ressort confuse et peu probante »
C’est comme moi, Clopine d’ours ! Comme le monde est petit …
Road rash, road rash, all i’m sayin’ is road rash
Oui, Chaloux, mais si dans le livre Dosto insiste beaucoup sur la condition physique du héros, le manque de nourriture, l’extrême pauvreté, la maladie, ce n’est pas pour expliquer son basculement dans le crime (qui est expédié en deux pages, tout au début du roman, et on n’y revient plus) mais son incapacité à l’assumer. Si Raskolnikov était correctement nourri, pourrait-il emprunter le chemin de la rédemption ? Dosto semble indiquer que non, notamment via le personnage de Loujine n’est-ce pas.
Il me semble que le christianisme de Dosto, cette sorte de dolorisme (qu’on retrouve de nos jours dans le cinéma de Lars Von Trier) s’inscrit dans cette thématique. Et en ce sens, elle est bien opposée à l’hédonisme de Nietzsche, non ?
Jc, peut-être nous ressemblons-nous sur ce point, encore que je vous soupçonne d’avoir fait des études supérieures, mais admettez au moins que nous différons sur tout le reste -j’en suis d’ailleurs soulagée !
Vous avez raison de le soupçonner d’être un surdiplômé, Clopine de cheval ! En mathématiques, d’abord, en physique théorique ensuite, en administration d’entreprise, et en pratique forcenée de la mentule priapique par beau temps : différences notables avec vos propres activités spirituelles et littéraires.
Donc quelque chose interfère dans nos conclusions et c’est ce machin. Reste que moi j’ai quelques usines à gaz à fermer
Jean Philippe boumou ou j’enfile boudemou ?, l’est pas fier le gars
brève dit: 15 septembre 2014 à 10 h 38 min
Chaloux nous fait des tentatives « d’humour » à deux coups mais comme il sent bien la vanité de ses essais il emploie toujours un pseudo pour le second.
La peur du vide.
…
…comme des habitudes littéraires conservatrices,!…
…
…de quoi il cause,!…les écritures des Judas,!…
…
(…poussé la charogne-montée,…du jour en public,…là,…
…pour vivre en privé raffiné, avec les meilleures moules-fraîches en cours,!…)
…
…un art du journalisme,!…pour les gens-poubelles des Stalags 13,…dans le concepts de l’Optimum à Paretto,!…),…
…
… » çà nous fend le coeur « ,…
…
…Ah,!…Ah,!…les mets raffinés,…comme les vieux » os » dans l’administration,…aux chiens après usages,!…à nourrir les écuyers – levrettes à Madame,!…un épagneul,…en famille,!…
…
…à nos jeunes qui ont du chien,…à l’âge, déjà des lévriers à fourrer,!…vous préférez,…
…les mets raffinés,…
…de quoi laisser les situations de pure charognards au grand-public,!…mais tout va mal,!…c’est la crise,!…les gentils Monsieurs aux anges,…aux Stalag 13,…porte-bonheurs,!…
…
…monsieur le Marquis,!…faite un effort,!…Ah,!Ah,!…un désert à quatre pattes,!…à la louche,!…etc,!…du Cinéma,!…
…
…
Regardez, quelle gravité (je m’en protège)
je le répète : Chaloux c’est lui et moi, brève, c’est moi, arrêtez vos fantasmes
…
…au moins j’ai de quoi rire pour mes vieux jours, sans me réécrire,…le temps c’est de l’argent, en plus d’être la santé,…en plus,!…etc,!…
…
il n’y a pas que Chaloux et moi qui ne peuvent pas blairer ce vieux débris mais les autres se taisent, c’est tout comme dirait le chacal
Ce n’est pas une bonne idée de profiter de son café pour reproduire une remarque de Lichtenberg pour l’agrément de tous?
Certains ici pratiquent cet auteur, et ils ont bien raison.
K 155: D’habitude, dans les conversions, on cherche à supprimer l’opinion sans toucher à la tête. En France, on est désormais plus expéditif: on enlève et l’opinion et la tête.
(Le cahier K est écrit entre 1793 et 1796)
Sonst sucht man bei Bekehrungen die Meinung wegzuschaffen, ohne den Kopf anzutasten; in Frankreich verfährt man jetzt kürzer: man nimmt die Meinung mitsamt dem Kopf weg.
brève dit: 15 septembre 2014 à 11 h 04 min
je le répète : Chaloux c’est lui et moi, brève, c’est moi
Mindieu, seriez vous donc encore plus con que lui ?
Je n’ose y croire.
« Chaloux c’est lui et moi, brève, c’est moi »
On ne pouvait décemment pas confondre soie de Chine et serpillère de cantine !
Lire ou relire le K109….
Clopine, faites attention à ce que vous écrivez! Prendre deux pensées différentes et dire triomphalement qu’elles le sont parce qu’elles le sont relève de la mauvaise copie de terminale!
MC
Kenavo, Court!
Pendez-moi donc haut et Court, Court. Je tentais d’apporter mon soutien aux divagations d’Hamlet (mais on ne le fait pas sans casser des oeufs, ahaha)
Ce n’est pas, contrairement à ce que pourrait faire croire mon fort pouvoir rhétorique (Hurkhurkhurk) que je déteste boumou. Ce que je déteste, c’est son mode.
« Je crois que la majeure partie des misères humaines naissent de k’indolence et de la mollesseL L
Jacques Barrozi, je vous ai cité sur mon blog, aujourd’hui. Je pense souvent à ce que vous m’avez dit, sur le fait que vous n’arriviez plus à lire de livres…
Raté, on recommence.
« Je crois que la majeure partie des misères humaines naissent de l’indolence et de la mollesse. La nation la plus énergique fut, de tout temps, la plus libre et heureuse. L’indolence ne connait point de vengeance, elle supporte plutôt les injures les plus grandes et la plus lourde oppression ».
Lichtenberg, Corti, p. 299.
Court toujours aussi méprisant, ah si c’était par Monsieur de Jouy, cela aurait été différent, ma chère
La France s’enorgueillit d’avoir eu des ministres de l’éducation nationale qui étaient des philosophes.
(Dernièrement, on a même connu des séquences un philosophe/ un âne)
J’ai vu sur des étalages des livres gros, des livres courts, des CD, des DVD, des programmes de croisières, demain des mangas?, où un souriant Ferry disait la même chose.
K 246 « Il faisait commerce des opinions des autres. Il était professeur de philosophie. »
(Er handelte mit anderer Leute Meinungen. Er war Professor der Philosophie)
Est-il bien raisonnable, s’est-on demandé, que le philosophe Peillon ait débarqué bille en tête pour imposer sa marque, avec une réforme qui n’était pas prioritaire?
Voici pour se réconforter:
K 139: Si l’à-peu-près ne s’immisçait pas d’une main habile dans notre système d’éducation, qu’est-ce notre monde serait devenu?
(Wenn das Ungefähr nicht mit seiner geschickten Hand in unser Erziehungswesen hineinarbeitete, was würde aus unserer Welt geworden sein?)
(Au prix d’un léger détournement, grâce au traducteur)
Un spécial Chaloux :
« Matière suffisante pour se taire »
Aphorisme dit: 15 septembre 2014 à 11 h 34 min
Un spécial Chaloux :
Un spécial ducon
« J’ai obtenu tant d’honneurs immérités dans ma vie, que je puis bien une fois supporter un blâme injustifié ».
P. 488.
Contre les idées reçues :
http://qz.com/263006/independent-bookstores-are-alive-and-well-in-america/
Le « super spécial » Chaloux :
« L’homme faisait beaucoup de vent. B. – Oh non! si encore, ç’avait été du vent, mais c’était plutôt un vacuum qui souffle. »
je suis en train de relire « Et on tuera tous les affreux » de Boris Vian, mon mari m’a dit : c’est bien comme titre, non ?
Clopine, les désirs vont et reviennent ou pas, qui vivra verra !
Une longue cure de non lecture est parfois salutaire.
J’avais arrêté d’aller au cinéma, j’y suis retourné.
J’avais arrêté le vélo, je m’y suis remis.
J’ai arrêté de conduire, je sens que ça pourrait revenir ?
Je continue à fumer, je me suis arrêté quelquefois…
(un seul « r » et deux « z » à mon nom, depuis plus de mille ans !)
Aphorisme dit: 15 septembre 2014 à 11 h 42 min
Le « super spécial » Chaloux :
Le super spécial ducon.
» Pour certaines gens, un homme intelligent est une créature plus dangereuse qu’une racaille déclarée ».
P. 514.
Je compatis.
Jacques Barozzi dit: 15 septembre 2014 à 11 h 47 min
(un seul « r » et deux « z » à mon nom, depuis plus de mille ans !)
A l’inverse de Zorro qui lui est bien plus salutaire.
Jean-Philippe boumol
tu trolles, tu trolles,
jean Philippe boumou,
c’est mou, c’est mou…
Pauv’ boumolo
T’es ramollo !
En passant: on trouve les oeuvres de Lichtenberg sur le site:
http://www.zeno.org/Literatur/M/Lichtenberg,+Georg+Christoph
Mâtin…
Bon, vla qu’ c’est un sizain.
ueda dit: 15 septembre 2014 à 11 h 33 min
(Dernièrement, on a même connu des séquences un philosophe/ un âne)
Boum boum, tabadam, c’est moi
un seul « r » et deux « z » à mon nom, depuis plus de mille ans !
baroz
A l’origine la famille s’appelait Albarozzi, les deux branches sont encore présentes ici.
pépèpe..je réitère la demande de mon post suprimé..celui juste aprés celui de kabloom vers 9h..où rien de particulier ne figurait..sauf peut être que je demandais que mon cheuloux devait me dire qui lui avait donné mon ipé..sylvie s’impatiente..comme l’a parfaitement bien pressenti keupu chaloux lui a fait passer un trés trés mauvais weekend..peur de ses escadrons dla mort pis tout..il faut que jean philippe la rassure..alors?..cette ipé de qui tu la tiens mon cheuloux ?
Un quatrain pour boumolo dit: 15 septembre 2014 à 11 h 54 min
Un Chaloux qui passe,
toujours aveugle.
JH dit: 15 septembre 2014 à 9 h 13 min
Mais, mon brave JH, faut suivre la saga familiale. En 2007, je n’étais pas agrégé, mais en 2014, je le suis. Ah, je sais c’est très difficile à comprendre pour les esprits comme le vôtre mais c’est pourtant ça la vérité. Quant au reste de votre commentaire, qui est de la même eau, je vous le laisse, mon brave. Comprenez-vous au moins pourquoi je méprise les gens de votre sorte ? Même pas sûr.
Erreur, Michel Alba est un Albalbeurri (avec 2 r).
Il exerce ici cette vocation familiale ancestrale.
depuis le 24 aout les billets de PA ont suscité 9627 commentaires inutiles: on est direct face à l’immensité de la connerie humaine, vous ne trouvez pas!!
La comparaison entre l’aphorisme de Lichtenberg à propos de l’indolence et celui de Kafka où il parle de l’indolence est fructueuse.
1°) Il est fort probable que Kafka s’inspire de Lichtenberg;
2°) Il est intéressant de voir dans quel sens il tourne et radicalise à la manière expressionniste de son époque l’aphorisme de Lichtenberg.
Merci à celui qui l’a mis en ligne, il a fait progresser le schmilblick…
l’ipé, l’obsession de bougue-rot qui fouette ahahah
…
…enfin,!…les plus belles ruses,!…encore très pratiques de nos jours,!…
…
…personne n’en parlera jamais,!…
…
…c’est comme ces jeux, de gamins, tu me dis celà, et je te dirais ceci,!…si tu veux savoir,!…
…
…les trop bonnes ruses,…viennent de soi, elle ne se partagent pas,…elle ne sont pas écrites,…elle ne servent pas de prétextes,…
…à ne manipulez que par l’auteur,!…
…le renard est bien loin avec,…
…et l’auteur s’abstient de lâcher les amarres,!…il Jouy, seul dans son théâtre,…
…belle vaches, Oui mon ange,!…tu prend pied,!…Ah,!Ah,!…etc,!…la qualité, titré,…etc,!…
…
Tant pis, toi t’es tellement nul qu’on peut pas t’écrire de poème. Boumou, au moins, il a brillé. Hein, Jean-Philippe? (Bon, pas beaucoup, mais tout de même, on compare pas).
La nation la plus énergique en a assez pour aujourd’hui.
Ce matin, très tôt, elle retwitte à l’envi, et elle a des problèmes de bus pour aller à l’école :
« Mon bus il est toujours pas là, il est censé arrivé à 20… » (Twitter)
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 11 h 48 min
» Pour certaines gens, un homme intelligent est une créature plus dangereuse qu’une racaille déclarée »
C’est gentil ça Chaloux, je suis touché.
Intelligent n’allons pas jusqu’à là mais moins con que toi c’est sûr.
Une question qui s’adresse à Chaloux puisque c’est lui qui a mis l’aphorisme de Lichtenberg en commentaire (celui qui parle de l’indolence) : est-ce qu’il a le texte allemand ?
Dans l’aphorisme de Kafka, il utilise le mot « Lässigkeit ». J’aimerais simplement savoir quel mot utilise Lichtenberg qu’on a traduit par « indolence » en français.
l’ipé, l’obsession de bougue-rot qui fouette ahahah
qui fouette..toutafé..ha t’es bien le seul a le comprende mon keupu..merci..et toi t’as une idée de qui aurait pus lui filer ?
La nation la plus énergique en a assez pour aujourd’hui.
out..c’est la plus lache
brève dit: 15 septembre 2014 à 12 h 09 min
l’ipé, l’obsession de bougue-rot qui fouette ahahah
Donc brève et bref sont bien Chaloux et un con reste un con, même divisé en infimes particules.
Aphorisme dit: 15 septembre 2014 à 12 h 11 min
Ta petite persécution, c’est une misère, un truc de nul, que toi pour pas le voir. Si ça peut soulager ton petit être contrefait, ratatiné, ignare, ton existence frustrée de gnome rampant, je n’y vois pas d’inconvénient, tu peux continuer. J’accepte. L’esprit de charité…
On a mentionné Corti, on a cité de l’allemand…
Pourquoi ne pas y aller de sa trouvaille de la semaine dans un vide grenier helvétique (vendu 2 francs par un Rom farouche mais probablement pacifique)?
L’hommage rendu à Albert Béguin en 1957 (La Baconnière)
Je vais vous dire pour quoi j’aime cet homme.
Lycéen, j’avais lu de lui qu’il s’était mis à l’allemand dans le but de lire les romantiques.
C’est donc que la chose est possible?, m’étais-je dit. Hourrah!
(C’est quand même un peu curieux, chez ce Suisse, il était probablement bilingue, ma mémoire déforme peut-être un peu?)
On trouve dans ce livre des textes par de bons Suisses (Rousset, Raymond, Poulet… pas Staro, peut-être encore trop jeune?)
Je suis comme Clopine, je me jette sur ces trésors littéraires avec la faim tardive d’un gueux sorti d’un temps de famine.
pourquoi lassouline as tu supprimé ce post ?
que contenait il de si insupportable a ton regard..
Non Alba, le volume Corti. Mais sur le site indiqué par Ueda…
Ta petite persécution, c’est une misère
jean philippe et sylvie demande justice lassouline
assez de nation la plus énergique..je veux causer avec le chef..lassouline
qui a donné cet ipé à chaloux..
je ne suis pas jean philippe..mais il existe, ainsi que sylvie quelquepart je suppose, leur tranquilité m’importe lassouline..qui les a mis en péril ?
Mon message s’est perdu.
Hurkhurkhurk!
bbb..tais toi povre imbéciye
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