L’Antivie d’Italo ou la conscience de Svevo
On peut passer toute une vie à se demander quel sera le bon moment pour demander la dernière cigarette à l’instant de sa mort. Surtout si comme Ettore Schmitz dit Italo Svevo (1861-1928), on a fumé soixante cigarettes par jour pendant toute une vie d’homme. On entend déjà le chœur des passéophobes ? Quoi, encore un mort dans la « République des livres » ? Encore un classique ? Sus à la naphtaline ! De l’air ! Du jeune et de la fiction ! A quoi l’on rappellera, comme il est devenu désormais rituel à la veille de l’été, que ce site est dédié à l’actualité des nouveaux livres, que de mai à fin août le commerce de la librairie respecte la trêve des éditeurs, qu’il ne se publie guère de nouveaux romans durant cette période et, sans vouloir désobliger les intervenautes, lorsqu’il s’en publie, comme ils ne les ont généralement pas lus, et pour cause, ils commentent tout sauf le livre en question.
Alors oui, Svevo, pilier de la modernité littéraire, deux fois plutôt qu’une ! Et pourquoi pas d’autres encore dans les semaines à venir ! D’autant que le domaine était en friche, du moins en français. C’est peu dire qu’avec Italo Svevo ou l’Antivie (387 pages, 22 euros, Grasset), Maurizio Serra comble une lacune de l’histoire littéraire dans notre langue (à quand une biographie de Thomas Mann ?). N’ayant lu que Une Vie et La Conscience de Zeno, et ne sachant rien de lui, j’y ai tout appris. L’auteur, qui a déjà signé un remarquable Malaparte distingué par le Goncourt de la biographie en 2011 (en attendant un D’Annunzio annoncé, comme pour boucler une boucle), est un diplomate italien en poste à Paris mais si naturellement et de si longue date frotté de culture française qu’il a écrit directement dans notre langue. Finesse de l’analyse, richesse de l’érudition, maîtrise des sources, raffinement du jugement, acuité de la critique. Impeccable (à une réserve près : l’absence d’index des noms).
Rarement un biographe nous aura invité à déchiffrer la vie d’un écrivain à travers ses rapports avec sa ville ; Svevo, c’est Trieste – et réciproquement serait-on tenté d’écrire. L’ancien port franc des Habsbourg était un carrefour cosmopolite au cœur d’un empire en pleine dissolution quand il se mit à l’écriture. Une ville et le choix d’un pseudonyme : cela suffirait à constituer la grille de lecture de son oeuvre. Car on ne devient pas innocemment Italo Svevo quand on s’appelle Ettore Schmitz. Petit-fils d’un émigré juif hongrois, il se voulut plus italien que les Italiens ; eut-il vécu en Touraine, il se fut appelé Anatole France si ce n’était déjà pris. Maîtrisant parfaitement l’allemand, il n’a pas écrit la moindre ligne de fiction dans cette langue, car il ne suffisait pas de la posséder : encore lui fallait-il la sentir et la ressentir. Italo écrivait en italien, Svevo (de Svevia qui signifie « Souabe » en italien) s’affirmait dans son hostilité à l’empire austro-hongrois, et les deux ruminaient, non une haine juive de soi telle que théorisée par Lessing, mais un agnosticisme qui allait jusqu’à la dissimulation d’origines auxquelles il n’en demeurait pas moins affectivement attaché. On chercherait en vain le moindre personnage et le moindre trait juif sous sa plume. Ravages et paradoxes du démon de l’assimilation. N’empêche que les refus de ces héritages l’ont désencombré et l’ont préservé de tout sentiment nostalgique.
1892 est la date autour de laquelle tout bascule : il perd son père, événement le plus important de sa vie, et rencontre sa future femme Livia Veneziani aux funérailles. Son mariage, et les névroses qui en sont issues, l’ont-t-ils précipité dans une vie par procuration que seule la littérature pouvait lui procurer ? Il fallait être Umberto Saba pour s’y risquer et le jugement en dit peut-être davantage sur l’ami-rival. De même que Pessoa, Kafka et d’autres ont passé leur vie officielle dans les bureaux des Assurances, Ettore Schmitz a passé dix-sept années dans ceux de la filiale triestine de la Union Bank de Vienne, puis vingt autres années à la direction de l’usine de peintures pour coques de bateaux appartenant à sa belle-famille, allant jusqu’à élever le patriotisme d’entreprise jusqu’à une catégorie existentielle !
Serra excelle à démêler l’écheveau des relations nouées par son héros avec les autres écrivains dont certains furent des amis (James Joyce) et d’autres de faux amis (Umberto Saba). On devine facilement que des deux, c’est le second qui disait de lui : « Il préfère écrire mal en italien, ce qu’il aurait pu bien écrire en allemand ». Ah, son style, que ne le lui a-t-on reproché ! Comme si quelques solécismes et dialectismes (le triestin est pour l’essentiel une variante du vénitien) suffisaient à le discréditer ; il y en eut même pour déceler dans la fortune de son œuvre à l’étranger, et ses nombreuses traductions, la preuve de la pauvreté de sa langue. « Un homme qui a fait de son œuvre le siège de sa vie, mais dont « l’antivie », qu’il voulait faire oublier, est encore plus révélatrice » écrit-il. Ce qui donne une idée de l’intense curiosité indispensable à qui veut creuser celle d’un personnage qui s’avançait masqué (le larvatus prodeo de Descartes récupéré par Perec via Svevo), égaré dans ses dédoublements, désengagé au point de procrastiner même devant l’Histoire en marche, et dont l’identité de frontière mettait tout en œuvre pour dérouter le lecteur. Sous le conformisme de son existence de notable et d’industriel, il logeait des pulsions dont il se méfiait et que seule la littérature lui permettait d’exprimer. Encore faut-il considérer l’Antivie, dans l’acception proposée par Maurizio Serra, non comme la matière d’une œuvre mais comme sa condition. De toutes façons, dès l’épigraphe, le lecteur est fixé sur la difficulté de l’entreprise : « Tu n’es pas du château, tu n’es pas du village. Tu n’es rien ». A la longue, il a fini par devenir ses propres circonstances, comme eut dit non Kafka mais Borges. Autodérision, incertitude, lucidité, mauvaise foi, culpabilité, détachement, mensonge : tels sont les matériaux de son oeuvre. De là nous vient peut-être en le lisant, et en découvrant dans son antivie comment l’angoisse perce sous l’ironie, à quel point cet écrivain nous est fraternel.
La Conscience de Zeno (1923), allégorie de la guerre civile européenne à travers la récupération frauduleuse de sa santé par un malade, est bien l’œuvre d’un humaniste laïc pétri de doutes, notamment à l’endroit du traitement psychanalytique (il y voyait une aventure psychique relevant du spiritisme). A la suite du Feu Mathias Pascal (1904) de Pirandello, déjà échafaudé autour du conflit entre expérience et conscience, il se présente comme l’anti-roman de formation tant il accumule échecs, dissolutions, ratages (le narrateur de Senilita, déjà, se disait conscient de la nullité de son œuvre). Il est vrai qu’il n’arrête pas d’arrêter de fumer. L’antihéros Zeno, timide et inadapté, se justifie, se dédouane dans un éternel monologue intérieur avec une désinvolture et un flou qui font son charme. Mais quid de sa conscience ? Les aventures du titre dans les éditions étrangères valent le détour : La coscienza di Zeno est resté fidèle en portugais, en espagnol et roumain ; mais en allemand c’est devenu Zeno Cosini, et en anglais Confessions of Zeno. Les deux sont également impropres à rendre la virtuosité de l’auteur dans son entreprise de camouflage littéraire, expert en effets de miroirs, mais plus instinctif que cultivé, qui avouait, si l’on peut dire : « C’est une autobiographie, mais pas la mienne ». Loués soient Valery Larbaud et Benjamin Crémieux pour l’avoir révélé aux lecteurs français tout en conservant son titre dans son intégrité, même si l’on regrettera amèrement avec l’auteur que le second, responsable du domaine italien chez Gallimard, ait cru bon amputer le texte du roman d’une centaine de pages
Il est mort en 1928 des suites d’un banal d’un accident de la route. L’apprenant, son ami et défenseur James Joyce, père de Leopold Bloom, réagit : « Je ne sais pas pourquoi, lorsqu’il s’agit de Juifs, j’éprouve toujours le doute qu’il s’agisse d’un suicide » (il faudra aller vérifier ce qu’a pu en faire Frédéric Pajak dans son récit dessiné de la vie de Joyce). Svevo exigea qu’il n’y eut ni prêtre ni rabbin à ses obsèques au motif qu’on ne prie pas à l’instant de sa mort quand on n’a jamais prié sa vie durant. Ses toutes dernières volontés ? « Vraiment la dernière cigarette », laquelle lui fut dûment refusée.
775 Réponses pour L’Antivie d’Italo ou la conscience de Svevo
Ada! Le livre m’a envoûtée ou quoi?
Ou bien le Béhemot jaloux, l’Azazello funeste et farceur voire Woland lui-même m’ont jeté un sort pour avoir osé dire que « La Conscience de Zeno » dans mon esprit était au coude à coude avec « Le Maître »?
« Des coups de feu ont été entendus aujourd’hui près du Mur des Lamentations à Jérusalem, lieu de prière pour les juifs, rapporte la radio de l’armée israélienne.
La police a indiqué qu’un garde de sécurité israélien a tué un visiteur juif, le prenant pour un activiste palestinien. Le visiteur « pour une raison inconnue, a crié Allah Akbar (Dieu est le plus grand, en arabe) ». « Un garde de sécurité a dégainé son arme et tiré à plusieurs reprises sur le suspect, qui est décédé de ses blessures », a ajouté le porte-parole. »
Le métissage conduit à la confusion ….
jc plus con chaque jour
« je dirai qu’un vrai musulman n’appellerait jamais son fils Kevin ou Steve, pour la bonne raison que ce ne sont pas des noms musulmans… »
–
Quand j’enseignais près des bords de Meuse, dans la cité HLM où j’occupais un petit rdc, les jeunes d’origine maghrébine se divisaient en deux camps, les fils et filles de harkis et les enfants d’immigrés plus récents. Les premiers avaient des prénoms français et des noms arabes, ce qui leur valait des quolibets pas très sympas de la part des seconds, qui eux portaient noms et prénoms arabes. Ils se choucroutaient verbalement sous mes fenêtres, sans se douter que l’un des profs de la Cité scolaire ne manquait pas un mot de leurs querelles. A chacun son apprentissage. C’était l’époque des Versets sataniques.
ayant connu une lina du moins une fmme ainsi appelée , je e dis en préciasant qu’elle était ne en Pologne d’une famille juive. son mari à ‘époque où j’ai connu le couple aurait pu par la ressemblance de « constituion physique » incarner un italo Svevo. Il était également fils d’une famille juive de Pologne dont toutes les seours étaient mortes en dépotation. La fille de cette Lina épousa un psychiatre italien fils d’une famille juive originaire d’Espagne, et dont le patronyme était très papal,et le prénom qui signe l’humour juif.ce couple eut deux enfants dont une fille devenue traductrice au prénom de Myriam, et le fils au prénom de David cela fait trois générations. Maintenant il y en a peut-être une autre?
c’est un plouc qui n’a aucune classe et n’ajoutera rien au schmilblick de chez nous…je préférerais de loin un vigneron moins célèbre et plus honnête…Adlkader.
Après avoir « récupéré » gratos les vignes des pieds noirs il veut des anonymes bosseurs ce con!
« Chez nous »…soyez reine, nous sommes à genoux, reignez en souveraine, chez nous…chez nous!
…Et la variante :
Chez nous, soyez reine, « nous sommes à vous »…!
en précisant qu’elle était née .étrange ce prénom de Lina la forme « line » en franais est souvent perue comme diminutif de jacqueline? caroine (etc)_ il y eut un journal pour filles en français du nom de line je crois
hasard? cette lina eut une belle fille renommée Line pour son quotidien dans le cours d’une histoire familiale de familles juives encore plus complexe.
Il y avait ici jadis un intervenant Zeno. Comme le temps passe. Depuis personne ne semble avoir lu Serra, qu’une bonne âme aurait dû conseiller de se faire publier en italien. Ces diplomates n’écoutent jamais rien ni personne et sont les premiers coupables de l’écroulement de l’empire A-H. Serra a interviouwé Fejtö, dont le requiem ne sonne pas toujours juste.
« avoir « récupéré » gratos les vignes des pieds noirs »
ignare aussi en histoire le raciste de porquerolles ! ce ne sont pas les grosses fortunes p-n, qui exploitaient les Algériens, mais ces derniers qui faisaient fructifier les vignobles d’Algérie –
8h59
miriam est un prénom à la mode en Allemagne
Car on ne devient pas innocemment Italo Svevo quand on s’appelle Ettore Schmitz.
je suppose que le choix est perçu comme une provocation en écho à des provocations humiliantes sur l’identité dans la jeunesse , comme Bloom vient d’en rapporter .
Ettore , je suppose correspond à Hector et inclinera vers Zenon :rien de tortueux, ni de tordu, dans cette imagination
les faf du gud ces copains à jc condamnés pour ratonnades à lyon – jc ira leur apporter des oranges (et par ailleurrs à défaut de femme accueillera frigide dans sa paillote )
Ettore Schmitz, né Aron Hector Schmitz.
En 1888 et en 1890 il publie « Una lotta » e « L’assassinio di via Belpoggio » sous le pseudo Ettore Samigli.
En 1892 il devient Italo Svevo et publie « Una vita ».
Que je sache, pas de des provocations humiliantes sur l’identité dans la jeunesse…
A Masson de 20 h 21 min qui a écrit : « Sans vérifier, il me semble que le titre allemand est bien « Zenos Gewissen », et non « Zeno Cosini »; en tous les cas il est actuellement disponible en poche sous ce titre là, donc parfaitement « conforme » au titre original. C’est un livre absolument fabuleux, sur comment, non pas rater sas vie, mais plutot, n’atteindre aucun but que l’on s’était fixer, et comment finir par s’en accommoder. »
Une note dans la biographie de Maurizio Serra précise : »le titre allemand « Zero Cosini » a été conservé pour éviter les embûches entre Gewissen et Bewusstein ».
renato, intéressante précision; d’ailleurs,le choix de Svevo/Schwaben aurait plus valeur de provocation s’il était élucidé correctement. les Souabes constituaient un régiment qui ont repoussé les turcs à Buda en 1686. Marie-Therèse les envoyaient sur les confins de son empire, bien consciente de leurs qualités industrieuses. C’est une mémoire que restait présente à l’époque de Svevo, perdue pour les exégètes trop littéraires d’aujourd’hui.
La mère de Svevo s’appelait Allegra Moravia… pas de liens avec Alberto qui s’appelait Pincherle et dont la mère, catholique, était Dalmatienne…
gare à walt disney, renato
Bravo, de nota !
Votre franchise vous honore : je me doutais que vous étiez une belle et franche crapule, et vous confirmez ne pas vouloir en changer ? Génial ! Bienvenue au club de l’Ordure, nous sommes nombreux, savez-vous… !
sur les provocations dans jeunesse au Lyce en France , voir la statue intérieure de François jacob
dans la jeunesse au lycée (un mot de l’histoire de la philosophie encore )
Vous avez raison Phil, les exégètes d’aujourd’hui sont trop littéraires — mais j’ai un avantage car l’arrière grand-père maternel fonctionnaire de l’Empire en amont, donc une légende familiale où la littérature n’a qu’un rôle de passetemps, tandis que l’Histoire… ah ! ça oui, ça c’est une chose sérieuse…
Dalmate ?
àP.Assouline :
Zero Cosini ! je me demande si c’est un effet infini! du…. jeu de paume !
Svevo, n’est-ce pas? Je sens un Dalmatien….
catalogue de la redite ou l’areuh dites ?
les mots importnts sont en « itz » comme Witz !
itzetera !
edmond dit: 21 juin 2013 à 8 h 37 min
« jc plus con chaque jour »
Ah ! vous avez remarqué vous aussi ? Je progresse, je progresse et m’améliore dans ma discipline favorite.
Vous devriez vous y mettre, vous aussi, on sent une prédisposition naturelle, comme un don… allez, encore un effort et vous serez vite Grand Chambellan, chargé de l’entretien des sols !
JC c’est le roi du club des mecs avec un balai dans le cul si profond qu’ils tirent la langue avec
Boom « l’époque des Versets sataniques »
ça fait combien de générations depuis juillet 62 ? Une 1/2? (entre-temps ces différences étaient oubliées mais je me trompe peut-être)
pas le club des sans
Svevo, un Juif austro-hongrois et Joyce, un Irlandais…Il est un (autre) destin hors normes qui réuni les deux en un même homme: Albert Bender, qui devrait intéresser TKT, entre autres. Passou y trouvera peut-être un jour matière à biographie, who knows?
Albert Bender was born in Dublin, the son of Rabbi Philip Bender and Augusta Bremer. He went to primary school at 73 Lower Mount Street where his father was a teacher and taught Jews and Christians, a rare occurrence in nineteenth-century Ireland. Albert Bender immigrated to San Francisco at the age of thirteen where his uncle, William H. Bremer, a shipping and insurance broker gave him work. By the age of twenty he had set up as an independent insurance agent and would amass great wealth. He was interested in three main areas of collecting – modern art, books and Asian art.(…)
http://www.museum.ie/en/exhibition/albert-bender.aspx
The most surprising friendship to have emerged as a result of the Albert Bender donations was that between Bender and the National Museum’s director, Adolf Mahr. Mahr was an Austrian archaeologist who had been appointed Keeper of the Irish Antiquities Division of the National Museum in 1927, eventually becoming Director in 1934. He was Albert Bender’s main point of contact throughout the period of the Asian art donations, 1931-36. Mahr was, however, until December 1938, Gruppenleiter (group leader) of the Dublin branch of the Nazi party’s Auslandsorganisation (organisation abroad). Considering Albert Bender’s Jewish faith it is remarkable that this series of donations was made under such circumstances (…)/
Le reste et la suite sur le site plus haut et dans les revues spécialisées, notamment Gillissen, Christophe (ed.)-Ireland: Looking East, Peter Lang International Academic Publishers, 2010.
Madame Michou, vous devriez demander à Monsieur Michou, votre malheureux mari, de vous grimper plus souvent : ça vous calmerait la luette centrale …
qu’est-ce ca peut vous foutre les noms que les gens de la banlieue ou de Neuilly donnent a leurs enfants?
C’est ce qu’on appelle la sociologie des prénoms, ducon. C’est non seulement passionnant mais indispensable pour arriver à penser les changements qui affectent une société. Penser, une chose à quoi les imbéciles dans ton genre ne parviendront jamais, par paresse autant qu’incapacité.
C’est plutôt triste, en effet, de voir le site prestigieux d’Assouline, se faire prendre a l’abordage par la cellule Mokhtar Belmokhtar des fafs islamistes de France et d’Algérie réunis, surtout quand leur niveau de langue ne dépasse pas celui d’un élève de CM2 en zone d’éducation prioritaire.
suis bien plus calme que vous, ostensiblement…
« Les actes (…), nous les commettons pour en obtenir un plaisir, un bénéfice ; nous nous y engageons tout entiers ; cette part de nous-mêmes qui devrait s’ériger en juge s’y engage elle aussi, et dès lors devient un juge plein d’indulgence. Mais la parole ne tend qu’à la satisfaction d’une très petite part de notre organisme et elle procède au simulacre d’une lutte alors que la lutte est finie, la bataille perdue ».
in La conscience de Zeno, p. 369
Que n’ai-je su tirer moi-même de leçon de tout cela !
S’il est encore disponible : Livia Veneziani Svevo, « Vita di mio marito », dall’Oglio, 1976.
Cela dit. Il faudrait peut-être faire une petite réflexion sur le fait que l’épouse de Svevo s’appelle Livia Fausta ce qui rappelle Livia Drusilla (troisième épouse d’Auguste) et Fausta Flavia Maxima (épouse de Constantin Ier et mère des empereurs Constantin II, Constance II et Constant). L’assemblage des deux prénoms n’est pas anodin, surtout que Triste n’est pas loin d’Aquileia… (Aquilée, en fr.).
la parole ne tend qu’à la satisfaction d’une très petite part de notre organisme
ceci pouvant éventuellement dépendre de qui la porte
(il faudra aller vérifier ce qu’a pu en faire Frédéric Pajak dans son récit dessiné de la vie de Joyce)
il avait déjà le roman graphique mais ajouter le matin si tôt le récit dessiné c’est un truc à se trucider quand on est erdélien .
« leur niveau de langue ne dépasse pas celui d’un élève de CM2 en zone d’éducation prioritaire »
après tout ça qu’est-ce qu’on fit pour eux, aucune reconnaissance
« … le site prestigieux d’Assouline… »
Le syndrome de place Vendôme ?
Ce link qui nous dirige sur un site, lequel propose de nous faire peur avec la montée du pouvoir islamique en Occident, est aussi crédible que toutes les peurs racistes, du vent. Je ne sais pas quel est le prénom masculin donné en priorité en UK, mais Muhammed, franchement ce n’est pas sérieux, idem pour l’Allemagne. Quel est le pourcentage de musulmans dans ces deux pays ? En Allemagne, la majorité des musulmans sont d’origine turque et ils portent d’une manière général des prénoms turcs, pas arabes.
Les chrétiens portent souvent des noms bibliques, et c’est en m’amusant que je dis aux Michel, Michael, Jean, Paul et Pierre, voir Jesus, que ces prénoms sont juifs d’origine.
Pour ce qui est de l’UK, je vois mal les sujets de sa Gracieuse Majesté, je pense aux bouddhistes et hindouistes par exemple, choisir le prénom de Muhammed. C’est aussi ridicule que de croire aux extraterrestres ou à une France entièrement moisie.
Bref, personnellement je porte un prénom d’origine germanique, Dietrich, traduit par la suite en français, anglais, rumantsch etc…
D’autre part pas mal de prénoms arabes sont poétiques, musicaux, imagés (comme les prénoms chinois)
Pour les JC, D’imiri D’charlatan et Dédé sans praline, Thierry est la version francophone de Dietrich.
En italien Teodorico…
Me voici comblé : j’ai appris quelque chose de Kron. Important…
renato, Svevo a pu s’inspirer des Morpurgo, from Marburg, Maribor aujourd’hui) famille d’armateurs de Trieste à son époque. La réussite industrielle dans l’empire austro-hongrois donnait du cosmopolitisme aux noms. Un plus connu signait Eugenio von de Savoyen. Les Kevin de cette époque étaient envoyés sur le front turc.
un peu de chimie maintnat que vous avez les boules envoyées par PAssouline et contracté le syndrome boules de naphtaline
Naphtali si vous permettez
http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/biography/Naphtali.html
Eugenio di Savoia-Carignano(-Soissons), Phil, un Condottiero comme on n’en fait plus… peut-être le dernier capitano di ventura…
la mémère s’y croit, à force de distribuer des bavettes numérotées servant à cacher la poitrine pendant qu’on lèche là voilà s’imaginant lancer des modes enjoués confinée dans son idéologie de la frustration
Les chrétiens portent souvent des noms bibliques
c’est quoi un chrétien vontraube..un goye?..un catholique pratiquant juif?..un gars qui s’appelle michel ?.. svevo a été baptisé par un imamm..son arrière grand dalmate par sa soeur..et renfield qui lui donne la médaille field..et kabloom qui le voit réincarné dans un qu’a prix le titanic..non mais regardez vous..cosmopolite de mes couilles
..remets nous la liste des prix nobel juif en lousdé keupu..copié d’un site américain et d’où que la compil ethnique est possibe..bande de charlots
C’est possible, Phil, seulement Svevo ne sortait pas du ghetto (Gradisca d’Isonzo). D’origine ashkénaze, les Morpurgo sont désormais tous catholiques, Phil.
Phil dit: 21 juin 2013 à 11 h 38 min
« Un plus connu signait Eugenio von de Savoyen. « :
von de, du zozotage cosmopolite…pas prêt pour un king’s speech.
Italo Svevo se voulait donc italophone, rejetant la Trieste germanique, un choix courageux avant la fin de l’Empire austro-hongrois.
Ah, merci Passou de m’offrir cet espace pour m’épancher !
t’en fais trop des caisses denota..achete toi une uzi
je préférerai la liste des prix ignobel pour recherches sur la conscience et le zenome
cosmopolite
nan c’est pas iceberg
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmopolitisme
Bon, pour faire un brin dans le ‘littéraire’, Svevo est le modèle du Bloom joycien, assez bien croqué par Joyce dans ce « Caricature of Leopold Bloom » :
comme je me sens libéré depuis que j’ai décompensé sur ce site
t’as pas eu besoin d’un coup de main pour taper sur le clavier j’espère ?
heureux homme !
Je confirme que le Souabe est industrieux ; sa réputation le précède de l’Atlantique à l’Oural, de Dubrovnik à Saint-Quay-Portrieux, d’ailleurs c’est bien un Souabe, l’ermite saint Kolodoc’h qui, tout en évangélisant la sauvage contrée, fut à l’origine de la grande littérature orale de Bretagne. Il est aujourd’hui admis qu’il s’appelait sans doute Ek-Thor Schmitt de son vrai nom et qu’il fuma des brunes, de qualité « Gitanes », très tard dans sa vie. Ses succès féminins (de nature purement platonique) furent en effet fabuleusement nombreux.
Bouguereau, ne posez pas des questions idiotes, pour celle-ci nous avons des spécialistes, enfin au moins deux. Je ferais remarquer aux poireaux de souche, que les premiers chrétiens furent des Juifs, des individus du moyen-orient….puis les Romains et leurs colonies sur le territoire européen. En 2013, il y a des chrétiens sur les 5 continents, c’est même étonnant le nombre de temples protestants dans la ville de Seoul. Je ne vois pas pourquoi un Juif ne pourrait être chrétien, n’en déplaise aux cathos fascistes messe en latin, Jesus et ses apôtres étaient tous Juifs. D. qui est mauvais et bêtissime, ne voit pas l’offense de faire d’une Juive, jamais convertie au catholicisme, en mentant au curé s’étant renseigné sur son baptême, en faisant donc au dernier moment, une cérémonie catholique avec une croix sur le cercueil. Je me demande si D., croisé-de-cuisine-salle-à-manger, serait heureux d’être enterré avec une cérémonie religieuse non catholique messe en latin ?
« Phil dit: 21 juin 2013 à 9 h 28 min
Il y avait ici jadis un intervenant Zeno. »
Phil, oui je me souviens bien de lui, un type grande gueule assez étrange et faux cul comme tous les Zeno, il avait pondu un commentaire assez intéressant bien qu’un peu boursouflé sur William James et la peur des ours polaires.
Ce qui à l’époque lui avait valu une réponse sur le blog de Monsieur Assouline d’une certaine Ada qui signait ses commentaires Ada Veen pour ne pas se faire repérer.
u., après avoir fait l’école hôtelière à Toulon, où il est né, mon ami Chedly a travailllé dans le restaurant d’Herrero, sur le port, rendez-vous des rugbymen de la ville. C’est à ce moment-là qu’il a trouvé préférable de se faire appeler Patrick, je vous laisse deviner la raison…
Sur son compte facebook, l’un des fils de ma nièce se fait appeler Rayan Barozzi, du nom de jeune fille de sa mère, plutôt que Larabi (l’Arabe) patronyme paternel.
D’une génération l’autre, ces deux Français d’origine tunisienne, préfèrent se faire passer pour des européens pure souche que pour des Arabes. Là aussi, à vous d’en tirer vos conclusions…
N’est-ce pas dans le droit fil de ce Juif de Trieste qui s’est autobaptisé le Souabe tout en se faisant chrétien ?
N’est-ce pas dans le droit fil de ce Juif de Trieste qui s’est autobaptisé le Souabe tout en se faisant chrétien ?
—
Ainsi souabe-t-il, en quelque sorte, Baroz…
Voilà : on respire fort et on admire toute la nature, immuable, telle qu’elle nous est offerte : avec cela se manifeste la même intelligence qui veut la création entière. Il est sûr que pendant les derniers instants de lucidité de sa vie, le sentiment d’intelligence de mon père fut engendré par son impromptu sentiment religieux, tant et si bien qu’il se mit à m’en parler parce que je lui avais raconté que je m’étais intéressé aux origines du christianisme. Maintenant, je sais néanmoins que ce sentiment était le symptôme de l’oedème cérébral. »
http://www.les-lettres-francaises.fr/2010/12/la-conscience-de-zeno/
…rejetant la Trieste germanique, un choix courageux avant la fin de l’Empire austro-hongrois.
une pose n’est pas du « courage », tkt.
Du reste, le courage à Trieste à cette époque consistait à monter une affaire avec l’orient pour devenir fournisseur officiel de la cour à Vienne.
Trieste, où l’on parlait italien, slovène, grec n’était vraiment germanique que dans les navires de lloyd. Relisez Larbaud embarquant à Venise pour Trieste en 1900: « Erste Klasse, mein Herr ?
Le pseudo définitif ‘Italo Svevo’ est de 1892.
Le mariage civil avec sa cousine catholique est de 1896, le mariage religieux en 97. Il aurait fallut qu’elle se convertisse pour faire plus ‘démocratique’ ?
Phil, j’oubliais, j’avais aussi essayé de contacter ce Zeno pour lui dire qu’il me posait un gros cas de conscience.
je vous l’ai peut-être dit mais j’ai fait il y a quelques années un voyage à Trieste dans le but de rencontrer Zeno (celui de Svevo mais en vérité tous les Zeno se ressemblent).
Je n’ai pas mis bien longtemps avant de tomber dessus, c’est le gros avantage de cette ville.
Ma foi nous avions eu une discussion des plus intéressantes sur la question des causes et des raisons qui déterminent nos actions.
comme vous le savez sans doute, si nous distinguons les explications causales volontaires ou involontaire (naturelles ou justifiables ; explicatives ou normatives) chaque individu peut représenter en soi la cause naturelle même de ses actions.
vous avez lu Davidson ? l explique que la partie explicatives de nos actes reposent à la fois sur nos désirs ainsi que sur nos croyances dans un savant mélange.
Alors que chez Wittgenstein, dans la mesure où il existe une irréductibilité des raisons aux seules causes, l’individu n’est jamais le mieux placé pour avoir un accès privilégié (ayant un accès direct aux données intimes de son intériorité) pour comprendre les raisons exactes de ses actes.
Enfin bon, Zeno à son habitude s’est montré assez roublard et beau joueur pour trouver que c’était là des sujets forts intéressants de reflexions et de conversation desquelles même si nous en sortons avec le sentiment de n’avoir pas appris grand chose sur la nature humaine ceci n’exclut pas le fait d’avoir passé un bon moment.
Vous savez bien, hamleD., que ce Zeno vient d’être réactivé chez Paul Edel par vos propres soins.
Est-ce que Zeno connait Zenon ?
Comme tranxodyl met son lien à 12:49 (grazie) sans indication sur son contenu, et que l’internaute de passage ne les ouvre que de temps en temps, je signale que celui-ci renvoie à une texte inédit de Montale datant de 1925, et qu’il vaut vraiment le détour.
Phil, vous qui êtes un grand logicien, vous souvenez-vous de ce moment dans l’Homme sans Qualités ou le général Stumm se rend dans une bibliothèque pour trouver une livre dans lequel il trouverait une idée qui soit au dessus des autres ?
Car logiquement si les idées comme les grades dans l’armée peuvent être hiérarchisées, nous devrions être à même de distinguer une idée « troufion » d’une idée qui comme Stumm serait haut gradée.
Donc le bibliothécaire, dans le but de l’aider dans sa recherche d’une idée haut gradée lui dit de se rendre dans la salle où sont rangées les bibliographies, et notamment : la bibliographie des bibliographies.
Phil, vous connaissez le paradoxe de Russell sur l’ensemble des ensembles qui n’appartient pas à lui-même ? et bien il en va de même pour la question de savoir si la bibliographie des bibliographies qui n’appartiennent pas à elle-même, ce qui ferait que cet ouvrage vous guiderait vers un emplacement dans la bibliothèque où vous ne trouveriez pas le livre que vous recherchez dans la mesure où par définition c’est le livre que vous avez dans les mains, celui là même qui vous a permis d’arriver vers cet emplacement vide.
Musil utilise cet exemple amusant pour mettre en évidence la crise des fondements des mathématiques provoquée par les théorèmes d’incomplétude de Godel.
La même question peut se poser pour Zeno : une imposture de toutes les impostures appartient-elle à elle même ou bien appartient-elle encore au domaine de l’imposture ? c’est un paradoxe, on ne peut peut ni répondre oui, ni non.
merci Hamlet pour vos rafraîchissements. Zeno m’a fait souvenir de cet autre commentateur musilien que vous semblez bien jouer.
Ada, signait-elle poupée qui rit/pleure ? La bibliophilie se porte encore bien à Trieste aujourd’hui où les prix sont parisiens. musil a-t_il connu Saba ou l’inverse ? il y a parenté d’origine et d’époque entre Ernesto et Törless.
Et le paradoxe du Chat Murr vous connaissez hamlet ?
Misère de l’homme sans pieu…
Jacques Barozzi, bonjour, c’était bien à Marseille ? l’inauguration. j’y serais bien allé pour prendre un verre avec vous mais vous n’avez jamais été très sensible à mes avances.
j’ai écouté une super émission sur le musée avec votre copain Bruno.
Un moment ils ont dit qu’un musée d’aujourd’hui se devait de ne pas ressembler à un musée.
chez Paul Edel ? oui j’ai lu c’est zeno, il raconte n’importe quoi, alors que l’autre c’était Zeno.
Pour ceux que ces questions des rapports entre les gens et leurs noms et prénoms intéressent, on a publié sous le titre « La force du nom » chez Desclée de Brouwer les actes d’un colloque sur le thème des changements de noms et autour de la démarche assimilatrice qui lui est associée avec sa dimension sociale et psychologique
« Là aussi, à vous d’en tirer vos conclusions… »
Merci, Jacques.
Justement, je n’en tirerai aucune, chaque choix individuel étant particulier pour ce qui des raisons.
C’est différent du cas de Chedly où l’énoncé des circonstances permet sans peine de comprendre les raisons (ou plutôt d’imaginer les raisons probables).
Je suis précautionneux, parce que hamlet m’attend avec son Ludwig W., sur causes et raisons.
Le prénom, c’est le désir des parents et non le sien, on peut s’en délivrer sans trop de mal; le patronyme c’est évidemment autre chose, c’est comme vouloir changer l’histoire.
Comme personnage public, on a toujours l’alias.
Dans le cas d’un (Edgar) Morin, par ex., c’est la fidélité à un pseudo d’une autre histoire, celle de la résistance.
Mais ça permet sans doute aussi d’avoir la paix chez les imbéciles, quitte à leur balancer un coup de Nahoum quand les circonstances l’exigent.
« une imposture de toutes les impostures appartient-elle à elle même ou bien appartient-elle encore au domaine de l’imposture ? c’est un paradoxe, on ne peut peut ni répondre oui, ni non. »
Mais on peut affirmer qu’Imposture c’est D. !
« Phil : Ada, signait-elle poupée qui rit/pleure ? »
comment l’avez-vous deviné ? c’était une stratégie en interne.
La civilisation judéo-chrétienne part en couille, c’est certain. Les signes s’accumulent. Tiens, pas plus tard que sur France 2 entre 12h45 et 13h15 : ça commence par la présentatrice météo, qui annonçant la nième perturbation sur les Normands et des températures fraîches pour le prochain week-end, se fend d’un « Je suis désolée » avec la tronche de circonstance. Elle est vraiment née de la dernière pluie, celle-là. Elle s’attribue des responsabilités personnelles dans les intempéries, cette pauvre douille. Elle se prend pour Allah. Cinq minutes plus loin, reportage sur les inondations des Pyrénées. L’envoyée spéciale de la chaîne annonce avec insistance que « le village des Cauterets » est coupé du monde. Cette tordue insane ignore sans doute que Cauterets est une station thermale célèbre depuis au moins cinq siècles. Le plus drôle est qu’elle ressort pour la xième fois sont « village des Cauterets » à côté d’une pancarte qui dit « route de Cauterets fermée ». En plus, elle sait pas lire. Trois minutes plus tard, un joyeux motard nous assure qu’il n’a rien contre les radars mais qu’il refuse d’être « une pompe à fric ». Eh bé, Ducon, si tu veux évier d’être pompé, commence donc par respecter les limites de vitesse. En attendant, cesse de nous pomper. Et c’est ainsi que, j’en suis sûr, Allah deviendra grand dans ce pays.
Le Mohammed de 13 h 43 min est tellement con qu’on dirait du D. ou même de l’hamlet.
« si tu veux évier d’être pompé » (rédigé par mézigue)
Il y a comme ça des fautes de frappe miraculeuses. On se croirait dans la basilique de Lourdes, les pinceaux dans la bouillaque.
Mohammed, sans se prendre pour Allah, la présentatrice de la météo a peut-être des lettres ?
« Tuer le messager est une expression désignant la tentation qui peut exister de se débarrasser du porteur d’une mauvaise nouvelle. Il s’agit d’un calque d’une expression anglaise, qui reste très peu utilisée en français. »
« Dans Antigone de Sophocle, on peut entendre la phrase « Personne n’aime le messager porteur de mauvaises nouvelles ».
Sénèque rapporte également cette pratique. »
« La formulation du concept « tuer le messager » peut être trouvée dans les drames de William Shakespeare. Le conseil de ne pas tuer le messager apparaît dans Henri IV – Deuxième partie (« Don’t shoot the messenger ») ainsi que dans Antoine et Cléopâtre (1606-07). »
Bouguereau, ne posez pas des questions idiotes
mais je n’ai jamais que tenté de formuler celles auxquels tu faisais tes réponses toutes faites vontraube..je reste modeste
les pinceaux dans la bouillaque
remercie dieu que t’es pas cul de jatte mécréant
« Il a voulu vivre César et il est mort Pompée »
Phrase entendue après la mort du Président Félix Faure…
TKT est un vrai cosmopolite: la preuve, il se sent aussi bien au Grand Hyatt de Shanghai qu’au Four Seasons de Singapour (Singapore en traubien) ou au Shangri La de Bangkok…
Un vrai citoyen du monde, pas raciste pour un sou, la preuve il est à l’aise avec tous les milliardaires du monde quelle que soit leur origine ou leur religion, russe, qatari, chinois, patagon, il les aime tous!
Sacré Traube, souhaitons lui de n’avoir jamais besoin de redescendre sur terre…
Don’t shoot the messenger
..c’est « dze chérif » baroz..tu mélanges tout
@jacques barozzi
la phrase que vous citez est un « mot » de Clemenceau
barozzi vous semblez bien plus doué en mots d’excuse copiés-collés que pour autre chose
et ça fait killer fashion victim
Oui, DHH, mais j’ai un faible pour ce mot d’un anonyme à propros du même :
« Il est mort dans le double exercice de ses fonctions. »
il est à noter que James Joyce et Nora ont donné à leurs deux enfants, conçus à Dublin et nés à Trieste, les prénoms de Giorgio et Lucia.
il n’est pas besoin de noter que keupu est con, ça s’oublie pas
est un « mot » de Clemenceau
non c’est de marlé..l’aurait mieux fait de tuer le députi..
(Il semblerait que « la luette centrale … » de Mame Michu n’a pas été réparée ?)
Mohammed, sans se prendre pour Allah, la présentatrice de la météo a peut-être des lettres ?
« Tuer le messager est une expression désignant la tentation qui peut exister de se débarrasser du porteur d’une mauvaise nouvelle. Il s’agit d’un calque d’une expression anglaise, qui reste très peu utilisée en français. » (rédigé par jacques Barozzi)
Ah voilà qui est pertinent et fin. Je retire ma pauvre douille. Voilà qui remonte le judéo-christianisme dans mon estime.
« si tu veux évier d’être pompé »
Dégoût !
Bonne idée de ressortir Clemenceau de sa mastaba. Le fossoyeur de l’empire. Les Hongrois prennent encore le train pour aller cracher sur sa tombe. Svevo ne s’en doutait pas, pourtant après la chute de l’empire, la patente de son vernis anti-mollusques a fait long feu chez la Lloyd. Fejtö en cause bien qu’un peu embrouillé dans les fils impériaux.
« Ah voilà qui est pertinent et fin. Je retire ma pauvre douille. Voilà qui remonte le judéo-christianisme dans mon estime. (rédigé par mézigue »)
Non mais des fois je me demande si j’ai bien toute ma tête. Cette pauvre douille n’a pas à être désolée. Et les amoureux de la pluie, les ennemis de la chaleur (dont je suis), qu’est-ce qu’elle en fait ? Cette conne prend nettement parti pour les enfoirés en ray-ban, pour les décérébrées de la bronzette. Tiens, y a un ciel bleu à tomber, vaut mieux que j’aille rendre visite à mes chèvres, ça me calmera.
Il me semble qu’il n’est pas fait le bon usage de l’expression « judéo-christianisme », mais c’est vrai que nous sommes ici sur un blog prestigieux, il est donc impossible que des intervenants se trompent…
Et zoophile, en plus de cela, le John ben Barkag avec ses princesses caprines !
renato, merci, non je connaissais pas, je vais le lire, en fait c’est un roman qui se moque du roman d’apprentissage, rien que l’expression « roman d’apprentissage » c’est déjà tout un poème.
renato, j’aime bien aussi le genre « roman familial », genre auquel appartient la philosophie comme genre littéraire, avec l’oncle Kant, le neveu dévergondé Nietzsche, le cousin maudit Schopenhauer et le grand père Socrate.
c’est une saga familiale de petits malins.
parle pas de ce que t’a pas essayé baroz
il est donc impossible que des intervenants se trompent…
possible que des gens croient qu’en se montrant inhumain on risque de ne pas se tromper…
ueda bonjour !j’étai en train d’essayer de me secouer et d’espérer que je trouverais par conscience et réflexion sur la journée des choses
possibles pour ce blog et ce fil alors que le titre m’irrite tant « antivie » alors que j’i tant aimé le « contrevie » de Roth qui était déjà pris
« Il a voulu vivre César et il est mort Pompée »
On se demande si baroz a encore sa connaissance..
« si baroz a encore sa connaissance.. »
à moins qu’elle (la connoissance) soit restée coincée dans la porte de derrière ?
…
…c’est çà,…çà part en tout azimut,…
…
…c’est déjà récré,…tout le monde prend son pied,…
…de quoi faire une bande de pilori aux vernis des cultures pour asseoir les fondations de sa maison d’esprit de grand maître,…sur la lagune,…des régnants en fleurs,…et parfums,…
…encore de la stratégie analogique à Gulliver,…etc,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…
…
Phil dit: 21 juin 2013 à 14 h 23 min
Bonne idée de ressortir Clemenceau de sa mastaba. Le fossoyeur de l’empire.
C’est un coup de Bismarck… Ah le rat ! Normalement Rodolphe et Clemenceau sans accent devaient être copains…
c’est çà,…çà part en tout azimut,…
avouer sans détour que la situation est inverse semble bien risqué
chez nous, chez les keupu, depuis nos aïeuls qui étaient fans de Jarry nous donnons à notre ainé le prénom d’Alfred et au dernier Ubu, du coup mes initiales c’est UK : Ubu Keupu.
acques Barozzi dit: 21 juin 2013 à 13 h 56 min
« Il a voulu vivre César et il est mort Pompée »
Surtout par l’emprunt russe…
il fut un temps où au moins 20% des participants de ce blog prenaient le soin de lire l’article de Monsieur Assouline :
« l’antihéros Zeno, timide et inadapté, se justifie, se dédouane dans un éternel monologue intérieur avec une désinvolture et un flou qui font son charme. »
c’est toujours prendre un gros risque de plaquer un caractère sur Zeno :
timide ? non au contraire.
inadapté ? non, au contraire.
antihéros ? non au contraire.
désinvolture ? non au contraire.
flou ? non au contraire.
charme ? non au contraire.
…
…les échafaudages des constructions littéraires,…autant avoir les plans en mains des pièges du dressage » bon pour les services « ,…au quotidien,…
…la chasse aux libertés individuelles,…
…l’antivie,…déjà, muselés les » gros » à diversions,…les aptitudes automatiques pour voir venir,…
…et prédire la direction des fumées de pipe,…dans un courant d’air,…à contre jour,…etc,…
…
pour les cours de grammaire qu’on a endurés autrefois , je signale aux fl(icks) RdL que j’ai lu le tweet Debord et mis au pluriel
un arsenal ( docteur ) desarts-zeno
« timide ? non au contraire.
inadapté ? non, au contraire.
antihéros ? non au contraire.
désinvolture ? non au contraire.
flou ? non au contraire.
charme ? non au contraire. »
Je me sens largement zenien… un Zéro chez Zeno !
« Il a voulu vivre César et il est mort Pompée »
Phrase entendue après la mort du Président Félix Faure…
—
La célèbre ‘Pompe funèbre’…
« L’abbé Renault: Le Président a-t-il toujours sa connaissance?
L’huissier: Oh, non, monsieur. On l’a fait partir par la petite porte.
—
Plus méchant, Clémenceau: « Faure est retourné au Néant. Il a dû se sentir chez lui. »
Ma conclusion sur ton neveu, Baroze, est que quand on peut s’approprier un nom aussi glorieux que celui de BAROZZI, on n’hésite pas une seconde!
Bloom dit: 21 juin 2013 à 17 h 00 min
La célèbre ‘Pompe funèbre’…
On va se retrouver dans l’Affaire ils en ont parlé j’en tremble tout cru…
La cigarette tue.
La pipe aussi….
La rascasse pas fraîche aussi…
…
…on est très loin du sujet du jour,…pourtant si proche en fumée avec les aurore boréales,…etc,…
…
…
…les auroreS boréales,…of course,…etc,…
…
Foutue fin d’après-midi !
L’ami Sant’Angelo corrige ses fautes d’orthographe, c’est dire si ça va mal … et juste avant, il se plaint, LUI, qu’on est hors-sujet ! ça va vraiment très très mal !
…
…c’est pas que çà va mal,…mais en ce qui me concerne,…j’ai trouver à rien foutre,…
…alors, tu pense,…le pied,…etc,…
…
Il a beau ne pas vouloir se sentir juif, Svevo, il a tout de même beaucoup de points commun avec Kafka : le sens de la faute, liée à une espèce étrange de maladie vécue comme une souillure. Si ce n’est pas religieux, qu’est-ce d’autre ? N’est-ce pas cette religion civile et son complexe de culpabilité nécessaire à la fondation de toute société et visible comme telle dans toute société, selon Emile Dukheim ? Zeno fait au fond l’expérience, à travers sa maladie, de la religion civile de l’Etat moderne et de sa maladie moderne, ce qu’un critique a appelé à propos de Thomas Mann et des Buddenbrook, La Maladie européenne. Ce qui distingue Svevo des autres « malades », c’est le rôle qu’y joue la vieillesse et le vieillissement, comme une préscience du vieillissement du continent européen et de son déclin. La maladie humaine y est indissociable de la faute et du remords, une faute archaïque dont on ne peut s’absoudre comme chez Kafka, mais c’est la vieillesse qui en révèle le poison. Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs, ce qui peut conduire son héros dans les situations les plus loufoques.
La confession de Zena n’a pas la forme délirante non plus de Bloom chez Joyce. Elle a un caractère formelle beaucoup plus classique où l’humour joue une grande place, un humour juif…
Assouline :
« …responsable du domaine italien chez Gallimard, ait cru bon amputer le texte du roman … » croire bon DE + infinitif.
ah! ce qui tue … hmmm évitons le sujet way of life … enfin pour ceux qui le peuvent …
je signale aux fl(icks)
ta spécialité c’est vraiment les panneaux
« Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs »
Jusqu’à ce que ML apparaisse, je ne savais pas très bien en quoi j’étais juif !
Jacques Barozzi dit: 21 juin 2013 à 18 h 52 min
je ne savais pas très bien en quoi j’étais juif !
Si, il y a une solution, faire comme Max Jacob, se convertir… Mais faut bien porter le monocle, hein ! Comme Saint-Loup, quoi, finalement…
Le dénommé TKT a fait une judicieuse remarque : les premiers chrétiens, c’est à dire les premiers à avoir cru au Christ Fils de Dieu mort et ressuscité, furent des juifs.
Et le tout premier chrétien était, tenez-vous bien, une femme, une certaine Marie-Madeleine, pécheresse repentie et pardonnée par le Père, au nom de Jésus.
au nom de Jésus
poilocu
la connerie de La Mauvaise Langue n’a rien de typiquement juif
..dis tout de suite que c’est cosmopolite
non mais ho! et d’où qu’on va là
Cosmo quoi ?
j’en tremble tout cru…
joli
..en même temps..mi cuit..ça aurait fait 6rose
20:35
Je souhaiterais sincèrement que vous ayiez l’occasion, au moment de votre mort, de vous repentir sincèrement de cette parole. Je pense qu’au moment où toute votre vie se déroulera en accéléré, flot tumultueux de regrets et d’amertume, vous l’entendrez et vous implorerez le pardon.
vous l’entendrez et vous implorerez le pardon
tu comptes sur l’opération qui peut rapporter gros..mais en même temps dédé, faut bien que dieu soit a la hauteur de tes espérances aussi..c’est ouine ouine
Puisque plus haut il était question de milliardaires, voici quelques bribes d’Évangile fort à propos :
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 6,19-23.
Comme les disciples s’étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Ne vous faites pas de trésors sur la terre, là où les mites et la rouille les dévorent, où les voleurs percent les murs pour voler.
Mais faites-vous des trésors dans le ciel, là où les mites et la rouille ne dévorent pas, où les voleurs ne percent pas les murs pour voler.
Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur.
La lampe du corps, c’est l’œil. Donc, si ton œil est vraiment clair, ton corps tout entier sera dans la lumière ;
mais si ton œil est mauvais, ton corps tout entier sera plongé dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, quelles ténèbres y aura-t-il !
..la vérité dédé c’est que tu compiles des fausses bonnes action pour entrer dans le paradis avant moi..bon je peux pas t’en vouloir..t’as choisis le bon cheval..enfin « les handicaps et les tocards feront le quinté »..d’aprés l’apotre mohamed..il peut pas avoir tout faux
Donatello disait qu’il fallait être con pour croire en des promesses et renoncer par là à de biens sûrs… et il avait parfaitement raison…
Tu compiles, tu compiles, mais dieu voit ton hypocrisie, dédé. Et je ne te dis pas les gars qui assurent le fonctionnement de son cartel : un regard de travers et t’es foutu pour l’éternité…
tiens dédé..vu qu’c’est la fête..ça commence comme un concert de djony..pis c’est mieux..le times dit que c’est le guitariss en deuz aprés hendrisque..faut pas déconner non pus..t’en as pour la soirée..c’est bourrin mais avec un pack de bière..t’es au sec au moins
La Mauvaise Langue dit
» Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs »
Mais qui c’est ce con ? On n’a pas idée de sortir des énormités pareilles.
ça tfais mal au cul dracul..toi aussi t’es comme un gorile avec une gratte..anneau dans l’nez..bonne technique..ta gueule dracul
..il est con ..mais con..mais il joue bien pour une fête de la musique..les desseins de dieu sont impénétrabe dédé
Bloom: 28,000 Potted Flowers Installed at the Massachusetts Mental Health Center
allons bon, encore les tortues ninja, et il faudrait rire sans doute
tranxodyl qui offre des fleurs à Bloom, il va falloir que l’on sorte !?
Le problème, le boug, est de savoir qui de dracul ou de dédé est le plus con des deux, tu n’as pas une petite idée ?
le plus con, voilà qui nous change de l’ordinaire… sur canal+ à l’heure des guignols du docteur Faust le cryptage se veut tellement (mais alors tellement) compliqué qu’il est difficile de savoir si les chanteurs de la bande originale savent ce qu’ils disent
bouguereau dit: 21 juin 2013 à 20 h 40 min
6rose
Yes : le Four roses là j’y crois aïdlaïque !
il va falloir que l’on sorte !?
ben comme ça sent la gerbe.. t’as un parapluie baroz ?
Et personne n’a remarqué que la « Vénus des médecins » de Florence dont j’ai parlé il y a peu est mentionné au début du récit de Zeno. C’est évidemment pas gratuit, mais d’une grande portée psychanalytique dans son histoire. C’est très curieux parce que mon père dont je suis en train de parler dans mon roman a été lui aussi obsédé par ce complexe de l’ouverture de Vénus. Et c’est ce que fait Zeno dans son récit. C’est ce qu’analyse Didi-Huberman dans son analyse de la Vénus anadyomène de Botticelli.
C’est normal que vous ne compreniez pas ce que je veux dire par l’obsession du bonheuir chez les Juifs et l’obsession de l’harmonie (j’ai un ami juif analysé dans sa maturité qui en est aussi obsédé suite à cette analyse) parce que vous n’avez aucune référence juive ni biblique ni évangélique tellement vous êtes des branleurs européens déconnectés de toutes ces choses fondamentales. Voius ne comprendrez jamais rien au grand art, à la grande littérature européenne. Mais ne vous inquiétez pas, vous en verrez d’autres… (c’est ce que je dis parfois à mes élèves ignares et perturbateurs, qui ne font aucun effort pour se mettre au niveau). Eh oui, mes petits chéris, la montée du calvaire est rude pour vous, je compatis, croyez-le bien. J’essaie tant bien que mal de vous apporter quelques éléments de compréhension, mais vous les repousser comme tous mauvais élèves. C’est tragique évidemment…! (pour vous)
…
…derrière,…les décors » bien pensants « ,…les marionnettistes,…
…pour en garder des moutons abrutis par le pouvoir vandale-juif,…
…
…la bible des histoires égyptiennes, aux dix commandements, le veau d’or » exit in private « ,…
…déjà, pour protéger les vrais voleurs, les vrais criminels, les vrais abuseurs et violeurs des lois de toutes natures,…
…
…les,…tu ne fera pas ceci,…ou cela,…
…parce que réserver aux collaborateurs des puissances criminelles depuis des millénaires,…
…
…arrive à leurs échelles,…
…ment,…tue,…vole,…managêre tes lobbyings,…sois traître,…comédien,…le sourire aux lèvres,…
…en deux mots,…soit plus juifs que les juifs,…ou devient le,…en col blanc, noir, violet, rouge,…rentre dans le sacerdoce des parjures,…
…ne t’en fait pas, Dieu s’en fout,…il dira,…encore un concurrent,…du paradis Nespresso pour Madame Claude de Bismarck XIV à poils de Tsars bénie par Gengis-Kant de Ram-Sex II,…etc,…
…frappons monnaie de singe,…les éternels rats de la science éternelle,…Bip,…Bip,…etc,…
…
« mais vous les repousser comme tous mauvais élèves. C’est tragique évidemment…! »
Pour l’orthographe ?
L’oeuvre d’un Juif, sans aucun doute ?
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_du_bonheur-9782715231849-1-1-0-1.html
Sant’Angelo Giovanni dit: 21 juin 2013 à 23 h 37 min
Bismarck XIV
Il n’y en a eu qu’un : seulement il s’est survécu une bonne dizaine d’années. Ah le rat !
Ah oui, je reviens vers vous un instant, mes petits chéris adorables, pour vous signaler une autre biographie qui vient de paraître chez Gallimard, de Laurence Campa, sur G. Apollinaire. J’ai commencé, ça a l’air super chouette, et ça démarre vraiment bien comme je l’aurais imaginé moi-même par une comparaison avec tous les mouvements futuristes européens et à la fois l’apport d’un étranger comme Apollinnaire à la culture française, typiquement française et la confiance extrêmement profonde que lui inspirait la culture française. Pas de désir délirant de tabula rasa chez Apollinaire comme ce fut le cas chez les futuristes européens aussi bien à Milan qu’à Moscou. Pas dé lire fascisant du coup non plus mais une vraie orientation française de l’invention, de la création nouvelle, de la nouveauté pour la nouveauté par tout un ensemble d’artistes, d’écrivains étrangers venus des quatre coins de l’Europe d’alors. Le creuset français, c’était vraiment quelque chose, c’était le centre du monde à cette époque. Un sens aussi de la communauté. Tout ça est mort, a explosé. Plus que des solitudes, des mécomptes, des individus, des incompréhensions mutuelles, une fragmentation de l’esprit qui va vers la mort.
Oui, je suis de votre avis, pas gai tout ça !
Oui, pas de doute, Dominique Dagrochat a du nez.
Baroz se débat avec ses lacunes. C’est pathétique. Un homme qui se noie mais sans récit, contrairement à Clément Rosset. Et même, je dirais, sans pantalon…
C’est un diner de cons ce soir ?
Non, Passou ne dit jamais grand chose. Uniquement quelques petites vacheries de temps en temps qu’il ne pense pas vraiment en plus, comme une espèce de frémissement du silence histoire de donner à manger à la bête qui sommeille en lui. C’est par charité en somme…
…
…Sergio,…à 23 h 51 mn,…Oui,…
…
…sans efforts,…vous comprenez vite, l’air de rien,…
…comment écrire,…pour de vrais abrutis,…en voie de disparition,…les folies bergères de Versailles aux diamants,…
…un offshore de la horde à l’Etat en manque de £ivres,…etc,…Bip,…Bip,…
…
…
« Ne souhaitons pas que tout le monde pense comme nous. L’uniformité serait odieuse. »
comme nous ??? des clones ou des lobotomisés ???
» la relation avec l’autre »
elle est bien bonne celle-là…
…
…haut les mains!,…
…la bourse ou la vie !,…
…en attendant,…c’est à vous ces beaux seins qui s’offrent en l’air,…
…vous écrivez aux tétons à lait sur papier invisible,…un livre blanc,…sur peau de chèvre,…elle à eu son lot d’abrutis pour bonne à tout faire,…etc,…d’en être,…parcheminée,…à tord et à travers,…
…etc,…Bip,…Bip,…
…
Petit coup de blues après la prestation de Los Lobotomos à la fête de la musique. Succès divers. Une gamine prononce « beau gosse » à guise de dédommagement pour m’avoir coupé la route. Une autre vomit en me voyant. Je décide de rentrer.
Puisque le groupe s’intéresse à Zénon et puisque l’on ne saurait s’intéresser à Zénon sans considérer des apories, des énigmes, le divisible et l’indivisible, le mystère des origines, je propose cette phrase extraite d’un entretien avec les Bogdanov paru dans Direct Matin (page n° 26 [32eme dans le pdf]du journal du 20/06 : http://www.ojd-suivivn.com/track?link=415&n=20130620&cible=http%3a%2f%2fkiosque.directmatin.fr%2fPdf.aspx%3fedition%3dNEP%26date%3d20130620%26mobile%3dtrue) : « Or ces lois sont elles-mêmes soumises à des règles chiffrées, immuables et immatérielles, comme le chiffre Pi, sans lequel notre monde ne pourrait exister. »
Je précise qu’il n’est aucunement question pour moi de prendre cette déclaration avec la condescendance compassée et le goût pour les rires faciles d’un de nos plus grands et plus distingués vulgarisateurs : Etienne Klein, je-ne-sais-quoi de son état dans quelque bureau à sigle intimidant quand il ne pérore à l’image des nébuleuses photographiées par le télescope Herschel, qui passe, pour sa part, ses loisirs, me suis-je laissé dire, à chercher, au bon vieux papier-crayon, des anagrammes de 120 caractères qui vont nous révéler les mystères de l’Univers.
Je voudrais seulement envisager cette proposition « le chiffre Pi, sans lequel notre monde ne pourrait exister. ».
J’aurais dit plutôt nombre, mais la suite des déclarations permet d’accepter « chiffre » au sens de code, donc passons, même si cela ressemble à un abus de langage.
« sans lequel notre monde ne pourrait exister. » : Je suppose, étant données les préoccupations des deux auteurs, qu’ill s’agit de l’Univers et non de notre société technologique qui met en effet beaucoup à contribution le nombre π. La question, telle que je crois légitime et clair de la reformuler, est alors : « π
est-il cause matérielle, efficiente, formelle, finale de l’Univers ? ».
matérielle, efficiente, finale : je pense que l’on peut répondre non. Reste la cause formelle. Reformulons encore : « π est-il cause formelle de l’Univers ? ». Autrement dit, π est-il Logos ?
Eh bien , Non ! Car la base des log,c’est e. . . hehe pas mal celle-là.
π ne saurait donc être à lui seul Logos. S’il existait une formule de l’Univers, e^iπ = -1, l’identité d’Euler (http://en.wikipedia.org/wiki/Euler's_identity) pourrait peut-être se voir considérée comme la plus parfaite.
J’attends les observations de D à ce sujet.
en guise / à titre : désolé.
» Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs » (dixit La Mauvaise Langue)
C’est vraiment abyssal de connerie !
» Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs » (dixit La Mauvaise Langue)
Nous aurons la charité de penser que la connerie de La mauvaise Langue n’est pas typiquement juive.
» Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs » ( La Mauvaise Langue)
Je trouve que ce Monsieur La Mauvaise Langue fait dans l’excès de zèle. A ce degré de délire, c’est contre-productif. J’ai demandé à Shmuel ce qu’il en pensait. » C’est le propre de ceux qui en ont une couche d’en remettre une « , m’a-t-il répondu en souriant.
Arrête tes conneries, Mohammed ! Tu sais bien que la connerie est une invention juive que nous sommes bien incapables d’égaler …
Pourquoi « antivie » ? Un personnage timide, solitaire, résigné, inepte (le titre de ‘provisoire’ de « Une vie » était, justement, « Un inepte »), mais tant bien que mal il vit ; il ne sait pas vivre si non intérieurement, mais c’est encore une vie. Cette idée d’une « antivie » est plutôt conne car elle passe à côté du jeu du hasard et de la non prévisibilité des relations humaines, sans quoi le Charlot Bourgeois Svevo n’aurait aucun sens.
Enfin, ‘l’incapacité de vivre comme les autres’ ne peut pas être inscrite dans un espace « anti ». Ou alors on a en tête une vie standard : une vie dont on peut dire que c’est une vie et que seulement ceux qui la conduisent sont des hommes : « Ceux-là, oui, ce sont des hommes ! ».
» Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs » ( La Mauvaise Langue)
Je suis scandalisé de lire une pareille sottise. Les imbéciles sont toujours nuisibles à la cause qu’ils prétendent défendre.
Et si « Antivie » voulait dire, comme « Antipolis », vivre distant, en face, de la vie ?
7h36 (C’est vraiment abyssal de connerie !)
ça surpasse même JC
LML arrête tu fais honte
Le bonheur , c’est
» D’une nature très accessible, il préférait profiter de la plage avec ses élèves qu’assister à un dîner officiel auprès d’autres conférenciers. © Cornell University
c’est pas la sm-e-rdl
mais si c’est pour en faire une chose officielle..
le mode de la déclamation insistante du bonheur ou de sa science chez les profs, et sa mise en vitrine quand cela ne va pas jusqu’à montrer la nécessité d’envoyer des crieurs dans l’espace public, déjà avant évaluation de crédibilité vient le constat que tout cela est bien laborieux, preuve évidente de…
B’jour maame Michiu : comment va ta luette ?
rien à signaler mais je ne suis pas docteur otho-rhino-laryngologue
Rachid, laisse béton madame Michu ! La luette, c’est l’affaire de monsieur Michu !
Pauvre Michel ! nous le maltraitons mais sans lui personne ne saurait qui fut Clemente Susini… ni saurait esquisser les limites de son œuvre. Mais bon, ainsi va le monde ! nous ne savons pas qui est Susini… enfin, les plus cultivés d’entre nous imaginent un verger où les pruniers seraient représentés surtout pour le type ‘Clemente’… un type ‘Clemente’ ça existe ? ça n’existe pas ? pas important, le lecteur cultivé n’est quand même pas censé connaître aussi les types de fruit… la lectrice cultivée aussi, du reste… il y a le marchand de primeurs pour ça, et on lui fait confiance… ainsi nous faisons confiance à Michel pour un tas de choses : le vélo électrique, ses qualités de poète, romancier, traducteur… et n’oublions pas le pédagogue, activité où il excelle à condition que les pédagogués ne soient Magrébins ni, carrément, noirs, c’est-à-dire incapables de comprendre la qualité de son implication dans la transmission des connaissances… Nous étions où ? ah, oui, le type ‘Clemente’. Évidemment, un lecteur cultivé peut nourrir une passion pour les types de fruit… une lectrice cultivée aussi, du reste… mais là nous sommes dans les spécialisations… moi, par exemple, e peux recueillir des champignons et les manger sans passer par l’expertise d’un expert… pourtant, une fois, je me suis fait avoir par des coprins chevelus (Coprinus comatus) : « Un petit verre de blanc ne va pas les gâcher », je me suis dit… et c’est la soirée qu’ils (Coprinus comatus + fendant) m’ont gâché. Bon, j’admet que ça vaut mieux que de lire : « Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs » car j’ai vomi puis dormi et le lendemain cet incident ne fut qu’un mauvais souvenir… oui, cela m’a fait une expérience parce que depuis lors, quand je trouve des coprins chevelus, je les accompagne d’une tisane aux herbes des Alpes…
Les imbéciles sont toujours nuisibles à la cause qu’ils prétendent défendre
putain keupu il à eu un sursaut..et il s’est autodétruit
Feu keupu fut ?
02h 42
Je ne suis pas D., mais je me permettrai de répondre.
Tout d’avord, j’adore Kate Bush, qui est une véritable musicienne, et sans doute la plus grande de sa génération dans sa catégorie. Elle est également une excellente comédienne et danseuse, et pour finir sa personnalité m’est extrêmement plaisante, mélange de finesse, d’humour bien placé et de modestie. En d’autres termes, elle est mon parfait complément.
Ensuite, de savoir qui de pi, de e ou de 10 régit l’ordre de se monde (et d’ailleurs au passage vous oubliez [1 + sqr(5) / 2] qui est loin d’être sans importance !), je répondrai : tous à la fois, selon la volonté de Dieu, et pour un résultat somme toute pas mal; il suffit d’avoir été une seule fois sans sa vie arrimé à un caillou de l’un des anneaux de Saturne et observé le somptueux spectacle qui se déroulait là sous ses yeux pour en être convaincu, j’ai d’ailleurs pris des photos, même si je ne suis pas D. qui, je le déclare sans détour m’a bien énervé hier soir.
Maintenant que j’ai répondu de façon honnête, je vous pose à mon tour une question : par quel mécanisme la génération née en 1990 est en moyenne plus grande que celle née en 1965, elle même plus grande que celle née en 1940 ?
c’est l’effet de la pleine lune dédé
Réponse : à cause de Dédé qui modifie génétiquement les bébés en maternité, avec des complices du groupe OGM ( On se Gène pas pour Modifier) !
ça change tout
donc ça ne change rien..
la pleine lune ne tire pas que les oreilles vers le haut dédé
Un tunnel servant à se déplacer plus vite ?!
Voyons Ducournaud, vous n’êtes que le complément (complément mais à l’identique) de Pathos et Connemara. Sur le chemin en concours du plus grand nombre de pseudos, vous battez HR ou JC.
Voilà que le ciel me tombe sur la tête par l’intermédiaire d’un email car, apparemment, on ne parle pas de Tisane mais d’Infusion aux herbes des Alpes. Je corrige, m’excuse, etc.
Dédé, on fait pareil que tes OGM, nous les gars de Sirius ! On a des programmes en cours, supers !
Des exemples ?… On vient de modifier TOUS les socialistes en France : ça a l’air de marcher, on bosse avec des quatari, le fric, ça aide, les anciens socialistes sont devenus PSG, Parti Socialiste Génétiquement modifié : des types de la droite sociale ! Un grand succès…
» Son obsession du bonheur sur terre et d’un certain besoin d’harmonie existentielle sont aussi typiquement juifs » ( La Mauvaise Langue)
Inepte. Je m’étonne que le responsable de ce blog laisse traîner des propos aussi clairement antisémites.
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