La note juste de Pauline Dreyfus et Marie-Hélène Lafon
Il n’y a pas plus dissemblables que ces deux livres : Ce sont des choses qui arrivent (226 pages, 18 euros, Grasset) de Pauline Dreyfus et Joseph (144 pages, 13 euros, Buchet-Chastel) de Marie-Hélène Lafon (144 pages, 13 euros, Buchet-Chastel). Deux parmi les plus beaux romans de la rentrée. Tout les oppose : le cadre, l’époque, le milieu, l’histoire, les personnages… Pourquoi les traiter alors d’un même élan ? C’est que l’une et l’autre et l’autre doivent leur réussite à un détail invisible, rétif à la description et plus encore à l’explication : elles ont su, chacune dans leur registre d’écriture, trouver la note juste. Ce n’est pas qu’une question de cadence, de rythme mais aussi de distance. Toutes choses qui s’accordent secrètement pour donner sa sonorité à un roman.
Une fois passée l’épigraphe de Léon Bloy (« L’homme a des endroits de son pauvre cœur qui n’existent pas encore et où la douleur entre afin qu’ils soient ») les premières pages du premier font penser au début d’un film noir tel que les Américains les réussissaient après-guerre : un enterrement, rien de tel pour explorer une vie dans ses recoins. On se croirait à celui de la danseuse Maria Vargas dans La Comtesse aux pieds nus… Sauf que celui-ci est très français, comme le milieu qu’il ressuscite, un petit monde qui se donne pour le beau monde, et que la cérémonie est racontée du point de vue du délégué de la maison Borniol en léger recul par rapport à cette mondanité en noir. Nous sommes au lendemain de la Libération en la paroisse Saint-Pierre-de-Chaillot, où Proust fit ses adieux à ce monde-là une vingtaine d’années avant, aux obsèques de la duchesse de Sorrente qui s’est suicidée sous l’empire des drogues. En brisant le silence sur sa naissance, l’Occupation lui aura révélé ses origines, le secret de famille, la « honte » de sa filiation : pas seulement bâtarde mais israélite. Fascinante est sa métamorphose sous le coup de cette double découverte. Mais il y a pire que de l’apprendre : le scandale d’une divulgation publique, officielle, même si tout le monde savait en douce. Natalie de Sorrente, née princesse de Lusignan, a quelque chose d’une « Madame Klein » qui aurait trouvé là son Losey.
Chez ces gens-là, qui ont une grande position à Paris, on n’a pas supporté, et dès 1933, le physique très vulgaire du chancelier allemand. C’est leur passe-temps favori : situer les autres. Et ce Hitler ne leur passe pas, non en raison de ses idées mais parce que c’est un parvenu. Le small talk, la plus vaine des conversations portée aux nues par les Anglais, y est goûtée ; on y prise les surnoms : Saint-Vincent-de-Poule pour un cœur trop tendre avec les femmes ; les fleurs viennent de chez Lachaume, naturellement ; on évite la politique puisqu’on ne parle pas des sujets qui fâchent ; on affecte le mépris des convenances ; on endort les enfants le soir en leur racontant l’histoire tragique de l’assassinat du duc de Berry ; toutes les disparitions ne sont pas également pleurées, certaines laissant des fournisseurs effondrés et une épouse soulagée ; le mariage y est résumé d’un bon mot : « trois mois de bonheur, trente ans de bout de table »
A 34 ans, elle a toujours eu une vie facile, d’une fête l’autre mais toujours de ces fêtes qui ne font rêver que ceux qui n’en sont pas, elle s’étourdit dans l’ivresse de la réminiscence, celle des grands bals d’autrefois, car c’était toujours mieux avant. Le seul rationnement qui l’inquiète est celui qui pourrait affecter ses livraisons hebdomadaires de morphine. Il manque pourtant à cette âme inquiète l’énergie de divorcer de son milieu.
« Ce sont des choses qui arrivent », leitmotiv mondain qui sert d’étendard au roman, est la manière par laquelle on accueille l’inévitable (grossesses etc) avec un certain fatalisme car « ce qui doit advenir advient ». Alors oui, bien sûr, ces arrestations de juifs, des brimades, peut-être même des persécutions, d’autant qu’ils ne reviennent pas à ce qu’on dit, mais enfin, ce sont des choses qui arrivent, jusqu’à ce qu’on trouve des ressemblances entre la duchesse de Sorrente et, disons, Irène Némirovsky, la romancière du Bal et de David Golder. Ce n’est qu’en relisant A la recherche du temps perdu qu’elle comprend, Charles Swann lui expliquant ce qui lui arrive mieux qu’elle ne saurait le faire.
Pauline Dreyfus (1969) est manifestement douée. On ne pouvait pas vraiment en juger avec son fameux Immortel, enfin car c’était parfois du sous-Morand truffé de morandismes. Cette fois, c’est vraiment du Pauline Dreyfus et c’est brillant. Des formules qui font mouche, des flèches qui atteignent leur cible : c’est parfaitement ciselé et bien balancé :
« C’est au choix de ses fournisseurs qu’on juge une famille »… « Dans cette guerre d’un genre nouveau, l’ennemi, ce n’était pas l’Allemand mais l’Ennui »… »La guerre, pour les Sorrente, ce sont d’abord des complications domestiques »
Un microcosme qui se donne pour une élite. Que de bassesses dans la « haute » ! Souvent drôle mais plus dérangeant car plus « politique » qu’il n’y paraît de prime abord, surtout quand un nauséeux éclat d’éditorial d’André Bettencourt dans La Terre française passe par là : « Pour l’éternité, leur race est souillée du sang du juste. Ils seront maudits de tous… ». L’auteur connaît parfaitement le monde du faubourg Saint-Germain. Elle écrit au second degré avec un accent tout en dentales et en voyelles étirées à l’infini. Son ironie est souvent cruelle, et sa précision, assez perverse ; elles font oublier la documentation, d’autant qu’on devine celle-ci ruminée et digérée depuis longtemps tant elle est invisible ; en fait, au-delà des lectures des mémorialistes de l’après-guerre, elle a puisé à de meilleures sources, la tradition orale du côté maternel, les Alfred Fabre-Luce et les Germain du Crédit lyonnais. Pauline Dreyfus est implacable et si juste sur le néo-vichysme sournois, souterrain, silencieux qui imprègne l’aristocratie et la grande bourgeoisie. La peinture de cette société est saisissante de vérité. Il est vrai que l’auteur, très fine dans l’observation, a un sens inouï du détail juste. Ne manque pas un bouton de guêtre. Elle est habile pour jouer sur l’inattendu, jusques et y compris dans les menus de Maxim’s. Comme on le dirait d’une lettre de château, c’est un roman bien tourné.
On ne le dira pas de Joseph car c’est d’un tout autre monde et d’un tout autre temps qu’il s’agit. Des ouvriers agricoles dans une ferme du Cantal. Un homme parmi eux, le héros-titre, une soixantaine d’années. Plus esseulé que solitaire. Seul par la force du destin. Tout le monde est parti. Chacun est allé faire sa vie ailleurs. Sylvie surtout, son amour de jeunesse rencontrée au bal, Sylvie qui idolâtrait Johnny Hallyday et ne supportait pas qu’un homme pleure « parce que ça fait tapette », une fille qui n’était pas d’ici et a fini par se laisser emballer par un autre qui l’a emmené loin. Alors Joseph boit comme Natalie de Sorrente jouait de se seringue de morphine. Un trou sans fond.
Marie-Hélène Lafon (Aurillac, 1962), qui commence à occuper une place singulière dans le paysage littéraire, prolonge ici la veine de L’Annonce (2009) et des Pays (2012). Une veine qui est tout sauf un filon. Car son art poétique, sa sensibilité, son univers, son économie, sa pudeur sont aux antipodes de ce qui s’écrit. Une fois n’est pas coutume, la quatrième de couverture, extraite du texte, est admirable car elle reflète bien la lettre et l’esprit du roman. Tout y est, jusque qu’à la dilection pour le cher point virgule, si injustement méprisé par nos contemporains :
« Joseph est un doux. Joseph n’est pas triste, du tout. Joseph existe par son corps, par ses gestes, par son regard ; il est témoin, il est un regardeur, et peut-être un voyeur de la vie des autres, surtout après la boisson, après les cures. Il reste au bord, il s’abstient, il pense des choses à l’abri de sa peau, tranquille, on ne le débusquera pas ».
Elle ne verse jamais dans le pittoresque ou le folklore. Son monde est laborieux mais pas misérabiliste. Ici, celle que l’on appelle « la marquise délurée », c’est une vache aubrac dans la vallée de la Santoire. Joseph est un taiseux qui ne juge pas. Quand il parle, c’est de politique, de la famille ou de Sylvie. Pour le reste, son humanité se divise entre les morts et les vivants dans le désert central de la France. Il a quelque chose d’un certain charpentier de Nazareth. L’épigraphe de Cézanne définit les couleurs : « C’est comme une carte à jouer, des toits rouges sur la mer bleue ». Ici, quand on voyage, c’est pour aller à la gendarmerie à Ségur, ou entre Riom, Allanche et Murat. Juste pour rendre visite aux autres : « Il faut fréquenter et faire maison ».
Rien n’est moins caricatural là où tant de choses, de situations, de personnages prêteraient à la caricature régionaliste, comme tant d’écrivains du terroir en ont abusé. Les mains calleuses n’empêchent pas la délicatesse. Marie-Hélène Lafon fait son portrait par petites touches. Plutôt un presque rien noué à un je-ne-sais-quoi impressionnistes. L’oncle Gustave et la servante Félicité passent par là, hommage des plus discrets de l’auteur reconnaissant, et de son héros au cœur simple. Joseph se veut une épopée ordinaire des petites gens, au sens simenonien du terme, avec ce qu’il faut de noblesse dans le caractère. Ici, ce n’est pas la lettre de château qui aurait pu mieux tourner, c’est la vie.
Ni faux-pas, ni maladresse. Tout est à sa place. Pas un mot de trop. Ces deux romans portent en eux des voix qui viennent de loin. En les lisant, on les entend. De quoi donner envie de les écouter. Bonheur muet de la note juste.
(Photos Henri Cartier-Bresson)
1 004 Réponses pour La note juste de Pauline Dreyfus et Marie-Hélène Lafon
boumou, tu devrais aller déposer une main courante.
boumou, si t’es pas Jean-Philippe, je suis garde barrière.
la nation la plus énergique ne peut pas se controller mon cheuloux..c’est acquis..aller va jouer a citer lichteunebèrgue comme un pauvre idiot
Un petit indice : Assouline n’y est pour rien.
boumou, je ne suis pas plus con que toi. Si par extraordinaire (très extraordinaire) tu n’étais pas Jean-Philippe et que la maréchaussée se présentât chez lui par erreur, jean-Philippe et Sylvie « affolés » enverraient directement la maréchaussée chez toi. Au pire (mais pas de risque) un petit détour.
François Delpla dit: 15 septembre 2014 à 5 h 22 min
L’antisémitisme de Hitler est fou parce que métaphysique. (…) Et Brecht, avec sa bête immonde au ventre fécond, est un confusionniste en quête de grues métaphysiques, contaminé par ce qu’il combat : le ventre le fait con.
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Faut dire quand même que notre Delpla a de sacrée inspiration à 5h22 du matin… Delpla traitant de con BB, c’est pas mal, surtout à 5h22 du matin. Ça en jette, maus costaud ! Et pis Hitler en métaphysicien, lui qu’était pas capabe de peinde, c’est très fort aussi ! Et la relation de cause à effet, c’est pâs mal non plus, entre la folie et la métaphysique. Du coup, on range toute la philosophie occidentale d’un coup de baguette du raplapla de service à HP. Ah, y fait pas les choses à moitié le raplapla, y t’envoie tout le beau monde en cure de désintoxication comme du bon vieux temps de l’URSS pour les dissidents ; accusation : métaphysicien ! Salauds de métaphysiciens, tiens ! Un petit électrochoc pour remettre Platon à sa place…
Ah, il est maus costaud, le raplapla, il est capabe, il ira loin !
les keufs ne se trompe pas sur ce genre de choses élémentaire..l’identification.. »jean philippe »..ma pauvre mère..t’as une vocation de garde barrière mon cheuloux? ça m’interesse pas..dégage..qui lui a donné cet ipé ça oui..et beaucoup de gens ici je suppose..non ?
Va savoir, d’ailleurs, si je crois vraiment que tu es Jean-Philippe, ou si je sais pertinemment que tu es un autre… Tu es trop littéral, je te l’ai dit souvent. La moindre phrase t’emmène où elle veut.
Tu es un petit joueur.
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 12 h 25 min
je suis garde barrière.
Enfin un aveu.
La boeuf regarde passer les trains.
Widergänger dit: 15 septembre 2014 à 12 h 12 min
Dans l’aphorisme de Kafka, il utilise le mot « Lässigkeit ». J’aimerais simplement savoir quel mot utilise Lichtenberg qu’on a traduit par « indolence » en français.
C’est Indolenz.
Un numéro d’anthologie de la Rdl, à ranger au top ten : Chaloux poursuivant de sa vindicte depuis des lustres un certain bouguereau (qui se caractérise par une sottise particulièrement frappante) en croyant qu’il s’agit d’un autre : Jean-Philippe G.
Ah, ça vaut le détour ! Plus cons à eux deux tu meurs !
Un petit indice : Assouline n’y est pour rien
hof..t’es un plomb qui a sauté depuis longtemps..tous tes plombs ont sauté mon cheuloux.. »une nation forte » tu te controles..sang froid pis ..roo
boumou, c’est toi qui parles d’adresse IP. Une obsession de Montaigne, autrefois, qui allait toutes les dégoter… Je n’en ai jamais parlé. C’est à la fois plus simple et plus compliqué. Divin hasard…
Pour l’heure, de plombs, c’est pas les miens qui sautent l’un après l’autre, boumou.
Ok, merci ueda !
C’est en effet un synonyme de Lässigkeit. Dans l’édition Gallimard, ça a été traduit par « paresse », ce qui n’est pas une bonne traduction pour « Lässigkeit » et du coup fait perdre le lien (probable) des aphorismes de Kafka avec ceux qui les ont fort probablement inspirés, ceux de Lichtenberg. Bon.
boumou, je ne suis pas plus con que toi.
t’es au niveau du petit joueur..et le reste à l’avenant..bon..
C’est à la fois plus simple et plus compliqué. Divin hasard…
et oui quand on la désire pour soi la police est toujours divine cheuloux..dérangé
boumou, je vois que tu es très contrarié.
Si tu savais le reste, tu le sais mille fois davantage.
Pour aujourd’hui, contente-toi de ce que tu as.
« Si tu savais le reste, tu le SERAIS mille fois davantage. »
en croyant qu’il s’agit d’un autre : Jean-Philippe G.
ha mais mon dracul..je retire tout ce que j’ai dit..t’es un astre!..allez dis m’en plus quoi
va va ma nation forte..ravagé du bénard comme la france en 40..tu vois dracul que je te donne des gages!
Le « petit joueur » (quand tu répètes à 10 minutes ce qu’on vient de te balancer, j’ai remarqué que c’est toujours dans ton cas le signe d’un grand trouble), c’est toi. Pas plus « dérangé » que tu ne l’es. Tu as voulu danser, tu danses.
Danse donc.
T’as pas fini de danser.
aboule la camelote dracul..ça a l’air poilant..elle est bien sylvie ?..enfin je veux dire..tu comprends quoi..on a des liens maintenant
Alba, c’est beau de venir à la rescousse des vieux amis.
putain la bouffe..ha c’est bien ce blog
bon je compte sur toi dracul..sinon ça va chier pour ton matricul..fais pas gaffe c’est un genre d’ipé
Très honnêtement, Chaloux, le dénommé bouguereau n’a strictement rien à voir avec JPG. Rien. Tu peux me faire confiance. Ne perds pas ton temps avec cet imbécile de bouguereau. Laisse tomber. C’est le mieux que t’as à faire, crois-moi.
boumou l’angoisse…
« Une obsession de Montaigne, autrefois, qui allait toutes les dégoter »
Chaloux
La parano de notre bon Chaloux est à son comble, il imagine tous ses bassesses chez autrui.
Alba, ce n’est pas moi qui l’ait dit. Suis-je le seul à avoir lu ce post?
M
Widergänger dit: 15 septembre 2014 à 12 h 58 min
Très honnêtement, Chaloux, le dénommé bouguereau n’a strictement rien à voir avec JPG.
Je confirme, on s’irrite à l’Académie française de cette usurpation.
L’historien trouvera un indice dans l’essai de réhabilitation de l’académisme pictural par Jean d’O.
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 13 h 06 min
Suis-je le seul à avoir lu ce post?
Mais quel post ?
bouguereau n’est qu’un petit persécuteur de merde qui n’aime pas qu’on lui rende la monnaie de sa pièce. Plus il ira, plus il dansera.
Vois les communications de chantal, boumou.
« Très honnêtement, Chaloux, le dénommé bouguereau n’a strictement rien à voir avec JPG. »
De toute façon, cette question sera tranchée très prochainement. Publiquement, ici.
« jeux délicieux de la fabulation »? dit: 15 septembre 2014 à 13 h 12 min
« un portrait par petites touches. Plutôt un presque rien noué à un je-ne-sais-quoi impressionnistes »
Je suis PSG,
cela ne dérange pas ?
Les proposition affluent après cette demande de secours….
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 13 h 14 min
De toute façon, cette question sera tranchée très prochainement. Publiquement, ici.
Tu nous avais déjà promis cela avec Jambrun et tu t’es piteusement dégonflé.
L’Histoire ne se répète jamais, mais elle bégaie un peu.
« Qui pourrait nier qu’on puisse écrire un chef-d’oeuvre moderne en do majeur? (…) C’est depuis une certaine lassitude engendrée par les avant-gardes que l’on perçoit rétrospectivement William Bouguereau comme un maître, qui nous dit autant sur notre temps que ses adversaires plus éclatants et plus fêtés. (…) Contre cette perpétuelle antienne du fond et de la forme, il faudrait soutenir qu’on peut faire une révolution avec les armes du conformisme, et à l’opposé (…) atteindre au classicisme par la langue d’un Rabelais ». (Jean D’)
Non, ça n’a rien à voir.
GC Lichtenberg notre contemporain ?
Au prix d’un petit détournement.
Il semble avoir lu l’un des « livres de la rentrée dont on parle » — à moins qu’il ne se soit contenté de jeter un œil sur les blogs, allez donc savoir :
F 348. La vanité que l’on met à dire mieux que les gens de la profession est chez un homme comme [X] qui avait peu de solidité, un mobile […] vraisemblable de faire une telle chose […]
Eitelkeit etwas Besseres zu sagen, als die Leute von Profession, ist bei einem solchen Manne wie [X], der wenig Festes hatte, eine [wahrscheinliche] Triebfeder so etwas zu tun […]
Jeannot, c’était un jeu rhétorique, je n’aurais pas dérangé un vieux monsieur à la santé chancelante.
Là, c’est une autre histoire. Je ne peux pas tout dire ici.
Regardez bien vos yeux et dites vous bien que c’est la dernière fois
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 13 h 10 min
un petit persécuteur de merde
C’est un métier où il y a beaucoup d’embauche. Candidatures spontanées acceptées…
Elena dit: 15 septembre 2014 à 13 h 27 min
Cette saine leçon de modestie perd un peu de son tranchant, Elena, quand on sait que la victime de la moquerie est quand même le considérable Leibniz!
Notre ado délaisse complètement le roman de Joy Sorman, elle n’y pense plus (heureusement pour elle !). Par contre, toujours des problèmes avec l’espagnol :
« J’ai une heure et demie de perm là, j’arrive pas à apprendre mon espagnol. » (Twitter)
Sergio, je ne vais pas changer de métier à mon âge. Et puis ça met un peu de roman sans fiction dans le long fil névrotique…
Bon après-midi à tous,- même à boumou.
Dites, Chaloux, si vous pouviez aussi me débarrasser de Lucien Bergeret ? Ce n’est pas que j’aime à me venger, mais ça se trouve, il va décider de troller n’importe qui, et il continuera tant qu’il jouira de l’impunité. Or, les calomnies, les insultes, les provocations, sont autant d’atteintes à autrui qu’une inciviité constatée dans la « vraie vie ».
du dolorisme chrétien chez Dostoïevski ?
contre l’hédonisme athée de Nietzsche ?
Clopine où allez-vous chercher des idées pareilles ?
le gros problème de Nietzsche est qu’il a voulu trouver un système lui permettant d’affronter les réalités humaines sans passer par les mensonges de la religion, une forme de maturité d’esprit capable d’affronter par soi-même le réel sans faire appel aux béquilles de la loi des hommes, en revenant en arrière, revenir à des lois de la nature, sans doute il n’a pas tort de penser que le seul chrétien n’ayant jamais existé est le Christ lui-même, c’est pour cette raison qu’il s’en prend plus à Saint Paul qu’à la figure du Christ, Saint Paul est celui qui a étendu le mensonge, en offrant au monde une astuce facile pour s’en tirer à bon compte : la grâce de l’amour et du pardon.
Le problème est que Dostoïevski n’est pas dupe de ce stratagème, il a déjà intégré toute la pensée nietzschéenne, d’ailleurs on trouve un tas de personnages nietzschéens assez trognons chez lui, Dostoïevski n’ignore rien non plus de l’hédonisme, il sait comment fonctionne la pensée humaine.
du dolorisme ? comme chez Zola, ou Olivier Adam… ? quelle idée curieuse alors que Dostoïevski est tout le contraire du dolorisme, il ne succombe jamais à ce genre de facilité, il ne cherche pas à émouvoir le lecteur, il ne cherche jamais à passer l’émotion pour se mettre lecteur dans la poche, parler de dolorisme chez ce parfait lecteur de Shakespeare est un total contre sens.
s’il ne s’agissait que de dolorisme Dostoïevski n’aurait jamais fait péter les plombs à Nietzsche !
non, il s’agit d’autre chose.
quoi ?
la puissance de l’âme russe ? totalement immunisée contre les fables de la modernité et du romantisme, une âme qui échappe à l’histoire, restée ancrée dans les profondeurs d’une vérité originelle de notre humanité ?
cette puissance de l’âme russe, qui dévaste toutes les fables sur son passage ? c’est peut-être ce qui a fait disjoncté le romantique allemand Nietzsche ?
ou bien le bagne ?
sans doute faudrait-il que tous nos écrivains et tous nos philosophes commencent leur vie par quelques années de bagne pour apprendre que la seule vérité humaine réside dans la force du pardon, cette vérité aucun d’entre nous n’est capable d’y accéder, nous ne faisons qu’entrevoir cette possibilité, nous nous sommes inventés un tas d’outils pour y parvenir : la culture, la religion.. mais cette vérité est vouée à n’être jamais atteinte, nous savons qu’elle existe mais nous restons à mi chemin, sans doute notre immaturité ?
Christine Angot a essayé d’écrire sur le drame de l’inceste, mais elle n’est jamais parvenue à en dire le millième de ce qu’en dit Dostoïevski dans l’Idiot, l’Idiot est un livre sur l’inceste, sur une enfant trop jolie qui a été abusée par celui qu’elle pensait être son protecteur, on comprend à quel point cela détraque les mécanismes intimes, Dostoïevski y parvient sans passer par des effets de style comme Angot, sans dolorisme, sans émotion, il raconte froidement ce gâchis de l’existence.
C’est peut-être cette froideur qui a fait disjoncté le styliste Nietzsche, lui qui pense qu’en en rajoutant des tonnes on peut mieux faire passer son message, alors que la styliste Angot l’aurait laissé indifférent, le problème est que nous sommes tous des Verdurin : nous sommes plus sensibles au style.
ou bien est-ce le doute ? Nietzsche argumente sur sa Foi, Dostoïevski écrit sur ses doutes, sur tout ce qui peut faire vaciller sa Foi, ses arguments tiennent la route, ils sont imparables, ses plus beaux personnages ne croient pas en Dieu, les plus pitoyables sont croyants, jamais un écrivain ne s’est montré capable d’écrire contre ses propres idées avec une telle force, ses attaques contre la religion sont bien plus redoutables que celles de Nietzsche parce qu’elles sont à chaque fois incarnées, elles n’arrivent pas avec leurs gros sabots mais elles sont menées par le petit bout de la lorgnette.
Pour Nietzsche l’équation est simple : d’un côté le mensonge des croyances et de l’autre la pure vérité des grands esprits aristocratiques, et voilà qu’il se retrouve face à un croyant dans l’esprit ne succombe pas à la facilité du mensonge de la Foi, là où Nietzsche donne des réponses Dostoïevski pose des questions et il laisse comme Tchekhov ces questions en suspens : Nietzsche n’a jamais douté de rien, il a toujurs été sûr de ses croyances, s’est-il retrouvé face au propre mur de ses idées ? s’est-il posé la question de ses idées : l’éternel retour ? l’amor fati ? le surhomme ? la volonté de puissance ?
s’est-il rendu compte que ces idées sensées le hisser au dessus du monde n’étaient en vérité que des fables inventées pour mieux se consoler de ce monde humain ?
qui sait ?
en tout cas Clopine il faut oublier vos histoires de dolorisme, il faut éviter de faire comme votre copain Onfray : passer pas des raccourcis trop faciles.
« jeux délicieux de la fabulation »? dit: 15 septembre 2014 à 13 h 12 min
« Très honnêtement, Chaloux, le dénommé bouguereau n’a strictement rien à voir avec JPG. »
Rien à voir avec JPG, rien du tout !
Clopine, un à la fois. Déjà, avec boumou, vous n’êtes pas au bout de vos surprises.
Bergeret, il me semble qu’il a photographié quelque part sa médiocre bibliothèque, à peu près ce que j’avais à quinze ans. Et puis défendez-vous, vous êtes aussi une nation énergique. Première phase, observez. Ce que l’autre vous envoie est sa hantise. Deuxième phase, renvoyez. Il va adorer.
Alba, ce n’est pas moi qui l’ait dit.
c’est fautif cheuloux..
Sauf s’il joue, évidemment… Mais ça m’étonnerait, pas assez fort.
bouguereau dit: 15 septembre 2014 à 14 h 00 min
Comprends pas, magne toi de répondre, je m’en vais.
Dites, Chaloux, si vous pouviez aussi me débarrasser
bien clopine..toujours élégante et prope sur toi
magne toi de répondre, je m’en vais.
va va tartarin de ploukistan..nation fière etc..toujours en avance! vava
De toute façon, cette question sera tranchée très prochainement.
au cutter?..et voilà voilà sylvie elle reflippe
Il n’y a même pas besoin d’aller aux bonnes sources pour savoir que bouguereau et JPG ça fait deux.
Il suffit de lire les courts dégueulis du premier, dont on s’étonnera qu’il puisse avoir des gens ici qui le prennent au sérieux.
JPG avait (je peux en témoigner) et a toujours un caractère de cochon, mais il vole à cent coudées au-dessus de cet ivrogne.
c’est dear TKT qui voyait dans sa période paramount Montaignecheval en Bougreau ! Beaucoup de trompe-l’œil dans ce blog.
En revanche, TKt est un vrai frequent flyer, une vérité trébuchante.
Aujourd’hui c’est Madame Dreyfus qui ferait du sous-Morand, torpillée puis repêchée par le prestigieux passouline. Sait-elle pourquoi la demeure parisienne de l’écrivain fut dynamitée in extremis ? Comme celle de Tanger, d’ailleurs, située à un jet de dattes de la villa BHL, toujours bien droite dans ses très hauts murs.
Hamlet, quand vous aurez le temps, vous pourrez nous expliquer pourquoi jamais dans l’oeuvre de Nietzsche on ne trouvera un Stravoguine.
Tête à toto, je me souviens que Pivot reçoit bien les twit. C’est court, 140 signes et ça dit tout, parait-il.
Si cette jeune personne, dont vous suivez la dure vie d’une lycéenne, filière L, qui à l’air d’en baver, se rend compte que la promotion de « la peau de l’ours », retenu sur une liste Goncourt est peu ou prou ce que dénonce Carrère ( une page dee son livre) à propos de dérives odieuses et bestiales sur le net, vous pensez qu’elle peut se permettre d’être carrément insultante en lui envoyant un petit » chat » comme il les aime ?
» bas de plafond », ça fait pas 140 signes, ça, si ?
chus montaigne..zollers..jean je veux bien..c’est de l’orde du possibe zouzou faut reconnaite tu marques un point (mais petit) et un ivrogne nullissime (tout le monde y témoigne comme la justice aveugue)..c’est pas popo..et mainant jpg..c’est qui ce dopeulgangueur encore..ha la vie c’est pas facile ! mais bientôt un jour une nuit jvais ête fixé..publicment
située à un jet de dattes de la villa BHL
pour la kassam c’est la merde phil..t’es obligé de lui baisser tellement le nez que quand tu la mets à feu elle te crame le burnou
Les disciples de Pivot- agrégés ou non- corrigeront les fautes d’orthographe; c’est tout ce qu’ils savent faire.
Clopine dit: 15 septembre 2014 à 13 h 56 min
la « vraie vie ».
Havec les imprimantes 3D on va pouvoir envoyer par le réseau des grenades allumées, des bras avec une masse d’armes, des fléaux comme dans Sonne le glas…
Hamlet, quand même… La figure de Sonia dans Crime et châtiment… La rédemption… A genoux dans la neige… Les souvenirs de la maison des morts… Les humiliés et offensés… Et la figure du starets dans les frères K. (celui qui ne finit pas en « odeur de sainteté ») : si tout cela ne vous covainc pas du christianisme de Dosto ???
D’où vous vient une telle exécration pour Nietzsche ? Si encore vous étiez une fille, la mysogynie nietzschéennes est telle que je pourrais comprendre, mais là Comme pour Onfray, vous affirmez sans convaincre, faute d’analyser ce qui, chez vous, dans votre parcours, a besoin ainsi de se débarrasser, comme un chien se débarrasse de l’eau de son bain en se tortillant énergiquement…
des fléaux comme dans Sonne le glas…
mise tes thunes sur les godes ceinture sergio..va pas dépenser l’argent du ménage à des conneries
Tiens, Nietzsche aussi, comme Baudelaire, en avait après George Sand : « une vache laitière au beau style »
Sur ce blog, il aurait été à peu près aussi fou que W., quoique dans un autre style…
@Ueda — c’est bien pour cela que je l’ai flouté.
Désir indéfendable de garder les considérations de cette montagne illuminée sur la nature humaine et ses mobiles, tt en changeant la cible.
D’ailleurs maintenant il ne s’agit certainement pas de croire ou faire croire que l’on « défend la religion chrétienne », mais d’en parler (ça reste porteur, vendeur, quête de « sens », etc) tt en faisant savoir que l’on n’est pas ou plus dupe, on a sa fierté, sa réputation ds le monde.
Même fructueux commerce & carrières avec les déçus d’un autre messianisme, d’ailleurs.
c’est normal de se poser des questions, un type qui aime wagner, connaît alba et von traube et se réfère à heidegger .. on recoupe, si j’ai une impression de faux comique qui kiffe les références à la culture pop allemande cela me paraît coller ..
mais dans le doute abstient – toi, aussi comme j’ai envie de profiter sainement de ma journée, vamos, le mensonge n’emprisonne que celui qui y patauge ..
En buvant mon café…
Cela dit, Montaignà avait beau avoir sa petite cour de profs de collège, l’était pas si brillant que ça non plus. Finalement.
Clopine Sonia c’est tout le contraire de la Foi, c’est sofia, celle qui veut comprendre par la raison et qui finit par la facilité : « si ce n’est rien de toutes ces raisons c’est donc la folie ».
quand au Starets Zozime il démontre le contraire du dolorisme chrétien : son corps pue, ils se décompose plus vite que la normale.
Nietzsche c’est à la fois une énigme et une réponse à question de comprendre toute la stupidité de notre époque.
quand Valérie Trierweiler sort son livre tout le monde crie au scandale et parle de la sacralité de la fonction présidentielle !
vous imaginez cette bande de crétins qui se réveillent et découvrent la sacralité de la fonction présidentielle ?
alors que les mêmes nous nietzschéisent à tour de bras ?
les apôtres de la déconstruction découvrent la sacralité de la fonction présidentielle et ils vous expliquent qu’il existe des choses qui dépasse les individus eux-mêmes !
qu’est-ce qui dépasse les individus ?
et les mêmes consolent et réconfortent les âmes perdues avec Pascal, Montaigne, Nietzsche, Spinoza et Camus !!!
Camus le roi des consolateurs : vous êtes pauvre ? votre femme vous a plaqué ? vous venez d’être licencié ? pas de problème ! lisez Camus et partez gouter les joies du soleil, de la mer et de la plage !!!
on se fout de la gueule de qui ?
à quoi ça sert d’avoir vidé les églises si c’est pour se faire consoler par Nietzsche, Montaigne et Camus ?
on a envie de leur dire : fallait continuer d’aller à l’église bande d’abrutis !
voilà ce qu’incarne Nietzsche en 2014 !
le comble de l’imbécilité humaine.
même les plus mauvaises pièces de théâtre ne sont pas aussi nulles.
Clopine je sais que vous êtes un peu normande : dites-moi si vous n’avez pas compris, je peux vous le redire autrement.
Miller Jordan ainsi que Zébra3
Ah ! Chaloux, c’est bien vrai ça pour MàC, l’était pas si terrible. Comme Michelangelo : très moyen !
Hamlet, la foi on l’a ou on ne l’a pas !
Un jour j’ai arrêté d’aller à la messe, vous croyez que j’y retournerai un jour ?
Discret, entre quelques planches en sapin bien assemblées ?
Non, Hamlet, ce qui m’intéresserait, ce serait de savoir comment VOUS en êtes arrivé là : à ce degré de désespoir qui refuse la consolation de la raison (parce que refuser la consolation de la religion, ça je peux comprendre pourquoi…). Parce qu’enfin, si nous devons être au monde sans même tenter de le comprendre, (et pour le comprendre moi j’ai besoin de gens comme Montaigne, Nietzsche, même Saint-Paul ce grand malade tenez, j’ai besoin de connaître, même imparfaitement, même sommairement, l’histoire des idées de l’humanité), alors là oui, pour quelqu’un comme moi c’est d’un désespoir à finir comme Houellebecq, pauvre et triste bouffon de lui-même…
Jacques, pardon d’avoir estropié votre nom, en le privant d’une lettre fascinante : le « z » qui déchire l’alphabet (et le pantalon du sergent Garcia)
J’ai déjà le Quai Conti sur le dos.
Naturellement que Jean Do n’a jamais écrit ça, mais il aurait pu, c’est le principal.
Mais enfin, Trouillefou ! Vous n’avez toujours pas compris qu’il n’y a rien à comprendre ???
Devant les assauts furieux de Hamlet, j’ai envie de défendre la sublime germanité de ces vers:
O Schmerz! O Schmerz! Die Zeit verschlingt all unser Leben,
Dem dunklen Feinde, der uns stumm am Herzen zehrt,
Muß unser eignes Blut stets neue Stärke geben!
Cette noirceur, cette profondeur, le français n’en est pas capable.
Mais voyons ! Il y a tout à comprendre, au contraire…
On en reparle après votre mort ?
Clopine dit: 15 septembre 2014 à 15 h 23 min
Mais voyons ! Il y a tout à comprendre, au contraire…
Comment fonctionne un routeur <3
(ça me fait penser à Brecht et Sarraute : oui… non…)
ueda, le mâle des fleurs ?
Clopine dit: 15 septembre 2014 à 15 h 12 min
(et le pantalon du sergent Garcia)
Comme ne dirait pas Boëldieu :
– C’est la guerre…
– Oui mais on peut la faire en slip !
Les Newtoniens dit: 15 septembre 2014 à 15 h 27 min
Comment fonctionne un routeur
Comme à Tobrouk… Faut taper dedans !
Comme à Tobrouk… Faut taper dedans !
Des types en kaki, avec des auréoles sous les bras, secs comme des ceps de vigne.
Le sarment de Tobrouk.
Sergio, je suis là pour vous la retourner
Des journées, notre ado est en cours, avec ses propres soucis. Elle n’a pas la tête à parler d’ours, ce n’est pas le moment…
« En plus j’ai vraiment l’impression elles s’en battent les couilles de moi t’sais » (Twitter)
Les Newtoniens dit: 15 septembre 2014 à 15 h 36 min
retourner
Des routeurs ? Mais j’en ai de pleines armoires… Ils ont tous fait Tobrouk !
« voilà ce qu’incarne Nietzsche en 2014 !
le comble de l’imbécilité humaine. »
Vous manquez d’humilité, hamlet. Nietzsche, c’est la fin d’un processus, vous y êtes presque, vous-même, sans trop le savoir. Vous ressemblez plus à Nietzsche qu’à Dostoïevski.
Sergio dit: 15 septembre 2014 à 15 h 56 min
Les Newtoniens dit: 15 septembre 2014 à 15 h 36 min
retourner
Des routeurs ? Mais j’en ai de pleines armoires… Ils ont tous fait Tobrouk !
Just for you gg « for nice people – meet the french » and so on
I see their knavery !
Le premier routeur de l’histoire de l’humanité, datant de 1969 :
http://www.computerhistory.org/revolution/networking/19/407/2086
Par ailleurs beaucoup de gens confondent routeur, switch et hub. Pourtant aucun des 3 n’assure la même fonction.
A tous pardon, je passais pour une commande concernant Gouffran et je repars les yeux nettoyés (deneb)
« il vole à cent coudées au-dessus de cet ivrogne.
le dénommé bouguereau n’a strictement rien à voir avec JPG. »
I fait exprès de faire ivrogne ça lui fait une carapace de protection contre les psychodrames dont il était coutumier
« Il faut lire tous les écrivains deux fois, les bons comme les mauvais. On reconnaitra les uns et on démasquera les autres » (Karl Kraus)
Pour ce faire, j’ai lu l’Alcoran d’un certain Muhammad, deux fois …
Deneb dit: 15 septembre 2014 à 16 h 28 min
Le premier routeur de l’histoire de l’humanité, datant de 1969 :
Ha il est beau ! Et en soixante-neuf y avait pas Windows on était libre… Mais je me demande après tout une demoiselle des P.T.T. avec toutes ses fiches c’est une routeuse…
Vous êtes un petit maître de panier, Assouline, mais certains…
http://www.computerhistory.org/revolution/computer-games/16/192
on peut pas être exhaustif jean..depuis pic de la mirandole faut faire des définitions par compréhension comme dirait sergio..ce que l’on ne sait pas est un arrangement
secs comme des ceps de vigne.
Le sarment de Tobrouk
ben mon colon! sec a force de la traire le samedi soir sur un chateaubriand aux halles..sans oublier de passer par l’andouillette avant..et quelques profitrolles pour bien faire briller le gras du bide du routeur au soleil..ça exite les femmes..le bon temps quand même..peu de concurrence..
Elle a encore une heure de cours. On les fait vraiment bosser, les pauvres :
« J’aime vraiment pas finir à 18:00 putain. » (Twitter)
I fait exprès de faire ivrogne
un peu de tenu ! j’existe d’une vie propre..parfaitment..clopine?..dire que je l’ai défendu au début..et longtemps!..comme cheuloux..jusqu’à ce que je m’aperçoive que c’étoient des fourbes..des mouvement du coeur calculés sur des dandinement de faux culs..et ça fait mal de se l’entendre dire ? alors on m’invente des motivations trouble pour espliquer la turbidité de son âme..un flot de cac et de chien crevé qu’on a pas de mal a enfler de l’ordure de son passé hin mon cheuloux..comme toi clopine..critiquer ta personne c’est dire que la terre ment..hors de ma vue!
et toi pov toto..laisse la rouler la jeunesse..elle est plus belle que toi, crétin !
Autre souci : son père n’est pas très cool avec elle (j’ignore ce qu’est une « convention tw2 », près de 500 € tout de même) :
« Si mon père veut pas me payer mon pass pour la convention tw2, avec une pote on va se faire de l’argent par nos propre moyen. » (Twitter)
Pas vu
Cdlt
Je reprécise, pour ceux qui n’auraient pas suivi, que cette jeune fille est une lectrice de « La Peau de l’ours » de Joy Sorman, et de ce fait l’objet de ma commisération et de mon intérêt perplexe.
un seul JPG : Jean-Pierre Garuet (rugby), l’autre un braillard complexé du gode et d’Herman… épictou comme qui dirait icelui
bouguereau dit: 15 septembre 2014 à 17 h 00 min
on peut pas être exhaustif jean..depuis pic de la mirandole faut faire des définitions par compréhension
Het oui, c’est la loi de composition interne, qui définit si une mince particule hélémentaire appartient ou non à un ensemble…
depuis le temps que tu brailles sur tout le mode avec tes « ta gueule », c’est pas étonnant que ça te retombe un jour sur ton blair, hé blairot
d’ailleurs, il a toujours braillé même avant, sous l’autre nom…
objet de ma commisération et de mon intérêt perplexe
petit critique lisant le lecteur et compilant ses habitus..t’es arrangé
Et ce n’est pas tout :
« En plus demain j’ai une interro en anglais et il faut que j’apprenne les phonétiques. Le truc impossible à retenir. » (Twitter)
Tête à toto, question subsidiaire: à partir de quand à peu près dans l’histoire, les (des- et lesquels ?-) enfants ont commencé à dormir avec des animaux en peluche ? et principalement des ours ? Y-a-t-il un rapport de cause à effet ?
84.100.34.134
c’est une étrange affaire parmi mille
mes gondoléances
c’est theodore roosevelt qui a inventé le teddy bear enfin je pense dans mon souvenir.
Il y a aussi une écrivaine qui a martyrisé son ours, dans une tentative littéraire. Un truc bien psychoté aussi. Je pense que c’est Sylvie Germain, à confirmer.
C’était étaler beaucoup de merde avec un beau couteau à beurre http://pastebin.com/vXNydE0i
Enough, Grease, Rélaisse
Un truc bien psychoté aussi.
bof les ours balthazar qui baisent et la bestialité c’est des vieux nanar de notre culture qu’on pus besoin dêtre étiqueté..la tradition a largement passé et repassé et elle dit : est ce bon ou pas, pas moins et pas plus
bouguereau dit: 15 septembre 2014 à 17 h 10 min
I fait exprès de faire ivrogne
un peu de tenu ! j’existe d’une vie propre..
Tu parles d’une tenue, avec les traces de raisiné laissées par d’affectueux louchebems.
la tête à toto dit: 15 septembre 2014 à 17 h 23 min
il faut que j’apprenne les phonétiques. Le truc impossible à retenir. » (Twitter)
Faut prendre les harmoniques c’est plus facile… Et c’est bien plus beau !
Clopine, elle me fout bien la trouille, mais Chantal, elle me fout bien la chiasse.
avec un beau couteau à beurre
tu t’amouraches de la mise en page d’un boot comme d’un oeuf qui vibrerait dans ton derche au numéro de ton ipé..alors que ça vaut pas un sifflement de garçon coiffeur
La photo de tête elle est très bien, comme tout le HCB of course. Mais elle glisse l’idée sardonique et savonneuse qu’elle pourrait être mieux, on sait pas comment mais un peu…
Le sarment de Tobrouk
———————-
Planté à la pelle du 18 juin, avec le sarment de Kouffra. Du nectar dont on fait des légendes pour mieux tenir les hommes en éveil, l’arme au pied.
bouguereau dit: 15 septembre 2014 à 17 h 48 min
bof la bestialité c’est des vieux nanar de notre culture
« Mon papa » par Reiser, ça m’a l’air de faire partie de tes nanars aussi.
Sergio dit: 15 septembre 2014 à 17 h 51 min
La photo de tête elle est très bien, comme tout le HCB of course. Mais elle glisse l’idée sardonique et savonneuse qu’elle pourrait être mieux, on sait pas comment mais un peu…
C’est le canard qui donne cette impression.
Il faudrait quand même lui demander son avis.
Mais elle glisse l’idée sardonique et savonneuse qu’elle pourrait être mieux
peut être qu’il faudrait la voir argentique et finite au mur..le numérique c’est peut être cette idée que le beau déborde de l’oeil du regardeur..il voudra la parfaire de ses pensée et qu’est ce qui pourrait les empécher de le faire
https://www.youtube.com/watch?v=v8myiPb233E
salutations définitives
Reiser, ça m’a l’air de faire partie de tes nanars aussi.
La photo 3 n’a fait l’objet d’aucun commentaire.
Ça montre la pudeur dont un blog est capable, malgré tout ce qu’on entend.
« Je l’ai pensé mais je le dis pas ».
bouguereau dit: 15 septembre 2014 à 18 h 04 min
http://i20.servimg.com/u/f20/11/08/39/63/reiser10.jpg
Ça nous est un réconfort là-bas de savoir que le sanglier en a une petite.
Bouguereau, perso votre vocabulaire, vos fautes de frappe, la façon dont vous répondez toujours en décalé m’a longtemps fait illusion. Je vous croyais de la génération qui avait besoin de recourir à la grossièreté pour secouer le carcan des conventions sociales. Mais en fait, vous vous adressez systématiquement au commentateur, interrogeant et moquant sa personnalité, plutôt que répondre aux commentaires ou participer aux débats, que vous êtes en réalité un troll. Et vous recourez si souvent à la pornographie et à l’insulte que nul, ici, ne pourra vous plaindre si Chaloux obtient gain de cause contre vous : réparation judiciaire ou dévoilement de votre identité, une manière ou une autre de mettre fin à la funeste impunité de vos actes ici même. Si cela pouvait servir de leçon aux trolls les plus pervers, ceux qui calomnient, excitent les suiveurs, tentent d’étouffer la parole, ce serait pain béni, enfin pour moi. Je ne crois en effet pas que la liberté d’expression soit une quelconque justification de telles pratiques. M’enfin…
« m’ont » longtemps fait illusion. Enlever le « que » et mettre deux points à la place. Se relire, serment mille fois répété, jamais tenu.
Clopine dit: 15 septembre 2014 à 18 h 11 min
L’ours dont on veut la peau.
Bouguereau outragé ! bouguereau brisé ! bouguereau martyrisé !
Mais…
bravo, Clopine, votre mise au poing sur le vociférateur (veau si fait rate heure), paf !
C’est vrai qu’on attend pas son prochain, ni à la gare, ni à son blog
Subliminalement vostre dit: 14 septembre 2014 à 9 h 46 min
La dernière photo en illustration témoigne bien, au sens de Monsieur Assouline, de l’ennui mortel généré par les deux bouquins qu’il critique ainsi, aussi subtilement que méchamment…
La seconde, celle du Bal des Pompiers, où Bouguereau drague le femme de Chaloux, et vice-versa, est inquiétante des mœurs littéraires de ces deux héros d’abribus, copains comme cochons dès qu’ils le peuvent.
Et pourquoi pas Yves Thiébaut?
car je suis juste le chaînon manquant, etc, etc, etc
@ueda : faut suivre ! dit: 15 septembre 2014 à 18 h 23 min
Vous y avez pensé
C’est encore plus formidable!
bouguereau dit: 15 septembre 2014 à 17 h 10 min
un peu de tenu ! j’existe d’une vie propre.
ça empêche pas de faire le clown
Clopine, je tonne mais je ne frappe jamais. bouguereau a droit comme tout le monde à son secret. Que je le connaisse ou non, peu importe, ce n’est pas moi qui le lèverai, il peut dormir tranquille. Comme il le rappelait l’autre jour, la RDL « est un blog littéraire », rien d’autre. On s’amuse avec les mots, on jongle avec eux et ils jonglent avec nous. C’est dangereux, le langage, parfois limite, mais c’est bien intéressant. Je vous avouerais que le reste ne m’intéresse pas beaucoup. bouguereau n’a pas besoin de leçon.Ce n’est pas de moi qu’il en recevra.
Saint bouguereau, comédien et martyr
On dit, on prophétise que Tu viendras, que Tu vaincras de nouveau, que Tu arriveras entouré de Tes élus, de Tes fiers héros, mais nous dirons qu’ils n’ont sauvé qu’eux-mêmes, tandis que nous avons sauvé tout le monde. On dit que la fornicatrice assise sur la bête et tenant dans ses mains le mystère sera déshonorée, que les faibles se révolteront de nouveau, déchireront sa pourpre et mettront à nu son corps impur. Mais alors je me lèverai et je Te montrerai les milliers de millions d’heureux enfants qui n’ont pas connu le péché. Et nous qui, pour leur bonheur, aurons assumé leurs fautes, nous nous lèverons devant Toi et nous dirons : « Juge-nous, si Tu le peux et si Tu l’oses ». Sache que je ne Te crains pas.
Говорят и пророчествуют, что ты придешь и вновь победишь, придешь со своими избранниками, со своими гордыми и могучими, но мы скажем, что они спасли лишь самих себя, а мы спасли всех. Говорят, что опозорена будет блудница, сидящая на звере и держащая в руках своих тайну, что взбунтуются вновь малосильные, что разорвут порфиру ее и обнажат ее „гадкое“ тело. Но я тогда встану и укажу тебе на тысячи миллионов счастливых младенцев, не знавших греха. И мы, взявшие грехи их для счастья их на себя, мы станем пред тобой и скажем: „Суди нас, если можешь и смеешь“. Знай, что я не боюсь тебя.
O toi, Torquemada, qui étais juif…
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 18 h 36 min
« Clopine, je tonne »
AH, NON, CHALOUX !!!
Le Tonnerre, c’est moi…
ça empêche pas de faire le clown
ça aide..enfin on s’essaie
putain cheuloux..ce dévoilement..les tarés tu les soignes etc..la police ?..le cutteur ?.. ta femme?
vlam..la déception..
perclus d’opinions sur soi-même
Clopine, je tonne mais je ne frappe jamais
plutôt le dépit que la vérité pasqu’elle est pas belle hin mon cheuloux
Le boug, tu me lis de travers. Je dis ce que je ne ferais en aucun cas. Il faut prendre soin de ses adversaires.
Tu devrais -apprendre à- en faire autant.
Ingrats!
Vous n’aurez pas su reconnaître que notre bouguereau était le prince Myshkin
nul, ici, ne pourra vous plaindre si Chaloux obtient gain de cause contre vous : réparation judiciaire ou dévoilement de votre identité
javais l’espoir que tu allais un peu m’étonner clopine..mais nul..c’est vraiment beaucoup..bon t’as craché ta valda comme on ne dit plus
Allez… Jim Bzr !
bouguereau dit: 15 septembre 2014 à 18 h 44 min
Là, bouguereau, il y a une petite chose que tu te révèles incapable de comprendre. Je t’ai toujours dit que tu n’étais pas au niveau. La seule chose que tu sois incapable de dissimuler. Pourquoi sans doute tu es si gentiment défendu par des gens qui sont à mille pieds au-dessus de toi, et qui le voient aussi.
Il faut prendre soin de ses adversaires.
c’est toi et rien que toi qui t’es posé comme tel..et ce serait à moi de te faire ce reproche..
Pourquoi sans doute tu es si gentiment défendu par des gens qui sont à mille pieds au-dessus de toi, et qui le voient aussi
pourquoi faut il que tu salisses tout ce que tu touches mon cheuloux..
Désolée de t’apparaître comme je suis, tu me montes au collet, Marie-Louise
Viviane Assaganski
N’importe quel tour de fer à friser me ferait moins plaisir que le vôtre
WIDANGEUR VOIT DES TRAITRES PARTOUT:
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/09/12/des-soldats-israeliens-refusent-de-participer-a-de-nouveaux-abus-contre-les-palestiniens_4486455_3218.html
voila t’y pas que les unités d’élite israéliennes dénoncent les pratiques que tout le monde connaissait,sauf Widangeur qui va encore les insulter ces pauvres bougres, parce que lui il sait, ETHIQUE ET TOC!!! ou alors selon la théorie du nez dans le caca, il va soudainement disparaitre des écrans radar pendant quelques heures avant de revenir parader et nous traiter de c.ons
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 18 h 44 min
Ça c’est parler.
Je peux m’en aller boire.
Comme dirait l’autre : « Bon, on le monte quand mon bahut ? »
bouguereau, tu as la mémoire courte, ce n’est pas moi qui aie commencé.
La seule chose dont j’ai voulu te faire prendre conscience, c’est que tu n’es pas le maître. Que tu ne peux pas l’être. Que ce n’est pas ton rôle. Tu n’es pas d’envergure.
En te provoquant très violemment parfois, mais sans plus de violence que toi, j’ai voulu aider d’autres intervenants à comprendre ce qui se cachait derrière ton sabir. As-tu lu « Méduse et Cie » de Caillois? Derrière ton masque, intimidant pour certains, il n’y a rien qu’une petite tête faible, à la morale étroite, aux manières basses, aux raisonnements enfantins.
Celui qui s’affuble d’un masque doit toujours compter avec la tentation d’un autre de le lui arracher.
Bouguereau, une bonne nouvelle pour vous : pour l’adaptation cinématographique de « La Peau de l’ours », qui va faire un tabac, on songe à vous pour le rôle de l’ours. Vous n’aurez pas besoin de maquillage ni d’apprendre le langage des ours. Seule restriction : le film sera interdit aux moins de dix-huit ans, votre vision cauchemardesque pouvant heurter la jeunesse. Sur ce, bonne soirée à vous !
Derrière un masque de lion, on doit trouver un lion.
Si c’est une mouche, tant pis pour elle.
« O toi, Torquemada, qui étais juif… »
J’écris, je réfléchis après.
C’est un détail qui m’a frappé dans l’expérience vécue par Geza Vermes (auquel notre ami WG a justement rendu hommage) que ce refus des jésuites et des dominicains de l’admettre en leur sein…
Stupéfiant, du point de vue de mes amis jés (je ne connais pas de dominicains, ou alors ils sont en clando), mais pourtant le fruit d’une longue histoire.
Ignace voulait à tous prix du concours des Nouveaux chrétiens dans la Compagnie, il y a eu bagarre… Certains des meilleurs se sont illustrés ailleurs…
On a récemment écrit sur cette histoire. Sur cette histoire de dangereuse proximité…
Datation : on constate que bouguereau est apparu en même temps que mac disparaissait des écrans…
Et puis c’est bien vu ça : « … carapace de protection pour éviter les psychodrames dont il était coutumier… » Pas seulement d’en rajouter dans l’ivrognerie, mais toute la panoplie, les fautes d’orthographe et la sempiternelle grossièreté, les godes ceintures et les tagueule… Carapace pour se protéger épicétou. On dit souvent que le ridicule ne tue pas, mais mac ça l’a tué, il s’est tant et si bien ridiculisé et discrédité qu’il a dû se réincarner sur la toile en petit gnôme hargneux.
pépère boudemou ne sait plus quoi répondre, il est aux abois bois bois, piteux pis que ça, nous on rigole gole gole enfin
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 18 h 36 min
Et un dégonflé, un.
C’est ça, un livre de Thomas Cohen:
The Jesuit Order as a Synagogue of Jews: Jesuits of Jewish Ancestry and Purity-of-Blood Laws in the Early Society of Jesus
Il y a un compte rendu dans la Catholic Historical Review de l’an dernier.
Qui ne lit pas la CHR?
Notre ami WG va dresser l’oreille (les histoires de pureté du sang en espagnol, il adore), et M. Court va opiner (I hope).
« J’arrive! »
Il faut boire.
A demain!
Chaloux dit: 15 septembre 2014 à 19 h 04 min
Mais quelle burne.
Vacuum dirait Lichtenberg.
Bar du commerce dit: 15 septembre 2014 à 19 h 21 min
C’est une lecture. Plus on montera dans l’échelle humaine -on est là tout en bas- plus cette première lecture en sera affectée.
Pour moi, une réflexion en action sur le langage et la littérature qui sont dévoilement, – qui arrachent le masque ou les masques successifs.
C’est trop pour toi, ta remarque liminaire le démontre. Bon…
ueda dit: 15 septembre 2014 à 19 h 02 min
zouzou c’est un peu Lecanuet embrassant Poher, ou inversement.
There must be, I say well must be, a fork in the garbage disposal
Aphorisme dit: 15 septembre 2014 à 19 h 25 min
Je serais curieux de savoir quel genre de plaisir on éprouve à se maintenir aussi imperturbablement au degré zéro.
Oh mais je ne suis même pas heureuse de ne pas avoir à fliquer les gens pour être consterné par les limites de leur savoir-faire.
« Vaut mieux faire envie que pitié » disait l’autre et ensuite son perroquet.
Ah, ça, le dégoût par contre, vaudrait mieux pas en parler, ça pourrait déboucher les oreilles pleines de merde et je déteste les poses de sauveur.
Bonne soirée……………..
Une seule question. Et moi, qu’est-ce que je deviens?
Regarde derrière toi tes gens affligeants
Ricardo dit: 15 septembre 2014 à 19 h 53 min
Hic!
Il n’y a pas d’abonné à la ligne que vous décrétez…..
Une seule question dit: 15 septembre 2014 à 19 h 31 min
Nous n’en doutons pas, Chaloux posant deux questions serait au bord de la rupture de synapses.
A force de quoter les dates, on dirait de l’inner-sens
Un petit mot pour se remontons la moralité.
Nous sommes sous la douche et en terrain miné
Mais demain?
Non, demain, non.
essaie de chialer plutôt que de faire chier
pas impossible que cela console mieux
Celui-là s’est fait rentrer une connerie surhumaine dans le casque, mais je ne l’ai pas apprise par cœur
Oh !
La bécasse brayonne a encore frappé, quelle plaie !
En réalité, je m’en amuse tant ses sursauts naïfs de dinde offensée laisseraient à glousser ..
Pouf, pouf, pouf .. !
Quelle pouffe , en effet !
Ah, commme on se sent bien en survolant le marigot de ces complaintes infectes …
( au fait, j’ai vu qu’Abdelkader avait du mal à saisir qu’en l’Islamisme on puisse voir à l’oeuvre un fascisme qui n’a pas même la dignité élémentaire de s’assumer comme tel … Pauvre garçon !
Pfffffffffff . )
Zénitude.
pas même la dignité élémentaire de s’assumer
Très très drôle, j’espère que cela ne vient d’une madame monmari… Enfin passons, j’ai déjà été beaucoup beaucoup trop bonne avec les mendiants. Alors n’évoquons pas trop longuement les rutilances de vieux juke box moisi et pourri qui mendie aussi…
Qui ne lit pas la CHR?
J’avoue, mon cher U.
Mea maxima culpa.
Cependant, il n’est pas nécessaire de la lire pour trouver délirants les propos de ML…
Ce cas, avec sa soif inextinguible de reconnaissance, ne devrait pas tant retenir notre attention. Si ?
Je pense que si d’ici trois à six mois la situation ne s’est pas inversée, ce sera foutu.
Enfin moi c’est ce que j’en dis. Et je me trompe rarement.
mais d’où me vient soudain cette évidence que les femmes aiment se placer du côté des énhaurmes connards bouffis ayant pour passe-temps de décréter?
Ignace voulait à tous prix du concours des Nouveaux chrétiens dans la Compagnie, il y a eu bagarre… Certains des meilleurs se sont illustrés ailleurs…
C’est une histoire que l’on (moi) ne connaît pas assez quand on se demande ce que ces intellectuels formés dans les écoles chrétiennes ont su opposer au communément recevable du moment ..
En fait, je me demande ce qu’un spécialiste d’une histoire des religions pourrait retracer de la formation d’une intelligentsia – fût-ce à une époque donnée – ne serait-ce que pour mesurer l’abyssale manque et effondrement de notre époque ..
Gérard Depardieu ou l’art de boire énooooormément : «Quand je m’ennuie, je bois…» … jusqu’à 14 bouteilles par jour, sans compter la vodka et le whisky ! Record battu, Rabelais n’a plus qu’à aller se coucher :
elles bovarysent pas tant que ça en fait, elles adoooooorent porter haut et fort le nom d’Homais et boivent les paroles de leur mari, trop lol..
mais d’où me vient soudain cette évidence
tu évides trop kiki épicétrou
« Hé mais putain vos gueules »
Voilà un bloc condensé de philosophie japonaise
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