Le Goncourt 2014 se trouve parmi ces titres
La société littéraire des Goncourt, que d’aucuns s’obstinent à appeler l‘Académie Goncourt en référence à l’autre, fêtait aujourd’hui le centième anniversaire de son installation au restaurant Drouant, dans un petit salon du premier étage. C’est là que ses dix membres se réunissent une fois par mois pour y discuter de leurs lectures en vue de l’attribution de ses cinq prix littéraires. Aujourd’hui, commémoration oblige, « les Goncourt », comme on les appelle, avaient convié au rez-de-chaussée de l’établissement du chef Westermann, qui a confié avoir lu cette été à Grignan 1Q84 de Haruki Murakami, plusieurs dizaines de journalistes, critiques littéraires et critiques gastronomiques, pour le déjeuner historique.
Un brochet des Dombes cuit au court bouillon avec condiments et oeuf poché et vinaigrette au Vadouvan, le poulet du Gâtinais avec cuisse farcie aux béatilles, poitrine rôtie, cèpes cuits et crus, et une mousse glacée à la framboise et aux fruits rouges furent servis; ces plats étaient inspirés des recettes de l’ancienne président du jury, la romancière Colette manière de « réconcilier la littérature et l’estomac » comme le fit remarquer le président Pivot, après tant d’années à ingurgiter de la littérature à l’estomac. Outre le menu, arrosé notamment de Pouilly Fuissé Le Moulin 2011 de chez Jean Manciat et de Médoc Goulée 2008 vinifié par Cos d’Estournel, ils mirent à profit cette occasion pour y dévoiler également leur première sélection (par ordre alphabétique) en vue de l’attribution de leur prix le 5 novembre, ce qui a permis aux gazettes d’en pointer également les absents, enfin surtout l’absent comme s’il n’y en avait qu’un, et permettra aux jeunes jurés du Goncourt des lycéens de se déterminer :
Adrien Bosc, Constellation, Stock
Kamel Daoud, Meursault, contre-enquête, Actes Sud
Grégoire Delacourt, On ne voyait que le bonheur, JC Lattès.
Pauline Dreyfus, Ce sont des choses qui arrivent, Grasset
Clara Dupont Monod, Le roi disait que j’étais diable, Grasset
Benoît Duteurtre, L’ordinateur du paradis, Gallimard
David Foenkinos, Charlotte, Gallimard
Fouad Laroui, Les tribulations du dernier Sijilmassi, Julliard
Gilles Martin-Chauffier, La femme qui dit non, Grasset
Mathias Menegoz, Karpathia, POL
Eric Reinhardt, L’amour et les forêts, Gallimard
Emmanuel Ruben, La ligne des glaces, Rivages
Lydie Salvayre, Pas pleurer, Seuil
Joy Sorman, La peau de l’ours, Gallimard
Eric Vuillard, Tristesse de la terre, Actes Sud
(Photo Passou)
1 180 Réponses pour Le Goncourt 2014 se trouve parmi ces titres
Bien la peine de faire la une de Lire, du Magazine littéraire et de Télérama…
Sa crise de foi va lui rester sur l’estomac… Mauvaise carrière…!
Le brochet des Dombes, poisson d’eau douce. Risque parfois d’un goût vaseux, d’où la nécessité d’une bonne sauce.
Bon Dieu le lustre !
Pierre Assouline, vous êtes un grand comique ignoré.
Je me demande -presque chaque jour- comment, avec si peu de génie, mais non sans talent,vous avez réussi à avoir autant d’influence.
Une terrible intelligence -qui n’est pas un talent- sans doute.
Je vous prédis le Reinhardt.
Ce qui compte ne comptera pas.
Ce qui ne compte pas comptera par-delà l’imaginable.
Oh, il y a bien des académies pour le pinard…
le métier de vivre, c’est pas rien à surmonter
Je parie que ce sera Lydie Salvayre. La seule du lot qui soit un écrivain. C’est une question de crédibilité pour le jury du Goncourt.
il y a bien des académies pour le pinard…
Autant avoir d’emblée l’air acide assez tique…
Toi, Lolo, pauvre couillon, il faut pourtant te compter parmi ceux qui demeureront.
Dans le fond à gauche, presque imperceptible et pourtant bien présent.
C’est ce qui nous lie à jamais.
Malgré tout le reste.
le pauvre, Reihnardt, ignoré, introuvable, oublié, dormira depuis longtemps…
et nous, on sera toujours là, bien au chaud, comme deux indéfectibles amis..
Il y a de ces soirs où certaines choses doivent être dites.
(Rires).
Tenez, bande de cons, je vous fais un cadeau.
Foin du Goncourt et de toute l’édition papier.
Laurent Margantin, Le Chenil,
??? dit: 4 septembre 2014 à 23 h 52 min
Chaloux dit: 4 septembre 2014 à 23 h 49 min
???
Peut-être, le Chaloux, il vivrait dans un monde où l’on ne cesserait jamais d’aimer ses amis.
Je peux vous dire d’ores et déjà que le gagnant est : Constellation.
Et je ne me trompe pour ainsi dire jamais.
Monsieur Bosc a intérêt à réserver dès maintenant de grandes plages libres sur son agenda.
Chaloux, vos prédictions, ce sont des prédictions de petit devin à quatre sous.
Michel, vous auriez dû m’appeler avant d’écrire une connerie et de vous ridiculiser.
Je vous dis cela en ami. En fait Michel, je vous aime bien mais il je vous trouve parfois agité.
Avez-vous pensé aux granules homéopathiques ?
@D.
Merci d’établir votre chèque à l’ordre du trésor public.
@D.
Chèque : quatre sous.
(Et pourtant aucun n’est plus proche de moi que Noé).
Un jour, il y a quelques années, quai de Montebello, mon regard a croisé celui de Rezvani.
Le regard de Rezvani a changé ma vie.
Que le Goncourt 2014 aille se foutre.
Il ne changera plus rien.
Tiens, ils ont oublié jean Calbrix, Un automne en août, Zonaire ?
C’est Poutine sur la photo ?.
Le Goncourt, du latin « Gono’, que l’on retrouve chez Gono de Kock ,le père de Paul, le nom d’homme germanique et « cortem » domaine. Se situe entre les stations Le République et Le Belleville, sur la ligne Le 11
« avoir lu cette été à Grignan »
Ah ! cet été à Grignan ….
Chaloux dit: 4 septembre 2014 à 23 h 09 min
« Pierre Assouline, vous êtes un grand comique ignoré. »
Je vous trouve très bon dans le domaine, Chaloux, vous n’avez rien à envier à Maître Pierre !…
Deux listes :
– celle des victuailles, nourritures terrestres
– celle des écrivains, nourritures terrestres
Nourritures célestes ? Peut-être ! Mais aussi, le temps passant, pourritures terrestres …
Le Goncourt de la blague la plus cruelle est attribué au site Hollande-dégage pour :
« Il vaut mieux être sans dents que sans couilles »
…
…des romans, des écrits,…qui servent à rien,…Goncourt,…ou Con-court,…du pareil au même,!…
…porter en longueur des visions isolés de notre époque trop ciblés,…autant lire ce blog,…y trouvé des anecdotes,!…suffisant,!…
…etc,!…
Info : Jean-Luc Godard Gives a Dramatic Reading of Hannah Arendt’s “On the Nature of Totalitarianism” :
Un « Déjeuner historique » au goût de cuisine littéraire ?
c’est quand même poilant que le bouquin de Vieux Beigbeder sur les aventures pourries de mon géniteur ait donné envie à certains de relire cette saleté de bouquin génial « L’attrape-cœurs » grâce aux blogs de Vieux Assouline et Vieux Popaul et tout, ça se sec bouscule dans ces librairies pourries et tout pas autant ce pendant que cette saleté d’amazone que je ne veux pas connaître malgré ma saleté d’obsédé textuel et tout.
Holden Caulfield
Le Goncourt de l’opération chirurgicale ratée a été attribué à Jérôme Cahuzac pour sa tentative, secrète et loupée, de greffe d’un nouveau cerveau artificiel au Pépère après son élection.
Mis à part les effets secondaires priapiques, bien utiles à son âge, le résultat est catastrophique. On constate le désastre, et le populo qui n’a rien vu stagne à 13% de benêts satisfaits…
« cèpes fruits et cuit » : kekseksa ?
« et une mousse glacée à la framboise et aux fruits rouges furent servis »
Heu… la framboise est un fruit rouge ! Ah la redondance des appellations de menus, heureusement que le ridicule ne tue pas sinon on manquerait de « grands chefs ».
au moins ça fait menu de l’auberge des trois faisans de metz..on est pas chez elbouli chez les sans dents avec son surfondu de brochet en lévitation de boule de glace..l’imprimeur a merdé ça fait causer les bouseux
4 filles seulement ! Sur quinze nominés… A quand la parité, chez les Goncourt ? Je n’arrive pas à croire que les écrivaines soient si peu intéressantes que cela…
(au fait, j’ai répondu sur la question « se regarder écrire » – je dérivais « s’écouter parler », sur le fil d’hier.)
« A quand la parité, chez les Goncourt ? »
On n’en a rien à foutre de la parité ! on s’en fout du sexe lorsqu’on lit un roman, c’est l’œuvre qui compte, cornecul la marie !
bouguereau dit: 5 septembre 2014 à 9 h 39 min
« Pierre Assouline, vous êtes un grand comique ignoré. »
Je vous trouve très bon dans le domaine, Chaloux, vous n’avez rien à envier à Maître Pierre !
pour sûr! ça srait pas l’genre a paniquer à ce point de se retrouver par terre perdant l’usage des ses sphincters à bredouiller de ses dix doigts sur on clavier..pour ne pas me répondre à une question si bonhomme que n’importe quel juge la prendrait d’un honnête homme..je réserve cette lecture roborative à jean marron quand il aura recouvré le plein usage de son chalet
.. Et vous avez loupé aussi « debout-payé, ou pourquoi les vigiles sont noirs ». J’ai entendu un extrait (hilarant) sur France Cul ce matin…
Jcé, le débat est là, bien entendu. La littérature n’a pas de sexe, soi-disant. Ceci est évidemment d’une hypocrisie sans nom, voisine de « en politique, le sexe n’a rien à faire, on demande à l’élu d’être bon c’est tout ». Et si on faisait bouger les choses ?
j’avois merdé la réponse sur l’ot fil jicé cherchant son post du cheuloux que je ne trouve pus..
« Et si on faisait bouger les choses ? »
Mais … elles bougent… jour et nuit !
veuillez, bouguereau, fermer votre sale gueule de rognure, s’il vous plait, quand même !
Mais … elles bougent… jour et nuit !
ass shakin’ qu’il dit kabloom
Il me semble, Clopine, que la grande Colette, en cuisine comme en littérature, aurait plutôt choisi la singularité à la parité ?
CQFD, jc, Bouguereau ! (mais j’ai souri quand même. Je m’en veux d’avoir souri. Mais je l’avoue.)
ha si tu tachais d’avoir ce souci de pas nous faire pleurer clopine..la parité tu connais?
je n’en suis pas si sûre, Jacques. Colette a une des écritures les plus « féminines » qui soient. D’ailleurs, c’en est à tel point qu’en lisant les « CLaudine », on voit instantanément ce qui a été retouché par Willie, et ce qui est d’elle. Et je défie n’importe quel homme d’avoir pu écrire la maison de Sido, par exemple.
Je crois qu’elle aurait convenu que le concept « la littérature n’a pas de sexe » est bien commode pour ne pas s’interroger sur la réalité (par exemple : 4 nominées contre 11 nominés), et ce qu’elle recouvre. Colette avait le sens de l’amitié féminine (et même un peu plus), et je crois qu’à notre époque, elle aurait reconnu le bien-fondé de certaines thèses féministes. Pas de toutes, sûrement, m’enfin.
Et puis elle avait tant d’humour (quand elle parle de Proust, je l’adore), qu’elle aurait souri, elle aussi. Enfin, je pense…
4 Gallimard (5 avec POL), 3 Grasset, 2 Acte Sud…
Galligrassas détrône galligrasseuil dans le menu !
« vous faire pleurer », Bouguereau ? De rire ?
Colette a une des écritures les plus « féminines »
Oui, Clopine, mais singulière et non pas paritaire !
Proust avait-il une écriture masculine ou féminine, Clopine ?
Compassionnel
« En signe de solidarité, les reliefs du déjeuner de chez Drouant seront distribués à l’Association les Sans-Dents » (les journaux)
Dans trente ans, insh’allah, le déjeuner sera halâl pour sauvegarder le vivre ensemble.
Dans le respect et la dignité.
Je me demande si la bonne discussion/ bonne bouffe des Goncourt n’exige pas un petit d’ingrédient de misogynie galante (sans une misogynie infinitésimale, pas de vraie galanterie).
On se marre plus.
Sinon, c’est le jury de thèse où on s’emmerde.
Je dirais: pas plus de 30 ou 40% de femmes.
Comme ça, à vue de nez, au doigt mouillé.
Je suis un féministe con vaincu : nos sœurs et nous, on est tous frères ! En droit… après, c’est affaire de spécialité.
Les hommes sont de meilleure qualité intellectuelle, c’est prouvé : c’est eux qui décident. On est des chefs : les meilleurs.
Les femmes sont excellentes pour faire des pontes, après 9 mois d’usinage, d’excellents babies. Du tricot, de la dentelle, des livres d’introspection nuls, des câlins …
Les entre-deux sont excellents en interrogations diverses : « Qui-suis je ? », « Où vais-je ? », « A quoi sers-je ? »… etc, etc …
Elle est diverse, la parité…
« Dans trente ans, […], le déjeuner sera halâl »
Il faudrait pouvoir choisir (en ordre alphabétique) : Cacher ; Halal ; Occidental Standard ; Végétalien; Végétarien. Ou alors rien du tout, ce qui permettrait à chacun de manger selon ses goûts et ses habitudes — non, parce que imposer un repas c’est vraiment nul.
Dans trente ans, insh’allah, le déjeuner sera halâl pour sauvegarder le vivre ensemble.
» je préfère manger halâl’cantine »
C’est le plan de table idéal.
Cinq hommes, quatre femmes, un entre-deux.
Il faudrait aussi un moratoire sur le prix (pas de prix pendant 10 ans), il se peut qu’on aurait une rentrée moins chargée.
« Il faudrait aussi un moratoire sur le prix (pas de prix pendant 10 ans) » (renato)
Ce serait du pain béni pour nos littéraires.
Enfin une réponse au père Sartre, à quoi sert la littérature?
Les joies d’une clandestinité confortable.
Les jurys transformés en indignés, en rebelles, en frondeurs.
Pierre Assouline en Commandant Marcos dans le Lubéron.
« Ce fut nos plus belles années »…
« pas de prix pendant 10 ans »
= une rentrée moins chargée ou la mort de l’édition, renato ? Combien de chômeurs en perspective ?
… Le problème, Jacques, c’est que le machisme ambiant plombe jusqu’au vocabulaire. Une écriture « féminine » serait ainsi inférieure… (voir jcé à ce sujet). Mon féminisme viscéral me porte tout droit à dénoncer cela, et à revendiquer qu’une écriture féminine, non seulement existe, mais encore qu’elle doive s’apprécier sur un registre d’égalité avec les écritures « masculines » ; bien entendu, il y a aussi des écritures soigneusement « neutres », des partis pris stylistiques qui n’entrent pas dans cette problématique (un peu comme Coetzee qui arrive à écrire sur l’Afrique du Sud sans jamais mentionner la couleur de peau de ses personnages – mais on les devine !) ; ainsi, des écrivaines peuvent utiliser le « je » pour un héros masculin (comme souvent Christie, par exemple), et l’inverse est aussi vrai. Cependant, cependant : il existe aussi de multiples ouvrages où le sexe de l’auteur influence directement le livre. Le sujet, la manière de le traiter…
Proust, dans la Recherche, adopte un ton spécifiquement masculin, bien sûr. Non seulement il déguise son homosexualité « réelle » en incarnant un « Narrateur » hétérosexuel (les jeunes filles, Albertine…) mais encore il pousse la masculinité jusqu’à éliminer du monde qu’il créée pratiquement tous les bébés (seules deux ou trois allusions à des grossesses dans la Recherche)…
Mais si vous voulez une écriture qui ne soit pas féminine, et pourtant écrite d’une main de femme, le meilleur exemple est Yourcenar. Si nous ne savions pas qu’elle s’appelle Marguerite, celle-là…
L’autre Marguerite, la Duras, est du même bord que Colette. Impossible d’ignorer qu’elle est femme…
La parité au gouvernement, on voit ce que a donne. Mais une parité véritable ce serait à Président masculin Première ministe et inversement ?
« Mon féminisme viscéral me porte tout droit à dénoncer cela » (Cl.)
Le féminisme logé dans les viscères.
C’est vraiment nous encourager à rester des queutards.
Gertrude Stein tenait à ce que sa femme reste à la cuisine, Clopine. Du coup, celle-ci nous a donné un excellent livre de ses meilleures recettes.
Jacques, en tout cas, dans les collectivités territoriales (je connais un peu), la loi sur la parité est largement contournée. Allègrement ! Oh,sur le papier, les femmes sont aussi nombreuses que les hommes… Mais à la fin, comme par magie, les postes à responsabilités (Maires, Présidents, adjoints au Maire ou Vice-Président) reviennent dans l’escarcelle masculine.
Je crois qu’il faut vraiment prendre les femmes pour plus c. qu’elles ne sont, pour leur asséner la soi-disant « objectivité » de la critique littéraire, afin de les persuader que leur sexe n ‘a rien à voir à l’affaire. Cette belle assurance ressemble aux pavés de l’enfer : l’intention qui la motive, à savoir que, bien entendu, la littérature sublimerait la condition de l’auteur qui la pratique, existerait « en soi », en dehors de toute contingence, même la plus fondamentale comme celle du sexe de l’auteur, est bien commode pour conserver à l’identique, encore et encore, notre hypocrite société…
C’est ce que je disais :
– les femmes ont le féminisme « viscéral »
– les hommes ont la réflexion « cérébrale » …
On est pas pareil, on est complémentaires, et on s’adore….
Par exemple, moi j’adore Clopine… surtout la nuit …. surtout quand elle ne parle pas …!
(Pour qui, le Goncourt 2014 de goujaterie ?)
pas mal la photo de l’ombre à la lumière, ils regardent la télé en mangeant les jurés ? plus ceux qui jouent avec leur smartphone sous la nappe ..
Chantal,
les jurés, ils regardent des films porno où que les femmes ne sont que des objets. Répugnant !
Photo de couple littéraire et non paritaire
http://theredlist.com/media/database/muses/couples/art_culture/gertrude-stein-alice-b-toklas/005-gertrude-stein-alice-b-toklas-theredlist.jpg
jc bravo tu as gagné une dent ! pas facile quand même de tout voir dans le handy cam ..
si femme on le devient c’est qu’c’est pas une essence clopine..ne faut il pas que l’esprit et le bon sens soient le mieux partgé
Impossible d’ignorer qu’elle est femme…
..une fois devenu femme il faut bien que ça se voit
Cacher ; Halal ; Occidental Standard ; Végétalien; Végétarien. Ou alors rien du tout
tiens le « rien du tout »..fait m’en un menu pour l’exemple mon poulet..pendant que zouz calçonne toi t’es toujours a nous accommoder tes vieux restes rénateau
plus ceux qui jouent avec leur smartphone sous la nappe ..
hurkurkurkurk..l’infantilité de chantal
Et bien, le célinien petit, tu ramasse ton prix et tu vas fêter ça dans un restaurant qui te conviens.
une rentrée moins chargée ou la mort de l’édition, renato ?
rénateau voit dans les prix comme une expression de la vanité française.. »ou rien du tout »..comprends tu miuex baroz ?
« comme une expression de la vanité française »
Pourquoi ce « française » ?
rénateau me couvrant de francitude et de prix aimerait me voir attablé dans un macdo seul et sans nappe pour cacher ma misère..ce serait pour lui le spectacle de la vérité et de la justice
Pourquoi ce « française » ?
vdqs
… j’ai dit « de ton choix », ou pas ?
pivot soigne sa créativité, il publiera mes twist du centenaire pendant que tu rêve de ricard ..
un menu de rien du tout..sapré rénateau
Quoi, « comme une expression de vanité » serait largement suffisent. Ou bien, est-ce tu crois que la vanité est une particularité (seulement) française ?
il publiera mes twist du centenaire
sous la nappe…hurkurkurkurkurk
Chantal, la première chose que j’ai vue sur cette photo c’est une tête de Nefertiti, en haut, en ombre chinoise. Du coup, j’ai eu du mal à comprendre le reste.
Pour une fois je suis du même avis que W. : j’aime beaucoup Lydie Salvayre.
Je suis moi aussi perplexe devant le « cèpes fruits et cuit » dans le menu! Sans parler des béatilles au joli nom qui m’ont déçue quand j’ai appris que c’était:
« un ragoût fin d’abats et d’abattis (tels que les crêtes de coq, les rognons, le ris de veau etc ».
Je suis très sensible aux jolis noms sur les menus. A une époque où je ne parlais pas du tout espagnol, (j’ai progressé un peu depuis) j’avais commandé dans un restaurant de Madrid, un dessert dont le nom me séduisait: mantequilla. Le serveur, étonné mais imperturbable, m’avait apporté une mini plaquette de beurre,…et avait gentiment accepté de la remporter!
tu causes comme kanapa rénateau..c’est follement vintage..tu aurais tes chances pour un prix
C’est qui « kanapa » ?
lavande le chef est alsacien, peut-être une recette du terroir ?
il y a quelques temps rénateau je t’en avais déjà parlé et ça t’avais grandement énervé..aujourdhui tu comptes sur l’oubli..même pour kanapa ça aurait été encore un peu rapide
putain des ignorantes crasses et des idéologues d’un autre age..ma mère
Mais bien entendu que ce n’est pas une essence ! N’importe nawak !
Ne pourriez-vous pas lire le formidable « une chambre à soi », de Virginia Woolf – c’est le texte d’une conférence sur la littérature féminine anglaise – qui démontre qu’au temps de Shakespeare, la soeur douée de ce dernier n’avait aucun autre choix que de finir suicidée sous Picadilly Circus – c’est bien parce que je pense qu’être femme, ça se construit, que ce n’est pas figé dans une quelconque « essence », que je pense que le combat est donc nécessaire, quand il l’est. Et ce combat consiste aussi à relever les disparités… Je suis trop vieille aujourd’hui (et puis j’ai donné dans ma jeunesse), pour militer aux côtés des filles de « LA BARBE », mais je trouve leurs actions bien significatives.
Lavande, bien d’accord avec vous : la photo est peu compréhensible au premier abord (voire au second, ahaha)
Bon, il est parti en vrille : ah ! ces intellectuels parisiens qui aiment caricaturer le peuple et les peoples — et puis on s’étonne.
Cela dit, je ne compte pas sur l’oubli : je ne note aucune de tes pseudo trouvailles.
tu vois la clopine tu fais pleurer..et pas de rire..tu peux serrer la louche en bois à rénateau pour la langue..bien la pire des choses pour vous à votre menu
je ne note aucune de tes pseudo trouvailles
elles le sont ici pour toi mon rénateau..la technique y pourvoit..et te voir en parangan du populo c’est comique..essaie de ne pas l’oublier celle là quand tu en fera outrecuidant déni..demain ou aprés demain..c’est plus fort que toi
Merci, Bouguereau, de votre exquise courtoisie.
La compétition est rude ici mais vous êtes bien parti pour gagner au moins un prix de consolation.
LA BARBE :
t’es une marchande de soupe clopine..les causes que l’on défend comme des accessoire des rombière de faisan..ces peaux de renard..bien mort mais toujours goguenard
Pardon aux gastronomes : il fallait lire « cèpes cuits et crus »
un prix de consolation
prix mirifique auquel je postulerais, surement faussement modeste je l’avoue, le seul qui n’existe pas..décidément c’est don vrai aux imbéciles dans ton genre les mains pleines
« te voir en parangan du populo c’est comique »
Tu te trompes lourdement, le célinien petit, je ne me pose en « parangan » de personne, je ne fais qu’observer l’usage que tu en fait du « populo »… et malheureusement ce n’est même pas comique, seulement risible.
Clopine je viens de lire un livre passionnant d’Irvin Yalom, « le jardin d’Epicure » où il raconte qu’une de ses patientes, après la mort de son mari, a dû vendre sa grande et luxueuse maison, après l’avoir vidée, entre autres, d’une collection amoureusement réunie de meubles et d’instruments anciens (bonjour Chaloux) et ce, pour aller elle-même dans une maison de retraite. Quand il a revu cette patiente , qu’il craignait de retrouver effondrée, elle était au contraire sereine et lui a dit : » pour la première fois de ma vie, j’ai une chambre à moi! »
» pour la première fois de ma vie, j’ai une chambre à moi! »
bonjour cheuloux (hurkurkurkurk..)
Je révise mon pronostic: vous aurez pet-être le premier prix , Bouguereau, parce que comme l’égérie de l’Oréal, « Vous le valez bien! »
pet-être: involontaire mais marrant.
Oui, Lavande, c’est exactement cela. Dans sa conférence, Woolf faisait remarquer qu’une femme n’avait pas le droit d’avoir « une chambre à soi », alors que la création artistique est (entre autres) bien souvent conditionnée par l’usage d’un lieu clos, interdit aux usages domestiques et à la vie familiale. En allant, à Nohant, visiter le château de George Sand, j’ai été frappée par les lieux. Le rez-de-chaussée est tout entier dédié à la vie sociale (salle à manger, et même un « théâtre »), le premier étage, outre les chambres, comporte une immense « pièce à vivre »… Je cherchais partout la « chambre à soi » de Sand. Et il y en bien une ! Elle donne sur la pièce à vivre, et elle est si exigüe qu’on ne peut y entrer à deux. Une table, une chaise, un réduit. Mais une « chambre à soi », indiscutablement. Vous rendez-vous compte que la « légitimité » d’une femme à écrire était réduite au point de devoir adopter un pseudo masculin, et de confiner l’une de nos plus brillantes écrivaines dans un espace si confiné qu’il ne comportait même pas une fenêtre ?
Quel courage fallait-il pour affronter l’équivalent des jcé et des Bouguereau de l’époque…
Woolf, tenez-vous bien et précipitez-vous pour acheter son livre si cela vous intéresse, Lavande, parle aussi de la situation universitaire de l’époque, et… Attendez, sa démonstration est si brillante que je m’en souviens encore. Elle dresse le tableau des étudiants masculins d’oxford ou Cambridge, et des étudiantes qui viennent tout juste d’acquérir le droit de fréquenter quelques cours, et encore, grâce au legs d’une richissime héritière si je me souviens bien. Elle souligne les différences, la parcimonie de l’existence des unes, l’opulence de l’existence des autres – spécialement dans les menus de leurs repas, eh oui. Les filles mangent du pain et du fromage, et boivent de l’eau. les garçons, un menu comme celui ci-dessus, tenez. Et Woolf de souligner combien il est dur de réussir à se concentrer, à réfléchir, à éprouver du plaisir, quand on a pour concurrents des gens qui se sont, eux, gobergé tout leur soûl…
(je dois partir)
(portez-vous bien, Lavande).
tu sais ce qu’il te dit rénateau : connard
Quelqu’un demandait qui était kanapa. Jean Kanapa était un membre du CC du PCF. Il s’appelait Jean Kana…connu pour sa virilité, il fut émasulé lors d’une chevauchée sur le cal de Constance. Il se fit appeler ,dès lors Jean Kanapa. Il aurait pu aussi choisir de s’appeler Jean Kanaplu.
entendu deux Français
– Il nous revient trop cher
– Il faut le balancer
Et la constitution, messieurs?
Clopine, moi je pense à ces pauvres hommes qui doivent s’endormir chaque nuit dans la chambre conjugale, sinon la maison toute entière, décorée par leurs tendres épouses : dentelles, tapisseries roses, bonbonnière, coiffeuse et poupées ou peluches : le cauchemar !
Notez, la Constitution… il va peut-être dissoudre… et ça va faire pschitt !
La constitution de la Ve République, la seule chose à sauver, ueda !
Les Français sont de grands idéalistes :
«Il faudrait pouvoir faire participer ceux qui ne se reconnaissent dans aucun parti» http://bit.ly/1oxstpy
Donc, si je suis bien le raisonnement Clopinien, il faudrait choisir automatiquement un quota de femmes sans regarder leur mérite ou leur absence de mérites littéraires, et récompenser systématiquement les deux sexes, non parce qu’ils ont du talent, ce serait secondaire, mais au nom de la Déesse Parité.
Un tel travail idéologique serait la négation de toute critique littéraire.
Pour faire marcher la machine de Guerre , on hésite pas à fabuler. Sœur géniale de Shakespeare,dont on s’étonne que seule Virinia Woolf la connaisse, et plus récemment, promotion de la folle Adèle Hugo par Kate Cambor au rang de compositeur doué, là ou les textes de Madame Hugo disent seulement qu’elle s’enferme pour jouer du piano. Elle n’a d’ailleurs laissé aucune œuvre musicale. Mais pour la cause, on en est plus à une approximation près.
Au fait,s’agissant de Colette, on écrit Willy et pas Willie, confusion probable avec Winnie, Winaretta Singer, qui elle, avait de l’esprit.
MC
PS
Au rang des faux historiques féminins, il y a aussi, chez Luc Besson, cette sœur violée de Jeanne d’Arc, qui ne l’a jamais été, mais qui était nécessaire pour vendre une image de Jeanne d’Arc à Hollywood!
Vous rendez-vous compte que la « légitimité » d’une femme à écrire était réduite au point de devoir adopter un pseudo masculin, (Clopine)
Si je crois ce que je clique, yes and no
http://www.jcbourdais.net/journal/29juin05.php
Dans ces pages du Journal de Sand, il y a comme des emportements clopinesques.
Croupis dans ta bande de momie qui craint de montrer son âge puisque tu te montres incapable de ne pas y coller, telle une vieille plaie purullente.
Ciao
Kanapa…
Il est mort dans son lit, l’heureux homme…
Clopine, moi je pense à ces pauvres hommes qui doivent s’endormir chaque nuit dans la chambre conjugale, dévorés par leurs tendres épouses: le cauchemar ! (JB)
Vagina dentata?
Vos propos sont offensants, Jacques Barozzi. J’ai de nombreuses bonbonnières chez moi.
besoin de cauchemar chez un autre pour prétendre à une vie de réve
la plouquitude ostentatoire de la bourgeoisie
toujours fin de race ce kiki..
Escusez-moi Clopine, mais George Sand n’avait à Nohant qu’une grande maison bourgeoise, pas un château. Pour le château, voir La Châtre à 7 km plus loin (du latin Castrum, camp fortifié, puis château-fort). Et ce n’est pas Jacques qui va me contredire : c’est dans tous les guides (cf. Le goût de la Châtre, le goût du Berry, le goût de Nohant, le goût de Chopin au piano au 1er étage pendant que Jojo se refait une beauté devant sa coiffeuse)
Et la constitution, messieurs?
tu crois que fion et elcabache sont sur la rdl? certes le blogapassou est prestigieux..à moins qu’ils viennent ici rien que pour te lire ?..je me perds en conjecture
George Sand n’avait à Nohant qu’une grande maison bourgeoise
fort vilaine dédé..mal gaulé..tout ces pianos n’y pouvaient rien
Passou dit: 5 septembre 2014 à 11 h 42 min
Pardon aux gastronomes : il fallait lire « cèpes cuits et crus »
Cé pas grave Passou, ta ka mette « des bollées » et ça fera plaisir au Normands du Périgord.
oui oui, cessa, sans mille volts..
fais-toi enterrer avec un appareil de mesures, boubouge
avec l’appareil dentaire ça te fera une paire
..la plus grosse la plus noueuse kiki!..j’y ferais bien une empreinte en surface pour humilier les vivants
Je ne connais pas de dentiste à Grignan, mais.
Le territoire et les bonnes cartes.
Bon appêtit !
http://restaurant.michelin.fr/restaurants/france/26230-grignan
Entièrement d’accord, Deneb. J’ai écrit « Nohant » parce que je pensais « la bonne Dame de Nohant », et que j’étais pressée. je le suis toujours d’ailleurs !
bouguereau dit: 5 septembre 2014 à 12 h 59 min
Et la constitution, messieurs?
tu crois que fion et elcabache sont sur la ddl?
La majorité des blogueurs savent probablement que tu es académicien.
L’empreur du calçon c’est toi.
Le coup de la Pléiade tu as fait fort.
Donc, si je suis bien le raisonnement Clopinien, il faudrait choisir automatiquement un quota de femmes sans regarder leur mérite ou leur absence de mérites littéraires, et récompenser systématiquement les deux sexes, non parce qu’ils ont du talent, ce serait secondaire, mais au nom de la Déesse Parité.
Non, vous ne suivez pas bien mon raisonnement… Ce que vous décrivez là serait absurde, bien évidemment. Mais ne pas relever la chose aussi : il faut constater qu’il n’y a pas parité, et se demander pourquoi. Et hop, des réponses surgissent. Mais nier la chose en se servant du prétexte commode « mais non, mais non, c’est juste un hasard, parce que la littérature n’a rien à faire avec la condition de ceux qui l’exercent », c’est cela qui me paraît absurde. Le mot « parité » m’est venu spontanément à l’esprit, par juxtaposition avec le débat qui s’est posé au niveau, non plus littéraire, mais politique. Souvenez-vous : au nom de grands principes constitutionnels, qui déclaraient l’égalité et fondaient la représentation sur le mérite, on acceptait sans broncher un personnel politique à 80 % masculin…
Je ne cherche pas à vous convaincre, Court, parce que vous savez mieux que moi ce que je pense (évidemment), et que vous ne renoncerez jamais à une seule de vos convictions. Mais j’écris peut-être pour des lectrices de passage, qui, sans oeillères, auraient envie soit de débattre, soit de m’approuver…
Et je persiste à penser (j’ai un cerveau, je tente de l’utiliser) que la question vaut d’être posée. ne faisait en cela qu’imiter Virginia !
;.. Et ce n’est pas l’enquête du biblioobs qui me contredit, en ce qui concerne l’attribution de prix littéraires et la même critique littéraire. Un simple extrait :
« Le site VIDA, visant à «explorer les perceptions de l’écriture féminine dans la critique et la culture», se penche depuis trois ans sur la présence féminine dans la presse littéraire américaine. L’an dernier, nous avions relayé les résultats de leur étude pour l’année 2010. Les résultats étaient accablants: l’immense majorité des livres chroniqués sont écrits par des hommes, et chroniqués par des hommes. VIDA vient d’actualiser ses données: rien n’a changé. »
De plus en plus de livres et surtout de films de femmes, Clopine. Je ne sais pas s’il y a une écriture ou une vision spécifiquement féminine, je ne me pose pas la question. La ligne de démarcation se fait plutôt entre ce qui me semble bon ou moins bon.
L’écriture prétendue « féminine », c’est du blablabla. Il y a un écrivain, c’est tout. Peu importe ce qu’il raconte, peu importe son sexe.
Et c’est sans doute pour cela que « dans leur immense majorité, les livres chroniqués sont écrits par des hommes et chroniqués par des hommes », ben tiens.
Je salue bien bas la présence de Holden Caulfield
aperçu dans les commentaires; cela nous change agréablementdes celles des vieux débris, messieurs Bouguereau et JC
Ce que l’on sait, Clopine, c’est que les femmes sont majoritaires en matière de consommation littéraire…
Moi je pense qu’elle existe bel et bien, l’écriture féminine. Tenez, c’est un des critères d’analyse, pendant les DLA (diagnostic littéraire à l’aveugle) des Papous. Et les experts se trompent rarement…
Clopine dit: 5 septembre 2014 à 13 h 38 min
Et je persiste à penser (j’ai un cerveau, je tente de l’utiliser…
No comment
MC
Eh oui, Jacques, elles devraient donc être les plus nombreuses en matière de critiques et d’attribution des prix, en toute bonne logique. Or, c’est l’inverse qui se passe…
Par contre, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais les « blogs littéraires » sont, eux, me semblent-il, plus nombreux chez les filles que les gars. Normal : cet espace-là leur est ouvert, alors, elles s’y engouffrent. Parce que dès qu’on pousse une porte, qu’on ouvre une fenêtre, les filles sont partantes. Elles sont épatantes, les filles, en général et sauf exceptions que je ne citerai pas. Certains garçons aussi, du reste. Mais faut chercher !
Marcel, vous connaissez la signification d' »ironique », rassurez-moi…
@Clopine
Ce que vous revendiquez me semble très dangereux pour les femmes.
Vous militez pour je-ne-sais-quelle-nature-féminine-spécifique.
La différence des sexes ne devrait avoir de sens que dans ce qui est spécifiquement sexuel.
La parité, la féminisation des noms de métier sont, à mon avis, les pires ennemis de l’EGALITE des sexes.
J’ai entendu ceci d’une militante qui vous vaut bien Clopine: « Lorsqu’une récompense ou un poste sera donné à une femme non parce qu’elle a du talent, mais parce qu’elle est femme, le combat sera peut etre gagné, mais nous aurons beaucoup perdu. »
Ce que Rémy de Gourmont avait perçu de manière lucide :
« Notre souveraine veut devenir notre égale. Tant pis pour elle. »
dans la catégorie vieux débris, j’ai oublié ce MCourt, bizarre l’asticot
Punaise de bordel de merde. Moi, Marcel, j’avais une ouverture avec mon voisin de Bois-Guimauve. J’ai décliné l’invitation.
J’ai donc raté le million d’exemplaires de révélations croustifondantes parimatcheuses que la Rottweiler va encaisser à ma place. Le monde est mal fichu.
BON SANG DE BONSOIR, je ne veux pas dire qu’il faut donner un prix littéraire à une femme sous prétexte qu’elle serait femme, mais s’interroger sur le sexisme ordinaire de notre société, mille fois prouvé, mille fois démontré, et toujours autant nié.
Si ce sexisme n’existait pas, comme vous l’affirmez, alors, statistiquement, il y aurait des années où le jury Goncourt aurait à choisir entre 11 livres écrits par des mains féminines, et 4 masculines. Qu’on examine les listes des nominé(e)s, années après années, avant de me donner tort !
Allons, Clopine, calme-toi. Tu sais bien que ça arracherait la gueule aux beaux esprits qui fréquentent cet endroit, d’admettre un peu de vérité et de bon sens dans tes paroles. Les autres, oui, les grands méchants loups, les ayatollahs et les fous religieux, bon là, d’accord. Mais nous ? Nous les redéliens ? Oser nous accuser de sexisme (et on pourrait ajouter l’homophobie, pour faire bonne mesure) ? Comme si nous en étions capables ?
Wouarf. Tiens, je vais aller caresser mon chat. Son ronron m’est agréable à l’oreille, et il m’est totalement soumis…
J’ai passé ma vie professionnelle dans un monde où le fait d’etre une femme n’a jamais été un handicap, où le fameux plafond de verre n’était qu’un mythe invoqué par certaines pour expliquer qu’elles n’aient pas la place qui leur semblait correspondre aux mérites qu’elles se prêtaient ;un monde où jamais des considérations liéees au sexe n’ont inflechi des carrieres, car nul n’aurait eu l’idée de considérer qu’il puisse y avoir une inferiorité intellectuelle des femmes par rapport aux hommes ,
Petrie de cette conviction, j’ai constaté cependant un phenomene qui m’a rendue dubitative.
Autrefois les cracks de sexe masculin en math entraient à la rue d’ULM , les femmes du même calibre à Sevres et il y avait autant de reçus dans chaque ecole .
A partir du moment où les concours ont eté fusionnés, le nombre des filles s’est reduit comme peau de chagrin ,et cela d’une manière permanente ,au point que l’année où elles étaient 5(dont la major) sur une quarantaine de reçus a été considérée comme un crû feminin exceptionnel.
Et si dans le domaine des sciences, il y avait, pourquoi pas ? une difference entre les cerveaux de filles et les cerveaux de garçons ?
C’est peut-être une pensée machiste mais je pense qu’elle sera moins mal reçue que si elle venait d’un homme et qu’il ne faut pas, par parti pris ideologique ,se refuser à poser certaines questions
et ce pauvre Mauvignier qui n’en est même pas.
Paul Edel au secours !!! Mauvignier n’en est pas !
c’est quoi cette liste ?
elles font quoi ces 4 femmes dans cette liste ?
c’est pour faire de la figuration?
je commencerai par remplacer Salvayre par Mauvignier.
remplacer Clara Dupont Monod par Olivier Adam.
virer Joy Sorman et mettre Blas de Roblès à la place.
Pauline Dreyfus virée ! à la place Serge Joncour !
il en reste encore une ?
en plus c’est que le jury aurait fait s’ils n’étaient obligés de se la jouer politiquement correct.
sérieux Salvayre et pas Mauvignier ?
Joy Sorman et pas Joncour ?
et l’autre, Clara Dupont Monod, quelqu’un a-t-il déjà lu un bouquin de cette femme ? c’est nul à ch.er !
alors que Blas de Roblès lui c’est un vrai romancier !
on se fout de la gueule de qui ?
Y aurait-il d’autres disciplines où ce soit l’inverse, DHH : sciences humaines, langues étrangères… ?
les femmes seront moins chiantes quand les hommes seront moins CONS
Olivier Adam
Jean Marie Blas de Roblès
Adrien Bosc
Kamel Daoud
Grégoire Delacourt
Benoît Duteurtre
David Foenkinos
Serge Joncour
Fouad Laroui
Gilles Martin-Chauffier
Laurent Mauvignier
Mathias Menegoz
Eric Reinhardt
Emmanuel Ruben
Eric Vuillard
voilà une vraie liste qui a de la gueule.
« les femmes seront moins chiantes quand les hommes seront moins CONS »
ça c’est écrit par une femme, car chiantes est en minuscules alors que Cons est en lettres capitales !
« Florine Boldo dit: 5 septembre 2014 à 14 h 37 min
les femmes seront moins chiantes quand les hommes seront moins CONS »
oui c’est ça, dans vos rêves.
parce que dans la nature la connerie des hommes est responsable du système endocrinien des mammifères femelles peut-être ?
Et toujours pas d’Emmanuel Carrère, hamleD. ?
Monsieur Assouline, selon vous cette comédie littéraire va encore durer longtemps.
je veux dire les gens font finir par se lasser non ?
ça m’étonnerait que les nouvelles générations continuent de jouer ce jeu.
même si après vous il y aura encore dans le jury du Goncourt des Mauvignier ou des Reinhardt, le public de consommateurs va finir par se lasser un jour, non ?
Jacky vous insistez à me prendre pour cet imbécile de D. juste pour m’em.erder, mais c’est pas grave je vous aime bien quand même.
Faudrait-il créer un prix Masculo pour contrebalancer le prix Fémina ?
pas d’Emmanuel Carrère ? il est entrain de regarder les filles se masturbent à la téloche, il peut faire deux choses à la fois
hamlet, ce serait vraiment dommage de virer Joy Sorman avec sa magnifique histoire d’ours !
Grosse confusion volontaire ou involontaire dans le médias concernant le succès d’une expérience « de télépathie ».
Le message a en effet été transmis par Internet (!) entre l’émetteur et le récepteur.
La véritable télépathie, que je pratique depuis longtemps, s’effectue bien évidemment sans aucun artifice de ce genre, de façon instantanée et sur des distances qui peuvent se compter en milliers d’années-lumière.
D. est un type égocentré, il ne voit que lui, en dehors de lui il n’existe rien, alors que moi pour moi je n’ai jamais existé, moi c’est la autres qui m’intéressent et pas moi.
vous voyez la différence ?
moi je m’intéresse à cette vaste comédie culturelle avec ses menus gastronomiques de jury littéraires parce que je pense aux générations futures.
je me dis c’est pas possible, nous ne pouvons pas laisser ce monde à nos enfants, il nous faut réagir, retrouver un peu de lucidité, remettre un peu d’ordre dans nos valeurs.
et arrêter avec ces hypocrisies. Ces écrivains sont devenus des bêtes de foire : on fait avec les écrivains ce qu’on faisait avec les pygmées au début du siècle dernier, et comme nous le pensons de nos anciens nos enfants auront honte de nous.
vous saviez que Teresa Cremisi a demandé à l’économiste Bernard Maris d’écrire un livre sur l’conomie chez Houellebecq ?
cet conomiste dit qu’en lisant Houellebecq il a découvert le rapport qu’il avait lui-même avec l’économie moderne, il s’appelle Bernard Maris, les économistes lisent Houellebecq pour découvrir l’économie moderne, vous imaginez la situation à laquelle nous sommes arrivés ?
tant que ya pas bouguereau sur la liste, tout est possible, demande à MCourt, il a réponse à tout
hamlet dit: 5 septembre 2014 à 14 h 28 min
et ce pauvre Mauvignier qui n’en est même pas.
Paul Edel au secours !!! Mauvignier n’en est pas !
En effet, pas de Mauvignier dans la liste. Normal :
1°/ l’éditeur est Minuit
2°/ « Autour du monde » (384p, 19,50€, ce n’est pas du roman-photo, du roman de gare, du petit lait, du mou pour chats…
J’aime bien Vieux Popaul, c’est un vrai caïd en littérature, contrairement à MCourt
Bon la poiscaille quand c’est de la langouste ça va. Mais sinon avec les harêtes il y aura des blessés empoignés…
Jacques Barozzi dit: 5 septembre 2014 à 14 h 52 min
Faudrait-il créer un prix Masculo pour contrebalancer le prix Fémina ?
C’est pas incohérent, parce que d’après les savants qui savent, il appert que ce serait la femme le bestiau fondamental, et que nous on serait là exclusivement et que pour la différenciation, et aussi naturellement pour aller au bistrot.
pauvre hamlet. Il me fait de la peine.
Pour ce qui concerne le pourcentage de femmes dans la liste, il est tout à fait normal. Étudiez un peu le calcul statistique avant de monter sur vos grands chevaux et vous verrez que d’une année à l’autre ce pourcentage varie naturellement.
Pour étudier la parité, théoriquement possible, il faut prendre les données naturelles, sans les fausser en imposant des quotas. On observera d’une année à l’autre une fluctuation naturelle du ratio hommes/femmes et en faisant la moyenne des ratios par exemple sur 20 ans on commencera à avoir une petite idée.
Bien entendu les résultats obtenus seront en partie fonction de faits sociologiques sur lesquels il est possible d’influer dans le sens de la parité.
Par contre imposer un quota serait hautement stupide. S’il y a bien un milieu où les femmes ne subissent aucune contrainte pour s’exprimer et être reconnues quand elles ont du talent c’est bien celui des Arts et de la Littérature.
c’est Pivot le président ?
ça m’étonne pas.
c’est un peu à lui qu’on doit la transformation du livre en objet culturel et médiatique, il est responsable de la situation ridicule dans laquelle nous sommes.
S’il me fallait faire une saleté de choix homme-femme, ce serait plutôt Clopine et surtout pas bouguereau, ce vieux débris
Enfin c’est l’idée de Clopine au final mais je ne voudrais pas m’exprimer en son nom sans son assentiment.
homme-femme, tiens, Vieux Barozzi aussi
Gustave Courbet (les années de 1873 à 1877) au Musée Rath à Genève jusqu’en janvier prochain.
« Deneb, vrai téléphathe dit: 5 septembre 2014 à 15 h 23 min
pauvre hamlet. Il me fait de la peine. »
D. ?
vous y avez mal pris ce que j’ai dit ?
je suis désolé mais je le pense vraiment, vous êtes un type totalement centré sur vous même, un peu comme nos écrivaines qui s’imaginent faire de l’universelle avec leurs accouchements.
le tournant de la littérature féminine moderne en France c’est Marguerite Duras.
beaucoup de nos écrivaines se réclament d’elle.
Virginia Woolf c’est pour les anglais, mais les anglais c’est très différent, ils ont Jane Austen, nous nous n’avons pas de Jane Austen, nous avons Marguerite Duras.
vous voyez ?
en fait c’est une affaire de culture.
DHH, je ne peux guère vous répondre, je ne suis pas scientifique. Mais je n’ai jamais vu revendiquer (depuis Gobineau), que la taille ou le « sexe » du propriétaire d’un cerveau avait quelque chose à voir avec ses performances. Il y a quelques années, je vous aurais donc répondu tout de go : rien d’inné, tout d’acquis. Et puis, j’ai vu une émission fort troublante, qui posait le même genre de question irrévérencieuse que vous. Ca s’appelait « pourquoi les femmes sont-elles plus petites que les hommes ? »
L’avez-vous vu ? Si oui, vous vous souvenez certainement de la consternation de l’ethnologue (femme) à la fin du reportage… Là est peut-être la réponse. Le cerveau, comme le reste, ça ne marche pas à l’eau mais à la calorie. Si vous discriminez, par dimorphisme éducatif, les bébés filles en ce sens, jusqu’à en faire une sorte de critère darwinien d’évolution, peut-être aurez-vous une partie de la réponse ?
(l’émission en question était vraiment formidable. Je ne sais si vous pourriez vous la procurer ?)
« la tête à toto dit: 5 septembre 2014 à 14 h 56 min
hamlet, ce serait vraiment dommage de virer Joy Sorman avec sa magnifique histoire d’ours ! »
vous l’avez lu ? c’est bien ?
cette histoire d’ours qu’on promène de ville en ville, cet animal de foire qu’on fait danser et faire des révérences en public c’est un peu une allégorie pour parler de la situations des écrivains aujourd’hui ? non ?
moi j’aurais plutôt dit les pygmées, mais les les ours c’est bien aussi.
Deneb, bien entendu que je ne parlais pas de « quotas », ce serait ici absurde. Mais je voudrais bien connaître le pourcentage, depuis que le Goncourt existe, entre nominées et nominés. Et voir la courbe (car je présume, oh comme ça au pif, hein, qu’au début il y avait 0,01 % de nominées) commencer à changer ; je parie que c’était juste après les années 70. Et quelle année a compté le plus de nominées, hein ?
Ce serait intéressant de savoir, sans parti pris. Ah, si nous avions un juré Goncourt parmi nous, au fait de toutes ces choses, qui accepterait de mener une rapide enquête…
…
…
…
Je dis ça je dis rien, hein, notre hôte. Vous êtes parfaitement libre de tourner la tête !
les femmes ne subissent aucune contrainte pour s’exprimer et être reconnues quand elles ont du talent c’est bien celui des Arts et de la Littérature
ça n’a que l’apparence du vrai, évidemment, ceci dit dédé sinon une explication spéciste à la clopine, qui lui est confortable, puisqu’elle permet de semer le doute que ce serait le produit en fonction de ses caractères particuliers qui serait selectionné, c’est la promotion de la femme a l’expression culturelle qui est le chemin le seul pratiquable, évidemment, écrivain ce n’est pas faire plombier, même s’il est beaucoup d’écrivain qui ne sont que des professionnels de la profession on veut croire qu’ils existent pour nous faire espérer qu’il en existe « de vrais »
Hon pourrait faire des séances de récitation mixtes de la table de Bouvart et Ratinet… En latin pour ceux qui préfèrent !
Clopine lisez donc des livres de philosophie : l’homme n’est pas un animal biologique c’est un animal politique !
aujourd’hui l’homme est devenu un animal démocratique dont l’unique horizon consiste en l’égalité des droits. tout ce qui échappe à ce processus égalitaire est qualifié de discriminatoire.
c’est bien : il ne faut que nul dans la société possède un droit quelconque non accordé aux autres, le mariage, le droit d’avoir des enfants… d’ailleurs je ne crois pas que les hommes possèdent encore, en France, un droit que les femmes n’ont pas.
le problème est que dans l’expression « animal politique » le mot qui bloque c’est pas le mot politique, c’est l’autre.
d’où l’entrée dans une post humanité qui extrait totalement l’homme et la femme d’une nature à laquelle ils n’ont jamais appartenu et de leur condition animale qui a toujours constitué un fardeau.
Nominée, nominées… Même Aragon il dit « à te nommer »…
c’est dla faute a quîrc douglasse sergio
Clopine si ça peut vous rassurer dites-vous que dans la liste de tous les mecs qui ont figuré au Goncourt depuis 50 ans aucun n’avait le millième du talent d’une Jane Austen.
si Carrère ou Mauvignier ou Reinhardt ou Houellebecq arrviat à la cheville d’une Jane Austen ça se saurait, je veux dire on s’en serait rendu compte.
après que nos écrivaines soient encore plus nuls que Carrère et Mauvignier, on point où nous en sommes, s’il faut comparer des nuls à des archi nuls je ne vois pas trop l’intérêt.
d’où l’entrée dans une post humanité qui extrait totalement l’homme et la femme d’une nature à laquelle ils n’ont jamais appartenu et de leur condition animale qui a toujours constitué un fardeau
propos de rabin
depuis 50 ans aucun n’avait le millième du talent d’une Jane Austen
propos de curé
nous appartenons à la nature notre condition animale n’est pas un fardeau et ce qui nous distingue de jeanne austen est tellement infinitésimal qu’il faut justement être trés informé pour le voir..sinon « ça se saurait »
Les suffragettes, é nous gavent, et voici pourquoi : il n’y a plus de béquille centrale sur les motos, et alors ce serait à cause des bonnes femmes, rapport au fait qu’elles ont haucun muscle. Mais on se tue à le dire, même une trois cents kilos ça se béquille avec deux doigts, c’est juste une question d’équilibre !
Quand je lis la prose et tout de ce bouguerau, je pense toujours à cette saleté de Maurice Thorez mais en tellement moins bien comme dirait ce JC
Ah, réduire une femme à son sexe est aussi absurde que d’y réduire les anges. En ce sens, l' »origine du monde » est bien le tableau de son époque. Le modèle y est décapité, comme ça, c’est tout de suite fait. Une « réduction de tête », terrible… (Bouguereau, ramassez votre langue, là, vous tachez votre plastron. Ce n’est pas parce que je parle du tableau de Courbet qu’il faut vous mettre dans des états pareils. Reprenons.) Quand je pense que Lacan recevait ses clients avec ce tableau-là caché derrière lui : je plains les malheureuses qui ont tenté d’obtenir de lui une quelconque « guérison » !
Sur cette histoire « d’écriture féminine. »
Tiens on devrait donner à lire « à l’aveugle »
Enfantines de Larbaud ,les Tigres sont plus beaux à voir de Jean Rhys,Ethan Frome de Edith Warthon et Daisy Miler de Henry James à des lecteurs(trices) qui les ignorent absolument et qui après lecture devraient se prononcer sur le « sexe » de l’écrivain, eh bien, je suis convaincu qu’un fichu sacré paquet de réponses erronées seraient données, et c’est très bien ainsi.
« bouguereau dit: 5 septembre 2014 à 16 h 03 min
nous appartenons à la nature notre condition animale n’est pas un fardeau et ce qui nous distingue de jeanne austen est tellement infinitésimal qu’il faut justement être trés informé pour le voir..sinon « ça se saurait » »
greubou, c’est la première fois que je t’entends parler normalement.
ça va ? t’es pas malade au moins ?
l’homme est né en sortant de la nature, l’homme pré sapien était dans un environnement, pauvre en monde comme dit l’autre, le sapien entre dans le monde en sortant de la nature.
l’homme sort de la nature en s’extrayant des lois de sélections naturelles, Darwin ne concerne les animaux mais pas les hommes, c’était le plus gros reproche de Nietzsche fait à l’homme, ne plus obéir aux lois prescrites par la nature mais aux lois prescrites par les hommes, qui fait que les faibles sont forts et inversement…
le fardeau de la biologie il faut en parler aux femmes qui prennent la pilule : le biberon, la contraception, la fécondation in vitro, la naissance assistée, la péridurale, l’élevage des jeunes externalisé, et bientôt les utérus artificiels, la technique n’est pas l’oubli de l’être humain la technique est ce qui a permis la réalisation de l’humain, l’homme est une invention technique. Les philosophes n’ont jamais accepté cette vision, même Arendt disait que la technique est sans but, c’est faux la technique a toujours eu un but : extraire l’homme de son fardeau biologique.
A Rassure… de 12.5: Il faudra s’y faire :nous avançons dans un monde où de moins en moins de gens sauront qui fut Jean Kanapa. En tout cas, j’aime beaucoup votre définition.
… et pendant ce temps-là, la Fnac écoule chaque jour 15 000 exemplaires du livre de Valérie Trieweiler…
pauline réage étoye un portuguais et jean polan une brésilenne opéré(e) dénota
De nota, je ne suis pas assez avancée pour oser vous contredire, sauf sur un point : Edith Wharton, qui est incontestablement une écriture « féminine » au plus haut point. Pas « fénministe », nous sommes d’accord, mais féminine. Dommage qu’on ne puisse pas jouer : j’aurais pris le pari de gagner, sur ce coup là, en l’identifiant en deux coups les gros. (qu’Edith Wharton me pardonne, de là-haut, de la qualifier de « coup » !)
chaque jour 15 000 exemplaires du livre de Valérie Trieweiler…
c’est un homme..il a une bite en fer..françois c’est un pove gars
En tout cas, j’aime beaucoup votre définition.
..rénateau va croire qu’il peut aller chanter à rome
Proverbe malgache:
la réage enrage quand le paulhan est lent.
« chaque jour 15 000 exemplaires du livre de Valérie Trieweiler… »
là où on mesure toute la supériorité de l’écriture féminine.
« grebou, t’es pas malade au moins » ?… la saleté de réponse est dans la saleté de question et tout et c’est tous les jours comme ça
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