de Pierre Assouline

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Le (premier) centenaire d’un grand poème

Le (premier) centenaire d’un grand poème

Notre pays a-t-il jamais fêté l’anniversaire d’un grand poème en langue française ? Moi non plus, je ne vois pas, aucune date qui s’impose à l’esprit. Oh certes, en fouillant dans les catalogues annuels des célébrations et commémorations nationales (avant qu’une stérile querelle sémantique ne les enterre), on y trouverait probablement un hommage de la nation à la Balade des pendus ou Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage ou L’Albatros ou encore au Bateau ivre. Mais un grand poème unanimement tenu pour un classique moderne et qui ait dominé le XXème siècle dont il est issu ? On a beau chercher…

Il n’y a pas lieu de s’en étonner puisque cela correspond au médiocre statut de la poésie en France. Médiocre car sous-estimé, méprisé quand il n’est pas tout simplement ignoré. Dans le même temps en Italie, en Espagne, en Allemagne, en Russie, un poète, c’est quelqu’un. Par sa présence, il peut remplir des salles de centaines de personnes qui ne se déplacent que pour l’écouter lire son oeuvre. Un récital car la poésie c’est de la musique. Comme de coutume mais cette fois à raison, les Anglais nous donnent une leçon en célébrant cette année le (premier) centenaire de The Waste Land que T.S. Eliot (1888-1965) publia en octobre 1922 dans une revue. Un poème révolutionnaire par sa modernité et par l’influence qu’il exerça durablement en Grande-Bretagne mais aussi aux Etats-Unis, en Irlande et en Inde comme le souligne Steven Matthews dans son « livre du centenaire » qui recueille les témoignages de certains de ses innombrables héritiers littéraires.

Dédié au poète Ezra Pound, qui fut le premier lecteur critique du manuscrit et le fit réduire et amender, La Terre vaine (dans la traduction de Pierre Leyris ou encore Terre inculte dans la version de Pierre Vinclair ou même ailleurs La Terre vague dans celle de Michel Vinaver pour France-Culture) est un poème réputé difficile d’accès, jugé hermétique au premier abord et même aux suivants, truffé de mots et d’expressions empruntés à d’autres langues que l’anglais (latin, grec, français, allemand), de sources nombreuses et de références puisées dans la Bible, la légende du Graal, les contes de Canterbury, le Satyricon de Pétrone, les Métamorphoses d’Ovide, la mythologie celtique, des livrets d’opéras de Wagner, la Divine Comédie, le Rameau d’or, sans oublier Verlaine ainsi que Shakespeare et les Upanishads… entre autres ! Autant dire que ce genre de poème n’exige pas seulement d’être lu mais élucidé. La version hypertexte donne une idée de la variété vertigineuse des sources.

Ruptures de ton, polyphonie virant à la cacophonie, argot cockney au service d’une forme éclatée et subversive dont la rigueur et l’unité avaient échappé à la plupart de ses premiers critiques. On imagine tous les problèmes qui se posent non seulement au traducteur mais encore au retraducteur. 433 vers répartis en cinq sections. De quoi ça parle importe moins que de savoir de quoi ça nous parle. Il est si crypté que des générations d’étudiants se sont échinés à en casser le code. On n’a pas fini d’en méditer les vers les plus célèbres, qu’il s’agisse de l’incipit (« Avril est le mois le plus cruel/ April is the cruellest month ») et de se demander pourquoi, après tout, avril serait plus cruel que mars ou mai (la réponse est à cherche du côté de Chaucer), ou de l’excipit (« Shantihshantih shantih ») mais comme c’est du sanskrit chu des anciennes Ecritures hindoues, on a une excuse et de toute façon, si on avait lu simplement « Paix Paix Paix » cela n’aurait pas eu le même effet. En tout cas c’est bien avril dernier, et pour cause, que s’est tenu sous le titre de « Fragments » un festival entièrement consacré à l’anniversaire de The Waste Land ; les manifestations ont été dispersées dans vingt-deux églises londoniennes six jours durant avec des poètes, des chanteurs, des musiciens, des comédiens -mais surtout pas d’universitaires…

Né américain, naturalisé britannique et converti à l’anglicanisme, les anglo-saxons peuvent bien se le disputer, The Waste Land comme le reste de son œuvre, n’en sont pas moins universels. Pour s’en convaincre, il suffit de le lire ou de l’écouter (ici par les voix de Jeremy Irons et Eileen Atkins.  Ou de regarder le documentaire qui lui a été consacré en 1987). Mais ce n’est pas un hasard le centenaire de son fameux poème est avant tout une affaire anglaise car il a tôt fait sa vie jusqu’à sa mort, en Angleterre où il a dirigé la revue The Criterion (1922-1939 et exercé comme éditeur au sein de la maison Faber and Faber. Davantage qu’un prix, fût-ce le Nobel de littérature qui couronna l’œuvre de Thomas Stearns Eliot en 1948, tout poète rêve de laisser derrière lui un seul poème mémorable. On ne voit guère que If… qui ait joui au XXème siècle d’une telle notoriété. Mais tout opposait Kipling et Eliot (sauf un antisémitisme viscéral qu’ils avaient en commun). Le premier, qui souhaitait la voir descendre dans la rue, décrétait : « « La poésie a amené avec elle le train de neuf heures quinze » quand le second voulait que l’on plaçât derrière chaque mot tout le poids de l’histoire de langue. If… se donne dans l’instant et sans contrepartie à ses lecteurs alors que rarement un poème aura comme The Waste Land autant attendu de ses lecteurs.

Cent ans après, c’est peu dire qu’il entre en résonance avec notre époque. Même T.S. Eliot en convenait : publié au lendemain de la première guerre mondiale et de la pandémie de grippe espagnole, son poème est particulièrement sombre. Mais en nos temps de Covid, de guerre en Europe, de ravages climatiques, n’est-il pas de saison ?

(Photo Granger)

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commentaires

1 576 Réponses pour Le (premier) centenaire d’un grand poème

et alii dit: à

En tant qu’anthropologue, je pense profondément que l’on comprend mal ce que l’on n’a pas vécu directement. Je me suis donc présenté comme un fanatique des armes, écœuré de ne pouvoir donner libre cours à ma passion en Europe. Et j’ai ainsi été accepté au sein d’une des meilleures écoles au monde d’assassins à distance. le monde Patrick Declerck

et alii dit: à

quand j’étais jeune, j’ai entendu disputer pour dire s’il convenait d’offrir de armes-jouets aux jeunes garçons

et alii dit: à

je me souviens qu’on parlait de:
poche-revolver \pɔʃ ʁe.vɔl.vɛʁ\ féminin

Poche de pantalon située à l’arrière au niveau du fessier.
Un peu à l’écart, la pensée ailleurs, Paul Morand, le buste en avant, les mains aux hanches dans ses poches-revolver, comme le héros de L’Homme pressé, paraissait attendre le signal d’un starter invisible. — (Antoine Blondin, Monsieur Jadis ou l’École du soir, 1970, réédition Folio, 1972, page 168)
Oui, les pantalons aussi, parce qu’il y a des hommes qui mettent leur portefeuille dans leur poche-revolver. — (Michel Tournier, Le coq de bruyère, Éditeur Flammarion, 1978)

bouguereau dit: à

la truie freud et le gonzo anthropologue..tir groupé

bouguereau dit: à

overdose de verveine

ça fait pisser..les chiottes étaient férmé d’l’intérieur

bouguereau dit: à

Ray Liotta

sousemployé..son coté beau gosse tête à claque faux cul c’est un peu l’amérique qui avait du talent..une geule de marchand d’aspirateur qui sonne havant lfacteur..preum..mais voilà..il a fait l’troiz

D. dit: à

Tu n’es pas parti en week-end, Bouguereau ?

bouguereau dit: à

il te manque toujours trois joueurs pour une bellote dédé

et alii dit: à

En solidarité avec le peuple ukrainien, Seghers republie la poésie de Taras Chevtchenko.
Tous les bénéfices de cette édition seront reversés à l’association Aide Médicale et Caritative France-Ukraine (AMCFU), qui agit en faveur des réfugiés

et alii dit: à

des images pour les dieux:
Résultat d’une étude approfondie sur le terrain dans l’État du Madhya Pradesh au centre de l’Inde, les auteurs, Jean Clottes et Meenakshi Dubey-Pathak, cet ouvrage illustré est un témoignage unique sur l’art pariétal propre à cette région du monde. Les peintures, qui couvrent une vaste période, ont pour intérêt, outre leurs qualités esthétiques, de rendre compte de traditions dont certaines perdurent encore aujourd’hui dans la culture des tribus locales. Ainsi, des cérémonies sont encore conduites dans certains abris peints, ce que nul ne soupçonnait jusque-là. Des témoignages détaillés, totalement inédits, ont été recueillis sur ces pratiques en voie de disparition.
https://www.futura-sciences.com/sciences/dossiers/homme-inde-decouvrir-art-rupestre-tribal-1821/page/6/

Patrice Charoulet dit: à

« JUIF » avec majuscule où minuscule ? Que dit le dictionnaire de l’Académie française, dernière édition ?

« 1 . Personne descendant de l’ancien peuple d’Israël 2 . Personne qui professe le judaïsme.
Dans les emplois où ce deuxième sens est prédominant, on ne met pas la majuscule. »

Alexia Neuhoff dit: à

Libération m’apprend la mort de l’écrivain Claude Michelet. Gros succès de librairie, méprisé par la critique parisienne, Corrézien, paysan, bien que fils d’Edmond Michelet, ministre des armées du Général. Jamais lu. Déclaration au Parisien (2000): «Etre populaire, c’est savoir raconter une histoire tout en apprenant des choses. Les romans nombrilistes tournent à mes yeux un peu en rond. Ils viennent d’écrivains qui passent leur temps à faire de la psychanalyse en public, ce dont le public se fout justement.» Pas mal vu.

Paul Edel dit: à

Renato, j’ai mis une maquette de paquebot pour Assouline.

et alii dit: à

enfin, un livre dédié à des erdéliens! sur l’obs:
Sans tabou, Renée Greusard livre dans cette chronique (un peu) sa vie intime, et finalement parle beaucoup des nôtres. Cette semaine, elle s’interroge sur notre rapport aux fautes (d’orthographe)

Damien dit: à

La mort de Claude Michelet — puisqu’il faut parler de tout, sans hiérarchiser l’information — me rappelle un coiffeur que j’avais, dans le temps. Un jour, il m’a parlé de Claude Michelet, que je n’avais pas lu, et que, par la suite, je n’ai pas lu non plus. Michelet était célèbre, à l’époque, un peu comme Joël Dicker aujourd’hui, et cela ne m’a pas étonné que mon coiffeur le connaisse. C’était d’ailleurs le seul écrivain qu’il m’ait jamais cité, certainement qu’il n’en connaissait pas d’autre. Je me suis dit, sur le moment, que ce coiffeur était sans doute de droite, comme tous les gens « au taquet », de la droite la plus réactionnaire et pénible qui soit. En plus, il ne coupait pas très bien les cheveux, malgré le luxe de son salon de coiffure, qui avait encore une autre partie réservée aux femmes. Je repasse souvent devant cette enseigne, l’intérieur a été transformé. Je n’y suis plus retourné me faire coiffer, depuis cette époque. Aujourd’hui, je porte les cheveux longs jusqu’au cou, avec un catogan, comme feu Lagerfeld. Je coupe mes cheveux moi-même — et cette mort de Claude Michelet, annoncée ironiquement par « Libé », me fait penser que, parfois, cela vaut mieux de ne pas ou de ne plus avoir de coiffeur du tout. Non par ressentiment ni haine du passé, mais pour raison garder. Telle est la petite morale de mon anecdote sur Claude Michelet (pourtant, avec un nom de famille pareil, on pouvait s’attendre à des merveilles !).

l’ombelle des talus dit: à

@Telle est la petite morale de mon anecdote sur Claude Michelet

Pet au cul, crotte à l’affût

Alexia Neuhoff dit: à

Damien : et cette mort de Claude Michelet, annoncée ironiquement par « Libé »

Pas une once d’ironie dans la nécrologie de Libération.

lmd dit: à

Sur la photo, T.S Eliot ressemble plutôt à un secrétaire d’état ou à un des ces chefs d’état-major Étatzuniens qui viennent confesser à la télé qu’il y a trente ans ils se sont complètement trompés, qu’ils croyaient bien faire en donnant raison au Président.

et alii dit: à

damien, puisque vous avez les cheveux longs, vous pouvez vous faire (faire) une « coupe au carré »
(qui rajeunit dit-on)

et alii dit: à

Construit en mars 1942, le camp d’extermination de Sobibór était isolé mais situé à proximité d’une voie ferrée qui permettait d’y conduire les Juifs et les prisonniers capturés en Pologne et dans d’autres zones occupées de l’Union soviétique. Selon une estimation, quelque 250.000 Juifs y auraient été assassinés jusqu’à sa fermeture en octobre 1943.

Au vu des caractéristiques des pendentifs, les archéologues suggèrent qu’ils appartenaient à des individus originaires de Lviv en Ukraine, de Pologne et de Tchécoslovaquie. Mais difficile d’en savoir plus sur leur identité. « On sait peu de choses sur l’histoire derrière ces pendentifs, ce qui est bouleversant », a souligné Yoram Haimi, archéologue de l’IAA qui co-dirige les fouilles.
https://actu.geo.fr/histoire/des-pendentifs-refont-surface-dans-les-vestiges-dun-camp-de-la-mort-en-pologne-208182?utm_source=outbrain&utm_medium=cpc&utm_term=%24publisher_name%24_%24section_name%24&utm_content=Des+pendentifs+refont+surface+dans+les+vestiges+d%27un+camp+de+la+mort+e&utm_campaign=pmo_geo_article_desktop_desktop_tac_2&utm_source=outbrain&utm_medium=cpc&utm_term=FR_Le+Monde+%28Soci%C3%A9t%C3%A9+%C3%A9ditrice+du+Monde%29_Le+Monde&utm_content=Ces+objets+refont+surface+dans+les+vestiges+d%27un+camp+de+la+mort.&utm_campaign=pmo_geo_article_desktop_desktop_rtgconv_1&dicbo=v1-8abd782e08291d80995a127f9d6c5697-00fc3140d2c1b2eb3648d0aee1012af1b3-mq3tmnlbgzrdqljwgzrgmljuhezgmllchbsgiljrgbrwmyldgi3wgobqg4

et alii dit: à

In The Night in Bloom, a series of ten works soon to be on view at Praise Shadows Art Gallery in Brookline, Massachusetts, Jeffers imagines explosive astronomical scenes and impeccably aligned constellations. One work shrouds an abandoned picnic in deep blues and purples before erupting into a bright nebula, cradling stars between the soft glow of city skylines.
https://www.thisiscolossal.com/2022/05/oliver-jeffers-the-night-in-bloom/

Bloom dit: à

Zadie Smith, dont le premier roman (écrit à 21 ans) White Teeth/ Sourire de loup, est décrit comme l’enfant naturel du Bouddha des banlieues* et de Middlemarch** dans ce petit guide à l’usage de ceux qui n’auraient pas encore lu cette auteure génialissime, drôle, bouillonnante d’inventivité et profonde à la fois, au style classique et révolutionnaire.
*de Hanif Kureshi (1990)
**de George Elliot, avec deux ‘t’ (1871)
https://www.theguardian.com/books/2022/may/27/where-to-start-with-zadie-smith

bouguereau dit: à

un des ces chefs d’état-major Étatzuniens qui viennent confesser à la télé qu’il y a trente ans ils se sont complètement trompés

pas mal..moi je voyais un suisse hallemand qui s’il avait su aurait phynancé le goulag et staline

bouguereau dit: à

mais il savait pas attation..hinutile de sortir ton gros stabilo pour cochonner ton écran kabloom..

bouguereau dit: à

Pet au cul, crotte à l’affût

keupu y fait bien la taupe au guichet

bouguereau dit: à

Paul Edel, Vide greniers

polo y’est pas foutu capabe détouffer sa pile de playade pour 3 roro..rien qu’aujourdhui pédro il l’a distancé de 15 cd bêtovène pour 15 boules

bouguereau dit: à

Il n’y a pas de mauvaises herbes dans nos jardins, il n’y a que des mauvaises graines chez les parisiens

si et plein de sale bêtes..mino je voyais des lapins qui venait jusqu’à ma lourde..tout un tas de ptis piafs..aujourdhui nada..dla louftvafeu tout partout..tu flingues une pie..un corbac..un crécerelle? dans lcouloir dla mort direct

D. dit: à

Tu t’ennuyes hein, Bouguereau ?

et alii dit: à

jardins? SALES BËTES?
sur philo mag ,la lettre: »“Examiner le développement des réalités à partir de leur origine, c’est de cette manière que nous mènerons au mieux notre étude”, écrit Aristote dans sa Politique. Entendre par là que pour comprendre les choses, il faut les observer dès leur naissance et tout au long de leur développement. Ainsi, on ne peut saisir l’idée de bambou, son essence même, sans l’observer progresser concrètement. Je n’ai certes pas fait AgroParisTech, mais j’ai fait une première rencontre avec un tel type de connaissance. La vitesse du bambou est devenue la métaphore d’un désir, celui que j’ai de mieux comprendre le monde pour, peut-être à terme, contribuer à l’habiter différemment et de manière plus responsable. En cela, elle a fait de moi une novice comblée.

Des plantes, il est longuement question dans notre hors-série “Vivre et penser comme un arbre”. Je vous recommande cet entretien d’Emanuele Coccia, qui explique ce qu’il entend par “la métaphysique du mélange” caractérisant selon lui les végétaux. Et si vous préférez les salles obscures aux canopées amazoniennes, la critique du nouveau film de David Cronenberg par Ollivier Pourriol est pour vous ! »

Janssen J-J dit: à

Aujourd’hui, je porte les cheveux longs jusqu’au cou, avec un catogan, comme feu Lagerfeld

et en +, il dit vrai et il s’y croix… Tu vois le genre de keupuk ? hein… bin, mon colong !… m&lanie de monchalgrin peut aller sm’ett en burkigni, après ça !

Damien dit: à

« Pas une once d’ironie dans la nécrologie de Libération. »

En voilà une qui, comme mon coiffeur, et même si elle n’a rien lu de cet auteur, admire quand même Claude Michelet. Comment dire. C’est comme si vous me disiez que vous approuviez les marchands d’armes, surtout russes. Bonne soirée à tous !

J J-J dit: à

la brêle des talus…, c’est puck-hamlet ? tu croives ?

Damien dit: à

« Pas une once d’ironie dans la nécrologie de Libération. » A. Neuhoff

En voilà une qui, comme mon coiffeur, et même si elle n’a rien lu de cet auteur, admire quand même Claude Michelet. Comment dire. C’est comme si vous me disiez que vous approuviez les marchands d’armes, surtout russes. Bonne soirée à tous !

J J-J dit: à

damien A., l’a beaucoup pratiqué claude michelet à brive la gaillarde, mais maintenant il l’aime pu, s’est rendu compte qu’il était trop popu péïsan. Fait sa snobinarde depuis que l’est monté à paris, a pu touché karl et depuis, l’est envoûté par la grasse… hein !

Jean Langoncet dit: à

@@Par sa présence, il peut remplir des salles de centaines de personnes qui ne se déplacent que pour l’écouter lire son oeuvre. Un récital car la poésie c’est de la musique.

Puzzling…

« (…)Praise be to Nero’s Neptune
The Titanic sails at dawn
And everybody’s shouting
“Which Side Are You On?”
And Ezra Pound and T. S. Eliot
Fighting in the captain’s tower
While calypso singers laugh at them(…) »

Encore un peu de poésie
https://www.youtube.com/watch?v=FOuSxal8pf4

D. dit: à

Vous vous ennuyez, hein, Jean Langoncet ?

D. dit: à

JJJ aussi s’ennouille dans l’ennui la nuye venuye.

Jean Langoncet dit: à

@Vous vous ennuyez, hein, Jean Langoncet ?

Bien vu. Puisque de Rabelais il a été question, je me languis de sapience malivole. Et puisque de meurtres de masse il est aussi question, savez-vous de qui Poutine tient son autorisation de détention d’armes ?
Bref
https://m.youtube.com/watch?v=HRrlFYg2QkI

JC..... dit: à

SAMEDI 28 MAI 2022, 5h35, 23°, temps calme, ciel dégagé

Je vous rassure : je ne vais pas bien ! la faute à ce maudit Eliot qui me regarde fixement quand j’arrive en RdL comme un gabian de haut vol ciblant un petit gobie, en vue de lui éclater le crane d’un coup de son puissant bec !

JC..... dit: à

PREMIER MINISTRE FRANCAIS

En ma qualité d’ancien du FSB ayant conservé des amitiés datant du KGB de ma seconde patrie, l’URSS chérie, je vous livre un secret bien mal gardé je l’avoue : le prénom du PM français n’est pas Elisabeth.

Mais Brigitte.

renato dit: à

Est-ce l’éducation communiste ? Lors d’une réunion avec les représentants des régions russes, Lavrov, qui oublie qui a envahi l’Ukraine, a dit : « L’Occident ne cache pas qu’il a déclaré la guerre au monde russe. »
28.05 — 06.37

rose dit: à

Mais Brigitte.
Oui.
En pdlr, on a un couilles molles.

rose dit: à

Pdlrf.

rose dit: à

Quelques temps après, Vessovchikov arriva , déguenillé, sale et mécontent comme toujours.
-T’as pas entendu dire qui a tué ce salaud d’Isaïe, demanda-t-il, en piétinant gauchement dans la chambre..
– Non ! fitvPaul brièvement.
– Il s’est trouvé un type que ça n’a pas dégoûté ! Et moi qui me préparais toujours à l’étrangler. C’était un truc pour moi, – celui que convenait le mieux !
– Ne dis plus des choses pareilles, Nicolas, lui dit Paul d’ un ton amical.
– C’est vrai, ça ! intervint la mère affectueusement. Tu as bon cœur, et tu n’arrêtes pas de rugir ! Pourquoi donc ?
– En cet instant, elle avait de l’agrément avoir Nicolas, même son visage grêlé lui semblait beau.
– J’ suis bon à rien, qu’à des choses comme ça ! dit-il en haussant les épaules. Je réfléchis, je réfléchis, où est ma place ? J’en vois point pour moi ! Faut parler avec les gens, et moi, j’ sais pas ! Je vois tout, toutes les misères qu’on fait aux hommes, je les sens, mais pour le dire, j’peux pas ! J’ai une âme muette.
La mère Maxime Gorki
page 191 édition marabout numéro 87.

rose dit: à

Le portrait de Nicolas, par lui-même. Il a quitté la fabrique, est redevenu moujik.
C’est un sauvage.

rose dit: à

Quelques temps après, Vessovchikov arriva , déguenillé, sale et mécontent comme toujours.
-T’as pas entendu dire qui a tué ce salaud d’Isaïe, demanda-t-il, en piétinant gauchement dans la chambre..
– Non ! fit Paul brièvement.
– Il s’est trouvé un type que ça n’a pas dégoûté ! Et moi qui me préparais toujours à l’étrangler. C’était un truc pour moi, – celui que convenait le mieux !
– Ne dis plus des choses pareilles, Nicolas, lui dit Paul d’ un ton amical.
– C’est vrai, ça ! intervint la mère affectueusement. Tu as bon cœur, et tu n’arrêtes pas de rugir ! Pourquoi donc ?
– En cet instant, elle avait de l’agrément à voir Nicolas, même son visage grêlé lui semblait beau.
– J’ suis bon à rien, qu’à des choses comme ça ! dit-il en haussant les épaules. Je réfléchis, je réfléchis, où est ma place ? J’en vois point pour moi ! Faut parler avec les gens, et moi, j’ sais pas ! Je vois tout, toutes les misères qu’on fait aux hommes, je les sens, mais pour le dire, j’peux pas ! J’ai une âme muette.

La mère Maxime Gorki
page 191 édition marabout n° 87.

Alexia Neuhoff dit: à

Damien dit: à

« Pas une once d’ironie dans la nécrologie de Libération. »

En voilà une qui, comme mon coiffeur, et même si elle n’a rien lu de cet auteur, admire quand même Claude Michelet.

Encore un qui prouve qu’on peut avoir des cheveux longs et des idées TRES courtes ! Et le mépris en barrette.

Bloom dit: à

T’as voté EM au 1er tour, Baroz, faut assumer.

Damien dit: à

« Encore un qui prouve qu’on peut avoir des cheveux longs et des idées TRES courtes ! Et le mépris en barrette. »

J’avoue que mon ironie, pour parler de Claude Michelet, frisait la mauvaise foi : j’avais néanmoins averti que je ne l’avais jamais lu, sauf des articles (négatifs) à l’époque sur ses livres. « Libé » jadis avait dû en dire du mal. Ils annoncent sa mort froidement (c’est le cas de le dire), car, quand on est bien élevé, on ne se moque pas d’un cadavre, même s’il ne porte pas de costard. En tout cas, on ne lui taille pas un costard, même si c’est par manque d’inspiration (« Libé » n’est plus ce qu’il était). Alors, ç’aurait peut-être été le moment de réévaluer Claude Michelet ? Mais avons-nous temps à perdre ? Lire un livre, c’est long, surtout d’un auteur réactionnaire pour coiffeurs bourgeois. J’assume un peu mon « mépris » (plutôt mon éloignement, mon indifférence), mais seulement pour mon coiffeur, pas pour vous, A. Neuhoff (vous êtes assez grande pour assumer vos choix, même les plus scabreux et inconséquents). Car j’étais déçu que mon coiffeur ne préfère pas plutôt Saint-Simon, par exmple. Maintenant qu’il est à la retraite (sans doute, à moins qu’il soit mort), il taille peut-être les arbres de son pavillon de banlieue. Il passe la tondeuse (sur l’herbe de son jardin, pas sur son crâne). — A. Neuhoff : les cheveux longs et les idées courtes, c’est l’une des phrases les plus misogynes de la philosophie, on la doit au grand Schopenhauer. En la reprenant, même à l’inverse, vous semblez la justifier. Vous avez le droit, mais j’en suis triste. J’aime les femmes, mais pas quand elles sont masochistes et se rabaissent. J’aime les femmes sûres d’elles, les femmes de tête, qui justement, sous une tête bien coiffée, ont les idées larges. Cela ne semble pas être vous. Un dernier conseil : si vous désirez rester séduisante, faites la dépense : allez chez le coiffeur souvent. Et parlez avec lui de Claude Michelet ou de Joël Dicker, votre spécialité. Quant à l’autre qui me proposait une coupe au carré, je lui suggère de ne pas hésiter à se faire le maillot, malgré son grand âge. Annie Ernaux (la « vioque », comme l’appelait Patrick Besson) n’hésite pas à publier des soi-disant romans dans lesquels elle raconte ses séances de baise avec des jeunots. Nous sommes au temps des « femmes d’aujourd’hui », comme chantait Jeanne Mas dans les années 80. Moralité de cette petite digression ? Le silence est d’or. Je repars me coucher jusqu’à midi. Bonne matinée.

JC..... dit: à

AU ROYAUME DE FRANCE

Ce royaume, ayant survécu aux terroristes révolutionnaires de 1789, est depuis quelques siècles une république une et indivisible ! Par la volonté de Dieu tout puissant.

Votant pour le Roy des Contribuables, Manu 1er, les républicains français récupèrent, pour le même prix, une Reine-Mère adorable qui le mène par le bout-dehors.

Pas belle la famille royale républicaine, démocratique et populaire ?

Vive la France…

closer dit: à

Mépris de classe, Damien, mépris de classe…

C’est très mal.

Les coiffeurs sont, avec les chauffeurs de taxi, de grands connaisseurs de l’humanité.

Jazzi dit: à

« Les coiffeurs sont, avec les chauffeurs de taxi, de grands connaisseurs de l’humanité. »

Et les proctologues, closer, fondamentaux !

J’ai lu l’article du Figaro d’hier consacré à madame Hidalgo : la une, l’édito et les deux premières pages intérieures.
Terrible article, qui sonne l’hallali de notre dame de Paris…
C’est au tour de Marianne, cette semaine, de passer à l’attaque.
Le 26 juin, une grande manifestation, organisée par les réseaux sociaux, est prévue devant l’Hôtel de Ville.
On est prié de venir avec un balai.
Le léZard, en fidèle petit reporter de Paris, ne manquera pas de vous en parler le moment venu…

renato dit: à

Carlo Rosselli*, Socialisme libéral.

Réaffirmer les principes fondamentaux du libéralisme sans nier le socialisme comme une fin est le pivot du livre-manifeste de Rosselli. Concilier l’idée de liberté individuelle avec celle de justice sociale. Le socialisme fédéraliste et libéral de Rosselli théorisé il y a plus de soixante-dix ans, avant l’effondrement du fascisme et des régimes communistes, est aussi une manière d’aborder les apports les plus récents au débat sur le libéralisme socialiste (John Rawls, Amartya Sen) en vue des évolutions politiques du troisième millénaire, qui apparaît dans de nombreuses parties du monde sous le masque de l’autoritarisme et de la technocratie.

https://www.einaudi.it/catalogo-libri/scienze-sociali/politica/socialismo-liberale-carlo-rosselli-9788806199876/

* En juin 1937, il séjourne à Bagnoles-de-l’Orne pour des cures thermales, où il est rejoint par son frère. Le 9 juin, les deux frères ont été tués par des miliciens de la Cagoule, peut-être sur mandat des services secrets fascistes. Les corps ont été retrouvés deux jours plus tard ; les coupables, après de nombreux procès, parviendront presque tous à être acquittés — pour changer.

Bloom dit: à

Baroz, entretemps, Poutine et son balai O’ Zedarskaïa risque de venir nettoyer cette pauvre capitale devenue un triste Disneyland/Dismaland.
Vive Marseille, Nantes, Strasbourg, Clermont et Auch!

Jazzi dit: à

Paris sera toujours Paris, Bloom !

et alii dit: à

il y a dejà d’autres prix pour toutous:
le prix Hero Dog du chien héroïque de l’année en Angleterre. Une récompense remise chaque année aux Crufts Awards chez nos voisins britanniques

Bloom dit: à

Mon copain Marc, en ce moment sur la ligne de front à Zaporija, pense qu’il sera difficile d’éviter une partition de l’Ukraine…Serait-ce un moindre mal temporiaire en pariant sur une fermentation anti-poutine, lente mais sûre?

L’Assyrien va jusqu’à salir la mémoire du procès de Nuremberg…

Bloom dit: à

Paris sera toujours Paris, Bloom !

Ce que disaient toutes les putes qui couchaient avec l’occupant nazi, Baroz.
Et Nantes sera tojours bretonne.

renato dit: à

« #saccageparis »

Degas parlait d’Haussmann comme d’un barbare qui aurait détruit les beautés de Paris. Or, ces beautés on peut les admirer dans beaucoup de photo d’Atget.

bouguereau dit: à

Vous avez le droit, mais j’en suis triste. J’aime les femmes, mais pas quand elles sont masochistes et se rabaissent

keupu rêvant en mâle hintelligence en son harème métaphisique..sur fond vert de gris..les romains keupu les romains haussi se moquaient des gaulois et de leur cheveux..qu’ils tenaient en chignon..défait lors des batailles..tout ça était déjà archi faux..fabriqué..comme ta fausse barbe de précheur de merde

Bloom dit: à

L’Haussmanisation de Paris, P. Nord, L’Esprit boutiquier:

« (…)
L’haussmannisation transforma radicalement la géographie commerciale de Paris. Les avenues spacieuses qui sillonnaient la ville répondaient à la nécessité de désengorger le centre de la capitale, pratiquement asphyxié par une circulation d’une densité extrême, liée à l’expansion urbaine. A la fin du siècle, l’avenue de l’Opéra voyait passer chaque jour 36 185 chevaux tirant 29 460 véhicules en tous genres . La circulation était telle que les piétons traversaient à leurs risques et périls l’intersection de la rue et du boulevard Montmartre, à laquelle Emile de Girardin donna le surnom de « carrefour des écrasés ». Aux yeux du planificateur, la foule des rues, les piétons et les passagers constituaient autant de populations mobiles dont il fallait impérieusement rationaliser les déplacements au moyen d’un plan de rénovation urbaine. Pour le petit commerçant, cette même foule représentait une multitude d’acheteurs potentiels, une vaste clientèle en mouvement. Dans le monde du commerce moderne, un boutiquer avisé n’attendait pas que les clients viennent à lui : il suivait les mouvements du marché et transférait ses locaux dans les rues du nouveau Paris. Qui plus est, celles-ci étaient dotées d’infrastructures qui facilitaient grandement son installation. Les immeubles haussmanniens, surtout ceux situés sur les grandes artères, possédaient en effet de magnifiques rez-de-chaussée particulièrement bien adaptés à l’usage commercial. Ernest Levallois décrit en ces termes les très nombreux magasins de couture qui fleurissaient dans la rue du Quatre-Septembre : « magasins luxueux, vastes bureaux lumineux et aérés, ateliers et salons d’essayage de nos plus modernes artistes, nous n’avons qu’à nous laisser vivre, dans les travaux de la paix, glorieusement, richement. ». Les locaux commerciaux des nouveaux boulevards offraient des avantages non négligeables : spacieux et bien agencés, il étaient en outre d’un accès aisé pour la clientèle comme pour les fournisseurs. Les travaux de rénovation urbaine favorisèrent la constitution d’un nouveau réseau de rues commerçantes formé par les grands boulevards, le boulevard Sébastopol, l’avenue de l’Opéra, les rues de la Paix et de Rivoli. Bien qu’il ait passablement perdu de sa splendeur passée, ce réseau a survécu jusqu’à ce jour sans connaître trop de dommages (la rue du Quatre-Septembre exceptée). C’est dans ce périmètre que naquit le monde du commerce moderne, avec ses jeux de lumières, ses enseignes dorées et ses vitrines tapageuses.
Ces transformations allaient s’opérer au détriment des anciennes rues commerçantes, à la réputation bien établie. Le percement de l’avenue de l’Opéra mit fin à la spéculation immobilière qui, durant une décennie, s’était emparée des rues marchandes avoisinantes (rue de Richelieu, passage Choiseul, rue des Petis-Champs, rue St-Augustin ). D’après les estimations d’Anthony Sutcliffe, de manière générale, « le prix du terrain dans les anciennes rues était environ moitié moins cher que dans les nouvelles rues voisines ». Petits commerçants et propriétaires fonciers virent leurs investissements perdre de leur valeur à mesure que les grands boulevards haussmanniens prenaient leur essor. Nouvellement terminée et macadamisée, la rue de Rivoli attirait à elle une clientèle qui se fournissait autrefois dans les boutiques de la rue Saint-Honoré. La percée du boulevard Sébastopol accéléra le déclin de la rue Saint-Denis, déjà été fortement ébranlée par la concurrence de la rue du Sentier, qui lui avait retiré l’essentiel de son activité commerciale. La construction du Palais Garnier sonna le glas du passage de l’Opéra . Quant à la Place de la République, elle bâtit sa fortune sur les ruines de plusieurs rues du vieux Paris : « On retrouve partout des héritiers de cet infortuné Palais-Royal, il y en a là ; ce sont aussi les héritiers du passage du Saumon, dont les chapeaux mêmes sont exilés, et de la rue du Caire, qui fut le grand marché des fleurs et des plumes, qui n’en est plus que la fabrique ». (…)

bouguereau dit: à

Ce que disaient toutes les putes qui couchaient avec l’occupant nazi, Baroz

la franche..gonzesses à vendre pas encore rasée..hawhawhaw..kabloom got eu niou tiquette for une pinte..2!

Phil dit: à

Or, ces beautés

progrès über Alles, dear Renato. Les étrons des trottoirs de Paris plus évitables que ceux des blogs

et alii dit: à

Le centre d’instruction cynophile de la gendarmerie est basé à Gramat, près de Rocamadour (Lot). Quatorze semaines de formation sont nécessaires pour affecter un maître qui correspond au caractère du chien. « Cela s’appelle un mariage, précise Philippe Rio. Les tests permettent de trouver le juste équilibre pour composer le binôme homme-chien. Un maître-chien avec de l’expérience s’adapte plus facilement qu’un jeune. »

Les chiens sont recrutés entre un an et deux ans. Les chiens de recherche doivent pouvoir passer partout, d’une pièce lumineuse à sombre, de la moquette au carrelage, etc.

« Tout le dressage est basé sur le plaisir du jeu », explique Philippe Rio. À l’école de Gramat, le chien subit des examens caractériels (vigilance, équilibre nerveux, agressivité, etc.), morphologiques et sanitaires avec radio des hanches pour détecter la dysplasie (malformation).
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/chiens-experts-les-fins-limiers-de-la-brigade-cynophile-ont-du-flair-6045449

bouguereau dit: à

paris..le libéralisme..le socialisme..les cheveux long..les putes françaises..en hallemand c’était le nsdap..mais hawhawhaw en anglais devient des fonds de pension..rénateau a droit a une bière aussi kabloom..il bosse lui..faignasse

Jazzi dit: à

« ces beautés on peut les admirer dans beaucoup de photo d’Atget. »

Souvent des cloaques où vous n’auriez pas souhaité à votre pire ennemi de vivre, renato.
Relisez l’ouvrage fondamental de Maxime Du Camp, « Paris, ses organes, ses fonctions… », sous le Second Empire !

bouguereau dit: à

Ce n’est pas un bon signe pour la France quand on voit ce qui est advenu de Paris !

ceci dit tu fais la nécro du lido baroz..ça ne tient pas lieu de prodomo rétroactif parisien..et t’as même pas cherché a donner l’ombre de lhypothèse dun pourquoi..le paris du lézard ère dans quelle étagère?..ou doit il aller?

renato dit: à

« Relisez l’ouvrage fondamental de Maxime Du Camp »

Pas envie de lire cet « ouvrage fondamental ». Puis, l’impératif — relisez ! —est vraiment repoussant.

Alexia Neuhoff dit: à

Ah, que n’ai-je à ma disposition (comme JJJ) un clapier, une petite remise où enfermer Et alii et Damien afin de démarrer un élevage ! Et puis non, tout bien considéré, c’est une mauvaise idée : il me semble que le but de l’élevage est de contribuer à l’amélioration de l’espèce. Avec de tels spécimens, le résultat est compromis.

bouguereau dit: à

Souvent des cloaques où vous n’auriez pas souhaité à votre pire ennemi de vivre, renato.

rénateau en sale communard baroz..un faux nez de clown triste sur les champs élysées..lui faut le faire raquer un max et interviouver la chinoise marxiss léniniss..gros fainéant de lézard! paris a pas bzoin de bras cassé métafisique baroz..rmonte tes manches!

Jazzi dit: à

OK, renato.
Mais on assiste à Paris au retour de la zone !

La fermeture du Lido ne me traumatise pas, le boug.
Si l’établissement n’est plus rentable, on ne va pas le subventionner.
Le Moulin rouge ou le Paradis Latin sont toujours prospère.

Les socialos et écolos d’aujourd’hui auraient beaucoup à apprendre de la politique en matière d’espace verts du Second Empire, sous la conduite d’Alphand…
https://www.lelezarddeparis.fr/histoire-des-jardins-de-paris-2

renato dit: à

Le vieux Paris n’est plus (la forme d’une ville
Change plus vite, hélas ! que le coeur d’un mortel) ;

bouguereau dit: à

Mépris de classe, Damien, mépris de classe…

C’est très mal.

Les coiffeurs sont, avec les chauffeurs de taxi, de grands connaisseurs de l’humanité.

la classe la plus importante en nombre du temps de marx était vraisemblablement les domestique cloclo..ça ne lui échappait pas..pas plus qu’aucun maitre n’est un héro pour son valet..haucun doute..mais on ne mort pas la main qui te nourrit..et tu le sais.. »sans libérté de blâmer » qu’il est écrit par antiphrase dans le phigaro..spèce de phumier dlapin de keupu de cloclo

bouguereau dit: à

Restez calme, renato, c’était de l’humour

mets le à l’amende en franc suisse.. »taxe pour déambulation de crétin des alpes »..ça ça srait dla réforme baroz

Bloom dit: à

La zone n’a jamais été à Paris intramuros, Baroz, c’était l’espace qui séparait les fortifs de la banlieue.
Watch your language!

bouguereau dit: à

qu’il est écrit par antiphrase dans le phigaro..

il devrait y être écrit en gros.. »la presse devrait havoir le sens du service..ce n’est pas notre faute et nous saurons le taire si le pauvre n’en a pas les moyens »

Jazzi dit: à

J’ai donné un os à ronger à et alii, depuis ça l’occupe !

bouguereau dit: à

j’ai vu coupez hier baroz..hon dirait le projet du directeur à l’examen de phin d’étude à l’idèque..il remporte haut la main..mais bon le publique est pas convié..sauf des happyfiou..j’ai du recevoir l’hinvitation de dirfiloo..vu que chus connu qu’au bartabaclotopress

Jazzi dit: à

Pour l’histoire de la zone et de ce qu’elle est devenue, tout est là, Bloom. Et le boug qui trouve que je ne relève pas mes manches !

« Au-delà des fortifications elles-mêmes s’étendait une zone militaire non aedificandi de 250 mètres de large, appelée la “zone” car elle avait accueilli au fil des ans baraquements et roulottes où vivait une population miséreuse et marginale. »
https://www.lelezarddeparis.fr/histoire-des-jardins-de-paris-3

bouguereau dit: à

Et le boug qui trouve que je ne relève pas mes manches !

métafisique baroz..metafisique..faut sublimer la sueur en vapeur qui monte au temple..et c’est surment pas moi qui vais te discuter « la zone »..comme « la commune »..en badge et tshirt au touriste anglais et suisse..faut bien faire son blé baroz

bouguereau dit: à

nonobstant comment ne pas aimer beaumarchais et le ruinart baroz..mais faut le gager à la sueur de son fion baroz..ne te méprend pas faut le marcher en long en large et en travers dans paridgi..à paridgi on se doit soimême de faire le pestacle..sed lesque!

Bloom dit: à

Ce qui rend to mésusage du terme ‘zone’ encore plus calamiteux, Baroz.
Tu l’utilises mais tu l’as pas intégré…
Fais gaffe, mon rabouin, les Apaches vont te scalper & les poulbots te latter les tibias!

et alii dit: à

Le restaurant
« Au Chien qui Fume » c’est une ambiance, une atmosphère, un lieu atypique où se mêlent tradition et raffinement. Notre restaurant est intégralement décoré de tableaux et statues reprenant des œuvres classiques illustrées par des chiens domestiques ou de chasse. Nos peintures vous invitent à découvrir le Paris des siècles précédents… sous des angles canins et ludiques.
Dans ce décor original, prenez le temps de savourer un repas romantique, d’organiser vos déjeuners professionnels, de célébrer un événement familial ou tout simplement de vous retrouver entre amis.
« Au chien qui Fume » chaque client est unique.
Notre équipe est à votre écoute pour vous accompagner et faire de votre repas un moment unique.
https://www.auchienquifume.com/

bouguereau dit: à

Scandale à la télé espagnole, à cause d’un rat devant Notre-Dame de Paris !

des jaloux..comme les italiens « non léonard de vinci n’est pas français » hulcéré des détournement de retombé touristique..ce genre de paris bashing est la rançon du succés baroz..plus kabloom et et rénateau et bodjo couine..plus la thune doit rentrer..il espère pus qu’une chose que poutine mette d’l’eau dans l’gaz a tous les étages..te dire comment qu’y sont faux cul sans fond vert

Bloom dit: à

Scandale à la télé espagnole, à cause d’un rat devant Notre-Dame de Paris !

J’en ai croisé un sur le Champ de Mars hier, ce qui m’a rappelé l’Inde.
Paris 2022, capitale mondiale du Rat?
C’était déjà le cas en 40-44, ‘to rat on someone’ signifiant ‘dénoncer quelqu’un’. Paris sera toujours Paris!

renato dit: à

Pour venir en France, Leonardo (da Vinci) a demandé et obtenu une rente annuelle équivalente à 200milles€… donc…

bouguereau dit: à

tada baroz..tada

bouguereau dit: à

à 200milles€… donc…

libéro national socialiss..c’est une nouvelle tactiqc d’attaque du suisse foutbal cleub

renato dit: à

Par ailleurs, Leonardo était au chômage car il n’était pas fiable — ou si on veut, pas digne de confiance — lorsqu’il s’agissait de porter à terme un travail.

closer dit: à

JB la lecture du Figaro m’a rappelé une pratique financière douteuse de la Mairie de Paris consistant à se faire payer cash par les bailleurs sociaux des années de loyers à venir…Limite malversation malheureusement autorisée par Bercy.

Ce genre de pratique a contribué à la bulle financière de 2008. On ne s’attend pas à la voir utilisée par des « socialistes ». Personnellement, bien que libéral, j’y suis très hostile. Je crois au capitalisme, mais ancré dans l’économie réelle. Non à l’ultra financiarisation.

renato dit: à

«… c’est une nouvelle tactiqc d’attaque… »

Non, c’est un fait, plutôt banal d’ailleurs.

Bloom dit: à

« Festival de Cannes : « Joyland », le patriarcat supplanté par l’amour, à Lahore » Le Monde

L’occasion de voir cette ville extraordinaire sous un angle original, bien connu des amoureux de la ville, dont je fais partie.


Le Monde
Le premier film du Pakistanais Saim Sadiq scelle l’amour d’une artiste transsexuelle et d’un fils de famille. Il a reçu la Queer Palm et le prix du jury Un certain regard au Festival de Cannes.

L’un des plus beaux films que nous ayons pu voir, cette année, dans la sélection Un certain regard nous est venu du Pakistan (…)

Jazzi dit: à

 » les Apaches vont te scalper & les poulbots te latter les tibias! »

Tu dates, Bloom.
Désormais, à Paris, il n’y a plus que les bobos et les cailleras.

Jazzi dit: à

Oui, closer, mes loyers à venir sur plusieurs années sont déjà engloutis dans la dette généralisée !

Jazzi dit: à

Oui, Bloom, à Cannes on a toujours les sections parallèles pour se rattraper !

renato dit: à

Bon, maintenant je ne veux pas justifier la mairie de Paris ; mais, beaux quartiers bien à part, Rome, Londres, et autres capitales ce n’est pas mieux.

et alii dit: à

le chien le plus palindromique:
balak deSamuel-Joseph Agnon
en hébreu le chien se dit « keleb:v

closer dit: à

ça ressemble à l’affaire Sarah Halimi…Encore un « déséquilibré », comme celui qui a poignardé un père de famille à la sortie de l’école à Marseille (le dit père est mort hier) en invoquant Dieu et le Diable.
Pour être au courant de certaines affaires il faut regarder CNews de temps en temps, notamment le débat Goldnagel-Julien Dray en fin d’après-midi…
Il y a aussi ce soupçon de discrimination politique à l’Opéra de Paris contre un fille qui s’est fait humilier lors de son entretien d’embauche parce qu’elle avait été stagiaire qq mois à Valeurs Actuelles. Un avocat a été saisi. Silence partout ailleurs.

et alii dit: à

Ainsi commence le grand roman autobiographique d’Agnon, le Chien Balak, qui vient d’être publié chez Albin Michel, et il convient de remercier l’éditeur français qui a eu le courage de nous donner une version intégrale de ce chef-d’œuvre réputé intraduisible.

 » LE CHIEN BALAK « , de Samuel-Joseph Agnon (le monde) le grand roman autobiographique d’Agnon, le Chien Balak, qui vient d’être publié chez Albin Michel
Avant de s’embarquer à Trieste, Isaac Koumer, jeune homme pauvre et modeste, s’arrête à Lemberg pour se présenter aux sionistes de salon : ceux-ci se gaussent de sa naïveté, puis il passe une journée à Vienne, espérant voir François-Joseph, ce qui permet à Agnon de rendre un hommage ému à l’Autriche-Hongrie de son enfance.

Jazzi dit: à

A Paris, renato, il n’y pas de Beaux Quartiers propres…
Les maires d’arrondissements n’ont aucuns pouvoirs ni budgets en la matière.

bouguereau dit: à

Par ailleurs, Leonardo était au chômage car il n’était pas fiable — ou si on veut, pas digne de confiance — lorsqu’il s’agissait de porter à terme un travail

pour ce qui est de prende des thunes il est français en faignasse plutôt italien..rénateau en lombard préfère hugo boss et ses 400 myards qu’il dirait dirfilou

bouguereau dit: à

Rome, Londres, et autres capitales ce n’est pas mieux.

mais les touriss boudent..y leur ress pus qules russes qu’il dirait bodjo a kabloom..alors az iouzoul..poutine est un peu angliche dans l’fond..ou italien..-donc- qu’il dirait rénateau..donc!

Bloom dit: à

Pas que les bobos, Baroz, d’immenses fortunes aussi. Surtout dans le 7e et le 8e (vieil argent), les 16e & la partie ouest du 17e (argent comparativement plus récent, après absorption des communes avoisinantes, pour le 16e).
Dans ma khâgne, il y existait une féroce rivalité entre les filles du haut 16e et celles du bas 16e. Les deux factions se réconciliaient néanmoins sur le port du manteau de fourrure. Je les aimais en bloc car elles étaient (généralement) brillantes et surtout très gentilles avec nous, six garçons perdus dans cet océan féminin.

Bloom dit: à

Savez-vous qui a une vue plongeante sur le bureau du Président de la République?

Bloom dit: à

Dans ma khâgne, il existait — pas d’Y…

Jazzi dit: à

Et le centre de Paris, racheté par les riches étrangers, Bloom.

Les touristes sont revenus en masse, le boug, à ce que j’ai pu constater !

Paris, de plus en plus airbnbisé, comme Barcelone et Lisbonne ?

renato dit: à

«… en lombard préfère hugo boss… »

« Loups lombards », disaient les Florentins.

Phil dit: à

six garçons perdus dans cet océan féminin

du quasi biblique, dear Bloom, qui finit en traversée de la mer rouge, Aden Arabie avec Nizan qui vote Mélanchon.

Bloom dit: à

hugo boss…

Betit tailleur des uniformes à groix gammée…(razzurez-fous, pas te chuifs chez nous, za, non). Toud est hauteu gammé jez nous, zizi: Wehrmacht, Luftwaffe, SA, SS, nous afons tout en magasin, ach c’est za, la posse du kommerz! Pariss zera touchour Pariss!

Alexia Neuhoff dit: à

Londres est infesté de renards. Une info fox news.

bouguereau dit: à

il y en a jusqu’à paris haussi alesquia..ces hanculés remontent les coulés vertes et les voie ferrées peu fréquentées

bouguereau dit: à

(razzurez-fous, pas te chuifs chez nous, za, non)

rénateau se dmande si y’en aurait pas un freudien ou deux..ça rassurerait pas mais comme disait zigmund « ça va ça vient »

bouguereau dit: à

« Loups lombards », disaient les Florentins

gaulois cisalpin qu’il disoit jules

bouguereau dit: à

qui finit en traversée de la mer rouge

zézameu..ouvreu toi..qu’il dit zigmund dans les 40 voleurs

Alexia Neuhoff dit: à

On voit que Jazzi est d’un autre temps. Il en est encore à considérer que la ville ne doit pas tolérer la faune animale sauvage.

bouguereau dit: à

Pour ne montrer qu’une évidence :

non rénateau..la nra était vraiment un pti syndicat rural de sportif..pépère et hassez regardante sur les armes de guerres..jusque dans les 80 parmi les flingues en circulation en ville il y avait peu ou pas de 38 de 45 de 9mm..la nra a été parfaitment bien noyautée..l’entrisme de droite a parfaitment bien marché..c’est pas le drapeau de la nra

Jazzi dit: à

pour la faune animale sauvage, il y a des zoos pour ça, Alexia !
J’ai déjà croisé un renard dans le bois de Vincennes…

bouguereau dit: à

et vous êtes raconté des histoires de renards..

et alii dit: à

j’ai compris:le chien NEMO,de Macron;NEMO C’EST OMEN, puisque nomen est omen;
NEMO VA TOUT ABOYER A L ELYSEE OF COURSE

et alii dit: à

le cappuccino n’aurait pas été inventé par les Italiens, mais plutôt par leurs voisins autrichiens. Et s’il est indéniable que les Transalpins ont su faire de ce délicieux breuvage une de leurs spécialités, ils n’hésitent pas à rendre à César ce qui appartient à César. C’est en tout cas ce qu’avancent deux grands pros du café italien dans les pages de Vice.

«Il semblerait que “cappuccino”, le mot mais aussi la boisson, vienne de Kapuziner, le terme allemand désignant un moine capucin», y explique Gianni Tratzi, propriétaire de Mezzatazza, une société de conseil spécialisée dans le café. Selon le professionnel, le cappuccino tirerait ses origines des bistrots chics de Vienne, où le café était mélangé à du sucre, de la crème et des épices. «Cette boisson est aujourd’hui connue sous le nom de Wiener kaffee [café viennois, ndlr], poursuit Gianni Tratzi, tandis que le terme cappuccino est international et fait référence à la boisson à base de lait mousseux.»
SUR SLATE

et alii dit: à

Toujours en parlant des habitudes de consommation de café d’aujourd’hui, Terzi m’a laissé une mise en garde sur les cappuccinos et les laits végétaux. « Le gros problème avec eux, c’est que leur manque de protéines les empêche de bien mousser », dit-il. « Le seul qui peut atteindre ce doux équilibre entre le goût et la texture est le lait de quinoa. » De précieux conseils pour améliorer votre jeu de cappuccino végétalien.
https://www.vice.com/en/article/y3v9qk/cappuccino-the-iconic-italian-coffee-that-isnt-actually-italian

Jazzi dit: à

Il a filé d’un côté, et moi de l’autre, le boug.

ça y est, vous avez épuisé le filon des chiens héros, au ciné et dans la vie, et alii ?
Vous ne nous avez donné aucun lien expliquant pourquoi les mauvais comédiens sont qualifiés de « cabots » !

Jazzi dit: à

« On change plus facilement de religion que de café. »
GEORGES COURTELINE

et alii dit: à

vous pouver préférer Klebs à cabot; on dit que poutine est un KLEPTOCRATE

et alii dit: à

De l’arabe algérien, «Cleb» ou «kleb» est le pluriel de kelb, le «chien». Débarqué en France au XIXe siècle, il reçoit une première transcription dans le Larousse en 1863 sous la forme «cleb», au singulier, en gardant son sens originel. Ce n’est que lors de la Première Guerre mondiale, que notre terme acceptera un second sens, pour qualifier dans le lexique des Poilus, le caporal. «Être caporal, c’est un métier de chien. Le cabot est le clebs de ses hommes» (Cendrars, La main coupée).

Une référence pertinente, puisque comme le note Le Robert, le «clebs» n’est pas sans avoir de lien avec le «cabot». Un mot argotique, d’origine incertaine peut-être issu d’une forme occitane de la famille du latin caput «tête», qui a également pu désigner durant la guerre «le caporal», dans des formules comme «cabot-chef». Notons pour l’anecdote que cette dernière racine se retrouve dans le mot provençal cap, «tête» et par métaphore «capot» pour désigner aux cartes, un coup «où l’on empêche l’adversaire de faire une seule levée».
Ne le confondons pas toutefois avec le mot «capot», «manteau à capuchon» ou la «capote», autrefois «chapeau de femme en étoffe plissée ou piquée», dérivés du mot du «cape», «manteau». Et encore moins avec le mot «kapo»! Ce dernier ne provient pas du mot «clebs» mais de l’italien «capo», chef.

De nos jours, le «clebs» bénéficie de deux orthographes. Il peut, selon Le Larousse, s’écrire «kleb» (et «cleps» dans son dictionnaire encyclopédique) ou «klebs» au singulier d’après le Robert. Voilà donc un mot qui a bien du chien!
https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/expressions-francaises/2017/12/13/37003-20171213ARTFIG00020-mais-d-o-vient-le-clebs.php
remarquer les affinités de l’arabe et de l’hébreu pour klebs

et alii dit: à

et à la belote:
Capot
En cas de capot, c’est-à-dire les huit plis remportés par le même camp, le camp perdant ne marque rien, excepté la belote qui est imprenable. Leurs adversaires marquent 252 points de capot + leurs annonces + les annonces de l’autre camp.

Alexia Neuhoff dit: à

Jazzi dit: à

pour la faune animale sauvage, il y a des zoos pour ça, Alexia !

Horreur absolue ! Pour pénitence, je vous condamne à passer une soirée avec Sandrine Rousseau.

Jazzi dit: à

« je vous condamne à passer une soirée avec Sandrine Rousseau. »

Pitié, Alexia.
Tout mais pas ça !
Je ne le referais plus…

Jazzi dit: à

referai…

Jazzi dit: à

« un KLEPTOCRATE »

Un voleur de pouvoir, qui n’a rien à voir avec un klebs, et alii ?

renato dit: à

Une meute de loups s’est installée de façon permanente à la périphérie de Turin, dans la région vallonnée près de Superga — à environ 10 km au nord-est du centre-ville.

Cela bien à part :

https://www.lifewolfalps.eu/fr/

Bloom dit: à

pour la faune animale sauvage, il y a des zoos pour ça,

Pour les Kanaks et autres Fuégiens aussi, à qui le talent de Didier Daeninckx a redonné une humanité que leur déniait la France coloniale et un Paris déjà dysnelandisé.

Sinon, il est également des lieux arborés, aux haillers denses et mystérieux, que l’on appelle communément « forests » et où pas plus tard qu’hier, lors de ma matudinale promenade, j’ai eu la chance d’entendre (un peu inquiet, je l’avoue) un sanglier grommeler avant de croiser un bambi en gambade.
Un peu autre chose que ce rongeur des villes qui, plus tard, filait d’un parterre du Champs de Mars à l’autre, à deux pas des enfants des bobos.

Bloom dit: à

Comme pour les fafs, avec les écureuils défoncés au crack de Central Park, discute pas, on cogne.

Bloom dit: à

Comme pour les fafs, avec les écureuils défoncés au crack de Central Park, ON discute pas, on cogne.

Bloom dit: à

Les Nippons viennent d’élargir Fusako Shigenobu. Juifs de tous les pays, craignez pour vos vies, l’impératrice de la terreur peut reprendre ses activités meurtrières et s’associer avec Ahmed Omar Saeed Sheikh.

Bloom dit: à

Les Nippons viennent d’élargir Fusako Shigenobu. Juifs de tous les pays, craignez pour vos vies! L’impératrice de la terreur peut reprendre ses activités meurtrières et s’associer avec Ahmed Omar Saeed Sheikh.

et alii dit: à

je pense plutôt que le kleptocrate est celui qui a du pouvoir par le vol, en spoliant les autres;
cela dit prononcez le comme vous voulez!
bonne suite; je vais ailleurs!

Bloom dit: à

Ze Waste Land fait 1 560 coms – pas mal pour une jachère.

Jazzi dit: à

« Un voleur de pouvoir » (moi)

« je pense plutôt que le kleptocrate est celui qui a du pouvoir par le vol » (et alii)

Où est la différence ?

Jazzi dit: à

« j’ai eu la chance d’entendre (un peu inquiet, je l’avoue) un sanglier grommeler avant de croiser un bambi en gambade. »

Ne sors pas sans ton fusils, Tartarin !

Jazzi dit: à

Un fusil, suffit…

Damien dit: à

La dernière fois que j’étais allé chez ce coiffeur petit-bourgeois, lecteur de Claude Michelet, c’était en fin d’après-midi. J’étais le dernier client, l’ultime victime. J’espérais qu’il se hâterait, mais il n’en finissait pas, et en même temps se plaignait de la longueur de ses journées. Ses prix du reste étaient prohibitifs, ceci étant, mais il n’en parlait jamais (j’ai su qu’il avait eu des contôles fiscaux, heureusement). Or, un ami devait ce jour-là venir pour me prendre en voiture, afin d’aller aux courses en nocturne, je ne sais plus dans quel hippodrome (j’ai toujours aimé les courses de chevaux et j’avais de la chance au quinté+). Le coiffeur me taillait toujours les cheveux, et c’est à ce moment-là que mon ami, ouvrant la porte, est entré dans le salon désert. Le coiffeur l’a vu dans la glace, et avant même que mon ami n’ait ouvert la bouche, le coiffeur lui a hurlé : « NON ! Plus de rendez-vous ! La journée est terminée ! Revenez un autre jour !!! » Intimidé, mon ami n’a pas insisté, et est sorti du magasin sans mot dire, heurté par tant de grossièreté. Le coiffeur était en rage, et m’a expliqué qu’on voulait qu’il crève, littéralement ! J’ai tenté de lui dire que le quidam était un ami, qu’il devait m’emmener aux courses, et que maintenant la soirée était foutue. Le coiffeur s’est radouci, comprenant sa bévue et a admis qu’il avait peut-être été impoli. Il s’est finalement calmé, et a achevé la coupe rapidement. Mon ami m’attendait à l’extérieur, dans sa voiture (une MG de sport verte décapotable). Et donc, après que je le lui eus raconté en détails, nous avons bien ri de cet incident. Mon ami avait été pour le coiffeur comme une apparition effrayante dans un film de morts-vivants de Dario Argento. Hélas, ça n’a pas été l’occasion d’un infarctus pour ce coiffeur, ai-je dit à mon ami. Peut-être la prochaine fois, a-t-il répondu. Quelle coupe de cheveux avait cet ami ? Je vous le donne en mille : il était chauve. Il n’y a pas de morale à cette belle histoire.

Patrice Charoulet dit: à

Cinéma

Je ne sais pas ce qui se passe à Paris : j’y vais tous les cinq ou dix ans.
Dans ma petite ville de province, au cours d’une promenade je passe devant un grand immeuble où l’on peut voir plusieurs films dans plusieurs salles en même temps. Je vais au cinéma très rarement.
J’ai l’idée de franchir la porte d’entrée à le recherche d’une petite feuille indiquant les films de la semaine à venir. Je la trouve. Je me promets de la lire quand je serai revenu au logis.

Las ! Quatorze films sont indiqués. Pour chaque film, on met le titre, les jours ,les horaires et…quatre lignes nous racontant le début de l’histoire. Ils ont eu une idée de génie : la dernière phrase est inachevée (exemple « déterminé à » ou «  rencontre des … ». J’imagine que c’est pour donner envie au client de connaître la suite. Ah ! Les malins !
Mon sujet d’étonnement principal : le nom du cinéaste est omis dans la présentation de chaque film.
C’est un comble ! J’informe le propriétaire de ce cinéma- qui ne me lira pas et je ne songe pas à pas lui téléphoner ou à lui écrire, qu’un film est une œuvre et qu’une œuvre a un auteur.
Quelle époque !

et alii dit: à

pour P.Assouline qui a manifesté un intérêt pour les dinosaures
Notons enfin que tous les dinosaures n’étaient pas équipés de dents : certains, comme Oksoko avarsan, étaient en effet dotés d’un bec. Pour eux la question ne se pose donc pas. En matière de santé dinosaurienne, peu d’indications nous sont parvenues et elles portent essentiellement sur leurs os et articulations. Et là, on retrouve des pathologies qui nous sont communes comme de nombreuses fractures, des cancers osseux et même, chez ceux qui vivaient longtemps, des affections spécifiques de la vieillesse comme de l’arthrose ou de la décalcification.

Des caries chez les mammifères
Les caries semblent donc être le propre des mammifères frugivores…et des humains avides de bonbons. Les plus anciennes traces de caries connues datent de 55 millions d’années : elles ont été retrouvées sur des centaines de dents de Microsyops latidens, un petit primate de la taille d’un raton-laveur qui a vécu au moment de l’essor et de la diversification des arbres à fruits. L’animal semble d’ailleurs avoir petit à petit fait évolué sa consommation de fruits en fonction de l’offre qu’il trouvait.

et alii dit: à

Livre : Dévolution, de la cryptozoologie pour se faire peur
Le livre « Dévolution » (éd. Le Livre de poche) de Max Brooks imagine l’attaque d’une communauté écolo par une tribu de Yéti : cette nouvelle exploration façon récit horrifique de la cryptozoologie, la « science des animaux cachés », est d’une grande efficacité.
https://www.sciencesetavenir.fr/decouvrir/livres/livre-devolution-par-max-brooks-de-la-cryptozoologie-pour-se-faire-peur_163846#xtor=EPR-1-%5BSEAActu17h%5D-20220528

et alii dit: à

boris ivchenko est né le 29 janvier 1941 à Zaporijia , RSS d’Ukraine . Il est diplômé de l’ Institut d’État des arts théâtraux de Kiev en 1966. Toute sa vie, Ivchenko a travaillé aux studios de cinéma Dovzhenko . Il est décédé le 28 juin 1990 et est enterré au cimetière de Baikove .
https://hyperallergic.com/732166/10-films-to-get-to-know-ukraine/?utm_medium=email&utm_campaign=W052822&utm_content=W052822+CID_6a413f311866eb1959aa4a7eb8ec4a82&utm_source=hn&utm_term=10+Films+to+Get+to+Know+Ukraine

Jazzi dit: à

« je passe devant un grand immeuble où l’on peut voir plusieurs films dans plusieurs salles en même temps. »

On appelle ça un multiplex, monsieur Charoulet.

« Un multiplexe cinématographique est un complexe cinématographique comptant au minimum huit salles de cinéma réunies en un seul endroit, disposant d’une capacité d’accueil minimale de 1 000 à 1 500 fauteuils, afin de pouvoir proposer au public à toute heure d’ouverture une grande diversité de films. »

(on peut y manger des popcorns…)

Jazzi dit: à

Parler d’un film sans citer le réalisateur, dans un programme cinématographique, est une aberration, en effet.

et alii dit: à

Oksana Zaboujko
EAN : 9782369560234
176 pages
EDITIONS INTERVALLES (16/11/2015)
Explorations sur le terrain du sexe ukrainien

et alii dit: à

La police italienne a retrouvé dans un atelier d’Asti (Piémont) une toile attribuée au Titien, intitulée Portrait d’un homme au béret (vers 1512) dont la valeur est estimée à 6 millions d’euros.

rose dit: à

Deux citoyens suisses font actuellement l’objet d’une enquête sur la disparition du tableau, selon pour Forbes.

Et bien bravo !

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