Le « swing » de l’aviron ou la poésie en mouvement
Qu’on se rassure : il n’est pas plus nécessaire d’avoir pratiqué l’aviron pour apprécier Ils étaient un seul homme (The Boys in the Boat, traduit de l’anglais/Etats-Unis par Grégory Martin, 456 pages, 21,90 euros, La librairie Vuibert) que de connaître les règles des soixante-quatre cases pour goûter Le joueur d’échecs de Zweig ou La défense Loujine de Nabokov. C’est justement l’un des miracles de la littérature que de nous sensibiliser par le biais de l’universel à un monde qui nous est étranger sans passer par le filtre de la connaissance, ni par celui de l’expérience directe. Encore que pour ce qui est des échecs comme pour l’aviron, j’avoue être de parti pris : je leur dois (presque) tout. Du moins un essentiel qui ne s’enseigne certainement pas sur les bancs des écoles fussent-elles grandes. Le jeu d’échecs, et son grand art de l’anticipation, on en reparlera une autre fois.
Tenons nous en à l’aviron. Pour certains, un sport ; pour d’autres, une torture ; pour d’autres encore, mystiques de la chose, un mode de vie, un état d’esprit, un supplément d’âme. J’ignore si Daniel James Brown en est. Même pas sûr. N’empêche qu’il signe là, avec ce récit inspiré, d’une vraie qualité d’écriture dans le genre, l’un des rares grands livres sur le sujet. Difficile surtout quand on vient après The Amateurs (1985) dans lequel David Halberstam racontait l’effort de quatre rameurs pour gagner la médaille d’or aux Jeux de 1984. Or non seulement l’auteur y parvient, mais il le dépasse de plusieurs longueurs par l’ampleur et l’ambition de son projet.
L’autre livre, aussi fort mais dans un registre différent, était paru en français en 1998. L’écrivain néerlandais H.M. van den Brink avait écrit un magnifique roman Sur l’eau (Over het water, traduit par Anita Concas, Gallimard) : à la veille de la seconde guerre mondiale, deux amis dont l’un était promis aux persécutions annoncées, ne vivaient que pour faire glisser leur Deux sans barreur sur l’Amstel, dans la perspective d’une compétition espérée par leur entraîneur allemand, mais qui n’aura jamais lieu. Avec Ils étaient un seul homme, la tonalité est différente bien que l’époque soit la même. Le titre même est déjà un programme. Il est tiré de Moby Dick :
« Ils étaient un seul homme ; non pas trente. Comme le vaisseau qui les contenait, tous étaient faits de choses différentes : chêne, érable, pin, goudron et chanvre (toutes se combinant néanmoins entre elles pour ne former qu’une unique coque lancée sur son chemin, équilibrée et dirigée par la longue quille centrale), les individualités différentes de l’équipage, le courage de cet homme, les craintes de cet autre, toutes les variétés humaines se trouvaient une seule » (traduction de Lucien Jacques, Joan Smith et Jean Giono).
Il faut savoir que le huit de pointe (chacun n’ayant qu’un seul aviron, bâbord ou tribord) est, dans l’univers des compétitions, le plus prestigieux des équipages. Celui qui requiert, une fois maîtrisée la technique dans ses moindres détails jusqu’à en faire un réflexe naturel, les plus grandes capacités d’endurance, de stratégie, de concentration, de volonté, de résistance à la douleur et, accessoirement, de puissance musculaire. Tout pour parvenir à l’harmonie, à l’équilibre et au rythme.
Il faut également savoir que dans l’entre-deux-guerres, l’aviron, l’un des rares sports où l’homme se bat farouchement tout en restant assis sur son cul, était presque aussi populaire dans les universitaires que le base-ball ou le football américain, si l’on en juge par la couverture médiatique dont il bénéficiait. De nombreux supporters suivaient les régates. L’université de Californie tenait alors la dragée haute à l’université de Washington dans la course qui les opposait chaque année sous les encouragements de plus de cent mille spectateurs ; elle n’avait rien à envier au rituel duel entre Oxford et Cambridge. Ce livre, dont je confesse humblement qu’il m’a transporté, et pour cause, raconte l’histoire de l’équipe américaine d’aviron qui humilia les Allemands en général, et Hitler en particulier, en remportant l’épreuve reine aux fameux Jeux olympiques de Berlin de l’été 1936.
Ils rament sur le Husky Clipper qu’ils appellent entre eux, tout simplement, « le bateau ». Comme s’il n’y en eut pas d’autre et comme s’il ne s’agissait que de cela alors que chaque exemplaire est une œuvre d’art unique, artisanale, conçue par George Pocock, l’un des héros de ce livre avec l’entraîneur, le barreur et, bien entendu, les huit rameurs. Un tel bateau lancé par de tels rameurs est transcendé par l’expérience partagée. Ils le cajolent comme leur enfant. Un huit sorti des mains de Pocock coûte alors le prix d’une Cadillac LaSalle neuve. Sa coque est souple, vivante, et lorsque l’équipage est à son meilleur, il ne fait qu’un avec la coque. L’artiste qui l’a façonné a eu quelques années avant l’idée alors révolutionnaire de remplacer le cèdre espagnol cloué en bandes pour tenir la coque, par du cèdre de l’Ouest (Thuja plicata) venu de Colombie-Britannique, plus poreux, plus léger, plus facile à façonner car moins dense, plus flexible tout en étant plus solide. Un miracle de l’avis de tous lorsqu’ils éprouvèrent l’exceptionnelle élasticité qui lui conférait une force invisible.
Voix grave de baryton amplifiée par le mégaphone, le barreur, le plus frêle et le plus petit (1,73m pour 54 kgs) à bord du bateau mais d’une force de caractère peu commune, malin, meneur et cérébral, il hurle des ordres, encourage, stimule, réconforte, admoneste, engueule huit types qui respectent son autorité alors que chacun pourrait d’une pichenette le balancer à l’eau. « C’est peut-être la relation la plus incongrue que l’on trouve dans le sport » observe justement l’auteur. Si le bateau reste dans la trajectoire, c’est grâce à lui et à sa dextérité dans le maniement des tire-veille ; s’il s’en écarte, c’est à cause de lui. Obéissant au rythme et à l’intensité que leur dicte chef de nage (le No 1), à l’alchimie mystérieuse des ajustements minutieux entre la puissance d’un côté et la cadence de l’autre, ils doivent coordonner et synchroniser leurs gestes dans une absolue précision avant de fouetter l’eau. Pas de temps mort, pas de remplacement, pas de feinte, pas de cinéma dans ce sport-là.
Un faux mouvement d’un seul rameur, souvent dû à un défaut de concentration, et la couleur à l’extrémité de la pelle est prise dans un tourbillon qui freine l’embarcation, ce qui peut non seulement fiche en l’air l’effort de tous, mais leur faire prendre l’eau. Il ne faut penser qu’à regarder la nuque du rameur devant soi et n’écouter que la voix du barreur. Or plus la cadence est élevée, plus il est difficile de bien ramer, plus la douleur est prégnante et plus le risque d’une catastrophe se précise. Que la couleur à l’extrémité d’une pelle fende l’eau avec une fraction de seconde de retard sur les autres et c’en est fini. L’effondrement de l’un entraîne celui de tous. On n’est pas plus solidaires. Pas de star ni de prima donna dans ce sport. La question ne se pose même pas tant elle est vitale : ils sont vraiment huit comme un seul homme, le titre du livre n’est pas abusivement lyrique, Melville avait tout compris. En ce sens, l’aviron, surtout en huit, est vraiment une école de la vie. Qu’on se le dise : « On ne rame pas pour soi mais pour les autres ».
La majeure partie du récit est consacrée à tout ce qui précède l’événement : le recrutement, les aléas de la sélection, les préparatifs, les courses, l’entraînement… Il est très américain dans sa narration, avec une foule de détails personnels sur chacun des rameurs, sur les doutes du coach, sur les environnements familiaux des uns et des autres, leurs histoires d’amour et une fine chronique en creux de l’Amérique de la Dépression. Le traducteur a parfaitement rendu en français non seulement l’esprit des choses, des personnes et des lieux, mais encore le lexique propre à l’aviron : prise d’eau, coulisse, dégagé, pale, fausse pelle etc. On regrettera juste, à une dizaine de reprises tout de même, l’emploi de « rame » en lieu et place d’ « aviron » ou de « pelle ». Qu’importe. On est avec ces étudiants de l’université de Washington, le pied sur le chemin de coulisse avant d’embarquer, puis dans leur sillage par tous les temps, sur le lac Washington au niveau de Union Bay, à Seattle. Le plus petit mesure 1,83m, le plus grand plus de de deux mètres. D’un poids moyen de 86 kgs chacun, à eux neuf, ils pèsent 750 kgs, un fardeau à faire oublier au bateau. C’est l’équipe des Freshmen.
Dans ce petit monde-là, le swing est l’autre nom de la grâce. C’est l’unisson des mouvements, la synchronisation absolue des souffles, nirvana quasiment impossible à préserver, à supposer qu’on l’ait atteint, lorsque la cadence est rapide (36 coups/minute plutôt que 26) et que l’instant du sprint approche. Alors l’effort se métamorphose en plaisir dans un au-delà de la souffrance, on entre dans une quatrième dimension et il faut bien du talent à Daniel James Brown, appuyé sur sa force de conviction, pour nous y faire pénétrer.
Et les Jeux ? Et l’Allemagne nazie ? On n’arrive que dans les cent dernières pages au bassin d’aviron de Grünau, et au village des rameurs, à Köpenick (sud-est de Berlin), les rameurs y étant logés… à l’école de police. Avery Brundage, le patron du comité olympique, peut se réjouir de ce que l’appel au boycott soit un échec : « Aucun pays depuis la Grèce antique n’a fait sien l’authentique esprit olympique comme l’Allemagne ». Ce qui n’empêche pas l’un des envoyés du New York Times, dans sa lettre quotidienne, de noter :
« Mr Brundage est arrivé à bon port (…) là où des robots faits par et pour Hitler tourmentent et persécutent des morts-vivants (…) Pendant deux mois, les morts vont rester enterrés. Mais après la clôture des jeux Olympiques en septembre, leurs tombes seront profanées (…) et les morts arpenteront de nouveau les rues des villes allemandes ».
Sur ce plan-là, celui du contexte, Daniel James Brown n’en fait pas trop ; on n’en regrettera pas moins qu’il verse parfois dans l’anachronisme : pourquoi se projeter dans la Nuit de cristal avec deux ans d’avance quand les libertés étaient déjà bafouées (dictature du parti unique, répression tous azimuts, législation raciale, création pour les opposants de camps de concentration dont celui de Dachau dès 1933) pour ceux qui voulaient bien les voir derrière la vitrine bien propre des Jeux ? L’équipe allemande, issue du club d’aviron dit des « Vikings », est la favorite. L’équipe italienne n’est pas composée de jeunes étudiants mais d’ouvriers plus âgés et plus robustes, et l’équipe australienne, de policiers aguerris.
Même pour filmer l’aviron avec ses collaborateurs et leur matériel (une trentaine de caméras, soixante cameramen sans compter les preneurs de son), Leni Riefenstahl dut encore se battre contre Goebbels, affronter à nouveau la colère du ministre de la Propagande, qui ne voulait pas que l’image du Führer offerte au public soit gâtée par la présence massive de techniciens et d’appareils à ses côtés ; il craignait qu’elle y perde en pureté, et donc en impact sur les foules ; la cinéaste eut le plus grand mal à lui faire admettre que le public visé par son film était bien plus important et plus durable.
Les rameurs allemands remportèrent toutes les compétitions d’aviron (7 médailles !), discipline alors la plus populaire des Jeux après l’athlétisme. Le Deutschlandlied et le Horst-Wessel Lied ne cessèrent de résonner, comme cela avait été le cas lors de la cérémonie d’ouverture sous la baguette du chef Richard Strauss, lorsque les délégations défilèrent devant le Führer, certains lui adressant le salut nazi, comme le firent les 110 000 spectateurs, d’autres le salut olympique inspiré à Coubertin par le salut du bataillon de Joinville, les deux n’étant pas sans ressemblance (à ceci près que, dans le second, la paume tournée vers le sol était maintenue sur le côté plutôt que vers l’avant). Les sportifs français avaient opté pour un entre-deux qui fut jugé ambigu ; les Américains avaient placé leur chapeau de paille sur le cœur et tourné leur visage vers lui ; seul leur drapeau semblait vraiment défier Hitler.
La finale du Huit de pointe avec barreur, la plus prestigieuse des épreuves nautiques, devait être l’apothéose du triomphe personnel du Führer sur « ses » Jeux, l’athlète noir américain Jesse Owens ayant déjà remporté ses quatre médailles d’or. L’assignation des lignes d’eau privilégia non les meilleurs temps des épreuves éliminatoires mais les rameurs allemands, italiens et suisses ; ils bénéficièrent des lignes à l’abri du rivage sur le Langer See ; les équipages hongrois, britannique et américain se retrouvaient à l’extérieur, les plus exposés au vent de tête ou de travers, et ce jour-là aux bourrasques de biais, position qui d’emblée les handicapait de deux longueurs. C’était scandaleux mais c’était ainsi et on se doute que bien peu auraient trouvé à y redire parmi les 75 000 supporters massés sur le parcours ; ils ne furent pas plus choqués lorsque le starter agita son drapeau au-dessus de la tête et lança un discret rapide « Messieurs, êtes-vous prêts ? Partez ! » en s’adressant aux lignes 1 et 2, ce qui valut aux britanniques et aux américains de partir quelques secondes après les autres, avec un coup et demi de retard… (suivre ici la course). Bientôt les huit embarcations à la coque enduite d’huile de blanc de baleine glissèrent sur l’eau « comme un essaim d’araignée aux longues pattes ». Le bateau allemand fit la course en tête galvanisé par des « Deutsch-land ! Deutsch-land ! Deutsch-land ! » et des « Sieg Heil ! Sieg Hiel ! Sieg Hiel ! » si puissants grâce à la réverbération que la voix des barreurs avait du mal à se faire entendre, même pour le chef de nage qui leur faisait face à 45 cm à peine.
Les Britanniques avaient brûlé leurs réserves à mi-chemin ; pas les Américains ; il est vrai qu’aux 800 mètres, ils étaient encore bons derniers ; leurs temps intermédiaires étaient alarmants, ce qui plongeait dans l’angoisse leurs compatriotes au pays, dont beaucoup avaient l’oreille vissée au poste de TSF. A 500 mètres de l’arrivée, ils accusaient encore une longueur de retard derrière l’Allemagne et l’Italie. Alors Bobby Moch, le barreur de l’université de Washington, eut le coup de génie de mentir à ses équipiers. « Encore vingt coups ! » leur hurlait-il afin de les pousser à puiser dans leurs réserves insoupçonnées ; mais arrivé à quinze, il recommençait : « Plus que vingt coups encore ! » C’était un truc dont il n’avait jamais abusé auparavant afin de rester crédible le jour du grand jour. Ils ramaient à une cadence pour eux inédite (44 coups/minute) et le cœur suivait (200 battements/minute). Ils vivaient les six minutes les plus importantes de leur vie. Et leur Husky Clipper franchit la ligne d’arrivée avec six dixièmes de seconde d’avance sur les Italiens, et une seconde sur les Allemands.
Soudain, le silence se fit sur le stade nautique, comme si on avait baissé un interrupteur. Hitler fit volte-face et s’en alla sans dire un mot, suivi par Goebbels, Goering et les autres. Mais dans le film Les Dieux du stade (de son titre original Olympia) de Leni Riefenstahl, la scène de la course d’aviron n’en demeure pas moins l’une des plus spectaculaires. Daniel James Brown, lui, parvient à un résultat similaire avec d’autres moyens ; il maintient le suspens jusqu’au bout même si le lecteur connaît déjà la fin de l’histoire, annoncée dès la couverture et la quatrième de couverture du livre (Kenneth Branagh en fera bientôt un film -peut-être la version nautique des Chariots de feu…)
Ils s’appelaient Herbert Morris, Charles Day, Gordon Adam, John White, James McMillin, Joseph Rantz, George Hunt, Donald Hume, Robert Moch. Non des fils de grands bourgeois, malgré la réputation d’élitisme que la légende anglaise a donné à ce sport, mais de fermiers et de pêcheurs. Les neuf Américains n’avaient pas seulement uni leurs efforts pour se dépasser et produire quelque chose qui les dépassait. En lisant les journaux de leur pays, ils comprirent qu’ils avaient humilié le Führer chez lui. Mais sans attendre de rentrer à Seattle, ils savaient qu’ils avaient trouvé le « swing » et que ce moment de grâce resterait gravé à jamais dans leur mémoire. Celle de chacun et celle de l’équipage.
638 Réponses pour Le « swing » de l’aviron ou la poésie en mouvement
« un supplément d’âme »
Ah ?
« avec mon chmit je les fumais tous! » c’est ce qu’à dit goering..c’est historique
que c’est con que le sport mais goering..quel homme ! si dracul dit que sa mère devait être juive pour qu’il soit aissi beau..je dirais que c’est bien possibe
Explicite première photographie,Pierre Assouline! Des fesses fermes sur la terre ferme, ce que nous avons fait ce week-end…
Excellent sport que l’aviron, très complet comme la marche nordique que nous pratiquons très régulièrement.
..lassouline il sait pas quoi inventer pour relancer la waffen..
« Qu’on se le dise : « On ne rame pas pour soi mais pour les autres ». »
Une belle définition du communisme.
était presque aussi populaire dans les universitaires que le base-ball ou le football américain
..et degaulle avec son stetson
» Tenons nous en à l’aviron. Pour certains, un sport ; pour d’autres, une torture ; pour d’autres encore, mystiques de la chose, un mode de vie, un état d’esprit, un supplément d’âme. »
Ne peut-on appliquer cette sentence à de nombreux autres sport?
Par exemple nous pourrions vous parler de la marche nordique et la métamorphose dans sa pratique, de l’homme bipède en quadrupède?
Une belle définition du communisme
l’esprit de classe bourgeois hombre..
nous casse pas les burnes avec ta marche nordique et ta respiration par le nez..le sport c’est le pot belge..con comme la lune ! l’opium du populo..
S’il vous plait, restons en dehors des généralités ( le communisme, etc…)et insistons sur la complexité des mouvements du corps et de l’esprit mis en action dans le sport qui fait appel à une prothèse.( Avirons ou bâtons..)
le canotage et les 200 coups minutes à la guinguette..là daccord..quelle bande de cons !
Ha l’aviron c’est quand même bien en cas d’imprévu on n’a pas les mains vides…
Imaginer le bougre sportif?
Il confond un corps caverneux avec un muscle!
( Mais il exhume une pensée des plus minimaliste de la prothèse avec son gode machin…)
mis en action dans le sport qui fait appel à une prothèse
approche que je te colle un coup de prothèse sur la guiffe..tartignol
je hais le sport..c’est une imbécillité qui a réussit a rendre laid..médite la dessus pignouf
..le corps mérite un peu autre chose
Les mêmes jeunes rameurs lumberjacks et pêcheurs de l’état de Washington, avec les peintres en bâtiment de Brooklyn et les ferblantiers du Mississipi, tous épais comme des ficelles de rôti ou semblant montés pour la pêche au gardon, viendront mettre une magistrale pâtée aux grands bonshommes de la race supérieure de l’hyperobèse Goering en 1944. Go captain America ! Un bon barreur vaut mieux que deux mal burnés comme Hitler et le maréchal de l’Air (qui ne pouvait fumer sous la douche, même l’aviron tendu, pas plus que rouler des pelles à sa femme car il avait toujours des restes de Blutwurst pendus à ses lèvres épaisses) qui tuèrent l’aura du guerrier.
« l’homme se bat farouchement tout en restant assis sur son cul »
bonne définition des meilleurs commentateurs
Ah, la commisération pour tout ce qui bande, sauf pour le muscle, chez le boug!
bonne définition des meilleurs commentateurs
aprés l’aviron tu sais pas cqui est populaire toi chez les tradeur..t’es d’où spèce de plouc
https://www.google.fr/search?q=treadmill+office&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=VFpeU-2BCofFPcP3gbAM&ved=0CDAQsAQ&biw=1920&bih=1100
papi zinzin dit: 28 avril 2014 à 15 h 37 min
Certes mais ils font du gras…ne citons personne!
bouguereau dit: 28 avril 2014 à 15 h 13 min
« avec mon chmit je les fumais tous! » c’est ce qu’à dit goering..c’est historique
Oui mais faudrait déjà qu’il puisse grimper même à cinquante pieds avec lui dedans, le bousin… Oncle Wolf ça le fait plutôt rigoler ! Ca le déride… Koba itou s’il était là…
Daaphnée va tomber dans les pommes en voyant tant de beaux corps musclés à la fois – il faut la ménager à son âge
on connaît d’avance types de liens postés par bouguereau
servce cardio dit: 28 avril 2014 à 15 h 45 min
Ce sont surtout les manches bien haut relevés qui vont l’intéresser…
« l’homme se bat farouchement tout en restant assis sur son cul » Ha non Portat des Oncelles lui il a une pièce de monnaie entre la selle… Qu’on lui voie bien l’assiette…
avec lui dedans, le bousin…
n’empêche qu’on voit bien que c’est lui l’intello de la bande..sapé classe..les autres c’est que des sacs à bière d’autrichien
« l’histoire de l’équipe américaine d’aviron qui humilia les Allemands en général, et Hitler en particulier, »
ça va faire de la peine à JC
Churchill disait quand même : « Je fume, je bois, mais… no sport ! »
il fallait bien que le bouguereau vienne souiller ce blog et ce papier… quel sale con…
« C’est justement l’un des miracles de la littérature que de nous faire sensibiliser par le biais de l’universel à un monde qui nous est étranger sans passer par le filtre de la connaissance » : ça dépend on y vient, dans la bande dessinée en particulier ; certaines, prenons le cas de la marine à voile, sont presque des documentaires.
« Je fume, je bois, mais… no sport ! »
—
A quel âge a-t-il dit ça? 80 ans ou environ.
C’est un vrai mensonge quand on sait qu’il pratiquait volontiers l’équitation et le polo, et que surtout, il aimait faire la guerre, prolongation du sport sans le « fair play », à Cuba, dans le Malakand de l’empire des Indes, au Soudan, en Afrique du Sud contre les Boers, et après avoir envoyé des milliers d’hommes à la mort à Gallipoli (des coloniaux, en majorité) en sa qualité de lord de l’Amirauté, sur le front occidental, comme officier, pour « se racheter ».
Le légendes ont la vie longue, c’est comme ça. Ne jamais manquer une occasion de leur tordre le cou.
Aujourd’hui, à 80 ans on fait encore du sport -très jolis à regarder, ces corps en instance de décomposition/crémation, dans leur équipement Décathlon, made in Bangladesh ou Cambodge par les petites mains esclaves des ateliers de la sueur. Ah, le beau monde!
Sapré Winston…Comment réagirait-il au fait que son homonyme orwellien soit bien plus pertinent que lui à note époque? Par une pirouette dont il avait le secret, sans doute.
A « No sport », préférer le « old sport » dont Jay Gatsby gratifie en permanence Nick Carraway: il a au moins la vérité de la fiction.
« C’est justement l’un des miracles de la littérature que de nous sensibiliser par le biais de l’universel à un monde qui nous est étranger sans passer par le filtre de la connaissance, ni par celui de l’expérience directe. »
Réponse canonique : la littérature, c’est quand c’est un peu éloigné, mais pas trop !
Voilà un truc intéressant : écrire, ou peindre, ou composer, mais alors sans rien savoir de rien. Pas devenir bête momentanément, non, la totale amnésie. Ca tendrait bien vers une asymptote, mais alors la gueule…
tomber dans les pommes
Pffff !
Même pas.
Ils sont musclés, oui; mais beaux, bof !
Mes hommes – – les miens, rien que pour moi … Donc, pas la peine de venir peiniblement vous scotcher .. – sont plus beaux que ceux-là .
Et tout nus,
encore plus .
Et toc .
Bloom de 17.38, Merci d’avoir remis les pendules à l’heure et d’avoir pulvérisé la légende du Churchill antisportif. En fait, c’est lorsqu’il est entré en politique qu’il a cessé. On connaît la suite… Mais avant, entre tennis, polo et équitation, il n’arrêtait pas.
En revanche, vous êtes gonflé d’amalgamer les sportifs et l’exploitation des petites mains au Bangla Desh par le biais des tenues Décathlon. Ca, c’est n’importe quoi, qu’il s’agisse, dans votre commentaire, des coureurs de 80 ans ou de l’ensemble des sportifs comme le déduira n’importe quel lecteur.
« Je fume, je bois, mais… no sport ! »
Et tiens,
Aussi curieux que cela puisse paraître à certain(e)s, quand un homme possède du charisme, ce ne sont pas 10 KG en trop, voire plus , qui vont atténuer son pouvoir de séduction ..
C’est même presque une étrangeté qui ajoute qqc au charme ..
Daaphnée dit: 28 avril 2014 à 18 h 12 min
Ils sont musclés
Non mais là c’est parce qu’ils commencent ! Même oncle Wolf se marre comme une baleine… Mais après, c’est peut-être quatorze mille fois plus ! Halors là hachtung…
Non mais là c’est parce qu’ils commencent !
Question de swing . On l’a ou on ne l’a pas !
Daaphnée dit: 28 avril 2014 à 18 h 34 min
Question de swing . On l’a ou on ne l’a pas !
Houlà c’est comme le furet ça vient ça se barre… Faut que je trouve une équation…
Faut que je trouve
C’est une idée ..
On a fait beaucoup de progrès depuis 1936. Selon le « Telegraph » britannique, il y aurait déjà de nombreux morts sur le chantier de la coupe du monde au Qatar,et ce ne serait qu’un début. Les médias français sont aux abonnés absents, les footeux passent à la caisse. Vive le sport.
Hors sujet, mais c’est une initiative qui mérite d’être soutenue ..
10 KG en trop, voire plus. C’est même presque une étrangeté qui ajoute qqc au charme ..
Daaphnée aime l’apnée sportive d’ une vie dans les plis…
Passou dit: 28 avril 2014 à 18 h 19 min
Ce n’est pas que Bloom soit con qui m’ennuie, il y a tant de Bloom !
C’est le fait qu’il soit payé pour ça et qu’il enfile les trucs connus sur Churchill, no sport, avec la joie simple d’un scout tirant son premier coup au bordel du coin ….
Miserere….§
C’ est agréables les sports qui swinguent!
L’ aviron…et la marche nordique!( rien que pour emmerder le bougre.)
http://cdt46.tourinsoft.com/upload/FMAMIP046V50GVOE-Sport-Randonnee-.jpg
Avant que de vous quitter.
Le sport, on le pratique, ….et si on a pas été bon, on le commente. Tout à fait comme la littérature !
PS : Le rowing, c’est l’endurance …. dur, dur ! Exigeant ! …et les JO de 36, c’est loin, on s’en tape.
Köpenick est au …Sud-Est de Berlin, Hauptmann Passouline !
Beau(x) sujet(s), sévèrement burné et âprement traité.
gay tropisme ou faible riefenstahlien ? sapré passou, comme l’on vous comprend. Tout finit dans le sport, comme le Goering du film de Istvan Szabo (le seul film-portrait qui tient la route) qui viendra acculer Gründgens dans un stade pour en faire son Mephisto.
Nietzsche And The Ice-Cream Truck
God is dead.
But is atomic
berry blast Popsicle
is heavenly.
(in « B is for Bad Poetry » – Pamela August Russell)
…
…pour moi,…la fiction rejoint la réalité!,…
…
…pourquoi, comment,…explique un peu quoi!,…
…
…d’abord, vu que c’est dynamique,…la propulsion,…
…un des seul changement apporté, est,…
… » remplacé la seule coque en cèdre espagnol, par du cèdre de Colombie-Britannique « ,…
…c’est un sujet,…tout entier,…qui implique une nouvelle monture,…
…
…et, je suis content,…qu’aucune de mes idées que j’ai exprimé vers 1983,…à ce sujet, en public,…n’est revenue en surface,…motus et bouches-cousues donc,…continuons le silence,…
…
…en, cela,…que dans et pour les commentaires sérieux,…au moins que les participants » jouissent, d’avantages sans égale-mesures « ,…
…
…donc,…je ne dirais rien,…comme le » génie « ,…en ange-nue sur le revers des napoléon-or,…
…
…mon Wernher von Brau,…t’a gueule!,…
…
…ne participons pas,…des exploiteurs de génies pour » ingénieurs » des travaux » finis « ,…
…
…la reconnaissance à sortir du lot est trop tardive,…ramés dans vos seules connivences!,…
…
…en tout cas,…voilà un moyen pour faire des lecteurs abrutis,…
…le génie,…çà s’entretient, mieux qu’un roi,…conclusion,…allez à Maubeuge!,…Ah!,…Ah,…retrouvez d’autres licornes,…
…bien faits,…dis!,…à la caste,…etc,…
…
…
Tenez, à propos de swing, celui-là en vaut bien un autre?
http://www.youtube.com/watch?v=4nnvg2nIumA
Je pense avoir reconnu Bouguereau sur l’une des photos. Ce qui nous permet d’admirer sa splendeur passée car il en eut une.
A propos d’anticipation et d’échecs :-
cela-dit, nu devant mon miroir je me suis comparé à tout ce petit monde et il n’y en a pas un qui m’arrive à la cheville. Et je suis sincère. Et pourtant je fais pas d’aviron, seulement du Kung-Fu (à niveau moyen, j’ai pas le temps de m’entrainer plus).
et de la suggestion :_
L’été je fais un peu de bateau gonflable sur l’étang Fouché. J’ai un petit Sevilor bleu et jaune qui avance très bien entre les nénuphars.
Bon. Venir ici et ne pas se limiter aux petits crottes narcissiques, absconses ou concons des habitués du troquet, qui rament chacun dans leur coin et font couler le bateau. Et penser aux lecteurs silencieux de la RDL, silence qui les rendra plus ouverts à la découverte, découverte d’un livre utile.
Dans le dernier Marianne « papier » il faut lire l’ITW de Dominique Simonnot (ex-Libé pas bêcheuse comme un Schneidermann) pour son livre « Plus noir dans la nuit » consacré aux vies détruites des mineurs grévistes de 1948. Je croyais naïvement que cette répression n’avait été qu’un épisode honteux limité à l’impitoyable répression du socialaud Jules Moch, que la vie avait repris tant bien que mal. Et non…
Mais j’ignorais le rôle joué par Mitt’ le Fourbe. Et j’ignorais surtout que le malheur continu de ces gens a été escamoté par tous, que la gogauche revenue en 1981 au pouvoir, heu, aux palais, les a constamment snobés, baladés, de Jospin à Guigou en passant par Aubry, celle qui bat de l’aile gauche mais dans le vide.
Que le premier politique à faire un geste pour ces proscrits fut… Sarko (geste sans lendemain car sa ministre Christine Hagarde, soucieuse de l’argent de l’État, ah mais, se pourvut avec succès en cassation).
De vieilles lunes d’ac :/
En revanche, vous êtes gonflé d’amalgamer les sportifs et l’exploitation des petites mains au Bangla Desh par le biais des tenues Décathlon.
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Si vous le souhaitez, Pierre Assouline, je peux vous mettre en contact avec un bon ami à moi qui vous fera visiter des ateliers Décathlon et rencontrer les commerciaux des maisons d’achat. Vous avez mon adresse de contact hotmail.
Cet ami vous emmènera ensuite sur les décombres du Rana Plaza où, entre l’amalgame des bouts de béton et des fringues pour enfants déchirées, gisent encore huit corps pulvérisés.. Vous verrez, sous 40° ou pendant la mousson (à savoir 8 mois sur 12), cette visite ne vous laissera pas indifférent. Je ne suis pas sûr que vous regardiez ensuite de la même façon ni les produits D et consorts, ni la façon dont nous participons très activement à l’exploitation éhontée de la main d’oeuvre bangladaise ou cambodgienne, pour quelques euros de moins sur un T-shirt, un maillot du Barça, un survêtement « de marque » etc. etc.
Autrefois judoka et rugbyman, je n’ai rien contre l’effort sportif. J’aurais tant aimé que le sport soit intégralement lié à la noblesse de coeur, de corps et d’esprit façon pankrátion ou Coubertin. C’est raté -salaires obscènes des milliardaires en culotte courte, équipements issus de l’esclavage moderne, sponsors tous azimuts, droits de retransmission insensés, nationalisme de clocher, etc etc…
A force de parcourir une partie du monde « majoritaire » en résident informé, il y a des « effets papillon », des relations de cause à effet que je n’ai plus du tout envie de tolérer.
Dans Le Monde d’aujourd’hui:
« La tension est montée d’un cran lundi 28 avril au Cambodge autour des salaires dans le secteur-clé du textile qui emploie 650 000 personnes. Une grève touchait une trentaine d’usines situées dans deux zones économiques spéciales près de la frontière avec le Vietnam, selon Pav Sina, représentant du Syndicat collectif du mouvement des travailleurs, qui estime qu’environ 20 000 ouvriers sont en grève.
Le mouvement, qui a commencé la semaine dernière avec quelques milliers de grévistes et a pris de l’ampleur lundi, est motivé par l’exigence d’une prime de 50 dollars « en récompense du fait de n’avoir pas fait grève » lors de manifestations récentes, a précisé Pav Sin. Aucun chiffre n’a pu être obtenu du côté des entreprises ou du gouvernement sur l’impact de cette grève sur la production ».
de passage dit: 28 avril 2014 à 21 h 04 min
A défaut de petite crotte, pour votre étron, on verbalise?
…guère plus
Bloom, bloom, je reviens d’Inter Sport ( j’ai quitté ce blog trois heures…)et j’ ai acheté deux paires de chaussettes spécial running un peu moins de 4 euros chacune. Avec ma retraite amputée par tes copains au Gouvernement ( je suis juste au-dessus des 1200 euros, baisé! )je ne peux m’ acheter du made in France dans le vêtement sportif. Je regarde attentivement les étiquettes, que dois-je faire?
Non, Köpenick, passou, c’est au sud-EST de Berlin, pas sud-OUEST. C’est là que se passe le dernier roman de Julia Frank, Rücken an Rücken (Dos à dos). Le sud-ouest, c’est Wannsee, la conférence du 20 janvier. C’est de l’autre côté.
Bloom serait marxiste et Passou capitaliste ?
Bloom, j’ ai acheté récemment aussi un maillot anti-transpirant asics, made in Indodésia, déjà un peu au-dessus de mes moyens, mais pour pratiquer son sport favori, on ne compte pas. c’ est une des rare liberté qui me reste dans ce foutu pays!( Les chaussettes sont made in China, je suis allé vérifier, comme le short pro touch, payé 14, 90 euros, ce qui me semble un prix raisonnable pour un tondu fiscal Français que je suis ( par tes supérieurs!)
Je regarde attentivement les étiquettes, que dois-je faire?
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Vous me ferez trois avé le petit doigt, 4 pather panchali et un weekend avec Guillaume Musso.
Si vous réchappez à ce dernier, vous ferez ensuite le voeu d’opter pour la chaussette virtuelle, version trappiste, très confortable et peu coûteuse. Car, sans vouloir vous vexer, à 4 euros vous vous êtes fait complètement avoir (elles coûtent 7 cents à la production). Ca coûte cher d’être pauvre…
Baroz, je suis Marksiste tendance Spencer’s, comme tout angliciste qui se respecte.
In « Il teatro della memoria » Sciascia observe que le personnage dont il est question* ne peut pas être un universitaire car il donne (entre parenthèses) la traduction de ses citations…
J’oubliais Bloom, j’ ai un sac à dos léger Mkinley,( made in China) pour ma bouteille d’eau, ma barre nutritive, mes clefs de voiture et un paquet de kleenex. C’est que l’ on dépense quasiment au-delà de 400 calories à l’heure et l’effort demandé dure en moyenne plus de deux heures. On est fourbu mais heureux après cela et je viens lire les âneries ou les saillies que certains d’ entre vous commettent sur ce blog. On prend tout cela avec distance et on garde une ligne et un poids digne d’ intérêt.
« version trappiste » Bloom.
Vous faites le malin, mais je ne vous vois pas marcher ou courir pieds nus, dans la caillasse, les épines et les branchages…
Il y a longtemps que le prêtre n’est plus un paradigme de l’ histoire!
» pour l’histoire » serait plus exact…!
poubelle girl dit: 28 avril 2014 à 21 h 13 min
« A défaut de petite crotte, pour votre étron, on verbalise? »
C’est bien d’employer des mots scatos, encore faut-il le faire à bon escient : en quoi mon post mérite-t-il ce qualificatif ? En quoi le plus important dans son contenu, l’évocation du livre de Dominique Simonnot, serait-il de la mer.e ?
(Me trompé-je si je dis que vous vous êtes sentie visée ?)
du temps de jack et mickey blingbling les retraites étaient trop bonnes et la vie pas chère
« juste au-dessus des 1200 euros, »
fényant,assisté,paresseux
le raymond dit:
Mais non, retraité et heureux!
L’autre jour j’ai loué une bateau à voile miniature au Jardin du Luxembourg. Et paf, j’ai eu celui au drapeau allemand. J’aurais pu crier « Deutschland Deutschmark » mais je me suis retenu.
Cette histoire de prothèse me turlupine tant il est vrai que l’homme ( le sportif ) doit faire corps collectivement et individuellement avec l’aviron. Son aviron dépend de lui mais lui dépend de l’aviron des autres.
Tout ça pour une coque qui est la bicoque de tous leurs efforts!
Ca ne s’arrange pas pour BHL : il entend des voix, celle de Malraux, au Bangladesh en plus ! Ils n’en reviennent pas.
—
Décidément, vous avez un truc avec le Bangladesh, Pierre Assouline…
Quand j’y faisais mon service militaire comme coopérant civil dans les années 80 (d’autres étaient en Somalie, en Angola, au Nigéria, au Mozambique), je me souviens avoir vu un film sur la visite de Malraux au Bangladesh, à Dhaka, Rajshahi, Chittagong. C’était un 16 millimètres comme on n’en fait plus; on l’avait regardé avec les quelques Français qui travaillaient dans ce pays sans voitures, sans téléphone ou presque, que Kissinger appelait « a basket case », un cas désespéré. C’est comme ça qu’on appelait les amputés des deux jambes qu’on baladait dans un panier. pendant la der des der…30 ans plus tard, le taux de croissance est à 7%, et c’est l’atelier de confection du monde, grâce aux vaillants sportifs et aux braves capitalistes délocalisés.
Le film sur Malraux avait été réalisé par Philippe Halphen pour la télé française. Je me souviens des « Malraux, Malraux » que lançaient les enfants des écoles à la descente de l’avion. Je me souviens aussi que Philippe Halphen, dans son commentaire, parlait d’un « génocide » commis par les troupes pakistanaises. Ce mot avait d’autant plus de poids dans sa bouche que lui-même était rescapé d’Auschwitz. Il évoquait la voix de Malraux, la seule à s’être élevée pour dénoncer un génocide encours dans l’indifférence générale du monde figé dans le statu quo de la guerre froide.
Dans son discours à l’université de Dhaka, où fut brandi pour la première fois le premier drapeau du Bangladesh, où des centaines de professeurs et furent exécutés la nuit du 25 mars 1971, Malraux avait dit qu’il parlait devant la seule université au monde qui avait plus de morts que de vivants. L’ambassade de France en Inde a sorti un livre sur Malraux et l’Inde où on peut lire son discours intégral.
Je me souviens avoir rencontré un de ses interprètes, qui parlait un français remarquable et avait appelé sa maison L’Espoir, en référence au roman éponyme.
A l’époque, dans les années 80, il n’y avait quelques livres sur le Bangladesh, des récits journalistiques, une partie d’un livre de René Dumont et surtout un ouvrage publié en 73 chez Maspéro, intitulé Bangla Desh, nationalisme dans la révolution, par un certain Bernard-Henri Lévy. Ce dernier avait répondu à l’appel de Malraux pour venir en aide au combattants bengalis; il avait couvert la sale guerre du Bangladesh pour Combat. A la libération, due à l’intervention de lInde, jamais aussi heureuse que quand elle fout la pâtée au Pakistan, Il aurait même travaillé au ministère de l’économie et du plan sous la direction du « Père de la Nation » Mujibur Rahman, père de l’actuelle première ministre, avant de se faire lourder pour accointances avec les Naxalites (guerrilleros maoistes qui opèrent toujours au Bengale occidental qui existent toujours). Lévy avait eu son engagement auprès des musulmans du Bengale; bientôt Assouline allait s’engager lors la guerre du Kippour…Courageux, les jeunes juifs, non?
Je dis ça comme ça, mais peut-être faudrait-il demander aux Bangladeshis, qui vénèrent Malraux, si eux aussi n’entendent pas encore et toujours aujourd’hui sa voix de 71 ou de 73,
Peut-être Pierre Assouline nous le dira-t-il quand il reviendra de son voyage au bout de l’Enfer des autres.
Kopenick est surtout célçbre pour son faux Capitaine qui, parce qu’il avait un uniforme, put s’emparer de la caisse de la mairie après avoir neutralisé la municipalité.Ah, l’Allemagne et le prestige de l’uniforme, déjà, vers 1906…..
Bonne soirée
MC
(guerrilleros maoistes qui opèrent toujours au Bengale occidental qui existent toujours)
—
on aura compris qu’il est tard…
…
…en tout cas,…depuis, l’€uro,…
…
…avec, le prix du croissant,…qui est 10 X plus chère qu’avant,…
…et , avec toute les écoles aux couscous majoritaires,…
…et, avec nos lignées de führer’s mondialiste,…et nos Jeanne d’Arc du poulailler à Crazy Horse étiquettes à home’s,…
…
…la présence de l’empire Perse,…en légion allemandes-arabes de connivences,…socialo nazi’s-juifs,…comme » cadres « ,…
…
…scénario’s,…
…mon fils en classe,…me dira,…je suis très différents des autres,…
…
…très jeunes déjà,…ambassadeur-gay’s pour du pétrole,…quand c’est pas le gaz,…
…non,…la pluie on est servi,…
…
…c’est » normal « , on est tarés des con’finances à coupole,…
…
…mais, papa,…il n’y a que moi, qui suis blanc,…de souche,…
…
…socialise, socialise,…
…et fait, ton Pareto K.K.K.,…à l’ail,…
…ne grec, pas ton père en plus!,…
…on,…nous élève en basse-cour des libertés,…c’est » fun « ,…non !,…Ah!,…Ah,…etc,…
…
…déjà, avec toutes les têtes de turcs des grecs,…c’est mix-complot d’A.D.N.,…en éprouvettes de jour et nuit,…
…
…tu rame encore,…toujours tout seul,…c’est un monde,…bien remplis,…
…etc,…à mon cul en voilier,…
…
Passou a une vieille haine rance contre BHL et contre Houellebecq. Je ne sais pas ce qu’ils lui ont fait. Mais ça lui colle après. C’est son affaire. Il est vrai que le BHL peut énerver, Houellebecq aussi. Mais de là à le persécuter dès qu’il élève la voix quelque part, et en plus pour la bonne cause ! Malraux, c’est son modèle à BHL.
Je crois que Jesse Owens fut plus insulte par Roosevelt, son president, que par ce trouduc uniburnesque…Roosevelt ne lui a jamais serre la main et a sa reception officielle au Waldorf Astoria, on lui dit de prendre l’escalier de service…
Quand même, se battre contre soi, faire des efforts terribles à l’aide d’un instrument extérieur à soi, une rame ou des bâtons, cela donne à réfléchir, cela demande de la technique, une double maîtrise, une anticipation de l’impondérable comme la pénétration parfaitement efficace de l’ extrémité de la rame dans l’eau…( tout comme le piqué de bâtons et la poussée de la main jusqu’à la paume et le lâché de ces mêmes bâtons retenus seulement par le gantelet à la marche nordique.)
On peut être pris, enivré par le souci de perfection, parvenir au geste parfait. Semblable à une ligne d’écriture réussie!
Un modèle qu’il essaie pitoyablement de dépasser par quelques perfidies:cf quuelques formules comme « Malraux a sans doute payé très cher cette place de cardinal du Gaullisme »
Voir aussi: « une Imposture Française, BHL, » dont l’intéressé ne s’est pas vanté. On y trouve entre autres des propos de Madame Pearl qui ne sont pas précisément à sa gloire…
MCourt
Le corps peut-être physiquement exercé et prêt à la maîtrise de l’effort mais si le coup de rame n’est pas franc, qu’il vous fait perdre de la puissance et de la vitesse de glisse?
Tout comme la poussée des bâtons, malgré la lame en carbure de tungstène à leur extrémité, parfois on pique moins efficacement le sol et la poussée en est moins performante, on perd de la vitesse…
J’ai dit que c’était son modèle. Je n’ai jamais dit qu’il était à la hauteur de son modèle. Maintenant Malraux était lui aussi un grand affabulateur. Ils étaient fait pour se comprendre.
L’art de pratiquer un sport!
Passou, vous avez vous aussi, je suppose connu (et connaîtrez, je vous le souhaite!) ces sensations là?
Et Widergänger, qui roule en vélo électrique n’a-t-il pas essayé le pur effort, la vraie confrontation avec la prothèse vélocipédique sans moteur adjuvant. Maîtriser cet amas de ferrailles inerte, en faire sa coque dressée pour l’occasion?
…
…coque à l’âme,…tu ne veux comprendre!,…
…
…tout seul,…tu bat,…ces avirons à 9 sportifs,…
…
…autrement, je ne me compare pas à un génie,…enfin!,…
…
…et tu peut toujours chercher!,…Go!,…
…etc,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc,…
…le ridicule ne tue pas,…
…
G.S.A, il n’y a rien à comprendre, il faut pratiquer, c’est tout. C’est comme ta peinture et ton pinceau prothèse!
Peindre avec ses doigts, c’est autre chose, une gaucherie enfantine ou à l’ extrême, une incapacité physique comme Louis Soutter dans ses dernières années.
…
…techniques jamais imaginées et pourtant simples comme bonjours!,…à l’esprit succinct!,…etc,…
…
J’ai pratiqué le vélo. Mais pourquoi se fatiguer à pédaler quand on peut faire autrement. J’aime me balader en vélo. Mais il faut aussi pédaler tout le temps sur un vélo électrique, ça ne marche pas tout seul, loin s’en faut. Je préfère le ski. L’hiver je vais faire du ski en Suisse à Bergün à côté de Sankt Moritz, où vivait BB et Günter Sachs, avec une belle baignoire dans le grand hôtel qui est là.
Seulement après, tu peaufines ta pratique. La peinture est un sport de très haut niveau et là aussi il y en a qui se dopent aux moments cruciaux et ça fléchit,ça répète et ça plafonne au niveau des performances!
« Mais pourquoi se fatiguer à pédaler » W.
Et faire l’éloge de la fatigue?
( Comme de la lenteur?)
…
…@,…coque à l’âme,…
…
…l’art c’est aussi l’art en sciences,…type à L. de Vinci,…sans médailles sans soumissions à Xerxès-Trust’s & C°,…
…plus fort que tout, avec son seul esprit d’ingénieries!,…etc,…
…
…bonne-nuit,…avec la force et la doctrine-servile!,…Ah!,…Ah!,…etc,…
…envoyez,…et c’est Stop!,…à mes secrets d’observateur!,…pratique!,…
…
« J’ai pratiqué le vélo ».
Vu votre obésité et votre physique en ruine, mon pauvre, on peut en douter
Pratiquez au moins trois séances hebdomadaires de sport d’endurance Widergänger, le matin ou l’après-midi ( en début de soirée s’il fait chaud.)et vous verrez les super bénéfices que vous ferez pour votre santé!
Souvent je me dis : non, ce n’est pas lui.
Trop, c’est trop.
Et puis….., un indice…
Cette haine du sport. A ce point….
Personne d’autre ne peut.
Alors j’espère, un peu, beaucoup….Contre tout.
Si en plus il détestait les touristes.
Waouh !
» que vous en tirerez », c’est plus précis.
…
…O.K.!…
C’est la discipline que je m’efforce d’ appliquer. Bon, vu l’âge de vos articulations -et des miennes – ( et surtout garder la plaisir de pratiquer ) deux séances régulières peuvent suffire.
Mais pas de moteur prothèse! La puissance aristotélicienne et basta!
…
…petit, malin,…
…même, si c’est çà!,…je suis en devoir de me protéger de vos sondages entre,…oui!,…ou non!,…et vous semez le trouble dans mon jardin d’observation,…
…
…même, juste avec un doigt,…O.K!,…
…sans pétrole!,…et sans gaz!,…ni vapeur!,…Ah!,…et pourtant, presque ridicule,…quand c’est trouvé,…etc,…au lit,…etc!,…
…
…
…au lit!,…maintenant!,…sans aviron!,…
…Ah!,…Ah!,…etc!,…
…
Je vais acheter ce livre.
Bonne nuit.
Trompe-la-mort
On l’appelait trompe-la-mort,
Escaladant pics et falaises,
Slalomant avec son hors-bord,
On l’appelait trompe la mort.
Mais sa mort fut un coup du sort,
Il périt dans ses charentaises.
On l’appelait trompe-la-mort,
Escaladant pics et falaises.
Jean Calbrix, le 29/04/14
Je viens de remettre la main sur le Dictionnaire Malraux publié par le CNRS. L’entrée Bangladesh est signée BHL.
Il existe une version de ce texte de 2011 dans la Règle du Jeu,.
http://laregledujeu.org/2011/10/06/7280/malraux-bernard-henri-levy-et-le-bangladesh/
Préférer Ernst Jünger à Malraux et à BHL, why not? Perso, les goûts et les couleurs de la mode contemporaine me laissent de marbre (ah!).
Bon, moi aussi j’entends une voix, celle du boulot qui m’enjoint de préparer la venue d’un de nos bons écrivains que personne ne connait ici, malheureusement…Il va falloir ramer, comme en 36. Souquez les gars…!
J’espère qu’il aura la bonne idée de venir en costume de lin et pas en T-Shirt Gap ou en habit vert…
Jacques Barozzi dit: 28 avril 2014 à 21 h 30 min
« Bloom serait marxiste et Passou capitaliste ? »
Jacky, c’est plus grave que ça pour Bloom ! Il lui importe de se « singulariser », sa vie intérieure l’exige : les autres sont intelligents, il est con. Une réussite totale pour cet aventurier Carte Bleue. Cela le « distingue » dans toute société normale.
Son lien entre le sport et la main d’œuvre dans le textile : c’est y pas cucul, concon, gros bêta, vieux gaga, ça…. ?!
Merci pour ce texte. (J’avais lu ce livre magnifique en anglais). Ça c’est le « Assouline » que j’aime, l’enthousiaste.
l’équipe américaine d’aviron qui humilia les Allemands en général, et Hitler en particulier, en remportant l’épreuve reine aux fameux Jeux olympiques de Berlin de l’été 1936.
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—
Dérisoire victoire, à peine rehaussée par la susceptibilité propre aux esprits fascistes.
Comparée aux humiliations à venir, Munich et mai-juin 40, c’est de la petite pils…
Jacky, c’est plus grave que ça pour JC! Il lui importe de se « singulariser », sa vie intérieure l’exige : les autres sont intelligents, il est con. Une réussite totale pour cet amateur de chèvres . Cela le « distingue » dans toute société normale.
Son amour pour les fafs c’est y pas cucul, concon, gros bêta, vieux gaga, ça…. ?!
La séquence du film de Riefenstahl sur
https://www.youtube.com/watch?v=RQVtQLcsmlE
(Les vues à bord du bateau ont été prises le lendemain, je crois).
Il y a une immense différence entre Bloom et moi : je sais que je suis con, il ne sait pas qu’il l’est ….
« c’est l’atelier de confection du monde, grâce aux vaillants sportifs et aux braves capitalistes délocalisés. »
Après ce sera dans un autre pays
(Au fait, quels types de magasins de fringues suggérez-vous aux fauchés des pays européens pour qu’ils n’aillent pas en guenilles ?)
non jc le beauf qui n’acceptez la critique que contre vos ennemis: il faut vous faire une raison: Bloom est cultivé et très intelligent
Avouez, mes petits choux, qu’il faut être con comme un Bloom, pour dire que :
« la façon dont nous participons très activement à l’exploitation éhontée de la main d’œuvre bangladaise ou cambodgienne, pour quelques euros de moins sur un T-shirt, un maillot du Barça, un survêtement « de marque » etc. »
Ce type ne comprends rien à ce monde …
EXACT !
Bloom est cultivé comme un champ de patates : au fumier humain !
Bangladesh Bangladesh, when the sun sinks in the West ..www.youtube.com/watch?v=CNKIaTDhAfs
when the sunsinks in the West
http://www.youtube.com/watch?v=CNKIaTDhAfs
le pauvre jicé culmine toujours ras du sol
The Boys in the Boat = Ils étaient un seul homme.
The Buddha in the Attic = Certaines n’avaient jamais vu la mer
Cette fidélité à l’original aurait-elle à voir avec la façon dont on perçoit l’international dans le pays que désertent sa jeunesse et ses fleurons industriels?
Let’s imagine the opposite:
The convict’s progress = Les Misérables
Failed Uprising in Shanghai = La condition humaine
To Ireland and Back = La carte et le territoire
Love in the time of Riots = L’éducation sentimentale
Sportifs,
lorsque vous faites du sport…. vous exploitez la main d’œuvre asiatique, bandes de salauds !!!
Arrêtez immédiatement, sales capitalistes !….
Contribuables, mes frères !
Réjouissez vous : c’est votre argent qui entretient ce fada de Bloom ….
« Neuf hommes dans un bateau » aurait été une possibilité.
Macbeth = Ma-queue-bête
Othello = Hotel Eau
Hamlet = Jambonneau tragique
…
…rien à redire,…c’est de la poule au pot !,…encore!,…quel poulailler,..d’€uro’s,…
…etc,…
Merci Christophe Charmley pour le lien avec la séquence Aviron du film de Riefsenthal. Je la visionne en boucle…
Bloom, Malraux ? Bien sûr. Mais entre l’oeuvre de Jünger et celle de BHL, comment dire… pas photo, non ?… Vous me faites penser à une remarque de Jacques Henric l’autre jour dans un colloque littéraire en Suisse. Un intervenant ayant osé évoquer l’oeuvre deMaurice Barrès, il s’est attiré les moqueries d’Henric, balayant la chose avec mépris (« nulle… n’existe pas… aucun intérêt ») confondant son opinion sur la chose avec la place évidente, incontestable que cette oeuvre occupe dans l’histoire de la littérature et l’histoire des idées de la première moitié du XXème siècle.
Sud-est de Berlin, natürlich ! Corrigé. Merci Phil et Wilderganger
L’hitlérisme ne pèse pas lourd comparé à l’olympisme, du point de vue des compétiteurs !
Raison pour laquelle le boycott est toujours stupide, les « autorités politiques » locales devant être considérées comme aussi importantes que les arbres contre lesquels pissent les chiens…. c’est à dire « éléments de décor ».
L’important dans ces épreuves d’équipe, c’est la « résonance » qui doit exister entre la prothèse, bateau ou autre, et les hommes …
C’est la résonance, à son maximum, qui fait la différence. Le meilleur son de l’effort.
…
…en tout cas,…déjà,…avant 1936,…
…
…pour écrire un mot,…ils payaient jusqu’à des » milliards « , de marck,…pour un timbre de Poste,…courant,…
…
…des milliards de marck partis en timbrés,…franco de porcs !,…
…
…captain Hadock,…
…milles milliards de libellés, sur lettres affranchies,…de leurs ports d’attaches,…
…
…Good mit uns,…des seins en aviron,…etc,…
…
Christophe Chamley, oui, notre hôte sait être enthousiaste. Mais là où il m’impressionne le plus, c’est quand il est en colère. Parce que ses colères sont glacées, d’autant plus courtoises que la rage est grande (ça change de ses visiteurs, pas vrai ?) , mais ausi d’autant plus précisément dirigées vers leur cible. Gare devant ! Nous ne sommes pas dans la gadoue fielleuse, à peine formulée, courant par ici. Plutôt dans le Guillaume Tell de la littérature, prêt à pointer, d’une arbalète meurtrière, la pomme de discorde qu’il convient d’abattre.
(au fait, savez-vous qu’une arbalète – interdite par Innocent 3 – est excessivement difficile à armer ? Clopin en a reconstitué une, ma foi fort efficace, mais le carreau partait si loin, si violemment, dans les champs, que nous avons eu peur d’un accident.)
Le meilleur son de l’effort.
de la sélection beaucoup de selection encore de la sélection..tout petit..et bientôt en labo..beaucoup de moyen pour la sélection
rimembeur somezingue ?
Riefsenthal. Je la visionne en boucle…
huuuuurkurkurkurk
Merci d’avoir remis les pendules à l’heure et d’avoir pulvérisé la légende du Churchill antisportif. En fait, c’est lorsqu’il est entré en politique qu’il a cessé. On connaît la suite…
hach parlementarisme..ploutocrasssie !
Pauvre gosse !
je l’imagine une pomme sur la tête avec un Guillaume Tell aussi habile … un jour on aura un récit assassin de cette enfance à la Louis le Malheureux et, enfin, la gloire s’abattra sur cette noble famille de Normands astucieusement terre-à-terre.
il aimait faire la guerre, prolongation du sport sans le « fair play »
et « la guerre est à l’homme ce que la maternité est à la femme »..relis toi kabloom..quand y sagit de sport on cause comme au café..des sports..et c’est pas du tout ..mais du tout celui du commerce
Le lien logique entre les propositions
« Savez-vous qu’une Arbalète est très difficile à armer? »
et « Clopin en a reconstitué une » n’est pas évident.
Eneffet, d’autres paramètres peuvent entrer en considération, tels « Clopin est un mauvais bricoleur »
ou
‘il ne veut pas que le Clopinou , l’ane et peut etre lui__meme soient blessés par un tir inconsidéré, auquel cas il est de son intérêt de multiplier les sécurités et les légendes, des fois que sa volcanique compagne irait la manier ».
Quant à Pierre Assouline en Guillaume Tell,la vision va me poursuivre…
Merci Clopine de cette hilarité matinale, vous ne faites pas exprès, je sais.
Bien à vous.
MC
Mais moi aussi, Court, notre hôte en Guillaume Tell ça me fait marrer. C’est même pour ça que je l’ai écrit!!! Wouarf… Vous me prenez toujours pour une tarte (aux pommes), mais je crois que cela provient de votre infatuation. En fait de Guillaume Tell, vous me faites penser, vous, à ma cocotte-minure : d’une remarquable étanchéité compacte au plus haut point, imperméable à l’extérieur, et emplie de petites fumées et sucs fermentant qui s’échappent en petits jets tournoyants, gémissants et ridicules…
(je sais, je ne le fais pas exprès…)
..on peut pas reprocher aux nazis de pas l’avoir eux « l’esprit d’équipe »..poussé à une forme de perfection même qui donne encore aujourdhui le vertige à passou..et sincérement bloom parler « d’humiliation » de 39 comme d’une soirée de défaite de match de foot..y’a pus qu’a retirer l’échelle..et se jeter dans les bras de josef..lui il se levait à 18h se couchait à 4 mais il l’a gagné..
Qu’est ce qu’il ne faut pas lire : « la guerre, prolongation du sport moins le fair-play… » !!!
On dirait du Valls à la recherche de séduction de députés dépités…
« En fait de Guillaume Tell, vous me faites penser, vous, à ma cocotte-minure »
Enfant, j’en ai connu une, de cocotte-mineure !
le carreau partait si loin, si violemment, dans les champs, que nous avons eu peur d’un accident
dans 200 ans un écolo bricolera une ak47 avec son imprimante 3d et aprés avoir descendu son chien il dira « mais ça tue ces machins là »
MinuTe, cocotte, évidemment. Merci Jc. (encore que, peut-on vraiment vous remercier de quoi que ce soit ?)
Bizarre, M. Court ne répond pas. Soit il est agité de soubresauts de rigolade, dans un coin de sa cuisine, soit il est sous le robinet d’eau froide, en train de dépressuriser.
Soit il cherche avidement un qualificatif disgrâcieux à m’attribuer, mais il n’arrive pas à trouver le bon, dans le tas
« Merci Clopine de cette hilarité matinale, vous ne faites pas exprès, je sais »
Tout comme bhl!
emplie de petites fumées et sucs fermentant qui s’échappent en petits jets tournoyants, gémissants et ridicules…
quand que ça crie à la soupe tout le monde se cassos chez clopine..c’est l’esprit d’équipe
Bloom défenseur du made in France et de notre réindustrialisation ? tout est possible ! C’est le signe que décidément les choses vont mal.
J’imagine notre baroudeur internazional, visage buriné par le soleil et l’air marin, Ray-Ban sur le nez, costume trois pièces et pompes italiennes faites sur mesure, devant les ruines encore fumantes du Rana Plaza, et s’écriant, comme BHL trente ans plus tôt dans d’autres circonstances : C’est-y pas malheureux tous ces pauvres gens, quand même !
J’aime beaucoup le côté » anecdote vécue » des commentaires de Bloom. » Quand j’étais à Dacca… J’ai un vieil ami laotien qui m’a dit que… » Sur le fond il n’a pas tort, cela dit… Sauf qu’accuser les papys sportifs et les joggeurs du dimanche c’est là aussi confondre la cause et les effets… Cela revient à opposer les pauvres des pays pauvres avec les demi-pauvres des pays riches… pitite erreur de raisonnement… encore un effort pour être marksiste !
Pfff… Nous jouons aussi aux fléchettes contre la porte des cabinets du jardin, savez-vous ?
En fait, je crois que je vais entamer une nouvelle période rdéliènne. Trouver, dans ma batterie de cuisine, à quels instruments vous ressemblez tous. Bon, Court, la cocotte-minute exténuée, ça le fait. Encore que ça doit être trop cuit là-dedans, tout mou et tout spongieux, m’enfin, bref. Widergänger, c’est mon fouet à oeufs, évidemment. Il monte, il monte, et après il est tout englué dans sa propre mousse. Bloom est ma passoire à nouilles (je l’aime bien, ma passoire à nouilles) : vou déversez, il vous gardera le meilleur, et laissera filer le pire. Chaloux, ah Chaloux, c’est plus difficile. La poêle à frire ? Heureusement que Daaphnée a sa place toute trouvée : quel beau cul-de-poule, pas vrai ?
Evidemment, il y a Jc et Bouguereau. Mais ceux-ci ne font pas partie de ma cuisine. Plutôt de ces lieux, qui, pour Marcel Proust, sentait l’iris (il était gentil Marcel). Disons que l’un pourrait utilement servir de balai à chiottes, tandis que l’autre déviderait, tous les jours et continuellement, son papier cul…
Sauf qu’accuser les papys sportifs et les joggeurs du dimanche
pas du tout..tout..tout petit marché..et vient pas nous salir le sport avec le cardio qui sauve quelques vies par semaine..non on parle de sape « sport »..un peu comme francis blanche sapé en nazi au yeux bleu..il aurait fait la une de signal
Halala, cette clopine !
Comme figure de mère abusive …. c’est assez étonnant, sous cette forme candide et satisfaite ..
jla remets..passe la en boucle lassouline..ça vaut 15 bouquins de philo..de l’art
MCourt sur pattes est-il un congre ? réponse: OUIGRE, un gros
« Balai à chiottes » me va parfaitement !
Instrument simple, bien utile, pour nettoyer la saleté des malpropres, quel que soit le gros sac dont elle s’échappe, volontairement ou fuitée … !!!
Valognes a, elle, un côté « cuvette-minute » qui me plaît …
Heureusement que Daaphnée a sa place toute trouvée : quel beau cul-de-poule, pas vrai ?
Pauvre Clopine !
Même pas assez courageuse pour assumer l’insulte ! Décidémment, il n’y a pas qu’en tant que mère que n’a pas su trouver votre place ni en tant que femme.
Oh, la vilaine grosse fifille sosotte à ses vieux papa-maman.
Pfff !
Clopine, je m’honore d’être votre poêle à frire, tout le problème étant de savoir ce qui s’y fait sauter.
Sur la civilisation du sport, lisez tout de même Mari et Femme de Wilkie Collins, grand livre sur la condition féminine au XIXe siècle et grand roman.
Amusez-vous bien,
Voix grave de baryton amplifiée par le mégaphone, le barreur, le plus frêle et le plus petit (1,73m pour 54 kgs) à bord du bateau mais d’une force de caractère peu commune, malin, meneur et cérébral, il hurle des ordres, encourage, stimule, réconforte, admoneste, engueule huit types qui respectent son autorité alors que chacun pourrait d’une pichenette le balancer à l’eau.
Le barreur çà ne serait pas une sorte de mixte entre Assouline et le Bougre ? Après les militaires en bottes … les sportifs en marcel et chaussettes, qu’ils rament … c’est toujours mieux que de frapper à la badine. Mais on a pigé, ce qu’il veulent c’est gagner … soit.
C’est une vue de l’esprit ? A suivre le bougre, on serait mal barrés ? C.P. va gagner ? Mr Court fait la conversation, à droite un château hanté, à gauche un gibet datant du 14 ème, ramons, ramons, les dieux du stade vont au Brésil… changeons de tropismes … La question n’est pas qui va perdre ou gagner, mais qui est l’hitler du 21 ème siècle ? Je vois quelqu’un qui sort d’une datcha torse nu … c’est un raccourci spécieux …
Vous, par contre, en batterie de cuisine, Daaphnée, vous vous posez là.
C’est drôle : j’ai l’impression que mes petites métaphores ménagères ne vous parlent pas. Vous, la perfection faite femme, vous devriez pourtant savoir que « la cuisine retuient les petits maris qui s’débinent » ? (le mien, non…). En y réfléchissant, tel votre miroir adoré, je ne me souviens guère de posts de vous décrivant les humbles nourritures terrestres de votre alimentation. Vous, en maillot de bain sur la plage, oui. Vous, entourée d’hommes à poil, oui. Vous, déblatérant des lieux communs culturels devant la dernière expo à la mode, oui. Mais vous, confectionnant une omelette aux pommes de terre ? Un civet de lapin ? Une salade de fèves à la menthe ?
… La dernière fois que je me suis servie de mon cul-de-poule, c’était pour des oeufs brouillés. Délicats à faire, les oeufs brouillés. Faut fouetter… Longtemps… Si j’avais su, j’aurais utilisé l’instrument bien moins délicatement. Avec un pilon. Du genre gracieux, comme le vocabulaire et le style de la dame en question. Et encore, je crains qu’en l’espèce, ça ne soit pas suffisant.
…
…en tout cas,…d’arbalètes,…des croisades,…
…
…un genre de harpon déjà,…inventé par un certain » Richard coeur de lion « ,…sur le terrain,…des opérations,…
…
…pour en cloué une lignée d’un jet,…
…
…de quoi s’élevé comme par une grue,…par deux jets parallèles successifs,…
…
…origine,…la catapulte,…ou version » scorpion » de la colonne Trajane,…
…
…les mots doux catapultés pour asseoir la majorité, encore rétifs de la Bretonne,…
…Ah,…Ah,…
D’ailleurs, faut pas fouetter pour des oeufs brouillés. (je préviens de suite les connaisseurs). faut faire des « 8 » du bout de la cuillère en bois. Mais avec Daaphnée en cul-de-poule, ma foi, adieu la persévérance et la délicatesse. Plutôt que touiller, con-cassons !
Daaphnée, il suffit !
Clopine, c’est notre héroïne !
Si on y a gouté, on ne peut plus s’en passer.
Je suis addicted ! Lorsque je goûte à ses redoutables appâts de ferme, à son verbe fort, à son verbiage-la-prasline, à son délire socio-écologiste, … alors, le monde qui est le mien devient celui des bisounours à la Walt Disney… irréel et gnangna…
Je flotte dans la vie rêvée, je pense comme elle, je flotte comme une merde sur du mercure brillant.
Sevrez-moi ! sevrez-moi ! Je suis un sportif en danger ! Je rame dans la blédine brayonne depuis que j’y ai goûté. Ah ! Jours funestes ….
« la cuisine retuient les petits maris qui s’débinent » ? (le mien, non…).
Personne ne vous demande cette confidence mais que votre compagnon en ait assez de vous, on comprend aisément que ce ne soit avec force soupe – quelle idée ! – que vous puissiez ..
La pauvre fille.
Pfff
Voyons Chantal, notre cher Putin est aussi peu Hitler que Obama est Chamberlain ….
Et si les hommes sont égaux depuis l’invention de Colt, les empires prudents le sont depuis l’invention des missiles tactiques nucléaires miniaturisés….
c’est bizarre, Chaloux et Daaphnée se suivent, avec chacun la Majuscule .. je dis çà avant de ramer. Les RTT çà existe …
@ Widergänger
« Passou a une vieille haine rance contre BHL »
C’est difficile de ne pas l’avoir, vue la liste de ses exploits. Il ne faut pas oublier qu’il est, et de loin, le plus grand philosophe, le plus grand romancier, le plus grand cinéaste, le plus grand malraux vivant, en plus de l’inventeur de la pensée botulique et du meilleur encaisseur de tartes à la crème de l’histoire. L’homme qui a mené la mégalomanie délirante, la mythomanie pathologique et le parisianisme le plus imbécile à des sommets jamais atteints. Et qui a prouvé de façon définitive que le ridicule, malheureusement, ne tue pas.
BHL le best of…des entartages!
http://www.youtube.com/watch?v=srvn5p97AGg
Deux photos de BHL pour l’Histoire:
http://mai68.org/spip/spip.php?article6973
http://www.5minutesatuer.com/inclassable/bhl-photo-truquee-libye.html
Je préfère notre époque jc, quand on lance des bananes aux footeux black, ils rient de leurs dents blanches et mordent dedans …
le fair play vous connaissez ? Vous mangez toujours dans votre écuelle à la Platini ?
James Salter, « A Sport and a Pastime ».
chantal dit: 29 avril 2014 à 10 h 17 min
« Je préfère notre époque jc, quand on lance des bananes aux footeux black, ils rient de leurs dents blanches et mordent dedans … »
Réaction instinctive, venue directement du cerveau reptilien …
(à propos, on voit moins Taubira depuis que Valls est passé de l’autre côté de la camera….)
Mais quel extrait des rameurs de 36!
Quasiment une scène d’orgasme avec les ahanements et l’appareil génital hurleur qui en redemande…hallucinant!
( Ne vous moquez pas de la comparaison, le philosophe Jean Luc Marion à bien comparé le plaisir de courir à un plaisir orgasmique.)
Pablo,
J’admire BHL et profite de son exemple
Je rétribue quelques pauvres hères de Porquerolles pour qu’ils m’entartrent médiatiquement de temps en temps. Cela ne nuit pas, bien au contraire, à mon image…
Gérer ses opposants, c’est le B.A. BA du métier d’idole des glands.
Sweetie,
Bien entendu, vous avez raison !
Toute victoire est bandante, orgasmique. Ah, quelle jouissance lorsque le type torturé finit par avouer dans un râle, ou que la fille que vous avez invité au restaurant paye l’addition …!
Bonne journée ! A demain …
Jc … sia tu vendais des écrans plats tu serais moi aigri … mais j’entend le bruit des rameurs … A le rouge .. W … le noir … les voyelles et les …cons …sonnent ; … bip … bip … !!! tous à l’eau !!!!
Soyons justes et impartiaux !
Je dirais que ce n’est pas elle mais lui qui mérite la médaille …..
Heu … voyons, voyons .. tiens, peut-être du mérite agricole .
Non, mais c’est vrai !
Que le fils ne réagisse pas encore, passons. Mais qu’un compagnon et père supporte ce déballage éhonté .. à moins d’être totalement abruti, je ne vois pas.
Prévision ?
http://www.repubblica.it/cultura/2014/04/24/news/urania-84383471/
On se remémore le pan sexualisme païen non avoué de la cinéaste Allemande en tant que photographe.
( Et vous avez raison Passou de souligner le ridicule de ce J. Henric à propos de la non influence de Barrés en littérature!)
CF : de A. Guyot et P. Restellini, l’ art nazi avec une préface de Léon Poliakov édition complexe 1983.
marrant votre lien renato, même en religion on a deux papes qui canonisent deux papes .. le nouvel ordo missae… mettre de l’eau dans le vin de messe …
De JC à Chantal :
« Je préfère notre époque jc, quand on lance des bananes aux footeux black, ils rient de leurs dents blanches et mordent dedans … »
Réaction instinctive, venue directement du cerveau reptilien …
Parole d’expert !
du vent glacé sur l’eau qui bout …
je vais aller voir un truc au ciné : pas son genre :
Pour entarter deux philosophes ?
Oui, ils le méritent !
Combien de tartes à la crème ?
Deux grosses ?
OK ?
Avec une carte cadeau ?
D’accord !
J’ai bien noté, je vous relis :
« TWEET : le linguiste François Rastier démonte la rhétorique du philosophe Alain Badiou. »
Merci de nous faire participer à cette guerre picrocholine …
Le physique des athlètes rameurs américains, extrêmement affutés, apparaît à la fois moderne (l’impression de jeunes nageurs d’aujourd’hui pas encore hyper body-buildés, toujours très fins, comme Yannick Agnel par exemple, bien qu’il insiste un peu plus sur le lever de fonte depuis qu’il s’entraîne à Baltimore) et pas du tout contaminé par les stéroïdes, ni soupçonnable d’être gonflé aux hormones et soufflé aux amphés. On est déjà loin des corpulences de l’époque des « hommes de 14 », celle des râblés, des bourrus, bref des poilus (à part l’équipe italienne d’après le billet.) Il faudra attendre 1954 et « Das Wunder von Bern » de leur Mannshaft de foot pour que le pays renoue avec le triomphe romain (mais républicain cette fois-ci.)
Avec une belle ombre au tableau : le Nationalelf était drogué jusqu’à l’os à la « pervitine » (le crystal meth du moment), la drogue des soldats du Blitzkrieg des légions nationales-socialistes qui soumirent l’Europe occidentale en 1940.
Je ne sais pas si les sportifs de Goebbels s’étaient chargés de la même façon face aux jeunes gars de Seattle, en 1936. Si tel était le cas cela renforcerait l’éclat de la victoire américaine et la rendrait encore plus purement « démocratique. »
En 1954, la RFA était un modèle de démocratie, je ne l’oublie pas, mais bon, voir Rahn et ses coéquipiers tailler des génies hongrois, avec force tacles et autres attentats, comme Puskàs et Kocsis, tout en se rappelant la bourre que le pays se tira dans les décennies qui suivirent avec sa contrepartie orientale (la RDA et ses robots sportifs survitaminés), ne plaide pas en faveur du sport allemand (paradoxalement l’équipe de 1970 de Beckenbauer et l’actuelle menée par Löw sont des exemples de swing et d’esprit d’équipe.)
Photo 1
Cannibales européens accueillant un explorateur à la peau sombre.
Photo 2
Explorateur vociférant et bien vêtu menant à la trique huit indigènes à poil.
Photo 3
Une seule jupette pour 30 00 pantalons.
Et moi, aucune place dans votre batterie de cuisine, Clopine ?
Pourtant, je me serais bien vu en rouleau à pâtisserie : une certaine fermeté pour un résultat tout en délicatesse ?
Photo 5, l’annonce d’un film classé X ?
Photo 4, il n’y en a qu’un qui ne travaille pas du chapeau !
Photo 5, l’annonce d’un film classé X ?
Jacques Barozzi et les 9 nains…
http://www.dailymotion.com/video/xqr9lz_hey-ho-hey-ho-on-rentre-du-boulot-les-7-nains_shortfilms
Chaloux, les bonnes intentions ! Vous êtes la poële à frire les bonnes intentions. (l’enfer en étant pavé !)
Ah, Jacques Barozzi, si vous étiez de ma batterie, vous seriez évidemment mon essoreuse à salade. On en ressort secoué, certes, quelque peu étourdi à cause de la vitesse, mais au sec, et prête à servir, avec un filet d’huile d’olive, of course.
X’lew ou Zhu, sont, eux, des chinois…
Et Paul Edel un plat à gratin.
Une seule jupette pour 30 00 pantalons.
Et toute de blanc vêtue, U. …
Pas touche, pas touche ..
(au fait, suis allée à la corrida … L’homme était beau, le taureau aussi ..)
(J’aime les tauresuis allée voir ceci:
http://torobravo.fr/arles-la-lecon-de-toreo-de-manzanares )
(Oups !
J’aime les taureaux en liberté et – cela n’a rien de contradictoire – suis ..)
votre cher Popaul, Clopine, est encore à Rome où il essaye de se faire canoniser Saint Popaul de la Kritik aux bons soins de l’amère cri-cri
C’est bien ce que je disais : Paul Edel connaît du beau monde. Un plat à gratin, vous dis-je !
Et pour Passou et TKT avec ou sans son D., Clopine ?
Daaphnée, la limaille de fer à récurer les fonds de plats, peut-être ?
… Et Jacques, avec son goût des extraits littéraires, n’est pas, comme je l’ai écrit, une essoreuse à saladE, mais une essoreuse à saladeS ; car ses « goûts » sont-ils autre chose que des collections d’histoires, autant dire de jolis mensonges ?
Paul Edel connaît du beau monde
t’es jalouse épicétou
Clopine dit: 29 avril 2014 à 12 h 03 min
« Chaloux, les bonnes intentions ! Vous êtes la poële à frire …
Ah, Jacques Barozzi, si vous étiez de ma batterie, vous seriez évidemment mon essoreuse à salade…
X’lew ou Zhu, sont, eux, des chinois…
Et Paul Edel un plat à gratin. »
Pour une féministe, trop de temps passé dans votre cuisine…
Mon pauvre Jacounet !
Pffffffffffff !
Je ne doute pas un instant que vous ayez fait quelques expériences un rien douloureuses, vous.
Mais cela peut vous convenir … tous les goûts etc etc .. C’est votre affaire.
Moi, c’est douceur et volupté.
Et toc
« à saladeS »
La mesclun, c’est la meilleure, Clopine !
Et renato et DHH ?
Une ménagère pour l’huile, DHH, et le vinaigre, renato ?
Passou, c’est facile. Il ne fait pas partie de la batterie de cuisine, ou bien alors il doit prendre place dans les étagères du haut, là où je remise les instruments dont je ne me sers pas souvent. La balance de cuisine, tenez, qui me sert surtout au moment des confitures.
Non, je ne le vois pas cotôyer les humbles instruments ; il est plutôt du côté « service de table ». Celui des cérémonies. Porcelaine blanche avec filet d’or. Cristal d’Arques. Et ménagère, certes, mais en argent. Quand le plat à gratin « Paul Edel » arrive sur la table chargée du service « Pierre Asssouline », ça ne mélange plus, dans l’arrière-cuisine, les torchons et les serviettes, n’est-ce pas.
TKT est tout aussi évidemment la carafe à décanter le vin. Celle qui a une forme de canard ! (j’en possède une, achetée 10 euro sur une brocante, mais qui paraît bien plus chère, quand elle a la panse garnie.) Image google : http://www.cdiscount.com/vin-champagne/accessoires-vin/carafe-a-decanter-0-75-l/f-1290902-reg3515560036217.html
« Moi, c’est douceur et volupté. »
Eponge, d’un côté, et grattoir de l’autre, Daaphnée ?
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