Le « swing » de l’aviron ou la poésie en mouvement
Qu’on se rassure : il n’est pas plus nécessaire d’avoir pratiqué l’aviron pour apprécier Ils étaient un seul homme (The Boys in the Boat, traduit de l’anglais/Etats-Unis par Grégory Martin, 456 pages, 21,90 euros, La librairie Vuibert) que de connaître les règles des soixante-quatre cases pour goûter Le joueur d’échecs de Zweig ou La défense Loujine de Nabokov. C’est justement l’un des miracles de la littérature que de nous sensibiliser par le biais de l’universel à un monde qui nous est étranger sans passer par le filtre de la connaissance, ni par celui de l’expérience directe. Encore que pour ce qui est des échecs comme pour l’aviron, j’avoue être de parti pris : je leur dois (presque) tout. Du moins un essentiel qui ne s’enseigne certainement pas sur les bancs des écoles fussent-elles grandes. Le jeu d’échecs, et son grand art de l’anticipation, on en reparlera une autre fois.
Tenons nous en à l’aviron. Pour certains, un sport ; pour d’autres, une torture ; pour d’autres encore, mystiques de la chose, un mode de vie, un état d’esprit, un supplément d’âme. J’ignore si Daniel James Brown en est. Même pas sûr. N’empêche qu’il signe là, avec ce récit inspiré, d’une vraie qualité d’écriture dans le genre, l’un des rares grands livres sur le sujet. Difficile surtout quand on vient après The Amateurs (1985) dans lequel David Halberstam racontait l’effort de quatre rameurs pour gagner la médaille d’or aux Jeux de 1984. Or non seulement l’auteur y parvient, mais il le dépasse de plusieurs longueurs par l’ampleur et l’ambition de son projet.
L’autre livre, aussi fort mais dans un registre différent, était paru en français en 1998. L’écrivain néerlandais H.M. van den Brink avait écrit un magnifique roman Sur l’eau (Over het water, traduit par Anita Concas, Gallimard) : à la veille de la seconde guerre mondiale, deux amis dont l’un était promis aux persécutions annoncées, ne vivaient que pour faire glisser leur Deux sans barreur sur l’Amstel, dans la perspective d’une compétition espérée par leur entraîneur allemand, mais qui n’aura jamais lieu. Avec Ils étaient un seul homme, la tonalité est différente bien que l’époque soit la même. Le titre même est déjà un programme. Il est tiré de Moby Dick :
« Ils étaient un seul homme ; non pas trente. Comme le vaisseau qui les contenait, tous étaient faits de choses différentes : chêne, érable, pin, goudron et chanvre (toutes se combinant néanmoins entre elles pour ne former qu’une unique coque lancée sur son chemin, équilibrée et dirigée par la longue quille centrale), les individualités différentes de l’équipage, le courage de cet homme, les craintes de cet autre, toutes les variétés humaines se trouvaient une seule » (traduction de Lucien Jacques, Joan Smith et Jean Giono).
Il faut savoir que le huit de pointe (chacun n’ayant qu’un seul aviron, bâbord ou tribord) est, dans l’univers des compétitions, le plus prestigieux des équipages. Celui qui requiert, une fois maîtrisée la technique dans ses moindres détails jusqu’à en faire un réflexe naturel, les plus grandes capacités d’endurance, de stratégie, de concentration, de volonté, de résistance à la douleur et, accessoirement, de puissance musculaire. Tout pour parvenir à l’harmonie, à l’équilibre et au rythme.
Il faut également savoir que dans l’entre-deux-guerres, l’aviron, l’un des rares sports où l’homme se bat farouchement tout en restant assis sur son cul, était presque aussi populaire dans les universitaires que le base-ball ou le football américain, si l’on en juge par la couverture médiatique dont il bénéficiait. De nombreux supporters suivaient les régates. L’université de Californie tenait alors la dragée haute à l’université de Washington dans la course qui les opposait chaque année sous les encouragements de plus de cent mille spectateurs ; elle n’avait rien à envier au rituel duel entre Oxford et Cambridge. Ce livre, dont je confesse humblement qu’il m’a transporté, et pour cause, raconte l’histoire de l’équipe américaine d’aviron qui humilia les Allemands en général, et Hitler en particulier, en remportant l’épreuve reine aux fameux Jeux olympiques de Berlin de l’été 1936.
Ils rament sur le Husky Clipper qu’ils appellent entre eux, tout simplement, « le bateau ». Comme s’il n’y en eut pas d’autre et comme s’il ne s’agissait que de cela alors que chaque exemplaire est une œuvre d’art unique, artisanale, conçue par George Pocock, l’un des héros de ce livre avec l’entraîneur, le barreur et, bien entendu, les huit rameurs. Un tel bateau lancé par de tels rameurs est transcendé par l’expérience partagée. Ils le cajolent comme leur enfant. Un huit sorti des mains de Pocock coûte alors le prix d’une Cadillac LaSalle neuve. Sa coque est souple, vivante, et lorsque l’équipage est à son meilleur, il ne fait qu’un avec la coque. L’artiste qui l’a façonné a eu quelques années avant l’idée alors révolutionnaire de remplacer le cèdre espagnol cloué en bandes pour tenir la coque, par du cèdre de l’Ouest (Thuja plicata) venu de Colombie-Britannique, plus poreux, plus léger, plus facile à façonner car moins dense, plus flexible tout en étant plus solide. Un miracle de l’avis de tous lorsqu’ils éprouvèrent l’exceptionnelle élasticité qui lui conférait une force invisible.
Voix grave de baryton amplifiée par le mégaphone, le barreur, le plus frêle et le plus petit (1,73m pour 54 kgs) à bord du bateau mais d’une force de caractère peu commune, malin, meneur et cérébral, il hurle des ordres, encourage, stimule, réconforte, admoneste, engueule huit types qui respectent son autorité alors que chacun pourrait d’une pichenette le balancer à l’eau. « C’est peut-être la relation la plus incongrue que l’on trouve dans le sport » observe justement l’auteur. Si le bateau reste dans la trajectoire, c’est grâce à lui et à sa dextérité dans le maniement des tire-veille ; s’il s’en écarte, c’est à cause de lui. Obéissant au rythme et à l’intensité que leur dicte chef de nage (le No 1), à l’alchimie mystérieuse des ajustements minutieux entre la puissance d’un côté et la cadence de l’autre, ils doivent coordonner et synchroniser leurs gestes dans une absolue précision avant de fouetter l’eau. Pas de temps mort, pas de remplacement, pas de feinte, pas de cinéma dans ce sport-là.
Un faux mouvement d’un seul rameur, souvent dû à un défaut de concentration, et la couleur à l’extrémité de la pelle est prise dans un tourbillon qui freine l’embarcation, ce qui peut non seulement fiche en l’air l’effort de tous, mais leur faire prendre l’eau. Il ne faut penser qu’à regarder la nuque du rameur devant soi et n’écouter que la voix du barreur. Or plus la cadence est élevée, plus il est difficile de bien ramer, plus la douleur est prégnante et plus le risque d’une catastrophe se précise. Que la couleur à l’extrémité d’une pelle fende l’eau avec une fraction de seconde de retard sur les autres et c’en est fini. L’effondrement de l’un entraîne celui de tous. On n’est pas plus solidaires. Pas de star ni de prima donna dans ce sport. La question ne se pose même pas tant elle est vitale : ils sont vraiment huit comme un seul homme, le titre du livre n’est pas abusivement lyrique, Melville avait tout compris. En ce sens, l’aviron, surtout en huit, est vraiment une école de la vie. Qu’on se le dise : « On ne rame pas pour soi mais pour les autres ».
La majeure partie du récit est consacrée à tout ce qui précède l’événement : le recrutement, les aléas de la sélection, les préparatifs, les courses, l’entraînement… Il est très américain dans sa narration, avec une foule de détails personnels sur chacun des rameurs, sur les doutes du coach, sur les environnements familiaux des uns et des autres, leurs histoires d’amour et une fine chronique en creux de l’Amérique de la Dépression. Le traducteur a parfaitement rendu en français non seulement l’esprit des choses, des personnes et des lieux, mais encore le lexique propre à l’aviron : prise d’eau, coulisse, dégagé, pale, fausse pelle etc. On regrettera juste, à une dizaine de reprises tout de même, l’emploi de « rame » en lieu et place d’ « aviron » ou de « pelle ». Qu’importe. On est avec ces étudiants de l’université de Washington, le pied sur le chemin de coulisse avant d’embarquer, puis dans leur sillage par tous les temps, sur le lac Washington au niveau de Union Bay, à Seattle. Le plus petit mesure 1,83m, le plus grand plus de de deux mètres. D’un poids moyen de 86 kgs chacun, à eux neuf, ils pèsent 750 kgs, un fardeau à faire oublier au bateau. C’est l’équipe des Freshmen.
Dans ce petit monde-là, le swing est l’autre nom de la grâce. C’est l’unisson des mouvements, la synchronisation absolue des souffles, nirvana quasiment impossible à préserver, à supposer qu’on l’ait atteint, lorsque la cadence est rapide (36 coups/minute plutôt que 26) et que l’instant du sprint approche. Alors l’effort se métamorphose en plaisir dans un au-delà de la souffrance, on entre dans une quatrième dimension et il faut bien du talent à Daniel James Brown, appuyé sur sa force de conviction, pour nous y faire pénétrer.
Et les Jeux ? Et l’Allemagne nazie ? On n’arrive que dans les cent dernières pages au bassin d’aviron de Grünau, et au village des rameurs, à Köpenick (sud-est de Berlin), les rameurs y étant logés… à l’école de police. Avery Brundage, le patron du comité olympique, peut se réjouir de ce que l’appel au boycott soit un échec : « Aucun pays depuis la Grèce antique n’a fait sien l’authentique esprit olympique comme l’Allemagne ». Ce qui n’empêche pas l’un des envoyés du New York Times, dans sa lettre quotidienne, de noter :
« Mr Brundage est arrivé à bon port (…) là où des robots faits par et pour Hitler tourmentent et persécutent des morts-vivants (…) Pendant deux mois, les morts vont rester enterrés. Mais après la clôture des jeux Olympiques en septembre, leurs tombes seront profanées (…) et les morts arpenteront de nouveau les rues des villes allemandes ».
Sur ce plan-là, celui du contexte, Daniel James Brown n’en fait pas trop ; on n’en regrettera pas moins qu’il verse parfois dans l’anachronisme : pourquoi se projeter dans la Nuit de cristal avec deux ans d’avance quand les libertés étaient déjà bafouées (dictature du parti unique, répression tous azimuts, législation raciale, création pour les opposants de camps de concentration dont celui de Dachau dès 1933) pour ceux qui voulaient bien les voir derrière la vitrine bien propre des Jeux ? L’équipe allemande, issue du club d’aviron dit des « Vikings », est la favorite. L’équipe italienne n’est pas composée de jeunes étudiants mais d’ouvriers plus âgés et plus robustes, et l’équipe australienne, de policiers aguerris.
Même pour filmer l’aviron avec ses collaborateurs et leur matériel (une trentaine de caméras, soixante cameramen sans compter les preneurs de son), Leni Riefenstahl dut encore se battre contre Goebbels, affronter à nouveau la colère du ministre de la Propagande, qui ne voulait pas que l’image du Führer offerte au public soit gâtée par la présence massive de techniciens et d’appareils à ses côtés ; il craignait qu’elle y perde en pureté, et donc en impact sur les foules ; la cinéaste eut le plus grand mal à lui faire admettre que le public visé par son film était bien plus important et plus durable.
Les rameurs allemands remportèrent toutes les compétitions d’aviron (7 médailles !), discipline alors la plus populaire des Jeux après l’athlétisme. Le Deutschlandlied et le Horst-Wessel Lied ne cessèrent de résonner, comme cela avait été le cas lors de la cérémonie d’ouverture sous la baguette du chef Richard Strauss, lorsque les délégations défilèrent devant le Führer, certains lui adressant le salut nazi, comme le firent les 110 000 spectateurs, d’autres le salut olympique inspiré à Coubertin par le salut du bataillon de Joinville, les deux n’étant pas sans ressemblance (à ceci près que, dans le second, la paume tournée vers le sol était maintenue sur le côté plutôt que vers l’avant). Les sportifs français avaient opté pour un entre-deux qui fut jugé ambigu ; les Américains avaient placé leur chapeau de paille sur le cœur et tourné leur visage vers lui ; seul leur drapeau semblait vraiment défier Hitler.
La finale du Huit de pointe avec barreur, la plus prestigieuse des épreuves nautiques, devait être l’apothéose du triomphe personnel du Führer sur « ses » Jeux, l’athlète noir américain Jesse Owens ayant déjà remporté ses quatre médailles d’or. L’assignation des lignes d’eau privilégia non les meilleurs temps des épreuves éliminatoires mais les rameurs allemands, italiens et suisses ; ils bénéficièrent des lignes à l’abri du rivage sur le Langer See ; les équipages hongrois, britannique et américain se retrouvaient à l’extérieur, les plus exposés au vent de tête ou de travers, et ce jour-là aux bourrasques de biais, position qui d’emblée les handicapait de deux longueurs. C’était scandaleux mais c’était ainsi et on se doute que bien peu auraient trouvé à y redire parmi les 75 000 supporters massés sur le parcours ; ils ne furent pas plus choqués lorsque le starter agita son drapeau au-dessus de la tête et lança un discret rapide « Messieurs, êtes-vous prêts ? Partez ! » en s’adressant aux lignes 1 et 2, ce qui valut aux britanniques et aux américains de partir quelques secondes après les autres, avec un coup et demi de retard… (suivre ici la course). Bientôt les huit embarcations à la coque enduite d’huile de blanc de baleine glissèrent sur l’eau « comme un essaim d’araignée aux longues pattes ». Le bateau allemand fit la course en tête galvanisé par des « Deutsch-land ! Deutsch-land ! Deutsch-land ! » et des « Sieg Heil ! Sieg Hiel ! Sieg Hiel ! » si puissants grâce à la réverbération que la voix des barreurs avait du mal à se faire entendre, même pour le chef de nage qui leur faisait face à 45 cm à peine.
Les Britanniques avaient brûlé leurs réserves à mi-chemin ; pas les Américains ; il est vrai qu’aux 800 mètres, ils étaient encore bons derniers ; leurs temps intermédiaires étaient alarmants, ce qui plongeait dans l’angoisse leurs compatriotes au pays, dont beaucoup avaient l’oreille vissée au poste de TSF. A 500 mètres de l’arrivée, ils accusaient encore une longueur de retard derrière l’Allemagne et l’Italie. Alors Bobby Moch, le barreur de l’université de Washington, eut le coup de génie de mentir à ses équipiers. « Encore vingt coups ! » leur hurlait-il afin de les pousser à puiser dans leurs réserves insoupçonnées ; mais arrivé à quinze, il recommençait : « Plus que vingt coups encore ! » C’était un truc dont il n’avait jamais abusé auparavant afin de rester crédible le jour du grand jour. Ils ramaient à une cadence pour eux inédite (44 coups/minute) et le cœur suivait (200 battements/minute). Ils vivaient les six minutes les plus importantes de leur vie. Et leur Husky Clipper franchit la ligne d’arrivée avec six dixièmes de seconde d’avance sur les Italiens, et une seconde sur les Allemands.
Soudain, le silence se fit sur le stade nautique, comme si on avait baissé un interrupteur. Hitler fit volte-face et s’en alla sans dire un mot, suivi par Goebbels, Goering et les autres. Mais dans le film Les Dieux du stade (de son titre original Olympia) de Leni Riefenstahl, la scène de la course d’aviron n’en demeure pas moins l’une des plus spectaculaires. Daniel James Brown, lui, parvient à un résultat similaire avec d’autres moyens ; il maintient le suspens jusqu’au bout même si le lecteur connaît déjà la fin de l’histoire, annoncée dès la couverture et la quatrième de couverture du livre (Kenneth Branagh en fera bientôt un film -peut-être la version nautique des Chariots de feu…)
Ils s’appelaient Herbert Morris, Charles Day, Gordon Adam, John White, James McMillin, Joseph Rantz, George Hunt, Donald Hume, Robert Moch. Non des fils de grands bourgeois, malgré la réputation d’élitisme que la légende anglaise a donné à ce sport, mais de fermiers et de pêcheurs. Les neuf Américains n’avaient pas seulement uni leurs efforts pour se dépasser et produire quelque chose qui les dépassait. En lisant les journaux de leur pays, ils comprirent qu’ils avaient humilié le Führer chez lui. Mais sans attendre de rentrer à Seattle, ils savaient qu’ils avaient trouvé le « swing » et que ce moment de grâce resterait gravé à jamais dans leur mémoire. Celle de chacun et celle de l’équipage.
638 Réponses pour Le « swing » de l’aviron ou la poésie en mouvement
trop de temps passé dans votre cuisine…
elle y gagatise!
Elle va nous filer longtemps sa métaphore de casserole, la brayonne?
Mais quel boulet!
Passou, en-dessous, et Paul Edel, sur le dessus, Clopine ?
http://cimg.partner.shopping.voila.fr/srv/FR/280128982800000037642/T/500×500/C/FFFFFF/url/Chauffe-Plat-micro-ondes.jpg
Mais j’adore faire la cuisine ! Plus précisément : donner à manger à ceux que j’aime. Je fais mienne cette déclaration :
« Je ne suis pas très expansive, mais les gens ne se trompent pas là-dessus parce que je leur donne à manger… je ne leur dis pas que je les aime, je ne les embrasse pas, je ne suis pas quelqu’un de tendre, alors je fais à manger pour les autres ».
(Marguerite Duras).
Oups, sergio tire et moi je trinque… trop !
u. dit: 29 avril 2014 à 11 h 36 min
u. dit: 29 avril 2014 à 11 h 35 min
u. dit: 29 avril 2014 à 11 h 33 min
Ha ! ha ! ha ! ha !
Finesse, esprit, tout y est. JC et Daaphnée ont bien de la chance d’être aimés d’un tel homme.
A l’inverse de Duras, je préfère me ranger parmi les mangeurs, Clopine : « Je leur dis que je les aime, je les embrasse, voire plus si affinités, je suis quelqu’un de tendre, alors je ne fais pas à manger pour les autres ».
Sauf exception pour celui que j’aime, l’unique…
Mais j’adore faire la cuisine !
Pas une raison pour venir nous gaver avec vos graillons!
JC et Daaphnée ont bien de la chance d’être aimés d’un tel homme.
Oui.
Mais on ne vous donnera pas les détails, c’est là que se glisse toute une subtilité qui vous échapperait ..
Clopine c’est la pince à nouilles mais sans la pince.
Sauf exception pour celui que j’aime, l’unique…
Ô mon nunu, mon nunique
Mon tout nunu
Mon tout nunique
Quand t’es tout nu
Et qu’on se nique
Ô mon nunu, mon nunique
Mon tout nunu
Mon tout nunique
Je prends ton cul
Tu prends ma trique
Mon tout nunu
Mon tout nunique
Hic!
boug comme casserole,inutile sans queue.
daphnée comme mortier et pilon
court comme couperet
tkt comme presse-citron
christiane en marguerite,la vapeur douce…
bloom comme emporte_pièce
sergio comme passe-vite
jc comme moule à gaufres
d en casse-noix
u comme anti-monte-lait
renato comme ouvre-boite
phil comme râpe
clopine comme enrobeuse
jacques comme décapsuleur
et passou comme shaker
de nota comme couillon.
Hello dear baroz, back aus den Kanarien ! La population était avironiseuse ?
Bien dit Passou. Faire l’impasse sur Barrès (pff, la suisse romande), c’est comme oublier que Malraux s’est inspiré de von Salomon.
Ce qui est bien avec Phil, c’est que ses interventions sont aussi prévisibles que son niveau d’allemand est nul. Parlez de Barrès, Maurras, Chardonne, Brasillach, Luchaire ou Alphonse de Chateaubriant, et vous verrez rappliquer ce malheureux…
@clopine
Pas très convaincue par votre exercice de portrait chinois à theme culinaire.
En revanche pleinement d’accord avec vous et…..avec Duras , sur la cuisine comme acte d’amour
Cuisiner c’est refuser l’égoïsme ; et que vous n’imaginiez certaine commentatrice de ce blog en train de cuisiner ,en dit long et vrai sur la sécheresse de sa personnalité ,du moins telle qu’elle la projette :
Celle d’une femme qui veut capter et concentrer l’attention des autres ,mâles de préférence ,et incapable de rayonner par sa tendresse ,sa générosité ,son humanité, son indulgence, sa disponibilité ,bref tout ce qui fait d’une ménagère ordinaire une cuisinière aimante
« amusé », sapré sentinelle embusqué, moustachu du fessier. un calendrier dieux des stades pour vous, à effeuiller dans votre mansarde. essayez l’aviron, excellent pour ceux qui se tiennent les côtes.
d’une ménagère ordinaire une cuisinière aimante (dhh)
Son contraire, c’est la mégère!
de nota comme couillon
ça donne du gout à tout..
Je fais de temps en temps la causette avec Mme Passou, une ménagère exceptionnelle; l’autre soir, son mari étant toujours occupé à dieu sait quelle rencontre d’auteurs, j’ai taillé une longue bavette. elle m’a confié qu’il n’aimait pas la salade de fruits frais, mais préfère les sorbets. Comme j’ai souri, elle m’a montré sa nouvelle sorbetière et son cuiseur de riz gluant. Il en raffole. Ensuite je me suis permis de regarder dans les armoires sa vaisselle. Compagnie de l’Orient et de la Chine, des formes épurées, de la porcelaine minimaliste …
DHH, il s’agissait surtout de s’amuser ! Pas l’ombre d’une quelconque prétention dans ma batterie de cuisine, ça m’a fait sourire, c’est tout.
Tenez, je viens de rentrer du jardin, tout plein de lilas odorant dans les mains : c’est pour vous !
(nous sommes bien d’accord sur Daaphnée ; elle a sans doute trop regardé Blanche-Neige quand elle était petite, et depuis, elle cherche partout le miroir magique (surtout dans les prunelles masculines, d’ailleurs, et à tort, elles sont tellement déformantes celles-là, bref). Bon, une chose à son actif : la mèchante reine, inspirée directos de Joan Crawford dans « Jonnhy Guitare », est bien plus pimentée que la pauvre Blanche-Neige, donc on comprend que la petite Daaphnée ait fait une telle fixette. Elle aurait dû pourtant se rappeler qu’entre Joan Crawford et ça :
http://album.aufeminin.com/album/see_489598_47/Dessins-Croquis-Blanche-Neige.html
Il n’y a guère qu’une… pomme… de différence…)
Empoisonnée. La pomme.
Ce qui, ma foi, pour une brayonne, ne va certes pas de soi.
Ce que j’écris a toujours une portée métaphysique cachée, entendons-nous bien.
Je leur dis que je les aime, je les embrasse, voire plus si affinités
cuisine au beurre à l’huile..
de la porcelaine minimaliste..
Comme celle-ci?
http://4.bp.blogspot.com/-Q-45xVgBjKs/UojJdNZyWLI/AAAAAAAAUHI/IeTBkV17S4Q/s1600/IMG_6278.JPG
De sa batterie de cuisine
,Colette
eut tiré un chef d’oeuvre
Que dire de dame Clopine,
besogneuse à la manoeuvre?
Dis: « Ci-git
Colette! »
MC
oui tout à fait, tout a été collecté au gré des voyages, la décoration est très soignée. Quelques estampes choisies, des photos de HBC aux murs, des ouvrages classés, un Chesterfield revisité en blanc à l’italienne couvert d’un plaid orangé, une console marquetée élégante en fruitier dans l’entrée, ce n’est pas l’aisance, mais un goût exquis …
Vive le fantasme, chère Daaphnée!
À gauche, on vous voit telle qu’imaginée par les méchants de ce blog.
À droite, on reconnait sans trop de peine Jackie, u., et Dédé.
http://1.bp.blogspot.com/_OOk5e8aPmJY/TA6NyLjYyrI/AAAAAAAAAS8/FzFCgW6h2Mc/s1600/Cruella-de-Vil.jpg
Ben zut, si ce n’est pas l’aisance, c’est quoi alors l’aisance ?
(bon, je suis d’accord, c’est relatif. RELATIF. Moi aussi je vis dans l’aisance : la fosse, dirait Daaphnée si elle avait deux sous d’esprit, mais non, elle en reste et restera à ses injonctions primaires : « ouste » ! « taisez-vous » !! Pauvre Daaphnée, démontrer ainsi, sur un blog littéraire, la pauvreté de son vocabulaire…)
Bon, il fait trop beau pour papoter. M’en vais au jardin, moi, tiens ; surveiller mes roses. Je leur parlerai de la vaisselle à Passou (mais je suis sûr que, si belle soit-elle, son mérite vient de Madame Passou ; notre hôte, lui, aurait choisi de ces assiettes anatolefrancesques, avec citations dedans, ou dessins illustrant les contes et fables enfantins, façon « mille et une nuits »…), ça les aider à s’épanouir. J’aide là où je peux, mais évidemment, quand cela tombe sur un terrain aussi aride que la personnalité daaphnéienne, autant laisser faire Onan…
Ca a l’air pas mal, ces rafiots… On peut coucher des Kro… Du gin ! Comme dans African Queen…
Non mais les assiettes faut du Bernardaud ou alors on graille dans la boîte…
Court en fable expresse : en êtes-vous si sûr, que Colette m’aurait honnie ? Méfiez-vous : cette dernière, en cuisine, n’aimait que la simplicité, les plats d’enfance, les saveurs identifiables du premier coup. Elle avait horreur de la superficialité : » Et je te farcis n’importe quoi de Dieu sait quelle farce et je t’insinue une pécheresse essence, et je te salpiconne, et je te nappe, et même je te chemise…’ ; je crois, très très honnêtement, qu’elle aurait préféré ma pomme brayonne au fiel daaphnéien, qui se réclame, lui, d’une « pécheresse essence » pour mieux faire miroiter une volupté factice. Mais enfin, je peux me tromper, pas vrai ?
L’aisance Madame Clopine serait plutôt chez le voisin de palier, celui que nous appelons dans l’immeuble son excellence, un monsignor que fréquente paul edel, son intérieur est de couleur cardinalice, du taffetas sur les murs, il est constellé de toiles de maîtres, c’est le seul qui entretient encore du petit personnel de chambre, ses varices le clouent dans un fauteuil à commande électronique, devant lui un écran pour suivre les déplacement de ceux qui le servent. Il exige des chips de légumes bio et n’entame aucun repas sans un cordial à l’artichaut. Il possède un meuble rare qui conserve les liqueurs rares dans des flacons de cristal…
Mes roses m’attendent, bon sang ! Allez, zou : je m’envoie sur les roses !!!
faut du Bernardaud
Sergio, y’a pas que du Bernardaud à Limoges!
Rien que la lettre B…
http://manufrancois.free.fr/index_fichiers/Page2220.htm
est-ce que le Bernardaud est devenu compatible lave-vaisselle,?
Si la qualité reste la même qu’autrefois, leurs decors ne resistent pas à quelques lavages .
de sorte que je doute qu’on trouve dans les foyers ces encombrants cadeaux de mariage ailleurs que confinés au fond de placards dans leur triste inutilité
Je petit déjeune, déjeune, et dîne dans du Limoges DHH!
Le cabinet d’aisance de cette pauvre clopine et le lave-vaisselle de l’autre vieille aigrie …. !
C’est pas vrai !
Un moment rare, un pur bonheur !
Oui, U., comme vous dites, vive les fantasmes !
Mais je préfère de loin ce service Picasso édité jadis ( en 1997 je crois ) par le Musée d’Art Moderne de Céret dont les assiettes sont le support de mes repas quotidiens.
Il passe au lave vaisselle, lui!
Une seule assiette a un coin légèrement ébréché et elle subi comme toutes les autres les blessures et outrages des coups de couteau et de fourchette!
Pour ma part je dîne dans du wedgwood, certaines sont ébréchées, mais je suis sentimental .. je vous laisse, mon linge à plier.
La ressemblance entre l’excellent acteur Louis de Funès et le minuscule clown Montebourg n’est certes pas physique mais rhétorique.
Observez bien les mimiques vieillottes de l’Arnaud, écoutez bien ses propos foireux et vous verrez ressurgir aussitôt le grand comique du cinéma français !
Limoges en première division dit: 29 avril 2014 à 14 h 52 min
faut du Bernardaud
Rien que la lettre B…
Justement ! C’est les capacités balistiques qu’il faut étudier à l’ordre du jour… Vvvvvvvvooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiittttttttt !
Sinon, cher voisin de Passou, je dois l’ avouer, les diners de fête s’ organisent autour d’ une porcelaine Bernardaud, le service WIENER qui est d’ une élégance et d’une sobriété inestimable, un hommage à Josef Hoffmann et au Vienne de 1912.
Ce szervice qui est une recréation n’ a pas pris une ride, c’est peu dire pour une porcelaine!
» à la Vienne de 1912″, je corrige.
robot Marie dit: 29 avril 2014 à 15 h 06 min
Je petit déjeune, déjeune, et dîne dans du Limoges
En réalité vaut mieux déjeuner dans des huîtres… Comme le prince de Ligne ! vingt-trois douzaines chaque… Ca donne du coeur au ventre !
Le Deutschland c’est sopo ça dit juste que tout est mieux là-bas qu’ailleurs… Ha c’est pas gressif mais trop c’est trop, quoi…
un peu sinistre non ? le voisin de Passou.
Mais pas du tout!
La photo n’est pas terrible, car le bord des assiettes est légèrement en relief, comme un fin tressage vernissé du plus bel effet.Il faut imaginer ce service complet avec ses trois assiettes, les plats de service, etc…sur une table de Mario Botta et des sets de couleur noire avec des pointillés légèrement argentés…
La table de Botta et son plateau de verre prend son assise sur une forme en acier noir grillagée, bien distinctive du style Botta.
( Je n’insiste pas pour vous la montrer.)
Tout ce que je vous dis est la stricte vérité et puis comme vous êtes le voisin de Passou et que je suis d’un naturel timide, j’ aimerais l’ inviter pour une soirée conférence signature par votre intermédiaire.
Vous feriez le premier pas pour moi, quoi.
On dirait un casting pour le dernier plan de Pépé le moko…
tlé tlé joli
je me disais bien, le Boug’, que vous sauriez apprécier ..
A Bayonne, quand ils parlent d’aviron ils pensent rugby.
pour parler à la fois porcelaine de limoges et litterature,Chardonne n’est-il pas un rejeton Bernardaud?
Justement quand il y a swing c’est le reste du monde qui tourne autour des avirons…
À CASSANDRE,
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait déclose
Sa robe de pourpre au soleil,
A point perdu cette vesprée,
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vôtre pareil.
Las ! voyez comme en peu d’espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las! las! ses beautés laissé choir !
Ô vraiment marâtre Nature,
Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vôtre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleur la vieillesse
Fera ternir votre beauté.
Il y a plus d’une façon d’enfiler un aviron dans une dame de nage !
« Ils s’appelaient Herbert Morris, Charles Day, Gordon Adam, John White, James McMillin, Joseph Rantz, George Hunt, Donald Hume, Robert Moch. »
En reste-t-il à croquer, de ces beaux gosses, mmmmh ?!…..
…
…après le roi de Prusse, de Bismarck, et du Kayser,..
…
…se retrouver, avec une bande d’abrutis populistes pareille,…et dire que çà peut arriver partout en diverses circonstances,…
…
…il faut être inconscient, pour voter,…pour une union de loobyste mafieux dans une grande €urope de soumis,…
…
…vive , les unions » à la suisse « ,…avec les différences,…à chacun son plat,…
…
…vraiment, à croire que par les conflits et guerres, les élites se débarrassent des gens trop honnêtes, seines d’esprit,…au coeur vaillant et confiant, dans les processus » grisés « ,…du mérite,…à baiser!,…
…
…si, c’est pas du carreau,…c’est pas du pic,…nique,…au coeur d’artichaut,…
…
…et dire, que dans les pensionnats, les enfants ne pouvait pas parler, entre eux,…
…
…diviser pour régner entre autorité-débile,…
…
…dans un livre sur Frédéric Hohenstaufen,…je me souvient d’avoir lu,…
…qu’il préférait un genre de connivence , pour garder l’empire divisé,…pour la floraison des peuples en ses cultures,…
…cette politique, ne plus pas aux Papes,…
…jusqu’à,…offrir, l’empire d’abord à Henri III, d’Angleterre pour son fils Edmond Crouchback,..
…et ensuite à un frère de Saint Louis,…doué et sans scrupules à Tagliacozzo,…en la personne de Charles d’Anjou donc,…l’humaniste qui fait se déclencher les » fameuses rebellions et autres vêpres -siciliennes,… »,…normales,…
…
…quel sale pouvoir des cons du dieux à Baal,…
…audition des témoins !,…s.v.p,…merci!,…grand inquisiteur teutonnique à deux balles!,…of course!,…
…
…comme connivence et soumis aux obscurantismes des Papes à leurs profits à écraser les sciences objectives, comme utopies rester-privés et sophistes,…
…
…un peu, l’arbre du milieu » infâme « ,…genre continuité aux dieux charcutiers à Baal,…à tué ses enfants,…ces papes,…nos aztèques d’€urope,…
…
…tous saint, entre-eux,…banquiers d’âmes et des paradis-perdus,…
…tu swing,…ou tu sniff,…un peu le bordel,…sous le soleil,…d’Apollon,…etc,…une autre !,…
…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc,…
…envoyez!,…le carreau,…Bip!,…Bip!,…
…
…
…Oui!,…Rollon!,…il harpe-long,…le soleil à témoin!,…!,…
…
…des dinosaures aux baleines,…le cuistre!,…pas de quoi en laisser entre les dents,…fin-gourmet,…aux artistes-chauds,…
…
…la création,…etc,…
…
Ils s’appelaient Herbert Morris, Charles Day, Gordon Adam
gountère..roupèrte..elmout..ça c’est du blaze qui fait pas tafiole
…quel sale pouvoir des cons du dieux à Baal
ils leur donnaient leur enfants comme à adidasse
Justement quand il y a swing c’est le reste du monde qui tourne autour des avirons…
les jambes des femmes sont des compas..
http://www.youtube.com/watch?v=eDRS4Wufvas
LEONARDA, une tragédie inconnue de SOPHOCLE
« Ce n’est pas de la justice mais de l’injustice, je vais me tuer car ici nous n’avons pas de vie», avait réagi l’adolescente, interrogée par l’AFP à Kosovska Mitrovica, où elle vit avec sa famille depuis son expulsion. »
Ne nous réjouissons pas trop vite.
Si, comme l’affirment des outilleurs, les jambes des femmes sont des compas, prions mes frères pour une géométrie non euclidienne…
connivence et soumis aux obscurantismes des Papes
Vous parlez tout seul GSA ? Attention au diagnostic de démence assuré vu le nombre de docteurs au mètre carré…
Inhumains ! Inhumaines ! Unissez-vous….
Faire une opération après son résultat ? Ce serait un mensonge presque trop humain, au point de courir le risque d’une prise de conscience, dangereux ça…
Giovanni Sant’Angelo est protégé par des puissances infiniment supérieures au Code de la Route
Déachach, Haviland pour Chardonne (ich glaube schon)
Le Bescherelle gauchiss va en faire une jauniss
Riefenstahl n’aurait pas couché avec Adolf H. Le genre de nouvelles qui ressuscite tkt du fond de son all-inclouded.
Riefenstahl ? une opportuniste douée…manipulée.
manipulée par les massaï ?
Les députés ? des opportunistes nuls… manipulés.
50 milliards en trois ans sur plus de 3.000 milliards … Fou-rire sur divers bancs !
Valls sautera en juillet. Qu’est ce qu’on se marre !…
Phil,
beau travail sur les Massaï !
(assez incompréhensible, non ?)
z’y connaissez rien, jc. l’homme qui valait trois milliards était bionique.
ça dépend, jc. la riefenstahl a ouvert son atlas daté des années 30. elle a vu pygmées et massaï. question rapidité, le choix entre les deux a dû se faire manière bionique.
N’ayant que peu de certitudes, je vous laisse avec les vôtres…. et la nuit !
Il est de l’ordre de la logique pure que les cultures ne puissent se mélanger. Toute personne qui viendrait à affirmer le contraire aurait forcément des problèmes avec les mathématiques. Et c’est pour cela que JC a raison.
Je retourne à mes fraises de Plougastel, bien meilleures que tout ce que l’on peut trouver ailleurs dans la catégorie. Et pour cause.
D.bile & JCouille sont d’accord entre eux, les cultures et les races,ne sont pas compatibles aux croisements. Ainsi, D.bile reste un cul-terreux cantalou, le fait d’habiter en ville n’a pas fait de lui, autre chose qu’un fermier sans ferme.
TKT dit: 29 avril 2014 à 22 h 18 min
Retour du plouc helvète, son incroyable bêtise nous manquait.
Clopine seule ne pouvait nous satisfaire.
un fermier sans ferme
Un peu comme un Kron sans sa chemise jaune.
bouguereau dit: 29 avril 2014 à 19 h 39 min
les jambes des femmes sont des compas..
Encore une Scabelli !
Voilà un billet qui ne rame pas !
infiniment supérieures
Et ça peut rester très lourd très longtemps des trucs pareils ?
z’y connaissez rien, jc.
Voilà une vérité juste et appropriée, d’ailleurs sans sa side woman ou avec ça ne fait aucune différence, je serais curieuse d’avoir l’avis d’économistes, JC ne sait que claironner non non non je ne boirai pas à cette coupe budgétaire sans avancer l’ombre d’une piste, d’une solution, la critique facile de l’agitateur royaliste? alors que même d’un roi nous ne disposons plus, l’héritier n’y connait rien non plus de plus, en gros se dessinent deux camps, contre l’austérité qui freinerait la reprise économique et par conséquent la croissance, et les pour qui attendent d’une gestion drastique des résultats, la distribution d’aide aux entreprises devraient faciliter la résorption du chômage et accroitre leur compétitivité, de plus la France recrute des investisseurs en facilitant l’investissement et en allégeant les charges. Il faut bien commencer par un des cotés du prisme tout en déplorant qu’insérée dans cette globalisation, un effort supplémentaire sera demandé aux salariés dans le sens des réformes qui riment toujours avec suppression ou diminution jusqu’à la perte de certains acquis de ce coté des forces productives. Machinerie complexe. Toujours est-il que de façon globale jamais autant de richesse n’a été fabriquée, le système a des fuites qui ne sont pas à la redistribution, ce me semble.
bouguereau dit: 29 avril 2014 à 19 h 39 min
les jambes des femmes sont des compas..
Une pour vous épingler et l’autre pour vous tourner autour?
Avouez Jc votre domaine s’étend de la psychanalyse des texte en Boudhou jusqu’aux confins de l’érotisme en quadrilatère les jours d’exode rural, non?
Doit-on conclure en votre absence que votre soirée trouve un emploi plus ludique et plus excitant que venir crachouiller quelques propos inarticulés et péremptoires pour un lectorat qui dans son ensemble n’a pas encore atteint le degré zéro de l’intelligibilité? Pour se complaire à patauger dans des douves aux eaux croupies jusqu’au petit matin, à l’heure du chant du coq où vous prenez vos quartiers et votre jus d’agrume.
D mon 4ème étage es un bien piètre défi pour l’homme que vous annoncez, les doigts dans le nez vous graviriez sans concombre cette hauteur très modeste de vue, de plus je suis proche âge retraite!
…
…Oui!,…Oui!,…Oui!,…
…
…M.Michou, J.C.,…D,…les Chips à T.K.T,…pour un prix de consolation!,…Bon,…visualiser nous, nos paradigmes,…
…
…des leurres économiques, pour le plaisir d’entretenir le sadisme – capitaliste contemporain sur les peuples,…
…
…et les normalités pour les pieuvres d’états dans l’état,…dans la persuasion de culpabiliser les acteurs des années » 68 « ,…
…
…le retour aux années trente,…des excroissances dans l’indignité humaine,…
…les love’s house’s, pour la reproduction d’élites de cet acabit,…
…non – merci, aux baise- mains et lèche- culs,…littéraires,…
…français trahis,…des révolutions à la botte du clergé et tiers état!,…
…
…d’ailleurs les communes pour M.Thiers , à la gloire des misérables à fabriqué de Victor Hugo,…pour économie à bourgeois de grand-chemins,…
…gloire à nos chevaliers-brigands,…etc,…Cyclope Trust’s & C°,…etc,…aux prof’s voyous à col’s blanc,…etc,…
…
« … les jambes des femmes sont des compas… »
Une leçon de danse, maintenant ?
Il y a l’équipe du CAMS à l’Estaque qui est bien classée. Et une équipe à Franckfurt aussi qui s’entraîne sur le Main.
Bon puisque vous le prener comme ça, je m’en vais. Comme ça je satisfait tout le monde.
bérénice dit: 29 avril 2014 à 23 h 12 min
Chuis economiste mais vous donnerai pas mon opinion pour autant…non mais…je fracture pour ca, ma brave, et bien lourd… Demandez plutot a ET…ses opinions sont gratuites et dispo sur wiki…
seulement sens-moi ce blog est voué a la mort.
Ce n’est pas parce qu’on a un peu étudié l’économie qu’on peut se dire économiste. Sinon ça ce saurait.
Fracture, facture…kif-kif
Fracture, facture…kif-kif…
Ce n’est pas parce qu’on a etudie la medicine ou le droit qu’on peut se dire medecin ou avocat, hein…par contre pour parler conneries, y’a pas besoin d’avoir etudie…et pour etre docteur es conneries, faut juste passer son temps sur internet…et acheter un diplome en ligne…
…
…médecins et avocats,…
…pour se remplir les poches et laisser courir des âneries de diversions algébriques du détails infini,…
…pour pêcher aux » gros « , sonnantes et trébuchantes!,…déjà le prix des études,…
…du massacre des bourses en cognition entres lèche-culs,…de la même baraque d’acolytes,…etc,…
…
…un peu la civilisation,…le pied !,…etc,…
…
Giovanni , faut pas confondre…y’a beacoup de medecins et d’avocats et autres qui ne s’en mettent pas plein les poches…certains le font gratuitement meme…j’en connais…tout le monde n’est pas motive par l’argent…ca vous surprend? Moi pas…et suis suppose etre le merchant neo-liberal a la solde du Capital?
…
…@,…Abdelkader,…
…
…pour quels intérêts,… » certains le font gratuitement même « !…
…très sincères, et passer par les tests du mensonge!,…
…
…ou en diversions, pour toucher plus de seins d’esprits!,…
…en colle sociale,…tout ses saints à béatifier,…mon cul,…
…
…ne toute façons,…le système est archi-pourris,…dans le sens des relations humaines,…
…
…et, l’homme normal,…se fait cuire à la débauche des cultes de tout les genres et perversions des sens,…avec le temps en chimie,…
…
…il est, très difficile, d’être un analyste de son monde,…avec objectivité !,…sans plus !,…
…etc,…
Rantanplan
Tu fus pour elle un rantaplan,
Tu la suivais comme un caniche,
T’aurais dû rejeter ton plan,
Tu fus pour elle un rantanplan.
Car elle a pris ce doberman,
Qui te séquestre dans ta niche.
Tu fus pour elle un rantaplan,
Tu la suivais comme un caniche.
Jean Calbrix, le 30/04/14
la cinéaste eut le plus grand mal à lui faire admettre que le public visé par son film était bien plus important et plus durable.
______
Il y a effectivement encore un public aujourd’hui qui apprécie fort les images de la syphilitique Crapule en chef. Le passé offre des situations idéal typiques pas inutiles pour regarder le présent.
A quel pays offre-t-on aujourd’hui une grande manifestation sportive pour éviter de se le mettre à dos et se concilier ses bonnes grâces? Au Qatar bien entendu, avec la coupe de monde la plus chaude de l’histoire , dont la préparation tue chaque mois des dizaines d’ouvriers népalais condamnés à travailler par des températures quasi crématoires.
Ce même Qatar qui est membre associé de la francophonie, possède le Printemps, entretient une chaine de télé schizophrène, en anglais pour le tiers-mondisme propre sur lui, en arabe pour le soutien actif aux Frères musulmans, et qui a l’interdiction absolue de critiaquer l’Emirat.
Pour l’émir Hamad ben Khalifa al-Thani, le principe est simple: il arrose de fric groupes jihadistes ou wahhabites, ne veut pas savoir ce qu’ils font avec à partir du moment où ils ne viennent pas foutre la merdre dans sa gazomonarchie.
Depuis deux ans, je me colle l’ambass du Cas Tare tous les 21 mars, le seul qui ne parle pas un mot de français et qui demande l’original des factures, là où les autres, Vietnam, le Maroc, Egypte, Canada, Suisse etc. se contentent des photocopies.
Dernier reniement, la laïcité au Lycée Voltaire (!) de Doha, lentement masi sûrement écrasé par l’infâme…
http://www.france24.com/fr/20121104-lycee-francais-qatari-voltaire-doha-mission-laique-francaise-proviseur-conseil-administration-programme/
Avant la collaboration, il y eut la complaisance. Après, il était trop tard…
Un boycott de la CdM au K-tare semble plus urgent que jamais.
Tu n’avais qu’à marquer le but
Tu n’avais pas le calbut marqué
Tu t’en es bien tiré
Tu n’avais qu’à marquer le but
Tu as tiré le péno peinard
Goal du capitaine ! Bravo le brassard !
Tu n’avais pas le calbut marqué
Tu t’en es bien tiré
@JC « 50 milliards en trois ans …! »
pouvez ytoujours courir, j’les rendrai jamais, même avec intérêts
je vous ai bien eus ( chuis pas un nul) et c’est pas mes connards d’amis ces larbins qui me contrediront , i s’marrent ils ont bien raison davoir le fou-rire
GREVE DES RAMEURS OLYMPIQUES
Oui ! Grève ! Car la première photo, prise par le Secrétaire Général de la CGT des rameurs en 1936, immortalise la grève des athlètes, fils d’ouvriers exploités par l’odieux patronat nationaliste américain qui demandaient des aides sociales, refusées, et qui mettent les avirons en l’air en signe de protestation !
Ils seront remplacés par l’équipe de secours, des jaunes, fils de bourgeois friqués grâce à un capitalisme exploiteur photographiés ici avec le « W » de War sur la poitrine.
Prémonitoire ! Les affaires des patrons américains allaient pouvoir se développer grâce à l’imbécillité guerrière européenne …
les insultes des jc et daaph sont jamais sucrés
Bénéficient-ils de soutiens, sont -ils deux des membres éminents d’une nouvelle confrérie dont on peut supputer des ramifications arachnoïdiennes qui seraient visitées et jointes par des individualités puissantes telles que Bloom par exemple pour un script édifiant de nouvelles règles à un jeu totalement dérégulé et reconductible par accord tacite, mimant par ce fonctionnement les us et coutumes qui animent les loges franc-maçonniques dans un but progressiste qui s’adaptent et adhèrent aux contours de la société en mutation perpétuelle comme un mouvement qui appelle au Sabbat mais aussi loin de l’épiphanie, demande un encadrement sérieux comme s’il était question de mettre en valeur une toile de maitre dans un milieu à l’hydrométrie surveillée et où les usagers fouillés à l’entrée seraient en devoir de fournir l’effort d’attention nécessaire à évaluer l’ampleur de la tache afin de remédier aux risques toujours présents de dégradation de vol de vandalisme de larcin et en un mot d’intention criminelle concernant ce grand-œuvre auquel personne à présent, exceptées quelques poignées de croyants, n’attribue de signature.
l’imbécillité guerrière européenne …
Evidemment quand on est nord-africain, c’est facile de se dégager du lot!
« Les affaires des patrons américains allaient pouvoir se développer grâce à l’imbécillité guerrière européenne … »
les anges de la paix viennent récolter le fruit de leurs efforts
On ne peut, me semble-t-il, pas parler à cette époque d’industrie de la guerre. L’avènement d’un fou historique qui depuis a malheureusement des héritiers, ne relevait pas du calcul ainsi que la réponse en terme d’intervention militaire. Comme une nécessité.
béré
le fou ou les bolchos (les jc ont choisi)
Un fou !!! Laissez nous rire… Adolf n’était pas fou : il constituait le nectar d’un peuple se redressant grâce au nationalisme socialiste. Benito, de même, rêvant de gloire à bas prix.
Les peuples élisent leurs meilleurs représentants, guides qui ne sont pas fous et savent aller où ils veulent… Voir Sarkozy et/ou Hollande : le nectar de notre cher vieux pays moisi !
Pourquoi, par quel mystère, mes propos ne sont jamais censurés en RdL ? Je vais vous le dire, ce n’est en rien un secret !
Premièrement, mes dires sont toujours décents, courtois, astucieux, empreints du bon sens simple d’un universitaire dévoyé mais intègre, ayant bien bourlingué, doté d’un jugement sûr, d’une longue pratique des pouvoirs d’affaires liés au politique.
Secondement, et plus prosaïquement, moi Jéroboam Cassouline, JC donc, appartiens à la branche toulousaine des Assouline depuis le moyen-âge ! Ce qui fait que nous sommes lointains parents avec Passou, malgré la déformation du nom au cours des siècles …
les insultes des jc et daaph sont jamais sucrés
Mais qu’est-ce que c’est que ces interventions d’avortons sous-développés du cerveau qui ne savent même pas rédiger 3 lignes qui se tiennent ?!
« SucréEs » bêtissime analphabète !
« Depuis deux ans, je me colle l’ambass du Cas Tare tous les 21 mars, le seul qui ne parle pas un mot de français et qui demande l’original des factures, là où les autres, Vietnam, le Maroc, Egypte, Canada, Suisse etc. se contentent des photocopies. »
Quel manque de goût … ! Demander les originaux !!! Scandaleux de vous infliger un tel soufflet de méfiance, mon cher Bloom ! (Sans raison, je le crois volontiers !)
PS : On ne va pas boycotter le CdM au Qatar pour quelques ouvriers morts de chaleur au travail ! Il y a des moments où l’humanisme utopique et naïf doit céder la place au sport le plus intelligent de tous les sports : le football ! Jouons ! Jouons !
« SucréEs » bêtissime analphabète !
D’un autre coté, les fruits rouges sans ajout de sucre… encore faut-il que l’année s’y prête. Après il est assez courant d’employer son temps à sucrer les fraises quand c’est l’heure du gâtisme, loin de nous ce crépuscule de l’Homme, fort heureusement.
« Pourquoi, par quel mystère, mes propos ne sont jamais censurés en RdL ? Je vais vous le dire, ce n’est en rien un secret ! »
E se fosse una strategia per « sputtanare » il discorso che lei « porta »?
D’un autre côté, il se peut que son expert en marketing lui ait dit : « Porta aperta a ci porta, chi non porta parta pur, che non m’importa d’aprir la porta a chi non porta ».
bêtissime analphabète
madame l’hystérique peut bien monter sur ses grands chevaux, on ne compte pas le nombre de fautes d’orthographe de madame
on n’a pas pris la peine de s’abaisser à les lui signaler -madame devrait prendre ses calmants
« a ci porta » > a chi porta
Foutues tablettes !
Un fou !!! Laissez nous rire… Adolf n’était pas fou
Cher JC je vous laisse à vos divagations historiennes quoiqu’il en soit, d’autres sont au pouvoir pour le malheur des peuples, Syrie, Ukraine, avez-vous reçu ces images d’arrestation musclée où l’un des ukrainiens porte un bandeau maculé de sang, l’œil vraisemblablement perdu et bien saignant? Après l’assassinat de ce député pro-européen, l’heure est à la négociation.
Pourquoi, par quel mystère, mes propos ne sont jamais censurés en RdL ?
La question mérite d’être posée, en effet.
Mais c’est faux en partie, cela arrive parfois … bien que je ne m’en occupe guère, pas plus que je ne lis tous les commentaires.
( JC, chuuuuuut ! Ne dévoilons pas les arcanes du grand oeuvre …)
Ortho, c’est un copié/collé de Loïc dont l’original a disparu, très important toutefois de savoir conjuguer se faire mettre à tous les temps dans un sans faute épatant et admirable, j’en conviens, qu’importe le fond pourvu qu’il soit en bonne et due forme.
jicé
adolf n’a pas été élu au suffrage universel et ceux qui l’ont élu sont tes idoles mais laissez tomber vous êtes ignare et nul
Mais c’est faux en partie, cela arrive parfois … bien que je ne m’en occupe guère, pas plus que je ne lis tous les commentaires.
Des vacances? Enfin… après tant d’efforts un peu de réconfort mérité?
Il est vrai que les posts de Bérénice ne sont guère fameux, non plus.
Généralement, du charabia auquel il n’y a rien à comprendre.
JC, chuuuuuut ! Ne dévoilons pas les arcanes du grand oeuvre …)
Je crois que ne subsiste aucun mystère et que seul un silence dont on ne sait s’il est consenti ou assorti à un métalangage règne. Ecoutez vous êtes sur RTL.
…
…@,…bérénice,…Plan_Marchall,…
…
…quel, plan!,…pour tenir l’Europe en mains,…en nourrissant les discordances d’ycelle!,…
…
…nos » indiens d’€urope « ,…les ranch’s d’états enchaînés par les » intérêts » pirates du genre » caraïbe « ,…
…à la clique des boucaniers des frères de la côte,…maintenant » mondialiste » au Cyclope de berner les peuples!,…le plein!,…aussi!,…
…
…Da!,…Da!,…Da!,…pourquoi pas,…
…tant qu’on y est!,…faut voir,…
…ce plan, par une sélection de données filtrer à l’analyse,…comme pour une sélection des couleurs en retouche d’imprimerie!,aussi,…
…gratuit,…la comparaison des recherches par cette analogie courante!,…sur Plan,…
…suivant,…etc,…Ah!,…envoyez,…
…
Pardon, Bérénice ?
J’ai bien l’impression que beaucoup de choses resteront un mystère pour vous ..
Il est vrai que les posts de Bérénice ne sont guère fameux, non plus.
Généralement, du charabia auquel il n’y a rien à comprendre.
Je ne vous dispute pas la couronne de la subtilité que vous semblez revendiquer (étonnant d’ailleurs…) cependant j’y vois plutôt une scène où l’on charge quelqu’un d’ouvrir une porte avec un trousseau qui n’est pas le bon tandis que l’autre, à coté se marre d’avoir gardé dans sa poche la clef, forcément ça prend un peu plus de temps, ensuite il est encore possible de fracturer et envoyer la facture à la compagnie d’assurance pour les frais de serrure. En cas de subtilité aigue il est nécessaire de faire preuve de pragmatisme ordinaire.
« laissez tomber, vous êtes ignare et nul »
Mais mon pauvre Loïc, si les ignares et les nuls, les plus nombreux, LAISSENT TOMBER le boulot …. où ira le pays, aux mains de savants fous, bon à rien ?!
Je n’ose y penser, j’en frissonne du colon, j’en pleure jour et nuit.
J’ai bien l’impression que beaucoup de choses resteront un mystère pour vous ..
Que deviendrait notre existence sans un culte pour le mystère, sans énigme, sans surprise? Après si vous pensez aux zones d’ombres, c’est une autre histoire quoique les technologies nouvelles anéantissent petit à petit la frontière entre ce qui devrait n’appartenir qu’à la sphère privée de tout un chacun, on attend la venue sur le marché d’un produit permettant le viol de cerveau, les scientifiques y travaillent.
bouguereau et jicé sont des dictionnaires de synonymes à eux deux
exemple : ordurier, bouguereau
grossier, bouguereau
fange, bouguerau
miasme, bouguereau
facho, jicé
divagation, jicé
pourri, jicé
maléfique, jicé
vous pouvez continuer, c’est facile, à vous !
Le crime sous cellophane, l’arnaque sous vide, la malveillance en boite, la falsification au rayon frais, le vol en surgelé, la destruction de preuves en vente libre, la subversion à un taux de change avantageux etc. etc
De nouveaux mousquetaires pour une nouvelle distribution.
béré ex-concierge chez Mac en recherche d’emploi
« on attend la venue sur le marché d’un produit permettant le viol de cerveau, les scientifiques y travaillent. »
1/ ce produit existe depuis longtemps : on l’appelle Education nationale ! Vous lui fournissez d’adorables bambins qui ne demandent qu’à apprendre, et ça vous fournit à la sortie des Nuls ayant l’école en horreur.
2/ les scientifiques n’y sont pour rien, eux qui sont honnêtes, joyeux et travailleurs. C’est un travail de gauchistes félons, de syndicalistes planqués et d’apatrides assistés, au trotskysme maladif !
sapré bloom, la déprimette apocalyptique…Gibbons a déjà mis la victoire du christianisme sur le dos de la décadence des romains cuits dans leurs thermes. Monnaie de singe…d’un déjà exilé fiscal en Suisse, du consulting sur les bords du lac. Minc alors…
Gardez foi dans les hordes d’avironeurs qui vont déferler pour sauver la iourope (les mêmes que ceux à passou mais moins pédés).
Manque juste une cinéaste couillue pour transmettre le message aux tortues ipodées…et vous serez au spectacle paramount, écran plat dans les palmiers, à siroter une mangue saint émilion avec vos esclaves en jupettes alix
Les mots français que les Américains nous envient
http://www.slate.fr/monde/86479/mots-francais-anglais-intraduisibles
Manifestement, nous pouvons nous réjouir !
L’économie, un domaine extraordinairement rigolo, est entre de bonnes mains : Arnold Montebourge est l’un des plus grands comiques que nous ayons jamais vu à l’œuvre !
Une chance, que l’Amérique peut nous envier …! Arnold est à l’économie ce que Fernandel est à Casanova …. Bonne journée…
@ 10h19,
Je ne sais pas si vous avez lu le livre de Hans Maarten van der Brink (dont Pierre Assouline nous parle en passant, en glissant, pelles au ciel, dans son billet), Phil, un sacrément beau récit, le plus magnifique art poétique qu’un écrivain hollandais ait jamais donné sur la conscience de l’eau du peuple des Lowlands, H. M. vd B. est une sorte de « Bachelaard » de l’eau, des rêves, et des cauchemars enchâssés entre les rives de l’histoire (son roman est aussi un genre de chant qui pourrait s’appeler « Als een Brug over Onrustig Water ».)
Même les Nits, pourtant de grands fans des clubs, cercles et sociétés d’aviron, n’ont pas une chanson qui dirait plus sur le sujet. Je pense que l’on doit bien pouvoir trouver un album de J. Martin où l’on verrait des esclaves rameurs d’une trière grecque suer sang et eau — et dont les coeurs battraient à 400 — rien qu’à la vision des toges ultra-courtes d’Alix et d’Enak installés sur le pont. Les deux sont des garçons redoutablement beaux, y’a pas à tourner autour du pot, ça développe l’émulation des physiques pareils, et c’est un rower straight, croyez-moi, qui le dit.
H.M. van den Brink, pardon.
C’est toujours agaçant d’entendre dire que la langue anglaise serait plus riche que la langue française parce qu’elle compterait plus de mots pour exprimer la même chose – quand on sait qu’une partie non négligeable des mots anglais découlent directement du français… Lire Henriette Walter et son livre Honni soit qui mal y pense pour avoir un aperçu sur le sujet…
« et c’est un rower straight, croyez-moi, qui le dit »
Etrange, car moi qui suis 100% homo, je suis totalement insensible aux mièvreries martino-alixiennes, ainsi qu’au scoutisme en tout genre et aux perversions des anciens élèves de l’enseignement catho. Je n’ai jamais été adepte du touche-pipi…
mais c’est ça la massification..plusieurs mots pour dire la même chose c’est mieux..quant à laicité..les franzeusich savent même pus eux même cque ça veut dire et les parisiens disent sécularisation..c’est ça la « globalisation » (lui aussi…hurkurkurkurk)..n’est ce pas?
ainsi qu’au scoutisme en tout genre et aux perversions des anciens élèves de l’enseignement catho.
pour ta sécularisation baroz tu peux fumer..c’est du belge
pour « entrepreneur » l’histoire est beaucoup plus complesque.georges bouche faisait de l’humour..n’est ce pas ?..faudrait pas trop prende les néocons pour des gros cons..vu qu’c’est eux qui gouverne le monde et rapport à la globalisation..ça peut que nous retomber sur le nez
..non l’histoire redémarre d’un gros con de journaliss ricain..un antifrançais primaire façon rénateau sur fox niouz dont j’oublie le nom
je suis totalement insensible aux mièvreries martino-alixiennes
..confidence pour confidence pour moi aussi baroz..mais c’est pour de simple raisons : le dessin est figé et surtout y’a beaucoup beacoup trop de tesque chiant..bref on se croirait chez gallimard
allez..un cours d’anglais..avec les deubs
..n’est ce pas ?
« bref on se croirait chez gallimard »
Et ça rime avec cauchemar, là où chez Tom of Finland on est en plein braquemards !
Critique des critiques du « Capital au XXIème siècle » de Thomas Piketty par son traducteur américain et tocquevillien
Il faut absolument lire ce livre, aisément lisible, même par un inculte en économie tel que moi. Les démonstrations lumineuses de Thomas Piketty aident à mieux comprendre le monde où nous vivons et à nous débarrasser de quelques idées fausses qui traînent partout, à commencer dans le discours de nos dirigeants, comme ces récurrentes invocations à la croissance, miraculeuse croissance, soeur Anne qu’on attend toujours mais qui ne reviendra pas. Il faut nous guérir, et vite, de la nostalgie des trente glorieuses.
des professionnels en lettres nous informent en disant qu’acheter une cigarette électronique c’est vouloir rejoindre la communauté des vapoteurs, alors les écarts de langage..
Comme une nécessité
la merde de toutes les batailles, quoi..
« acheter une cigarette électronique c’est vouloir rejoindre la communauté des vapoteurs »
Le boug il dit : « fume, c’est du Belge ! »
Onésiphore de Prébois dit: 30 avril 2014 à 13 h 02 min
un inculte en économie tel que moi.
__ Vous êtes le coeur de cible, n’allez pas penser que ce livre est écrit pour d’autres personnes, vous n’êtes pas le genre qui saura contrer les analyses d’un homme qui tord les statistiques dans le sens archéo-marxiste qui lui convient.
Onésiphore de Prébois dit: 30 avril 2014 à 13 h 02 min
aisément lisible.
__ Je remarque que vous n’êtes pas aussi inculte dans le maniement des pléonasmes, le privilège d’un « littéraire », sûrement…
Bastiat dit d’Onésiphore de Prébois :
« Vous êtes le coeur de cible »
Moi qui croyais que c’était une flèche…
Palmarès au 27 avril:
1. Marc Levy
2. Guillaume Musso
3. Daaphnée
4. Katherine Pancol
si baroz dit que coeur de cible ça fait trouducul il met dans le 1000 épicétou
Etrange… On enquête encore sur le « mystère persistant » du lifting de Daaphnée le 27 février 1933.
Tom of Finland
que des images..pas de texte..c’est pour phil
ça, Phil, on sait qu’il a la berge vaillante !
Allons bon…Baroz sabote alix au pays des merveilles à coups de Tom congestionné en finland. ça doit pas ramer fort !
oui xlew, passou donne envie de lire son batave. faudrait organiser un barbecue avironeurs à la riefenstahl.
Piketty veut tordre le cou aux héritiers déjà fauchés, comme un Robespierre sans particule.
les analyses d’un homme qui tord les statistiques dans le sens archéo-marxiste qui lui convient Bastiat)
Piketty « archéo-marxiste » ? C’est vraiment à se tordre. Bastiat ne fait que reprendre les inepties d’un Baverez. C’est sans doute l’archéo-marxisme de l’auteur du « Capital au XXIe siècle » qui explique l’énorme succès de son livre aux Etat-Unis. Il est vrai que, parmi les idées reçues dénoncées par son livre, il y a celle (très archéo-marxiste celle-là) qui consiste à faire des USA le symbole du pays capitaliste, alors que pour tenir ce rôle, il vaudrait mieux chercher du côté de certains pays de la vieille Europe, la France et le Royaume Uni en tête.
Bon. Mais y a un truc qu’on n’a pas étudié ni Schlieffen ni Manstein : qu’est-ce qu’ils font les huit-et-demi lorsqu’il y a un croco qui se ramène grand ouvert ?
huit et demi, Trommelfeuer
les analyses d’un homme qui tord les statistiques dans le sens archéo-marxiste qui lui convient Bastiat)
L' »archéo-marxisme » de Piketty dénoncé par Bastiat tient en réalité au fait qu’au coeur du livre de Piketty on trouve la question du devenir des inégalités sociales, en France, en Europe et dans le monde, dans les prochaines décennies. Ce que prédit Piketty, c’est que dans un contexte pluriséculaire de croissance très faible, tendance à laquelle la France et l’Europe reviennent après la parenthèse et l’exception historiquement très explicables des trente glorieuses, les revenus du capital croîtront de façon spectaculaire, creusant de façon non moins spectaculaire les inégalités. C’est ce problème de l’aggravation spectaculaire des inégalités au cours du siècle qui s’ouvre qui préoccupe Thomas Piketty au premier chef, et il a raison car l’aggravation des inégalités est potentiellement un problème politique massif et explosif. Je doute que Nicolas Baverez, en chantre du libéralisme à tout crin qu’il est, se soucie beaucoup de ce problème, dans ses « Trente piteuses » et ailleurs.
les analyses d’un homme qui tord les statistiques dans le sens archéo-marxiste qui lui convient Bastiat)
Le creusement des inégalités sociales prévisible au XXIe siècle est évidemment corrélé au creusement de l’écart entre les revenus de capital et les revenus du travail. Décrire et prévoir cette évolution et ses conséquences est sans doute ce que Bastiat appelle de l’ « archéo-marxisme ». Malheureusement pour lui, le temps, pourtant tout proche, où l’on trouvait des gens pour croire aux vertus de la formule lancée par Sarkozy, « travailler plus pour gagner plus » (grâce aux heures supplémentaires), ce temps semble déjà révolu en France. On sait désormais que la règle sera : travailler plus (ou autant) pour gagner moins (la formule inverse –« travailler moins pour gagner plus » — étant, elle, parfaitement adéquate à la situation des détenteurs du capital). L’actuel pouvoir socialiste, fidèle en cela à une mission historique d’auxiliaire médical des cas économiques douloureux pour la masse de la population, s’efforce de nous dorer la pilule, mais les incantations récentes de Valls à la croissance, comme les déclarations burlesques de Montebourg à propos de l’affaire Alsthom, témoignent d’un désarroi devant une situation qu’ils ne contrôlent pas.
Onésiphore de Prébois dit: à propos de l’affaire Alsthom
Alstom… TOM comme Tom of Finland. Au piquetty, mauvais élève !
Le problème, Onésiphore, c’est qu’il y a trop de monde sur Terre. Les gens veulent absolument se déplacer et s’installer dans des endroits dans lesquels il n’ont aucune légitimité.Ils s’inventent une légitimité alors que la seule légitimité réelle pour eux est de régler les problèmes là où ils sont ainsi que la démographie.
Je peux vous assurer que la quasi-intégralité de ce qui ravage le monde vient de là et seulement de là.
dame, pas étonnant, on connait son sens de l’humour au Popaul
D. dit: Les gens veulent absolument se déplacer et s’installer dans des endroits dans lesquels il n’ont aucune légitimité.
En particulier les pauvres ! Et comme ils n’ont même pas les moyens de se payer des billets d’avion, de bateau ou de train, ils voyagent clandestinement. L’horreur !
Pas du tout. Regardez TKT.
Il n’a rien à faire en Suisse s’il est Français.
Enfin c’est ce que j’ai toujours pensé et ça ne changera pas.
Nous aurions eu besoin de gens comme lui pour redresser l’économie, seulement voilà, pfuiiit.
Bon, on va exfiltrer Thierry et on le remplacera par Patrick. Comme on dit dans le chemin de fer, un Kron peut en cacher un autre.
D’ailleurs, il paraît que Patrick a pété les plombs et se fait appeler General Electric.
Notez que Thierry, pourtant enveloppé, se déclare volontiers « si mince ! ».
1 m 87 et 76 kg presque que de muscles.
Qui dit mieux ?
Avec de discrets poils blonds sur le torse, je précise, lesquels n’ont pas encore viré au blanc. Ce qui se fait rare sur ce blog, autant le dire franco.
Et je n’ai pas la tête vide, avec ça.
comme un Robespierre sans particule
mélanchon a raison..jle connais le masque tusseau robespierre..tout l’monde disois que c’étoit un faux grossier dailleurs..que c’était pas popo..moi jle trouvais plutot beau et j’y croyais aussi ferme que jehanne était vierge « de partout » comme dit vontraube..et un con en fait un horribe zombi 3d..c’est trés grave ! que chte lui collerai une fatwa au cul à ce minable barbouilleur de bourreau..vive mélanchon !
Ce qui se fait rare sur ce blog, autant le dire franco.
tous les sportifs qui font 2 heures de muscu par jour s’épilent espèce de gorille sicilien
bouguereau dit: 30 avril 2014 à 17 h 27 min
et j’y croyais aussi ferme que jehanne était vierge
Non mais attends déjà le Lorrain il fait rien comme nous autres de l’intérieur jusqu’à y compris l’Auvergne, alors donc en particulier pour ce qui est de l’emploi de la langue française… Et attention, hein ! Plus ils sont montagnards plus ils sont pires ! Y a qu’à voir Sion…
L’ »archéo-marxisme »
y’a pas de honte yan braun ! dailleurs la lecture complète du kapital te fait comprendre que l’amour des stades te fait cocu et que les sportifs aiment surtout les douches..c’est scientifique
D. dit: 30 avril 2014 à 17 h 19 min
1 m 87 et 76 kg presque que de muscles.
Le muscle est lourd : il faut viser le poids que l’on veut soulever au couché. Si on en est aux cent, il n’est pas mal de peser également cent kilos. Et on n’est pas dick comme Hermann…
Après Alfred DÖblin, Gallimard a encore massacré — cette fois-ci, Heidegger, avec une traduction illisible de François Fédier :
http://www.slate.fr/tribune/84783/la-traduction-assassine-dheidegger
..Henric il est archicocu et pas sportif pour un rond..il se venge
Hermann ! ça c’est un beau nom..ça t’ouvre toute les kommandanturs..dracul c’est le billet gratos aller simple pour le front russe..on a beau dire c’est moins bien
1 m 87 et 76 kg presque que de muscles
ce presque fait un peu poignée d’amour sous les douches dédé..
Pourquoi d’abord on met pas des jeunes personnes, dans les barcasses à huit, quoi… Albertine disparue la fugitive ! Et le groom à casquette… Dans l’ascenseur… Toujours dans l’ascenseur ! La roche tarpéienne…
amour sous les douches
pas mal … quoique, l’option baignoire ..
Avec une musique d’ambiance, comme nu sous le soleil .. ou la lune.
des jeunes personnes
Si vous pensez à des filles, Sergio, ça se fait !
Belles épaules et belles cuisses..
Tiens, il y a eu ce film sur Ned Hanlan qui a modernisé la pratique de l’aviron avec le siège glissant ..
Avec le beau Nicolas Cage dans le rôle,
the faster man on water ..
https://www.youtube.com/watch?v=qBKrD-0ZX-Q
Daaphnée dit: 30 avril 2014 à 18 h 31 min
Daaphnée dit: 30 avril 2014 à 18 h 18 min
Daaphnée dit: 30 avril 2014 à 18 h 08 min
Daaphnée dit: 30 avril 2014 à 18 h 06 min
Mais tais-toi, Daaphnée, tais-toi. De grâce !
Pourquoi as-tu ce désir de te faire passer pour une nouille avec des posts aussi insignifiants ? On va finir par y croire, à ta nouillitude, si tu persistes.
heu ..the fastest !
Daaphnée dit: 30 avril 2014 à 18 h 18 min
des jeunes personnes
Belles épaules et belles cuisses..
J’en connais une, mais alors vraiment une brune straordinaire, elle a toujours peur d’attraper des épaules de camionneur. Donc je lui ai expliqué des méga-fois que c’est une question de métabolisme, que c’est prévu par l’institution, qu’il faut toujours faire confiance aux institutions… Mais attention, hein ! Avec des termes techniques ! Enfin, ceux que je sais…
638
commentaires