La vie de Mark Rothko ou la biographie d’une vibration
Mon admiration est sans limite pour ceux qui parviennent à consacrer une biographie à un peintre. Ce qui s’appelle une biographie totale, œuvre et vie mêlées, et analysées à égalité. Cela m’a toujours paru inaccessible tant la perception de l’art, et son rendu par les mots de l’écrivain, demeurent inaccessible à la logique du commun Ce qui se joue dans un tableau est irréductible à une explication, encore moins à un raisonnement tel que la logique du commun en produit à foison. Cela se situe au-delà, dans un no man’s land des sens. Pourtant certains auteurs y réussissent, chacun à sa manière. Citons pour mémoire le Matisse (1984) de Pierre Schneider, beau-livre absolu car l’image et le texte ne s’illustrent pas mutuellement, l’un cherchant à prendre l’ascendant sur l’autre, mais sont au diapason ; le Henri Matisse, roman (1971), fabuleux bric-à-brac où Aragon fait preuve d’une réjouissante liberté formelle ; le passionnant Le prince foudroyé : Nicolas de Staël (1998) de Laurent Greilsamer ; et plus récemment Conjurer la peur (2013) que Patrick Boucheron a consacré à la fresque du bon gouvernement de Lorenzetti à Sienne.
A cette collection non exhaustive, je serais tenté d’ajouter désormais le Mark Rothko (304 pages, 35 euros, Actes sud) d’Annie Cohen-Solal malgré quelques défauts : une écriture, trop américaine, un prix dissuasif ; une ellipse trop rapide sur sa première femme ; une même discrétion, tout aussi inexplicable, sur sa fin, puisqu’il faut aller se renseigner ailleurs pour apprendre que sa maladie de l’aorte, qui l’handicapait au point de l’empêcher de peindre des grands formats, l’avait poussé au suicide, comme tant d’autres grands peintres parvenus aux limites de ce qu’ils pouvaient exprimer –mais si c’est faux, il faut aussi l’écrire etc On a l’impression que la famille a contrôlé. C’est d’autant plus regrettable que, par ailleurs, l’enquête est formidablement documentée ; on y apprend une foule de choses sur cet artiste fascinant. On s’en doute, un livre n’épuisera pas le sujet pas plus qu’il n’entamera l’énigme Rothko. Et pourtant…
Quel chemin de Dvinsk (Lettonie, 1903) à New York (NY, 1970) ! Nul besoin de le suivre pas à pas pour ne pas le perdre. Il suffit de savoir, comme l’expose bien en détail la biographe, que Marcus Rothkovitch (en 1940, au moment d’américaniser son identité, il préféra « Rothko » à « Roth » pour ce que cela fasse moins juif) est « né », pas seulement religieusement mais moralement et intellectuellement, dans une école talmudique où l’étude rigoureuse était tenue pour une valeur absolue. Après son passage de la ligne à Ellis Island à 10 ans avec ses parents, loin du shtetl et des pogroms, il continue sur cette même voie. Le jeune homme est remarquablement doué et intelligent. A son entrée à Yale College, on lui promet un bel avenir, malgré la ségrégation, ou plutôt la discrimination. Il sait ce qu’il sera et ce qu’il fera. Peindre parce que bon qu’à ça, comme eut dit Beckett. Mais peindre ce qu’il a à peindre. Et le montrer à sa manière : si possible dans des salles uniques et isolées, sans coude à coude intempestif avec des tableaux d’autres peintres, afin que rien ne vienne perturber le regard du spectateur. Ce détail, qui n’en est pas un, suffit à prendre la mesure de son orgueil, de son exigence.
Les pages sur le fameux livre qu’il écrivit en secret, mais qui ne parut qu’à titre posthume, sont éclairantes en ce qu’elles nous montrent cet intellectuel, qualité rare chez les peintres, poser brosses et pinceaux pendant des mois pour s’exprimer par un autre moyen. Une année salutaire qui lui permit de reprendre ensuite le chemin de son atelier, redynamisé et confiant dans sa nouvelle direction. Annie Cohen-Solal, auteur d’enquêtes remarquées sur l’essor de la peinture américaine, l’expressionnisme abstrait et l’Ecole dite de New York à travers ses acteurs (Barnett Newman, Jackson Pollock, Clyfford Still,) et ses marchands (le galeriste Léo Castelli) excelle à retracer la place de Rothko dans la vie artistique new yorkaise.
Et la technique ? Ce qu’il y a de moins intéressant chez un artiste. Mais rien n’excite plus la curiosité. Alors disons que c’est de la peinture à l’œuf. Plus exactement, après une préparation de la toile en coton avec des pigments dilués dans de la colle de peau de lapin, les couleurs étaient adoucis avec des pigments acryliques. Après quoi il faisait ses mélanges : peinture à l’huile, œuf entier, résine dans de la térébenthine. Puis ses bandes étaient tracées au fusain et après… D’où venait cette vibration que l’on aurait réduit à néant si on lui avait dit, fût-ce avec admiration, qu’elle avait quelque chose de « décoratif », la pire insulte à ses yeux ? Si ce n’était qu’une question de technique, tout le monde serait Rothko. Il protégeait son secret car il pouvait seul le protéger de la terreur que le monde lui inspirait.
Ses grandes réalisations sont bien racontées par Annie Cohen-Solal. Y compris les échecs. On pense à la commande des panneaux muraux pour la plus petite salle à manger du Four Seasons Restaurant dans le gratte-ciel de Seagram sur Park Avenue. Il l’avait accepté comme un défi car, dans son esprit, ses œuvres ne devaient pas être accrochées dans des lieux publics, surtout pas des lieux qui n’étaient pas faits pour ça. Obsédé par les questions de formes, de présentation et surtout de lumière, il exécuta son travail à contre cœur. Mais le jour où il s’y attabla pour y déjeuner, et qu’il observa avec dégoût ces puissants du moment festoyant bruyamment dans cette débauche de luxe et de caviar, il fut tellement horrifié qu’il ordonna le retrait de son œuvre (une trentaine de toiles). Sorti de son petit théâtre fantasmatique personnel, elle ne pouvait qu’être déplacée dans un tel endroit. Quelques années après en 1961, il eut plus de chance avec une autre salle à manger, celle de l’université de Harvard, même s’il maugréa contre le nombre de tables et de chaises, le plafond trop bas, la couleur des murs et la lumière trop forte. Manifestement, ces dîneurs se tenaient mieux face à sa peinture que ceux de Park Avenue. Quant aux panneaux repris à la famille Bronfman, propriétaire de l’immeuble Seagram, il en fit don à la Tate Gallery de Londres qui, selon son vœu, leur consacra une salle exclusive, effectivement remarquable en tous points par l’atmosphère d’ensemble qui y est créée. Ne lui manquait plus que son sanctuaire. Il allait le trouver avec la chapelle Rothko, érigée grâce au mécénat éclairé de Dominique et John de Menil, et consacrée à la Passion du Christ ; cinq panneaux simples et trois triptyques traités en dominantes très sombres de noir et marron évoquant les quatorze stations du Chemin de Croix (ce lieu de prière interconfessionnel est intégré à l’Institut of Religion and Human Development de l’Université St. Thomas à Houston, Texas). Rothko n’en culpabilisait en raison de sa cote faramineuse et de l’argent que drainait la commercialisation de ses tableaux
Plus il avançait en âge, plus son style s’épurait, plus les couleurs stridentes s’estompaient comme élément majeur, plus sa lumière s’assombrissait, plus il était hanté par la réflection lumineuse, plus que jamais tendu vers l’expression de la tragédie, de l’extase et de la mort. La Naissance de la tragédie de Nietzsche et le Rameau d’or de Frazier n’en demeuraient pas moins en permanence à son chevet. Annie Cohen-Solal offre une clé d’interprétation de cette œuvre, mais on n’est pas forcé de l’adopter, il s’en faut : l’abstraction transcendantale de son héros fait écho à l’errance du peuple juif dont l’Histoire a fait qu’il n’eut jamais qu’une conception abstraite de la nation ; de plus, jusqu’au XXème siècle, le judaïsme avait produit peu d’artistes plasticiens. Elle tient la relation au Talmud comme un élément essentiel pour pénétrer cette œuvre. Faut-il pour autant voir, comme elle nous y invite, un paradigme de l’épopée des juifs d’Europe à travers la propre aventure de Rothko ? Les propres réflexions de Mark Rothko, contenues dans ses passionnants La Réalité de l’artiste et Ecrits sur l’art parus il y a quelques années en français chez Flammarion, conduisent aussi ailleurs.
A chacun de se faire sa religion lorsqu’il se tient face à l’un de ses grands tableaux colorés et sans cadre, suffisament grands pour créer davantage d’intimité dans une approche plus humaine et ne pas laisser le spectateur à l’extérieur, accrochés exprès au ras du sol afin que celui-ci puisse y pénétrer plus naturellement et, oscillant entre un état hypnotique et un certain vertige, passer cette porte ouvrant vers l’inconnu.
(« Autoportrait de Mark Rothko » photo D.R. ; « No 8 », 1952 et « Black on maroon, 1958 » Tate Gallery)
P.S. du 26 mars : Annie Cohen-Solal m’écrit que, si elle n’a pas parlé du suicide de Mark Rothko, c’est en raison d’une difficulté personnelle à faire face à ce genre de situation ; mais, à la demande de nombre de lecteurs et de son propre éditeur américain, elle a rajouté plusieurs paragraphes dans ce sens, fort convaincants (je les ai lus) à paraître dans l’édition américaine du livre en novembre chez Yale University Press
954 Réponses pour La vie de Mark Rothko ou la biographie d’une vibration
« venez que je vous lise de prés »
ça, Bouguereau, c’est pace que tu b… que des vaches…
Orthographe, on te dit…
champignon entre les doigts de pied..culotte baissée..dentier..tu vas épuiser ton carnet de vannes de fin de veillée scout cheuloux..comment dire..tu t’imites trop
Cette menace de Py de quitter Avignon entre les deux tours, n’est-elle pas de nature à invalider le scrutin électoral ?
Tu m’excuses, Bouguereau, j’ai une journée très chargée et pas de temps à passer avec un con comme toi. Fais AUSSI les réponses à tes conneries SVP.
c’est pace que tu b… que des vaches…
le … était dans le carnet..jle sais j’en ai un aussi de chanson scout..avec dessins..less broc en veulent aussi..je me tate..ici et là
enfin, Jacques, non, pas vous quand même… Tenez, écoutez cela (attentivement) :
« Il fait pas sérieux… Tu l’appâtes avec une belle gitane, il oublie les clefs, et plus de cuivre ! » (JC)
C’est presque un opéra.
On a une belle brune à Paris pour le rôle, mais est-elle mezzo?
sapré cheuloux..
Tenez, écoutez cela (attentivement)
de prés clopine de prés..tu cafouilles
Py un jour donnera un tour de roue, les gens l’applaudiront
Et puis maintenant, grosse bouse bougueresque, il y en a de plus en plus pour te tomber dessus. Ma petite stratégie fonctionne pas si mal… Je les laisse te finir…
A bientôt,
..vas bosser mon cheuloux..c’est mieux
Can you tempo it down a little bit?
Dans la mesure où le Dakar a été délocalisé en Amérique Latine, je ne vois pas pourquoi Py n’irait pas monter un Festival à Montreuil ou La Courneuve !
Bon, c’est sûr que le Luberon est plus distant …
M. Py manquera de soutien officiel parce qu’il est « outé » catholique.
Chaloux, pourquoi toujours dire des méchancetés à Bouguereau, qu’est le bon bedeau de la RdL ? N’oubliez pas que le Ciel doit être remercié de nous l’avoir envoyé en remplacement de MàC et ML …
(s’il pouvait nous débarrasser de Clopine, ce serait parfait … Ô Zeus, soit clément avec nous !)
M. Py manquera de soutien officiel parce qu’il est « outé » catholique
haaaa..ça doit ête pire que le gout de la bite..ptou ptou
Quittez votre écrin normand, Clopine, frottez-vous davantage au Midi ensoleillé et sanguin.
Comparez les deux cas suivants: Vitrolles et M. Mégret, Béziers et M. Ménard.
Ne pas voir de différences, c’est s’administrer soi-même une anesthésie locale.
s’il pouvait nous débarrasser de Clopine, ce serait parfait …
c’est mon trol..elle fait de son mieux
« NKM n’a pas su ou pu fédérer les siens »
malgré sa grâââce et son intelligence (irresistibles)! la pauvre est entourée d’ingrâââts
@ Deneb dit:25 mars 2014 à 11 h 10:
« Je ne me suis jamais senti particulièrement solidaire de l’extrême droite »:
Les discours de Martine Le pen vous font pleurer, vous adhérez aux idées xénophobes, racistes, au nationalisme le plus con, celui qui isolerait l’Économie française du reste du monde. Vous êtes anti-européen, homophobe, proche des catholiques les plus réactionnaires. Bref, si vous n’êtes pas solidaire, vous êtes quoi ?
La Cultures se porte mieux quand elle est gouvernée par les gens de gauche, Ducornaud. Vous êtes le paradigme des idées réactionnaires moisies, anti-modernité, anti tout ce qui ne relève pas de la morale catholique du Chardonneret. Vous détestez le théâtre, ce qui vous mets bien au niveau des plus simples de nos concitoyens, ceux qui ne lisent que « 20 minutes » et regardent le pire à la TV. Culture Populaire, n’est pas négatif, « la chanson française » en fait partie.
Si votre Myrtille Le pen était aux Affaires, la Culture serait mise au placard, pour faire plaisir à ses fans. Des gens souvent comme vous, un peu simples, sauf que vous, vous y ajoutez votre bêtise.
Votre êtes ce que les anglo-saxons appellent un « bigott », un faux-cul, du genre white-trash des mornes plaines.
Vous êtes mauvais, frustré, franchement D.bile, vous devriez rentrer dans les ordres. Frère-Comptable, dans un monastère fabricant de fromages, retour aux sources dans un milieu champêtre.
Olivier Py a raison, le FN ne pourrait être qu’une catastrophe pour les avant-gardes.
u. dit: 25 mars 2014 à 11 h 05 min
Ville de riches,
u ne sort pas de son ghetto de riches
u. dit: 25 mars 2014 à 11 h 05 min
Ville de riches,
u. n’a rien vu à Paris
« La Cultures se porte mieux quand elle est gouvernée par les gens de gauche »
OUIIIIII !
Gouvernez la Cultures ! Gouvernez la Cultures !!!
A gauche, tous ensemble, tous ensemble … ouiii!
A-t-on retrouvé des morceaux du vélo électrique de Mauvaise Langue?
u, caddy
u, kada
non? c’est nul? je sors?
@ Phil dit: 25 mars 2014 à 11 h 34: « M. Py manquera de soutien officiel parce qu’il est « outé » catholique. »: S’il est catholique, ce qui est bien son droit, cela doit être pour sa vie spirituelle, qu’il laisse privée. Il est croyant, so what ?
JC, Bouguereau est un gros con prétencelard, expert en esquive mais c’est vraiment tout. Cela dit, je peux comprendre que vous aimiez ce genre de beauf pathétique et vaniteux, il est dans votre ligne.
J’ai le manteau sur le dos, je me sauve…
« Samu Social Club dit: 25 mars 2014 à 11 h 50 min
u, caddy
u, kada
non? c’est nul? je sors? »
Jamais sans mon brancard.
« en remplacement de MàC et ML … »
Bouguereau était le caniche de Montaigne. On n’a jamais pensé à un clébard pour succéder à son maître. Quant à ML, je laisse Bouguereau savourer tout le sel de cette succession inattendue …
Ah Ah, JC, vous me faites poiler,
« beauf pathétique et vaniteux, il est dans votre ligne »
C’est là toute la définition d’une fraternité qui m’est chère !
(savez vous, Chaloux, que je n’ai pas de « manteau », je trouve que ça fait coincé du cul…)
Vive Poutine !
Ce midi, pommes-de-terre en robe-de-chambre, oignons cuits à l’eau, vodka. Mes oignons sont bio.
JC, sortez vous en string ?
TKT, M. Py est une figure du landerneau culturel français. On n’y fait pas carrière sans déculotter ses croyances et appartenances.
Nollet dit: 25 mars 2014 à 12 h 08 min
« JC, sortez vous en string ? »
Cela m’arrive, mais seulement le soir à Bayreuth…
(ce qui m’a permis de sympathiser, au commissariat, avec un Japonais en jeans et spencer !)
« (s’il pouvait nous débarrasser de Clopine, ce serait parfait … »
Épèpèpe, JC, te voilà de nouveau pris en flagrant délit d’anti-libéralisme.
JC, pour Bayreuth, je vous conseille un string en daim sur mesure.
Camarade u.
C’est mon côté Stasi !
(que faire lorsqu’on a de gros écouteurs fournis par des amis, des voisins artistes subventionnés, des études à financer, et que l’on se bat de l’autre côté du rideau rouillé pour en sortir…?)
Plus de 600 commentaires sur Mark Rothko.
Qui a dit que l’abstraction, c’était difficile?
Qui a dit que l’abstraction, c’était difficile?(u.)
u. doit confondre la difficulté de l’abstraction avec la difficulté de causer de ‘abstraction.
Je m’en veux d’avoir ranimé des traces mnésiques concernant M. Sarkozy, c’est pur masochisme.
Avez-vous goûté cette « power walk », technologie de nabots dominateurs de Paris à Saint-Petersbourg?
Il faut avancer les jambes suffisamment écartées pour qu’un filet d’air puisse toujours passer entre chaque couille et la cuisse qui lui est adjacente.
Comme cet écart rapetisse, il faut le rattraper ensuite en marchant sur les pointes ou par une sorte de perpétuel sautillement.
Les bras ballottent au large, il faut toujours que sur la photo un espace soit respecté entre sa majesté et les deux clampins de droite et de gauche.
JC « je n’ai pas de « manteau », je trouve que ça fait coincé du cul »
jicé préfère la soutane
« power walk »
dans les séries américaines ça commence toujours par 3 mecs qui marchent de front tout en causant avant de se séparer décision prise dans un croisement de couloir..les français c’est 3 avachis et une vaguement debout..c’est pas la peine de chercher plus loin zouzou
u. doit confondre la difficulté de l’abstraction avec la difficulté de causer de ‘abstraction
il faut qu’il y ait difficulté jean marron sinon comment que tu reconnais les courageux intelligents..par exemple quand lassouline dit qu’il a dladmiration pour ceux la qui font des bio de peintre..est ce une manière élégante de dire qu’il est faignant ?
C’est mon côté Stasi !
on a tous quelquechose en nous de la stasi jicé..
JC….. dit: 25 mars 2014 à 12 h 11 min
Nollet dit: 25 mars 2014 à 12 h 08 min
« JC, sortez vous en string ? »
« Cela m’arrive, mais seulement le soir à Bayreuth… »
Il voulait dire : « à Biroutet » (65)…
Épèpèpe, JC, te voilà de nouveau pris en flagrant délit d’anti-libéralisme
c’est pas popo, jicé le libéralisme, c’est lui
et pendant ce temps au nord, la vague fn entre fort dans les terres jusque loin en seine maritime.
uh uh a fait abstraction du Talmud,- il connait-
Tiens, parlant de commissaire de la pensée, il y aura une expo » les magiciens de la terre » en 2014 à Paris, et regardable que par des parisiens d’occident, parait.
A-t-on retrouvé des morceaux du vélo électrique de Mauvaise Langue?
on cherche la selle et on la trouve pas..on fait erreur sur la methode..ça crève un oeil
et pendant ce temps au nord
terre de betterave de cathedrale et de pédophile consanguin
“A-t-on retrouvé des morceaux du vélo électrique de Mauvaise Langue?“…
Le PM de Malaisie, Aznir le bienheureux, a envoyé à sa recherche, un groupe de Shaman. Aidé d’un vélo miniature en osier, de deux pastèques, ces sages Shaman, ont retrouvé la sonnette de ML.
Mais à Hallencourt par exemple, ce n’est pas le fn qui gère la ville. Etonnant, non ?
Cette actualité théâtrale, me fait penser que je dois bientôt aller voir Pyrrhus, Andromaque, Achille, Hermione; bref, je vais aller voir les grecs.
Bon Dieu si Moto-Revue est interdit je file chez Путин…
Ce qui s’appelle une biographie totale, œuvre et vie mêlées, et analysées à égalité. Cela m’a toujours paru inaccessible tant la perception de l’art, et son rendu par les mots de l’écrivain, demeurent inaccessible à la logique du commun
C’est sûr que, s’il s’agit de préciser avec qui le peintre a forniqué, s’il préférait le boeuf mironton ou la bouillabaisse, la mer ou la montagne, le premier venu fait l’affaire. Quant à l’oeuvre, s’il s’agit d’un Michel Ange, d’un David ou d’un Delacroix, on peut en disserter avec une relative pertinence. Mais s’il s’agit des tableaux d’un Rothko, c’est une autre paire de manches. Les non-titres minimalistes qu’il leur a lui-même donnés sont plutôt une invite à se contenter de les regarder et à la fermer. Mais ce n’est pas ainsi que cela se passe, comme en témoignent les exégèses pondues par Madame Cohen-Solal ou par BHL (dans le catalogue de son expo de Saint-Paul-de-Vence). Ces bavardages évoquent irrésistiblement le sketch célèbre de Raymond Devos : « Vous n’avez rien à en dire ? — mais justement, Mesdames et Messieurs, on en cause, on en discute ». Pour le reste, s’agissant, par exemple, de « N° 8 », peint en 1952, Madame Cohen-solal peut bien y discerner des réminiscences du talmud, moi une méditation sur la mythologie solaire des anciens Germains, et ma cousine Josette une variation sur le thème de l’oeuf sur le plat, ces trois interprétations s’inscriront aussi légitimement qu’inutilement dans l’interminable tentative d’éclaircissement de cet obscur objet du sens qu’est un tableau de Rothko.
Personnellement, j’en ai rien à foutre que le FN gagne Avignon et que des flots de sang coulent dans les rues… !
C’est le problème des Avignonnais de décider ce qui est bon pour eux. Néanmoins … que j’aimerai qu’il gagne, ce parti autorisé par la république, donc républicain, …. juste pour voir comme l’indomptable, l’intransigeant, le farouche, Py s’adaptera au nouveau commanditaire !!!
Oui ! J’avoue, j’admets, je revendique, une once de perversité ; rien de méchant, à côté de bien d’autres, ici…
Je suis à présent totalement convaincu que TKT a raison sur tout. Je me range définitivement de son côté en en fait à partir de maintenant mon seul maître à penser, en le priant de consentir à me pardonner pour toutes mes errances passées. La raison finit toujours par triompher de tout.
en Arles.
Gérard Philippe c’est un de mes grands regrets
Te fatigue mon bichon et reste droit dans tes Bata, tu m’amuses.
Deneb vous êtes un fieffé fayot, ou est-ce que vous auriez un siège au conseil à défendre, en tout les cas je ne vous suivrai pas.
Onésiphore de Prébois dit: 25 mars 2014 l’interminable tentative d’éclaircissement de cet obscur objet du sens qu’est un tableau de Rothko.
Ca c’ezt de l’herméneutique militante mais pas tant que ça. Le premier par exemple on pourrait hésiter entre l’incendie du Reichstag et une sorte d’Hiroshima-Kawasaki… Mais c’est bien peint il faut dire… Et alors ces fenêtres, ces fenêtres…
JC….. dit: 25 mars 2014 à 14 h 33 min
Personnellement, j’en ai rien à foutre que le FN gagne Avignon et que des flots de sang coulent dans les rues… !
Si elles sont en pente ça s’évacue ; sinon ça caille évidemment…
« terre de betterave de cathedrale et de pédophile consanguin »
Pas tout à fait le temps de prélever une autre carotte dans cette terre fertile cependant il vous faudrait situer l’action car pour avoir vécu non loin d’une usine Beghin Say quoiqu’au chevet d’une cathédrale, je puis vous dire qu’à prier à l’heure de l’injection, il est encore possible d’éloigner les esprits mauvais et tous les diables, ceci dit le pape François se risque à des discours sincères et courageux.
Je ne me suis jamais senti particulièrement solidaire de l’extrême droite mais affirmer sans exemple à l’appui qu’elle s’attaque à la Culture ne relève-t-il pas du procès d’intention ?
Certains artistes refusent de s’arrêter là où le FN est installé d’autre part s’il est un domaine où les élus peuvent facilement exercer une influence par des choix qui pourraient ressembler à une censure sélective, c’est peut-être aussi celui du programme culturel. Il y a des exemples de gestion FN, des précédents qui à être fouillés pourraient vous renseigner.
vas-y là, casse-toi
à bérénice, 15 heures 10 : les exemples contre la Culture sont nombreux, voyez Orange notamment et le reportage dans télérama, voyez les exemples des villes un temps gouvernées par ces « démocrates » : Toulon, Vitrolles, Marignane, c’est édifiant et je donne raison à Olivier Py que le ridicucule JC ne connait même pas vu son niveau intellectuel
Samu Social peut-on savoir à qui vous vous adressez?
à un club pour commencer, pas à toi pour finir. C’est une remarque intemporelle sur le caractère de certains.
Vous lorgnez sur le pognon
Ciboulette dit: 25 mars 2014 à 15 h 17 min
Toulon, Vitrolles, Marignane
Si on avait gardé l’Algérie peut-être que Alger-Oran-Constantine serait FN ? Bidon V c’est moins sûr… Tamanrasset et Dunkerque faut voir…
un exemple significatif : à Vitrolles, suppression des subventions à la création culturelle (le festival de jazz « Charlie ») et on rebaptise la place Nelson Mandela Par Margueritte de Provence, youpi !
je ne discute pas avec les branques comme toi, Sergio
C’est un nom d’emprunt, le « Sergio »
Je rigole, non, je n’ai pas vu ce qui s’est passé.
Si TKT est d’accord avec moi et me donne quitus, ce que je présume, je dirai bien, que Nelson Mandela, sönne tout aussi bien que Marguerite, de Provence.
Samu Social Club dit: 25 mars 2014 à 15 h 43 min
C’est un nom d’emprunt, le « Sergio »
C’est difficile à dire comme cela. En tous cas je l’ai pas payé j’avais pas un flèche !
Ciboulette dit: 25 mars 2014 à 15 h 34 min
je ne discute pas avec les branques comme toi
Moi non plus ça finissait par m’échapper le cours des choses…
Merci, M. Assouline, votre texte n’en est que plus fidèle à la réalité de cette histoire américaine que tant croient connaître, mais dont ils ignorent trop souvent les complexités.
Allez par exemple leur dire que le modèle ségrégatif qui allait prévaloir dans le Sud au 20e s. fut inventée aux 18s. et 19e dans les villes du Nord (et non du Sud), vous allez voir ce qu’ils vont vous répondre…
Et pourtant, dès 1961, Leon F.Litwack offrait au grand public une étude solide qui fait autorité depuis: North of Slavery, The Negro in the Free States, 1790-1860, The University of Chicago Press.
« Racial segregation or exclusion thus haunted the northern Negro in his attempts to use public conveyances, to attend schools, or to sit in theaters, churches, and lecture halls. But even the more subtle forms of twentieth-century racial discrimination had their antecedents in the *ante-bellum North: residential restrictions, exclusion from resorts and certain restaurants, confinement to menial employments, and restricted cemeteries. The justification for such discrimination in the North differed little from that used to defend slavery in the South: Negroes, it was held, constituted a depraved and inferior race which must be kept in its proper place in a white man’s society. » p viii.
(*ante-bellum = avant la Guerre de Sécession).
ça fait plus « western union » mon nom? je ne sais plus, j’ai perdu le fil, mais surtout j’ai manqué de diligence, Sergio, je n’aime pas rabrouer les gens sur leurs noms, je m’en vais à reculons
Sergio « Léone »?
Samu Social Club dit: 25 mars 2014 à 16 h 01 min
à reculons
Ha ça quand même c’est un des seuls trucs dangereux qui subsistent, déjà il faut une Harley avec marche arrière et surtout pas trop se mélanger le regard dans les rétros question de chiralité…
Il en faudrait un qui m’en__le bien fort
les gros barbus aiment les Harley. Les gros barbus n’aiment pas tourner la tête.
Cependant Béatrice de Savoie, la mère de Marguerite, était une femme réputée pour son intelligence et sa beauté, deux points communs avec mon maître Thierry de Zürich.
Ce dernier n’ayant eu toutefois aucune descendance promise à un mariage royal. Ce qui est une erreur qu’il est encore possible de rectifier.
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Sergio 25 mars 2014 à 15 h 31 min (Si on avait gardé l’Algérie peut-être que Alger-Oran-Constantine serait FN ? Bidon V c’est moins sûr… Tamanrasset et Dunkerque faut voir…)
La métropole, toujours du bon côté
bérénice et la culture : prenons l’exemple de Porquerolles et son festival de jazz réputé ; si le collabo JC devient maire, le festival disparaiit car le jazz est une musique de nègres et de dégénérés ; à Orange, son pote Bompard préfère subventionner l’aromathérapie plutôt qu’aider le cinéma d’art et essai ; n’oubliez pas que pour certains quand on entend le mot culture, vous connaissez la suite
Le Jazz c’est une musique de nègres : ça devrait être interdit ! Moi, c’que j’aime c’est l’accordéon Yvette Horner, Verchuren et Giscard d’Estaing…
La Culture c’est du temps perdu pour tout le monde et le chômage des intermittents….ahlala… !
Ciboulette vous êtes un collabo des Socialos ! Honte sur vous !
ah bon dit: 25 mars 2014 à 16 h 44 min
La métropole, toujours du bon côté
Ben oui y a la marine entre les deux on a dit… A Orange à Oran dans la rade…
Le cinéma d’art et d’essai ! Non, mais je rêve…. Art et Essai… ! on n’en a rien à faire : c’est comme les emplois aidés ! C’est nul, les emplois aidés. La culture, c’est d’abord le football : regardez Abdel ? Il est pas heureux rien qu’avec le foot…?!
Les enfants m’aiment bien, ceux qui rentrent de l’école et mangent leur 4 heures
« la marine entre les deux »
à part elle, personne
« C’est nul, les emplois aidés. »
et toi on peut pas dire que tu soilles aidé
Excuse-moi, René, je ne savais pas que tu étais un employé aidé …
JC….. dit: 25 mars 2014 à 17 h 04 min
La culture, c’est d’abord le football
Houi mais alors comme dans Christin et Bilal… Casque en fonte, grillage devant la hure, petit bâtonnet de bois dans les menottes…
Non, mais Sergio ! Ils sont fous ces bobos et Ciboulette a le ciboulo qui chauffe : les Chorégies d’Orange se passent très bien avec le nauséabond et infâme Bompard…
« un employé aidé »
cherche pas à brouiller les pistes – t’es pas aidé congénitalement, c’est pas d’ta faute
On sait que certaines choses rendent les gens malades …
Bo hé merde, tout fout le camp
Certaines gens ce ne sont pas seulement les choses qui le rendent malades, ce sont aussi certains gens…
hof..faut pas non pus exagérer ta nuisance rénateau..
mais tous les emplois sont aidé jicé..de prés surtout par les keufs..des gens qui te rendent vite malade..plus pire que rénato
..bon aprés tout t’es ptête de la police rénateau..faut bien manger
Casque en fonte, grillage devant la hure, petit bâtonnet de bois dans les menottes…
quand est sorti rollerball c’étoye fachiss et matcho pis tout..gta maintenant c’est coule..même toi t’y joue chus sur sergio..le boulot des antifachiss c’est de mithridatiser on dirait
T’es sûr que tout va bien bouguereau ? non, parce que tes interprétations relative à mes commentaires sont de plus en plus parano…
eh oui renato, la sclérose du cerveau progresse bien chez bouguereau, à toue allure; chez JC la fin approche
bouguereau dit: 25 mars 2014 à 18 h 15 min
mithridatiser on dirait
Voilà une grande question : pour quelque chose on dit toujours « s’habituer à ». En réalité c’est plutôt comme les radiations l’important c’est la dose, pom, pom…
On a qu’à faire un programme relatif à l’instruction
.. keupu c’est l’intello de la bande..jle savais
l’important c’est la dose, pom, pom…
..en même temps dans gta tu peux tuer les flics comme ça pour rien..ça tombe c’est crypto communiss
Regardez où j’en suis de ma vie de blogger moi http://moonydoodle.livejournal.com/
fais pas la gueule rénateau..c’est pour rire
où j’en suis de ma vie de blogger
en 98 y’avait eu aussi une épidémie de désabonnement a internet.. »i resign » « cancel »..surtout chez les scénaristes..une belle bandes d’enculés
les mecs écrivaient de longues lettre d’adieu..tiens je me souviens de celle de ringo star qui disait que les fans sur internet c’était les même que dans la vraie vie
..on pouvait causer avec ringo..je sais pas pourquoi j’l’ai toujours kiffé..c’est un malin
quand bouguereau perd les pédales, ce qui lui arrive de plus en plus souvent, il nous ressort keupu et au commentaire suivant, ahuri, déboussolé passe à autre chose mine de rien… ce que c’est que d’être intellolo comme ringogo
Un jour, vous verrez, c’est Mougeotte qui tiendra les rênes
J’avais envie de l’écrire
Je suis champion junior d’Aurillac, de fouteboll de table.
Voilà, bouguereau, je ne fais qu’une observation et tu pense tout de suite que je fais la gueule, si ce n’est pas parano que-ce que c’est ?
En tout cas, quand c’est pas maman, c’est papa ; )
Mis en ligne sous « Lui, c’est lui et moi, c’est moi » par erreur :
renato dit: 25 mars 2014 à 19 h 22 min
Il y a de là quelque jours Saul Steinberg en illustration d’un billet… on pense à Steinberg… à l’anonymat new-yorkais… à l’impossibilité d’une biographie… car que quelqu’un sorte de chez lui pour aller au bureau de poste ou à faire pisser le chien… que je connaisse toute sa bibliothèque, ses amours et se faillites… et ainsi de suite… quel sens peut donc bien avoir une bio aujourd’hui… compte tenu qu’enfin ! nous faisons plus ou moins tous la même vie… ou alors c’est tiré par les cheveux… comme ici, par les tableaux…
++++++++++dernière minute…++++++++++++++
tout se précipite à Avignon…
… des hommes masqués ont pris d’assaut le Palais des Papes, et hissé un drapeau pas très orthodoxe (?)
… Py est en fuite dans le Luberon (Kiev lui a refusé l’asile – plus d’argent)
… le Festival pourrait carrément être délocalisé en Afrique (Avignon-Ebola, mais ce n’est qu’une piste de travail, Aurélie préfère Maurice…)
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
et en route vers le « village global » !
https:petitions-whitehouse.gov/petition/Alaska-back-russia/SFG1 ppfN
QUELLE HORREUR !
Christian Combaz est écrivain et essayiste. Cet inconnu célèbre attaque un autre inconnu célèbre, Olivier Py :
« Olivier, tu me fatigues depuis longtemps, précisément depuis tes débuts à l’Odéon il y a sept ans, où ton côté «frère prêcheur qui explique à tout le monde ce qu’est le péché originel» avait fini par se calmer mais depuis hier l’ivresse de l’apostolat t’a visiblement repris.
Désormais le Front national a donc remplacé les communistes devant la réprobation des bien-pensants mais ce sont les mêmes mécanismes psychologiques qui sont à l’œuvre
Désormais le Front national a donc remplacé les communistes devant la réprobation des bien-pensants mais ce sont les mêmes mécanismes psychologiques qui sont à l’œuvre, la même stérilité de pensée, la même injustice faite à celui ou celle qui n’a pas ton sens exacerbé de l’inadmissible.
Le résultat d’une élection régulière n’est pas inadmissible . Je trouve parfaitement indigne la façon dont tu donnes des gages au milieu théâtral pour déjouer la critique et te placer d’emblée, d’autorité, préventivement, dans le camp des gens bien, contre une famille de pensée que tu juges , j’imagine, criminelle. Pour dénoncer les crimes de quelqu’un , on attend d’être sûr qu’il s’apprête à les commettre ou qu’il les ait commis.
Or en cas de victoire du Front national à Avignon, j’ai tendance à trouver qu’un directeur de festival équilibré devrait dire : nous serons attentifs. Mais il devrait se garder faire de la résistance, comme tu le fais à grands renforts de publicité et d’effets de manche au nom de la morale. »
Tu ne connais pas le visage des offensés qui votent mal. Tu ne veux pas déplaire aux Ponce Pilate si nombreux dans le camp des gens comme il faut.
Pendant toute ma carrière, certes moins enviable que la tienne, j’aurai dû ruser avec la gauche inquisitrice, celle qui soupçonne certains acteurs, certains auteurs d’avoir trop d’indulgence pour la bourgeoisie, celle qui s’arrange pour balancer, au milieu d’un dîner, une phrase qui soit de nature à débusquer les réactionnaires, celle qui nous a pourri la vie, subtilisé les subventions, volé les occasions de casting dans les années fastes, les années fric, les années Lang. »
Quelle horreur ! Quels propos…
FAITES TAIRE CE FAQUIN DE COMBAZ !!!
Ciboulette, pourrions nous nous rencontrer ?
Dédé, sois prudent : Ciboulette est un vieux Colonel de l’Armée des Indes. Travesti, naturellement …
A mon avis quelques mystères ont été percés
n’Empêche qu’avec tous ses évènements,
j’perds la Boule!…
ET j’arriv’pas à reconnaitre Cohensolale sur
le tableau !?
(OU ALORS c’est elle qui peignait et qui-c/s’est suicidééé ???)
Dédé, sois prudent : Ciboulette est un vieux Colonel de l’Armée des Indes. Travesti, naturellement …
mais comme il bande mou, dédé restera vierge
The felony of a tyran
Leonidas, Xerxes, papotant… sous-titrés en roumain, ça a de la gueule.
Leonidas, Xerxes, papotant… sous-titrés en roumain, ça a de la gueule
..le décor et l’éclairage numérique aurait fait droledement peur a flaubert.. »surtout surtout pas de dessins » qu’il aurait crié encore..dommage qu’il n’y ai plus d’italiens
en hauteur,
fbexternal-a.akamaihd.net/safe_image.php?d=AQBMuw2-2SqOccgG&url=http%3A%2F%2Fmedia-cache-ak0.pinimg.com%2F736x%2F0f%2F9f%2Fff%2F0f9fffff4970ea60a5c4381cc3c0c090.jpg
Oooups, je lui ai coupé la queue !
Cette fois-ci, ça devrait marcher ..
avec la loupe ..
Désormais le Front national a donc remplacé les communistes devant la réprobation des bien-pensants mais ce sont les mêmes mécanismes psychologiques qui sont à l’œuvre
au contraire des conservateurs américains il n’ont pas de programme tout fait..pas d’agrément de tournage par l’armée par exemple..bref le programme culturel du front national est aussi appuyé et carambouillé que celui de mussolini..à part que le doutché était une cloche
Marcel, tout à l’heure j’ai fait la sieste au bureau et en me réveillant à 13 h 14 j’ai trouvé un autre problème. Cela concerne l’évolution de l’univers étudiée sous la perspective de son rayon de courbure, ce que personne n’a encore jamais fait avant moi.
Or, voilà ce qu’il ressort de ma réflexion :
La relativité générale indique que si la répartition de matière est homogène dans l’univers, alors la géométrie de celui-ci ne dépend que d’un paramètre, appelé courbure spatiale. Intuitivement, cette quantité donne l’échelle de distance au-delà de laquelle la géométrie euclidienne (comme le théorème de Pythagore) cesse d’être valable. Par exemple, la somme des angles d’un triangle de taille gigantesque (plusieurs milliards d’années-lumière) pourrait pas être égale à 180 degrés. Il reste parfaitement possible que de tels effets, non observés, n’apparaissent qu’à des distance bien plus grande que celles de l’univers observable; seulement voilà : un problème aparaît si on remarque que cette échelle de longueur, que j’appelle rayon de courbure, a tendance à devenir de plus en plus petite par rapport à la taille de l’univers observable. En d’autres termes, si le rayon de courbure était à peine plus grand que la taille de l’univers observable il y a 5 milliards d’années, il devrait être aujourd’hui plus petit que cette dernière, et alors les effets géométriques sus-mentionnés devraient être devenus visibles. En continuant ce raisonnement, je me suis rendu compte qu’il était possible de voir qu’à l’époque de la nucléosynthèse, le rayon de courbure devait être considérablement plus grand que la taille de l’univers observable pour que les effets dus à la courbure ne soient pas encore visibles aujourd’hui. Cela me préoccupe et j’ai besoin d’un regard extérieur sur cette question, si possible avant que je me couche car je voudrais bien dormir cette nuit.
Cette fois-ci, ça devrait marcher ..
dafnoz a regardé la série spartacussse et elle a kiffé
Aaaah ! Benito !
L’idole des dentistes : quelle mâchoire !
Intuitivement, cette quantité donne l’échelle de distance au-delà de laquelle la géométrie euclidienne (comme le théorème de Pythagore) cesse d’être valable
..c’est les pyrenees dédé..au delà il y a pablo..tu calcules pus
quelle mâchoire !
menton..machoire..cest un trope..vontraube il dirait perfidment que l’unicité dans la burne en est un autre..c’est pas scientifique
n’Empêche qu’avec tous ses évènements,
j’perds la Boule!…
allons bardamol..elle est faite pour ça
je ne fais qu’une observation et tu pense tout de suite que je fais la gueule, si ce n’est pas parano que-ce que c’est ?
parano ! hier clopine..ce midi cheulou..et ce soir keupu qui me fait minabe..c’est un complot épicétou
Dédé, sois prudent, tu es face à deux dangers majeurs :
– dans notre univers fini /infini et courbe, tu t’approches trop d’un trou noir … hop, tu passes dans ce que l’on envisage comme probable : un autre univers entier, aux lois physiques différentes de celles connues !
– dans un contact avec le Colonel Ciboulette, c’est pareil…
Pfff, le Boug’! Il s’agit d’un tagguer de Sao Paulo, Cranio Artes
..tiens dafnoz « les arts de la rue » ça a été une scie des programmes socialos au municipal..à croire que la politique culturel c’est un kit
les programmes tuent, c’est connu.
« Désormais le Front national a donc remplacé les communistes devant la réprobation des bien-pensants mais ce sont les mêmes mécanismes psychologiques qui sont à l’œuvre »
l’ami de Renaud Camus voulait sans doute dire que le PCF avait voulu tuer dans l’oeuf l’initiative de Jean Vilar.
les extrèmes, c’est pas trop compliqué à comprendre, ils se rejoignent toujours.
C’est pas compliqué à comprendre, ça,la courbure de l’espace politicien français, national et identitaire.
un petit caillot de sang aussi
Pour consoler mon ami Bouguereau.
http://www.youtube.com/watch?v=rcCH8ndt8qA#t=96
«… c’est un complot épicétou »
Mais-non-mais-non, célinien petit, c’est quelque chose que tu as dans la tête…
Non, rassure-toi Bouguereau, tu n’es pas parano, tu es juste un gros beauf, grossier, vaniteux, avec trois bulles d’air dans le cerveau, et on te le dit. Mais parano, non.
Bonne soirée,
Trois bulles d’air dans le cerveau : à la limite, tu pourrais faire un « niveau ».
D. dit: 25 mars 2014 à 20 h 21 min
Nous attendons avec impatience le commentaire assassin de TKT qui va réduire à néant ces manifestes élucubrations de D.
Chaloux dit: 25 mars 2014 à 21 h 01 min
Non, rassure-toi Bouguereau, tu n’es pas parano, tu es juste un gros beauf, grossier, vaniteux, avec trois bulles d’air dans le cerveau
Chaloux n’est pas grossier, je regrette.
Qui?
Miroir, mon beau miroir dit: 25 mars 2014 à 21 h 36 min
TOTO, il est presque dix heures : on éteint !
La maman du petit Chaloux est priée d’apprendre le bonne manière à l’avorton qu’elle a oublié de jeter dans le wc..
Ce propos ne manque pas de brutalité:
No comment.. dit: 25 mars 2014 à 22 h 18 min
La maman du petit Chaloux est priée d’apprendre le bonne manière à l’avorton qu’elle a oublié de jeter dans le wc..
Ça fait quand même un accroc, dans le grand pull-over du vivre ensemble.
Voilà ! un chouia d’anti vieux pour rehausser une morne soirée !
No comment.. dit: 25 mars 2014 à 22 h 18 min
le wc..
Un masculin, mais d’après Robert Bidochon c’est un pluriel, sans préjudice naturellement de l’équipement inventorié…
No comment.. dit: 25 mars 2014 à 22 h 18 min
Pauvre Toto, pauvre misère, dors sous la terre, dors sous le temps.
Aimez-vous Brahms ?
« Chaloux n’est pas grossier, je regrette. »
Chaloux n’est pas, « il y a une nuance » !
Pauvre Toto que rien n’arrête, pas même lui-même.
Quel autoportrait, quel désespoir, quelle misère humaine. (rejoue-nous miroir mon beau miroir, c’est de ton niveau et ça ne dérange personne)
Toto, va dodo, on te dit.
Chaloux dit: 25 mars 2014 à 23 h 12 min
Le ridicule du Lagunaphile atteint parfois des niveaux inégalés et sûrement inégalables.
Ah ! m’enfin ! qu’il est ennuyeux…
Amusant,
la gueule de Rototo*** me rappelle la gueule d’un SS recherché dans le monde entier!.
Je ne sais plus lequel,
pas Göring ou Mengele,
mais approchant …
Comme quoi,
la gueule,
Qu’est-ce quelle a ma gueule ?.
Rien que devant ses deux tableaux,
je le vois bien lever son bras droit !!!.
La force des mi-Slaves…
Peut-être que les lunettes me trompent ?.
Ses fenêtres sont peut-être la porte de sortie des chambres à gaz !.
Bien vu le Bonux !.
Et ce bon vieux professeur Barnard?
Bon, pour revenir à Rothko, il y a une interview des années 50 ou 60 où Steinberg parle de son plaisir de vivre à New York car l’identité se réduit parfois à un numéro sur la porte et du fait d’être dans la foule comme système de défense, en bref, il parle de l’anonymat et cela en des années où en Europe ce n’était pas le cas. Or, il me semble que dans la même interview il touche très incidemment l’argument biographie pour en dire, justement l’impossibilité, à ces conditions-là. Pour ce qui est de la peinture, on peut parler, parfois, de celle de de Kooning sans tomber dans le ridicule (les femmes), mais déjà parler des paysages ce serait suspect… mais parler de la peinture de Rothko, Pollok, Rainhard, Newman… enfin, soyons raisonnables, même pas en sachant quel étais leur champ de réflexion…
quel étais > quel était…
« Jacques Barozzi dit: 23 mars 2014 à 14 h 46 min
Le masochisme serait-il l’essence du judaïsme ? »
Possible,
mais après David et Salomon !!!.
Donc après le voyage à Babylone.
Lone sone cowboy in…
Quant à avant,
heureusement que Moïse se soit arrêté sur le Mont Nébo.
Nébo n’est pas laid, inceste*** pas.
des fois je me tais, va
Une interprétation de ce tableaux, p. ex. :
http://www.artnet.com/magazineus/features/saltz/helen-frankenthaler-12-28-11_detail.asp?picnum=4
Ah que la Judéité en peinture me fait m’esclaffer !.
A ce que je sache,
le problème de l’iconographie date de cette époque.
Comme quoi, l’abstraction … .. .
J’y préfère la porte d’Ishtar !.
Retour à Berlin, forcement.
« J’y préfère la porte d’Ishtar !. »
Pourquoi pas ? par ailleurs ce n’est pas défendu par la loi…
Soyez gentil,
gentilhomme je suis,
aimant écrire en français,
mais constatant que :
ces pov’z’arabes,
ont toujours un métro de retard.
Même pas capable de donner un nom à leur … .
Et depuis,
ils cherchent :
Au nom d’Allah,
le Matriculant***, le Matriciel.
La désirance d’Allah, Rabb des univers,
le Matriciant, le Matriciel,
souverain au jour de la Créance :
Toi, nous te servons,
Toi, nous te sollicitons.
Guide-nous sur le chemin ascendant,
le chemin de ceux que tu ravis,
non pas celui des courroucés,
ni des fourvoyés.
Bismillha…
Dieu sait que je me fourvoie avec plaisir.
*** Correction automatique.
Pour Al Fâtihat :
Traduction de André CHOURAQUI.
PS: Pour JC,
jamais Marine ne te susurrera un tel poème sur le coin de l’oreiller.
Dommage pour toi,
tu ne sais ce que tu loupes.
Ainsi les perles de ton anus,
de ta bouche, ou du bout de tes doigts,
ne valent pas celles d’Abdoullay.
Signé : Henry.
Miroir
Dans mon miroir, je vois un autre
Singeant ce qu’il croit être moi.
Il a des tics de bon apôtre,
Dans mon miroir, je vois un autre.
Pourquoi faut-il qu’en moi se vautre,
Ce double qui me fait la loi ?
Dans mon miroir, je vois un autre
Singeant ce qu’il croit être moi.
Jean Calbrix, le 26/03/14
« Daaphnée dit: 25 mars 2014 à 20 h 31 min »,
J’aime bien.
Un souvenir de passage dans les geôles de colonels ?.
« Mark Rothko ou la biographie d’une vibration »,
OK,
bien vu,
Il a choisi les fenêtres,
pour éviter les cheminées.
En verre dépoli, je comprends,
good vibration !.
« Fumée de fumées, tout est fumée »,
Paroles de Qohèlèt, le fils de David, roi de Ieroushalaîm.
Schilum !!!.
Un clou chasse l’autre peut-être,
mais on ne tape jamais assez sur ce clou.
Tapons, tapons, petit ratapon.
Quant au tafia, ou ratafia,
ce n’était juste qu’un ersatz de rhum dont on refilait un à deux quarts aux poilus pour sortir des tranchées.
Tapons, tapons, petit ratapon.
Sur l’antisémitisme aux Etats-Unis dans la première moitié du 20e s.:
“L’antisémitisme n’a pas disparu. Bien au contraire. Certes, comme auparavant, il est moins vigoureux que l’anticatholicisme et le racisme. Il n’empêche que les stéréotypes ont la vie dure. Le Juif continue d’être dépeint sous les traits d’un être rapace, avide de faire fortune par n’importe quels moyens, corrupteur des bonnes moeurs, maître des banques, tout-puisssant dans les milieu d’affaires. Plus encore que les autres régions du pays, le Sud manifeste sa haine et sa peur. En 1913, une jeune fille est assassinée à Atlanta. Un patron juif, honorablement connu, Leo Franck, est accuse d’avoir commis l’assassinat. Il est jugé et condamné à mort. Le gouverneur commue la sentence en detention criminelle à perpétuité. En 1915, la foule, excitée par des démagogues violemment antisémites, se saisit de Franck et le lynche. Puis, en 1917 et 1918, les Juifs sont dénoncés pour être des suppôts du pacifisme, du communisme, du socialisme et de l’anarchisme.
Dans les années vingt, le péril revêt une autre figure. Henry Ford, le génial constructeur d’automobiles qui vend par milllions son modèle T., inonde le territoire américain des “Protocoles des Sages de Sion”. Par l’intermédiaire de son journal, le ‘Dearborn Independent’, il mène campagne contre les Juifs, qu’il accuse de tous les maux et surtout d’une influence excessive sur la société américaine. Il ne tarde pas à renoncer à ses ambitions, faute de soutiens suffisants, et à mettre un terme à sa campagne.
Les universities les plus prestigieuses, y compris Harvard, appliquent, plus ou moins discrètement, des quotas pour limiter le nombre des étudiants juifs (…) Des proprietaries refusent des locataires juifs. Des restaurants ne veulent pas de clients juifs. L’essor du Ku Klux Klan renforce encore les discriminations, même si le Klan combat en priorité les Noirs et les catholiques. L’agitation antisémite n’est pas complètement retombée dans les années trente et repose alors sur l’hostilité au New Deal, dénommé par les adversaires de Franklin Roosevelt le Jew Deal (…/…)”
André Kaspi, Les Juifs américains, Points Seuil, 2009.
Pour la suite version uchronique (et la vision « de l’intérieur »), voir The Plot Against America, de Philip Roth. Le Postscript contient des bios édifiantes de Ford, Linbergh et du sinistre Charles E. Coughlin…
Les adeptes du Vivre Ensemble vivent entre eux, loin de l’Insupportable. Ils n’ont que faire de La Courneuve, de Sevran, de Montreuil ou de Saint-Denis. C’est Avignon qui les perturbe …
Les Humanistes sont des faux-culs.
Les Humanistes préfèrent parler de Culture plutôt que d’Economie. L’argent, le travail, c’est sale … cela ne les concerne pas.
L’action, les Humanistes l’ont en horreur.
Dès qu’il y a action, il y a décision et donc, risques. Les Humanistes préfèrent la réflexion. Pourquoi la réflexion ? Pour elle-même. C’est moins dangereux, moins immédiat, plus noble.
Merci ben shan, vous êtes convaincant. Je commencerai ce livre » Complot contre l’Amérique » de Ph. Roth par la fin où il prend soin d’adresser « une référence au lecteur curieux de savoir où s’arrête l’histoire et où intervient l’imagination »
Vous avez raison, moralement, le curé Coughlin n’est pas un personnage à mettre en avant, ni à écouter surtout.
Sinon, juste une petite précision, j’y repense ( à mes cours d’histoire du lycée) en lisant le discours de Lindbergh, le vrai, en fin de volume, dans votre message d’hier il me semble qu’il s’agissait du parti politique isolationniste AFC,
http://fr.wikipedia.org/wiki/America_First
car le mouvement des Freedom Riders c’est aut’chose.
ben shan, je ne sais pas si vous pensez comme moi, mais les bios de goering et goebbels himmler en post-scrptum du » complot contre l’Amérique » me font penser à celle de Julius genre « que sont-ils devenus »
Bonne journée !
http://twproxy.stiletto.fr/4hbp8880/h400/www.stiletto.fr/uploads/pictures/anna_maria_maiolino.jpg
éhémoth dit: 26 mars 2014 à 1 h 17 min
les colos c’était la grèce plutôt
jicé être actif courageux
La couleur, 1 :
http://biomorphosis.tumblr.com/post/80726697081/sapphirina-copepod-a-k-a-sea-sapphire-is-a
La couleur, 2 :
« jicé être actif courageux »
Peut-être, mais prise de risque ici rien… pourquoi n’expose-t-il pas ses opinion à visage découvert ?
Je suis un génie, les mathématiques et la physique ne font aucun mystère pour moi. Je suis autoDidacte et vierge.
Lending further credibility to this explanation is the fact that the proportion of Japanese men in their 30s who still have their virginity has gotten so high that society has coined a new slang term to describe them: YARAMISO
According to a survey done in 2012 by Japan’s National Institute of Population and Security Research, almost 25 percent of men between the ages of 30 and 34 have never had sex. A separate set of data, compiled by the Ministry of Land, Infrastructure, and Transport, and Tourism, showed that as recently as 1995 only 10 percent of the men in this age set were virgins.
D, la jolie blonde de l’hôtel Katmandou lisait-elle avec vous?
Renato pour JC avec tout cet argent qu’on peut lui supposer ou à la rigueur lui prêter compte tenu des idées qui flottent tels des débris après un crash aérien (on ne sait pas trop comment et dans quel sens les assembler pour que le tout ressemble à quelque chose d’entier) il pourrait aisément racheter Libé.
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