de Pierre Assouline

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La République des livres
La vérité, version John Le Carré

La vérité, version John Le Carré

J’avoue avoir eu une pensée émue pour John Le Carré le 9 novembre 1989. Ce jour-là, on a pu craindre que la destruction du mur de Berlin ne le réduise au chômage technique, la chute des régimes communistes en Europe ne tardant pas à entraîner l’effondrement de l’Union soviétique et la dissolution du Pacte de Varsovie. Mais Berlin demeurait dans l’imaginaire collectif le siège même de la guerre froide. C’est bien là que tout avait commencé pour David Cornwell lorsque cet agent du MI6 à Hambourg trouva un pseudonyme qui ne tournait pas rond, par son regard happé à la devanture d’un magasin alors qu’il était assis dans l’autobus. Afin de ne pas contrevenir à l’obligation de réserve de son service, il en fit son nom de plume l’année même de l’édification d’un mur entre les deux Allemagnes, et l’inscrivit en tête de deux polars qui passèrent inaperçus, puis du manuscrit très berlinois de L’Espion qui venait du froid (The Spy who came in from the cold). C’était en 1963. On connaît la suite. Une œuvre magistrale construite pierre à pierre durant trente ans dans l’héritage revendiqué de Graham Greene et, plus loin plus haut, dans celui du maître du maître, Joseph Conrad.le carre hambourg 1964

Qu’allait donc pouvoir écrire Le Carré toutes passions abolies pour un univers de l’espionnage désormais classé « à la papa » ? On l’y avait cantonné car il s’y était lui-même cantonné. C’était bien pratique pour tout le monde mais si réducteur ; cela évitait d’admettre dans le cercle des écrivains majeurs celui dont on voulait croire qu’il ne dominait après tout qu’un sous-genre. Depuis sa maison isolée dans ses chères Cornouailles, il n’en continua pas moins à construire sa « Maison Russie » : Le Voyageur secret, Une paix insoutenable, Le Directeur de nuit, Notre jeu, Le Tailleur de Panama, Single & Single, La Constance du jardinier, Une amitié absolue, Le Chant de la mission, Un Homme très recherché, Un Traitre à notre goût… Autant de romans de qualité et d’inspiration forcément inégales, tournant parfois au procédé, si foisonnants qu’ils pouvaient de temps à autre donner le sentiment de la confusion, mettant en scène des personnages discrets aux motivations complexes, de pathétiques membres de l’establishment rongés par la culpabilité, mais tenant toujours sa ligne en moraliste.

Avec le recul, et à la relecture, il apparut que Le Carré avait eu su se renouveler sans déchausser ses Church. Que faire de la trahison sinon la réactualiser ? D’autant que cet éternel tourment le poursuit depuis l’enfance. Une mère qui l’abandonna jeune, un père joueur, séducteur, escroc, criminel. C’est la clef, il n’y en a pas d’autres. Il lui avait fallu écrire Un Pur espion (1986), l’un de ses plus grands livres, pour s’en convaincre. Se l’avouer avant de l’avouer. Après cela, il s’est donc voulu plus en prise avec le contemporain. Fidèle à ses fantômes, dans le clair-obscur du Greenland où il se forma,  il creusa son vieux sillon de l’antiaméricanisme et de l’insupportable inféodation politique du Foreign Office à Washington. Qu’il fustige les grandes banques, les hommes de lois, les laboratoires pharmaceutiques, les multinationales ou les fauteurs de guerre en Irak, c’est toujours l’Oncle Sam qu’il désigne du doigt. Un exclusivisme que l’on a dit naïf, ingénu, à sens unique. A quoi il répond invariablement dans ses livres que ce sont les financiers qui mènent le monde et que sont-ils sinon américains ?

Une vérité si delicate (A Delicate Truth, 336 pages, 21,50 €, Seuil), le dernier en date, vient de paraître en français, traduit de l’anglais comme les sus-nommés par Isabelle  Perrin, avant de l’être par Mimi, sa maman. Nous sommes en 2008, autant dire hier, dans l’Angleterre de Gordon Brown, premier ministre au forceps et meilleur ennemi de Tony Blair. Kit Probyn (ah, ce soin porté aux noms et aux prénoms par Le Carré, c’est déjà sa signature car on ne trouvera pas chez lui un personnage qui s’appelle… Gordon Brown, comme tout le monde) est un diplomate chevronné à qui son patron, le ministre des affaires étrangères confie une mission bien évidemment secrète. Si on l’a choisi, ce n’est pas pour son génie mais pour son absence de génie. Il doit se rendre à Gibraltar, le caillou colonial britannique, dans la cadre d’une opération commando anglo-américaine en vue de capturer un djihadiste trafiquant d’armes. On s’en doute, et mieux encore si l’on ne s’en doute pas, il est instrumentalisé par ses chefs à des fins purement politiques ; et encore, on est poli.

Sous le pseudonyme de Paul Anderson, et la qualité de statisticien passionné d’ornithologie, il passe des jours à attendre qu’on le contacte, affalé sur un fauteuil qui pue la pisse dans sa chambre d’hôtel, lisant l’essai de Simon Schama sur la Révolution française puis la biographie de Jérusalem par Simon Sebag Montefiore. Jusqu’à ce que… Tony Bell, lui, l’a vite compris. Au Foreign Office, ce jeune secrétaire du ministre menace de tout révéler publiquement au mépris de son devoir de réserve, au risque de porter préjudice à la sécurité nationale de la Grande-Bretagne. Vous avez dit « lanceur d’alerte » ? Il y a de cela. On n’est pas plus actuel. D’autant que l’opération commando avait été sous-traitée auprès de Ethical Outcomes, sympathique société sise à Houston, Texas ; elle fournit des géopolitologues hors pair spécialisés dans  l’évaluation des risques. Entendez : des mercenaires. On en est pleine barbouzerie.

john-le-carrc3a9L’intégrité des diplomates vacillant sur un fil tendu entre leur devoir et leur conscience est au centre de ce roman. Une question de morale : confronté au dilemme, un serviteur de l’Etat doit-il être loyal à son gouvernement ou à ses propres principes moraux ? Là est le noeud du roman, dans ce tremblé du réel où Le Carré excelle, et non dans un improbable et introuvable conflit entre la chrétienté et l’Islam qui ne fait que passer en arrière-plan mais que l’éditeur a jugé bon de souligner en quatrième de couverture. Il met tant de subtilité à échafauder son jeu de dupes qu’il parvient à faire de l’esprit de finesse un art de la complexité. La zone grise est vraiment son territoire.

“La guerre est devenue une entreprise privée”, martèle l’un de ses personnages, à commencer par le renseignement. L’ironie est grinçante, la causticité, cruelle. Tout ce qu’on aime. Un vrai plaisir que de retrouver Le Carré à son meilleur, avec ce qu’il faut de mensonges et de trahisons sans qu’on s’y perde pour autant (contrairement à ce qui se passait dans le film La Taupe, inspiré de Tinker, Tailor, soldier, spy devenu à l’écran incompréhensible et d’un ennui profond). Son humour est bien rendu en français, jusque dans les faux plis de l’understatement et dans le respect des différents accents de ses personnages qui ne s’expriment pas tous, il s’en faut, en anglais BBC. Lui a appris l’allemand à l’université de Berne avant de le perfectionner à Oxford. Cette langue lui est, depuis, naturelle. De son propre aveu, je puis en témoigner, c’est la clé de ses constructions syntaxiques et, partant, de l’apparente complexité de ce qu’il écrit : « C’est plus fort que moi : même en anglais, je ne peux pas m’empêcher de placer le verbe à la fin… ».

 Présent récemment au festival littéraire de Hay (lisez ici son étonnante conversation à ce sujet avec un voisin de Hampstead), il a livré le fond de sa pensée sur le monde comme il va. Désormais revenu des idéologies meurtrières, mais pas trop quand même, il est convaincu que la pire chose après le communisme est encore l’anti-communisme. Il tient Andrei Sakharov pour le héros des héros car il avait reconnu les dangers que représentaient ses découvertes sur la bombe à hydrogène, et il savait qu’il l’avait donné à une bande de gangsters. Ses grands regrets ? N’avoir pas commencé à écrire plus jeune qu’il ne l’a fait (30 ans). Avoir décliné l’invitation à le rencontrer que lui avait adressée l’ancien espion Kim Philby alors qu’il passait par Moscou. Quant à Edgar Snowden, l’informaticien de la CIA et de la NSA, qui a révélé les détails de plusieurs programmes de surveillance de masse américains et britanniques, le romancier a dit ailleurs ce qu’il en pensait :

“Je souhaiterais qu’il reçoive une distinction ou qu’on lui rende sa liberté. Il a pris une décision très difficile et qui déterminera le reste de sa vie : il a enfreint des lois et trahi son employeur pour révéler une infraction à la loi, encore bien plus lourde, de la part de la NSA.”

Voilà John Le Carré aujourd’hui, 82 ans, apaisé parmi ses démons, mais toujours convaincu que l’âme d’une nation se révèle à travers ses services secrets. Ne pas oublier cette forte pensée d’Oscar Wilde placée en épigraphe : « Quand on dit la vérité, on est sûr, tôt ou tard, d’être découvert. »

(« John Le Carré ces dernières années dans sa maison des Cornouailles, et à Hambourg en 1964 »; Photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

618 Réponses pour La vérité, version John Le Carré

Sergio dit: à

Il y a un Butor, à Berlin, et non des moindres…

MI6 dit: à

L’espion est au guerrier ce qu’est le haute-contre au ténor, un monstre.

paul edel dit: à

tres bon papier.
souvenir de lui dans sa maison blanche de cornouailles: un homard grillé barbecue pour le dejeuner,des bouteilles de vodka vides apercues dans l’entre baillement d’une porte;et surtout surtout cette confidence: » oui, je m’interesse davantage aux romantiques allemands qu’aux affaires d’espionnage ».nous avions parlé de Mörike…et de Hölderlin.c’était à la sortie de « la maison russie »

Sergio dit: à

Le bitume de Berlin c’est le même que celui de Paris il est mouillé…

D. dit: à

J’aurais été l’auteur du commentaire de 19h 54, j’aurai :

– commencé mes phrases par une majuscule;
– mis les accents que la bonne pratique de la langue française exige;
– ne pas omis l’espace après chaque virgule;
– écrit entrebâillement en un seul mot;
– mis la cédille au cu;
– fermé les guillemets à bon escient;
– etc.. etc..

On se demande parfois où les gens ont été à l’école.

arcadius dit: à

D.
« On se demande parfois où les gens ont été à l’école ».
Une saine réflexion à lire votre commentaire…
D., ou l’hôpital qui se moque de la charité !

D. dit: à

Vous faites le malin Arcadius, mais la vérité c’est que j’ai raison. Sous prétexte que le fond a un peu d’intérêt, on se croit permis de se foutre de la forme. C’est tout simplement inadmissible, et surtout sur le blog d’un autre.

Paul & Marc dit: à

« La guerre est devenue une entreprise privée »

A l’epoque classique, c’est toute la cité qui s’investissait dans la guerre. Athènes a ainsi été entraînée dans plusieurs guerres merdiques.

D. dit: à

De toutes façons tout va exploser d’ici peut, soyez-en absolument sûr. Quand des gens par millions dans des pays ne peuvent plus se loger décemment, se chauffer suffisamment, gouter à de menus plaisirs, accéder à une retraite méritée, alors tous les signes existent d’une période prérévolutionnaire. L’humanité a expérimenté le communisme, le fascisme et le nazisme, quelle est sa prochaine et terrible destinée ?

D. dit: à

Je vais vous le dire : la vérité est bel et bien dans le carré, à la limite dans le triangle, mais certainement pas dans le cercle, et pourtant c’est le cercle que ceux venus d’ailleurs qui nous envahissent sans que nous nous en apercevions veulent finir par nous faire adorer. Ce cercle, ils réussissent à l’instiller partout. Pourtant regarder la Croix : elle n’est que lignes brisées et angles.

D. dit: à

Leurs vaisseaux sont des cercles parfaits, qui en contiennent d’autres. Leur signe est fait d’arcs de cercles, les motifs qu’ils impriment dans les champs sont variations autour du cercle.
Vive le carré ! A jamais.

D. dit: à

Non je ne suis pas fou. Je vous entends dire que je suis fou. tout ce que je viens d’écrire est vrai. Et je l’ai écrit dans un carré. La vérité est dans le carré, ne l’oubliez jamais.

D. dit: à

Regardez le D. Il est l’hybridation du carré et du cercle. Souvenez-vous en. Je suis d’un autre monde. Je ne suis plus totalement humain.

D. dit: à

« lorsque cet agent du MI6 à Hambourg trouva un pseudonyme qui ne tournait pas rond »

comme par hasard…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…un serviteur de l’état,…Oui,…il sert l’état,…jusqu’ou,…
…jusqu’à ce que sa conscience lui bouffe l’état,…

…la vérité,…pour un artiste,…c’est connaître ses limites, son champ d’actions,…s’intervertir les rôles dans ses créativités,…Oh!…la fusée,…
…déjà,…en colorient les touches de piano par des couleurs comme dans les boîtes Caran d’Ache en dégradés,…vous voyez du regard,…

…il peint en musique par improvisations,…et trois touches de vert émeraude,…piano deux touches oranges,…Stop!…le rouge rubis,…la noire trois fois,…le silence tropical,…
…on reprend,…vous disiez la muette,…etc,…Ah!…Ah!…Bip!…Bip!…
…une vie au paradis,…avec nos endoctrinés,…Bip!…Bip,…

Marcel dit: à

il apparut que Le Carré avait eu su se renouveler

Marcel dit: à

A quoi il répond invariablement dans ses livres que ce sont les financiers qui mènent le monde

Cela fait plaisir à entendre.

LéoBloomPold dit: à

Pour la nième fois: The Spy Who Came In From Ze Cold…. = L’espion rentre en grâce.

JLC a choisi son pseudo en regardant la devanture d’un cordonnier. On apprend cela et bien d’autres choses encore dans So British (Gallimard), recueil d’entretiens avec les grands écrivains contemporains ‘britanniques’ précédemment parus dans Le Monde. Ces profils bien tournés sont dus à la plume de Florence Noiville, également romancière de l’intime (plusieurs romans chez Stock), excellente angliciste.
Le Carré y prendrait presque des rondeurs…facile? Ok…

Jacques Barozzi dit: à

Pourquoi a t-on mis la photo de Gaston Defferre en ouverture de la note ?

Leo (Bloom) Pold dit: à

Le Carré, c’est L’Homme de Fer, Baroz.

Leo (Bloom) Pold dit: à

« Un Traitre à notre goût » pour « Our Kind of Traitor »…
« Un traitre comme on les aime ».

Leo (Bloom) Pold dit: à

Kit Probyn (…ce soin porté aux noms et aux prénoms par Le Carré)

Passou, vous en dites trop ou pas assez.

JC..... dit: à

Un espion, qu’il porte n’importe quel nom, qu’il travaille pour n’importe quel pays, c’est une ordure en tant que tel, un tordu, un faux-cul, un traître, un hypocrite, un menteur, une crapule à l’état brut.

Un espion est un fonctionnaire absolument nécessaire au pays, à la société qui l’emploie. Il partage avec d’autres éléments de lutte, y compris les tueurs habituels ou les tortionnaires appointés, la joie de faire le mal pour le bien de ses employeurs politiques, responsables définitifs, eux.

Le peuple se régale de lire les aventures enjolivées, haletantes, dramatiquement bandantes de l’espion : le peuple doit rêver. Il se fait tellement chier, le peuple, bien content de ses salir les mains autrement, dans la vie quotidienne…

Finalement, le peuple, les hommes en général, sont tous frères. Tous des crapules. Pas un pour sauver l’autre. Vous prenez le métro ? Vous marchez dans une rue fréquentée ? Un magasin ? N’avez vous pas ressenti un profond malaise à observer tous ces regards d’espion, de sale type, que ces crapules, ces menteurs, ces fripouilles, ces hypocrites bien propres, ces voyeurs, échangent entre eux ?!

Poubelle, les livres de Monsieur Le Carré ! La vie courante est suffisante …

laurent dit: à

6h16

poubelles tes posts

bouguereau dit: à

..tu rgardes trop de fimes de zombi jicé

bouguereau dit: à

la pire chose après le communisme est encore l’anti-communisme

gaston deferre..rénato..fauteuil qui pue la pisse..ha on est dans le coeur de l’action

bouguereau dit: à

Je souhaiterais qu’il reçoive une distinction ou qu’on lui rende sa liberté

les brits des smels de ricains..les français pas beaucoup mieux qui étaient prés a le donner..pas un européen pour oser..où qu’il est allé ? chez poutine..super gr!t

Curiosa dit: à

la pollution associative JC-boudegras devint de plus en plus insupportable et insupportée… j’attends le « ta gueule keupu » avec impatience

JC..... dit: à

Ta gueule, curiosa !

JC..... dit: à

Il est clair que mon 10 heures 12, priant l’agréable compère/commère Curiosa de fermer sa bouche d’égout sera censuré comme celui où je conseillais à mon ami Laurent le Magnifique de coller directement ses commentaires au « petit coin » …

Mettons les formes, ce siècle est le siècle de la forme !

bérénice dit: à

@5h11 Léo B: Tout un chacun pourra dés lors s’interroger sur le destin de l’épouse, que fait-elle ou plutôt que fit-elle en qualité de muse ou outrepassant ce rôle, qui comme le confirmerait François Delpla s’il daignait s’exprimer à ce sujet, ce rôle qui échoyait à chacune de celles désignées par la main du Créateur et qui ont pour mission secrète de servir le petit dèj puis le déjeuner enfin arriver pimpante, silencieuse, inexpressive jusqu’au thé pour se hisser vaille que vaille, toutes forces et énergie conservées, à l’heure du fatidique dîner pour enfin entrevoir le repos du guerrier de la lettre et du grand oeuvre.

JC..... dit: à

Bérénice, la prostitution des épouses ne travaillant pas dans une administration publique, une entreprise, va bientôt être combattue par notre vaillante petite Najat.

Il est en effet inadmissible qu’en toute impunité les époux, clients quasi exclusifs d’icelles, ne soient pas poursuivis pour actes sexuels rémunérés !

Ces ménagères, parfois étrangères !, se prostituent dans un réseau conjugal qui doit être combattu sans relâche ! Que Bercy taxe enfin ces hommes qui paient leur pute à la maison.

Libérez ces esclaves conjugales … !

JC..... dit: à

Revenons à nos chers espions anglais …

TARNAC Le Monde.
– Finalement, il y avait bien un homme qui vivait dans la « clandestinité » dans l’affaire de Tarnac. Mais il ne s’agissait pas d’un des jeunes gens interpellés le 11 novembre 2008 en Corrèze, à Rouen et à Paris, contrairement à ce que les rapports de police décrivaient. C’était Mark Kennedy.

Son métier : espion britannique infiltré dans la mouvance altermondialiste de 2003 à 2010.

Dans leur réponse au juge d’instruction, les services britanniques détaillent spontanément une rencontre entre Julien Coupat et d’autres militants européens – dont Mark Kennedy – à Nancy et aux environs, en février 2008, durant laquelle « la fabrication d’engins explosifs improvisés a été discutée et expérimentée ».

John Brown dit: à

toujours convaincu que l’âme d’une nation se révèle à travers ses services secrets

Vision sidéralement réductrice. C’est ce qui s’appelle prêcher pour sa paroisse.

JC..... dit: à

Marcel dit: 5 décembre 2013 à 2 h 33 min
« A quoi il répond invariablement dans ses livres que ce sont les financiers qui mènent le monde
Cela fait plaisir à entendre. »

Les commerçants financiers occupent le vide politique
Cela ne fait pas plaisir à entendre !

John Brown dit: à

On l’y avait cantonné car il s’y était lui-même cantonné.

Cela devrait intéresser un « spécialiste » de la génétique générique d’établir comment et pourquoi un écrivain s’enferme/est enfermé, à son insu de son plein gré, dans les limites plus ou moins étroites et plus ou moins nettement définies d’un genre / d’un sous-genre, et comment / pourquoi il s’en évade. Il y aurait à faire aussi du côté de la génétique des genres eux-mêmes : si l’invention de sous-genres tels que polar, SF ou espionnage paraît liée aux impératifs commerciaux des librairies de gares, d’autres (picaresque, autofiction doivent leur existence à des critiques ou universitaires en mal d’originalité et de notoriété).

Leo (Bloom) Pold dit: à

Ce passage d’un des derniers livres paru sur la décennie charnière de l’histoire irlandaise (1912-1922), me semble s’appliquer à l’oeuvre de Le Carré tout en la dépassant pour devenir vérité générale:

« History, as the teacher reminds the narrator in Julian Barnes’s novel The Sense of an Ending, is more than ‘the lies of the victors … it is also the self-delusions of the defeated' ».

Fanning, Ronan, “Fatal Path”, April 2013, Faber & Faber.

bouguereau dit: à

Les commerçants financiers occupent le vide politique
Cela ne fait pas plaisir à entendre !

allons..le « vide politique » mais ça n’a jamais existé jicé….le pouvoir se prend, la politique se fait à la corbeille parcequ’elle l’a pris..comment? tout ça s’explique fort bien

bouguereau dit: à

si l’invention de sous-genres tels que polar, SF ou espionnage paraît liée aux impératifs commerciaux des librairies de gares, d’autres (picaresque, autofiction doivent leur existence à des critiques ou universitaires en mal d’originalité et de notoriété)

à la rigueur une segmentation de marché pour faire reconnaitre des « produits » aux clients..quand au « genre littéraire » ..littéraire..mais ça n’exiss pus depuis longtemps, le mot est juste utilisé comme positionnement, marqueur etc..
sa génétique litteraire a de biasi c’est de proposer de piquer les disques durs..sic..

bouguereau dit: à

Dans leur réponse au juge d’instruction, les services britanniques détaillent spontanément une rencontre entre Julien Coupat et d’autres militants européens – dont Mark Kennedy – à Nancy et aux environs, en février 2008, durant laquelle « la fabrication d’engins explosifs improvisés a été discutée et expérimentée ».

bon si t’es aussi le genre a croire n’importe quelle déclaration dun membre de la nsa jicé..c’est que t’as un vide a combler

John Brown dit: à

mais ça n’exiss pus depuis longtemps, le mot est juste utilisé comme positionnement, marqueur etc.. (Bouguereau)

C’est probable. « Littérature » aussi, d’ailleurs. D’ailleurs, Verlaine avait déjà pointé cette déchéance.

bouguereau dit: à

C’est probable. « Littérature » aussi, d’ailleurs. D’ailleurs, Verlaine avait déjà pointé cette déchéance

comme genre commercial ? non, que la litterature soit capable de se définir elle même..elle est inféodée, son identité ne lui appartient plus, et les mots de « genre » et « génétique » sont là pour faire illusion non pas aux autres mais aux clients captifs..comme cheuloux par exemple..c’est un peu comme la messe en france, on se satisfait de mourir avec l’institution..si si..on se satisfait de mourir parcequ’on donne tort au monde qui te survivra..ça aide même..vieille lune

JC..... dit: à

Merci, Boug ! Merci : je ne sais pas ce que je deviendrais si tu n’étais pas là ! Tu m’aides beaucoup.

No charge, n’est ce pas !?

bouguereau dit: à

sa génétique litteraire a de biasi c’est de proposer de piquer les disques durs..sic..

sans parler dailleurs que ce sapré debiasi se moque du monde..retrouver des données sur un disque dur coute un vache de paquet d’euro..et s’il a une technique siouxe dans son université pour le faire, qu’il ouvre boutique..ça financera sans problème ses recherches..le cern sait faire de l’or aussi..le milligramme au prix du kilo

bouguereau dit: à

No charge, n’est ce pas !?

c’est l’internet jicé ! on est tous coco ..et puis..et puis..pas de ça entre nous!

JC..... dit: à

Nos espions personnels à la Sopres nous communiquent :

« La dernière enquête de satisfaction du Premier Ministre français positionne cet homme d’Etat nantais, en charge de la « sixième économie mondiale », à 18% de satisfaits.

Le record d’insatisfaction détenu par une copine du regretté F. Mitterrand, Edith Cresson, est battu !

Gaudeamus !

JC..... dit: à

John Le Carré …. ! Peut-il réellement se remettre de la disparition de l’URSS ? Vient le moment où débrayer n’est pas idiot…

nadine dit: à

on se satisfait de mourir parcequ’on donne tort au monde qui te survivra.

i manquerait plus qu’on lui donne pas tort! on va pas se laisser e… !

bouguereau dit: à

Vient le moment où débrayer n’est pas idiot…

il te l’a demandé en premier jicé..

John Brown dit: à

« génétique » sont là pour faire illusion non pas aux autres mais aux clients captifs..comme cheuloux (bouguereau)

Savoir que Gustave, dans le brouillon n° 0358000 -40/12 de « Madame Bovary » avait d’abord mis un point et virgule à la place du point qu’on lit dans l’édition originale, juste après « bouton » dans la phrase :  » Rodolphe insistait sur le bouton. Emma connut une pâmoison  » — ne peut en effet guère intéresser que des clients captifs, même si le généticien littéraire s’adonne à des spéculations à jamais invérifiables sur les raisons de ce changement. Cependant, la déconstruction minutieuse et systématique d’un roman tel que « Madame Bovary » avec la mise à plat de toutes ses variantes, s’apparente au démontage d’un gigantesque Lego, qu’on pourrait ensuite commercialiser l’intention des fondus avec l’argument publicitaire suivant :  » parmi les cent mille milliards de « Madame Bovary » possibles, reconstruisez à votre façon la version qui vous botte ». Ce serait une façon de limiter les frais généraux de l’équipe à de Biasi.

JC..... dit: à

Franchement, je fais de l’animation vulgaire chez Passou pour passer une thèse en socio : si je n’avais pas ce goût immodéré des honneurs universitaires, je ne perdrais pas mon temps à causer de hors-sujet sans intérêt, en provocations débiles !

Mais, comme y a un engagement au CNRS en jeu … et du pognon … tu me connais !

abbé confesseur dit: à

Après les écrivains qui se confessent, on a la vérité selon JLC! on va finir par en savoir des choses

bouguereau dit: à

Mais, comme y a un engagement au CNRS en jeu … et du pognon … tu me connais !

..au début tu vas devoir te mettre en colloc avec kabloom..tu viens avec le saint émilion et lui avec ses mangues..vous avez tellement de trucs a vous dire

bouguereau dit: à

Une mère qui l’abandonna jeune, un père joueur, séducteur, escroc, criminel. C’est la clef, il n’y en a pas d’autres

..j’espère que ton reup avait le pédigré jicé..sinon il y aura comme une bosse a ton profil pour l’adéquation avec le poste..

court dit: à

La SF sous-genre littéraire? Messieurs Bradbury, Herbert et K.Dick seraient bien étonnés.
Bradbury aurait répondu « Querelles de puces! » Et je ne lui aurais pas donné tort.
MC
PS
Au très honorable Salon du Livre Ancien de New York, une originale d’Herbert sur bon papier et reliée se négocie autour de 4000 dollars. Si c’était de la sous-littérature, ça se saurait sur le Marché…

Marcel dit: à

L’arboricole Durassien n’a pas encore donné son avis. L’enculture va encore y perdre.

Marcel dit: à

court dit: 5 décembre 2013 à 14 h 21 min
La SF sous-genre littéraire? Messieurs Bradbury, Herbert et K.Dick seraient bien étonnés.
Bradbury aurait répondu « Querelles de puces! » Et je ne lui aurais pas donné tort.
MC
PS
Au très honorable Salon du Livre Ancien de New York, une originale d’Herbert sur bon papier et reliée se négocie autour de 4000 dollars. Si c’était de la sous-littérature, ça se saurait sur le Marché…

Désolé monsieur Court, c’est un mot de trop. Vous faites l’apologie de la confiscation du culturel par les épicemards !

Curiosa dit: à

le petit marquis Pic MCourt de la Mirandole a tojours raison, voyons bande de nazes

Michel G. dit: à

C’est quoi un sous-genre littéraire ?

Une sous-catégorie ou une deuxième catégorie ?

Manifestement passou est pour la deuxième option.
Pauvre littérature.

Marcel aussi dit: à

« Vous faites l’apologie de la confiscation du culturel par les épicemards »

« épicemard »
fonction tenue par le Calbrix de service lorsqu’il vient nous vanter sa marchandise frelatée.

John Brown dit: à

C’est quoi un sous-genre littéraire ? (Michel G.)

L’expression « sous-genre » n’implique généralement aucun jugement de valeur. Simple facilité taxinomique. Un sous-genre littéraire est simplement un sous-ensemble inclus dans un ensemble plus vaste, les frontières qui l’en séparent étant d’ailleurs excessivement poreuses. Le sous-genre a sur le genre l’avantage de faire partie de ce dernier qui, lui,ne peut revendiquer son appartenance au sous-genre. Genre et sous-genre sont par ailleurs des catégories manipulées par des gens qui ne sont pas les créateurs eux-mêmes. Ces derniers, pour la plupart, se soucient peu, je pense, d’être catalogués comme auteurs de polars, de romans d’espionnage, de SF ou de ce qu’on voudra ; il leur suffit d’être reconnus comme écrivains.

la curiosa a une vraie qualité dit: à

elle repère tout de suites les imbéciles

JC..... dit: à

La SF est un genre littéraire merveilleux ! Outre Dick, Bradbury, Herbert, elle a donné des Asimov, Lem et autres Matheson qui sont fichtrement plus intéressants que bien des romans de cette rentrée littéraire causant panpan cucul, nombril masqué, pensées profondes !…

Marcel dit: à

Marcel aussi dit: 5 décembre 2013 à 14 h 46 min
« Vous faites l’apologie de la confiscation du culturel par les épicemards »

« épicemard »
fonction tenue par le Calbrix de service lorsqu’il vient nous vanter sa marchandise frelatée.

Si tu n’aimes pas ça, n’en dégoûte pas les autres, comme disait ma grand-mère.
La pire des choses pour un écrivain, c’est le silence sur son œuvre qui fait un barouf d’enfer dans ses oreilles. Donc, toi, « Marcel aussi », tu en parles, et je t’en remercie.

JC..... dit: à

A la question :

« Une porte vous barre l’accès à un Trésor. Préfèreriez vous avoir
Solution 1 – une serrure et pas de clef,
Solution 2 – une clef et pas de serrure ? »

le panel représentatif de 1453 Français interrogé répond :
Solution 1 – 15%
Solution 2 – 30%
Ne sait pas – 55%

Bonne soirée !

bouguereau dit: à

L’expression « sous-genre » n’implique généralement aucun jugement de valeur

tu devrais faire une candidature spontané chez josef (gueubèlçe qui est au brésil)..tu demandes carrément la mercedes décapotable de fonction

Marcel dit: à

Jacques Barozzi dit: 5 décembre 2013 à 3 h 57 min
Pourquoi a t-on mis la photo de Gaston Defferre en ouverture de la note ?

C’est une bonne question, Jacques. Moi, j’aurais plutôt vu la photo de Defferre ailleurs.
Ca y est, l’autre du haut de son baobab va encore dire que ça fiente.

Marcel dit: à

Une petite explication, quand même. Ce n’est pas qu’un vil calembour. Le Gaston, qui venait de relire les trois moustiquaires s’est proposé de ferrailler à l’assemblée nationale dans les années 60. Les anciens savent ça.

JC..... dit: à

Monsieur Marcel ne mettez pas, s’il vous plait, Pierre Assouline en porte à faux avec la veuve de Gastounet, cette dame Charles-Roux est toujours au Jury Goncourt…..

Le défunt ferrailleur enterré avec son feutre blessa René Ribière qui l’avait traité d’abruti, à l’épée. Dernier duel en France…

Marcel dit: à

Pour vous, Rose, cette petite coquinerie.

Monologue de sourds

Je te sens avec moi, ce soir, mal apparié.
Pourtant tu étais fier, sans défaillance aucune,
Toujours prêt, petit scout, de l’aurore à la brune,
Jamais tu n’as faibli, jamais tu n’as varié.

Tu es là, sans ressort, j’en suis tout contrarié.
Que va-t-elle penser devant cette infortune,
Elle qui justement t’avait promis la lune ?
Tu m’en veux, gros boudeur. Ah ! je l’aurais parié.

Oui, d’accord, j’avais tort d’aller à cette fête
Où tu ne savais plus où donner de la tête.
Je paye tes excès ; aujourd’hui tu me nuis.

Mais là, on te propose un vrai bijou de rêve,
De quoi te réjouir… Bon sang ! fais une trêve,
Redresse-toi, bandit, elle toque à mon huis.

Jean Calbrix, le 15/6/04
On pardonnera à l’auteur les petite fautes de prosodie, en l’occurrence la confusion entre synérèse et diérèse (dans par exemple appari-é qu’il faut lire apparié)

jicé nicolas dit: à

« L’expression « sous-genre » n’implique généralement aucun jugement de valeur »

ça désigne le sud, comme dans sous-jacent, sous-continent, que des trucs louches quoi

Sergio dit: à

Abruti c’est pas grave c’est comme les bêtes finalement c’est ce qu’il y a de mieux…

Sergio dit: à

jicé nicolas dit: 5 décembre 2013 à 17 h 13 min
des trucs louches quoi

Sous-tient-gorge…

Michel G. dit: à

John Brown 14h53

Ok, ça me va.

Madame Verdurien dit: à

avec Le Carré, ça tourne en rond sur la RDL !

tégniez dit: à

« Sous-tient-gorge… »

sous-pot de satan

tonton dit: à

Si les tenants et aboutissants de votre vie actuelle vous intéressent un minimum un seul « sous-genre » en vente, le polar.
Le reste n’est que réflexions sur l’utilisation du gode-ceinture pour émoustiller les tsé-tsés.

rose dit: à

merci Marcel pour petites coquineries
avec diérèse dans réjouir m’a-t-il semblé

le secrétaire de Marcel dit: à

rose dit: 5 décembre 2013 à 18 h 27 min
merci Marcel pour petites coquineries
avec diérèse dans réjouir m’a-t-il semblé

Tout à fait Rose, il y a dans jou-ir une diérèse que j’ai respectée. A l’époque où j’ai écrit cette coquinerie, je ne maitrisais pas encore toute la prosodie classique. Quelque temps plus tard, j’ai eu le traité de Guy Sorgel entre les mains. Il y est indiqué que le juge de paix pour décider entre diérèse et synérèse est le Littré en 8 volumes. On y apprend donc que pour les verbes en ier, on a une diérèse. Pour les autres mots se terminant par ier (comme papier, soulier etc.), on a une synérèse. D’où ma faute
de prosodie sur apparié, varié contrarié parié, que j’ai considérés comme des synérèses.
Bonne soirée à vous, Rose.

Marcel dit: à

Excusez-moi rose. C’est mon secrétaire qui a tenu à vous répondre. Il se prend pour moi, par moment.

D. dit: à

Votre test sur les portes les serrures et les clefs est drôlement intéressant, JC. Ce que les gens peuvent être stupides, tout de même. J’en ai honte pour eux.

keupu dit: à

Ta gueule, Bouguereau.

D. dit: à

Pour vos thèses de socio, mettez-vous en rapport avec moi, les gars, je sait comment vous aidé à les écrire :

@21.55, « J’aurais été l’auteur du commentaire de 19h 54, j’aurai (…) ne pas omis (…) »

Ils ont toujours apprécié, au CNRS, la pureté de ma langue et de mon stile. Il faut dire qu’ils ne sont plus trop dificiles, là-bas, mais je vous prévien, les gars, y’a pas tant de pognons à se fère que vous le croyez, attation !… Calculé bien votre coût !… conseille dami.

Détection d’un doublon : il semble que vous avez déjà envoyé ce commentaire ! dit: à

Ta gueule, Bouguereau.

Ta gueule keupu dit: à

Ta gueule, mais alors ta gueule.

Magnus Pym dit: à

D’accord avec vous, Passou : Un pur espion est l’un de ses meilleurs. Tous ses romans sur fond de Guerre froide surpassent les suivants, à mon avis.

D. dit: à

14.28 L’arboricole Durassien
En dehors de vous, nouveau venu, Marcel, tout le monde sait ici qu’il faut dire : « l’arboricole durasienne ». Elle ne descendra de son araucaria que lorsque vous lui redonnerez son sourire de jolie guenon. pour l’instant, elle fait son syndrome cricri de ‘sapience malivole’.

des journées entières dans les arbres dit: à

Marcel dit: 5 décembre 2013 à 16 h 45 min

Pas du tout, marcel calbrix, pas du tout.
Je n’ai pas vraiment de culture des figures phoniques. Surtout s’il faut prendre l’accent pointu, turlututu.

Non, voyez-vous, je pensais à la clé, dont il est dit « qu’il n’y en a pas d’autre ».
C’est rageant une phrase pareille, -que l’on insiste sur telle ou telle syllabe, cela ne change rien à l’affaire, – isn’t it ?

A partir de quel âge on n’est plus les enfants de ses parents, vous le savez, vous marcel callbrix ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cl%C3%A9_de_Berne

JC..... dit: à

Dédé, vous aimez Bill Evans ? Je sais que c’est une question assez intime… mais on ne peut pas accéder à la République du Jazz, c’est un dingue qui s’en occupe (pas).

JC..... dit: à

Pierre Assouline,
Je me permet de vous poser une question, espérant recueillir votre point de vue comme sang du christ en Saint Graal : ne pensez vous pas que nous assistons à l’explosion, après celle d’internet, de la bulle LITTERAIRE ?
Rien ne sera plus comme avant ? Impossible…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…vraiment,…j’en reste ébahi,…

…des vrais  » espions  » au pénigré  » sûr « ,…vous parler de  » du Guesglin « ,…Ah ! Oui !

…un pédigré  » longue durée « , un monacal tartufe,…très rare à élever dans la constance,…et avec une abbaye de dominicaine d’Outre-Manche tout près,…c’est déjà mieux,…pour faire face aux conjectures,…

…associé ses intérêts avec ceux de l’état,…genre Dagobert qui met sa culotte à l’envers,…les intérêts sur la table en partage,…
…soeur Anne,…vous êtes désignées pour jouer aux échecs avec le monacal Tartufe,…encore,…
…il sert l’état,…et moi je m’officie sur l’autel des pions,…
…cette con-grégation des bains-marie de banquiers aux messes de l’unité en l’état c’est moi!,…
…c’est pas du  » déjà vu autrement « , of course,…Alouette,…gentille chrétienne et le sang & le sang,…en chantant,…une hirondelle au printemps,…Héllo!,…etc,…

bérénice dit: à

syndrome de cricri de Malivole? C’est quoi?

JC..... dit: à

Vous avez aimé « le NATO à Kaboul » ?
(10 ans à l’affiche …)
Vous aimez « Pépère à Bamako » ?

Vous allez adorer « Pépère à Bangui ! »

Archéo dit: à

Cherchez pas Bérénice, souvenirs émus d’anciens étudiants grecs.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Le Carre worked for the Secret Intelligence Service (MI6), Britain’s foreign intelligence agency. But his career as a secret agent was wrecked by Kim Philby, a British double agent who blew the cover of many British agents to the notorious KGB. »
http://www.youtube.com/watch?v=2p3uzgFyUPo

@Le Pendulo dit: à

Il est d’une incohérence ce JC.
Pour le choc des civilisations contre ses conséquences.

D. dit: à

Je suis pas très jazz, JC. Voyez plutôt Daaphnée pour cela. Elle en raffole.
Le jazz restera une musique simpliste, de seconde zone, et beaucoup de bonnes variétés sont bien supérieurs à une assez grande partie des composition de jazz.

John Brown's secrétariat dit: à

« John i don’t care » est occupé. Non bilingue le secrétariat se voit dans l’incapacité de traduire son actualité.

court, en réponse à la Marcellerie. dit: à

Vous savez on ne propose pas n’importe quoi à la clientèle d’un tel Salon, laquelle est loin d’etre sous-cultivée.Les prix, que vous le vouliez ou non, traduisent quelque chose.La bibliophilie mise à part, On ne vend pas un bouquin d’un sous-romantique comme le Vicomte de Walsh ou son ami d’Arlincourt le meme prix qu’un Hugo ou un d’Aubigné .Ces « histoires d’épiciers » prouvent aussi, s’il le fallait, que l’un à du génie, et les deux autres pas.
Cela dit,j’accorde qu’ on est redevable à d’Arlincourt de quelques catastrophes involontairement gaies:
comme, dans une tragédie Mérovingienne, Arbogast:
« Il arriva, suivi de six cent mille francs »
ou
« Ma mère en ma prison, seule à manger m’apporte »
Pour ces deux vers seuls, soyons cléments…
MC

bérénice dit: à

trés juste D cependant de qui de quoi ne raffole-t-elle pas, tout est dans son genre et n’importe qui son type, aucun mal à ce libertinage évolué.

bérénice dit: à

court en réponse à la chancellerie pourriez vous indiquer l’heure si ce n’est trop vous demander?

JC..... dit: à

« Je suis pas très jazz, JC. »

N’en parlons plus, aujourd’hui. Un jour peut être vous verrez que le génie n’est pas une chose qu’on enferme dans les tiroirs…

bérénice dit: à

dans une lampe à huile? et faudra-t-il croire aussi encore au père Noel pour votre plaisir? Vous vous moquez du monde! Le génie ne s’enferme pas, il est converti en musique peinture littérature travaux de recherche etc

D. dit: à

Dès que vous la ramenez, Béré, ce blog se gâte quasi instantanément, c’est drôle l’effet de nuisance que votre arrivée provoque toujours… Il y a des gens comme ça…, ils font tout de suite retomber la mayo… celle qui montait tant bien que mal, tant que vous étiez ailleurs. Maintenant, il est clair que vous avez aussi le droit de vivre. C’est bien dommage, mais enfin, c’est votre droit, restons charitables.

bérénice dit: à

D je ne reste pas observant qu’en effet à raison de réponses espacées d’un quart d’heure d’ici minuit ça ne va pas faire beaucoup de réflexions et radiations profitables à la communauté religieuse ou laïque, pas lu le billet et quand bien même

John Brown dit: à

Le jazz restera une musique simpliste, de seconde zone, et beaucoup de bonnes variétés sont bien supérieurs à une assez grande partie des composition de jazz. (D.)

On ne sait jamais trop quand D. plaisante. Cette fois, on admettra qu’il plaisante.

D. dit: à

Je ne plaisante aucunement, John Brown.
Le jazz a toujours été une musique de seconde zone et on a fini par l’oublier. Demandez ce qu’il en pense à renato, il sera du même avis que moi.
On peut se laisser aller à aimer le jazz quand on est jeune, mais ne pas dépasser cela est le signe d’une maturation de l’esprit et du gout qui n’est pas venue, demandez-vous pourquoi ?

John Brown dit: à

Le jazz a toujours été une musique de seconde zone et on a fini par l’oublier. (D)

Je ne m’emporterai pas, non, je ne m’emporterai pas. Comme l’a dit LML un jour où il avait sans doute abusé du talisker, nous sommes ici sur un blog prestigieux, très lu à l’étranger, ce qui implique que nous sachions nous tenir. Quelque temps plus tard, il claquait la porte dudit blog sur un « Vous êtes tous des cons ! » que j’entends encore.

tonton dit: à

John,
vous savez bien que ce cher D. ne peut concevoir d’autre musique « actuelle » que le rock.
Son côté binaire.

D. dit: à

Pas du tout, j’aime beaucoup Mozart, par exemple la Petite musique de nuit ou la marche du Nouveau Monde.

D. dit: à

Et puis arrêtez avec vos « chers D. » aussi méprisants qu’arrogants. Vous n’êtes tous que de penseurs incapables de rendre concrètes dans le réel vos théories fumeuses. Je l’ai déjà dit ici et je me répète, et c’est malheureusement pour vous parfaitement exact.

D. dit: à

Je doute que ce blog soit autant lu à travers le monde qu’on veuille bien nous le faire croire. Il ne suffit pas de l’écrire, de faire bêtement écho à quelque chose un jour dit sans aucun fondement, il faut le prouver par des éléments factuels.
Où sont-ils ? J’attends.

Passou dit: à

JC, Mais qu’et-ce que cette chose « la bulle littéraire » ? Cela existe ?

D. dit: à

Il voulait parler du microcosme littéraire, mais il peine parfois à trouver ses mots.
Je me permets donc de rectifier à sa place et je sais qu’il ne m’en voudra pas.

D. dit: à

On peut observer que la gloire du monde littéraire s’éteint avec l’ère du Poisson qui fait place à celle du Verseau.
Enfin, quand je dis « on », c’est moi, parce qu’ici je passe mon temps à vous mâcher le travail.

D. dit: à

A chaque ère est associé un mode de communication. Vous ne l’aviez pas remarqué ? Tant pis.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Bertrand du Guesglin,…Connétable,…of course,…Bérénice le 05 – déc – 2013 à 20 h 18 mn,…
…une paille à l’orangina!,…bien sûr,…of course,!…etc,…

Marcel dit: à

Il est pratiquement certain que monsieur Assouline écrira, tôt ou tard, un beau billet sur Un automne en août de mon bien aimé patron Jean Calbrix. Seulement, il y a quelques chances pour qu’au moment où cela se produira, mon patron soit mort… et peut-être aussi monsieur Assouline.

Leo (Bloom) Pold dit: à

J’écoutais hier à radio irlandaise Margaret Atwood expliquer d’une voix inimitablement sensuelle que la Science Fiction avait permis à nombre d’auteurs américains de dénoncer le maccarthysme de façon latérale.
Mais il est vrai que les boeufs de labour, absorbé par le pesant éventrage de leur marne, ignorent la latéralité.

des journées entières dans les arbres dit: à

Le tueur de temps, Auteur: Caleb Carr:

« 2024. Alors que le tentaculaire réseau mondial offre toujours davantage d’informations, l’ordre international est au bord de l’explosion… La présidente américaine a été assassinée et une photo du meurtrier diffusé sur Internet accuse formellement l’Afghanistan. Mais alors que les États-Unis ont lancé une violente guerre contre le régime de Kaboul, il se pourrait que la photo soit en réalité un montage…
Pour Gideon Wolfe, professeur en psychologie criminelle, une personne aussi démente que géniale a pris le contrôle de la Toile mondiale et cherche à plonger le monde dans le chaos. Sa traque le conduira jusqu’à Malcolm Tressalian. Nouveau capitaine Nemo, celui-ci est prêt à tout pour imposer une nouvelle société : falsifier l’histoire ou, à défaut, tuer le temps… »

J’aime pas trop « espionnage à la papa », je préfère la catégorie  » espionnage à la grand-mère ».
http://www.youtube.com/watch?v=HNGBi4K5nys

ps : Bloom, vous avez oublié de causer paratopie,; la paratopie, n’oubliez pas.

JC..... dit: à

Nelson Mandela est mort.

C’est une perte immense pour son pays, pour le continent africain et pour le monde entier ! On mesurera son importance par les conséquences immédiates de sa disparition…

Un malheur n’arrive jamais seul, hélas ! Je vous quitte définitivement.

En effet, Mère Graziella de Hautecloque vient de me confier l’enivrante tâche de Conseiller Régulier et Spirituel de son couvent. L’accepter pour moi fut facile ! J’y mettrai tout mon cœur. Ses novices ont tant de besoins.

Je ne suis pas mécontent de quitter la RdL où l’influence de certains malfrats a mis à mal la recherche de mon salut. Je laisse ici des amis que je baise affectueusement. Quelques trolls purulents et pestilentiels, aussi… que vont-ils devenir ? Tant pis. De toute façon, la bulle littéraire va éclater et tout emporter de ce vieux monde ankylosé…

Adieu.
Me voici en route pour une nouvelle Croisade au printemps ! Nos chemins divergent maintenant…
Bien à vous et bonne chance à tous !

rose dit: à

Mandela
‘il n’avait « jamais su » pourquoi sa première institutrice, une missionnaire britannique, lui avait attribué d’autorité le nom de Nelson à l’âge de 9 ans, alors que son vrai prénom était Rolihlahla –

Ce pourrait être parce que Nelson, sir Horatio est un vrai chef. Et que la missionnaire l’a su, avant lui.
Lors du dernier combat, à Trafalgar, un de ses aides de camp lui dit de ne pas porter ses médailles pour ne pas être une cible privilégiée lors du combat et garder la vie sauve.
Tss tss, il a mis ses décorations, il a été la cible il a dit au lieutenant Hardy de prendre sa suite, il a mis trois heures à mourir, transpercé par une balle jusqu’à la colonne vertébrale.
Avant, il a pris le temps d’écrire à lady Hamilton, sa femme aimée et à Horatia sa fille. Sa seconde fille mourut en bas-âge, peu ou prou avant ou après son papa.

>JC salut à toi

TKT dit: à

Nelson Mandela est décédé, sa mémoire reste et aussi son œuvre, avoir fait de l’Afrique du Sud un pays, où les différentes communautés vivent ensemble; ou du moins à coté les unes des autres.
Nelson Mandela a empêché le bain de sang à la fin de l’Apartheid.
Ce qui ne fait pas de cette Nation un pays sans racismes, loin de là.
Haines entre les ethnies noires, grande antipathie entre les Boers et les autres Blancs… Durban, ville indienne, ne mélangeant pas les différents ethnies en provenance de la péninsule asiatique.
PS: La nation la plus raciste me semble quand même être l’Australie. La France, ces derniers temps, avec la montée du FN, fait partie des pays les moins respectables.
(Les propos infâmes de JC, me donnent raison)

Leo (Bloom) Pold dit: à

Il enb est peut-être ici qui ont eux aussi visité la prison de Robben Island, au large du Cap, où Mandela a passé 11 ans de sa vie dans une cellule grande comme un compartiment couchettes dans les anciens trains, avec un sot d’aisance et une vue imprenable sur le jardin potager fermé par de hauts murs. La visite était conduite par un ancien prisonnier de l’ANC. C’était 1995 et Mandela était président; à chacune de ses interventions publiques, le pays s’arrêtait et les gens écoutaient, la radio surtout…
Je garde de ces trois semaines à siller beau et terrible pays une impression de malaise. La nation arc en ciel était en gestation mais de nombreux signes permettait de douter qu’elle ne « prenne » vraiment.
Mes biens les plus précieux sont ces deux chemises Madiba achetées au Cap dont les couleurs n’ont pas terni d’un poil, et ce T-Shit à l’effigie de Madiba qui m’habille la nuit.
En politique, c’est depuis hier le règne sans partage des nains.

TKT dit: à

Rose, Lady Hamilton était sa maîtresse, pas son épouse; mais peut-être prit-il le temps d’écrire aux deux. Les hommes aiment bien garder leur épouse et leur maîtresse…
Vous saluez JC ? Si D. et lui disparaissaient vraiment de la RdL, cela tiendrait du miracle. Nous aurions les deux psychopathe partis à la retraite erdélienne. Bien entendu je n’y crois pas, les deux ordures vont réapparaitre

rose dit: à

rêve
Nous marchions, devisant. Elle avise un jardin potager à notre gauche, magnifique ; elle s’arrête, me dit qu’elle est invitée, qu’il y a une fête. Pas moi. Elle me quitte. Je la regarde, ne réclame pas, continue. Le chemin monte. A droite, des maisons je ne veux pas qu’elle me rattrape, tourne à droite rapidement, plus tôt que prévu.
Là, les maisons en terrasse surplombent un beau paysage.
Si je tourne tout de suite, il faut descendre à pic, au travers de la combe par le lit d’une rivière asséchée.
Je décide de longer le village, de prendre le vrai chemin qui démarre plus loin.
Là, je me retrouve au sein d’un groupe, femmes, enfant, un garçon, quelques hommes. Je m’engage dans le groupe. Nous montons.
Le chemin devient périlleux, et même vertical. Très vertical ensuite.
Il s’agit de grimper en s’accrochant à des racines d’arbres, blanches.
Cela devient risqué.
J’ai peur.
Depuis le début, un homme est derrière moi. Ne me touche pas, ne me tient pas, est là. Silencieux, présent.
J’ai confiance parce qu’il est là.
Cela devient de l’escalade ; je n’ai plus peur.
Puis cela devient des racines noires et poilues, aériennes et nous sommes sous uns surplomb qu’il faut franchir pour sortir.
Nous continuons tous. Les femmes et hommes sont devant ; l’enfant est juste devant moi.

Je suis l’avant-dernière.
L’homme calme est le dernier.
Nous sommes en sécurité tout le groupe.
L’homme ferme la marche.

Nous sortons du surplomb, où de nouveau la peur m’a envahie. J’ai pu le franchir dans le groupe.

Nous débouchons dans le haut de la falaise, sur un plateau boisé, nous tous. Sains et sauf. L’air est vif et clair. Lumineux.

Plus loin, là-bas, démarre le chemin qui amène de l’autre côté de la combe. Nous sommes sortis d’affaire.

C’est le même trajet qui mène de Lurs à Ganagobie mais en plus dangereux.

rose dit: à

Quand quelqu’un s’en va, on le salue TKT.

rose dit: à

>TKT
Lady Hamilton est la femme qu’il a aimé.
Femme d’un diplomate à Naples mais ils se sont aimés passionnément ; elle lui a fait deux filles.
Je ne sais pas, je ne crois pas, je n’en sais rien s’il a eu une épouse.

TKT dit: à

Rose, gardez vos leçons de conduite, pour vous.
Une pourriture partie, même dans l’au-delà, reste une pourriture.
Parti où ? L’un va revenir en me traitant de burne et l’autre, le plus toqué, va laisser son vrai visage à découvert.

John Brown dit: à

ce T-Shit à l’effigie de Madiba qui m’habille la nuit. (Leopolda)

Leopolda dans son T-shit Madiba, chantonnant « We shall overcome » tout se grattant les burnes au fond de son petit lit, vision d’épouvante ! Un vrai madibaba au rhum.

rose dit: à

Je suis le capitaine de mon âme
[…]Frères, sœurs, l’heure est venue de bâtir notre nation […] Comment motiver tous ceux qui nous entourent […] Les temps changent, nous aussi devons changer

http://www.youtube.com/watch?v=PEO6-fe9qPA

rose dit: à

>TKT
levé de mauvais poil ?
Je ne donne jamais de leçon.
S’ils se sont aimés, maîtresse ou épouse, que cela fait-ce ?

sam dit: à

« Bien entendu je n’y crois pas, les deux ordures vont réapparaitre »
l’ordure psychopathe de pq propagandiste du fn ne peut pas s’en empêcher

« Quand quelqu’un s’en va, on le salue »
Pas les ordures

court, "le Psychiatre"... et F Delpla. dit: à

Hors-sujet, mais
En ces temps ou l’on conteste les analyses d’u François Delpla sur le parti de la paix en Grande-Bretagne, il n’est pas mauvais de rappeler que, selon le psychiatre Kelley, Goering avait bien l’intention de construire sa défense sur la dénonciation de ses rapports avec Halifax, qu’une note qualifie avec euphémisme de conservateur…
Pas inutile non plus de rappeler à Nuremberg les curieuses amnésies de Rudolph Hess sur sa « période anglaise ».Ponctuées de non moins curieux retours de mémoire…
N’ y eut-il que cela, « Le Psychiatre et le Nazi » du journaliste Jack El-Hai est un bouquin utile, et qui appuie plutôt qu’il n’infirme, avec les papiers d’un témoin privilégié, les thèses de François Delpla.
Bien à vous
MCourt

Leo (Bloom) Pold dit: à

chantonnant « We shall overcome »
__

Nkosi Sikelel’ iAfrika, ignare.

Nkosi Sikelel’ iAfrika
Maluphakanyisw’ uphondo lwayo
Yiva imathandazo yethu
Nkosi Sikelela Nkosi Sikelela

Nkosi Sikelel’ iAfrika
Maluphakanyisw’ uphondo lwayo
Yiva imathandazo yethu
Nkosi Sikelela
Thina lusapho lwayo.

TKT dit: à

Rose, Lord Nelson se maria à une Frances Nisbet.
La différence, Rose, entre une épouse et une maitresse, cette dernière passe souvent son temps à attendre les visites de l’amant.
Pour ce qui est de l’Amour, je vous donnerais raison, cela a la même valeur.
Quant aux leçons que vous donnez, souvent (défaut professionnel), là je m’insurgeais par rapport à JC.
Vous le saluiez, bref, vous le félicitiez de disparaître de la RdL ?
Quelle naïveté, la chienlit ne part que quand on utilise les grands moyens.

Leo (Bloom) Pold dit: à

Après le Xhosa (pr. Khossa), le zoulou

Woza moya (sikelele usisikelele)
Woza moya (sikelele usisikelele)
Woza moya, oyingcwele
Nkosi sikelela
Thina lusapho lwayo.

John Brown dit: à

J’écoutais hier à radio irlandaise Margaret Atwood expliquer d’une voix inimitablement sensuelle que la Science Fiction avait permis à nombre d’auteurs américains de dénoncer le maccarthysme de façon latérale (Leopolda)

Egarée par la voix « inimitablement sensuelle » (???) de Margaret Atwood, ou bien Leopolda n’a pas très bien suivi les explications de la dame, ou bien elle a pris pour argent comptant une assertion à la louche en mal de vérification. Voilà donc en tout cas la SF fagotée en preux chevalier partant, sur son blanc destrier, à l’assaut du maccarthysme. Attendrissante image que Leopolda s’est empressée de ranger dans l’ album de coloriages qui lui sert à s’entraîner à faire semblant de penser. Mais non, petite Leopolda, les choses ne sont pas aussi simples. « La » science-fiction, ce sont (peut-être) certains auteurs de SF (lesquels?) qui, selon certaines modalités (lesquelles) ont dénoncé le maccarthysme « de façon latérale » (qu’est-ce à dire ?). Sans compter qu’il conviendrait de vérifier si, de façon tout aussi latérale, à moins que ce ne soit bille en tête, d’autres auteurs de SF n’ont pas fait le jeu du maccarthysme. Il ne suffit pas d’écouter, fascinée, la dame qui cause dans le poste, petite Leopolda, il faut tenter de réfléchir par soi-même.

court, "le Psychiatre"... et F Delpla. dit: à

Le neveu Greville, l’oncle Hamilton, peut etre Marie-Caroline selon cette mauvaise langue de Comtesse de Boigne, Horatio, le whisky, elle a aimé tout le monde , la Hamilton, mais elle a mal fini. Quelque chose comme un Barry Lindon féminin…Pas de quoi rever.Je préfère Lady Stanhope et ses bédouins!

MC

sam dit: à

« petite Leopolda »

josette a pas bien dormi cette nuit

John Brown dit: à

ce T-Shit à l’effigie de Madiba ( Leopolda)

Ah ben je l’avais pas vue, celle-là. Y a des fautes de frappe qu’on s’en voudrait de corriger. Lapsus révélateur, Leopolda ?

rose dit: à

Ben si, les ordures aussi. Qui ont la chance de changer.
A moins d’être mangés.
Et puis oser traiter d’ordure un personnage de blog c’est se prendre pour qui ?

rose dit: à

elle a mal fini !
Elle a fini dans la misère.
La faute à qui ?
Hein ?
Mais elle a vécu comme un oiseau sur la branche.

John Brown dit: à

J’ai rêvé que Leopolda débarquait dans les rues de Capetown en claironnant qu’elle dort la nuit avec un T-shit de Madiba. Mon dieu la course à pied que je te dis pas !

roland dit: à

« elle a vécu comme un oiseau sur la branche. »

Sans blague!

Leo (Bloom) Pold dit: à

La T-shit est marron, c’est pour la sous-chemise brune.

Il t’intéresse tant que ça le Bloom que tu le scrute jusque dans ses coquilles? Perso, tes posts, je ne les lis pas, tellement ça pue le rance, pire que le fauteuil d’Anderson.

Un peu de sotho (il y a 3 fautes de frappe, sauras-tu les retrouver, maderchod?

Morena boloka sechaba sa heso
O fedise dintwa le matshwenyeho,
Morena boloka sechaba sa heso,
O fedise dintwa le matshwenyeho.

O se boloke, o se boloke,
O se boloke morena o se boloke,
Sechaba sa heso, Sechaba sa Afrika.
O se boloke, o se boloke.
O se boloke sechaba, o se boloke.
Sechaba sa heso, sechaba sa Afrika.

roland dit: à

« oser traiter d’ordure un personnage de blog c’est se prendre pour qui ? »

une ordure n’est pas un personnage de blog

rose dit: à

TKT dit: 6 décembre 2013 à 9 h 35 min

De quelle naïveté vous faites preuve : la chienlit ne part que quand on utilise les grands moyens.
Pô pô pô…
Hormis la détermination, rien ne débarrasse de la chienlit.
Mais, je reconnais, votre méthode est bonne : j’admire, j’admire.
Pas vous, la méthode.

Sous le béton, le chiendent.
Sous les pavés, la plage.

Je n’avais pas le sentiment de donner des leçons, pensé-je avant votre com..

roland dit: à

« Ah ben je l’avais pas vue, celle-là. »

sans blague!

rose dit: à

Et puis non, une pourriture une fois partie n’est plus une pourriture : elle est partie.
Et poussière.
Plus du tout même !

rose dit: à

le T- Shit c’est un petit pétard.
Mouillé.

sam dit: à

@JC (C’est une perte immense pour son pays, pour le continent africain et pour le monde entier !)

le raciste porte parole du fhaine en faux-q de première dans toute sa splendeur

John Brown dit: à

Leopolda en T-shit de Madiba, mort de rire. Retrouvons notre calme. L’heure n’est pas à la gondolance, même en Casamance.

TKT dit: à

Rose, que vous défendiez JC, ne m’étonne pas trop. Il y a chez vous un coté masochiste et puis, difficile d’oublier vos propos antisémites.
Je ne vois pas pourquoi, écrire sur le support d’un Blog, serait différent que discourir dans la vraie vie. Pourriez vous développer ?
Bon, je ne désire pas continuer une conversation qui ne mène nulle part.
PS: J’ai pensé à vous, lors de mon séjour en Nouvelle-Zélande, en lisant votre patronyme sur des affiches faisant de la propagande, pour un catcheur se nommant comme vous. Avec mes matinales salutations, Rose. Allez en paix et tendez l’autre joue

Leo (Bloom) Pold dit: à

Leopolda

Pour certains, la féminisation tient lieu d’insulte. Les femmes apprécieront.
Pratique courante dans la la bande à Bony & Laffont.

rose dit: à

le désir de gloire est le dernier désir qu’un sage rejette
Tacite

rose dit: à

TKT dit: 6 décembre 2013 à 10 h 05 min

Bon, je ne désire pas continuer une conversation qui ne mène nulle part.
PS: J’ai pensé à vous, lors de mon séjour en Nouvelle-Zélande, en lisant votre patronyme sur des affiches faisant de la propagande, pour un catcheur se nommant comme vous. Avec mes matinales salutations, Rose. Allez en paix et tendez l’autre joue

Oui cela m’arrive en Italie aussi, dans le métro et les autobus, de trouver mon patronyme.
Vous aussi TKT, allez en paix et protégez-vous.
D’accord sur cela ne mène nulle part. Je ne peux développer car je suis en partance.
Discourir est une chose TKT, faire en est une autre, quoiqu’en dise Racine.
Quant à Tacite, il n’a pas su que certains, la gloire ont évité bien soigneusement.

Bonne journée, ai pensé que vous reviendriez.

John Brown dit: à

Nkosi Sikelela Nkosi Sikelela (Leopolda)

Manque plus que l’ukulele. Je vois bien Leopolda dans les rues de Johannesburg exhortant les foules éplorées à s’ensikilelakuleler au son de l’ukulele et en T-shit Madiba. La course à pied que je te dis pas !

ce n'est qu'un au revoir dit: à

chez passou c’est un roman de gare en permanence

bouguereau dit: à

Sans compter qu’il conviendrait de vérifier si, de façon tout aussi latérale, à moins que ce ne soit bille en tête, d’autres auteurs de SF n’ont pas fait le jeu du maccarthysme

globalement la esseffe c’était à l’époque de la sousculture (comme la bédé et le jazz et le rokénrol) ridicule qui salopait la belle jeunesse pour les réacs..les charges républicaine et macartiss sur les iceux sont fameuses..par ailleurs c’est une scie de dire qu’aussi l’alien était le coco noir et la soucoupe le politburo homosexuel dont « on pouvait parler » ce qui est déjà trop (les films compris bien sur)..là où t’as pas faux c’est que lors que le polar a été édopté par la gauche intello il a fallut attendre les années 80 en france pour que la même ne s’en empare

John Brown dit: à

Leopolda si qu’elle est là ?
Elle est pas là, Leopolda
L’est au popo Leopolda
Leopolda l’est au popo

(extrait d’un chant de guerre néo-zoulou)

bouguereau dit: à

..je me souviens de mon prof de français qui aimait faire des sondages comme jicé demandant « combien de livre lisez vous par an ?..en dehors des bédés et des livres de sf..les policiers compte pour un 1/2 »

bouguerâle dit: à

si quéqun peut m’espliker le commentaire de boudegras, j’suis preneur, pas que là voilà c’que c’est de forcer trop sur la bouteille

antoine dit: à

« Don Quichotte Prophète d’Israël », le livre célèbre de Dominique Aubier, est réédité le 9 décembre par les Éditions Ivrea qui ont fait un magnifique travail typographique.

DON QUICHOTTE : une gloire jamais éteinte entoure ce livre qui reste, avec la
Bible, le livre le plus lu au monde. Quel est son secret ?
Dominique Aubier voue son existence à résoudre cette énigme. Menant son
enquête, cet écrivain –une vie de recherches, d’investigations pour comprendre–
devient experte de la kabbale hébraïque. Munie de cet instrument, elle ouvre le
symbolisme de Don Quichotte, le décode et en libère le sens. La découverte est
sensationnelle: Don Quichotte est un livre qui est lisible à la fois en castillan et en
hébreu. Cervantès, en effet, dissimule un message dans son texte. La deuxième
édition (1608) originale du Quichotte, révisée par son auteur, est truffée de «fautes»
que les officiels s’empressent de corriger dans les éditions suivantes. Mais en réalité,
il fallait décoder ces «erreurs» qui n’en étaient pas et qui transformaient, par
l’omission d’une lettre, par l’accentuation mal placée, le roman castillan en un traité
initiatique habité du système qui fonde l’herméneutique : autant de messages
cryptés, dont certains sortent droit du texte biblique, notamment des chapitres
d’Ezequiel. Je sais qui je suis, dit Don Quichotte. Qui est-il vraiment ? Dominique
Aubier suit Cervantès à la trace. Elle restitue le fil conducteur de sa pensée, si bien
que l’enquête est menée par Cervantès en personne, qui pose des jalons dans un
jeu de piste dont le trésor est l’apparition du sens.

Voilà qu’en pleine Inquisition, Cervantès, dans une forme littéraire nouvelle dont
il est l’inventeur — le roman moderne — , transmet un enseignement frappé
d’interdiction. Cervantès redonne ce qu’il a reçu de la tradition hébraïque et de la
kabbale, augmenté de son propre apport. Don Quichotte (Q’chott en Araméen
signifie vérité) fut écrit dans un souci d’oecuménisme. En souvenir d’une Espagne,
terre de rencontre des trois religions révélées, il propose à l’avenir un vaste projet
culturel plaçant en son centre la puissance du verbe : Cervantès met le génie
ibérique au déversoir de la sagesse donnée au Sinaï. D’une part, il effectue, en
mode occidental, le relevé de la doctrine divine portée par la réflexion hébraïque ;
d’autre part, il la propulse au coeur des Nations par l’intermédiaire romanesque.
Ouverture de temps nouveaux : Don Quichotte initie le temps de la révélation. En
cela, son actuation n’est-elle pas proprement… messianique ?

Dans cet ouvrage somptueusement documenté, Dominique Aubier démontre
que don Quichotte a la puissance d’être le grand recours à la civilisation, à la
métaphysique, à l’Esprit.

Observatoire de l'helvète dit: à

TKT dit: 6 décembre 2013 à 9 h 11 min
Vous saluez JC ? Si D. et lui disparaissaient vraiment de la RdL, cela tiendrait du miracle. Nous aurions les deux psychopathe partis à la retraite erdélienne. Bien entendu je n’y crois pas, les deux ordures vont réapparaitre

Retour de Kron.enbourg à la vie rdlienne.
Premières constatations, l’helvète est toujours aussi malade.
Aucune amélioration du côté de ses psychoses.
Premières déductions, le tamouré ne soigne pas le cerveau.
Vous me direz, danser en mocassins à glands n’aide pas à la décontraction, surtout avec un pull jaune poussin sur les épaules.
Je me demande si le bichon était du voyage.

Rien de neuf, docteur dit: à

Complètement à l’ouest l’antoine!

antoine dit: à

Pour en revenir à Le Carré, je me souviens que Guy Debord (« Cette mauvaise réputation… ») le trouvait insignifiant et sans valeur historique. Debord percevait plus de vérités sur les services secrets dans les romans de Francis Ryck (« Le compagnon indésirable », « Le piège », etc.)

Jacques Barozzi dit: à

C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !

1111 COMMENTAIRES

SVP, n’y revenez plus, le chiffre est trop beau !

TKT dit: à

Vous voila de retour, D.bile, JC le d.burné.
Les deux ordures sont toujours les mêmes deux psychopathes, l’un ancien enfant abusé (tous les sens du terme sont valables), l’autre ayant perdu l’usage de ses burnes…

En binaire ça fait peu dit: à

Jacques Barozzi dit: 6 décembre 2013 à 11 h 03 min

Le pipilet enfermé dans sa loge ne danse pas,
il compte.

Observatoire de l'helvète dit: à

TKT dit: 6 décembre 2013 à 11 h 11 min
Vous voila de retour

Mais je ne suis jamais parti mon Kron.enbourg adoré (et n’ai jamais promis de le faire)

Tu me sembles encore plus atteint qu’avant ce voyage,
les effets de la radioactivité ambiante ?

DHH dit: à

Sur le personnage de Lady Hamilton,ses origines ,son « pygmalionnagee » par son mari ,et ses aventures au coeur des bouleversements que l’ere napoleonnienne a apportés au royaume de Naples et aussi à l’Europe entiere ,le roman de Susan Sontag:l’amant du volcan.
Je sais qu’il est decrié par les intellos ,par les fan de Susan Sontag, qui ne lui pardonnent pas de s’etre fourvoyée avec cette biographie dans le roman de gare ,mais je crois qu’il peut plaire aux ordinaires .Moi j’ai beaucoup aimé

John Brown dit: à

Pour en revenir à Le Carré, je me souviens que Guy Debord (« Cette mauvaise réputation… ») le trouvait insignifiant et sans valeur historique. (Antoine)

Vu le nombre effarant de conneries débitées par Debord, il vaut mieux prendre cette opinion avec des pincettes.

Petit matin dit: à

JB 11h28

La dose de caféine a fait son oeuvre.
Après les nombreuses conneries débitées ce matin JB redevient lucide.
Il faut arrêter le pastis sec Johnny, le réveil est trop dur.

festival dit: à

Guy Debord ou antoine ?
Le choix pour la palme s’annonce ardu.

bouguereau dit: à

Vu le nombre effarant de conneries débitées par Debord, il vaut mieux prendre cette opinion avec des pincettes

en même temps c’est ce qui peut faire le prix d’une opinion, coume grano salisse

Antonio Corrado dit: à

bouguereau dit: 6 décembre 2013 à 10 h 35 min
..je me souviens de mon prof de français qui aimait faire des sondages comme jicé demandant « combien de livre lisez vous par an ?..en dehors des bédés et des livres de sf..les policiers compte pour un 1/2″

Donc, les BD comptant pour un bon tiers, la SF pour 15%;
La lecture de Molière ou Voltaire étant obligatoire et acceptée;
Alexandre Dumas et Paul Féval ayant leurs adeptes;
Il nous reste 0,01 % pour le Goncourt de l’année.
Finalement ils n’étaient pas si cons que ça les élèves des années 70.

u. dit: à

« antoine dit: 6 décembre 2013 à 10 h 49 min
« Don Quichotte Prophète d’Israël », le livre célèbre de Dominique Aubier, est réédité le 9 décembre par les Éditions Ivrea qui ont fait un magnifique travail typographique. »

Hihihi…

Qui prend au sérieux cette dame, convertie un jour à la Kabbale, et qu’on sent parfaitement capable de retrouver les mêmes clés dans n’importe quelle grande oeuvre, de l’Odyssée à Proust?

C’est malgré tout une mémé marrante, qui a son following:
http://www.youtube.com/watch?v=I22Un90oWh0

u. dit: à

Même notre ami Mauvaise langue, parfois un peu exalté au sujet de l’épopée marrane, se montrerait plus circonspect…

bouguerâle dit: à

raclure avinée de boudegras

Jacques Barozzi dit: à

La prophétesse Dominique Aubier, elle parle comme D., u., c’est sa mère ?

vani dit: à

u. dit: 6 décembre 2013 à 12 h 05 min

Superbe,
H.R. a enfin un visage.

Jacques Barozzi dit: à

« La planète pleure Nelson Mandela »

Vous pleurez, vous ?

Ertlepa Ouchneu-Fiout dit: à

coup bas de u. à 12h05, qui sait très bien que Dominique Aubier est la lecture de chevet de JC.

gégé dit: à

baroz 13h26

Il est encore plus con qu’on était en droit de l’imaginer.

Ertlepa Ouchneu-Fiout dit: à

Jacques Barozzi, ne faites pas le saucisson.
« Toute la planète pleure Mandela » signifie que, sur tous les continents, on trouve des unes de journaux sur Mandela, mais vous le saviez déjà.
Ne me dites pas que vous êtes en train de vous jicéiser, vous aussi ? Bah, ce n’est pas bien grave. Comme dit u., Mandela n’était jamais qu’un nègre.

Leo (Bloom) Pold dit: à

Baroz,
Ca manque un peu de dignité, ton commentaire. Un pays de vipères?

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